Les actions des centres sociaux
Actions
"TREPORT EXPRESS" Découvrir sa ville tout en s'amusant.
- Structure organisatrice
- ESPACE SOCIAL ET CULTUREL L'ANCRAGE - Seine-Maritime
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
C'est une action ponctuelle qui se renouvelera chaque année avec de nouveaux défis, et de nouveaux publics.
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- Mixité sociale
- Résumé
Tréport Express est un jeu de parcours de 15 kms dans la ville du Tréport organisé sur une journée, avec 12 point d'arrêts. Des équipes de 2 à 5 personnes ou des familles sont réparties sur des parcours de couleurs. A chaque étape, un bénévole est présent pour poser une question sur l'histoire et le patrimoine tréportais, un défi est aussi proposé afin de passer à l'étape suivante. Cette activité allie patrimoine local et sport. Il se réalise un samedi de juillet. La remise des prix en fin de journée a été l'occasion pour chacun de savourer ces instants, même les derniers arrivés étaient fiers de leur exploits et des savoirs et des surprises qu'ils ont pu recevoir tout au long de ce parcours. En octobre, tous étaient conviés à la projection du film réalisé au cours de cette journée, cettte soirée était festive et convivial.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le projet est le fruit des échanges avec les jeunes ados qui fréquentent l'Ancrage. Dans un contexte socio-économique difficile, certains jeunes semblent avoir d'importantes carences éducatives(encadrement, règles de vie en collectivité, acceptation des contraintes..). Ce projet permet aux jeunes un accès à la découverte culturelle et sportive. La configuration géographique du Tréport est particulière, le Tréport se divise en 3 zones: 1) le centre ville c'est à dire le vieux port au pied des falaises et ses quartiers de pêcheurs, 2) la zone d'activités excentrées du Tréport appelée le Tréport moderne, 3) les quartiers des Terrasses qui se situent sur les hauteurs des falaises. Ils sont éloignés du centre ville mais une liaison entre ces deux zones est assurée par un funiculaire. Notre structure se trouve aux Terrasses, une frontière existe entre les quartiers du "Haut" et les quartiers du "Bas". Les jeunes et même les adultes ne se "mélangent "pas, le constat est que personne ne connaît sa ville. L'objectif de cette activité est de créer du lien entre les générations, entre les quartiers. Faire en sorte que chacun s'ouvre à la culture tout en s'amusant.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Caf
- Commune
- DDCS
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Dès février, mobilisation des jeunes et des bénévoles sur le projet, présentation du projet, élaboration de la démarche. Chaque mercredi après-midi, des ateliers créatifs sont proposés pour la confection de flyers, banderoles publicitaires, chasubles, drapeaux, brassards etc...Recherche de financement et de partenaires locaux(office du toursme, service culturel et médiathèque du Tréport). Elaboration des questions sur le patrimoine tréportais avec les bénévoles, 4 réunions avec les bénévoles adultes ont été neccessaire pour clarifier les données de chacun et finaliser le questionnaire.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
la DDCS a financé a hauteur de 46.50%, la ville du Tréport 53.50% + contribution volontaire (bénévolat)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
20 bénévoles adultes, 10 bénévoles ados, 4 professionnels
- Résultat sur le territoire
Meilleure connaissance de notre commune. Renforcer le partenariat local. Mixer la population, faire connaître les différents quartiers et histoire de notre commune. 120 personnes ont participés. De 9 mois à 72 ans.
- Résultat pour le centre social
Effet positif sur le Centre Social, ce jeu a généré des adhésions et a fait connaître notre structure aux publics "du bas". Cela a permis de renforcer l'équipe de randonneurs de l'Ancrage, de renforcer le partenariat avec des structures locales. Certains bénévoles sont allés au delà de leur engagement de départ. Les liens intergénérationnels se poursuivent pour d'autres actions. Un groupe d'habitants acteurs dynamique et très investi.
- Résultat pour les habitants
Satisfaction personnelle de chacun des participants, épanouisssement, entr'aide et solidarité; Les échanges ont permis à certains publics de se retrouver après.
- Suite de l'action : Limites
Veiller a diversifier le contenu de cette action pour la prochaine édition.
- Suite de l'action : Perspectives
Renouveler cette action sous une autre forme, avec un autre support pédagogique comme l'environnement, la faune et la flore etc...
Actions
SANS TITRE - 2943
- Structure organisatrice
- LA FABRIQUE LOUIS BLANC - CENTRE SOCIAL - Seine-Maritime
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Mots clés associés à l'action
-
- Résumé
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Territoire concerné
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Parents école
- Structure organisatrice
- LA FABRIQUE LOUIS BLANC - CENTRE SOCIAL - Seine-Maritime
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Résumé
Cette action a pour vocation à inciter les parents à revenir au sein de l'école préélémentaire Louis Blanc et de construire une nouvelle relation entre les parents et l'équipe éducative.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Importance de la monoparentalité, surenchérie d'une précarite sociale.
- Nombre de familles fragilisées et concentrées sur une partie du territoire du Centre Social de l'Espace Val Soleil (habitat collectif). Il existe aussi des difficultés à impliquer les familles (écoles, accompagnement à la scolarité, loisirs familiaux....).
- L'objectif de l'action parents école est de mobiliser les parents sur une thématique liée au projet d'école, et renforcer les liens parens-école favorisant la réussite scolaire des enfants en confortant les parents dans leur rôle éducatif.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Le thème abordé sur 2015 était celui du langage. Les parents mobilisés ont souhaité s'investir en réalisant des jeux de société qui ont été distribués dans les classes. Elles ont fabriqué un jeu géant qu'elles ont animé lors de la kermesse de l'école en mai.
Il y a eu 19 temps dont :
- 1 présentation/construction projet avec la directrice et les institutrices.
- 1 réunion de présentation avec les institutrices et les parents.
- 16 séances avec les parents impliqués dont séances parents - enfants.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget REAAP
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Deux professionnelles de l'Espace Val Soleil : Les deux référents familles.
- Résultat sur le territoire
- Meilleure communication entre l'équipe éducative et les parents.
- Implication de nouveaux parents dans la vie de l'école.
- Valorisation des parents auprès des enfants à travers cette action.
- Résultat pour le centre social
- Renforcement du partenariat entre l'Ecole pré-élémentaire Louis Blanc et le centre social de l'Espace Val Soleil.
- Connaissance et travail avec de nouvelles familles du territoire.
- Résultat pour les habitants
L'ensemble des enfants de l'Ecole Maternelle Louis Blanc a été touché par le projet, soit environ 150 enfants. Les parents se sont impliqués dans la réflexion et l'animation. Ils ont émis de nombreuses propositions et ont pris des initiatives. Une dynamique de groupe s'est rapidement enclenchée.
5 mamans ont participé et suivi le projet, elles se sont impliquées jusqu'au bout.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
- Renouvellement de l'action pour le contrat de projet 2017/2020.
- Aujourd'hui, l'équipe éducative est beaucoup plus impliquée, partenaire sur cette action.
Actions
Projet d'accompagnement des 16/25 ans
- Structure organisatrice
- ESPACE SOCIAL ET CULTUREL L'ANCRAGE - Seine-Maritime
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Démocratie & citoyenneté
- Intégration
- Résumé
Mise en place d'un accueil spécifique des 16/25 ans. Accompagner ces publics dans leurs démarches de projets. Ce projet est une proposition globale d'accompagnement des jeunes 16/25 ans qui englobe l'ensemble des problématiques repérées depuis 2016. Ce n'est en aucun cas une succession d'actions mais plutôt des démarches transversales se recoupant sur la variable de l'âge et avec parfois des thématiques similaires, par exemple: l'illetrisme et le décrochage scolaire qui font l'objet de projet en réseau sur le territoire local. C'est un accompagnement collectif et individuel.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L'idée de ce projet est apparue au moment du renouvellement du contrat de projet de la structure. Les réunions de diagnostic ont fait émerger un besoin particulier autour de la tranche d'âge 16/25 ans. Le pôle jeunesse de la structure accueille les jeunes de 14 à 17 ans dans le cadre d'un accueil de jeunes. A partir de 16 ans les besoins des jeunes ne correspondent plus vraiment à ce projet pédagogique proposé. Ils sont en demande de sorties culturelles plus en accord avec leur âge, ont des problèmatiques liées à l'insertion sociale et professionnelle: Difficultés scolaires, décrochage scolaire, illetrisme,recherche d'emploi, prévention des comportements à risque et sexualité... Pour autant ces jeunes adultes ne se sentent pas à leur place au sein du secteur adulte ou famille de la structure. C'est pour cette raison que l'équipe du secteur jeunesse du centre social a souhaité initier une démarche particulière auprès de ces publics afin de les accompagner au mieux et de leur donner une place au sein de notre structure correspondant à leurs attentes. Accompagner les jeunes dans la construction de leur projet de vie d'adulte est un des axes de notre projet social.
- Public
- Jeunes adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Caf
- Commune
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Cette action a commencé au 1er janvier 2017, nous sommes en phase d'expérimentation. Des outils ont été créés (réglement, fiche d'inscription, fiche de suivi, bilan intermédiaire). Mise en place d'actions spécifiques vers cette tranche d'âge. Mise en place d'une tranche horaIre d'accueil dans notre structure pour ce public. Suivi individuel via la fiche de suivi. Accompagnement dans la mise en place de ses démarches. Un accompagnement physique peut être nécessaire. Des sorties seront proposées: salon de l'étudiant,le CRIJ, loisirs spécifiques, festivals pour la prévention des comportements à risque en milieu festif...Favoriser la participation des jeunes. Des groupes de travail ont eu lieu avec la mission locale (un conseiller de la mission locale assure une permanence ponctuelle au sein du centre social), avec le lycée voisin de la structure.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
pas encore vérifiable
- Résultat pour le centre social
Relation de confiance avec les jeunes.Reconnaissance du Centre social auprès des publics mais aussi auprès des partenaires pour son rôle de mobilisateur.
- Résultat pour les habitants
aider les jeunes, leur redonner confiance et assurance dans la réalisation de leur projet. Une meilleure connaissance des institutions de leurs compétences et de leur fonctionnement.
- Suite de l'action : Limites
Action en développement
- Suite de l'action : Perspectives
Poursuivre l'action
Actions
Conseil des parents
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL LA FABRIQUE PRE FLEURI - Seine-Maritime
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Le conseil des parents réunis une fois par mois des parents du territoire autour de la référente famille. Ils font ensemble le bilan des actions destinées aux parents (mais pas que) qui ont eu lieu et ils se projettent sur les actions à venir, en donnant leurs idées d'actions ou d'activités. C'est donc un lieu où les parents peuvent s'impliquer dans le fonctionnement de la structure et influer sur la mise en oeuvre des actions pour que celles-ci répondent à leurs besoins et à ceux des parents du territoire. C'est également un moment convivial où les parents échangent entre eux sur leur problématiques, leur bons plans etc. Chaque mois un parent ayant participé au conseil des parents du mois participe au conseil de maison, qui est l'instance de copilotage du projet sociale par les habitants. Il fait le compte-rendu de ce qui a été dit au conseil des parents, pour, le cas échéant, discussion ou validation par les membres du conseil de maison.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Autre
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place pour permettre à des parents qui avaient des enfants en bas âge de s'impliquer dans le copilotage de la structure, au même titre que les membres du conseil de maison. En effet, les réunions du conseil de maison (comité d'habitants) se déroulent en soirée, de 19h à 21h, et plusieurs parents qui ont manifesté leur envie d'y participer ne le pouvaient pas parce qu'ils ont des enfants en bas âge, sans mode de garde à cette heure là.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Autre
- Territoire concerné
- Autre
- Description générale
Un groupe de parents, 3, a participé à une réunion du conseil de maison. Ils ont manifesté leur envie d'y participer, durant cette réunion, et ont demandé s'il était possible d'aménager les horaires. Après discussion avec les membres du conseil de maison, aucun compromis satisfaisant n'a été trouvé. Il ne fallait pas, pour inclure de nouveaux membres, empêcher des membres déjà présents de participer. La référente famille du centre social a réunis les parents intéressés, 5, et leur a proposé de les réunir régulièrement avant les conseils de maison, à des heures qui leur convenaient. C'est ainsi que les premières réunions ont commencé, début 2017. Depuis, les réunions ont été ouvertes à tous les parents intéressés. Entre 4 et 8 parents sont présents à chaque réunion.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Valorisation RH : 1500€ / an
Budget convivialité : 120€ / an
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
entre 4 et 8 par réunions
une quinzaine en 2017
- Résultat sur le territoire
Meilleur prise en compte des particularité des familles avec des enfants en bas âge par le centre social, dans la mise en oeuvre de ses actions.
- Résultat pour le centre social
En 2018, une action a été mise en place suite aux conseil des parents, le petit déjeuner entre parents. Cette action démarre juste. Elle est animée et organisée par des parents qui participent au conseil des parents. Il s'agit de temps d'échange entre parents autour d'un café, d'un thé, de petits gateaux etc., en présence de la référente famille.
- Résultat pour les habitants
Globalement les conseils des parents permettent de recueillir l'avis d'un public spécifique, les parents ayant notamment des enfants en bas âge, en complément de l'avis des habitants impliqués dans la gestion de la structure via le conseil de maison. Cela permet d'orienter les actions pour répondre plus efficacement à leurs préoccupations.
- Suite de l'action : Limites
Difficulté à trouver un créneau qui convienne à tout le monde et difficulté parfois à trouver dans le groupe de parents présents, un qui puisse participer au conseil de maison.
- Suite de l'action : Perspectives
L'action en est toujours à ses débuts puisque ce n'est que la deuxième année de mise en oeuvre. L'enjeu actuel est toujours d'en faire la publicité pour faire venir davantage de parents, notamment des parents de différents milieux ou différentes parties du territoire. Risque en effet de transformer cette instance en groupe fermé à d'autres habitants qui souhaiteraient aussi donner leur avis.
Actions
Orgemont s'habille pour l'emploi
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIOCULTUREL FÉLIX MERLIN - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Action ponctuelle d'une durée de 7 semaines, reconduite chaque année suite au bilan d'évaluatin avec les partenaires
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- Résumé
Action d'insertion professionnelle basée sur l'estime de soi et la dynamique collective
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pour remettre les demandeurs très loin de l'emploi dans une dynamique, pour certains le retour à l'emploi est très envisageable
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
stage intensif sur 7 semaines, tous les matins de 9 à 12 h 00.
8 intervenants pour travailler l'estime de soi, le positionnement professionel, le : un intervenant en développement personnel, un intervenant en informatique, un professionnel de l'emploi pour les CV et lettre de motivation, un intevenant en informatique, une sophrologue, une socioesthéticienne, une psychologue, un intervenant conseil en image
- Ressources financières mobilisées pour cette action
5685 euros
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
12
- Résultat sur le territoire
retour à l'emploi pour certains en CDD et en CDI, toufefois, la perte de l'emploi après une période d'essai est un problème assez récurrent.
- Résultat pour le centre social
Les bénéficiaires du stage viennent témoigner l'année suivante de l'effet positif que le stage a eu sur leur comportement face à l'emploi
- Résultat pour les habitants
Certains habitants ont retrouvé un emploi ou un stage
- Suite de l'action : Limites
Action reconduites chaque année suite au bilan positif
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Le jardin éducatif de Mitry
- Structure organisatrice
- ACSA - CENTRE SOCIAL MITRY AMBOURGET - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Démocratie & citoyenneté
- Environnement
- Résumé
Dans un quartier où le sentiment de relégation est omniprésent depuis déjà plusieurs années, les habitants ne cessent d'exprimer un besoin d'amélioration de leur cadre de vie. De plus, le seul espace urbain de vie et de lien social reste le square sur-occupé pendant les périodes estivales.Ce projet est porté par les habitants eux-mêmes et répond à un besoin exprimé de créer un espace d'échange et d'amélioration du cadre de vie.
Ce projet a pour démarche de faire prendre conscience de l'importance du respect de l’environnement et du cadre de vie. Nous insisterons sur un point central ; ce jardin sera vecteur de valeurs de partage et respect du bien commun.
Nous mettrons en place des ateliers d'aménagement des espaces potages et de préparation du fleurissement futur.
Les axes de travail seront :
- atelier de formation aux jardinages à destination des habitants (les thèmes abordés seront l'entretien et préparation du sol, compostage, engrais, protection naturelle, développement de la plante, terminologie),
- temps d'animation valorisant le savoir-faire des habitants mettant en lien les parents avec les enfants : entretien, aménagement du potager
- sorties pédagogiques : L'art du Jardin au Grand Palais, parc Terrabotanica, visite de la serre municipale, atelier nature au parc du Sausset, maison de l'environnement, cueillette de Compans
- atelier de sensibilisation au recyclage et à l'écologie et atelier de bricolage, activité artistique autour du jardin (sculpteur sur bois)
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pourquoi cette action? Les objectifs de l'action sont les suivantes:
- créer du lien social intergénérationnel
- améliorer le cadre de vie des habitants de Mitry
- sensibiliser aux pratiques écologiques
- préfigurer un projet d’aménagement autour de jardin partagé
- responsabiliser les enfantsL’espace jardin est aménagé au cœur du quartier de Mitry, sur l'ancien espace de jeux juxtaposé à la place minérale, à l’arrière de la rue du 8 mai 1945. Cet espace était un terrain vague qui a nécessité un aménagement afin de prendre la forme d'un jardin pédagogique.
- Public
- Enfance
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Bailleur social
- Commune
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Dans le cadre d’intervention du centre social, l’initiative habitant prend une place importante. Ce projet prend ses racines dans une démarche purement citoyenne. Un groupe d’habitants s’est mobilisé dans une volonté d’améliorer le cadre de vie du quartier.
Dans ses missions d’accompagnement, le centre social a su être un lieu ressource et un support afin que ce groupe d’habitants puisse structurer leur projet. De plus, le centre social a servi d’interface avec les services de la ville afin de faciliter le lien et fédérer autour du projet.
Le projet a débuté le 20 janvier 2015. Le centre a accueilli 4 réunions de travail réunissant tous les partenaires nécessaires au projet.
Une consultation des habitants a été menée par le collectif d'habitants. Un porte-à-porte a été organisé afin de recueillir les avis et mobiliser des habitants sur le montage d’un jardin pédagogique en bas de leur habitation.
bâtiment
Total logements
Avis favorable
indifférent
absent
Non visité
Huit mai 1945
115
75
4
36
0
Croix Nobillon
30
11
0
9
10
Châtaigniers
55
23
1
31
0
TOTAL
200
109
5
76
10
Ce porte-à-porte nous permet de constater que ce projet a une portée fortement positive dans le quartier.
La dégradation du cadre de vie est un sujet récurrent chez les habitants. L’aménagement d’un jardin a permis d’apporter une plus-value en termes d’espace de rencontre et de convivialité. Les passants s’arrêtent, discutent, échangent autour du jardin. Afin de créer les conditions de cette convivialité.
Les partenaires mobilisés:
- Le service Espaces verts
- le service politique de la ville
- Le service du Plan local de prévention des déchets
- Le bailleur OPHLM
Un atelier de compostage, une visite à la serre municipale, une sortie à la cueillette de Compans ont été organisés dans un but de sensibilité les enfants et adultes aux principes du jardinage et à écologie. Une après-midi consacrée au ramassage des détritus a été organisée. Ces sensibilisations ont permis de faire découvrir des pratiques méconnues des habitants. Beaucoup de participants n’avaient aucune connaissance en jardinage. Ce projet leur a permis de découvrir les méthodes et pratiques de cette saine activité.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- 11 animations autour du jardin ont été mise en place
- À partir de mercredi 15 avril :
- présence quotidienne des adultes du collectif d'habitants afin d’aménager le jardin
- présence quotidienne des enfants à partir de 17h00 afin aider à aménager le jardin, planter et l’entretenir.
Temps d’animation d’atelier autour du jardin :
- Avril : 34 participants
- Mai : 44 participants
- Juin : 63 participants
- aout : 75 participants
- septembre : 84 participants
- octobre : 72 participants
Présence quotidienne pour l’entretien du jardin :
- 441 présences (en moyenne 7 participants sont présents chaque jour)
Le public participant au projet est composé habitants avec un équilibre au niveau de la mixité (2 porteurs de projets masculins et 2 porteurs de projet féminins)
Le projet a pour cœur de cible la relation adultes-enfants : un groupe de 12 enfants du quartier viennent régulièrement au temps d’animation et quotidiennement pour l’entretien du jardin.
Les enfants participants au projet proviennent du vivier d’enfants occupant l’espace public en fin d’après-midi.
- Résultat sur le territoire
- amélioration du cadre de vie
- valorisation du territoire
- Résultat pour le centre social
- Développment du bénévolat lié à l'activité du jardinnage
- Favorise les initiatives citoyennes
- Developpement d'une action sous le theme de l'écologique
- Résultat pour les habitants
- amélioration du cadre de vie
- lieu d'echanges et de convivialités
- initiation au jardinnage dans un paysage trs urbanisé
- Suite de l'action : Limites
Les obstacles rencontrés ont été d’ordre technique, car un jardin nécessite une arrivée d’eau à proximité afin d’arroser les plantes. Le bailleur s’était engagé à installer une arrivée d’eau. Cet aménagement a été installé tardivement. Ce qui a nécessité d’employer un système D en descendant des seaux d’eau par une corde.
Le manque de formation des porteurs du projet dans le domaine du jardinage a été une problématique dans l’organisation des temps de plantation et d’entretien du jardin. Forte heureusement des membres de l’équipe du centre social avaient quelques notions et ont apporté leur savoir-faire aux habitants.
- Suite de l'action : Perspectives
- Aménager un espace convivial autour du jardin
- Poursuivre l’accompagnement du collectif en association
- Préfigurer un projet d’aménagement autour de jardin partagé
Actions
prevention délinquance en direction des jeunes
- Structure organisatrice
- Maison de quartier EDMOND MICHELET - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Collectif jeunesse :
La création du collectif jeunesse relève de l'initiative des services sociaux du Conseil Général (DPAS de Sevran) et de celle de la Ville de Sevran. La Mission prévention des conduites à risques du Conseil Général (qui depuis a fusionné avec la Mission Drogues de PARIS) a alors été missionnée,plus particulièrement Betty Azocar, pour réaliser un diagnostic de la situation. En avril 2012, une restitution a été proposée aux professionnels.
Du côté des publics, plusieurs problématiques ont été identifiées : apporter des informations en particulier sur l'alcool et le cannabis, prendre en compte les différents publics (jeunes scolarisés, jeunes consommateurs, environnement familial), travailler autour de l'engagement des jeunes dans le trafic, la déscolarisation (absentéisme, décrochage, exclusions), l'insertion professionnelle (renforcer l'insertion des jeunes dans les activités structurantes), la question du genre (rapports filles/garçons, sexualité à risque, grossesses précoces, violences), les souffrances psycho-sociales (estime de soi, construction identitaire, santé mentale, besoin d'écoute, d'espace de paroles et d'expression). Du côté des professionnels, plusieurs problématiques ont émergé : un manque de visibilité de la politique jeunesse, des questions liées à l'organisation (un défaut d'articulation et de coordination des acteurs, un défaut de connaissances des missions de chacun), le besoin d'un travail autour des postures et pratiques, développer des actions concrètes et communes.
Plusieurs objets de travail ont été cités : consommation de produits, trafic et économie de la rue, déscolarisation, insertion socio-professionnelle, question de genre et souffrances psycho-sociales
Des modalités de travail ont été proposées : formations, groupes de travail , actions et évaluation.
Lors du Comité de pilotage d'avril 2013 présidé par l'élu à la jeunesse, et afin de relancer la dynamique engagée par la formation prévention lancé en 2012 par la Mission du Conseil Général, il est décidé de recruter un coordinateur. Au cours de ce comité, des axes de travail sont également identifiés : autonomiser le réseau de professionnels, la mise en place d'un groupe de travail sur la prévention du trafic et l'organisation de deux séances de formations en direction des cadres et pour les professionnels de terrain n'ayant pas pu bénéficier des sessions précédentes. En juin 2013, un coordinateur est donc nommé, chargé d'assurer le pilotage du collectif en lien avec la Mission Métropolitaine de Prévention des Conduites (Paris/ Seine Saint Denis).
Quatre groupes de travail thématiques sont constitués par les professionnels à l'issue des formations prévention : estime de soi, prévention en milieu scolaire, le réseau inter-professionnel, la prévention du trafic.
La question de l'addiction est retenue; c'est un choix cohérent avec le contenu des formations proposées par la Mission Métropolitaine des conduites à risques.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place pour répondre au besoin de la prévention de la délinquance et dans le cadre de prevention des addictions
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Collectif jeunesse :
Le bilan qui est proposé s'est donc effectué à partir du travail réalisé dans ces quatre groupes qui se sont réunis en ateliers de septembre 2013 à juin 2014. Ces quatre groupes sont composées par des professionnels issus du secteur du social, de l'animation, de l'insertion, de l'éducation nationale, du médical, même si ce secteur demanderait à être davantage représenté.
2 agents participent à 2 groupes, un dans le groupe « estime de soi » et le second dans le groupe de « prévention de l'engagement dans les trafics »
L'estime de soi est un concept qui a été beaucoup développé en Amérique du Nord, notamment par les canadiens (Québec). Il renvoie au concept d'emporwement (le pouvoir d'agir de l'individu) la capacité de l'individu à développer et à s'appuyer sur son propre potentiel.
L'estime de soi s'attache donc à travailler autour de la notion de renforcement des compétences psycho-sociales de la personne. Pierre Arwindson décrit le développement de ces programmes en 3 étapes : la première étape a été le constat de l'échec des programmes de prévention primaire des toxicomanies qui reposaient sur la peur, dans les années 70'. C'est à partir de ce constat que les professionnels ont fait appel à la psychologie sociale et aux pratiques cognitivistes qui s'appuient sur l'étude du comportement humain et sur l'apprentissage. Ces techniques sont spécialisées sur les formes conscientes du psychisme. La deuxième étape a consisté à élaborer des programmes où les promoteurs cherchaient à renforcer les compétences des adolescents pour les aider à faire face à la pression sociale, à l'échec, au stress sans avoir recours aux psychotropes. Ces nouveaux programmes étaient limités dans le temps et dans leurs objectifs mais ils ont semblé efficaces par rapport aux consommations des jeunes qui ont baissé . La troisième étape a vu la généralisation de cette approche dans les années 85-90'. Ils proposent des activités éducatives destinées à promouvoir la santé, en particulier mentales des élèves et des étudiants. Cette nouvelle approche s'inscrit dans les textes de l'Organisation Mondiale de la Santé qui propose en 1993 une définition :
« les compétences psychosociales sont la capacité d'une personne à répondre avec efficacité aux exigences et aux épreuves de la vie quotidienne. C'est l'aptitude d'une personne à maintenir un état de bien-être mental en adaptant un comportement approprié et positif à l'occasion de relations entretenues avec les autres, sa propre culture et son environnement. » Une liste de dix compétences psychosociales (ou aptitudes essentielles) a été établie : savoir résoudre le problèmes / savoir prendre les décisions / se calmer-réfléchir avant d'agir / exprimer le problème et ce qui et ressenti / choisir un but positif/ imaginer toutes le solutions possibles / évaluer les conséquences/ essayer le premier plan / avoir une pensée créatrice / avoir une pensée critique.
Le groupe Estime de soi du collectif s'est réuni à plusieurs reprises cette année (5 rencontres) dans de lieux différents (CS Marcel Paul, Collège Painlevé, PEIF,) avec une visite à la Mission Métropolitaine à Pantin. Une quinzaine de professionnels a participé de manière active à ce groupe. L'essentiel des échanges aura porté sur la présentation d'outils qui permettent de travailler autour de l'estime de soi avec les publics; la présentation de ces outils s'est faite par des collègues qui en ont une bonne pratique comme M.-T. Gaudier de la Mission Métropolitaine ou G. Desricourt de la Mission Locale et les collègues du service RSA . Il existe ainsi pléthore d'outils, souvent ludiques qui permettent de travailler, de mettre en valeur les compétences des personnes.
Groupe prévention en milieu scolaire :
L'école est un lieu important pour travailler cette question de consommation de produits avec les adolescents . Le groupe s'est réuni à 4 reprises, groupe composé des professionnels de l' Education Nationale et des éducateurs de l'association de prévention spécialisée Arrimage.
Ces différentes rencontres auront permis d'élaborer un projet d'intervention que nous avons présentés aux différents établissements scolaires de Sevran. Le coordonateur du collectif s'est également rapproché du CRIPS -Ile de France. Au cours de cette année, à l'initiative de notre collègue Sonia Marossa, assistante sociale au collège Painlevé à Rougemont, une matinée d'échanges autour de la prévention, consommation de cannabis, tabac a été organisée, animée par le Docteur H. Touitou. Cette rencontre a réuni une dizaine de personnes du collège.
Ce projet pour 2014-2015 a pour objectif global de proposer un travail visant à développer les compétences de chaque élève à faire des choix et à se positionner de manière favorable pour sa santé .
Au niveau du déroulé , 3 temps seront proposés :
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1er temps: informations, échanges avec les élèves autour de leurs connaissances des produits , de leurs représentations, de leurs environnement (rapport avec les pairs)
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2ème temps: :réflexions sur la question des comportements de consommation et eds conduites à risques au travers d'interventions théâtrales. Le théatre Forum peit-être un outil pertinent dans la mesure où il propose au public d'être acteur dans des situations de conduites à risques (mise en scène) Possibilité de disposer de l'espace F. Mauriac.
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3ème temps: création de messages de prévention par les élèves ( concours d'images et de scénaris en utilisant des supports numériques)
Ce projet pourrait concerner 2 à 4 classes par établissement, en ciblant à priori les élèves les plus âgés.
Groupe prévention de l'engagement dans les trafics :
Cette démarche est expérimentale, peu de villes l'ont initiée en France. Cinq rencontres ont eu lieu sur ce thème dans notre groupe. La rencontre avec les collègues de Marseille (ADDAP 13) aura été importante. A-M Tagawa et L Choulak nous ont fait part de leur expérience dans ce domaine. L'idée est d'arriver à prévenir l'entrée des jeunes dans cette économie de la débrouille et de faciliter la sortie de certains de ces jeunes pris dans l'engrenage ds trafics.
Leur groupe de travail est issu du CLSPD (conseil prévention de la délinquance). Elles ont constitué un groupe de 15 personnes, se réunissant tous les mois. Ce groupe est accompagné par un tiers, sociologue. L'objectif est de réfléchir et de mettre en place des actions sur le territoire, en abordant également la question de la méthodologie. Trois axes sont retenus : les trajectoires familiales, le contexte des quartiers et le travail social communautaire. Ils ont aussi constitué un groupe habitants qui se réunit une fois par mois et qui n'est pas en lien direct avec les professionnels.
Le groupe des professionnels a réfléchi sur leurs modalités de fonctionnement et des critères ont été établis : régularité ds rencontres (1 fois par mois), cooptation pour l'entrée dans le groupe, constitution d'un groupe pour une année (une personne absente ne se fait pas remplacer par un autre collègue du service), restitution du travail effectué sachant que le comptes-rendus ne sont diffusés qu'aux membres du groupe.
De nombreux thèmes ont été abordés par ce groupe de Marseille intitulé « questions de réseaux » : les postures professionnelles, connaissances du problèmes et du public, le statut des participants, le soutien aux parents et aux adultes encadrants, les facteurs de compréhension de la situation de ces jeunes et de ces familles, l'expertise des habitants et des jeunes concernés, les allers et retour dans le trafic, la sortie de ces trafics, les rapports avec la Police, l'intervention en milieu carcéral, l'accès aux droits pour ces jeunes et leurs familles .
A Sevran, nous allons pouvoir nous appuyer également sur l'expérience de l'équipe de la Mission Métropolitaine des Conduites Risques et plus particulièrement celle de Catherine Jouaux qui à lancé ce type de travail dans un quartiers du Nord de Paris .
Concernant le collectif, nous sommes entrain de mettre en place un groupe d'une quinzaine de personnes en nous inspirant des modalités décrites par nos collègues de Marseille. Le groupe devrait être définitivement constitué fin juin 2014. Nous avons aussi retenu des critères de fréquence des rencontres, de confidentialité, de stabilisation du groupe afin que les personnes se sentent en confiance par rapport à un sujet très délicat. Dans un premier temps, nous allons travailler sur un état des lieux de ce qui se passe sur le territoire de Sevran. Cette première étape nous semble nécessaire afin de savoir de ce que l'on parle et de sortir des fantasmes. Mieux connaître la situation doit permettre d'envisager des actions collectives et s'outiller soi-même pour les suivis individuels. Ceci devrait nous permettre de mieux appréhender l'impact de ces trafics sur la vie des quartiers (espace public, délitement du lien social). D'autres axes pourront être ensuite proposer à la réflexion : la question du partenariat à mobiliser (justice, bailleurs sociaux, accès aux droits pour les familles ), la question de l'apport théorique pour mieux comprendre les facteurs de vulnérabilité sociaux et psychologiques qui interviennent dans les « décrochages » de ces jeunes, la compréhension des réponses pénales face aux actes posés par ces jeunes, la place des habitants et des acteurs associatifs dans ce travail préventif qui vise à prévenir l'entrée des jeunes et faciliter leurs sorties des trafics. Ce travail de réflexion, d'échanges et de rencontres, s'avère nécessaire avant d'aborder la phase opérationnelle , en direction du public.
Groupe réseau inter-professionnel :
Un double objectif a participé au travail de ce groupe:
- d'une part, identifier les différents acteurs du territoire intervenants dans le secteur de l'addictologie ;
- d'autre part, créer du lien entre les membres du collectif et ces structures qui peuvent être des points d'appui en termes de conseils, d'orientation pour le public suivi par les professionnels du collectif
Trois rencontres ont donc été organisées cette année avec le CSAPA GAINVILLE (consultation jeunes), le CAARUD Aurore (ex FIRST) et le secteur addictologie de l'hôpital R. Muret. Une vingtaine de personnes du collectif a participé régulièrement à nos rencontres.
Le groupe a noué un partenariat avec la Commission Addiction du CHSCT de la Ville de Sevran. animée par Sami Melliti. En effet, le coordinateur du collectif a été invité à participer aux différente réunions de cette commission. Ainsi , nous avons été partenaires dans l'organisation de la manifestation autour de la prévention des addictions qui s'est déroulée le 3, 4 et 5 juin 2014 à l'Espace F Mauriac.
Par ailleurs, cette commission a organisé une journée de formation sur la consommation de produits animée par Alcool Assistances qui a réunit une trentaine d'agents de la Ville. Un travail de coordination sera, à termes, sans doute nécessaire dans le cadre de formations proposées en direction des agents de la ville.
-
- Ressources financières mobilisées pour cette action
3500€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
200 jeunes
45 professionnels
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Un Goûter presque parfait
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ROMAIN ROLLAND - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Cette action a été organisée ponctuellement dans le cadre de l'accompagnement scolaire lors de l'année 2013-2014.
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Santé
- Résumé
Cette action fait suite à un constat réalisé par l'équipe de la Maison de Quartier : les goûetrs des enfants étaient très souvent "trop gras, trop sucrés voir trop salés". La semaine précédente cette action, chaque enfant devait remplir une grille sur laquelle il indiquait ce qu'il avait mangé pendant le goûter.
En partenariat avec la diététicienne du service municipal de santé, 3 séances ont été proposées aux familles.
- La première séance était réservée aux enfants. Plusieurs activités leur ont été proposées : rallye nutrition, dégustation de fruits, senteurs d’aromes naturels.
- La deuxième séance était réservée aux parents. Celle-ci a été divisée en deux temps : présentation d'un goûter équilibré (1 produit céréalier / 1 produit laitier / 1 produit fruitier / 1 boisson) / comparaison des prix de revient de plusieurs goûters types.
- La troisième séance regroupait les parents et les enfants. Lors de cette séance, 4 équipe de parents et enfants ont réalisé un "Goûter presque parfait". Plusieurs produits étaient mis à disposition des participants qui devaient réaliser un gôuter le plus équilibré possible. A la fin de leur préparation, chaque équipe a reçu une note de la part de la diététicienne en fonction de son équilibre alimentaire.
Chaque enfant a reçu un dessous de table sur lequel était rappelé ce que devait contenir un goûter équilibré.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Elle a été mise en place dans un souci de santé publique et d'amélioration de la qualité du goûter.
L'objectif de cette action était de sensibiliser les enfants et les parents à la notion de goûter équilibré. Il nous a semblé pertinent que parents et enfants entendent les mêmes conseils afin que ces derniers soient plus faciles à mettre en oeuvre.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Plusieurs séances ont été mises en place :
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Le Vendredi 14 Février 2014 de 17h00 à 19h00. Tous les enfants ont été accueillis.
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Le Vendredi 14 Mars 2014 de 17h00 à 19h00. Cette séance a été réservée aux parents ayant des enfants inscrits à l’Accompagnement Scolaire.
-
Le Vendredi 11 Avril de 17h00 à 19h00. Lors de cette séance, l’ensemble des parents et des enfants ont êté présents afin de participer à l’activité « Préparation d’un Goûter équilibré »
Deux rencontres au préalable entre l'animatrice, la ditététicienne et la responsable adjointe de la Maison de Quartier ont été mises en places. Il s'agissait de partager le constat avec le service municipal de santé et de voir avec la diététicienne quelles actions étaient pertinentes afin de sensibiliser parents et enfants.
-
- Ressources financières mobilisées pour cette action
une cinquantaire d'euros (achat de produits alimentaires).
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 personnes ont été mises à disposition :
- l'animatrice de l'accompagnement à la scolarité.
- la diététicienne du service municipale de santé
- la responsable adjointe de la Maison de quartier / Centre social Romain Rolland.
- Résultat sur le territoire
- Réflexion autour de la notion de goûter équilibré (impact sur la santé des enfants).
- Réflexion sur le coût des goûters achetés / des goûters faits maison (impact économique sur le budget des familles).
- Résultat pour le centre social
- Travail auprès des parents des enfants inscrits à l'accompagnement à la scolarité.
- Partage d'un temps convivial entre parents et enfants dans un cadre autre que les ateliers parents/enfants classiques.
- Résultat pour les habitants
-Acquisition de conseils alimentaires sur les notions de "goûters équilibrés".
- Suite de l'action : Limites
Seules quelques familles ont mis en application des conseils de la diététicienne. Il est difficile de changer les habitudes alimentaires sur un temps aussi court : les enfants préfèrent les goûters achetés type viennoiseries / biscuits sucrés.
De même, les mères de famille ont du mal à se dégager du temps pour préparer elle-même le gôuter de leurs enfants.
- Suite de l'action : Perspectives
Cette action avait été mise en paralèlle des ateliers cuisine parents/enfants proposés à chaque période de vacances scolaires.
Cette action sera reconduite lors de l'année scolaire 2015-2016.
Actions
le cyclow-café
- Structure organisatrice
- CS GUY TOFFOLETTI - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Résumé
Le cyclow-café est un container installé et aménagé en plein coeur du quartier.
Cet espace est le fruit d'un projet d'animateurs et jeunes du centre social.
L'objectif est de faire de ce lui un espace de rencontres, de solidarités entre générations et d'échanges de savoir faire.
Un groupe de jeunes du centre social, donne rendez-vous à toute personne désireuse de réparer son vélo, ou désireuse d'apprendre les techniques de réparations.
Ce lieu se veut convivial, ainsi, du thé et café sont à disposition des participants.
Pour rompre l'isolement de certains séniors, désireux de partager des compétences aux plus jeunes, un appel à participation est lancé à tous.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Objectif: recyclage, développement durable, solidarité
Dans ce grand quartier de 3500 habitants, il n'y qu'a lever la tête pour s'apercevoir que de nombreux vélos dorment dans les balcons.
Une des raisons à cela est souvent la petite panne qui ne nécessite qu'un petit bricolage.
On estime que cette activité est source d'une grande solidarité et reforce le lien social sur le territoire.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Formation du groupe de jeunes et des animateurs aux techniques de réparations.
Appel à bénévoles.
Annonces des dates d'ateliers ouverts au public lors de la journée de lancement.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
2000 euros de matériel de réparation, outils et pièces détachées.
100 euros de budget de thé et café
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
20 personnes
- Résultat sur le territoire
entre aide. solidarité,
- Résultat pour le centre social
Plus grande visibilité des actions du centre auprès de publics ne venant pas avant.
Rayonnement et impact plus grands.
- Résultat pour les habitants
cohésion
sensibilisés aux principes du recyclage
- Suite de l'action : Limites
Budget d'achat de certaines pièces et outils.
Faire avec et pas se retouver à faire à la place.
- Suite de l'action : Perspectives
Poursuivre et amplifier les créneaux d'ouvertures.
Création d'un poste subventionné.
Actions
ASL
- Structure organisatrice
- CS PARIS CAMPAGNE DRANCY - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Logement
- Résumé
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Culture pour tous
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ROMAIN ROLLAND - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- vacances / loisirs
- Résumé
Cette action a consisté à proposer des ateliers et des animations dans des espaces identifiés comme étant potentiellement des lieux de convivialité mais peu ou sous utilisés.
A la demande des habitants, ces animations ont été localisées aux entrées des quartiers et non à l'intérieur.
Ces ateliers, pris en charge par des artistes, ont proposé différentes initiations culturelles : danse, chant, lecture, écriture et jeu
Les habitants ont pu y venir seuls ou accompagnés. Pour ceux qui avaient des compétences artistiques, ils ont pu les mettre au service des autres durant les ateliers notamment lors de temps dédiés à des démonstrations.
A la fin de ces animations, des goûters et repas ont été organisés par les habitants pour prolonger ces moments.
La programmation a été diverse :
- "Histoire de sons" : création d'un album concert. Les 3 ateliers ont été portés par la Maison de Quartier et le Centre Ressource Lecture Aladin (2 ateliers ont eu lieu la semaine du 6 juillet et 1 le 13 juillet.)
- "I Got A Big Band" : Atelier de création musicale et spectacle. Les 3 séances ont conduit à la création d'un arrangement de textes avec une restitution à la fin juillet.
- "Compagnie Boukoussou" : 3 ateliers de danse Gwoka ont été mis en place les 17/07, 31/07, 7/08. Une restitution sous forme de spectacle professionnel et amateur a eu lieu au parc Cachin.
- "Histoire de Sons : les chars poétiques" : 3 ateliers ont conduit à la décoration de chars grâce à la création notamment de panneaux poétiques. La déambulation de ce char s'est vu accompagnée d'une création de cellules rythmiques simples et de chants sur les espaces extérieurs de la cité Joliot Curie.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Lors du diagnostic partagé du quartier, les professionnels et les habitants ont soulevé le manque d'évènements sur les espaces extérieurs du quartier.
Cette action avaient pour objectifs de permettre aux habitants de se réapproprier l'espace public et d'accéder à différentes pratiques artistiques.
Cette action s'inscrit dans l'axe du projet social "l'accès aux loisirs et à la culture".
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Association locale
- Commune
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Cette action a été mise en oeuvre avec le soutien des Directions Vie des Quartiers, Santé et Jeunesse et de l'association Asafi. Chacun a pu s'inverstir de manières diverses : financièrement ou techniquement (en venant notamment en appui logistique).
Cette action avait également été présentée aux habitants lors d'une table ronde où une trentaine d'entre eux étaient présents. Cette présentation avait permis de réajuster le projet et de sélectionner les endroits où les animations auraient lieu.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le budget de cette action s'élève à 10905 euros.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Une dizaine de professionnels ont été mobilisés pour cette action.
- Résultat sur le territoire
Ces temps d'animations culturelles où étaient à la fois mélangés des temps d'apprentissage et des temps de spectacle ont attiré de nombreux spectateurs.
Les habitants se sont réappropriés sur ces temps ces espaces publics parfois délaissés.
- Résultat pour le centre social
Ces temps d'animation sur les espaces publics ont permi aux professionnels de se faire connaitre auprès d'habitants ne connaissant pas le centre social et de présenter et d'échanger sur les activités de la Maison de Quartier.
- Résultat pour les habitants
Les habitants ont pu découvrir de nouvelles pratiques culturelles en participant à ces animations. Les temps d'initiatives / d'apprentissages ont beaucoup intéressé les habitants et plus particulièrement les enfants, heureux de reprendre les chorégraphies ou de lire à voie haute les textes qu'ils avaient eux-mêmes écrits.
- Suite de l'action : Limites
L'une des limites à cette action est les conditions météorologiques. L'intérêt de cette action est qu'elle est lieu sur les espaces extérieurs. En cas de pluie, nous avons du déplacer les animations dans les structures de proximité pas toujours adaptées.
- Suite de l'action : Perspectives
Cette action s'est poursuivie en 2016.
Actions
SANS TITRE - 2649
- Structure organisatrice
- CS PARIS CAMPAGNE DRANCY - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
- Dimension
- Mots clés associés à l'action
-
- Résumé
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Territoire concerné
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
OPERATION "Les Maraudes" à Saint-Ouen : Les jeunes s'impliquent et sont solidaires des plus démunis.
- Structure organisatrice
- CS MAISON DE QUARTIER PASTEUR - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Précarité
- Résumé
Description de l’action :
L'opération, démarrée en novembre 2013, s’est poursuivie en 2014, puis en 2015, et sera maintenue en 2016. La Maison de quartier Pasteur accompagne l'engagement citoyen et solidaire des jeunes. Ils vont, avec des adultes et des enfants fréquentant la structure, s'impliquer dans un projet commun, afin d'améliorer l’image au quartier, de créer du lien entre les habitants, de lutter contre l’exclusion sociale et la stigmatisation. Faire des réunions de bilan après chaque opération avec les différents acteurs.
1°/- La Maison de quartier Pasteur mobilise les habitants : les mamans du quartier préparent des repas et les conditionneront avec la participation d’une dizaine d’enfants de moins de 12 ans, et de certains jeunes (5 ados et 10 majeurs).
Aussi nous allons constituer une banque alimentaire à partir des collectes faites par les jeunes et les mères auprès des commerçants et la grande distribution, pour distribuer les produits alimentaires aux plus nécessiteux. Renforcer le partenariat avec Resto du cœur pour mieux orienter les nécessiteux qui viennent nous voir.
Travailler avec des traiteurs pour récupérer les surplus de produits de restauration (encore consommables) afin de les distribuer régulièrement aux familles nécessiteuses du quartier.
2°/- La fondation Jeunesse Feu Vert, le Service Jeunesse, les associations D’Brouy Jeuness et ADT (association des talents), mobilisent les jeunes du quartier pour le conditionnement des repas aux côtés des familles (parents et enfants), ainsi que pour la distribution des repas aux personnes les plus démunies.
3°/- En outre, une formation au premier secours, sera mise en place pour permettre aux participants (10 jeunes et 10 adultes) d'acquérir des compétences en matière de protection civile. Cette formation sera coordonnée par Jeunesse Feu Vert. Un mode de garde sera organisé pour les enfants (0-5 ans) pour permettre aux parents de suivre cette formation qui dure toute la journée.
Objectifs généraux :
- Renforcer la solidarité et le lien entre les habitants
- Prévenir la délinquance juvénile en impliquant les jeunes en situation de pré-marginalisation.
-
Objectifs pédagogiques :
- Valoriser les compétences de chacun
- Concourir à l’amélioration de l’image du quartier
- Lutter contre l’isolement
- Favoriser les liens intergénérationnels.
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Objectifs opérationnels :
- Acheter des denrées alimentaires et le matériel nécessaire
- Collecter des produits chez les commerçants, les restaurants, et les hôtels
- Organiser la préparation et le conditionnement des repas
- Effectuer la distribution
- Organiser des réunions pour des bilans intermédiaires après chaque action, pour préparer la suivante opération.
Porteurs du projet et intervenants dans l'action:
- Maison de quartier Pasteur
-
Jeunesse Feu vert
Service Jeunesse
D’Brouy Jeuness
ADT
Familles du quartier et Seniors
Nombre de séances dans l'année:
Une séance par mois, soit 12 séances dans l’année, du 15 janvier au 31 décembre 2016.
Population ciblée:
-D’abord, les jeunes en risque de marginalisation suivis par la fondation Jeunesse Feu Vert, qui n’ont pas bonne réputation auprès des habitants adultes du quartier, participeront à une action commune avec les habitants.
Groupe de 15 jeunes (8 garçons, 7 filles),
Les familles (10 parents et 10 enfants), surtout les mamans du quartier.
- Concernant le public des « plus démunis », en moyenne 100 repas à servir à chaque maraude, soit une moyenne de 1200 repas à servir au cours de l’année 2016.
Un public essentiellement adulte masculin, même si nous comptons toucher les mères avec leurs enfants.
Informations complémentaires :
Les maraudes seront distribuées par un groupe de 15 jeunes (18-20 ans) du quartier.
La présence des animateurs (Maison de quartier Pasteur, Service Jeunesse), des éducateurs de Jeunesse Feu Vert, d'encadrant des associations (D-Brouy Jeuness, ADT), sera utile et complémentaire.
Acheter des produits alimentaires pour la préparation. Former des groupes pour la distribution. Démarcher des commerçants pour collecter les produits alimentaires, les hôtels pour les kits d’hygiène.
Enfin, une formation au premier secours sera organisée pour 10 jeunes (et 5 adultes), afin de leur donner les moyens d’être plus réactifs face à des situations. Mais également pour qu’ils acquièrent plus de connaissance dans l’approche du public en fragilité.
Territoire de réalisation de l’action : Ville de Saint-Ouen,
Quartiers Arago/Zola, Garibaldi/Charles Schmidt, Porte Montmartre, Emile Cordon, Debain.
Moyens mis en œuvre :
Humains:
2 animateurs de la Maison de quartier Pasteur,
2 éducateurs spécialisés de la fondation Jeunesse Feu Vert,
1 animateur du service Jeunesse,
1 encadrant de l'association D-Brouy Jeuness,
1 encadrant de l’association des talents (ADT).
Matériels et logistiques :
Salle polyvalente, cuisine,
Mise à disposition de local (salle polyvalente de la Maison de quartier Pasteur), de matériels bureautique et informatique (ordinateurs, imprimante, scanner, photocopieuse, téléphone, papier), de matériels et ustensiles (cuisine) à la MDQ Pasteur.
Financiers :
Location de véhicule, Achat de matériels de cuisine, de couverts
Achat de denrées alimentaires – Formation au premier secours.
Méthode d'évaluation et indicateurs choisis:
- Fréquentation des jeunes et des habitants,
- Réunions régulières entre les différents groupes de participants (Adultes, Jeunes, Animateurs et Educateurs, associations) pour faire le bilan d’étape après chaque opération, en général la semaine suivant l’initiative.
- Réalisation de la formation « premier secours ».
- Qui est à l'initiative de l'action ?
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- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
1°/- Les jeunes et les adultes du quartier ont du mal à échanger, à s'entrevivre, parce que les jeunes "tiennent le mur" à longueur de journée ce qui gêne la quiétude des familles. Les adultes se méfient des jeunes à cause des attroupements tardifs , des nuisances sonores des motos, les allers et venues incessants. Tout ceci crée une ambiance de méfiance les uns à l'égard des autres.
2°/- Trouver un moyen de rapprocher les deux publics dans une action qui valoriserait les uns et les autres: s'impliquer dans une action de solidarité tout au long de l'année serait une occasion de construire du lien, et briserait cette défiance entre les deux publics: Participer à des réunions de préparation, se répartir les tâches, à savoir les mamans prépareraient des repas chauds dans la journée, les jeunes se chargeraient de la distribution le soir aux personnes démunies dans les quartiers de la ville. Les deux publics se rencontrent toujours en fin de journée pour finir la préparation des sandwichs, et se rappeler les consignes de préparation et de distribution.
3°/- Ouvrir un champ de formation premier secours aux deux publics: les jeunes et les adultes apprennent les gestes essentiels pour sauver des vies.
- Public
- Jeunes adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Association locale
- Commune
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Depuis 2013, des rencontres de travail avec le SAMU social, Interlogement, les restos du coeur, nous ont permis de comprendre la réalité de ce qui était dejà mis en place sur la ville de Saint-Ouen, de cibler au plus près le public nécessiteux
D'autre part, les jeunes avaient montré leur souhait de se rendre utile en s'impliquant dans une action de solidarité. Les mamans du quartier voulaient également apporter un peu de chaleur aux personnes sans abri.
La rencontre avec la Fondation Jeunesse Feu Vert (éducateurs spécialisés) agissant auprès des jeunes du quartier a permis de sensibiliser les jeunes sur la question. L'association D-Brouy Jeuness qui met en place des activités d'accompagnement scolaire a également mobilisé les jeunes de l'association à participer à l'action.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Etat (Contrat de ville) : 6000 €
Commune de Saint-Ouen : 3970 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Groupe de 15 jeunes majeurs (8 garçons, 7 filles)
Groupe de 20 parents adultes (essentiellement les mamans du quartier)
Groupe de 18 enfants et jeunes mineurs aident à la préparation des sandwichs
Pour l'encadrement : 6 professionnels, 4 bénévoles
- Résultat sur le territoire
Un groupe d'adultes s'est constitué et se mobilise sur le projet. Un groupe de jeunes se mobilise également.
Les relations entre les adultes et les jeunes deviennent plus cordiales, les jeunes discutent plus aisément avec les adultes lorsqu'ils se croisent dans le quartier. Ils s'informent mutuellement des initiatives qui ont lieu au sein de la structure et dans le quartier.
1253 repas ont été distribués aux personnes démunies au cours de l'année 2016.
- Résultat pour le centre social
La participation des jeunes aux actions de la maison de quartier est plus significative, même aux côtés des adultes et des parents.
Les différents acteurs peuvent maintenant proposer d'autres initiatives auxquelles participent de nouveaux acteurs.
- Résultat pour les habitants
Les actions de solidarité (exemple: les maraudes) ont permis aux habitants de mieux discuter de la vie du quartier, d'échanger sur leurs problèmes familiaux, de l'éducation des enfants et de l'accompagnement qu'ils doivent apporter aux plus jeunes.
Le jeunes ont mieux compris la situation de précarité que vivent les personnes démunies.
Les adultes ont un regard plus valorisant des jeunes du quartier qui participent à l'action de solidarité.
Les habitants viennent donner des vêtements chauds à distribuer.
Certains se mobilisent pour collecter des denrées alimentaires auprès des commerçants les jours de marché.
- Suite de l'action : Limites
Les maraudes n'ont pas réglé les problèmes de troubles de voisinage des jeunes dans le quartier. Ni d'ailleurs le trafic qui en est le corollaire. La participation des bénévoles est tournante et il n'est pas facile de fidéliser les jeunes sur toute une année: le groupe évolue.
La mixité (garçons et filles) n'est pas encore tout à fait au point.
- Suite de l'action : Perspectives
- Poursuivre cette action de solidarité
- Inciter les jeunes, et surtout les mamans du quartier, à participer nombreux aux formations de premier secours
- Pour mieux répondre aux besoins exprimés par les personnes bénéficaires, il faut organiser la sensibilisation des commerçants, des pharmacies, des hotels pour collecter des denrées non périssables, des kits d'hygiène et des produits de premier soin.
Actions
Création d'un café intergénérationnel
- Structure organisatrice
- CS DU HAUT ET PETIT PANTIN - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Objectifs :
-
Créer un espace convivial et de lien social intergénérationnel
-
Mettre en place des ateliers cuisine
-
Développer un véritable lieu de vie dans le quartier
-
Travailler la gestion d'une programmation relative à cet espace avec les associations
Dans le cadre du projet social 2015-2018 :
Cet espace est un levier idéal à la dynamique du quartier, souhaitée par les habitant-e-s et les associations.
Il s’articulera autour de :
-
La mise en place d'ateliers cuisine et de repas partagés
-
L'accueil d'une habitant-e-s ayant pour projet un café associatif afin de lui permettre de lancer son activité
-
L’investissement des associations dans cette cuisine afin de proposer une programmation : par exemple des cafés-débat, des repas ouverts, des échanges culinaires....
Après un appel aux publics, cet espace est dénommé "Culture Pom'".
-
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le manque de dynamiqme du quartier des Pommiers (haut Pantin) a clairement été identifié dans le cadre de la construvction du projet social 2015/2018. Nous avons eu parallèlement l'opportunité de bénéficier d'un nouvel espace dans le centre social et avons choisi d'y développer un projet participatif, axé autour de la cuisine et de la culture, afin de permettre une grande mixité des publics et une programmation de développement culturel afin de dynamiser l'espace et le quartier.
Les habitant-e-s s'impliquent au fli du temps das la mise en place de cette action
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Bailleur social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Premières réunions participatives à partir de septembre 2016. l'amménagement à base de matériaux de récupération ainsi que la programmation (concerts, projections, café philo...) sont en cours avec les habitant-e-s et associations locales. Des ateliers cuisine parents-enfants ont été menés.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
3 000€ (budget municipal uniquement)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
20 habitant-e-s
5 associations
L'équipe salariée de 8 personnes (1 référent du projet)
- Résultat sur le territoire
Ce projet amène d'ores et déjà un dynamisme entre habitant-e-s et associations. L'impact réel en terme de dynamisme de territoire sera à évaluer l'année prochaine
- Résultat pour le centre social
Mobilisation des publics et concertation habtant-e-s - associations
- Résultat pour les habitants
Les habitant-e-s se retrouvent pour échanger sur le projet, donner leurs idées, aménager le lieu
- Suite de l'action : Limites
A définir
- Suite de l'action : Perspectives
L'aénagement du lieu et l'installation d'une restauration les midis + café l'après midi avec une habitant-e-s du quartier, afin de permettre aux habitant-e-s de se retrouver et de créer des liens.
Actions
Atelier cuisine
- Structure organisatrice
- CS ASS AGG CSC LES MARNAUDES - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Résumé
cet atelier alieu tous les jeudis après midis; Le centre social organsie des temps de rencontres autour d'une préparation d'un goûter au vue des problèmes de la cuisine non adaptée. Cependant, 25 adultes (femmes) et 12 séniors(2 hommes et 10 femmes) partagent ce temps dans la préparation et dans l'échange. Chacun apporte la recette qui sera réalisé sur un jeudi à tour de rôle. Tous les jeudis de 14 h à 16 h, cet atelier est devenu le rendez vous incontournable autour d'une patisserie et d'un café. La convivilaité est au rendez vous.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L'atelier cuisine est un atelier dont les familles et les séniors aiment partager ce moment de convivilialité. Cette rencontre permet aussi d'identifier les personnes en difficultés, se soutenir et de comprendre l'autre.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Chaque atelier est un goûter . le centre social entre les denrées pour le goûter et le café s'évalue environ à 30 euros par atelier . 52 séances s'élèvent à une estimation de 1530 euros annuel
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
35 personnes par atelier dont 25 femmes et 12 séniors (10 femmes et 2 hommes)
- Résultat sur le territoire
L'atelier cuisine a pris une dimension intergénérationnelle. Les personnes âgées échangent sur le rôle de parents : leurs difficultés, leur joie et leur angoisse . Les mamans écoutent, posent des questions et exposent leur problème. le volet parentalité est omniprésent même dans un atelier cuisine.
- Résultat pour le centre social
Cet atelier est un outil pour le centre social et permet de travailler aussi sur leurs besoins;
- Résultat pour les habitants
les habitants se retrouvent avec plaisir et c'est un lieu d'écoute, de détente.
- Suite de l'action : Limites
La cuisine sera rénovée et c'est une attente des habitants afin développer des repas à grande dimension.
- Suite de l'action : Perspectives
développer les ateliers cuisines : rajouter un créneau supplémenatire
Actions
Implication des habitants dans l’organisation de la brocante du samedi 21 Mai 2016
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ROMAIN ROLLAND - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Ce projet "Brocante" est un projet annuel organisé par la Maison de Quartier Romain Rolland (Mairie de Saint-Denis) et qui s'inscrit de manière régulière dans le programme d'activités de la structure.
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Démocratie & citoyenneté
- Mixité sociale
- Résumé
Cette brocante organisée habituellement par la Maison de Quartier avec le soutien des services municipaux et des associations du territoire a été investie par les usagers de la maison de quartier. 13 habitants ont souhaité prendre part à l’organisation. Ils ont été présents :
-
Aux réunions de préparation (rencontre des partenaires associatifs + choix des animations + définition du rôle de chacun).
-
Le jour de la brocante (prise en charge des stands alimentaires « vente de sandwichs et de gâteaux » et des stands d’animations kermesse « pêche à la ligne + chamboule tout »).
-
A la réunion de bilan avec les partenaires.
Cette première expérience vécue positivement par les habitants les a convaincus de poursuivre leur implication dans l’organisation des portes ouvertes de la Maison de Quartier du 4 juin 2016.
Cette même expérience sera reconduite avec la préparation de la brocante du 20 mai 2017.
-
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Organisée depuis 2007, cette action a été mise en place afin de créer un temps de convivialité sur les espaces extérieurs du quartier. Les habitants du territoire apprécient les brocantes tant par l'aspect financier que celles-ci représentent que par l'aspect convivial.
Depuis plusieurs années, de nombreuses animations sont proposées en paralèlle de la brocante (espace de jeux, espace de restauration). L'objectif de ces animations est de faire de la brocante un lieu où l'on reste (les enfants peuvent s'y amuser, l'on peut se restaurer) et pas seulement un lieu de passage où l'on fait son tour.
L'édidtion 2016 avait pour objectitif de faire pour et avec les habitants.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Cette action a été menée avec les partenaires et les habitants du territoire . Contrairement aux autres éditions, les habitants ont été très investis dans cet évènement.
Les usagers ont été présents :
- de l'organisation (dès février 2016)
- à la réalisation (21 Mai 2016).
- au bilan (26 mai 2016).
Habitants et professionnels se sont rencontrés dès la deuxième réunion de préparation (3 réunions de préparation : la première uniquement avec les habitants / La deuxième et troisième entre habitants et professionnels + 1 réunion de bilan avec les habitants et les professionnels).
Des outils d'animation participative ont été utilisés afin de permettre aux habitants et aux professionnels de faire connaissance dans un cadre convivial. Cette étape était primordiale pour que les habitants se sentent légitimes face aux professionnels.
Par la suite, les rôles de chacun lors de la brocante ont été définis ensemble (qui fait-quoi? où installe-t-on les différents pôles "animation / restauration"?)
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget de l'action : 695.91 euros
Achat de matériel : 227.26 euros
Achat d'alimentation : 387.15 euros
Achat de jetable : 81.5 euros
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Personnel Maison de Quartier : 2 agents sur les temps de préparation / de réunion ; 5 agents de 7h00 à 18h00 + 1 agent vacataire de 13h30 à 17h30
Personnels associatifs : 9 professionnels de 4 associations différentes
Habitants : 13 usagers de la Maison de Quartier.
+ agents de la ville travaillant dans d'autres services (propreté / service des fêtes / espaces verts).
- Résultat sur le territoire
Cette action a permis de :
- faire un évènement convivial favorisant la rencontre entre habitants d'un même territoire (élargi à l'échelle de la ville voir même des villes environnantes).
- favoriser la participation des habitants et de permettre aux habitants de s'investir dans la vie de leur territoire
- Résultat pour le centre social
Cette action a permis au centre social :
- De porter une action drainant un public plus large que nos usagers habituels.
- De profiter de cette occasion pour nous faire connaitre (distribution de plaquettes d'activités).
- D'intégrer les usagers dans l'organisation d'un évènement porté par la Maison de Quartier.
- Résultat pour les habitants
Cette action a permis aux habitants :
- De participer à la réflexion et à l'organisation d'un évènement sur leur territoire (prise en charge de stands).
- D'être acteur de la vie de leur quartier et de participer au développement social de leur quartier.
- Suite de l'action : Limites
Malgré les réunions de préparation, les habitants ayant participé à l'organisation (notamment tenue des stands) ont eu besoin qu'un des membres de l'équipe les manage le jour de la brocante (lancement du barbecue, lancement des jeux, etc.)
Pour la brocante 2017, l'ensemble des habitants participant à l'organisation seront conviés une heure avant afin de recaler l'organisation et les différents temps d'action.
- Suite de l'action : Perspectives
Le noyau dur des usagers ayant participé à cette organisation l'année dernière sera de nouveau présent pour la brocante 2017.
A ce jour, 9 habitants se sont engagés dans ce projet. Ils ne tiendront que les stands alimentaires.
Actions
Atelier d'écriture "D'un monde à l'autre, elles sont passées"
- Structure organisatrice
- CS MAISON DE QUARTIER PASTEUR - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
L'action ayant débuté en 2016, s'est poursuivie au cours de l'année 2017 pour aboutir à la réalisation d'un livret illustré qui a été présenté par les apprenantes lors d'une soirée à la Médiathèque Persépolis en présence des familles, des élus, et de certains partnaires qui ont soutenu l'action.
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Résumé
Objectifs généraux :
- Favoriser l’insertion sociale à travers la mise en place d’actions culturelles.
- Favoriser les liens entre les différents habitants du quartier.
- Lutter contre la fracture numérique.
Objectifs pédagogiques :
- Développer les expressions orales et écrites des publics primo-arrivants.
- Familiariser les participants aux outils informatiques de bureautique et de retouche d’images.
Présentation du projet :
Malika ABINA anime des ateliers sociolinguistiques, auprès d’un groupe de femmes, à la Maison de quartier Pasteur, depuis plusieurs années.
Pour permettre aux participantes de s’exprimer et créer des dynamiques de groupe, elle les accompagne régulièrement dans l’élaboration de projets culturels (réalisation de pièces de théâtre, détournement d’affiches à partir de films visionnés par le groupe…).
- Malika ABINA, intervenante bénévole qui anime des ateliers sociolinguistiques, auprès d’un groupe de femmes, à la Maison de quartier Pasteur.
- Jacques LUDER, référent informatique sur la Maison de quartier Pasteur.
Nombre de séances prévu : 1 dizaine de séances.
10 séances de février à mai (les dates des sessions de l’atelier peuvent être changées en fonction des disponibilités de l’animateur, planning à finaliser)
2 séances par mois avec pour objectif de présenter le livret lors du festival Transit
Les apprenantes de l’atelier ASL du mercredi soir.
Le projet a été financé par :
- La Ville
- L’Etat ( CGET)
Les participantes à l’atelier de Malika ont pu élaborer un texte pour présenter leur parcours de vie. En fonction de leur maîtrise de la langue, de l’écrit, les approches de prises de paroles, à la mise en texte étaient différentes, de la personne autonome qui élabore son propre récit, à la personne qui écrit partiellement (impliquant un travail de réécriture), jusqu’à la personne qui ne parle que très peu le français et ne maîtrisant pas du tout l’écrit avec qui il a parfois fallu travailler avec une traductrice.
Des personnes ne participant pas à l’atelier de Malika, mais intéressés par ce travail d’écriture, ont également pu apporter leur témoignage.
Pour amener les participants à se confier, sur les raisons, l’organisation de leur départ, leurs sentiments, les conditions d’arrivée…, un questionnaire a été élaboré.
Les parcours sont divers, parfois chaotiques, violents, c’est pour cette raison que les témoignages sont restés anonymes.
L’atelier a également été ponctué de sorties : visites de la médiathèque, visionnage de films au cinéma qui a d’ailleurs donné lieu à un travail de détournement d’affiches des films visionnés par les participantes (ateliers informatiques bureautique et retouche d’image), musée du Louvre, théâtre et atelier danse au Centre National de danse à Pantin. Une soirée interculturelle a aussi eu lieu au mois de juin 2016 où les dames ont pu réaliser et présenter des panneaux d’informations sur leur pays d’origine, ainsi que les affiches détournées, l’ensemble autour d’un grand repas-temps convivial.
Au mois de juin 2017, le recueil "D’un Monde à l’autre, elles sont passées" est créé. Le contenu, tout comme la mise en page du livret ont été effectués, en grande partie par les participantes. Pour ce faire, elles ont réalisé une série de panneaux (proportionnels au format du livret) mêlant jeux de collages de leur propre textes et décorations diverses. Puis l’ensemble a été photographié.
Les éléments que les participantes n’ont pas pu finaliser ont été aboutis par des bénévoles intéressés par la démarche.
Lors du premier temps de restitution qui a eu lieu au mois de juin 2017 à la Maison de quartier Pasteur, Jean Luc, bibliothécaire à la médiathèque Glarner, accompagné de Juliette Piedevache, comédienne, nous ont offert une lecture des témoignages, et la chanteuse-slameuse Tata Milouda qui avait bénéficié d’ateliers ASL avant d’entamer une carrière d’artiste professionnelle, était également présente.
Bilan quantitatif :
- Nombre d’apprenants ayant participé au projet : 16
- Nombre d’habitants ne participant aux ateliers ASL de Malika mais ayant témoigné de leur parcours de vie : 3
- Nombre d’habitants ayant participé bénévolement dans la mise en œuvre du projet (aide à la traduction de textes ou de paroles de participants ne maitrisant pas du tout la langue, ou aide à la réalisation de panneaux) : 8
- Nombre total de séances : 25
Coût financier :
Le projet s’est finalement déroulé sur deux ans au lieu d’un an initialement prévu. En effet, Au cours de la première année, un certain nombre de participantes ont déménagé ou trouvé un travail, ainsi le nombre de témoignages obtenus n’a pas été suffisant et nous n’avons pas eu suffisamment de temps pour réaliser le travail de mise en page.
Cependant, à travers les diverses actions mises en place pendant le temps du projet et les nombreuses personnes qui sont venues apporter leur soutien, le projet a dépassé le simple cadre initial, et il n’est d’ailleurs pas terminé.
Afin de valoriser ce travail, une exposition suivie d’échanges autour de la présentation des panneaux et du livret sera organisée à la médiathèque Persepolis entre au mois de novembre 2017. D’ailleurs, la médiathèque s’inscrit dans une dynamique d’ouverture en direction des participants ASL et FLE. Cette réalisation, même si elle ne s’adresse pas strictement au public ASL, peut être l’occasion de créer des passerelles avec ce public puisque l’exposition et le recueil qui en est issu donnent à voir et lire les paroles de femmes autour de leur exil, départ de leur pays et arrivée en France.
Cette exposition devrait être présentée aux autres groupes ASL et FLE de la ville qui seront amenés à visiter la médiathèque du 17 octobre à mi-novembre. Le livret pourra ainsi servir d’élément de travail, discussions, valorisation des parcours de vies des apprenantes. Et pour d’autres bénévoles encadrant des ateliers ASL et FLE, il pourra également servir d’exemple de projet d’action culturelle à monter, en direction de leur public.
Une grande rencontre sera également organisée vers fin du mois de novembre, avec lecture de texte, soit par des professionnels du spectacle, soit par des dames d’ateliers ASL. Lors de cet évènement, nous allons aussi travailler avec des jeunes afin d’obtenir un retour de leur parole, car ils/elles sont souvent un des effets de ce déplacement. La forme est à déterminer avec les jeunes et nous espérons que le CAP J, service jeunesse de la Ville, participera au projet.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L'apprentissage du français, la socialisationn par le langage ont été les éléments déclencheurs de cette action qui a permis aux apprenantes de se dépasser, de s'impliquer sur plusieurs mois dans un projet où elles ont pu collecter les souvenirs de leur parcours de vie, de leur pays d'origine jusqu'à leur pays d'accueil qui est la France. C'est une façon de parler de leur combat pour dépasser les difficultés de vie, leur tendance à l'isolement pour s'ouvrir aux autres et partager la richesse de leur culture, à la rencontre de l'autre.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Association locale
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Les vacances ça se prépare : séjour collectif familles
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ET CULTUREL MUNICIPAL AMBROISE CROIZAT - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- vacances / loisirs
- Mixité sociale
- Résumé
Accompagnement des familles les plus fragiles à la préparation et à l'accès à des vacances en famille, en utilisant les divers dispositifs d'aide aux congés.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Suite au constat que sur le territoire d'intervention du centre, peu de familles partent en vacances (en France), souvent dû à la méconnaissance des dispositifs d'aide aux congés.
Accompagner et soutenir les familles dans leur fonction parentale.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ANCV
- Caf
- Commune
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
L'action débute en novembre pour le séjour collectif familles et pour les départs individuels. Les familles éligibles participent aux réunions bimensuelles de préparation du séjour collectif, accompagnées par les référentes familles et les travailleuses sociales de la CAF. En mai a lieu un moment convivial pour que les familles dans leur globalité fassent connaissance. Puis elles sont accompagnées par les référentes familles lors du séjour collectif en été. Pour les départs en individuel, les familles sont accompagnées techniquement à la préparation de leurs vacances. Enfin en octobre est organisée une soirée conviviale pour toutes les familles parties en vacances au cours de laquelle est également dressé un bilan de l'action.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
5 professionnelles (3 référentes familles + deux travailleuses sociales de la CAF)
- Résultat sur le territoire
Des liens se tissent lors du séjour entre les familles issues des trois territoires d'intervention des trois centres sociaux de Pierrefitte et favorisent le vivre-ensemble à l'échelle de la commune.
- Résultat pour le centre social
Le vivre ensemble sur le quartier.
Des liens qui se tissent, des nouveaux projets entre habitants.
- Résultat pour les habitants
70% des familles parties une fois en séjour collectif repartent les années suivantes en séjour individuel.
Impact sur les familles et sur les individus.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
végétalisation de la terrassé
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL Maison de quartier SéMARD - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Solidarité
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Le projet de végétalisation de la terrasse de la maison de quartier est né dans l’esprit de deux habitantes du quartier Pierre SEMARD qui s’y sont investies, de la conception à la mise en réseau et l’animation. Il ouvre trois grandes perspectives : créer des espaces autogérés au sein de la structure, établir un lien avec le jardin partagé, établir un lien avec l’école SEMARD. Il est pensé sur le long terme comme un outil évolutif visant à appuyer l’implication d’habitant.e.s dans la vie de leur quartier et s’inscrit dans l’axe Pouvoir d’agir du projet social 2017-2020.
Les objectifs sont:
- Impulser une appropriation et une autogestion de certains espaces (bricothèque, terrasse suspendue, jardin partagé) par des habitant.e.s pour les impliquer dans la vie collective locale et celle de la structure
- Mettre en réseau des habitant.e.s et des bénévoles ; tendre à créer un collectif jardins
- Organiser des événements promouvant les espaces autogérés, et les modes d’adhésion au projet
- Valoriser le volontariat du binôme habitantes initiatrices du projet et les renforcer dans la confiance en leurs capacités et compétences
- Accompagner le binôme dans son appropriation des espaces et la prise en main du projet
- Accompagner le binôme dans une mise en posture d’animation d’ateliers, de collectifs habitant.e.s et partenaires
- Consolider l’articulation entre la Maison de Quartier, l’école Pierre SEMARD, et des familles
- Exploiter les ateliers scolaires organisés par le binôme d’habitantes pour créer des formes de partenariats avec les instituteurs.trices
- Utiliser les ateliers scolaires comme outil d’adhésion au projet à destination des familles
- Impulser une appropriation et une autogestion de certains espaces (bricothèque, terrasse suspendue, jardin partagé) par des habitant.e.s pour les impliquer dans la vie collective locale et celle de la structure
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Les habitant.e.s du quartier se projettent à une échelle familiale ou par petits groupes. Beaucoup d’entre eux.elles vivent la Maison de Quartier comme un lieu de consommation d’activités avec peu de propositions collectives à visée interculturelle et intergénérationnelle. La structure est tout de même repérée comme le lieu de convivialité du quartier et des habitant.e.s sont identifié.e.s pour leurs mobilisations régulières et leur volonté de participer à des mouvements collectifs, telles que les initiatrices de ce projet.
- De par son statut hybride (convivialité, animation, accès au droit…) le fonctionnement de la maison de quartier dépend de la disponibilité des locaux, des intervenants, vacataires, ou bénévoles, et s’articule sur des temps planifiés. Ce système ne correspond pas toujours à l’organisation de la vie des habitant.e.s, à leurs besoins psychiques du moment. L’espace convivialité est la seule proposition à usage spontané disponible sur toute l’amplitude des horaires de la structure, bien que des animations planifiées y soient également parfois organisés (rencontres culinaires, café des séniors…). Cette gestion des temps et des espaces freine les possibilités d’implication des habitant.e.s dans la vie de la structure.
- Le jardin partagé situé derrière la Maison de Quartier est unanimement reconnu comme une richesse du quartier Pierre SEMARD, au même titre que la promenade Jean AMBLARD. Ceci étant dit il s’agit essentiellement d’une richesse esthétique puisque les associations et le peu d’habitantes qui en assurent la gestion se plaignent du manque de mobilisation à l’égard de cet outil collectif, de plantations abimées ou de légumes volés, tout en ayant du mal à accepter d’autres modes de fonctionnement que ceux qui leurs sont propres.
- La Maison de Quartier a effectué plusieurs tentatives afin de travailler plus étroitement avec l’école Pierre SEMARD qui se sont révélées peu fructueuses.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
A l’origine du projet se trouve une idée, une envie, simple, celle de deux habitantes quotidiennement impliquées dans la vie de la Maison de Quartier, à la vue d’une terrasse encombrée et peu exploitée : la végétaliser, l’orner d’une parure visible de l’extérieur, retrouver dans cet espace la quiétude et les senteurs méditerranéennes de leurs enfances.
Il a suffi d’une validation par l’équipe de la Maison de Quartier, de quelques vidéos sur le net, de quelques brochures promotionnelles de supermarchés en cette périodes de plantations printanières, pour imaginer le future décor, et voir quotidiennement s’amarrer devant la structure la petite voiture du binôme d’habitantes, coffre ouvert et sièges arrières rabattus, remplie d’encombrants en bois chinés ici et là : meubles, palettes, tourets de chantier… Parfois, parce que le créneau disponible entre le dépôt du plus grand à l’école et le rendez-vous chez le docteur de la plus petite était trop court, la Maison de Quartier recevait un appel invitant tout membre de l’équipe disponible, ou éventuellement tout.e adolescent.e/enfant errant sur le quartier, à bien vouloir se déplacer, parce qu’un objet précieux avait été repéré du côté du stade, de l’amicale des locataires, ou de la boucherie hallal de l’allée Camélinat.
Il a alors fallu retrousser ses manches pour construire le futur mur végétal. Le binôme a d’abord eu besoin d’être accompagné pour investir la bricothèque et la terrasse, utiliser les outils électriques et enfoncer les premières vis ; des ateliers ont donc été planifiés. Puis, l’assurance s’étant suffisamment installée, il n’y avait plus qu’à se rendre à la Maison de Quartier lors des temps libres et demander à l’accueil la clé de la bricothèque pour continuer les travaux.
En parallèle, toutes deux déléguées des parents à l’école Pierre SEMARD, le binôme avait évoqué le projet auprès d’institutrices qui avaient exprimé leur enthousiasme et leur envie d’y adjoindre l’empreinte de leurs élèves. Le groupe a acté la fabrication de pochoirs au sein de l’école, pour ensuite venir peindre les structures en bois avant d’y effectuer les plantations, dans le cadre d’ateliers planifiés en concertation avec la Maison de Quartier, et animés par le binôme.
Il fallait répondre à l’échéance. La petite voiture a repris le large, en quête de peinture, quincaillerie, et plantes vivaces, la Maison de Quartier a usé de son carnet d’adresses, serres communales pour récupérer du terreau et des plants, ferme de l’université de paris 13 pour récupérer des grandes jardinières afin de créer un espace destiné à l’école dans le jardin partagé. Deux bénévoles ont mis à contribution pour penser et aménager un espace d’animation respectueux afin d’accueillir les enfants le jour J.
Le premier atelier scolaire a eu lieu. Une classe de CP est venue étendre sur les structures en bois de la terrasse, de grands aplats de couleurs, pastelles et chatoyantes, et apposer, de leurs pochoirs, de petits animaux. Ils ont pu mettre leurs mains dans la terre pour y déposer les premières fleurs. De prochaines séances sont planifiées avec d’autres classes. Il s’agira ensuite de récupérer auprès des serres communales du terreau et des plantes, également du fumier à la ferme de l’université Paris 13. En fonction des besoins restants et des envies des jardinier.ères, de faire les achats nécessaires en jardinerie, l’objectif étant d’avoir fini les plantations et érigé le mur végétal à la fin du mois de Juin pour organiser un apéritif inaugurant les espaces, valorisant ici le travail effectué, et promouvant les futures étapes, notamment la construction de mobilier pour la terrasse pendant l’été, cherchant de nouvelles adhésions au projet
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Terre : 250€
Plantes : 550€
Bricolage : 200
Total : 1000€ (financement du contrat de ville Parentalité et du REAAP-DM1)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 bénévoles; 2 classes de 12 élèves, 2 professionnels, les serres municipales, la ferme urbaine
- Résultat sur le territoire
Faire connaître la maison de quartier aux familles de l'école Pierre Sémard; renforcer les liens au sein de la communauté éducative
- Résultat pour le centre social
Valorisation du bénévolat; aménagement d'un espace peu ou pas utilisé;
- Résultat pour les habitants
renforcement de l'estime de soi; valorisation des compétences
- Suite de l'action : Limites
De la terrasse au jardin partagé; faire en sorte que les habitants du quartier s'approprient le jardin partagé
- Suite de l'action : Perspectives
Faire venir plus d'enfants; construire un calendrier avec l'école en début d'année scolaire
Actions
Débrouille informatique
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL MAISON POUR TOUS GOURNAY SUR MARNE - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Mixité sociale
- Résumé
Une offre numérique à destination des usagers du centre social est existante mais insuffisante et peu adaptée aux besoins spécifiques des personnes âgées. De plus en plus de seniors souhaitent venir et n’ont pas de matériel ou alors pas mobile, ou très vétuste et plus adapté aux usages d’aujourd’hui.
Afin de répondre à la demande grandissante des plus démunis face à l’outil informatique nous souhaiterions mettre en place un créneau supplémentaire pour les supers débutants avec des séances d’initiation en utilisant l’outil wetechcare.org avec de nouveaux PC portables.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Action mise en place afin de réduire la fracture numérique.
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Nous proposerons aux seniors, 2 créneaux par semaine afin de s’initier, d’apprendre et de s’entraider autour des nouvelles technologies :
- un cours débutant (assuré par un animateur multimédia accompagné d’un bénévole senior) et un cours confirmé (assuré par deux bénévoles seniors) suivent une progression pédagogique sur plusieurs thèmes (manipulation souris, clavier, internet, mail, achats, sécurité, utilisation d’un navigateur, faire une recherche…)
- un atelier d’entraide où nous essayons de régler ensemble les problèmes que chacun peut rencontrer tous les jours, assuré par un bénévole. (message d’alerte, mise à jour, tentative de hameçonnage, clé usb illisible…)
Étant dans une période de dématérialisation, nous accompagnons et aidons aussi les seniors dans toutes leurs démarches administratives lors d’ateliers spécifiques inscrits dans une démarche pédagogique collective d’apprentissage et de familiarisation.
(Impots, Ameli, Assurance retraite, Caf)
Ces moments d’apprentissage doivent être rassurants. Le principal handicap des seniors face à l’informatique est la peur de mal faire. Il faut donc à tous prix vulgariser et simplifier son utilisation. Notre méthode pour créer un moment convivial est le café, les petits gâteaux et l’humour.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
inclus dans le budget de fonctionnement de la structure.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 Animateur multimédia + 2 Bénévoles
- Résultat sur le territoire
Création de lien social, accès aux droits
- Résultat pour le centre social
Création de lien social, porte d'entrée vers d'autres activités du centre.
- Résultat pour les habitants
Entraide informatique, reduit la fracture numérique, lieu conseil.
- Suite de l'action : Limites
Les plages horaires en matinée ne favorisent pas l'ouverture vers un autre public.
- Suite de l'action : Perspectives
Ouverture d'un atelier intergenerationnel d'entraide sur tablette et smartphone
Actions
petit déjeuner des habitants
- Structure organisatrice
- CS ASS AGG CSC LES MARNAUDES - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- Mixité sociale
- Résumé
Le petit déjeuner des habitants est réalisé une fois par mois le vendredi de 9 h 30 à 11 h. Ce temps permet de rencontrer une personne d'une institution : le commissariat, la réussité éducative, la direction éducation... Ce temps d'échange est à la fois une passerelle vers les institutions et aussi de recueillir les besoins des habitants.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un habitant
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place à la demande des habitants et par une identification d'une méconnaissance des services proposés sur le territoire. Par ce temps de rencontre une fois par mois, les habitants découvrent et connaissent lesprocédures, les services et relayent l'information sur le territoire
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Bailleur social
- Caf
- Commune
- Autre
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
cette action est animée par la directrice du CSC des marnaudes autour d'un petit déjeuner.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 professionnel des Marnaudes et 1 partenaire
- Résultat sur le territoire
Les effets sont : permettre aux habitants de connaître les institutions et les personnes salariées.
- Résultat pour le centre social
Le centre social est facilitateur entre les institutions et les habitants
- Résultat pour les habitants
les habitants ont une meilleure connaissance de leur territoire et des services proposés.
- Suite de l'action : Limites
La mobilisation reste encore faible.
- Suite de l'action : Perspectives
Augmenter la fréquence des petits déjeuners : 2 par mois
Actions
Lire sur les aires
- Structure organisatrice
- CS ASS. ADEPT - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- alphabétisation & apprentissage du français
- Résumé
Interventions auprès des enfants du voyage, sur les aires d'accueil, avec un enseignant de la mission Enfants du voyage de la DSDEN, autour du livre, avec le centre social mobile.
Il s'agit de faire venir la bibliothèque sur les aires d’accueil : séance de choix de livres pour le prêt (15 jours) et une séance de lecture, chaque mercredi.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Caf
- DDCS
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 travailleur social référent scolarité
1 Enseignant détaché de la Mission EDV de la DSDEN
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
ATELIER D'ACCOMPAGNEMENT A L'INTEGRATION ET A LA SOCIALISATION
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL MAISON DES INITIATIVES ET DE LA CITOYENNETé - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Intégration
- alphabétisation & apprentissage du français
- Résumé
En 2018, 5 ateliers encadrés par des intervenants bénévoles, habitants de l'Ile-Saint-Denis, consistant à permettre aux participants (essentiellement un public d'origine étrangère et non francophone) d'acquérir des compétences en communication, ce qui représente un vecteur essentiel de l'intégation sociale. Ces ateliers visent également à permettre au public, à travers l'apprentisage du français, d'acquérir davantage d'autonomie en faciliant l'orientation dans leur vie professionnelle, personnelle et sociale. Les ateliers ont été pensé pour répondre aux attentes du public et d'aller au delà des classiques cours de langue française.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Ce besoin a été identifié par l'équipe du centre social qui a pu observer une demande sans cesse et croissante des habitants. Les partenaires du centre social ont également fait remonter ce besoin.
Ces ateliers ont été mis en place pour répondre aux difficultés langagières chez certains habitants de la ville, ne maîtrisant pas ou peu le français à l'écrit comme à l'oral.
Constat de demandes et de besoins de plus en plus importants dans la maîtrise de la langue et l'appropriation de valeurs.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Commune
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Ouvert à tous.
Ateliers animés par des bénévoles, sur plusieurs créneaux afin de répondre aux disponibiltés des participants; ateliers en matinée, soirées et le samedi matin (non payant).
Sur la forme des ateliers, les intervenants bénévoles privilégient un apprentissage ludique adpaté aux besoins et attentes des participants.
Principaux domaines et axes d'intervention : vie professionnelle, vie sociale et culturelle, vie admonitrative et juridique, vie citoyenne.
Des sorties culturelles, institutionnelles, de loisirs ou de santé telles que des sorties à l'Assemblée Nationale, à la médiathèque, au musée, au théâtre... Afin de permettre aux participants à travers des temps ludiques de découvrir différents lieux, d'améliorer leurs connaissances et compétences en ce qui concerne la langue française. Leur permettre également de se sociliaser en créant des liens entre eux et les autres Ilodyonisiens et de mettre en pratique leurs connaissances. Mais également des interventions des partenaires sociaux du territoire (Maison de l'Emploi, CAF...).
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
6 bénévoles en 2018
2 professionnels
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Initiation à l’informatique au sein du Centre Social Mitry-Ambourget
- Structure organisatrice
- ACSA - CENTRE SOCIAL MITRY AMBOURGET - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Emploi, économie
- Précarité
- Résumé
Les ateliers ont permis de familiariser les participants aux usages de l’outil informatique. Le public de nos ateliers est composé de personnes âgées, mais aussi d’habitants en difficultés d’insertions professionnelles liées à leur manque de maitrise de l’outil informatique. Par ailleurs, de nombreux habitants participants à nos cours d’alphabétisation ont rejoint les ateliers afin de compléter leur formation à la langue française. Ce qui a demandé à notre formateur des compétences d’adaptabilités face à la barrière de la langue.
Cet atelier a permis aux participants de ne plus avoir de frustrations à la vue d’un poste informatique, aussi bien au domicile qu’au sein du PIF. Globalement les résultats sont positifs quant à l’acquisition de compétences techniques et bases de l’informatique.
À l’issue de ce temps d’initiation, l’ensemble des participants sont capables d’allumer un ordinateur, de naviguer sur internet, et d’ouvrir une boite mail. Les objectifs de l‘initiation sont atteints pour 100% des participants. Certains séniors ont plus de difficulté à assimiler les bases telles que la maitrise de la souris ou encore savoir se repérer dans une boite mail, mais les compétences pédagogiques du formateur permettent de faciliter l’apprentissage.
La salle d’activité ne disposant que de 6 postes informatiques, ce qui réduit notre capacité à accueillir un plus grand nombre de participants.
Les participants des ateliers informatiques sont peu issus du point info famille. Les habitants rencontrant des difficultés dans l’usage de l’outil informatique et venant au PIF pour trouver de l’aide ne souhaitent pas se former pour être autonomes. Ceci est dû à la nature de leur sollicitation qui demande un niveau de formation élevé (rédaction de CV de courrier) et le manque de disponibilité.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Précision ( si autre )
Nombre de participations total aux ateliers : 230
En moyenne, nous accueillons 5 participants par atelier.
Le public a été composé de 70 % de séniors, et 30% d’apprenants de la formation linguistique.
Pour les séniors, l’objectif principal est la prise d’autonomie face aux démarches administratives. Les ateliers informatiques représentent aussi pour eu une activité de loisirs afin d’occuper leur temps. Ce sont aussi des temps de socialisation et de rupture de l’isolement.
Pour les habitants fréquentant les ateliers sociolinguistiques. Les ateliers informatiques représentent un besoin afin de pouvoir s’insérer dans la société française. L’objectif à terme est l’acquisition de compétence afin d’obtenir un emploi. Effectivement, cette compétence est actuellement indispensable sur le marché du travail.
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La dématérialisation des services publics s’est imposée à de nombreux usagers du centre social. Au-delà de l’aide que nous pouvons leur apporter sur notre espace numérique lié au Point info famille. Les amener à l’autonomie est une démarche nécessaire et essentielle face à la fracture numérique de plus en plus grandissante surtout pour les personnes âgées du quartier.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Il y a eu 35 séances de janvier à décembre 2018. L'action est renouvellé chaque année.
Il n’y a pas eu d’atelier pendant les vacances scolaires
une séance par semaine tous les mardis de 18h à 20h
Une séance dure 2 heures.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
5000 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Nombre de participations total aux ateliers : 230
En moyenne, nous accueillons 5 participants par atelier.
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
À l’issue de ce temps d’initiation, l’ensemble des participants sont capables d’allumer un ordinateur, de naviguer sur internet, et d’ouvrir une boite mail. Les objectifs de l‘initiation sont atteints pour 100% des participants. Certains séniors ont plus de difficulté à assimiler les bases telles que la maitrise de la souris ou encore savoir se repérer dans une boite mail, mais les compétences pédagogiques du formateur permettent de faciliter l’apprentissage.
- Suite de l'action : Limites
Certains ordinateurs étaient vieillissants. Ils ont été remplacés.
Certains participants demandent la création d’un deuxième créneau dans la semaine afin de progresser plus vite. L’absence d’atelier pendant les vacances scolaires crée une rupture de rythme. Il sera nécessaire pour l’année prochaine de maintenir les ateliers pendant les vacances scolaires.
- Suite de l'action : Perspectives
- Poursuivre les ateliers le mardi de 18h00 à 20h00
- Créer un lien plus étroit avec les services d’accompagnement des habitants tels que l’écrivain public la formation linguistique, le Point info famille.
- Mettre en place un deuxième créneau hebdomadaire.