Les actions des centres sociaux
Actions
Pôle ressource mobilité
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL MJC - Creuse
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Résumé
Le Pôle Ressources Mobilité
Trouver des réponses adaptées pour des personnes qui rencontrent des difficultés de mobilité dans son parcours socio-professionnel
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Constats de partenaires institutionnels
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Partenariat avec les UTAS, Mission Locale, Pôle Emploi, SIAE
- Ressources financières mobilisées pour cette action
12000 euros
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 professionnelle
- Résultat sur le territoire
Mise en réseau des partenaires
Appropriation de la problématique
- Résultat pour le centre social
Accueil de nouveaux publics
transversalité avec les autres secteurs
- Résultat pour les habitants
Remobilisation, accompagnement, autonomie
- Suite de l'action : Limites
Financements FSE
- Suite de l'action : Perspectives
Pérennisation
Actions
Accompagnement des habitants de l'îlot Stalingrad vers le relogement
- Structure organisatrice
- La Maison Maladière - Côte-d'Or
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Intégration
- Résumé
La cité du Soleil, basée avenue de Stalingrad à Dijon, et regroupant 136 familles majoritairement issues de l'immigration, doit être rasée pour faire place à un nouvel écoquartier "Via Romana".
Le projet vise à accompagner les habitants de ce secteur dans toutes les étapes du relogement et à accueillir à terme les nouveaux arrivants sur le quartier.
Sous forme d'ateliers particpatifs, un travail autour de la mémoire du quartier devait être réalisé, un travail sur l'avenir du quartier et diverses actions autour du budget, de la consommation, et de l'insertion professionnelle.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La Cité du Soleil regroupe 136 familles dans une des dernières cités d'urgence de Dijon. La plupart d'entre elles sont issues de l'immigration (80% Maroc). Cette cité, bien connue des dijonnais, présente un phénomène assez important de repli communautaire et c'est aussi un quartier connu pour abriter diverses délinquances. On y trouve les loyers les plus bas de Dijon. Dans le cadre de la rénovation urbaine du quartier, les familles doivent être relogées de façon éclatée dans Dijon.
Le projet devra prendre en compte divers paramètres :
- l'augmentation inévitable du loyer des familles dans leur nouveau logement.
- Leur difficulté à se séparer pour être réparties dans divers quartiers de Dijon
- Leur histoire personnelle après 50 années de vie dans cette cité où les enfants sont nés, certains se sont mariés etc...
- Quelles familles souhaitent revenir sur ce quartier une fois qu'il sera reconstruit ? et leur sera-t-il possible d'assumer un loyer en hausse ?
- L'accueil de nouveaux habitants dans le quartier.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
- Pilotage du Projet par le centre social et le bailleur social Dijon Habitat
- Implication des partenaires du "réseau Stalingrad" dans l'ensemble de la démarche, réseau existant qui avait pour vocation l'intégration des habitants de la Cité du Soleil à la vie du quartier et de la ville. Association de nouveaux partenaires au projet.
- Après un diagnostic des besoins des habitants, élaboration d'un projet sous forme de 5 ateliers
- Constitution de groupes de travail avec les partenaires et les habitants, un pilote par groupe de travail/atelier
les 5 ateliers :
1) "Mémoire de quartier" : réalisation d'un livre avec photos et témoignages
2) "Avenir du quartier" : Réalisation d'une maquette imaginaire du futur quartier et mise en place de jardins éphémères
3) "Budget-consommation" Activités autour des économies d'énergie et de la gestion du budget familial
4) "Atelier mécanique" étude de faisabilité pour la création d'un garage associatif. Projet abandonné
5) "Stages-emploi et formation. projet d'accompagnement des adultes et des jeunes vers la formation et vers l'emploi. Projet abandonné par manque de succès auprès des publics visés.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Plusieurs budgets selon ateliers, partagés par les différents partenaires.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
40 professionnels, 300 habitants
- Résultat sur le territoire
- Changement de l'image du quartier
- Eclatement du phénomène de la délinquance
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Modification de leurs habitudes, de leur lieu d'habitation, de leur réseau relationnel.
- Nostalgie des habitant, deuil à réaliser, avenir à construire.
- Suite de l'action : Limites
- Soutien aux familles rendu compliqué du fait de leur dispersion sur le territoire après les relogements. Cependant certaines familles qui avaient l'habitude d'un accompagnement du centre social continuent de se manifester même si elles ont changé de quartier.
- Suite de l'action : Perspectives
- Accueil de nouveaux habitants d'ici fin 2018
Actions
prevention délinquance en direction des jeunes
- Structure organisatrice
- Maison de quartier EDMOND MICHELET - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Collectif jeunesse :
La création du collectif jeunesse relève de l'initiative des services sociaux du Conseil Général (DPAS de Sevran) et de celle de la Ville de Sevran. La Mission prévention des conduites à risques du Conseil Général (qui depuis a fusionné avec la Mission Drogues de PARIS) a alors été missionnée,plus particulièrement Betty Azocar, pour réaliser un diagnostic de la situation. En avril 2012, une restitution a été proposée aux professionnels.
Du côté des publics, plusieurs problématiques ont été identifiées : apporter des informations en particulier sur l'alcool et le cannabis, prendre en compte les différents publics (jeunes scolarisés, jeunes consommateurs, environnement familial), travailler autour de l'engagement des jeunes dans le trafic, la déscolarisation (absentéisme, décrochage, exclusions), l'insertion professionnelle (renforcer l'insertion des jeunes dans les activités structurantes), la question du genre (rapports filles/garçons, sexualité à risque, grossesses précoces, violences), les souffrances psycho-sociales (estime de soi, construction identitaire, santé mentale, besoin d'écoute, d'espace de paroles et d'expression). Du côté des professionnels, plusieurs problématiques ont émergé : un manque de visibilité de la politique jeunesse, des questions liées à l'organisation (un défaut d'articulation et de coordination des acteurs, un défaut de connaissances des missions de chacun), le besoin d'un travail autour des postures et pratiques, développer des actions concrètes et communes.
Plusieurs objets de travail ont été cités : consommation de produits, trafic et économie de la rue, déscolarisation, insertion socio-professionnelle, question de genre et souffrances psycho-sociales
Des modalités de travail ont été proposées : formations, groupes de travail , actions et évaluation.
Lors du Comité de pilotage d'avril 2013 présidé par l'élu à la jeunesse, et afin de relancer la dynamique engagée par la formation prévention lancé en 2012 par la Mission du Conseil Général, il est décidé de recruter un coordinateur. Au cours de ce comité, des axes de travail sont également identifiés : autonomiser le réseau de professionnels, la mise en place d'un groupe de travail sur la prévention du trafic et l'organisation de deux séances de formations en direction des cadres et pour les professionnels de terrain n'ayant pas pu bénéficier des sessions précédentes. En juin 2013, un coordinateur est donc nommé, chargé d'assurer le pilotage du collectif en lien avec la Mission Métropolitaine de Prévention des Conduites (Paris/ Seine Saint Denis).
Quatre groupes de travail thématiques sont constitués par les professionnels à l'issue des formations prévention : estime de soi, prévention en milieu scolaire, le réseau inter-professionnel, la prévention du trafic.
La question de l'addiction est retenue; c'est un choix cohérent avec le contenu des formations proposées par la Mission Métropolitaine des conduites à risques.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place pour répondre au besoin de la prévention de la délinquance et dans le cadre de prevention des addictions
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Collectif jeunesse :
Le bilan qui est proposé s'est donc effectué à partir du travail réalisé dans ces quatre groupes qui se sont réunis en ateliers de septembre 2013 à juin 2014. Ces quatre groupes sont composées par des professionnels issus du secteur du social, de l'animation, de l'insertion, de l'éducation nationale, du médical, même si ce secteur demanderait à être davantage représenté.
2 agents participent à 2 groupes, un dans le groupe « estime de soi » et le second dans le groupe de « prévention de l'engagement dans les trafics »
L'estime de soi est un concept qui a été beaucoup développé en Amérique du Nord, notamment par les canadiens (Québec). Il renvoie au concept d'emporwement (le pouvoir d'agir de l'individu) la capacité de l'individu à développer et à s'appuyer sur son propre potentiel.
L'estime de soi s'attache donc à travailler autour de la notion de renforcement des compétences psycho-sociales de la personne. Pierre Arwindson décrit le développement de ces programmes en 3 étapes : la première étape a été le constat de l'échec des programmes de prévention primaire des toxicomanies qui reposaient sur la peur, dans les années 70'. C'est à partir de ce constat que les professionnels ont fait appel à la psychologie sociale et aux pratiques cognitivistes qui s'appuient sur l'étude du comportement humain et sur l'apprentissage. Ces techniques sont spécialisées sur les formes conscientes du psychisme. La deuxième étape a consisté à élaborer des programmes où les promoteurs cherchaient à renforcer les compétences des adolescents pour les aider à faire face à la pression sociale, à l'échec, au stress sans avoir recours aux psychotropes. Ces nouveaux programmes étaient limités dans le temps et dans leurs objectifs mais ils ont semblé efficaces par rapport aux consommations des jeunes qui ont baissé . La troisième étape a vu la généralisation de cette approche dans les années 85-90'. Ils proposent des activités éducatives destinées à promouvoir la santé, en particulier mentales des élèves et des étudiants. Cette nouvelle approche s'inscrit dans les textes de l'Organisation Mondiale de la Santé qui propose en 1993 une définition :
« les compétences psychosociales sont la capacité d'une personne à répondre avec efficacité aux exigences et aux épreuves de la vie quotidienne. C'est l'aptitude d'une personne à maintenir un état de bien-être mental en adaptant un comportement approprié et positif à l'occasion de relations entretenues avec les autres, sa propre culture et son environnement. » Une liste de dix compétences psychosociales (ou aptitudes essentielles) a été établie : savoir résoudre le problèmes / savoir prendre les décisions / se calmer-réfléchir avant d'agir / exprimer le problème et ce qui et ressenti / choisir un but positif/ imaginer toutes le solutions possibles / évaluer les conséquences/ essayer le premier plan / avoir une pensée créatrice / avoir une pensée critique.
Le groupe Estime de soi du collectif s'est réuni à plusieurs reprises cette année (5 rencontres) dans de lieux différents (CS Marcel Paul, Collège Painlevé, PEIF,) avec une visite à la Mission Métropolitaine à Pantin. Une quinzaine de professionnels a participé de manière active à ce groupe. L'essentiel des échanges aura porté sur la présentation d'outils qui permettent de travailler autour de l'estime de soi avec les publics; la présentation de ces outils s'est faite par des collègues qui en ont une bonne pratique comme M.-T. Gaudier de la Mission Métropolitaine ou G. Desricourt de la Mission Locale et les collègues du service RSA . Il existe ainsi pléthore d'outils, souvent ludiques qui permettent de travailler, de mettre en valeur les compétences des personnes.
Groupe prévention en milieu scolaire :
L'école est un lieu important pour travailler cette question de consommation de produits avec les adolescents . Le groupe s'est réuni à 4 reprises, groupe composé des professionnels de l' Education Nationale et des éducateurs de l'association de prévention spécialisée Arrimage.
Ces différentes rencontres auront permis d'élaborer un projet d'intervention que nous avons présentés aux différents établissements scolaires de Sevran. Le coordonateur du collectif s'est également rapproché du CRIPS -Ile de France. Au cours de cette année, à l'initiative de notre collègue Sonia Marossa, assistante sociale au collège Painlevé à Rougemont, une matinée d'échanges autour de la prévention, consommation de cannabis, tabac a été organisée, animée par le Docteur H. Touitou. Cette rencontre a réuni une dizaine de personnes du collège.
Ce projet pour 2014-2015 a pour objectif global de proposer un travail visant à développer les compétences de chaque élève à faire des choix et à se positionner de manière favorable pour sa santé .
Au niveau du déroulé , 3 temps seront proposés :
-
1er temps: informations, échanges avec les élèves autour de leurs connaissances des produits , de leurs représentations, de leurs environnement (rapport avec les pairs)
-
2ème temps: :réflexions sur la question des comportements de consommation et eds conduites à risques au travers d'interventions théâtrales. Le théatre Forum peit-être un outil pertinent dans la mesure où il propose au public d'être acteur dans des situations de conduites à risques (mise en scène) Possibilité de disposer de l'espace F. Mauriac.
-
3ème temps: création de messages de prévention par les élèves ( concours d'images et de scénaris en utilisant des supports numériques)
Ce projet pourrait concerner 2 à 4 classes par établissement, en ciblant à priori les élèves les plus âgés.
Groupe prévention de l'engagement dans les trafics :
Cette démarche est expérimentale, peu de villes l'ont initiée en France. Cinq rencontres ont eu lieu sur ce thème dans notre groupe. La rencontre avec les collègues de Marseille (ADDAP 13) aura été importante. A-M Tagawa et L Choulak nous ont fait part de leur expérience dans ce domaine. L'idée est d'arriver à prévenir l'entrée des jeunes dans cette économie de la débrouille et de faciliter la sortie de certains de ces jeunes pris dans l'engrenage ds trafics.
Leur groupe de travail est issu du CLSPD (conseil prévention de la délinquance). Elles ont constitué un groupe de 15 personnes, se réunissant tous les mois. Ce groupe est accompagné par un tiers, sociologue. L'objectif est de réfléchir et de mettre en place des actions sur le territoire, en abordant également la question de la méthodologie. Trois axes sont retenus : les trajectoires familiales, le contexte des quartiers et le travail social communautaire. Ils ont aussi constitué un groupe habitants qui se réunit une fois par mois et qui n'est pas en lien direct avec les professionnels.
Le groupe des professionnels a réfléchi sur leurs modalités de fonctionnement et des critères ont été établis : régularité ds rencontres (1 fois par mois), cooptation pour l'entrée dans le groupe, constitution d'un groupe pour une année (une personne absente ne se fait pas remplacer par un autre collègue du service), restitution du travail effectué sachant que le comptes-rendus ne sont diffusés qu'aux membres du groupe.
De nombreux thèmes ont été abordés par ce groupe de Marseille intitulé « questions de réseaux » : les postures professionnelles, connaissances du problèmes et du public, le statut des participants, le soutien aux parents et aux adultes encadrants, les facteurs de compréhension de la situation de ces jeunes et de ces familles, l'expertise des habitants et des jeunes concernés, les allers et retour dans le trafic, la sortie de ces trafics, les rapports avec la Police, l'intervention en milieu carcéral, l'accès aux droits pour ces jeunes et leurs familles .
A Sevran, nous allons pouvoir nous appuyer également sur l'expérience de l'équipe de la Mission Métropolitaine des Conduites Risques et plus particulièrement celle de Catherine Jouaux qui à lancé ce type de travail dans un quartiers du Nord de Paris .
Concernant le collectif, nous sommes entrain de mettre en place un groupe d'une quinzaine de personnes en nous inspirant des modalités décrites par nos collègues de Marseille. Le groupe devrait être définitivement constitué fin juin 2014. Nous avons aussi retenu des critères de fréquence des rencontres, de confidentialité, de stabilisation du groupe afin que les personnes se sentent en confiance par rapport à un sujet très délicat. Dans un premier temps, nous allons travailler sur un état des lieux de ce qui se passe sur le territoire de Sevran. Cette première étape nous semble nécessaire afin de savoir de ce que l'on parle et de sortir des fantasmes. Mieux connaître la situation doit permettre d'envisager des actions collectives et s'outiller soi-même pour les suivis individuels. Ceci devrait nous permettre de mieux appréhender l'impact de ces trafics sur la vie des quartiers (espace public, délitement du lien social). D'autres axes pourront être ensuite proposer à la réflexion : la question du partenariat à mobiliser (justice, bailleurs sociaux, accès aux droits pour les familles ), la question de l'apport théorique pour mieux comprendre les facteurs de vulnérabilité sociaux et psychologiques qui interviennent dans les « décrochages » de ces jeunes, la compréhension des réponses pénales face aux actes posés par ces jeunes, la place des habitants et des acteurs associatifs dans ce travail préventif qui vise à prévenir l'entrée des jeunes et faciliter leurs sorties des trafics. Ce travail de réflexion, d'échanges et de rencontres, s'avère nécessaire avant d'aborder la phase opérationnelle , en direction du public.
Groupe réseau inter-professionnel :
Un double objectif a participé au travail de ce groupe:
- d'une part, identifier les différents acteurs du territoire intervenants dans le secteur de l'addictologie ;
- d'autre part, créer du lien entre les membres du collectif et ces structures qui peuvent être des points d'appui en termes de conseils, d'orientation pour le public suivi par les professionnels du collectif
Trois rencontres ont donc été organisées cette année avec le CSAPA GAINVILLE (consultation jeunes), le CAARUD Aurore (ex FIRST) et le secteur addictologie de l'hôpital R. Muret. Une vingtaine de personnes du collectif a participé régulièrement à nos rencontres.
Le groupe a noué un partenariat avec la Commission Addiction du CHSCT de la Ville de Sevran. animée par Sami Melliti. En effet, le coordinateur du collectif a été invité à participer aux différente réunions de cette commission. Ainsi , nous avons été partenaires dans l'organisation de la manifestation autour de la prévention des addictions qui s'est déroulée le 3, 4 et 5 juin 2014 à l'Espace F Mauriac.
Par ailleurs, cette commission a organisé une journée de formation sur la consommation de produits animée par Alcool Assistances qui a réunit une trentaine d'agents de la Ville. Un travail de coordination sera, à termes, sans doute nécessaire dans le cadre de formations proposées en direction des agents de la ville.
-
- Ressources financières mobilisées pour cette action
3500€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
200 jeunes
45 professionnels
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Ateliers de pratique philosophique
- Structure organisatrice
- MAISON DU MÉRIDIEN - Nord
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Un Vendredi soir sur 2, l'association socrate et diotime vient animer une séance de pratique philosophique visant à faire débattre un groupe sur des thèmes de société à la façon battle d'idées et de concepts.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un habitant
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Dans le cadre d'un financement PDI, l'atelier a pour objectif de convaincre des habitants , et notamment en précarité de leur capacité à oenser, à dire, à exprimer , à argumenter un point de vue..et à reprendre confiance en soi, à retrouver l'estime de soi, non simplement sur la base du paraitre, mais aussi sur la base de l'etre.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
A l'initiative d'une habitante, mère de famille seule et sans emploi, une expérimentation est d'abord menée à domicile en direction des bénéficiaires des minima sociaux, ..puis sur interpellation de cette habitante, la Maison de quartier prend le relais et fait financer l'action par le PDI, afin d'y faire accéder le plus grande nombre de façon gratuite. Cette action s'installe alors à la maison de quartier et s'y éveloppe depuis la rentrée scolaire 2014.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
4000 euros / an en prestation de l'association socrate et diotime
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 animatrice, prof de philo et praticienne philosophique, le référent famille et une habitante relais.
- Résultat sur le territoire
Développement de la pensée collective, de la pratique de la confrontation d'idées , connaissance et mise en relation de l'association socrate et diotime( quesnoy sur Deule et dont la présidente est prof de philo dans un lycée professionnel de tourcoing); mise en réseau.
Ce type d'atelier est le seul au nord de Paris; .et donc référencement territorial.
- Résultat pour le centre social
Développement d'une nouvelle activité de type intellectuel, et innovation en termes de moyens mis à disposition d'une catégorie d'habitants complémentaires à la socio esthétique(estime de soi physique).
- Résultat pour les habitants
Accessibilité à la philosophie et à la pratique de l'argumentation spirituelle qui pallie parfois d'une notoriété liée à sa rébarbativité supposée ou avérée;
Prise de plaisir à se découvrir sur le plan ...philosophique.
Reprise de la confiance en soi sur le mode ..je sais réfléchir, penser..et suis capable de m'exprimer.
- Suite de l'action : Limites
L'action s'est notammant développée auprès du grand public ; ce qui , du coup à fait baisser la part des bénéficiaires du RSA ..et pose problème quand à la suite de son financement par le PDI.celà pose des questions quand à sa tarification éventuelle à venir.
victime de son succés, 2 groupes ont eté mis en place pour éviter les effectifs trop nombreux.10 à 15 personnes maximum; ce qui a fait perdre la dynamique des débuts.
- Suite de l'action : Perspectives
Mise en place de séminaires de pratiques philosophiques pouvant servir de support, notamment à l'insertion professionnelle, par ex: Séminaire de 2 jours philosophie et Insertion d'octobre 2015, à l'occasion du quel les bénéficiaires ont pu apprendre à mettre en valeur leurs capacités oales, ou rédactionnelles.
Actions
« Bien sous son toit, mieux dans la vie »
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL CAF LA CLAIRIERE - Meurthe-et-Moselle
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Environnement
- Logement
- Résumé
L’action « Bien sous son toit, mieux dans sa vie » s’inscrit dans une démarche pédagogique participative par des ateliers d'appropriation du logement et du cadre de vie développés autour de trois axes :
1.Des ateliers participatifs réguliers qui permettront d’aborder, à partir de différents supports pédagogiques, diverses thématiques liées au logement :
- Les droits et devoirs du locataire
- L’assurance habitation
- La compréhension des factures (eau, électricité …)
- L’entretien du logement
Les thématiques seront proposées en fonction des besoins exprimés par les usagers et/ou repérés par les professionnels de la structure et les partenaires.
2. Des modules pratiques, d’embellissement et /ou d’aménagement du logement :
Avec la CESF et/ ou l’animateur technique de l’atelier bois du Centre Social, les participants auront la possibilité de créer des objets décoratifs à partir de matériaux recyclés, restaurer des meubles, fabriquer du petit mobilier. Ces différentes réalisations permettront d’agrémenter le lieu de vie des familles, d’exprimer leur créativité, de découvrir des techniques et de se les approprier.
Des sorties pourront être proposées afin d’illustrer les thématiques abordées dans le cadre des ateliers (visites, expositions, découverte de la Maison de l’Habitat et du Développement Durable du Grand Nancy…).
3. Dans le cadre d’actions partenariales : des liens avec les manifestations et actions du Plateau de Haye dans le domaine de l’écocitoyenneté.
Travail en partenariat avec l’Office Métropolitain de l’habitat (OMh) du Grand Nancy.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Précision ( si autre )
Les usagers expriment les difficultés qu’ils rencontrent dans leur vie quotidienne et notamment celles liées au logement.
Dans le cadre des actions qu’il développe, le centre social porte attention à créer un espace de convivialité où les usagers peuvent échanger librement sur leurs questionnements. Les professionnels de la structure identifient des besoins et font état de situations parfois complexes auxquelles il est important d’apporter des réponses ciblées et diverses.
Les échanges réguliers avec les partenaires du territoire (service social du conseil départemental, associations, bailleur social…) permettent de croiser des constats sur cette thématique.
Les professionnels du Centre Social seront attentifs aux situations particulières rencontrées dans le cadre des ateliers collectifs et se mettra en lien avec les interlocuteurs appropriés afin de travailler à la résolution de problématiques.
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Un contexte économique et social fragilisé sur le Plateau de Haye qui s’accentue depuis plusieurs années. Ceci a des répercussions sur la gestion du quotidien et en particulier sur celle du logement. La problématique du logement englobe aussi bien la gestion des énergies, le tri des déchets, l’entretien, la gestion du budget, l’aménagement et l’appropriation des lieux de vie.
Le logement est une préoccupation majeure des familles puisqu’il représente le premier de poste des dépenses.
Les familles rencontrent de nombreux questionnements et expriment le besoin d’être informées : démarches à effectuer, paiement des factures, entretien… Une gestion difficile du logement peut avoir diverses conséquences : difficultés financières, sentiment de mal-être, baisse de l’estime de soi, problèmes de santé, relations familiales dégradées.
Pour pallier à ces difficultés les familles mobilisent du temps et de l’énergie, ainsi les préoccupations liées au « bien-être » dans le lieu de vie sont parfois reléguées au second plan.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
- Accompagner des locataires dans la gestion quotidienne du logement et du cadre de vie.
- Participer à la valorisation des personnes, en s’appuyant sur la dynamique d’échanges d’expériences et les compétences personnelles de chacun, en matière de gestion et d’aménagement du logement.
- Susciter l’acquisition de nouveaux comportements de locataires citoyens et le réinvestissement des personnes au sein de leur habitat, dans une démarche participative et citoyenne
Le projet est coordonné par le référent familles du centre social et s’appuie sur l’implantation de l'appartement de l’association des Utilisateurs du Centre Social commr support témoin de cette action pour aller à la rencontre des habitants du Haut du lièvre.
Des intervenants sont sollicités dans l’animation de ces ateliers en fonction des thématiques : services de l’OMH, responsable médiateur de Réciprocité, Carrefour sante, la CLCV, les CESF de la Caf, l’ADEIC, info énergie… L’information est relayée auprès des partenaires du Plateau de Haye.
L’action s’inscrit dans la dynamique du quartier, notamment lors d’évènement comme la Fête des voisins ou d’actions autour de ‘’Voisins solidaires’’
Il s’agit à travers cette action de poursuivre la dynamique mise en œuvre en favorisant la prise d’initiative et d’appropriation de son logement par le biais d’actions collectives diversifiées, dans une démarche citoyenne participative autour de l’habitat.
Dans le cadre d’une convention de mise à disposition d’un appartement avec l’OMH, l’Association des Utilisateurs du Centre Social est un locataire privilégié. Aussi l’appartement situé au cœur, représente un lieu de médiation et de relais entre les habitants et le bailleur social et est identifié comme :
- Un lieu d’utilité sociale
- Un lieu d’animation parents/enfants à dimension éducative
Le centre social, par son action, propose de donner à chacun les opportunités d’être un acteur responsable au sein de son immeuble, de son voisinage et de son quartier
L'action du centre social autour du logement s'inscrit dans le cadre de la politique d'action sociale de la Caf, définie au niveau national par la COG, sur le volet ''Environnement et cadre de vie''.
Notre action s'appuie également sur le partenariat avec la ville de Nancy, à travers l'implication dans l'ASV du Plateau et le réseau ''Santé/précarité''.
Inscription dans le cadre de la Conférence 'Pauvreté et Précarité'' du Conseil Général du 09/12/2013 : lutte contre la précarité énergétique, accès au logement, démarche de participation citoyenne.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget global: 10 000 €
- Politique de La Ville- ACSE: 2500 €
- Conseil Départemental 54 :1200 €
- Caisse d'Allocations Familiales 54: 3000 €
- Communes ( Nancy-Maxéville): 900 €
- Métropole du Grand Nancy ( Interco): 1000 €
- Bailleur Social OMH Nancy: 1400 € ( subvention+mise à dispo de l'appartement au prorata temporis)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
En 2016, ce sont 137 personnes qui ont pu bénéficier de cette action soit (53 familles):
- 29% sont en situation de monoparentalité
- 38% ont plus de 3 enfants à charge
Il est à noter que les participants à cette action sont très souvent des mères : on considère que leur participation à cette action a eu un impact bénéfique (positif) sur la famille entière (enfants en bas âge, adolescents, conjoints..), du fait de l’amélioration des conditions de vie, de la prise de conscience d’un certain nombre de problématiques récurrentes et l’acquisition de compétences nouvelles pour trouver des solutions.
- Résultat sur le territoire
Pour les personnes
- Réduction des impayés, meilleure maitrise du budget
- Acquisition de nouveaux ou meilleurs savoirs faire dans la gestion du logement
- Sentiment de mieux-être au sein du logement
- Capacité et confiance à refaire chez soi
- Acquisition d’une meilleure autonomie dans les démarches liées au logement
Pour le bailleur social
- Une relation de proximité renforcée avec les locataires
- Une connaissance plus fine des problématiques
- Un intérêt de travail avace le centre social comme médiateur
- Résultat pour le centre social
Pour le Centre Social, cet appartement , mis à disposition par l’Office Métropolitain de l’Habitat (OMH) de Nancy constitue un espace relai au cœur du quartier pour les professionnels qui permet :
- d’être en lien avec les locataires de l’entrée et plus largement avec les habitants du quartier
- d’être au plus près des problématiques rencontrées : voisinage, problèmes techniques (panne d’ascenseur, problèmes d’interphone…), squat dans les entrées ou au niveau des paliers
En tant que locataire, le centre social s’inscrit dans une démarche globale de médiation avec les habitants.
- Résultat pour les habitants
- Facilitation de l'expression des participants soulevant des situations individuelles
- L’intervention de professionnels extérieurs permet de réduire la distance professionnels/habitants
- Entraide entre les participants
- Développement de savoirs faire et de savoirs-être
- Une dynamique confortée autour du logement
- Suite de l'action : Limites
Si pour la plupart des participants, une dynamique s'est créée, pour quelques-uns la participation reste fluctuante du fait parfois d’un « rendez-vous » prioritaire dans la vie de famille (rendez-vous médical, restaurant du cœur, assistante sociale).
Les personnes sans emploi sur le quartier sont submergées par des préoccupations quotidiennes et n’envisagent pas toujours qu’une action collective puisse répondre à leurs besoins. Un accompagnement en amont est nécessaire afin de repérer les problématiques, expliquer l’action et les différentes rencontres proposées. Ceci est un travail de mobilisation au quotidien pour les professionnels de l’équipe.
- Suite de l'action : Perspectives
L’OMh du Grand Nancy a sollicité une rencontre en 2016 avec le Centre Social, dans le cadre d’un projet d’aménagement d’un appartement pédagogique proposant des ateliers techniques (petits travaux, plomberie, électricité…). L’objectif de cette rencontre visait à étudier la complémentarité éventuelle d’actions entre les deux structures afin de répondre de façon pertinente aux besoins des habitants. Cette réflexion se poursuivra en 2017.
Actions
Intégration et prise en charge des enfants porteurs de handicaps
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL CAF LA CLAIRIERE - Meurthe-et-Moselle
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Intégration
- vacances / loisirs
- Résumé
Améliorer l’offre d’accueil des enfants dits « différents » en expérimentant des formes d'accueil innovantes, soutenir la fonction parentale et faciliter les relations parents-enfants.
- Offrir des temps de loisirs aux enfants « différents » du quartier,
- Permettre une intégration de ces enfants en milieu ordinaire (au Centre Social)
- Eviter la marginalisation des enfants non diagnostiqués
- Accompagner ces parents sur la situation de handicap de leur enfant
- Sensibiliser et former l’équipe d’encadrement aux spécificités de ce public.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Autre
- Précision ( si autre )
Une réflexion menée en lien avec les administrateurs de l’association, les parents et les professionnels pour prendre en charge au sein de nos accueils collectifs les enfants dits "différents" issus de milieux très modeste, résidant sur le territoire d'intervention du centre social.
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Un besoin des familles du quartier identifié par les professionnels du Centre social
-
Des parents qui inscrivaient leur enfant sans spécifier les difficultés inhérentes à un type de handicap de peur de se faire refuser l’accès aux loisirs
-
Une équipe d’animateurs démunie pour prendre en charge ces enfants
-
Une stigmatisation des parents et des enfants provoquée par l’échec de l’accueil de l’enfant et du renvoi de l’image de son enfant différent
Une difficulté croissante pour les animateurs BAFA d’assumer la prise en charge de certains enfants du quartier, suivis par des structures spécialisées (Hôpital de jour, I. M. E., CMP…) ou sous traitement (Hyper activité) ou rencontrant de lourds problèmes de comportement. Il est observé également une augmentation de la proportion des enfants de moins de 6 ans parmi ce public (62% en 2013) et des enfants de tout juste 3 ans pas encore scolarisés.
Face à ce constat et dans le souci de proposer un accueil de qualité pour les enfants du Plateau de Haye, nous avons souhaité œuvrer pour l’intégration sociale dans le champ des loisirs et des vacances, ce qui impose un renforcement des compétences du personnel, tout en affirmant l’intérêt et l’importance d’un regard non spécialiste, non thérapeutique. Cependant les besoins et les caractéristiques des populations concernées peuvent appeler le concours de partenaires spécialisés et de personnes ressources sur le terrain.
Afin de ne pénaliser aucune famille, aucun enfant et, respecter la LOI n° 2005-102 du 11 février 2005 pour l'égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées qui prévoit dans ses dispositions générales que « Toute personne handicapée a droit à la solidarité de l'ensemble de la collectivité nationale, qui lui garantit, en vertu de cette obligation, l'accès aux droits fondamentaux reconnus à tous les citoyens ainsi que le plein exercice de sa citoyenneté. » et que « A cette fin, l'action poursuivie vise à assurer l'accès de l'enfant, de l'adolescent ou de l'adulte handicapé aux institutions ouvertes à l'ensemble de la population et son maintien dans un cadre ordinaire de scolarité, de travail et de vie. Elle garantit l'accompagnement et le soutien des familles et des proches des personnes handicapées ».
Résultats et changements attendus:
-
Modifier le regard des autres enfants et de leur famille face au handicap en développant des notions de tolérance et d’acceptation de la différence ;
-
Reconnaître chaque enfant avec ses particularités sans stigmatisation en partant de ces capacités et non de son handicap ;
-
Adapter et améliorer les réponses proposées par les équipes pédagogiques aux besoins spécifiques de ce public, en mettant à leur disposition des compétences professionnelles et des outils complémentaires ;
-
Privilégier un accompagnement global de la famille par des temps de synthèse régulier ;
-
Consolider le partenariat avec les structures spécialisées et le lien avec les familles.
-
- Public
- Enfance
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
1- Permettre à tous les enfants de bénéficier de loisirs durant les vacances sans discrimination :
La diversité des enfants, acceptée et prise en compte, constitue un facteur d’enrichissement et d’évolution positive pour le centre de loisirs. Elle est organisée pour favoriser l’intégration de tous. Nous constatons une évolution très positive pour les enfants de moins de 6 ans . Les enfants dits « différents » ne nécessitent pas un accompagnement spécialisé, même si leur handicap entraîne des particularités. Cependant, il nous semble nécessaire de mettre en place un soutien à l’équipe éducative afin d’éviter l’exclusion de ses enfants et pour ne pas mettre en difficulté de jeunes professionnels de l’animation.
->Auprès des enfants « différents » :
Accompagnement particulier des enfants dans la gestion des crises avec le soutien du référent famille et de l'animatrice socio-éducative du Centre social, avec un aménagement de temps individualisés autant que nécessaire.
Mise en place de lieux ou de temps calmant en vue de prévenir les prochaines crises ou les comportements difficiles.
Respect du rythme de l’enfant, développement de la participation aux activités, aux sorties et aux temps de vie quotidienne dans le respect de ses capacités et potentialités, adaptation d’activités et proposition de jeux adaptés à l’enfant pour un maintien dans le collectif autant que possible.
Recueil du vécu de l’enfant, de la satisfaction des parents, de l’accompagnement élaboré par l’équipe d’animation, évaluation des objectifs fixés en amont.
Mise en place d’outils de suivi afin de maintenir une cohérence et une continuité dans l’accompagnement éducatif tout au long de l’année.
-> Auprès des autres enfants :
La proposition de jeux adaptés à l’ensemble du groupe d’enfants afin de faciliter l’intégration. Tous les enfants sont sensibilisés à l’entraide et à l’acceptation des enfants « différents ».
-> Auprès de l’équipe d’animation :
Une formation de sensibilisation au handicap pour l’équipe d’animateurs du centre de Loisirs afin de désamorcer les préjugés liés au handicap vers une meilleure prise en charge de l’enfant « différent ». Avec l'appui de fédération d'Education populaire, des sessions ont été mises en place pour permettre d'intervenir en complément d'un animateur réferent "handicap" et permettre ainsi le maintein dans le groupe.
Renforcement de la fréquence des temps de synthèse avec l’équipe pédagogique vers une cohérence de la prise en charge globale de la famille.
Consolidation de la collaboration avec les familles dans la prise de conscience des difficultés de leur enfant pour une meilleure acceptation et gestion des difficultés.
Un personnel ressource ( Un animateur référent handicap) pour l’équipe d’animation a permis de mieux comprendre certains comportements et surtout de trouver des pistes de réponses afin de mieux gérer les situations difficiles dans le collectif et de faire évoluer les comportements des enfants en groupe.
2- Etre en lien avec les partenaires pour construire un séjour adapté : avec les parents d’abord
-> Auprès des parents
Accompagnement dans l’investissement des parents, indispensable à la progression pour l’intégration des enfants.
Le temps d’inscription permet d’instaurer un climat de confiance entre la directrice et les parents. Sous la forme d’un entretien, les parents sont sollicités comme personnes ressources. Nous fixons ensemble les objectifs d’accueil, les moyens à mettre en place et l’évaluation. Ils peuvent expliquer la situation de leur enfant et donner des informations essentielles à sa prise en charge.
Le Café des parents est un lieu où parents et référent famille peuvent échanger autour des difficultés et des progrès des enfants et faire le lien avec le reste de l’équipe d’animation.
Le temps d’accueil des parents le matin et le temps de récupération le soir permettent de renforcer les liens entre les parents et l’équipe dans le souci d’une meilleure qualité d’accueil.
-> Auprès des partenaires :
Avec l’accord des parents, par la prise de contact avec les établissements et services spécialisés qui accueillent les enfants tout au long de l’année et/ou avec les éducateurs qui suivent les enfants à domicile.
Adaptation de l’accueil des enfants pour améliorer leur intégration dans le centre de loisirs en milieu « ordinaire ». Cette coordination entre les structures spécialisées et l’équipe du centre de loisirs favorise le développement d’un suivi global de qualité.
Développement de projets entre le centre social et un Institut Médico-Educatif (IME) pour améliorer les connaissances des missions de chacun et la complémentarité des actions possibles à mettre en œuvre dans l’intérêt des enfants.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
voir document joint
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
25 enfants ont bénéficié de l’action représentant 18 familles.
35 autres enfants ont nécessité un accompagnement spécifique durant l’année et rencontrent des difficultés importantes d'intégration dans la vie collective du centre de loisirs
Pour l'ensemble de notre accueil de loisirs sur l'année, ce sont au total 35 adultes: salariés, stagiaires et bénévoles qui ont assuré le fonctionnement à raison d’une équipe sur chaque session de vacances selon la préfiguration suivante:
-
1 permanent du Centre Social assurant la coordination du pôle petite enfance-enfance
-
1 directeur BAFD
-
1 adjoints pédagogique (titulaire du BAFA, stagiaire BPJEPS)
-
6 animateurs dont 3 titulaires du BAFA, 2 stagiaire BAFA et 1 non diplômé
-
2 référents diplômé ou en cours de formation moniteur éducateur, chargés d’accompagner l’intégration des enfants à besoins spécifiques
-
1 référente famille du Centre Social pour l’accompagnement des familles
-
3 bénévoles (accompagnement lors des sorties)
-
- Résultat sur le territoire
Une offre d’accueil de loisirs proposé pour les enfants dits "différents" de 3 à 9 ans par le centre social.
Sur le quartier seulement deux structures d’accueil de loisirs sont ouvertes aux enfants de moins de 6 ans à savoir l’accueil de loisirs de Nancy Gentilly et celui du Centre Social La Clairière.
Le centre social est une des seules structures à proposer un accompagnement aux besoins éducatifs des enfants et des familles dans le cadre du centre de loisirs.
Identifié et reconnu par les familles pour sa dimension d'accompagnement et d'écoute et par les professionnels du territoire comme interlocuteur privilégié.
- Résultat pour le centre social
Mise en œuvre d'un partenariat avec les structures éducatives spécialisées:
Meilleure prise en charge de l'enfant entre structure spécialisée et structure de droit commun.
Une continuité des objectifs fixés avec les parents qui consolide les liens entre les parents, le centre social et les institutions.
Des rencontres et des contacts fréquents avec les différents travailleurs sociaux chargés de l’accompagnement des familles qui contribuent à la cohérence des suivis.
Le centre social La Clairière est identifié et reconnu sur le quartier pour son accueil de qualité par tous les partenaires.
- Résultat pour les habitants
Une démarche d’entraide spontanée et de solidarité notamment lors des jeux et des sorties où tous les enfants ont partagé ces temps avec les enfants « différents ».
Mise en place d’un projet d’accueil et d’intégration a permis un suivi dans le temps de ces enfants, permettant de constater les évolutions et de préciser des objectifs fixés pour leur accueil.
Relations renforcées et lien de confiance avec les parents de ces enfants.
Cet accueil a été un moyen de soulager les familles qui se sentent démunies dans la prise en charge de leur enfant 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24 durant la fermeture des structures spécialisées. Toute la fratrie a pu être accueillie, ce qui a permis encore de soulager les parents en évitant de multiplier les intervenants ou les structures d’accueil durant les vacances.
Aucun séjour d'enfant n'a été interrompu du fait du calibrage de la session d'accueil aux potentialités des enfants
- Suite de l'action : Limites
Bien que la pertinence de notre centre de loisirs ne soit plus à démontrée, il convient néanmoins, sans cesse, d’en améliorer le fonctionnement et la qualité de l’accueil.
A certains moments, le comportement de certains enfants, antinomiques à la vie collective, ont engendré de telles difficultés que seuls, des animateurs BAFA n’auraient pu les assumer.
Il est, en effet impossible, à seulement 2 personnes, d’assurer la sécurité physique et psychologique de 15, voire 18 gamins, lorsque même, un seul d’entre eux, se met à « déjanter ». Que dire alors s’ils sont plusieurs à réagir de la sorte en simultané ou, si le gamin fait preuve d’influence sur le reste du groupe ?
Sans tomber dans l'approche de l'éducation spécialisée, il s'agit de pouvoir permettre à des enfants d'évoluer en milieu ordinaire autant que faire se peut.
- Suite de l'action : Perspectives
Cette année aura été marquée par la volonté de permettre à des enfants dits "différents" de par leur handicap ou de par leur comportement "déstructuré" d’y être inscrits mais surtout, de pouvoir y rester durant l’intégralité du séjour prévu initialement par leurs parents. La forte proportion des enfants nécessitant une attention particulière sur l’été 2014 n’a pas permis de répondre à tous les besoins spécifiques des enfants.
Parce qu’ils présentaient des caractéristiques spécifiques, certains enfants méritaient un accompagnement spécifique.
Aussi il est envisagé le renforcement de l'équipe éducative et pédagogique par l’adjonction d’un éducateur spécialisé au sein de l’Accueil collectif de mineurs pour 2015 pour renforcer l'accompagnement des enfants présentant des troubles et pathologies particulières et proposer un cadre de référence adapté dans lequel ils pourront davantage évoluer
Actions
Restons Zen
- Structure organisatrice
- Centre Socio-Culturel Communal de la ville de Toul - Meurthe-et-Moselle
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Santé
- Mixité sociale
- Résumé
Restons Zen est un atelier de relaxation proposés à un public ciblé : être dans une situation de mal-être, d'isolement, de désir de changement et avoir des capacités de réflexion sur sa vie quotidienne.
Le projet permet de lutter contre l'isolement et la solitude en favorisant le développement de soi. Il vise à découvrir une pratique de relaxation favorisant le bien-être des participants et une meilleure connaissance d'eux-mêmes. Enfin, il favorise la rencontre des habitants et l'implication de ceux-ci dans un projet collectif.
Les ateliers ont lieu une fois par semaine et sont animés par une relaxologue. Ils se déroulent en deux parties, un premier temps de relaxation et un second temps d'échanges et de partage d'expériences.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L'action part d'un constat des travailleurs sociaux du territoire. Les habitants accompagnés rencontrent diverses difficultés d'ordre familiales, professionnelles ou sociales. La prise en charge de ces difficultés est freinée par une accumulation de stress, une image négative d'eux-mêmes, une perte de confiance en eux et une situation d'isolement.
Ainsi, Restons Zen utilise la pratique de la relaxation et des échanges sur des thématiques de projet de vie personnelle pour retrouver un mieux-être physique et mental. Cette action rentre dans le projet de développement du lien social du CSC.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 travailleurs sociaux, une relaxologue et les habitants impliquées dans l'action.
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
Le projet apporte aux participants des biens faits sur le plan corporel : assouplissement du corps et détente, diminution de la tension artérielle et diminution de la prise d'antalgiques... Il y a également une amélioration sur le plan émotionnel : gestion du stress, amélioration de la confiance en soi...
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Les perspectives du projet sont:
- d'inscrire l'action dans un projet plus global autour de la santé et du bien-être,
- d'accompagner les participants à s'investir dans la vie du CSC.
Actions
Réseau d'échanges réciproques de savoirs
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL LEO LAGRANGE - Vosges
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- Emploi, économie
- Intégration
- Mixité sociale
- Résumé
Un RERS est un projet collectif porté par des citoyens, pour que tous les savoirs soient partagés et que toute personne qui accepte de partager ses savoirs accepte aussi d'apprendre des autres.
C'est un projet de mise en circulation des savoirs où chauqe participant choisit à la fois d'offrir et de demander des savoirs qu'il a construits tout au cours de sa vie professionnelle, militante, associative, familiale...
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Précision ( si autre )
des partenaires comme ATD quart monde
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
voir dossier joint
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
voir dossier ci-joint
- Ressources financières mobilisées pour cette action
voir doc ci-joint
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 animatrices salariées, 1 volontaire en service civique, 10 bénévoles
- Résultat sur le territoire
voir dossier ci-joint
- Résultat pour le centre social
voir dossier ci-joint
- Résultat pour les habitants
voir dossier ci-joint
- Suite de l'action : Limites
voir dossier ci-joint
- Suite de l'action : Perspectives
voir dossier ci-joint
Actions
autofinancement graph
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL SOLEIL LEVANT - Gard
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
fin du chantier d'autofinancement
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Résumé
réalisations de fresques artistiques par les jeunes sur les murs des écoles pour réunir des fonds pour un séjour.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
responsabiliser les jeunes autour d'une action collective.
favoriser les dé ouvertes artisques
rendre agréable certains lieux vétustes destinés aux enfants
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
un travail a été méné avec certains enfants fréquentant les écoles pour qu'il imaginent leur futures cours
ensuite l'animateur a travaillé avec les jeunes sur les propositions graphiques lors d'ateliers les mercredis a-m
ces propositions une fois validées par la commune, il a été fait un échéancier sur les différentes vacances scolaires.
un groupe s'est chargé de créer des pochoirs géants avant le début des vacances.
les vacances ont servi de moment d'éxécution car les écoles étaient fermées
- Ressources financières mobilisées pour cette action
10000
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 animateurs et 15 ados sur différents moments
- Résultat sur le territoire
reconnaissance par les habitants du rôle des ados dans l'amélioration du cadre de vie.
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Réseau de solidarité de proximité - Epicerie Solidaire
- Structure organisatrice
- Calade, centres socioculturels intercommunaux - Gard
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Précarité
- Résumé
L'épicerie Solidaire est une Action Collective d'Insertion : les Actions Collectives d'Insertion sont conçues pour permettre aux bénéficiaires du RSA, précarisés et isolés, de nouer des liens sociaux et de leur donner la possibilité de se projeter dans l'avenir en établissant un projet d'insertion correspondant à leurs besoins et potentialités et visant, à terme, leur insertion sociale et/ou professionnelle.
Accompagnement individuel et collectif utilisant différentes activités liées à la vie d'une épicerie sociale et solidaire : approvisionnement, jardin, rangement, collecte, cuisine...
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Autre
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action est le fruit d'un questionnement collectif du centre social Calade avec le CCAS de Sommières, les associations caritatives et les associations du secteur social. A l'époque, le centre social Calade gère le RMI (élaboration des contrats, suivi, commission locale d'insertion). Ce projet est évoqué dans ce cadre.
En septembre 2002, Sommières connait l'une des plus importante vidourlade de son histoire : une inondation provoquée par la crue du fleuve Vidourle. Cet évènement se révèle déclencheur pour l'action :
- les dégâts sont très importants, entraînant beaucoup de désolation, avec de nombreuses familles se retrouvant en difficulté, notamment les plus fragiles qui habitent les rues basses.
- le centre social Calade démontre sa capacité à participer à l'organisation des secours, à accueillir les habitants, les bénévoles, les travailleurs sociaux
La commission locale d'insertion décide de soutenir le projet pour une mise en oeuvre dès le 1er janvier 2003.
Le but de cette action est de soutenir les habitants dans leur parcours de vie et de favoriser les solidarités. La finalité est de rompre le cercle de l'assistanat pour engager les personnes dans un cercle vertueux vers l'autonomie et la dignité. Les personnes participent à deux ateliers par semaine et s'impliquent dans le fonctionnement de l'épicerie. Les ateliers peuvent être : informatique, jardinage, bricolage, remise en forme, fonctionnement de l’épicerie, l’équilibre alimentaire, la gestion du budget familial, les informations sur les étiquettes des produits alimentaires, etc.
Les objectifs :
- Renforcer l'offre d'accompagnement à destination des publics en difficultés. Soutenir les personnes dans leur parcours d'insertion
- Améliorer les conditions de vie quotidienne
- Travailler sur le budget familial avec une logique de développement durable
- Pouvoir s'impliquer dans une action collective, avoir une fonction au sein d'un groupe
- Renforcer l'image positive de soi
- Partager et établir de nouvelles relations
Le réseau de solidarité de proximité comprend, outre l'Epicerie solidaire, une action de prêts de véhicules (voitures et scooter) portée par le centre social Calade, toujours dans l'objectif de soutenir l'accès à l'autonomie des habitants.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Autre
- Description générale
L'action existe depuis 2003. Elle est le résultat d'un questionnement collectif du centre social avec le CCAS de Sommières, les associations caritatives et les associations du secteur social.
Modalités de mises en œuvre
- En collectif
Lors d’ateliers de deux heures (informatique, jardinage, bricolage, remise en forme, fonctionnement de l’épicerie…) ou d’informations collectives (séance de deux heures également autour d’un sujet défini en groupe tel que l’équilibre alimentaire, la gestion du budget familial, les informations sur les étiquettes des produits alimentaires…)
- En individuel
Lors d’entretiens avec le coordonnateur ou avec l’animatrice de l’action, ou encore pendant le temps d’achat à l’épicerie.
- Planning
Elaboré chaque semaine pour la semaine suivante avec les bénéficiaires, il est porté à la connaissance des participants le mercredi. Ils peuvent alors s’inscrire pour les ateliers de la semaine suivante en fonction de leurs impératifs et de leurs préférences.
- Méthode utilisée
Précisons que l’épicerie et les divers ateliers supports de cette action sont les prétextes à ce que nous voulons faire : soutenir les participants dans leur parcours d’insertion. Le travail en collectif est privilégié. Pour chaque atelier, nous responsabilisons chaque personne sur une tache précise. Nous avons adopté comme principes d’action : la transposition, le respect des personnes, la solidarité et le plaisir.
Modalité d’action
- Signature d’un contrat d’engagement réciproque
- Ouverture de l’épicerie un jour par semaine et approvisionnement gratuit
- Mise en place et participation à divers ateliers hebdomadaires
- Participation à des informations collectives
- Respect du règlement intérieur adopté par le groupe
Partenaires
- Prescripteurs : Référents RSA Assistantes sociales de secteur, CCAS, MLJ,
- Intervenants de terrain : CAF du Gard, Codes, Associations diverses, bénévoles
- Partenaires financeurs
- Partenaire fournisseur : ANDES, Banque alimentaire de Gard
Moyens
- Financiers
- Convention avec le Conseil général (Direction action sociale et insertion) et financement attenant.
- Participation financière du CCAS de Sommières, de la CAF du Gard
- Implication ponctuelle de financeurs privés : Fondations
- Humains
- 2 animatrices d'insertion. 1 animateur coordonnateur.
- 1 à 2 bénévoles par semaine qui animent un atelier chacun.
- Des intervenants extérieurs qui animent des ateliers ou des informations collectives.
- Matériels
- Trois pièces (accueil, activité, magasin) 200 m2 dans les locaux de Calade.
- Du matériel de cuisine, informatique, de bricolage…
- 400 m2 de jardin potager à Sommières loués à l’association "Jardins ouvriers Sommiérois" et 2450 m2 de jardin potager à Villevieille.
- Du matériel de jardinage. Une serre.
- 1 minibus.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le budget s'élève à 93 000 euros.
La répartition par financeurs :
- Département du Gard : 71%
- CAF du Gard : 11%
- CCAS de Sommières : 6%
- MSA : 1%
Le reste du budget comprend la participation des usagers et la mise à disposition de locaux par la commune de Sommières.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 salariés pour 1,7 ETP :
- 1 coordonnateur insertion
- 2 animatrices d'insertion
18 bénévoles pour 0,15 ETP :
- collecte banque alimentaire
- entretien du mur de plantes de l'épicerie
- atelier bois
- Résultat sur le territoire
Les principaux impacts pour le territoire concerne l'environnement et l'écologie :
- En redistribuant des denrées retirées des rayonnages des grandes et moyennes surfaces - ou des surplus de productions agricoles, etc... - nous contribuons à limiter le gaspillage alimentaire.
- Afin de limiter notre impact environnemental, le jardin potager de l'Epicerie est cultivé de manière "Bio" et sans engin motorisé.
- Nous distribuons à l'épicerie des produits de nettoyage réalisés par le groupe afin de choisir des composants moins nocifs pour l'environnement (bicarbonate de soude, huiles essentielles, savon de Marseille, ...).
- Pour la désinfection des locaux et matériel de l'Epicerie, nous utilisons un produit écologique biodégradable.
- Résultat pour le centre social
En partenariat avec l'association Le Bon Temps et dans le cadre de l'action "rompre l'isolement", une partie des groupes de l'Epicerie et de l'Atelier Sociolinguistique se retrouve avec les personnes âgées de l'Association le Bon Temps, afin de favoriser le lien social en partageant divers moments de rencontres (goûter, repas, atelier cirque, séance de projection photo, etc.).
Les participants de l'épicerie peuvent également être orientés vers d'autres actions du centre social Calade. Cela permet aux participants d'élargir leur réseau avec de nouvelles personnes et de nouveaux professionnels, et d'envisager une sortie de l'épicerie vers une action de droit commun.
- Résultat pour les habitants
Pour les habitants :
- amélioration de la situation financière, régularisation de dettes
- découverte de nouveaux produits
- amélioration de la vie quotidienne hors besoins primaires
- prise de confiance en soi
- implication dans la vie sociale
- sensibilisation à l'interculturalité
- développement de relations interpersonnelles en dehors de l'action
Ce qu'en dit le public :
- Sans l'épicerie je ne sais pas comment je m'en sortirais
- Venir à l'Epicerie me permet de souffler un peu
- Ici, je rencontre des personnes
- Ici, j'apprends des tas de choses
- Je me rends compte que je sais faire des choses
- Quand je viens à l'Epicerie je fume moins
- A l'épicerie je découvre des produits que je n'ai jamais mangés auparavant
- C'est sympa de se retrouver autour d'un repas
- Ici je me sens utile
- Je me régale quand je travaille au jardin
- Les tomates du jardin sont délicieuses par rapport à celles des magasins
- Je ne pensais pas que les gens étaient aussi généreux lors de la collecte devant les magasins
Ce qu'en disent les partenaires :
- J'ai constaté des changements positifs - de comportement et de fonctionnement - pendant et après la participation de certaines personnes à l'Epicerie.
- Cette action est importante pour les personnes isolées en désir de changement, sachant que l'isolement social majore les problèmes de ces dernières.
- L'Epicerie solidaire contribue à redynamiser les personnes par les activités proposées et leurs permet de remobiliser des ressources mises en veille.
- Suite de l'action : Limites
L'Epicerie se trouve à Sommières. Les habitants des villages alentours doivent se déplacer pour participer à son fonctionnement.
- Suite de l'action : Perspectives
La nouvelle politique de l'aide alimentaire européenne adoptée en 2014 conduit l'Epicerie à développer de nouveaux partenariats pour compenser la diminution des marchandises.
La collecte dématérialisée organisée par l'ANDES (Association nationale des épiceries solidaires) a permis de collecter des dons effectués par les clients d'un supermarché du territoire. L'objectif est d'étendre cette collecte à d'autres enseignes locales.
Les participants de l'Epicerie, lors des réunions de fonctionnement, ont exprimé le souhait de s'impliquer davantage en développant des actions d'autofinancement pour l'Epicerie : réalisation d'objets, ventes de repas lors d'évènements locaux, etc.
Actions
"Aux Arts Citoyens !" Exposition itinérante sur le thème de la citoyenneté
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL CALADE CALVISSON - Gard
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
En 2015, le centre social Calade Calvisson propose aux habitants de partager leur représentation de la citoyenneté par la création d’une oeuvre individuelle ou collective.
Aux Arts Citoyens! s’associe à la médiathèque de Calvisson qui organise le mois de la citoyenneté. Les habitants partagent l’affiche avec Hervé Baudry, dessinateur de presse invité par la ville, pour une exposition du 12 au 31 janvier 2016 à la médiathèque.
Aujourd’hui, Calade offre à ses partenaires la possibilité de se saisir de cette exposition, en l’accueillant dans leurs locaux et en l’enrichissant des créations de leurs hôtes.
Aux Arts Citoyens! devient itinérante…
En janvier 2017, la médiathèque de Calvisson accueillera Aux Arts Citoyens! qui présentera le cheminement de l’exposition avec les oeuvres réalisées.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Autre
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les évènements tragiques qui ont frappé la France en 2015 ont conduit les habitants à échanger et discuter sur le "vivre ensemble". Cette action a pour but d'offrir un espace de rencontre, de favoriser l'expression individuelle et collective.
La démarche proposée vise à sensibiliser la population aux valeurs de la République, impulser une dynamique de territoire autour de la citoyenneté, et développer le pouvoir d'agir des habitants.
Le support utilisé est la réalisation d'oeuvres individuelles et collectives : peinture, sculpture, dessin, photographie, poésie, etc.
Hervé Baudry s'est associé à l'action pour présenter, en même temps que les oeuvres des habitants, ses dessins de caricaturiste de presse.
L'objectif est d'impliquer le plus grand nombre de participants possible, dans une large diversité, autour d'une exposition de qualité quant aux contenus et aux échanges qu'elle suscite. Le souhait est de rendre cette exposition itinérante pour permettre à chacun de se l'approprier.
L'initiative est le résultat du partenariat du centre social Calade avec la CAF du Gard et la commune de Calvisson. Le projet s'est inscrit dans le mois de la citoyenneté "Citoyens, et nos valeurs ?" animé avec la médiathèque, avec le programme suivant :
- Exposition "Aux Arts Citoyens !" à la médiathèque
- Soirée débat-vernissage de "Aux Arts Citoyens !" avec Hervé Baudry
- Projection du film "No land's song" d'Ayat Najafi, en présence de la productrice, et dans le cadre du Festival international du film des droits de l'homme
Aujourd'hui, "Aux Arts Citoyens" circule dans le département. L'exposition est présentée et les partenaires qui l'accueillent l'enrichissent avec les oeuvres des habitants de leurs territoires. Cette itinérance va se poursuivre pendant toute l'année 2016. L'exposition reviendra à Calvisson en 2017. "Aux Arts Citoyens" sera alors différente de celle présentée en janvier 2016, riche des contributions récoltées dans son parcours.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Autre
- Description générale
L'action a débuté en 2015.
Les habitants qui fréquentent le centre social réalisent les oeuvres, en particulier dans le cadre des ateliers auxquels ils participent : ateliers créatifs, épicerie solidaire du centre social Calade Sommières, groupe d'accompagnement au départ en vacances familiales, groupes de jeunes, ateliers sociolinguistiques, ateliers citoyenneté, ateliers informatiques et l'accompagnement à la scolarité.
Une communication est effectuée auprès des partenaires et en direction du grand public.
Plusieurs écoles, maternelles et primaires, ainsi que les collèges du territoire produisent des oeuvres. Une association de poterie contribue également, ainsi qu'un foyer de personnes en situation de handicap mental. Des particuliers artistes proposent aussi des oeuvres.
Le dessinateur de presse Hervé Baudry est contacté, il accepte de s'associer à la démarche en intégrant ses dessins dans l'exposition.
La soirée débat-vernissage a réuni un important public et bénéficié d'une couverture presse et web-tv. "Aux Arts Citoyens" a commencé son parcours itinérant à travers le département : collèges, maison des adolescents, ateliers d'art thérapie, maison d'enfants à caractère social, locaux du conseil départemental, réseau des bibliothèques, etc.
Actuellement, plus de 150 personnes ont participé à la création des oeuvres, réparties en 18 groupes d'enfants ou d'adultes.
Plus de 2 000 personnes ont d'ores et déjà vu "Aux Arts Citoyens !".
La référente famille du centre social Calade Calvisson anime l'action.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le budget de l'action s'élève à 4 000 euros.
La CAF du Gard finance la moitié de l'action.
Une part des subventions de fonctionnement du département et de la commune sont fléchées sur ce projet. La mise à disposition de locaux est également valorisé dans ce budget.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 référente famille
150 habitants
- Résultat sur le territoire
Les partenaires s'approprient l'exposition "Aux Arts Citoyens". Ils se servent de ce support et l'intègrent dans leur propre projet de structure. L'exposition est ainsi enrichie par des actions créées par ces partenaires sur leur territoire avec les habitants. Les partenaires déclarent être très satisfaits de pouvoir utiliser "Aux Arts Citoyens" à leur façon, en fonction de leurs propres objectifs.
L'action a dépassé le territoire du centre social. Elle favorise les échanges avec les habitants et les partenaires des autres territoires. Elle crée du lien entre ces acteurs qui se retrouvent autour d'un objet commun, et seront invités pour mesurer le chemin parcouru lors du retour de l'exposition à Calvisson en2017.
- Résultat pour le centre social
Les deux centres sociaux de l'association Calade ont participé au projet. Une part importante des groupes partipant à des activités dans les centres sociaux ont produit des oeuvres. L'impact est donc transversal à l'ensemble de l'association.
Le centre social renforce son partenariat en proposant un outil que les autres acteurs peuvent s'approprier.
- Résultat pour les habitants
Les habitants souhaient poursuivre leurs échanges autour de la citoyenneté et veulent voir leurs réflexions traduites en actions. Ils ont donc listé un ensemble de propositions et travaillent actuellement à la traduction de ces idées en actions sur le territoire. Le but recherché par ces habitants est de développer le lien social, de favoriser les rencontres et les échanges entre toutes les composantes de la population
- Suite de l'action : Limites
Le financement de la CAF pour cette action a été attribué dans le cadre d'un appel à projets qui n'est pas renouvelé en 2016. Le centre social continue ce projet sur ses fonds propres. La limite sera donc le temps qu'il sera possible d'y consacrer, faute de nouveaux financements. Cette limite est pour l'instant dépassée par la volonté de l'association de poursuivre l'action coûte que coûte.
- Suite de l'action : Perspectives
L'exposition poursuit son parcours itinérant. Pour le retour de "Aux Arts Citoyens !" en 2017 à Calvisson, avec les nouvelles oeuvres récoltées auprès des hôtes de l'exposition, plusieurs idées sont mises au travail pour faire de ce moment un lieu d'échanges, de réflexion, et de convivialité.
Actions
Loisirs en famille
- Structure organisatrice
- AFTR - CENTRE SOCIAL DE RAMBERVILLERS - Vosges
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Solidarité
- vacances / loisirs
- Résumé
L'action s'attache à valoriser et à soutenir les familles dans leur rôle éducatif et leur fonction parentale et les aptitudes des plus grands comme des plus petits dans la recherche de mobilisation de ressources internes et/ou externes.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Ce dispositif vise à répondre aux besoins spécifiques mis en avant dasn le cadre de notre partenariat local:
- des questionnements liés à la notion "famille" et des besoins d'accompagnements exprimés par les parents dans l'exercice de leurs responsabilités parentales afin de faire face à des situations de séparartion, de ruptures familiales diverses, des situations de monoparentalité...
- un isolement et un repli familial notamment lorsqu'elles sont confrontées à des difficultés d'ordre multiple.
- des difficultés économiques qui amènenet les familles à redéfinir des priorités dans la gestion des charges courantes et donc à dégager une part allouée aux loirisrs quasi-nulle
- une priorisation de la dimension matérielle pouvant entraîner une certaine fatique chez les parents et générer un processus de "démission"
- soutenir les suivis individualisés réalisés par nos partenaires locaux.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Description générale
Cette action est née il y a 13 ans pour répondre aux besoins précités.
Une charte est signée par chaque mmebre de la famille souhaitant bénéficer des "loisirs en famille". elle reprendles règles de vie et du dispositif à savoir: participation aux réunions, respect des horaires, des personnes, du matériel, aide à la préparation, réglement des frais "minimes "d'inscription.
Nous favorisons les activités ludiques, sprotives, les jeux collectifs en plein air ainsi que les sorties exceptionnelles. Nous programmons en général 7 semaines de fonctionnement au total qui sont touhjouts sur des périodes de congés scolaires.
Nous demondons une participation symbolique aux familles et en fonction du coût de l'actvité. Nous sommes financé en partie par la CAF des Vosges et le Conseil Départementale des Vosges.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
11900€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 professionel, 1 bénévole
- Résultat sur le territoire
L'action permet d'établir une relation confiance , les "loisirs en famille" sont un véritable permettant l'implication des habitants, l'orientation vers d'autres dispositifs plus adpatés et de sortir de l'isolement des familles en situation de difficultés multiples.
- Résultat pour le centre social
L'implication des personnes dans la constitution du programme des loisirs, la participation aux réunions et aux bilans des actions menées permet d'etre en dynamique et d'évaluer au mieux pour répondre au plus proche des besoins et attendus des habitants-usagers.
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
« Accompagnement aux départs en vacances »
- Structure organisatrice
- MAISON SOLIDAIRE - Lozère
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Précarité
- vacances / loisirs
- Résumé
Accompagner des familles et des personnes à concrétiser leur projet de départ en vacances. Cette action a pour objectif de donner les moyens aux habitants de construire leur projet de vacances, en valorisant leur capacité à s’organiser dans le temps et mobiliser leur environnement pour atteindre l’objectif du « départ ».
A travers des séances collectives et des rencontres individuelles nous tentons d’accompagner aux mieux les bénéficiaires à organiser leur départ en vacances. La dynamique de groupe favorisant l’entraide et les échanges entre les familles. La mise en place d’une épargne est favorisée lors des rencontres individuelles. Différentes thématiques sont abordées lors des séances collectives afin d’amener les personnes à améliorer et/ou consolider leur capacité d’organisation (choix du lieu, transport, idées d’activités, les repas, le budget vacances…)
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Un certain nombre de familles et de personnes ne partent plus ou peu en vacances par manque de moyens, à cause de la méconnaissance des dispositifs d’aides existants, par crainte de l’inconnu…
Depuis le départ (janvier 2014), l’action s’inscrit dans une démarche d’engagement et de participation active des bénéficiaires, et un accompagnement vers l’autonomie notamment dans l’organisation d’un projet à long terme.
L’accompagnement proposé permet la création et/ou la consolidation du lien social et des liens intergénérationnels (départ pour les grands-parents et les petits enfants), c’est également un outil intéressant dans le soutien à la parentalité. Les familles, les personnes peuvent ainsi découvrir à travers leur séjour, un nouvel environnement, c’est l’occasion de s’ouvrir sur l’extérieur. Le fait de partir en vacances s’est aussi se sentir « comme les autres » et pouvoir offrir des temps de loisirs à ses enfants loin des soucis quotidiens.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Une première réunion d’information à lieu courant janvier. Ensuite, les bénéficiaires participent à une rencontre collective et un entretien individuel chaque mois, jusqu’au mois de mai (soit 4 rencontres collectives, 4 entretiens individuels). Les entretiens individuels permettent d’évaluer la faisabilité du projet et éventuellement la mise en place d’une épargne. Les thématiques des séances collectives sont établies en fonction des attentes/besoin du groupe formé. En fonction des situations, différents dispositifs sont sollicités : aides de la CAF ou séjours « Bourse Solidarité Vacances ».
Une rencontre post-accompagnement est organisée au mois de septembre afin de faire le bilan de l’accompagnement menée auprès des bénéficiaires.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
4 professionnelles
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
Les personnes qui intègrent cette action, ne connaissent pas toujours le centre social, c’est donc « une porte d’entrée » intéressante pour ces personnes qui trouvent ensuite un intérêt à venir sur les activités du CS.
- Résultat pour les habitants
Le fait de concrétiser son projet de départ en vacances est « valorisant » pour les bénéficiaires. Elles parviennent à atteindre leur objectif. Cela permet de retrouver confiance en soi et de valoriser la sphère familiale, le rôle de parents.
- Suite de l'action : Limites
Concernant les limites, certaines familles ont quelque fois des difficultés à se détacher de l’accompagnement et à envisager les départs de manière complètement autonome. Le fait d’être accompagnées dans l’organisation du départ est rassurant pour elles. De plus, les rencontres régulières favorisent la création du lien social avec les autres participants.
- Suite de l'action : Perspectives
De nouveaux partenariats se profilent, notamment avec une association caritative qui souhaite aider les familles les plus démunies à concrétiser leur projet de vacances en donnant un colis alimentaire pour la semaine du départ.
Actions
Ateliers parents enfants itinérants
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL L'ARBORE-SENS - Vosges
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
Nous proposons aux parents de venir partager un moment privilégié avec les enfants autour d’une activité commune. Ils peuvent ainsi participer avec l’ensemble de leurs enfants (moins de contraintes pour eux). Le parent profite de l’animation mais reste responsable de son enfant pendant l’activité. Il participe et s’implique ainsi complètement à l’organisation de l’action. D’autres activités permettent aux enfants qui le désirent de jouer en autonomie, seuls ou à plusieurs (jeux de constructions ou d’imitations, livres, jeux de société et puzzles...).
Un coin tisanes et café permet aussi aux parents de pouvoir discuter entre eux et/ou avec les bénévoles et professionnels.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L’évolution des modes de vie a modifié la structuration et les modes de fonctionnement des familles. Plusieurs éléments ressortent :
- Une diminution du temps réellement passé en familles (faire ensemble).
- Des situations d’isolement de la cellule familiale sont apparues. Isolement renforcé par le manque d’échanges entre les familles, et les difficultés d’avoir des réponses à ses questionnements, à ses doutes.
- Des difficultés pour certains parents à se positionner dans leur rôle par rapport aux «co-éducateurs» notamment. L’école et les médias en sont des exemples.
Face à ces constats, le Centre Social a developpé différentes actions en favorisant l’expression d’initiatives locales et collectives dont les ateliers parents-enfants itinérants.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
L'action est menée sur l'ensemble des villages du territoire. Elle implique les communes qui mettent à disposition les salles et les bénévoles des associations locales qui participent aux ateliers. Les dates, horaires et contenus des ateleirs sont décidés avec les acteurs locaux et validé par une commission. Les parents lorsqu'ils ne sont pas déjà bénévoles sont aussi invités à participé à l'organisation des ateliers.
La mise en place d’ateliers itinérants permet d’intervenir dans les villages en utilisant les infrastructures existantes et en installant le matériel nécessaire. La souplesse de ce mode d’intervention permet une adaptation à l’évolution des besoins et des contraintes au local.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Charges de personnels et déplacements : 6000 € , Autres dépenses (fournitures, petit matériel, prestations...) : 4000 €
Produits : participation communes : 1000 €, subventions (CAF, Département, Région ) : 8000 €, autres :1000 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Les ateliers sont animés par l'animatrice référente Famille. Elle est accompagnée par des bénévoles qui l'épaulent dans l'organisation et aident aussi dans le déroulement de l'activité.
Les activités sont dirigées par un intervenant professionnel qualifié pour les activités proposées.
L’animatrice a alors un rôle essentiel de médiation et d’écoute active. Elle peut ainsi construire une relation constructive avec les familles, recueillent leurs besoins et permet l’implication ainsi que la prise d’initiative des parents. Elle peut aussi apporter des informations aux familles et les orienter vers les acteurs ou services compétents.
- Résultat sur le territoire
Cette action participe à la redynamisation de la vie locale et au renforcement de la cohésion sociale.
- Résultat pour le centre social
Cette action permet de construire des relations constructives avec les familles, de recueillir leurs besoins,leurs apporter des informations et les orienter vers les acteurs ou services compétents
L'action permet aussi l’implication ainsi que la prise d’initiative des parents au sein du centre social.
- Résultat pour les habitants
Outre l’accès à des activités diverses, l’ouverture sur l’extérieur amène les enfants et les parents à partager des expériences enrichissantes. Les rencontres et les échanges avec d’autres familles sont aussi importants dans l’accompagnement des parents.
- Suite de l'action : Limites
Cette action a notamment pour objectif de créer des relations avec les familles. Il est important de ne pas se contenter de cette première approche mais de prendre en compte les besoins et les attentes des familles et de construire avec eux les futures actions.
- Suite de l'action : Perspectives
L’expression des attentes et l’implication progressive des parents permettent la création avec eux de nouvelles actions adaptées en fonction des besoins exprimés. Ce développement se fait aussi dans le cadre d’une démarche plus globale, en direction des parents et des enfants (petite enfance, enfance, jeunes), qui s’appuiera sur des concertations et des partenariats plus forts avec les acteurs sociaux.
Actions
Animation d'un REAAP local
- Structure organisatrice
- ODDAS (Office De Développement Associatif et Social) - Vendée
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
Ce projet, porté par la CAF, a pour objectif de favoriser l’inter connaissance mutuelle des partenaires concernés par la parentalité en développant la communication sur l’existant afin d’améliorer le relais d’information auprès des familles.
Ce réseau a également pour but de soutenir la mise en œuvre de projets que les acteurs professionnels ou bénévoles souhaitent initier dans le champ de la parentalité.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Précision ( si autre )
Projet porté par la CAF en partenariat avec l'ODDAS et la Ville de Fontenay le Comte
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Sur le territoire du Pays de Fontenay le Comte, la parentalité est un domaine dans lequel de nombreux partenaires « s’investissent » du fait des besoins et attentes des familles mais aussi en raison de problématiques familiales complexes.
Ainsi des projets voient le jour sans pour cela être réellement connus des partenaires sociaux et des familles. Les partenaires ne peuvent pas jouer leur rôle de relais d’information, de mobilisateur.
De plus le champ de la parentalité évolue et nécessite une bonne connaissance des missions de chacun.
Cette méconnaissance de l’existant et un manque de lisibilité représentent un frein dans le travail social autour de la parentalité alors que la finalité de la plus part des projets parentalité mis en place est d’apporter des moyens, des outils, des espaces de paroles, de réflexion aux familles.
A la CAF de Vendée, la note de département du 26 juin 2014 et l’annexe 1B précise les missions des TS CAF en terme de développement de territoire : « les travailleurs sociaux peuvent participer à des instances de réflexion et impulser des actions de développement de territoire en partenariat avec les CTEJ de leur territoire et les partenaires locaux ». De plus une lettre de mission reprécise les priorités en matière de développement des réseaux parentalité de l’animatrice à la fonction parentale. C’est dans ce contexte qu’Isabelle Marionneau de la CAF a été missionnée pour accomapgner la mise en place d'un réseau parentalité sur le territoire du Pays de Fontenay le Comte.
Par ailleurs, en parallèle l’ODDAS avait engagé une démarche en septembre 2014 avec l’objectif de fédérer les partenaires locaux intervenant dans le champ de la parentalité afin de répondre aux préoccupations des familles et de les soutenir dans leur rôle conformément aux orientations de son projet social.
L’ODDAS et la CAF ont donc décider de s'associer dans ce projet.
Les objectifs de ce réseau sont donc les suivants :
- Fédérer et coordonner les acteurs « parentalité » du réseau et accompagner sa dynamique.
- Aider les professionnels dans la mise en œuvre du soutien à la parentalité et par la même mieux répondre aux attentes des familles
- Recueillir les attentes, les questionnements, les envies d’échange et mettre en place des rencontres pour les professionnels et les bénévoles en lien avec leurs besoins
- Etre le relais entre les acteurs locaux et la coordination de la CAF 85 et le REAAP : communication, financement des projets
- Public
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Sur le territoire Sud, la parentalité est un domaine dans lequel de nombreux partenaires s’investissent du fait des besoins et attentes des familles mais aussi en raison des problématiques familiales complexes.
Des projets voient le jour sans pour autant être réellement connus des partenaires sociaux et des famiilles. Cette méconnaissance de l’existant et un manque et un manque de lisibilité représentent un frein dans le travail social autour de la parentalité.
Un comité de pilotage composé de la CAF, de l’ODDAS et de la Ville de Fontenay-le-Comte a été mis en place.
Le comité de pilotage pilote, coordonne et anime le réseau et recense les besoins, les actions existantes.
Le réseau parentalité sud-vendée se réunit une fois par trimestre avec l’ensemble des partenaires (travailleurs sociaux, élus, bénévoles…) pour :
- Etre relais d’information,
- Représenter les élus et familles des communes,
- Collecter les actions existantes,
- Transmettre les futurs projets « parentalité » sur les communes,
- Mettre en place de nouveaux projets, de nouveaux outils,
- Coordonner les différents acteurs du réseau.
Un questionnaire a été transmis à tous les partenaires pour recenser leurs besoins et leurs attentes au sujet du réseau et quelle thématique ils souhaiteraient aborder.
Depuis la mise en place en place du réseau, un annuaire parentalité sud-vendée a été élaboré pour recenser tous les partenaires et actions sur le champ de la parentalité.
Un groupe d’appui technique a été mis en place pour permettre aux acteurs de terrain d’avoir une meilleure connaissance des partenaires locaux intervenant dans le champ de la parentalité et pour faciliter, développer les échanges entre professionnels et membres du réseau. Ce groupe s’adresse aux professionnels de terrain du secteur médico-social, aux bénévoles, élus impliqué dans le champ de la parentalité.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
1400
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
26 structures partenaires différentes
- Résultat sur le territoire
Meilleure connaissance et complémentarité des acteurs locaux
Le réseau permet de communiquer et de financer des projets locaux
- Résultat pour le centre social
L’Animatrice famille de l’ODDAS anime et participe au pilotage de ce réseau avec la CAF et la ville. Par ailleurs, l’ODDAS est à l’initiative ou participe régulièrement à des projets parentalité organisés avec les acteurs locaux.
- Résultat pour les habitants
Aide les professionnels dans la mise en œuvre d'actions de soutien à la parentalité et par la même permet de mieux répondre aux attente des familles.
- Suite de l'action : Limites
- Maintenir une régularité dans la participation des partenaires.
- Suite de l'action : Perspectives
- Mise en place d’une newsletter pour les partenaires intervenant sur le champ de la parentalité,
- Mise en place d’un temps de sensibilisation à une méthode de communication sur plusieurs journées par un intervenant,
- Mise en place de projets…
Actions
Ateliers petits cuistos
- Structure organisatrice
- MDH le Patio (CS arlequin) - Isère
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
Ateliers organisés dans la cuisine du centre social pour accompagner les jeunes parents sur toutes les questions relatives à l'alimentation de leur enfant. 3 ateliers annuels, organisés par la référente famille en lien avec le service de Mrotection Maternelle Infantile du service local de solidarité (conseil départemental)
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Lien aux jeunes familles dès la naissance de leur premier enfant, ces jeunes familles une fois connues et repérées par les travailleurs sociaux pourront être guidées vers d'autres actions proposées par le centre social (sorties familles, ludothèques...).
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 référente famille et une nutritioniste de la PMI
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Décentralisation de l’espace jeunesse au skate Park
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIO CULTUREL ST GILLES X VIE - Vendée
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- vacances / loisirs
- Mixité sociale
- Résumé
La ville de Saint Gilles croix de vie possède un skate park où de nombreux jeunes se regroupent. Certains y viennent pour pratiquer du skate, de la trottinette et du BMX, et d’autres s’y retrouvent pour squatter, et certains sont dans des conduites à risques. Ainsi, la cohabitation avec les familles qui viennent avec leurs enfants n’est pas évidente.
L’équipe passe de manière régulière sur ce lieu de regroupement afin d’assurer une présence sociale, d’aller à la rencontre des jeunes connus et de rencontrer de nouveaux jeunes. Souvent, les animateurs passent de manière inopinée.
De plus, l’équipe a entamé une réflexion en 2015 sur un projet d’accueil décentralisé. Les objectifs de ce projet sont pour les animateurs d’assurer une présence sociale sur un lieu de regroupements de jeunes, « d’aller vers » ce qui signifie d’aller à la rencontre de jeunes ne fréquentant pas l’espace jeunesse.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Faire découvrir l’espace jeunesse et le centre socioculturel (hors de ses locaux)
Nouvelles inscriptions sur l’espace jeunesse
Prévention
Echanges avec les jeunes
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Cette action s’est réalisée 2 fois. Les animateurs ferment la structure jeunesse, et déplacent baby-foot, matériel de sport, barnums, crêpières et sono sur le skate-park. Les 1ers résultats ont été très positifs avec les jeunes connus qui viennent et d’autres jeunes curieux qui approchent des barnums pour jouer au baby-foot ou manger une crêpe. Enfin, il y a les jeunes qui viennent par cooptation de leurs pairs. Début 2016, nous avons enregistré 10 nouvelles inscriptions de jeunes du skate-park à l’espace jeunesse et avec qui un projet a pu être réalisé. (sortie au hangar de Nantes)
De plus, par le bouche à oreilles, certains jeunes du skate passent de manière sporadique à l’espace jeunessee, ce qui permet à l’équipe d’être un peu plus reconnue et légitime lors de ses passages au skate park.
De nombreux échanges ont eu lieu avec les jeunes autour d’actions socioculturelles pouvant avoir lieu au skate park.
C’est pourquoi, un financement pouvant nous permettre d’organiser un ou deux projets plus conséquents en dehors de l’espace jeunesse et sur le lieu incontournable de regroupements de jeunes gillocrucienne et des alentours serait bénéfique.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Mise à disposition de 2 animateurs jeunesse
Gouter offert
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 animateurs jeunesse
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
Augmentation des inscriptions jeunesse
Faire connaitre le centre socioculturel et l'espace jeunesse
- Résultat pour les habitants
Plus de respect au Skate Park
- Suite de l'action : Limites
Animation ponctuelle
- Suite de l'action : Perspectives
Continuer à être présent régulierement au Skate Park
Actions
Main dans la main pour le Sénégal
- Structure organisatrice
- ASSOCIATION VIVA SIOULE, CENTRE SOCIAL - Allier
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Action menée sur 3 ans. Un nouveau projet est en cours sur la thématique du développement durable et de la gestion des déchets avec des élèves de 5è du collège de Bellenaves, TERAANGA, et le Pôle Culturel Loisirs de N'guekokh au Sénégal.
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Démocratie & citoyenneté
- Europe et International
- Résumé
Projet d'échanges franco sénégalais qui s'est déroulé en 2 parties :
1 - Echanges de pratiques entre animateurs français et Sénégalais :
2 - Echange de jeunes franco-sénégalais bilatéral : Ce sont donc deux groupes de jeunes qui sont mobilisés à quelques milliers de kilomètres l’un de l’autre avec un objectif commun : se rencontrer et échanger.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le Centre Social a souhaité encadrer ce projet avec comme objectifs principaux de travailler la notion "d'engagement" et de "projet" avec les jeunes, axe de développement prioritaire dans le projet social 2015-2018 avec l'objectif futur de les rendre autonome dans ces démarches mais également de favoriser l'ouverture d'esprit, la curiosité interculturelle et d'initier les jeunes à la mobilité.
Son rôle consiste ainsi à accompagner ces jeunes dans le montage de projet en les initiant aux procédures indispensables : définition des objectifs, des moyens, planification des actions de financement, montage de dossier de financement… Ces apports théoriques sont abordés de manière ludique et participative. Le Centre Social est également un garant pour les jeunes dans leur démarche de recherche de financement ainsi qu'un coordonnateur entre les différents partenaires (Teraanga, collège, autres groupes de jeunes…). De plus, le Centre Social assurera l'encadrement de ces jeunes mineures lors du voyage en Afrique.
Engagement dans un projet, autonomie des jeunes, mobilité, ouverture d'esprit, coopération, découverte et respect de cultures différentes... sont autant de résultats attendus
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Projet d'échanges franco sénégalais qui s'est déroulé en 2 parties :
1 - Echanges de pratiques entre animateurs français et Sénégalais :
Voyage des animateurs français à Nguekokh (Automne 2013), au Sénégal pour rencontrer leurs homologues du Pôle Culturel Loisirs (intégré au Comité de Jumelage TERAANGA). Echanges autour des pratiques d'animation : théâtre/conte, petite enfance, prévention NTIC, méthodologie de projet...
Voyage des animateurs sénégalais en France (Avril 2014) à la rencontre des animateurs du Centre Social d'ebreuil, visite des structures, participations aux activités de Centre Social (ALSH, RAM, ateleirs théâtre, danse...), animation de la vie locale...
Accueil de 3 stagiaires sénégalais sur l'ALSH 1 mois en été
2 - Echange de jeunes franco-sénégalais bilatéral : Ce sont donc deux groupes de jeunes qui sont mobilisés à quelques milliers de kilomètres l’un de l’autre avec un objectif commun : se rencontrer et échanger.
Préparation de l'échange avec des jeunes élèves de 4è du collège "Main dans la main pour le Sénégal" avec des animtrices du Centre Social
Départ au Sénégal : travail sur l'engagement, sur la méthodologie de projet, sur la recherche de financement, sur la préparation au départ. Valorisation de l'échange via un film réalisée par les jeunes "la vie d'un jeune de leur âge au Sénégal", sur place avec un réalisateur Sénégalais. Présentation du film et témoignage de l'expérience au public, aux financeurs, à leurs copains du collège....
Une douzaine d'adultes (bénévoles du Centre Social et de l'associaton TERAANGA) ont participés au voyage
Venus en France : préparation à l'accueil, recherche de financement (solidarité), préparation du planning et organisation des activités... valorisation du voyage via un livre photo.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
cf projet joint
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
13 jeunes ados du collège de Bellenaves accompagnés par 3 salariés du Centre Social
6 jeunes ados du collège de St Yorre accompagnés par 2 salariés de l'ALSH de St Yorre
1 jeune ados du collège du Donjon.
Equipes des collège respectifs
Une multitude de bénévoles (parents, administrateurs, bénévoles TERAANGA...)
- Résultat sur le territoire
"Main dans la Main" engendre une véritable dynamique locale autour du projet. Notre présence sur les manifestations locales permet de participer à l'animation de la vie locale. Comme nous avons pu le voir précédemment, les actions menées connaissent une vraie réussite mettant en lumière la mobilisation des habitants du territoire et l'encouragement du "tout public" autour de ce projet.
A travers ces actions, les jeunes font découvrir une culture différente aux habitants du territoire permettant une ouverture sur la différence et la diversité de notre monde.
- Résultat pour le centre social
Dynamique jeunesse engendrée très positive pour l'image du Centre Social.
Projet permettant un animation locale du territoire, de fédérer autour d'un projet
Renforcement de la reconnaissance du Centre Social comme un acteur compétent sur la dimension "internationale".
Déveleppoment important du partenariat avec le collège de Bellenaves
- Résultat pour les habitants
Ouverture sur la différence et la diversité de notre monde
Féderer les habitants sur le projet des jeunes
- Suite de l'action : Limites
Les jeunes sont maintenant dispersés sur 4 lycées différents. La suite du collectif avec ce groupe est à réfléchir avec elles. Plusieurs d'entre elles ont des projets de mobilité à titre personnel.
- Suite de l'action : Perspectives
Un nouveau projet est en cours sur la thématique du développement durable et de la gestion des déchets avec des élèves de 5è du collège de Bellenaves, TERAANGA, et le Pôle Culturel Loisirs de N'guekokh au Sénégal.
Actions
Sensibilisation aux risques liés à internet par les collégiens
- Structure organisatrice
- ASSOCIATION VIVA SIOULE, CENTRE SOCIAL - Allier
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Action sur 4 mois
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- éducation / scolarité
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Le Centre Social propose, en partenariat avec le collège Jean Baptiste DESFILHES de Bellenaves, des ateliers de sensibilisation et de bonnes pratiques d'internet et des réseaux sociaux. Ces ateliers seront animés par Angélique RIGAUD, référente "prévention santé" au Centre Social.... mais elle ne sera pas seule ! 5 collégiens ont répondus présents pour co-animer ces ateliers.
Pour cela, Coralie, Léa, Ludivine, Gauthier et Nathan ont travaillé quelques semaines sur la préparation de ces ateliers.
Quels sont les risques sur internet, à quoi servent les réseaux sociaux, comment les utiliser sans ce mettre en danger... autant de questions auxquelles les jeunes collégiens ont répondu avec plaisir !
Cet atelier s'adresse aux personnes de plus de 60 ans souhaitant se familiariser avec internet et les réseaux sociaux
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Favoriser une utilisation responsable de l'outil internet,
- Prévenir les risques liés à l'usage d'internet (divulgation des données, piratage, arnaques…),
- Développer le lien social,
- Favoriser la communication intra-familiale à l'aide de ces outils,
- Favoriser l'accès au NTIC à tous,
- Lutter contre l'isolement social.
- Echanges intergénérationnels
- Transmission des savoirs
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Réunion de présentation aux collégiens avec positionnement volontaire.
Ateliers de préparation des collégiens : sur un créneau de permanence - 5 séances de formation/sensibilisation
Interventions auprès des seniors : 3 séances dont une en compagnie de la gendarmerie d'ebreuil
- Ressources financières mobilisées pour cette action
722 € pour les interventions de la référente "bien vieillir" (salaire+déplacements)
994 € d'investissement matériel (amortit avec d'autres actions NTIC)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 référente "bien vieillir"
1 employée du collège sur les séance de préparation (contrat aidé sur les NTIC)
1 gendarme (pour la 3è séance)
5 jeunes de 4è
8 seniors (avec une moyenne de 6 par séance)
- Résultat sur le territoire
Action intergénérationnelle de proximité
- Résultat pour le centre social
Action intergénérationnelle
Développement du partenariat avec le collège
Reconnaissance du centre Social sur les actions de prévention liés au NTIC
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
Limité sur les créneaux libres des jeunes et sur le nombre de seniors ciblés
- Suite de l'action : Perspectives
Plusieurs actions autour des NTIC sont réalisés régulièrement :
- prévention auprès des 6è et 4è du collège de Bellenaves (co animation avec la gendarmerie) ; chaque année
- Internet et vie privée, en partenariat avec la MSP d'Ebreuil ; en parallèle du projet avec les jeunes
- Ateliers "seniors en ligne" sur les démarches en ligne, décentralisé sur 4 communes ; Automne 2017
Actions
Transport Solidaire
- Structure organisatrice
- MAISON POUR TOUS - Loire-Atlantique
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Viellissement
- Résumé
La Maison Pour Tous, avec le soutien du Pôle Solidarités - CCAS de la Ville de la Chapelle-sur-Erdre, propose la mise en place d'un transport solidaire pour des personnes âgées.
Le transport solidaire fonctionne sur un principe d'entraide et de solidarité en direction des personnes dépourvues de moyens de transport et habitant sur la commune.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Autre
- Précision ( si autre )
CCAS Pôle solidarité de la Ville de la Chapelle-sur-Erdre
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
A la suite d'un diagnostic du CCAS de la ville, sur le repérage des besoins des personnes âgées, nous avons cherché une réponse à l'isolement et au problème de mobilité.
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
A partir d'avril 2015, un comité de pilotage est formé : CSC, ville, conseil départemental, habitants.
Rencontre avec d'autres dispositifs de transport solidaire pour trouver la meilleure solution adaptée à notre territoire.
Recrutement en janvier 2016 d'un jeune en service civique pour lancer le projet.
Recherche de conducteurs bénévoles sur la ville, début 2016. Information aux habitants, en particulier aux personnes âgées de la commune.
Lancement du projet en avril 2016.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Soutien pour le lancement du projet d'AG2R la Mondiale et de la Carsat Pays de la Loire.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Une vingtaine de conducteurs bénévoles
Une quarantaine de passagers après 6 mois de fonctionnement.
- Résultat sur le territoire
* un soutien à la mobilité des personnes âgées ; la plupart des transports réalisé est sur de petites distances (pour aller au cabinet médical, à la pharmacie, rendre visite à un parent) non viable pour des professionnels du transport.
- Résultat pour le centre social
Une reconnaissance de la structure pour "le bien vieillir" sur la commune.
Ne possédant pas de minibus, nous utilisons aussi le transport solidaire pour des actions collectives : sortie familles à la mer, sortie au spectacle ...
- Résultat pour les habitants
De nouveaux liens entre les habitants : passager/conducteur, groupe de conducteurs.
- Suite de l'action : Limites
C'est un dispositif de service individuel ; il faut donc rester attentif à garder le lien avec le groupe de conducteurs (réunions régulères), impliqués les conducteurs dans d'autres actions collectives du centre (sorties, animations diverses).
Ce n'est pas non plus un service de taxi bon marché et il faut le redire régulièrement aux usagers.
- Suite de l'action : Perspectives
D'autres actions liées au vieillissement sont en projet et le transport solidaire est une première base pour des contacts avec les seniors de la commune.
Actions
Travail de mémoire autour de la démolition d'un quartier
- Structure organisatrice
- CSC PIERRE LEGENDRE - Loire-Atlantique
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- discriminations
- Mixité sociale
- Résumé
Recueil de témoignages d'habitants avant la destruction du quartier : photos, enregistrements sonores... Exposition construite avec les habitants pour conserver la mémoire de ce quartier. Favoriser les relations jeunes/adultes du quartier.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Faciliter le départ des habitants du quartier et les préparer à s'impliquer dans une nouvelle vie de quartier.
- Public
- Jeunes adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Constitution d'un groupe de travail accompagné par l'animatrice de proximité. 5 Rencontres dans l'année et installation de l'expo. Soirée festive
- Ressources financières mobilisées pour cette action
3500€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
25 personnes
- Résultat sur le territoire
Changement de regard du quartier souvent stigmatisé.
- Résultat pour le centre social
Renforce la prise d'initiatives des habitants.
Centre repéré comme lieu du pouvoir d'agir des habitants.
- Résultat pour les habitants
Moins de difficultés, de nostalgie pour quitter le quartier.
A susciter l'envie de s'impliquer dans leur nouveau quartier.
- Suite de l'action : Limites
Tous les habitants n'ont pas voulu y participer, car l'empreinte négative du quartier était trop présente.
Les habitants en conflit avec leur bailleur social ne voyaient pas l'intérêt de s'impliquer.
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
petites histoires d'iciet d'ailleurs
- Structure organisatrice
- ACCOORD PORT BOYER - Loire-Atlantique
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Cette action se déroule sur une semaine mais est reconduite tous les ans.
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Culture
- Résumé
Petites histoires d’ici et d’ailleurs du 12 au 16 janvier 2015
En janvier, nous avons organisé, sur une semaine en partenariat avec le CMS, la CAF, la PMI et le multi accueil, une semaine d’animation autour des albums jeunesses sans textes : « Petites Histoires d’Ici et d’Ailleurs ». Nous avons proposé aux parents du quartier de raconter un livre sans textes aux enfants de la bibliothèque dans leur langue maternelle. Durant cette semaine, il y a eu 2 spectacles de proposé, des lectures dans la salle d’attente de la PMI et du multi-accueil et 2 séances de lectures dans la bibliothèque. Sur ces deux séances, nous avons eu 23 adultes du quartier et 18 enfants pour la première séance et 18 adultes et 23 enfants pour la seconde. 100% des participants habitent le Port Boyer. La diversité des langues est à noter : pakistanaise, marocaine, algérienne, tunisienne, vietnamienne, russe, sri-lankaise, espagnole, française, berbère et tamoul. Cette semaine a été une réussite et sera reconduite l’année prochaine.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Il y a beaucoup de familles étrangères sur le Port Boyer qui fréquentent notre ludo-bibliothèque. L'accès aux jeux étaient faciles, c'était moins évident pour les livres.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Plusieurs réunions avec les partenaires se sont déroulées pour programmer la semaine: 2 rencontres. Cela a mobilisé la ludothécaire, un animateur du centre et les autres professionnels du territoires comme relais d'informations
- Ressources financières mobilisées pour cette action
150€ en livres et nourriture, les livres ont été prêté par la médiathèque en grande partie.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
nous avons eu 23 adultes du quartier et 18 enfants pour la première séance et 18 adultes et 23 enfants pour la seconde. 100% des participants habitent le Port Boyer
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
les familles qui fréquentent le centre sont plus complices et parlent plus entre elles.
- Résultat pour les habitants
les familles qui fréquentent le quartier sont plus complices et parlent plus entre elles.
- Suite de l'action : Limites
le manque de place dans nos locaux.
- Suite de l'action : Perspectives
développer cette action en ouvrant sur le théâtre avec ces familles.
Actions
SOLID'ÂGES : Solitaire ou Solidaire
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL DE FOURCHAMBAULT - Nièvre
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- Viellissement
- Résumé
Mise en place d'un réseau de visite à domicile pour les personnes âgées isolées et d'un réseau de veilleurs citoyens lequel quadrille la ville. Ce sont des bénévoles formés qui assurent cette mission.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le taux d'isolement des personnes âgées est très au dessus de la moyenne départementale et nationale. Il s'agit de reconstruire les liens de voisinage qui s'étaient estompés.
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Recrutement des bénévoles
Formation par un intervenant extérieur
Création d'un CoPil
Expérimentation
Mise en oeuvre d'un dispositif d'animation
Cette action a débuté en 2014.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Interventions financières de :
La Fondation de France (12000 €)
La CPAM (1000 €)
CARSAT (7000 €)
Pays Nevers Sud Nivernais (2000 €)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Environ 50 bénévoles et 3 professionnels
- Résultat sur le territoire
Reconstitution du lien social et de la démarche de voisinage.
- Résultat pour le centre social
Reconnaissance de la structure comme un acteur du vieillessement réussi.
- Résultat pour les habitants
Isolement rompu, liens sociaux reconstitués.
- Suite de l'action : Limites
Le choix des bénévoles, les financements ne servent que d'aide au démarrage.
- Suite de l'action : Perspectives
La continuité.
Actions
Information Collective Logement
- Structure organisatrice
- Espace Arc-En-Ciel - Haute-Garonne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Logement
- Intégration
- Résumé
La plupart des bailleurs sociaux, le conseil départemental, le service logement du CCAS et 2 associations présentent le parcours pour un accés au logement dans un accueil convivial.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Lors du diagnostic partagé, les partenaires ont interpellé le centre social sur la problématique du logement : manque d'inforamtion par rapport à l'accés au logement, les personnes en attente d'un logement s'épuisent à faire le tour des professionnels, les locataires ne connaissent plus leurs devoirs.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Suite au daignostic, un groupe de travail avec le CCAS, les bailleurs, les associations et le conseil départemental s'est constitué et regroupé plusieurs fois avant de construire un information collective une fois par trimestre.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
frais de personnel
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 personne CS
1 personne CCAS
5 bailleurs
2 Assistantes sociales du Conseil départemental
2 Associations
- Résultat sur le territoire
Plus de personnes retournent vers le service logement après cette information
Cohérence du discours des partenaires en direction du public.
- Résultat pour le centre social
Coordination des partenaires
- Résultat pour les habitants
Meilleure connaissance du dispositif
- Suite de l'action : Limites
Les demandes individuelles
- Suite de l'action : Perspectives
Poursuite de l'action au vu de l'engagement des partenaires et de l'évaluation positive des participants.
Actions
coup de pouce emploi
- Structure organisatrice
- Le point commun centre social - Haute-Marne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Action se déroulant sur fin d'année 2015 et terminée début 2016
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- Résumé
les habitants des quartiers prioritaires de la ville de Chaumont sont particulièrement touchés par le chomage , le taux de chomage y est de plus de 30 %;des besoins ont été identifiés à partir de statistiques et par des enquêtes auprès des partenaires et qui montrent les éléments suivants:
-un besoin de formation, de soutien à la recherche d'emploi, de valorisation des potentiels des personnes
Le centre social avait déjà mené cette action autour de l'emploi depuis 2 ans et a renouvelé ce projet en 2015 en développant le partenarait avec des acturs du territoire pour mobiliser le public.
La construction du projet a été rélisée avec le spartenaires: chantiers d'insertion du territoire, Circonscription d'action sociale, association intermédiaire Tremplin 52, vielle de Chaumont.
projet coup de pouce emploi
réalisation de 20 séances autour de 2 modules :
module 1 : travail sur la confiance et la communication
Module 2 : Emergence et constuction d'un pré projet professionnel
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Territoire de proximité du centre socail présentant un taux importnat de chômage plus de 30 %, retour d'enquêtes auprès de partenaires montrant des besoins pour les habitants en terme de formation, de soutien à la rehcerche d'emploi, d'identification de projet, de travail sur la confiance en soi.
Action qui s'inscrit dans l'objectif de développement des capacités des habitants
Projet déjà réalisé dans les deux années précédentes et qui nécéssitait du partenariat pour mobiliser le public.
Les résultats :
mobilisation des partenaires
bonne participation des personnes (13 ) et assuidité
groupe volontaire
amélioration de la confiance en soi et de la communication
travail sur les potentiels, émergence de pistes de projets professionnels
entrée en formation remise à niveau pour 2 personnes
Besoin de confirmation et d'approffondissement du projet pour plusieurs candidates
Poursuite du travail d'accompagnement par les conseillères formation des chantiers d'insertion facilité par le travail de mise en confiance en soi
Globalement, l'action a été réussie par la présence d'un groupe volontaire et dans les échanges et qui a permis aux personnes d'avancer dans leur projet professionnel et dans la prise de contacts et la poursuite de leur projet avec les acteurs de l'emploi/ formation du territoire.
Les changements atTendus se situent au niveau del 'amélioration de la confiance en soi chez les personnes et la création d'une nouvelle dynamique pour avancer dans la construction d'un projet professionnel.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
réalisation de 20 séances sur 2 modules (confiance en soi et émergence de projet professionnel) réalisées par 2 organismes de formation professionnels: MLT Coaching et Poinfor
les modules ont porté sur la construction d'une image positive, l'expression des potentiels des personnes, le travail sur l'image positive de soi, les techniques de communication
concernant l'emergence de projet professionnel un travail a été effectué sur l'identification et la remobilisation des compétences par des tests d'inventaire d'interets professionnels et de personnalité
Le projet a démarré en octobre 2015 et fini en fevrier 2016 (durée 5 mois) à raison de deux séances par semaine
- Ressources financières mobilisées pour cette action
budget de l'action :7540 €
dont Prestataires organismes de foramtion : 4050 €
salaire ccordinatrice : 3190
achats : 300 €
financeurs : contrat de ville
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
13 personnes ont participé à cette action dont :
11 personnes ont suivi le premier module
9 personnes le deuxième module
public féminin uniquement bien qu'ouvert aussi aux hommes
partenaires mobilisés :5
- Résultat sur le territoire
pour le territoire: réponse à une problématique identifiée sur les quartiers contrat de ville de Chaumont
- Résultat pour le centre social
impacts pour le centre social : développement du partenariat, reconnaisance par les partenaires, partage et échanges avec les partenaires qui permet une construction plus pertinente de l'action et en assurer une pérennité
- Résultat pour les habitants
Développement de l'autonomie
Valorisation: confiance en soi et communication
rupture de l'isolement social
connaissance des dispositifs de formation sur le territoire
Avancées pour envisager une poursuite du projet avec d'autres acteurs du territoire (formation ou emploi)
- Suite de l'action : Limites
les limites de cette action:
cette action limitée dans le temps sur 20 séances comporte des limites, il serait peut être nécéssaire de conduire cette action de façon plus pérenne dans le temps, sur l'année avec des séances pour échanger sur les démarches engagées par les participantes et les soutenir.
Le groupe de partenaires avait aussi noté que les personnes avaient des diffcultés au niveau des savoirs de base et étaient donc limitées pour suivre des formations qualifiantes sans passer par une première étape de remise à niveau.
- Suite de l'action : Perspectives
l'action sera reconduite en 2016 toujours avec la mobilisation des partenaires, ceux ci ont désiré conservé le module confiance en soi qui leur a paru apporté une plus value certaine pour les publics de chantier d'insertion.
Le groupe a préféré que les 2 modules confiance en soi et projet professionnel soient réalisés par le même prestataire pour une meilleure confiance avec les personnes, un meilleur suivi et des échanges plus efficaces avec les partenaires comme les conseillères de chantier d'insertion.