Les actions des centres sociaux
Actions
Structuration du projet social dans et hors les murs
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL MAISON DE QUARTIER DU RAMPONNEAU - Seine-Maritime
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Démocratie & citoyenneté
- Environnement
- Résumé
Afin de coïncider avec les axes de la politique de la ville, le centre social, en tant que structure publique présente sur le QPV a lancé une activité qui faisait le lien avec plusieurs éléments du contexte. Faisant suite à l'action des ateliers citoyens, il a créé "Ma Petite Proxi'Clerie" qui est une activité annexe au projet famille et qui permet d'intégrer des adultes du quartier sur des actions en lien avec l'éco-citoyenneté et la mobilisation autour du développement social local.
Ce projet a démontrer tout l'intérêt pour le territoire. Les chiffres remarquables de l'expérience menée sur 4 mois l'atteste. Au delà de l'initiative citoyenne, le centre social peut désormais utiliser les "productions" de cet outil pour agrémenter l'espace réservé au familles au sein de la Maison de Quartier. Pour ce faire,une série d'intervention pour la sensibilisation aux gestes éco-citoyens est programmée : consommation "zéro déchets", revalorisation de mobilier, préparation de produits d'entretien éco-responsables, sensibilisation au tri sélectif, etc. Il s'agira de faire vivre le lieu en proposant des animations au sein de l'accueil famille en consultations avec les bénévoles de la Proxi'Clerie. En effet ce sont désormais des acteurs reconnus sur le quartier, capables de mettre en place des activités qu'ils "conduisent".
Le produit des ateliers de valorisation des objets sera particulièrement mis en avant dans le centre social car il leur sera proposer de contruire également du mobilier d'accueil pour le tout public qui facilitera l'appropriation de la structure par les habitants.
Ma Petite Proxi'Clerie est un lieu important pour le quartier. Les habitants l'indiquaient déjà dans le diagnostic du projet social en 2016. Ils se le sont approprié et ils comptent sur le centre social pour soutenir son développement. A l'image du café solidaire, ils aiment désormais se retrouver dans un lieu qu'ils animent et inviter d'autre habitants à découvrir l'expérience.
Nous souhaitons que la CAF nous soutiennent pour permettre l'intervention de spécialistes des questions de revalorisation et de sensibilisation à l'environnement et gestes éco-citoyens. Deux structures ont répondu présentes : Du Côté de Chaise One et une membre du collectif Zero déchet. Nous pourrons ainsi communiquer via des productions tangibles dont les participants se feront les meilleurs porte-paroles.La création d'une association junior a permis de changer le mode d'intervention auprès des jeunes du quartier. Une action hors les murs rend le projet social plus visible pour les habitants puisqu'elle se déroule dans un parc aménagé. Grâce aux jeunes de la JFA (Jeunes Fécampois en Action), des animations ayant pour thématiques le bien-être, la santé, la médiation entre les offres sportives, culturelles et citoyennes seront programmés pendant les beaux jours de 2018. Il s'agit d'une passerelle lancé par les jeunes pour coordonner les relations entre les clubs et autre offres en direction de la jeunesse et inciter cette dernière à faire sortir ses publics lors de manifestations en extérieur. En bénéficiant du soutien de la CAF dans le cadre d'Innov'Action 2017, la JFA a pu aménager le parc et souhaite désormais faire vivre le lieu.
La programmation sur l'année prévoit trois événements sportifs dans le parc encadrés par des professionnels du sport diplômés d'état pour de la pratique du fitness, TRX, remise en forme et gym douce. Deux associations répondent aux besoins : Training TRX Outdoor et le Sport en milieu Rural. En lien avec le conseil citoyen, le centre social organisera tout au long de l'année des temps conviviaux en extérieur afin d'optimiser la communication aussi bien dans les murs que hors les murs.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Une participation des bénévoles plus organisée, une communication plus fluide sur le quartier concernant le projet social. Un accueil famille revu et approprié pour les familles du Ramponneau.
Des jeunes du quartier plus impliqués sur des actions en lien avec le sport, la citoyenneté, la culture. Une image positive des jeunes investis sur le QPV auprès des partenaires, institutions et décideurs renforcée et légitimée.
Une image du Centre Social transversale auprès des partenaires investis sur cette action.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Cette action fait suite à deux actions majeurs menées dans le cadre des financements fléchés : Ateliers Citoyens et Mineurs mais citoyens. Ces actions ont permis de renforcer la participation des habitants sur les projets structurant de leur quartier. Aujourd'hui ces instances citoyennes évoluent et permettent de contribuer à l'impact du centre social sur le territoire.
A ce jour, une association junior et un conseil citoyen accompagnées par le centre social ont pu lancer des projets d'ampleur sur le quartier du Ramponneau : la création d'un parc dédié au sport et la création d'une recyclerie. Le projet social de la Maison de Quartier rayonne ainsi hors les murs et dans les murs.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget dasn et hors les murs Ramponneau Dépenses Recettes Achats 11000 Produits des services rendus 0 Services extérieurs 1500 subventions d'exploitations 44904.96 Autres Services Extérieurs 0 Impôts et Taxes Charges de personnel 32404.96 TOTAL 44904.96 TOTAL 44904.96
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
4 professionels et 30 bénévoles
- Résultat sur le territoire
Une participation des bénévoles plus organisée, une communication plus fluide sur le quartier concernant le projet social. Un accueil famille revu et approprié pour les familles du Ramponneau.
Des jeunes du quartier plus impliqués sur des actions en lien avec le sport, la citoyenneté, la culture. Une image positive des jeunes investis sur le QPV auprès des partenaires, institutions et décideurs renforcée et légitimée.
Une image du Centre Social transversale auprès des partenaires investis sur cette action.
- Résultat pour le centre social
Contribuer à son image d'accompagnateur des initiatives citoyennes locales. Renforcer son image d'acteur référent de la politique de la ville. Soutenir ses fréquentations en permettant aux familles une meilleur lisibilité du projet social.
- Résultat pour les habitants
Une appropriation plus efficace des projets de territoire. L'implication active dans des instances participatives. Des propositions plus en lien avec les enjeux de territoire.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Par le biais des critères d'évaluation suivants, il faudra réadapter le projet si nécessaire :
- Nombre de rencontres avec les habitants
- Nombres de propositions d’organisations envisageables
- Nombre d'atelier
- nombre de temps de coordination
- nombre d'animations
- nombre de pratiquants, combien de familles (détermination par genre et âge)
- mise en place de point d’étape sur le déroulement des actions dans les murs et hors les murs.
Actions
Etre parent(s) aujrd'hui
- Structure organisatrice
- JARDIN DES SOURCES (MPT) - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
- Dimension
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
1) Contexte : En lien avec la journée des droits des enfants qui se déroule le 20 novembre de chaque année, les professionnels et les associations liés au thème de la famille et de la parentalité se réunissent depuis 2005 pour organiser sur le territoire de Noisy-le-Grand l’évènement « Etre parent(s) aujourd’hui » (ou « Semaine de la parentalité»). L’année 2015 a correspondu aux 10 ans de l’action Etre parents(s) aujourd’hui. Il a été souhaité de marquer cet anniversaire en organisant un temps fort, sur une seule journée, rassemblant l’ensemble des partenaires.
2) Préparation et conception :
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Groupe de pilotage : l’évènement a été coordonné par un groupe de pilotage constitué de représentants locaux du soutien à la parentalité : la Maison pour tous du Jardin des sources, l’agence Famille CAF de Noisy le grand, la circonscription du service social du Conseil général de Seine-Saint-Denis, l’association d’éducation spécialisée La Sauvegarde 93., L’éducation nationale. Le groupe de pilotage s’est rencontré régulièrement tout au long de l’année et a assuré la gestion et l’organisation générale de l’action.
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Des réunions plénières mensuelles : pilotées par la MPT DU JARDIN DES SOURCES, celles-ci a rassemblé les acteurs associatifs, institutionnels et municipaux du soutien à la parentalité sur le territoire de Noisy-le-Grand. En tout, 6 réunions ont été organisées, auxquelles ont assisté régulièrement entre 20 et 30 personnes. Chaque réunion a eu lieu dans les locaux de partenaires différents, lesquels présentaient également leurs missions et leur équipe. L’objectif étant que l’ensemble du réseau puisse connaitre les lieux des acteurs de la parentalité, ainsi que leur mission dans le domaine du soutien à la parentalié
3) L’action
L'action s’est déroulée le mercredi 9 décembre 2015 de 14h à 19h. L’objectif était de proposer un temps festif, rassemblant tous les éléments festif d’un ANNIVERSAIRE, pendant lesquels les familles noiséennes peuvent à la fois passer un moment de partage avec leurs enfants et rencontrer les professionnels et acteurs du réseau Etre(s) parents() aujourd’hui ».
La journée s’est articulée autour des actions suivantes :
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La présentation du GUIDE DE LA PARENTALITÉ
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Un stand INFO avec toutes les informations en présence des acteurs du réseau
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Un grand atelier JEU assuré par le prestataire LES ENFANT DU JEU et les ludothèques des Maison pour tous
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Un temps de rencontre PARENT-ENFANT-ELISABETH BRAMY autour des albums créés par Elisabeth Bramy
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Une EXPOSITION rétrospective
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Un goûter, avec ateliers maquillage
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Un CONCERT musical
4) Le guide ETRE PARENT(S) AUJOURD’HUI :
Le guide Etre parent(s) aujourd’hui a été présenté aux familles noiséènnes. Il permet de disposer d’un outil pratique et complet sur tous les aspects de la parentalité (loisirs, éducation, santé, mode de garde…). Le guide a été diffusé à 8700 exemplaires, et envoyé par courrier auprès de toutes les familles ayant un enfant scolarisé jusqu’à la fin du primaire, les familles ayant un enfant inscrit en crèche ou ayant fait une demande de placement en crèche. Le guide est également disponible dans tous les équipements municipaux, institutionnels ou associatifs en lien avec la parentalité.
-
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
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Favoriser la participation des habitants et des familles autour de rencontres et d’évènements festifs et conviviaux liés à la parentalité
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Mobiliser les partenaires de la parentalité et construire une dynamique de mutualisation et de mise en réInformer les parents sur leurs rôles de parents et sensibiliser les familles à la fonction parentale.
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Informer les parents sur leurs rôles de parents et sensibiliser les familles à la fonction parentale.
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- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
18279€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
521
- Résultat sur le territoire
Non précisé
- Résultat pour le centre social
Non précisé
- Résultat pour les habitants
Non précisé
- Suite de l'action : Limites
Non précisé
- Suite de l'action : Perspectives
Non précisé
Actions
Actions emploi et insertion
- Structure organisatrice
- ESPERANTO (MQ) - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
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- éducation / scolarité
- Emploi, économie
- Intégration
- Résumé
Suite au renouvellement du projet social 2014 2017, la thématique de l'insertion et de l'emploi ressort comme un besoin fondamental sur le territoire d'intervention du centre social. La première année 2014 2015 donne lieu à un diagnostic centré sur les jeunes. Depuis la rentrée de septembre 2015, le centre social lance de nouveaux ateliers relatifs à l'emploi.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les dispositifs d'insertion sont très nombreux sur le territoire communal. Cependant, certains habitants en sont encore éloignés. Le centre social joue le rôle de relais avec des premières actions dans le centre social. Cela a permis à 30%, une reprise d'activité salariée. Une partie des habitants est en formation. Pour d'autres, l'accompagnement a permis d'identifier des freins qu'il faut d'abord lever avant d'envisager une reprise d'activités.
Cette action s'inscrit d'abord dans l'axe jeunesse du centre social mais les actions ont très rapidement touché un public plus large.
Nous inscrivons également dans cette orientation les activités de découverte des métiers pour collégiens que nous menons dans le cadre d'un CLAS Collège.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Les activités ont démarré à la rentrée 2015 (permanences individuelles, ateliers collectifs). Elles sont ensuite enrichies à la rentrée 2016 (atelier informatique emploi, mise en place d'un réseau d'acteurs locaux, organisation d'un forum local, mise en place d'une communication affichage, plaquette).
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le budget du centre social n'a pas été impacté par les actions. C'est une réorientation des ressources humaines.
Une association partenaire a déposé un Contrat de ville pour pouvoir mener des ateliers collectifs dans les maisons de quartier de Montreuil. La ville de Montreuil cofinance cette action.
La mise en synergie des acteurs locaux ne nécessite pas non plus de budget de fonctionnement supplémentaire.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
CS : 1 apprenti + 1 coordinatrice Enfance jeunesse insertion + 1 directeur
Association Aurore : 1 conseillère
- Résultat sur le territoire
Synergie d'acteurs autour de l'insertion. De nouveaux acteurs se mobilisent autour de l'insertion. Il y avait donc une mise en réseau à opérer.
Nouveaux Acteurs :
- bibliothèque avec constitution d'un fond documentaire
- antenne jeunesse avec accueil d'un Point Information Jeunesse
- Résultat pour le centre social
Le bouche à oreille commence à identifier le centre social comme acteur de l'emploi et l'insertion. Cependant, cette image reste à développer.
- Résultat pour les habitants
Les parcours individuels et les données plus collectives chiffrées rendent compte d'un impact positif pour les habitants.
- Suite de l'action : Limites
Réticences des acteurs publics de l'emploi à décentraliser leurs actions dans les quartiers.
Légitimité du centre social à intervenir dans ce champs face à la multitude d'acteurs.
- Suite de l'action : Perspectives
Améliorer l'articultation entre le CS et les partenaires emploi locaux et extérieurs au quartier.
Actions
Culture pour tous
- Structure organisatrice
- ROMAIN ROLLAND (MQ) - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- vacances / loisirs
- Résumé
Cette action a consisté à proposer des ateliers et des animations dans des espaces identifiés comme étant potentiellement des lieux de convivialité mais peu ou sous utilisés.
A la demande des habitants, ces animations ont été localisées aux entrées des quartiers et non à l'intérieur.
Ces ateliers, pris en charge par des artistes, ont proposé différentes initiations culturelles : danse, chant, lecture, écriture et jeu
Les habitants ont pu y venir seuls ou accompagnés. Pour ceux qui avaient des compétences artistiques, ils ont pu les mettre au service des autres durant les ateliers notamment lors de temps dédiés à des démonstrations.
A la fin de ces animations, des goûters et repas ont été organisés par les habitants pour prolonger ces moments.
La programmation a été diverse :
- "Histoire de sons" : création d'un album concert. Les 3 ateliers ont été portés par la Maison de Quartier et le Centre Ressource Lecture Aladin (2 ateliers ont eu lieu la semaine du 6 juillet et 1 le 13 juillet.)
- "I Got A Big Band" : Atelier de création musicale et spectacle. Les 3 séances ont conduit à la création d'un arrangement de textes avec une restitution à la fin juillet.
- "Compagnie Boukoussou" : 3 ateliers de danse Gwoka ont été mis en place les 17/07, 31/07, 7/08. Une restitution sous forme de spectacle professionnel et amateur a eu lieu au parc Cachin.
- "Histoire de Sons : les chars poétiques" : 3 ateliers ont conduit à la décoration de chars grâce à la création notamment de panneaux poétiques. La déambulation de ce char s'est vu accompagnée d'une création de cellules rythmiques simples et de chants sur les espaces extérieurs de la cité Joliot Curie.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Lors du diagnostic partagé du quartier, les professionnels et les habitants ont soulevé le manque d'évènements sur les espaces extérieurs du quartier.
Cette action avaient pour objectifs de permettre aux habitants de se réapproprier l'espace public et d'accéder à différentes pratiques artistiques.
Cette action s'inscrit dans l'axe du projet social "l'accès aux loisirs et à la culture".
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Cette action a été mise en oeuvre avec le soutien des Directions Vie des Quartiers, Santé et Jeunesse et de l'association Asafi. Chacun a pu s'inverstir de manières diverses : financièrement ou techniquement (en venant notamment en appui logistique).
Cette action avait également été présentée aux habitants lors d'une table ronde où une trentaine d'entre eux étaient présents. Cette présentation avait permis de réajuster le projet et de sélectionner les endroits où les animations auraient lieu.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le budget de cette action s'élève à 10905 euros.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Une dizaine de professionnels ont été mobilisés pour cette action.
- Résultat sur le territoire
Ces temps d'animations culturelles où étaient à la fois mélangés des temps d'apprentissage et des temps de spectacle ont attiré de nombreux spectateurs.
Les habitants se sont réappropriés sur ces temps ces espaces publics parfois délaissés.
- Résultat pour le centre social
Ces temps d'animation sur les espaces publics ont permi aux professionnels de se faire connaitre auprès d'habitants ne connaissant pas le centre social et de présenter et d'échanger sur les activités de la Maison de Quartier.
- Résultat pour les habitants
Les habitants ont pu découvrir de nouvelles pratiques culturelles en participant à ces animations. Les temps d'initiatives / d'apprentissages ont beaucoup intéressé les habitants et plus particulièrement les enfants, heureux de reprendre les chorégraphies ou de lire à voie haute les textes qu'ils avaient eux-mêmes écrits.
- Suite de l'action : Limites
L'une des limites à cette action est les conditions météorologiques. L'intérêt de cette action est qu'elle est lieu sur les espaces extérieurs. En cas de pluie, nous avons du déplacer les animations dans les structures de proximité pas toujours adaptées.
- Suite de l'action : Perspectives
Cette action s'est poursuivie en 2016.
Actions
OPERATION "Les Maraudes" à Saint-Ouen : Les jeunes s'impliquent et sont solidaires des plus démunis.
- Structure organisatrice
- PASTEUR (MQ) - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Précarité
- Résumé
Description de l’action :
L'opération, démarrée en novembre 2013, s’est poursuivie en 2014, puis en 2015, et sera maintenue en 2016. La Maison de quartier Pasteur accompagne l'engagement citoyen et solidaire des jeunes. Ils vont, avec des adultes et des enfants fréquentant la structure, s'impliquer dans un projet commun, afin d'améliorer l’image au quartier, de créer du lien entre les habitants, de lutter contre l’exclusion sociale et la stigmatisation. Faire des réunions de bilan après chaque opération avec les différents acteurs.
1°/- La Maison de quartier Pasteur mobilise les habitants : les mamans du quartier préparent des repas et les conditionneront avec la participation d’une dizaine d’enfants de moins de 12 ans, et de certains jeunes (5 ados et 10 majeurs).
Aussi nous allons constituer une banque alimentaire à partir des collectes faites par les jeunes et les mères auprès des commerçants et la grande distribution, pour distribuer les produits alimentaires aux plus nécessiteux. Renforcer le partenariat avec Resto du cœur pour mieux orienter les nécessiteux qui viennent nous voir.
Travailler avec des traiteurs pour récupérer les surplus de produits de restauration (encore consommables) afin de les distribuer régulièrement aux familles nécessiteuses du quartier.
2°/- La fondation Jeunesse Feu Vert, le Service Jeunesse, les associations D’Brouy Jeuness et ADT (association des talents), mobilisent les jeunes du quartier pour le conditionnement des repas aux côtés des familles (parents et enfants), ainsi que pour la distribution des repas aux personnes les plus démunies.
3°/- En outre, une formation au premier secours, sera mise en place pour permettre aux participants (10 jeunes et 10 adultes) d'acquérir des compétences en matière de protection civile. Cette formation sera coordonnée par Jeunesse Feu Vert. Un mode de garde sera organisé pour les enfants (0-5 ans) pour permettre aux parents de suivre cette formation qui dure toute la journée.
Objectifs généraux :
- Renforcer la solidarité et le lien entre les habitants
- Prévenir la délinquance juvénile en impliquant les jeunes en situation de pré-marginalisation.
-
Objectifs pédagogiques :
- Valoriser les compétences de chacun
- Concourir à l’amélioration de l’image du quartier
- Lutter contre l’isolement
- Favoriser les liens intergénérationnels.
-
Objectifs opérationnels :
- Acheter des denrées alimentaires et le matériel nécessaire
- Collecter des produits chez les commerçants, les restaurants, et les hôtels
- Organiser la préparation et le conditionnement des repas
- Effectuer la distribution
- Organiser des réunions pour des bilans intermédiaires après chaque action, pour préparer la suivante opération.
Porteurs du projet et intervenants dans l'action:
- Maison de quartier Pasteur
-
Jeunesse Feu vert
Service Jeunesse
D’Brouy Jeuness
ADT
Familles du quartier et Seniors
Nombre de séances dans l'année:
Une séance par mois, soit 12 séances dans l’année, du 15 janvier au 31 décembre 2016.
Population ciblée:
-D’abord, les jeunes en risque de marginalisation suivis par la fondation Jeunesse Feu Vert, qui n’ont pas bonne réputation auprès des habitants adultes du quartier, participeront à une action commune avec les habitants.
Groupe de 15 jeunes (8 garçons, 7 filles),
Les familles (10 parents et 10 enfants), surtout les mamans du quartier.
- Concernant le public des « plus démunis », en moyenne 100 repas à servir à chaque maraude, soit une moyenne de 1200 repas à servir au cours de l’année 2016.
Un public essentiellement adulte masculin, même si nous comptons toucher les mères avec leurs enfants.
Informations complémentaires :
Les maraudes seront distribuées par un groupe de 15 jeunes (18-20 ans) du quartier.
La présence des animateurs (Maison de quartier Pasteur, Service Jeunesse), des éducateurs de Jeunesse Feu Vert, d'encadrant des associations (D-Brouy Jeuness, ADT), sera utile et complémentaire.
Acheter des produits alimentaires pour la préparation. Former des groupes pour la distribution. Démarcher des commerçants pour collecter les produits alimentaires, les hôtels pour les kits d’hygiène.
Enfin, une formation au premier secours sera organisée pour 10 jeunes (et 5 adultes), afin de leur donner les moyens d’être plus réactifs face à des situations. Mais également pour qu’ils acquièrent plus de connaissance dans l’approche du public en fragilité.
Territoire de réalisation de l’action : Ville de Saint-Ouen,
Quartiers Arago/Zola, Garibaldi/Charles Schmidt, Porte Montmartre, Emile Cordon, Debain.
Moyens mis en œuvre :
Humains:
2 animateurs de la Maison de quartier Pasteur,
2 éducateurs spécialisés de la fondation Jeunesse Feu Vert,
1 animateur du service Jeunesse,
1 encadrant de l'association D-Brouy Jeuness,
1 encadrant de l’association des talents (ADT).
Matériels et logistiques :
Salle polyvalente, cuisine,
Mise à disposition de local (salle polyvalente de la Maison de quartier Pasteur), de matériels bureautique et informatique (ordinateurs, imprimante, scanner, photocopieuse, téléphone, papier), de matériels et ustensiles (cuisine) à la MDQ Pasteur.
Financiers :
Location de véhicule, Achat de matériels de cuisine, de couverts
Achat de denrées alimentaires – Formation au premier secours.
Méthode d'évaluation et indicateurs choisis:
- Fréquentation des jeunes et des habitants,
- Réunions régulières entre les différents groupes de participants (Adultes, Jeunes, Animateurs et Educateurs, associations) pour faire le bilan d’étape après chaque opération, en général la semaine suivant l’initiative.
- Réalisation de la formation « premier secours ».
- Qui est à l'initiative de l'action ?
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- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
1°/- Les jeunes et les adultes du quartier ont du mal à échanger, à s'entrevivre, parce que les jeunes "tiennent le mur" à longueur de journée ce qui gêne la quiétude des familles. Les adultes se méfient des jeunes à cause des attroupements tardifs , des nuisances sonores des motos, les allers et venues incessants. Tout ceci crée une ambiance de méfiance les uns à l'égard des autres.
2°/- Trouver un moyen de rapprocher les deux publics dans une action qui valoriserait les uns et les autres: s'impliquer dans une action de solidarité tout au long de l'année serait une occasion de construire du lien, et briserait cette défiance entre les deux publics: Participer à des réunions de préparation, se répartir les tâches, à savoir les mamans prépareraient des repas chauds dans la journée, les jeunes se chargeraient de la distribution le soir aux personnes démunies dans les quartiers de la ville. Les deux publics se rencontrent toujours en fin de journée pour finir la préparation des sandwichs, et se rappeler les consignes de préparation et de distribution.
3°/- Ouvrir un champ de formation premier secours aux deux publics: les jeunes et les adultes apprennent les gestes essentiels pour sauver des vies.
- Public
- Jeunes adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Depuis 2013, des rencontres de travail avec le SAMU social, Interlogement, les restos du coeur, nous ont permis de comprendre la réalité de ce qui était dejà mis en place sur la ville de Saint-Ouen, de cibler au plus près le public nécessiteux
D'autre part, les jeunes avaient montré leur souhait de se rendre utile en s'impliquant dans une action de solidarité. Les mamans du quartier voulaient également apporter un peu de chaleur aux personnes sans abri.
La rencontre avec la Fondation Jeunesse Feu Vert (éducateurs spécialisés) agissant auprès des jeunes du quartier a permis de sensibiliser les jeunes sur la question. L'association D-Brouy Jeuness qui met en place des activités d'accompagnement scolaire a également mobilisé les jeunes de l'association à participer à l'action.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Etat (Contrat de ville) : 6000 €
Commune de Saint-Ouen : 3970 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Groupe de 15 jeunes majeurs (8 garçons, 7 filles)
Groupe de 20 parents adultes (essentiellement les mamans du quartier)
Groupe de 18 enfants et jeunes mineurs aident à la préparation des sandwichs
Pour l'encadrement : 6 professionnels, 4 bénévoles
- Résultat sur le territoire
Un groupe d'adultes s'est constitué et se mobilise sur le projet. Un groupe de jeunes se mobilise également.
Les relations entre les adultes et les jeunes deviennent plus cordiales, les jeunes discutent plus aisément avec les adultes lorsqu'ils se croisent dans le quartier. Ils s'informent mutuellement des initiatives qui ont lieu au sein de la structure et dans le quartier.
1253 repas ont été distribués aux personnes démunies au cours de l'année 2016.
- Résultat pour le centre social
La participation des jeunes aux actions de la maison de quartier est plus significative, même aux côtés des adultes et des parents.
Les différents acteurs peuvent maintenant proposer d'autres initiatives auxquelles participent de nouveaux acteurs.
- Résultat pour les habitants
Les actions de solidarité (exemple: les maraudes) ont permis aux habitants de mieux discuter de la vie du quartier, d'échanger sur leurs problèmes familiaux, de l'éducation des enfants et de l'accompagnement qu'ils doivent apporter aux plus jeunes.
Le jeunes ont mieux compris la situation de précarité que vivent les personnes démunies.
Les adultes ont un regard plus valorisant des jeunes du quartier qui participent à l'action de solidarité.
Les habitants viennent donner des vêtements chauds à distribuer.
Certains se mobilisent pour collecter des denrées alimentaires auprès des commerçants les jours de marché.
- Suite de l'action : Limites
Les maraudes n'ont pas réglé les problèmes de troubles de voisinage des jeunes dans le quartier. Ni d'ailleurs le trafic qui en est le corollaire. La participation des bénévoles est tournante et il n'est pas facile de fidéliser les jeunes sur toute une année: le groupe évolue.
La mixité (garçons et filles) n'est pas encore tout à fait au point.
- Suite de l'action : Perspectives
- Poursuivre cette action de solidarité
- Inciter les jeunes, et surtout les mamans du quartier, à participer nombreux aux formations de premier secours
- Pour mieux répondre aux besoins exprimés par les personnes bénéficaires, il faut organiser la sensibilisation des commerçants, des pharmacies, des hotels pour collecter des denrées non périssables, des kits d'hygiène et des produits de premier soin.
Actions
Atelier d'écriture "D'un monde à l'autre, elles sont passées"
- Structure organisatrice
- PASTEUR (MQ) - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
L'action ayant débuté en 2016, s'est poursuivie au cours de l'année 2017 pour aboutir à la réalisation d'un livret illustré qui a été présenté par les apprenantes lors d'une soirée à la Médiathèque Persépolis en présence des familles, des élus, et de certains partnaires qui ont soutenu l'action.
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Résumé
Objectifs généraux :
- Favoriser l’insertion sociale à travers la mise en place d’actions culturelles.
- Favoriser les liens entre les différents habitants du quartier.
- Lutter contre la fracture numérique.
Objectifs pédagogiques :
- Développer les expressions orales et écrites des publics primo-arrivants.
- Familiariser les participants aux outils informatiques de bureautique et de retouche d’images.
Présentation du projet :
Malika ABINA anime des ateliers sociolinguistiques, auprès d’un groupe de femmes, à la Maison de quartier Pasteur, depuis plusieurs années.
Pour permettre aux participantes de s’exprimer et créer des dynamiques de groupe, elle les accompagne régulièrement dans l’élaboration de projets culturels (réalisation de pièces de théâtre, détournement d’affiches à partir de films visionnés par le groupe…).
- Malika ABINA, intervenante bénévole qui anime des ateliers sociolinguistiques, auprès d’un groupe de femmes, à la Maison de quartier Pasteur.
- Jacques LUDER, référent informatique sur la Maison de quartier Pasteur.
Nombre de séances prévu : 1 dizaine de séances.
10 séances de février à mai (les dates des sessions de l’atelier peuvent être changées en fonction des disponibilités de l’animateur, planning à finaliser)
2 séances par mois avec pour objectif de présenter le livret lors du festival Transit
Les apprenantes de l’atelier ASL du mercredi soir.
Le projet a été financé par :
- La Ville
- L’Etat ( CGET)
Les participantes à l’atelier de Malika ont pu élaborer un texte pour présenter leur parcours de vie. En fonction de leur maîtrise de la langue, de l’écrit, les approches de prises de paroles, à la mise en texte étaient différentes, de la personne autonome qui élabore son propre récit, à la personne qui écrit partiellement (impliquant un travail de réécriture), jusqu’à la personne qui ne parle que très peu le français et ne maîtrisant pas du tout l’écrit avec qui il a parfois fallu travailler avec une traductrice.
Des personnes ne participant pas à l’atelier de Malika, mais intéressés par ce travail d’écriture, ont également pu apporter leur témoignage.
Pour amener les participants à se confier, sur les raisons, l’organisation de leur départ, leurs sentiments, les conditions d’arrivée…, un questionnaire a été élaboré.
Les parcours sont divers, parfois chaotiques, violents, c’est pour cette raison que les témoignages sont restés anonymes.
L’atelier a également été ponctué de sorties : visites de la médiathèque, visionnage de films au cinéma qui a d’ailleurs donné lieu à un travail de détournement d’affiches des films visionnés par les participantes (ateliers informatiques bureautique et retouche d’image), musée du Louvre, théâtre et atelier danse au Centre National de danse à Pantin. Une soirée interculturelle a aussi eu lieu au mois de juin 2016 où les dames ont pu réaliser et présenter des panneaux d’informations sur leur pays d’origine, ainsi que les affiches détournées, l’ensemble autour d’un grand repas-temps convivial.
Au mois de juin 2017, le recueil "D’un Monde à l’autre, elles sont passées" est créé. Le contenu, tout comme la mise en page du livret ont été effectués, en grande partie par les participantes. Pour ce faire, elles ont réalisé une série de panneaux (proportionnels au format du livret) mêlant jeux de collages de leur propre textes et décorations diverses. Puis l’ensemble a été photographié.
Les éléments que les participantes n’ont pas pu finaliser ont été aboutis par des bénévoles intéressés par la démarche.
Lors du premier temps de restitution qui a eu lieu au mois de juin 2017 à la Maison de quartier Pasteur, Jean Luc, bibliothécaire à la médiathèque Glarner, accompagné de Juliette Piedevache, comédienne, nous ont offert une lecture des témoignages, et la chanteuse-slameuse Tata Milouda qui avait bénéficié d’ateliers ASL avant d’entamer une carrière d’artiste professionnelle, était également présente.
Bilan quantitatif :
- Nombre d’apprenants ayant participé au projet : 16
- Nombre d’habitants ne participant aux ateliers ASL de Malika mais ayant témoigné de leur parcours de vie : 3
- Nombre d’habitants ayant participé bénévolement dans la mise en œuvre du projet (aide à la traduction de textes ou de paroles de participants ne maitrisant pas du tout la langue, ou aide à la réalisation de panneaux) : 8
- Nombre total de séances : 25
Coût financier :
Le projet s’est finalement déroulé sur deux ans au lieu d’un an initialement prévu. En effet, Au cours de la première année, un certain nombre de participantes ont déménagé ou trouvé un travail, ainsi le nombre de témoignages obtenus n’a pas été suffisant et nous n’avons pas eu suffisamment de temps pour réaliser le travail de mise en page.
Cependant, à travers les diverses actions mises en place pendant le temps du projet et les nombreuses personnes qui sont venues apporter leur soutien, le projet a dépassé le simple cadre initial, et il n’est d’ailleurs pas terminé.
Afin de valoriser ce travail, une exposition suivie d’échanges autour de la présentation des panneaux et du livret sera organisée à la médiathèque Persepolis entre au mois de novembre 2017. D’ailleurs, la médiathèque s’inscrit dans une dynamique d’ouverture en direction des participants ASL et FLE. Cette réalisation, même si elle ne s’adresse pas strictement au public ASL, peut être l’occasion de créer des passerelles avec ce public puisque l’exposition et le recueil qui en est issu donnent à voir et lire les paroles de femmes autour de leur exil, départ de leur pays et arrivée en France.
Cette exposition devrait être présentée aux autres groupes ASL et FLE de la ville qui seront amenés à visiter la médiathèque du 17 octobre à mi-novembre. Le livret pourra ainsi servir d’élément de travail, discussions, valorisation des parcours de vies des apprenantes. Et pour d’autres bénévoles encadrant des ateliers ASL et FLE, il pourra également servir d’exemple de projet d’action culturelle à monter, en direction de leur public.
Une grande rencontre sera également organisée vers fin du mois de novembre, avec lecture de texte, soit par des professionnels du spectacle, soit par des dames d’ateliers ASL. Lors de cet évènement, nous allons aussi travailler avec des jeunes afin d’obtenir un retour de leur parole, car ils/elles sont souvent un des effets de ce déplacement. La forme est à déterminer avec les jeunes et nous espérons que le CAP J, service jeunesse de la Ville, participera au projet.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L'apprentissage du français, la socialisationn par le langage ont été les éléments déclencheurs de cette action qui a permis aux apprenantes de se dépasser, de s'impliquer sur plusieurs mois dans un projet où elles ont pu collecter les souvenirs de leur parcours de vie, de leur pays d'origine jusqu'à leur pays d'accueil qui est la France. C'est une façon de parler de leur combat pour dépasser les difficultés de vie, leur tendance à l'isolement pour s'ouvrir aux autres et partager la richesse de leur culture, à la rencontre de l'autre.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Initiation à l’informatique au sein du Centre Social Mitry-Ambourget
- Structure organisatrice
- MITRY AMBOURGET - ACSA (CS) - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Emploi, économie
- Précarité
- Résumé
Les ateliers ont permis de familiariser les participants aux usages de l’outil informatique. Le public de nos ateliers est composé de personnes âgées, mais aussi d’habitants en difficultés d’insertions professionnelles liées à leur manque de maitrise de l’outil informatique. Par ailleurs, de nombreux habitants participants à nos cours d’alphabétisation ont rejoint les ateliers afin de compléter leur formation à la langue française. Ce qui a demandé à notre formateur des compétences d’adaptabilités face à la barrière de la langue.
Cet atelier a permis aux participants de ne plus avoir de frustrations à la vue d’un poste informatique, aussi bien au domicile qu’au sein du PIF. Globalement les résultats sont positifs quant à l’acquisition de compétences techniques et bases de l’informatique.
À l’issue de ce temps d’initiation, l’ensemble des participants sont capables d’allumer un ordinateur, de naviguer sur internet, et d’ouvrir une boite mail. Les objectifs de l‘initiation sont atteints pour 100% des participants. Certains séniors ont plus de difficulté à assimiler les bases telles que la maitrise de la souris ou encore savoir se repérer dans une boite mail, mais les compétences pédagogiques du formateur permettent de faciliter l’apprentissage.
La salle d’activité ne disposant que de 6 postes informatiques, ce qui réduit notre capacité à accueillir un plus grand nombre de participants.
Les participants des ateliers informatiques sont peu issus du point info famille. Les habitants rencontrant des difficultés dans l’usage de l’outil informatique et venant au PIF pour trouver de l’aide ne souhaitent pas se former pour être autonomes. Ceci est dû à la nature de leur sollicitation qui demande un niveau de formation élevé (rédaction de CV de courrier) et le manque de disponibilité.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Précision ( si autre )
Nombre de participations total aux ateliers : 230
En moyenne, nous accueillons 5 participants par atelier.
Le public a été composé de 70 % de séniors, et 30% d’apprenants de la formation linguistique.
Pour les séniors, l’objectif principal est la prise d’autonomie face aux démarches administratives. Les ateliers informatiques représentent aussi pour eu une activité de loisirs afin d’occuper leur temps. Ce sont aussi des temps de socialisation et de rupture de l’isolement.
Pour les habitants fréquentant les ateliers sociolinguistiques. Les ateliers informatiques représentent un besoin afin de pouvoir s’insérer dans la société française. L’objectif à terme est l’acquisition de compétence afin d’obtenir un emploi. Effectivement, cette compétence est actuellement indispensable sur le marché du travail.
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La dématérialisation des services publics s’est imposée à de nombreux usagers du centre social. Au-delà de l’aide que nous pouvons leur apporter sur notre espace numérique lié au Point info famille. Les amener à l’autonomie est une démarche nécessaire et essentielle face à la fracture numérique de plus en plus grandissante surtout pour les personnes âgées du quartier.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Il y a eu 35 séances de janvier à décembre 2018. L'action est renouvellé chaque année.
Il n’y a pas eu d’atelier pendant les vacances scolaires
une séance par semaine tous les mardis de 18h à 20h
Une séance dure 2 heures.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
5000 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Nombre de participations total aux ateliers : 230
En moyenne, nous accueillons 5 participants par atelier.
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
À l’issue de ce temps d’initiation, l’ensemble des participants sont capables d’allumer un ordinateur, de naviguer sur internet, et d’ouvrir une boite mail. Les objectifs de l‘initiation sont atteints pour 100% des participants. Certains séniors ont plus de difficulté à assimiler les bases telles que la maitrise de la souris ou encore savoir se repérer dans une boite mail, mais les compétences pédagogiques du formateur permettent de faciliter l’apprentissage.
- Suite de l'action : Limites
Certains ordinateurs étaient vieillissants. Ils ont été remplacés.
Certains participants demandent la création d’un deuxième créneau dans la semaine afin de progresser plus vite. L’absence d’atelier pendant les vacances scolaires crée une rupture de rythme. Il sera nécessaire pour l’année prochaine de maintenir les ateliers pendant les vacances scolaires.
- Suite de l'action : Perspectives
- Poursuivre les ateliers le mardi de 18h00 à 20h00
- Créer un lien plus étroit avec les services d’accompagnement des habitants tels que l’écrivain public la formation linguistique, le Point info famille.
- Mettre en place un deuxième créneau hebdomadaire.
Actions
séjours de vacances en familles
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ET CULTUREL D'ETOU VIE - Somme
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- vacances / loisirs
- Résumé
Grâce à un accompagnement dégressif sur 3 ans, les familles gagnent en autonomie pour partir de façon complètement autonome et autofinanc" la 4ème année.
Une dmarche d'implication et d'engagement tout au long du projet
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
cette action a été mise en place pour répondre à la demande des habitants qui pensaient que l'accès aux vacances n'atait pas pour eux...
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
grâce à des temps de formation et aux cofinancements obtenus.
Ce projet suppose aussi et avant tout un engagement effective et une démarche de participation active des familles
- Ressources financières mobilisées pour cette action
environ 20 000 €, toute charges comprises ( dont salaires) pour environ 60 personnes par an
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
60 personnes sur deux destinations
- Résultat sur le territoire
intégration sociale
envie de repartir et de trouver des leviers ( retour à l'emploi)
amélioration des relations intra familiales
- Résultat pour le centre social
arrivée de nouveaux publics par ce projet
effet levier sur le retour à l'emploi
une mesure des ateliers sociaux durant le temps de vacances
- Résultat pour les habitants
Intégration sociale
bien être
rendre accessible ce qui ne leur semblait pas possible
- Suite de l'action : Limites
obligation de mettre en place une démarche d'épargne.
Au delà du 4ème départ, des freins à la mobilité empèchent le départ pour les familles nombreuses
- Suite de l'action : Perspectives
poursuite
Actions
Do It Yourself
- Structure organisatrice
- Centre Social - Maison Pour Tous d'ABBEVILLE - Somme
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- éducation / scolarité
- Culture
- Résumé
Ouverte à tout public de tout niveau, la Fabrique Numérique se propose de lutter contre la fracture sociale en mettant en œuvre les conditions qui permettent aux habitants des quartiers prioritaires de bénéficier des ressources existantes.
Pour les jeunes gens, fréquenter la Fabrique Numérique c’est :
· Découvrir la robotique, expérimenter et créer des objets
· Acquérir des capacités (raisonnement, recherche et synthèse de l’information, attention, créativité, démarche expérimentale…) et des savoir être (assiduité, travail en groupe, respect de consignes, respect du matériel…) utiles au sein de l’école et dans la société qui les entoure (ultérieurement, au sein du monde du travail)
· Etre sensibilisés aux métiers des filières scientifiques et techniques dans le cadre de leur projet scolaire puis d’orientation professionnelle. Lutter contre le fatalisme
Pour les adultes et parents, fréquenter la Fabrique Numérique c’est :
· Mieux comprendre les TIC et les enjeux actuels
· Donc, mieux dialoguer avec leurs enfants, mieux suivre leur scolarité, mieux les guider dans leur orientation
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L’année écoulée montre qu’il existe un réel intérêt pour un tel dispositif de la part des jeunes (ou moins jeunes) et des acteurs locaux (des partenariats ont été menés avec le Musée Boucher de Perthes, des enseignants, des animateurs de quartiers…). Le stand « Fabrique numérique » installé au sein de la Fête de le Science 2016 a été très visité.
Sur le plan scolaire, l’activité proposée contribue à la démarche scientifique conforme aux programmes de l’éducation nationale dans un contexte où les sciences et techniques doivent être rendus accessibles au plus grand nombre, où les filières scientifiques et technologiques sont valorisées.
Ce projet s’inscrit également dans le cadre du projet « Sciences en culture » lancé par Ombelliscience Picardie en 2015 dans le cadre des Investissements d’Avenir et du dispositif « Picardie en Ligne 3D» (Conseil Régional Hauts de France).
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
· En amont : mobilisation des partenaires des quartiers, des jeunes, des parents, des écoles, des collèges, des lycées, des habitants
· Pendant l’action : assiduité et capacité à participer à un projet, une activité
· En aval, exploitation de l’action suivie (transfert d’acquisitions, valorisation des réalisations, ouverture vers les métiers scientifiques…)
- Au sein du Centre Social :
o Tous les mercredis après-midi, accueil d’une vingtaine de jeunes collégiens intéressés par l’électronique, la robotique, l’impression 3D et la programmation. Ils ont découvert les cartes Arduino et Raspberry Pi ainsi que les kits de robotique Mindstorm.
o Pendant les vacances scolaires, des ateliers thématiques ont permis d’approfondir ce qui a été abordé le mercredi: conception 3D avec Sketchup, impression 3D et robotique.
- En milieu scolaire
o Promotion des activités auprès des établissements scolaires et des personnels enseignants.
o Parallèlement, 8 séquences ont été programmées au sein de l’école Alain DETRE avec un conseiller pédagogique de l’Académie. Intervention auprès d’une classe de CM2 (23 élèves) encadrée par l'enseignante: robots programmables avec Scratch
Formation à destination des animateurs multimédias des Hauts de France
- Sur le territoire
o Au sein du Musée Boucher de Perthes (février - avril 2016), intervention autour du scan 3D et de l’impression 3D dans le cadre d’une exposition sur les figurines en terre cuite gallo-romaines trouvées localement. Ont été accueillis: des publics issus des quartiers, le Collectif Famille de la MPT, le Collège Ponthieu, l’ALSH Menchecourt…. (au total une centaine de personnes).
o Participation à l’opération Abbeville Plage (21 et 29 juillet): promotion des activités auprès des jeunes fréquentant les Maisons de Quartier
o Courant septembre, promotion des activités auprès de divers établissements: Lycée Boucher de Perthes, Lycée Saint-Pierre, Collège Ponthieu, Collège Millevoye, Musée d’Abbeville.
o Atelier “impression 3D” au CAJ de la Ville d’Abbeville avec 20 jeunes. Le résultat a été l’arrivée de nouveaux jeunes adhérents à la Fabrique Multimédia.
o Contribution à la mise en place d’un Village des Sciences à l’occasion de la Fête de la Science sur Abbeville, à l’initiative de la MPT. 600 personnes visiteurs à l’Espace Culturel Saint-André. La Fabrique multimedia y tenait un stand “numérisation et impression 3D”.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
40 000 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 animateur multimédia, 1 service civique, 1 pilote
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
L'outil numérique autour de la Fabrique Multimédia prend de l'essor. Les partenaires associatifs, éducatifs et institutionnels y sont de plus en plus intéressés. La fréquentation est en hausse intra muros et en dehors les murs.
- Résultat pour les habitants
Effets bénéfiques à l’apprentissage de la logique, des mathématiques et à l’éveil sur les sciences et techniques. Les enseignants encouragent leurs élèves à fréquenter la Fabrique Multimédia. Certains, à leur demande, ont été formés.
Nous observons un réel intérêt de la part des jeunes (et des adultes).
La Fabrique Multimédia est (et peut être davantage encore) un réel atout pour le territoire. Il nous faut, tous ensemble contribuer à son développement (matériel et ressources humaines), envisager des coopérations encore plus soutenues avec les quartiers, établissements scolaires et acteurs locaux, décentraliser, autant que possible et nécessaire, un certain nombre d’actions.
- Suite de l'action : Limites
Les limtes sont malheureusement financières et le projet essaie de structurer de même que la nouvelle Région, ce qui n'est pas toujours facilitant.
- Suite de l'action : Perspectives
Projet qui continue en 2017
Actions
Accompagnement d’enfants par de l’aide scolaire (aide aux devoirs, méthodologie) et une ouverture culturelle en coopération avec les familles, l’école et divers partenaires
- Structure organisatrice
- ASSOCIATION DES HABITANTS DE SAPIAC - Tarn-et-Garonne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Résumé
I) Pendant l’année scolaire après l’école
- Aide aux devoirs, méthodologies, explication de points non acquis : les enfants sont encadrés par la salariée de l’association détachée tous les soirs, et par des bénévoles. C’est une aide individuelle ou collective pour soutenir les enfants selon leur demande, pour les stimuler au sujet du travail réalisé dans la journée ou sur des acquisitions à maitriser. Quand le travail scolaire est fait il y a un temps créatif avec des activités manuelles ou des jeux de société toujours en relation avec des notions scolaires.
- Activité cirque encadrée par des professionnels : c’est une activité physique qui permet de développer des habilités motrices tout en allant vers d’autres domaines de connaissances : éducation civique, découverte du monde, musique, science…
II) Pendant les vacances activités périscolaires offrant des objets de connaissance ainsi que des expériences que les enfants pourront réutiliser dans le domaine purement scolaire soit à la Maison de quartier ( atelier sculpture avec un intervenant, atelier cuisine, atelier jardinage) soit à l'extérieur:
- loto à la MAPA (résidence pour personnes agées) pour mélanger les générations et permettre aux enfants de grandir avec une vision positive du troisième âge
- Cité de l’Espace(Toulouse)
- Jardin des Plantes : jeu de piste coopératif
- Cinéma
- Centre préhistorique (Bruniquel)
- Village gaulois
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Action mis en place pour:
- promouvoir la réussite scolaire des enfants en leur apprenant des méthodes de mise au travail, en revenant sur des notions non acquises
- renforcer la confiance des enfants dans leurs capacités à réussir grâce à une aide individualisée
- élargir les centres d’intérêt des enfants par des apports culturels
- valoriser les compétences des familles : responsabilité et autorité, transmission, repères…
- redonner aux familles une meilleure confiance dans le système scolaire car ils se sentent souvent démunis dans l'accompagnement de la scolarité de leur enfant
- Public
- Enfance
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Les interventions se font à la Maison de quartier après le temps scolaire et pendant les vacances Nous faisons signer un engagement aux parents concernant leur implication et posant le cadre.Les enfants sont accompagnés par la salariée et des bénévoles. Il y a 2 groupes et chaque groupe vient 2 fois par semaine pour de l'accompagnement au travail scolaire et pour une activité cirque .Nous allons les chercher à l'école et après un goûter le activité débutent Nous faisons signer un engagement aux parents concernant leur implication et celle de leur enfant. Les intervenants sont en contact tous les jours avec les familles lorsqu'elles reviennent chercher les enfants
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le budget est de 16400€ sans compter l'investissement des bénévole que l'on peut chiffrer à environ 6000€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Deux salariés et 12 bénévoles
- Résultat sur le territoire
Meilleure visibilité de l'association
- Résultat pour le centre social
Relations accrues avec l'école:
- participation à la réunion de rentrée parents-enseignants
- rencontres trimestrielles avec l’enseignant de chaque enfant pour échanger sur les points à consolider
- les intervenants peuvent avoir un rôle de médiateurs dans les relations parents enseignants
- présence des enseignants au spectacle de fin d’année
- Résultat pour les habitants
- Cette action prend forme dans une structure qui constitue un lieu de vie au sein d’un territoire : maison de quartier
- C’est un lieu « neutre », en dehors du temps scolaire qui permet à l’enfant d’être accompagné par un tiers différent du parent ou de l’enseignant (bénévoles ou professionnels) qui porte un autre regard sur lui.
- Proposition d’outils individualisés -
- Les enfants qui viennent à l’accompagnement à la scolarité sont souvent en difficulté. Lorsqu’ils sont à l’association, c’est le moment de réussir et de se sentir valoriser.
- La présence conjointe de bénévoles et de salariés d’âges différents : richesse qui permet un mélange des approches, des savoirs, des savoir-être et des savoir-faire.
- Relations avec les familles plus faciles car quand elles sont contactées par l’école, c’est le plus souvent pour parler de difficultés scolaires ou de problèmes de comportements. A l’association, la famille entend plus souvent un discours positif et optimiste sur son enfant.
- Suite de l'action : Limites
- Lorsqu’ils inscrivent leur enfant les parents attendent en premier lieu que quelqu’un puisse apporter à leur enfant l’aide qu’ils ne sont pas en capacité de lui offrir eux-mêmes, pour réussir à l’école. Les parents sont très souvent avant tout soucieux que les « devoirs » soient faits pour des raisons de respect des consignes données par l’école, mais aussi pour des raisons d’organisation de la vie familiale. Certains parents ne voient pas toujours l'importance de ces apprentissages, en complément de l'école, pour la réussite de leurs enfants. le travail d'explication est incontournable, primordial et quelquefois difficile à faire passer.
- Enfants en très grande difficulté : difficile de faire le lien avec d’autres structures quand ils sont suivis ailleurs
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Accueil seniors
- Structure organisatrice
- OÏKOS - CENTRE CULTUREL ET SOCIAL DE LA PEPINIERE MICHEL LEGRAND - Territoire de Belfort
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- Viellissement
- Intégration
- vacances / loisirs
- Mixité sociale
- Résumé
Certains retraités rencontrent des difficultés économiques et/ou sociales et/ou en situation d’isolement.
L’avancée en âge de la personne est souvent accompagnée de la question du nouveau sens donné à son projet de vie.
Dans le diagnostic réalisé par les structures Oïkos (CCSRB, MQJJ CCSP et CCSBN), les retraités ont exprimé leur volonté d’être actifs, tout en restant autonomes et en bonne santé.
La démarche participative menée dans le cadre du contrat de projet a permis d’organiser une nouvelle commission de travail thématique, ayant pour but de répondre aux préoccupations exprimées par les usagers séniors.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Lutter contre les phénomènes d’isolement des seniors.
Proposer des animations favorisant la convivialité.
Proposer des ateliers de prévention et de bien-être (diététique, gymnastique d’entretien, randonnée, marche nordique).
Proposer des sorties à caractère culturel.
- Public
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Les éléments révélés par les différents diagnostics sont alarmants et reflètent, notamment dans le secteur « Pépinière 2 », une paupérisation économique, mais aussi une grande fragilité sociale et culturelle. Ces chiffres soulignent la fragilité du sous-quartier, avec des problématiques très nombreuses : vieillissement, dépendance économique et sociale, isolement et difficultés en matière d’emploi, de formation et d’accès aux droits et à la santé. Bien qu’implanté dans un territoire ne relevant pas des Quartiers prioritaires de la Politique de la Ville, le CCSP doit faire face aux mêmes problématiques que les équipements situés en zone sensible. L’adéquation des ressources de la structure avec le contexte contraint le projet de développement d’éducation populaire visant la lutte contre les inégalités sociales. La permanence de ce contexte a pour effet induit une orientation de l’approche généraliste vers la « fonction d’accueil ».
Mise en place d’une coordination entre les centres culturels et sociaux et maisons de quartier de l’association OÏKOS
Organisation de réunions de concertation et partage d’un programme d’action entre les centres OÏKOS prenant par à ce projet.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Usagers, équipes et bénévoles des stuctures partageant le projet d'inclusion des publics seniors.
Cela concerne pour l'anialtion de l'action au CCSP les membres de la commission thématique "vieillissement" soit 12 personnes.
- Résultat sur le territoire
Intervention transversale en concertation avec les partenaires.
Initiation d’une réflexion sur la thématique d’inclusion des publics « âgés »
- Résultat pour le centre social
La mission du centre socieal tient compte des publics particuliers et du contexte territorial (Pépinière 2). Le nombre de personnes en situation de fragilité et handicap et/ou d’isolement dans le quartier de la Pépinière justifie la considération de ses problématiques dans la fonction d’accueil de proximité de notre centre social. « Travailler à mettre en œuvre l’inclusion, c’est investir pour une société plus juste pour un mieux vivre ensemble. »
- Résultat pour les habitants
Chaque personne ne sera pas accueillie en tant qu’usager ou client d’un service proposé, mais comme habitant du quartier ou du territoire et partenaire potentiel du projet du centre social. L’accueil du centre est aussi un observatoire nous permettant d’identifier les ressources propres des habitants.
- Suite de l'action : Limites
Aniamtion necessitant des connaissances médico-sociales.
- Suite de l'action : Perspectives
Perenité et développment de l'action visant l'accueil et l'inclusion des personnes en situation d'isolement.
Actions
Journée citoyenne et républicaine édition 2018 : Mobilisation contre l'endoctrinement et la radicalisation.
- Structure organisatrice
- ASSOCIATION CULTURE LOISIRS EDUCATION (CLE) - Territoire de Belfort
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Journée citoyenne et républicaine du vendredi 30 novembre 2018.
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Vendredi 30 novembre 2018
Journée Citoyenne et Républicaine
Mobilisation contre l'endoctrinement et la radicalisation
de 9h à 23h, et davantage...
Salle de spectacle de la Pépinière
13, Rue Georges Danton - 90000 BELFORT
Dans le cadre de la Journée Citoyenne et Républicaine édition 2018, l’Association Culture Loisirs Education d’Offemont (CLE) a organisé à l'échelle du Territoire de Belfort, une manifestation majeure portée sur la formation, la mobilisation contre les dérives sectaires, l’endoctrinement et les risques de radicalisation.
Cette action était soutenue par les pouvoirs publics, les différents coopérateurs institutionnels dont la Préfecture du Territoire de Belfort, la CAF du Territoire de Belfort, la Région Bourgogne – Franche Comté, le Conseil Départemental du Territoire de Belfort, Le Grand Belfort, la commune d'Offemont.
Cette journée citoyenne a été l'occasion d'un grand rassemblement inter disciplinaire, au cours duquel tous les professionnels intéressés et interpelés au quotidien dans leur pratique ont eu un temps d'écoute, de formation, d'échanges, de réflexion, d'émotion et de partage.
Cette journée s’est déroulée : Vendredi 30 Novembre 2018 à la salle de spectacle de la Pépinière ainsi qu’au LP Diderot de BAVILLIERS.
Cette journée a été co animée par Marion STALENS, réalisatrice et Assad MOKHENACHE, Directeur de la CLE d’Offemont.
Marion STALENS, photographe et réalisatrice de renom, auteure de nombreux documentaires explorant de façon singulière des sujets de société prégnants, tels que la condition des femmes, l’immigration, le handicap, l’Afrique, la liberté d’expression.
Le documentaire « Revenantes » de Marion STALENS déjà diffusé sur France Télévision donne la parole à des femmes qui ont réussi à prendre suffisamment de recul pour raconter leur bascule dans la radicalisation qui a menée certaines d’entre elles au cœur de l’enfer de Daech en Syrie. Les questions qui traversent tout le documentaire : Comment plusieurs femmes ont pu adhérer à l’idéologie jihadiste ? Quels sont les ressorts qui les ont poussés à s’en sortir ?
Cette journée citoyenne et républicaine a comporté 3 temps forts (ateliers) :
1. Temps de formation, échange – débats autour notamment du travail d'enquête, d'investigation et de réalisation du documentaire "Revenantes" de 9h à 12h avec les professionnels intéressés par la problématique notamment de l’endoctrinement et de la radicalisation.
2. Rencontre et échanges avec des lycéens du LP DIDEROT à Bavilliers : Echange – débat à partir du documentaire les « Revenantes ».
Afin de poursuivre le travail de prévention, d’information et de lutte contre l’embrigadement, nous avons mis à disposition des équipes éducatives toute une série de modules pédagogiques : Récits de femmes, paroles d'experts, certains thèmes s’appuyant sur les témoignages de « revenantes » et le décryptage d’experts. Ce support pédagogique a fait l'objet d'un travail inter disciplinaire par les équipes éducatives du Lycée Professionnel Diderot.
L’échange s’est organisée cette année sous la forme de deux débats de 45 minutes, 1h avec à chaque session, près d’une centaine d’élèves.
Au final, les deux sessions ont été très riches, de nombreuses questions ont été posées, cela traduisait bien les interrogations et autres réflexions qui demeurent celles de ces adolescents, adolescentes. Ce nouveau format a été grandement apprécié par l’ensemble des partis investis et impliqués dans la démarche de dénonciation de l’endoctrinement et des processus de radicalisation.
3. Diffusion du reportage les « Revenantes » à partir de 20h à la Salle de spectacle de la Pépinière à BELFORT.
La diffusion du documentaire a été suivie d’un échange – débat entre Mme STALENS, M. MOKHENACHE et les nombreux spectateurs présents. Nous avons pu compter la présence de nombreuses personnalités, Mme ELIZEON Sophie Préfète du Territoire de Belfort aurait dû être présente, empêchée à la dernière minute par des évènements liés aux « gilets jaunes », plusieurs adjoints de la mairie d’Offemont, des représentants du Conseil Régional, de l’Université, de l’éducation nationale, des différents services de l’Etat.
Publics bénéficiaires ou cibles :
Pré-adolescents, adolescents, jeunes adultes et parents issus des QPV : près de 550 personnes dans le cadre de la Journée Citoyenne et Républicaine, édition 2019 : conférence-débat, échange avec du public étudiant, visionnage du court métrage "Tu iras au Paradis" suivi d'un débat avec le public.
Grand public et autres professionnels de l'animation, de l'éducation et de la prévention de la délinquance intéressés et sensibilisés par ces questions : 160 personnes.
L'ensemble des actions, projets développés et mis en œuvre au cours de l'année 2018 a touché près de 700 personnes. Cette journée citoyenne et républicaine a fait l’objet d’une interview croisée de Marion STALENS et d’Assad MOKHENACHE par une équipe de france 3 Bourggone Frnache Comté. La journée Citoyenne et Républiciane édition 2018 a fait l'objet d'un reportage diffusé lors de l'édition du journal d'information de 19h.
Indicateurs – évaluation :
Présence, régularité, investissement du public dans sa diversité, des jeunes particulièrement,
- La qualité des échanges et des débats suscités lors et à l'issue des séances et autres débats avec des intervenants, des spécialistes, des professionnels.
- La motivation lors de la conférence, diffusion du documentaire « Revenantes ».
- Une meilleure compréhension du concept du vivre ensemble, de la tolérance, de l'égale dignité humaine.
- L'acquisition d'un répertoire de connaissances et de références aux valeurs républicaines et citoyennes, humanistes et universelles.
- La prise de conscience de la dangerosité et de la haine de l'humanité que ces groupuscules djihadistes véhiculent de par leurs canaux de communication, de vulgarisation du principe de "théorie du complot".
Finalités recherchées :
Le projet visait également à susciter la réflexion, le questionnement, à lutter contre certains clichés, stéréotypes et autres représentations et à inviter au dialogue dans des conditions sereines et empreintes de sérénité, valeurs républicaines.
Il s'agissait de fait de permettre, faciliter une meilleure ou plus juste appréhension du monde par nos publics pré adolescents et adolescents en dénonçant notamment les injustices, la théorie du complot véhiculée sur la toile, contribuant par la même à faire évoluer les mentalités dans un esprit, espace citoyen pour tendre vers une compréhension du monde, des contextes géopolitiques qui ne soit pas biaisée, altérée par de la frustration, de la démagogie, de l'ignorance.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Action majeure de prévention contre l'endoctrinement et la radicalisation. L'objectif étant de vulgariser un certain nombre de concepts, de présenter au plus grand nombre les mécanismes et autres stratégies mises en oeuvre par des entités ou groupuscules fondamentalistes.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Un groupe de travail a été mis en place, il comportait des membres de l'équipe éducative et d'animation de la CLE d'Offemont, ainsi que des membres du conseil citoyen d'Offemont.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Plusieurs demandes de subventions ont été adressées aux partenaires : Préfecture du Territoire de Belfort, CAF du Territoire de Belfort, Conseil Départemental et Conseil Régional.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
L'ensemble de l'équipe éducative et d'animation, des membres du conseil citoyen, des adhérents et autres membres des secteurs jeunes et pré-ados de la CLE d'Offemont.
- Résultat sur le territoire
Cette action est une déclinaison locale d'une politique de prévention nationale, elle vise a dénoncer un certain nombre de clichés et autres représentations.
Elle ambitionne également de lutter contre la théorie du complot et du grand remplacement.
- Résultat pour le centre social
La journée citoyenne et républicaine met en exergue la politique éducative, de prévention et d'accompagnement vers une citoyenneté conscientisée et apaisée du centre social.
- Résultat pour les habitants
Ces temps d'échanges, de réflexion, de débats et autres conférences ambitionne l'aculturation, la vulgarisation d'un certain nombre de concepts et autres connaissances qui au final permettent aux habitants, bénéficiaires de porter un regard critique et objectif sur les bouleversements majeurs que ces idéologies ont amenés au cours de la dernière décennie.
- Suite de l'action : Limites
La journée citoyenne et républicaine n'est pas une fin en soi, elle ambitionne d'être reconduite chaque année afin d'apporter un regard, un éclairage singulier sur la lutte et autres mobilisations contre l'endoctrinement et la radicalisation.
- Suite de l'action : Perspectives
Le concept de la journée citoyenne et républicaine commence à faire des émules sur le territoire national, à savoir concentrer sur une journée plusieurs temps de réflexion, d'échanges, de débats, un volet conférence de sorte à toucher toutes les franges de la populations.
Actions
Journée Citoyenne et Républicaine édition 2019 : mobilisation contre l'endoctrinement et la radicalisation.
- Structure organisatrice
- ASSOCIATION CULTURE LOISIRS EDUCATION (CLE) - Territoire de Belfort
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Journée citoyenne et républicaine du vendredi 18 octobre 2019.
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- discriminations
- Résumé
Vendredi 18 octobre 2019
Journée Citoyenne et Républicaine
Mobilisation contre l'endoctrinement et la radicalisation
de 9h à 23h
Salle de spectacle de la Pépinière
13, Rue Georges Danton - 90000 BELFORT
Cette journée a été co-animée par ROST, chroniqueur, réalisateur et Assad MOKHENACHE, Directeur de la CLE d’Offemont.
ROST est un artiste, réalisateur aux multiples facettes : Conseiller au sein du Conseil économique, social et environnemental, Président de l'association Banlieues Actives. Depuis une vingtaine d'année, ROST est très engagé sur les questions de citoyenneté, de prévention des violences et de la délinquance, d'exclusion, de la jeunesse, des quartiers populaires et plus globalement les personnes les plus fragiles.
Sa propre vie, dans la promiscuité, la violence et l'extrême pauvreté, l'ont obligé à être très attentif aux autres. Grâce à sa détermination à fuir le déterminisme, il a toujours trouvé l'énergie nécessaire quelques soient les obstacles pour aller au bout de ses combats.
Présentation du projet.
ROST : un réalisateur engagé.
Depuis une vingtaine d'année, ROST est un artiste, rappeur très engagé sur les questions de citoyenneté, de prévention des violences et de la délinquance, d’exclusion, de la jeunesse, des quartiers populaires et plus globalement les personnes les plus fragiles. Sa propre vie, dans la promiscuité, la violence et l’extrême pauvreté, l'ont obligé à être très attentif aux autres. Grâce à sa détermination à fuir le déterminisme, il a toujours trouvé l'énergie nécessaire quelques soient les obstacles pour aller au bout de ses combats.
Il définit son action comme suit : “Je suis intimement convaincu que chacun d'entre nous peut apporter sa petite pierre à l'édifice pour qu'ensemble nous fassions, bouger les choses, évoluer les mentalités et faire place à plus de justice sociale afin d'éviter ce sentiment d'exclusion et de rejet qui conduisent parfois certains de nos jeunes vers des dérives ou l'obscurantisme”.
Genèse du projet : un projet militant pour redonner de l’espoir à une jeunesse.
ROST explique que lors des attentats de Charlie Hebdo, certains de ses amis se sont faits assassinés et touchés, dont CHARB et son garde du corps ainsi que le gérant de l’Hyper Cacher. Ce dernier et son frère ont été les deux personnes qui lui ont permis de s’en sortir 20 ans plutôt. Puis, lors des attentats du 13 Novembre, sa maquilleuse se faisait assassiner en prenant plusieurs balles sur la terrasse de « La Belle Equipe » un mois à peine après leur retour de tournage de son précédent court-métrage « Et si on s’en sortait ». Ce court métrage, qui était déjà à l’époque une réponse aux attentats, avait pour but de réenchanter la jeunesse et de ne pas la stigmatiser. En effet, l’histoire raconte le périple de quatre amis, issus d’un quartier populaire, qui ont été fragilisé par la vie et qui essaie de s’en sortir. Ce film pose les questions suivantes : quel chemin emprunteront-ils, est-ce que l’échec est une fatalité ?
Cette journée citoyenne et républicaine a comporté 3 temps forts (ateliers) :
1. Temps de formation, échange – débats autour notamment du travail d'enquête, d'investigation et de réalisation du film court métrage "Tu iras au Paradis" de 9h à 12h avec les professionnels intéressés par la problématique notamment de l’endoctrinement et de la radicalisation.
Ce temps de formation a intéressé plus de 150 personnes, professionnels de tout horizon, étudiants de l’IUT carrières sociales, citoyens, élus…
ROST a pu exposer sa démarche, expliquer son engagement militant, associatif et le combat qu’il mène depuis des décennies contre l’obscurantisme, le totalitarisme et l’extrémisme religieux.
2. Rencontre et échanges avec des lycéens du LP DIDEROT à Bavilliers : Echange – débat à partir du film court métrage "Tu iras au Paradis".
Afin d’initier le travail de prévention, d’information et de lutte contre l’embrigadement, l’endoctrinement et la radicalisation nous avons mis à disposition des équipes éducatives toute une série de modules pédagogiques. Ce support pédagogique a fait l'objet d'un travail inter disciplinaire par les équipes éducatives du Lycée Professionnel Diderot.
L’échange s’est organisée cette année sous la forme de deux débats d’1h avec à chaque session, près d’une centaine d’élèves.
Au final, les deux sessions ont été très riches, de nombreuses questions ont été posées, cela traduisait bien les interrogations et autres réflexions qui demeurent celles de ces adolescents, adolescentes. Ce nouveau format a été grandement apprécié par l’ensemble des partis investis et impliqués dans la démarche de dénonciation de l’endoctrinement et des processus de radicalisation.
3. Diffusion du film court métrage "Tu iras au Paradis" à partir de 20h à la Salle de spectacle de la Pépinière à BELFORT.
Synopsis du film : Tu iras au Paradis.
Embrigadé dans une entreprise maléfique, RÉMI, un jeune garçon de 17 ans, fait partie d’un commando terroriste qui lui demande d’attacher autour de sa taille une ceinture d'explosifs afin d’exécuter un plan : ALLER AU PARADIS.
Il sort des toilettes d’une brasserie bondée de monde, prêt à mettre en exécution le plan qui est de se faire exploser en faisant le plus de victimes possibles. C'est alors que NABIL (joué par le comédien SMAÏN), un monsieur exubérant d'une cinquantaine d'année, le reconnaît. Il s'invite alors à la table de Rémi sans que celui-ci ne puisse y faire quoique ce soit et le compte à rebours est lancé …IMPACT DANS 20 Minutes.
Ce film n'est pas une analyse du terrorisme religieux. Il ne prétend pas expliquer, ou détenir la vérité. Avec « Tu iras au paradis », son co-auteur et co-réalisateur Thomas
KEUMURIAN et ROST ont voulu faire une œuvre courte, coup de poing, qui vient interpeler, interroger, interloquer. Le film vise à susciter le débat autour de la question de l'embrigadement. Si le terrorisme islamique est abordé, jamais aucun d'amalgame avec la religion musulmane qu’est l’'Islam n’est fait.
La touche humoristique qui sous-tend le film permet de dédramatiser par la forme un sujet lourd et sensible afin de mieux capter l’attention des jeunes avant les échanges.
Un débat autour du film : La radicalisation n’est pas une fatalité (une tournée du film à travers la France a démarré depuis mars 2019).
Lors de ces différentes actions et interventions, ROST démontre que pour lutter efficacement contre le fléau de la radicalisation, il faut combattre les préjugés.
En effet, à travers ses rencontres avec des personnes radicalisées en prison et son association Banlieues Actives, il s’efforce de faire un travail de citoyenneté, de prévention de la violence, de la délinquance et surtout, de redonner de l'espoir, de la motivation et une ambition saine aux jeunes issus des quartiers populaires qui ne croient plus en l’avenir.
Les films qu’il a pu tourner dont “La Rue des Anges” ainsi que “Et si on s’en sortait”, ont servi de support pour aller vers ces jeunes pour échanger avec eux sur les conséquences parfois dramatiques de la délinquance partant du postulat suivant : aucun d’entre eux n’est condamné à l’échec et que chacun a le potentiel et les ressources pour s'en sortir et dépasser sa condition sociale.
Sa notoriété, en tant que rappeur, sa médiatisation mais avant tout son parcours personnel qui fut mouvementé, ont eu un impact sur les jeunes qu’il a pu rencontrer. Ces films, et en particulier celui-ci, les interroge, interpelé pour engager une réflexion sur eux- mêmes.
Le sujet du terrorisme contemporain est très complexe et sensible et ROST, par son implication et son engagement, s’en est emparé pour pouvoir ouvrir le débat avec ces jeunes. Se retrouver face à des personnes directement touchées par ces drames rend immédiatement le débat bien plus concret et une approche des jeunes beaucoup moins fantasque.
Sa devise “Je suis convaincu que les rencontres peuvent changer une vie, qu'une personne rencontrée au bon moment peut faire la différence dans une existence”.
La diffusion du court métrage a été suivie d’un échange – débat entre ROST, M. MOKHENACHE et les nombreux spectateurs présents.
Nous avons pu compter la présence de nombreuses personnalités, M. RANOUX, Président du Conseil d’Administration de la CAF du Territoire de Belfort, M. FERRAIN, conseiller départemental, M. KRANTZ, Directeur académique des services de l'Éducation nationale, DSDEN, M. THIERRY, Délégué du Préfet, des représentants du Conseil Régional…
Une participation active d’un groupe de plusieurs adolescentes, d’étudiantes de l’IUT Carrières Sociales de Belfort, des volontaires Service Civique dans le cadre de l’organisation et de la tenue de cette journée citoyenne et républicaine a permis de diffuser l’information via des affiches, mailing et autres flyers.
Publics bénéficiaires ou cibles :
Pré-adolescents, adolescents, jeunes adultes et parents issus des QPV : près de 550 personnes dans le cadre de la Journée Citoyenne et Républicaine, édition 2019 : conférence-débat, échange avec du public étudiant, visionnage du court métrage "Tu iras au Paradis" suivi d'un débat avec le public.
Grand public et autres professionnels de l'animation, de l'éducation et de la prévention de la délinquance intéressés et sensibilisés par ces questions : 160 personnes.
L'ensemble des actions, projets développés et mis en œuvre au cours de l'année 2019 a touché près de 750 personnes. Cette journée citoyenne et républicaine a fait l’objet d’une interview croisée de ROST et d’Assad MOKHENACHE, enregistrement, par Thibault QUARTIER, journaliste auprès de « le Trois », média local (décrypter le Nord Franche Comté) qui a pris la forme d’un article publié en ligne intitulé « Ce que nous combattons au quotidien, c’est l’ignorance ».
Indicateurs – évaluation :
Présence, régularité, investissement du public dans sa diversité, des jeunes particulièrement,
- La qualité des échanges et des débats suscités lors et à l'issue des séances et autres débats avec des intervenants, des spécialistes, des professionnels.
- La motivation lors de la conférence, diffusion du documentaire « Revenantes ».
- Une meilleure compréhension du concept du vivre ensemble, de la tolérance, de l'égale dignité humaine.
- L'acquisition d'un répertoire de connaissances et de références aux valeurs républicaines et citoyennes, humanistes et universelles.
- La prise de conscience de la dangerosité et de la haine de l'humanité que ces groupuscules djihadistes véhiculent de par leurs canaux de communication, de vulgarisation du principe de "théorie du complot".
Finalités recherchées :
Le projet visait également à susciter la réflexion, le questionnement, à lutter contre certains clichés, stéréotypes et autres représentations et à inviter au dialogue dans des conditions sereines et empreintes de sérénité, valeurs républicaines.
Il s'agissait de fait de permettre, faciliter une meilleure ou plus juste appréhension du monde par nos publics pré adolescents et adolescents en dénonçant notamment les injustices, la théorie du complot véhiculée sur la toile, contribuant par la même à faire évoluer les mentalités dans un esprit, espace citoyen pour tendre vers une compréhension du monde, des contextes géopolitiques qui ne soit pas biaisée, altérée par de la frustration, de la démagogie, de l'ignorance.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Action majeure de prévention contre l'endoctrinement et la radicalisation. L'objectif étant de vulgariser un certain nombre de concepts, de présenter au plus grand nombre les mécanismes et autres stratégies mises en oeuvre par des entités ou groupuscules fondamentalistes.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Un groupe de travail a été mis en place, il comportait des membres de l'équipe éducative et d'animation de la CLE d'Offemont, ainsi que des membres du conseil citoyen d'Offemont.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Plusieurs demandes de subventions ont été adressées aux partenaires financiers et institutionnels : Préfecture du Territoire de Belfort, CAF du Territoire de Belfort, Conseil Départemental et Conseil Régional.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
L'ensemble de l'équipe éducative et d'animation, des membres du conseil citoyen, des adhérents et autres membres des secteurs jeunes et pré-ados de la CLE d'Offemont. L'équipe enseignante de l'IUT Belfort - Montbéliard filière carrières sociales et les Volontaires Service Civique.
- Résultat sur le territoire
Cette action est une déclinaison locale d'une politique de prévention nationale, elle vise a dénoncer un certain nombre de clichés et autres représentations.
Elle ambitionne également de lutter contre la théorie du complot et du grand remplacement.
- Résultat pour le centre social
La journée Citoyenne et Républicaine met en exergue la politique éducative, de prévention et d'accompagnement vers une citoyenneté conscientisée et apaisée du centre social. Elle s'inscrit dans la continuité d'actions, de projets visant à promouvoir les valeurs républicaines, les principes de démocratie.
- Résultat pour les habitants
Ces temps d'échanges, de réflexion, de débats et autres conférences ambitionnent l'aculturation, la vulgarisation d'un certain nombre de concepts et autres connaissances qui au final permettent aux habitants, bénéficiaires de porter un regard critique et objectif sur les bouleversements majeurs que ces idéologies ont amenés au cours de la dernière décennie.
- Suite de l'action : Limites
La journée Citoyenne et Républicaine n'est pas une fin en soi, elle ambitionne d'être reconduite chaque année afin d'apporter un regard, un éclairage singulier sur la lutte et autres mobilisations contre l'endoctrinement et la radicalisation. La multiplication des approches, analyses, présentations, compréhensions de cette problématique permet de démystifier toute une série de cliches, représentations, visions surannées...
- Suite de l'action : Perspectives
Le concept de la journée Citoyenne et Républicaine commence à faire des émules sur le territoire national, à savoir concentrer sur une journée plusieurs temps de réflexion, d'échanges, de débats, un volet conférence de sorte à toucher toutes les franges de la populations. Un ambition challenge que celui de vulgariser autant que faire se peut ce champ complexe de l'endoctrinement et des processus de radicalisation.
Actions
Fête de quartier de Chennevières
- Structure organisatrice
- MAISON DE QUARTIER CHENNEVIERES - Val-d'Oise
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Manifestation qui s'est déroulée le 20 juin 2015.
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- Solidarité
- Culture
- mobilité / transport
- Mixité sociale
- Résumé
Le samedi 20 Juin 2015 s’est déroulée la fête de quartier de Chennevières. Le thème « Le sport en fête» a été retenu comme fil conducteur. Il est fédérateur pour l’animation et la participation de l’ensemble des partenaires avec le souci de faire participer le public.
Cette fête est un temps fort de la Maison de Quartier, car il regroupe de nombreux partenaires (institutionnels et associatifs) autour d’une journée festive pour tout le public du quartier. Le contenu de la fête est décidé au sein du comité des fêtes (instance regroupant les acteurs locaux), réuni 5 fois de Janvier à juin.
Environ 500 personnes ont participé à la fête de quartier. Le public était majoritairement issu du quartier de Chennevières et aussi d'autres quartiers. L'ensemble des associations de quartier était présent. La préparation de cette journée a sollicité la mobilisation de beaucoup de moyens humains.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place afin de renforcer le lien social entre les habitants du quartier de Chennevières et des autres quartiers de la zone d'influence du centre social. De valoriser le travail associatif mené tout le long de l'année dans les quartiers. De créer un espace de convivialité, d'échange afin de favoriser la mixité du public.
Nous pouvons dire que les objectifs ont été atteints. La participation a été bien au-delà des 500 personnes attendues.
L'ouverture de la fête par des danses latines, les structures gonflables et les stands des associations ont été très bien accueillies jusqu'au pied du podium où ils ont su entraîner le public aux rythmes des musiques du monde.
Le repas, temps fort de cette manifestation, a réellement permis aux habitants de discuter de manière détendue, pour certains de faire connaissance, pour d’autres d’approfondir une relation.
Les jeunes du quartier ont spontanément prêté main forte aux bénévoles pour la logistique et ont contribué par leur spectacle de danse, à donner une image plus positive et valorisante des quartiers.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Un comité de fête comprenant l’ensemble des partenaires (13 associations, 1 bailleur et 1 compagnie de transport) se sont réunies 5 fois (de janvier à juin) au centre social afin de préparer l’évènement. Lors des rencontres, les acteurs ont définit la forme de la manifestation et son contenu (La préparation de la logistique, le repas, l’ouverture de la fête, l’animation sur la place et le podium, la sécurité, la sonorisation, la tombola et le rangement).
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Dépenses : 8538€
Recettes : 8806.06
Excédent : 263.83€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
99 personnes : 30 professionnels et 69 bénévoles.
- Résultat sur le territoire
Valorisation des partenaires institutionnels et associatifs qui mènent des actions toute l’année.
- Résultat pour le centre social
Ce type de manifestation apporte une visibilité des actions menées, un rapprochement en direction des personnes qui ne venaient plus et celles qui ne connaisaient pas le centre social..
- Résultat pour les habitants
Manifestation très apprécié par les habitants. Cette action ponctuelle permet de bénéficier d’animation diverses et de rencontrer les élus et acteurs locaux.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Maintenir la dynamique associative tout en impliquant les habitants qui ne font pas parti du tissu associatif.
Actions
Forum des métiers
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL MAISON DE LA CHALLE - Val-d'Oise
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
- Action annuelle renouvelée en 2019
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Emploi, économie
- mobilité / transport
- Résumé
- Le Forum des Métiers est un rendez-vous bien repéré par les établissements scolaires d’Eragny ainsi que les intervenants (professionnels et Centres de Formation) qui partagent leur temps et leurs compétences pour un rendez-vous unique sur l’Agglomération. Sur chaque édition, plus de 300 jeunes et leur famille fréquentent ce Forum des Métiers.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Les objectifs poursuivis en 2018 - Permettre aux jeunes mais aussi à leurs parents, de s’informer sur les questions relatives à l’orientation et au projet professionnel - Faciliter la découverte de filières de formation et de métiers peu connus - Favoriser les échanges directs entre jeunes et professionnels - Associer des acteurs économiques d’Eragny/du territoire
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
- Déroulement du samedi 24 novembre Les intervenants sont accueillis dès 8h le samedi matin et sont installés par pôle de métiers. La manifestation accueille le public à partir de 9h et elle est clôturée par un discours de Monsieur le Maire, suivi d’un cocktail en direction des intervenants et agents de la ville à 13h. Des élèves du lycée de Jouy le Moutier renforcent le pôle accueil, avec 4 hôte(se)s. En relais des échanges avec les professionnels, un pôle d’intervenant est présent pour détailler les filières et un autre pôle assure le lien entre les jeunes et les professionnels. Les intervenants, animations et nouveautés 2018 : L’équipe d’animation, s’appuyant sur les orientations formulées par les établissements scolaires, proposent un nouveau programme riche en interventions en amont et en aval du forum : - Visite des lycées professionnels : De mi-novembre à mi-février, les élèves pourront visiter 4 à 6 établissements pour découvrir les filières et apprendre à s’y rendre en transport. Ces sorties sont accompagnées par un animateur jeunesse, un référent de parcours PRE et un éducateur de la Sauvegarde. - Animation « le métier rêvé » animation interactive présentée par l’agence Olympio portant sur les représentations professionnelles et visant à confronter et réexaminer certains stéréotypes. - Quizz sur l’alternance et l’orientation : une animation interactive s’appuyant sur la plateforme beekast sera proposée. Les visiteurs utiliseront leur smartphone pour répondre à des questions qui seront projetés sur écran géant. - Visite du théâtre de l’Usine : Les visiteurs pourront à 11h visiter les coulisses du théâtre et découvrir les métiers du spectacle. - Atelier « Aller au lycée » : un atelier en partenariat avec la STIVO informera et préparera les élèves à leur futur déplacement pour accéder à leur établissement scolaire. Une cartographie des transports, créée pour l’événement, sera exposée en salle. - Simulation d’entretien et savoir être dans le cadre d’une recherche de stage ou d’alternance : Les jeunes s’exerceront aux techniques d’entretien et pourront recevoir les conseils d’une coach. - Ambassadeurs/ tuteurs : des jeunes éragniens de la première à bac + 3 seront là pour partager leur expérience et leur conseil avec les collégiens. Comment se passe l’alternance ? Quelles sont les difficultés lorsque l’on rentre en sixième ?
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- 1500 E
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- 350
- Résultat sur le territoire
- Éviter le décrochage scolaire meilleure connaissance des acteurs économiques du territoire qui sont fédérés autour d'un projet commun
- Résultat pour le centre social
- Faire connaitre l'Espace Initiatives Jeunes Renforcer le travail partenarial
- Résultat pour les habitants
- Lien Ado / parents Créer du dialogue autour de l'orientation
- Suite de l'action : Limites
- Action limitée à la taille de la salle
- Suite de l'action : Perspectives
- Action renouvelé en 2019 avec une volonté de l'élargir à de nouvelles communes Partenariat avec Safran pour ingénieurie et filles
Actions
De Génération à Génération
- Structure organisatrice
- CSC Rébérioux - Val-de-Marne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Résumé
Notre association poursuit son travail sur la transmission culturelle entre les générations (ou de la rupture de cette transmission) au sein de la cellule familiale, du groupe culturel d’appartenance, mais également à l’extérieur, entre des individus à priori plus éloignés. Nous développons notre projet au travers de portraits, d’entretiens d’habitants, d’expositions, de débats, de temps festifs, avec une attention particulière pour la jeunesse.
Le projet « De génération à génération » se déroulera en 2016, comme les années précédentes, parallèlement à des manifestations cinématographiques, pour être enrichi par les projections de films internationaux et les rencontres qu’elles proposent.
Cette année 2016, à l’occasion du Festival International de Films de Femmes, nous travaillerons sur la transmission d’une génération à l’autre de la relation à la musique, en faisant écho au 50 ans de l’association et en créant une passerelle avec Escale consacré cette année aux cultures créoles. Le thème de Génération à Génération permettra d’aborder la construction d’une culture musicale tout au long de la vie au travers de la transmission des parents, du partage au sein d’une même génération et, plus tard, de ses propres découvertes individuelles. La musique contribue à la construction identitaire et à l’émancipation individuelle et collective. La place de la musique est importante dans l’histoire des MJC et notre association a permis et permet à de nombreux Cristoliens de découvrir une pratique et d’aller à la rencontre de divers univers musicaux. Ce thème est également porteur pour une implication de la jeunesse.
Et parallèlement à l’œil vers consacré a priori à la Chine, nous aborderons la transmission de la culture chinoise. Dans ce pays contradictoire se posent d’immenses problèmes sociétaux et humains : mutations économiques, migrations intérieures et déplacements des populations, aménagement du territoire et environnement, droits de l’Homme et droits sociaux, aspirations à la démocratie et à la liberté d’expression, vieillissement de la population, droits des femmes… Ce territoire immense et méconnu génère aussi un mouvement d’émigration important, notamment vers la France et en particulier la région parisienne où désormais les générations originaires de Chine se succèdent. Nous voudrions aller à leur rencontre. La culture chinoise accordant une grande importance à la transmission familiale, on connait en France également de nombreuses populations sino-cambodgiennes ou sino-vietnamiennes qui se raccrochent encore à la Chine par la langue et les traditions.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Favoriser une plus grande conscientisation et lisibilite pour les cristoliens des transmissions culturelles au sein des familles
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Comme précisé précédemment, l’association, au travers du projet « Musiques, de génération à génération », souhaite favoriser les échanges sur la transmission musicale et alimenter les réflexions sur le rôle de la musique dans la construction identitaire individuelle et collective.
Les étapes de réalisation pour « Musiques de génération à génération »
Nous aborderons les thèmes de multiples manières : musiques transmises par les parents, par une génération, par l’école, les associations, les rencontres fortuites,…
La programmation du Festival International de Films de Femmes, présente également dans notre association nous permettra de provoquer une distanciation par rapport au sujet et des débats.
Nous serons très attentifs au fait de toucher et d'impliquer des publics enfants, adolescents et jeunes adultes par le biais des partenaires éducatifs et sociaux et par des relations que nous développerons lors de la préparation du projet. Le thème, la musique, peut renforcer l’intérêt de ses publics. Nous impliquerons également en particulier les familles du quartier de la Habette.
- Constitution d'une réunion de concertation pour la préparation de l'évènement pour dégager les axes des thèmes à aborder.
Nous sollicitons auprès de notre équipe composée de professionnels et de bénévoles, administrateurs de la MJC, des partenaires et des adhérents pour préparer les thèmes à aborder et les animations à mettre en place.
- Recherche d’habitants acceptant de participer aux entretiens
Nous réaliserons des entretiens audio d’habitants qui partageront la construction de leur culture musicale transmise par différents biais ainsi que des portraits permettant une présentation sous forme d’exposition et la poursuite de cet archivage depuis 2011.
- Recherche d'expositions artistiques et pédagogiques, récolte d'objets ou de documents personnels sur la ville évoquant le sujet, implication des espaces verts et des adhérents des accompagnements à la scolarité
Nous mettrons en place à la MJC Mont Mesly, au CSC Rebérioux et sur le local de la Habette, des expositions artistiques et pédagogiques. Nous travaillerons également avec les Espaces verts de la Ville de Créteil et nous ferons appel aux habitants et associations pour composer une ambiance générale. Les participants des accompagnements à la scolarité que nous gérons sur le CSC Madeleine Rebérioux et la Habette, ainsi que les adhérents des activités d’arts plastiques participeront aux travers de réalisations manuelles et de dessins.
La Médiathèque Nelson Mandela fera un écho au projet par la valorisation de la culture musicale dans ses murs au travers de points d’écoute avec des morceaux choisis des 50 dernières années. Nous bénéficierons également dans nos murs de points d’écoute semblables.
- Recherche d'un partenaire pour le Duplex
Nous rechercherons un partenaire le plus pertinent possible pour l’animation d’un débat en duplex sur le CSC Madeleine Rebérioux et nous permettant d’être en relation directe avec des jeunes en province ou à l’étranger sur des expériences liées à des pratiques musicales intergénérationnelles. Ce débat en lien avec un autre territoire permettra des échanges de points de vue sur le sujet. La musique peut rassembler ou diviser les générations. Nous pourrions aborder lors d’un débat à distance, la dimension rassembleuse de la musique dans certaines cultures (ex : Antilles, Bretagne,…).
- Organisation de temps forts, d’actions de sensibilisation et d’animations
Parallèlement au Festival International du Films de Femmes, nous organiserons des actions d’animation et festives avec les associations et les partenaires.
Un débat (thème affiné lors de la réunion de concertation pour la préparation du projet) sera mené avec l’apport des témoignages des familles et en direct avec une structure partenaire d’une autre région ou à l’étranger.
Des interventions seront programmées lors de l’accompagnement à la scolarité que nous pilotons sur le quartier de la Habette pour des CM1 et CM2 et sur le CSC pour des 6ème et 5ème. Les enfants seront impliqués pour le temps fort avec un atelier en amont conduit par un slameur. Ils travailleront en lien avec les adhérents des activités musicales.
Des interventions « surprises » ludiques seront organisées les mercredis et samedis pour les familles présentes dans les murs au Mont Mesly, à Rebérioux et à la Habette ou sur d’autres équipements nous sollicitant.
Nous réaliserons un croisement de thème avec le projet Escale tourné cette année vers les mondes créoles, co-animé par le conservatoire et la Maison de la solidarité. A cette occasion, nous aborderons la transmission de la musique créole. Nous proposerons une action d’initiation musicale en partenariat avec le conservatoire de Limeil Brevannes.
Nous impliquerons les activités de la MJC en relayant leurs propositions lors de la manifestation. Plusieurs intervenants d’activité nous ont déjà fait part de leur souhait de faire participer leurs adhérents des activités suivantes : guitare, éveil musical, théâtre et conte, jam session, …
Nous avons envisagé d’ores et déjà un partenariat avec Créteil en scène, en inscrivant une soirée dans le cadre du projet Musiques de génération à génération.
Enfin, nous proposerons des interventions pour présenter le projet et poser des débats autour de la pratique musicale lors des cafés des parents sur les collèges.
- Organisation de visites guidées des expositions
Nous proposerons des visites des expositions favorisant les échanges intergénérationnels lorsque ce sera possible : en direction des écoles, des adhérents, des centres de loisirs,…
- Organisation de lecture avec les médiathèques et mise en valeur d’une bibliographie avec consultation d’ouvrages sur place
Nous impliquerons les Médiathèques de la Plaine Centrale en amont du projet avec prêt d’ouvrages sur la musique pour l’organisation de lectures pendant la manifestation.
- à postériori du projet: conservation des projets et recherche de formes et supports de diffusion
Nous rechercherons des formes et supports de diffusion (Quat' pages, Vivre ensemble, site internet, autres...) permettant de faire vivre la récolte de matières effectuée pendant le projet
- Ressources financières mobilisées pour cette action
64500 euros
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
13 permanents (direction, animation, technique, communication) sur un total de 2200 h environ (1ETP salariés et 0.36 ETP sous-traitance ou mis à disposition).
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
Favoriser une plus grande conscientisation et lisibilite pour les cristoliens des transmissions culturelles au sein des familles
Réalisation d’entretiens, de portraits de différentes générations dans une même famille et les faire largement partager pour susciter le débat
Impliquer la jeunesse et développer des partenariats pour aborder ces questions de transmissions culturelles dans des familles d’autres régions du monde - voir projet « Lutte contre la fracture numérique »-
Organiser des expositions, des animations, des temps d’échanges, de débats, de temps festifs et conviviaux
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
E-imaginons la Habette
- Structure organisatrice
- CSC Rébérioux - Val-de-Marne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Résumé
Le projet « e-imaginons la Habette » a démarré en 2015. Il est né de la volonté de proposer au sein du quartier, un projet à la fois artistique et culturel, qui puisse:
- Mettre les habitants au cœur de cette création;
- Les rendre acteur de cette création ;
- Développer un processus de valorisation du quartier vis-à-vis des Cristoliens en général.
Le projet imaginé initialement consistait à créer une fiction dont l’action principale se situe au cœur du quartier de la Habette, prenant en compte les spécificités du territoire (lieux phares, commerces, rues, personnages emblématiques).L’action a démarré en juillet 2015 et se poursuivra jusqu’en juillet 2016.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Autre
- Précision ( si autre )
Dans le cadre de la démarche d’agrément centre social de notre association, nous avons réalisé un diagnostic de notre territoire de compétence (correspondant à notre secteur d’agrément) dont le quartier de la Habette fait partie.
Le diagnostic a été conduit par des membres du conseil d’administration et de l’équipe, accompagnés par un sociologue. Il a été réalisé à partir de données froides (issues de la CAF, de l’INSEE, du Plan local d’urbanisme) et de données chaudes (entretiens avec des habitants, des partenaires - écoles, collèges, PMI, associations, bailleurs, bibliothèques, services et élus municipaux, …, réunions de concertation avec des habitants et des partenaires). Il a mis en lumière des facteurs de fragilisation sociale particulièrement marqués sur le quartier de la Habette et un sentiment d’abandon ressenti par les habitants. Ce sentiment a été renforcé par la fermeture du trésor public et de la bibliothèque. Il en ressort un enclavement déjà présent et potentiellement renforcé par ces déménagements successifs des institutions publiques.
Les entretiens et réunions de concertation ont cependant fait ressortir également un attachement au quartier, un esprit de solidarité et un potentiel de mobilisation des habitants.
Ce quartier est reconnu comme étant un quartier prioritaire de la Politique de la Ville.
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action répond à un besoin de désenclavement du quartier et de valorisation du quartier et de ses habitants pour tous les Cristoliens.
Le projet répond également à des besoins en termes d’éducation à l’image et de découverte des potentiels des outils numériques.
Objectifs de l’action :
- Sensibiliser aux possibles du numérique et nomment à la dimension créative
- Favoriser les dynamiques partenariales sur le quartier et les liens entre les partenaires et les habitants
- Créer des rencontres intergénérationnelles sur le quartier de la Habette
- Valoriser le quartier
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Partie sur 2016
Janvier-février 2016 : Fin de l’écriture et mobilisation des jeunes :
- continuité des ateliers d’écriture avec Joëlle Guillais. Six séances ont eu lieu en 2015 essentiellement axées sur la récolte de matériau et la définition de la forme de la production. Six autres auront lieu avec le groupe de scolaires et avec le groupe d’adultes : mise en forme du matériau d’écriture et écriture collective.
- Mise en forme et compilation littéraire de la production par l’écrivaine
- Mobilisation des jeunes pressentis pour rejoindre le groupe d’adultes et former un groupe intergénérationnel pour la partie illustration.
Mars - avril 2016 : Mise en route des ateliers de création d’image
- Six séances sont prévues auprès du groupe classe accompagnées par l’illustrateur Nicolas Bianco Levrin : les premières séances auront lieu en classe pour la partie uniquement axée sur la création d’images illustrant le guide. Les séances suivantes auront lieu au Centre Madeleine Rebérioux sur les aspects plus techniques et le lien avec les outils numériques.
- Une séance est prévue de rencontre entre les deux groupes, avec l’ensemble des personnes mobilisées : enfants, jeunes et adultes. Cette séance sera l’occasion de faire un bilan d’étape sur le projet et de présenter les différents acteurs du projet sur un temps convivial.
- Six séances sont prévues avec le groupe intergénérationnel : toutes les séances de création d’images menées par l’illustrateur auront lieu au Centre Madeleine Rebérioux et accompagnées par une animatrice multimédia. L’accent sera mis sur l’exploitation des outils numériques, l’utilisation des outils multimédias au service de la création et du traitement d’image, en favorisant au sein de ce groupe les liens et les échanges intergénérationnels.
Avril-mai 2016 : Finalisation de la production
- Mise en forme collective d’un « produit » finit sous la forme numérique : nombre de séances encore à définir
- Mise en forme collective pour une diffusion papier sur un Huit’ pages numérique : nombre de séances encore à définir
Juin-juillet 2016 : Restitution et valorisation du projet
- Diffusion des réalisations sous forme d’un guide numérique et mise en ligne internet sur notre site et sur les sites partenaires.
- Impression et affichages de bâches illustrées dans l’espace public parallèlement à une exposition-reportage sur le projet.
- Inauguration de l’album au moment de l’inauguration de l’exposition et par la diffusion sous forme de diaporama de l’album numérique.
- Diffusion et valorisation des réalisations dans le journal « 4 pages » diffusé à 4 000 exemplaires
Perspectives : travailler à une valorisation du projet au sein de la Médiathèque Nelson Mandela.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
27100 euros pour 2016
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- L’écrivain (Joëlle Guillais) chargée du travail d’accompagnement des groupes pour la création et écriture de l’histoire.
- L’illustrateur Nicolas Bianco-Levrin qui sera sur l’animation des ateliers illustration et création d’image.
- La Directrice adjointe sur l’équipement CSC Rebérioux (Astrid Plée) a, entre autre, la coordination globale du projet avec la partie liée aux arts visuels et celle liée à l’écriture. Elle sera chargée de la coordination globale du projet en lien avec l’équipe de l’association.
- L’animatrice référente famille (Majda Hatmal), chargée du projet d’animation de la Habette : elle aura la charge du lien avec les partenaires sur le quartier, de constituer et d’accompagner les groupe sur les ateliers.
- L'Adulte relais (Khadidjatou Sonko), présente au quotidien sur la structure : elle soutiendra le suivi des groupes.
- L’animatrice multimédia et communication web (Marie-Pierre Trigla) :
Elle sera chargée en particulier du suivi des productions d'images et de leur mise en forme pour l’album, le blog et l’exposition.
- Résultat sur le territoire
Désenclavement du quartier
Valorisation du quartier et de ses habitants pour tous les Cristoliens
Dynamisation du territoire
- Résultat pour le centre social
Implication renforcée des habitants du quartier de la Habette
- Résultat pour les habitants
Epanouissement par la pratique créative collective
Mieux vivre son quartier de par sa valorisation
Sensibilisation aux possibles des nouvelles technologie
- Suite de l'action : Limites
Réalisation de supports pour les créations réalisés. En fonction des moyens obtenus, la valorisation pourra être plus ou moins conséquente.
- Suite de l'action : Perspectives
Cette action qui a démarré il y a peu est très positive à ce jour. Nous espérons qu'elle aboutira à un renforcement des liens entre l'association et les habitants du quartier au service du mieux vivre dans ce quartier stigmatisé.
Actions
Accompagnement à la scolarité
- Structure organisatrice
- CSC Rébérioux - Val-de-Marne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Deux modules d’Accompagnement à la Scolarité :
CLAS groupe 1 : 6ème-5ème.
Les mardis et jeudis de 17h30 à 19h30 au CSC Rebérioux.
CLAS groupe 2 : CM1-CM2.
Les lundis et les vendredis de 16h à 18h, au local de la Habette
L’action se déroule pour tous les groupes deux fois par semaines sur des séances de 2h00.
Les enfants sont accueillis par une collation offerte par la structure. Sur ce temps nous souhaitons les sensibiliser à de bonnes pratiques alimentaires (pain frais, jus de fruits, carré de chocolat).
Nous éditons à chaque séance une liste de présence nous permettant de nous assurer de l’assiduité et de la régularité des enfants.
Quel a été le nombre approximatif de personnes bénéficiaires (par type de publics) ?
15 collégiens sur le groupe 1
14 élèves d’élémentaire sur le groupe 2
Quels ont été les date(s) et lieu(x) de réalisation de votre action ?
Les séances d’Accompagnement à la Scolarité se déroulent régulièrement tout le long de l’année scolaire.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- aide méthodologique : faire acquérir aux enfants des réflexes méthodologiques face à l'organisation de leur travail.
- aide aux devoirs : accompagnement des enfants dans l'organisation et la réalisation de leurs devoirs par l'équipe bénévole, elle-même encadrée par une permanente et accompagnée d’une adulte-relai.
- ouverture culturelle : initiation et sensibilisation à des pratiques culturelles et artistiques / implication sur les projets de l’association en proposant des temps de valorisation et restitution des temps forts. Le groupe est suivi par une permanente référente et une animatrice.
- Public
- Enfance
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
CLAS groupe 1 :
L'action aura lieu deux fois par semaine, les mardis et jeudis de 17h30 à 19h30. Les enfants arriveront vers 17h15 dans l'équipement, pour y être accueillis et prendre leur goûter. L'association proposera une collation légère (jus, lait, pain). Nous éditerons à chaque séance une liste des présences et nous nous assurerons de l'assiduité et de la régularité des enfants. Une permanente professionnelle de l'association aura en charge de suivre les bénévoles, les relations avec les parents et les relations avec les établissements scolaires. Elle suivra avec la directrice adjointe la cohérence et l'orchestration des animations et les liens avec les autres projets de l'association.
CLAS groupe 2 :
L'action aura lieu deux fois par semaine, les lundis et vendredis de 16h à 18h. Les enfants seront accompagnés de l'école de la Habette à l'ancienne bibliothèque de la Habette, dont une partie des locaux est aujourd'hui mise à disposition de notre association quelques heures par semaine. Nous éditerons à chaque séance une liste des présences et nous nous assurerons de l'assiduité et de la régularité des enfants. Une permanente professionnelle de l'association aura en charge de suivre les bénévoles, les relations avec les parents et les relations avec les établissements scolaires. Elle aura le soutien de l’adulte-relais et suivra avec la directrice adjointe la cohérence et l'orchestration des animations et les liens avec les autres projets de l'association. Nous prévoyons également un suivi avec quelques rendez-vous réguliers avec un psychologue pour accompagner l’équipe permanente, les bénévoles et les familles. Cette démarche fait l’objet d’une demande de subvention spécifique auprès du REAPP.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
22000 euros
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Il y aura 5 personnes affectées en permanence à ce projet :
- 1 permanente coordinatrice du projet
- 1 permanente présente sur le site et sur un poste d'adulte relais
- 2 bénévoles cristoliennes, adhérentes de l'association et inscrite en atelier à la MJC
- 1 directrice adjointe sur le centre socioculturel Madeleine Rebérioux
- 1 animateur du service de la Jeunesse
des animateurs permanents ou des intervenants spécialisés sont par ailleurs sollicités en fonction des projets comme sur le cinéma, le multimédia, le théâtre ou encore le jardin en interne, le SLAM, la photo ou encore la couture, en externe.
- Résultat sur le territoire
Le premier objectif est l'épanouissement de l'enfant, en relation avec ses parents. Nous nous appuierons entre autres, afin d'entamer une démarche vers l'enfant, sur les critères suivants : difficultés d'apprentissage, difficultés de comportements, difficultés liées à l'environnement familial, socioculturel.
- Résultat pour le centre social
Cette action implantée dans le quartier de la Habette, a permis de faire connaitre notre association à des familles qui ne connaissaient pas notre centre social et plus généralement notre association.
- Résultat pour les habitants
Animation d'un espace référence pour les familles; un espace de convivialité (organisation de moments festifs) et de soutien, notamment dans la parentalité (présence régulière d'un adulte relai).
- Suite de l'action : Limites
Amplitude horaire des l'ouverture du lieu à étendre. Engagement bénévole qui pose parfois des difficultés.
- Suite de l'action : Perspectives
Edition d'un guide du quartier en juin 2017.
Actions
Atelier français à visée professionnelle
- Structure organisatrice
- MICHEL CATONNE - BOISSY - Val-de-Marne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- alphabétisation & apprentissage du français
- Résumé
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Parmi les ateliers de Français existant sur le Centre social, les usagers ont sollicité l'équipe pour orienter un atelier français vers des enjeux de recherche d'emploi.
La séance à lieu tous les mardi matin de 9h30 à 11h30 en dehors des vacances scolaire.
Les contenus permettre de travailler sur la rédaction du CV et de la lettre de motivation ainsi que sur l'entrainement à l'entretien d'embauche.
Il s'agit également de faire découvrir les ressources du territoire ( Médiathèque, PIG, Mission locale, Forum emploi...) ainsi que l'intervention d'organismes pouvant recruter sur le territoire ou assurer des formations complémentaires.
Cette action s'inscrit dans notre projet dans le cadre de l'accès aux droits et à l'emploi.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
C'est la référente famille chargée de la coordination des ateliers de Français qui encadre celui-ci.
L'action a été lancée en 2015 afin de répondre à des demandes d'usager ou d'habitants résidants en France depuis plus de 5 ans.
L'atelier se déroule à l'année pour une douzaine de personnes et s'appui sur les échanges et les attentes des usagers et sur les différentes resources du territoire ou dse prestataires extérieurs (menée d'entretien). Les contenus sont évolutifs et correspondent aux rythmes d'acquisition des usagers.
Depuis l'année dernière, un projet de mise en place de postes informatiques devrait aboutir cette année.
IL doit permettre un meilleur accès aux tutoriels et faciliter l'environnemernt informatique afin d'en comprendre les modalités d'utilisation, d'accèder aux documents téléchargeables et de pratiquer le plus régulièrement possible.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
La commune et l'Etat financent cette action.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Une douzaine d'usagers et la Référente familles
- Résultat sur le territoire
Certaines personnes (re)trouvent un emploi ou une formation.
D'autres sont en recherchent plus active car elles se sentent plus rassurées et plus outillées.
- Résultat pour le centre social
Le Centre social est bien repéré comme étant l'acteur le plus adapté pour proposer des actions linguistiques en dehors même de la collectivité.
Les habitants saluent cette initiative.
- Résultat pour les habitants
Retrouver une confiance en soi;
Favoriser une méthodologie de recherche d'emploi;
Leur fournir le plus d'outils possible afin de faciliter leur autonomie et leur intégration dans le domaine de l'emploi.
- Suite de l'action : Limites
Cette atelier doit se poursuivre d'une année à l'autre.
Les acquisitions sont lentes à être maitrisées.
Les publics ne sont pas forcément assidus du fait des contraintes du quotidien.
- Suite de l'action : Perspectives
Recours plus régulier et plus intense à l'informatique, développer des liens avec les ateliers informatiques de la médiathèque.
Actions
seniors actifs et citoyen
- Structure organisatrice
- LA LUTECE .VALENTON - Val-de-Marne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Démocratie & citoyenneté
- Viellissement
- Résumé
lutter contre les risques de fragilisation sociale : informer, conseiller et accompagner l’ensemble des retraités.
- Développer des actions collectives de prévention.
- Prévenir l’isolement social, culturel et technologique des séniors tout en favorisant du lien social et culturel entre les générations autour de la vie locale (et de l’information).
Différents objectifs opérationnels se mettent en place avec des activités de lien social et culturel. (informatique et dématérialisation, échange de savoirs, sorties culturelles et récréatives, gymnastique douce, atelier mémoire, atelier nutrition ou mobilité, atelier histoires courtes (souvenirs d'enfance et histoires de vie) et veillées pour les familles ou les hisrtoires sont racontées.)
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
cette action a été mise en place à la demande des séniors et renforcée chaque année lors des évaluations trimestrielles. C'est une ouverture citoyenne et multigénérationnelle. Les résultats attendus sont un accompagnement vers un "bien vieillir", une lutte contre l'isolement social et une transmission sociale et culturelle vers les plus jeunes.
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
elle s'étoffe et s'alimente chaque année avec le concours des retraités depuis 2015. Elle est menée par 3 animateurs pour l'ensemble des animations, 2 bénévoles pour les ateliers échanges de savoirs et avec l'aide ponctuelle de 2 intervenants : gymnastique hebdomadaire et PRIF avec 1 ou 2 ateliers annuels sur 5/6 séances
- Ressources financières mobilisées pour cette action
elle a débuté en 2015 avec 3 ateliers. Des groupes de séniors ont été rencontrés pour connaître leurs besoins, lors des diagnostics en 2010/2014/2018 des questionnaires, porte à porte, rencontres sur le marché, à la bibliothéque, au service retraités de la ville ont permis de connaître les besoins du territoire. Des activités ont commencé à se mettre en place : l'informatique, des ateliers avec le PRIF, des sorties, un atelier contes avec des spectacles à la bibliothéque et au centre social et au fil des années les séniors ont pris des initiatives : échanges de savoirs : d'abord tricot, puis couture, puis broderie est venu ensuite en 2018 la gymnastique, le groupe de paroles sur les souvenirs,la participation à des évènements du centre f^éte du jeu, spectacle du groupe femmes en à venir et ont émmergé la création d'histoires courtes pour les familles du CLAS. La citoyenneté favorise la mixité des publics et permet l'émergence de groupes créatifs au bénéfice de tous.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
90 personnes, 6 professionnels, 10 bénévoles et 10 bénévoles du CA? CREER
- Résultat sur le territoire
PERMET EN 2018/2019 DE COCONSTRUIRE AVEC LA VILLE ET LES ASSOCIATIONS LOCALES UN GUIDE D'ACTIVITéS SéNIORS
- Résultat pour le centre social
permet de l'intergénérationnel, des rencontres entre retraités et familles
- Résultat pour les habitants
participation active à la vie de la cité
- Suite de l'action : Limites
vieillissement des personnes et à moyen terme difficultés pour les plus handicapés à se déplacer au centre social
- Suite de l'action : Perspectives
accueillir des retraités, développer des projets citoyen, développer l'entraide et l'intergénérationnel, créer à moyen terme un livret avec toutes les histoires racontées et en faire un évènement culturel.
Actions
Opérations Pieds d'Immeubles
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL MUNICIPAL "LA PASSERELLE" - Vaucluse
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- Culture
- Résumé
Les Opérations Pieds d'Immeubles (OPI) permettent d'aller à la rencontre des habitants, en dehors des espaces institutionnels classiques, par l'intermédiaire d'actions d'animation culturelles, sportives... Ces temps sont programmés entre le mois de mai et le mois de septembre, en fin de journée ou en soirée (en fonction des périodes).
Les Opérations Pieds d'Immeubles permettent un échange régulier avec les habitants, dans leurs lieux de vie. Elles sont un outil de diagnostic social pour le centre social et ses partenaires.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L'expérience conduite au cours de différentes manifestations portées par le Centre Social (Semaine des Initiatives en particulier) a mis en évidence la nécessité de développer une stratégie d'actions concertées visant à réinvestir l'espace public et à développer la participation des habitants à partir d'actions de proximité, simples et visibles.
Principaux objectifs opérationnels :
- Reconquête collective de l'espace public fondée sur l'amélioration du cadre de vie
- Actions favorisant la participation des habitants
- Développement de la cohésion sociale, création de lien social intra/inter quartiers
- Sensibilisation à la culture, au sport, à l'environnement
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
L'action a mobilisé l'investissement d'un groupe de travail constitué de l'équipe du Centre Social Municipal, des agents du Service de la Poilitique de la Ville, du service Jeunesse, du CCAS. Ils ont en particulier mené un diagnostic préalable à la mise en oeuvre de l'action. Une consultation auprès des habitants, étendue à plusieurs quartiers, a permis d'identifier les besoins prioritaires de certains secteurs du territoire, d'orienter les contenus et de positionner les opérations sur des créneaux ad'hoc.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- L'agent de développement Social Local (ADSL) du Centre Social est mobilisé pour 50% de son temps sur cette action (préparation, partenariat, communication, logistique...).
- Sur la période OPI 3 à 5 agents du Centre Social sont présents. L'équipe est soutenue par la présence récurrente des agents des services Politique de la Ville et CCAS (3 personnes), et de partenaires locaux (présence plus ponctuelle). Ils ont pour mission prioritaire de mener des entretiens avec les habitants présents, en essayant d'identifier les besoins majeurs et de proposer des leviers d'amélioration.
- La participation des habitants reste un élément important des OPI. 5 à 10 personnes sont bénévoles sur chaque soirée OPI organisée. Il s'agit des mères de famille, investies en particulier sur des ateliers (créations manuelles, dessins), le stand goûter (découpe de fruits pour les salades de fruits, distribution d'eau et sirop).
- Nous mobilisons 8 à 12 prestataires / partenaires sur chaque soirée, en fonction de la taille du quartier. Ils ont pour mission de mettre en place des ateliers divers et complémentaires, permettant aus habitants (enfants, jeunes, parents) de passer d'une activité à une autre (découverte, partage, plaisir).
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Mise en place d'un diagnostic quasi-permanent auprès des habitants
- Action fédératrice au niveau du partenariat
- Résultat pour les habitants
- Bonne mobilité physique et psychologique des habitants au cours du temps
- Meilleure identification/compréhension du rôle du Centre Social et de ses partenaires
- Renforcement de la participation des habitants (démarrage d'initiatives à partir des OPI)
- Suite de l'action : Limites
Il s'agit d'une action exigente du point de vue de la logistique et de l'investissement des équipes.
- Suite de l'action : Perspectives
L'action est amenée à se renouveler, en considérant les évolutions sociales de chacun des quartiers visités.
Grâce à une analyse collective (regards croisés) avec l'ensemble des partenaires, l'objectif est de proposer des contenus spécifiques en fonction des lieux (et d'éléments relevés) : travailler sur la question des jeunes sur tel quartier, proposer un volet intergénérationnel sur un autre, ou privilégier des démarches festives et de convivialité sur d'autres...
Actions
Chantier d'Insertion Récupelido
- Structure organisatrice
- L'ESPELIDO - Vaucluse
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- Résumé
Le Centre Social Espelido développe depuis 2010, avec son chantier d'insertion Le Tournesol, un vrai savoir-faire en matière de collecte de déchets, de lutte contre les décharges illégales, de ramassage d'envols.
Placé sous la responsabilité technique de Laurent Crespin, directeur de l’Espelido, le Tournesol constitue une véritable entreprise qui génère un revenu de plus de 160 000 € en 2015.
L’équipe du Tournesol s’est lancée un nouveau défi avec l’élaboration d’un grand projet baptisé « Récupelido ».
Récupelido proposent des solutions sur mesure pour ses clients en matière de collecte sélective de papiers, cartons et déchets verts. L'objectif est d'augmenter la recyclabilité des produits en développant une économie circulaire. Les déchets sont valorisés au maximum, en créant des débouchés auprès de structures spécialisées. Lors de chaque intervention, les équipes s'occupent de toute la manutention, le transport, le traitement, la valorisation.
Avec le développement de ces activités, l'Espelido a expérimenté la création d'un marché local, a créé une complémentarité entre différents acteurs. Le marché de la récupération des papiers de bureau s'est ouvert pour l'Espelido avec la demande de partenaires (Conseil Départemental) et de clients (Ministère de la Justice, Direction des Finances Publiques).
D'où l'idée de proposer des prestations de collecte sélective, de recyclage de matières issues des activités tertiaires : des papiers « blancs » (papier imprimante, enveloppes…), des papiers, "couleurs" (magazine, brochures, annuaires…), du carton d'emballage. Un partenariat important s'est construit avec Nouvelle Attitude, une entreprise d'insertion et le Groupe La Poste, concrétisé le 7 décembre 2016 par la signature d'une convention Alliance Dynamique.
Tous les papiers triés sont recyclés. L'action permet de proposer un service simple, peu couteux, qui déploie une solution locale pour améliorer les performances environnementale de ses clients. L'action mobilise des salariés en insertion qui développent à la fois des compétences professionnelles et une formation à la protection de l'environnement, aux éco-gestes. Elle permet de créer une économie circulaire du papier : grâce à un procédé simple, la mobilisation de partenariats, la mutualisation de moyens, il est possible au final de récupérer les fibres qui composent le papier pour en faire une nouvelle matière première.
Parce qu’il est moins coûteux et plus efficace de transformer les vieux papiers à proximité de leurs lieux de collecte, la filière des papiers recyclés se construit localement, autour des centres de tri, des usines de recyclage et de transformation. Le chantier d'insertion Récupelido présente un caractère exemplaire dans le sens où il met en oeuvre une organisation simple pour une grande efficacité. Il permet l'embauche de salariés éloignés jusque-là de l'emploi à qui il transmet un engagement en faveur de l'environnement, des gestes éco-responsables, car il génère la mise en place d'une économie circulaire du papier. Le projet est transférable sur d'autres territoires.
Résumé du projet
Le projet s'appuie sur la création d'une structure d'insertion par l'activité économique (SIAE) sous forme de chantier d'insertion.
Les missions du chantier d'insertion Récupelido reposent sur :
La prise en charge d’un public spécifique prioritaire
Une activité ou un emploi support d’un parcours d’insertion dans le cadre d’un contrat de travail
Une organisation spécifique : la mise à l’emploi repose sur un accompagnement socioprofessionnel individualisé et de qualité ainsi qu’un encadrement technique adapté à l’activité ou l’emploi support de chaque salarié en insertion.
Description de l'activité :
Les activités du chantier s’organisent autour de trois axes :
- travaux réguliers avec des collectivités, d'autres SIAE
- travaux obtenus auprès de donneurs d’ordre privés (gré à gré, bons de commande, MAPA)
- travaux obtenus dans le cadre de marchés publics clausés (réponses directes ou sous traitantes)
De façon générale les travaux de récupération de papiers et cartons visent à :
- déployer des solutions locales pour organiser la récupération de déchets (gestion, collecte et traitement)
- conditionner le papier dans des bacs de transport (type CE30)
- préparer l'expédition du papier pour une destruction éventuelle, un tri et un recyclage.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les objectifs sont :
- de responsabiliser les habitants sur la gestion des déchets verts, de réduire le volume des déchets verts déposés dans les poubelles d'ordures ménagères (il est aberrant de brûler des déchets composés principalement d'eau)
- de proposer une solution à des habitants qui ne peuvent pas, ou plus, se rendre en déchetterie pour y déposer les déchets verts qu'ils produisent
- d'alimenter une économie circulaire visant à valoriser des déchets verts (paillage, compost, BRF)
- apporter des solutions locales au plan d'élimination des déchets, compléter l'offre de service de la collecte du Grand Avignon
- créer des emplois pour des bénéficiaires du RSA et demandeurs d'emploi de longue durée
- agir en faveur de démarches citoyennes et protectrice de l'environnement.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- un emploi d'encadrant technique crée directement (CDI 35 heures hebdo)
- un emploi de conseillère en insertion professionnelle (CDI 4 heures hebdo)
- six emplois en insertion crées directement (4.11 ETP par an) - Environ 13 personnes sur l'année
Le projet soutient directement l'activité d'une entreprise d'insertion (Nouvelle Attitude). Il permet le développement d'emplois indirects.
Le projet est supervisé par une responsable de service et par le directeur de l'association.
- Résultat sur le territoire
Prévention des déchets
- Eviter les déchets,
- Réduire leurs nocivités,
- Faire l’objet d’une valorisation en interne
L'action permet de proposer un service simple, peu couteux , qui déploie une solution locale pour améliorer les performances environnementale de ses clients. L'action mobilise des salariés en insertion qui développent à la fois des compétences professionnelles et une formation à la protection de l'environnement, aux éco-gestes. L'action permet de créer une économie circulaire : grâce à un procédé simple, la mobilisation de partenariats, la mutualisation de moyens, il est possible au final de récupérer des matières destinées à être un déchet pour en faire une nouvelle matière première.
Caractère exemplaire et novateur du projet
Parce qu’il est moins coûteux et plus efficace de transformer des matières (végétale, papier, carton) à proximité de leurs lieux de collecte, les filières se construisent localement, autour des centres de tri, des usines de recyclage et de transformation. Le chantier d'insertion Récupelido présente un caractère exemplaire dans le sens où il met en œuvre une organisation simple pour une grande efficacité. Il est exemplaire car il permet l'embauche de salariés éloignés jusque là de l'emploi à qui il transmet un engagement en faveur de l'environnement, des gestes éco-responsables, car il génère la mise en place d'une économie circulaire du papier. Le projet est transférable sur d'autres territoires.
- Résultat pour le centre social
Sensibilisation des adhérents, des salariés, des bénévoles, des habitants, au tri des déchets, à la prise en compte des recommandations enn faveurs de gestes qui protègent l'environnement.
- Résultat pour les habitants
Mise en place de nouvelles pratiques en matières de récupération des papiers et au delà, mise en place de réflexion en matière de recyclage. Le déchets est perçu pour beaucoup plus de personnes maintenant comme une ressource.
- Suite de l'action : Limites
La suite de l'action s'envisage à travers l'appropriation par les habitants de la gestion de leurs déchets : création de composteurs, de bacs de récupération (papier, plastique, verre, ...), de manière à proposer un recyclage sur place (jardins potagers, troc, échanges, revente, ...) ou une valorisation du déchets afin de le transformer en matière première.
La gestion des déchets, la récupération, le recyclage sont des sujets abordés par de grands groupes industriels. Le centre social est un tout petit acteur et nos actions ne peuvent se mesurer qu'à l'échelle du quartier. Sur un si petit territoire les indicateurs volumétriques (contenu des bennes à ordures, évolution de la nature des déchets dans les poubelles d'orudres ménagères) sont difficiles à obtenir.
- Suite de l'action : Perspectives
La perspective est de développer à l'échelle du quartier des pratiques comportementales individuelles incluant la valorisation ou le recyclage de ce qui était auparavant un déchet et l'envisager comme maintenant comme une ressource potentielle.
Actions
PLATEFORME LINGUISTIQUE
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL & CITOYEN LOU TRICADOU - Vaucluse
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Résumé
Mise en place d'ateliers socio-linguistiques permettant l'apprentissage de la langue française.
Proposition de groupes de niveaux permettant une évolution des usagers depuis l'étape de socialisation jusqu'à l'apprentissage de l'écriture et de la lecture.
Positionnement pour l'obtention de diplômes (DILF, DELF...).
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Lutte contre l'isolement, accès aux droits, accompagnement dans la scolarité des enfants, autonomisation pour le quotidien.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Cette action a été calquée sur le rythme d'une année scolaire, elle se décline par la mise en place d'ateliers hebdomadaires sur l'ensemble des territoires d'intervention du centre social.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Co-financement dans le cadre du contrat de ville par les partenaires suivants :
ETAT, DEPARTEMENT, CAF, INTER COMMUNALITE, MSA.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
5 professionnels, 17 bénévoles.
- Résultat sur le territoire
Rupture de l'isolement des foyers non francophones.
Amélioration de l'accès aux droits.
Accélération à l'autonomisation.
- Résultat pour le centre social
Mobilisation de bénévoles.
Reconnaissance à l'échelle du territoire.
Interaction avec le réseau associatif local.
- Résultat pour les habitants
Rupture de l'isolement des foyers non francophones
Amélioration de l'accès aux droits
Accélération à l'autonomisation.
- Suite de l'action : Limites
Les critères d'éligibilité des publics.
- Suite de l'action : Perspectives
Maintien et développement de formations en direction des bénévoles d'activités.
Actions
La Rencontre de l'Autre
- Structure organisatrice
- AMAQY MAISON DE QUARTIER DES PYRAMIDES - Vendée
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- discriminations
- Résumé
L'Association a décidé de mettre en oeuvre une réflexion partenariale sur le thème "à la rencontre de l'autre" autour de l'interculturel afin de créer une culture commune du "vivre ensemble", en encougeant le dialogue, la mise en relation, en atténuant les distances cuturelles, en travaillant sur des codes et en élargissant son partenanriat. Ce projet sera l'occasion d'entrer en relation et d'échanger entre les personnes ou groupe de personnes de différentes cultures (sociale, ethnique, générationnelle, professionnelle, institutionnelle...)
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Précision ( si autre )
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le quartier des Pyramides à la Roche sur Yon compte parmi ses habitants des personnes issues de l'immigration (Afrique, Europe de l'Est, Moyen Orient...) et/ou des habitans de catégories socio professionnelles peu favorisées. L'Association reconnait la richesse de la diversité sur ce territoire. Ces facteurs expliquent en partie que parmi ces personnes certaines rencontres des difficultés d'apprentissage de la langue française et relationnelles. Lors du renouvellement du Projet d'Animation Globale et Sociale, les membres de l'Association sont allés à la rencontrendes habitants sur l'espace public afin de recueillir leur témoignage. Suite à cette concertation, nous avons relevé des notions de préjugés et de stéréotypes. C'est pour cela que nous avons souhaité renforcer notre projet afin de favoriser l'intégration en accompagnant les publics de différentes origines et de rompre les barrières de la langue. Ces diverses rencontres nous permettrons la mise en place d'actions spécifiques créant l'attractivité et la valorisation envers toutes les origines et le lien social.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Le projet "Rencontre de l'autre" est juste engagé. Nous avons lancé la démarche de ce projet en juin 2015. Nous avons réalisé deux rencontres (juin et septembre). Ces rencontres ont réuni une vingtaine de personnes (des habitants, des administrateurs, des associations locales). Le premier objectif est de s'appuyer sur des actions existantes développées par l'Association de la Maison de quartier et de leur donner une dimension interculturelle et de partage. Par la suite , le groupe de travzail constitué propose de travailler sur un questionnaire permettant le recueil des besoins ou remarques des habitants et la connaissanc des structures Maisons de quartier. Il sera un moyen d'aller à la rencontre des habitants et de s'en servir comme outil d'évaluation sur la connaissance et l'image de ces structures sur le Territoire
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le temps passé professionnel et bénévoles
Sommes investies au regard de l'objectif
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Des administrateurs, des habitants, des associations locales: actuellement 20 personnes (la liste n'est pas exhaustive)
Des professionnels : secteur enfance, famille, vie de quartier, jeunesse, secrétariat accueil, Direction) : 7 personnes
- Résultat sur le territoire
Améliorer la communication et la connaissance du fonctionnement des Maisons de quartier
Améliorer l'image des Maisons de quartier auprès des habitants
De faire émerger des demandes collectives sur le Territoire
- Résultat pour le centre social
Accueillir de nouveaux habitants au sein de la structure
Développer un accueil de qualité (axe important de l'action et lieu ou le lien social se tisse)
Mise en place de projets d'habitants privilégiant l'acceptation des différences, les échanges de solidarité et de coopération
Un redéveloppement et renforcement du partenariat
- Résultat pour les habitants
Une meilleure connaissance de la structure Maison de quartier
Répondre à leur demandes collectives
Une plus grande participation à la vie sociale du quartier
- Suite de l'action : Limites
Un travil sur les outils de communication s'adressant à tous et compréhensibles par tous (des écrits dans différentes langues...) Nous avons un travail de lien/liant à faire afin que chacun puisse comprendre pourquoi venir dans une structure Maison de quartier et venir pourquoi faire et qu'est-ce que cela peut rapporter? C'est pourqoi, la mise en place d'un questionnaire permettra de recueillir la connaissance de ce fonctionnement et par la suite l'émergence de demandes collectives.
- Suite de l'action : Perspectives
Ce projet doit permettre de sensibiliser et de favoriser la rencontre de personnes qui fréquentent la Maison de quartier et des habitants de différentes origines et ainsi peut-être aller jusqu'au partage.
Il permettra de développer et renforforcer le partenariat avec les associations locales, d'apprendre à se connaître et par la suite de s'inscrire dans des actions à plus long terme
Actions
creation d un spectacle
- Structure organisatrice
- AMAQY QUARTIER LA VALLEE VERTE - Vendée
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Résumé
avec douze jeunes filles d origine diversses ,rèalisation d un spectacle avec le soutien d une choregraphe professionnelle .un des objectifs est des reprèsentations lors d èvenements culturels .
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
pour permettre une meilleur integration "sociale ", et ainsi etre reconnu .
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
atelier chaque mercredi aprés midi
- Ressources financières mobilisées pour cette action
12000 e
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
14
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
integration des jeunes a la vie du quartier
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives