Des passerelles se sont créées entre certaines structures qui jusque-là ne communiquaient pas entre elles.

Meilleure connaissance du territoire, de ses possibilités et des partenaires.

Attente des partenaires et des propositions de thèmes émis par eux

Elle induit une  meilleure prise en charge des familles.

Meilleure connaissance du centre social: missions, fonctionnement, équipe (permanents, bénévoles, vacataires...).

Découverte et rencontre avec de nouveaux acteurs locaux.

Trouver des thèmes correspondants aux attentes et aux besoins d’un maximum de partenaires.

Communiquer en amont sur la date pour favoriser la venue du plus grand nombre.

Poursuite de l’action sur le même modèle.

Calendrier fixé au semestre.

Sensibilisation et prise de conscience sur l'intérêt écologique

Engagement des jeunes et de la population à la protection du territoire

Animation locale

Ouverture interculturelle

Ouverture interculturelle

Développement ou consolidation de partenariat

Suite à la non venue des Sénégalais en octobre 2019, le projet s'est prolongé sur 2020 avec une préviosn de la venue en Juin. Avec la pandémie, report sur Octobre...A suivre... inchallah !

Contratualisation du partenariat autour de la coopération éducative entre les établissements scolaires, français et Sénégalais, les associations TERAANGA, France et Sénégal et le centre social

L'impact principal pour le territoire reste le renforcement, et parfois entre certains partenaires le développement, de liens contribuant à créer un maillage territorial réactif et coordonné au service des habitants.

Le centre social devient un lieu ressource au service des habitants en raison du panel de partenaires en lien avec le centre social. Ces rencontres permettent d'affiner notre diagnostic de terrain et de faciliter la construction de réponses collectives.
 

Deux rencontres ont eu lieu ce qui a permis à chaque partenaire d'investir notre structure et de tisser des liens avec les partenaires locaux. Pour que ce rendez-vous reste attractif, il nous faut veiller à ce qu'une synergie de travail soit présente et continuellement réinterroger les objectifs que nous ambitionnons.

Le temps que les partenaires pourront consacrer à ce rendez-vous pourrait constituer une limite.

La connaissance des partenaires est aujourd'hui plus ancrée et les échanges facilités. L'ensemble de l'équipe souhaite, désormais, aller plus loin qu'une rencontre informelle. Nous envisageons d'y créer un espace d'échanges d'informations, de conseils, et de bilan autour de situations problématiques que l'ensemble des partenaires peuvent rencontrer ou auxquelles ils seraient suceptibles d'être confrontés au quotidien. C'est aussi le rôle d'un centre social que de faciliter, autant que possible, le travail de chaque professionnel, toujours dans le même objectif : le service rendu aux habitants.

Ce premier séjour réalisé en 2019 a fait de l'écho et le séjour 2020 est en préparation.

Il a permis de mettre en avant la section Course d'orantation du collège et le dynamisme de ce collectif.

Il permis aussi de montrer que notre territoire regorge de jeunes et de seniors motivés et dynamiques !

Action très enrichissante et valorisante pour l'équipe. Véritable cohésion avec les personnes et les animateurs qui permet à l'animatrice "jeunes" d'être répéré aussi par les seniors.

Permet de consolider le partenariat avec le collège.

Refaire le séjour avec de nouvelles personnes... même cohésion ?

Devant la réussite et les échos du 1er séjour, ouverture sur plus de places ? perte de l'aspect "famillial et coocooning" ?

Un second séjour est en préparation... A voir s'il pourra être maintenu avec les conditions sanitaires de 2020...

L'idée des jeunes, qui sont actuelement en 3è, c'est de pouvoir passer le "flambeaux" aux ados qui arrivent derrière eux...

Cette action a permis de développer et de fluidifer l'interconnaissance entre les professionels et entre professionnels et habitants. Elle a favorisé des partenariats.

Elle a contribué au développement d'un nouveau contrat projet. Elle a permis de repenser le travail avec les habitants et les partenires.

L'action a été très dense et chronophage.Il est nécessaire de la penser dans l'organisation générale de l'activité du centre social.

A repenser et à renouveler. Certains outils seront utilisés ponctuellement pour actualiser le diagnostic.

- Un atelier qui s'est stabilisé et renforcé et qui a su renouveller son public en intégrant de jeunes pratiquant avec de plus "chevronnés",

- Une valorisation de l'image des jeunes (y compris des quartier populaires) par leur participations remarquées à des évènements communaux et intercommunaux, des jeunes fiers de leur travail et mis en valeur; un maitrise des codes de langage.

- Un changement dans la relation des jeunes inscrits au théâtre avec les acteurs du territoire et/ou leur environnement (base du montage d'une association, participation à un comité consultatif municipal, inscription en potion théâtre au lycée par exemple),

- le théatre a été initié par Etupes et la compagnie ELDO dans un festival de culture Urbaine intercommual à Montbéliard, ou celui prend la place principale dans la programmation; des jeunes d'Etupes ont initiés d'autres jeunes à cette pratique et l'ont valorisée au niveau des publics de quartiers prioritaires. La compagnie de théâtre a été accueillie et hébergée dans des bâtiments communaux,

- Une mixités fille/garçons et quartier ZUS /centre ville équilibrée.

- valorisation du Centre Social auprès des partenaires de l'agglomération, valorisation des jeunes auprès de la population, des parents, des élus,

- travail partenarial avec les acteurs du territoire, et partiocipation à l'installation d'une compagnie de théâtre sur la ville.

- changement d'image du Centre Social par la mise en valeur d'une pratique culturelle moins "valorisée" dans les quartiers populaires.

- la pratique s'est bien ancrée sur territoire, mais il y a toujours besoin de temps pour les répétitions, les spectacles, un équilibre est à négocier avec les parents pour gèrer les différents temps du jeune (scolaire, sportif, familial etc.)

- il faut gérer les entrées et les sorties dans le groupe et instaurer un équilibre dans les niveaux et l'expérience dans la pratique théâtrale.

 - une utilisation de ce potentiel artistique pour développer des projets avec d'autres publics (publics en insertion, demandeurs d'emploi) pourrait être à construire,

- travailler à une mixité intergénérationnelle est aussi une piste intéressante.

Cela a permis de mieux faire connaître le Café des femmes au travers d'une problématique et d'une action ouverte à tous.

Mettre en avant une initiative d'habitants.

Encourager ces intiatives pour que d'autres voient le jour

Comme souvent dans des soirées sur des thématiques sensibles, il est parfois difficile pour des personnes de prendre la parole en public.

Continiuer à soutenir les propositions des bénévoles qui animent le Café des femmes en fonction des problématiques qui ressortent de ces discussions.

La thématique des femmes a été intégrée à la programmation culturelle du centre "Les Nuits d'Orée" en proposant un spectacle sur la condition féminine suivi d'un débat entre les spectateurs, les comédiens et danseuses animé par les bénévoles du Café des Femmes.

Cela vise aussi à donner plus de visibilité à l'action du café des femmes et devrait se poursuivre lors de la prochaine programmation culturelle 2020-2021

L'effet principal est la rupture de l'isolment des ainés, la tarnsmission auprès des plus jeunes.

Notre démarche intergénérationnelle s'inscrit dans un réel projet sociétal car nous y impliquons l'ensemble des générations.
 

Enrichissement des leisn sociaux, régulation naturelle des échanges, renforcement des actions de soutien à la fonction parentale.
 

Il faut oeuver à l'implication de toutes les générations, à dynamiser leurs échanges, afin de réellement donner sens à cette démarche de projet, et ne pas le cantonner à de l'animation seniors-enfants.
 

Poursuite et développement de nos actions, participations de tous les acteurs à la biennale de l'intergénération qui sera organisée par l'association ACLAP fin 2020.

Identification du lieu (ESC) comme espace de vie sociale ouvert sur le territoire

Liens forts des bénévoles à cette action

Identification du rôle du centre social

Nouveaux contacts avec deshabitants devenus bénévoles

Maintenir un rythme régulier

Réguler les participants : habitants et parfois équipe de bénévoles

Réflexion sur la mise en place d'un Repair Café

Les participants découvrent à la fois le CSP et les autres offres d'animations de la structure et du territoire. Ces ateliers sont aussi l'occasion de faire circuler les iformations, de découvrir des activités que l'on n'avait pas forcément prévu d'évoquer mais qui s'invitent dans les conversations.

- connaissance du lieu et des activités,

- développement de la particpation active des habitants, des projets, du bénévolat

Comment toucher d'avantage les bénéficiaires de l'Epicerie Sociale malgré les tentatives (petits déjeuners du vendredi matin sur les temps d'ouverture)

Décliner les idées d'atelier (parents/enfants, jeunesse "Chef cuistot)

Favoriser l'animation et l'atelier par un habitant volontaire

L'impact sur le territoire n'est pas mesurable à ce jour.

Il est encore trop tôt pour en mesurer l'impact. Notre but est de conduire les usagers et habitants vers l'autonomie. Cette actions est trop récente et les circonstances sanitaires ont interrompu les ateliers.

L'action sera poursuivie l'année prochaine. Mais il faudrait pouvoir accompagner les habitants sur d'autres créneaux horaires.

Découverte du territoire au travers des réalisations cinématographiques.

Permet d'offrir une proposition d'activité pour les adolescents.

Création d'un groupe de partage autour du thème du court métrage et de la réalisation vidéo. Mise en place de projet de tournage sur les événements du Foyer Rural ou d'un sujet qui intéresse le groupe.

Cela permet aux associations et leurs bénévoles ou aux collectifs de se faire connaître. Certains ados qui ont participé aux animations deviennent eux - même bénévoles ( ce qui rejoint notre objectif autour de la prise d'initiative).
 

Ce sont souvent, malgrés tout, les mêmes bénévoles qui organisent les actions.

Les parents sur une commune tiennent beaucoup à conserver le lien ados/parents développé à travers les fonctionnements collectifs. De plus, avec l’image de leurs parents organisateurs, ces ados entrent petit à petit dans un statut de jeunes citoyens acteurs de la vie de leur village et non simples consommateurs. Sur cette commune le souhait est de maintenir le fonctionnement à l’aide de l’EVS.

Sur les autres communes, c'est sensiblement la même chose. Les bénévoles ont a coeur de péréniser ces animations. Les actions inter-associatives sont aussi très enrichissantes.

Cette action inovante sur le territoire dijonnais a permis de mettre en lumière le quartier Chevreul Parc.

D'autres dynamiques de ce type pourraient voir le jour prochainement...

L'un des axes prioritaires du Tempo est la Lutte contre la précarité et l'isolement.

Par différents biais, l'équipe du centre social oeuvre auprès des plus déminus et des plus fragiles. 

Les partenaires sociaux et les habitants ont bien identifié la structure comme lieu ressource de proximité.

Cette action est portée par des bénévoles volontaires et dynamiques.

Sans eux, ce projet devrait être totalement mené par les professionnels du Tempo.

Le Tempo évalue encore l'organisation de cette action, corrige les légers dysfonctionnements et assure la bonne dynamique du groupe de bénévoles.

Il étudie l'achat d'un second frigo à disposer, cette fois-ci, plus loin du Tempo.

aires

Non encore évaluable 

mobilisation des bénévoles

satisfaction de la réaction positive des acteurs 

En cours

Créer du lien social, apprendre à cultiver, récolter

Permettre aux parents d'accroitre le lien familial ou de l'améliorer

Le fait d’ouvrir ce projet à l’ensemble de la ville de Saint-Lô et de proposer des actions à l’extérieur du quartier a permis de valoriser celui-ci.

De nombreux habitants ont pu échanger, voire parfois raconter leur histoire et ces actions ont amorcé une certaine réflexion au sein du quartier, mais beaucoup reste encore à faire et les réels impacts sur le territoire ne seront visibles qu’après plusieurs éditions.

Il est tout de même à noter la participation croissante des partenaires et habitants à ces actions, c’est donc que les mentalités bougent….

Ce projet a favorisé la fréquentation d'un nouveau public sur le centre social. En effet, le fait d'accueillir une exposition iontéractive dans nos locaux a permis d'accueillir des groupes scolaires venant des territoires extérieurs au quartier.

De plus, la délocalisation des certaines actions a permis d'améliorer la visibilité de la structure à l'échelle de la ville et, ainsi de valoriser les actions se déroulant dans le quartier sur le reste de l'année.

Bien que les effets mesurés sur la population soient positifs, la fréquentation des habitants du quartier reste faible sur ce type de projet. Il faut donc veiller à ce que les actions restent bien accessibles à tous, tout en poursuivant ce travail de sensibilisation à ce sujet tout au long de l'année.

Pour les éditions suivantes, il serait judicieux de travailler de manière encore plus étroite avec les établissements scolaires de la ville de Saint-Lô, et plus particulièrement avec ceux du quartier, afin que cette semaine touche davantage les familles du quartier.

Renforce la présence du centre social en centre ville, apporte de la visibilité auprès de personnes qui ne fréquentent habituellement pas le centre social.

Permet la rencontre de publics qui ne se rencontrent pas habituellement

Permet l'expression des valeurs positives : la solidarité, la bienveillance, l'attention aux autres

• Communication : ces ateliers partagés permettent de toucher des publics non ciblés par les activités habituelles du centre social. Cela permet de faire connaître les actions, les valeurs, les modalités d'intervention du centre social auprès de personnes nouvelles; permet également d'affirmer auprès des élus et pouvoirs publics de la ville, la présence et l'utilité du centre social pour l'ensemble des habitants de la ville.
• Dynamique de groupe & valeurs de la République : la rencontre de différents publics qui peuvent nourrir des réticences ou des représentations  à l'égard "des autres", permet par la rencontre et le partage d'activités, de faire tomber des stéréotypes, résistances ou autres freins qui nuisent à la rencontre et à l'échange. La richesse de ces rencontres, démultiplie la motivation, l'envie et les initiatives pour poursuivre de nouvelles activités ou projets.

• La fréquence actuelle des ateliers, 1 fois par mois, est trop faible.
• L’absence de salle disponible à titre gratuit en centre-ville, nous oblige à cette fréquence mensuelle en raison du coût facturé pour la location d’une salle

• Encourager les échanges qui permettent l’envie d’agir ensemble et de développer de nouvelles initiatives collectives
• Soutenir les personnes dans l’animation de futurs ateliers en tant qu’animateur
• Poursuivre la délocalisation du centre social en centre-ville

• Ecoute et intérêt de la part du bailleur et de la municipalité. Le bailleur a souhaité inscrire la pose des numéros des logements dans le programme de la réhabilitation prévue prochainement.

• L’action « 100 % Gagnants ! » permet une transversalité de projet à travers différents secteurs d’activités du centre social à partir de rencontres entre adolescents et seniors, entre habitants et artistes, regards croisés entre porteurs de cultures différentes.

Implication d’habitants de Berriac en tant que encadrants artistiques dans le domaine de la mosaïque : ces personnes, maitrisant l’art de la mosaïque, sont par ailleurs actives au sein du centre social dans le cadre de l’atelier Mosaïque

• La rencontre intergénérationnelle a permis au groupe de jeunes de s’adapter aux consignes données par les intervenants mosaïques, d’apprendre à un rythme différent et développer leur sens de l’écoute et des responsabilités.
• L’action « 100 % Gagnants ! » a permis dans le cadre du centre social, de faire lien entre groupes (anciens, jeunes), faire le lien entre activités mosaïque/ activités adolescents, d’impliquer les parents bénéficiaires du RSA, et d’entrainer indirectement l’ensemble des habitants de la cité dans le déroulé de l’action.

• la pesanteur familiale freine les jeunes dans leurs envies d’action ;
• le dialogue avec les parents en amont du projet a été nécessaire pour les amener à cheminer et accepter le principe de l’investissement de leur enfant dans la réalisation des mosaïques et dans la pratique d’activité à risques ;
• Les questions d’autonomie de l’enfant vis-à-vis de la famille ont interpelé les familles sur la question d’indépendance de l’adolescent.

Le bilan très positif permet de projeter la reconduction du projet à l’échelle de la commune en 2020 avec partenariat avec la commune qui pourrait prendre la forme d’un appui à la réalisation de mobilier urbain avec des matériaux de récupération….

• Investissement du quartier tout au long de l’été, par l’accès à la culture (le conte et l’imaginaire et la création),
• Participation moyenne de 16 à 17 personnes à chaque séance proposée, soit 8 à 9 enfants et 8 à 9 parents chaque fin d’après-midi ;
• Participation d’adultes et d’enfants qui ne participent pas aux activités habituelles du centre social,
• Participation de partenaires et notamment de l’association ABP, très active à nos côtés tout au long de l’été,
• Ces temps ont permis d’aborder différemment l’exercice de la parentalité, au travers du jeu et de la pratique partagée (parents/ enfants) d’activités artistiques,

• Le manque de financements accordés nous a obligé de réduire les dimensions du projet
• Le peu de visibilité du public avant chaque séance, interroge la nécessité de renforcer la communication de l’action en diversifiant les supports possibles (SMS, Facebook…) et en s’appuyant sur nos partenaires pour relayer l’action et les animations prévues (éducateurs ABP)
• Le mois d’août a été très « difficile » en termes de mobilisation et de présence du public en raison des nombreux départs et du calendrier du ramadan.
• La durée des séances, trop courte, n’a pas toujours permis une reformulation du conte à partir des réalisations artistiques, telle que prévue initialement dans le projet ;
• La présence d’enfants trop jeunes (3 à 4 ans) peut pénaliser le bon déroulé des ateliers ; il serait bon de penser en amont à une activité pouvant être proposée à ce très jeune public.
• La restitution finale est à renforcer pour valoriser la créativité des habitants ; les livres objets créés sont à réinvestir tout au long de l’année dans le cadre des ateliers CLAS et/ou en lien avec les établissements scolaires du quartier.

• Poursuivre l’investissement du quartier au travers du conte, des mots … et de l’accès à la culture.
• Expérimenter de nouvelles formes artistiques pour chaque histoire (investir les murs, d’autres espaces, par d’autres formes…)
• Réfléchir à de nouvelles modalités ou actions permettant d’impliquer les habitants en amont. La question du goûter… avant chaque programmation a été évoquée par le groupe.

Les conteurs, à force d'aller de villages en villages pour raconter leurs histoires sont de plus en plus connus et renommés dans les communes.

Diversité des lieux d’intervention: maisons de particuliers, médiathèques, associations dans le secteur du social, maison de retraite, écoles, fêtes intercommunales, festival pour enfants.

Groupe très demandé dans toutes les fêtes du territoire, sur des thèmes variés

Grâce aux conteurs, notre EVS est de plus en plus connu sur le territoire.

L'impact pour les conteurs eux mêmes:

-Renforcement des compétences au vu d’un projet commun

-Se former et réinvestir

-Faire découvrir le conte à tous

- difficulté de mettre en oeuvre le projet du recueil de paroles, faute de temps

Véritable ancrage du groupe sur le territoire, reconnu et apprécié pour ses interventions ponctuelles, tant sur les fêtes du territoire que dans les espaces plus réduits (en maison, en association, en médiathèque, dans les écoles, sur un radeau...). Ces interventions si diverses sont enthousiasmantes pour le groupe, qui a plaisir à s’adapter (thèmes, espaces de taille différente à investir...). Toutes ces expériences ont valorisé chaque personne du groupe. Leur désir de créer « leur» spectacle est entier mais plus compliqué à réaliser seuls. Ils imaginent l’aide d’un professionnel pour finaliser l’écriture et la mise en scène, et les épauler dans cette phase importante de création.

Le collectif souhaite continuer ses actions pour les années à venir.

Les associations d’habitants sont prêtes à travailler à nos côtés et se sont engagées depuis lors via des conventions partenariales. Un travail conjoint a été engagé.

Les partenaires opérationnels sont également mobilisés pour travailler avec le Centre social. 

Enfin, les partenaires financeurs sont attentifs et impliqués dans cette phase de redémarrage.

L'action "un été tranquille aux Bourrely" a démontré que la capacité de la Ligue de l'Enseignement à répondre aux besoins et à engager des moyens. La première équipe a su répondre aux enjeux du démarrage, de la reprise du centre social.