Les actions des centres sociaux
Actions
CONTRAT LOCAL D'ACCOMPAGNEMENT A LA SCOLARITE
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ALBERT SCHWEITZER - Yvelines
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Culture
- Résumé
Cette action municipale coordonnée par le Centre Social vise à apporter aux élèves d'écoles élémentaires et collégiens une aide méthodologique et une ouverture culturelle afin qu'ils appréhendent plus efficacement, de manière autonome, leurs apprentissages.
C'est aussi l'occasion de permettre à ces enfants d'être sensibilisés à une ouverture culturelle, et d'être valorisés. Ils reprennent ainsi confiance en eux. Il s'agit également de renforcer l'autonomie de chaque enfant et sa capacité à vivre avec les autres afin d'améliorer son épanouissement personnel.
Les parents sont soutenus et accompagnés dans leur fonction parentale via ce dispositif.
Certaines inégalités peuvent être compensées via ce projet.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place pour gommer certaines inégalités dont les enfants et parents sont victimes (inégalités sociales, inégalités d'accés à la culture...)
Les résultats attendus sont : un progrès des enfants dans leurs apprentissages, un accompagnement des parents efficace pour un meilleur investissement de ces derniers dans la scolarité de leurs enfants, une valorisation des acquis des enfants...
Cette action s'inscrit dans le volet ACF de notre projet social ayant pour cible la famille et le soutien à la fonction parentale.
- Public
- Enfance
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Cette action existe et s'est développée depuis près d'une quinzaine d'années suite à un constat fait par la municipalité sur les difficultés des familles au sein de certains quartiers de la ville.
Les différentes écoles et la municipalité ont voulu oeuvrer pour accompagner ces enfants et parents.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Un budget total de 51163 € dont 50 321 € représentant les charges de personnel, un financement de la caf à hauteur de 16100 €, soit 31 % du cout total.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
En 2015, 3 professionnels intervenant dans la coordination, 6 vacataires, 4 bénévoles, 35 enfants concernés.
- Résultat sur le territoire
- Un territoire classé en veille active, avec des financements à la baisse, mais pérénnisant l'aide aux familles
- Un partenariat école/ville/CS développé
- Deux quartiers enclavés, dans un territoire étendu bénéficiant d'un service de qualité pour les familles.
- Résultat pour le centre social
- Un réseau de familles mis en lien avec les différentes actions du CS
- Un partenariat CS/école développé et enrichi
- Une orientation des parents vers différents partenaires instututionnels et associatifs
- Un CS agissant à sa mesure sur certaines inégalités sociétales.
- Résultat pour les habitants
- Des familles soutenues et accompagnées
- Des famillles, enfants parents valorisés
- Un accès à la culture facilité
- Des parents soutenus pour certains dans leur réinsertion sociale et/ou professionnelle
- Suite de l'action : Limites
- Des problématiques touchant certaines familles ou enfants allant au-delà de celles sur lesquelles le CS peut agir.
- Limites budgetaires du projet, un nombre d'enfants limité
- Un bénévolat fragile, des bénévoles timides ayant certaines apréhensions à intervenitr aux côtés de l'école et auprès d'enfants.
- Une action dont l'enjeu est quelquefois non compris par certains parents, une confusion avec le soutien scolaire.
- Suite de l'action : Perspectives
- Création d'un réseau de parents fréquentant le CS et notamment les groupes de parole parents
- Renforcer la mobilisations des parents
- Une réelle transversalité CS/Ecoles/familles
- Un développement du bénévolat permettant de toucher d'autres enfants fréquentants d'autres écoles de la ville.
Actions
Estime de soi
- Structure organisatrice
- ESPACE FAMILLE DE MIGENNES - Yonne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- Santé
- Intégration
- Résumé
Action reconduite chaque année pour une durée de 3 mois à raison de 24 séances.
Action en direction de 12 habitants de la commune, de 16 à 62 ans, hommes ou femmes.
Action pour valoriser l'estime de soi, pour devenir acteur de sa santé, dans le but de s'insérer dans la vie sociale et/ou professionnelle.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le CD et la ville ont repéré la fragilité de certaines familles eu égard à leur insertion sociale et/ou professionnelle mais aussi la non-prise en charge de la santé ainsi que le manque d'autonomie et de confiance en soi.
Il est constaté également un repli sur soi, la peur de l'autre,le mal-être voir la déprime.
Ces nombreux freins compliquent donc la recherche d'emploi.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Cette action a débuté en 2009.
L'action est présentée chaque année à tous les partenaires de la ville qui reçoivent un public en difficulté d'insertion sociale et/ou professionnelle. Des plaquettes informatives leur sont transmises afin d'informer et sensibiliser leur public.
Les animatrices du centre de formation ou la C ESF présentent le programme de l'action aux différents publics repérés par les partenaires.
Le suivi de l'action est transmis régulièrement aux partenaires prescripteurs par la C ESF.
Un bilan final est fait avec les participants et les partenaires prescripteurs.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Dossier présenté dans le cadre du Contrat Urbain de Cohésion Sociale et maintenant dans le cadre du Contrat de Ville.
En 2017 les subventions attribuées ont été les suivantes :
- 500 € ARS
- 1000 € Conseil Départemental
- 4500 € Conseil Régional
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
La C ESF du centre social
Deux animatrices d'un centre de formation agréé.
Les partenaires prescripteurs (10 ) qui oeuvrent sur la ville
- Résultat sur le territoire
Acquisition d'assurance, de confiance en soi pour faire des démarches. Plus de honte de soi, moins de crainte pour sortir et rencontrer des personnes.
Les partenaires prescripteurs constatent la prise d'autonomie.
Certains ont trouvé soit une formation, soit un travail, d'autres se sont investis dans le bénévolat ou dans la vie associative.
- Résultat pour le centre social
Plusieurs projets d'actions collectives sont mis en place grâce aux bénéficiaires de cette formation, qui n'appréhendent plus pour prendre la parole dans un groupe ou partager leurs idées.
Ils sont aussi des éléments dynamiques pour la mise en place des projets.
Ils peuvent aussi devenir bénévoles pour animer des ateliers collectifs.
- Résultat pour les habitants
Les bénéficiaires font le relais auprès des habitants pour présenter soit l'action, soit le centre social.
Ils participent à la vie associative pour faire vivre leur quartier, s'investissent dans leur commune au sein du conseil citoyen
- Suite de l'action : Limites
Cette action permet de franchir les premières marches en direction de l'insertion sociale et/ou professionnelle. Chacun, doit ensuite, continuer les démarches personnelles pour continuer de développer l'estime de soi et avancer dans son projet de vie. L'investissement des bénéficiaires est nécessaire pour profiter au mieux de cette action.
La langue française doit être maîtrisée oralement afin de profiter des nombreux échanges entre les participants et avec les intervenants ou formateurs.
- Suite de l'action : Perspectives
Suite à cette action, chaque année un groupe se constitue pour mener un projet collectif, soit en direction de l'emploi soit en direction de la collectivité.
Actions
FORUM CITOYENNETE
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL DE REMIREMONT - Vosges
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Elle a eu lieu le 4 avril 2015
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- discriminations
- Résumé
TITRE = FORUM CITOYENNETE
OBJECTIF = Cette action vise la sensibilisation des enfants, élèves, sur les thématiques de la vie civile, elle permet le développement d'interventions engagées des jeunes sur des sujets citoyens, le partage de points de vue, de valeurs communes, et met en valeur l'intérêt collectif.
CONTENU = La référente de l'action mobilise chaque année tous les établissements scolaires souhaitant s'investir autour de thématique citoyennes. Les classes travaillent toute l'année scolaire autour d'un axe et se produisent ensuite au Centre culturel / palais des congrès lors d'un temps fort organisé sur une journée. Participation de partenaires de la prévention, de sécurité civile, de l'éco-citoyenneté selon les thématiques (service de police/ pompiers/ droit des femmes / médiateur de la république / sicovad...). Participation de professionnels du théâtre forum.
PUBLIC CIBLE = Elèves du Primaires et scondaires . En 2015, 502 enfants et 81 professionnels adultes ou parents ont participé à ce temps fort sur la thématique citoyenneté / parentalité en partenariat avec le réseau parentalité .
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L'action a été mise en place en 2006 par une ancienne association de prévention spécialisée, aujourd'hui dissoute. Devant la pertinence de cette action et à la demande des responsables d'établissements, le Centre social a repris l'action.
Le projet perdure depuis plus de 10 ans. Il s'impose d'autant plus avec les derniers événements de l'actualité.L'objectif a atteindre reste la sensibilisation des jeunes sur les thèmes des droits et devoirs citoyens, l'engagement dans la vie civile, l'ouverture aux autres, la tolérance, la lutte contre les discriminations. Au travers de cette action, les jeunes sont acteurs et défendent des valeurs citoyennes.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
CALENDRIER MISE EN OEUVRE =
- septembre = définition d'un thème de travail concerté avec les responsables d'établissements (primaires et secondaires)
- septembre à février = travail au sein de chaque classe sous la coordination de la référente de l'action : production d'exposition, scénettes, reportages, power point , danse ou autre support .
- février = début répétitions générales
- avril = développement du temps fort (4/4/2015 en 2015) . Rendu global de chaque classe auprès des autres élèves sur scène.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget global sans valorisation 9832 euros
60. achats=1750
62.autres services extérieurs = 5682
63/64 Rémunérations =2400
Recettes = FIPD 2000 / Conseil départemental 2700 / Réseau REAAP 2732 / commune 2400.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
501 élèves
81 adultes
- Résultat sur le territoire
Sensibilisation thèmatiques citoyenneté / parentalité
- Résultat pour le centre social
- reconnaissance des partenaires
- Résultat pour les habitants
-Implication / mobilisation de la jeunesse plus importante dans la vie civile
- comportement plus respectueux des adultes / institutions , plus grande ouverture aux autres
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Renouvellement pour 2016
Actions
chantier éducatif
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL LUCIE AUBRAC - Vosges
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- discriminations
- Mixité sociale
- Résumé
L'action consiste à réaliser des chantiers, en commun avec les jeunes issus des deux quartiers prioritaires et de la ville. Ensemble les jeunes réalisent des travaux d'intérêt général pour promouvoir l'attractivité et embellir la ville, le quartier (exemples : entretiens d'espaces conviviaux, jardins partagés...) Sont associés à la démarche, les jeunes, les parents et les habitants.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Précision ( si autre )
L'action est à l'initiative des deux centres sociaux de la ville.
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action aété mise en place suite aux constats suivants des partenaires locaux (travailleurs sociaux de terrain, bailleurs sociaux, éducateurs de rue..), des membres des conseils d'administration des associations co-gestionnaires des centres sociaux, des habitants :
- importance de favoriser la participation des habitants dans la vie de leur quartier, de leur ville
- les accueils de loisirs classiques ne répondant plus aux attentes de ces jeunes
- importance d'associer en amont les acteurs locaux du territoire (bailleurs sociaux, police municipale...)
- les jeunes adolescents, à partir de 12 ans, commettent déjà des actes d'incivilité (dégradations, vols) et les centres sociaux doivent agir en terme de prévention primaire en amont sur ce type de public
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
L'action a débutée en 2013 suite à des concertations entre les deux centre sociaux. Puis en 2014, en partenariat avec le service jeunesse de la ville.
Les aménagements publics ont, quand à eux ,été repérés lors des arpentages avec les habitants des quartiers, qui ont lieu dans le cadre de la gestion urbaine de proximité.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- 3 coordinateurs (1centre social L.Aubrac,1 centre social Saint Roch, 1 Service Jeunesse)
- 6 animateurs (2 par structures référentes)
- des technicines de la ville et des bailleurs sociaux
- des policiers municipaux
- les animateurs santé
- Résultat sur le territoire
-valorisation du travail des jeunes auprès de habitants
-respect des réalisations effectuées
-retour positif : paroles des animateurs, des jeunes, des parents,des habitants
- Résultat pour le centre social
- mutalisation des moyens avec les partenaires
- valorisation de l'action menée
- Résultat pour les habitants
- image positive du quartier
- valorisation du comportement des jeunes,meilleure image des jeunes
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
action renouvelée en 2016
Actions
De l'apprentissage à la maîtrise de la langue française
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL GERMAINE TILLION - Vosges
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Intégration
- Résumé
Cette action consiste à accompagner des adultes et des jeunes lycéens, dans la maîtrise de la langue française par un apprentissage personnalisé, singulier : « faire de la langue française leur langue première ».
Nous avons intitulé ce projet « confluence socio-éducative : de l’apprentissage à la maîtrise de la langue française ».
Les séances d’apprentissage ont eu lieu sur les quartiers classés prioritaires dans la Politique de la Ville :
- Au Centre Social Saint-Roch
- Au Centre Social Lucie Aubrac, quartier de Kellermann
- A KAFE/MPES, quartier de Kellermann
à raison de 2 séances par semaine en moyenne, de 1.50 heure à 2 heures, plus des séances complémentaires sur toute la semaine, en fonction des groupes.
Le nombre de bénévoles (13 en 2015) étant important, des petits groupes et des groupes de niveaux ont pu être constitués.
Un référent et un coordinateur assurent le suivi de cette action en lien direct avec le Directrice du Centre Social Saint-Roch.
Les outils pédagogiques sont des ouvrages pour adultes, pour la plupart connus par le CASNAV-CAREP et sont fondés sur une classification de niveau A1 à B2 (pour ce qui nous concerne).
Les niveaux retenus sont ceux du CECRL (Cadre Européen Commun de Référence des Langues) : référentiel spécifiquement adapté aux migrants adultes appelés à s'installer durablement en France et qui souhaitent bénéficier d'un apprentissage du français. Voir annexe.
« En résumé, le français langue d'intégration est :
- une langue d'usage pratique, dont l'apprentissage se fonde sur des références quotidiennes,
- une langue destinée à devenir la langue courante des apprenants. Elle n'est pas enseignée comme une langue étrangère, mais est progressivement intériorisée,
- une langue familière. Son enseignement fait écho à l'environnement linguistique dans lequel l'apprenant se meut (au travail, dans la rue, dans les administrations, dans les commerces et les services),
- une langue de l'autonomie, qui permet à l'apprenant de se mouvoir dans les différents espaces de la société et d'y trouver sa place,
- une langue dont la première approche est orale et qui n'ignore pas les expressions, les tournures et « les manières de parler », qui permettent de comprendre les conversations courantes et de s'y insérer,
- la langue des parents des enfants scolarisés dans les écoles de la République Française, désireux d'accompagner leur évolution,
- une langue qui donne les clés de l'insertion ».
L’action se déroulant sur l’année scolaire, cette évaluation portera
de septembre 2014 à juin 2015.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cinq besoins élémentaires recensés :
1 : d'autonomie langagière, principalement orale (sans négliger l'écrit) pour une intégration facilitée dans la société française
2 : de compréhension pour les familles afin qu'elles puissent instaurer un dialogue avec leurs scolarisés en France
3 : de construction de liens sociaux
4 : d’outils d'insertion professionnelle dans la société française
5 : de réussite dans leurs études
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
UN PROJET, DEUX AXES
AXE 1 : un projet spécifique
La singularité originelle du projet subsiste dans son titre :
« Confluence socio-éducative : de l’apprentissage à la maîtrise de la langue française ».
Toutefois, les deux courants unifiés « social » et « éducatif » ont creusé, tout au long de leur cheminement un lit plus ample, en amont duquel survint l’apex « référentiel FLI ». C’est ce dernier, qui structure, oriente et fonde prioritairement la démarche d’accompagnement des animateurs.
L’accueil et accompagnement : deux notions principales qui guident la structuration de l’action et qui se conjuguent parfaitement avec les valeurs de respect, de solidarité, de partage.
Des attentes différentes et des bénévoles qui s’adaptent, avec professionnalisme et bienveillance : alphabétisation, lutte contre l’illettrisme, ateliers sociolinguistiques dans le but par exemple d’un apprentissage du vocabulaire spécifique pour le passage du permis de conduire, d’une maîtrise de la langue pour obtenir la nationalité française, ou pour une insertion professionnelle, ou pour envisager le passage d’un diplôme de langue DELF, DILF … ou pour rédiger une lettre de motivation...
Les bénévoles s’attachent tout particulièrement à ne pas proposer « une formation » mais d’adapter le contenu aux apprenants : c’est notre spécificité que nous tenons à maintenir.
Le mode d’apprentissage est fondé :
- sur la réalité, en prenant des exemples concrets du quotidien
- sur la valorisation des notions d’engagement, de prise de confiance en soi
- vers l’autonomie.
Les cours sont individualisés, c’est-à-dire que l’on part de ce que les apprenants sont, vivent au quotidien ; la méthode d’accompagnement est personnalisée.
Les types d’apprentissage peuvent se caractériser ainsi :
- Ateliers sociolinguistiques
- Illettrisme
- FLE : français langue étrangère
- FLI : adultes et étudiants ou lycéens
Afin de compléter les séances d’apprentissage du français, des visites, des sorties sont organisées. Une entrevue a été également été prévue avec Monsieur le Maire de Saint-Dié-des-Vosges afin d’évoquer les valeurs républicaines, et les symboles de la République : cette rencontre est prévue en novembre 2015.
AXE 2 : un projet partagé
Un regroupement départemental des groupes d’apprentissage du français a été organisé le 28 avril 2015, à l’Espace cours d’EPINAL, sur le thème du « conte : oralité et traditions populaires ».
Il a réuni les groupes d’EPINAL (centre social du plateau de la Justice, de la Vierge Léo Lagrange), de Rambervillers, de Remiremont, de Neufchâteau, de Thaon-les-Vosges et de Saint-Dié des Vosges.
Nous avons réuni plus de 158 personnes, et 44 nationalités étaient représentées.
Le matin des tables rondes étaient proposées aux apprenants sur différents thèmes :
- L’insertion sociale : a permis d’évoquer avec les apprenants les différents points relatifs à la recherche d’emploi, l’insertion professionnelle et sociale : découverte des institutions, CARSAT, CAF, mairie, préfecture, établissements scolaires, poste…Avec l’intervention d’ISM/EST migrants
- L’accès à la santé : découverte de la carte vitale, de l’AME…avec l’intervention de la CARSAT, et du service prévention
- La scolarité : a permis aux apprenants de découvrir le système scolaire français, les différentes classes et le contenu des apprentissages.
Les animations étaient assurées par les encadrants des différents groupes et des intervenants extérieurs avec divers supports : diaporamas, jeux de carte, jeux de plateaux…
Le temps de midi, un repas a été proposé et achevé par la dégustation de desserts typiques de chaque pays réalisés par les apprenants.
L’après-midi était placé sous le thème du conte. Sur scène, les 8 groupes ont proposé tour à tour différents contes travaillés avec les apprenants durant les séances. Contes chantés, théâtralisés, dessinés, contes étrangers parfois cités en langue d’origine ont été présentés.
Pour clôturer cette journée un conteur professionnel a présenté plusieurs contes avec des interludes musicaux.
Cette journée riche d’échanges, de partage, d’apports théoriques, de dialogue sera reconduite l’année prochaine, avec une ouverture sur les autres structures proposant ce type d’apprentissage. Il s’en est suivi des rencontres entre les animateurs, qui ont pu échanger sur leurs pratiques, échanger leurs outils…
Au-delà de cette rencontre, des liens se sont créés entre les accompagnateurs, et des rencontres ont lieu régulièrement : 3 rencontres en 2015 ont permis d’échanger des pratiques, des outils.
Une formation proposée par l’éducation nationale a été également mise en place à destination des accompagnateurs : 2 bénévoles ont suivi cette formation, et ont ensuite retransmis les outils aux autres bénévoles.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 coordinateur
1 référent bénévole
13 bénévoles encadrants
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
L’impact :
La satisfaction des apprenants adultes « fidèles » est effective et unanime. Leur volonté de poursuivre l’activité en est une belle illustration. Ils ont d’ailleurs donné l’envie à d’autres de se présenter au diplôme.
L’intérêt porté pour différents partenaires, par les institutionnels, montre que l’action est non seulement utile mais s’inscrit dans une réelle politique d’intégration.
Le soutien financier corrobore ce sentiment.
Une apprenante, en se présentant au Conseil d’Administration de l’association porteuse de cette action, spécifie la nature de l’intégration sociale.
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
L'action repose entièrement sur des bénévoles.
- Suite de l'action : Perspectives
Poursuite de l'action en 2016.
Demande "d'agrément FLI" pour l'association.
De nouveaux tableaux de bord pour l'évaluation des apprennants.
Actions
La Rencontre de l'Autre
- Structure organisatrice
- AMAQY MAISON DE QUARTIER DES PYRAMIDES - Vendée
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- discriminations
- Résumé
L'Association a décidé de mettre en oeuvre une réflexion partenariale sur le thème "à la rencontre de l'autre" autour de l'interculturel afin de créer une culture commune du "vivre ensemble", en encougeant le dialogue, la mise en relation, en atténuant les distances cuturelles, en travaillant sur des codes et en élargissant son partenanriat. Ce projet sera l'occasion d'entrer en relation et d'échanger entre les personnes ou groupe de personnes de différentes cultures (sociale, ethnique, générationnelle, professionnelle, institutionnelle...)
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Précision ( si autre )
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le quartier des Pyramides à la Roche sur Yon compte parmi ses habitants des personnes issues de l'immigration (Afrique, Europe de l'Est, Moyen Orient...) et/ou des habitans de catégories socio professionnelles peu favorisées. L'Association reconnait la richesse de la diversité sur ce territoire. Ces facteurs expliquent en partie que parmi ces personnes certaines rencontres des difficultés d'apprentissage de la langue française et relationnelles. Lors du renouvellement du Projet d'Animation Globale et Sociale, les membres de l'Association sont allés à la rencontrendes habitants sur l'espace public afin de recueillir leur témoignage. Suite à cette concertation, nous avons relevé des notions de préjugés et de stéréotypes. C'est pour cela que nous avons souhaité renforcer notre projet afin de favoriser l'intégration en accompagnant les publics de différentes origines et de rompre les barrières de la langue. Ces diverses rencontres nous permettrons la mise en place d'actions spécifiques créant l'attractivité et la valorisation envers toutes les origines et le lien social.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Le projet "Rencontre de l'autre" est juste engagé. Nous avons lancé la démarche de ce projet en juin 2015. Nous avons réalisé deux rencontres (juin et septembre). Ces rencontres ont réuni une vingtaine de personnes (des habitants, des administrateurs, des associations locales). Le premier objectif est de s'appuyer sur des actions existantes développées par l'Association de la Maison de quartier et de leur donner une dimension interculturelle et de partage. Par la suite , le groupe de travzail constitué propose de travailler sur un questionnaire permettant le recueil des besoins ou remarques des habitants et la connaissanc des structures Maisons de quartier. Il sera un moyen d'aller à la rencontre des habitants et de s'en servir comme outil d'évaluation sur la connaissance et l'image de ces structures sur le Territoire
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le temps passé professionnel et bénévoles
Sommes investies au regard de l'objectif
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Des administrateurs, des habitants, des associations locales: actuellement 20 personnes (la liste n'est pas exhaustive)
Des professionnels : secteur enfance, famille, vie de quartier, jeunesse, secrétariat accueil, Direction) : 7 personnes
- Résultat sur le territoire
Améliorer la communication et la connaissance du fonctionnement des Maisons de quartier
Améliorer l'image des Maisons de quartier auprès des habitants
De faire émerger des demandes collectives sur le Territoire
- Résultat pour le centre social
Accueillir de nouveaux habitants au sein de la structure
Développer un accueil de qualité (axe important de l'action et lieu ou le lien social se tisse)
Mise en place de projets d'habitants privilégiant l'acceptation des différences, les échanges de solidarité et de coopération
Un redéveloppement et renforcement du partenariat
- Résultat pour les habitants
Une meilleure connaissance de la structure Maison de quartier
Répondre à leur demandes collectives
Une plus grande participation à la vie sociale du quartier
- Suite de l'action : Limites
Un travil sur les outils de communication s'adressant à tous et compréhensibles par tous (des écrits dans différentes langues...) Nous avons un travail de lien/liant à faire afin que chacun puisse comprendre pourquoi venir dans une structure Maison de quartier et venir pourquoi faire et qu'est-ce que cela peut rapporter? C'est pourqoi, la mise en place d'un questionnaire permettra de recueillir la connaissance de ce fonctionnement et par la suite l'émergence de demandes collectives.
- Suite de l'action : Perspectives
Ce projet doit permettre de sensibiliser et de favoriser la rencontre de personnes qui fréquentent la Maison de quartier et des habitants de différentes origines et ainsi peut-être aller jusqu'au partage.
Il permettra de développer et renforforcer le partenariat avec les associations locales, d'apprendre à se connaître et par la suite de s'inscrire dans des actions à plus long terme
Actions
creation d un spectacle
- Structure organisatrice
- AMAQY QUARTIER LA VALLEE VERTE - Vendée
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Résumé
avec douze jeunes filles d origine diversses ,rèalisation d un spectacle avec le soutien d une choregraphe professionnelle .un des objectifs est des reprèsentations lors d èvenements culturels .
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
pour permettre une meilleur integration "sociale ", et ainsi etre reconnu .
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
atelier chaque mercredi aprés midi
- Ressources financières mobilisées pour cette action
12000 e
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
14
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
integration des jeunes a la vie du quartier
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
FabLab Junior
- Structure organisatrice
- ODDAS (Office De Développement Associatif et Social) - Vendée
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Démocratie & citoyenneté
- développement durable
- Résumé
Le FabLab junior a débuté en juin 2016 avec l’arrivée de l’imprimante 3d montée par les adhérents de l’ODDAS (dont 2 jeunes). L’espace FabLab intégré dans la structure jeunesse permet aux jeunes de se réunir et de travailler sur des projets notamment grâce à du matériel numérique (imprimante 3d, Minicut 2d, Robotique, découpe vinyle, découpe laser).
Le projet se déroule dans la maison de quartier des Moulins-Liot durant les horaires d’ouvertures jeunesse, au départ que le mercredi après-midi puis, pour répondre à la demande, nous avons rajouté le temps du samedi après-midi pour favoriser la naissance de projets de jeunes.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- L’implication des jeunes dans la vie de l’association et dans leurs loisirs et la réalisation d’un projet collectif porté par eux.
- La dynamisation du partage de pratiques et de connaissances
- Sensibiliser aux emplois d’avenir liées aux usages du numérique
- Favoriser la création
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Les jeunes ont commencé par s’approprier le lieu grâce à l’impression d’objets de la vie courante comme des supports de téléphone. Ils ont petit à petit trouvé l’intérêt de créer leur propres modèle 3D (portes clés personnalisés). A partir de ce moment, ils ont commencé à développer plusieurs projets, soient personnels, soient collectifs. Ils ont ainsi pu créer des petites machines outils, assembler et programmer différents robots, monter un drone.
Le FabLab junior a aussi permis de créer plusieurs partenariats avec des structures éducatives du territoire. Ainsi à partir de la rentrée de 2016, tous les mercredis, la maison de quartier a accueilli alternativement les jeunes de la MFR de Puy-Sec et /ou ceux de l’IME des trois Moulins afin de découvrir ce qu’est un FabLab et de s’initier aux machines. Dans ce cadre, plusieurs projets ont rapidement pu voir le jour (montage de nouvelles machines, armoire à don, découverte de la programmation…).
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget Total : 10723€
Recette principale :
- DDCS 85 : 4500€
Charges principales :
Masse salariale : 5851€
Achat matériel: 3607€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Au total, 97 jeunes différents ont participé au FabLab junior en 2016. Il s’agit de jeunes adhérents à l’ODDAS et de jeunes venant de structures partenaires (IME des trois moulins, Collège Tiraqueau, MFR de Puy Sec)
- Résultat sur le territoire
Le FabLab junior a permis de créer une dynamique de partage entre jeunes et plus âgés à partir des savoirs faires et envies des jeunes leur permettant d'être acteurs de leurs loisirs. De plus, celui-ci étant au sein d’un centre social où sont présents toutes les générations, cette initiative favorise les interconnaissances et améliore beaucoup l’image des jeunes sur la ville.
- Résultat pour le centre social
Dans le centre social, le premier impact a concerné le volet intergénérationnel. Si l’action est initialement à destination des jeunes, beaucoup de bénévoles de l’ODDAS s’y sont intéressés et ont partagé leurs compétences avec les adolescents (menuiserie, construction, mécanique, programmation….).
D’ailleurs depuis novembre 2016, un projet autour d’un FabLab pour tous, porté par les habitants, a commencé à être mis en place.
Le FabLab junior, projet novateur sur notre territoire, a aussi apporté une reconnaissance du centre social et a entraîné de nouveaux partenariats notamment auprès de structures éducatives.
- Résultat pour les habitants
Un début d’action très prometteur. L’ouverture du lieu et la variété de projets envisageables ont favorisé l’implication des jeunes tant sur des projets individuels que collectifs.
- Suite de l'action : Limites
De nombreuses nouvelles structures nous contactent pour créer de nouveaux partenariats. Cependant, le suivi d’une telle action, malgré l’implication très significative de nos bénévoles, demande davantage de moyens humains salariés.
- Suite de l'action : Perspectives
Le FabLab junior a continué à fonctionner en 2017. L’ODDAS a fait l’acquisition de nouvelles machines ce qui a notamment permis de mettre en place un espace couture avec brodeuse numérique, machine à coudre et surjeteuse.
A l’avenir, l’ODDAS envisage de développer plus amplement l’implication des jeunes dans le lieu afin de favoriser leur autonomie. En 2017, ils ont déjà été porteurs d’un projet autour d’un Raspberry (ordinateur miniature) pour créer une borne d’arcade sur le retrogaming. Ils ont aussi pu fabriquer des lampes et un râtelier pour canne de billard pour la structure.
Actions
Opérations Pieds d'Immeubles
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL MUNICIPAL "LA PASSERELLE" - Vaucluse
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- Culture
- Résumé
Les Opérations Pieds d'Immeubles (OPI) permettent d'aller à la rencontre des habitants, en dehors des espaces institutionnels classiques, par l'intermédiaire d'actions d'animation culturelles, sportives... Ces temps sont programmés entre le mois de mai et le mois de septembre, en fin de journée ou en soirée (en fonction des périodes).
Les Opérations Pieds d'Immeubles permettent un échange régulier avec les habitants, dans leurs lieux de vie. Elles sont un outil de diagnostic social pour le centre social et ses partenaires.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L'expérience conduite au cours de différentes manifestations portées par le Centre Social (Semaine des Initiatives en particulier) a mis en évidence la nécessité de développer une stratégie d'actions concertées visant à réinvestir l'espace public et à développer la participation des habitants à partir d'actions de proximité, simples et visibles.
Principaux objectifs opérationnels :
- Reconquête collective de l'espace public fondée sur l'amélioration du cadre de vie
- Actions favorisant la participation des habitants
- Développement de la cohésion sociale, création de lien social intra/inter quartiers
- Sensibilisation à la culture, au sport, à l'environnement
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
L'action a mobilisé l'investissement d'un groupe de travail constitué de l'équipe du Centre Social Municipal, des agents du Service de la Poilitique de la Ville, du service Jeunesse, du CCAS. Ils ont en particulier mené un diagnostic préalable à la mise en oeuvre de l'action. Une consultation auprès des habitants, étendue à plusieurs quartiers, a permis d'identifier les besoins prioritaires de certains secteurs du territoire, d'orienter les contenus et de positionner les opérations sur des créneaux ad'hoc.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- L'agent de développement Social Local (ADSL) du Centre Social est mobilisé pour 50% de son temps sur cette action (préparation, partenariat, communication, logistique...).
- Sur la période OPI 3 à 5 agents du Centre Social sont présents. L'équipe est soutenue par la présence récurrente des agents des services Politique de la Ville et CCAS (3 personnes), et de partenaires locaux (présence plus ponctuelle). Ils ont pour mission prioritaire de mener des entretiens avec les habitants présents, en essayant d'identifier les besoins majeurs et de proposer des leviers d'amélioration.
- La participation des habitants reste un élément important des OPI. 5 à 10 personnes sont bénévoles sur chaque soirée OPI organisée. Il s'agit des mères de famille, investies en particulier sur des ateliers (créations manuelles, dessins), le stand goûter (découpe de fruits pour les salades de fruits, distribution d'eau et sirop).
- Nous mobilisons 8 à 12 prestataires / partenaires sur chaque soirée, en fonction de la taille du quartier. Ils ont pour mission de mettre en place des ateliers divers et complémentaires, permettant aus habitants (enfants, jeunes, parents) de passer d'une activité à une autre (découverte, partage, plaisir).
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Mise en place d'un diagnostic quasi-permanent auprès des habitants
- Action fédératrice au niveau du partenariat
- Résultat pour les habitants
- Bonne mobilité physique et psychologique des habitants au cours du temps
- Meilleure identification/compréhension du rôle du Centre Social et de ses partenaires
- Renforcement de la participation des habitants (démarrage d'initiatives à partir des OPI)
- Suite de l'action : Limites
Il s'agit d'une action exigente du point de vue de la logistique et de l'investissement des équipes.
- Suite de l'action : Perspectives
L'action est amenée à se renouveler, en considérant les évolutions sociales de chacun des quartiers visités.
Grâce à une analyse collective (regards croisés) avec l'ensemble des partenaires, l'objectif est de proposer des contenus spécifiques en fonction des lieux (et d'éléments relevés) : travailler sur la question des jeunes sur tel quartier, proposer un volet intergénérationnel sur un autre, ou privilégier des démarches festives et de convivialité sur d'autres...
Actions
Chantier d'Insertion Récupelido
- Structure organisatrice
- L'ESPELIDO - Vaucluse
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- Résumé
Le Centre Social Espelido développe depuis 2010, avec son chantier d'insertion Le Tournesol, un vrai savoir-faire en matière de collecte de déchets, de lutte contre les décharges illégales, de ramassage d'envols.
Placé sous la responsabilité technique de Laurent Crespin, directeur de l’Espelido, le Tournesol constitue une véritable entreprise qui génère un revenu de plus de 160 000 € en 2015.
L’équipe du Tournesol s’est lancée un nouveau défi avec l’élaboration d’un grand projet baptisé « Récupelido ».
Récupelido proposent des solutions sur mesure pour ses clients en matière de collecte sélective de papiers, cartons et déchets verts. L'objectif est d'augmenter la recyclabilité des produits en développant une économie circulaire. Les déchets sont valorisés au maximum, en créant des débouchés auprès de structures spécialisées. Lors de chaque intervention, les équipes s'occupent de toute la manutention, le transport, le traitement, la valorisation.
Avec le développement de ces activités, l'Espelido a expérimenté la création d'un marché local, a créé une complémentarité entre différents acteurs. Le marché de la récupération des papiers de bureau s'est ouvert pour l'Espelido avec la demande de partenaires (Conseil Départemental) et de clients (Ministère de la Justice, Direction des Finances Publiques).
D'où l'idée de proposer des prestations de collecte sélective, de recyclage de matières issues des activités tertiaires : des papiers « blancs » (papier imprimante, enveloppes…), des papiers, "couleurs" (magazine, brochures, annuaires…), du carton d'emballage. Un partenariat important s'est construit avec Nouvelle Attitude, une entreprise d'insertion et le Groupe La Poste, concrétisé le 7 décembre 2016 par la signature d'une convention Alliance Dynamique.
Tous les papiers triés sont recyclés. L'action permet de proposer un service simple, peu couteux, qui déploie une solution locale pour améliorer les performances environnementale de ses clients. L'action mobilise des salariés en insertion qui développent à la fois des compétences professionnelles et une formation à la protection de l'environnement, aux éco-gestes. Elle permet de créer une économie circulaire du papier : grâce à un procédé simple, la mobilisation de partenariats, la mutualisation de moyens, il est possible au final de récupérer les fibres qui composent le papier pour en faire une nouvelle matière première.
Parce qu’il est moins coûteux et plus efficace de transformer les vieux papiers à proximité de leurs lieux de collecte, la filière des papiers recyclés se construit localement, autour des centres de tri, des usines de recyclage et de transformation. Le chantier d'insertion Récupelido présente un caractère exemplaire dans le sens où il met en oeuvre une organisation simple pour une grande efficacité. Il permet l'embauche de salariés éloignés jusque-là de l'emploi à qui il transmet un engagement en faveur de l'environnement, des gestes éco-responsables, car il génère la mise en place d'une économie circulaire du papier. Le projet est transférable sur d'autres territoires.
Résumé du projet
Le projet s'appuie sur la création d'une structure d'insertion par l'activité économique (SIAE) sous forme de chantier d'insertion.
Les missions du chantier d'insertion Récupelido reposent sur :
La prise en charge d’un public spécifique prioritaire
Une activité ou un emploi support d’un parcours d’insertion dans le cadre d’un contrat de travail
Une organisation spécifique : la mise à l’emploi repose sur un accompagnement socioprofessionnel individualisé et de qualité ainsi qu’un encadrement technique adapté à l’activité ou l’emploi support de chaque salarié en insertion.
Description de l'activité :
Les activités du chantier s’organisent autour de trois axes :
- travaux réguliers avec des collectivités, d'autres SIAE
- travaux obtenus auprès de donneurs d’ordre privés (gré à gré, bons de commande, MAPA)
- travaux obtenus dans le cadre de marchés publics clausés (réponses directes ou sous traitantes)
De façon générale les travaux de récupération de papiers et cartons visent à :
- déployer des solutions locales pour organiser la récupération de déchets (gestion, collecte et traitement)
- conditionner le papier dans des bacs de transport (type CE30)
- préparer l'expédition du papier pour une destruction éventuelle, un tri et un recyclage.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les objectifs sont :
- de responsabiliser les habitants sur la gestion des déchets verts, de réduire le volume des déchets verts déposés dans les poubelles d'ordures ménagères (il est aberrant de brûler des déchets composés principalement d'eau)
- de proposer une solution à des habitants qui ne peuvent pas, ou plus, se rendre en déchetterie pour y déposer les déchets verts qu'ils produisent
- d'alimenter une économie circulaire visant à valoriser des déchets verts (paillage, compost, BRF)
- apporter des solutions locales au plan d'élimination des déchets, compléter l'offre de service de la collecte du Grand Avignon
- créer des emplois pour des bénéficiaires du RSA et demandeurs d'emploi de longue durée
- agir en faveur de démarches citoyennes et protectrice de l'environnement.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- un emploi d'encadrant technique crée directement (CDI 35 heures hebdo)
- un emploi de conseillère en insertion professionnelle (CDI 4 heures hebdo)
- six emplois en insertion crées directement (4.11 ETP par an) - Environ 13 personnes sur l'année
Le projet soutient directement l'activité d'une entreprise d'insertion (Nouvelle Attitude). Il permet le développement d'emplois indirects.
Le projet est supervisé par une responsable de service et par le directeur de l'association.
- Résultat sur le territoire
Prévention des déchets
- Eviter les déchets,
- Réduire leurs nocivités,
- Faire l’objet d’une valorisation en interne
L'action permet de proposer un service simple, peu couteux , qui déploie une solution locale pour améliorer les performances environnementale de ses clients. L'action mobilise des salariés en insertion qui développent à la fois des compétences professionnelles et une formation à la protection de l'environnement, aux éco-gestes. L'action permet de créer une économie circulaire : grâce à un procédé simple, la mobilisation de partenariats, la mutualisation de moyens, il est possible au final de récupérer des matières destinées à être un déchet pour en faire une nouvelle matière première.
Caractère exemplaire et novateur du projet
Parce qu’il est moins coûteux et plus efficace de transformer des matières (végétale, papier, carton) à proximité de leurs lieux de collecte, les filières se construisent localement, autour des centres de tri, des usines de recyclage et de transformation. Le chantier d'insertion Récupelido présente un caractère exemplaire dans le sens où il met en œuvre une organisation simple pour une grande efficacité. Il est exemplaire car il permet l'embauche de salariés éloignés jusque là de l'emploi à qui il transmet un engagement en faveur de l'environnement, des gestes éco-responsables, car il génère la mise en place d'une économie circulaire du papier. Le projet est transférable sur d'autres territoires.
- Résultat pour le centre social
Sensibilisation des adhérents, des salariés, des bénévoles, des habitants, au tri des déchets, à la prise en compte des recommandations enn faveurs de gestes qui protègent l'environnement.
- Résultat pour les habitants
Mise en place de nouvelles pratiques en matières de récupération des papiers et au delà, mise en place de réflexion en matière de recyclage. Le déchets est perçu pour beaucoup plus de personnes maintenant comme une ressource.
- Suite de l'action : Limites
La suite de l'action s'envisage à travers l'appropriation par les habitants de la gestion de leurs déchets : création de composteurs, de bacs de récupération (papier, plastique, verre, ...), de manière à proposer un recyclage sur place (jardins potagers, troc, échanges, revente, ...) ou une valorisation du déchets afin de le transformer en matière première.
La gestion des déchets, la récupération, le recyclage sont des sujets abordés par de grands groupes industriels. Le centre social est un tout petit acteur et nos actions ne peuvent se mesurer qu'à l'échelle du quartier. Sur un si petit territoire les indicateurs volumétriques (contenu des bennes à ordures, évolution de la nature des déchets dans les poubelles d'orudres ménagères) sont difficiles à obtenir.
- Suite de l'action : Perspectives
La perspective est de développer à l'échelle du quartier des pratiques comportementales individuelles incluant la valorisation ou le recyclage de ce qui était auparavant un déchet et l'envisager comme maintenant comme une ressource potentielle.
Actions
PLATEFORME LINGUISTIQUE
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL & CITOYEN LOU TRICADOU - Vaucluse
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Résumé
Mise en place d'ateliers socio-linguistiques permettant l'apprentissage de la langue française.
Proposition de groupes de niveaux permettant une évolution des usagers depuis l'étape de socialisation jusqu'à l'apprentissage de l'écriture et de la lecture.
Positionnement pour l'obtention de diplômes (DILF, DELF...).
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Lutte contre l'isolement, accès aux droits, accompagnement dans la scolarité des enfants, autonomisation pour le quotidien.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Cette action a été calquée sur le rythme d'une année scolaire, elle se décline par la mise en place d'ateliers hebdomadaires sur l'ensemble des territoires d'intervention du centre social.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Co-financement dans le cadre du contrat de ville par les partenaires suivants :
ETAT, DEPARTEMENT, CAF, INTER COMMUNALITE, MSA.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
5 professionnels, 17 bénévoles.
- Résultat sur le territoire
Rupture de l'isolement des foyers non francophones.
Amélioration de l'accès aux droits.
Accélération à l'autonomisation.
- Résultat pour le centre social
Mobilisation de bénévoles.
Reconnaissance à l'échelle du territoire.
Interaction avec le réseau associatif local.
- Résultat pour les habitants
Rupture de l'isolement des foyers non francophones
Amélioration de l'accès aux droits
Accélération à l'autonomisation.
- Suite de l'action : Limites
Les critères d'éligibilité des publics.
- Suite de l'action : Perspectives
Maintien et développement de formations en direction des bénévoles d'activités.
Actions
De Génération à Génération
- Structure organisatrice
- CSC Rébérioux - Val-de-Marne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Résumé
Notre association poursuit son travail sur la transmission culturelle entre les générations (ou de la rupture de cette transmission) au sein de la cellule familiale, du groupe culturel d’appartenance, mais également à l’extérieur, entre des individus à priori plus éloignés. Nous développons notre projet au travers de portraits, d’entretiens d’habitants, d’expositions, de débats, de temps festifs, avec une attention particulière pour la jeunesse.
Le projet « De génération à génération » se déroulera en 2016, comme les années précédentes, parallèlement à des manifestations cinématographiques, pour être enrichi par les projections de films internationaux et les rencontres qu’elles proposent.
Cette année 2016, à l’occasion du Festival International de Films de Femmes, nous travaillerons sur la transmission d’une génération à l’autre de la relation à la musique, en faisant écho au 50 ans de l’association et en créant une passerelle avec Escale consacré cette année aux cultures créoles. Le thème de Génération à Génération permettra d’aborder la construction d’une culture musicale tout au long de la vie au travers de la transmission des parents, du partage au sein d’une même génération et, plus tard, de ses propres découvertes individuelles. La musique contribue à la construction identitaire et à l’émancipation individuelle et collective. La place de la musique est importante dans l’histoire des MJC et notre association a permis et permet à de nombreux Cristoliens de découvrir une pratique et d’aller à la rencontre de divers univers musicaux. Ce thème est également porteur pour une implication de la jeunesse.
Et parallèlement à l’œil vers consacré a priori à la Chine, nous aborderons la transmission de la culture chinoise. Dans ce pays contradictoire se posent d’immenses problèmes sociétaux et humains : mutations économiques, migrations intérieures et déplacements des populations, aménagement du territoire et environnement, droits de l’Homme et droits sociaux, aspirations à la démocratie et à la liberté d’expression, vieillissement de la population, droits des femmes… Ce territoire immense et méconnu génère aussi un mouvement d’émigration important, notamment vers la France et en particulier la région parisienne où désormais les générations originaires de Chine se succèdent. Nous voudrions aller à leur rencontre. La culture chinoise accordant une grande importance à la transmission familiale, on connait en France également de nombreuses populations sino-cambodgiennes ou sino-vietnamiennes qui se raccrochent encore à la Chine par la langue et les traditions.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Favoriser une plus grande conscientisation et lisibilite pour les cristoliens des transmissions culturelles au sein des familles
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Comme précisé précédemment, l’association, au travers du projet « Musiques, de génération à génération », souhaite favoriser les échanges sur la transmission musicale et alimenter les réflexions sur le rôle de la musique dans la construction identitaire individuelle et collective.
Les étapes de réalisation pour « Musiques de génération à génération »
Nous aborderons les thèmes de multiples manières : musiques transmises par les parents, par une génération, par l’école, les associations, les rencontres fortuites,…
La programmation du Festival International de Films de Femmes, présente également dans notre association nous permettra de provoquer une distanciation par rapport au sujet et des débats.
Nous serons très attentifs au fait de toucher et d'impliquer des publics enfants, adolescents et jeunes adultes par le biais des partenaires éducatifs et sociaux et par des relations que nous développerons lors de la préparation du projet. Le thème, la musique, peut renforcer l’intérêt de ses publics. Nous impliquerons également en particulier les familles du quartier de la Habette.
- Constitution d'une réunion de concertation pour la préparation de l'évènement pour dégager les axes des thèmes à aborder.
Nous sollicitons auprès de notre équipe composée de professionnels et de bénévoles, administrateurs de la MJC, des partenaires et des adhérents pour préparer les thèmes à aborder et les animations à mettre en place.
- Recherche d’habitants acceptant de participer aux entretiens
Nous réaliserons des entretiens audio d’habitants qui partageront la construction de leur culture musicale transmise par différents biais ainsi que des portraits permettant une présentation sous forme d’exposition et la poursuite de cet archivage depuis 2011.
- Recherche d'expositions artistiques et pédagogiques, récolte d'objets ou de documents personnels sur la ville évoquant le sujet, implication des espaces verts et des adhérents des accompagnements à la scolarité
Nous mettrons en place à la MJC Mont Mesly, au CSC Rebérioux et sur le local de la Habette, des expositions artistiques et pédagogiques. Nous travaillerons également avec les Espaces verts de la Ville de Créteil et nous ferons appel aux habitants et associations pour composer une ambiance générale. Les participants des accompagnements à la scolarité que nous gérons sur le CSC Madeleine Rebérioux et la Habette, ainsi que les adhérents des activités d’arts plastiques participeront aux travers de réalisations manuelles et de dessins.
La Médiathèque Nelson Mandela fera un écho au projet par la valorisation de la culture musicale dans ses murs au travers de points d’écoute avec des morceaux choisis des 50 dernières années. Nous bénéficierons également dans nos murs de points d’écoute semblables.
- Recherche d'un partenaire pour le Duplex
Nous rechercherons un partenaire le plus pertinent possible pour l’animation d’un débat en duplex sur le CSC Madeleine Rebérioux et nous permettant d’être en relation directe avec des jeunes en province ou à l’étranger sur des expériences liées à des pratiques musicales intergénérationnelles. Ce débat en lien avec un autre territoire permettra des échanges de points de vue sur le sujet. La musique peut rassembler ou diviser les générations. Nous pourrions aborder lors d’un débat à distance, la dimension rassembleuse de la musique dans certaines cultures (ex : Antilles, Bretagne,…).
- Organisation de temps forts, d’actions de sensibilisation et d’animations
Parallèlement au Festival International du Films de Femmes, nous organiserons des actions d’animation et festives avec les associations et les partenaires.
Un débat (thème affiné lors de la réunion de concertation pour la préparation du projet) sera mené avec l’apport des témoignages des familles et en direct avec une structure partenaire d’une autre région ou à l’étranger.
Des interventions seront programmées lors de l’accompagnement à la scolarité que nous pilotons sur le quartier de la Habette pour des CM1 et CM2 et sur le CSC pour des 6ème et 5ème. Les enfants seront impliqués pour le temps fort avec un atelier en amont conduit par un slameur. Ils travailleront en lien avec les adhérents des activités musicales.
Des interventions « surprises » ludiques seront organisées les mercredis et samedis pour les familles présentes dans les murs au Mont Mesly, à Rebérioux et à la Habette ou sur d’autres équipements nous sollicitant.
Nous réaliserons un croisement de thème avec le projet Escale tourné cette année vers les mondes créoles, co-animé par le conservatoire et la Maison de la solidarité. A cette occasion, nous aborderons la transmission de la musique créole. Nous proposerons une action d’initiation musicale en partenariat avec le conservatoire de Limeil Brevannes.
Nous impliquerons les activités de la MJC en relayant leurs propositions lors de la manifestation. Plusieurs intervenants d’activité nous ont déjà fait part de leur souhait de faire participer leurs adhérents des activités suivantes : guitare, éveil musical, théâtre et conte, jam session, …
Nous avons envisagé d’ores et déjà un partenariat avec Créteil en scène, en inscrivant une soirée dans le cadre du projet Musiques de génération à génération.
Enfin, nous proposerons des interventions pour présenter le projet et poser des débats autour de la pratique musicale lors des cafés des parents sur les collèges.
- Organisation de visites guidées des expositions
Nous proposerons des visites des expositions favorisant les échanges intergénérationnels lorsque ce sera possible : en direction des écoles, des adhérents, des centres de loisirs,…
- Organisation de lecture avec les médiathèques et mise en valeur d’une bibliographie avec consultation d’ouvrages sur place
Nous impliquerons les Médiathèques de la Plaine Centrale en amont du projet avec prêt d’ouvrages sur la musique pour l’organisation de lectures pendant la manifestation.
- à postériori du projet: conservation des projets et recherche de formes et supports de diffusion
Nous rechercherons des formes et supports de diffusion (Quat' pages, Vivre ensemble, site internet, autres...) permettant de faire vivre la récolte de matières effectuée pendant le projet
- Ressources financières mobilisées pour cette action
64500 euros
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
13 permanents (direction, animation, technique, communication) sur un total de 2200 h environ (1ETP salariés et 0.36 ETP sous-traitance ou mis à disposition).
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
Favoriser une plus grande conscientisation et lisibilite pour les cristoliens des transmissions culturelles au sein des familles
Réalisation d’entretiens, de portraits de différentes générations dans une même famille et les faire largement partager pour susciter le débat
Impliquer la jeunesse et développer des partenariats pour aborder ces questions de transmissions culturelles dans des familles d’autres régions du monde - voir projet « Lutte contre la fracture numérique »-
Organiser des expositions, des animations, des temps d’échanges, de débats, de temps festifs et conviviaux
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
E-imaginons la Habette
- Structure organisatrice
- CSC Rébérioux - Val-de-Marne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Résumé
Le projet « e-imaginons la Habette » a démarré en 2015. Il est né de la volonté de proposer au sein du quartier, un projet à la fois artistique et culturel, qui puisse:
- Mettre les habitants au cœur de cette création;
- Les rendre acteur de cette création ;
- Développer un processus de valorisation du quartier vis-à-vis des Cristoliens en général.
Le projet imaginé initialement consistait à créer une fiction dont l’action principale se situe au cœur du quartier de la Habette, prenant en compte les spécificités du territoire (lieux phares, commerces, rues, personnages emblématiques).L’action a démarré en juillet 2015 et se poursuivra jusqu’en juillet 2016.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Autre
- Précision ( si autre )
Dans le cadre de la démarche d’agrément centre social de notre association, nous avons réalisé un diagnostic de notre territoire de compétence (correspondant à notre secteur d’agrément) dont le quartier de la Habette fait partie.
Le diagnostic a été conduit par des membres du conseil d’administration et de l’équipe, accompagnés par un sociologue. Il a été réalisé à partir de données froides (issues de la CAF, de l’INSEE, du Plan local d’urbanisme) et de données chaudes (entretiens avec des habitants, des partenaires - écoles, collèges, PMI, associations, bailleurs, bibliothèques, services et élus municipaux, …, réunions de concertation avec des habitants et des partenaires). Il a mis en lumière des facteurs de fragilisation sociale particulièrement marqués sur le quartier de la Habette et un sentiment d’abandon ressenti par les habitants. Ce sentiment a été renforcé par la fermeture du trésor public et de la bibliothèque. Il en ressort un enclavement déjà présent et potentiellement renforcé par ces déménagements successifs des institutions publiques.
Les entretiens et réunions de concertation ont cependant fait ressortir également un attachement au quartier, un esprit de solidarité et un potentiel de mobilisation des habitants.
Ce quartier est reconnu comme étant un quartier prioritaire de la Politique de la Ville.
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action répond à un besoin de désenclavement du quartier et de valorisation du quartier et de ses habitants pour tous les Cristoliens.
Le projet répond également à des besoins en termes d’éducation à l’image et de découverte des potentiels des outils numériques.
Objectifs de l’action :
- Sensibiliser aux possibles du numérique et nomment à la dimension créative
- Favoriser les dynamiques partenariales sur le quartier et les liens entre les partenaires et les habitants
- Créer des rencontres intergénérationnelles sur le quartier de la Habette
- Valoriser le quartier
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Partie sur 2016
Janvier-février 2016 : Fin de l’écriture et mobilisation des jeunes :
- continuité des ateliers d’écriture avec Joëlle Guillais. Six séances ont eu lieu en 2015 essentiellement axées sur la récolte de matériau et la définition de la forme de la production. Six autres auront lieu avec le groupe de scolaires et avec le groupe d’adultes : mise en forme du matériau d’écriture et écriture collective.
- Mise en forme et compilation littéraire de la production par l’écrivaine
- Mobilisation des jeunes pressentis pour rejoindre le groupe d’adultes et former un groupe intergénérationnel pour la partie illustration.
Mars - avril 2016 : Mise en route des ateliers de création d’image
- Six séances sont prévues auprès du groupe classe accompagnées par l’illustrateur Nicolas Bianco Levrin : les premières séances auront lieu en classe pour la partie uniquement axée sur la création d’images illustrant le guide. Les séances suivantes auront lieu au Centre Madeleine Rebérioux sur les aspects plus techniques et le lien avec les outils numériques.
- Une séance est prévue de rencontre entre les deux groupes, avec l’ensemble des personnes mobilisées : enfants, jeunes et adultes. Cette séance sera l’occasion de faire un bilan d’étape sur le projet et de présenter les différents acteurs du projet sur un temps convivial.
- Six séances sont prévues avec le groupe intergénérationnel : toutes les séances de création d’images menées par l’illustrateur auront lieu au Centre Madeleine Rebérioux et accompagnées par une animatrice multimédia. L’accent sera mis sur l’exploitation des outils numériques, l’utilisation des outils multimédias au service de la création et du traitement d’image, en favorisant au sein de ce groupe les liens et les échanges intergénérationnels.
Avril-mai 2016 : Finalisation de la production
- Mise en forme collective d’un « produit » finit sous la forme numérique : nombre de séances encore à définir
- Mise en forme collective pour une diffusion papier sur un Huit’ pages numérique : nombre de séances encore à définir
Juin-juillet 2016 : Restitution et valorisation du projet
- Diffusion des réalisations sous forme d’un guide numérique et mise en ligne internet sur notre site et sur les sites partenaires.
- Impression et affichages de bâches illustrées dans l’espace public parallèlement à une exposition-reportage sur le projet.
- Inauguration de l’album au moment de l’inauguration de l’exposition et par la diffusion sous forme de diaporama de l’album numérique.
- Diffusion et valorisation des réalisations dans le journal « 4 pages » diffusé à 4 000 exemplaires
Perspectives : travailler à une valorisation du projet au sein de la Médiathèque Nelson Mandela.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
27100 euros pour 2016
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- L’écrivain (Joëlle Guillais) chargée du travail d’accompagnement des groupes pour la création et écriture de l’histoire.
- L’illustrateur Nicolas Bianco-Levrin qui sera sur l’animation des ateliers illustration et création d’image.
- La Directrice adjointe sur l’équipement CSC Rebérioux (Astrid Plée) a, entre autre, la coordination globale du projet avec la partie liée aux arts visuels et celle liée à l’écriture. Elle sera chargée de la coordination globale du projet en lien avec l’équipe de l’association.
- L’animatrice référente famille (Majda Hatmal), chargée du projet d’animation de la Habette : elle aura la charge du lien avec les partenaires sur le quartier, de constituer et d’accompagner les groupe sur les ateliers.
- L'Adulte relais (Khadidjatou Sonko), présente au quotidien sur la structure : elle soutiendra le suivi des groupes.
- L’animatrice multimédia et communication web (Marie-Pierre Trigla) :
Elle sera chargée en particulier du suivi des productions d'images et de leur mise en forme pour l’album, le blog et l’exposition.
- Résultat sur le territoire
Désenclavement du quartier
Valorisation du quartier et de ses habitants pour tous les Cristoliens
Dynamisation du territoire
- Résultat pour le centre social
Implication renforcée des habitants du quartier de la Habette
- Résultat pour les habitants
Epanouissement par la pratique créative collective
Mieux vivre son quartier de par sa valorisation
Sensibilisation aux possibles des nouvelles technologie
- Suite de l'action : Limites
Réalisation de supports pour les créations réalisés. En fonction des moyens obtenus, la valorisation pourra être plus ou moins conséquente.
- Suite de l'action : Perspectives
Cette action qui a démarré il y a peu est très positive à ce jour. Nous espérons qu'elle aboutira à un renforcement des liens entre l'association et les habitants du quartier au service du mieux vivre dans ce quartier stigmatisé.
Actions
Accompagnement à la scolarité
- Structure organisatrice
- CSC Rébérioux - Val-de-Marne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Deux modules d’Accompagnement à la Scolarité :
CLAS groupe 1 : 6ème-5ème.
Les mardis et jeudis de 17h30 à 19h30 au CSC Rebérioux.
CLAS groupe 2 : CM1-CM2.
Les lundis et les vendredis de 16h à 18h, au local de la Habette
L’action se déroule pour tous les groupes deux fois par semaines sur des séances de 2h00.
Les enfants sont accueillis par une collation offerte par la structure. Sur ce temps nous souhaitons les sensibiliser à de bonnes pratiques alimentaires (pain frais, jus de fruits, carré de chocolat).
Nous éditons à chaque séance une liste de présence nous permettant de nous assurer de l’assiduité et de la régularité des enfants.
Quel a été le nombre approximatif de personnes bénéficiaires (par type de publics) ?
15 collégiens sur le groupe 1
14 élèves d’élémentaire sur le groupe 2
Quels ont été les date(s) et lieu(x) de réalisation de votre action ?
Les séances d’Accompagnement à la Scolarité se déroulent régulièrement tout le long de l’année scolaire.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- aide méthodologique : faire acquérir aux enfants des réflexes méthodologiques face à l'organisation de leur travail.
- aide aux devoirs : accompagnement des enfants dans l'organisation et la réalisation de leurs devoirs par l'équipe bénévole, elle-même encadrée par une permanente et accompagnée d’une adulte-relai.
- ouverture culturelle : initiation et sensibilisation à des pratiques culturelles et artistiques / implication sur les projets de l’association en proposant des temps de valorisation et restitution des temps forts. Le groupe est suivi par une permanente référente et une animatrice.
- Public
- Enfance
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
CLAS groupe 1 :
L'action aura lieu deux fois par semaine, les mardis et jeudis de 17h30 à 19h30. Les enfants arriveront vers 17h15 dans l'équipement, pour y être accueillis et prendre leur goûter. L'association proposera une collation légère (jus, lait, pain). Nous éditerons à chaque séance une liste des présences et nous nous assurerons de l'assiduité et de la régularité des enfants. Une permanente professionnelle de l'association aura en charge de suivre les bénévoles, les relations avec les parents et les relations avec les établissements scolaires. Elle suivra avec la directrice adjointe la cohérence et l'orchestration des animations et les liens avec les autres projets de l'association.
CLAS groupe 2 :
L'action aura lieu deux fois par semaine, les lundis et vendredis de 16h à 18h. Les enfants seront accompagnés de l'école de la Habette à l'ancienne bibliothèque de la Habette, dont une partie des locaux est aujourd'hui mise à disposition de notre association quelques heures par semaine. Nous éditerons à chaque séance une liste des présences et nous nous assurerons de l'assiduité et de la régularité des enfants. Une permanente professionnelle de l'association aura en charge de suivre les bénévoles, les relations avec les parents et les relations avec les établissements scolaires. Elle aura le soutien de l’adulte-relais et suivra avec la directrice adjointe la cohérence et l'orchestration des animations et les liens avec les autres projets de l'association. Nous prévoyons également un suivi avec quelques rendez-vous réguliers avec un psychologue pour accompagner l’équipe permanente, les bénévoles et les familles. Cette démarche fait l’objet d’une demande de subvention spécifique auprès du REAPP.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
22000 euros
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Il y aura 5 personnes affectées en permanence à ce projet :
- 1 permanente coordinatrice du projet
- 1 permanente présente sur le site et sur un poste d'adulte relais
- 2 bénévoles cristoliennes, adhérentes de l'association et inscrite en atelier à la MJC
- 1 directrice adjointe sur le centre socioculturel Madeleine Rebérioux
- 1 animateur du service de la Jeunesse
des animateurs permanents ou des intervenants spécialisés sont par ailleurs sollicités en fonction des projets comme sur le cinéma, le multimédia, le théâtre ou encore le jardin en interne, le SLAM, la photo ou encore la couture, en externe.
- Résultat sur le territoire
Le premier objectif est l'épanouissement de l'enfant, en relation avec ses parents. Nous nous appuierons entre autres, afin d'entamer une démarche vers l'enfant, sur les critères suivants : difficultés d'apprentissage, difficultés de comportements, difficultés liées à l'environnement familial, socioculturel.
- Résultat pour le centre social
Cette action implantée dans le quartier de la Habette, a permis de faire connaitre notre association à des familles qui ne connaissaient pas notre centre social et plus généralement notre association.
- Résultat pour les habitants
Animation d'un espace référence pour les familles; un espace de convivialité (organisation de moments festifs) et de soutien, notamment dans la parentalité (présence régulière d'un adulte relai).
- Suite de l'action : Limites
Amplitude horaire des l'ouverture du lieu à étendre. Engagement bénévole qui pose parfois des difficultés.
- Suite de l'action : Perspectives
Edition d'un guide du quartier en juin 2017.
Actions
Atelier français à visée professionnelle
- Structure organisatrice
- MICHEL CATONNE - BOISSY - Val-de-Marne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- alphabétisation & apprentissage du français
- Résumé
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Parmi les ateliers de Français existant sur le Centre social, les usagers ont sollicité l'équipe pour orienter un atelier français vers des enjeux de recherche d'emploi.
La séance à lieu tous les mardi matin de 9h30 à 11h30 en dehors des vacances scolaire.
Les contenus permettre de travailler sur la rédaction du CV et de la lettre de motivation ainsi que sur l'entrainement à l'entretien d'embauche.
Il s'agit également de faire découvrir les ressources du territoire ( Médiathèque, PIG, Mission locale, Forum emploi...) ainsi que l'intervention d'organismes pouvant recruter sur le territoire ou assurer des formations complémentaires.
Cette action s'inscrit dans notre projet dans le cadre de l'accès aux droits et à l'emploi.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
C'est la référente famille chargée de la coordination des ateliers de Français qui encadre celui-ci.
L'action a été lancée en 2015 afin de répondre à des demandes d'usager ou d'habitants résidants en France depuis plus de 5 ans.
L'atelier se déroule à l'année pour une douzaine de personnes et s'appui sur les échanges et les attentes des usagers et sur les différentes resources du territoire ou dse prestataires extérieurs (menée d'entretien). Les contenus sont évolutifs et correspondent aux rythmes d'acquisition des usagers.
Depuis l'année dernière, un projet de mise en place de postes informatiques devrait aboutir cette année.
IL doit permettre un meilleur accès aux tutoriels et faciliter l'environnemernt informatique afin d'en comprendre les modalités d'utilisation, d'accèder aux documents téléchargeables et de pratiquer le plus régulièrement possible.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
La commune et l'Etat financent cette action.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Une douzaine d'usagers et la Référente familles
- Résultat sur le territoire
Certaines personnes (re)trouvent un emploi ou une formation.
D'autres sont en recherchent plus active car elles se sentent plus rassurées et plus outillées.
- Résultat pour le centre social
Le Centre social est bien repéré comme étant l'acteur le plus adapté pour proposer des actions linguistiques en dehors même de la collectivité.
Les habitants saluent cette initiative.
- Résultat pour les habitants
Retrouver une confiance en soi;
Favoriser une méthodologie de recherche d'emploi;
Leur fournir le plus d'outils possible afin de faciliter leur autonomie et leur intégration dans le domaine de l'emploi.
- Suite de l'action : Limites
Cette atelier doit se poursuivre d'une année à l'autre.
Les acquisitions sont lentes à être maitrisées.
Les publics ne sont pas forcément assidus du fait des contraintes du quotidien.
- Suite de l'action : Perspectives
Recours plus régulier et plus intense à l'informatique, développer des liens avec les ateliers informatiques de la médiathèque.
Actions
seniors actifs et citoyen
- Structure organisatrice
- LA LUTECE .VALENTON - Val-de-Marne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Démocratie & citoyenneté
- Viellissement
- Résumé
lutter contre les risques de fragilisation sociale : informer, conseiller et accompagner l’ensemble des retraités.
- Développer des actions collectives de prévention.
- Prévenir l’isolement social, culturel et technologique des séniors tout en favorisant du lien social et culturel entre les générations autour de la vie locale (et de l’information).
Différents objectifs opérationnels se mettent en place avec des activités de lien social et culturel. (informatique et dématérialisation, échange de savoirs, sorties culturelles et récréatives, gymnastique douce, atelier mémoire, atelier nutrition ou mobilité, atelier histoires courtes (souvenirs d'enfance et histoires de vie) et veillées pour les familles ou les hisrtoires sont racontées.)
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
cette action a été mise en place à la demande des séniors et renforcée chaque année lors des évaluations trimestrielles. C'est une ouverture citoyenne et multigénérationnelle. Les résultats attendus sont un accompagnement vers un "bien vieillir", une lutte contre l'isolement social et une transmission sociale et culturelle vers les plus jeunes.
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
elle s'étoffe et s'alimente chaque année avec le concours des retraités depuis 2015. Elle est menée par 3 animateurs pour l'ensemble des animations, 2 bénévoles pour les ateliers échanges de savoirs et avec l'aide ponctuelle de 2 intervenants : gymnastique hebdomadaire et PRIF avec 1 ou 2 ateliers annuels sur 5/6 séances
- Ressources financières mobilisées pour cette action
elle a débuté en 2015 avec 3 ateliers. Des groupes de séniors ont été rencontrés pour connaître leurs besoins, lors des diagnostics en 2010/2014/2018 des questionnaires, porte à porte, rencontres sur le marché, à la bibliothéque, au service retraités de la ville ont permis de connaître les besoins du territoire. Des activités ont commencé à se mettre en place : l'informatique, des ateliers avec le PRIF, des sorties, un atelier contes avec des spectacles à la bibliothéque et au centre social et au fil des années les séniors ont pris des initiatives : échanges de savoirs : d'abord tricot, puis couture, puis broderie est venu ensuite en 2018 la gymnastique, le groupe de paroles sur les souvenirs,la participation à des évènements du centre f^éte du jeu, spectacle du groupe femmes en à venir et ont émmergé la création d'histoires courtes pour les familles du CLAS. La citoyenneté favorise la mixité des publics et permet l'émergence de groupes créatifs au bénéfice de tous.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
90 personnes, 6 professionnels, 10 bénévoles et 10 bénévoles du CA? CREER
- Résultat sur le territoire
PERMET EN 2018/2019 DE COCONSTRUIRE AVEC LA VILLE ET LES ASSOCIATIONS LOCALES UN GUIDE D'ACTIVITéS SéNIORS
- Résultat pour le centre social
permet de l'intergénérationnel, des rencontres entre retraités et familles
- Résultat pour les habitants
participation active à la vie de la cité
- Suite de l'action : Limites
vieillissement des personnes et à moyen terme difficultés pour les plus handicapés à se déplacer au centre social
- Suite de l'action : Perspectives
accueillir des retraités, développer des projets citoyen, développer l'entraide et l'intergénérationnel, créer à moyen terme un livret avec toutes les histoires racontées et en faire un évènement culturel.
Actions
Fête de quartier de Chennevières
- Structure organisatrice
- MAISON DE QUARTIER CHENNEVIERES - Val-d'Oise
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Manifestation qui s'est déroulée le 20 juin 2015.
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- Solidarité
- Culture
- mobilité / transport
- Mixité sociale
- Résumé
Le samedi 20 Juin 2015 s’est déroulée la fête de quartier de Chennevières. Le thème « Le sport en fête» a été retenu comme fil conducteur. Il est fédérateur pour l’animation et la participation de l’ensemble des partenaires avec le souci de faire participer le public.
Cette fête est un temps fort de la Maison de Quartier, car il regroupe de nombreux partenaires (institutionnels et associatifs) autour d’une journée festive pour tout le public du quartier. Le contenu de la fête est décidé au sein du comité des fêtes (instance regroupant les acteurs locaux), réuni 5 fois de Janvier à juin.
Environ 500 personnes ont participé à la fête de quartier. Le public était majoritairement issu du quartier de Chennevières et aussi d'autres quartiers. L'ensemble des associations de quartier était présent. La préparation de cette journée a sollicité la mobilisation de beaucoup de moyens humains.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place afin de renforcer le lien social entre les habitants du quartier de Chennevières et des autres quartiers de la zone d'influence du centre social. De valoriser le travail associatif mené tout le long de l'année dans les quartiers. De créer un espace de convivialité, d'échange afin de favoriser la mixité du public.
Nous pouvons dire que les objectifs ont été atteints. La participation a été bien au-delà des 500 personnes attendues.
L'ouverture de la fête par des danses latines, les structures gonflables et les stands des associations ont été très bien accueillies jusqu'au pied du podium où ils ont su entraîner le public aux rythmes des musiques du monde.
Le repas, temps fort de cette manifestation, a réellement permis aux habitants de discuter de manière détendue, pour certains de faire connaissance, pour d’autres d’approfondir une relation.
Les jeunes du quartier ont spontanément prêté main forte aux bénévoles pour la logistique et ont contribué par leur spectacle de danse, à donner une image plus positive et valorisante des quartiers.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Un comité de fête comprenant l’ensemble des partenaires (13 associations, 1 bailleur et 1 compagnie de transport) se sont réunies 5 fois (de janvier à juin) au centre social afin de préparer l’évènement. Lors des rencontres, les acteurs ont définit la forme de la manifestation et son contenu (La préparation de la logistique, le repas, l’ouverture de la fête, l’animation sur la place et le podium, la sécurité, la sonorisation, la tombola et le rangement).
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Dépenses : 8538€
Recettes : 8806.06
Excédent : 263.83€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
99 personnes : 30 professionnels et 69 bénévoles.
- Résultat sur le territoire
Valorisation des partenaires institutionnels et associatifs qui mènent des actions toute l’année.
- Résultat pour le centre social
Ce type de manifestation apporte une visibilité des actions menées, un rapprochement en direction des personnes qui ne venaient plus et celles qui ne connaisaient pas le centre social..
- Résultat pour les habitants
Manifestation très apprécié par les habitants. Cette action ponctuelle permet de bénéficier d’animation diverses et de rencontrer les élus et acteurs locaux.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Maintenir la dynamique associative tout en impliquant les habitants qui ne font pas parti du tissu associatif.
Actions
Forum des métiers
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL MAISON DE LA CHALLE - Val-d'Oise
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
- Action annuelle renouvelée en 2019
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Emploi, économie
- mobilité / transport
- Résumé
- Le Forum des Métiers est un rendez-vous bien repéré par les établissements scolaires d’Eragny ainsi que les intervenants (professionnels et Centres de Formation) qui partagent leur temps et leurs compétences pour un rendez-vous unique sur l’Agglomération. Sur chaque édition, plus de 300 jeunes et leur famille fréquentent ce Forum des Métiers.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Les objectifs poursuivis en 2018 - Permettre aux jeunes mais aussi à leurs parents, de s’informer sur les questions relatives à l’orientation et au projet professionnel - Faciliter la découverte de filières de formation et de métiers peu connus - Favoriser les échanges directs entre jeunes et professionnels - Associer des acteurs économiques d’Eragny/du territoire
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
- Déroulement du samedi 24 novembre Les intervenants sont accueillis dès 8h le samedi matin et sont installés par pôle de métiers. La manifestation accueille le public à partir de 9h et elle est clôturée par un discours de Monsieur le Maire, suivi d’un cocktail en direction des intervenants et agents de la ville à 13h. Des élèves du lycée de Jouy le Moutier renforcent le pôle accueil, avec 4 hôte(se)s. En relais des échanges avec les professionnels, un pôle d’intervenant est présent pour détailler les filières et un autre pôle assure le lien entre les jeunes et les professionnels. Les intervenants, animations et nouveautés 2018 : L’équipe d’animation, s’appuyant sur les orientations formulées par les établissements scolaires, proposent un nouveau programme riche en interventions en amont et en aval du forum : - Visite des lycées professionnels : De mi-novembre à mi-février, les élèves pourront visiter 4 à 6 établissements pour découvrir les filières et apprendre à s’y rendre en transport. Ces sorties sont accompagnées par un animateur jeunesse, un référent de parcours PRE et un éducateur de la Sauvegarde. - Animation « le métier rêvé » animation interactive présentée par l’agence Olympio portant sur les représentations professionnelles et visant à confronter et réexaminer certains stéréotypes. - Quizz sur l’alternance et l’orientation : une animation interactive s’appuyant sur la plateforme beekast sera proposée. Les visiteurs utiliseront leur smartphone pour répondre à des questions qui seront projetés sur écran géant. - Visite du théâtre de l’Usine : Les visiteurs pourront à 11h visiter les coulisses du théâtre et découvrir les métiers du spectacle. - Atelier « Aller au lycée » : un atelier en partenariat avec la STIVO informera et préparera les élèves à leur futur déplacement pour accéder à leur établissement scolaire. Une cartographie des transports, créée pour l’événement, sera exposée en salle. - Simulation d’entretien et savoir être dans le cadre d’une recherche de stage ou d’alternance : Les jeunes s’exerceront aux techniques d’entretien et pourront recevoir les conseils d’une coach. - Ambassadeurs/ tuteurs : des jeunes éragniens de la première à bac + 3 seront là pour partager leur expérience et leur conseil avec les collégiens. Comment se passe l’alternance ? Quelles sont les difficultés lorsque l’on rentre en sixième ?
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- 1500 E
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- 350
- Résultat sur le territoire
- Éviter le décrochage scolaire meilleure connaissance des acteurs économiques du territoire qui sont fédérés autour d'un projet commun
- Résultat pour le centre social
- Faire connaitre l'Espace Initiatives Jeunes Renforcer le travail partenarial
- Résultat pour les habitants
- Lien Ado / parents Créer du dialogue autour de l'orientation
- Suite de l'action : Limites
- Action limitée à la taille de la salle
- Suite de l'action : Perspectives
- Action renouvelé en 2019 avec une volonté de l'élargir à de nouvelles communes Partenariat avec Safran pour ingénieurie et filles
Actions
Accueil seniors
- Structure organisatrice
- OÏKOS - CENTRE CULTUREL ET SOCIAL DE LA PEPINIERE MICHEL LEGRAND - Territoire de Belfort
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- Viellissement
- Intégration
- vacances / loisirs
- Mixité sociale
- Résumé
Certains retraités rencontrent des difficultés économiques et/ou sociales et/ou en situation d’isolement.
L’avancée en âge de la personne est souvent accompagnée de la question du nouveau sens donné à son projet de vie.
Dans le diagnostic réalisé par les structures Oïkos (CCSRB, MQJJ CCSP et CCSBN), les retraités ont exprimé leur volonté d’être actifs, tout en restant autonomes et en bonne santé.
La démarche participative menée dans le cadre du contrat de projet a permis d’organiser une nouvelle commission de travail thématique, ayant pour but de répondre aux préoccupations exprimées par les usagers séniors.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Lutter contre les phénomènes d’isolement des seniors.
Proposer des animations favorisant la convivialité.
Proposer des ateliers de prévention et de bien-être (diététique, gymnastique d’entretien, randonnée, marche nordique).
Proposer des sorties à caractère culturel.
- Public
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Les éléments révélés par les différents diagnostics sont alarmants et reflètent, notamment dans le secteur « Pépinière 2 », une paupérisation économique, mais aussi une grande fragilité sociale et culturelle. Ces chiffres soulignent la fragilité du sous-quartier, avec des problématiques très nombreuses : vieillissement, dépendance économique et sociale, isolement et difficultés en matière d’emploi, de formation et d’accès aux droits et à la santé. Bien qu’implanté dans un territoire ne relevant pas des Quartiers prioritaires de la Politique de la Ville, le CCSP doit faire face aux mêmes problématiques que les équipements situés en zone sensible. L’adéquation des ressources de la structure avec le contexte contraint le projet de développement d’éducation populaire visant la lutte contre les inégalités sociales. La permanence de ce contexte a pour effet induit une orientation de l’approche généraliste vers la « fonction d’accueil ».
Mise en place d’une coordination entre les centres culturels et sociaux et maisons de quartier de l’association OÏKOS
Organisation de réunions de concertation et partage d’un programme d’action entre les centres OÏKOS prenant par à ce projet.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Usagers, équipes et bénévoles des stuctures partageant le projet d'inclusion des publics seniors.
Cela concerne pour l'anialtion de l'action au CCSP les membres de la commission thématique "vieillissement" soit 12 personnes.
- Résultat sur le territoire
Intervention transversale en concertation avec les partenaires.
Initiation d’une réflexion sur la thématique d’inclusion des publics « âgés »
- Résultat pour le centre social
La mission du centre socieal tient compte des publics particuliers et du contexte territorial (Pépinière 2). Le nombre de personnes en situation de fragilité et handicap et/ou d’isolement dans le quartier de la Pépinière justifie la considération de ses problématiques dans la fonction d’accueil de proximité de notre centre social. « Travailler à mettre en œuvre l’inclusion, c’est investir pour une société plus juste pour un mieux vivre ensemble. »
- Résultat pour les habitants
Chaque personne ne sera pas accueillie en tant qu’usager ou client d’un service proposé, mais comme habitant du quartier ou du territoire et partenaire potentiel du projet du centre social. L’accueil du centre est aussi un observatoire nous permettant d’identifier les ressources propres des habitants.
- Suite de l'action : Limites
Aniamtion necessitant des connaissances médico-sociales.
- Suite de l'action : Perspectives
Perenité et développment de l'action visant l'accueil et l'inclusion des personnes en situation d'isolement.
Actions
Journée citoyenne et républicaine édition 2018 : Mobilisation contre l'endoctrinement et la radicalisation.
- Structure organisatrice
- ASSOCIATION CULTURE LOISIRS EDUCATION (CLE) - Territoire de Belfort
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Journée citoyenne et républicaine du vendredi 30 novembre 2018.
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Vendredi 30 novembre 2018
Journée Citoyenne et Républicaine
Mobilisation contre l'endoctrinement et la radicalisation
de 9h à 23h, et davantage...
Salle de spectacle de la Pépinière
13, Rue Georges Danton - 90000 BELFORT
Dans le cadre de la Journée Citoyenne et Républicaine édition 2018, l’Association Culture Loisirs Education d’Offemont (CLE) a organisé à l'échelle du Territoire de Belfort, une manifestation majeure portée sur la formation, la mobilisation contre les dérives sectaires, l’endoctrinement et les risques de radicalisation.
Cette action était soutenue par les pouvoirs publics, les différents coopérateurs institutionnels dont la Préfecture du Territoire de Belfort, la CAF du Territoire de Belfort, la Région Bourgogne – Franche Comté, le Conseil Départemental du Territoire de Belfort, Le Grand Belfort, la commune d'Offemont.
Cette journée citoyenne a été l'occasion d'un grand rassemblement inter disciplinaire, au cours duquel tous les professionnels intéressés et interpelés au quotidien dans leur pratique ont eu un temps d'écoute, de formation, d'échanges, de réflexion, d'émotion et de partage.
Cette journée s’est déroulée : Vendredi 30 Novembre 2018 à la salle de spectacle de la Pépinière ainsi qu’au LP Diderot de BAVILLIERS.
Cette journée a été co animée par Marion STALENS, réalisatrice et Assad MOKHENACHE, Directeur de la CLE d’Offemont.
Marion STALENS, photographe et réalisatrice de renom, auteure de nombreux documentaires explorant de façon singulière des sujets de société prégnants, tels que la condition des femmes, l’immigration, le handicap, l’Afrique, la liberté d’expression.
Le documentaire « Revenantes » de Marion STALENS déjà diffusé sur France Télévision donne la parole à des femmes qui ont réussi à prendre suffisamment de recul pour raconter leur bascule dans la radicalisation qui a menée certaines d’entre elles au cœur de l’enfer de Daech en Syrie. Les questions qui traversent tout le documentaire : Comment plusieurs femmes ont pu adhérer à l’idéologie jihadiste ? Quels sont les ressorts qui les ont poussés à s’en sortir ?
Cette journée citoyenne et républicaine a comporté 3 temps forts (ateliers) :
1. Temps de formation, échange – débats autour notamment du travail d'enquête, d'investigation et de réalisation du documentaire "Revenantes" de 9h à 12h avec les professionnels intéressés par la problématique notamment de l’endoctrinement et de la radicalisation.
2. Rencontre et échanges avec des lycéens du LP DIDEROT à Bavilliers : Echange – débat à partir du documentaire les « Revenantes ».
Afin de poursuivre le travail de prévention, d’information et de lutte contre l’embrigadement, nous avons mis à disposition des équipes éducatives toute une série de modules pédagogiques : Récits de femmes, paroles d'experts, certains thèmes s’appuyant sur les témoignages de « revenantes » et le décryptage d’experts. Ce support pédagogique a fait l'objet d'un travail inter disciplinaire par les équipes éducatives du Lycée Professionnel Diderot.
L’échange s’est organisée cette année sous la forme de deux débats de 45 minutes, 1h avec à chaque session, près d’une centaine d’élèves.
Au final, les deux sessions ont été très riches, de nombreuses questions ont été posées, cela traduisait bien les interrogations et autres réflexions qui demeurent celles de ces adolescents, adolescentes. Ce nouveau format a été grandement apprécié par l’ensemble des partis investis et impliqués dans la démarche de dénonciation de l’endoctrinement et des processus de radicalisation.
3. Diffusion du reportage les « Revenantes » à partir de 20h à la Salle de spectacle de la Pépinière à BELFORT.
La diffusion du documentaire a été suivie d’un échange – débat entre Mme STALENS, M. MOKHENACHE et les nombreux spectateurs présents. Nous avons pu compter la présence de nombreuses personnalités, Mme ELIZEON Sophie Préfète du Territoire de Belfort aurait dû être présente, empêchée à la dernière minute par des évènements liés aux « gilets jaunes », plusieurs adjoints de la mairie d’Offemont, des représentants du Conseil Régional, de l’Université, de l’éducation nationale, des différents services de l’Etat.
Publics bénéficiaires ou cibles :
Pré-adolescents, adolescents, jeunes adultes et parents issus des QPV : près de 550 personnes dans le cadre de la Journée Citoyenne et Républicaine, édition 2019 : conférence-débat, échange avec du public étudiant, visionnage du court métrage "Tu iras au Paradis" suivi d'un débat avec le public.
Grand public et autres professionnels de l'animation, de l'éducation et de la prévention de la délinquance intéressés et sensibilisés par ces questions : 160 personnes.
L'ensemble des actions, projets développés et mis en œuvre au cours de l'année 2018 a touché près de 700 personnes. Cette journée citoyenne et républicaine a fait l’objet d’une interview croisée de Marion STALENS et d’Assad MOKHENACHE par une équipe de france 3 Bourggone Frnache Comté. La journée Citoyenne et Républiciane édition 2018 a fait l'objet d'un reportage diffusé lors de l'édition du journal d'information de 19h.
Indicateurs – évaluation :
Présence, régularité, investissement du public dans sa diversité, des jeunes particulièrement,
- La qualité des échanges et des débats suscités lors et à l'issue des séances et autres débats avec des intervenants, des spécialistes, des professionnels.
- La motivation lors de la conférence, diffusion du documentaire « Revenantes ».
- Une meilleure compréhension du concept du vivre ensemble, de la tolérance, de l'égale dignité humaine.
- L'acquisition d'un répertoire de connaissances et de références aux valeurs républicaines et citoyennes, humanistes et universelles.
- La prise de conscience de la dangerosité et de la haine de l'humanité que ces groupuscules djihadistes véhiculent de par leurs canaux de communication, de vulgarisation du principe de "théorie du complot".
Finalités recherchées :
Le projet visait également à susciter la réflexion, le questionnement, à lutter contre certains clichés, stéréotypes et autres représentations et à inviter au dialogue dans des conditions sereines et empreintes de sérénité, valeurs républicaines.
Il s'agissait de fait de permettre, faciliter une meilleure ou plus juste appréhension du monde par nos publics pré adolescents et adolescents en dénonçant notamment les injustices, la théorie du complot véhiculée sur la toile, contribuant par la même à faire évoluer les mentalités dans un esprit, espace citoyen pour tendre vers une compréhension du monde, des contextes géopolitiques qui ne soit pas biaisée, altérée par de la frustration, de la démagogie, de l'ignorance.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Action majeure de prévention contre l'endoctrinement et la radicalisation. L'objectif étant de vulgariser un certain nombre de concepts, de présenter au plus grand nombre les mécanismes et autres stratégies mises en oeuvre par des entités ou groupuscules fondamentalistes.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Un groupe de travail a été mis en place, il comportait des membres de l'équipe éducative et d'animation de la CLE d'Offemont, ainsi que des membres du conseil citoyen d'Offemont.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Plusieurs demandes de subventions ont été adressées aux partenaires : Préfecture du Territoire de Belfort, CAF du Territoire de Belfort, Conseil Départemental et Conseil Régional.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
L'ensemble de l'équipe éducative et d'animation, des membres du conseil citoyen, des adhérents et autres membres des secteurs jeunes et pré-ados de la CLE d'Offemont.
- Résultat sur le territoire
Cette action est une déclinaison locale d'une politique de prévention nationale, elle vise a dénoncer un certain nombre de clichés et autres représentations.
Elle ambitionne également de lutter contre la théorie du complot et du grand remplacement.
- Résultat pour le centre social
La journée citoyenne et républicaine met en exergue la politique éducative, de prévention et d'accompagnement vers une citoyenneté conscientisée et apaisée du centre social.
- Résultat pour les habitants
Ces temps d'échanges, de réflexion, de débats et autres conférences ambitionne l'aculturation, la vulgarisation d'un certain nombre de concepts et autres connaissances qui au final permettent aux habitants, bénéficiaires de porter un regard critique et objectif sur les bouleversements majeurs que ces idéologies ont amenés au cours de la dernière décennie.
- Suite de l'action : Limites
La journée citoyenne et républicaine n'est pas une fin en soi, elle ambitionne d'être reconduite chaque année afin d'apporter un regard, un éclairage singulier sur la lutte et autres mobilisations contre l'endoctrinement et la radicalisation.
- Suite de l'action : Perspectives
Le concept de la journée citoyenne et républicaine commence à faire des émules sur le territoire national, à savoir concentrer sur une journée plusieurs temps de réflexion, d'échanges, de débats, un volet conférence de sorte à toucher toutes les franges de la populations.
Actions
Journée Citoyenne et Républicaine édition 2019 : mobilisation contre l'endoctrinement et la radicalisation.
- Structure organisatrice
- ASSOCIATION CULTURE LOISIRS EDUCATION (CLE) - Territoire de Belfort
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Journée citoyenne et républicaine du vendredi 18 octobre 2019.
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- discriminations
- Résumé
Vendredi 18 octobre 2019
Journée Citoyenne et Républicaine
Mobilisation contre l'endoctrinement et la radicalisation
de 9h à 23h
Salle de spectacle de la Pépinière
13, Rue Georges Danton - 90000 BELFORT
Cette journée a été co-animée par ROST, chroniqueur, réalisateur et Assad MOKHENACHE, Directeur de la CLE d’Offemont.
ROST est un artiste, réalisateur aux multiples facettes : Conseiller au sein du Conseil économique, social et environnemental, Président de l'association Banlieues Actives. Depuis une vingtaine d'année, ROST est très engagé sur les questions de citoyenneté, de prévention des violences et de la délinquance, d'exclusion, de la jeunesse, des quartiers populaires et plus globalement les personnes les plus fragiles.
Sa propre vie, dans la promiscuité, la violence et l'extrême pauvreté, l'ont obligé à être très attentif aux autres. Grâce à sa détermination à fuir le déterminisme, il a toujours trouvé l'énergie nécessaire quelques soient les obstacles pour aller au bout de ses combats.
Présentation du projet.
ROST : un réalisateur engagé.
Depuis une vingtaine d'année, ROST est un artiste, rappeur très engagé sur les questions de citoyenneté, de prévention des violences et de la délinquance, d’exclusion, de la jeunesse, des quartiers populaires et plus globalement les personnes les plus fragiles. Sa propre vie, dans la promiscuité, la violence et l’extrême pauvreté, l'ont obligé à être très attentif aux autres. Grâce à sa détermination à fuir le déterminisme, il a toujours trouvé l'énergie nécessaire quelques soient les obstacles pour aller au bout de ses combats.
Il définit son action comme suit : “Je suis intimement convaincu que chacun d'entre nous peut apporter sa petite pierre à l'édifice pour qu'ensemble nous fassions, bouger les choses, évoluer les mentalités et faire place à plus de justice sociale afin d'éviter ce sentiment d'exclusion et de rejet qui conduisent parfois certains de nos jeunes vers des dérives ou l'obscurantisme”.
Genèse du projet : un projet militant pour redonner de l’espoir à une jeunesse.
ROST explique que lors des attentats de Charlie Hebdo, certains de ses amis se sont faits assassinés et touchés, dont CHARB et son garde du corps ainsi que le gérant de l’Hyper Cacher. Ce dernier et son frère ont été les deux personnes qui lui ont permis de s’en sortir 20 ans plutôt. Puis, lors des attentats du 13 Novembre, sa maquilleuse se faisait assassiner en prenant plusieurs balles sur la terrasse de « La Belle Equipe » un mois à peine après leur retour de tournage de son précédent court-métrage « Et si on s’en sortait ». Ce court métrage, qui était déjà à l’époque une réponse aux attentats, avait pour but de réenchanter la jeunesse et de ne pas la stigmatiser. En effet, l’histoire raconte le périple de quatre amis, issus d’un quartier populaire, qui ont été fragilisé par la vie et qui essaie de s’en sortir. Ce film pose les questions suivantes : quel chemin emprunteront-ils, est-ce que l’échec est une fatalité ?
Cette journée citoyenne et républicaine a comporté 3 temps forts (ateliers) :
1. Temps de formation, échange – débats autour notamment du travail d'enquête, d'investigation et de réalisation du film court métrage "Tu iras au Paradis" de 9h à 12h avec les professionnels intéressés par la problématique notamment de l’endoctrinement et de la radicalisation.
Ce temps de formation a intéressé plus de 150 personnes, professionnels de tout horizon, étudiants de l’IUT carrières sociales, citoyens, élus…
ROST a pu exposer sa démarche, expliquer son engagement militant, associatif et le combat qu’il mène depuis des décennies contre l’obscurantisme, le totalitarisme et l’extrémisme religieux.
2. Rencontre et échanges avec des lycéens du LP DIDEROT à Bavilliers : Echange – débat à partir du film court métrage "Tu iras au Paradis".
Afin d’initier le travail de prévention, d’information et de lutte contre l’embrigadement, l’endoctrinement et la radicalisation nous avons mis à disposition des équipes éducatives toute une série de modules pédagogiques. Ce support pédagogique a fait l'objet d'un travail inter disciplinaire par les équipes éducatives du Lycée Professionnel Diderot.
L’échange s’est organisée cette année sous la forme de deux débats d’1h avec à chaque session, près d’une centaine d’élèves.
Au final, les deux sessions ont été très riches, de nombreuses questions ont été posées, cela traduisait bien les interrogations et autres réflexions qui demeurent celles de ces adolescents, adolescentes. Ce nouveau format a été grandement apprécié par l’ensemble des partis investis et impliqués dans la démarche de dénonciation de l’endoctrinement et des processus de radicalisation.
3. Diffusion du film court métrage "Tu iras au Paradis" à partir de 20h à la Salle de spectacle de la Pépinière à BELFORT.
Synopsis du film : Tu iras au Paradis.
Embrigadé dans une entreprise maléfique, RÉMI, un jeune garçon de 17 ans, fait partie d’un commando terroriste qui lui demande d’attacher autour de sa taille une ceinture d'explosifs afin d’exécuter un plan : ALLER AU PARADIS.
Il sort des toilettes d’une brasserie bondée de monde, prêt à mettre en exécution le plan qui est de se faire exploser en faisant le plus de victimes possibles. C'est alors que NABIL (joué par le comédien SMAÏN), un monsieur exubérant d'une cinquantaine d'année, le reconnaît. Il s'invite alors à la table de Rémi sans que celui-ci ne puisse y faire quoique ce soit et le compte à rebours est lancé …IMPACT DANS 20 Minutes.
Ce film n'est pas une analyse du terrorisme religieux. Il ne prétend pas expliquer, ou détenir la vérité. Avec « Tu iras au paradis », son co-auteur et co-réalisateur Thomas
KEUMURIAN et ROST ont voulu faire une œuvre courte, coup de poing, qui vient interpeler, interroger, interloquer. Le film vise à susciter le débat autour de la question de l'embrigadement. Si le terrorisme islamique est abordé, jamais aucun d'amalgame avec la religion musulmane qu’est l’'Islam n’est fait.
La touche humoristique qui sous-tend le film permet de dédramatiser par la forme un sujet lourd et sensible afin de mieux capter l’attention des jeunes avant les échanges.
Un débat autour du film : La radicalisation n’est pas une fatalité (une tournée du film à travers la France a démarré depuis mars 2019).
Lors de ces différentes actions et interventions, ROST démontre que pour lutter efficacement contre le fléau de la radicalisation, il faut combattre les préjugés.
En effet, à travers ses rencontres avec des personnes radicalisées en prison et son association Banlieues Actives, il s’efforce de faire un travail de citoyenneté, de prévention de la violence, de la délinquance et surtout, de redonner de l'espoir, de la motivation et une ambition saine aux jeunes issus des quartiers populaires qui ne croient plus en l’avenir.
Les films qu’il a pu tourner dont “La Rue des Anges” ainsi que “Et si on s’en sortait”, ont servi de support pour aller vers ces jeunes pour échanger avec eux sur les conséquences parfois dramatiques de la délinquance partant du postulat suivant : aucun d’entre eux n’est condamné à l’échec et que chacun a le potentiel et les ressources pour s'en sortir et dépasser sa condition sociale.
Sa notoriété, en tant que rappeur, sa médiatisation mais avant tout son parcours personnel qui fut mouvementé, ont eu un impact sur les jeunes qu’il a pu rencontrer. Ces films, et en particulier celui-ci, les interroge, interpelé pour engager une réflexion sur eux- mêmes.
Le sujet du terrorisme contemporain est très complexe et sensible et ROST, par son implication et son engagement, s’en est emparé pour pouvoir ouvrir le débat avec ces jeunes. Se retrouver face à des personnes directement touchées par ces drames rend immédiatement le débat bien plus concret et une approche des jeunes beaucoup moins fantasque.
Sa devise “Je suis convaincu que les rencontres peuvent changer une vie, qu'une personne rencontrée au bon moment peut faire la différence dans une existence”.
La diffusion du court métrage a été suivie d’un échange – débat entre ROST, M. MOKHENACHE et les nombreux spectateurs présents.
Nous avons pu compter la présence de nombreuses personnalités, M. RANOUX, Président du Conseil d’Administration de la CAF du Territoire de Belfort, M. FERRAIN, conseiller départemental, M. KRANTZ, Directeur académique des services de l'Éducation nationale, DSDEN, M. THIERRY, Délégué du Préfet, des représentants du Conseil Régional…
Une participation active d’un groupe de plusieurs adolescentes, d’étudiantes de l’IUT Carrières Sociales de Belfort, des volontaires Service Civique dans le cadre de l’organisation et de la tenue de cette journée citoyenne et républicaine a permis de diffuser l’information via des affiches, mailing et autres flyers.
Publics bénéficiaires ou cibles :
Pré-adolescents, adolescents, jeunes adultes et parents issus des QPV : près de 550 personnes dans le cadre de la Journée Citoyenne et Républicaine, édition 2019 : conférence-débat, échange avec du public étudiant, visionnage du court métrage "Tu iras au Paradis" suivi d'un débat avec le public.
Grand public et autres professionnels de l'animation, de l'éducation et de la prévention de la délinquance intéressés et sensibilisés par ces questions : 160 personnes.
L'ensemble des actions, projets développés et mis en œuvre au cours de l'année 2019 a touché près de 750 personnes. Cette journée citoyenne et républicaine a fait l’objet d’une interview croisée de ROST et d’Assad MOKHENACHE, enregistrement, par Thibault QUARTIER, journaliste auprès de « le Trois », média local (décrypter le Nord Franche Comté) qui a pris la forme d’un article publié en ligne intitulé « Ce que nous combattons au quotidien, c’est l’ignorance ».
Indicateurs – évaluation :
Présence, régularité, investissement du public dans sa diversité, des jeunes particulièrement,
- La qualité des échanges et des débats suscités lors et à l'issue des séances et autres débats avec des intervenants, des spécialistes, des professionnels.
- La motivation lors de la conférence, diffusion du documentaire « Revenantes ».
- Une meilleure compréhension du concept du vivre ensemble, de la tolérance, de l'égale dignité humaine.
- L'acquisition d'un répertoire de connaissances et de références aux valeurs républicaines et citoyennes, humanistes et universelles.
- La prise de conscience de la dangerosité et de la haine de l'humanité que ces groupuscules djihadistes véhiculent de par leurs canaux de communication, de vulgarisation du principe de "théorie du complot".
Finalités recherchées :
Le projet visait également à susciter la réflexion, le questionnement, à lutter contre certains clichés, stéréotypes et autres représentations et à inviter au dialogue dans des conditions sereines et empreintes de sérénité, valeurs républicaines.
Il s'agissait de fait de permettre, faciliter une meilleure ou plus juste appréhension du monde par nos publics pré adolescents et adolescents en dénonçant notamment les injustices, la théorie du complot véhiculée sur la toile, contribuant par la même à faire évoluer les mentalités dans un esprit, espace citoyen pour tendre vers une compréhension du monde, des contextes géopolitiques qui ne soit pas biaisée, altérée par de la frustration, de la démagogie, de l'ignorance.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Action majeure de prévention contre l'endoctrinement et la radicalisation. L'objectif étant de vulgariser un certain nombre de concepts, de présenter au plus grand nombre les mécanismes et autres stratégies mises en oeuvre par des entités ou groupuscules fondamentalistes.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Un groupe de travail a été mis en place, il comportait des membres de l'équipe éducative et d'animation de la CLE d'Offemont, ainsi que des membres du conseil citoyen d'Offemont.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Plusieurs demandes de subventions ont été adressées aux partenaires financiers et institutionnels : Préfecture du Territoire de Belfort, CAF du Territoire de Belfort, Conseil Départemental et Conseil Régional.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
L'ensemble de l'équipe éducative et d'animation, des membres du conseil citoyen, des adhérents et autres membres des secteurs jeunes et pré-ados de la CLE d'Offemont. L'équipe enseignante de l'IUT Belfort - Montbéliard filière carrières sociales et les Volontaires Service Civique.
- Résultat sur le territoire
Cette action est une déclinaison locale d'une politique de prévention nationale, elle vise a dénoncer un certain nombre de clichés et autres représentations.
Elle ambitionne également de lutter contre la théorie du complot et du grand remplacement.
- Résultat pour le centre social
La journée Citoyenne et Républicaine met en exergue la politique éducative, de prévention et d'accompagnement vers une citoyenneté conscientisée et apaisée du centre social. Elle s'inscrit dans la continuité d'actions, de projets visant à promouvoir les valeurs républicaines, les principes de démocratie.
- Résultat pour les habitants
Ces temps d'échanges, de réflexion, de débats et autres conférences ambitionnent l'aculturation, la vulgarisation d'un certain nombre de concepts et autres connaissances qui au final permettent aux habitants, bénéficiaires de porter un regard critique et objectif sur les bouleversements majeurs que ces idéologies ont amenés au cours de la dernière décennie.
- Suite de l'action : Limites
La journée Citoyenne et Républicaine n'est pas une fin en soi, elle ambitionne d'être reconduite chaque année afin d'apporter un regard, un éclairage singulier sur la lutte et autres mobilisations contre l'endoctrinement et la radicalisation. La multiplication des approches, analyses, présentations, compréhensions de cette problématique permet de démystifier toute une série de cliches, représentations, visions surannées...
- Suite de l'action : Perspectives
Le concept de la journée Citoyenne et Républicaine commence à faire des émules sur le territoire national, à savoir concentrer sur une journée plusieurs temps de réflexion, d'échanges, de débats, un volet conférence de sorte à toucher toutes les franges de la populations. Un ambition challenge que celui de vulgariser autant que faire se peut ce champ complexe de l'endoctrinement et des processus de radicalisation.
Actions
Accompagnement d’enfants par de l’aide scolaire (aide aux devoirs, méthodologie) et une ouverture culturelle en coopération avec les familles, l’école et divers partenaires
- Structure organisatrice
- ASSOCIATION DES HABITANTS DE SAPIAC - Tarn-et-Garonne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Résumé
I) Pendant l’année scolaire après l’école
- Aide aux devoirs, méthodologies, explication de points non acquis : les enfants sont encadrés par la salariée de l’association détachée tous les soirs, et par des bénévoles. C’est une aide individuelle ou collective pour soutenir les enfants selon leur demande, pour les stimuler au sujet du travail réalisé dans la journée ou sur des acquisitions à maitriser. Quand le travail scolaire est fait il y a un temps créatif avec des activités manuelles ou des jeux de société toujours en relation avec des notions scolaires.
- Activité cirque encadrée par des professionnels : c’est une activité physique qui permet de développer des habilités motrices tout en allant vers d’autres domaines de connaissances : éducation civique, découverte du monde, musique, science…
II) Pendant les vacances activités périscolaires offrant des objets de connaissance ainsi que des expériences que les enfants pourront réutiliser dans le domaine purement scolaire soit à la Maison de quartier ( atelier sculpture avec un intervenant, atelier cuisine, atelier jardinage) soit à l'extérieur:
- loto à la MAPA (résidence pour personnes agées) pour mélanger les générations et permettre aux enfants de grandir avec une vision positive du troisième âge
- Cité de l’Espace(Toulouse)
- Jardin des Plantes : jeu de piste coopératif
- Cinéma
- Centre préhistorique (Bruniquel)
- Village gaulois
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Action mis en place pour:
- promouvoir la réussite scolaire des enfants en leur apprenant des méthodes de mise au travail, en revenant sur des notions non acquises
- renforcer la confiance des enfants dans leurs capacités à réussir grâce à une aide individualisée
- élargir les centres d’intérêt des enfants par des apports culturels
- valoriser les compétences des familles : responsabilité et autorité, transmission, repères…
- redonner aux familles une meilleure confiance dans le système scolaire car ils se sentent souvent démunis dans l'accompagnement de la scolarité de leur enfant
- Public
- Enfance
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Les interventions se font à la Maison de quartier après le temps scolaire et pendant les vacances Nous faisons signer un engagement aux parents concernant leur implication et posant le cadre.Les enfants sont accompagnés par la salariée et des bénévoles. Il y a 2 groupes et chaque groupe vient 2 fois par semaine pour de l'accompagnement au travail scolaire et pour une activité cirque .Nous allons les chercher à l'école et après un goûter le activité débutent Nous faisons signer un engagement aux parents concernant leur implication et celle de leur enfant. Les intervenants sont en contact tous les jours avec les familles lorsqu'elles reviennent chercher les enfants
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le budget est de 16400€ sans compter l'investissement des bénévole que l'on peut chiffrer à environ 6000€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Deux salariés et 12 bénévoles
- Résultat sur le territoire
Meilleure visibilité de l'association
- Résultat pour le centre social
Relations accrues avec l'école:
- participation à la réunion de rentrée parents-enseignants
- rencontres trimestrielles avec l’enseignant de chaque enfant pour échanger sur les points à consolider
- les intervenants peuvent avoir un rôle de médiateurs dans les relations parents enseignants
- présence des enseignants au spectacle de fin d’année
- Résultat pour les habitants
- Cette action prend forme dans une structure qui constitue un lieu de vie au sein d’un territoire : maison de quartier
- C’est un lieu « neutre », en dehors du temps scolaire qui permet à l’enfant d’être accompagné par un tiers différent du parent ou de l’enseignant (bénévoles ou professionnels) qui porte un autre regard sur lui.
- Proposition d’outils individualisés -
- Les enfants qui viennent à l’accompagnement à la scolarité sont souvent en difficulté. Lorsqu’ils sont à l’association, c’est le moment de réussir et de se sentir valoriser.
- La présence conjointe de bénévoles et de salariés d’âges différents : richesse qui permet un mélange des approches, des savoirs, des savoir-être et des savoir-faire.
- Relations avec les familles plus faciles car quand elles sont contactées par l’école, c’est le plus souvent pour parler de difficultés scolaires ou de problèmes de comportements. A l’association, la famille entend plus souvent un discours positif et optimiste sur son enfant.
- Suite de l'action : Limites
- Lorsqu’ils inscrivent leur enfant les parents attendent en premier lieu que quelqu’un puisse apporter à leur enfant l’aide qu’ils ne sont pas en capacité de lui offrir eux-mêmes, pour réussir à l’école. Les parents sont très souvent avant tout soucieux que les « devoirs » soient faits pour des raisons de respect des consignes données par l’école, mais aussi pour des raisons d’organisation de la vie familiale. Certains parents ne voient pas toujours l'importance de ces apprentissages, en complément de l'école, pour la réussite de leurs enfants. le travail d'explication est incontournable, primordial et quelquefois difficile à faire passer.
- Enfants en très grande difficulté : difficile de faire le lien avec d’autres structures quand ils sont suivis ailleurs
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
séjours de vacances en familles
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ET CULTUREL D'ETOU VIE - Somme
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- vacances / loisirs
- Résumé
Grâce à un accompagnement dégressif sur 3 ans, les familles gagnent en autonomie pour partir de façon complètement autonome et autofinanc" la 4ème année.
Une dmarche d'implication et d'engagement tout au long du projet
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
cette action a été mise en place pour répondre à la demande des habitants qui pensaient que l'accès aux vacances n'atait pas pour eux...
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
grâce à des temps de formation et aux cofinancements obtenus.
Ce projet suppose aussi et avant tout un engagement effective et une démarche de participation active des familles
- Ressources financières mobilisées pour cette action
environ 20 000 €, toute charges comprises ( dont salaires) pour environ 60 personnes par an
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
60 personnes sur deux destinations
- Résultat sur le territoire
intégration sociale
envie de repartir et de trouver des leviers ( retour à l'emploi)
amélioration des relations intra familiales
- Résultat pour le centre social
arrivée de nouveaux publics par ce projet
effet levier sur le retour à l'emploi
une mesure des ateliers sociaux durant le temps de vacances
- Résultat pour les habitants
Intégration sociale
bien être
rendre accessible ce qui ne leur semblait pas possible
- Suite de l'action : Limites
obligation de mettre en place une démarche d'épargne.
Au delà du 4ème départ, des freins à la mobilité empèchent le départ pour les familles nombreuses
- Suite de l'action : Perspectives
poursuite
Actions
Do It Yourself
- Structure organisatrice
- Centre Social - Maison Pour Tous d'ABBEVILLE - Somme
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- éducation / scolarité
- Culture
- Résumé
Ouverte à tout public de tout niveau, la Fabrique Numérique se propose de lutter contre la fracture sociale en mettant en œuvre les conditions qui permettent aux habitants des quartiers prioritaires de bénéficier des ressources existantes.
Pour les jeunes gens, fréquenter la Fabrique Numérique c’est :
· Découvrir la robotique, expérimenter et créer des objets
· Acquérir des capacités (raisonnement, recherche et synthèse de l’information, attention, créativité, démarche expérimentale…) et des savoir être (assiduité, travail en groupe, respect de consignes, respect du matériel…) utiles au sein de l’école et dans la société qui les entoure (ultérieurement, au sein du monde du travail)
· Etre sensibilisés aux métiers des filières scientifiques et techniques dans le cadre de leur projet scolaire puis d’orientation professionnelle. Lutter contre le fatalisme
Pour les adultes et parents, fréquenter la Fabrique Numérique c’est :
· Mieux comprendre les TIC et les enjeux actuels
· Donc, mieux dialoguer avec leurs enfants, mieux suivre leur scolarité, mieux les guider dans leur orientation
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L’année écoulée montre qu’il existe un réel intérêt pour un tel dispositif de la part des jeunes (ou moins jeunes) et des acteurs locaux (des partenariats ont été menés avec le Musée Boucher de Perthes, des enseignants, des animateurs de quartiers…). Le stand « Fabrique numérique » installé au sein de la Fête de le Science 2016 a été très visité.
Sur le plan scolaire, l’activité proposée contribue à la démarche scientifique conforme aux programmes de l’éducation nationale dans un contexte où les sciences et techniques doivent être rendus accessibles au plus grand nombre, où les filières scientifiques et technologiques sont valorisées.
Ce projet s’inscrit également dans le cadre du projet « Sciences en culture » lancé par Ombelliscience Picardie en 2015 dans le cadre des Investissements d’Avenir et du dispositif « Picardie en Ligne 3D» (Conseil Régional Hauts de France).
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
· En amont : mobilisation des partenaires des quartiers, des jeunes, des parents, des écoles, des collèges, des lycées, des habitants
· Pendant l’action : assiduité et capacité à participer à un projet, une activité
· En aval, exploitation de l’action suivie (transfert d’acquisitions, valorisation des réalisations, ouverture vers les métiers scientifiques…)
- Au sein du Centre Social :
o Tous les mercredis après-midi, accueil d’une vingtaine de jeunes collégiens intéressés par l’électronique, la robotique, l’impression 3D et la programmation. Ils ont découvert les cartes Arduino et Raspberry Pi ainsi que les kits de robotique Mindstorm.
o Pendant les vacances scolaires, des ateliers thématiques ont permis d’approfondir ce qui a été abordé le mercredi: conception 3D avec Sketchup, impression 3D et robotique.
- En milieu scolaire
o Promotion des activités auprès des établissements scolaires et des personnels enseignants.
o Parallèlement, 8 séquences ont été programmées au sein de l’école Alain DETRE avec un conseiller pédagogique de l’Académie. Intervention auprès d’une classe de CM2 (23 élèves) encadrée par l'enseignante: robots programmables avec Scratch
Formation à destination des animateurs multimédias des Hauts de France
- Sur le territoire
o Au sein du Musée Boucher de Perthes (février - avril 2016), intervention autour du scan 3D et de l’impression 3D dans le cadre d’une exposition sur les figurines en terre cuite gallo-romaines trouvées localement. Ont été accueillis: des publics issus des quartiers, le Collectif Famille de la MPT, le Collège Ponthieu, l’ALSH Menchecourt…. (au total une centaine de personnes).
o Participation à l’opération Abbeville Plage (21 et 29 juillet): promotion des activités auprès des jeunes fréquentant les Maisons de Quartier
o Courant septembre, promotion des activités auprès de divers établissements: Lycée Boucher de Perthes, Lycée Saint-Pierre, Collège Ponthieu, Collège Millevoye, Musée d’Abbeville.
o Atelier “impression 3D” au CAJ de la Ville d’Abbeville avec 20 jeunes. Le résultat a été l’arrivée de nouveaux jeunes adhérents à la Fabrique Multimédia.
o Contribution à la mise en place d’un Village des Sciences à l’occasion de la Fête de la Science sur Abbeville, à l’initiative de la MPT. 600 personnes visiteurs à l’Espace Culturel Saint-André. La Fabrique multimedia y tenait un stand “numérisation et impression 3D”.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
40 000 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 animateur multimédia, 1 service civique, 1 pilote
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
L'outil numérique autour de la Fabrique Multimédia prend de l'essor. Les partenaires associatifs, éducatifs et institutionnels y sont de plus en plus intéressés. La fréquentation est en hausse intra muros et en dehors les murs.
- Résultat pour les habitants
Effets bénéfiques à l’apprentissage de la logique, des mathématiques et à l’éveil sur les sciences et techniques. Les enseignants encouragent leurs élèves à fréquenter la Fabrique Multimédia. Certains, à leur demande, ont été formés.
Nous observons un réel intérêt de la part des jeunes (et des adultes).
La Fabrique Multimédia est (et peut être davantage encore) un réel atout pour le territoire. Il nous faut, tous ensemble contribuer à son développement (matériel et ressources humaines), envisager des coopérations encore plus soutenues avec les quartiers, établissements scolaires et acteurs locaux, décentraliser, autant que possible et nécessaire, un certain nombre d’actions.
- Suite de l'action : Limites
Les limtes sont malheureusement financières et le projet essaie de structurer de même que la nouvelle Région, ce qui n'est pas toujours facilitant.
- Suite de l'action : Perspectives
Projet qui continue en 2017
Actions
Culture pour tous
- Structure organisatrice
- ROMAIN ROLLAND (MQ) - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- vacances / loisirs
- Résumé
Cette action a consisté à proposer des ateliers et des animations dans des espaces identifiés comme étant potentiellement des lieux de convivialité mais peu ou sous utilisés.
A la demande des habitants, ces animations ont été localisées aux entrées des quartiers et non à l'intérieur.
Ces ateliers, pris en charge par des artistes, ont proposé différentes initiations culturelles : danse, chant, lecture, écriture et jeu
Les habitants ont pu y venir seuls ou accompagnés. Pour ceux qui avaient des compétences artistiques, ils ont pu les mettre au service des autres durant les ateliers notamment lors de temps dédiés à des démonstrations.
A la fin de ces animations, des goûters et repas ont été organisés par les habitants pour prolonger ces moments.
La programmation a été diverse :
- "Histoire de sons" : création d'un album concert. Les 3 ateliers ont été portés par la Maison de Quartier et le Centre Ressource Lecture Aladin (2 ateliers ont eu lieu la semaine du 6 juillet et 1 le 13 juillet.)
- "I Got A Big Band" : Atelier de création musicale et spectacle. Les 3 séances ont conduit à la création d'un arrangement de textes avec une restitution à la fin juillet.
- "Compagnie Boukoussou" : 3 ateliers de danse Gwoka ont été mis en place les 17/07, 31/07, 7/08. Une restitution sous forme de spectacle professionnel et amateur a eu lieu au parc Cachin.
- "Histoire de Sons : les chars poétiques" : 3 ateliers ont conduit à la décoration de chars grâce à la création notamment de panneaux poétiques. La déambulation de ce char s'est vu accompagnée d'une création de cellules rythmiques simples et de chants sur les espaces extérieurs de la cité Joliot Curie.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Lors du diagnostic partagé du quartier, les professionnels et les habitants ont soulevé le manque d'évènements sur les espaces extérieurs du quartier.
Cette action avaient pour objectifs de permettre aux habitants de se réapproprier l'espace public et d'accéder à différentes pratiques artistiques.
Cette action s'inscrit dans l'axe du projet social "l'accès aux loisirs et à la culture".
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Cette action a été mise en oeuvre avec le soutien des Directions Vie des Quartiers, Santé et Jeunesse et de l'association Asafi. Chacun a pu s'inverstir de manières diverses : financièrement ou techniquement (en venant notamment en appui logistique).
Cette action avait également été présentée aux habitants lors d'une table ronde où une trentaine d'entre eux étaient présents. Cette présentation avait permis de réajuster le projet et de sélectionner les endroits où les animations auraient lieu.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le budget de cette action s'élève à 10905 euros.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Une dizaine de professionnels ont été mobilisés pour cette action.
- Résultat sur le territoire
Ces temps d'animations culturelles où étaient à la fois mélangés des temps d'apprentissage et des temps de spectacle ont attiré de nombreux spectateurs.
Les habitants se sont réappropriés sur ces temps ces espaces publics parfois délaissés.
- Résultat pour le centre social
Ces temps d'animation sur les espaces publics ont permi aux professionnels de se faire connaitre auprès d'habitants ne connaissant pas le centre social et de présenter et d'échanger sur les activités de la Maison de Quartier.
- Résultat pour les habitants
Les habitants ont pu découvrir de nouvelles pratiques culturelles en participant à ces animations. Les temps d'initiatives / d'apprentissages ont beaucoup intéressé les habitants et plus particulièrement les enfants, heureux de reprendre les chorégraphies ou de lire à voie haute les textes qu'ils avaient eux-mêmes écrits.
- Suite de l'action : Limites
L'une des limites à cette action est les conditions météorologiques. L'intérêt de cette action est qu'elle est lieu sur les espaces extérieurs. En cas de pluie, nous avons du déplacer les animations dans les structures de proximité pas toujours adaptées.
- Suite de l'action : Perspectives
Cette action s'est poursuivie en 2016.