Les actions des centres sociaux
Actions
MOS'ART
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ET CULTUREL J.Y COUSTEAU - Pas-de-Calais
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Action finalisée sur l'amélioration du cadre de vie, embellissement des lieux d'accueil des logements HLM
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Logement
- Résumé
Action visant à développer les relations de voisinages et l'embellissement du cadre de vie. Développement des savoirs faires techniques et des solidarités.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un habitant
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Développement des relations de voisinages, des solidarités, encouragement aux projets communs, appropriation et amélioration de son cadre de vie.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Action réalisée en milieu d'année : 20 séances de 3 heures, 12 participants, 2 encadrants
Réalisation de 6 fresques en mosaïque installées dans les halls d'immeubles. Action de valorisation et de comunication par une inauguration avec les partenaires et les habitants.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
9300
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 animateurs, 1 technicien encadrant - 12 participants
- Résultat sur le territoire
Développement du partenariat avec les bailleurs sociaux.
- Résultat pour le centre social
Communication sur les actions du centre.
- Résultat pour les habitants
Appropriation de son cadre de vie. Développement des liens sociaux dans le quartier.
- Suite de l'action : Limites
Le coût de l'action (materiaux et intervenante) ne permettent pas la perennisation du projet sur du long terme.
- Suite de l'action : Perspectives
Perspectives de poursuivre des actions d'amélioration du cadre de vie en recherchant des projets moins onéreux.
Actions
Moaique Roule contre le Cancer 2e Edition
- Structure organisatrice
- ASSOCIATION MOSAIQUE - Yvelines
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Résumé
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
15 Salariés 100 Benevole
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Mise en place d'un transport partagé : le Royans Express
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL LA PAZ - Drôme
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- mobilité / transport
- Résumé
Le ROYANS EXPRESS (véhicule 8 places de Transport de Personnes à Mobilité Réduite) est un transport partagé qui a démarré en avril 2014 et qui permet de relier les 13 communes de la Communauté des communes du Pays du Royans (CCPR).
Ce service a été pensé et mis en place par le collectif « Part’âge » regroupant toutes les associations et collectivités œuvrant pour les personnes âgées sur le territoire de la CCPR. Il est géré par le Centre Social LA PAZ.
Le ROYANS EXPRESS est ouvert à tous mais l’adhésion au centre social est obligatoire. Elle est de 5€ et comprend deux tickets. Cette adhésion peut se faire en montant dans le véhicule.
Deux modes de fonctionnement sont proposées :
1) Les Boucles
3 boucles couvrent l’ensemble du territoire de la Communauté de Communes le Pays du Royans et permettent aux usagers de passer environ une heure à St-Jean-en-Royans.
La boucle Echevis a lieu le jeudi matin, celle de Bouvante/Le Chaffal est le vendredi matin et enfin, celle de St-Nazaire-en-Royans démarrera au premier trimestre 2015 (probablement le mardi).
2) Le Transport à la demande (TAD)
Le TAD permet de se déplacer sur l’ensemble du territoire. Il suffit d’appeler le Centre Social 48h à l’avance. Selon les disponibilités du véhicule, la personne du centre social vous confirme le transport.
Les formalités concernant l’achat de tickets de participation aux frais de transport et l’adhésion au centre social peuvent être effectuées directement dans le véhicule ou au centre social.
La participation aux frais s’élève à 2€ (1 ticket) l’aller-retour dans le cadre des boucles et 4€ (2 tickets) dans le cadre du TAD.
Ce service fonctionne également grâce à l'embauche d'un animateur-chauffeur pour 0,6 ETP associée à la participation active d’une vingtaine de chauffeurs/accompagnateurs bénévoles.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Action mise en place pour :
*faciliter la mobilité des personnes âgées ou en situation de hanidcap
*permettre la sortie d'isolement géographique et psychologique
*faciliter l'engagement de jeunes retraités qui retrouvent une utilité dans leur action à destination des plus ancien et/ou en perte d'autonomie
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Suite au renouvellement du Projet Associatif en 2012 et à la naissance d'un partenariat avec la CARSAT. Emergence d'un collectif d'acteurs de la gérontologie. Mise en oeuvre d'un diagnostic (durant toute l'année 2013) avec rencontre des plus de 65 ans. Identification des problématiques et tentative de réponse (mise sur la route du Royans Express en 2014 et embauche d'un animateur-chauffeur en 2015).
- Ressources financières mobilisées pour cette action
19 000 € annuels
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
20 bénévoles
3 professionnels dont un affecté spécifiquement à cette action
- Résultat sur le territoire
1 500 trajets effectués entre els boucles et le TAD. Une montée en puissance.
La certu=itude d'avoir mis en place un service co construit qui répond à une demande exprimée
- Résultat pour le centre social
Sortir des murs
Valoriser le bénévolat
Générer de nouveaux partenariats
- Résultat pour les habitants
Autonomise les moins mobiles
Crée du lien
Permet la sortie d'isolement
- Suite de l'action : Limites
Un véhicule parfois trop gros et qui freine le velléités à le conduire de quelques bénévoles.
Du coup surgit l'idée d'acquérir un petit véhicule électrique pour le TAD notamment
- Suite de l'action : Perspectives
Poursuivre les boucles et le TAD et tenter d'associer des services annexes qui ne déplaceraient non plus les habitats mais amèneraient les commerces et services vers les habitants (écrivain public, courses, médicaments, bibliothèque...)
Actions
Mise en oeuvre d'un jardin partagé
- Structure organisatrice
- CENTRE D'ANIMATION SOCIALE D'AMBAZAC (C.A.S.A.) - Haute-Vienne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- développement durable
- Mixité sociale
- Résumé
Dés la démarche d'agrément initiée en 2015, la création d'un "espace jardin collectif ou participatif" a émergée. la parole des habitants, recueillie à l'époque, a en effet souligné la nécessité pour certains d'entre eux de se retrouver autour d'un espace collaboratif ou échanges et partages seraient de mise. Une communication Accompagnement par le centre social d'un collectif d'habitants désireux de mettre en oeuvre un jardin partagé.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
M@m@ns digitales
- Structure organisatrice
- Maison de Quartier Centre-Ville de Valenciennes - Nord
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Une action terminée : annuelle et... reconductible
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Culture
- Intégration
- Résumé
M@m@ns digitales : un parcours collectif pour une montée en compétence numérique, soutenue par la Fondation Orange, avec certification du parcours de 10 mois à raison de 2h / semaine. L'employabilité, l'entraide et l'estime de soi sont les objectifs de cette action. S'y rajoute une dimension de parentalité numérique, pour apprendre à rester en veille sur les parcours des enfants.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Autre
- Précision ( si autre )
Fondation Orange
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
M@m@ns digitales : un parcours collectif pour une montée en compétence numérique, soutenue par la Fondation Orange, avec certification du parcours de 10 mois à raison de 2h / semaine. L'employabilité, l'entraide et l'estime de soi sont les objectifs de cette action. S'y rajoute une dimension de parentalité numérique, pour apprendre à rester en veille sur les parcours des enfants.
Bel exemple d'un atelier créant petit à petit l'interconnaissance, la création de liens, l'entraide, en même temps que l'obtention de compétences entrant dans l'univers numérique.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Action annuelle octobre 2020 / juin 2021, elle prend la forme d'un atelier hebdomadaire pour appréhender les outils numériques (tablettes / pc) et savoir, outre leur utilisation, acquérir les savoirs de base pour améliorer l'employabilité et la parentalité, obtenir une certification attestant de la montée en compétences sur les 3 phases de progression. Entre les ateliers, l'intervention d'un arthérapeute permet de retravailler la confiance et l'estime de soi.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
6 000 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
la médiatrice numérique
la référente familles
les bénévoles de la Fondation Orange Solidarité
- Résultat sur le territoire
L'atelier est limité à 8 personnes pour l'accès aux postes, mais cette action sera reconduite, ce sont donc 8 mamans chaque année qui ont, la plupart pour la 1ère fois, découvert et appris à utiliser les outils numériques, au profit de leur recherche d'emploi, de leur parentalité, de leurs liens familiaux.
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Ludo'Parc
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL CONDORCET - Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- Intégration
- Résumé
Description de la ludothèque : Ludo’Parc
Le Ludo’Parc se trouve dans le quartier du parc des sports. Nous proposons un accueil tous les samedis après midi pournos adhérents : Multi Accueil, accueil de loisirs, accueil périscolaire, accueil jeunes, accueil adultes et familles. Nous accueillons une grande diversité de public de par son âge et sa culture
Le Ludo’Parc, espace de jeux (jeux d'imitation, jeux de société, jeux en bois, jeux de straégie..), installé dans la grande salle du centre social est ouvert les samedis de 15h à 17h. Les adhérents seront reçus par des salariés et des bénévoles de la structure qui les orienteront vers les différents jeux.
Il y a environ 36 samedis d’ouverture, hors vacances scolaires dont quelques après-midis à thèmes.
Les objectifs
Permettre aux adhérents de passer des moments conviviaux autour du jeu en proposant des jeux adaptés pour chacun (âges, nombres,…)
.Favoriser le lien social intergénérationnel en proposant aux adhérents de venir en famille ou entre amis.Se détendre, se faire plaisir, s’épanouir autour du jeu.
Permettre l’apprentissage par le jeu en proposant une grande variété dont des jeux de prévention.
Permettre aux adhérents de se rencontrer en ouvrant la ludothèque aux personnes du quartier et de l’extérieur.
Permettre un accès au jeu à moindre cout en proposant un accueil gratuit.
Faire découvrir des jeux en proposant des nouveautés, qu’ils ne connaissent pas forcément.
Impulser une dynamique sur le quartier le week-end.
Proposer des jeux peu chère afin qu’ils puissent l’acquérir pour eux s’ils sont intéressés.
Permettre à terme d’organiser un système de prêt.
Déroulement de temps d’accueil ludothèque
Les animateurs présents les samedis ont 30 minutes pour installer les espaces (de 14h30 à 15h) et un second temps de 30 minutes également (17h-17h30) pour le rangement de la salle. C’est de 15h à 17h qu’un accueil est proposé aux adhérents. Durant ce temps, chacun peut se diriger vers le jeu ou l’espace qu’ils désirent en étant accompagnés des animateurs. Les personnes sont autonomes dans la prise, l’installation et le rangement de leur jeu.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Autre
- Précision ( si autre )
les professionnels du centre social et administrateurs en fonctions de besoins repérés
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Mise en place d’un espace « ludothèque/espace jeu » au sein du centre social (implanté dans un quartier populaire) afin de favoriser les liens parents-enfants à travers le jeu et de favoriser les acquisitions des enfants qui vivent dans des familles en dessous du seuil de pauvreté.
La phase de construction du projet s’est réalisé du 1er/09/2014 jusqu’au 31/12/2014 (mise en place du comité de pilotage, visites de projets similaires, construction du projet, achats, communication...)
Le projet a été lancé auprès de la population le 1er janvier 2015. L’ouverture du Ludo’Parc (nom choisi par les familles et salariés) se fait chaque samedi hors vacances scolaires.
:
La création de l’espace jeu chaque samedi après-midi a été mis en place à partir du 10 janvier. Le bilan est plutôt positif : plus de personnes que nous pensons ont participé et les parents jouent avec leurs enfants, ils leur consacrent ces 2 heures pour leur faire plaisir. Ils utilisent les jeux qui leur sont mis à disposition et n’hésitent pas à solliciter les animateurs présents pour des renseignements. C’est un moment très convivial. Le prêt de jeu n’a pas été mis en place car nous n’avons pas encore eu demande à ce jour. Après bilan, les participants préfèrent avoir un lieu de vie sur le quartier, ils préfèrent sortir de chez eux, rencontrer d’autres familles et être avec les autres ce qui favorise le lien social. Les familles préfèrent que les animateurs soient présents afin de répondre à leurs différentes questions (règles du jeu, installation…). Nous proposons des jeux « courts » de 15 à 20 min pour que ceux-ci soient accessibles à tous, même aux parents qui se sentent en difficultés
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
groupe de pilotage administrateurs et personnel du centre social
- Ressources financières mobilisées pour cette action
18 000 euros sur 2 ans
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
8 personnes
- Résultat sur le territoire
- rupture de l'isolement
-solidarité
- intergénérationnel
- mixité culturelle pour un quartier qui comporte 24 nationalités différentes : apprendre à se connaître
- Résultat pour le centre social
lieu de vie pour les familles le samedi
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
financement de la Fondation de France.
Difficulté pour la pérennité de cette action compte tenu des baisses de financements des collectivités. Action expérimentale qui rencontre un succès important au sein du quartier.
Actions
Ludo Parc
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL CONDORCET - Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- Intégration
- Résumé
Mise en place d’un espace « ludothèque/espace jeu » au sein du centre social (implanté dans un quartier populaire) afin de favoriser les liens parents-enfants à travers le jeu et de favoriser les acquisitions des enfants qui vivent dans des familles en dessous du seuil de pauvreté.
La phase de construction du projet s’est réalisé du 1er/09/2014 jusqu’au 31/12/2014 (mise en place du comité de pilotage, visites de projets similaires, construction du projet, achats, communication...)
Le projet a été lancé auprès de la population le 1er janvier 2015. L’ouverture du Ludo’Parc (nom choisi par les familles et salariés) se fait chaque samedi hors vacances scolaires.
Les objectifs
-
Permettre aux adhérents de passer des moments conviviaux autour du jeu en proposant des jeux adaptés pour chacun (âges, nombres,…).
-
Favoriser le lien social intergénérationnel en proposant aux adhérents de venir en famille ou entre amis.
-
Se détendre, se faire plaisir, s’épanouir autour du jeu.
-
Permettre l’apprentissage par le jeu en proposant une grande variété dont des jeux de prévention.
-
Permettre aux adhérents de se rencontrer en ouvrant la ludothèque aux personnes du quartier et de l’extérieur.
-
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La création de l’espace jeu chaque samedi après-midi a été mis en place à partir du 10 janvier. Le bilan est plutôt positif : plus de personnes que nous pensons ont participé et les parents jouent avec leurs enfants, ils leur consacrent ces 2 heures pour leur faire plaisir. Ils utilisent les jeux qui leur sont mis à disposition et n’hésitent pas à solliciter les animateurs présents pour des renseignements. C’est un moment très convivial. Le prêt de jeu n’a pas été mis en place car nous n’avons pas encore eu demande à ce jour. Après bilan, les participants préfèrent avoir un lieu de vie sur le quartier, ils préfèrent sortir de chez eux, rencontrer d’autres familles et être avec les autres ce qui favorise le lien social. Les familles préfèrent que les animateurs soient présents afin de répondre à leurs différentes questions (règles du jeu, installation…). Nous proposons des jeux « courts » de 15 à 20 min pour que ceux-ci soient accessibles à tous,
Après avoir questionné les familles, elles préfèrent se rendre au Centre Social pour se rencontrer et se retrouver. Toutes les familles présentes lors du temps d’accueil Ludo’parc sont respectueuses des autres ; Il y a tout le temps des échanges entre eux. Nous proposons quelques fois des jeux où plusieurs personnes peuvent participer et il est arrivé que plusieurs familles ou personnes seules se retrouvent à jouer ensemble, cela crée des échanges intergénérationnels donc interculturel très positif. En effet, nous avons reçu des personnes de différentes nationalité ce qui a été positif car elles ont été amené à vivre quelque chose ensemble. Les personnes seules viennent car elles savent qu’elles trouveront d’autres personnes pour échanger. Aujourd’hui, certaines familles se donnent même rendez-vous dans le quartier pour se rendre au Ludo’parc. Il est à noter que 24 nationalités différentes vivent dans le quartier. n difficultés.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
groupe de pilotage administrateurs et salaréis
formations
et visites de ludothèque existante
- Ressources financières mobilisées pour cette action
18 000 euros pour 2 ans
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
12 personnes
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- rompre l'isolement
-mixité culturelle (24 nationalités différentes dansle quartier)
- lieu de vie dans le quartiuer le week end
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
difficultés pour perenniser l'action compte tenu de la baisse des financements des collectivités. La Fondation de France ayant financé l'amorçage de l'action.
Action qui est pourtant une réussite
Actions
les uns et les autres. Le temps , le voyage et les cousins
- Structure organisatrice
- CS AIRE DE STAT LE REALTOR - Bouches-du-Rhône
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Résumé
Projet culturel et artistique qui se déroule sur deux aires d'accueil des gens du voayge pendant deux ans. Une approche sensible de l'identité nomade, son rapport au temps et les relations de parenté qui la structure.Projet de médiation travaillé en laissant la place à l'expression de chacun et à l'imaginaire créatif des participants
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Autre
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Ce projet é été mis en place pour questionner sur les modes de vie de la communauté des gens du voyage en lien avec le temps et la famille thématiques repérées comme vives au sein de cette communauté.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Autre
- Description générale
Action qui a débuté en 2013.
Les ressources : personnels du centre social, des intervenants exterieurs pour les stages de pratiques artistiques.
Rencontres : avec le principal partenaire Peuple et culture Marseille pour plannifier l'action, rencontres pour evaluer le projet
- Ressources financières mobilisées pour cette action
fondation Carasso 16000 euros année 1 / 14000 euros année 2
centre social : 4500 euros
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
7 professionnels
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
Création de moments de rnecontres sur les aires autour d'un film et de la thématiques déployée, séances ouvertes aux habitants des environs
Meilleurs connaissance des modes de vie des gens du voyage
- Résultat pour les habitants
Les enfants ont réalisé des objets audiovisiuels lors d'ateliers autour de la théamtique de la famille , ce qui a permis d'instaurer une réfléxion sur leur propre mode de vie, création d'une meilleure compréhension mutuelle.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Création d'un blog en 2015 que nous allons continué à alimenter avec les prochains projets menés sur les aires
Actions
Les rues aux enfants
- Structure organisatrice
- CAFEZOIDE - Paris
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- Mixité sociale
- Résumé
La « Rue aux enfants » est une prise en compte de la place de l’enfant et des jeunes et leur légitimité d’être et de jouer dans l’espace public, espace de socialisation et du vivre ensemble. La Rue aux enfants, se base sur la pédagogie sociale qui favorise la rencontre et les projets collectifs dans un environnement propice à remplir l’objectif d’épanouissement et le développement des enfants (jusqu’à 18 ans), à travers la création et l’animation sociales et culturelles, dans un esprit de convivialité, de partage et de tolérance.
Pour faire vivre cette action, le Cafézoïde met en place des jeux et des ateliers d’extérieurs, gratuitement mis à la disposition des enfants, avec un encadrement d’animateurs. Les enfants, les jeunes, les familles deviennent petit à petit les acteurs principaux de la rue.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Autre
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
"Dans le passé, l’enfant appartenait tout naturellement à l’espace urbain, avec ou sans ses parents. Dans un monde de petits métiers, et de petites aventures, il était une figure familière de la rue. Pas de rue sans enfants de tous âges et de toutes conditions. Ensuite, un long mouvement de privatisation l’a retiré peu à peu de l’espace urbain qui cessait dès lors d’être un espace de vie épaisse, où le privé et le public ne se distinguaient pas, pour devenir un lieu de passage, réglé par les espaces de vie épaisse, où le privé et le public ne se distinguaient pas, pour devenir un lieu de passage, réglé par les logiques transparentes de la circulation et de la sécurité" Philippe Aries
La rue aux enfants, c'est un cri du coeur que l'équipage (bénévoles et professionnels) a poussé en réaction à la demande de vider la rue, des enfants et des ados qui y jouaient non accompagnés.
A quels besoins répond-il ?
1- Le besoin fondamental pour de nombreux enfants d’être écoutés et de pouvoir exprimer leur point de vue et leur regard sur le monde, et d’être ainsi reconnus.
2 - Répondre au manque de proposition à destination des enfants dans l’espace public, occupé dans la majorité par la voirie automobile.
3 - Le besoin de mixité sociale et de compréhension mutuelle, dans un arrondissement «politique de la Ville», et plus précisement dans un quartier dit «sensible» ou en «difficulté».
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
L’équipe travaille dans un esprit participatif : le projet associe les enfants, les adolescents et les parents dans la co construction de chaque évènement. Par l’implication des enfants et la liberté de choix, chacun ayant une place dans le projet, il s’agit de les aider à développer une sensibilité personnelle et à acquérir des modes d’expression, qui leur permettront de mieux comprendre, imaginer, créer, proposer et agir dans le monde de demain. En rompant l’isolement, en participant à un projet collectif et en réalisant une œuvre commune, qui se nourrit de la singularité créative de chacun, cette action permet aux enfants de trouver leur place et de mûrir, grâce aux interactions et aux interrelations nécessaires pour assurer la réussite du projet.
Activités
Avec les Rues aux Enfants, des jeux et des ateliers, en libre disposition et gratuits, sont proposés aux jeunes et à leurs familles, de 11h à 18h, tous les dimanches après midi, devant le Cafézoïde, tout au long de l'année, en profitant de la fermeture aux voitures du Quai de Loire. Une "grande" Rue aux Enfants a lieu une fois par an, le dernier dimanche de mai, et s'étend alors sur les espaces le long du Bassin de La Villette (côté Quai de Loire).
De multiples activités sont prévues : un espace cirque et sports de rue, un espace artisanal, des jeux en bois géants, jeux de plateau, jeux coopératifs, un « camion des petits débrouillards », un studio mobile radio (la « Radiozoïde »), des ateliers films et cinéma, des ateliers divers, un espace restaurant des enfants, un ring, etc. Des spectacles (marionnettes, par exemple) sont également proposés.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le budget annuel de l’opération est évalué à 39 000 €. Il comprend les dépenses pour les petites rues aux enfants, mises en place tous les dimanches, ainsi que le budget de la Grande Rue aux enfants (festival d'une journée tous les derniers dimanches du mois de mai).
Les rémunérations des animateurs du Cafézoïde et des intervenants extérieurs (musiciens, par exemple) représentent, logiquement, une forte proportion des dépenses (48%). Un tiers du budget est consacré aux achats (matériel, jeux, etc.), à l’entretien et aux réparations. Le reste concerne principalement des dépenses liées à la communication.
La CAF, la Mairie de Paris et celle du 19e, sont les soutiens traditionnels des Rues aux Enfants, procurant 40% des recettes. L’Etat (DDCS) est également sollicité. Des recettes liées à l’activité, ainsi que des fonds propres, complètent le plan de financement, à hauteur de 18 %.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Une soixantaine de bénévoles et une dizaine de personnes rémunérées sont mobilisées. Les adhérents (plus de 500 en 2018) sont invités à participer aux activités.
Des assemblées d’enfants, auxquelles se joignent des parents, sont encadrés par l’équipe du Cafézoïde avec pour objectif de favoriser l’expression libre des jeunes, dans une ambiance de liberté et de partage. Il est demandé aux présents de participer aux projets en étant eux même organisateurs et forces de propositions. Les activités sont peu à peu prises en charge par les plus grands, leur conférant ainsi une responsabilité valorisante.
Enfin, le Cafézoïde se situe au cœur du réseau associatif et institutionnel de l’arrondissement et monte les projets locaux, notamment, « les Rues aux Enfants », avec une trentaine d’associations, écoles et institutions. Il s’appuie donc sur un large partenariat : habitants, écoles, artistes, associations, entreprises, commerces, institutions, etc.
- Résultat sur le territoire
En mettant à disposition des jeux et en animant ces lieux dans l’espace public, avec des animateurs qui jouent et font jouer, la « Rue aux enfants » du Cafézoïde participe au “mieux vivre ensemble” dans le quartier.
- Résultat pour le centre social
Rencontre avec le quartier, un lien direct avec les habitants qui permet le développement d'une action cohérente de l'association.
Une dynamique relancée à chaque Rue aux Enfant par un projet collectif : une énergie nouvelle et rafaichissante.
Un renforcement des liens partenarials autour d'actions concrètes, régulières ou ponctuelles.
- Résultat pour les habitants
La rencontre et la découverte d'un autre monde, en bas de chez soi ! Par l'implication des ressources de chacun avec la mise en avant des compétences, arts et envies des enfants.
Un lieu de vie mouvant, ouvert et intégrant pour les personnes isolées, pour les familles qui ne partent pas en vacances...
Une reprise en main de l'espace commun par les habitants : le développement des projets individuels et collectifs par et pour tous.
- Suite de l'action : Limites
Il y a une vrai problématique sur la circulation voiture/vélo/pietons : un danger à réguler sur chaque Rue aux Enfants.
Afin de proposer du materiel de qualité, varié et adapté, le Cafézoïde est obligé de stocker dans son local de nombreuses choses... l'association est limitée en terme d'espace de stockage, et cela empêche le développement de certains projets (ring de boxe, materiel de sport, kart et voitures à pédales, déco de rue...).
- Suite de l'action : Perspectives
Développement des Rues aux Enfants et des espaces de jeux à l’exterieur pour lutter contre les inégalités éducatives : la Rue aux Enfant devient un espace d'accès aux droits (protection, expression....). Avec différents acteurs comme un avocat spécialisé en droits des enfants, un facteur des enfants et un médiateur/psychologue des familles.
Actions
Les petits poucets
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL DU GRAND CANET FINAS DUCLOS - Bouches-du-Rhône
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
L’idée de ce projet résulte de la volonté de deux directeurs de centres sociaux,situés sur les territoires nord et sud de la ville de Marseille, de travailler autour de l’appel à projet « Grandir en cultures » proposé par la Fondation de France, pour la rentrée scolaire 2019.
Il s'agit de travailler avec des enfants des accueils de loisirs des centres sociaux autour de cette dimension Nord/Sud de la Ville, de ses différences, de ses similitudes, de ses représentations, à partir d'ateliers philo dispensés par l'assocation SEVE ( Savoir Etre et Vivre Ensemble). 4 artistes, de champs différents ( sérigraphie, arts graphiques, photos, vidéos), illustreront les différentes dimensions évoqués par les enfants lors des ateliers philo. A chaque période de vacances, seront proposés des temps pour réunir les enfants et leurs parents, sur des temps conviviaux, qui viendront ponctuer le projet de temps forts et qui permettront aux différents publics des des deux territoires de se rencontrer, d'échanger et de cheminer artistiquement ensemble .L'issue est une exposition itinérante dans des lieux culturels marseillais, du Nord et du Sud.
Les échanges permettront d’enrichir la construction de l’histoire des deux territoires de la Ville de Marseille.
Au niveau du rendu final, plusieurs propositions ont été énoncées, en plus du livre, comme :
- Une exposition, film, qui mettrait en avant le processus du projet, les différentes étapes
- La création d’un blog qui serait alimenté par les participants
- Une rencontre avec les participants (Nord/Sud)
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place suite à un constat repéré par les salariés du centre social du Grand Canet . Les habitants de ce large territoire ne s'autorisent pas à aller dans les quartiers sud, "ce n'est pas pour nous", disaient-ils. Ce projet permet , à travers les ateliers philo et artistiques , d'aborder des sujets sensibles tels que les représentations Nortd/Sud, l'estime de soi et autres, pour permettre, notamment, de :
• créer pour les enfants un espace de liberté et d’expression,
• développer le sens critique et le penser par soi-même, de faire grandir en discernement, d'apprendre aux enfants à raisonner,
• Favoriser le vivre ensemble par l’expression et l’écoute.
Il s'agit là d'engager une action pour aller en dehors de son quartier et rencontrer de nouvelles personnes, créer de nouveaux liens, faire de nouvelles rencontres.
- Public
- Enfance
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Elle est en cours. Elle se mettra en place dès octobre 2019
Pour chaque accueil de loisirs, par période de vacances, sera proposé, pour un groupe de 12 à 15 enfants :
- 4 séances avec un intervenant artistique précédé d’une intervention d’un animateur de SEVE. L’idée étant que l’artiste puisse s’inspirer des paroles des enfants pour articuler sa séance d’après.
- Sur chaque période de vacances scolaires, un temps fort sera organisé qui permettra, sur une journée, à la fois de permettre la rencontre avec les différents publics ( Nord, Sud), mais aussi de tisser du lien autour de la notion de parcours prégnante dans le projet. Ce sera l’occasion d’associer les familles sur cette journée et de mener collectivement, un temps avec SEVE suivi là encore de deux ateliers portés par les artistes positionnés sur la période.
Il est convenu que le troisième artiste serait, lors de cette journée le garant de la captation de ce temps fort (croquis, photos, vidéos), autant de matériau nécessaire à la valorisation du projet en fin d’année scolaire 2020.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Charges
Année1
Année 2
Produits
Année 1
Année 2
Total ressources
Achats :
- Matériel pédagogique
- Convivialité
Services extérieurs
- Assurance
Autres services extérieurs
- Intervenants
- Déplacements
Ressources humaines chargées
- Salaires directeurs
- Salaires animateurs
Autres coûts :
- Production /exposition
250 €
200 €
8900 €
400 €
1 440 €
1 066 €
500€
250 €
300 €
11 100 €
800 €
1 440 €
1 334 €
2 500€
74 : Subvention CAF 13 : (acquise) : salaires directeurs
Ville de Marseille :
(acquise)
Contrat Enfance Jeunesse
Politique de la Ville (demandé)
75 : Autofinancement
74 : Subvention demandée à la Fondation de France
1 440 €
1 066 €
1 500 €
1 000 €
7 250 €
1 440 €
1 334€
1 500 €
1 000 €
12 950 €
2 880€
2 400 €
3 000 €
2 000 €
20 200 €
TOTAL
12256 €
18 224 €
TOTAL
12 256 €
18 224 €
30 480 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
10 personnes différentes sont mobilisées pour cette actions
- Résultat sur le territoire
Valorisation des participants à travers l'exposition de fin d'action, les personnes s'autorisent à sortir de leur territoire, elles ont créer de nouveaux liens sur l'autre quartier
- Résultat pour le centre social
Meilleure lisibilité de l'action du centre social, dans une dimension culturelle et citoyenne, au niveau des acteurs du territoire
- Résultat pour les habitants
Développement de son esprit critique, rencontre de nouveaux territoires et de nouvelles personnes, envie de sortir de son quartier et oser le faire
- Suite de l'action : Limites
Elles sont financières. Ce projet peut se mettre en place grâce au financement de la fondation de France; sans cela, il n'aurait pu voir le jour.
- Suite de l'action : Perspectives
Partenariat en perspectives avec le Mucem pour leur programmation en 2020.
Actions
Les Paumes Vertes, un réseau d'habitants éco-responsables
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIO-CULTUREL LA MAISON NOUVELLE - Nord
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- développement durable
- Mixité sociale
- Résumé
Les Paumes Vertes est un réseau solidaire éco-citoyen au sein duquel chacunE peut réaliser sa part en terme de démarche éco-responsable en fonctions de ses envies, ses aspirations et de ses disponibilités: organiser la distribution de paniers de légumes (point relai), participer aux activités liées au jardin comestible (pépinière de semis, transmission auprès des plus jeunes, plantations, entretien), préparer et animer des apéros potager, participer aux samedis Repair Café, permettre le développement des actions zéro déchet (sensibilisation, animation et entretien du compost collectif, co-animer les ateliers cuisine Biocabas et Jardin de Cocagne), organiser la fête des initiatives vertes (rencontre printannières des initiatives vertes locales animée par La Maison Nouvelle et ses partenaires DD associés), et toute autre initiative participant au développant de l'eco-attitude.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Fin 2019, un groupe de travail composé d'habitants, de bénévoles et de professionnels s'est interrogé sur l'engagement citoyen et son expression. En 2020, durant le confinement, un questionnaire est soumis en ligne auprès d'un large public (de 18 à 80 ans). Plus de 200 réponses et une orientation qui s'en dégage: l'écocitoyenneté et la solidarité sont des leviers porteurs de l'envie d'agir ensemble. Pour autant, ces envies d'engagement sont corrélées à de nouvelles formes de disponibilités qui s'inscrivent dans une temporalité différente chez les 18-45 ans. Il nous faut tenir compte des nouveaux modes de vie et aspirations mais aussi du temps disponible de chacunE qui se situe dans la flexibilité et non dans la régularité. Un capital temps qui demande à se mettre au service d'une action collective, citoyenne et solidaire mais à condition de pouvoir l'offrir librement.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Action qui a pris naissance en 2018 quand des habitants au sein de La Maison Nouvelle ont fait sortir de terre un jardin potager pédagogique pour tous, qui s'est développé avec l'émanation du collectif les Initiatives vertes (groupe de formation-action à l'origine) composé d'habitants, d'associations locales oeuvrant sur le champ du DD (Les Anges Gardins, les Bio en Haut de France), d'établissements scolaires (école et collège de proximité), du service jeunesse de la ville et qui a pris son envol en 2020.
Plus de 80 personnes sont aujourd'hui mobilisées sur ces actions de solidarité éco-citoyennes qui représentent près de 90 temps d'accueil sur l'année.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Habitants: 47
Partenaires associés: 9 structures soit 15 membres
Bénévoles de l'association: 12
Salariés: 6
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Les Jardins Cuisiniers
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIO CULTUREL LA SOURCE - Gironde
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Environnement
- Précarité
- Résumé
Accompagnement d'une bénévole pour la création de l'association "Les Jardins Cuisiniers" + accompagnement au montage de projet, recherche de financements, pilotage du projet, réseautage et partenariat : mécénat méthodologique + mise à disposition de locaux (cuisine, salles, ... )
Objectifs de l'association : Amener un public "fragilisé" à "Planter ce que l'on mange et manger ce que l'on plante". Accompagner des publics en difficulté à être acteur de leur ressources alimentaires en cultivant collectivement des parcelles de jardins collectifs et en reprenant goût à cuisiner les légumes récoltés.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un habitant
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Initiative d'une habitante ;
Travail en lien avec le centre social, l'AMAP, une entreprise d'insertion, la commune.
L'objectif étant de valoriser les personnes et de leur permettre de devenir autonomes.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Action en cours de construction et de développement. Toujours en phase de structuration du projet, formation des bénévole et de recherche de financements.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
à définire
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
10
- Résultat sur le territoire
Mise en oeuvre d'un vrai réseau de partenaire sur les questions de "précarités alimentaires".
- Résultat pour le centre social
Participation au travail de réseau ; cette action vient donner une autre dimension aux jardins familiaux et aux ateliers cuisine portés par la structure.
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Les Boutiques solidaires
- Structure organisatrice
- ASSOCIATION POINT RENCONTRE - Alpes-de-Haute-Provence
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Précarité
- Résumé
Organisation d'une épicerie sociale et solidaire, 'la CASASOL', et d'une boutique de vêtements d'occasion et neufs, et petits équipements ménagers, 'la CAS'ATOUT',
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L'action a été mise en place pour soutenir le pouvoir d'achats des familles les plus fragiles, en les associant au fonctionnement de leurs boutiques solidaires.
Le résultat attendu est une reprise de confiance en elle des familles, un meilleur équilibre budgétaire et une participation aux ateliers.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
cette action est menée avec une forte dynamyque de bénévoles.
un comité de suivi composé des CCAS, CMS, CROIX ROUGE, CAF se réunit 3 fois par an.
-l'ensemble des supermarchés et magasins du territoire sont parti prenantes.
-des ramasses ont lieu chaque jours avec un camion frigorifique.
279 familles bénéficient de l'épicerie.
Les familles se servent chaque semaine.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
68 bénévoles solidaires et bénéficiaires pour 9 ETP
- Résultat sur le territoire
-Sur le territoire:
Renforcement des liens sociaux
-Sur la structure:
développement de la structure, actions partenariales sur les développements de l'entraide des habitants du voisinage. (garde enfants, covoiturage, 'les bons plans'
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
-la fluctuation des co-financements
-le Turn Over des salariés (contrats aidés)
- Suite de l'action : Perspectives
Développement d'auto financement par la création d'activité économique , sociale et solidaire.
Actions
Le jardin se crée
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIO CULTUREL JEAN PAUL COSTE - Bouches-du-Rhône
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Environnement
- développement durable
- Europe et International
- Résumé
Le centre socio-culturel Jean-Paul Coste a soutenu et encouragé le développement d'un jardin collectif "Le jardin se crée", sur le terrain surélevé jouxtant le bâtiment du centre. En quelques années de négociation, avec les riverains et la Mairie d'Aix, le projet a pris la forme véritable d'un jardin collectif avec un abri de jardin pour les outils. Après deux récoltes prometteuses (2016 et 2017), l'aventure continue. L'espace est ouvert et profite aux enfants du centre aéré, qui peuvent s'attabler et profiter de l'espace, et de la production les mercredi et vacances scolaires.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Derrère le centre socio-culturel il y avait une parcelle de terrain jouxtant le centre mais non utilisé car très peu accessible. Tous les projets déposés (théâtre de verdure, jardin potager pour le centre aéré, parc public....) n'avaient jamais été soutenus par la Ville (propriétaire du terrain.
Un jour de 2015 un collectif d'habitant nous a contacté car ils avaient un projet de jardin partagé mais n'avait pas de lieu... Ils avaient le projet, nous avions le lieu... nous avons décidé de mener de façon collective ce projet. Ainsi est né : le jardin se crée.
Au départ une dizaine de personnes (2016)... A ce jour, 23 jardiniers s'organisent et animent le jardin partagé.
- Public
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Toute la partie administrative (comptabilité, analytique....) est gérée par le centre socio-culturel.
Toute la partie animation du jardin est réalisée par les jardiniers.
Article 1er – Usagers
« Le Jardin Se Créé » accueille 5 catégories d’usagers :
- « Le gestionnaire » qui coordonne le projet, gère le budget et les prises de décisions. Le gestionnaire est le Centre socio-culturel Jean-Paul Coste représenté par la Présidente : janine Bergé
- « Les membres du comité de gestion » qui prennent part à la gestion du jardin dans les prises de décision, la coordination et la logistique. Le comité de gestion est composé du gestionnaire, du service Environnement de la Ville d’Aix-en-Provence, le CPIE et les 9 habitants fondateurs du projet
- « Les jardiniers » qui prennent part au jardinage de façon régulière, sont adhérent et ont signé le règlement intérieur ainsi que la Convention usager / gestionnaire
- « Les partenaires » qui peuvent intervenir de façon ponctuelle dans le conseil, l’accompagnement et l’animation d’ateliers tels que les membres du réseau Aix-en-Transition et le CPIE mais aussi ceux qui participent aux animations proposées tels que les écoles et centres aérés
- « Les visiteurs » qui viennent rendre visite aux jardiniers ou participent à des animations de façon ponctuelle
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le jardin fonctionne depuis 2015 grâce à unbudget initial de 15.000 € attribué par la fondation EDF.
Tout est investi sur du matériel (récupérateur d'eau, chalet, tables, composteurs....).
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Un collectif de 10 habitants membres fondateurs.
23 jardinier en 2016.
25 jardiniers en 2017.
- Résultat sur le territoire
Effets positifs : aménagement d'une parcelle de terrain avec un jardin en permaculture. Activité tout au long de l'année gérée directement par les jardiniers qui s'investissent fortement.
Effets négatifs : fin 2017, le jardin a été victime de vandalismes (le 31/12 par un groupe de 5 jeunes agés de 12 à 15 ans). les cultures ont été abimées. le chalet et les tables elles aussi ont été dégradées générant une incompréhension totale des jardiniers et une démotivation à la hautur de leur déception.
- Résultat pour le centre social
Impact positif : un projet de développement durable totalement géré par les habitants. Espace de vie et de rencontres sur des horaires décalés (samedi, dimanche, soirées l'été...)
Impacts négatifs en 2017 :
Suite au dégradations subies fin 2017 il y a eu la démobilisation des jardiniers a nécessité un soutien de la part du centre pour assurer la continuité.
Le centre a du engager des fonds propres pour réparer les installations en urgence.
- Résultat pour les habitants
Le projet est géré en toute discrétion. Le but n'étant pas forcément d'augmenter le nombre de jardiniers.
Le projet n'a donc aucune action de communication en direction des habitants qui ne le connaissent pas forcément.
- Suite de l'action : Limites
Limites :
Les limites sont celles de la motivation des jardiniers qui sont confrontés aux dégradations.
Début 2018 : la question est posée de l'arrêt de l'activité. les jardiniers ne souhaitent pas continuer pour voir leur récoltes et leurs plantations dégradées.
- Suite de l'action : Perspectives
Perspectives :
En cours de réflexion pour construire un local "en dur" pour essayer de palier aux dégradations sur le chalet en bois très fragile.
Actions
La MIAM Maison Interculturelle de l'Alimentation et des Mangeurs
- Structure organisatrice
- CS BORDEAUX NORD - Gironde
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Démocratie & citoyenneté
- développement durable
- Résumé
Le Centre Social Bordeaux-Nord vient de créer la première MIAM de la région Nouvelle-Aquitaine (Maison Interculturelle de l’Alimentation et des Mangeurs) qui vise la reconquête du bien-vivre par le bien-manger. Ce lieu ressource est d’abord un lieu d’échange, de mutualisation et de pratique en matière d’alimentation durable. Son objectif est de permettre à tous d’accéder à une nourriture saine, de qualité, en faisant évoluer les comportements alimentaires, et en favorisant le lien producteurs/consommateurs. La transformation sociale qui en découle a pour but de co-construire des réponses, en tissant de nouveaux rapports et en fabriquant des modes d’intervention hybrides, où le monde urbain et le monde rural se rencontrent et travaillent ensemble autour de valeurs communes.
La M.I.A.M est une contribution citoyenne qui s’inscrit dans le champ de l’Éducation Populaire. Son projet est pensé par et avec les habitants du quartier, sur un mode de gouvernance participatif où chacun peut prendre part et apporter sa contribution en partant de ses expériences et de son vécu. Les « citoyens-mangeurs » disposent à travers la MIAM d’espaces d’expérimentations (jardin, cuisine, alternatives énergétiques…), de participation et de solidarité (groupement d’achats, temps d’échange et de réflexion…). Et aussi, de travail partagé sous forme d’un laboratoire mutualisé permettant de transformer des produits de qualité, frais, en quantité, et de proposer un outil aux acteurs du territoire (co-working alimentaire). La MIAM souhaite contribuer au développement social territorial, pour cela un volet est consacré à la capitalisation et à l’essaimage de son concept, de ses valeurs et de son mode de gouvernance, au niveau local et régional.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Précision ( si autre )
Le Centre Social Bordeaux-Nord (CSBN) rassemble depuis des années des connaissances, compétences, savoirs et expériences en matière d’alimentation. Se nourrir répond à un besoin fondamental et à un acte social, lui-même inscrit dans une dimension (inter) culturelle et économique. Chargée de valeurs, de symboles, de partage et de plaisir, l’alimentation peut être envisagée comme un moyen d’échange privilégié par lequel le centre souhaite faire société.
Les constats et besoins identifiés en matière d’alimentation sur notre territoire d’action mettent en avant :
- La problématique d’accès à une nourriture saine, de qualité et en quantité suffisante, en corrélation avec une problématique économique, entrainant, pour les plus démunis, de l’insécurité alimentaire.
- Le souhait des habitants du quartier de s’investir et d’agir ensemble pour trouver des solutions à leurs questionnements (notamment le gaspillage alimentaire).
- La nécessité de créer du lien social et de favoriser la mixité des publics.
- L’intérêt de rapprocher le monde rural du monde urbain autour de l’alimentation durable : qualité, proximité, équité.
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Aujourd’hui, le contexte social, économique et politique dégradé fait état d’un accroissement des inégalités, d’une perte de liens sociaux et de mal-être. Cette période de crise, de diminution des financements publics, d’un état providence exsangue devant répondre à des besoins croissants (la gestion des conséquences du chômage, du vieillissement de la population etc..), d’un environnement malmené et d’une démocratie représentative essoufflée, ouvre peut-être un nouvel espace, celui du débat, de la réflexion ainsi que de la recherche de nouvelles formes de réponses aux besoins sociaux, économiques et environnementaux. Cet enjeu doit s’incarner dans la recherche de nouvelles postures d’action et de relation à l’autre ainsi que dans la recherche de pratiques innovantes.
Les dimensions caractéristiques de la MIAM se traduisent par :
- Une dimension individuelle : la MIAM propose aux habitants des activités et services adaptés aux besoins exprimés, dans lesquels chacun va construire son propre cheminement à partir d’où il se situe, et qui sont repérés en coopération avec les collectivités locales.
- Une dimension collective par l’accompagnement des projets communs des habitants.
- Une dimension d’intérêt général : renforcer le pouvoir d’agir des habitants sur des questions de société, en favorisant des réponses innovantes.
La gouvernance est participative, les publics et les bénévoles sont impliqués en amont des initiatives proposées. En facilitant les interactions, la MIAM met en valeur l’énergie de transformation et accompagne les représentations des acteurs vers un agir collectif qui reconnaît l’énergie de chacun. Elle propose un modèle d’intervention qui permet à la société civile de prendre en charge ses besoins et d’en être les acteurs.
La MIAM participe à limiter les dommages : sociaux, sanitaires environnementaux, économiques et culturels, et à multiplier les bénéfices collatéraux de l'alimentation durable : partage et transmission de savoirs et patrimoines, préservation de la diversité culturelle et biologique, promotion des métiers et filières. L'approche systémique et de Recherche-Action, ainsi que l'accompagnement à la participation des habitants et à l’expérimentation, nous permettent de fabriquer de nouveaux modes d'intervention.
L’engagement collectif, la transformation des rapports sociaux et la solidarité passent par la conscientisation et l’émancipation des individus : être en capacité de lire la société dans laquelle on évolue, comprendre la place qu’on occupe, sortir de celle dans laquelle les rapports sociaux nous ont enfermés (culture, genre, origine…) par la confiance en soi, la prise de parole, l’engagement. L’innovation peut être envisagée comme une organisation solidaire visant à accompagner les individus à se réapproprier le pouvoir sur leur propre vie, le pouvoir d’agir et de faire société.
Objectifs Généraux :
- Favoriser l’accès à une alimentation saine, de qualité et accessible à tous.
- Accompagner l’évolution des comportements alimentaires.
- Favoriser le pouvoir d’agir des habitants.
Objectifs Spécifiques :
- Traiter des questions et des pratiques alimentaires dans une approche globale : sociale, culturelle, environnementale et économique.
Développer un modèle transférable
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
1, Le Laboratoire
•Ateliers d’expérimentation et de sensibilisation aux pratiques alimentaires pour les enfants, les jeunes, les adultes, les familles :
•Ateliers pour expérimenter différents modes de conservation (conserves, confitures, surgélation, sous vide, déshydratation) et de cuisson
Valoriser et transformer les produits frais de saison, et apporter un éclairage interculturel.
•Des espaces d’apprentissage de recettes familiales économiques notamment à partir des produits issus des achats groupés.
•La fabrication des cuiseurs thermos et la formation à son utilisation (conception de recettes, documentation, maintenance…).
2, un lieu qui favorise la participation des habitants, la rencontre et de débat
Le groupement d’achats : des habitants qui mettent en place des achats groupés de produits frais et de proximité pour l’ensemble des adhérents sans distinction : 2 possibilités
•En s’engageant pour soutenir un producteur (à 12km) sur la commande d’un panier de légumes distribué tous les quinze jours,
•En profitant des achats groupés proposés tout au long de l’année auprès de différents producteurs et fournisseurs. Un panel varié de produits peut être ainsi accessible à tous, tout en laissant la liberté à chacun d’opérer ses choix en fonction de ses envies, besoins, et de ses capacités économiques.
Des moments festifs et conviviaux : partager des repas réalisés à partir des recettes d’un adhérent pour valoriser les savoir-faire et mettre en avant la dimension gastronome épicurienne et (inter)culturelle de ces espaces.
•Des sorties / rencontres producteurs/ visites de marché pour savoir où et comment sont produits les aliments.
•Un lieu d’information et de débat par une programmation : Les Cafés Toqués, ciné toqués comme espace d’échange et qui s’appuie sur un intervenant extérieur, un reportage, un film…afin de facilité la parole.
3, un espace de production, de mutualisation et de cohérence
Conception d’un laboratoire de transformation alimentaire de fruits et de légumes locaux et de qualité afin de les rendre accessibles à tous :collecter, préparer, conditionner, redistribuer. Mettre en place un espace de coopération entre habitants et producteurs et lutter contre le gaspillage alimentaire.
Former à l’utilisation de procédés de transformation et de conservation au-delà de l’échelle familiale. Permettre de développer des compétences personnelles et professionnelles.
Mettre en place des échanges d’actions, de moyens et de savoir pour participer au projet alimentaire de territoire.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
fonctionnement : 115 000€
investissement 70000€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Un directeur titulaire d’un Master 2 en Ingénierie sociale de l’animation territoriale.
Une coordinatrice titulaire d’un certificat de spécialisation « Innovations sociales. Économie solidaire, économie plurielle et société de services » sous la direction du professeur Jean-Louis LAVILLE.
Une conseillère Économie Sociale et Familiale mise à disposition par la CAF de la Gironde.
Une stagiaire en charge du développement du laboratoire, en dernière année à l’Institut de Formation et d’Appui aux Initiatives de Développement (IFAID Aquitaine).
Un service civique titulaire d’un BTS en ESF.
Des salariés dédiés à l’animation, titulaires du BAFA.
Une équipe de 15 bénévoles.
Yassir YEBBA initiateur du concept de MIAM, fondateur du laboratoire de recherche indépendant Territoires Alimentaires : anthropologue de l'alimentation.
L’équipe de recherche : CRENN Chantal, maitre de conférence en anthropologie sociale, Université Bordeaux Montaigne et LAM-CNRS UMR 5115, et TECHOUEYRES Isabelle, anthropologue indépendante, co-éditrice revue Anthropology of Food.
- Résultat sur le territoire
Notre cadre d’intervention et notre rayonnement se veulent régional. Le territoire d’action du centre social s’étale sur 1,9 km², il se situe sur les quartiers Nord de Bordeaux, au carrefour de Saint-Louis, Bacalan et les Chartrons. Il représente environ 18 000 habitants, soit presque 5 % de la population bordelaise, chiffre qui tend à augmenter dans les années à venir du fait de la densification démographique.
L’essaimage quant à lui se fera à échelle régionale et pourra concerner l’ensemble des structures et des collectivités de la région Nouvelle-Aquitaine. Notre principal partenaire qui est en charge de ce volet, est basé à Niort. Déjà une structure identifiée et engagée dans cette labellisation : le Centre Social de la Couronne.
- Résultat pour le centre social
La MIAM a pour vocation d’être traversée par l’ensemble des publics présents au centre social, qui représente 608 adhérents :
- La petite enfance (3-5 ans), avec 122 enfants et 112 familles.
- L’enfance (6-11 ans), avec 156 enfants et 126 familles.
- 78 jeunes (12-17 ans), et 64 familles.
- 434 familles.
- 252 adultes.
Une attention particulière est portée au public en grande fragilité, économique et sociale. Les différents projets et actions s’articulent, se développent et se complètent en fonction des besoins repérés par les bénévoles, les usagers et les professionnel(le)s.
- Résultat pour les habitants
solutions concrètes aux problèmes d'accès à une nourriture saine et d equalité
la possibilité aux bénéficiaires d'être acteurs: don - contre don
renforcer le pouvoir d'agir des habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
permettre le developpement d'autres MIAM sur différents terriotires (rural urbain)
Actions
La cabane à Pouce ou dispositif d'auto stop organisé
- Structure organisatrice
- CS ASTERIE PLOUGASTEL DAOULAS - Finistère
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- mobilité / transport
- Résumé
Un groupe d'habitant accompagné par le centre social travaille sur la mise en plce d'un dispositif d'auto-stop oranisé sur le territoire pour répondre aux problèmes de mobilité des seniors, des jeunes, des demansuers d'emploi et de tous ceux qui n'ont pas de moyens de locomotion
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La question a été abordée lors d'un café seniors sur le mobilité. Le centre social a voulu vérifier la pertinence de la problématique en organisant une réunion publique. Un groupe d'habitants s'est consitué pour réfléchir et prposer des solutions
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Le centre social s'est appuyé sur la méthode de Yann le Bossé "Le développement du pouvoir d'agir"
L'action est en cours de réalisation
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
15
- Résultat sur le territoire
Cette action a persmis à des habitants de réfléchir ensemble, d'agir ensemble sur des sujets de citoyenneté et de co-construte une action avec les décideurs du territoire.
- Résultat pour le centre social
Elargissement de son périmètre d'intervention
Travail avec les habitants sur un enjeu de citoyenneté
- Résultat pour les habitants
Amélioration de la mobilité
Capacité à agir et participer au développement de la commune
Capacité à travailler ansemble
- Suite de l'action : Limites
Le temps
les budgets
- Suite de l'action : Perspectives
Mise en place du dispositif sur 3 ans
Actions
L'ecole l'affaire de tous
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL PASTEUR - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Mixité sociale
- Résumé
L’action, l’école, affaire de tous comprend deux actions distinctes et complémentaires, construites comme des réponses pragmatiques aux constats repérés sur le territoire partagés par les différents acteurs socio éducatifs et aux demandes entendues des familles.
L’action consiste dans son premier volet à modifier le lien entre les familles et les institutions scolaires en modifiant les représentations ( mutuelles parfois) et en permettant aux familles de mieux comprendre et maitriser les enjeux et les périodes clefs de la scolarité de leurs enfants et d’identifier les ressources et personnes ressources pouvant être mobilisées.
Le second volet de l’action portera sur la question des stages collège et lycée, en réponse aux difficultés auxquelles sont confrontés les jeunes et les familles du territoire autour, là encore de la représentation de ces temps, souvent vecteur de sentiment d’échec, mais également en terme de perspective opérationnelle pouvant être mises en œuvre.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Action 1
Favoriser les liens entre familles et institutions et renforcer la coopération entre les parents et l’école,
Valoriser la place des parents dans le choix de l’orientation de leurs enfants,
Renforcer l’accompagnement des jeunes sur les périodes de transition (relai partenaires, lien avec les établissements scolaires)
Besoin de repères, de clefs de compréhension, de trouver (re trouver) une place pour les familles dans les enjeux liés à la scolarité de leurs enfants et lors des périodes de transition (passage CM2-6ème, passage Collège-Lycée, Collège-apprentissage, orientation, stage)
Besoin de soutien, d’explication,
Besoin de reconnaissance de la place des parents,
Besoin de connaissance des différents parcours scolaires, d’apprentissage,
Besoin d’être rassurer lors de ces périodes source parfois de tension enfants-parents,
Besoin de lever les freins liés à la recherche de stage, de choix d’orientation,
Besoin mutuel familles/institutions scolaires/personnes ressources de se rencontrer, d’échanger
Action 2
- Ouvrir le champ des possibles en termes d’orientation professionnelle par un choix de stage plus diversifié
- Favoriser et faciliter la participation et l’implication des jeunes dans leur recherche de stage
- Limiter les risques de décrochage scolaire par une intervention ciblée en lien avec le collège
- Favoriser la relation jeunes-adultes, et l’amélioration de la perception mutuelle dans un cadre professionnel.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Action 1:
L’action à développer sur l’année scolaire 2017-18 s’appuie sur un diagnostic partagé par les différents acteurs du territoire mais aussi sur leur implication dans la mise en œuvre et la co animation des temps qui seront proposés.
Sur ces actions, l’important sera à la fois la finalité des actions (dans les réponses, informations qui seront données aux familles), que le processus (l’échange, la rencontre, et la reprise de liens avec les différents professionnels).
L’action « L’école expliquée aux parents » s’appuie sur des temps de rencontres collectifs déclinés autours des thématiques et enjeux principaux qui ont été identifiés par les professionnels et par les familles.
Chaque temps/thème sera organisé avec l’appui et la présence non pas d’une personne qualifiée sur la thematique mais de la personne ressource du territoire ( le CPE, l’AS scolaire….). L’objectif étant également la reprise de lien entre les familles et les co educateurs du territoire.
Les thématiques identifiées sont essentiellement en lien avec les périodes de transition comme enjeux à préparer, anticiper et permettre une plus grande sérénité (CM2 -6ème, Collège-Post Collège, orientation). Elles sont destinées aux familles, public repéré comme en besoin d’information, d’accompagnement, de soutien dans ces périodes de transition.
L’obligation scolaire, les relations administratives et notamment les bourses et la question des stages seront également abordées.
Ces différents temps, organisés sous forme de temps d’infos, mais aussi d’espace d’échanges, de questions voir de débat se dérouleront au centre social pasteur, essentiellement les vendredis en fin d’après midi pour permettre la participation du plus grand nombre (temps d’1 heure 30)
La programmation suivante, en concertation avec les intervenants, s’est effectuée au maximum en lien avec les échéances scolaires et/ou administratives dans une recherche d’anticipation.
- Les dispositifs d’accompagnement à la scolarité : Septembre 2017 et septembre 2018.
Nous notons une méconnaissance chez certains parents des dispositifs existants, quand d’autres sollicitent les différents dispositifs ou déplorent de ne pouvoir avoir accès à tous. Par ailleurs les objectifs, modalités de participation et conditions d’assiduité sont parfois à repréciser. Cette action permet en outre une présentation des professionnels référents et de l’articulation des dispositifs entre eux. Une forme de cohérence éducative est par ailleurs affirmée sur ce type de temps conjoints.
Contenu : Présentation des différents dispositifs d’accompagnement à la scolarité, leur spécifiés, modalités de mise en œuvre et l’articulation entre eux. (CLAS, PRE, aide personnalisé, Etude collège……).
Temps Co animés par : Les référentes CLAS enfance et CLAS jeunesse du centre social, l’animatrice PRE ; la directrice de l’école Jules Verne, le CPE du collège Colbert.
- Les stages en entreprises : janvier 2018
En référence aux constats énoncés sur l’action 2 de ce projet, ce temps a pour objectif d’informer les familles sur le sens, les objectifs et la finalité des stages, leur utilité, les soutiens existants au sein de l’institution scolaire et autres (CS Pasteur, ASEA…) dans les démarches d’accompagnement. Ce temps a aussi pour objectif d’écouter les parents sur leurs difficultés liées aux périodes hors champs scolaire (assiduité, relation à l’entreprise, lien a l’orientation etc….)
Temps Co animés par : La référente jeunesse du centre social, CPE ou conseillère d’orientation du collège Colbert, CPE Renaudeau
- L’orientation : février 2018
A travers les expériences, échanges avec les parents, jeunes et membres de la communauté éducative, nous observons qu’une majorité des familles, jeunes du quartier prioritaire subissent leur scolarité, leur orientation. Cette étape est souvent complexe pour les familles qui ne réussissent pas à appréhender les différentes filières, les différentes échéances et obligations, accompagnant « de loin » leur enfant, non pas par démission mais par méconnaissance.
Dans le même temps la communauté éducative du territoire témoigne fréquemment de l’incompréhension des parents face à des refus d’orientation, voir d’orientation par défaut ou mal négociée facteur favorisant de décrochage scolaire.
Ce temps a pour première vocation à rappeler, expliciter les étapes et le calendrier du processus d’orientation, de présenter le rôle ressource de chacun des acteurs, et de permettre un premier échange physique avec les personnes ressources présentes.
Temps Co animés par : La référente jeunesse du centre social, la conseillère d’orientation du collège Colbert et du CIO, CPE Renaudeau, Assistante social du Collège Colbert.
- L’assiduité, le décrochage : mars 2018
La communauté éducative du territoire fait le constat d’un décrochage scolaire croissant sur le territoire. Les facteurs sont multiples mais la difficulté des familles engagées dans ce processus de décrochage ou celles dont les jeunes ne sont plus scolarisés sont souvent majeures et nous observons la difficulté pour la communauté éducative à reprendre en charge les situations de décrochages. Les dispositifs et structures autour de cette prise en charge existent, l’objet de ces temps n’est pas de se substituer ou même d’informer sur leur fonctionnement mais d’informer et prévenir en amont autour notamment d’une information sur l’assiduité scolaire, l’obligation de scolarité, les signes annonciateurs de difficultés, le rôle éducatif des CPE , les relations à construire entre les professionnels de l’éducation et les parents au service des jeunes.
Ce temps visera à créer les conditions d’un échange positifs sur la co éducation et l’identification des personnes ressources.
Temps Co animés par : La référente jeunesse du centre social, CPE Renaudeau, Assistante social du College Colbert, educateur ASEA.
- L’entrée au collège : mai 2018
Cette action sera co organisée avec l’école Jules Verne et l’école Marie Curie en lien avec les temps déjà existants au sein des écoles, en substitution, ou en complément selon la participation au sein des écoles.
Ce temps est souvent qualifié ou vécu de manière tendue par les familles. Le cadre change la relation à l’établissement et à l’institution aussi. Les professionnels témoignent que c’est souvent le temps de l’éloignement des parents, précédant celui d’une difficile reconstruction du lien aux parents les plus en difficultés.
Ce temps, au-delà d’informer les familles sur les modalités d’entrée au collège, a pour objectif de proposer un temps de dialogue , d’échange entre les familles et les personnes ressources du collège du territoire sur ce qui fait questions au sein des familles, notamment pour celles les plus éloignées de ces institutions. L’objectif est également d’amorcer une première relation entre les familles et l’institution dans un cadre favorisant, à taille humaine, dans une logique de co éducation.
Temps Co animés par : La référente jeunesse du centre social, CPE du Collège Colbert, éducateur ASEA, directrice ( eur) écoles.
- L’entrée au lycée : juin 2018
Les constats autour de ce temps de transition sont à la croisée des questions d’orientations, de décrochage, mais mettent en exergue les relations très rares et complexes à engager avec les familles, y compris quand des difficultés sont déjà identifiées au collège. L’objectif de ce temps sera avant tout de présenter les personnes ressources du lycée, leur rôle, et d’affirmer l’objectif de co éducation.
Temps Co animés par : La référente jeunesse du centre social, CPE lycée Renaudeau , Conseillère orientation ,
- Les bourses scolaires : sept 2017 et juin 2018
L’objectif de ce temps sera, suite à un travail déjà opérant (1) entre le centre social et le collège Colbert, d’identifier les familles potentiellement boursières et/ou boursières pour leur présenter le dispositif, les échéances et surtout les nouvelles modalités de constitution des dossiers (saisies informatiques).
- Relance téléphonique ou physique des familles par les animateurs du centre social avec proposition d’un rendez-vous (relance supplémentaire si le rendez-vous n’aboutit pas). Le fait de s’appuyer sur les professionnels du centre social permet d’obtenir de la part des familles une implication plus rapide. Les animateurs sont identifiés comme personnes ressources et cela facilite les échanges.
Chaque année nous constatons qu’un nombre non négligeable de familles ayants droit ne bénéficient pas des bourses scolaires.
Ces temps seront programmés en complément des informations « génériques » données au collège à destination des familles les plus éloignées de l’institution (barrière de la langue notamment).
Ce temps permettra par ailleurs une première rencontre avec les personnes ressources des établissements. Un document explicatif sera également réalisé en appui de ces rencontres comme nous avons pu le réaliser en 2016.
Action 2:Etape/Action 1 : Mobiliser les acteurs économiques du territoire et les partenaires éducatifs autour d’un projet commun facilitant l’insertion sociale des jeunes
A l’initiative du centre social et en concertation avec les écoles du territoire, une démarche de projet va être mise en place permettant de regrouper différents acteurs du territoire : collège et lycée, centre social et entreprises pouvant jouer un rôle dans l’insertion sociale des jeunes et notamment dans les recherches de stages durant le cursus scolaire.
L’action, pilotée par le centre social, va se construire comme suit :
- Définition des grandes lignes du projet : Consolidé
- Evaluation des besoins en terme de stage en fonction des cursus et des écoles (stage découverte de 3ème, stages de 3ème professionnelle, stages en BAC pro…) : consolidé
- Mise en place d’un partenariat de pilotage définissant les objectifs du projet, les usages… avec des membres représentant des écoles, des entreprises, des parents de jeunes et le centre social. : à consolider
- Création d’un listing regroupant les différents acteurs économiques du territoire, prise de contact, rencontre, présentation du projet et mobilisation.
à Sensibilisation et travail avec les entreprises autour de 3 points importants : les enjeux liés à la jeunesse ; l’insertion sociale et professionnelle des jeunes et jeunes adultes ; la valorisation par les stages de filières peu connues par les jeunes. : à consolider
- Mise place du réseau et lien avec les jeunes : à consolider
Etape/Action 2 : Accompagner les jeunes dans leur recherche de stage
Cette action est construite en complémentarité des ateliers et accompagnement déjà présents dans les établissements scolaires. On ne se substitue pas à l’éducation nationale mais on vient compléter un accompagnement en ayant une attention particulière pour les jeunes que nous repérons en plus grande difficulté ou orientés par les CPE, AS du collège et lycée.
La finalité de l’action n’est pas uniquement la solution en termes de stage, mais la transformation en termes de perspectives, d’ouverture sur l’extérieur, de confrontation aux adultes, de mixité sociale.
Par ailleurs, outre le fait que les jeunes ne savant pas « où » chercher leur stage, que les perspectives sont souvent peu en rapport avec les potentialités de ces jeunes, on peut aussi noter qu’ils ne savent pas « comment » chercher et « qu’elle attitude adopter » auprès des professionnels.
Pour les accompagner au mieux dans cette recherche, différents ateliers vont pouvoir être mis en place encadrés par des professionnels et des bénévoles.
Atelier 1. Recherche autour des domaines professionnels et détermination d’un à deux domaines pour le choix du stage.
L’idée est de permettre aux jeunes, à travers un travail de recherche sur internet, dans des revues, à travers des témoignages, des vidéos, d’obtenir des informations sur des professions ou domaines professionnels ; faciliter la découverte de «nouvelles » professions et ainsi d’affiner leur recherche.
Atelier 2. Accompagnement dans la recherche de structures, entreprises pouvant accueillir le jeune en stage, en s’appuyant sur le réseau constitué.
Des contacts avec les entreprises pourront avoir lieu à ce moment là pour affiner la recherche et apporter des précisions supplémentaires sur le domaine professionnel choisi.
Atelier 3. Appui à la réalisation d’un CV et d’une lettre de motivation
Des outils seront utilisés (exemples de cv, ordinateurs portables…) pour faciliter la réalisation des documents. Les courriers pourront être imprimés au centre social et envoyés directement.
Atelier 4. Préparation à l’entretien et point sur le « savoir être »
Cet atelier va permettre d’aborder avec les jeunes la notion de savoir-être, de posture, de comportement à adopter durant l’entretien mais également par la suite, durant le stage. Des simulations d’entretien pourront être réalisées avec l’appui de bénévoles.
Par ailleurs un accès particulier à l’atelier recyclo (prêt, réparation, ou achat de vélos est organisé dans le cadre d’un besoin lié à la mobilité. CF 2017 ou l’atelier a permis à 4 jeunes de trouver une réponse à des questions de mobilités en lien avec des stages).
Dates de réalisation : durant les vacances scolaires sous forme d’atelier et/ou le samedi matin hors vacances à partir de décembre 2018.
Etape/Action 3 : Accompagner les parents dans leur rôle éducatif et dans les démarches administratives liées à la rentrée scolaire et aux démarches de recherche de stage.
Accompagner les parents dans leur rôle éducatif… (cf action 1)
Etape/Action 4 : Animer ce réseau d’habitants/acteurs économique, les mobiliser durablement dans leur engagement.
Par la mise en place d’une convention annuelle d’accueil de stagiaire autour d’objectifs partagés
Par la mise en relation entre les demandes de jeunes en situation de blocage (orientation par les établissements scolaires, les partenaires). Le réseau s’entend dans son action globale, il n’aura ni la fonction, ni la possibilité d’être une garantie d’issu positive à des demandes tardives de jeunes.
Par une participation bénévole au temps d’action « explique moi ton métier «, temps intégrés dans le planning jeunesse, formalisés et conviviaux visant à faire découvrir aux jeunes un métier, échanger avec un adulte professionnel (sur site ou au centre social : 6 professionnels déjà mobilisé sur cette action). Certains de ces temps pourront être intégrés dans une programmation commune « école ouverte ».
- Ressources financières mobilisées pour cette action
7 200 euros.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Centre social: 2
Education nationale: 4 ( 2 cpe, deux conseilleres d'orientations)
Habitants/acteurs économiques du territoire: 15
- Résultat sur le territoire
Non évalués , action en cours
- Résultat pour le centre social
Non évalués, action en cours.
- Résultat pour les habitants
Non évalués, action en cours.
- Suite de l'action : Limites
Action en cours
- Suite de l'action : Perspectives
Poursuite de l'action sur 2018-2019
Structuration et consolidation du reseau d'habitants/acteurs economiques du territoire.
Actions
L'alphabétisation : un moyen d'insertion
- Structure organisatrice
- CS ACOLJAQ - CHRISTIAN JANSSENS - Nord
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Le projet a été mis en place sur une année avec un financement sur un seul exercice.
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Emploi, économie
- Intégration
- alphabétisation & apprentissage du français
- Mixité sociale
- Résumé
L’association propose des ateliers d’alphabétisation en direction du public adulte. Les séances se déroulaient principalement en individuel. Nous avons voulu apporter une dynamique collective à ces ateliers tout en rendant les adultes, qui ne maîtrisent pas ou peu la langue française, acteurs de leur insertion aussi bien sociale que professionnelle.
Pour cela, nous avons choisi d’utiliser différents moyens afin de permettre à chacun d’apprendre le français tout en s’insérant socialement et professionnellement. Ce projet s’est décliné en 3 actions phare :
- La création d’un livre de recettes
- La création d’un code de la circulation
- La mise en place de la semaine de l’emploi
Les thématiques « cuisine », « mobilité – sécurité routière » et « emploi » ont été dans ce projet, utilisées uniquement comme moyens et supports pour apprendre la langue française (fil rouge du projet) tout en répondant aux demandes des adhérents en terme d’insertion sociale et/ou professionnelle.
Chaque action était composée de plusieurs activités qui répondaient aux objectifs généraux suivants :
Description du projet : Une des bénévoles des ateliers d’alphabétisation accompagne spontanément ses apprenants dans leur insertion professionnelle (recherche d’offre, de formation, écriture de la lettre de motivation etc…). Les sollicitations ont été de plus en plus nombreuses. C’est pourquoi, nous avons mis en oeuvre ce projet afin de créer une dynamique collective autour de l’apprentissage du français et de l’insertion.
Les « Ateliers informatiques » : cette action a permis de créer du lien entre les apprenants. Pour les valoriser et les fédérer autour de cette action, nous avons choisi une thématique commune, celle de la cuisine. L’idée est d’apprendre le français et de s’initier à l’outil informatique en réalisant un livre de recettes du monde, recettes des pays d'origine des participantsPour cela, chaque participant a du écrire une recette typique de son pays d’origine. Les séances se sont déroulé sur ordinateur afin de sensibiliser les apprenants à l’outil informatique (écriture, mise en page). Toutes les recettes ont été centralisées dans un livre de « recettes du monde ».
Les « Ateliers cuisine » : Ces ateliers ont réuni tous les participants des « ateliers informatiques » ayant proposé une recette. Ils ont été co-animés par des bénévoles (ceux de l’alphabétisation ou d’autres volontaires repérés) et par la responsable du secteur « Adultes et Familles », toujours dans l’optique de créer et renforcer les liens entre les participants, apprendre le français de manière ludique et s’insérer professionnellement.
Les participants ont préparé un menu complet, à partir des recettes proposées dans leur livre. Le temps de préparation a été l’occasion de travailler le français : lecture de la recette, vocabulaire lié à la cuisine et aux ingrédients, conversation de groupe… Ces réalisations ont été dégustées, lors des repas thématiques, appelés « les repas écoute-infos
Les « Repas écoute-infos » : Ces repas ont été les temps forts des actions présentées ci-dessus. C’est un moyen de valoriser les participants et leur investissement dans les différentes actions. Les menus ont été issus du livre et préparé par les participants. Le repas a été partagé avec ces derniers, les bénévoles et les partenaires. Au cours de ces repas, un ou plusieurs partenaires, professionnels de l’insertion professionnelle ont été conviés pour informer et répondre aux questions des participants. Par exemple : un agent de pôle emploi, un directeur des ressources humaines, etc.…
Le « code de la circulation » : Cette action a été organisée en direction de toutes les personnes souhaitant se sensibiliser au code de la route et rencontrant des difficultés de compréhension dues à la non-maîtrise de la langue française. Cet atelier s’est traduit par des séances de tournage ou séances photos sur des situations routières rencontrées au sein du quartier.Les participants ont pu appréhender le code de la route de façon ludique. Ces derniers ont été sensibilisés au code de la route, ont écrit et filmé des saynètes sur des situations de circulation dans le but de créer un quizz dont ils ont rédigé les questions et les réponses. L’ensemble a été monté sur un support vidéo qui se présente sous la forme d’un « code de la route classique ». Une manière de travailler le français écrit et oral et de les sensibiliser au code de la route et au système de l’examen.
La semaine de l’emploi en plusieurs étapes :
Les Ateliers recherches d’emploi : Ces ateliers seront proposés en priorité aux personnes ayant participé à la semaine de l’emploi. Ils seront également ouverts à tous ceux qui recherchent un emploi et/ou d’une formation. Ils seront animés par l’animatrice « multimédia » de notre association et pérennisés après le projet. Lors de ces ateliers les participants pourront apprendre à rédiger un CV et une lettre de motivation, créer son compte pôle emploi, créer sa boîte mail, apprendre à envoyer ses CV et ses lettres de motivation en ligne et mener ses recherches sur internet… L’animatrice adaptera son programme en fonction des attentes des participants et des besoins repérés lors de la semaine de l’emploi.
Pour valoriser le travail mené sur cette action, un livret de l’emploi a été créé. Ce livret synthétise de manière simple et adaptée (vocabulaire accessible) toutes les informations vues lors de ces ateliers. Il a été construit au fur et à mesure des séances.
Les « Ateliers de développement personnel » : Lors de ces ateliers les participants ont appris à mieux se connaitre, à travailler l’estime de soi et la confiance en soi, à contrôler leur stress et à se préparer pour un entretien
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Apprendre à lire, écrire et parler le français
- Acquérir son autonomie
- S’insérer socialement et professionnellement
- Découvrir la culture française
- S’émanciper socialement, civiquement et intellectuellement
- Développer la confiance en soi et l’estime de soi
- Partager des moments conviviaux
- Rencontrer des nouvelles personnes
- S’ouvrir à son environnement
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
L'action a été réalisée en 2017 pour s'achever en 2018.
Le projet a été porté par la responsable du secteur « Adultes et Familles » et l’animatrice « multimédia » appuyées par plusieurs bénévoles des ateliers en alphabétisation.
Les ressources humaines externes (intervenants, partenaires)
Association « DMDS » (Wambrechies) : coordination, la mobilisation du réseau de professionnels et l’animation de certaines actions.
Association « INSIGHT et MOI » (Mouvaux) : accompagnement collectif lors des ateliers de développement personnel.
UTPAS : Diffuse l’information et oriente les publics
CCAS (suivi des personnes au RSA) : Diffuse l’information et oriente les publics
FCP (Club de prévention) : Diffuse l’information et oriente les publics.
PIJ (Point Information Jeunesse) : Diffuse et oriente les publics notamment (18-25 ans)
Autres partenaires des différentes actions : pôle emploi, Directeurs de service, Directeurs des ressources humaines etc…).l’association EVASION qui en charge de la mobilisation des partenaires professionnels de l’insertion professionnelle et du recrutement.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget global : 22738 €
Une subvention spécifique de la fondation orange de 16600 € (fonctionnement et investissement)
La Ville de La Madeleine : Prêt des locaux - 70% des salaires des permanents
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Les salariés de l'association : 2
les partenaires : 6
les bénévoles des ateliers : 5
les bénéficiaires du projet : entre 20 et 30 personnes
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
l'âge d'or. Une expérience artistique mais pas que !
- Structure organisatrice
- ESPACE BORIS VIAN - Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- Mixité sociale
- Résumé
Dans le cadre d'un partenariat avec La Comédie de St-Etienne (CDN), une compagnie professionnelle de théâtre, le collège et la résidence de personnes âgées, nous avons mis en place un projet d'action culturelle qui a réuni une quinzaine de participants âgés de 11 à 91 ans. Encadrés par des comédiens, metteur en scène, musicien professionnel de la Cie The Party, ils ont partagé des moments intenses de discussion autour de l'âge d'or (les plus beaux moments de notre vie), mais aussi de la religion, de la politique, de l'enfance, de la famille, des "évènements". Ces temps d'échanges et d'écriture ont donné naissance à un spectacle joué à La Comédie et qui a fiat l'objet d'une publication de 128 pages et 70 photos qui relatent l'aventure vécue par ces amateurs habitants du quartier.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
pour favoriser l'accès à la culture pour tous, pour lutter contre l'isolement des personnes âgées, pour valoriser les pratiques artistiques des jeunes, pour recréer du lien entre les générations.
pour impliquer divers partenaires sociaux, éducatifs et culturels.
pour communiquer (notamment via le livre) sur la méthode utilisée pour mener à bien le projet, les points forts, les difficultés rencontrées,.... histoire d'impulser d'autres initiatives.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
contitution d'un groupe d'habitants du territoire, via les partenaires (maison de retraite, collège). 15 participants âgés de 11 à 91 ans (des collègiens, lycéens, jeunes adultes actifs, jeunes retraités, personnes âgées...)
ateliers de pratique théâtrale mêlant échanges, écriture et jeux théâtraux
création d'un spectacle à partir de la parole des participants (sur des soirées, des journées de vacances, des eek-end)
2 représentations sur la scène de la Comédie de Saint-Etienne
édition d'un ouvrage présenté par les acteurs et encadrants du projet au moment de la Fête du Livre de St-Etienne.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
budget global : 43.170 €
recettes : CAF 12.000€, Département 6.000€, région Rhône-Alpes 3.000€, AG2R la Mondiale 1.500€, Caisse des Dépôts 5.000€, Fondation Casino 7.000€, DRAC 4.000€, Ville 4.370€, SEDL 300€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 animateur du centre social
1 chargée d'action culturelle Comédie
1 animatrice résidence de personnes âgées
3 comédiens
1 musicien
1 photographe
1 enseignante du collège
1 auteur
- Résultat sur le territoire
valorisation du partenariat associatif et institutionnel
ouverture de la résidence de personnes âgées et du collège sur l'extérieur
positionnement de nombreux partenaires financiers privés et publics
- Résultat pour le centre social
ancrage sur le territoire
reconnaissance par le milieu culturel
mobilisation de publics nouveaux
- Résultat pour les habitants
remobilisation
découverte du milieu culturel
expression et partage de points de vue entre générations
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
le projet se poursuit avec la quasi totalité des participants rejoints par d'autres : ils sont à présent 28 à participer au projet qui a fait appel à un nouveau metteur en scène.
les participants se retrouvent soit le vendredi soir soit pendant les vacances scolaires, un week-end en gite est prévu en mai pour regrouper tous les participants.
Actions
JOURNÉE DES PEINTRES
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
L'action se déroule sur une journée au printemps: le 19 avril 2018
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- Mixité sociale
- Résumé
c'est un concours, ouvert à toute personne pationnée par la peinture, le dessin, l'aquarelle ect.... les participants qui se sont inscrits au préalable, ont toute la journée (de 10h à 17h) pour réaliser une oeuvre. ils s'installent ou ils veulent sur le frond de mer.
a l'issu de la journée, le public peut voter, ainsi que des jurys désignés au préalable.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
cette action initiée par des habitants, inscrits à l'atelier peinture du centre social, a vu le jour en 2017. les adhérents souhaitaient valoriser tous les talents, et faire connaitre les ateliers du centre social.
ils voulaient aussi démontrer que l'art est ouvert à tous, à la fois pour les artistes que pour le public à qui on donne la possibilité d'avoir un avis sur une oeuvre.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
un groupe d'abitants (5/6) s'est mis au travail dès le mois de septembre (recherche de sponsors, communication, organisation de la journée....)
mise en place de commissions (communication, recherche de lots, mise en place d'un réglement intérieur....
en moyenne une réunion par mois de septembre à avril
- Ressources financières mobilisées pour cette action
1000€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
une dizaine de bénévoles, un professionnel à la coordination, 4 professionnels le jour j
- Résultat sur le territoire
la gestion d'un lieu d'exposition par le centre social toute l'année, facilite la mise en place de ce type de journée tournée vers l'art. les habitants y sont déjà un peu plus sensibilisés. le fort de villes martin est souvent un but de promenade pour les habitants.
- Résultat pour le centre social
meilleur connance des ateliers peintures
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
le nombre d'artistes inscrits augmente d'années en années, et cela devient trop lourd pour les bénévoles.
- Suite de l'action : Perspectives
l'action sera reconduite sous réserve de la mobilisation de bénévoles. En effet il nous faut élargir le groupe de bénévoles, pour une meilleur répartition des taches le jour j.
mais cette journée est devenue un rv incontournable pour les artistes comme pour le public.
Actions
Jardin Partagé
- Structure organisatrice
- MJC PALENTE - Doubs
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Environnement
- Mixité sociale
- Résumé
En souhaitant proposer une action à destination des habitants ayant pour vocation de créer du lien social et d'améliorer le quartier (visuellement et en termes de qualité de vie), Néolia (bailleur social principal du quartier) et la MJC Palente ont tenté des fleurissements en pied d'immeuble avec les habitants. Cette action test autour de la culture et de l'action des habitants a validé l'idée d'un projet plus ambitieux: le jardin partagé. Ce site se veut collectif, lieu de culture, de lien social, de transmission et de partage.
L'idée est de partager un terrain, avec pour objectif d'y appliquer du maraîchage biologique dans une volonté de partage de savoir, de travail et de récolte. Rencontrer et faire avec ses voisins. Le lieu accueille également de nombreux groupes d'enfants (plusieurs classes, des centres de loisirs, ludothèque, groupe d'accompagnement à la scolarité) et est utilisé ainsi comme support pédagogique.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place dans une volonté de créer du lien entre les habitants afin de lutter contre l'isolement, tout en contribuant à l'amélioration du cadre de vie.
Une volonté de fédérer différents acteurs (associatifs, scolaires...) autour d'un même lieu anime également ce projet.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Expérimentation de fleurissement en pied d'immeuble pour valider la thématique et 'engagement des habitants Mars 2015
Recherche de financements et du terrain Décembre 2015
Mobilisation des habitants pour élaborer la charte et le fonctionnement (groupe de travail) septembre 2015-mars 2016
Lancement de la 1ère saison de culture mars 2016
Poursuite du projet. Collectif de jardiniers et comité de pilotage
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 coordinatrice du centre social: coordination du ^projet, recherche de financement, mobilisation du public et des partenaires
1 médiateur jardinier: animation du lieu et mobilsation des habitants
1 service civique. animation du lieu et mobilsiation des habitants
nombreux partenaires
4 à 10 jardiniers, en fonction de l'année et de la saison...
4 classes scolaires, + 4 autres groupes d'enfants (= 200 enfants environ)
- Résultat sur le territoire
Amélioration du cadre de vie
Création d'un lieu de vie, ouvert et partagé
- Résultat pour le centre social
Création d'un lieu au coeur du quartier prioritaire.
Lieu d'accueil pour différents projets du centre social (culturel, animation, loisirs...)
Plus grande visibilité du centre social dans le quartier
- Résultat pour les habitants
Lieu où se rencontrer, se retrouver. ou tout simplement sortir de chez soi.
Valorisation de leur implication
- Suite de l'action : Limites
Quartier où est situé le jardin = quartier où très fort isolement et difficultés sociales ++, d'où une grande difficulté à mobiliser les habitants
- Suite de l'action : Perspectives
Poursuite du projet. Objectif qu'à terme les jardiniers se constituent en association et autogèrent ce projet.
Développement d'un projet "Graine de culture", ou comment apporter la Culture sur un lieu de culture maraîchère: action à visée enfance et famille
Actions
jardin partagé
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL MARCEAU MULSANT - Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Environnement
- Mixité sociale
- Résumé
Notre projet consiste à créer un jardin partagé étant accessible aux habitants, principalement ciblés sur le quartier Mulsant (à Roanne, 42).
Ce projet est né suite à plusieurs diagnostics dont notamment celui de la CAF qui nous a permis d’identifier différents besoins et demandes des habitants du quartier dont un manque d’espaces verts, un affaiblissement du lien social, un isolement entre voisins, un manque de lieux de rencontres et des difficultés d’accès à des activités de loisirs.
Un projet de jardin partagé nous semble répondre parfaitement à ces demandes puisqu’il a pour but de développer des liens sociaux de proximité par le biais d’activités sociales, culturelles et éducatives, à destination des habitants.
Les principaux objectifs opérationnels du projet sont :
1. Mettre en pratique une citoyenneté active, apprendre à faire ensemble et à échanger entre personnes différentes, en ayant un vrai pouvoir d’agir.
2. Favoriser la coopération intergénérationnelle et la transmission de savoirs.
3. Permettre au jardin d’être un vrai lieu de vie développant des activités de sensibilisation et d’éducation à l’environnement et au développement durable.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Mettre en pratique une citoyenneté active, apprendre à faire ensemble et à échanger entre personnes différentes, en ayant un vrai pouvoir d’agir :
Ce projet nécessite une participation active des habitants du départ du projet (choix de la cabane de jardin, écriture des règles de fonctionnement du jardin…), à sa mise en œuvre, puisque la démarche participative se poursuivra lorsque le jardin aura été créé, avec une gestion elle aussi participative (mise en culture, récoltes, organisation d’évènements…).
Le jardin sera un lieu de développement des liens sociaux entre habitants du quartier puisque des temps forts au jardin seront créés (repas partagé, temps festifs et culturels…).
Ce jardin se doit d’être aussi un lieu de développement de la vie locale, identifié sur le quartier et travaillant en lien avec le tissu associatif local, les écoles du quartier, club de séniors, ainsi qu’avec les institutions existantes sur le territoire.
- Favoriser la coopération intergénérationnelle et la transmission de savoirs :
Ce projet a pour objectif de faire évoluer les comportements et les pratiques alimentaires en cultivant la diversité des légumes. Le jardin se doit être un outil permettant d’apporter des connaissances sur le plan nutritionnel et sur le plan de la santé.
- Permettre au jardin d’être un vrai lieu de vie développant des activités de sensibilisation et d’éducation à l’environnement et au développement durable :
Mettre en place ce projet c’est répondre à des besoins, notamment la création d’un lieu de vie, un lieu convivial pouvant rassembler les habitants autour d’une dynamique : l’activité jardinière, permettant une bonne intégration sociale.
Ce jardin a une forte vocation pédagogique. En effet un espace du jardin sera réservé aux enfants pour des actions d’éducation à l’environnement et au développement durable, ainsi que des ateliers d’éveil au goût.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
mis en place d'un groupe "pilote" pour le démarrage (avant l'attribution du terrain en mi 2014)
réunions régulières sur la perma culture (économie d'eau, plantes et fleurs alliées pour éviter les pesticides...)
rencontres tous les vendredis au centre social, puis sur le terrain pour la mise en place des batiments / cloture / plantation à partir du printemps 2015
- Ressources financières mobilisées pour cette action
investissement mairie : 45 000 euros. 1e dossier de financement dans le cadre de la politique de la ville (financement agglomération roannaise et conseil régional) 10 000 euros
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
10 jardiniers "noyau de base" pour le comité de pilotage, puis groupe d'une trentaine de personnes plus ou moins régulières en fonction du travail
2 salariés du centre social mobilisés
- Résultat sur le territoire
projet en démarrage : impacts à évaluer !
- Résultat pour le centre social
nouveaux adhérents, et investissement sur l'extérieur de l'ensemble des secteurs (politique du "hors les murs")
- Résultat pour les habitants
peu d'espaces verts dans le quartier : interet pour les habitants, car le jardin sert aussi de lieu d'actions culturelles et d'animation (fêtes/ expo..)
- Suite de l'action : Limites
budgets pour les années à venir ???
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
intergénérationnel
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL JEAN BOSCO - Val-d'Oise
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- Intégration
- Mixité sociale
- Résumé
un groupe de jeunes à débuté en 2015 une exposition composé de 10 panneaux et d'un cours métrage de 12 minutes intitulé "Du côté des jeunes d'Argenteuil"
Ces jeunes ont échangés avec 10 adultes et anciens, acteurs du quartier Val Sud sur leurs parcourts, leurs visions des jeunes, du quartier et de la ville.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le groupe des "chibanis" voulais raconter leurs histoires de vie. Les jeunes se sont emparés du projet, pour en faire une exposition.
l'objectif est de permettre la rencontre entre les générations.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
l'action à débuté en novembre 2015.
Il y a eu des groupe de travail avec les 14 jeunes qui ont mené le projet avec l'équipe du Centre Social et les professionnels en appuis technique.
9 rencontres ont eu lieu, avec également un partage avec des jeunes du Centre social de St Prix, avant les séances avec les adultes et seniors prévus en 2016.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
financé par la région, la caisse des dépots et un monde pour tous.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
9 professionnels (3 professionnels du Centre Social + 6 professionnels en appui techniques)
15 jeunes, 10 adultes et seniors
- Résultat sur le territoire
une rencontre intergénérationnelle
suite SENAC 2016
- Résultat pour le centre social
une rencontre intergénérationnelle
suite SENAC 2016
- Résultat pour les habitants
une rencontre intergénérationnelles
suite SENAC 2016
- Suite de l'action : Limites
peur de s'afficher devant une caméra, un appareil photo ou un public
- Suite de l'action : Perspectives
poursuivre les rencontres intergénérationnelles
Actions
Ils se souviennent - Un livre d'habitants
- Structure organisatrice
- Centre Social Planete ChampsaurValgo - Hautes-Alpes
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Démocratie & citoyenneté
- Viellissement
- Résumé
Un livre d’habitant sur la période de la Résistance - « Ils se souviennent »…
Une spécificité « Centre Social » : placer les aînés en dynamique de projet !
C’est quoi ?
Après avoir récolté les souvenirs de près de 60 personnes. Après avoir organisé une exposition et des soirées débats sur le sujet à Pont du Fossé en 2015 qui a déplacé un millier de visiteurs en 5 jours…
L’aventure humaine de ce groupe de 11 habitants âgés de 67 à 87 ans se poursuit en 2018 avec un projet fou commencé en 2016 : réaliser un véritable livre !
Un livre qui recense les souvenirs des habitants sur la période de la Résistance dans le Champsaur Valgaudemar.
2018 fût l’année de la sortie du livre qui a connu un grand succès puisqu’il s’en est vendu environ 800 exemplaires !
Ils ont travaillé avec une éditrice professionnelle dans une démarche participative.
Pour réaliser le livre, ils ont participé à un atelier hebdomadaire, tous les Lundis matins animés par Géraldine DISS, l'animatrice du projet de 2016 à 2018. Avec un gros travail en dehors de l'atelier (relecture, corrections, écriture d'articles, recueil de photos, etc.).
Une action de transmission car ils sont intervenus en classe au lycée Poutrain et au Collège de St Bonnet pour aider les élèves dans leu travail sur la Résistance.
Une action de lien social, de valorisation, d'estime de soi. Une activité régulière pour maintenir un certain rythme de vie sociale dans la semaine, un projet faisant travailler le cognitif et la mémoire, bref tout pour travailler les fondamentaux du "bien vieillir".
Une action qui a provoqué le partenariat avec d'autres activités du centre social comme par exemple le PhotoLab (atelier photo numérique pour les retraités) dont les membres ont photographier les portraits présents dans le livre.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Dans notre projet social de l'époque (renouvelé en 2019) un axe fort de travail était tourné sur la transmission et l'échange de savoir entre la population de souche et les nombreux nouveaux habitants. Une question de maintien de la mixité sociale dans notre contexte territorial d'accroissement de la population due à un solde migratoire positif. En effet le Champsaur Valgaudemar est un territoire de montagne, préservé et à la nature omniprésente. Mais aussi avec une histoire et une culture montagnarde riche. Les nouveaux habitants sont justement venus, attirés par la montagne et ce territoire. La population de souche adore "sa" montagne. Le territoire lui-même fût donc choisi pour être le vecteur de lien social entre ces deux populations du territoire.
Une population avec un fort taux de sagesse ! Dans le Champsaur Valgaudemar, la part des plus de 60 ans est déjà à 31,4% d’après l’INSEE – RP2015 exploitation principale, géographie au 01/01/2017. Elle était de 28% en 2011. L’indice de vieillissement du Champsaur Valgaudemar est de 109,2 contre 76,1 au National ! Le vieillissement de la population est accentué par l’arrivée de nouveaux habitants déjà à la retraite.
Cette action s'inscrit dans nos objectifs de maintien de la mixité sociale mais aussi dans ceux de la prévention de la perte d'autonomie pour les plus de 60 ans. Il favorise la rencontre entre les générations.
Enfin, la cerise sur le gâteau, c'est qu'il est un exemple de nouveau modèle économique car le livre d'habitants s'est vendu à près de 800 exemplaires. Générant un excédent net de plus de 8 000 €.
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Une démarche d'accompagnement de projet d'habitants
Nous organisions des rencontres thématiques dans les villages à l’initiative d’habitants : les rencontres “Habitants et Territoire”. Sur tous les aspects du territoire. L’une de ces rencontres, sur le thème de la Résistance dans la vallée, a fait se rencontrer le groupe lancé dans l’aventure du livre “Ils se souviennent”. Un groupe créé à l’initiative d’une nouvelle habitante et qui a mis en dynamique de projet une dizaine d’habitants (-tes) de la vallée âgés aujourd’hui de 67 à 84 ans.
Le groupe est composé de 11 habitants de + de 60 ans. 60-69 ans : 3. 70-79 ans : 5. 80-89 ans : 2. 90-99 ans : 1.
Ce groupe a collecté des souvenirs (auprès d’une soixantaine de personnes) autour de la Résistance dans le Champsaur et le Valgaudemar pendant la 2ème guerre mondiale.
Des personnes en perte d’autonomie et restant à domicile ont été interviewées durant ce projet. Grâce à notre partenariat avec l’association “Bien chez soi” et grâce aux connaissances directes du groupe d’habitants (tes) nous avons gagné la confiance nécessaire pour cueillir leurs souvenirs.
En septembre 2014 une exposition et des soirées d’échanges ont rassemblé plus de 1000 personnes.
Le groupe d’habitants a décidé de réaliser un livre rassemblant tous ces souvenirs collectés. Pendant 2 ans, ateliers hebdomadaires et travail personnel (écriture, lecture) ont animé la vie de ce groupe. 54 ateliers au total.
Le livre a été imprimé en Mai 2018 à 1000 exemplaires. Pour l’occasion le groupe a organisé le lancement du livre sous la forme d’un bal clandestin ayant rassemblé 200 personnes à Pont du Fossé. Avec de nombreux élus qui ont salué ce travail.
Une partie du groupe était présente dans tous les marchés et événements du printemps 2018 pour tenir le stand de présentation de leur livre. Très riche en rencontres intergénérationnelles !
Comme une classe du Lycée Poutrain a travaillé aussi sur le même sujet et que des liens de partenariat se sont noués entre eux et notre projet. 2 membres du groupe sont même partis en Alsace en voyage scolaire pendant une semaine. Les selfies prouvent que la rencontre générationnelle a bien eu lieu.
A ce jour une réédition est envisagée avant la fin de l’année. Et des actions de transmission ont débuté au collège de St Bonnet.
Fin 2018, ils ont organisé 2 sorties sur la thématique de la Résistance dont une ouverte aux habitants du territoire et qui a permis à 9 aînés de se joindre au groupe d'écrivains.
Ils ont travaillé avec une éditrice professionnelle de manière participative.
Ce projet est coordonné par une animatrice de notre centre social depuis 2015 à raison d'environ 0,3 ETP.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Un projet qui a coûté 18 065 € en 2018. Dont 9600 € d'édition et 6 100 € de salaires. Depuis 2015, le projet a coûté environ 20 000 € en salaires.
Le groupe d'habitants s'est démené pour trouver des financements. Rencontre avec le député et avec des fondartions qui furent frutueuses : 3 000 € du Ministère de la Ville et 5 000 € de la fondation du Crédit Agricole. Des dons d'entreprises pour 800 €. La conférence des financeurs et la CARSAT ont soutenu le projet.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
20 bénévoles, 3 professionnels
- Résultat sur le territoire
Un livre qui préserve la mémoire du territoire grâce à ce recueil de souvenirs d'habitants sur une période historique.
Il permet à certains commerces de proximité grâce au dépôt-vente de générer une petite activité économique.
- Résultat pour le centre social
C'était risqué mais finalement les 1000 exemplaires n'auroant ps suffi !
Un impact financier important car cette action a généré un excédent de 8 7000 € grâce à la vente de près de 800 livres.
Un impact sur l'image de notre centre social et dans sa communication auprès d'un large public et auprès des financeurs. Nous avons été invités à de nombreuses reprises à venir témoigner de cette action dans diverses manifestation organisées par le Conseil Départemental, la fédération de l'ADMR et même jusqu'à Rennes pour Mona Lisa.
- Résultat pour les habitants
Une aventure humaine extraordinaire pour les 11 aînés.
Les habitants de la vallée ont participé grandement au succès des ventes. Beaucoup d'entre-eux afin de trouver l'histoire de leur famille.
- Suite de l'action : Limites
Le maintien (financier) du poste d'animatrice pour accompagner le groupe. Afin de favoriser le maintien de son dynamisme.
- Suite de l'action : Perspectives
Cela se transforme en action de transmission auprès des plus jeunes. Avec un travail avec le lycée Poutrain et le Collège de St Bonnet. Le groupe aurait envie de rencontrer des élèves du primaire aussi.
Ils organisent des sorties sur ce thème : musée de la Résistance à Grenoble, Camp des Milles, etc.
Actions
FRACTURE NUMERIQUE ET ACCES AUX DROITS DES GENS DU VOYAGE
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ITINERANT AGGLO ST BRIEUC - Association Itinérance - Côtes-d'Armor
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Mise en place avec des moyens humains et matériels dédiés (5 ordinateurs portables, 5 tablettes numériques, 1 ETP animateur numérique dans le cadre d'un emploi aidé) d'un espace public numérique itinérant dédié aux gens du voyage pour lutter contre la fracture numérique qui impacte fortement ce public. L'action de l'EPN se déroule au siège de l'association et sur les aires d'accueil où nous intervenons. Les actions sont en direction des enfants et des adolescents pour les sensibiliser à partir d'applications ludiques aux outils numériques. Mais surtout en direction des adultes pour leur permettre de mieux maitriser et d'être davantage autonomse face à la dématérialisation des démarches administratives.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Autre
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les voyageurs du fait de leur mode d'habitat (caravane) et des fortes situations d'illétrisme sont encore plus impactés par la fracture numérique. Cette situation provoque des difficultés d'accès aux droits voire même des ruptures de droits.
L'objectif de l'action est d'amener les voyageurs à être davantage autonomes quant à l'utilisation des outils numériques.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Autre
- Description générale
Achat du matériel informatique
Recrutement et formation d'un animateur numérique
Construction d'outils pédagogiques et de suivi de l'activité
Mise en place de permanences au siège de l'association et de veilles numériques sur le territoire
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget sur deux années : 57 989€
Produits : CAF : 10 000€ - DDCS : 5 000€ - CPAM : 5 000€ - Fondation AFNIC : 15 000€ - Aide emploi aidé : 29 989€
Dépenses : Matériel informatique : 5 802 € - Charges de fonctionnement : 6 229 € - Charges de personnel : 45 958 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Un animateur numérique à temps plein
Le directeur de l'association
Les intervenants sociaux de l'association (4)
- Résultat sur le territoire
Une réponse de proximité pour un public qui n'accède pas forcemment facilement aux dispositifs de droit commun.
- Résultat pour le centre social
Une réponse adaptée face à une problématique qui devenait de plus en plus importante et qui impactait fortement le travail et l'organisation du centre social.
- Résultat pour les habitants
Un meilleur accès aux droits et des ruptures de droits évités.
Une plus grande autonomie du public face aux démarches administratives.
- Suite de l'action : Limites
Les voyageurs souhaitent le plus souvent que l'on effectue les démarches à leur place et ne sont pas forcément d'emblée dans une démarche d'apprentissage et d'autonomie.
C'est objectif prend du temps et ne peut s'inscrire dans la durée.
- Suite de l'action : Perspectives
Pérenniser le poste d'animateur numérique en trouvant des financements pour en supporter le coût.