Les actions des centres sociaux
Actions
Manchest'Art
- Structure organisatrice
- Centre social Manchester - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Action ponctuelle dans le cadre de la Nuit des Musées
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- Mixité sociale
- Résumé
Dans le souci d’associer les jeunes dès l’élaboration du projet, une première phase de sensibilisation aux pratiques artistiques et culturelles a été prévue : rencontres avec des artistes divers (sculpteurs, peintres, dessinateurs, musiciens…), autour d’ateliers de créations artistiques, visites d’expositions, de musées.
Au fur et à mesure des rencontres, des réunions et des échanges,nous avons impliqué les jeunes au coup par coup en fonction de leurs envies : certains ont préférés s'impliquer dans la mise en place de sorties, d'autres sur la mise en place des ateliers artistiques, et d'autres pour l'installation de la manifestation.
- La conception de plaquettes d’information, d’affiches en direction des habitants
- L’organisation de sorties, de spectacles et d’un temps fort en direction de tous les habitants du quartier.
- L’élaboration d’une exposition « vivante et interactive » dans le quartier (Art éphémère, visite guidée).
- La Participation à « La nuit des musées ».
Les jeunes ont été encadrés et/ou accompagnés par des adultes référents, qui ont joué un rôle prépondérant dans la mobilisation des publics en créant des conditions favorables à leur implication et à leur participation active dans la mise en œuvre du projet
- Un animateur a été chargé de l’encadrement des jeunes tout au long du projet. Il s’agit d’une personne déjà en poste sur la structure qui a assuré le lien et la coordination du projet et a été là en soutien de toutes les démarches et initiatives des jeunes. De manière plus globale, la responsable du secteur jeune a eu un rôle de coordination du secteur et de toutes les actions s’y référent.
- Un réseau de partenaires a été constitué et associé au projet (Club de Prévention, collège, Service culturel de la ville, Musée de l'Ardenne...) et tout autre partenaire agissant dans les domaines culturels ou en milieu artistique et qui ont souhaité accompagner les jeunes dans ce projet).
- Les habitants et associations de quartier qui sont souhaité être associés à l’organisation des actions culturelles et à l’animation globale du quartier.
Ce projet aussi issu d’une volonté de recréer une dynamique partenariale sur le quartier et développer une politique commune en faveur de la jeunesse. Ont été associés les partenaires de l’insertion (Mission Locale, CIO…), les partenaires culturels (un représentant du Service culturel de la ville de Charleville-Mézières, un représentant de l’ORCCA, le directeur du musée de l’Ardenne…), les associations d’habitants (qui organisent aussi des manifestations culturelles et/ou festives sur le quartier), l’ACEPA, le collège Scamaroni…
Des liens permanents ont été établis au sein du Centre Social entre les différents secteurs (qui organisent aussi, chacun à leur niveau, des actions d’éveil artistique et de promotion de la culture).
En partant d’un projet de jeunes, c’est le développement social et l’animation globale du quartier qui ont été principaux objectifs à travers cette action.
C’est aussi une manière de mettre en valeur leurs compétences artistiques et de mettre en avant leurs aspirations culturelles, autant d’entrées permettant la mise en évidence de compétences et la valorisation des jeunes du quartier.
C’est durant l’Organisation du temps fort que l’implication des habitants du quartier a été la plus forte. Ils se sont mobilisés dans toutes les étapes de mise en place de cette manifestation sur leur lieu de vie.
Date : le 17 mai 2014(Nuit des musées)
De 18h00 à 24h00
Lieu : Quartier de Manchester
Présentation de l’évènement :
- Une structure posée sur la place de Manchester
- expositions interactives des œuvres réalisées dans le cadre des ateliers artistiques (depuis septembre 2010)
- visites guidées du musée et ateliers artistiques participatifs avec les habitants du quartier
- présence d’artistes et expositions d’artistes locaux (ORCCA…)
- Une animation musicale (groupe) en soirée
- Un espace restauration et buvette
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La loi de lutte contre les exclusions du 29 juillet 1998 stipule que "L'égal accès de tous, tout au long de la vie, à la culture, à la pratique sportive, aux vacances et aux loisirs constitue un objectif national. Il permet de garantir l'exercice effectif de la citoyenneté". L'accès à la culture placé au même titre que l'accès aux droits fondamentaux que sont le travail, le logement ou encore la santé ne doit pas rester une déclaration d'intention, et l'accès à la culture des populations les plus en difficulté pourrait être une priorité.
Le centre social veut participer à susciter dans ce sens l'intérêt de la société et des pouvoirs publics en oeuvrant pour l'accès et la pratique d'activités culturelles comme un moyen de lutter contre les exclusions. Non pas seulement dans le sens d'une appropriation de la culture classique mais d'abord pour offrir aux personnes en difficulté la possibilité d'exister autrement dans le regard des autres. Ce dont les personnes exclues souffrent le plus, ce n'est pas du manque de ressources, même si elles en parlent souvent en premier, c'est le manque de relations amicales avec d'autres et l'occasion de montrer qui elles sont réellement. Ce qu'elles pensent et ce qu'elles savent faire. En outre il faut du courage pour sortir d'un environnement que l'on maîtrise pour aller vers quelque chose dont on ne connaît pas les codes.
La dimension culturelle est une réelle amorce pour sortir de l'exclusion, se remobiliser et se projeter dans la vie. Par exemple, le simple fait d'aller au musée, permet de sortir de son entre soi, et de son environnement familier.
Loisirs et culture ne doivent pas être un luxe. Il s'agit de les faire entrer dans les quartiers populaires puis leur permettre d'intégrer des expressions nouvelles. La culture doit aussi être considéré comme un plus dans la vie (dans les relations avec les autres, dans un métier, dans un entretien d'embauche).
Les pratiques artistiques ( constituent les formes d'expression qui prennent appui sur un art, théâtre, danse, arts plastiques, écriture...et font appel à la créativité individuelle ou collective))et culturelles (ensemble des formes de diffusion, de mise en circulation, d'échange et de partage autour des biens culturels : fréquentation des musées, cinéma, monuments, écoute de la musique...) des jeunes sont un maillons essentiels de l'accès à l'autonomie, à la socialisation et à la responsabilité.
C'est à travers les activités artistiques et culturelles pratiquées dans des périodes clés d'apprentissage que sont l'adolescence et la jeunesse que chaque génération peut réinterpréter le monde, inscrire sa marque et apporter sa contribution au dialogue entre toutes les cultures: savantes, populaires et de toutes origines.
Seuls ces échanges et confrontations avec toutes les cultures dans l'espace public, permettent la reconnaissance des cultures des jeunes par les autres, autant que la reconnaissance des cultures des autres par les jeunes.
Même si les jeunes voyagent à travers la Webplanète, chambre close, ils ne grandissent pas seuls mais en harmonie avec leur entourage humain. Les adultes doivent les aider à activer un esprit critique, leur apprendre à argumenter, étayer et réfléchir pour que cela deviennent constructif et non plus négatif. Nous devons créer la rencontre Adolescents-Culture pour provoquer la protestation, ou tout du moins la réaction.
Tant que les jeunes protesteront contre "la musique de leurs parents" il y aura de l'espoir.
C'est pour cela que Manchest'art existe.
Les objectifs :
- Susciter les initiatives de jeunes du quartier en favorisant leur prise de responsabilités
- Favoriser leur autonomie en les associant à l’élaboration d’actions culturelles
- Sensibiliser les jeunes du quartier à différentes pratiques artistiques et/ou culturelles, et au-delà à la vie locale et à l’animation du quartier
- Participer à l’éveil artistique des jeunes tout en privilégiant les moments de partage intergénérationnel et de convivialité familiale.
- Aménager des espaces culturels et élaborer des moments de rencontres autour des pratiques artistiques.
- Travailler à la mise en réseau des acteurs du quartier (Centre social, Acepa, collège...)
- Inscrire le projet à l’échelle du quartier et en direction de tous les habitants
- Favoriser l’apprentissage de la vie sociale et la responsabilisation
- Permettre aux jeunes de découvrir le processus de création en privilégiant les rencontres conviviales avec les équipes artistiques et techniques
- organiser un temps fort autour des créations réalisées.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- ACSE
- Association locale
- Caf
- Commune
- Conseil départemental
- Conseil régional
- Etat
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Par l'implication des jeunes dans le cadre de ce projet, nous avons recherché un réel investissement des jeunes mais également des habitants du quartier sur tous les évènements festifs qui se sont organisés durant l’année sur le quartier.
Les jeunes ont engagés toutes les démarches nécessaires à l’organisation des ateliers artistiques et culturels, à l’information, à la planification des moments forts. Les habitants ont été conviés à participer à la mise en place de ces temps forts (Nuit des musées).
L'action a débuté en janvier 2014 mais des éléments ont été construits en amont précédemment. Des rencontres conviviales ont été organisées entre les équipes artistiques et techniques.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
56428 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Intervenants - en interne (équipe mobilisée)
coordinateur secteur adultes et familles
coordinatrice secteur jeunesse
animatrice secteur jeunesse
coordinatrice secteur enfance
responsable halte garderie
responsable insertion
responsable multimédia
Nombre d’intervenants participant à l’action :
1 artiste en résidence, 10 artistes (plasticien, peintre, sculpteur, graveur..) et 1 plasticien pour la mise en espace du musée
un technicien, groupe de musique...
- Résultat sur le territoire
Loisirs et culture ne doivent pas être un luxe. Il s'agit de les faire entrer dans les quartiers populaires puis leur permettre d'intégrer des expressions nouvelles. La culture doit aussi être considéré comme un plus dans la vie (dans les relations avec les autres, dans un métier, dans un entretien d'embauche).
- Résultat pour le centre social
Le centre social veut participer à susciter dans ce sens l'intérêt de la société et des pouvoirs publics en oeuvrant pour l'accès et la pratique d'activités culturelles comme un moyen de lutter contre les exclusions. Non pas seulement dans le sens d'une appropriation de la culture classique mais d'abord pour offrir aux personnes en difficulté la possibilité d'exister autrement dans le regard des autres.
- Résultat pour les habitants
C'est à travers les activités artistiques et culturelles pratiquées dans des périodes clés d'apprentissage que sont l'adolescence et la jeunesse que chaque génération peut réinterpréter le monde, inscrire sa marque et apporter sa contribution au dialogue entre toutes les cultures: savantes, populaires et de toutes origines.
Seuls ces échanges et confrontations avec toutes les cultures dans l'espace public, permettent la reconnaissance des cultures des jeunes par les autres, autant que la reconnaissance des cultures des autres par les jeunes.
Même si les jeunes voyagent à travers la Webplanète, chambre close, ils ne grandissent pas seuls mais en harmonie avec leur entourage humain. Les adultes doivent les aider à activer un esprit critique, leur apprendre à argumenter, étayer et réfléchir pour que cela deviennent constructif et non plus négatif. Nous devons créer la rencontre Adolescents-Culture pour provoquer la protestation, ou tout du moins la réaction.
- Suite de l'action : Limites
Pas de difficultés rencontrées
Tous les partenaires ont donné le meilleur d'eux même pour que le projet réussisse.
Chacun a trouvé sa place et a participé activement.
Les jeunes se sont impliqués de la conception a la réalisation du projet.
Les habitants se sont mobilisés dans les divers ateliers en amont mais également le jour de la manifestation.
Des habitants sont venus nous aider au montage ainsi qu'au démontage. D'autres étaient parfois guides ou surveillants du Musée
L'ensemble des habitants ont une réelle envie de faire des sorties culturelles et ils nous l'ont montrer lors des sorties, ils sont déjà mobilisé dans les différents ateliers. Une forte implication de leur part lors du temps fort du 17 mai 2014. Ils sont déjà venu nous demander si il y aurait une autre édition.
A ce jour, Manchest'art et la manifestation de la Nuit des Musées est toujours dans toutes les têtes.
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Plate forme de Redynamisation
- Structure organisatrice
- Social Animation Ronde Couture - Ardennes
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- Résumé
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Autre
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L'action fut mise en place suite à une demande de la sous profecture de Sedan et au regard de différents constat : Les chantiers d'insertion rencontrent des diffiucultés relatives au recrutment des béénficiaires. Ces derniers ne présentent pas forcément les pré reqis nécessaire pour suivre le dispositif. Souvent la reprise d'une activité, le respect du cadre avec l'éffort physique à fournir interfert au bon déroulement du chantier. A cet effet, il paraissait oportun de mettre un sas préparatoire aux chantiers d'insertion. Ce sas devait avoir pour mission le réentrainement au travail progressif pour un public cible: jeune de 18-25 ans et les femmes sans toutefois exclur d'autres typologie de public. La raison de ce public cible repose également sur le constat de compter peu de jeune et de femme sur les chantiers d'insertion. Le fait de préparer ces personnes a pour objectif d'optimiser leur parcours et de les préparer dans les meilleures conditions pour éviter les échecs avant et pendant les chantiers. La capacité d'intégrer des publiocs sur les chantiers d'insertion étant limité, d'autres objectifs sont visés: entrée en formation, notamment qualifiante, s'inserer dans l'emploi, créer son entreprise ou connaitre une réorientation spécifique au regard de problématique repérées,
- Public
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Autre
- Description générale
La Plate forme de Redynamisation fut mise en place en 2011 suite à de multiples réunion avec les différents partenaires de l'insertion sociale et professionnelle. Ce projet porté par le centre social, fut réellement co-construit, avec les différentes instances suite à un diagnostic affiné des besoins.
Le dispositif fonctionne fonctionne toute l'année en entrées et sorties permentes. A cet effet, des comités de suivi ont lieu tous les mois en présence des référents prescripteurs, des partenaires associés (structure d'accueil) et des financeurs. Cet temps d'échange permettent d'aborder la situation individuelle de chaque bénéficaires avec une attention particulière portés sur les progrès, difficultés, perspcetives de parcours, A cette occasion, il est question de déterminer me maintient ou la sortie du bénéficaire du présent dispositif. La décision colégiale est prise en fonction de l'atteinte ou non des objectifs fixés initialement par le prescripteur.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
41 195 Euros : co financement Conseil Départemental, Contrat de Ville, Etat (Fond Jep)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
En 2015 : 42 personnes inscrites, 32 rencontrées en entretiens, 28 entrées sur l'action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Un espace accueil pour une meilleure cohabitation des actions et une dynamique participative
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Animer un espace d’accueil pour une meilleure cohabitation des actions et une dynamique participative.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence au diagnostic :
De nombreuses activités s’y côtoient aujourd’hui, entrainant parfois des difficultés de cohabitations et de lisibilité auprès du public. Un travail de réflexion sur les espaces est donc nécessaire afin d’améliorer encore l’accueil, source de lien social et de convivialité.
Impossibilité d’empêcher des familles de séjourner dans le hall d’accueil malgré l’instauration d’un dialogue permanent.
Source :
(Extraits du diagnostic du bilan contrat de projet 2010-2014).
Objectif stratégique :
Développer et valoriser la fonction d’animation sociale, source de cohésion sociale à l’échelle du territoire.
Objectifs opérationnels :
Améliorer l’accueil des personnes, des familles, des associations
- Améliorer l’accueil des groupes informels, des partenaires…
- Modifier l’aménagement et l’organisation de l’espace accueil.
- Encourager les initiatives des habitants et enclencher une dynamique participative.
- Rompre l’isolement des habitants, prévenir et réduire les exclusions, renforcer les solidarités entre les personnes en les « intégrant » dans des projets collectifs leur permettant d’être acteurs et d’assumer un rôle social au sein d’un collectif ou sur le territoire.
- Installation de mobiliers et cloisons…
Résultats attendus de l’action :
- Mise en œuvre d’une démarche transversale avec l’ensemble des professionnels du centre social permettant d’organiser une fonction d’accueil et d’écoute des habitants, usagers, des familles et des groupes informels ou des associations.
- Amélioration de l’accueil des personnes, des familles et des associations.
- Appréciations des visiteurs de l’animation dans le hall d’accueil (expositions, ateliers, …) pour présenter le centre social.
- Favoriser une attente confortable, détendue, harmonieuse.
- Réaliser un hall d'accueil en vecteur d'images fortes du centre social.
- Communiquer d'emblée un message fort sur l'identité du centre social.
- Capitaliser l’expérience de cette action afin d’optimiser l’utilisation du nouveau hall d’accueil de la future maison de quartier.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
2015 à 2018.
Déroulement :
L’accueil, basé sur une écoute attentive, s’étendra à la capacité à proposer une offre globale d’information et d’orientation. Il sera surtout organisé de manière à recueillir les besoins des habitants et leurs idées de projets collectifs.
Il sera assuré, à titre principal, par un agent d’accueil qualifié, mais sera appréhendé comme une fonction portée collectivement par l’ensemble de l’équipe d’animation du centre social. Cette fonction devra être reconnue, repérée sur le territoire d’intervention et sera considérée comme une action à part entière.
L’équipe de professionnels du centre social assurera une attention particulière aux familles et aux publics fragilisés et, le cas échéant, leur proposera un accompagnement adapté.
Créer les conditions de l’accueil et de la participation :
Un cahier des charges sera élaboré sur le schéma d'agencement avec les dirigeants, les salariés, les adhérents. Il permettra d’améliorer l’accueil, source de lien social et de convivialité.
Le recensement des besoins se révèle une étape incontournable. Il convient, tout d'abord, de détailler les contraintes techniques auxquelles le centre social est confronté. « C'est ce qui va permettre d'organiser une continuité et une cohérence entre ce qui existe et ce qui va être créé pendant la durée du projet social et imaginé dans la future maison de quartier ».
À l'issue de cette phase d'audit, le cahier des charges pourra être soumis à un architecte d'intérieur qui sera en mesure de travailler sur le schéma d’agencement.
Il faudra ensuite s'interroger sur la qualité et la typologie des personnes qui transiteront par cet espace (adhérents, usagers, fournisseurs, salariés…) et sur les temps d'attente de chacun, afin de mieux définir les flux de circulation. Les questions de sécurité - gestion des accès et filtrage - doivent être examinées avec attention.
Les questions acoustiques ne sont pas à négliger. Dans un espace où transitent plusieurs dizaines de personnes chaque jour, le niveau sonore ambiant peut se révéler rapidement élevé et gênant, rendant difficiles les conversations. Il faudra utiliser des outils logiciels de simulation des phénomènes acoustiques permettant d'optimiser les traitements nécessaires.
En termes d’information :
Pérenniser le travail en lien avec les services de la Ville de Sedan, de la Caisse d’Allocations Familiales, du Conseil Général, les associations, des services publics (Pôle Emploi, Mission Locale…), les organismes HLM, afin d’être identifié comme un lieu de diffusion et d’information.
C'est un lieu où les visiteurs vont pouvoir s'informer sur le centre social, d'où l'intérêt d'y installer des outils communicants comme des moyens audiovisuels (écran géant, vidéo projecteur, tablettes numériques, ordinateurs portables…), pour améliorer l’information, la communication.
Les dirigeants du centre social pourront investir dans un logiciel destiné à planifier et automatiser la diffusion de nos contenus multimédia sur un ou plusieurs écrans informatiques ou télévisuels. L’agent d’accueil animera l’espace d’attente en diffusant, sur un ou plusieurs écrans, différentes informations issues de différents fichiers (MS PowerPoint converti en vidéo, flash, films, images. Musiques...) pour faire patienter les visiteurs.
En termes spatiaux :
L’installation de petits salons de type “lounge” pourra être envisagée afin de créer une ambiance plus conviviale et cosy que celle d'une salle de réunion. « Il s'agit de zones « d'attente active » où le visiteur peut se connecter à internet, travailler ou faire une rapide présentation à son interlocuteur ».
Il sera aussi possible d'opter pour la création de petits box où sont accueillis, par exemple, les parents, de façon plus confidentielle, sans avoir à les faire pénétrer dans les bureaux du centre social.
Ces espaces pourront être équipés d'un point café qui pourra être géré par des bénévoles, d'un canapé “lounge”, de petites tables basses ou, au contraire, de tables de type « bar » et de tabourets assis debout.
Des prises électriques et une connexion Wi-Fi peuvent être installées afin de permettre au visiteur de travailler.
Sur un plan pratique, l'éclairage est une composante importante qui concourt à l'ambiance du hall d'accueil. Aussi, un soin tout particulier devra y être apporté, surtout si l'installation d'écrans ou des bornes interactives est prévue.
Il faudra réorganiser la signalétique, l’affichage, l’implantation de plantes vertes, d’un kiosque à journaux et magazines…
En termes d’animation :
Quelques rares animations ont été proposées dans le hall d’accueil. Il s’agira de les augmenter tout en tenant compte de la promiscuité de l’espace. Il faudra faire tourner des expositions de peintures, de sculptures, du théâtre “interactif de poche” pour attirer des visiteurs qui ne viennent pas habituellement au centre social.
Le poste de travail :
L'ergonomie des postes de travail doit aussi être impérativement prise en compte. D'où l'importance d'avoir préalablement défini, avec précision, les missions du personnel d'accueil. Ainsi, lorsque le salarié est chargé du standard, son espace doit être conçu de manière à préserver la confidentialité des communications. S’il est amené à se lever pour proposer un ordinateur ou une tablette aux visiteurs, il doit pouvoir circuler facilement. « La qualité de vie au travail du personnel en poste a un impact immédiat sur la qualité de l'accueil et, par conséquent, sur l'image que renvoie le centre social”.
Ce travail s’inscrira aussi dans la perspective de l’aménagement de l’accueil dans la nouvelle maison de quartier.
Les moyens mis en œuvre :
* Humains :
Un agent d’accueil qui interviendra à raison de trente-cinq heures par semaine, en transversalité avec l’ensemble des dirigeants, bénévoles et du personnel.
* Amplitude d’ouverture :
Assurer des créneaux d’ouverture maximum, 70 heures par semaine, 6 jours sur 7, 10 mois sur 12.
* Moyens matériels :
Moyens audiovisuels (écran géant, vidéo projecteur, tablettes numériques, ordinateurs portables…).
Acquisition de mobiliers et de cloisons…
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Il n'existe pas de budget spécifique pour cette fiche action. Chaque bénévole, chaque salarié est totalement partie prenante de la mise en oeuvre opérationnelle de la fiche action. Un salarié chargé d'accueil et un contrat aidé assurent une plage horaire d'ouverture de 60 heures hebdomadaires. L'espace d'accueil est aussi animé pendant les périodes de fermeture par des bénévoles. Ces éléments ne permettent pas de formaliser un budget précis.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
25 salariés - 80 bénévoles -
- Résultat sur le territoire
Améliorer l’accueil des groupes informels, des partenaires,
Encourager les initiatives des habitants et enclencher une dynamique participative,
Rompre l’isolement des habitants, prévenir et réduire les exclusions.
- Résultat pour le centre social
Créer les conditions de l'accueil et de la participation.
- Résultat pour les habitants
Rompre l’isolement des habitants, prévenir et réduire les exclusions,
Encourager les initiatives des habitants.
- Suite de l'action : Limites
Le centre social Le Lac vient d'emménager dans la nouvelle maison de quartier et n'a pas pu mesurer les limites de son action.
- Suite de l'action : Perspectives
Evaluer la mise en oeuvre de la fiche action afin de définir des perspectives.
Actions
Accompagnement des parents dans leur mission éducative
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
Accompagner les parents dans leur mission éducative.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence au diagnostic :
Après de très nombreuses tentatives afin de mobiliser des partenaires (Ville de Sedan, établissements scolaires…), les dirigeants du Centre Social Le Lac, en accord avec la responsable de l’animation collective familles, ont dû se résigner à organiser « sans réseau », diverses actions. Cependant, la responsable de l’animation collective familles a pu s’appuyer sur une représentante de la Caisse d’Allocations Familiales ainsi que sur l’équipe de salariés et de bénévoles du Centre Social Le Lac
Source :
(Extrait du diagnostic du bilan contrat de projet 2010-2014).
Objectif stratégique :
Développer et valoriser la fonction d’animation sociale, source de cohésion sociale à l’échelle du territoire.
Objectif opérationnel :
Améliorer l’accueil des personnes, des familles, des associations.
- Encourager les initiatives des habitants.
- Enclencher une dynamique participative.
- Soutenir les parents dans leur rôle éducatif en utilisant le dispositif « REAAP », contrôlé et animé par la Caisse d’Allocations Familiales, afin d’améliorer l’accueil des personnes, des familles, en particulier les plus vulnérables, car leur engagement dans une activité sociale est souvent difficile.
Résultats attendus de l’action :
Participation d’acteurs divers pour accompagner plusieurs groupes de parents dans la perspective de relever des besoins, des attentes sur des questions de parentalité et leur donner les moyens de se structurer.
Participation de parents à des ateliers parents/enfants.
Développement de relations durables et construction de projets communs avec les associations de parents d’élèves du quartier du Lac.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
2015 à 2018.
Déroulement :
Mobiliser un réseau d’acteurs divers travaillant déjà sur ce sujet et dont les domaines d’intervention varient : des associations, des partenaires institutionnels (Caisse d’Allocations Familiales, Centre Communal d’Action Sociale…), des professionnels, les établissements scolaires, les parents d’élèves…
Le réseau pourra mettre à la disposition des parents des services et des moyens :
- Rencontres et échanges entre parents.
- Accompagnement de projets familiaux.
- Soutien psychologique.
- Actions culturelles.
- Sorties familiales.
- Conférence.
- Débat avec différentes méthodologies participatives.
- Accompagnement de plusieurs groupes de parents dans la perspective de relever des besoins, des attentes sur des questions de parentalité et leur donner les moyens de se structurer.
- Créer des ateliers parents/enfants.
- Développer des relations avec les associations de parents d’élèves du quartier du Lac pour collaborer sur certains projets, leur apporter un soutien technique, mutualiser des compétences, proposer des formations…
Les moyens mis en œuvre :
Une animatrice socioculturelle animera une démarche de transversalité avec l’ensemble des dirigeants, bénévoles et du personnel.
Résultats attendus de l’action :
Participation d’acteurs divers pour accompagner plusieurs groupes de parents dans la perspective de relever des besoins, des attentes sur des questions de parentalité et leur donner les moyens de se structurer.
Participation de parents à des ateliers parents/enfants.
Développement de relations durables et construction de projets communs avec les associations de parents d’élèves du quartier du Lac.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget du Réseau d'Ecoute, d'Appui et d'Accompagnement des Parents.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 salariés - 50 bénévoles -
- Résultat sur le territoire
Participation d’acteurs divers pour accompagner plusieurs groupes de parents dans la perspective de relever des besoins, des attentes sur des questions de parentalité et leur donner les moyens de se structurer.
- Résultat pour le centre social
Participation de parents à des ateliers parents/enfants.
- Résultat pour les habitants
Développement de relations durables et construction de projets communs avec les associations de parents d’élèves du quartier du Lac.
- Suite de l'action : Limites
Importantes difficultés à mobiliser les habitants dans la durée.
Indisponibilté des enseignants pour participer à la coconstruction des projets.
- Suite de l'action : Perspectives
Améliorer la structuration de la Fête de l'Enfance qui servira d'outil de mobilisation et de participation pour accompagner les parents dans leur mission éducative.
Actions
Implication des adhérents, des responsables d'activités, des bénévoles, des Elus dans les instances de décision du centre social
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Démocratie & citoyenneté
- Mixité sociale
- Résumé
Impliquer les adhérents, les responsables d’activités, les bénévoles, les élus du conseil d’administration dans une dynamique participative.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence au diagnostic :
Depuis les origines de la politique de la ville, la nécessité de la participation des habitants est reconnue par tous. Bien que les dispositifs participatifs se soient développés et diversifiés, ceux-ci relèvent plus souvent de l’information et de la consultation que d’une véritable possibilité de se faire entendre et d’intervenir dans l’action publique.
Tout en gardant à l’esprit les limites pouvant y être liées, de nombreux conseils considèrent aujourd’hui qu’il faudrait améliorer la qualité du débat public et associer davantage les citoyens aux décisions (Conseil d’État, Conseil National des Villes ou Conseil National des Politiques de Lutte contre la Pauvreté et l’Exclusion Sociale). Des attentes de renouveau démocratique semblent, en effet, émerger dans un contexte marqué par la crise de la représentation traditionnelle, le développement des réseaux sociaux et l’évolution de la répartition des compétences entre l’Union Européenne, l’État et les collectivités locales.
Dès lors, comment partager le pouvoir d’expertise et de décision avec les habitants ? Comment mieux articuler participation et représentation ? Quelle ambition pour la politique de la ville ? Pour éclairer l’action publique française, cette note analyse les dynamiques étrangères les plus prometteuses en dégageant trois axes : partager le pouvoir décisionnel avec les habitants au travers de « budgets participatifs de quartiers » ; garantir la qualité du débat public ; permettre aux habitants de développer leur pouvoir d’agir.
Source :
La participation des habitants : trois pistes pour rénover la politique de la ville [Note d'analyse 278 — septembre 2012].
Marion Carrel : maître de conférences en sociologie à l'université Lille 3.
Noémie Houard : département Questions sociales du Centre d'Analyse stratégique.
Une des conclusions du questionnaire :
On remarque une volonté de s’engager dans une démarche d’intérêt général par le biais des candidatures au conseil d’administration. On peut noter de nombreuses propositions concernant la mise en œuvre d’activités nouvelles.
Source :
[Extrait du diagnostic du bilan contrat de projet 2010-2014] – une des conclusions du questionnaire.
Objectif stratégique :
Développer et valoriser la fonction d’animation sociale, source de cohésion sociale à l’échelle du territoire.
Objectif opérationnel :
Promouvoir et accompagner le bénévolat.
- Améliorer la capacité des bénévoles anciens et nouveaux à encadrer et à animer les activités de l'association, notamment dans les actions socioculturelles ou sportives.
- Faire acquérir aux bénévoles participants de manière régulière aux organes de direction [conseil d’administration, bureau], des connaissances pour administrer rationnellement et efficacement le centre social dans le cadre d'un exercice de responsabilité non professionnelle.
Résultats attendus de l’action :
- Encourager les initiatives des habitants et une dynamique participative.
- Mobilisation des adhérents dans la participation aux formations.
- Utilisation des nouvelles compétences au sein du conseil d’administration et des bureaux.
- Augmentation des candidatures pour le conseil d’administration.
- Amélioration dans la gestion des activités gérées par les bénévoles.
- Création de nouvelles activités et une dynamique de mobilisation des habitants.
- L’engagement bénévole aura pour conséquence leur développement personnel, le développement de leurs compétences, la recherche de sens à leur vie, le plaisir, le besoin de développement du lien social…
- Valorisation des talents.
- Prise de responsabilité et développement d’une citoyenneté de proximité.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Commune
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Déroulement :
Le centre social organisera des formations, une fois par trimestre, à l’intention des bénévoles ou leur donnera accès à des formations conçues ou promues par des structures mandatées, à cet effet, par les directions régionales de la jeunesse, des sports et de la cohésion sociale. La formation comportera, la plupart du temps, une partie théorique et une partie pratique.
Elle permettra d’acquérir :
- Une culture générale sur la spécificité du fait associatif et de l’agrément d’un centre social par la Caisse d’Allocations Familiales des Ardennes, son évolution, son environnement, des connaissances pour prendre des responsabilités, conduire et développer le contrat de projet.
- Des données sur la définition du concept d’animation globale.
- Une formation pratique.
Ils recevront, à l’issue de cette formation, un livret de formation à la gestion associative. Il permettra aux bénévoles suivant ou ayant suivi un parcours de formation à la gestion associative reconnu par les autorités, de garder une trace du contenu de la formation. De plus, il comportera des appréciations portées sur ses compétences, par les responsables de formation.
Un contrat d’engagement pour suivre ces formations sera proposé aux bénévoles et aux adhérents élus au conseil d’administration
Les moyens mis en œuvre :
Le directeur et la comptable animeront une démarche de transversalité avec l’ensemble des dirigeants, bénévoles et du personnel.
Structures mandatées par les Directions Régionales de la Jeunesse, des Sports et de la Cohésion Sociale…
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Prestation de Service centre social.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
5 salariés - 20 bénévoles -
- Résultat sur le territoire
Développer et valoriser la fonction d’animation sociale, source de cohésion sociale à l’échelle du territoire.
- Résultat pour le centre social
Améliorer la capacité des bénévoles anciens et nouveaux à encadrer et à animer les activités de l'association, notamment dans les actions socioculturelles ou sportives.
Faire acquérir aux bénévoles participants de manière régulière aux organes de direction [conseil d’administration, bureau], des connaissances pour administrer rationnellement et efficacement le centre social dans le cadre d'un exercice de responsabilité non professionnelle.
- Résultat pour les habitants
- Des données sur la définition du concept d’animation globale.
- Une formation pratique.
- Suite de l'action : Limites
Difficultés à lutter contre le fatalisme et à inscrire les participants dans la durée.
- Suite de l'action : Perspectives
Amélioration dans la gestion des activités gérées par les bénévoles
Création de nouvelles activités
Mobilisation des habitants des différents quartiers.
Actions
Atelier d'éducation artistique et culturelle
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- Culture
- Résumé
- Mise en place d’ateliers d'éducation artistique et culturelle qui ont pour ambition de viser un égal accès de tous les jeunes à l'art et à la culture, dans le respect de la liberté et des initiatives de l'ensemble des acteurs concernés.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence :
En 2012 et 2013, des ateliers d'éducation artistique et culturelle ont été mis en œuvre par le centre social Torcy Cités, le Secteur Jeune de la Ville de Sedan et le Centre Social Le Lac, dans le cadre du FACEJ ZUS, aux bénéfices des habitants des différents quartiers des ZUS de la ville de Sedan.
Les partenaires se sont associés afin de créer une dynamique partenariale. L’objectif était de favoriser le brassage des habitants, la coopération des animateurs, la mutualisation des moyens, humains, pédagogiques, des différents quartiers des ZUS et de la ville de Sedan.
Les différents ateliers d'éducation artistique et culturelle mis en œuvre ont permis de créer une chorale intergénérationnelle, une troupe déambulatoire, des groupes de percussions et de danses (zumba, danse africaine)… avec les habitants des différents quartiers des ZUS et de la ville de Sedan.
À partir des ateliers artistiques, en 2013, des œuvres collectives ont été présentées tout au long de l’année : fête de la musique, festival médiéval de la ville de Sedan, carnaval de Sedan, fête de Donchery, festival de la marionnette de Charleville-Mézières, spectacles présentés dans les différentes structures…
Lors des multiples bilans de fin d’année, les administrateurs, les directeurs, les animateurs du centre social Torcy Cités et le Lac, le Service Jeunesse de la Ville de Sedan, les familles (adultes, jeunes, enfants) ont souhaité, unanimement, l’utilisation d’ateliers d'éducation artistique et culturelle afin de poursuivre un projet collectif.
Le témoignage des acteurs socioéducatifs, MJC Calonne, centre social Torcy Cités, Secteur Jeune de la Ville de Sedan, Centre Social Le Lac, dans le cadre des bilans collectifs CUCS et FACEJ ZUS organisés par la Ville de Sedan.
Le témoignage de certaines institutions (Caisse d’Allocations Familiales, travailleurs sociaux, Pôle Sénior, CCAS…) a permis d’identifier ce besoin.
L’équipe de permanents du Centre Social Le Lac (le Directeur, les Responsables du Secteur Familles, de l’Accueil collectif de Mineurs, de l’Accueil jeunes, des Contrats locaux d’Accompagnement à la Scolarité, de la Ludothèque, les adultes relais, l’agent d’accueil, les animateurs…) a, dans sa relation permanente avec les usagers, recueilli de très nombreux témoignages qui ont pu être analysés.
Les usagers de tous les secteurs, les membres du conseil d’administration, ont témoigné quotidiennement des difficultés qu’ils ont rencontrées dans leurs pratiques.
Les jeunes et les familles qui habitent la ZUS du Lac, de Torcy, et du centre ancien fréquentent très peu ou pas les structures culturelles (MJC Calonne, école de musique, médiathèque…) en dehors du temps scolaire.
Cette fracture artistique et culturelle est inégale d'un jeune à l'autre pour des raisons diverses (socioculturelles, géographiques, etc...) et en fonction des écoles ou établissements fréquentés.
Les initiatives des opérateurs sont quelquefois anarchiques voir incohérentes avec peu d’évaluations qualitatives et quantitatives.
Leur mise en œuvre résulte d’un manque de concertation entre les différents acteurs du territoire.
Cette démarche à destination des jeunes ne conduit-elle pas à une simple juxtaposition d'actions dans tous les domaines des arts et de la culture ?
Ces propositions produisent des attitudes consuméristes qui ne facilitent pas la démarche de projet et le partenariat.
Il n’existe pas d’instance de pilotage et de suivi à l’échelon territorial afin d’assurer la mise en cohérence et la continuité des actions et de veiller au rééquilibrage sur le territoire.
Existe-t-il un projet politique permettant de mettre en œuvre les grands axes stratégiques de développement de l'éducation artistique et culturelle, sur la base de diagnostics et de bilans locaux, en portant une attention particulière aux territoires ZUS ?
L’absence de dynamique partenariale ne permet pas un égal accès de tous les jeunes aux arts et à la culture. Les actions et les budgets ne sont pas en synergie et ne peuvent donc pas initier des expérimentations et des actions innovantes.
Ce projet Co construit par les acteurs socioéducatifs, centre social Torcy Cités, Secteur Jeune de la Ville de Sedan et porté par le Centre Social Le Lac, pourrait contribuer pleinement à la réussite et à l'épanouissement de chaque jeune par la découverte de l'expérience esthétique et du plaisir qu'elle procure, par l'appropriation de savoirs, de compétences, de valeurs, et par le développement de sa créativité. Il concourrait aussi à tisser un lien social fondé sur une culture commune.
Source :
Diagnostic commun Service Jeunesse Ville, Centre social Torcy Cités et Centre Social Le Lac.
Objectif stratégique :
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire.
Objectifs généraux :
- Mise en place d’ateliers d'éducation artistique et culturelle qui ont pour ambition de viser un égal accès de tous les jeunes à l'art et à la culture, dans le respect de la liberté et des initiatives de l'ensemble des acteurs concernés.
- Impliquer les parents dans les projets artistiques et culturels de leurs enfants.
- Mise en place d’un parcours d'éducation artistique et culturelle qui a pour objectif de mettre en cohérence enseignements et actions éducatives, de les relier aux expériences personnelles, de les enrichir et de les diversifier.
- Mettre en valeur les actions menées, en leur donnant une continuité.
- Permettre aux jeunes, par l'expérience des pratiques, par la rencontre des œuvres et des artistes, par les investigations, de fonder une culture artistique personnelle, de s'initier aux différents langages de l'art et de diversifier et développer ces moyens d'expression.
- Le parcours d'éducation artistique et culturelle conjuguera l'ensemble des connaissances acquises, des pratiques expérimentées et des rencontres organisées dans les domaines des arts et de la culture, dans une complémentarité entre les temps scolaires, périscolaires et extrascolaires.
- Ce parcours contribuera pleinement à la réussite et à l'épanouissement de chaque jeune par la découverte de l'expérience esthétique et du plaisir qu'elle procure, par l'appropriation de savoirs, de compétences, de valeurs et par le développement de sa créativité. Il concourt aussi à tisser un lien social fondé sur une culture commune.
- Sa mise en œuvre résulte de la concertation entre les différents acteurs d'un territoire afin de construire une offre éducative cohérente à destination des jeunes qui aille au-delà de la simple juxtaposition d'actions, dans tous les domaines des arts et de la culture.
- Favoriser la continuité du parcours d'éducation artistique et culturelle entre les différents temps éducatifs de l'enfant.
- Compléter le parcours d'éducation artistique et culturelle mis en œuvre par l’Éducation Nationale en s’appuyant sur la circulaire n° 2013-073 du 3-5-2013 qui formalise, dans une démarche partenariale associant structures ou acteurs culturels et milieux socioéducatifs, notamment ceux de l'éducation populaire (MJC Calonne, Centre social Torcy Cités, Secteur Jeune de la Ville de Sedan).
- Proposer un parcours d'éducation artistique et culturelle en lien avec les politiques éducatives territoriales et les politiques de développement culturel que mènent les collectivités territoriales.
- Ces actions s'inscriront dans une démarche de projet avec les acteurs socioéducatifs (MJC Calonne, Centre social Torcy Cités, Secteur Jeune de la Ville de Sedan). Leurs contenus rechercheront la complémentarité des trois piliers de l'éducation artistique et culturelle.
- Elles prendront la forme d’ateliers artistiques dans les domaines de la musique (percussions), de la danse (africaine), ou du théâtre, etc…
- Mettre en œuvre un projet Co construit dans une logique de territoire éducatif.
- S'impliquer dans un projet artistique d'envergure ne pouvant se développer que dans le cadre de mutualisations formalisées.
- Participer au renforcement du lien entre les activités menées sur le temps scolaire et les expériences personnelles menées sur le temps extrascolaire, en particulier si le territoire prévoit la mise en place d’un Projet Educatif Territorial (PEDT).
Objectif opérationnel :
Adapter et renforcer les services existants.
Utiliser des ateliers d'éducation artistique et culturelle dans les domaines de la musique (percussions), de la danse (africaine) ou du théâtre, etc… au bénéfice des enfants et de leurs parents qui habitent la ZUS du Lac, de Torcy, du centre ancien, pour créer une œuvre collective (spectacle…).
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Commune
- Etat
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Déroulement :
Le parcours d'éducation artistique et culturelle conjuguera l'ensemble des connaissances acquises, des pratiques expérimentées et des rencontres organisées dans les domaines des arts et de la culture, dans une complémentarité entre les temps scolaires, périscolaires et extrascolaires.
Le projet des ateliers d'éducation artistique et culturelle sera donc présenté aux enseignants, aux animateurs qui accueillent les enfants dans les différents temps. Une rencontre sera organisée avec la conseillère pédagogique de l’Éducation Nationale afin qu’elle présente le parcours d'éducation artistique et culturelle mis en œuvre dans les écoles, par les enseignants.
Cet échange consolidera la complémentarité entre les différents temps et devrait permettre de futures coopérations dans une démarche de coéducation.
Il s’organisera aussi autour de créations sur plusieurs territoires qui, progressivement, n’en deviendra plus qu’un.
Des transversalités seront aussi élaborées en direction du projet « un artiste dans la ville » mis en œuvre par la MJC Calonne et la médiathèque de Sedan.
Des rassemblements seront organisés tout au long de l’année avec les publics du Centre social Torcy, le Secteur Jeune de la Ville de Sedan et le Centre Social Le Lac afin d’élaborer un spectacle commun. Il sera présenté aux habitants de la ville de Sedan, à la fin de l’année 2014.
Des ateliers communs (parents, enfants, parents/enfants) seront organisés avec les enfants et les jeunes des différentes structures.
Au-delà des ateliers, l’animateur spécialisé dans les activités d'éducation artistique et culturelle accompagnera, tout au long de l’année 2014, des groupes (parents, enfants, parents/enfants), des différentes structures, aux spectacles, expositions… organisées par la MJC Calonne et la médiathèque de Sedan…
Un animateur spécialisé dans les activités d'éducation artistique et culturelle sera recruté par le Centre Social Le Lac, sur la base de 35 heures. Il animera différents ateliers au Centre social Torcy Cités, Secteur Jeune de la Ville de Sedan et Centre Social Le Lac.
Pour la première fois dans l’histoire de ces structures, une mutualisation d’un salarié permettra d’atténuer les phénomènes quelquefois négatifs d’appartenance territoriale de certains habitants et particulièrement des jeunes.
Pour la première fois dans l’histoire de ces structures, une mutualisation du matériel pédagogique sera mise en œuvre quotidiennement.
Pour la première fois dans l’histoire de ces structures, une convergence sera mise en œuvre en transversalité avec d’autres projets financés conjointement par le CUCS et le FACEJ ZUS dans le cadre d’un projet intitulé « un artiste dans la ville ».
L’intervention d’un animateur spécialisé dans les activités d’éducation artistique et culturelle favorisera les initiatives de terrain et fera de chaque animateur, quelle que soit la structure dans laquelle il est salarié, un acteur de ce projet avec son propre public.
Chaque projet artistique et culturel sera unique, mais transversal, car sera le fruit du partenariat entre chaque animateur, quelle que soit la structure dans laquelle il est salarié et le même animateur spécialisé dans les activités d’éducation artistique et culturelle. Ensemble, ils feront appel à l’initiative des familles.
On peut comparer cette initiative à une résidence d’artistes, sur plusieurs mois.
En effet, le projet s’organisera aussi autour de créations sur plusieurs territoires qui, progressivement, n’en deviendra plus qu’un.
De ce fait, le projet répondra aussi à la devise du maire de Sedan « la ville est une et indivisible ».
Il aura plusieurs missions : de création, de diffusion et de sensibilisation. La rencontre avec une œuvre par la découverte d’un processus de création, la pratique culturelle à travers la mise en relation avec les différents champs du savoir et la construction d’un jugement esthétique.
Les ateliers artistiques seront :
- Des lieux d’une pratique critique effective, approfondie, créative et réflexive.
- Des lieux de rencontres essentiels entre le monde de l’animation et celui de la création, entre les animateurs et les professionnels de l’art, entre l’enseignement artistique et l’action culturelle.
- Des éléments essentiels du développement et de la diversification des activités artistiques.
- Des espaces d’innovation pédagogique et d’engagement artistique.
- Des voies de rencontre entre des acteurs socioéducatifs, MJC Calonne, centre social Torcy Cités, Secteur Jeune de la Ville de Sedan, Centre Social Le Lac et leur environnement artistique et culturel.
Les ateliers artistiques auront les caractéristiques suivantes :
- Être centrés sur la pratique.
- Être ouverts sur l’environnement culturel.
- Intégrer les nouvelles technologies.
- Être installés dans des locaux adaptés et équipés spécifiquement.
Les moyens mis en œuvre :
Un animateur spécialisé dans les activités d'éducation artistique et culturelle sera recruté par le Centre Le Lac sur la base de 35 heures. Il animera différents ateliers au Centre social Torcy Cités, Secteur Jeune de la Ville de Sedan et Centre Social Le Lac.
Salle spécifique dans chaque structure (Centre social Torcy Cités et du Lac, Secteur Jeune de la Ville de Sedan).
Matériel pédagogique (percussions, échasses, cirque…) des trois structures.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
5 salariés - 100 bénévoles -
- Résultat sur le territoire
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire.
- Résultat pour le centre social
Utiliser des ateliers d'éducation artistique et culturelle dans les domaines de la musique (percussions), de la danse (africaine) ou du théâtre, etc… au bénéfice des enfants et de leurs parents qui habitent la ZUS du Lac, de Torcy, du centre ancien, pour créer une œuvre collective (spectacle…).
- Résultat pour les habitants
- Des lieux d’une pratique critique effective, approfondie, créative et réflexive.
- Des lieux de rencontres essentiels entre le monde de l’animation et celui de la création, entre les animateurs et les professionnels de l’art, entre l’enseignement artistique et l’action culturelle.
- Des éléments essentiels du développement et de la diversification des activités artistiques.
- Suite de l'action : Limites
Importantes difficultés à mobiliser les habitants dans la durée.
- Suite de l'action : Perspectives
L’implication des différents publics, des animateurs, de l’animateur spécialisé dans les activités d'éducation artistique et culturelle, dans les différents ateliers, ainsi que les productions et œuvres créées dans le cadre de ces ateliers, seront mises en valeur par le biais d’expositions et de présentations publiques.
Actions
Logithèque
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- éducation / scolarité
- Emploi, économie
- Résumé
Lutter contre la fracture numérique qui peut fragiliser la société qui n’a plus le temps de faire de l’innovation technologique un apprentissage social.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence :
Avec une proportion de non diplômés et de ménages non imposés, deux fois supérieure dans la ZUS du Lac, le quartier présente des risques élevés d’une forte fracture numérique.
Le niveau d’équipements à domicile (ordinateurs et abonnement) est inférieur dans la ZUS du Lac.
Les freins économiques à l’acquisition de l’équipement demeurent une des raisons majeures.
Les habitants interrogés à ce sujet expliquent qu’il s’agit avant tout d’un problème de coût.
Les pratiques et usages numériques marquent une nette fracture et sont générateurs d’exclusion.
Plus que sur les réseaux et les équipements, ce sont dans les usages que nos équipes de salariés ont observé une fracture numérique importante par rapport au reste de la population.
Certaines évolutions sociales, communes à de nombreux territoires, interrogent et/ou ont un impact sur la notion de « vivre ensemble ».
Le développement des nouvelles technologies modifie également les formes du lien social et réinterroge les notions de proximité et de voisinage. Plus globalement, l'accélération du changement technologique peut fragiliser la société qui n'a plus le temps de faire de cette innovation technologique un apprentissage social.
Source :
(Extrait du diagnostic du bilan contrat de projet 2010-2014).
(Extrait de la circulaire relative à l’animation de la vie sociale 2012).
Objectif stratégique :
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
Objectifs généraux :
Lutter contre la fracture numérique qui peut fragiliser la société qui n’a plus le temps de faire de l’innovation technologique un apprentissage social.
Objectifs opérationnels :
Adapter et renforcer les services existants.
- Organiser des ateliers d’initiation et de formation aux nouvelles technologies au bénéfice des familles, en particulier les plus vulnérables, car leur engagement dans une activité sociale est souvent difficile.
- Accès et initiation.
- Apprentissage, initiation à internet.
- Utiliser des CD-Rom éducatifs pour une remédiation de la lecture et de l'écriture.
- Apporter à chaque participant la compréhension des mécanismes de fonctionnement d'internet.
- Découvrir les principaux outils de connexion et de recherche d'informations.
- Utiliser la messagerie électronique.
- Etre capable d'assurer la saisie, la mise en forme, l’impression et l'archivage de documents dans le pack office de Microsoft ou de Libre Office.
Résultats attendus de l’action :
- Réduction du nombre d’adhérents de notre territoire d’intervention n’utilisant pas internet.
- Sensibilisation du plus grand nombre aux bonnes pratiques, en référence aux finalités du Centre Social Le Lac.
- Amélioration des usages pour améliorer les conditions de vie, le développement de l’éducation et de l’expression culturelle, la prévention et la réduction des exclusions…
- Utilisation des nouvelles technologies dans le cadre d’un apprentissage social.
- Participation à une activité collective des habitants de différentes générations.
- Réponse aux besoins des habitants.
- Insertion sociale d’un maximum de familles dans l’environnement des nouvelles technologies pour favoriser les liens sociaux et la cohésion sociale, en référence aux finalités du centre social.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- Etat
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Déroulement :
La logithèque, le cyberbase, Informatique pour tous.
Création de multiples actions dédiées à la micro-informatique, internet et aux multimédias au bénéfice de familles défavorisées de la ville du territoire d’intervention. Elles s'adresseront à des publics qui sont à l'écart du développement de la société, de l'information et de la communication. Deux espaces ont été créés : la logithèque et le cyberbase.
Afin d'éviter la reproduction de pratique d'exclusion sociale, les structures seront ouvertes à un large public sans limite, en termes d'âge, de catégories socioprofessionnelles, d'origine culturelle. Elles viseront ainsi à favoriser la mixité sociale, la rencontre, l'éco- apprentissage.
Le recours à l'outil informatique se présente comme un plus dans le cadre des missions du Centre Social Le Lac pour servir l'accompagnement des publics défavorisés : soutien à l'alphabétisation, accompagnement scolaire, recherche d'emploi, apprentissage d'initiation à l'usage d'internet, communication (mails, chats, etc...).
La nouvelle maison de quartier :
Un cahier des charges sera élaboré sur le schéma d'agencement avec les dirigeants, les salariés, les adhérents. Il permettra d’améliorer l’accueil, source de lien social et de convivialité.
Le recensement des besoins se révèle une étape incontournable. Il conviendra, tout d'abord, de détailler les contraintes techniques auxquelles le centre social est confronté. C'est ce qui va permettre d'organiser une continuité et une cohérence entre ce qui existe et ce qui va être créé pendant la durée du projet social et imaginé dans la future maison de quartier.
À l'issue de cette phase d'audit, le cahier des charges pourra être soumis à un architecte d'intérieur qui sera en mesure de travailler sur le schéma d’agencement de la logithèque.
Les moyens mis en œuvre :
Deux animateurs socioculturels et des animateurs bénévoles organiseront des animations, des cours, des formations…
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 salariés - 5 bénévoles -
- Résultat sur le territoire
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
- Résultat pour le centre social
Lutter contre la fracture numérique qui peut fragiliser la société qui n’a plus le temps de faire de l’innovation technologique un apprentissage social.
- Résultat pour les habitants
- Organiser des ateliers d’initiation et de formation aux nouvelles technologies au bénéfice des familles, en particulier les plus vulnérables, car leur engagement dans une activité sociale est souvent difficile.
- Suite de l'action : Limites
Cette action est principalement financée par les collectivités et le contrat de ville qui apporte un financement essentiel complémentaire.
Cependant, la précarité du dispositif remet en question régulièrement la pérennité des postes de salariés.
- Suite de l'action : Perspectives
Développer le bénévolat afin d'étendre les créneaux et accueillir plus d'habitants.
Actions
Accueil de Loisirs Sans Hébergement
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- vacances / loisirs
- Résumé
Soutenir la fonction parentale et faciliter les relations parents-enfants en utilisant le principe de la coéducation dans une structure contrôlé par les services de la D.D.C.S.P.P.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence :
Les familles monoparentales représentent une très forte proportion d’allocataires de la ZUP.
Cette situation suppose de nouvelles façons d'exercer l'autorité parentale.
Source :
(Extrait du diagnostic du bilan contrat de projet 2010-2014).
Objectif stratégique :
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
Objectifs opérationnels :
Adapter et renforcer les services existants.
- Mettre en œuvre le projet éducatif et pédagogique (horaires de fonctionnement, tranches d’âge, aménagement, accueil d’enfants à partir de deux ans, dans le futur « Pôle enfance » du Pôle enfance…) et en s’appuyant sur des activités à finalité éducative, culturelles ou de loisirs.
- Associer les parents à l’évolution et à la transformation du projet éducatif et pédagogique.
- Public
- Enfance
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Déroulement :
Les dirigeants du centre social ont souhaité que la directrice de l’ACM soit aussi la référente famille.
Cette double fonction permettra de renforcer de manière efficiente le soutien à la fonction parentale à travers de nombreuses actions. En effet, une cinquante de famille bénéficie de cette action qui s’inscrit une démarche de soutien à la parentalité.
L’ALSH dans le pôle enfance :
Un cahier des charges sera élaboré sur le schéma d'agencement avec les dirigeants, les salariés, les adhérents, la Ville de sedan, le Conseil Général, la Caisse d’Allocations Familiales… Il permettra d’améliorer l’accueil, source de lien social et de convivialité
Le recensement des besoins se révèle une étape incontournable. Il conviendra, tout d'abord, de détailler les contraintes techniques auxquelles le centre social est confronté. « C'est ce qui va permettre d'organiser une continuité et une cohérence entre ce qui existe et ce qui va être créé pendant la durée du projet social et imaginé dans le futur Pôle Enfance ».
À l'issue de cette phase d'audit, le cahier des charges pourra être soumis à un architecte d'intérieur qui sera en mesure de travailler sur le schéma d’agencement de l’ALSH.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
20 salariés - 5 personnes -
- Résultat sur le territoire
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
- Résultat pour le centre social
Adapter et renforcer les services existants.
- Mettre en œuvre le projet éducatif et pédagogique (horaires de fonctionnement, tranches d’âge, aménagement, accueil d’enfants à partir de deux ans, dans le futur « Pôle enfance » du Pôle enfance…) et en s’appuyant sur des activités à finalité éducative, culturelles ou de loisirs.
- Résultat pour les habitants
- Associer les parents à l’évolution et à la transformation du projet éducatif et pédagogique.
- Suite de l'action : Limites
Importantes difficultés à mobiliser les parents dans la durée.
- Suite de l'action : Perspectives
- Associer les parents à l’évolution et à la transformation du projet éducatif et pédagogique.
Actions
Contrats Locaux d'Accompagnement à la Scolarité
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Résumé
- Accompagner les familles dans leurs responsabilités éducatives et valoriser leurs compétences parentales dans le dispositif Contrats Locaux d’Accompagnement à la Scolarité contrôlé par l’ACSE et la Caisse d’Allocations Familiales des Ardennes.
- Renforcer le lien entre familles et école
- Faciliter l’accès au savoir des jeunes par des approches différentes de l’école et fournir un appui qu’ils ne trouvent pas toujours dans leur environnement familial et social
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence :
Les élèves résidant en ZUS sont nettement plus souvent issus de catégories sociales défavorisées que les autres élèves résidant dans leur unité urbaine. L’inactivité professionnelle (notamment féminine) des parents, y est aussi plus importante. Ces phénomènes peuvent expliquer le moindre recours à la demi-pension. En termes d’orientation, les élèves résidant en ZUS sont deux fois moins nombreux en 1ère générale et s’orientent majoritairement vers les filières professionnelles. Résider en ZUS atténue les différences d’orientation observées par âge ou PCS, mais renforce celles liées au sexe. Le retard scolaire est au collège plus fréquent pour les élèves résidant en ZUS que pour les collégiens résidant en unités urbaines englobantes. Enfin, les établissements ayant une plus forte part d’élèves de ZUS enregistrent des résultats, en moyenne, plus faibles aux examens, et ce, même en prenant en compte les spécificités liées à l’environnement social des établissements (à l’exception notable des filières S et ES).
Source :
(Rapport ONZUS 2013)
Le collège Le Lac bénéficie, en 2014, d’un Réseau d’Education Prioritaire Renforcé.
Source :
Journal l’Union
Le ministère chargé de l’Education Nationale a, à cette fin, construit un indice social permettant de mesurer les difficultés rencontrées par les élèves et leurs parents, et leurs conséquences sur les apprentissages. Cet indice prend en compte la part d’élèves dont les parents appartiennent aux catégories socioprofessionnelles défavorisées, la part d’élèves boursiers, la part d’élèves résidant en zones urbaines sensibles et la part d’élèves arrivant en sixième avec au moins un an de retard.
Source :
(Ministère de l’Education Nationale)
Objectifs stratégiques :
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
Objectifs opérationnels :
Adapter et renforcer les services existants.
Par des stratégies diversifiées et une pédagogie du détour, l’accompagnement à la scolarité visera à :
Soutient à la fonction parentale
- Aider les jeunes par l’acquisition des méthodes et approches susceptibles de faciliter la réalisation de leur travail scolaire.
- L’acquisition des savoirs (savoir-être, savoir-faire).
- Élargir les centres d’intérêt des enfants et adolescents, promouvoir leur apprentissage de la citoyenneté par une ouverture sur les ressources culturelles, sociales et économiques de la ville ou l’environnement proche.
- Valoriser leurs acquis afin de renforcer leur autonomie personnelle et leur capacité de vie collective, notamment par la pratique de l’entraide et de l’encouragement du tutorat entre les jeunes.
Résultats attendus de l’action :
- Prise de conscience des familles de leurs responsabilités éducatives.
- Valorisation de leurs compétences parentales.
- Validation de la définition de la parentalité avec l’ensemble des Co éducateurs, à savoir « un ensemble de savoir-être et de savoir-faire qui se déclinent au fil des situations quotidiennes en différentes postures, paroles, actes et plaisirs, en reconnaissance de l’enfant, mais aussi en autorité, en exigence et en continuité ».
- Amélioration des résultats scolaires.
- Regard positif des enfants et des parents sur le système scolaire.
- Coopération entre tous les Co éducateurs (parents, enseignants, salariés du centre social…).
- Public
- Enfance
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Caf
- Commune
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Le projet Clas vise à fournir aux enfants et aux jeunes des méthodes et des approches susceptibles de faciliter l’acquisition des savoirs et de développer leur autonomie :
Par un appui et une aide méthodologique
Par une aide au travail personnel
Par un accompagnement à l’usage du numérique
Par des activités scientifiques et techniques
Par des jeux éducatifs
Le projet Clas vise à élargir les centres d’intérêt des jeunes et promouvoir leur apprentissage de la citoyenneté par une ouverture sur les ressources culturelles sociales et économiques de la ville et de son environnement :
En créant des contextes de recherche, d’informations, débats
En développant des capacités de vie collective
En mobilisant la pédagogie de « détour » par des activités ludiques, artistiques, culturelles ou sportives
En proposant des sorties et visites (accompagner vers des centres ressources en vue d’une ouverture sur les ressources culturelles, sociales de la ville ou de l’environnement proche
Le projet Clas vise à mettre en valeur les compétences et acquis des enfants et des jeunes :
Par la présentation des actions conduites par les enfants
Par l’organisation et l’encouragement de l’entraide au sein du groupe
Par l’organisation d’activités liées à la citoyenneté
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
20 salariés - 5 bénévoles -
- Résultat sur le territoire
- Prise de conscience des familles de leurs responsabilités éducatives.
- Valorisation de leurs compétences parentales.
- Validation de la définition de la parentalité avec l’ensemble des Co éducateurs, à savoir « un ensemble de savoir-être et de savoir-faire qui se déclinent au fil des situations quotidiennes en différentes postures, paroles, actes et plaisirs, en reconnaissance de l’enfant, mais aussi en autorité, en exigence et en continuité ».
- Résultat pour le centre social
- Coopération entre tous les Co éducateurs (parents, enseignants, salariés du centre social…).
- Résultat pour les habitants
- Amélioration des résultats scolaires.
- Regard positif des enfants et des parents sur le système scolaire.
- Suite de l'action : Limites
Malgré un excellent partenariat avec les enseignants et l'Education Nationale en général, il est pratiquement impossible d'organiser des réunions de travail communes permettant la coconstruction du projet et des actions éducatives.
- Suite de l'action : Perspectives
Renforcer la formation des animateurs afin qu'ils bénéficient d'un CQP.
Actions
Repas solidaires
- Structure organisatrice
- Centre social Manchester - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Précarité
- Intégration
- discriminations
- Résumé
Chaque jeudi matin, le centre social propose des ateliers cuisine à visé solidaire.
A partir de 10h, des habitants bénévoles se retrouvent afin de cuisiner, ensemble, des plats qu'ils iront ensuite distribuer aux personnes sans abris du quartier et sur des points stratégiques de la ville.
Les associations locales participent via le don de vétements chauds qui sont distribués lors de la période hivernale.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place afin de changer les habitudes de consommation des activités du centre social par les habitatns du quartier et de développer les solidarités.
Les habitants ne cuisinent plus simplement pour cuisiner et consommer mais dans une perspective d'entre-aide de solidarité.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
20
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
Développer les solidarités, lutter contre l'isolement et lutter contre les discriminations
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
"ATELIER MÉMOIRE - PEP'S EURÊKA"
- Structure organisatrice
- Centre Social et Culturel André Dhôtel - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Viellissement
- Santé
- Résumé
Outiller les seniors pour bien vieillir et en bonne santé chez soi. Les 12 "alliés" du bien vieillir :
Activités intellectuelles, physiques, nutrition, patrimoine génétique,moyens financiers, sommeil, environnement famillial, affectivité, vision et audition, loisirs et projets, environnement social, équilibre et logement.
Lors de ces ateliers nous allons initier les séniors participants aux 7 stratégies (discrimination, catégorisation, contextualisation, répétition, imagerie mentale, indiçage et association) mais également les aider à identifier les différentes formes de mémoire (mémoire de travail, mémoire topographique, mémoire des chiffres et des noms) dans le but de pouvoir s'organiser plus facilement au quotidien et à leur donner ou redonner confiance en eux.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Autre
- Précision ( si autre )
La Mutualité Sociale Agricole
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Vieillissement de la population sur le quartier (cause nationale)
- Prévention des maladies dégénératives cérébrales
- Action de prévention santé
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ARS
- Association locale
- Bailleur social
- Conseil départemental
- CPAM
- Entreprise privée
- FONJEP
- MSA
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Des séances sont organisées sur une demi journée à raison de 3 heures par semaine (1 fois par semaine) pendant un trimestre. Les participants aux séances se familiarisentavec la méthode (stratégies, les différentes formes de mémoire, exercices de solliciation et stimulation de la mémoire).
Ces exercices ont aussi vocation à crééer du lien, lutter contre l'isolement...
En 2018, 36 personnes ont suivi ces ateliers (3 sessions de 12 personnes)
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 professionnels
- Résultat sur le territoire
- Le Centre Social et Culturel André Dhôtel est la seule structure sur l'aglomération a proposer ce type d'action
- Résultat pour le centre social
- Toucher de nouvelles personnes
- Ces ateliers mémoires ont été le vecteur de la création d'autres actions seniors autour de la santé
- Résultat pour les habitants
- Autonomie, confiance en soi, lien social, solidarité de la part de séniors envers d'autres séniors
- Suite de l'action : Limites
- Pas de limite particulière constatée. Nous avons pratiquement un an d'attente pour les personnes qui souhaiteraient y participer
- Suite de l'action : Perspectives
- L'action va se poursuivre sur 2019 et la possibilité de "délocaliser" les ateliers est envisagée pour être au plus près de la population (contact avec des EPAHD)
Actions
Atelier cuisine et santé: oxygéne et Partage.
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL C.A.F. - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Santé
- Résumé
Ateliers mensuels, animés par l'association Groupe d'Entraide Mutuelle et la CESF du centre social. A partir des souhaits du groupe d'usagers, réalisation d'un menu, des courses et élaboration des plats en commun dans la cuisine du centre social. Le repas est ensuite partagé.
Il s'agit de valoriser les savoirs des participants et de rechercher leur implication au sein de l'atelier. Des notions d'équilibre alimentaires, de budget quotidien sont données. Une ambiance conviviale prévaut.
La limite de l'action réside dans la fluctuation de la particiaption des usagers directement liée à leur état de santé psychologique.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L'action a été mise en place à la demandes des usagers de l'assocaition, ces usagers présentant des problémes de santé d'ordre psychologique.
Public ciblé en lien avec l'association "Groupe d'Entraide" .
Le centre social a proposé de s'associer à l'action d'accompagnement de ce groupe d'usagers.
Le principal résultat attendu est à la fois de rompre l'isolement de ces participants et les aider à mieux évoluer dans la vie locale.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Action démarrée en juin 2013 et prolongée toute l'année 2014.
Travail de concertation avec l'association ( 1er étape), rencontre et échanges avec les usagers pour préciser le contenu du projet. Les usagers ont exprimé le souhait de pratiquer une activité cuisine en proposant le choix des réalisations . Le partage des repas leur est apparu essentiel pour mieux se connaitre.
Mobilisation des locaux du centre social , de la professionnelle CESF;
Le budget est supporté par l'association, une participation financiére minime est demandée aux participants.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Une animatrice de l'association, monitrice-éducatrice,
La Cesf du centre social.
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
Effets positifs sur le groupe.
- Suite de l'action : Limites
Action reconduite en fonction de la demande des usagers.
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Journée d'Information pour futurs retraités en invalidité.
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ESPACE INTERGENERATION - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- Résumé
Au mois de mai et novembre a eu lieu au centre social une réunion d'information organisée par la CARSATen direction des personnes en situation d'invalidité et qui vont faire valoir leurs droits à la retraite. Les participants à l'atelier cuisine ( bénéficiaires du secours populaire, habitants du quartier ) ont organisé un déjeuner-buffet pour accueillir un groupe de futurs retraités et les intervenants de l'information collective.
Ces repas ont rassemblé respectivement 44 et 38 personnes. Tous les participants se sont très bien impliqués dans la réalisation du repas, la décoration de la salle, le service, le rangement... l'expérience a été une réussite pour chacun, l'expérience doit être renouvelée en 2015.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Action mise en place pour une meilleure information des fuutrs retraités et qu'il n'y ait pas de rutpure de droits les concernant.
Information des bénéficiaires sur le reseau social local, souci de bien les accueillir.
Pour le groupe de cuisine, il s'est agi d'un défi pour être en capacité de réaliser un telle manifestation, recherche de reconnaissance du groupe.
Echanges enrte des personnes qui ne se connaissaient pas.
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ARS
- Association locale
- Caf
- CARSAT
- Commune
- Autre
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Action débutée en mai 2014.
Rencontres préparatoires avec le service social et le service retraite CARSAT, Mairie, Secours Populaire.
Requête des bénéficiaires potentiels sous la responsabilité de la CARSAT.
Envoi de courriers nominatifs aux bénéficiaires CARSAT.
Proposition par le centre social de faire de cette réunion d'information un moment de convivialité en le jumelant avec l'atelier mensuel de cuisine du centre social, en partenariat avec le secours populaire.
Préparation du menu avec l'atelier cuisine, achats et préparation.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget alimentation pris en charge par le Secours Populaire qui refacture aux trois partenaires : CARSAT , MAIRIE de FOIX, CAF 09 .
Une participation financiére des bénéficiares minime d'un montant de 2€.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Au total : en moyenne 20 bénéficiaires auxquel il faut ajouter 12 à 15 usagers du centre social ( atelier cuisine),et les intervenants.
- Résultat sur le territoire
Action essentiellement à portée individuelle:
Concernant les usagers meilleure connaissance de leurs droits au moment du passage de la pension invalidité à la retraite.
Information sur la vie associative du territoire.
Action menée dans un cadre d'intervention collective.
Reconnaissance des compétences des usagers de l'atelier cuisine
- Résultat pour le centre social
Connaissance du centre social par un public qui n'est pas habituellement usager de cet équipement.
Reconnaissance de la prestation des usagers par ce même public.
- Résultat pour les habitants
Notion de fierté après avoir réussi à accueillir, préparer,décorer, servir un repas dans une ambiance chalereuse et décontractée.
- Suite de l'action : Limites
Tous les bénéfciaires potentiels ne se saisissent pas de cette offre d'information et d'accueil.
- Suite de l'action : Perspectives
Action reconduite en 2015 sous forme de deux sessions.
Actions
Projet citoyen auprés des futurs étudiants.
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ESPACE INTERGENERATION - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Résumé
Durant 2 matinées tous les élèves de terminale du lycée Gabriel Fauré sont invités à rencontrer les partenaires de l'action suivant un planning établi par la direction de l'établissement.
Au cours de la première heure les différents intervenants (Assistante sociale du lycée, Directrice du B.I.J., représentant d'une mutuelle étudiant, service social et administratif de la CAF) développent leur thématique devant les lycéens (80 à 90 suivant les groupes), ensuite les jeunes soucieux d'une information plus personnalisée sont reçus individuellement sur des stands durant une heure.
Le même déroulement est ainsi reconduit pour rencontrer les 294 élèves de terminale.
L'action est proposée aux parents en soirée quelques temps plus tard, 117 parents ont pu profiter de cette information.
Au lycée Jean Durroux, l'organisation est prévue sur une seule demi-journée étant donné le nombre beaucoup moins important de jeunes concernés (74 jeunes)
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Précision ( si autre )
Bij, Service social scolaire, Mutuelle etudiante.
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Informer les élèves de terminale du lycée Gabriel Fauré et du lycée Jean Durroux sur divers points précis :
- le dossier étudiant et constitution du dossier de demande de bourses,
- la recherche de logement soit auprès du CROUS soit dans le parc privé,
- les aides liées au logement,
- les droits et devoirs des locataires et des bailleurs,
- le budget étudiant,
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Caf
- Mutuelle
- Autre
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Les jeunes sont presque tous présents car un appel de présence est fait par les responsables du lycée.
Le caractère obligatoire permet une très large diffusion de l'information mais, certains jeunes ne se sentent pas concernés, leur objectif premier étant l'obtention du baccalauréat.
Les termes utilisés paraissent parfois un peu abstraits à certains n'ayant pas l'habitude d'utiliser les mots tels que bail, caution …
Cette rencontre multi partenariale permet aux jeunes d'avoir une réponse à plusieurs questions qui deviennent très vite concrètes.
L'information se fait en amont des problèmes et permet de les anticiper et d'éviter ensuite de l'angoisse ou des blocages (retard de traitement des dossiers de bourse ou logement par exemple) ou même de générer des indus.
Les lycéens sont considérés comme de jeunes adultes qui seront autonomes prochainement, dès l'obtention du baccalauréat, ils deviennent acteurs et responsables de leurs choix.
Les lycéens de Jean Durroux ont l'habitude des questions plus concrètes avec des problématiques familiales complexes, leur implication lors de l'intervention est beaucoup plus active.
Action d'infformation et de prévention auprés d'un futur public allocataire, dommage que le caractére obligatoire impose cette action à une minorité de jeunes ne se sentant pas concernés.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
L'action repose sur des mises à disposition :
- de la CESF du centre social,
- de la responsable du BIJ,
- de l'assistante de service social scolaire.
- une commerciale de la mutuelle étudiante MAE.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
4 intervenants, l'action s'adresse à 400 jeunes au total et 80 parents
- Résultat sur le territoire
Meilleure connaissance des démarches post-bac à accomplir.
eviter le retards dans l'instruction des dossiers étudiants ( dépot de demande d'AL, de bourse, CROUS, ...)
- Résultat pour le centre social
Action externalisée puiqu'elle se déroule au sein des établissements d'enseignement secondaire.
- Résultat pour les habitants
Néant.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Reconduction annuelle de l'action.
Actions
"Mots tissés et bouches décousues"
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL C.A.F. - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
L'action s'adresse aux familles d'enfants de 0 à 4 ans résidant sur la Communauté des communes de Pamiers et saintJean du Falga. Une analyse des données socio-démographiques mettait en avant sur le territoire Appaméen l'augmentation des naissances et un taux de familles monoparentales elevées. Le projet a donc recherché à proposer à des familles monoparentales un espace d'échange et de rencontres autour d'un objectif de découverte des comtes et comptines. La MJC est porteur du projet.
L'atelier est libre d'accés et gatuit, il a lieu tous les 1er, 2ème et 3 ème vendredi du mois de 10 heures à 11 heures. Une conteuse anime l'atelier qui réuni parents et enfants au sein d'un local désigné au sein du quartier du Foulon. Un aménagement a été pensé en partenariat avec la CDC, la médiathéque intercomunale de Pamiers.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Précision ( si autre )
médiatheque,
MJC,
PMI
RAM de Pamiers
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L'action vise à :
- favoriser le lien social entre enfants et adultes, rompre l'isolement des familles,
-soutenir les parents dans leur rôle éducatif en participant à l'éveil de leur enfants,
-développer l'imaginaire de l'enfant, sa créativité, sa curiosité,
- d'aborder d'autres questions relatives au quotidien de l'enfant,
- retrouver une culture du chant, du conte,qui perpetue la tradition orale comune à tous,
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
L'action est menée en partenariat avec la Pmi qui joue un rôle prépondérant dans l'orientation du public.
La présence d'un travailleur social à chaque séance facilite l'acceuil des familles; libére la parole des participants.
Un intervenant" conteuse" anime veritablement la séance.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
NC
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Nombre de séance et public touché 295
Nombre de séance 23
Enfants inscrits 71
Trois professionnels au total par séance.
- Résultat sur le territoire
Action d'animation existante au sein d'un quartier.
- Résultat pour le centre social
Action externalisée pour le centre social à l'initiative du projet.
- Résultat pour les habitants
Action gratuite et accéssible à tout public.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
jardins partagés
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL C.A.F. - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Intégration
- Mixité sociale
- Résumé
Ce projet a pour objectif principal de lutter contre l’isolement et les phénomènes d’exclusion. Il s’inscrit dans un processus d’accompagnement global. Le jardin collectif est utilisé comme support de remobilisation et s’adresse à des personnes fragilisés, n’arrivant plus à être acteurs de leur vie sociale car ils n’ont plus de désir ni de projet.
Le jardinage est une activité de plein air qui permet de se prouver mais aussi de montrer aux autres que l’on est capable de faire quelque chose de ses mains, c’est un outil favorisant la revalorisation des publics souvent stigmatisés par la situation de précarité dans laquelle ils se trouvent. Il permet de faire émerger et mettre en exergue des savoirs-faires peu mis en avant dans la vie de tous les jours.
La constitution d’un groupe qui favoriserait la mixité des publics, associé à la présence de travailleurs sociaux, a pour objectif de favoriser l’émergence de liens d’entraide et de solidarité.
Au delà du travail autour de la culture, cette action permet d’aborder et de sensibiliser le public à d’autres questions comme l’alimentation et le respect de l’environnement (en lien avec les modes de culture).
L’intérêt de cette activité réside dans le fait d’associer les participants à la globalité du projet à savoir de sa conception à sa réalisation (technique de culture, choix des plantations, entretien de la parcelle, cueillette etc...)
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les objectifs généraux :
- Sortir de l’isolement
- Favoriser l’émergence de lien social, d’entraide et de solidarité
- Travailler autour de la revalorisation de soi et valoriser les savoirs faire au travers d’un autre mode d’accompagnement
- De façon transversale, aborder tous les domaines de la vie quotidienne et familiale (vie familiale, gestion du quotidien, alimentation, préparation des repas…)
- Permettre les liens avec les autres organismes, associations, particuliers qui disposent de parcelles au travers de temps collectifs partagés
- A terme, permettre aux personnes d’être à nouveau acteur de leur vie, de faire des projets, de se mobiliser autour d’une activité
-Les objectifs opérationnels :
Cultiver des légumes en fonction des saisons avec des méthodes respectueuses de l’environnement, cuisiner ces produits ensemble pour les partager autour d’un repas éventuellement.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Caf
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
création d'un groupe de travail partenarial pour fixer les modalités d'intervention auprès du public visé
4 rencontres organisés avec des habitants potentiellement interressés et en situation d'isolement social : présentation générale de l'action, implication de ces habitants dans la mise en oeuvre de l'action (choix des denrées cultivées, fréquence de travail sur site et nombre d'intervenants en fonction des saisons)
début de l'action au mois de mars 2017 avec particiaption de travailleurs sociaux et l'appui de 2 personnes "resources" ayant des compétences poussées dans le jardinage
- Ressources financières mobilisées pour cette action
CHARGES
PRODUITS
Cotisation association
30.00
PDI Conseil Départemental : AFI collective
600.00
Achat de matériel
250.00
CAF
330.00
Achat de plans et graines
350.00
Denrées / cuisine
300.00
TOTAL
930
930
SUPPLETIF
SUPPLETIF
CAF
1000
Mise à dispo de personnel
3500
DSD
2500
TOTAL
4430
TOTAL
4430
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 professionnels travailleurs sociaux en alternance
2 bénévoles
21 habitants
- Résultat sur le territoire
rencontres entre habitants favorisant e lien social
échanges de savoirs faire et developpement de solidarités
dynamique collective et citoyenne contribuant à la revalorisation du territoire
- Résultat pour le centre social
participation d'usagers du centre social à l'action
mise en place au sein du centre social d'ateliers cuisine utilisant les produits récoltés
- Résultat pour les habitants
rupture de l'isolement (partages/échanges)
renforcement de l'estime de soi
redynamisation personnelle
- Suite de l'action : Limites
la superficie de la parcelle cultivée contraint à limiter le nombre de participants
Le renouvellement du public compte tenu du succès de l'action peut s'avérer difficile à opérer
- Suite de l'action : Perspectives
dans la perspective d'innover et de s'initier à la permaculture , un habitant projette de demander une parcelle supplémentaire mise à diposition du groupe .
Solliciter un chef cuisinier de la "Cité du gout et des saveurs" afin d' utiliser, mettre en valeur différemment et conserver les légumes produits. Un repas convivial sera organisé à cette occasion.
Actions
Sensibilisation au tri selectif à la Cité pierre Faur.
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ESPACE INTERGENERATION - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Action qui a trouvé son origine lors de constats posés à l'occasion d'un comité d'usagers .
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Environnement
- développement durable
- Résumé
Au coeur de la cité Pierre Faur, les habitants ont soulevé que malgré un effort de tri des déchets de la part de certains d'entre eux, la collectivité en charge de l'enlevement ne peut procéder au tri selectif correctement; Les efforts d'une minorité d'habitants restent vains.
Ce problème a été soulevé à l'occasion d'un comité d'usagers, le centre social s'est positionné sur un accompagnement des habitants et de la collectivité chargée de l'enlevement des ordures ménageres.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Une action de sensibilisation à la qualité de l'environnement du quartier et à la question du changement de comportement.
Attitude coopérante par rapport au principe de developpement durable, à l'image positive et volontaire du quartier.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Le centre social a organisé des réunions collectives d'information et de sensibilisation; A la suites desquelles, des agents de la communauté des communes, ont distribué des sacs de collectes dans tous les appartements en donnant des expliquations aux habitants, les containers de collecte ont été adaptés au tri selectif et ont été mis en place.
Par ailleurs le jardin du centre social, a été équipé de composteurs, les habitants volontaires ont reçu un seau de compostage. des bénévoles assurent l'ouverture au public du jardin afin que les seaux y soient vidés.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Néant pour le centre social.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Au total ; 350 personnes
- Résultat sur le territoire
Effet positif sur les conduites citoyennes des habitants du quartier, une majorité d'habitants du quartier procéde aujourd'hui au tri selectif relatif aux ordures ménageres.
Action qui a suscité la création d'un jardin partagé au coeur du quartier( pour également utiliser le compost)
- Résultat pour le centre social
Le centre social s'est positionné en médiateur et facilitateur pour les relations entre les habitants et la collectivité.
- Résultat pour les habitants
Changement de comportement des habitants de la cité concernée par le tri selectif au même titre que les autres quartiers de la ville.
Egalité de traitement des citoyens.
Création de lien social.
- Suite de l'action : Limites
Mise en place du jardin partagé à proximité du centre social et utilisation de la récolte au cours d'ateliers cuisine du centre social (beignets de tomates vertes)
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
"Des usages des écrans au sein des familles : quel cadre ? quels risques ?Comment être en relation avec ses enfants ?"
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL C.A.F. - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Action ponctuelle
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Mixité sociale
- Résumé
3 temps sur un trimestre proposés aux parents enfants du territoire.
Objectif : - sensibiliser et informer les parents sur les risques pour le développement de l'enfant, à trop utiliser les écrans
- soutenir les parents dans leur rôle et leur posture éducative, modifié avec l'invasion des écrans au sein des foyers : comment poser un cadre et comment être en relation avec ses enfants.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les différents professionnels intervenants auprès d'enfnats (crèches, écoles, collèges, travailleurs sociaux) constatent les effets nocifs de l'usage des écrans sur le développement des enfants.
Les parents peuvent verbaliser leurs difficultés à poser un cadre visant à restreindre l'usage des écrans et l'avantage des écrans dans la vie de tous les jours : les enfants paraissent plus calme devant un écran, ne se disputent plus ou moins, sont occupés.
Face à ce double constat, les professionnels partagent le besoin d'informer et de sensibiliser les parents sur les risques liés aux usages des écrans et de soutenir les parents dans leurs relations aux enfants.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Association locale
- Caf
- Commune
- Conseil départemental
- DDCS
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Action menée en 3 étapes :
- une près midi "jeux" à l'attention des familles du territoire, afin de montrer comment être en relation différemment avec son enfant. Présence d'un clown réalisant des animations sur le thème des écrans et d'un lieu d'échanges avec les parents. Animation par des professionnels.
- une conférence - débat organisée à l'attention de tout public, animée par une psychologue. Objectif : expliquer les conséquences sur le développement de l'enfnat d'un usage non adapté des écrans (risque de myopie, troubles du sommeil, de l'attention, retard scolaire, retard dans le langage...) et de rappeler les règles à respecter (3-6-9-12)
- création de scénettes par des enfnats du primaire et du collège sur la thématique des écrans avec représentation des productions des enfants. temps d'échanges dans la salle avec les parents, les enfants, animé par des professionnels entre chaque scénettes.
Les actions constituant le projet, ouvertes à tous publics. Afin de mobiliser les familles les plus en difficultés dans leurs relations avec els enfants, il a été choisi de mettre en place des actions parents/enfnats et d'organiser, le temps de ces actions ludiques, des temps d'échange et de sensibilisation sur la thématique des écrans.
Les actions ont eu vocation de s'adresser aux enfants de 1 à 15 ans. Ce public étant le plus particulièrement en risque face à un usage inadapté aux écrans.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Projet partenarial avec un engagement financier de tous les partenaires. Projet financé dans le cadre du contrat de territoire (CGET).
Outre les mises à disposition de personnels, de salles, ont été financé les intervenants extérieurs
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
professionnels : 22
parents enfants : 250
- Résultat sur le territoire
Après midi jeux organisée lors de la journée des sports. Animation deans la ville qui a rencontré un franc succès.
- Résultat pour le centre social
Centre social porteur de projet d'une action action partenariale, mobilisant plusieurs professionnels d'institutions différentes. Usagers du centre et familles suivies dans le cadre de l'action sociale bénéficiaires de l'action.
- Résultat pour les habitants
Les parents les enfants ont apprécié ces temps d'animation, que se soit l'après midi jeux ou le théâtre. il sont pu mesurer l'intérêt du "faire ensemble", du partage. Nombreux parents nous ont sollicité afin de mettre en place d'autres expériences de ce type, sorties familles ou autre.
- Suite de l'action : Limites
Cette action était ponctuelle, a duré de septembre à décembre.
Bien qu'elle ait été bénéfique pour les familles, les effets sur le long terme sont difficilement mesurables.
- Suite de l'action : Perspectives
Au travers de toutes les actions parentalité mises en oeuvre au sein du centre social," l'éducation au numérique" est abordée, de façon claire ou détournée. Sont mis en avant les temps partagés parents enfants au travers d'activités communes, de sorties, de vacances....
Actions
"L'ARBABULLE" LAEP
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL C.A.F. - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
Le LAEP est un lieu pour enfants de moins de 6 ans et leur(s) parent(s) et/ou adultes référents qui les accompagnent. Il s’adresse aussi aux futurs parents pendant la grossesse pour les accompagner dans leur nouveau rôle et échanger autour des questions relatives à l’éducation et à la santé d’un enfant.
Cet espace peut permettre de rompre un certain isolement et favorise la rencontre entre les parents et les enfants hors du cadre familial. Les échanges et observations pourront permettre de dédramatiser certaines situations éducatives, de valoriser ses compétences en tant que parents, de mieux connaître le développement psychomoteur de son enfant, et de renforcer sa relation avec son enfant.
L’enfant dispose d’un espace de jeux libres favorisant sa socialisation et se prépare ainsi à la séparation avec ses parents pour faciliter l’entrée en collectivité.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
A l’initiative du centre social CAF et de la « Commission parentalité/violences faites aux femmes/violences intrafamiliales" du CISPD (Conseil Intercommunal de Sécurité et de Prévention de la Délinquance), différents acteurs locaux du territoire ont été mobilisés. Leurs échanges ont permis d’analyser les besoins du territoire en matière d’accompagnement à la parentalité. Ils notent des besoins en prévention. En effet, encouragé par la PMI, les accueils d’enfants à la crèche se multiplient pour que les enfants fassent l’expérience de la socialisation et bénéficient d’un environnement stimulant, adapté et sécurisé. Pour d’autres parents, il semble difficile de confier leur enfant alors qu’ils ne travaillent pas et la dépense engendrée par un mode de garde peut être compliquée à prévoir dans le budget familial limité. Le sentiment d’isolement est alors possible. La présence de parents aux ateliers proposés par le RAM est le reflet d’un besoin de rencontre et d’échanges. Ces constats confirment la nécessité de mettre en place un projet permettant d’accompagner les parents dans leur rôle.
Le territoire du Pays d’Olmes dispose trois services petite enfance : un multi-accueil de 28 places, un accueil familial de 20 places et un Relais Assistantes Maternelles, trois services gérés par le Centre Intercommunal d’Action Sociale Pays d’Olmes.
Il est constaté l’absence de LAEP sur ce territoire composé de 24 communes. Lavelanet est la commune la plus importante de la Communauté de Communes du pays d’Olmes c’est pourquoi, la localisation du futur LAEP sur la commune de Lavelanet permet de centraliser ce service sur le territoire et de toucher le maximum de public.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Depuis de nombreuses années le centre social faisait le constat d'une absence de lieu de rencontre pour les parents et leurs jeunes enfants sur le territoire. Plusieurs réunions avaient eu lieu, sans aboutissement de projet.
Suite à l'écriture du contrat de territoire, l'inscription d'une ficha action et de la reprise des commissions parentalité du CISPD, à l'initiative des travailleurs sociaux CAF, des réunions partenariales sur ce thème ont eu lieu. Après constat, diagnostic, les partenaires(CAF? centre social, CIAS, DSD, PMI) ont élaboré le projet. Le Centre communal d'action sociale du Pays d'Olmes a été proposé comme porteur de projet (le CIAS ayant la compétence petite enfance) et le centre social comme lieu d'accueil du LAEP. L'action a débuté au mois d'octobre 2019.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Charges de personnel (A)
5 123
Autres charges (B)
5300
Total des dépenses (A)+(B)
10 423
Montant PS
3500
Participation MSA
Autres subvention
Subvention de la collectivité
6 923
Subvention conseil départemental
Total des recettes
10 423
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Deux accueillants sont présents à chaque séance. Il s'agit d'une éducatrice de jeunes enfants (mise à disposition CIAS) et d'un travailleur social (mis à disposition CAF) ayant suivi la formation d'accueillant LAEP.
Une fois tous les 2 mois, une séance d'analyse de pratiques est animée par une psychologue.
- Résultat sur le territoire
Nouveau lieu à destination des parents, nouvelle offre de service concernant la parentalité.
- Résultat pour le centre social
Lieu d'accueil du LAEP, lieu convivial qui permet de faire connaître le centre social, ses missions, ses activités, ses services aux futurs ou nouveaux parents.
- Résultat pour les habitants
Lieu anomyme permettant de rompre l'isolement de certaines jeunes mamans, habitantes du territoire, parfois éloignées de leur famille.
Moments d'échanges, de convivialité permettant de sortir du quotidien. Lieu adapté aux jeunes enfants alliant espace bébé, jeux, motricité....
- Suite de l'action : Limites
Nombre d'enfnats et d'accompagnants limités.
- Suite de l'action : Perspectives
Poursuite de l'action et éventuellement, en fonction de la participation, extension à un horaire d'ouverture supplémentaire. Il pourrait également être envisagé un délocalisation (dans petites communes très rurales) afin de se rendre au plus près des habitants
Actions
Le centre social du Léo, résidence apprentis-etudiants, avec restauration sociale collective.
- Structure organisatrice
- LE LÉO LAGRANGE DE FOIX - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- Résumé
Depuis 2017, le centre social est gestionnaire d'une résidence apprentis-étudiants, a laquelle est adossée de la restauration sociale collective.
Une convention centre socailet centre de formation des apprentis - Chambre des Métiers de l'Ariège a permis la création de la résidence étudainte.
Au total, une moyenne de 15 apprentis est hébergée durant toute l'année scolaire et bénéficie dans ce cadre là d'une possibilité de restauration sur place; En outre ils sont invités à prendre part à l'ensemble des activités d'animation du centre socail.
A titre d'exemple, ces jeunes participent à la selection des films du Festival Résistance, événemant culturel organisé annuellement sur la ville de FOIX ou participent à l'organisation du Forum des associations.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Précision ( si autre )
Le CFA de L'Ariège
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Constat dréssé dans le cadre du diagnostic PDV, absence de mode d'hébergement pour les jeunes sur le centre ancien, constat partage par le centre universitaire de Foix.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Autre
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Action co-construite et intégrée au projet social du centre social, valorisée dans un des axes d'intervention.
Action correspondante à un volet économique du centre social.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le centre social met à disposition les locaux, asume les charges des fluides, l'entretien des locaux, frais de blanchisserie ( assurée par un prestataire) et prend en charge le poste de veilleur de nuit.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2.5 ETP
- Résultat sur le territoire
Fonction d'hébergement et de restauration sociale et collective présente sur le QPV.
- Résultat pour le centre social
Dimension marchande et économique du centre social.
Capacité d'autofinancement dégagée par cette activitée.
- Résultat pour les habitants
Offre de service pour un public jeune.
- Suite de l'action : Limites
Reconduction de l'action.
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Le centre social du Léo, résidence apprentis-etudiants, avec restauration sociale collective.
- Structure organisatrice
- LE LÉO LAGRANGE DE FOIX - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- Résumé
Depuis 2017, le centre social est gestionnaire d'une résidence apprentis-étudiants, a laquelle est adossée de la restauration sociale collective.
Une convention centre socailet centre de formation des apprentis - Chambre des Métiers de l'Ariège a permis la création de la résidence étudainte.
Au total, une moyenne de 15 apprentis est hébergée durant toute l'année scolaire et bénéficie dans ce cadre là d'une possibilité de restauration sur place; En outre ils sont invités à prendre part à l'ensemble des activités d'animation du centre socail.
A titre d'exemple, ces jeunes participent à la selection des films du Festival Résistance, événemant culturel organisé annuellement sur la ville de FOIX ou participent à l'organisation du Forum des associations.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Précision ( si autre )
Le CFA de L'Ariège
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Constat dréssé dans le cadre du diagnostic PDV, absence de mode d'hébergement pour les jeunes sur le centre ancien, constat partage par le centre universitaire de Foix.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Autre
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Action co-construite et intégrée au projet social du centre social, valorisée dans un des axes d'intervention.
Action correspondante à un volet économique du centre social.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le centre social met à disposition les locaux, asume les charges des fluides, l'entretien des locaux, frais de blanchisserie ( assurée par un prestataire) et prend en charge le poste de veilleur de nuit.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2.5 ETP
- Résultat sur le territoire
Fonction d'hébergement et de restauration sociale et collective présente sur le QPV.
- Résultat pour le centre social
Dimension marchande et économique du centre social.
Capacité d'autofinancement dégagée par cette activitée.
- Résultat pour les habitants
Offre de service pour un public jeune.
- Suite de l'action : Limites
Reconduction de l'action.
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
"Aprés-midi vitaminée au Léo"
- Structure organisatrice
- LE LÉO LAGRANGE DE FOIX - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Viellissement
- Résumé
Dans le cadre des après-midi récréatifs de Monalisa (Mobilisation Nationale pour lutter contre l'Isolement des Aînés) organisés au Léo, l'équipe d'animation a invité sur une journée de septembre un pressoir mobile à s'installer sur la placette du Léo pour presser 250 kg de pommes bio ramassées les jours précédents. 2 classes de grande section maternelle de l'école Parmentier voisine avec leurs enseignants ont pu apprécier et suivre le travail de Pablo et d'Hugo. Personnes âgées et accompagnants de MONALISA, résidents de l'EPAHD de Foix, habitants du centre ville et touristes de passage ont participé à cette animation gratuite et à la dégustation de jus de fruit frais.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
POUR :
> valoriser une activité artisanale locale
> ouvrir cette activité à un public intergénérationnel à l'occasion d'une manifestation festive dans le centre ancien
> permettre aux ainés de participer à une activité récréative pour rompre l'isolement et la solitude
> favoriser les échanges et interactions entre enfants et agés
> consommer un produit frais vitaminé, de saison, bio et local
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Caf
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
L'animatrice socio culturelle s'est occupée de :
> la programmation et l'organisation de l'animation avec les presseurs de pommes sur 1/2 journée
> des invitations adressées aux agés et à la directrice de l'école Parmentier
> du lancement de l'opération au travers des moyens de communication internes du Léo (newsletter, e-mailing, flyers, affiches) + partenaires mairie et OT
avec un bénévole responsable du club jeux de cartes et la participation des enfants :
> le ramassage des pommes dans son verger
> la préparation du jus
avec les bénévoles de Monalisa et les enseignants :
> dégustation, mise en bouteille, distribution aux enfants, agés, passants et touristes attirés par l'animation
- Ressources financières mobilisées pour cette action
> organisation et préparation : 95 €
> défraiement des presseurs de pommes : 40 €
> photocopie : 80 €
TOTAL : 215 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
> 6 bénévoles
> 5 professionnels
- Résultat sur le territoire
- Impact économique :
> valorisation d'une activité artisanale locale qui a permis à l'entreprise de se faire connaitre et de prendre des contacts pendant et à l'issue de l'animation.
- Animation en coeur de ville
- Résultat pour le centre social
Action favorisant la découverte du CS et de ses services par les habitants
> meilleure visibilité
- Résultat pour les habitants
> découverte d'une entreprise locale sur un temps festif
> animation originale permettant les rencontres et les échanges intergénérationnels
- Suite de l'action : Limites
> participation bénévole des presseurs de pommes
- Suite de l'action : Perspectives
> reconduction de l'action en 2020
> travail de préparation avec l'équipe pédagogique de l'école pour favoriser davantage les échanges (dessins, réalisation de patisseries à base de pommes,... à offrir aux ainés)
Actions
Ateliers "Petits chefs"
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL C.A.F. - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
En 2019 , cette action a été mise en œuvre suite à la demande de parents en recherche d’activités à partager avec leur enfants. Le centre social propose des actions autour de la cuisine pour les adultes, cette thématique rassemble, elle est investie et suscite l’intérêt des adultes et plaît aussi aux plus petits. Des après-midi partagés autour de la confection de pâtisseries se sont déroulés tout le long de l’année soit 9 ateliers au total.
Quel sont les objectifs de l’action ?
- Soutenir et valoriser le parent dans son rôle
- Faciliter la relation entre enfant et parent par des moments d’échange et de complicité
- Favoriser le répit parental en proposant des temps dédiés entre parents
- Renforcer les solidarités, partager des expériences, des informations
- Lutter contre l’isolement de certains parents
Cet atelier propose un temps partagé parent/enfant autour de la confection de pâtisseries. Ce temps favorise les transmissions culturelles, l’autonomie, participe à la valorisation du parent et de l’enfant en faisant appel aux compétences nécessaires aux apprentissages (on pèse, on coupe on manipule, on crée…) tout cela en se faisant plaisir.
Atelier assuré par la Cesf du centre social, le budget de l’activité est pris en charge par le centre social.
A destination des parents et des enfants de 5 à 12 ans. Ils se déroulent principalement les mercredis après-midi de 14h à 16h30 dans la cuisine du centre social.
C’est des petits moments de complicité à deux ou à plusieurs qui change du quotidien, où l’on apprend, quel que soit son âge. L’occasion aussi de réitérer ce « 4 mains » à la maison.
Ils regroupent une trentaine de familles
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Autre
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Un groupe d'adultes participant à un atelier de cuisine/santé à proposé en 2018 à la responsable du centre d'intéger des enfants et leur accompagnant sur des temps ponctuels afin de faire de ce moment un temps plus intergénérationnel.Cette nouvelle action a mobilisé 3 bénévoles avec lesquels le centre a putravailler sur le projet. En 2019 à la demande des familles ce temps ont été reconduit très régulièrement mais les adultes à l'initiative n'ont pu assurer la continuité de l'action qui a été reprise par le centre social à raison d'un mercdi après-midi par mois.
Le centre social organise l'atelier à partir des demandes des enfants et des parents sur le thème de la cuisine, les temps de préparations sont partagés entre tous, avaec un objectif de partage, d'entraide et l'animatrice favorise au maximun l'autonomie de chacun, un temps de partage le goûter termine la séance au cours de laquelle tous s'expriment et font part de leur nouvelles attentes
Certaines fois les enfnats ramènent leurs réalisation à la maison afin de les partager avec le reste de la famille et valoriser leur savoirfaire
Les parents proposent aussi leurs recetteset savoirs.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget centre social achat de denrées- partenariat financier et organisationnel pour un atelier avec intervention d' un pâtissier de la cité du goût et des saveurs de la chambre des métiers de l'Ariège
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2
- Résultat sur le territoire
cette action a pour effet positif de proposer une temps enfnats/parents autour d'une activité appréciée par tous et vecteur liens renforçant les liens parentaux, la transmission culturelle , la mixité sociale, l'apprentissage de savoirs mis en lien avec la santé et le développement durable et... , gratuite
- Résultat pour le centre social
Mixité des différentes familles fréquentant le centre social sur des activités différentes ( Ateliers sociaux linguistiques, accompagnement à la scolarité, familles accompagnées par le travailleur social et autre public) car accés libre
Pour les famille sconnaissant le centre par le biais du service social ou l'accès aux droits , elles ont une autre image de la structure et du personnel ne sont plus dans la demande de service mais plus dans l'échange.
- Résultat pour les habitants
idem
- Suite de l'action : Limites
poursuite de l'action les limites seront plus liées aux règles fixées et autorisées suite au COVID 19
- Suite de l'action : Perspectives
Durant l'année 2019, un atelier " Petits Chefs" organisé dans le cadre de la semaine "défis 5 jours sans écrans" a permis un temps d'échanges sur la pratique des écrans en famille et , un autre atelier sur le thème de la détente , de la facilitaiton de la relation parent/enfant a été proposé. A la demande des familles ces temps de partage seront englobé dans un projet plus global de soutien à la parentalité, permettant aussi des moments de répit parental très appréciés.
Actions
Chantier participatif d'un jardin aromatique en pierres séches
- Structure organisatrice
- LE LÉO LAGRANGE DE FOIX - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Santé
- Environnement
- développement durable
- Résumé
En novembre 2020, création collective d'un jardin aromatique en pierres séches sur une place du centre ville de Foix avec la technique du jardin nourricier dit "en trou de serrure" en utilisant la technique de la lasagne avec des couches de matériaux organiques divers. Ce chantier a duré 5 jours autour d'un we et a mobilisé une équipe de 12 bâtisseurs citoyens.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La démarche vise à créer un nouvel art de vivre en redynamisant les échanges locaux par le partage de comestibles cultivés par les habitants et offerts librement à tous. Elle entre dans une volonté de revégétalisation du centre-ville minéral.
En reconnectant les gens entre eux et à la terre nourricière, et en attirant très concrètement l’attention sur l’enjeu du manger sain et local, ces actions dynamisent les échanges locaux et les circuits cours, et agissent ainsi sur l'offre alimentaire locale. Ces actions permettent d’enclencher des dynamiques qui visent à mettre les territoires en marche vers l’auto-suffisance alimentaire.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Commune
- Autre
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
L'animatrice compostage partagé du SMECTOM du Plantaure est à l'initiative de cette action pour un avenir comestible en ville. Un groupe de travail a été connstitué avec des représentants du Léo de Foix, la Ressourcerie de Foix, l'association ariégeoise Montagnes et Patrimoine et Écorce, le jardinier botaniste de la préfecture, des membres du conseil citoyen et des usagers composteurs pour la préparation en amont. Le projet a été co-financé par la mairie de Foix et le Smectom du Plantaurel.
- Réunions préparatoires pour définir le type de jardin "en trou de serrure" pour son côté innovant et expérimental, déterminer le type de plantes à installer, le planning de réalisation, réfléchir à des supports pédagogiques et de communication.
- Participation au bâtissage en pierres sèches gratuite et sur inscription
- recrutement des participants par e-mailing, voies de presse, newsletter, affichage, distribution de flyers
- chantier sur le wkd du 17/18/19 octobre + 2 jours en semaine avec :
- un stand de L’association Montagne & Patrimoine avec exposition pour échanger autour du patrimoine pierres sèches
- une permanence de L’association la Ressourcerie de Foix pour parler compostage et distribuer des bioseaux aux passants qui souhaitent se lancer.
- la présence du du Smectom et du Léo de Foix pour parler du projet, de l’avenir comestibles et de toutes questions liées au jardinage, déchets verts et compost
- remplissage du jardin le 20 octobre avec des couches de matériaux organiques divers
- Achat et plantation par les participants et organisateurs 1 semaine plus tard
- reprise en main du jardin et nettoyage au printemps après le confinement
- le 05 mai balade botanique avec le jardinier de la préfecture sur les hauteurs de Foix pour une visite guidée de reconnaissance des plantes comestibles
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- 15 animateurs / bénévoles / salariés des associations partenaires
- 1 groupe de 12 bâtisseurs citoyens
- 1 bâtisseur encadrant
- Résultat sur le territoire
L'animatrice à l'intiative du projet a été sollicitée pour lancer un chantier dans un autre quartier de la ville et dans d'autres communes d'Ariège. La publication de reportage-photos sur les réseaux sociaux a suscité l'intérêt du public et d'associations sur cette technique de construction extérieures au département.
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
Le chantier et l'animation qui en a résulté ont permis des échanges entre les bâtisseurs, organisateurs, les passants et habitants du quartier. Certains se sont spontanément proposés pour aider, d'autres souhaitaient des renseignements sur l'usage des plantes.
- Suite de l'action : Limites
L'entretien régulier du jardin est problématique. Les confinements et couvre-feu ont coupé la dynamique créée autour de sa construction. Il est difficile de remobiliser les personnes.
- Suite de l'action : Perspectives
- ateliers culinaires
- plantation
- entretien
Actions
Bougez avec le centre social de Lavelanet
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL C.A.F. - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Santé
- Intégration
- Mixité sociale
- Résumé
Une heure 15 par semaine est proposée une activité physique adaptée aux capacités, aux besoins, aux envies des habitants. Activité se déroulant au sein du centre social ou en extérieur.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Précision ( si autre )
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le centre social de Lavelanet souhaite permettre à ses allocataires et aux habitants de pratiquer gratuitement une activité physique adaptée. Il propose des cours collectifs d’activités physiques adaptées hebdomadaires qui seront assurées par une animatrice de l’association SIEL BLEU. Cet accompagnement s’adresse à tout public et plus particulièrement aux publics les plus fragiles, en situation de précarité, de difficulté ou d’isolement social.
Objectifs :
- Faire évoluer les représentations sur l’activité physique (difficulté, pénibilité) et la notion d’effort (quels bénéfices ?)
- Initier un changement de comportement durable pour lutter contre les effets de la sédentarité
- Permettre de retrouver une hygiène de vie limitant le risque de maladies chroniques
- Permettre de reprendre goût à une activité simple, remotiver, (re) prendre confiance en soi
- Rendre les participants acteurs de leur santé
- Permettre de retrouver un bon niveau de condition physique au travers d’une activité régulière
- Instaurer une démarche volontaire facilitant une réinsertion dans la vie active (objectifs)
- Encourager la pratique individuelle en dehors des séances au CS
- Favoriser les rencontres et le lien social au sein du groupe de participants
- Changer quelques habitudes alimentaires grâce aux « fiches minutes nutrition » et aux ateliers « hydratation »
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association nationale
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
2 cycles : de mars à juin et de septembre à décembre
- 18 séances de cours collectifs hebdomadaires par cycle
- 1h15 par séance
- En salle ou en extérieur
- Evaluation en début et fin de programme par des tests et questionnaires
- 1 séance d’essai et de découverte en début de programme
En complément :
- Tous les 15 jours présentation d’une “fiche minute nutrition” (9 fiches)
- Une séance “hydratation” en fin de programme (confection de boissons fraiches à base de fruits et de légumes frais fournis par l’animatrice)
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget 2 559 €
- 2 cycles de séances : 2385 €
- 9 fiches minutes nutrition : 144 €
- Séance hydratation : 15 €
- Adhésion SIEL BLEU : 15 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
42 personnes ont fréquenté cette activité.
L’orientation était faite par les partenaires suivants :
- Entreprises de service à la personne “Bouillotte et Chaudron”, Ariège Assistance
- CCAS
- Association L’ÂGE D’OLMES
- CLIC
- Associations caritatives
- Groupe d’alphabétisation UDAF 09
- Association PATCHWORK
- CIAS et les structures de la petite enfance de Lavelanet
- Centre Local DSD
- CMP
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
¾ du public accueilli pour cette activité ne fréquentait pas auparavant le centre social.
Le bouche à oreille a bien fonctionné, a permis d’élargir le public et de faire connaître les autres activités.
- Résultat pour les habitants
Accéder à une activité physique adaptée par un professionnel gratuitement
Permettre des rencontres, des échanges entre différents publics.
- Suite de l'action : Limites
le coût
- Suite de l'action : Perspectives
Renouvellement de l’action pour le premier semestre 2023
En complément, mise en place à la demande des participants d’ateliers de sophrologie.