Des difficultés constatées dans la maîtrise de la langue française concernant les enfants ciblés mais également les parents de ces enfants qui sont issus pour une part de l’immigration. Certains n ‘ont pas nécessairement  les compétences de base en français. On recherche  la mise en cohérence  des activités socio-éducatives sur  les différents temps de l’enfant (scolaire, péri et extra – scolaire)

Cette action a été mise en place pour gommer certaines inégalités dont les enfants et parents sont victimes (inégalités sociales, inégalités d'accés à la culture...)

Les résultats attendus sont : un progrès des enfants dans leurs apprentissages, un accompagnement des parents efficace pour un meilleur investissement de ces derniers dans la scolarité de leurs enfants, une valorisation des acquis des enfants...

Cette action s'inscrit dans le volet ACF de notre projet social ayant pour cible la famille et le soutien à la fonction parentale.

Permettre aux  demandeurs d'emploi d'aborder au mieux leur recherche d'emploi au travers d'une méthodologie, de techniques et d'outils mis à leur disposition.
• Accompagner méthodologiquement les demandeurs d’emploi dans la mise en œuvre de leurs démarches vers l’emploi, à l’aide des Technologies d’Information et de Communication.
• Permettre aux demandeurs d’accéder rapidement à un espace d’information et d’orientation

Les trois  diagnostics menés à Mantes la Jolie dans le cadre du contrat social du territoire, le contrat local de santé ou le diagnostic social du quartier établi dans le cadre du projet social du centre social s'accordent pour pointer le vieillissement de la population de Mantes: 16% de la population a plus de 60 ans et 10% plus de 65 ans. 71% des personnes âgées bénéficient de l'APA. A Mantes, l'espérance de vie est de 75 ans chez les hommes et de 83 ans chez les femmes. Plusieurs facteurs expliquent qu'ont vive moins vieux à Mantes qu'ailleurs. La précarité joue un rôle évident dans notre commune où les revenus sont très faibles (12898€ chiffres 2011). La pénurie de médecins aggrave la situation. 15 à  20% des résidents âgées du foyer Adoma sont atteints d'affections de longue durée (diabète, maladies cardio-vasculaires...). En plus de ces problèmes il y a la barrière de la langue et de l'isolement. Le quartier est doté d'une forte population de plus de 60 ans malgré l'arrivée de nouvelles familles avec enfants. Il est aussi mal desservi par les transports et sous équipé en services. Fort de ce constat, le centre social a mis en place des actions qui visent à soutenir le lien social. Toutes les actions (sport, santé, temps conviviaux, accès aux droits) sont axées sur la prévention du vieillissement, la préservation de l'autonomie et la lutte contre l'isolement des retraités  en privilégiant la convivialité, la solidarité entre les générations , la citoyenneté, le bien-être et la transmission des savoirs faire.  

Les actions développées en direction des seniors ont un caractère de prévention qui vise à préserver l'autonomie des personnes âgées et de créer du lien social. Malheureusement, il y a peu de partenaires impliqués dans cette problématique. Le centre social aurait besoin de développer un partenariat avec les acteurs du territoire sur cette thématique du vieillissement de la population pour pérenniser ce projet et répondre ainsi au plus grand nombre de retraités.

• Offrir un espace et un moment de paroles afin de permettre de faire émerger et discuter des heurts, des conflits, des plaintes, des demandes et des questions des enfants

• Parler collectivement des problèmes rencontrés, échanger et confronter les points de vue

• se repérer dans le groupe et peu à peu y trouver sa place avant d'en comprendre et de s'en approprier les règles

Le centre social accueille sur différentes actions (accompagnement à la scolarité, animations familles) des enfants d’âges primaires. Les encadrants : animateurs et bénévoles ont constatés des difficultés relationnelles entre certains enfants. Des remarques sexistes, racistes ont été prononcées « je ne parle pas avec toi, tu es une fille », « tu ne t’assoies pas à côté de moi, je n’aime pas les noirs »…Ces comportements se retrouvent également au sein de l’école primaire Buffon située à côté du centre social. Le directeur de cet établissement faisait part lors du dernier groupe-pro du quartier de ses observations et inquiétudes quant aux relations développées entre les élèves. Les cris, les coups semblent être leurs modes de communication privilégiés. Nous sommes également de plus en plus sollicités par des familles déstabilisées par les relations entre les enfants de la fratrie ou les enfants habitants le quartier. Certains parents ont également des problèmes de voisinage du au comportement de leur enfant. Nous sollicitons de plus en plus le dispositif de réussite éducative ou la permanence éducative de la maison des solidarités.

 Des problèmes de comportement se posent. Nous souhaitons améliorer cette situation.

Le centre social du planty a pour but d'amener chaque enfant à devenir un citoyen responsable. Dans cette optique, plusieurs activités seront menées afin d'éveiller et de sensibiliser chaque enfant à la démocratie, la solidarité, la tolérance.

Le but de ce projet est de favoriser le vivre ensemble : « C’est faire partie d’un groupe ou d’une société qui partage les mêmes valeurs, dans le respect de la singularité de chacun. C’est permettre l’épanouissement de l’enfant au sein du groupe, dans le respect et la tolérance. C’est construire une relation aux autres qui permet à l’enfant de grandir. »

A l’heure où l’accent mis sur la responsabilité de l’individu montre ses limites face à des situations de plus en plus difficiles, nous sommes convaincus qu’il est plus que jamais nécessaire de replacer la solidarité comme une valeur centrale de notre société et une possibilité de réponse collective aux crises contemporaines. La solidarité dans son sens 1er est une valeur sociale qui reconnait un destin commun à tous les hommes : une dépendance mutuelle. Cette valeur humaniste inscrit l’ensemble des hommes dans une même communauté d’intérêt.

La solidarité est liée à la valeur de la fraternité et aux concepts d’équité et de dignité de la personne. Elle permet de remédier à certaines inégalités de fortune, d’état de santé, de capacité physique ou intellectuelle de lieu d’habitation…. Etre solidaire, c’est reconnaitre à ses pairs les mêmes droits et devoirs que pour nous-mêmes. La solidarité, peut exister à différents échelles : nous sommes solidaires avec notre famille, avec notre ville mais aussi avec d’autres pays et de manière plus globale avec l’ensemble des êtres vivants, sans aucune distinction : à l’échelle de la planète.

Si nous souhaitons réduire les actes d’incivilité, recréer du lien entre les citoyens et restaurer le respect entre les individus, il faut que chacun puisse découvrir « l’autre » et, au-delà de ses différences, comprendre que nous avons des points communs et des intérêts collectifs. Il est également nécessaire de connaitre les institutions françaises et leur fonctionnement.

Ainsi, nous travaillons depuis quelques temps sur des formations à la médiation en lien avec plusieurs habitants et organisées par Danielle Pailler et Caroline Urbain de l’Université de Lettres de Nantes. Aujourd’hui nous travaillons sur 3 axes :

1/ rencontres avec un rapport direct aux œuvres (le monde professionnel des artistes, des spectacles, des expositions, des spectacles vivants) : Voir et Fréquenter

2/ les ateliers de pratiques artistiques (Théâtre, danse, arts plastiques, photographie, et autres disciplines) : faire et pratiquer

3/ apports didactiques, la connaissance à travers des enseignements (le cognitif, l’approche analytique, des conférences, des répétitions publiques, enseignement de l’histoire des arts et des techniques) : Comprendre et s’approprier

Sur la question de la médiation, nous considérons qu’elle est transversale aux trois axes, c’est un prétexte au dialogue et au questionnement sur l’artistique mais elle amène aussi à réfléchir sur notre société. Plus que conquérir de nouveaux publics, nous visons la formation et l’émancipation des personnes à tout âge de la vie.

action qui a étté mise en place suite aux craintes des parentys lors de la première scolarisation de leur enfant. (Enfant pas prêt, pas propre, intégration difficile) mais aussi pour faciliter l'apprentissage du français pour les jeunes enfants.

les difficultés rencontrées par les parents ont étét partagées au multi-accueil et avec l'école qui constatait une intégration difficile avec une volonté de mettre les enfants à l'école dès deux ans (pas de cout pour une garde d'enfants)

la réflexion a portée avec l'équipe enseignate de réfléchir ensemble comment accompagner les parents sur cette question.

"partager avec eux leurs craintes, partager le besoin individuel de l'enfant selon son évolution ,la maturité très hétérogène des enfants...."

l'enjeu de la scolarisation (régularité, apprentissages...)

et en m^me temps rapprocher les parents du "monde de l'école" qui reste encore très "obscur "pour les parents  

L’Alsace présente une des situations les plus préoccupantes de France en ce qui concerne les maladies liées à l’alimentation : certains cancers (à noter que le cancer demeure parmi les premières causes de mortalité soit 4100 décès par an ; source : ORSAL), le diabète, l’obésité, les maladies cardio-vasculaires, etc.

Il est important de rappeler que l’évolution des comportements alimentaires est essentiellement liée à l’évolution des modes de vie de notre société. Ainsi, nous pouvons citer le développement et l’abondance de l’offre alimentaire, des transports motorisés ainsi que le temps passé devant la télévision, les jeux vidéo ou l’ordinateur. Tous ces facteurs contribuent à altérer la santé des personnes. De même, on sait également, que la pauvreté et la rupture du lien social ont une influence directe ou indirecte sur l’état de santé des personnes.

Cette action a donc été mise en place, depuis 2007, afin de prévenir et réduire la prévalence des maladies cardiovasculaires par une sensibilisation de la population sur les facteurs de risques. Ainsi notre volonté est de favoriser et renforcer l'adoption d'une alimentation équilibrée et d’encourager la pratique d'activité physique régulière.

Le P’Tit Bouillon permet d’offrir aux scolaires des ateliers pédagogiques, ludiques, complémentaires au programme scolaire, tout en renforçant le lien intergénérationnel entre les enfants et les bénévoles du Pax. Il s’agit d’instants de partages culturels et de jeux. Le P’Tit Bouillon ne se concentre pas uniquement sur l’accueil de scolaires mais permet également aux bénévoles de créer ou d’organiser des événements culturels ouverts à tous.

Il s'agit de lutter contre l'isolement social des familles monoparentales du quartier et redonner du sens à leur rôle de parent en tant que premier éducateur de leur enfant. Le but est de proposer des activités simples et peu couteuses que les familles peuvent reproduire soit chez soit entre elles.

Il s'agit de lutter contre l'isolement social des familles monoparentales du quartier et redonner du sens à leur rôle de parent en tant que premier éducateur de leur enfant. Le but est de proposer des activités simples et peu couteuses que les familles peuvent reproduire soit chez soit entre elles.

• Proposer une réflexion sur le thème des EgalitéS et de ce qu’elles impliquent. Comment les obtenir ? Quelles conséquences ? Comment les conserver ? A quel prix ?
• Faire se rencontrer des publics différents et des habitants. Déconstruire des préjugés et permettre la découverte. Les différents participants/tes du projet se sont retrouvés pour un moment acteurs et créateurs de savoirs, de connaissance.
• Enraciner le projet dans le territoire pour fédérer un large public à la fois d’adultes, d’enfants et d’adolescents/tes et notamment de personnes qui ne sont pas forcément habituées à voir et à pratiquer le théâtre.

effets obtenus:

• Effets produits :
  • Valorisation des ados par rapport aux habitants du quartier et des autres jeunes lors de leur représentation.
  • Implication des ados dans les événements de la MQ leur permet de trouver une place, un rôle.
  • Découverte et sensibilisation à certaines pratiques artistiques « à priori » moins abordable pour eux.
  • Première approche pour certains et acquisition de savoirs techniques pour d’autres en rapport avec la pratique musicale.
  • Développement d’apprentissages dans le processus de création collective.
  • Partage de moments conviviaux à la fois avec des habitants du quartier, mais aussi avec les ados des autres quartiers.
  • Pole identifié clairement identifié par les jeunes, moins par les parents ?
  • Inscription dans le parcours musical de l’usager. Cela permet des passerelles entre les différentes tranches d’âge.

Les loisirs sportifs proposés par le CSC aux jeunes de 11 à 17 ans n'accueillent qu'exceptionnellement des filles. On constate aussi que peu d'associations sportives interviennent sur notre territoire. La réticence des parents à laisser sa ou ses filles sortir le soir pour y participer est aussi un frein. A cela se rajoute la question de la mixité. D'où l'idée de proposer des actions qui leurs soient spécialement adressées, et ceci sur des créneaux adaptés.

Ce projet entend répondre à :

- l'égalité d'accès aux activités sportives,

- au développement et l'émancipation de ces jeunes filles.

Le projet Chasse aux œufs a vu le jour dans le cadre des NAP. Il était important de proposer un projet structurant pour les enfants où ils pourraient s'investir au fil des semaines créant différents mobiles - bricolages et éléments de décoration. Cette manifestation d'envergure communale met en partenariat avant tout le travail accompli par les enfants pour organiser cette manifestation qui se déroule sous forme de jeu de piste avec des résolutions d'énigmes.

L'espace jeunesse de notre MJC / Centre Socioculturel et son accueil loisirs "traditionnel" était arrivé à une impasse - les initiatives de nos animateurs semblaient ne plus trouver d'écho auprès de jeunes ; le service municipal de la jeunesse se trouvait dans la même situation ; ainsi, en partenariat étroit avec la municipalité, puis avec le collège et d'autres partenaires institutionnels, la MLIJ et d'autres associations partenaires, nous avons conduit un diagnostic jeunesse partagé à l'échelle de notre territoire. Munis de ces données froides et du résultat d'une enquête qualitative ayant mobilisé la quasi totalité des collégiens et de nombreux licéens du territoire, le CA de la MJC / Centre socioculturel proposa au comité de pilotage de valider l'action décrite ici et une autre intitulée Esti'Ados" qui fera l'objet d'une autre fiche action ... Les attentes des uns et des autres étaient de conduire une action d'animation socioculturelle  interpartenariale en direction du plus grand nombre possible de jeunes de notre territoire ; concomitemment il s'agissait de produire un élan de co-éducation mobilisation des acteurs différents de manière complémentaire ; visée : une lisibilité plus grande du rôle et des fonctions de chacun pour ouvrir le champ des trajectoires au plus grand nombre de jeunes.
 

Sur l’impulsion de la Fondation de France et de la Fondation des 3 Cyprès un groupement d’acteurs associatifs relevant des champs culturel, social et sportif s’est mobilisé autour de la problématique « Jeunes » en Pays d’Apt : il s’agit de la MJC d’Apt, l’ANPEP, Le Goût de Lire en Pays d’Apt, Le Vélo-Théâtre, Apt School Boxing, le Festival du Cinéma d’Afrique, le Centre Social et Culturel Lou Pasquié et le Centre Social Maison Bonhomme

L’idée étant de proposer un projet innovant qui met en œuvre les ressources et compétences des structures autour d’un objectif commun : l’accompagnement des jeunes de façon à ce qu’ils soient en capacité de faire des choix, de prendre des initiatives.

En effet, nous avons constaté que les jeunes ne fréquentent pas spontanément nos structures, ils y passent à l’occasion de stages, d’événements ponctuels… c’est-à-dire lorsqu’ils y sont obligés, le plus souvent par le système scolaire. Mais ils n’y reviennent pas , ne se saisissent pas des ressources que nous proposons car ils n’y ont pas d’intérêt propre, de motivation intrinsèque. D’où l’idée de la place que peut prendre l’adulte dans une posture d’écoute pour permettre aux jeunes d’identifier leurs besoins, leurs attentes et leurs envies, pour qu’ils soient en capacité de formuler des demandes propres et d’explorer leurs compétences et savoir-faire.

A ce stade de la réflexion, soit un an après son démarrage, une étape a été franchie dans l’harmonie qui nous unit. Nous voulons mettre au point une forme insolite qui déconstruise la vision habituelle de « guichet » où l’on vient chercher une réponse standard à une question qui renvoie à des problématiques singulières. Et cela  en concertation avec les jeunes.

Entre l’impératif de réussite matérielle et le risque de repli et de fragmentation, il est nécessaire de donner un espace à l’expérience de désirs singuliers et d’en rechercher la traduction en projets d’action.

Favoriser l'ouverture culturelle et l'épanouissement personnel.

- favoriser l'implication des bénévoles.

- Faciliter les rencontres du public avec les artistes

- Initier à l'art sous toutes ses formes.

- désacraliser le lieu en donnant envie aux parents d'élèves de franchir à nouveau la porte dans une démarche personnelle.

Temps fort festif et accessible organisé début décembre, croisant les publics et permettant des découvertes culturelles. Dans un quartier fortement marqué par les difficulés (rénovation urbaine, pauvreté, isolement, précarité, tensions...), les Z'Haubaneries sont l'occasion d'oublier un peu le quotidien, d'investir l'espace public et de faire des rencontres tant en animations et spectacles, qu'en croisant d'autres habitants de tous âges.
 

Plusieurs parents ont fait part à l'école et au centre social, de leur envie et besoin de se retrouver un moment pour discuter de questions liées à leurs relations avec l'école, l'éducation, l'évolution des rythmes scolaires. Les parents prennent déjà de manière informelle le temps de se retrouver après avoir déposé leurs enfants. Cependant, ils ont parfois des questionnements qui ne trouvent pas de réponses, de plus ils ne connaissent pas toujours les personnes ou institutions qui pourraient répondre à leurs interrogations.

Objectifs de l'action :

Apporter un soutien à la fonction parentale

• Valoriser les compétences des parents

• Favoriser les échanges et l'entraide entre les parents

• Favoriser le lien social

• Être à l'écoute des parents et les orienter vers les professionnels compétents

• Être relais sur des questions de parentalité, d'éducation et de relation à l'école

• Favoriser un lien école-famille-quartier dynamique

• Favoriser l'implication des parents dans le lien avec l'école

• Favoriser une utilisation responsable de l'outil internet,
• Prévenir les risques liés à l'usage d'internet (divulgation des données, piratage, arnaques…),
• Développer le lien social,
• Favoriser la communication intra-familiale à l'aide de ces outils,
• Favoriser l'accès au NTIC à tous,
• Lutter contre l'isolement social.
• Echanges intergénérationnels
• Transmission des savoirs

Le Centre Social a souhaité encadrer ce projet avec comme objectifs principaux de travailler la notion "d'engagement" et de "projet" avec les jeunes, axe de développement prioritaire dans le projet social 2015-2018 avec l'objectif futur de les rendre autonome dans ces démarches mais également de favoriser l'ouverture d'esprit, la curiosité interculturelle et d'initier les jeunes à la mobilité.

Son rôle consiste ainsi à accompagner ces jeunes dans le montage de projet en les initiant aux procédures indispensables : définition des objectifs, des moyens, planification des actions de financement, montage de dossier de financement… Ces apports théoriques sont abordés de manière ludique et participative. Le Centre Social est également un garant pour les jeunes dans leur démarche de recherche de financement ainsi qu'un coordonnateur entre les différents partenaires (Teraanga, collège, autres groupes de jeunes…). De plus, le Centre Social assurera l'encadrement de ces jeunes mineures lors du voyage en Afrique.

Engagement dans un projet, autonomie des jeunes, mobilité, ouverture d'esprit, coopération,  découverte et respect de cultures différentes... sont autant de résultats attendus

Elle répond à une problématique de solitude repérée sur le territoire auprès des personnes bénéficiaires du portage de repas à domicile suite à une enquête réalisée auprès de celles-ci. Le but est de diminuer cette solitude par le biais de mise en place de visites de convivialité.
 

Cette action a été mise en place suite à la concertation et à la remontée des besoins des partenaires.

L'élaboration de l'action s'est construite en coordination avec la directrice de l'école suite à des intêrets partagés. 

La directrice souhaitait ouvrir l'école aux parents, mais aussi offrir aux parents un espace d'échange et de parole. Nombreux étaient les parents qui restaient devant l'école après avoir déposé leurs enfants pour échanger entre eux.

Le référent famille souhaitait toucher un nouveau public jusque là éloigné de ses activités et pouvoir ainsi s'inscrire dans le quartier politique de la ville. Il est à noter qu'il existe de vives tensions entre l'école et certains parents d'élève, d'où également l'intéret du café des parents qui offre un espace de parole "médiatisé".

La première année a été une réussite car le café a accueilli une quinzaine de participants par scéance. Il est donc reconduit et est amené à se dévellopper au sein de l'école primaire du quartier sur un autre créneau horaire.    

Plusieurs animateurs ont fait part lors de réunions de comportements de rejet de l’autre de la part d’enfants ou de jeunes.

Lors d’une réunion de la commission famille d’Odyssée, il a été évoqué la volonté de mettre en place d’une action sur les violences faites aux femmes. Le 8 mars 2016 est la journée internationale pour les droits des femmes.

Le 21 mars 2016 est la journée mondiale d’Education contre le racisme et les discriminations.

Du 5 au 27 mars 2016 : Le printemps des poètes incite le plus grand nombre à célébrer la poésie partout en France quelle que soit sa forme d'expression, à l'image de la Fête de la Musique autour d’un thème. Cette année le thème est : « Le Grand Vingtième », célébration d’un siècle riche en poètes engagés.