En animant régulièrement une poche d'habitation précaire du quartier de Monthieu à Saint-Etienne, nous avons pour objectif de rallier des gens à la vie du Centre Social et plus largement du territoire. Nous essayons également de donner accès aux loisirs , aux enfants et aux adolescents, de ce lieu d'habitation, que nous savons nombreux, en les informant avec leurs parents.

La finalité globale consiste à casser l’isolement familial et permettre aux parents de « prendre » l’entière dimension sociale de leur engagement éducatif, et leur rôle premier dans l’éducation.

Pour cela, nous tentons :

• -  de faciliter la rencontre et l’échange entre les parents

• -  d’accompagner et soutenir les demandes des familles

• -  de travailler en partenariat

•  

Plus particulièrement sur les Môm’en turbulette, les objectifs consistent à :

• -  passer un moment privilégié avec son enfant,

• -  échanger avec d’autres parents

• -  valoriser les rôles et compétences des parents : travailler autour de l’idée « se faire

  confiance en tant que parent »

• -  faciliter l’implication des parents dans leur recherche et mise en place de réponses

Ces ateliers répondent aux besoins des parents :

• -  de prendre du temps et passer un « bon moment » avec leurs enfants

• -  de découvrir, « s’épanouir » en famille

• -  d’observer son enfant dans un groupe

• -  de vérifier s’ils sont seuls à être confrontés à ce qu’ils vivent avec les enfants

• -  de pouvoir aborder leurs questions et se faire un avis

• -  de comprendre parfois ce qui se passe

• -  de réfléchir à leur façon de faire.

• -  de rechercher quelles attitudes à adopter

• -  de rompre un certain isolement (surtout pour des mamans en congé parental)

• -  d’être rassurés

- « Besoins de repères pour accompagner les enfants et construire son rôle de parent »
- « Difficultés liées à l’autorité, à la vie quotidienne, notamment au suivi de la scolarité et difficulté de garde des enfants »
- « Les attentes des parents les plus jeunes se situent en matière d’information, autour des nouvelles technologies, des différents stades de l’enfance, de la séparation des
parents et du fait d’élever seul(e) son enfant (repères éducatifs, garde …) »
- « Attentes des parents d’adolescents autour de la sexualité des jeunes et de la crise d’adolescence »
- « engager un travail auprès des mamans qui sont plus « porteuses » de la question d’éducation :scolarité, loisirs … »
Extraits du diagnostic partagé
- Impact des nouveaux rythmes scolaires sur l’organisation familiale et donc sur la vie scolaire et péri scolaire
- Les partenaires réunis le 10 septembre 2014 ont notamment souligné le besoin de renforcer et animer les réseaux locaux
- proposition d’une coordination autour de la parentalité et de la scolarité à l’échelle du territoire à l’atelier « réseaux » lors de la soirée publique du 4 novembre 2014

Les familles de certains quartiers de Romilly/Seine ne s'autorisent pas l'accès aux loisirs et à la culture et sont peu mobiles.

La caravane artistique itinérante permet d'animer ces quartiers "oubliés" et favorise la rencontre intergénérationnelle des habitants d'une même quartier.

De nouvelles solidarités se créent et des demandes de nouvelles animations émergent de la part de la population qui de fait devient acteur de son territoire.

Prise en compte plus pertinente et efficiente des problématiques jeunesses sur le territoire.

Réinterrogation avec la population de la place des jeunes sur le territoire.

Transformations des rapports sociaux.

Transformation des rapports jeunes institutions.

Transformation des rapports entre institutions.

L'action est mise en place du fait de la demande et  mobilisation de jeunes  puis de la reflexion et la mobilisation d'adultes (parents et autres adultes participants notemment aux ateliers d'insertion).

Les résultats attendus : la rencontre et la reconnaissance intergénérationnelle, la conjugaison des compétences, la coopération.

Nous remarquons que la tranche d’âge 16-20 ans est une tranche charnière, les jeunes sont perdus avec des demandes parfois diffuses. Pour certains, ils sont en demande d’accompagnement sans pouvoir préciser et parfois en recherche d’emploi. Ils ne vont pas vers les lieux adaptés (mal informés, peur d’être jugé, avec des postures souvent inadaptés, des difficultés avec l’orthographe…).

Pour ceux qui connaissent les services, certains ne les jugent pas pertinents car ils ne peuvent répondre à leurs demandes souvent faites dans l’urgence avec une réponse qui pour les jeunes devrait être immédiate.

Egalité des chances et lutte contre les discriminations

Intégration des publics en difficulté

En priorité les 16-20 ans avec un regard sur l’avant et l’après (lien avec la réussite éducative, les écoles…)

La webtv est mise en place pour repondre aux enjeux de democratie participative et d'expression des habitants.

le media choisi est rapide et facilement assimilable par les différentes personnes.

Le projet a pour objectif attendu :

1/une participation accrue des habitants aux différents débats qui les concernent

2/ Un accès aux nouvelles technologie de l'information

3/ Des liens intergenerationnels dans les différents projets video

Cette action a été mise en place suite au constat que le centre social n'était pas bien identifié sur le territoire qu'il occupe et que nous ne connaissions pas les besoins des parents. Ce point de rencontre est l'occasion

-d'aller au devant des parents pour les rencontrer, 

-de nous faire identifier sur le quartier comme une ressource.

-d'inviter les parents à participer à la vie citoyenne sur le quartier et dans l'école.

-de receuillir la parole des parents pour connaître leurs besoins.

Le quartier des Pyramides à la Roche sur Yon compte parmi ses habitants des personnes issues de l'immigration (Afrique, Europe de l'Est, Moyen Orient...) et/ou des habitans de catégories socio professionnelles peu favorisées. L'Association reconnait la richesse de la diversité sur ce territoire. Ces facteurs expliquent en partie que parmi ces personnes certaines rencontres des difficultés d'apprentissage de la langue française et relationnelles. Lors du renouvellement du Projet d'Animation Globale et Sociale, les membres de l'Association sont allés à la rencontrendes habitants sur l'espace public afin de recueillir leur témoignage. Suite à cette concertation, nous avons relevé des notions de préjugés et de stéréotypes. C'est pour cela que nous avons souhaité renforcer notre projet afin de favoriser l'intégration en accompagnant les publics de différentes origines et de rompre les barrières de la langue. Ces diverses rencontres nous permettrons la mise en place d'actions spécifiques créant  l'attractivité et la valorisation envers toutes les origines et le lien social.

Le contexte:

Depuis de nombreuses années la ville s’est engagée auprés des familles pour favoriser les sorties familiales, et les activités parents-enfants. A l’occasion de ces sorties, les animateurs ont repéré plusieurs familles interessées pour organiser un départ en vacances mais qui n’osaient pas franchir le pas, en raison de nombreux freins: méthodologiques, logistiques, culturels et/ou financiers. Dans le cadre de la nouvelle politique de la CAF, la ville d’Equeurdreville a répondu en novembre 2013 à l’appel à projet “Accompagnement au départ en vacances de familles”.

L'enjeu majeur est de favoriser les départs effectifs des familles en vacances, le projet vacances étant un levier d'actions auprès des familles.

Le projet visait les objectifs suivants :

• Rendre autonomes les familles candidates au départ en vacances et ayant besoin d’un accompagnement

• Permettre l’acquisition de diverses compétences transférables.

• Lever les freins au départ en favorisant une démarche de projet pour les familles.

• Recueillir l’adhésion des familles candidates au départ afin de les rendre actrices dans la préparation au départ.

• Favoriser l’accès aux informations concernant les dispositifs d’aides et soutiens financiers pour un départ familial en vacances en s’assurant de leur lisibilité et de leur compréhension par les familles.

• Valoriser les compétences de chacun pour construire le projet

• Prendre en compte les difficultés de chacun et offrir un cadre sécurisant qui va permettre le départ en vacances

• Rassurer, guider et accompagner les familles vers l’autonomie

• Faire des choix d'organisation

• Résoudre les problèmes de logistique, de peurs

Résultats attendus

Avant le départ en vacances :

• Une implication et une mobilisation des partenaires du territoire travailleurs sociaux (CAF), assistantes sociales (CG), CCAS de la ville d’Equeurdreville-Hainneville, dès le début du projet, pour mieux cibler les familles, les rassurer et faciliter l’accompagnement.

• Constitution d’un groupe dès le mois de janvier 2015

• Faire exprimer l’envie de ceux qui n’y croient pas, analyser et lever les freins.

• Une meilleure connaissance des besoins des familles pour adapter les différentes étapes du projet : faisabilité, mesure de l’autonomie, compétences acquises ou à acquérir et à mettre en œuvre, capacités en termes financier et organisationnel.

• Un accompagnement des familles dans tous les aspects concernés par ce départ en vacances : travail sur les representations des vacances, aides aux démarches, information concernant le lieu d’accueil, inscription du projet vacances dans le projet familial d’insertion sociale.

• La mise en place d’un partenariat entre le référent famille et le lieu d’accueil de vacances (échanges avec l’accord de la famille) pour rassurer les familles et securiser la mise en place du séjour.

• La création d’une dynamique de groupe destinée à franchir toutes les étapes pour aller vers l’organisation du séjour : mobilisation des compétences et des ressources, projection dans l’avenir, cohesion et entraide.

• Choisir un lieu de séjour facilitant l’autonomie des familles : proximité services, commerces, soins médicaux, loisirs, animations...

Pendant le séjour :

• S’appuyer sur le référent de la structure d’accueil afin d’installer une relation de confiance et d’assurer un lien régulier famille/référent famille/structure d’accueil.

• Une visite du référent famille pendant le séjour destinée à rassurer les familles et favoriser le bon déroulement de celui-ci.

• Des activités adaptées à partir d’un planning réalisé en amont du séjour, facilitant l’épanouissement et l’intégration du plus grand nombre.

• Profiter de ce moment privilégié en famille

• Maintien de la cohésion du groupe pour favoriser l’entraide, les échanges et les activités partagées pendant le séjour

Après le séjour (retour de la famille) :

• Evaluations collectives, individuelles et en famille du projet afin d’analyser les résultats obtenus avec les familles

• Préserver et entretenir les liens avec la famille pour organiser de nouveaux temps de rencontres autour d’un futur départ ou d’autres actions (groupes de paroles, participation aux différentes activités des maisons de quartier et structures de la ville), accompagnement sur un projet AVF

• Evaluation du projet vacances avec tous les acteurs de ce projet

• Le contexte socio-économique dans lequel évoluent les familles du quartier de la Pierre Heuzé reste difficile (paupérisation, isolement, problème de santé, carences éducatives...).

• Les directrices des écoles maternelle et élémentaire sollicitent régulièrement les partenaires et notamment le centre socioculturel face aux difficultés que les écoles rencontrent (familles allophones, conflits entre les parents, mauvaise image de l’école sur le quartier, problèmes d’hygiène et de santé, faible niveau scolaire de certains enfants, parents « démissionnaires »...).

• Le regroupement des écoles, la réforme des rythmes éducatifs et la mise en place du dispositif de scolarisation des enfants de moins de trois ans ont favorisé le travail ensemble avec les acteurs éducatifs (équipe enseignante, partenaires...).

• Il existe une réelle volonté des parents d’élèves à être associés dans le projet éducatif du quartier même s’il n’existe pas pour l’instant d’association active de parents d’élèves sur le groupe scolaire Senghor.

Les objectifs sont :

- de faire travailler les habitants ensemble sur un projet fédérateur,

- permettre aux associations du territoire de se connaitre

- mettre en valeur le patrimoine local et favoriser le sentiment du "bien vivre ici",

- permettre à des habitants qui n'ont pas l'habitude de s'investir bénévolement pour la premiere fois pour continuer ensuite. 

la demande et le besoin de sédentarisation sont de plus en plus forts et correspondent à une réalité de terrain : d'où la nécessité de monter des opérations particulières de logement en prenant compte de l'aspect culturel de la population.

Afin de doter les participants de bases linguistiques indispensables à leur intégration sociale et professionnelle.

Besoin auquel répond l'action

Les enfants du quartier habitant dans l'hyper proximité du centre sont très nombreux et en attente de pouvoir venir au sein de la structure pour participer à des activités. Ces enfants sont jeunes (2 à 12 ans) souvent seuls, sur l'espace public, ils jouent de manière autonome sans présence parentale. Il s'agit ici de répondre à cette forte demande en tentant d'impliquer les parents dans les loisirs de leurs enfants et d'offrir à ces derniers des activités structurantes en collectif

Les partenaires unanimement font le constat de difficultés langagières des la prime enfance chez un nombre conséquent d’enfants fréquentant les structures petites enfances. Des constats qui corroborent avec les statistiques de l’éducation nationale. En effet, 20% des enfants scolarisés sur les écoles du quartier présentent un retard dans l’acquisition du langage. Ce retard engendre inévitablement des difficultés d’apprentissage (repérage par la psychologue scolaire lors de tests QI, l’ item langage fait chuter les résultats )

- Lors des consultations PMI, les puéricultrices constatent des retards langagiers et un manque important de stimulations des enfants. Certains parents ne perçoivent pas l’intérêt de parler aux bébés, de reprendre distinctement et sans élever la voix les premiers progrès langagiers…

Les discussions avec des parents de la halte par exemple, mettent en évidence l’absence de livres dans les foyers ou l’ absence de rituels autour de la lecture d’ histoires au sein de la maison. Pourtant ce travail journalier des professionnelles petites enfances doit être relayé au sein des familles. Ce qui n’est pas toujours le cas.

- Il existe également une méconnaissance du processus d’acquisition du langage, des troubles du langage, des signes d’alertes permettant aux parents d’intervenir au plus vite auprès des spécialistes de la santé. Une méconnaissance également des méthodes d’intervention des orthophonistes.

A ce titre, la rencontre entre les orthophonistes du pôle santé (via l’association pôle santé) et les professionnels a également mis en évidence la méconnaissance des professionnels dans ce domaine. Cependant à contrario, ces mêmes professionnels ont souhaité travailler ensemble, se doter de connaissances, de compétences nouvelles pour s’inscrire dans une démarche de projet commun.

- Il existe sur le territoire une offre conséquente d’actions sur le quartier autour du livre, du jeu mais cette offre doit s’inscrire dans une démarche concertée en lien avec tous les professionnels dont ceux de la santé et de l’éducation nationale. Ce travail doit aussi être plus lisible pour les familles, et ces mêmes familles doivent surtout être associées, impliquées dans cette démarche pédagogique, éducative et de prévention.

De manière générale, la fragilité des apprentissages de base, notamment la lecture, les handicaps socio-culturels vécus par les publics en difficulté et les fortes représentations dévalorisantes chez les familles font que pour certains parents il est plus que difficile d’aider, soutenir, accompagner leur enfant dans l’apprentissage du langage.

Cependant, les rapports de confiance établis avec les familles à travers notamment les projets « Parents au quotidien », « aux petits soins …de soi, de ses enfants, de sa famille de sa maison » mettent en évidence la pertinence des possibilités d’intervention dans le domaine de la parentalité.

En 2012 une première réflexion autour du langage a été initiée sur la Grâce-de-Dieu par les acteurs de la petite enfance : rencontre des professionnels de l'enfance et de la famille avec les orthophonistes du Pôle santé autour des étapes de développement du langage et des signes d'alerte, élaboration collective d'un projet d'"Espace langage jeu" au sein du Réseau de Réussite Scolaire, avec la collaboration des orthophonistes du Pôle Santé et de la psychologue du RRS, outil au service du développement du langage mobilisable par les enseignants sur le temps scolaire, avec la participation des parents, mais également mobilisable à terme par les intervenants des temps péri-éducatifs et sur la pause méridienne. Cet espace vient d'ouvrir en novembre 2013.

Une ludothèque "Abracadajeux" est également installée au centre socioculturel depuis février 2012, ouverte chaque mercredi après-midi, avec pour objectif de faire entrer le jeu dans les familles.

Ces premiers temps d'échanges ont mis en évidence une volonté des professionnels de se doter de connaissances et de compétences nouvelles pour travailler avec les familles, enfants et parents, autour des processus d'acquisition du langage

La problématique de recrudescence sur le territoire de cas de grossesses juvéniles a été pointée à différents niveaux:

- dans le cadre d'un diagnostic santé piloté par le CS avec nos partenaires (notamment Sage femme du Conseil départemental et travailleurs sociaux Cfa et CD)

- dans la prise en compte de l'expression des parents usagers du groupe de parole "paroles de parents"

Le résultat attendu renvoie essentiellement à la prévention des grossesses juvéniles (inscrites culturellement sur le territoire) en donnant au parents les moyens de comprendre et d'échanger avec leurs enfants sur la sexualité et les risques associés (santé, scolarité, lien social, orientation...).L'impact recherché est avant tout une meilleure connaissance des interlocuteurs pour l'adoslecent et sa famille. Nous pourrions cependant rechercher une diminution des cas déclarés de grossesses chez les jeunes mineurs.

Suite au constat de l'isolement de femmes ayant des difficultés (financières, chomâge, monoparentalité, etc;), ce projet a été proposé par le centre social en lien avec le service social insertion du Conseil départemental. La spécificité de cette action est de proposer aux femmes qui ont suisi une session de revenir sur un temps de rencontre hebdomadaire  animé part l'esthéticienne toute l'année.  Le but de l'action est de favoriser la participation dse femmes à d'autres actions du cente social ou d'autres institutions.Ce projet est soutenu aussi par la CARSAT et vise également des personnes des femmes de plus de 60ans.

1/ Suite au constat suivant : des familles sont en difficulté face à l'échec scolaire, à l'autorité, à l'insertion professionnelle, aux addictions, aux problèmes de santé et la violence faite aux femmes.

Ces après-midis d'information permettent aux familles d'accéder à une orientation la plus appropriée à leur problématique, en étant en contact direct avec des professionnels

Les familles doivent avoir la possibilité d'obtenir des informations et un accompagnement autour de questionnement et problématiques liés à la parentalité et faire en sorte que la fonction parentale soit d'avantage maintenue et valorisée.

2/ Valoriser les parents dans leur rôle éducatif, et faire en sorte qu'ils soient acteurs dans leur vie quotidienne. Favoriser la compréhension parents/enfants.

Renforcer le travail fait dans l'accompagnement des familles vers l'autonomie (articulation du temps vie familiale et professionnelle)

-Créer du lien social avec les habitants du quartier des Romains en vue de l'organisation des futurs repas des voisins sur plusieurs quartiers qui sont vecteurs de tranquillité et de bien-vivre ensemble sur un quartier.

-Favoriser la mixité sociale et cuturelle sur les quartiers.

-Renforcer le travail et la coopération partenariale.

Origine du projet :

1. Constat :

   - Offre faible de lieux conviviaux permettant aux parents de se rassembler.

   - Manque de contacts avec les familles des quartiers. Ce sont souvent les mêmes familles que nous accueillons sur l’ensemble de nos quartiers.

- Certaines mamans nous font part de leurs interrogations ou leurs inquiétudes concernant des sujets liés à la parentalité. Face à ces situations nous orientons ces personnes vers les partenaires compétents. Cependant, peu de personnes décident par la suite de se déplacer pour faire part de leur questionnement à d’autres professionnels.

L'objectif principal est de créer du lien social et d'être un outil d'inclusion sociale : redonner envie de faire des projets , se réapproprier sa vie , de s'insérer dans un groupe puis socialement ensuite.

Répondre à une demande en augmentation des jeunes sur le territoire.

Cette   action  fait partie  des enjeux  du centre social   sur la  parentalité  et l'objectif  de faire croiser les familles du quartier  lors  de journée  découverte

C'est un axe  fort  du contrat  de projet