Les actions des centres sociaux
Actions
accompagnement d'initiatives
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL LE PLANTY - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Culture
- vacances / loisirs
- Résumé
Intitulé de l’action : Accompagnement d’initiatives
Objectifs opérationnels de l’action en direction des jeunes du quartier prioritaire
- Favoriser l’implication des jeunes dans la construction et la mise en œuvre d’actions
- Développer leur autonomie et leur prise de responsabilité dans leurs initiatives
- Favoriser leur rapprochement aux institutions
Description de l’action
Nous encourageons toutes les démarches participatives dans jeunes du quartier prioritaire dans la préparation et l’organisation de différentes actions. Au travers de l’accompagnement d’initiatives, nous favorisons les temps d’échanges, d’expression et de concertation. L’implication et la participation des jeunes dans la mise en œuvre de leurs initiatives contribuent à leur donner confiance et à les valoriser.
Cette démarche s’inscrit naturellement dans nos actions puisqu’elle permet aux jeunes du quartier prioritaire de construire leur personnalité et de développer leur prise de responsabilité. Notre méthode d’accompagnement s’appuie sur la dimension collective et l’engagement afin de faciliter l’investissement de chacun. Nous favorisons alors des situations d’animation qui permettent de développer leurs compétences et leur esprit d’initiative.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Que voulons-nous mettre en œuvre ?
Ateliers artistiques et culturels
A quoi cela sert-il ?
- Développer des espaces d’initiation et d’expérimentation
- Créer un rapprochement entre des jeunes issus d’horizons divers
- Favoriser les échanges, la concertation, l’entraide, fédérer autour d’une initiative commune
- Valoriser les jeunes grâce à des productions de qualité et leur donner confiance
Certains pensent que la curiosité culturelle et la création artistique ne font pas partie des priorités des jeunes des quartiers prioritaires car ils sont perturbés par des préoccupations économiques, éducatives, sociales et familiales. Pourtant, des jeunes que nous accueillons, mettent en avant le besoin de s’évader par la création artistique. C’est pourquoi nous soutenons leurs initiatives dans ce domaine.
Depuis plusieurs années, nous développons des actions de sensibilisation aux pratiques culturelles et des actions de création artistique. Dans le cadre de son orientation éducative et pédagogique, le centre social du Planty fait son maximum, en fonction de ses ressources pour intégrer la culture comme levier d'insertion sociale et ce, de manière transversale en direction des publics du quartier prioritaire.
De fait, depuis 4 ans, une amélioration en matière d'offre culturelle et artistique s'est opérée grâce à la mise en place de projets d’envergure à dimension culturelle :
- -Réalisation du film « Favreau, quand il y aura la mer » dans le cadre de Cinestival en 2014
- -Résidence Artistique « Listen To This » avec l’association angevine l’R de rien, tous les étés depuis 2014
- -Projet Graff « Respect » avec l’artiste Batiste Gandrille avec le collège Clémenceau en 2015
- -Ateliers Breakdance au Planty et au collège Clémenceau en 2016 et 2017
- -Organisation d’un concert dans le cadre de la fête de quartier avec l’association l’R de rien en 2017
- -Réalisation du court-métrage « De poils en étoiles » avec l’association 1.com1 en 2018
Il s’agit maintenant pour nous de conforter l'existant et de soutenir les nouvelles initiatives. Les pratiques d'expression artistique et de découverte culturelle nous apparaissent comme un atout dans le développement personnel des jeunes du quartier prioritaire, aussi bien en matière de connaissances et d’expériences qu’en matière de valorisation.
Quels apports pour les jeunes ?
- Explorer sa propre identité, être valorisé, tendre vers une meilleure estime de soi
- S’exprimer par le biais d’expérimentations artistiques
- Développer et valoriser leur créativité et leur investissement
- Développer la dimension collective et les échanges
- Etre acteur d’un projet culturel innovant
- Développer la confiance, l’autonomie et les prises de responsabilité
- Développer l’implication, l’écoute, la participation, la concentration, « le goût » de l’effort
Quels ateliers voulons-nous développer ?
- Création artistique « Et si on rappait en langue des signes »
Des jeunes des quartiers prioritaires Favreau - Les Mauges et Jean Monnet ont créé un collectif qui se réunira au centre social du Planty afin d’écrire et de composer un morceau de rap en langage oral et en langue des signes sur le thème de la lutte contre les discriminations. Ils réaliseront également une chorégraphie alliant hip hop et danse contemporaine, dans le but de tourner un clip, avec le soutien de l’association choletaise1.COM1.
L'écriture et la composition du rap se réaliseront pendant les vacances de printemps 2019. Durant cette période, les jeunes bénéficieront de la projection-débat de « Travail d'arabe » de Christian Philibert. Cette fiction nous servira de support pour les aider à réfléchir sur les préjugés que l'on peut avoir par rapport à l’origine ou les singularités. Les jeunes enregistreront ensuite leur morceau en studio.
Pendant les vacances d'été, les jeunes réaliseront le clip sur le morceau qu'ils auront créé au printemps. Une danseuse professionnelle leur fera découvrir l'art de la mise en scène et les aidera à transmettre leurs émotions grâce au langage universel du corps. L'association 1.COM1 leur fera découvrir l'outil audiovisuel et ses possibilités. Le clip réalisé pendant l'action, sera projeté en salle pour une séance débat et diffusé sur internet.
Cette création « Et si on rappait en langue des signes » s’inscrit complètement dans notre démarche. Notre expérience dans le cadre d’accompagnement d’initiatives de jeunes ainsi que notre connaissance de certains jeunes qui vont y participer sont des atouts supplémentaires dans la menée du projet.
Nous voulons permettre à ces jeunes de vivre l’expérimentation d’une activité artistique dans une dimension collective, participative et valorisante.
- Création artistique « Listen to this winter collection »
L’initiative « Listen To This » a vu le jour en 2014. Elle s’appuie sur un rapprochement entre l’association angevine L’R de Rien et un collectif d’artistes et d’animateurs socioculturels du département désireux de fédérer des jeunes autour de pratiques artistiques.
Chaque été, un collectif de jeunes du département participe à des ateliers pendant une semaine et se déplace chaque jour sur un nouveau pôle territorial afin de créer un spectacle présentant différentes disciplines (chant, danse, beat box, musique). Chacune des résidences artistiques s’est achevée par plusieurs prestations scéniques.
Cette année, de nouveaux jeunes repartiront sur les routes du département au mois de juillet pour créer la 6ème édition de « Listen To This ». Mais avant cela, nous allons accompagner des jeunes du quartier prioritaire dans l’organisation d’une résidence artistique pendant 3 jours au cours des vacances de février. 4 jeunes originaires du quartier Favreau - Les Mauges sont à l’initiative de cette action. Ils veulent présenter un concert de sensibilisation à destination des jeunes du département qui seraient intéressés pour participer la 6ème édition de Listen to this au cours du mois de juillet 2019
- Création artistique « Listen to this in Favreau »
Des jeunes du quartier prioritaire nous ont sollicités afin de les accompagner dans l’organisation d’un évènement dans le cadre de la fête de quartier Favreau - Les Mauges en juin 2019.
Ils veulent partager leur passion de la musique, du chant et de la danse et faire découvrir aux habitants du quartier ce qu’ils sont capables de faire, de transmettre ce qu’ils ont appris et donner envie à d’autres jeunes de faire comme eux.
Ils veulent créer un moment festif qui pourra concerner toutes les générations tout en faisant découvrir la culture urbaine aux personnes qui peuvent avoir certaines représentations négatives de celle-ci. Ils veulent montrer que leur univers artistique est riche, complexe et variée.
C’est aussi le moyen de modifier les préjugés que peuvent ressentir certaines personnes à l’égard de jeunes des quartiers et de ce à quoi ils s’intéressent.
C’est également pour eux l’occasion d’organiser un évènement festif sur le quartier et de donner une bonne image des jeunes du centre social. Voilà pourquoi, nous voulons accompagner une quinzaine de jeunes en amont de l’évènement afin de leur permettre de concevoir leur spectacle au travers d’ateliers de créations artistiques entre mars et juin 2019. La prestation scénique aura lieu en plein cœur du quartier Favreau - Les Mauges le 15 juin 2019. Au travers de leur initiative, nous voulons valoriser leur investissement et leur engagement.
Afin de mener à bien ces ateliers créatifs et participatifs qui laissent une empreinte et valorisent les jeunes du quartier prioritaire de la réflexion à la concrétisation, il nous faudra investir dans l’achat de matériel spécifique et nous appuyer sur les compétences techniques d’intervenants extérieurs.
« Tu taffes et tu claques »
A quoi cela sert-il ?
- Permettre aux jeunes d’appréhender la notion de travail collectif
- Apprendre aux jeunes à respecter des règles et des consignes de sécurité
- Favoriser une rencontre entre des jeunes axée sur la dimension d’effort collectif
- Développer la prise de responsabilité des jeunes et les aider à être acteurs de leurs loisirs
L’action « tu taffes et tu claques » est mise en place depuis le mois de juillet 2016. Celle-ci permet à des jeunes du quartier prioritaire de bénéficier de tarifs très réduits pour la mise en place d’actions de loisirs, en contrepartie de leur implication sur des travaux d’une demi-journée, ou d’une journée au centre social ou sur le quartier. Nous cherchons à valoriser la notion de travail, d’investissement, en permettant aux jeunes d’acquérir une première expérience dans ce domaine.
L’image des jeunes du quartier prioritaire peut être valorisée par la réalisation d’un travail représentant un intérêt pour les usagers du centre social et les habitants du quartier prioritaire.
Cette démarche aide les jeunes à prendre conscience qu’ils sont en capacité de financer une action ponctuelle et leur montre que l’équipe d’animation peut les soutenir dans la mise en œuvre d’autres initiatives (mise en place d’un atelier, organisation d’un bivouac ou d’un séjour…).
Accompagnement d’actions d’autofinancement
A quoi cela sert-il ?
- Développer l’engagement et la participation des jeunes du quartier prioritaire
- Prendre en compte leurs attentes et répondre à leurs besoins d’accompagnement
- Eveiller les potentialités de chacun et favoriser les prises de responsabilité
- Favoriser des dynamiques où les jeunes sont au centre d’un processus qui les concerne dans un cadre d’échange et de co-construction avec l’équipe d’animation, les parents et les bénévoles
Cet accompagnement spécifique s’appuie sur une logique d’implication des jeunes, des parents et des bénévoles. Des jeunes nous ont déjà fait part de leur volonté de s’investir sur plusieurs actions d’autofinancement au cours de l’année :
- Chantier loisirs concernant la réalisation d’une fresque sur un transformateur ENEDIS en février
- Organisation d’un loto le samedi 4 mai
- Resto Planty 4 fois dans l’année pour une vingtaine de personnes
- Fabrication de jus de pomme aux Landes Génusson en octobre
Par le biais de ces actions, nous aidons les jeunes à financer une partie de leurs initiatives. Leur donner l’opportunité de s’exprimer et d’agir leur donne confiance, les valorise et développe leur capacité d’initiative et d’engagement collectif.
Notre rôle est de faire en sorte que chacun puisse trouver sa place dans la mise en œuvre d’une initiative tout en développant des méthodes co-construites avec les parents des jeunes concernés.
Soutien aux dynamiques collectives
Nous encourageons les jeunes du quartier prioritaire à s’engager dans toutes formes de dynamiques collectives. Nous leur proposons des temps d’échanges et de concertation afin de les soutenir et les conseiller dans la mise en œuvre d’actions qui valorisent leur implication :
- Organisation d’une manifestation spécifique dans le cadre de la semaine du jeu au cours des vacances d’hiver (journée autour des jeux vidéo et sensibilisation avec l’association Ouest games)
- Participation à l’organisation des fêtes des écoles Buffon et Turpault en juin
- Accompagnement de jeunes dans la création de Junior Association
Place et rôle des parents : nous serons vigilants à ce que les démarches d’accompagnement soient concertées avec les parents. Nous favoriserons en priorité la participation de jeunes du quartier prioritaire dont les parents disposent de faibles revenus. Nous aurons également une attention particulière à la communication et à la valorisation des actions mises en place. En effet, l’implication des parents constitue une condition essentielle dans la mise en œuvre de ces actions.
L’idée est d’organiser des temps de travail autour de la notion d’engagement avec eux, les jeunes et les bénévoles et ainsi définir collectivement comment l’accompagnement des adultes envers les jeunes peut se matérialiser (ex : présence de parents et de bénévoles sur les temps d’ateliers, les actions d’autofinancement et le dispositif « Tu taffes et tu claques »).
Afin d’accueillir au mieux les jeunes et leur donner envie de s’impliquer pleinement dans cette démarche, il nous paraît primordial de travailler cette notion de lien entre les publics. Nous veillerons également à contractualiser avec les membres du groupe ; cette étape importante symbolise et concrétise le moment de l’engagement, celui où chaque individu devient membre d’un groupe porteur d’une initiative collective. La contractualisation peut aider à souder le groupe autour d’un engagement et d’objectifs communs.Que voulons-nous mettre en œuvre ?
Ateliers artistiques et culturels
A quoi cela sert-il ?
- Développer des espaces d’initiation et d’expérimentation
- Créer un rapprochement entre des jeunes issus d’horizons divers
- Favoriser les échanges, la concertation, l’entraide, fédérer autour d’une initiative commune
- Valoriser les jeunes grâce à des productions de qualité et leur donner confiance
Certains pensent que la curiosité culturelle et la création artistique ne font pas partie des priorités des jeunes des quartiers prioritaires car ils sont perturbés par des préoccupations économiques, éducatives, sociales et familiales. Pourtant, des jeunes que nous accueillons, mettent en avant le besoin de s’évader par la création artistique. C’est pourquoi nous soutenons leurs initiatives dans ce domaine.
Depuis plusieurs années, nous développons des actions de sensibilisation aux pratiques culturelles et des actions de création artistique. Dans le cadre de son orientation éducative et pédagogique, le centre social du Planty fait son maximum, en fonction de ses ressources pour intégrer la culture comme levier d'insertion sociale et ce, de manière transversale en direction des publics du quartier prioritaire.
De fait, depuis 4 ans, une amélioration en matière d'offre culturelle et artistique s'est opérée grâce à la mise en place de projets d’envergure à dimension culturelle :
- -Réalisation du film « Favreau, quand il y aura la mer » dans le cadre de Cinestival en 2014
- -Résidence Artistique « Listen To This » avec l’association angevine l’R de rien, tous les étés depuis 2014
- -Projet Graff « Respect » avec l’artiste Batiste Gandrille avec le collège Clémenceau en 2015
- -Ateliers Breakdance au Planty et au collège Clémenceau en 2016 et 2017
- -Organisation d’un concert dans le cadre de la fête de quartier avec l’association l’R de rien en 2017
- -Réalisation du court-métrage « De poils en étoiles » avec l’association 1.com1 en 2018
Il s’agit maintenant pour nous de conforter l'existant et de soutenir les nouvelles initiatives. Les pratiques d'expression artistique et de découverte culturelle nous apparaissent comme un atout dans le développement personnel des jeunes du quartier prioritaire, aussi bien en matière de connaissances et d’expériences qu’en matière de valorisation.
Quels apports pour les jeunes ?
- Explorer sa propre identité, être valorisé, tendre vers une meilleure estime de soi
- S’exprimer par le biais d’expérimentations artistiques
- Développer et valoriser leur créativité et leur investissement
- Développer la dimension collective et les échanges
- Etre acteur d’un projet culturel innovant
- Développer la confiance, l’autonomie et les prises de responsabilité
- Développer l’implication, l’écoute, la participation, la concentration, « le goût » de l’effort
Quels ateliers voulons-nous développer ?
- Création artistique « Et si on rappait en langue des signes »
Des jeunes des quartiers prioritaires Favreau - Les Mauges et Jean Monnet ont créé un collectif qui se réunira au centre social du Planty afin d’écrire et de composer un morceau de rap en langage oral et en langue des signes sur le thème de la lutte contre les discriminations. Ils réaliseront également une chorégraphie alliant hip hop et danse contemporaine, dans le but de tourner un clip, avec le soutien de l’association choletaise1.COM1.
L'écriture et la composition du rap se réaliseront pendant les vacances de printemps 2019. Durant cette période, les jeunes bénéficieront de la projection-débat de « Travail d'arabe » de Christian Philibert. Cette fiction nous servira de support pour les aider à réfléchir sur les préjugés que l'on peut avoir par rapport à l’origine ou les singularités. Les jeunes enregistreront ensuite leur morceau en studio.
Pendant les vacances d'été, les jeunes réaliseront le clip sur le morceau qu'ils auront créé au printemps. Une danseuse professionnelle leur fera découvrir l'art de la mise en scène et les aidera à transmettre leurs émotions grâce au langage universel du corps. L'association 1.COM1 leur fera découvrir l'outil audiovisuel et ses possibilités. Le clip réalisé pendant l'action, sera projeté en salle pour une séance débat et diffusé sur internet.
Cette création « Et si on rappait en langue des signes » s’inscrit complètement dans notre démarche. Notre expérience dans le cadre d’accompagnement d’initiatives de jeunes ainsi que notre connaissance de certains jeunes qui vont y participer sont des atouts supplémentaires dans la menée du projet.
Nous voulons permettre à ces jeunes de vivre l’expérimentation d’une activité artistique dans une dimension collective, participative et valorisante.
- Création artistique « Listen to this winter collection »
L’initiative « Listen To This » a vu le jour en 2014. Elle s’appuie sur un rapprochement entre l’association angevine L’R de Rien et un collectif d’artistes et d’animateurs socioculturels du département désireux de fédérer des jeunes autour de pratiques artistiques.
Chaque été, un collectif de jeunes du département participe à des ateliers pendant une semaine et se déplace chaque jour sur un nouveau pôle territorial afin de créer un spectacle présentant différentes disciplines (chant, danse, beat box, musique). Chacune des résidences artistiques s’est achevée par plusieurs prestations scéniques.
Cette année, de nouveaux jeunes repartiront sur les routes du département au mois de juillet pour créer la 6ème édition de « Listen To This ». Mais avant cela, nous allons accompagner des jeunes du quartier prioritaire dans l’organisation d’une résidence artistique pendant 3 jours au cours des vacances de février. 4 jeunes originaires du quartier Favreau - Les Mauges sont à l’initiative de cette action. Ils veulent présenter un concert de sensibilisation à destination des jeunes du département qui seraient intéressés pour participer la 6ème édition de Listen to this au cours du mois de juillet 2019
- Création artistique « Listen to this in Favreau »
Des jeunes du quartier prioritaire nous ont sollicités afin de les accompagner dans l’organisation d’un évènement dans le cadre de la fête de quartier Favreau - Les Mauges en juin 2019.
Ils veulent partager leur passion de la musique, du chant et de la danse et faire découvrir aux habitants du quartier ce qu’ils sont capables de faire, de transmettre ce qu’ils ont appris et donner envie à d’autres jeunes de faire comme eux.
Ils veulent créer un moment festif qui pourra concerner toutes les générations tout en faisant découvrir la culture urbaine aux personnes qui peuvent avoir certaines représentations négatives de celle-ci. Ils veulent montrer que leur univers artistique est riche, complexe et variée.
C’est aussi le moyen de modifier les préjugés que peuvent ressentir certaines personnes à l’égard de jeunes des quartiers et de ce à quoi ils s’intéressent.
C’est également pour eux l’occasion d’organiser un évènement festif sur le quartier et de donner une bonne image des jeunes du centre social. Voilà pourquoi, nous voulons accompagner une quinzaine de jeunes en amont de l’évènement afin de leur permettre de concevoir leur spectacle au travers d’ateliers de créations artistiques entre mars et juin 2019. La prestation scénique aura lieu en plein cœur du quartier Favreau - Les Mauges le 15 juin 2019. Au travers de leur initiative, nous voulons valoriser leur investissement et leur engagement.
Afin de mener à bien ces ateliers créatifs et participatifs qui laissent une empreinte et valorisent les jeunes du quartier prioritaire de la réflexion à la concrétisation, il nous faudra investir dans l’achat de matériel spécifique et nous appuyer sur les compétences techniques d’intervenants extérieurs.
« Tu taffes et tu claques »
A quoi cela sert-il ?
- Permettre aux jeunes d’appréhender la notion de travail collectif
- Apprendre aux jeunes à respecter des règles et des consignes de sécurité
- Favoriser une rencontre entre des jeunes axée sur la dimension d’effort collectif
- Développer la prise de responsabilité des jeunes et les aider à être acteurs de leurs loisirs
L’action « tu taffes et tu claques » est mise en place depuis le mois de juillet 2016. Celle-ci permet à des jeunes du quartier prioritaire de bénéficier de tarifs très réduits pour la mise en place d’actions de loisirs, en contrepartie de leur implication sur des travaux d’une demi-journée, ou d’une journée au centre social ou sur le quartier. Nous cherchons à valoriser la notion de travail, d’investissement, en permettant aux jeunes d’acquérir une première expérience dans ce domaine.
L’image des jeunes du quartier prioritaire peut être valorisée par la réalisation d’un travail représentant un intérêt pour les usagers du centre social et les habitants du quartier prioritaire.
Cette démarche aide les jeunes à prendre conscience qu’ils sont en capacité de financer une action ponctuelle et leur montre que l’équipe d’animation peut les soutenir dans la mise en œuvre d’autres initiatives (mise en place d’un atelier, organisation d’un bivouac ou d’un séjour…).
Accompagnement d’actions d’autofinancement
A quoi cela sert-il ?
- Développer l’engagement et la participation des jeunes du quartier prioritaire
- Prendre en compte leurs attentes et répondre à leurs besoins d’accompagnement
- Eveiller les potentialités de chacun et favoriser les prises de responsabilité
- Favoriser des dynamiques où les jeunes sont au centre d’un processus qui les concerne dans un cadre d’échange et de co-construction avec l’équipe d’animation, les parents et les bénévoles
Cet accompagnement spécifique s’appuie sur une logique d’implication des jeunes, des parents et des bénévoles. Des jeunes nous ont déjà fait part de leur volonté de s’investir sur plusieurs actions d’autofinancement au cours de l’année :
- Chantier loisirs concernant la réalisation d’une fresque sur un transformateur ENEDIS en février
- Organisation d’un loto le samedi 4 mai
- Resto Planty 4 fois dans l’année pour une vingtaine de personnes
- Fabrication de jus de pomme aux Landes Génusson en octobre
Par le biais de ces actions, nous aidons les jeunes à financer une partie de leurs initiatives. Leur donner l’opportunité de s’exprimer et d’agir leur donne confiance, les valorise et développe leur capacité d’initiative et d’engagement collectif.
Notre rôle est de faire en sorte que chacun puisse trouver sa place dans la mise en œuvre d’une initiative tout en développant des méthodes co-construites avec les parents des jeunes concernés.
Soutien aux dynamiques collectives
Nous encourageons les jeunes du quartier prioritaire à s’engager dans toutes formes de dynamiques collectives. Nous leur proposons des temps d’échanges et de concertation afin de les soutenir et les conseiller dans la mise en œuvre d’actions qui valorisent leur implication :
- Organisation d’une manifestation spécifique dans le cadre de la semaine du jeu au cours des vacances d’hiver (journée autour des jeux vidéo et sensibilisation avec l’association Ouest games)
- Participation à l’organisation des fêtes des écoles Buffon et Turpault en juin
- Accompagnement de jeunes dans la création de Junior Association
Place et rôle des parents : nous serons vigilants à ce que les démarches d’accompagnement soient concertées avec les parents. Nous favoriserons en priorité la participation de jeunes du quartier prioritaire dont les parents disposent de faibles revenus. Nous aurons également une attention particulière à la communication et à la valorisation des actions mises en place. En effet, l’implication des parents constitue une condition essentielle dans la mise en œuvre de ces actions.
L’idée est d’organiser des temps de travail autour de la notion d’engagement avec eux, les jeunes et les bénévoles et ainsi définir collectivement comment l’accompagnement des adultes envers les jeunes peut se matérialiser (ex : présence de parents et de bénévoles sur les temps d’ateliers, les actions d’autofinancement et le dispositif « Tu taffes et tu claques »).
Afin d’accueillir au mieux les jeunes et leur donner envie de s’impliquer pleinement dans cette démarche, il nous paraît primordial de travailler cette notion de lien entre les publics. Nous veillerons également à contractualiser avec les membres du groupe ; cette étape importante symbolise et concrétise le moment de l’engagement, celui où chaque individu devient membre d’un groupe porteur d’une initiative collective. La contractualisation peut aider à souder le groupe autour d’un engagement et d’objectifs communs.Que voulons-nous mettre en œuvre ?
Ateliers artistiques et culturels
A quoi cela sert-il ?
- Développer des espaces d’initiation et d’expérimentation
- Créer un rapprochement entre des jeunes issus d’horizons divers
- Favoriser les échanges, la concertation, l’entraide, fédérer autour d’une initiative commune
- Valoriser les jeunes grâce à des productions de qualité et leur donner confiance
Certains pensent que la curiosité culturelle et la création artistique ne font pas partie des priorités des jeunes des quartiers prioritaires car ils sont perturbés par des préoccupations économiques, éducatives, sociales et familiales. Pourtant, des jeunes que nous accueillons, mettent en avant le besoin de s’évader par la création artistique. C’est pourquoi nous soutenons leurs initiatives dans ce domaine.
Depuis plusieurs années, nous développons des actions de sensibilisation aux pratiques culturelles et des actions de création artistique. Dans le cadre de son orientation éducative et pédagogique, le centre social du Planty fait son maximum, en fonction de ses ressources pour intégrer la culture comme levier d'insertion sociale et ce, de manière transversale en direction des publics du quartier prioritaire.
De fait, depuis 4 ans, une amélioration en matière d'offre culturelle et artistique s'est opérée grâce à la mise en place de projets d’envergure à dimension culturelle :
- -Réalisation du film « Favreau, quand il y aura la mer » dans le cadre de Cinestival en 2014
- -Résidence Artistique « Listen To This » avec l’association angevine l’R de rien, tous les étés depuis 2014
- -Projet Graff « Respect » avec l’artiste Batiste Gandrille avec le collège Clémenceau en 2015
- -Ateliers Breakdance au Planty et au collège Clémenceau en 2016 et 2017
- -Organisation d’un concert dans le cadre de la fête de quartier avec l’association l’R de rien en 2017
- -Réalisation du court-métrage « De poils en étoiles » avec l’association 1.com1 en 2018
Il s’agit maintenant pour nous de conforter l'existant et de soutenir les nouvelles initiatives. Les pratiques d'expression artistique et de découverte culturelle nous apparaissent comme un atout dans le développement personnel des jeunes du quartier prioritaire, aussi bien en matière de connaissances et d’expériences qu’en matière de valorisation.
Quels apports pour les jeunes ?
- Explorer sa propre identité, être valorisé, tendre vers une meilleure estime de soi
- S’exprimer par le biais d’expérimentations artistiques
- Développer et valoriser leur créativité et leur investissement
- Développer la dimension collective et les échanges
- Etre acteur d’un projet culturel innovant
- Développer la confiance, l’autonomie et les prises de responsabilité
- Développer l’implication, l’écoute, la participation, la concentration, « le goût » de l’effort
Quels ateliers voulons-nous développer ?
- Création artistique « Et si on rappait en langue des signes »
Des jeunes des quartiers prioritaires Favreau - Les Mauges et Jean Monnet ont créé un collectif qui se réunira au centre social du Planty afin d’écrire et de composer un morceau de rap en langage oral et en langue des signes sur le thème de la lutte contre les discriminations. Ils réaliseront également une chorégraphie alliant hip hop et danse contemporaine, dans le but de tourner un clip, avec le soutien de l’association choletaise1.COM1.
L'écriture et la composition du rap se réaliseront pendant les vacances de printemps 2019. Durant cette période, les jeunes bénéficieront de la projection-débat de « Travail d'arabe » de Christian Philibert. Cette fiction nous servira de support pour les aider à réfléchir sur les préjugés que l'on peut avoir par rapport à l’origine ou les singularités. Les jeunes enregistreront ensuite leur morceau en studio.
Pendant les vacances d'été, les jeunes réaliseront le clip sur le morceau qu'ils auront créé au printemps. Une danseuse professionnelle leur fera découvrir l'art de la mise en scène et les aidera à transmettre leurs émotions grâce au langage universel du corps. L'association 1.COM1 leur fera découvrir l'outil audiovisuel et ses possibilités. Le clip réalisé pendant l'action, sera projeté en salle pour une séance débat et diffusé sur internet.
Cette création « Et si on rappait en langue des signes » s’inscrit complètement dans notre démarche. Notre expérience dans le cadre d’accompagnement d’initiatives de jeunes ainsi que notre connaissance de certains jeunes qui vont y participer sont des atouts supplémentaires dans la menée du projet.
Nous voulons permettre à ces jeunes de vivre l’expérimentation d’une activité artistique dans une dimension collective, participative et valorisante.
- Création artistique « Listen to this winter collection »
L’initiative « Listen To This » a vu le jour en 2014. Elle s’appuie sur un rapprochement entre l’association angevine L’R de Rien et un collectif d’artistes et d’animateurs socioculturels du département désireux de fédérer des jeunes autour de pratiques artistiques.
Chaque été, un collectif de jeunes du département participe à des ateliers pendant une semaine et se déplace chaque jour sur un nouveau pôle territorial afin de créer un spectacle présentant différentes disciplines (chant, danse, beat box, musique). Chacune des résidences artistiques s’est achevée par plusieurs prestations scéniques.
Cette année, de nouveaux jeunes repartiront sur les routes du département au mois de juillet pour créer la 6ème édition de « Listen To This ». Mais avant cela, nous allons accompagner des jeunes du quartier prioritaire dans l’organisation d’une résidence artistique pendant 3 jours au cours des vacances de février. 4 jeunes originaires du quartier Favreau - Les Mauges sont à l’initiative de cette action. Ils veulent présenter un concert de sensibilisation à destination des jeunes du département qui seraient intéressés pour participer la 6ème édition de Listen to this au cours du mois de juillet 2019
- Création artistique « Listen to this in Favreau »
Des jeunes du quartier prioritaire nous ont sollicités afin de les accompagner dans l’organisation d’un évènement dans le cadre de la fête de quartier Favreau - Les Mauges en juin 2019.
Ils veulent partager leur passion de la musique, du chant et de la danse et faire découvrir aux habitants du quartier ce qu’ils sont capables de faire, de transmettre ce qu’ils ont appris et donner envie à d’autres jeunes de faire comme eux.
Ils veulent créer un moment festif qui pourra concerner toutes les générations tout en faisant découvrir la culture urbaine aux personnes qui peuvent avoir certaines représentations négatives de celle-ci. Ils veulent montrer que leur univers artistique est riche, complexe et variée.
C’est aussi le moyen de modifier les préjugés que peuvent ressentir certaines personnes à l’égard de jeunes des quartiers et de ce à quoi ils s’intéressent.
C’est également pour eux l’occasion d’organiser un évènement festif sur le quartier et de donner une bonne image des jeunes du centre social. Voilà pourquoi, nous voulons accompagner une quinzaine de jeunes en amont de l’évènement afin de leur permettre de concevoir leur spectacle au travers d’ateliers de créations artistiques entre mars et juin 2019. La prestation scénique aura lieu en plein cœur du quartier Favreau - Les Mauges le 15 juin 2019. Au travers de leur initiative, nous voulons valoriser leur investissement et leur engagement.
Afin de mener à bien ces ateliers créatifs et participatifs qui laissent une empreinte et valorisent les jeunes du quartier prioritaire de la réflexion à la concrétisation, il nous faudra investir dans l’achat de matériel spécifique et nous appuyer sur les compétences techniques d’intervenants extérieurs.
« Tu taffes et tu claques »
A quoi cela sert-il ?
- Permettre aux jeunes d’appréhender la notion de travail collectif
- Apprendre aux jeunes à respecter des règles et des consignes de sécurité
- Favoriser une rencontre entre des jeunes axée sur la dimension d’effort collectif
- Développer la prise de responsabilité des jeunes et les aider à être acteurs de leurs loisirs
L’action « tu taffes et tu claques » est mise en place depuis le mois de juillet 2016. Celle-ci permet à des jeunes du quartier prioritaire de bénéficier de tarifs très réduits pour la mise en place d’actions de loisirs, en contrepartie de leur implication sur des travaux d’une demi-journée, ou d’une journée au centre social ou sur le quartier. Nous cherchons à valoriser la notion de travail, d’investissement, en permettant aux jeunes d’acquérir une première expérience dans ce domaine.
L’image des jeunes du quartier prioritaire peut être valorisée par la réalisation d’un travail représentant un intérêt pour les usagers du centre social et les habitants du quartier prioritaire.
Cette démarche aide les jeunes à prendre conscience qu’ils sont en capacité de financer une action ponctuelle et leur montre que l’équipe d’animation peut les soutenir dans la mise en œuvre d’autres initiatives (mise en place d’un atelier, organisation d’un bivouac ou d’un séjour…).
Accompagnement d’actions d’autofinancement
A quoi cela sert-il ?
- Développer l’engagement et la participation des jeunes du quartier prioritaire
- Prendre en compte leurs attentes et répondre à leurs besoins d’accompagnement
- Eveiller les potentialités de chacun et favoriser les prises de responsabilité
- Favoriser des dynamiques où les jeunes sont au centre d’un processus qui les concerne dans un cadre d’échange et de co-construction avec l’équipe d’animation, les parents et les bénévoles
Cet accompagnement spécifique s’appuie sur une logique d’implication des jeunes, des parents et des bénévoles. Des jeunes nous ont déjà fait part de leur volonté de s’investir sur plusieurs actions d’autofinancement au cours de l’année :
- Chantier loisirs concernant la réalisation d’une fresque sur un transformateur ENEDIS en février
- Organisation d’un loto le samedi 4 mai
- Resto Planty 4 fois dans l’année pour une vingtaine de personnes
- Fabrication de jus de pomme aux Landes Génusson en octobre
Par le biais de ces actions, nous aidons les jeunes à financer une partie de leurs initiatives. Leur donner l’opportunité de s’exprimer et d’agir leur donne confiance, les valorise et développe leur capacité d’initiative et d’engagement collectif.
Notre rôle est de faire en sorte que chacun puisse trouver sa place dans la mise en œuvre d’une initiative tout en développant des méthodes co-construites avec les parents des jeunes concernés.
Soutien aux dynamiques collectives
Nous encourageons les jeunes du quartier prioritaire à s’engager dans toutes formes de dynamiques collectives. Nous leur proposons des temps d’échanges et de concertation afin de les soutenir et les conseiller dans la mise en œuvre d’actions qui valorisent leur implication :
- Organisation d’une manifestation spécifique dans le cadre de la semaine du jeu au cours des vacances d’hiver (journée autour des jeux vidéo et sensibilisation avec l’association Ouest games)
- Participation à l’organisation des fêtes des écoles Buffon et Turpault en juin
- Accompagnement de jeunes dans la création de Junior Association
Place et rôle des parents : nous serons vigilants à ce que les démarches d’accompagnement soient concertées avec les parents. Nous favoriserons en priorité la participation de jeunes du quartier prioritaire dont les parents disposent de faibles revenus. Nous aurons également une attention particulière à la communication et à la valorisation des actions mises en place. En effet, l’implication des parents constitue une condition essentielle dans la mise en œuvre de ces actions.
L’idée est d’organiser des temps de travail autour de la notion d’engagement avec eux, les jeunes et les bénévoles et ainsi définir collectivement comment l’accompagnement des adultes envers les jeunes peut se matérialiser (ex : présence de parents et de bénévoles sur les temps d’ateliers, les actions d’autofinancement et le dispositif « Tu taffes et tu claques »).
Afin d’accueillir au mieux les jeunes et leur donner envie de s’impliquer pleinement dans cette démarche, il nous paraît primordial de travailler cette notion de lien entre les publics. Nous veillerons également à contractualiser avec les membres du groupe ; cette étape importante symbolise et concrétise le moment de l’engagement, celui où chaque individu devient membre d’un groupe porteur d’une initiative collective. La contractualisation peut aider à souder le groupe autour d’un engagement et d’objectifs communs.Que voulons-nous mettre en œuvre ?
Ateliers artistiques et culturels
A quoi cela sert-il ?
- Développer des espaces d’initiation et d’expérimentation
- Créer un rapprochement entre des jeunes issus d’horizons divers
- Favoriser les échanges, la concertation, l’entraide, fédérer autour d’une initiative commune
- Valoriser les jeunes grâce à des productions de qualité et leur donner confiance
Certains pensent que la curiosité culturelle et la création artistique ne font pas partie des priorités des jeunes des quartiers prioritaires car ils sont perturbés par des préoccupations économiques, éducatives, sociales et familiales. Pourtant, des jeunes que nous accueillons, mettent en avant le besoin de s’évader par la création artistique. C’est pourquoi nous soutenons leurs initiatives dans ce domaine.
Depuis plusieurs années, nous développons des actions de sensibilisation aux pratiques culturelles et des actions de création artistique. Dans le cadre de son orientation éducative et pédagogique, le centre social du Planty fait son maximum, en fonction de ses ressources pour intégrer la culture comme levier d'insertion sociale et ce, de manière transversale en direction des publics du quartier prioritaire.
De fait, depuis 4 ans, une amélioration en matière d'offre culturelle et artistique s'est opérée grâce à la mise en place de projets d’envergure à dimension culturelle :
- -Réalisation du film « Favreau, quand il y aura la mer » dans le cadre de Cinestival en 2014
- -Résidence Artistique « Listen To This » avec l’association angevine l’R de rien, tous les étés depuis 2014
- -Projet Graff « Respect » avec l’artiste Batiste Gandrille avec le collège Clémenceau en 2015
- -Ateliers Breakdance au Planty et au collège Clémenceau en 2016 et 2017
- -Organisation d’un concert dans le cadre de la fête de quartier avec l’association l’R de rien en 2017
- -Réalisation du court-métrage « De poils en étoiles » avec l’association 1.com1 en 2018
Il s’agit maintenant pour nous de conforter l'existant et de soutenir les nouvelles initiatives. Les pratiques d'expression artistique et de découverte culturelle nous apparaissent comme un atout dans le développement personnel des jeunes du quartier prioritaire, aussi bien en matière de connaissances et d’expériences qu’en matière de valorisation.
Quels apports pour les jeunes ?
- Explorer sa propre identité, être valorisé, tendre vers une meilleure estime de soi
- S’exprimer par le biais d’expérimentations artistiques
- Développer et valoriser leur créativité et leur investissement
- Développer la dimension collective et les échanges
- Etre acteur d’un projet culturel innovant
- Développer la confiance, l’autonomie et les prises de responsabilité
- Développer l’implication, l’écoute, la participation, la concentration, « le goût » de l’effort
Quels ateliers voulons-nous développer ?
- Création artistique « Et si on rappait en langue des signes »
Des jeunes des quartiers prioritaires Favreau - Les Mauges et Jean Monnet ont créé un collectif qui se réunira au centre social du Planty afin d’écrire et de composer un morceau de rap en langage oral et en langue des signes sur le thème de la lutte contre les discriminations. Ils réaliseront également une chorégraphie alliant hip hop et danse contemporaine, dans le but de tourner un clip, avec le soutien de l’association choletaise1.COM1.
L'écriture et la composition du rap se réaliseront pendant les vacances de printemps 2019. Durant cette période, les jeunes bénéficieront de la projection-débat de « Travail d'arabe » de Christian Philibert. Cette fiction nous servira de support pour les aider à réfléchir sur les préjugés que l'on peut avoir par rapport à l’origine ou les singularités. Les jeunes enregistreront ensuite leur morceau en studio.
Pendant les vacances d'été, les jeunes réaliseront le clip sur le morceau qu'ils auront créé au printemps. Une danseuse professionnelle leur fera découvrir l'art de la mise en scène et les aidera à transmettre leurs émotions grâce au langage universel du corps. L'association 1.COM1 leur fera découvrir l'outil audiovisuel et ses possibilités. Le clip réalisé pendant l'action, sera projeté en salle pour une séance débat et diffusé sur internet.
Cette création « Et si on rappait en langue des signes » s’inscrit complètement dans notre démarche. Notre expérience dans le cadre d’accompagnement d’initiatives de jeunes ainsi que notre connaissance de certains jeunes qui vont y participer sont des atouts supplémentaires dans la menée du projet.
Nous voulons permettre à ces jeunes de vivre l’expérimentation d’une activité artistique dans une dimension collective, participative et valorisante.
- Création artistique « Listen to this winter collection »
L’initiative « Listen To This » a vu le jour en 2014. Elle s’appuie sur un rapprochement entre l’association angevine L’R de Rien et un collectif d’artistes et d’animateurs socioculturels du département désireux de fédérer des jeunes autour de pratiques artistiques.
Chaque été, un collectif de jeunes du département participe à des ateliers pendant une semaine et se déplace chaque jour sur un nouveau pôle territorial afin de créer un spectacle présentant différentes disciplines (chant, danse, beat box, musique). Chacune des résidences artistiques s’est achevée par plusieurs prestations scéniques.
Cette année, de nouveaux jeunes repartiront sur les routes du département au mois de juillet pour créer la 6ème édition de « Listen To This ». Mais avant cela, nous allons accompagner des jeunes du quartier prioritaire dans l’organisation d’une résidence artistique pendant 3 jours au cours des vacances de février. 4 jeunes originaires du quartier Favreau - Les Mauges sont à l’initiative de cette action. Ils veulent présenter un concert de sensibilisation à destination des jeunes du département qui seraient intéressés pour participer la 6ème édition de Listen to this au cours du mois de juillet 2019
- Création artistique « Listen to this in Favreau »
Des jeunes du quartier prioritaire nous ont sollicités afin de les accompagner dans l’organisation d’un évènement dans le cadre de la fête de quartier Favreau - Les Mauges en juin 2019.
Ils veulent partager leur passion de la musique, du chant et de la danse et faire découvrir aux habitants du quartier ce qu’ils sont capables de faire, de transmettre ce qu’ils ont appris et donner envie à d’autres jeunes de faire comme eux.
Ils veulent créer un moment festif qui pourra concerner toutes les générations tout en faisant découvrir la culture urbaine aux personnes qui peuvent avoir certaines représentations négatives de celle-ci. Ils veulent montrer que leur univers artistique est riche, complexe et variée.
C’est aussi le moyen de modifier les préjugés que peuvent ressentir certaines personnes à l’égard de jeunes des quartiers et de ce à quoi ils s’intéressent.
C’est également pour eux l’occasion d’organiser un évènement festif sur le quartier et de donner une bonne image des jeunes du centre social. Voilà pourquoi, nous voulons accompagner une quinzaine de jeunes en amont de l’évènement afin de leur permettre de concevoir leur spectacle au travers d’ateliers de créations artistiques entre mars et juin 2019. La prestation scénique aura lieu en plein cœur du quartier Favreau - Les Mauges le 15 juin 2019. Au travers de leur initiative, nous voulons valoriser leur investissement et leur engagement.
Afin de mener à bien ces ateliers créatifs et participatifs qui laissent une empreinte et valorisent les jeunes du quartier prioritaire de la réflexion à la concrétisation, il nous faudra investir dans l’achat de matériel spécifique et nous appuyer sur les compétences techniques d’intervenants extérieurs.
« Tu taffes et tu claques »
A quoi cela sert-il ?
- Permettre aux jeunes d’appréhender la notion de travail collectif
- Apprendre aux jeunes à respecter des règles et des consignes de sécurité
- Favoriser une rencontre entre des jeunes axée sur la dimension d’effort collectif
- Développer la prise de responsabilité des jeunes et les aider à être acteurs de leurs loisirs
L’action « tu taffes et tu claques » est mise en place depuis le mois de juillet 2016. Celle-ci permet à des jeunes du quartier prioritaire de bénéficier de tarifs très réduits pour la mise en place d’actions de loisirs, en contrepartie de leur implication sur des travaux d’une demi-journée, ou d’une journée au centre social ou sur le quartier. Nous cherchons à valoriser la notion de travail, d’investissement, en permettant aux jeunes d’acquérir une première expérience dans ce domaine.
L’image des jeunes du quartier prioritaire peut être valorisée par la réalisation d’un travail représentant un intérêt pour les usagers du centre social et les habitants du quartier prioritaire.
Cette démarche aide les jeunes à prendre conscience qu’ils sont en capacité de financer une action ponctuelle et leur montre que l’équipe d’animation peut les soutenir dans la mise en œuvre d’autres initiatives (mise en place d’un atelier, organisation d’un bivouac ou d’un séjour…).
Accompagnement d’actions d’autofinancement
A quoi cela sert-il ?
- Développer l’engagement et la participation des jeunes du quartier prioritaire
- Prendre en compte leurs attentes et répondre à leurs besoins d’accompagnement
- Eveiller les potentialités de chacun et favoriser les prises de responsabilité
- Favoriser des dynamiques où les jeunes sont au centre d’un processus qui les concerne dans un cadre d’échange et de co-construction avec l’équipe d’animation, les parents et les bénévoles
Cet accompagnement spécifique s’appuie sur une logique d’implication des jeunes, des parents et des bénévoles. Des jeunes nous ont déjà fait part de leur volonté de s’investir sur plusieurs actions d’autofinancement au cours de l’année :
- Chantier loisirs concernant la réalisation d’une fresque sur un transformateur ENEDIS en février
- Organisation d’un loto le samedi 4 mai
- Resto Planty 4 fois dans l’année pour une vingtaine de personnes
- Fabrication de jus de pomme aux Landes Génusson en octobre
Par le biais de ces actions, nous aidons les jeunes à financer une partie de leurs initiatives. Leur donner l’opportunité de s’exprimer et d’agir leur donne confiance, les valorise et développe leur capacité d’initiative et d’engagement collectif.
Notre rôle est de faire en sorte que chacun puisse trouver sa place dans la mise en œuvre d’une initiative tout en développant des méthodes co-construites avec les parents des jeunes concernés.
Soutien aux dynamiques collectives
Nous encourageons les jeunes du quartier prioritaire à s’engager dans toutes formes de dynamiques collectives. Nous leur proposons des temps d’échanges et de concertation afin de les soutenir et les conseiller dans la mise en œuvre d’actions qui valorisent leur implication :
- Organisation d’une manifestation spécifique dans le cadre de la semaine du jeu au cours des vacances d’hiver (journée autour des jeux vidéo et sensibilisation avec l’association Ouest games)
- Participation à l’organisation des fêtes des écoles Buffon et Turpault en juin
- Accompagnement de jeunes dans la création de Junior Association
Place et rôle des parents : nous serons vigilants à ce que les démarches d’accompagnement soient concertées avec les parents. Nous favoriserons en priorité la participation de jeunes du quartier prioritaire dont les parents disposent de faibles revenus. Nous aurons également une attention particulière à la communication et à la valorisation des actions mises en place. En effet, l’implication des parents constitue une condition essentielle dans la mise en œuvre de ces actions.
L’idée est d’organiser des temps de travail autour de la notion d’engagement avec eux, les jeunes et les bénévoles et ainsi définir collectivement comment l’accompagnement des adultes envers les jeunes peut se matérialiser (ex : présence de parents et de bénévoles sur les temps d’ateliers, les actions d’autofinancement et le dispositif « Tu taffes et tu claques »).
Afin d’accueillir au mieux les jeunes et leur donner envie de s’impliquer pleinement dans cette démarche, il nous paraît primordial de travailler cette notion de lien entre les publics. Nous veillerons également à contractualiser avec les membres du groupe ; cette étape importante symbolise et concrétise le moment de l’engagement, celui où chaque individu devient membre d’un groupe porteur d’une initiative collective. La contractualisation peut aider à souder le groupe autour d’un engagement et d’objectifs communs.Que voulons-nous mettre en œuvre ?
- Ateliers artistiques et culturels
A quoi cela sert-il ?
- Développer des espaces d’initiation et d’expérimentation
- Créer un rapprochement entre des jeunes issus d’horizons divers
- Favoriser les échanges, la concertation, l’entraide, fédérer autour d’une initiative commune
- Valoriser les jeunes grâce à des productions de qualité et leur donner confiance
Certains pensent que la curiosité culturelle et la création artistique ne font pas partie des priorités des jeunes des quartiers prioritaires car ils sont perturbés par des préoccupations économiques, éducatives, sociales et familiales. Pourtant, des jeunes que nous accueillons, mettent en avant le besoin de s’évader par la création artistique. C’est pourquoi nous soutenons leurs initiatives dans ce domaine.
Depuis plusieurs années, nous développons des actions de sensibilisation aux pratiques culturelles et des actions de création artistique. Dans le cadre de son orientation éducative et pédagogique, le centre social du Planty fait son maximum, en fonction de ses ressources pour intégrer la culture comme levier d'insertion sociale et ce, de manière transversale en direction des publics du quartier prioritaire.
De fait, depuis 4 ans, une amélioration en matière d'offre culturelle et artistique s'est opérée grâce à la mise en place de projets d’envergure à dimension culturelle :
- -Réalisation du film « Favreau, quand il y aura la mer » dans le cadre de Cinestival en 2014
- -Résidence Artistique « Listen To This » avec l’association angevine l’R de rien, tous les étés depuis 2014
- -Projet Graff « Respect » avec l’artiste Batiste Gandrille avec le collège Clémenceau en 2015
- -Ateliers Breakdance au Planty et au collège Clémenceau en 2016 et 2017
- -Organisation d’un concert dans le cadre de la fête de quartier avec l’association l’R de rien en 2017
- -Réalisation du court-métrage « De poils en étoiles » avec l’association 1.com1 en 2018
Il s’agit maintenant pour nous de conforter l'existant et de soutenir les nouvelles initiatives. Les pratiques d'expression artistique et de découverte culturelle nous apparaissent comme un atout dans le développement personnel des jeunes du quartier prioritaire, aussi bien en matière de connaissances et d’expériences qu’en matière de valorisation.
Quels apports pour les jeunes ?
- Explorer sa propre identité, être valorisé, tendre vers une meilleure estime de soi
- S’exprimer par le biais d’expérimentations artistiques
- Développer et valoriser leur créativité et leur investissement
- Développer la dimension collective et les échanges
- Etre acteur d’un projet culturel innovant
- Développer la confiance, l’autonomie et les prises de responsabilité
- Développer l’implication, l’écoute, la participation, la concentration, « le goût » de l’effort
Quels ateliers voulons-nous développer ?
- Création artistique « Et si on rappait en langue des signes »
Des jeunes des quartiers prioritaires Favreau - Les Mauges et Jean Monnet ont créé un collectif qui se réunira au centre social du Planty afin d’écrire et de composer un morceau de rap en langage oral et en langue des signes sur le thème de la lutte contre les discriminations. Ils réaliseront également une chorégraphie alliant hip hop et danse contemporaine, dans le but de tourner un clip, avec le soutien de l’association choletaise1.COM1.
L'écriture et la composition du rap se réaliseront pendant les vacances de printemps 2019. Durant cette période, les jeunes bénéficieront de la projection-débat de « Travail d'arabe » de Christian Philibert. Cette fiction nous servira de support pour les aider à réfléchir sur les préjugés que l'on peut avoir par rapport à l’origine ou les singularités. Les jeunes enregistreront ensuite leur morceau en studio.
Pendant les vacances d'été, les jeunes réaliseront le clip sur le morceau qu'ils auront créé au printemps. Une danseuse professionnelle leur fera découvrir l'art de la mise en scène et les aidera à transmettre leurs émotions grâce au langage universel du corps. L'association 1.COM1 leur fera découvrir l'outil audiovisuel et ses possibilités. Le clip réalisé pendant l'action, sera projeté en salle pour une séance débat et diffusé sur internet.
Cette création « Et si on rappait en langue des signes » s’inscrit complètement dans notre démarche. Notre expérience dans le cadre d’accompagnement d’initiatives de jeunes ainsi que notre connaissance de certains jeunes qui vont y participer sont des atouts supplémentaires dans la menée du projet.
Nous voulons permettre à ces jeunes de vivre l’expérimentation d’une activité artistique dans une dimension collective, participative et valorisante.
- Création artistique « Listen to this winter collection »
L’initiative « Listen To This » a vu le jour en 2014. Elle s’appuie sur un rapprochement entre l’association angevine L’R de Rien et un collectif d’artistes et d’animateurs socioculturels du département désireux de fédérer des jeunes autour de pratiques artistiques.
Chaque été, un collectif de jeunes du département participe à des ateliers pendant une semaine et se déplace chaque jour sur un nouveau pôle territorial afin de créer un spectacle présentant différentes disciplines (chant, danse, beat box, musique). Chacune des résidences artistiques s’est achevée par plusieurs prestations scéniques.
Cette année, de nouveaux jeunes repartiront sur les routes du département au mois de juillet pour créer la 6ème édition de « Listen To This ». Mais avant cela, nous allons accompagner des jeunes du quartier prioritaire dans l’organisation d’une résidence artistique pendant 3 jours au cours des vacances de février. 4 jeunes originaires du quartier Favreau - Les Mauges sont à l’initiative de cette action. Ils veulent présenter un concert de sensibilisation à destination des jeunes du département qui seraient intéressés pour participer la 6ème édition de Listen to this au cours du mois de juillet 2019
- Création artistique « Listen to this in Favreau »
Des jeunes du quartier prioritaire nous ont sollicités afin de les accompagner dans l’organisation d’un évènement dans le cadre de la fête de quartier Favreau - Les Mauges en juin 2019.
Ils veulent partager leur passion de la musique, du chant et de la danse et faire découvrir aux habitants du quartier ce qu’ils sont capables de faire, de transmettre ce qu’ils ont appris et donner envie à d’autres jeunes de faire comme eux.
Ils veulent créer un moment festif qui pourra concerner toutes les générations tout en faisant découvrir la culture urbaine aux personnes qui peuvent avoir certaines représentations négatives de celle-ci. Ils veulent montrer que leur univers artistique est riche, complexe et variée.
C’est aussi le moyen de modifier les préjugés que peuvent ressentir certaines personnes à l’égard de jeunes des quartiers et de ce à quoi ils s’intéressent.
C’est également pour eux l’occasion d’organiser un évènement festif sur le quartier et de donner une bonne image des jeunes du centre social. Voilà pourquoi, nous voulons accompagner une quinzaine de jeunes en amont de l’évènement afin de leur permettre de concevoir leur spectacle au travers d’ateliers de créations artistiques entre mars et juin 2019. La prestation scénique aura lieu en plein cœur du quartier Favreau - Les Mauges le 15 juin 2019. Au travers de leur initiative, nous voulons valoriser leur investissement et leur engagement.
Afin de mener à bien ces ateliers créatifs et participatifs qui laissent une empreinte et valorisent les jeunes du quartier prioritaire de la réflexion à la concrétisation, il nous faudra investir dans l’achat de matériel spécifique et nous appuyer sur les compétences techniques d’intervenants extérieurs.
- « Tu taffes et tu claques »
A quoi cela sert-il ?
- Permettre aux jeunes d’appréhender la notion de travail collectif
- Apprendre aux jeunes à respecter des règles et des consignes de sécurité
- Favoriser une rencontre entre des jeunes axée sur la dimension d’effort collectif
- Développer la prise de responsabilité des jeunes et les aider à être acteurs de leurs loisirs
L’action « tu taffes et tu claques » est mise en place depuis le mois de juillet 2016. Celle-ci permet à des jeunes du quartier prioritaire de bénéficier de tarifs très réduits pour la mise en place d’actions de loisirs, en contrepartie de leur implication sur des travaux d’une demi-journée, ou d’une journée au centre social ou sur le quartier. Nous cherchons à valoriser la notion de travail, d’investissement, en permettant aux jeunes d’acquérir une première expérience dans ce domaine.
L’image des jeunes du quartier prioritaire peut être valorisée par la réalisation d’un travail représentant un intérêt pour les usagers du centre social et les habitants du quartier prioritaire.
Cette démarche aide les jeunes à prendre conscience qu’ils sont en capacité de financer une action ponctuelle et leur montre que l’équipe d’animation peut les soutenir dans la mise en œuvre d’autres initiatives (mise en place d’un atelier, organisation d’un bivouac ou d’un séjour…).
- Accompagnement d’actions d’autofinancement
A quoi cela sert-il ?
- Développer l’engagement et la participation des jeunes du quartier prioritaire
- Prendre en compte leurs attentes et répondre à leurs besoins d’accompagnement
- Eveiller les potentialités de chacun et favoriser les prises de responsabilité
- Favoriser des dynamiques où les jeunes sont au centre d’un processus qui les concerne dans un cadre d’échange et de co-construction avec l’équipe d’animation, les parents et les bénévoles
Cet accompagnement spécifique s’appuie sur une logique d’implication des jeunes, des parents et des bénévoles. Des jeunes nous ont déjà fait part de leur volonté de s’investir sur plusieurs actions d’autofinancement au cours de l’année :
- Chantier loisirs concernant la réalisation d’une fresque sur un transformateur ENEDIS en février
- Organisation d’un loto le samedi 4 mai
- Resto Planty 4 fois dans l’année pour une vingtaine de personnes
- Fabrication de jus de pomme aux Landes Génusson en octobre
Par le biais de ces actions, nous aidons les jeunes à financer une partie de leurs initiatives. Leur donner l’opportunité de s’exprimer et d’agir leur donne confiance, les valorise et développe leur capacité d’initiative et d’engagement collectif.
Notre rôle est de faire en sorte que chacun puisse trouver sa place dans la mise en œuvre d’une initiative tout en développant des méthodes co-construites avec les parents des jeunes concernés.
- Soutien aux dynamiques collectives
Nous encourageons les jeunes du quartier prioritaire à s’engager dans toutes formes de dynamiques collectives. Nous leur proposons des temps d’échanges et de concertation afin de les soutenir et les conseiller dans la mise en œuvre d’actions qui valorisent leur implication :
- Organisation d’une manifestation spécifique dans le cadre de la semaine du jeu au cours des vacances d’hiver (journée autour des jeux vidéo et sensibilisation avec l’association Ouest games)
- Participation à l’organisation des fêtes des écoles Buffon et Turpault en juin
- Accompagnement de jeunes dans la création de Junior Association
Place et rôle des parents : nous serons vigilants à ce que les démarches d’accompagnement soient concertées avec les parents. Nous favoriserons en priorité la participation de jeunes du quartier prioritaire dont les parents disposent de faibles revenus. Nous aurons également une attention particulière à la communication et à la valorisation des actions mises en place. En effet, l’implication des parents constitue une condition essentielle dans la mise en œuvre de ces actions.
L’idée est d’organiser des temps de travail autour de la notion d’engagement avec eux, les jeunes et les bénévoles et ainsi définir collectivement comment l’accompagnement des adultes envers les jeunes peut se matérialiser (ex : présence de parents et de bénévoles sur les temps d’ateliers, les actions d’autofinancement et le dispositif « Tu taffes et tu claques »).
Afin d’accueillir au mieux les jeunes et leur donner envie de s’impliquer pleinement dans cette démarche, il nous paraît primordial de travailler cette notion de lien entre les publics. Nous veillerons également à contractualiser avec les membres du groupe ; cette étape importante symbolise et concrétise le moment de l’engagement, celui où chaque individu devient membre d’un groupe porteur d’une initiative collective. La contractualisation peut aider à souder le groupe autour d’un engagement et d’objectifs communs.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
27800.00€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
4 animateurs
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
les jardins partagés
- Structure organisatrice
- CS/MPT LA SOLIDARITE - Bouches-du-Rhône
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Résumé
le centre social dans le cadre de ses missions, se doit d'accompagner les habitants dans la transformation urbaine et doit permettre de développer le sens de la participation pour l'amélioration du cadre de vie et la responsabilisation. les jardins partagés permettent de rassembler autour d'un bien commun, des familles de toutes générations et catégories sociales confondues. un jardin partagé est un jardin sui se conçoit, se construit et se cultive ensemble. il offre à chacun la possibilité de travailler à une réalisation commune. il suppose une concertation et une coopération entre les jardiniers, les habitants, le logeur et les partenaires éventuels et ceci dans la durée. c'est jardins partagés dient " les jardins des possibles" sont mis à disposition des enfants, des habitants de la zone de vie sociale pour mettre des temps pédagogiques autour de la dimension (compost, agriculture, biodiversité et l'éducation au développement durable).
les objectifs de l'action: former les habitants à l'activité jardin- former et sensibiliser au respect de l'environnement, créer des temps conviviaux et festifs sur les jardins pour favoriser l'entraide et la mixité- favoriser la construction de projets collectifs.
ces parcelles sont mise à disposition par l'animateur jardin et reste ouvert toute la semaine weekend compris. les jardiniers signent une charte d'engagement sur le respect de l'environnement et de ne pas utiliser des polluants (pesticides..). l'action prévoit de mettre à dispostion une parcelle pour les écoles et notre centre de loisirs intégrant une approche sensorielle et ludique. ainsi ce jardins permet d'accueillir tous les publics tous les jours afin d'observer les évolutions de la nature et durant toutes les saisons.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
le centre social est situé au coeur d'une cité qui fait l'objet d'une lourde transformation urbaine. le projet consiste à accompagner les habitant face à cette pression urbaine et au bétonnage, à l'effritement du lien social et des valeurs. nos jardins partagés souligne la volonté d'améliorer le cadre de vie, de se réapproprier les nouveaux espaces pour y intégrer d'avantage de nature dans le quotidien et de bien être psychologique.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
cette démarche est innovante. Elle consiste à accompagner un groupe de participants volontaires (habitants, acteurs, bénévoles) au cours de réunions de travail. Les habitantss bénéficient ainsi d’un cadre qui les invite à comprendre les enjeux, à échanger et proposer une liste d’actions en faveur de la biodiversité. L’accompagnement fait émerger de nouvelles formes de gouvernance car la démarche préconisée incite, non seulement les habitants à imaginer les actions, mais aussi à les mettre en place eux-mêmes.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
4850€ du logeur et et 4000 du cget
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 animateur jardin - 1 médiatrice et un bénévole
- Résultat sur le territoire
amélioration du cadre de vie- développer la participation des habitants et soutenir les initiatives locales.
- Résultat pour le centre social
capter un nouveau public, l'émergence de nouvelles actions
- Résultat pour les habitants
amélioration du quotidien des habitants-meilleur appropriation des espaces de vie dans le quartier- e^tre à l'initiative d'une activité favorisant la rencontre le partage et l'échange avec une dimension intergénérationnelle.
- Suite de l'action : Limites
agrandir cet espace et demander au logeur une extension du terrain mis à disposition.
- Suite de l'action : Perspectives
agrandissement de la parcelle
Actions
MULTIMEDIA - Ateliers informatique adultes
- Structure organisatrice
- LES PASSERELLES SUR CEZE - Gard
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Ateliers multimédia : connaissance de base, installation et désinstallation de logiciels, petite maintenance, apprentissage de transfert de photos, retouches et envoi, utilisation de sites et réseaux sociaux (CAF, CARSAT, Pôle Emploi, Améli, impôts...)
Apprendre à sécuriser sa box
Accès libre à des ordinateurs : recherches, démarches administratives, échanges et approfondissements de savoirs...
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Lutter contre la fracture numérique
Anticiper les risques liés à la fracture numérique pour les publics en situation de fragilité liés à des conditions socio-économiques et/ou au phénomène de vieillissement de la population du quartier prioritaire
Développer le lien social, la valorisation des personnes et la solidarité
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Démarrage de l'action en 2012
Animation de 5 ateliers d'1h30 par semaine - Groupes de 6 personnes
129 ateliers sur l'année
Accès libre : une fois par semaine pendant 2h
Trois groupes de niveaux débutant, moyen, avancé
- Ressources financières mobilisées pour cette action
9300 euros dont 3200 euros d'intervenant spécialisés et 3200 euros de charges de personnel et 1400 euros de valorisation de bénévolat
4000 euros de subventions dans le cadre de la politique de la ville
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 animatrice
1 bénévole
1 intervenant spécialisé
- Résultat sur le territoire
43 femmes et 11 hommes de 42 à 70 ans ont participé à ces ateliers dont 60% habitant le quartier prioritaire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Renforcement de l'autonomie
- Echanges de savoirs-faire pour développer la confiance en soi et la solidarité
- Approfondissement des savoirs
- Réussite dans les recherches, facilitation dans les démarches administratives
- Suite de l'action : Limites
Moyens financiers réduits, surface disponible limitée,
- Suite de l'action : Perspectives
Continuité de l'action en partenariat avec d'autres acteurs du territoire ; volonté de création d'une e-pépinière
Actions
MA SANTE J'EN PRENDS SOIN
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ET SOCIO CULTUREL DU PUCHOT - Seine-Maritime
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Santé
- Précarité
- Intégration
- Mixité sociale
- Résumé
L’approche privilégie un large partenariat associant la population, les professionnels médicaux, sanitaires et sociaux, l’Education Nationale et les collectivités territoriales, l’équipe pluridisciplinaire de l’association.
Objectifs généraux :
Faciliter l’accès de tous à la prévention, aux droits et aux soins, et notamment les plus démunis.
Promouvoir la santé en agissant sur le renforcement des compétences et l’adoption de comportements favorables à la santé
Projet :
Organisation de plusieurs temps forts (forum, rendez-vous santé, animation…) dans l’année autour du thème « Ma santé, j’en prends soin » :
-
Mise en place d’ateliers hebdomadaires : Gymnastique douce, détente/bien être et marches actives
-
Proposition dans les écoles primaires et/ou maternelles d’Elbeuf, ainsi qu’auprès des jeunes des centres de loisirs du quartier, des animations autour de la nutrition, l’hygiène bucco-dentaire, le sommeil... Les thématiques pourront être modifiées selon les besoins et le travail avec les différents partenaires.
-
Ce projet s’appuie sur un groupe « d’habitants acteurs » :
-
Ces habitants s’informent et se forment sur des thèmes de santé globale leur permettant :
-
De bénéficier de connaissances en santé par des temps d’échanges avec des professionnels de santé, tels que diététicienne, médecins généralistes, spécialistes et associations médico-sociales ou par des conférences, initiatives locales.
-
. Ces habitants s'impliquent , ce qui favorise leur participation lors du forum, des ateliers, des animations auprès des écoles et des rendez-vous santé
Il s'appuie également sur le réseau partenarial local
-
Repérer et associer les partenaires pour la réalisation du projet.
-
Proposer aux établissements scolaires à inscrire notre action « Ma santé j’en prends soin » dans le cadre des projets pédagogiques.
-
Assurer un partenariat avecl’Atelier Santé Ville du territoire Elbeuvien .
-
Mise en place d'activités physique régulières, toutes lles emaines tel détente, gymnastique et marches actives.
-
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Notre projet s’inscrit dans la démarche partenariale de l’Atelier Santé Ville, en étant attentifs à répondre aux besoins recensés lors du diagnostic de territoire effectué. Nous souhaitions une sensibilisation, une prévention sur différents thèmes de santé permettant aux personnes de se faire suivre sur le plan médical.
Ce projet existant depuis plusieurs années est globalement positif tant sur le travail de partenariat, la mobilisation du public, les nouveaux projets au sein des écoles, la participation et l’approbation ou appropriation du projet par le groupe d’habitants d’acteurs.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Constitutuion d'un groupe d'habitants, qui se forme puis transmets ses connaissances en créant différents supports appropriés aux enfants selon leur âges .Ces habitants interviennent dans les écoles, centre de loisirs, RPA...
Le forum santé (1 semaine par an ) ou l'on choisit des thématiques qui soont abordées sous diverses formes telles conférences, dépistages, jeux, ateliers... en faisant appels aux intervenants médicaux sociaux de proximité.
3 ateliers hebdomadaires : gymnatique, détente, marche active
- Ressources financières mobilisées pour cette action
35000 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
32 habitants acteurs
environs 450 personnes différents à chaque forum. 250 élèves de la ville Elbeuf
82 personnes différentes participents aux atelers sportifs.
- Résultat sur le territoire
Un groupe d’habitants acteurs résidant essentiellement en QPV présent, actif et dynamique :
-
Un groupe qui se renouvelle
-
Un groupe présent lors des préparations et présent dans leurs engagements
-
Un groupe qui acquière de nouvelles connaissances, se forme et transmet son savoir
-
Certaines personnes prennent confiance dans leur capacité d’animer
-
Certaines personnes du groupe ont plus de facilité dans leur démarche de santé.
-
La plupart des personnes du groupe réinvestissent ce qu’elles ont appris dans leurs pratiques quotidiennes.
-
Implication de nouveaux bénévoles
-
Relais et accompagnement des nouveaux bénévoles par le groupe habitant acteurs.
Des taux de fréquentation très satisfaisants et certaines personnes redécouvrent l’importance de l’activité physique régulière :
Un partenariat important avec les acteurs de santé du territoire
Une approche plus individualisée auprès des professeurs des écoles concernées donnant lieu à une collaboration plus constructive tant sur la préparation que sur le contenu de nos interventions
-
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
Cette démarche permet
-
Orienter les familles et/ou personnes dans les démarches et demandes d’accès aux droits et aux soins
-
Faire connaitre les professionnels de santé du territoire
-
Organiser des rencontres sur l’accès aux droits
-
Rendre accessible les différents actes médicaux préventifs (dépistage, vaccinations….).
-
De rendre les habitants acteurs dans leur quartier, de parler de leur santé plus aisément et d'éssaimer des messages de santé auprès de leur famille, entourage.
-
- Suite de l'action : Limites
Les thématiques lors des forums se répètent.
De nombreuses sollicitations de la part des écoles maternelles et /ou primaires, les bénévoles peuvent s'épuiser.
L'accompagnement des bénévoles demande disponibilité et temps de présence accrue.
- Suite de l'action : Perspectives
Dans le cadre de l'atelier santé ville, nous allons proposer une formation auprès des parents d'élèves interrèssés afin d'accroitre les interventions dans les écoles.
Actions
seniors actifs et citoyen
- Structure organisatrice
- LA LUTECE .VALENTON - Val-de-Marne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Démocratie & citoyenneté
- Viellissement
- Résumé
lutter contre les risques de fragilisation sociale : informer, conseiller et accompagner l’ensemble des retraités.
- Développer des actions collectives de prévention.
- Prévenir l’isolement social, culturel et technologique des séniors tout en favorisant du lien social et culturel entre les générations autour de la vie locale (et de l’information).
Différents objectifs opérationnels se mettent en place avec des activités de lien social et culturel. (informatique et dématérialisation, échange de savoirs, sorties culturelles et récréatives, gymnastique douce, atelier mémoire, atelier nutrition ou mobilité, atelier histoires courtes (souvenirs d'enfance et histoires de vie) et veillées pour les familles ou les hisrtoires sont racontées.)
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
cette action a été mise en place à la demande des séniors et renforcée chaque année lors des évaluations trimestrielles. C'est une ouverture citoyenne et multigénérationnelle. Les résultats attendus sont un accompagnement vers un "bien vieillir", une lutte contre l'isolement social et une transmission sociale et culturelle vers les plus jeunes.
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
elle s'étoffe et s'alimente chaque année avec le concours des retraités depuis 2015. Elle est menée par 3 animateurs pour l'ensemble des animations, 2 bénévoles pour les ateliers échanges de savoirs et avec l'aide ponctuelle de 2 intervenants : gymnastique hebdomadaire et PRIF avec 1 ou 2 ateliers annuels sur 5/6 séances
- Ressources financières mobilisées pour cette action
elle a débuté en 2015 avec 3 ateliers. Des groupes de séniors ont été rencontrés pour connaître leurs besoins, lors des diagnostics en 2010/2014/2018 des questionnaires, porte à porte, rencontres sur le marché, à la bibliothéque, au service retraités de la ville ont permis de connaître les besoins du territoire. Des activités ont commencé à se mettre en place : l'informatique, des ateliers avec le PRIF, des sorties, un atelier contes avec des spectacles à la bibliothéque et au centre social et au fil des années les séniors ont pris des initiatives : échanges de savoirs : d'abord tricot, puis couture, puis broderie est venu ensuite en 2018 la gymnastique, le groupe de paroles sur les souvenirs,la participation à des évènements du centre f^éte du jeu, spectacle du groupe femmes en à venir et ont émmergé la création d'histoires courtes pour les familles du CLAS. La citoyenneté favorise la mixité des publics et permet l'émergence de groupes créatifs au bénéfice de tous.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
90 personnes, 6 professionnels, 10 bénévoles et 10 bénévoles du CA? CREER
- Résultat sur le territoire
PERMET EN 2018/2019 DE COCONSTRUIRE AVEC LA VILLE ET LES ASSOCIATIONS LOCALES UN GUIDE D'ACTIVITéS SéNIORS
- Résultat pour le centre social
permet de l'intergénérationnel, des rencontres entre retraités et familles
- Résultat pour les habitants
participation active à la vie de la cité
- Suite de l'action : Limites
vieillissement des personnes et à moyen terme difficultés pour les plus handicapés à se déplacer au centre social
- Suite de l'action : Perspectives
accueillir des retraités, développer des projets citoyen, développer l'entraide et l'intergénérationnel, créer à moyen terme un livret avec toutes les histoires racontées et en faire un évènement culturel.
Actions
JARDIN CITOYEN
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIOCULTUREL DE ROYAN - Charente-Maritime
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Environnement
- Résumé
Implanter un jardin citoyen aux pieds des immeubles d'habitat social
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Créer du lien intergénarationnel, sensibliser à l'environnement.
Créer du lien social et un lieu convivial
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Un premier groupe projet s'est saisi de ce projet. Une fois les premières réalisations faites, des ateliers réguliers ont été organisés tous les mercredis. Cette régularité a permis aux habitants de s'emparer pleinement du projet. Les voisins ont commencé à descendre des immeubles et à participer. Petit à petit des initiatives de plus grande envergure ont vu le jour : troc de graines, chasse aux oeuf, fête du jardin. Un collectif s'est constitué et maintenant une vingtaine de personnes se retrouvent tous les mercredis pour travailler la terre ou confectionner des décos ensemble. Les habitants arrosent tout au long de la semaine et s'approprient le jardin.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le coût est d'environ 6000 euros par an pour couvrir les achats de matériel et les charges de personnel de l'animatrice en charge du projet
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 professionnelle, 50 bénévoles
- Résultat sur le territoire
De nombreuses intitiatives festives organisées. Un atelier très vivant tous les mercredis, des habitants qui viennent régulièrement s'y promener ou y travailler. De plus ce jardin embellit le quartier
- Résultat pour le centre social
Des habitants mobilisés , une dynamique de quartier créée
- Résultat pour les habitants
Un nouveau lieu convivial, des légumes et des fruits en libre accès, des ateliers et de la vie sur le territoire
- Suite de l'action : Limites
Difficile de maintenir l'action si l'animatrice ne fédère pas les bénévoles
- Suite de l'action : Perspectives
Développer un verger et d'autres lieux pour répondre à la demande des habitants
Actions
Forum des métiers
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL MAISON DE LA CHALLE - Val-d'Oise
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
- Action annuelle renouvelée en 2019
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Emploi, économie
- mobilité / transport
- Résumé
- Le Forum des Métiers est un rendez-vous bien repéré par les établissements scolaires d’Eragny ainsi que les intervenants (professionnels et Centres de Formation) qui partagent leur temps et leurs compétences pour un rendez-vous unique sur l’Agglomération. Sur chaque édition, plus de 300 jeunes et leur famille fréquentent ce Forum des Métiers.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Les objectifs poursuivis en 2018 - Permettre aux jeunes mais aussi à leurs parents, de s’informer sur les questions relatives à l’orientation et au projet professionnel - Faciliter la découverte de filières de formation et de métiers peu connus - Favoriser les échanges directs entre jeunes et professionnels - Associer des acteurs économiques d’Eragny/du territoire
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
- Déroulement du samedi 24 novembre Les intervenants sont accueillis dès 8h le samedi matin et sont installés par pôle de métiers. La manifestation accueille le public à partir de 9h et elle est clôturée par un discours de Monsieur le Maire, suivi d’un cocktail en direction des intervenants et agents de la ville à 13h. Des élèves du lycée de Jouy le Moutier renforcent le pôle accueil, avec 4 hôte(se)s. En relais des échanges avec les professionnels, un pôle d’intervenant est présent pour détailler les filières et un autre pôle assure le lien entre les jeunes et les professionnels. Les intervenants, animations et nouveautés 2018 : L’équipe d’animation, s’appuyant sur les orientations formulées par les établissements scolaires, proposent un nouveau programme riche en interventions en amont et en aval du forum : - Visite des lycées professionnels : De mi-novembre à mi-février, les élèves pourront visiter 4 à 6 établissements pour découvrir les filières et apprendre à s’y rendre en transport. Ces sorties sont accompagnées par un animateur jeunesse, un référent de parcours PRE et un éducateur de la Sauvegarde. - Animation « le métier rêvé » animation interactive présentée par l’agence Olympio portant sur les représentations professionnelles et visant à confronter et réexaminer certains stéréotypes. - Quizz sur l’alternance et l’orientation : une animation interactive s’appuyant sur la plateforme beekast sera proposée. Les visiteurs utiliseront leur smartphone pour répondre à des questions qui seront projetés sur écran géant. - Visite du théâtre de l’Usine : Les visiteurs pourront à 11h visiter les coulisses du théâtre et découvrir les métiers du spectacle. - Atelier « Aller au lycée » : un atelier en partenariat avec la STIVO informera et préparera les élèves à leur futur déplacement pour accéder à leur établissement scolaire. Une cartographie des transports, créée pour l’événement, sera exposée en salle. - Simulation d’entretien et savoir être dans le cadre d’une recherche de stage ou d’alternance : Les jeunes s’exerceront aux techniques d’entretien et pourront recevoir les conseils d’une coach. - Ambassadeurs/ tuteurs : des jeunes éragniens de la première à bac + 3 seront là pour partager leur expérience et leur conseil avec les collégiens. Comment se passe l’alternance ? Quelles sont les difficultés lorsque l’on rentre en sixième ?
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- 1500 E
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- 350
- Résultat sur le territoire
- Éviter le décrochage scolaire meilleure connaissance des acteurs économiques du territoire qui sont fédérés autour d'un projet commun
- Résultat pour le centre social
- Faire connaitre l'Espace Initiatives Jeunes Renforcer le travail partenarial
- Résultat pour les habitants
- Lien Ado / parents Créer du dialogue autour de l'orientation
- Suite de l'action : Limites
- Action limitée à la taille de la salle
- Suite de l'action : Perspectives
- Action renouvelé en 2019 avec une volonté de l'élargir à de nouvelles communes Partenariat avec Safran pour ingénieurie et filles
Actions
Journée citoyenne et républicaine édition 2018 : Mobilisation contre l'endoctrinement et la radicalisation.
- Structure organisatrice
- ASSOCIATION CULTURE LOISIRS EDUCATION (CLE) - Territoire de Belfort
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Journée citoyenne et républicaine du vendredi 30 novembre 2018.
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Vendredi 30 novembre 2018
Journée Citoyenne et Républicaine
Mobilisation contre l'endoctrinement et la radicalisation
de 9h à 23h, et davantage...
Salle de spectacle de la Pépinière
13, Rue Georges Danton - 90000 BELFORT
Dans le cadre de la Journée Citoyenne et Républicaine édition 2018, l’Association Culture Loisirs Education d’Offemont (CLE) a organisé à l'échelle du Territoire de Belfort, une manifestation majeure portée sur la formation, la mobilisation contre les dérives sectaires, l’endoctrinement et les risques de radicalisation.
Cette action était soutenue par les pouvoirs publics, les différents coopérateurs institutionnels dont la Préfecture du Territoire de Belfort, la CAF du Territoire de Belfort, la Région Bourgogne – Franche Comté, le Conseil Départemental du Territoire de Belfort, Le Grand Belfort, la commune d'Offemont.
Cette journée citoyenne a été l'occasion d'un grand rassemblement inter disciplinaire, au cours duquel tous les professionnels intéressés et interpelés au quotidien dans leur pratique ont eu un temps d'écoute, de formation, d'échanges, de réflexion, d'émotion et de partage.
Cette journée s’est déroulée : Vendredi 30 Novembre 2018 à la salle de spectacle de la Pépinière ainsi qu’au LP Diderot de BAVILLIERS.
Cette journée a été co animée par Marion STALENS, réalisatrice et Assad MOKHENACHE, Directeur de la CLE d’Offemont.
Marion STALENS, photographe et réalisatrice de renom, auteure de nombreux documentaires explorant de façon singulière des sujets de société prégnants, tels que la condition des femmes, l’immigration, le handicap, l’Afrique, la liberté d’expression.
Le documentaire « Revenantes » de Marion STALENS déjà diffusé sur France Télévision donne la parole à des femmes qui ont réussi à prendre suffisamment de recul pour raconter leur bascule dans la radicalisation qui a menée certaines d’entre elles au cœur de l’enfer de Daech en Syrie. Les questions qui traversent tout le documentaire : Comment plusieurs femmes ont pu adhérer à l’idéologie jihadiste ? Quels sont les ressorts qui les ont poussés à s’en sortir ?
Cette journée citoyenne et républicaine a comporté 3 temps forts (ateliers) :
1. Temps de formation, échange – débats autour notamment du travail d'enquête, d'investigation et de réalisation du documentaire "Revenantes" de 9h à 12h avec les professionnels intéressés par la problématique notamment de l’endoctrinement et de la radicalisation.
2. Rencontre et échanges avec des lycéens du LP DIDEROT à Bavilliers : Echange – débat à partir du documentaire les « Revenantes ».
Afin de poursuivre le travail de prévention, d’information et de lutte contre l’embrigadement, nous avons mis à disposition des équipes éducatives toute une série de modules pédagogiques : Récits de femmes, paroles d'experts, certains thèmes s’appuyant sur les témoignages de « revenantes » et le décryptage d’experts. Ce support pédagogique a fait l'objet d'un travail inter disciplinaire par les équipes éducatives du Lycée Professionnel Diderot.
L’échange s’est organisée cette année sous la forme de deux débats de 45 minutes, 1h avec à chaque session, près d’une centaine d’élèves.
Au final, les deux sessions ont été très riches, de nombreuses questions ont été posées, cela traduisait bien les interrogations et autres réflexions qui demeurent celles de ces adolescents, adolescentes. Ce nouveau format a été grandement apprécié par l’ensemble des partis investis et impliqués dans la démarche de dénonciation de l’endoctrinement et des processus de radicalisation.
3. Diffusion du reportage les « Revenantes » à partir de 20h à la Salle de spectacle de la Pépinière à BELFORT.
La diffusion du documentaire a été suivie d’un échange – débat entre Mme STALENS, M. MOKHENACHE et les nombreux spectateurs présents. Nous avons pu compter la présence de nombreuses personnalités, Mme ELIZEON Sophie Préfète du Territoire de Belfort aurait dû être présente, empêchée à la dernière minute par des évènements liés aux « gilets jaunes », plusieurs adjoints de la mairie d’Offemont, des représentants du Conseil Régional, de l’Université, de l’éducation nationale, des différents services de l’Etat.
Publics bénéficiaires ou cibles :
Pré-adolescents, adolescents, jeunes adultes et parents issus des QPV : près de 550 personnes dans le cadre de la Journée Citoyenne et Républicaine, édition 2019 : conférence-débat, échange avec du public étudiant, visionnage du court métrage "Tu iras au Paradis" suivi d'un débat avec le public.
Grand public et autres professionnels de l'animation, de l'éducation et de la prévention de la délinquance intéressés et sensibilisés par ces questions : 160 personnes.
L'ensemble des actions, projets développés et mis en œuvre au cours de l'année 2018 a touché près de 700 personnes. Cette journée citoyenne et républicaine a fait l’objet d’une interview croisée de Marion STALENS et d’Assad MOKHENACHE par une équipe de france 3 Bourggone Frnache Comté. La journée Citoyenne et Républiciane édition 2018 a fait l'objet d'un reportage diffusé lors de l'édition du journal d'information de 19h.
Indicateurs – évaluation :
Présence, régularité, investissement du public dans sa diversité, des jeunes particulièrement,
- La qualité des échanges et des débats suscités lors et à l'issue des séances et autres débats avec des intervenants, des spécialistes, des professionnels.
- La motivation lors de la conférence, diffusion du documentaire « Revenantes ».
- Une meilleure compréhension du concept du vivre ensemble, de la tolérance, de l'égale dignité humaine.
- L'acquisition d'un répertoire de connaissances et de références aux valeurs républicaines et citoyennes, humanistes et universelles.
- La prise de conscience de la dangerosité et de la haine de l'humanité que ces groupuscules djihadistes véhiculent de par leurs canaux de communication, de vulgarisation du principe de "théorie du complot".
Finalités recherchées :
Le projet visait également à susciter la réflexion, le questionnement, à lutter contre certains clichés, stéréotypes et autres représentations et à inviter au dialogue dans des conditions sereines et empreintes de sérénité, valeurs républicaines.
Il s'agissait de fait de permettre, faciliter une meilleure ou plus juste appréhension du monde par nos publics pré adolescents et adolescents en dénonçant notamment les injustices, la théorie du complot véhiculée sur la toile, contribuant par la même à faire évoluer les mentalités dans un esprit, espace citoyen pour tendre vers une compréhension du monde, des contextes géopolitiques qui ne soit pas biaisée, altérée par de la frustration, de la démagogie, de l'ignorance.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Action majeure de prévention contre l'endoctrinement et la radicalisation. L'objectif étant de vulgariser un certain nombre de concepts, de présenter au plus grand nombre les mécanismes et autres stratégies mises en oeuvre par des entités ou groupuscules fondamentalistes.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Un groupe de travail a été mis en place, il comportait des membres de l'équipe éducative et d'animation de la CLE d'Offemont, ainsi que des membres du conseil citoyen d'Offemont.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Plusieurs demandes de subventions ont été adressées aux partenaires : Préfecture du Territoire de Belfort, CAF du Territoire de Belfort, Conseil Départemental et Conseil Régional.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
L'ensemble de l'équipe éducative et d'animation, des membres du conseil citoyen, des adhérents et autres membres des secteurs jeunes et pré-ados de la CLE d'Offemont.
- Résultat sur le territoire
Cette action est une déclinaison locale d'une politique de prévention nationale, elle vise a dénoncer un certain nombre de clichés et autres représentations.
Elle ambitionne également de lutter contre la théorie du complot et du grand remplacement.
- Résultat pour le centre social
La journée citoyenne et républicaine met en exergue la politique éducative, de prévention et d'accompagnement vers une citoyenneté conscientisée et apaisée du centre social.
- Résultat pour les habitants
Ces temps d'échanges, de réflexion, de débats et autres conférences ambitionne l'aculturation, la vulgarisation d'un certain nombre de concepts et autres connaissances qui au final permettent aux habitants, bénéficiaires de porter un regard critique et objectif sur les bouleversements majeurs que ces idéologies ont amenés au cours de la dernière décennie.
- Suite de l'action : Limites
La journée citoyenne et républicaine n'est pas une fin en soi, elle ambitionne d'être reconduite chaque année afin d'apporter un regard, un éclairage singulier sur la lutte et autres mobilisations contre l'endoctrinement et la radicalisation.
- Suite de l'action : Perspectives
Le concept de la journée citoyenne et républicaine commence à faire des émules sur le territoire national, à savoir concentrer sur une journée plusieurs temps de réflexion, d'échanges, de débats, un volet conférence de sorte à toucher toutes les franges de la populations.
Actions
Jardin partagé
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ET CULTUREL PAPIN - Haut-Rhin
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Démocratie & citoyenneté
- Logement
- Résumé
Il s’agit d’un projet d’habitants qui a mis 2 ans à aboutir avec la participation de la ville de Mulhouse. Situé place Schmittlin, il se veut un lieu de jardinage mais aussi un lieu d’échange, de lien social et de mieux vivre ensemble.
En 2018, les habitants ont bénéficié des visites de trois jardins à savoir celui des Francettes à Saint Louis, et ceux des CSC Lavoisier-Brustlein et Pax à Mulhouse. Ces visites ont permis d’échanger les savoirs avec d’autres habitants, de partager des expériences et de piocher des bonnes idées.
Au cours du dernier trimestre 2018, les habitants ont monté les bacs, les ont customisés et mis en place.
Il a été prévu en 2019, d’organiser 5 journées de formation avec le CINE Moulin de Lutterbach afin d’initier les habitants au jardinage et de leur donner des idées de plantation selon les saisons pour un embellissement permanent dans le quartier.
Une programmation d’activité est en cours pour 2019 avec la volonté des habitants d’en faire un lieu stratégique de convivialité et de partage dans le quartier. Le jardin partagé a été inauguré officiellement le 13 juin 2019
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Précision ( si autre )
Fédération nationale des tables de quartier
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L'idée a germé au travers des Tables de quartier, instance de participation citoyenne animé par le CSC. Le parc où se situe le jardin était sujet à des dégradations, squats et comportements délictueux. L'Adulte-relai en charge de l'accompagnement des initiatives d'habitants a donc initié une réflexion collective pour réaménager cet espace.
L'objectif était de résorber les problématiques liées au cadre de vie tout en apportant un espace de convivialité et de lien social aux habitants du quartier, tout en favorisant la prise d'initiative et l'émancipation des habitants.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Pilotage par l'adulte-relai du CSC dans le cadre des Tables de quartier. Un collectif d'une dizaine d'habitants a été partie prenante de l'élaboration du projet depuis 2018.
Une dizaine de réunions et des déplacements pour visiter d'autres jardins partagés ont été réalisés.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
44200 € dont charges de personnel: 26500 € (poste adulte-relais); achats 5000€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 professionnels CSC permanents, 5 professionnels ponctuels, Services de la commune, une dizaine de bénévoles.
- Résultat sur le territoire
Espace du jardin entretenu et respecté
Lieu de rencontre pour des habitants du quartier (en démarrage)
- Résultat pour le centre social
Utilisation du jardin partagé pour un usage pédagogique par l'Accueileltte, multi-accueil du CSC
Résorption d'une problématique récurrente de propreté située en proximité immédiate du CSC nuisant à son image.
- Résultat pour les habitants
Valorisation de l'investissement bénévole.
Aboutissement d'une démarche initiée par des habitants.
- Suite de l'action : Limites
Besoin d'autonomisation du collectif d'habitants pour que les professionnels puissent s'engager dans d'autres initiatives
Quid de la pérennité de la dynamique dans la durée
- Suite de l'action : Perspectives
Autonomisation du collectif
Développement de l'utilisation du jardin par d'autres secteurs du CSC
Mise en réseau des initiatives de jardins partagés à l'échelle mulhousienne.
Actions
Projet "Le Pin se dévoile"
- Structure organisatrice
- Maison Montesquieu (Centre social centre-ville) - Lot-et-Garonne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Résumé
La Maison Montesquieu, agrée centre social, est ouverte à tous les habitants d’Agen sans distinction d’âge ou de revenu. Dans le cadre de son activité, elle incite les habitants à mettre en place les projets qui leur tiennent à cœur, et les accompagne dans leurs démarches.
Suite à la fête du Pin organisée en septembre 2018, un groupe d’habitants, bénévoles à la Maison Montesquieu : Annie, Marie et Patrice, ont souhaité mettre en place un projet photo pour mettre en valeur le quartier prioritaire du Pin et donne rune image positive du quartier.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Mettre en avant le quartier prioritaire du Pin
Présenter une image positive du quartier du Pin
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Un projet participatif
En plus des porteurs de projet, des habitants participant à l’atelier photo de la Maison Montesquieu ont apporté leur soutien en :
- Menant une réflexion commune sur les aspects positifs, tournés vers le futur, la vie, l’animation et le bien vivre de ce quartier
- Prenant les photos sur le quartier du Pin
- Développant les images (sélection, traitement numérique avec un logiciel libre)
- Participant à la mise en place (mise sous cadre, sollicitation des partenaires pour les différents lieux d’exposition, accrochage de l’exposition)
-
Un projet accompagné par la Maison Montesquieu
En lien avec les valeurs et la démarche participative de la Maison Montesquieu, ce projet, est porté par les habitants à destination de tous les habitants.
La Maison Montesquieu dans son rôle d’accompagnateur de projets des habitants a soutenu cette initiative tout au long de sa mise en œuvre.
A l’image de son fonctionnement, la Maison Montesquieu poursuit son soutien aux projets portés par les habitants pour les habitants.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Un projet financé dans le cadre du Fond de participation des habitants (FPH)
Afin de permettre aux habitants de concrétiser leur projet photo, une présentation a été organisée auprès de la commission d’attribution du FPH, dispositif porté par l’Agglomération d’Agen et l’Etat, dans le cadre de la Politique de la ville. A cette occasion, les porteurs de projet ont pu défendre leur idée et obtenir un accord favorable pour un financement à hauteur de 500€.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
En tout ce sont donc 7 habitants qui ont participé à ce projet :
-
2 porteurs de projet Iguna Annie et Crognier Marie
-
2 bénévoles Gendreau Patrice et Salles Gilles
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-
- Résultat sur le territoire
Un réel engoument de la par des bénévoles, des habitants et de partenaires. Vision du quartier prioritaire différente.
- Résultat pour le centre social
Meilleure connaissance du portage de projet, du centre social et du territoire du Pin.
- Résultat pour les habitants
Meilleure connaissance du quartier et du centre social.
- Suite de l'action : Limites
Nouveau projet sur la photo à imaginer.
- Suite de l'action : Perspectives
Exposition chez différents partenaires et à la Fête du Pin 2019.
Actions
Accompagnement à la scolarité
- Structure organisatrice
- ASSOCIATION PAJE - Haute-Corse
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Résumé
Dans les locaux de l'EVS sont organisés des cours de soutien et d'aide aux devoirs , à la méthodologie du CP à la terminale.
Préparation aux examens
Accueil des parents et soutien sur place et par téléphone
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Autre
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L'activité sociale en direction des familles et des adolescents etait très limitée dans notre micro région.
Paje a pour vocation de prévenir l’exclusion des jeunes et l’échec scolaire .
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Autre
- Description générale
L'association a recruté des intervenants qualifiés et a reçu l'aide de bénévoles.L'éducation nationale est intervenue au niveau des parents pour communiquer sur l'action menée par PAJE . Début de l'action en 2002 et se poursuit aujourd'hui.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Les financeurs: Les adhérents 3% la CAF 80%, Le département 6%, la Région 6% ,les communes1%, la MSA 4%.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
8 professionnels et 4 bénévoles
- Résultat sur le territoire
Tampon social, amélioration des motivations scolaires pour les enfants.Emergence d'un réseau de partenaires liés à la scolarité.
- Résultat pour le centre social
Reconnaissance de l'aspect bénéfique de l'Espace de Vie Social et du lieu.
- Résultat pour les habitants
Soulagement des familles.Possibilité de sortir de l'isolement. Partage d'expériences et de difficultés.
- Suite de l'action : Limites
Difficultés à adapter nos locaux au nombre de demandes. Difficultés à faire coïncider les disponibilités des acteurs.Finances.
- Suite de l'action : Perspectives
Continuité tout en s'amélirant et en d'adaptant aux nouvelles situations.
Actions
AUTODEFENSE FEMINISTE - STAGES
- Structure organisatrice
- LE NAUTILUS - CENTRE SOCIO-CULTUREL - Pas-de-Calais
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Précarité
- Intégration
- discriminations
- Résumé
L’autodéfense féministe permet aux participantes d'appréhender la violence de manière réaliste, telles qu'elles la vivent au quotidien. Les stages d'autodéfense prennent en compte les différents types de violences : verbale, physique, psychologique, sexuelle. De la même manière l'ensemble des cadres pouvant donner lieu à des violences sont abordées que ce soit au travail, en famille, à l’école ou dans les espaces publics et privés.
Ces stages ont lieu en non-mixité afin de favoriser la confiance, la confidentialité et la libération de la parole. Les femmes acquièrent des techniques, se place dans une démarche bienveillante entre participantes, travaillent sur la confiance en elles-mêmes et prennent conscience de leurs forces.
Aucune condition physique particulière n'est requise pour les participantes. Les stages peuvent s'adapter aux personnes à mobilité réduite et aux différents types de handicaps.
Le Nautilus - Centre Socio-Culturel de Boulogne-sur-Mer a fait appel à l'association LORELEI pour mettre en place ces stages. L'animation de ces stage demande une formation spécifique dispensée notamment par l'association belge GARANCE.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été menée dans le cadre d'un plan d'action appuyé sur des groupes de travail mêlant habitant·es et professionnel·les et suite aux remontées de terrain et aux enquêtes genrées menées sur le quartier. Le sentiment d'insécurité et la faible appropriation des espaces publics par les femmes ont également motivé la mise en place de cette action. Enfin les nombreuses remontées liées à des violences conjugales ont plaidé pour la mise en place d'outil d'empowerment et de défense des femmes.
La formation des femmes à l'autodéfense féministe vise à renforcer le pouvoir d'agir des femmes, la confiances qu'elles ont en elles-même, à instaurer une volonté collective d'action pour l'égalité entre les femmes et les hommes.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Le Nautilus a fait appel à une association parisienne Loreleï qui est formé aux techniques de l'autodéfense féministe. Les femmes du quartier du Chemin Vert et plus largement de l'agglomération boulonnaise ont été informées par flyers et par les réseaux sociaux de cette offre de service. Les lieux et horaires ne sont divulguées aux participantes qu'au moment de l'inscription avec de préserver un cadre confidentiel (éviter les représailles not. dans les cas de violences conjugales). Différents jours sont proposés (weenk-end, en semaine, pendant les vacances scolaires) afin de toucher une maximum de public.
Les stages sont organisés sur deux journées (obligatoire) et sur adhésion au Nautilus. Des stage de perfectionnement d'une demi journée sont également proposés.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
4*2 jours de stage
Prestation : 6000€ (env.)
Hébergement : 720€ (env.)
Alimentation convivialité : 250€ (env.)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
164 depuis le début de l'année 2018.
- Résultat sur le territoire
Démarche innovante et prise de conscience sur les enjeux liés à l'égalité femmes - hommes. Suite au travail de relfélxion et de mise en place d'action la Ville de Boulogne-sur-Mer a signé la Charte Européenne pour l'Egalité entre les femmes et les hommes dans la vie locale.
- Résultat pour le centre social
Nouvelle offre de service. Approfondissement du travail sur l'égalité entre les femmes et les hommes. Le Nautilus apparait progressivement comme un espace ressource pour les femmes.
- Résultat pour les habitants
Les retours des participantes font état :
- de démarches entreprises pour sortir de situations de violences conjugales.
- d'une prise de conscience dans la capacité à se défendre
- d'un baisse des peurs liées à la fréquentation de l'espace public
- d'une prise de conscience liée à la question de l'Egalité entre les femmes et les hommes
- Suite de l'action : Limites
Le nombre de personnes formées reste limité. L'audience de ces stages est difficile à développer en raison de freins culturels (sexisme). Une confusion peut exister entre le self défense classique et l'autodéfense féministe (confusion qui est parfois alimentée par reflèxe antiféministe).
- Suite de l'action : Perspectives
Cette action tend aujourd'hui a être élargie aux adolescente.
L'audience de ces stage doit être développée.
Actions
Fête du livre
- Structure organisatrice
- Centre Social L'arlequin - Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Action subventionnée dans le cadre du contrat de ville 2018
- Dimension
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Cette action a pour objectif de réunir les habitants sur plusieurs lieux de leur territoire lors de la fête du livre à Terrenoire la semaine suivant la fête du livre place de l’hôtel de ville, puis poursuivre ces rencontres tout le long du mois d’octobre et décembre afin de co-construire le journal de quartier. De ces deux axes, proposer un panel d’animations autour du livre, de l’écriture et de la lecture favorisant la rencontre et échanges intergénérationnels.
Les temps forts de l'action seront organisés sur l’espace public, à la salle Jaques Brel, au centre social l’Arlequin et ses trois annexes. Ces animations seront encadrées par des professionnels, l’ensemble des salariés permanents et des bénévoles du centre social.
Toutes ces actions s’articuleront autour d’une programmation largement communiquée en amont auprès de nos adhérents, partenaires et habitants.
Date début de l’action : mardi 16 octobre jusqu’au mercredi 19 décembre
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Cette action a été mise en place pour favoriser le lien social sur Terrenoire par un projet culturel, pour valoriser l’image du quartier et de la structure en organisant deux actions conjointement liées entre elles, déclinées sur plusieurs animations, pour favoriser les rencontres intergénérationnelles et la mixité sociale, pour rassembler les habitants dans une dynamique de fête du livre, des 10 ans du journal de quartier et du vivre ensemble.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
- Le mardi 16 octobre et jeudi 18 octobre : les 4 groupes scolaires, soit 620 élèves de la petite section au CM2 accompagnes de leurs enseignants et d’une 60 de parents pour assurer la sécurité du spectacle contes.
- Mercredi 17 octobre, animation sur l’espace public : 80 habitants tous publics.
- Samedi 20 octobre, animations familles et tous publics associant des animations pour les 10 ans du journal de quartier : 70 personnes
- Axe 10 ans du journal de quartier.
- Samedi 20 octobre, animations familles et tous publics associant des animations des deux axes culturel: 70 personnes.
- 4 animations dans l’espace public, intergénérationnel et toutes mixités sociales pour des récoltes de mots, d’images et temps fort du territoire : 150 personnes
- 4 temps de travail au centre social l’Arlequin avec les bénévoles et actions locaux pour la rédaction du journal : 40 personnes
- Mercredi 19 décembre : restitution du journal par divers témoignages d’habitants et animation festive avec les institutions, les partenaires locaux, habitants, et acteurs de l’écriture du numéro spécial 10 ans E C’EST TERRA : 160 personnes
- Ressources financières mobilisées pour cette action
3-2. Budget prévisionnel de l’action
Fête du livre Exercice 2018
CHARGES
Montant (2)
PRODUITS
Montant (2)
I. Charges directes affectées à l’action
I. Ressources directes affectées à l’action
60 – Achat
900
70 – Vente de produits finis, prestations de services,
marchandises
Prestations de services
600
Achats matières et fournitures
300
74- Subventions d’exploitation(1)
Autres fournitures
Etat: (précisez le(s) ministère(s) sollicité(s)
61 - Services extérieurs
300
-
Locations
-
Entretien et réparation
-
Assurance
300
Région(s):
Documentation
-
62 - Autres services extérieurs
2300
Département(s):
Rémunérations intermédiaires et honoraires
2100
-
Publicité, publication
200
Commune(s):
Déplacements, missions
- VSE
3500
Services bancaires, autres
-
63 - Impôts et taxes
Organismes sociaux ( à détailler):
Impôts et taxes sur rémunération,
-
Autres impôts et taxes
-
64- Charges de personnel
Fonds européens
Rémunération des personnels,
CNASEA (emploi aidés)
Charges sociales,
Autres aides, dons ou subventions affectées
Autres charges de personnel
-
65- Autres charges de gestion courante
75 - Autres produits de gestion courante
66- Charges financières
67- Charges exceptionnelles
76 - Produits financiers
68- Dotation aux amortissements
78 – Reprises sur amortissements et provisions
I. Charges indirectes affectées à l’action
I. Ressources indirectes affectées à l’action
Charges fixes de fonctionnement
Frais financiers
Autres
Total des charges
Total des produits
86- Emplois des contributions volontaires en nature
87 - Contributions volontaires en nature
Secours en nature
Bénévolat
Mise à disposition gratuite de biens et prestations
Prestations en nature
Personnel bénévole
Dons en nature
TOTAL
TOTAL
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1200 personnes
- Résultat sur le territoire
La promotion du livre a pu être faite auprès du public. Le journal de quartier a pu reprendre et est encore inscrit aux actions périodiques du centre social avec un collectif d'habitants partie prenante.
- Résultat pour le centre social
La mobilisation des habitants et des partenaires autour du journal de quartier a permis d'envisager d'autres initiatives en 2019. L'expression des habitants a été importante tout au long du projet. D'autres actions ont fait suite à ce projet. "Retour aux jardins partagés", "la carbilisationavane des envies" sont des actions inscrites en 2019 consécutives à cette remobilisation.
- Résultat pour les habitants
Meilleure connaissance des projets et initiatives des structures parties prenantes dont le centre social. Possibilité de s'inscrire dans l'une ou plusieurs des actions menées par les structures partenaires. Les habitants ont pu exprimer des souhaits, s'approprier l'espacee centre social dans le cadre de ce projet.
- Suite de l'action : Limites
Il convient de continuer à mobiliser. Cette action n'est que la 1ère partie d'une série qui permette d'engager les habitants, les collectifs dans les projets du centre social
- Suite de l'action : Perspectives
Cette remobilisation permet en 2019 de développer d'autres actions. En outre, la mobilisation sera essentielle pour la réécriture du prochain projet du centre social.
Actions
Animation de rue sur le city stade
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL Harpèges- Les accords solidaires - Alpes-Maritimes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Articulée autour d’animations sportives, artistiques et de détente ainsi qu’autour de stands de prévention, l’animation de rue proposée sur le city stade vise à sensibiliser les jeunes à une utilisation plus responsable du terrain multisports.
Par la mise en place d’animations de proximité organisées sur les vacances d’avril et d’été, de 17h à 20h tous les soirs sauf le week-end, l’action sert également de levier pour :
- Participer à l’animation de la vie sociale du quartier.
- Favoriser le lien et la mixité sociale.
- Participer à la prévention de la délinquance.
Chaque année, le projet tente de promouvoir le sport féminin et par conséquent de permettre aux jeunes filles de s’approprier l’espace et de s’investir dans les activités de façon dynamique.
Les débats sportifs et les ateliers de prévention mis en place sur des thèmes aussi divers que les dangers du net, des réseaux sociaux, les différentes formes de discrimination, les conduites addictives,.. permettent de sensibiliser et prévenir les adolescents, de façon ludique et interactive, à certaines conduites à risque, de réfléchir ensemble, avec l’éducatrice spécialisée du centre social, au développement de leurs compétences psychosociales.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La pratique du football est un excellent outil au service de la citoyenneté qui contribue à renforcer le « bien vivre ensemble ». L’expérience menée ces trois dernières années, sur le terrain multisports du city stade de la Ville de Grasse, a pu démontrer que c’est un sport collectif complet qui permet aux jeunes d’acquérir, sur le stade, un ensemble de règles de conduite et de normes comportementales transférables dans la vie de tous les jours. Fort de ce constat et devant l’engouement des jeunes face à ce sport, le centre social Harjès a renouvelé l’action avec comme objectif, en 2018, outre celui de maintenir les efforts engagés pour sensibiliser les jeunes à une utilisation plus responsable du city stade, d’utiliser le sport comme levier pour conduire avec les jeunes une réflexion sur la place des filles dans le football et plus largement dans le sport en général. En s’appuyant sur des évènements à forte visibilité médiatique, comme la préparation de la coupe du monde du football féminin prévue à Nice en 2019, l’objectif de cette action est d’amener les jeunes à déconstruire leur représentation sur le sport féminin et par conséquent à faire évoluer les stéréotypes de genre...
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
L’action (sous ce format) est mise en œuvre depuis 2017.
L’action, mise en place dans le cadre du dispositif Ville Vie Vacances, mobilise différents partenaires parmi : La CAFAM, l’équipe opérationnelle de la Politique de la Ville, la déléguée du Préfet, La Ville de Grasse, Les Gestions Urbaines de Proximité, l’ADSEA. Différentes associations sportives de la ville et du département (ASPPT CLUB Handball de Grasse, US Grassoise Basketball, Hornets Handibasket Le Cannet Côte d'Azur, RC Foot Grasse, la Fédération Française de badminton).
Les stands de prévention ont été animés ou co-animés avec différents opérateurs (la sécurité routière, la police nationale et la gendarmerie, le Centre Maternel et Infantile, l’agence de conseil en égalité (Alter Egaux)…
Ce partenariat peut être amené à évoluer en fonction des thématiques.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
L'action a été financé par la CAF à hauteur de 10 000€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
L’action s’adresse principalement à un public de jeunes entre 11 et 21 ans.
Retenues par la cellule départementale Ville Vie Vacances et financées par la Caisse d’Allocations Familiales des Alpes-Maritimes, les activités proposées sur cet espace visent la mobilisation de jeunes souvent livrés à eux-mêmes, qui ne fréquentent pas les structures de
droit commun et qui peuvent, au vu de la configuration sociale du quartier, adopter un comportement déviant, allant jusqu’à la dégradation d’espace public..
En 2017 , l’action a touché près de 377 jeunes (282 garçons et 95 filles)
- Résultat sur le territoire
Les actions d’animation dispensées sur le site du city-stade participent à l’animation de la vie sociale du quartier, créent du lien et de la mixité sociale, contribuent à la prévention de la délinquance. Elles favorisent un « mieux vivre ensemble ».
- Résultat pour le centre social
Les actions d’animation dispensées sur le site du city-stade s'inscrivent dans la continuité des actions de prévention organisées tout au long de l'année. Elles permettent de toucher les jeunes et plus précisément, ceux qui sont les plus éloignés des structures de droit commun. L'animation de rue, offre l'opportunité également au centre social, d'enrichir, chaque année, son réseau partenarial et d'être identifié comme un acteur stratégique concernant la jeunesse sur le territoire.
- Résultat pour les habitants
Les animations de rue sur le city stade contribuent à l'élargissement d'une offre d'activités ludiques, culturelles, sportives en direction des jeunes et des familles. Elles permettent aux habitants de mieux identifier les ressources sur le territoire.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
- Reconduire voire même développer l’action sur les autres périodes de vacances scolaires, en soirée.
- Continuer de diversifier les activités créatives mais aussi les activités sportives.
- Consolider le partenariat avec les associations de proximité afin d’élargir les propositions d'activités.
- Renforcer le partenariat avec le Musée du sport à Nice.
- Poursuivre les efforts engagés de mixité sociale et de parité en « surfant » sur la promotion du football féminin ainsi que sur les autres disciplines sportives féminines.
- Mobiliser d’avantage les familles en privilégiant un accueil spécifique (pause-café, club lecture, stand d’info…)
Actions
Initiation à l’informatique au sein du Centre Social Mitry-Ambourget
- Structure organisatrice
- MITRY AMBOURGET - ACSA (CS) - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Emploi, économie
- Précarité
- Résumé
Les ateliers ont permis de familiariser les participants aux usages de l’outil informatique. Le public de nos ateliers est composé de personnes âgées, mais aussi d’habitants en difficultés d’insertions professionnelles liées à leur manque de maitrise de l’outil informatique. Par ailleurs, de nombreux habitants participants à nos cours d’alphabétisation ont rejoint les ateliers afin de compléter leur formation à la langue française. Ce qui a demandé à notre formateur des compétences d’adaptabilités face à la barrière de la langue.
Cet atelier a permis aux participants de ne plus avoir de frustrations à la vue d’un poste informatique, aussi bien au domicile qu’au sein du PIF. Globalement les résultats sont positifs quant à l’acquisition de compétences techniques et bases de l’informatique.
À l’issue de ce temps d’initiation, l’ensemble des participants sont capables d’allumer un ordinateur, de naviguer sur internet, et d’ouvrir une boite mail. Les objectifs de l‘initiation sont atteints pour 100% des participants. Certains séniors ont plus de difficulté à assimiler les bases telles que la maitrise de la souris ou encore savoir se repérer dans une boite mail, mais les compétences pédagogiques du formateur permettent de faciliter l’apprentissage.
La salle d’activité ne disposant que de 6 postes informatiques, ce qui réduit notre capacité à accueillir un plus grand nombre de participants.
Les participants des ateliers informatiques sont peu issus du point info famille. Les habitants rencontrant des difficultés dans l’usage de l’outil informatique et venant au PIF pour trouver de l’aide ne souhaitent pas se former pour être autonomes. Ceci est dû à la nature de leur sollicitation qui demande un niveau de formation élevé (rédaction de CV de courrier) et le manque de disponibilité.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Précision ( si autre )
Nombre de participations total aux ateliers : 230
En moyenne, nous accueillons 5 participants par atelier.
Le public a été composé de 70 % de séniors, et 30% d’apprenants de la formation linguistique.
Pour les séniors, l’objectif principal est la prise d’autonomie face aux démarches administratives. Les ateliers informatiques représentent aussi pour eu une activité de loisirs afin d’occuper leur temps. Ce sont aussi des temps de socialisation et de rupture de l’isolement.
Pour les habitants fréquentant les ateliers sociolinguistiques. Les ateliers informatiques représentent un besoin afin de pouvoir s’insérer dans la société française. L’objectif à terme est l’acquisition de compétence afin d’obtenir un emploi. Effectivement, cette compétence est actuellement indispensable sur le marché du travail.
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La dématérialisation des services publics s’est imposée à de nombreux usagers du centre social. Au-delà de l’aide que nous pouvons leur apporter sur notre espace numérique lié au Point info famille. Les amener à l’autonomie est une démarche nécessaire et essentielle face à la fracture numérique de plus en plus grandissante surtout pour les personnes âgées du quartier.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Il y a eu 35 séances de janvier à décembre 2018. L'action est renouvellé chaque année.
Il n’y a pas eu d’atelier pendant les vacances scolaires
une séance par semaine tous les mardis de 18h à 20h
Une séance dure 2 heures.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
5000 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Nombre de participations total aux ateliers : 230
En moyenne, nous accueillons 5 participants par atelier.
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
À l’issue de ce temps d’initiation, l’ensemble des participants sont capables d’allumer un ordinateur, de naviguer sur internet, et d’ouvrir une boite mail. Les objectifs de l‘initiation sont atteints pour 100% des participants. Certains séniors ont plus de difficulté à assimiler les bases telles que la maitrise de la souris ou encore savoir se repérer dans une boite mail, mais les compétences pédagogiques du formateur permettent de faciliter l’apprentissage.
- Suite de l'action : Limites
Certains ordinateurs étaient vieillissants. Ils ont été remplacés.
Certains participants demandent la création d’un deuxième créneau dans la semaine afin de progresser plus vite. L’absence d’atelier pendant les vacances scolaires crée une rupture de rythme. Il sera nécessaire pour l’année prochaine de maintenir les ateliers pendant les vacances scolaires.
- Suite de l'action : Perspectives
- Poursuivre les ateliers le mardi de 18h00 à 20h00
- Créer un lien plus étroit avec les services d’accompagnement des habitants tels que l’écrivain public la formation linguistique, le Point info famille.
- Mettre en place un deuxième créneau hebdomadaire.
Actions
s'engager c'est grandir
- Structure organisatrice
- CS Europe - Aisne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Les valeurs fondamentales d’un centre social sont, la dignité humaine, la solidarité et la démocratie. L'axe citoyenneté fait partie des orientations stratégiques du projet social commun aux trois centres sociaux municipaux de la ville de Saint-Quentin. Ce projet social est fondé sur la participation des habitants (adultes, enfants, seniors, familles) avec et pour lesquels des projets en lien avec les valeurs fondamentales et les valeurs de la République seront menés tout au long des 4 années 2020-2023.
LES SÉJOURS ENFANTS CITOYENS : La citoyenneté et la vie en collectivité s’apprend dés le plus jeune âge. C’est pourquoi, en complémentarité des bases acquises en famille ou à l’école, les centres sociaux municipaux proposeront des séjours citoyens aux enfants et jeunes issus de ces trois quartiers prioritaires. Durant ces différents séjours, parfois mutualisés entre les jeunes de quartiers différents, les équipes de professionnels proposeront aux jeunes des temps de sensibilisation à ces valeurs parfois acquises sur le temps scolaire ou peu pratiquées dans vie quotidienne. Les jeunes seront soutenus dans leurs actions. Les équipes d’animation, avec le soutien des parents, des enseignants et autres acteurs de la vie locale sensibiliseront les jeunes de manière transversale à lutter contre toute forme de discrimination et l’égalité filles garçons. C’est pourquoi, chaque jeune s’engagera par l’écriture et la signature d’une charte stipulant les règles du vivre ensemble. Les jeunes se répartiront les différentes tâches ménagères de la vie quotidienne (repas, vaisselle, sanitaire, courses ect…) de manière équitable et mixte, ce qui favorisera l’esprit de solidarité entre les enfants et les jeunes. Les animateurs favoriseront les échanges, la communication, la prise de parole en groupe, l’écoute des enfants et des jeunes. Des temps de débat pourront être également proposés. Différents supports tels que le sport, des sorties et visites culturelles et balades, nous aideront à inciter les jeunes au respect de l’environnement, au fairplay, au respect des autres. Compte tenu de leur âge, les adolescents seront impliqués pleinement dans la prospection, la concertation sur le choix du lieu de séjour et des activités. Des rencontres entre les jeunes de ces trois quartiers favoriseront le dialogue en construisant une véritable cohésion de groupe.
L’ENGAGEMENT SOLIDAIRE DE PROXIMITÉ : L’Engagement Solidaire de Proximité est une action qui consiste à recruter des jeunes garçons et filles âgés de 16 à 21 ans sur nos quartiers prioritaires dans le but de faire un stage de 10 jours dans deux maisons de retraite du Centre Hospitalier de Saint-Quentin et l’APEI. En partenariat avec l’Association d’Amis et de Parents d’Enfants Inadaptés de Saint-Quentin et Centre Hospitalier, 40 jeunes seront placés dans ces deux structures pendant les périodes des vacances scolaires d’avril, juillet, août et octobre. C'est action est pour un jeune, bien évidemment avec l’appui des parents, de procéder à l’ouverture d’un premier compte bancaire, rédiger un curriculum vitae, une lettre de motivation. Une gratification à raison de 15 euros net par jour est versée à la fin du stage sur le compte du jeune. Le lien intergénérationnel : un axe prioritaire Permettre aux personnes âgées de se rencontrer et de partager un moment de plaisir et de détente avec de jeunes « animateurs ». Stimuler la réflexion, la mémoire, la concentration, la patience, la précision des personnes âgées autour d’une animation adaptée Il semble nécessaire tout d’abord de conserver le pacte social entre les générations, malgré les différentes difficultés accumulées à tous les âges (par exemple chômage et précarité des jeunes, incertitudes sur l’avenir des retraites, sur les fins de carrière professionnelle, peur des conséquences de la vieillesse).
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
partager et faire connaitre les valeurs du vivre ensemble avec notre jeunesse
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
tout au long de l'année
- Ressources financières mobilisées pour cette action
40000€ par structure
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
6 à 20
- Résultat sur le territoire
meilleure attitude, meilleure perception des jeunes, respect, acquisition des valeurs de citoyenneté
- Résultat pour le centre social
partage des valeurs avec l'ensemble des usagers
une jeunesse engagée dans la vie du quartier de la strusture
- Résultat pour les habitants
meilleure perception des jeunes,
- Suite de l'action : Limites
reconduction
- Suite de l'action : Perspectives
reconduction
Actions
PLATEFORME LINGUISTIQUE
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL & CITOYEN LOU TRICADOU - Vaucluse
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Résumé
Mise en place d'ateliers socio-linguistiques permettant l'apprentissage de la langue française.
Proposition de groupes de niveaux permettant une évolution des usagers depuis l'étape de socialisation jusqu'à l'apprentissage de l'écriture et de la lecture.
Positionnement pour l'obtention de diplômes (DILF, DELF...).
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Lutte contre l'isolement, accès aux droits, accompagnement dans la scolarité des enfants, autonomisation pour le quotidien.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Cette action a été calquée sur le rythme d'une année scolaire, elle se décline par la mise en place d'ateliers hebdomadaires sur l'ensemble des territoires d'intervention du centre social.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Co-financement dans le cadre du contrat de ville par les partenaires suivants :
ETAT, DEPARTEMENT, CAF, INTER COMMUNALITE, MSA.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
5 professionnels, 17 bénévoles.
- Résultat sur le territoire
Rupture de l'isolement des foyers non francophones.
Amélioration de l'accès aux droits.
Accélération à l'autonomisation.
- Résultat pour le centre social
Mobilisation de bénévoles.
Reconnaissance à l'échelle du territoire.
Interaction avec le réseau associatif local.
- Résultat pour les habitants
Rupture de l'isolement des foyers non francophones
Amélioration de l'accès aux droits
Accélération à l'autonomisation.
- Suite de l'action : Limites
Les critères d'éligibilité des publics.
- Suite de l'action : Perspectives
Maintien et développement de formations en direction des bénévoles d'activités.
Actions
Tricycle enchanté
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIOCULTUREL L'OLIVIER - Rhône
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Arrêt en juillet 2018, suite à l'impossiblité du centre social d'accueillir des mineurs non accompagnés, avec le retrait de notre agrément ACM lié à un évènement grave
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Culture
- vacances / loisirs
- Résumé
Pendant les vacances de printemps et d'été, une équipe d'animation faisait le tour du quartier à l'aide d'un triporteur très visible (couleur orange, ballons, son...) avant de s'installer dans un espace du quartier en QPV pour proposer des animations à thème: créations manuelles, grands jeux... au cours de 2 après midi par semaine. Cela permettait de toucher des enfants ne fréquentant pas la structure et de faire un lien avec leur famille.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le quartier en QPV est replié sur lui, c'est une des deux plus grandes copropriétés dégradées et sociale de fait, de la Métropole lyonnaise. Les habitants sont peu accessibles, même pour les travailleurs sociaux. C'est un quartier où cohabitent de nombreuses cultures variées. De nombreuses familles ne fréquentent pas les instsitutions locales. Il s'agissait pour le centre social d'aller au contact de la population notamment à travers les enfants, par le biais d'animations de pieds d'immeuble. Les objectifs étaient de créer du lien, de favoriser les ouvertures du quartier sur l'extérieur et sur la diversité culturelle
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Organisation de temps d'animations en pied d'immeuble régulier en période de beau temps et de relative inactivité des enfants à l'aide d'une équipe d'animateurs et de matériel mis à disposition (tables, chaises et matériel pédagogique). Systématiquement, en amont une information était diffusée sur le quartier, notamment dans les halls des immeubles l'aide d'affiches ou flyers
- Ressources financières mobilisées pour cette action
15 000€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
5
- Résultat sur le territoire
Animations en période de vacances
- Résultat pour le centre social
plus grande visibilité du centre social sur le quartier et présence repérée pour animer des temps de vacances (pour les habitants ne partant pas par exemple)
- Résultat pour les habitants
Accès au centre social des habitants qui le méconnaissaient
- Suite de l'action : Limites
Difficultés lors des changements de personnes sur l'action. Difficulté à entrer en contact avec les parents, les enfants ont l'habitude de jouer seuls aux pieds des immeubles.
- Suite de l'action : Perspectives
En réflexion depuis le retrait de notre agrément ACM
Actions
Accompagnement à la scolarité
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL DE PARILLY - Rhône
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Résumé
Accompagnement à la scolarité pour des enfants de 6 à 12 ans orientés par les écoles du quartier
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Problématique de co éducation sur le territoire
- Public
- Enfance
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Cette action concerne environ 60 enfants différents.
Par petits groupes, les enfants sont suivis soit au centre social, soit dans l'école
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 salariés à temps partiel et 10 bénévoles
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
Accueil de nouvelles familles au centre social
travail de liens avec les écoles
- Résultat pour les habitants
améliorationde la réussite scolaire et de l'intégration des enfants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Accompagnement d’enfants par de l’aide scolaire (aide aux devoirs, méthodologie) et une ouverture culturelle en coopération avec les familles, l’école et divers partenaires
- Structure organisatrice
- ASSOCIATION DES HABITANTS DE SAPIAC - Tarn-et-Garonne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Résumé
I) Pendant l’année scolaire après l’école
- Aide aux devoirs, méthodologies, explication de points non acquis : les enfants sont encadrés par la salariée de l’association détachée tous les soirs, et par des bénévoles. C’est une aide individuelle ou collective pour soutenir les enfants selon leur demande, pour les stimuler au sujet du travail réalisé dans la journée ou sur des acquisitions à maitriser. Quand le travail scolaire est fait il y a un temps créatif avec des activités manuelles ou des jeux de société toujours en relation avec des notions scolaires.
- Activité cirque encadrée par des professionnels : c’est une activité physique qui permet de développer des habilités motrices tout en allant vers d’autres domaines de connaissances : éducation civique, découverte du monde, musique, science…
II) Pendant les vacances activités périscolaires offrant des objets de connaissance ainsi que des expériences que les enfants pourront réutiliser dans le domaine purement scolaire soit à la Maison de quartier ( atelier sculpture avec un intervenant, atelier cuisine, atelier jardinage) soit à l'extérieur:
- loto à la MAPA (résidence pour personnes agées) pour mélanger les générations et permettre aux enfants de grandir avec une vision positive du troisième âge
- Cité de l’Espace(Toulouse)
- Jardin des Plantes : jeu de piste coopératif
- Cinéma
- Centre préhistorique (Bruniquel)
- Village gaulois
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Action mis en place pour:
- promouvoir la réussite scolaire des enfants en leur apprenant des méthodes de mise au travail, en revenant sur des notions non acquises
- renforcer la confiance des enfants dans leurs capacités à réussir grâce à une aide individualisée
- élargir les centres d’intérêt des enfants par des apports culturels
- valoriser les compétences des familles : responsabilité et autorité, transmission, repères…
- redonner aux familles une meilleure confiance dans le système scolaire car ils se sentent souvent démunis dans l'accompagnement de la scolarité de leur enfant
- Public
- Enfance
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Les interventions se font à la Maison de quartier après le temps scolaire et pendant les vacances Nous faisons signer un engagement aux parents concernant leur implication et posant le cadre.Les enfants sont accompagnés par la salariée et des bénévoles. Il y a 2 groupes et chaque groupe vient 2 fois par semaine pour de l'accompagnement au travail scolaire et pour une activité cirque .Nous allons les chercher à l'école et après un goûter le activité débutent Nous faisons signer un engagement aux parents concernant leur implication et celle de leur enfant. Les intervenants sont en contact tous les jours avec les familles lorsqu'elles reviennent chercher les enfants
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le budget est de 16400€ sans compter l'investissement des bénévole que l'on peut chiffrer à environ 6000€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Deux salariés et 12 bénévoles
- Résultat sur le territoire
Meilleure visibilité de l'association
- Résultat pour le centre social
Relations accrues avec l'école:
- participation à la réunion de rentrée parents-enseignants
- rencontres trimestrielles avec l’enseignant de chaque enfant pour échanger sur les points à consolider
- les intervenants peuvent avoir un rôle de médiateurs dans les relations parents enseignants
- présence des enseignants au spectacle de fin d’année
- Résultat pour les habitants
- Cette action prend forme dans une structure qui constitue un lieu de vie au sein d’un territoire : maison de quartier
- C’est un lieu « neutre », en dehors du temps scolaire qui permet à l’enfant d’être accompagné par un tiers différent du parent ou de l’enseignant (bénévoles ou professionnels) qui porte un autre regard sur lui.
- Proposition d’outils individualisés -
- Les enfants qui viennent à l’accompagnement à la scolarité sont souvent en difficulté. Lorsqu’ils sont à l’association, c’est le moment de réussir et de se sentir valoriser.
- La présence conjointe de bénévoles et de salariés d’âges différents : richesse qui permet un mélange des approches, des savoirs, des savoir-être et des savoir-faire.
- Relations avec les familles plus faciles car quand elles sont contactées par l’école, c’est le plus souvent pour parler de difficultés scolaires ou de problèmes de comportements. A l’association, la famille entend plus souvent un discours positif et optimiste sur son enfant.
- Suite de l'action : Limites
- Lorsqu’ils inscrivent leur enfant les parents attendent en premier lieu que quelqu’un puisse apporter à leur enfant l’aide qu’ils ne sont pas en capacité de lui offrir eux-mêmes, pour réussir à l’école. Les parents sont très souvent avant tout soucieux que les « devoirs » soient faits pour des raisons de respect des consignes données par l’école, mais aussi pour des raisons d’organisation de la vie familiale. Certains parents ne voient pas toujours l'importance de ces apprentissages, en complément de l'école, pour la réussite de leurs enfants. le travail d'explication est incontournable, primordial et quelquefois difficile à faire passer.
- Enfants en très grande difficulté : difficile de faire le lien avec d’autres structures quand ils sont suivis ailleurs
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Mosaik'Art
- Structure organisatrice
- CS MOSAIQUE - Bouches-du-Rhône
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
L'action s'est terminée avec la représentation du spectacle au Théâtre Armand le 30 octobre 2019
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Le projet Mosaïk'Art a pour ambition de proposer une création artistique participative autour de la mémoire du quartier des Bressons-Blazots. Il s’agit de rassembler autour d’une création commune, les publics variés (âge, sexe, lieu de résidence...) des territoires d'action du centre social avec une attention particulière pour le secteur jeunes.
Plusieurs objectifs sont visés par ce projet :
Développer la culture et l'art dans l'espace public
- S'appuyer sur la culture et l'art comme vecteur de réflexion pour l'espace urbain et le territoire
- Améliorer l'image des territoires prioritaires par le développement d'une pratique artistique et culturelle dans l'espace public
Développer la culture comme outil de lien social
- Développer des espaces culturels de proximité et de qualité
- Favoriser les rencontres, l'échange, la participation des habitants
- Faciliter l'accès à la culture
- Promotion de la diversité culturelle
- Favoriser par la culture, l'expression de la diversité, du partage, en travaillant sur l'histoire et l'appartenance individuelle et collective
- Mettre en œuvre et valoriser une identité commune en construction
- Renforcer la participation des habitants dans le processus de création en valorisant leurs savoir-faire
-Cohésion sociale / Réussite éducative : Des jeunes pleinement citoyens
- Favoriser le développement des compétences psychosociales permettant d'exercer pleinement sa citoyenneté (libre choix, autonomie, posture, esprit critique, confiance en soi, prise de parole, débats)
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Depuis 2015, le centre social Mosaïque met en œuvre un projet culturel « Mosaïk’ART » qui met en lumière la diversité culturelle de ses quartiers d’intervention (La Monaque, Les Bressons et le Centre-Ville), par le biais d’une pratique artistique innovante.
Nous souhaitons poursuivre cette démarche en intégrant encore davantage notre public dans des actions culturelles et dans un processus de projet en commun, leur permettant ainsi de participer à la vie de leurs quartiers et de leur ville. Le projet Mosaïk'Art a pour ambition d’offrir un nouvel angle d’approche sur l’environnement dans lequel ces habitants évoluent et de les sortir de leur quotidien en leur proposant l’initiation à de nouvelles disciplines et une réelle création artistique collective.
Une démarche qui rejoint le concept de "regards jeunes", projet phare au sein du secteur jeunes au cours des années passées. Ce projet visait principalement, pour rappel, à aiguiser le sens critique des jeunes grâce à des supports variés (vidéo, bande dessinée, création d’un spectacle vivant, théâtre, stand up..) avec des thématiques différentes (le sexisme, l’intergénérationnelle, le développement durable, la jeunesse d’avant et d’aujourd’hui, le pouvoir d’agir..). Ce concept, nous en sommes certains, a contribué pendant ces années à donner les outils nécessaires aux jeunes pour évoluer plus facilement dans le monde d’aujourd’hui et dans celui de demain. En complémentarité avec d’autres institutions, mais avec d’autres méthodes, d’autres supports et une autre pédagogie, les jeunes ont acquis des compétences spécifiques ayant des effets sur leur développement personnel et par là même sur leur quotidien.
Pour la quatrième édition de Mosaïk'Art, nous souhaitons continuer à nous appuyer sur cette méthode d’approche avec le public adolescent autour d'une thématique et d'un contexte nouveaux : "Bressons-Blazots : histoires de quartier". Le projet, au delà d'impliquer les adolescents touchés par le centre social (moteurs du projet), a pour ambition de travailler sur une participation plus globale au sein du territoire. L'idée est de toucher une variété de public (enfants, adolescents, adultes, personnes âgées, femmes, hommes, acteurs du quartier ou extérieurs...) pouvant participer au projet sous différents angles (recherches, témoignages, archives, initiation, création, spectacles...).
Plusieurs raisons expliquent ce choix :
- En premier lieu il nous a semblé important de continuer à nous inscrire dans une démarche cohérente avec les axes du projet social de la structure et plus particulièrement l’axe « renforcer la dynamique participative des actions éducatives, culturelles et intergénérationnelles ». En 2017 le secteur jeunes a participé à la troisième édition du projet Mosaik‘Art. Cela a été un support formidable pour travailler autour de l’intergénérationnel puisque cette action a réuni enfants, adolescents et adultes pendant une longue durée pour une création commune. Avec un résultat dépassant toutes nos espérances.
- Ensuite comme nous l’expliquions précédemment les adolescents fréquentant notre structure sont aguerris à notre pédagogie. Ils ont pour la grande majorité acquis des outils, des bases dans les différents domaines que nous leur avons fait découvrir (Danse, expression corporelle et scénique, cultures urbaines, slam, écriture…). Ils ont aussi l’habitude de travailler lors de ces ateliers autour d’une thématique spécifique. Pour eux il sera donc plus aisé de s’adapter au contenu de ce projet. Et pour les adolescents n’ayant jamais intégré ce type de démarche les ateliers seront de toute façon menés de façon à ce que chacun puisse y participer et y trouver sa place.
- Enfin le territoire des Bressons reste à ce jour pour nous plus qu’un défi dans l’avenir. Les problématiques diverses et variées rencontrées sur ce territoire depuis quelques années ont fait que nous n’y intervenions jusqu'ici que sur certaines actions. Depuis septembre 2018, le retour du centre social mosaïque dans le quartier au sein des anciens locaux du CIO (au 220 rue des Frères de Lamanon) permet d'avoir une action directe, plus concrète sur le territoire et de toucher un public nouveau (notamment au sein du secteur jeune). Dans ce contexte, le projet de création artistique participative sur la thématique des Bressons est un support intéressant pour renouer les liens avec les habitants mais aussi avec la propre histoire du quartier et donc l’histoire de la ville.
Le projet est aussi la mise en réseau, la synergie de diverses structures impliquées dans le champ culturel de la création et de la diffusion, du développement artistique. En effet, « Mosaïk’ART, artistes et acteurs de leur territoire » a pour volonté de permettre aux participants, de se (re)découvrir autour d’un projet artistique participatif mettant en avant les relations entre les cultures, mais également le caractère pluridisciplinaire du monde culturel d’aujourd’hui. Nous souhaitons présenter les habitants comme de véritables artistes, pour mettre en lumière les talents de chacun tout en rendant leur pouvoir d’agir sur le monde qui les entoure.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Le projet a comporté deux volets :
- La recherche et l'enquête sur l'histoire du quartier des Bressons-Blazots, sur la vie actuelle du quartier et les enjeux qu'il présente. Pour cela nous avons organisé des ateliers aux archives municipales, des tables rondes (espaces de discussions et d'échanges ouverts) et des entretiens en lien avec Mosaïk'Radio pour recueillir la parole des habitants.
- La création artistique pluridisciplinaire mettant en lien diverses pratiques artistiques : l’expression scénique (danse et théâtre), la musique (rap et slam) et les techniques images et sons (témoignages et histoire de vie des habitants des Bressons). Cette phase de création a eu lieu à travers des ateliers réguliers pendant les périodes scolaires et des résidences d'artistes pendant les vacances.
Le projet s'est déroulé en plusieurs phases de septembre 2018 à octobre 2019. La mobilisation des jeunes participants au projet et constituant la troupe d'artiste a été un réel enjeu du projet sur la durée. L'adaptation du projet et sa construction avec les jeunes a été primordiale tout au long de l'année pour répondre au mieux aux objectifs et aux enjeux artistiques et pédagogiques que nous nous étions fixés.
1/ Initiation aux pratiques artistiques et ateliers de recherches
Dans un premier temps nous avons mis en place des ateliers de recherche sur l'histoire et la mémoire du quartier des Bressons en lien avec les archives de la ville et l'outil radio. Ces premiers ateliers avec les adolescents et les adultes ont eu pour but de les sensibiliser à la thématique de la mémoire, de leur faire (re)découvrir le quartier des Bressons-Blazots à travers des jeux de piste, les documents d'archives, les entretiens avec les habitants, etc. Au fil des séances, le public a utilisé des outils différents pour travailler et échanger sur le quartier : radio (entretiens, micros-trottoirs, émissions...), archives, graphs, jeux pédagogiques, débats...
Dans le même temps à partir des vacances de la Toussaint 2018, nous avons débuté les ateliers d'initiation aux pratiques artistiques des arts vivants avec des artistes intervenants. Ces ateliers destinés aux jeunes, aux enfants et aux adultes ont touché essentiellement les jeunes et les enfants dans le cadre du centre de loisir et de l'ACM. Les participants ont pu tester à plusieurs reprises des ateliers écriture/rap, danse/hip hop et théâtre. Ces ateliers ont eu lieu pendant les vacances de la Toussaint (13 séances d'initiation).
La mobilisation du public au début du projet, notamment dans les nouveaux locaux des Bressons a été difficile. Nous avons donc pris de temps de bien expliquer le projet, les intérêts, les enjeux lors de plusieurs séances de découverte. De même, les ateliers d'initiation artistique ont permis de mobiliser le public au fur et à mesure de septembre à décembre pour constituer la troupe.
2/ Création artistique
(janvier à juillet 2019)
Suite aux ateliers d'initiation qui ont mobilisé principalement les jeunes et les enfants, nous avons cherché à constituer une troupe d'artiste pour la suite du projet et la phase de création artistique. Pour des raisons d'organisation, de mobilisation mais également de cohérence dans les ateliers, nous avons proposé aux jeunes (11-18ans), aux enfants (6-10ans) et aux adultes de participer au projet sur plusieurs angles différents.
- Les jeunes se sont constitué en troupe (environ 25 jeunes) et ont travaillé sur la création d'un spectacle d'art vivant pour raconter le quartier des Bressons et son histoire. Ce travail s'est déroulé pendant les ACM du secteur jeune (périodes scolaires et vacances).
- Les enfants ont participé à des ateliers de création pour donner leur vision du quartier à travers une maquette, un jeu de société et des photos montages. Ces ateliers ont eu lieu dans le cadre du centre de loisir les mercredis matin tout au long de l'année.
- Les adultes, actifs dans la phase de recherche sur le quartier, ont également participé dans la suite du projet dans le cadre de rencontres intergénérationnelles lors des résidences d'artiste. En effet, nous avons organisé des soirées de débats et d'échanges sur la mémoire du quartier des Bressons entre les adultes (habitants des Bressons depuis plusieurs années) et les jeunes de la troupe. Les habitants ont ainsi pu transmettre leurs savoirs et leur vision du quartier aux jeunes et inversement. Ces rencontres ont été très intéressantes pour l'ensemble du public et ont permis de confronter différentes visions du quartier.
La troupe Mosaïk'Art
A partir du travail de recherche et des compétences acquises par le public pendant les ateliers d'initiation, nous avons pu initier une période de création artistique à travers plusieurs résidences d'artiste pendant les vacances scolaires. Ces résidences ont permis de travailler de manière intensive avec les artistes accompagnants et ont marqué les étapes intermédiaires du projet avec des sorties de résidence sous forme d'évènements festifs dans le quartier.
- 5 jours en février (dans les locaux des Bressons). Cette résidence a permis de constituer un premier noyau de jeunes motivés par le projet et moteurs par la suite. Les jeunes se sont investis dans une discipline et ont commencé à transformer la matière récoltée sur l'histoire des Bressons en pièces artistiques. A la fin de la résidence, ils ont également pu présenter le travail réalisé dans les ateliers à l'ensemble des jeunes participants.
- 10 jours en avril (5 jours à Salon et 5 jours à Vallouise). Lors de cette résidence, les jeunes ont poursuivi le travail de création la première semaine avec les artistes puis lors d'un séjour à Vallouise nous avons mis en place des ateliers de répétition. Ce séjour a permis de renforcer le lien entre les jeunes de la troupe et de travailler sur l'autonomie des jeunes.
- 5 jours en juillet (à la Ruche avec une sortie de résidence dans la cour de l'école primaire des Bressons). Lors de cette résidence, nous avons accueilli un nombre important de nouveaux participants attirés par le projet (bouche à oreille). Leur intégration dans le projet a permis d'apporter une nouvelle dynamique au groupe et un nouveau regard sur la création artistique. A la fin de la résidence nous avons organisé un évènement festif dans la cour de l'école des Bressons pour présenter la création en cours et confronter les participants à la scène devant un public.
En parallèle de ces périodes intensives, nous avons maintenu des ateliers de création en autonomie (sans les intervenants) et des ateliers de répétition pour poursuivre la dynamique du projet et continuer à mobiliser les jeunes sur le temps long (environ 2 ateliers par mois les mercredis et les samedis après midi). Les éléments réalisés dans ces ateliers ont ensuite été retravaillé avec les artistes lors des périodes de résidences.
Les ateliers enfance
Avec le centre de loisir nous avons travaillé sur 3 ateliers différents : la réalisation d'une maquette des Bressons, un jeu de société sur l'histoire des Bressons et des photomontages pour imaginer un nouveau quartier. Ces ateliers ont permis aux enfants de se réapproprier leurs espaces de vie, l'histoire de leur quartier et de se projeter dans le futur.
Dans un premier temps, à travers des balades urbaines thématiques (histoire, végétation, jeux, habitations...) dans le quartier, les enfants ont pu prendre des photos, récolter des éléments trouvés sur place, comparer les photos d'archives aux espaces d'aujourd'hui... Ces balades urbaines leur ont permis de mieux comprendre et visualiser le quartier, de se poser des questions et d'y répondre de manière ludique.
- Pour l'atelier maquette, les enfants se sont ensuite réparti des espaces et ont travaillé en équipe pour construire collectivement leur vision ou leurs envies pour le quartier. Les projets des participants ont été aussi variés que révélateurs de leur vision du quartier. La dimension plastique des maquettes a permis de renforcer leur imagination et de leur laisser une grande liberté d’expression.
- Pour l'atelier jeu de société, nous sommes parti des archives récoltées sur les Bressons (photographies, lettres, articles de journaux, enregistrements sonores...) pour imaginer des questions et des défis à poser aux joueurs. En testant plusieurs systèmes de jeu, ils ont ensuite choisi la forme et les règles qu'ils voulaient pour leur jeu, un nom "Les Bressonniers" et l'on fabriqué (plateau, cartes, pions...). De même que pour la maquette, la dimension plastique du travail (découpage, coloriage, collage de vignette, terre crue...) a permis aux participants de s’investir et de se sentir réellement acteurs du projet.
- L'atelier photomontage a été réalisé pendant les vacances d'été sur plusieurs séances. Les enfants ont tout d'abord choisi des photos du quartier qui leur plaisaient le plus puis ont imaginé des situations et des nouveaux aménagements pour le quartier. A partir des situations imaginées, nous avons pris des photos des mises en scène sur fond bleu réalisées par les enfants pour les intégrer en suite sur les photos réelles du quartier.
3/ Répétitions / Spectacle
(septembre à octobre 2019)
Cette dernière phase a principalement concerné les jeunes de la troupe d'artiste. A l'approche de la représentation finale (rentrée de septembre 2019), nous avons travaillé plus intensément sur des répétitions et l'affinage de la création.
Un week-end de résidence d'artiste à la Couronne (10-11-12 octobre 2019) a permis aux participants de se replonger dans le projet et d'intensifier le travail. Cette résidence à l'extérieur a permis de remobiliser les jeunes, de créer du lien et une dynamique positive après la coupure de l'été. Sous forme de séjour, ces temps sont très importants car ils permettent de travailler sur l'autonomie et la solidarité entre les jeunes.
La dernière phase du projet pendant les vacances de la Toussaint 2019 s'est déroulée au théâtre municipal Armand (lieu du spectacle). Ces 10 jours de résidence au sein du théâtre ont permis aux jeunes de travailler dans des conditions et avec du matériel professionnel. Cette plongée dans le monde du spectacle (éclairage, projection vidéo, micros...) a permis de valoriser le travail mené pendant l'année et les jeunes se sont d'autant plus investis à la fin du projet pour cette raison.
La représentation finale de la création "Bresso de mémoire" a eu lieu au théâtre le 30 octobre 2019. Cet évènement a été un véritable succès. Le public est venu nombreux et les jeunes ont eu l'opportunité de jouer deux fois : l'après midi devant des enfants des centres de loisirs de la région (100 personnes) et le soir devant un public plus large d'habitant du quartier des Bressons et plus largement de Salon de Provence (263 personnes). Sur scène les jeunes ont proposé un spectacle débordant d'énergie et leur propre interprétation de l'histoire de leur quartier. Le spectacle a ému leurs familles venues nombreuses pour les voir, les habitants et les anciens habitants des Bressons heureux de voir les jeunes conter leurs histoires.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget global : 61183€
Fincancements: Contrat de Ville, CAF, VVV, Commune
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Mosaïk'art est un projet interdisciplinaire qui a touché un large public (adultes, enfants et jeunes) à la fois sur le territoire des Bressons, de la Monaque et du centre ville de Salon. Au total nous avons comptabilisé environ 650 participants (sorties culturelles, ateliers adultes, ateliers enfants, ateliers adolescents) et environ 600 spectateurs répartis sur les différents évènements (évènement de lancement octobre 2018, sortie de résidence juillet 2019 et représentations finales octobre 2019).
Public Sorties Culturelles
340 adultes (304 femmes et 36 hommes)
153 enfants (82 filles et 71 garçons)
Public Ateliers enfants
80 enfants (38 filles et 42 garçons)
Public Ateliers jeunes
75 jeunes (33 filles et 42 garçons)
Public évènement de lancement (octobre 2018)
Environ 100 personnes
Public sortie de résidence (juillet 2019)
Environ 100 personnes
Public représentations finales
(octobre 2019)
Représentation après midi : 100 enfants
Représentation soir : environ 300 personnes
L'esnemble de l'équipe Mosaïque bénévoles et salariés a été mobilisé pour ce projet.
Le projet a été réalisé sous la direction artistique de la compagnie "Mémoires vives"
- Résultat sur le territoire
A travers les ateliers de recherche sur le quartier mais aussi lors de la création artistique, le public a pu se questionner sur le quartier des Bressons, leur façon d'appréhender leur espace de vie, l'animation du quartier, etc. Ils se sont confronté à leur propre pratique de l'espace public, aux questions de vivre ensemble et ont fait plusieurs propositions d'amélioration pour le quartier. De même, les ateliers réalisés avec les enfants ont permis d'aborder des questions liées aux transformations urbaines à travers des pratiques artistiques et d'activités manuelles. La question de l’évolution et de la transformation constante d’un quartier leur a permis de comprendre les notions de densité, de mixité d’habitat ou encore de propriété. La ville en construction et les processus de ses transformations ont ainsi été abordés de façon ludique en s’appuyant sur leur propre quartier.
D'autre part, le spectacle "Bresso de Mémoire" joué au théâtre Armand le 30 octobre 2019 apporte une véritable valorisation du quartier des Bressons, de son histoire mais également de ses habitants actuels. Il est vecteur d'une réflexion globale sur le territoire ; en mettant des images du quartier (passées et actuelles) au cœur de la création, il participe à améliorer l'image des lieux.
- Résultat pour le centre social
2/ Développer la culture comme outil de lien social
- Développer des espaces culturels de proximité de qualité, permettant à la fois de développer l'accessibilité de la culture et de valoriser l'expression des habitants et l'image des territoires.
- Favoriser les rencontres, l'échange, la participation des habitants par le développement d'activités, manifestations et rencontres culturelles à diverses échelles territoriales.
- Faciliter l'accès à la culture
L'organisation des résidences d'artiste et des ateliers de création au cœur du quartier des Bressons dans les nouveaux locaux du centre social nous a permis de proposer un espace culturel éphémère et dynamique et ainsi de valoriser les lieux. Les membres de la troupe et habitants des Bressons ont pu expérimenter plusieurs pratiques artistiques, créer ensemble, échanger sur le quartier... Cet espace a permis des rencontres intergénérationnelles au cours de repas partagés, de tables rondes et de débats.
De même l'évènement Mosaïk'Art du 12 juillet 2019 dans la cour de l'école primaire des Bressons a permis aux familles des Bressons de découvrir des extraits du spectacle ainsi que plusieurs artistes de la scène urbaine. Cet évènement a permis de favoriser les rencontres entre les habitants des Bressons, les jeunes participants au projet et les artistes. Lors d'une émission de radio animé par les jeunes du groupe radio en amont du spectacle, tous ces acteurs ont pu discuter et échanger sur le projet et leur vision du quartier. Le spectacle "Bresso de Mémoire" joué le 30 octobre 2019 au théâtre Armand a fédéré les habitants autour de la création et a ému un grand nombre de spectateur, familles des acteurs, familles des Bressons, de la Monaque et plus largement de Salon de Provence. Cette soirée spectacle suivi de l'exposition présentant les réalisations des enfants, les archives et le making-off du projet a suscité de nombreux échanges à la fois sur l'expérience vécu par le public tout au long de l'année, sur le quartier des Bressons et son histoire.
En parallèle du projet de création participative, les sorties culturelles diverses réalisées avec le public ont également permis de favoriser le lien social, les rencontres et les échanges. Nous avons pu faciliter l'accès à la culture pour certaines personnes isolées et éloignées de l'offre culturelle. Des sorties comme la découverte de L’étang des Aulnes ou la ferme pédagogique de Beaucaire permettent au public d'acquérir une meilleure connaissance de la région et de s'ouvrir à la nature. D'autres sorties comme le Château Borély à Marseille ou l’abbaye de Sénanque permettent aux participants de découvrir des lieux historiques et patrimoniaux. Des sorties culturelles dans des théâtres (Théâtre Armand / Théâtre des 3 hangars) ou lors des rencontres cinématographiques de Salon de Provence ont permis d'éveiller les usagers à une pratique artistique à laquelle ils n'ont pas habituellement accès. La diversité de l'offre des sorties culturelles mise en place, nous permet de toucher un public varié, en groupe mixte (enfants, adultes) ou par tranche d'âge séparée (enfants / jeunes / adultes).
- Résultat pour les habitants
Ce projet a eu un fort impact sur les adolescents.
Dans un premier temps, il leur a permis de développer leur confiance en eux. Au fur et à mesure du projet, ils se sont confronté au regard des autres en passant d'une petite représentation au sein des ateliers, à la scène en plein air au sein du quartier pour finir sur le plateau d'un théâtre. Cette progression et les conditions professionnelles apportées par le théâtre ont permis de valoriser le travail des adolescents qui ont montré une réelle progression.
De même, au travers des débats, des brainstormings et des travaux d'écriture (théâtre, rap, chorégraphies) réalisés tout au long du projet, les jeunes ont été amené à prendre la parole devant le groupe, à défendre des arguments et à être force de proposition. Dans cette optique, l'outil radio a été très utile ; les ateliers autour de ce média ont été investis massivement par les jeunes qui se sont retrouvé dans la position du journaliste mais aussi de l'interviewé. Ce processus de projet a permis de favoriser l'expression des jeunes qui sont de plus en plus à l'aise avec cette démarche, qui acquièrent de nouvelles compétences, une autonomie et développent leur esprit critique.
Dans un second temps, la participation et l'appartenance au collectif de la troupe participe à la dimension pédagogique apportée par le projet. En effet, les adolescents créent des liens entre eux en participant à un tel projet sur le temps long. Ils développent notamment lors des temps de travail intensifs une solidarité (pour oser monter sur scène, apprendre les textes de rap ou de théâtre, les chorégraphies de danse, etc). Tout au long du projet, nous travaillons également l'autonomie avec les jeunes ainsi que sur l'autorégulation dans le groupe. Appartenir à un groupe mobilisé sur un projet permet également de travailler, sans les nommer, sur les notions de respect et d'entraide.
Le lien avec les familles lors des petites représentations dans le quartier, la préparation des résidences/séjours et lors de la représentation finale au théâtre a également eu un impact positif sur les jeunes. En effet, leur investissement dans le projet, leur sérieux et leurs nouvelles compétences artistiques sont reconnues par leur famille et leur entourage. Ils sont ainsi personnellement et collectivement valorisés et fiers du travail accompli.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Le projet Mosaïk'Art est repris pour l'année 2020 sous une forme de participation artistique différente. A partir de la création artistique sur les Bressons et du projet de maquette de la Monaque réalisée en 2017-2018, nous allons travailler sur des projets d'aménagement et de valorisation des espaces de vie de leurs quartiers. Toujours de façon intergénérationnelle et à travers la mise en place de pratiques culturelles, collectives et variées, l'objectif est de créer des espaces ludiques de partages et de rencontres au sein d'un univers artistique. La réalisation "in situ" de projets avec des artistes permet aux participants (habitants ou usagers du territoire) de se questionner sur leurs lieux de vie et de se réapproprier les quartiers différemment. Le projet comporte 3 volets. 1/Des ateliers "Découverte et appropriation des questions urbaines et spatiales" qui ont pour objectif de faire découvrir au public plusieurs pratiques de la ville et des espaces construits. 2/Des actions "Aménagement et valorisation de nouveaux espaces" qui permettent au public d'avoir un réel impact sur leur territoire en imaginant et en mettant en œuvre leurs projets collectivement dans l'espace public. Ces actions se dérouleront dans le cadre de résidences d'artiste et de chantiers éducatifs. 3/Des évènements pour valoriser les projets et les créations des habitants auront lieu à chaque fin de résidence et de chantier.
Actions
Jeunesse d'hier, jeunesse d'aujourd'hui
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL HORIZON - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Résumé
Le Centre Social Horizon accueil des publics d’âges variés : des familles avec des enfants, des adolescents, des seniors. Ces publics se croisent mais ne se rencontrent pas toujours, en particulier les publics seniors et adolescents.
De plus, d'un côté certains seniors ont une mauvaise image des jeunes et d’un autre côté les jeunes n’ont pas toujours non plus une image positive des + de 60 ans. L’idée est aussi de favoriser l’inter connaissance entre les publics, la transmission des savoirs des ainés vers les nouvelles générations, mais aussi la transmission des modes de vie actuels des plus jeunes vers les ainés. Provoquer des rencontres peut amener à mieux se connaître, mieux se comprendre, et à mieux vivre ensemble.
Dans le cadre des animations seniors du Centre Social, les échanges se sont à plusieurs reprises portés sur les modes de vie d’hier (dans les années 50). Sur des sujets divers : l’école, la vie quotidienne, les loisirs… Beaucoup d’aînés prennent du plaisir à se remémorer cette période de vie passée pas toujours facile mais en générale heureuse. Il semblait important à la commission Bien Vieillir de proposer aux seniors un travail de mémoire autour de cette question, afin de pouvoir transmettre aux plus jeunes les modes de vie passé bien éloignés de nos vies d’aujourd’hui. L’idée n’est pas de dire c’était mieux hier ou c’est mieux maintenant ! Mais de mettre en avant une évidence : nos modes de vies ont fondamentalement changé en 60 ans ! Ce projet va se décliner en plusieurs axes, l'objectif final est de provoquer des échanges entre générations sur les modes de vie d'hier et d'aujourd'hui. Et de façon informelle de faire réfléchir les uns et les autres sur les représentations qu'ils peuvent avoir de façon réciproque.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Ce projet est né d'un groupe de seniors qui participe aux activités du Centre Social qui avait envie de se raconter, de raconter leur histoire, leur vécu, et leur jeunesse. Ils ont rapidement formulé le souhait de pouvoir échanger avecc des jeunes, pour savoir comment eux vivaient leur jeunesse aujourd'hui.
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Ce projet va se décliner en plusieurs axes, il va partir des seniors, venir vers les jeunes et à travers eux vers les familles. Ce qui nous semble intéressant c’est de rendre les seniors ACTEURS d’un projet à destination d’un autre public, projet qui sera support d’échanges, de débats, de rencontres entre générations.
Dans un premier temps, lors des animations mémoire du Centre Social, qui réunissent en moyenne 35 seniors, nous aborderons le thème de la jeunesse d’hier d’une façon globale sous les 3 axes suivants : l’école, la vie quotidienne, les loisirs. Suite à ces temps d’animations mémoire, nous constituerons un groupe de participants (+/- 10 personnes) pour mettre en valeur ce temps passé dans les années 50. L’idée c’est de créer une exposition visuelle (photos, dessins, textes…), voire sonore (témoignages) à destination des plus jeunes (familles et adolescents). La mise en forme de cette exposition reste à travailler avec le groupe, mais l’idée c’est de faire voyager dans le temps, à travers les 3 mêmes axes (école, vie quotidienne, loisirs).
Ensuite, une présentation de l’exposition sera faite lors de la fête de quartier du Centre Social. A cette occasion nous touchons des publics d’âges divers, ce qui permettra des échanges, des prises de consciences globales. L’exposition sera affichée ensuite quelques semaines à l’accueil du Centre Social et présentée aux jeunes lors du CLAS collège. Dans le cadre du CLAS, elle sera l’occasion d’échanges, de débats : les seniors présenteront leur jeunesse d’hier et les jeunes viendront compléter avec leurs modes de vie d’aujourd’hui. Des débats un partage d’expérience s’en suivront sur les thèmes suivants : ambiance de classe, la durée des études, la participation aux taches de la famille, les loisirs, les sorties entre amis(es), la rigueur de l’éducation, les moyens matériel… le choix des thématiques est vaste. La mise en place et l’animation de ces débats resteront à co-construire entre le groupe de travail et les animateurs du CLAS collège. Nous envisageons même d’utiliser la caravane radio avec les jeunes. Ces derniers prépareront une interview qui se déroulera dans la caravane radio. Un podcast sera ensuite mis en ligne, et viendra compléter l’exposition visuelle.
Enfin, nous souhaitons sur un temps de vacances scolaires poursuivre ces rencontres entre générations (seniors, ados, familles) autour des loisirs : après midi initiation des seniors aux jeux vidéo par les jeunes, présentation de jeux traditionnels par les seniors, visite d’une école à l’ancienne.
Et pour compléter notre propos et les partages d’expériences l’intervention d’un sociologue présentant l’évolution de la jeunesse à travers le temps, nous semble intéressant. Cette thématique sera à destination aussi bien des aînés que des familles. Ce temps d’échange brossera l’évolution des comportements des jeunes avec l’évolution de la société, il permettra aussi de répondre à certaines questions que les familles et les aînés peuvent se poser sur les adolescents et comment accompagner cette période de vie.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
CHARGES
Montant
PRODUITS
Montant
CHARGES DIRECTES
RESSOURCES DIRECTES
60 - Achats
550
70 – Vente de produits finis, de marchandises, prestations de services
Prestations de services
300
Achats matières et fournitures
150
74- Subventions d’exploitation
2500
Autres fournitures
100
État : précisez le(s) ministère(s) sollicité(s)
61 - Services extérieurs
400
- VVV
Locations
400
- Contrat de ville
2000
Entretien et réparation
Région(s) :
Assurance
-
Documentation
Département(s) :
62 - Autres services extérieurs
650
- CARSAT
500
Rémunérations intermédiaires et honoraires
500
Intercommunalité(s) : EPCI
Publicité, publication
- Conservatoire
Déplacements, missions
150
Commune(s) :
Services bancaires, autres
-
63 - Impôts et taxes
Organismes sociaux CAF :
Impôts et taxes sur rémunération,
- Subvention Contrat de ville
Autres impôts et taxes
- REAAP
64- Charges de personnel
1240
Fonds européens
Rémunération des personnels,
870
L’agence de services et de paiement (ex CNASEA, emploi aidés)
Charges sociales,
370
Autres établissements publics
Autres charges de personnel
Centre Social
65- Autres charges de gestion courante
75 - Autres produits de gestion courante
66- Charges financières
Dont cotisations, dons manuels ou legs
67- Charges exceptionnelles
76 - Produits financiers
68- Dotation aux amortissements
78 - Reprises sur amortissements et provisions
Charges fixes de fonctionnement
570
Quote-part Centre Social
910
Frais financiers
Autres
TOTAL DES CHARGES
3410
TOTAL DES PRODUITS
3410
CONTRIBUTIONS VOLONTAIRES
86- Emplois des contributions volontaires en nature
87 - Contributions volontaires en nature
Secours en nature
Bénévolat
Mise à disposition gratuite de biens et prestations
Prestations en nature
Personnel bénévole
Dons en nature
TOTAL
TOTAL
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
10 seniors et 8 jeunes une salariée
- Résultat sur le territoire
Depuis la réalisation du livret, des habitants des communes alentours sont venus l'acheter. Ce projet a largement été communiqué dans la presse locale.
- Résultat pour le centre social
Reconnaissance des actions du Centre Social, liens intergénérationnels entre les seniors et les jeunes.
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Création d'une exposition sur le projet en lien avec le collège du quartier
Actions
Accueil seniors
- Structure organisatrice
- OÏKOS - CENTRE CULTUREL ET SOCIAL DE LA PEPINIERE MICHEL LEGRAND - Territoire de Belfort
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- Viellissement
- Intégration
- vacances / loisirs
- Mixité sociale
- Résumé
Certains retraités rencontrent des difficultés économiques et/ou sociales et/ou en situation d’isolement.
L’avancée en âge de la personne est souvent accompagnée de la question du nouveau sens donné à son projet de vie.
Dans le diagnostic réalisé par les structures Oïkos (CCSRB, MQJJ CCSP et CCSBN), les retraités ont exprimé leur volonté d’être actifs, tout en restant autonomes et en bonne santé.
La démarche participative menée dans le cadre du contrat de projet a permis d’organiser une nouvelle commission de travail thématique, ayant pour but de répondre aux préoccupations exprimées par les usagers séniors.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Lutter contre les phénomènes d’isolement des seniors.
Proposer des animations favorisant la convivialité.
Proposer des ateliers de prévention et de bien-être (diététique, gymnastique d’entretien, randonnée, marche nordique).
Proposer des sorties à caractère culturel.
- Public
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Les éléments révélés par les différents diagnostics sont alarmants et reflètent, notamment dans le secteur « Pépinière 2 », une paupérisation économique, mais aussi une grande fragilité sociale et culturelle. Ces chiffres soulignent la fragilité du sous-quartier, avec des problématiques très nombreuses : vieillissement, dépendance économique et sociale, isolement et difficultés en matière d’emploi, de formation et d’accès aux droits et à la santé. Bien qu’implanté dans un territoire ne relevant pas des Quartiers prioritaires de la Politique de la Ville, le CCSP doit faire face aux mêmes problématiques que les équipements situés en zone sensible. L’adéquation des ressources de la structure avec le contexte contraint le projet de développement d’éducation populaire visant la lutte contre les inégalités sociales. La permanence de ce contexte a pour effet induit une orientation de l’approche généraliste vers la « fonction d’accueil ».
Mise en place d’une coordination entre les centres culturels et sociaux et maisons de quartier de l’association OÏKOS
Organisation de réunions de concertation et partage d’un programme d’action entre les centres OÏKOS prenant par à ce projet.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Usagers, équipes et bénévoles des stuctures partageant le projet d'inclusion des publics seniors.
Cela concerne pour l'anialtion de l'action au CCSP les membres de la commission thématique "vieillissement" soit 12 personnes.
- Résultat sur le territoire
Intervention transversale en concertation avec les partenaires.
Initiation d’une réflexion sur la thématique d’inclusion des publics « âgés »
- Résultat pour le centre social
La mission du centre socieal tient compte des publics particuliers et du contexte territorial (Pépinière 2). Le nombre de personnes en situation de fragilité et handicap et/ou d’isolement dans le quartier de la Pépinière justifie la considération de ses problématiques dans la fonction d’accueil de proximité de notre centre social. « Travailler à mettre en œuvre l’inclusion, c’est investir pour une société plus juste pour un mieux vivre ensemble. »
- Résultat pour les habitants
Chaque personne ne sera pas accueillie en tant qu’usager ou client d’un service proposé, mais comme habitant du quartier ou du territoire et partenaire potentiel du projet du centre social. L’accueil du centre est aussi un observatoire nous permettant d’identifier les ressources propres des habitants.
- Suite de l'action : Limites
Aniamtion necessitant des connaissances médico-sociales.
- Suite de l'action : Perspectives
Perenité et développment de l'action visant l'accueil et l'inclusion des personnes en situation d'isolement.
Actions
Journée Citoyenne et Républicaine édition 2019 : mobilisation contre l'endoctrinement et la radicalisation.
- Structure organisatrice
- ASSOCIATION CULTURE LOISIRS EDUCATION (CLE) - Territoire de Belfort
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Journée citoyenne et républicaine du vendredi 18 octobre 2019.
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- discriminations
- Résumé
Vendredi 18 octobre 2019
Journée Citoyenne et Républicaine
Mobilisation contre l'endoctrinement et la radicalisation
de 9h à 23h
Salle de spectacle de la Pépinière
13, Rue Georges Danton - 90000 BELFORT
Cette journée a été co-animée par ROST, chroniqueur, réalisateur et Assad MOKHENACHE, Directeur de la CLE d’Offemont.
ROST est un artiste, réalisateur aux multiples facettes : Conseiller au sein du Conseil économique, social et environnemental, Président de l'association Banlieues Actives. Depuis une vingtaine d'année, ROST est très engagé sur les questions de citoyenneté, de prévention des violences et de la délinquance, d'exclusion, de la jeunesse, des quartiers populaires et plus globalement les personnes les plus fragiles.
Sa propre vie, dans la promiscuité, la violence et l'extrême pauvreté, l'ont obligé à être très attentif aux autres. Grâce à sa détermination à fuir le déterminisme, il a toujours trouvé l'énergie nécessaire quelques soient les obstacles pour aller au bout de ses combats.
Présentation du projet.
ROST : un réalisateur engagé.
Depuis une vingtaine d'année, ROST est un artiste, rappeur très engagé sur les questions de citoyenneté, de prévention des violences et de la délinquance, d’exclusion, de la jeunesse, des quartiers populaires et plus globalement les personnes les plus fragiles. Sa propre vie, dans la promiscuité, la violence et l’extrême pauvreté, l'ont obligé à être très attentif aux autres. Grâce à sa détermination à fuir le déterminisme, il a toujours trouvé l'énergie nécessaire quelques soient les obstacles pour aller au bout de ses combats.
Il définit son action comme suit : “Je suis intimement convaincu que chacun d'entre nous peut apporter sa petite pierre à l'édifice pour qu'ensemble nous fassions, bouger les choses, évoluer les mentalités et faire place à plus de justice sociale afin d'éviter ce sentiment d'exclusion et de rejet qui conduisent parfois certains de nos jeunes vers des dérives ou l'obscurantisme”.
Genèse du projet : un projet militant pour redonner de l’espoir à une jeunesse.
ROST explique que lors des attentats de Charlie Hebdo, certains de ses amis se sont faits assassinés et touchés, dont CHARB et son garde du corps ainsi que le gérant de l’Hyper Cacher. Ce dernier et son frère ont été les deux personnes qui lui ont permis de s’en sortir 20 ans plutôt. Puis, lors des attentats du 13 Novembre, sa maquilleuse se faisait assassiner en prenant plusieurs balles sur la terrasse de « La Belle Equipe » un mois à peine après leur retour de tournage de son précédent court-métrage « Et si on s’en sortait ». Ce court métrage, qui était déjà à l’époque une réponse aux attentats, avait pour but de réenchanter la jeunesse et de ne pas la stigmatiser. En effet, l’histoire raconte le périple de quatre amis, issus d’un quartier populaire, qui ont été fragilisé par la vie et qui essaie de s’en sortir. Ce film pose les questions suivantes : quel chemin emprunteront-ils, est-ce que l’échec est une fatalité ?
Cette journée citoyenne et républicaine a comporté 3 temps forts (ateliers) :
1. Temps de formation, échange – débats autour notamment du travail d'enquête, d'investigation et de réalisation du film court métrage "Tu iras au Paradis" de 9h à 12h avec les professionnels intéressés par la problématique notamment de l’endoctrinement et de la radicalisation.
Ce temps de formation a intéressé plus de 150 personnes, professionnels de tout horizon, étudiants de l’IUT carrières sociales, citoyens, élus…
ROST a pu exposer sa démarche, expliquer son engagement militant, associatif et le combat qu’il mène depuis des décennies contre l’obscurantisme, le totalitarisme et l’extrémisme religieux.
2. Rencontre et échanges avec des lycéens du LP DIDEROT à Bavilliers : Echange – débat à partir du film court métrage "Tu iras au Paradis".
Afin d’initier le travail de prévention, d’information et de lutte contre l’embrigadement, l’endoctrinement et la radicalisation nous avons mis à disposition des équipes éducatives toute une série de modules pédagogiques. Ce support pédagogique a fait l'objet d'un travail inter disciplinaire par les équipes éducatives du Lycée Professionnel Diderot.
L’échange s’est organisée cette année sous la forme de deux débats d’1h avec à chaque session, près d’une centaine d’élèves.
Au final, les deux sessions ont été très riches, de nombreuses questions ont été posées, cela traduisait bien les interrogations et autres réflexions qui demeurent celles de ces adolescents, adolescentes. Ce nouveau format a été grandement apprécié par l’ensemble des partis investis et impliqués dans la démarche de dénonciation de l’endoctrinement et des processus de radicalisation.
3. Diffusion du film court métrage "Tu iras au Paradis" à partir de 20h à la Salle de spectacle de la Pépinière à BELFORT.
Synopsis du film : Tu iras au Paradis.
Embrigadé dans une entreprise maléfique, RÉMI, un jeune garçon de 17 ans, fait partie d’un commando terroriste qui lui demande d’attacher autour de sa taille une ceinture d'explosifs afin d’exécuter un plan : ALLER AU PARADIS.
Il sort des toilettes d’une brasserie bondée de monde, prêt à mettre en exécution le plan qui est de se faire exploser en faisant le plus de victimes possibles. C'est alors que NABIL (joué par le comédien SMAÏN), un monsieur exubérant d'une cinquantaine d'année, le reconnaît. Il s'invite alors à la table de Rémi sans que celui-ci ne puisse y faire quoique ce soit et le compte à rebours est lancé …IMPACT DANS 20 Minutes.
Ce film n'est pas une analyse du terrorisme religieux. Il ne prétend pas expliquer, ou détenir la vérité. Avec « Tu iras au paradis », son co-auteur et co-réalisateur Thomas
KEUMURIAN et ROST ont voulu faire une œuvre courte, coup de poing, qui vient interpeler, interroger, interloquer. Le film vise à susciter le débat autour de la question de l'embrigadement. Si le terrorisme islamique est abordé, jamais aucun d'amalgame avec la religion musulmane qu’est l’'Islam n’est fait.
La touche humoristique qui sous-tend le film permet de dédramatiser par la forme un sujet lourd et sensible afin de mieux capter l’attention des jeunes avant les échanges.
Un débat autour du film : La radicalisation n’est pas une fatalité (une tournée du film à travers la France a démarré depuis mars 2019).
Lors de ces différentes actions et interventions, ROST démontre que pour lutter efficacement contre le fléau de la radicalisation, il faut combattre les préjugés.
En effet, à travers ses rencontres avec des personnes radicalisées en prison et son association Banlieues Actives, il s’efforce de faire un travail de citoyenneté, de prévention de la violence, de la délinquance et surtout, de redonner de l'espoir, de la motivation et une ambition saine aux jeunes issus des quartiers populaires qui ne croient plus en l’avenir.
Les films qu’il a pu tourner dont “La Rue des Anges” ainsi que “Et si on s’en sortait”, ont servi de support pour aller vers ces jeunes pour échanger avec eux sur les conséquences parfois dramatiques de la délinquance partant du postulat suivant : aucun d’entre eux n’est condamné à l’échec et que chacun a le potentiel et les ressources pour s'en sortir et dépasser sa condition sociale.
Sa notoriété, en tant que rappeur, sa médiatisation mais avant tout son parcours personnel qui fut mouvementé, ont eu un impact sur les jeunes qu’il a pu rencontrer. Ces films, et en particulier celui-ci, les interroge, interpelé pour engager une réflexion sur eux- mêmes.
Le sujet du terrorisme contemporain est très complexe et sensible et ROST, par son implication et son engagement, s’en est emparé pour pouvoir ouvrir le débat avec ces jeunes. Se retrouver face à des personnes directement touchées par ces drames rend immédiatement le débat bien plus concret et une approche des jeunes beaucoup moins fantasque.
Sa devise “Je suis convaincu que les rencontres peuvent changer une vie, qu'une personne rencontrée au bon moment peut faire la différence dans une existence”.
La diffusion du court métrage a été suivie d’un échange – débat entre ROST, M. MOKHENACHE et les nombreux spectateurs présents.
Nous avons pu compter la présence de nombreuses personnalités, M. RANOUX, Président du Conseil d’Administration de la CAF du Territoire de Belfort, M. FERRAIN, conseiller départemental, M. KRANTZ, Directeur académique des services de l'Éducation nationale, DSDEN, M. THIERRY, Délégué du Préfet, des représentants du Conseil Régional…
Une participation active d’un groupe de plusieurs adolescentes, d’étudiantes de l’IUT Carrières Sociales de Belfort, des volontaires Service Civique dans le cadre de l’organisation et de la tenue de cette journée citoyenne et républicaine a permis de diffuser l’information via des affiches, mailing et autres flyers.
Publics bénéficiaires ou cibles :
Pré-adolescents, adolescents, jeunes adultes et parents issus des QPV : près de 550 personnes dans le cadre de la Journée Citoyenne et Républicaine, édition 2019 : conférence-débat, échange avec du public étudiant, visionnage du court métrage "Tu iras au Paradis" suivi d'un débat avec le public.
Grand public et autres professionnels de l'animation, de l'éducation et de la prévention de la délinquance intéressés et sensibilisés par ces questions : 160 personnes.
L'ensemble des actions, projets développés et mis en œuvre au cours de l'année 2019 a touché près de 750 personnes. Cette journée citoyenne et républicaine a fait l’objet d’une interview croisée de ROST et d’Assad MOKHENACHE, enregistrement, par Thibault QUARTIER, journaliste auprès de « le Trois », média local (décrypter le Nord Franche Comté) qui a pris la forme d’un article publié en ligne intitulé « Ce que nous combattons au quotidien, c’est l’ignorance ».
Indicateurs – évaluation :
Présence, régularité, investissement du public dans sa diversité, des jeunes particulièrement,
- La qualité des échanges et des débats suscités lors et à l'issue des séances et autres débats avec des intervenants, des spécialistes, des professionnels.
- La motivation lors de la conférence, diffusion du documentaire « Revenantes ».
- Une meilleure compréhension du concept du vivre ensemble, de la tolérance, de l'égale dignité humaine.
- L'acquisition d'un répertoire de connaissances et de références aux valeurs républicaines et citoyennes, humanistes et universelles.
- La prise de conscience de la dangerosité et de la haine de l'humanité que ces groupuscules djihadistes véhiculent de par leurs canaux de communication, de vulgarisation du principe de "théorie du complot".
Finalités recherchées :
Le projet visait également à susciter la réflexion, le questionnement, à lutter contre certains clichés, stéréotypes et autres représentations et à inviter au dialogue dans des conditions sereines et empreintes de sérénité, valeurs républicaines.
Il s'agissait de fait de permettre, faciliter une meilleure ou plus juste appréhension du monde par nos publics pré adolescents et adolescents en dénonçant notamment les injustices, la théorie du complot véhiculée sur la toile, contribuant par la même à faire évoluer les mentalités dans un esprit, espace citoyen pour tendre vers une compréhension du monde, des contextes géopolitiques qui ne soit pas biaisée, altérée par de la frustration, de la démagogie, de l'ignorance.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Action majeure de prévention contre l'endoctrinement et la radicalisation. L'objectif étant de vulgariser un certain nombre de concepts, de présenter au plus grand nombre les mécanismes et autres stratégies mises en oeuvre par des entités ou groupuscules fondamentalistes.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Un groupe de travail a été mis en place, il comportait des membres de l'équipe éducative et d'animation de la CLE d'Offemont, ainsi que des membres du conseil citoyen d'Offemont.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Plusieurs demandes de subventions ont été adressées aux partenaires financiers et institutionnels : Préfecture du Territoire de Belfort, CAF du Territoire de Belfort, Conseil Départemental et Conseil Régional.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
L'ensemble de l'équipe éducative et d'animation, des membres du conseil citoyen, des adhérents et autres membres des secteurs jeunes et pré-ados de la CLE d'Offemont. L'équipe enseignante de l'IUT Belfort - Montbéliard filière carrières sociales et les Volontaires Service Civique.
- Résultat sur le territoire
Cette action est une déclinaison locale d'une politique de prévention nationale, elle vise a dénoncer un certain nombre de clichés et autres représentations.
Elle ambitionne également de lutter contre la théorie du complot et du grand remplacement.
- Résultat pour le centre social
La journée Citoyenne et Républicaine met en exergue la politique éducative, de prévention et d'accompagnement vers une citoyenneté conscientisée et apaisée du centre social. Elle s'inscrit dans la continuité d'actions, de projets visant à promouvoir les valeurs républicaines, les principes de démocratie.
- Résultat pour les habitants
Ces temps d'échanges, de réflexion, de débats et autres conférences ambitionnent l'aculturation, la vulgarisation d'un certain nombre de concepts et autres connaissances qui au final permettent aux habitants, bénéficiaires de porter un regard critique et objectif sur les bouleversements majeurs que ces idéologies ont amenés au cours de la dernière décennie.
- Suite de l'action : Limites
La journée Citoyenne et Républicaine n'est pas une fin en soi, elle ambitionne d'être reconduite chaque année afin d'apporter un regard, un éclairage singulier sur la lutte et autres mobilisations contre l'endoctrinement et la radicalisation. La multiplication des approches, analyses, présentations, compréhensions de cette problématique permet de démystifier toute une série de cliches, représentations, visions surannées...
- Suite de l'action : Perspectives
Le concept de la journée Citoyenne et Républicaine commence à faire des émules sur le territoire national, à savoir concentrer sur une journée plusieurs temps de réflexion, d'échanges, de débats, un volet conférence de sorte à toucher toutes les franges de la populations. Un ambition challenge que celui de vulgariser autant que faire se peut ce champ complexe de l'endoctrinement et des processus de radicalisation.
Actions
Agissons pour notre santé
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL & CULTUREL PASSERELLE - Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Fin du projet
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Santé
- Résumé
Accompagnement d'un groupe d'habitantes dans leur envie " deseprendre en main" pour améliorer leur état de santé, leur image.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place, pour accompagner les habitantes à aller plus loin que le fait d'exprimer une idée, une envie.
Pour démontrer aux habitants que le centre social est un facilitateur et peut accompagner les projets sans que les initiateurs soient dépossèder de leur idée de départ.
Et enfin, pour accompagner un projet lié au domaine de la santé
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
L'action a été conduite par une animatrice adultes relais, accompagnée de la référente familles
Le projet s"est déoulé sur une saison et un programme établi avec les participantes.
Une première phase consacrée au corps ( image de soi, sport, bien être et relaxation) cette première phase a été jalonnée par lintervention d'un coatch sportif, d'une conseilère en image, d'une intervenante Yoga du rire
Une seconde phase consacrée à l'alimentation ( intervention de la référente famille, d'une diététicienne, concours de cuisine)
- Ressources financières mobilisées pour cette action
2000 euros
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 professionnelles du centre social
4 intervenants extérieurs
3 bénévoles
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
Les habitants sont plus enclins à solliciter le centre social pour exprimer leurs envies, idées de projet
- Résultat pour les habitants
Amélioration de l'image et de la confiance en soi
Amélioration de l'état de santé ( perte de poids importante )
Valorisation au sein des familles
- Suite de l'action : Limites
Les participantes ne savent pas si elles vont tenir sur la longueur ( démotivation, difficultés de mobilité pour accèder à une activité sportive )
Les participantes sont happées par leurs obligations familiales et on du mal à se libérer ( ou à être libérées) pour consacrer du temps régulièrement à leur bien être.
- Suite de l'action : Perspectives