Pour promouvoir l'utilisation des sites institutionnels, favoriser l'accès aux droits, lutter contre la fracture numérique.

Pour promouvoir l'utilisation des sites institutionnels, Favoriser l'accès aux droits, Lutter contre la fracture numérique.

- Vieillissement de la population sur le quartier (cause nationale)

- Prévention des maladies dégénératives cérébrales

- Action de prévention santé

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Les évènements tragiques qui ont frappé la France en 2015 ont conduit les habitants à échanger et discuter sur le "vivre ensemble". Cette action a pour but d'offrir un espace de rencontre, de favoriser l'expression individuelle et collective.

La démarche proposée vise à sensibiliser la population aux valeurs de la République, impulser une dynamique de territoire autour de la citoyenneté, et développer le pouvoir d'agir des habitants.

Le support utilisé est la réalisation d'oeuvres individuelles et collectives : peinture, sculpture, dessin, photographie, poésie, etc.

Hervé Baudry s'est associé à l'action pour présenter, en même temps que les oeuvres des habitants, ses dessins de caricaturiste de presse.

L'objectif est d'impliquer le plus grand nombre de participants possible, dans une large diversité, autour d'une exposition de qualité quant aux contenus et aux échanges qu'elle suscite. Le souhait est de rendre cette exposition itinérante pour permettre à chacun de se l'approprier.

L'initiative est le résultat du partenariat du centre social Calade avec la CAF du Gard et la commune de Calvisson. Le projet s'est inscrit dans le mois de la citoyenneté "Citoyens, et nos valeurs ?" animé avec la médiathèque, avec le programme suivant :

• Exposition "Aux Arts Citoyens !" à la médiathèque
• Soirée débat-vernissage de "Aux Arts Citoyens !" avec Hervé Baudry
• Projection du film "No land's song" d'Ayat Najafi, en présence de la productrice, et dans le cadre du Festival international du film des droits de l'homme

Aujourd'hui, "Aux Arts Citoyens" circule dans le département. L'exposition est présentée et les partenaires qui l'accueillent l'enrichissent avec les oeuvres des habitants de leurs territoires. Cette itinérance va se poursuivre pendant toute l'année 2016. L'exposition reviendra à Calvisson en 2017. "Aux Arts Citoyens" sera alors différente de celle présentée en janvier 2016, riche des contributions récoltées dans son parcours.

Le quartier du Bois Sauvage est classé quartier prioritaire dans le cadre de la Politique de la Ville. C’est un des quartiers les plus récents de la ville d’Evry et une première phase d’un Projet de Rénovation Urbaine y est en cours de finalisation.

C’est aussi un des quartiers les plus enclavés de la commune qui présente un déficit majeur de lieux de vie commune. Une frange importante de la population fait face à des problématiques importantes. Le réaménagement urbain, les transformations propices au développement économique, au renforcement de la cohésion sociale et à l’intégration des populations les plus fragiles sont des enjeux majeurs de ce territoire.

C’est par ailleurs un quartier qui a des atouts et des potentialités : un quartier « jeune » de par sa moyenne d’âge, un territoire à taille humaine avec une diversité sociale, ethnique et culturelle importante. Le cadre de vie fut récemment impacté par des chantiers de « réhabilitation ». On y trouve des habitants « moteurs » et relais, impliqués dans la vie du quartier où une solidarité s’opère à divers plans,… Aussi, des catégories de populations différentes y vivent dans la promiscuité. Le théâtre compte parmi ses adhérents des habitants du Bois Sauvage et du Bois Guillaume.

Le quartier du Bois Sauvage Bois Guillaume est un territoire doté d’un équipement centre social municipal qui travaille avec le Théâtre de l’Agora depuis plusieurs années.

Aussi, l’un des enjeux dans le cadre de la Politique de la Ville pour ce quartier d’Evry est d’impliquer les habitants, au-delà des transformations urbaines, dans un processus et des dynamiques collectives propices à la cohésion sociale et à l’unité recherchée à l’échelle du quartier.

Ainsi, le théâtre a conduit en lien avec son partenaire centre social un travail en « mode projet » sur plusieurs mois afin de mobiliser des habitants dans une aventure collective et à l’occasion d’une résidence d’artistes.

La démarche artistique s’est attachée à développer du lien social en appelant à travailler autour de la mémoire et de l’identité collective sur ce territoire de la Ville

Par manque de temps, d’idées, de moyens ou d’espace les parents souvent happés par les tâches de la vie quotidienne ont peu l’occasion de partager des temps de plaisirs avec leurs enfants, y compris des plaisirs simples comme cuisiner ensemble et partager les repas.

Pour ces familles, le centre social est un espace ressource à vocation sociale, familiale, intergénérationnelle, qui leur permet, bien souvent, notamment au travers des actions de soutien à la fonction parentale, de trouver des réponses adaptées à leur situation, à leur problème du quotidien. Ce soutien leur permet de renforcer leurs capacités à agir et leur autonomie pour qu’elles puissent, à terme, faire face aux événements de la vie.

Coordonné par un référent famille (travailleur social expérimenté), l’ensemble des actions collectives familles constitue une occasion d’aborder, et de mesurer avec celles-ci, d’échanger plus en profondeur sur les véritables préoccupations des parents, et quelquefois des enfants. Ces actions collectives, sont réalisées en concertation avec les partenaires opérationnels mais surtout avec les familles, considérées non seulement comme bénéficiaire, mais aussi et surtout comme « force de propositions et d’actions » des réponses à mettre en oeuvre.

De réels enjeux d’intégration et de mixité sociale sont au carrefour de ces rencontres familiales qui doivent être maintenues et co-construites avec les usagers, afin qu’ils puissent en tirer le meilleur bénéfice, tant au plan du lien social que de la parentalité, sans négliger l’aspect vie de quartier et citoyenneté.

Dans ce contexte, les ateliers cuisine Parents-Enfants servent donc de leviers de médiation pour recréer du lien au sein de la famille. Ce sont également d’excellents supports éducatifs et pédagogiques pour aborder l’alimentation dans toutes ses dimensions. Ils permettent de sensibiliser les participants aux questions de diététique, d’hygiène alimentaire, à « consommer responsable », à maitriser leur budget alimentation. Ils familiarisent les familles aux recommandations de bonnes pratiques en matière d’alimentation, respectueuses de l’environnement.

Les ateliers cuisine permettent d’aborder les notions de développement durable, par le choix des produits utilisés (issus de l’agriculture biologique, d’origine local, de saison…), ou encore par la pratique du recyclage et compostage des déchets alimentaires générés par l’atelier.

Associés à des activités de découverte de la chaîne alimentaire « de la fourche à la fourchette », comme une visite à la ferme, la rencontre avec un artisan des métiers de la bouche, ou la pratique du jardinage, ils peuvent permettre aux familles de mieux connaitre les produits bruts et leurs modes de de production, et de donner envie d’en consommer d’avantage ou encore d’en découvrir d’inhabituels.

Instaurer des temps de découvertes, d’échanges et de partages non professionnels et professionnels.

Objectifs principaux :

• Faciliter le lien social
• Favoriser la mixité sociale
• Favoriser le lien intergénérationnel
• Soutenir la parentalité
• Faciliter l’insertion sociale et professionnelle
• Favoriser la mis en relation des professionnels de l’action sociale et éducative du Territoire

Les trois  diagnostics menés à Mantes la Jolie dans le cadre du contrat social du territoire, le contrat local de santé ou le diagnostic social du quartier établi dans le cadre du projet social du centre social s'accordent pour pointer le vieillissement de la population de Mantes: 16% de la population a plus de 60 ans et 10% plus de 65 ans. 71% des personnes âgées bénéficient de l'APA. A Mantes, l'espérance de vie est de 75 ans chez les hommes et de 83 ans chez les femmes. Plusieurs facteurs expliquent qu'ont vive moins vieux à Mantes qu'ailleurs. La précarité joue un rôle évident dans notre commune où les revenus sont très faibles (12898€ chiffres 2011). La pénurie de médecins aggrave la situation. 15 à  20% des résidents âgées du foyer Adoma sont atteints d'affections de longue durée (diabète, maladies cardio-vasculaires...). En plus de ces problèmes il y a la barrière de la langue et de l'isolement. Le quartier est doté d'une forte population de plus de 60 ans malgré l'arrivée de nouvelles familles avec enfants. Il est aussi mal desservi par les transports et sous équipé en services. Fort de ce constat, le centre social a mis en place des actions qui visent à soutenir le lien social. Toutes les actions (sport, santé, temps conviviaux, accès aux droits) sont axées sur la prévention du vieillissement, la préservation de l'autonomie et la lutte contre l'isolement des retraités  en privilégiant la convivialité, la solidarité entre les générations , la citoyenneté, le bien-être et la transmission des savoirs faire.  

Les actions développées en direction des seniors ont un caractère de prévention qui vise à préserver l'autonomie des personnes âgées et de créer du lien social. Malheureusement, il y a peu de partenaires impliqués dans cette problématique. Le centre social aurait besoin de développer un partenariat avec les acteurs du territoire sur cette thématique du vieillissement de la population pour pérenniser ce projet et répondre ainsi au plus grand nombre de retraités.

Le territoire sur lequel est implanté le centre social OHS Beauregard présente une réalité démographique intéressante :

• A la fois un vieillissement de la population (les statistiques les plus précises en notre possession sont celles de la CAF de Meurthe-et-Moselle en 2007 : où elles faisaient apparaitre 200 personnes sur 1000 habitants)

• Un taux de natalité important

Sur le premier fait démographique, nous observons pour témoignage au centre social une augmentation importante des seniors. Depuis près de quinze ans, le centre social s’est effectivement emparée de la question des seniors et a développé à ce jour, un pôle qui condense nombreuses activités qui leur sont spécifiquement destinées ou qui s’inscrivent dans une logique intergénérationnelle les mettant au premier plan. A ce jour, ce sont près de 200 personnes de plus de 51ans, dont 115 ont plus de 65 ans.

Au-delà de la prise en compte des seniors, il apparait cependant une dimension qui n’a pas jusqu’alors été engagée : le maintien à domicile. En effet, force est de constater que ce vieillissement de la population dans le territoire engage la nécessité de prendre en compte du domicile, et de l’adaptation de celui-ci pour les seniors pour un habitat plus durable dans le temps. Ceci s’entend comme projet de vie de la personne senior, car bon nombre de seniors souhaitent effectivement se maintenir le plus longtemps possible dans son habitat (locatif ou propriété), car ils ont leurs habitudes, maitrisent cet environnement.

Le sujet économique et social est bien évidemment sous-jacent. Les possibilités d’intégrer des habitats spécifiques (ehpad, résidence autonomie, résidence senior) ne sont pas universelles, à la fois au regard des opportunités en termes de lits disponibles, mais également des conditions économiques des ménages concernés.

L’investissement sur la question du maintien à domicile est donc pertinent à tout point de vue, et particulièrement sur notre territoire, car il est ici question de favoriser le « bon vieillir », c’est-à-dire avec d’une part une logique centrée sur la personne, mais également son environnement.

Origine du projet :

Le CADA (Centre d’Accueil de Demandeurs d’Asiles) s’est installé en fin d’année 2016, à la Charité sur Loire. Son public réside dans les logements de Nièvre Habitat. Une grande partie des demandeurs d’asile sont concentrés sur le secteur du quartier des Clairs Bassins.
Nièvre Habitat et  la ville de La Charité sur Loire et  le Centre Social décident de proposer des actions afin qu’habitants et demandeurs d’asile puissent se connaitre et vivre en harmonie.

objectifs du projet :

 Animer des temps d'accueil, d'écoute et d'échanges avec les habitants.
- Développer l'implication d'habitants dans des actions de cohésion, de vivre ensemble.
- Animer des projets utilisant le potentiel que les demandeurs d'asile peuvent apporter aux autres familles du quartier et utiliser tous les talents des habitants.
- Animer l'action "Faire vivre ton quartier" en impliquant les partenaires.
- Contribuer à créer une dynamique de groupe, de vie collective, pour ouvrir les résidents sur l'extérieur via les supports proposés.
- Être à l'écoute des résidents, les aider à exprimer leurs besoins, les inciter à participer.
- Sensibiliser les personnes accueillies aux gestes éco-responsables.

Durant ces différentes périodes et au regard du contexte sanitaire ( suspension des activités/actions collectives, public vulnérable…),  les adhérents dont les seniors sont peu voire pas venus sur le centre social.

Nous avons noté une inquiétude générale liée ce qui a provoqué repli sur soi  de beaucoup d’adultes qui ne sortaient plus guère de chez eux que pour aller faire leur courses

La référente adulte a mis en place l’action “ Blablacyclette”. L’objectif est avant tout de maintenir le lien avec les adhérents les plus isolés en allant à leur rencontre. Cela a été donc l’occasion de discuter un petit moment, de rompre cet isolement qui leur pesait, de prendre de leurs nouvelles, de donner des informations, des conseils.

. Une socio esthéticienne intervient conjointement avec la CESF sur des modules au Centre Social afin que les participantes puissent apprendre des techniques pour prendre soin de soi à petits budgets. Des échanges pratiques ont lieu entre les partcipantes en binômes. Suite à ces ateliers un groupe de participantes a souhaité pouvoir mettre en pratique la technique de massage des mains auprès de personnes agées.En effet le rapport au corps pour la plus part des personnes vieillisantes ne se limite plus qu'au soin. Certaines n'ont de plus peu voire pas de visites et souffrent de solitude.

Cette action permet au Centre social d'être :

• un lieu de soutien à la création de liens sociaux sur le territoire.
• faciliter les rencontres  en favorisant la mixité sociale, culturelle et intergénérationnelle
• favoriser l'estime de soi par des soins corporels et une approche humaine:/ professionnelle de la personne.

Diagnostic posé par notre fédération nationale, la FNASAT GDV, du besoin d'actualiser notre connaissance des familles, d'abord par des arbres généalogiques, puis par des recueils de paroles, dont les Voyageurs eux-mêmes ont demandé qu'il soit publié.

Outil de valorisation et de diffusion de l'ancrage locale de ces familles du voyage, outil de partage au sein des familles, de connaissance du monde du voyage auprès des partenaires.

Mise en valeur de la diversité des parcours, des aspirations, des statuts, aux antipodes de la notion de "communauté des gens du voyage", regards différents sur la citoyenneté, la mixité sociale, l'identité et la culture, les cultures.

Cetta action existe depuis plusieurs années, Elle correspond à une volonté forte de l'Espace de Vie Sociale La CLE de s'inscrire dans des démarches de réflexion collective sur la consommation, le recyclage, la transition écologique, et au-delà sur les valeurs de solidarité, d'échange, de mixité sociale.

Les bénévoles ont souhaité cette année la rendre plus festive, en proposant que ce soit en même temps la "vitrine" de l'association, engagée sur de nombreuses actions, notamment la parentalité.

Le bric à troc est une initiative porteuse d'autres projets : multiplication des trocs, échanges de services entre particuliers, cration d'une boîte à livres, partage de jardins...

Cette action à été mise en place pour permettre l'apprentissage de techniques simples.

Pour identifier davantage le centre social et son action : le Centre social anime le réseau des acteurs locaux .

Les objectifs de ces temps furent de co-construire des animations avec les acteurs mentionnés « acteurs jeunesse locaux », de favoriser l’apprentissage de la prise de parole (oralité), la défense son point de vue, etc., et amener le débat sur des sujets d’actualité qui doivent permettre l’ouverture, la découverte d’autres opinions et permettre de déconstruire certaines représentations sociales.

D’une façon générale, nous estimons que ces objectifs furent atteints étant donné que des thèmes de société (solidarité, violence, préjugés, scolarité, mixité, etc.) furent abordés et discutés entre le public « 16/25 [30] ans » et les partenaires présents.
Le PIA a financé cette action autour des thématiques «Éducation et insertion sociale et professionnelle
des jeunes » et « Citoyenneté et engagement des jeunes ».

Convivialité et qualité de la relation entre le centre social et les familles

Mobilisation de nouvelles familles

Diversité des sujets abordés

Renforcement du partenariat Ecoles/Centre social

Ces rencontres génèrent des actions, des animations...

L'idée du café associatif est née en 2014 dans un des groupes de travail sur le projet social. A partir du constat qu'il manque sur le quartier un lieu "type café" où les gens puissent se poser, se rencontrer, discuter (ou non). Il n'existe pas ce type de lieu sur le quartier.

Un lieu de parole et d'échange

Recenser la nature des questionnements des familles et des personnes fréquentant le lieu pour mieux les accompagner avec nos partenaires

Favoriser l’émergence des projets collectifs et un réseau d’entraide

Réaffirmation de la compétence parentale

Les familles trouvent des solutions à leurs préoccupations

Rupture de l’isolement (discussion avec un groupe  de pairs : l’effet miroir)

• Quartier résidentiel, sans lieu propice aux rencontres et aux échanges,
• Quartier sans identité, qui n’a pas, ou peu, d’expérience de vie sociale,
• Aucun café sur ce territoire,
• Intérêt de mettre en place des actions culturelles sur ce quartier et de l’animer,
• Moyen de créer du lien entre les habitants, entre la population et les acteurs institutionnels et associatifs du quartier,
• Support intéressant pour accueillir des actions, qui favorise la participation des habitants,
• Outil intéressant pour mettre en œuvre le projet social,
• Moyen pour faciliter les actions intergénérationnelles,
• Action qui permet de lutter contre l’isolement, l’exclusion, et la discrimination
• …

 Contexte du projet 

Le projet s’inscrit dans une logique culturelle et territoriale : la Médiathèque, lieu de conservation du patrimoine écrit, fait face à la friche du Gabut, lieu d’expression libre de la ville pour les graffeurs ; le centre social de Tasdon-Bongraine-Les Minimes s’inscrit et agit dans le même territoire, plusieurs actions atour du graff y ont déjà été menées.

Par ailleurs, la Médiathèque Michel-Crépeau organise, de mars à mai 2016, un programme culturel autour des cultures urbaines (exposition, conférences,…) ; une partie des collections de manuscrits du fonds patrimonial seront exposées au public à la même période ; le projet s’inscrirait dans ce cadre.

Objectifs du projet

Outre les objectifs d’éducation artistique et culturelle et de valorisation du patrimoine mis en avant dans l’appel à projet, il est intéressant de noter que pour l’ensemble des partenaires, le déroulement du projet semble particulièrement pertinent, car il inscrit la démarche de découverte du patrimoine et de création artistique dans le moyen terme, donnant le temps à un groupe de jeunes constitué de mener à terme une réalisation cohérente. Pour la Médiathèque, le projet permet de toucher un public qui profite peu à l’heure actuelle de son offre de visites, et sur un temps plus long ; pour le Centre social, l’occasion est donnée d’approfondir davantage l’aspect culturel des activités proposées aux jeunes.  

Principes du projet

Réinterpréter le patrimoine écrit

La démarche artistique proposée aux jeunes les entraîne dans une réflexion formelle sur l’écriture en s’inspirant d’œuvres patrimoniales, en faisant dialoguer le geste contemporain du graff avec les inscriptions anciennes du patrimoine écrit.

Rendre les jeunes acteurs de leur parcours 

Face à la difficulté de faire venir ce public et de garantir son implication dans un projet à moyen terme, on propose aux jeunes une séance introductive (mercredi après-midi avant les vacances), qui leur permettra d’appréhender la nature du projet. A l’issue de cette première découverte des collections patrimoniales et de la proposition artistique, il leur est demandé de décider de s’engager – ou non – dans la réalisation du projet complet.

Une part de décision est volontairement laissée aux jeunes dans la réalisation artistique : ce sont eux qui décideront  de la forme finale de leur œuvre (forme, support, œuvre collective ou œuvres individuelles…) ; la seule contrainte étant qu’elle soit inspirée du patrimoine écrit et qu’elle s’inscrive dans la pratique du graff avec l’artiste. Par ailleurs, ils ont une part de relative autonomie – sous la responsabilité de l’animateur - pour la réalisation de la page Facebook du projet.

Mobiliser l’ensemble des partenaires sur toutes les phases du projet 

Dans la mesure du possible, bibliothécaires, animateur et artiste suivent ensemble le projet de la conception au bilan. L’artiste participe aux séances à la médiathèque pour aider le groupe à se réapproprier les œuvres vues au cours de la réalisation artistique. Les bibliothécaires se rendent disponibles pour adapter la présentation des œuvres en fonction des réactions et des directions prises par les jeunes pendant le processus de création. 

Donner au projet une visibilité large 

Outre la visibilité sur Internet prévue conformément à l’appel à projet, une communication spécifique sera effectuée autour de la réalisation des jeunes, auprès des usagers du centre social et auprès du public de la médiathèque. 

Cette action a été mise en place à la demande des habitants qui nous ont fait part de leur souhait de faire vivre le Carnaval sur leur commune.

Des habitants et des Services Municipaux (Centres de Loisirs et Centre Social) ont travaillé ensemble pour proposer un temps convivial, festif et chaleureux au profit de tout les longviciens.

Cette action a été mise en place de manière à créer du lien avec et entre les habitants