Les actions des centres sociaux
Actions
Spectacle N°187
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIO CULTUREL JEAN PAUL COSTE - Bouches-du-Rhône
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- discriminations
- Résumé
Notre centre socio-culturel a décidé de créer un "objet Culturel citoyen", spectacle vivant réflexif visant un double objectif éducatif :
- éclairer le passé
- réfléchir sur le présent
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Autre
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Nous nous sommes rendus compte que les publics enfants et jeunes qui fréquentaient nos accueils (de loisirs et jeunesse) ne connaissaient pas l'Histoire du camp des Milles et la symbolique du "Wagon du souvenir" présent pour ne pas oublier ce qui a conduit à un génocide durant la seconde guerre mondiale. Le site Mémorial du camp des Milles est alors devenu un partenaire privilégié de notre centre. Nous avons nouer des liens et réfléchis ensemble sur la co-construction de modules éducatifs qui nous permettent de proposer un éclairage du passé pour mieux comprendre les rouages qui ont pu mener à cet épisode dramatique de notre Histoire.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Autre
- Description générale
Une rencontre entre la directrice du centre socio-culturel Jean-Paul Coste (Béatrice Lay) et le directeur artistique de la Compagnie Mémoires Vives (Yan Gilg) en 2011 a été le point de départ.
2011 : première rencontre avec la Compagnie Mémoires Vives / décision de co-produire une œuvre
2012 - 2013 : rapprochement avec la fondation du camp des Milles. Ecriture du Projet partenarial et recherche des moyens pour la production de la création de l'oeuvre et des recherches associées (laboratoire de recherches artistiques)
2013 - 2014 : résidences artistiques et création de la pièce N° 187 (sur le mode "participatif")
2014 - 2015 : partenariat avec la camp des Milles sur la partie "contenu" de la pièce et première représentation au camp des Milles2015 : suspension du projet faute de financement
2016 : reprise du "contenu" en fonction des retours de cette première représentation et passage du modèle "participatif" au modèle "professionnel" avec 15 artistes associés au plateau. 3 représentations à guichets fermés au camp des Milles2017 : recherche de programmateurs et/ou de financement pour permettre la diffusion du spectacle
- Ressources financières mobilisées pour cette action
BP 2017 : 51 000 € de charges (pour 15 acteurs au plateau, 2 techniciens, 1 directeur artistique et 1 metteurs en scène) :
Pour 5 jours (2 jours de montage/filage + 3 jours de représentation soit 6 représentations.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Equipe artistique : 15 acteurs au plateau, 2 techniciens, 1 directeur artistique et 1 metteurs en scène :
Equipe technique : 1 régisseur général + 1 régisseur son/vidéo
Equipe de Production : co-production CSC JP Coste et Cie mémoires Vives
- Résultat sur le territoire
Environ 750 personnes ont vu cette pièce en 2016 et sont venus au camp des Milles.
10 Centre sociaux (87 jeunes et 20 animateurs) ; 5 Addap ( 35 jeunes et 10 animateurs) ; 2 MECS (24 jeunes et 4 animateurs) ; 2 Lycées (33 jeunes et 4 accompagnateurs) ; 1 Epide (36 jeunes et 6 animateurs) ; Autres publics (491 personnes).
- Résultat pour le centre social
Suite à ce spectacle des structures ont sollicité des médiations culturelles sur la thématique "lutter contre les discriminations" (ADAPP et Lycée).
D'autres nous ont contacté car souhaitent venir voir le spectacle et visiter le camp des Milles (nous avons fait seulement 3 représentations à guichets fermés en 2016 ; certains n'ont donc pas pu venir en 2016).
- Résultat pour les habitants
Les artistes créateurs (acteurs) sont au nombre de 15.
- Ils sont également bénéficiaires car à travers le processus de création il y a pour eux aussi de la transformation et production de connaissances.
Les publics bénéficiaires (spectateurs) ont été 750 en 2016
- à partir de 12 ans / élèves de classe de 3ème (Collège) et Lycéens.
- et le tout public (adultes).
- Suite de l'action : Limites
Limite du modèle économique. Ce spectacle est produit exclusivement grâce aux subventions. Ces dernières sont à la baisse ou carrément non reconduites de 2016 à 2017.
Si des programmateurs ne nous achètent pas le spectacle (par contrat de cession par exemple) ce projet ne pourra plus être diffusé.
De plus, sans calendrier prévisionnel du planning à venir il y a un risque fort de perdre les artistes qui s'engageront sur d'autres projets et il nous faudra repasser par un temps de reprise avec de nouveau acteurs...
- Suite de l'action : Perspectives
Tout dépend de l'engagement et du soutien du camp des Milles à qui nous avons demandé officiellement de prévoir d'acheter le spectacle en 2017 (pour 6 représentations). Depuis 2014 nous jouons grâce aux subventions... Il est temps de concrétiser un vrai partenariat économique avec le Camp des Milles pour pérenniser ce projet culturel et citoyen et de ne plus dépendre des subventions.
Actions
Droit au repit, droit aux vacances pour tous
- Structure organisatrice
- ASSOCIATION QUARTIER CENTRE VILLE - Savoie
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Précarité
- vacances / loisirs
- Résumé
Le projet est de proposer à des familles en difficulté une première approche des vacances en famille, à
faible coût, à proximité de Chambéry ou non, avec un accompagnement social individualisé avant, pendant et
après le séjour.Deux axes d'intervention sont proposés, en fonction de la situation des personnes et familles : séjour en autonomie et séjour accompagné par le centre social.
Ce dernier concerne des familles "solo" bénéficiaires du RSA ou de faibles ressources, qui ne sont jamais parties en vacances et pour lesquelles le parcours d'insertion sociale reste difficile.Le séjour est accompagné par deux salariées de l'AQCV pour favoriser des temps de prise en charge
spécifiques pour les mamans et les enfants : des temps éducatifs, pédagogiques, d'animation et de loisirs.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Autre
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les objectifs sont de :
- Accéder à des vacances peu onéreuses
- Lutter contre l'isolement et favoriser le lien social
- S'extraire des problèmes du quotidien en partageant des moments de plaisir en famille (parents/enfants)
- Oser se lancer dans un projet
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le budget est de 28000 euros
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 salariés, 5 bénévoles
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
La violence non merci !
- Structure organisatrice
- Centre Marcelle Menet - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Cette action était prévue pour durée un mois. Toutefois aujourd'hui nous continuons à travailler sur les questions de violence avec les jeunes du quartier
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Démocratie & citoyenneté
- discriminations
- Résumé
Tout au long du mois d'octobre, l'ensemble des partenaires associatifs et institutionnels du territoire se sont mobilisés pour proposer des temps d'ateliers, des rencontres, des visites ou des évènements amenant à réfléchir aux causes et aux conséquences de la violence : Des ateliers slam et poésie / des lectures à haute voix du roman de Rachel Corenblit, 146 298 / une appoche artistique de l'exode au collège / des ateliers "lache la violence" avec les enfants de l'école du secteur / des collectes de paroles paret avec les jeunes du quartier "faut-il être un guerrier pour vivre dans un quartier?" / la réalisation par les jeunes d'un court métrage "violence(s)" / une formation à la médiation par la pairs / Des conférences :" l'éducation dans les cultures d'afrique" , "la place de la violence à l'adolescence", "accompagner le parentalité dans un contexte interculturel" / des témoignages : "les camps de la seconde guerre mondiale", le "harcelement scolaire", des débats blabla pizza "la violence si on en parlait" / des visites : le site de la "mémoire" à Oradour-sur-glane / des projections suivis de débats "l'Odyssée de l'Empathie", l'éducation dans le cultures d'Afrqiue" "Kirikou et la sorcière pour les plus petits / des spectacles "ma vie en jeu" / des ateliers et lecture de conte / des soirées jeux / un flash mob.
Nous avons comptabilisé plus de 2 000 participations à ces évènements.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Nous constatons fréquemment les difficultés que rencontrent certains enfants et/ou jeunes du territoire à accepter les codes qui font références dans notre organisation sociétale. Le manque de respect envers l’adulte, la violence verbale, l’incapacité à accepter la frustration, le refus de la règle, sont autant de symptômes de ce que nous considérons comme une socialisation inachevée pour certains des enfants et/ou jeunes que nous rencontrons sur le quartier.
Lorsque nous rencontrons les familles, certaines expliquent se sentir en difficulté. Progressivement, quelques enfants prennent le dessus sur l’autorité des parents. N’acceptant plus la frustration, ils contrôlent de moins en moins leurs émotions et se placent régulièrement dans des situations difficiles. Un rappel à la loi est malheureusement souvent nécessaire pour aider ces jeunes à se replacer dans des comportements socialement acceptables.
Progressivement, les phénomènes de violence entre jeunes ou à l’encontre d’adultes se renforcent de manière préoccupante sur le territoire. Les jeunes y fonctionnent en groupe. Ils communiquent entre eux par sms et donnent rendez-vous aux jeunes des autres quartiers sur les réseaux sociaux. Nous constatons que les bagarres organisées avec les jeunes des autres quartiers de la ville sont de plus en plus fréquentes. Nous assistons régulièrement à des regroupements d’une cinquantaine de jeunes qui souhaitent en découdre avec d’autres groupes. Bien qu’ils se mettent en danger, ils semblent s’en amuser et abordent les combats à "la manière de sportifs".
A la violence physique s’ajoute la violence morale. Les agressions verbales sont fréquentes. Dans cette étrange atmosphère, faire sa place parmi les jeunes du quartier oblige malheureusement à se protéger derrière des comportements violents. Ainsi, acteurs, témoins ou cibles de la violence, les jeunes du quartier en sont généralement les premières victimes.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Cette action a été pensé au sein le la commission continuité éducative animée par le centre social. Dans un premier temps un comité de pilotage constitué du centre social, du Collège Montaigne, de l'Ecole Fratellini, des éducateurs de prévention spécialisée et et des médiateurs sportifs a commencé définir les objectifs et les contours de ce projet.Tres vite l'ensemble des partenaires associatifs et institutionnels du territoire se sont joints au porjet. Il s'agit par exemple de la Régie de quartier, la bibliothèque, la ludothèque, l'Association Trait d'Union, l'Association AIFA, le REDA, la MDS, le Pôle territorial, le service éducation enfance, les écoles Isoret et Larevallière etc.
De nombreux temps de travail et de coordination ont été nécessaire pour mener à bien cette action. Le centre social en a assuré l'animation.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
15 000 euros ont été nécessaire pour financer le coût des intervenants, spectacles, des expositions, des projections des voyages et des visites.
5 700 euros ont été pris en charge dans le cadre du Contrat de Ville Unique.
4 000 euros dans le cadre d'une aide parlementaire
3 000 dans au titre des animations de proximité du centre social
1 300 par les collèges de secteur pour leur participation au spectacle "Ma vie en jeu"
1 000 euros sur les fonds propres du centre social
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Nous avons comptabilisé plus de 2 137 participations aux différents temps pour environ 1 000 habitants concernés
- Résultat sur le territoire
Cette mobilisation massive des acteurs socio-éducatifs du territoire contre la violence a permis l'affirmation d'un message "anti-violence"; il semble que ce message ait été écouté,entendu et réfléchit par de nombreux jeunes. Pour autant nous assistons toujours à des phénomènes de violence entre jeunes des quartiers.
- Résultat pour le centre social
Ce travail partenarial a relancé la dynamique de coopération autour du centre social. aujourd'hui l'ensemble des acteurs se remobilise pour travailler à la mise en place d'une année de l'interculturalité "tous différents".
- Résultat pour les habitants
Comme pour les jeunes, il semble que le message ait été entendu et réfléchit par les adultes du quartier. Il semble aussi qu'un travail d'affirmation de la non violence redonne de la légitimité aux adultes pour se positionner lors des phénomènes de violence des jeunes.
- Suite de l'action : Limites
Malheuresement nous constatons toujours des phénomènes de violence sur le territoire. L'action a été un lancement d'un travail de fond qu'il appartient aux acteurs de conduire au quotidien
- Suite de l'action : Perspectives
Le travail de réalisation d'un court métrage a fortement mobilisé une vingtaine de jeunes; Ils souhaitent continuer ce travail et organiser des actions de sensibilisation dans d'autres quartiers de la Ville. Un atelier vient d'être créé au centre social pour accompagner cette démarche.
Actions
Local jeunes 16/25 ans : un lieu de sociabilité pour tous les jeunes adultes
- Structure organisatrice
- MAISON POUR TOUS MONPLAISIR - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Démocratie & citoyenneté
- Intégration
- Résumé
Le local jeunes est un espace implanté en dehors de toute institution pour accueillir les jeunes adultes de 16 à 25 ans dans un quartier populaire où un tiers de la population vit sous le seuil de pauvreté. Il est ouvert du mardi au samedi en périodes scolaires et du lundi au vendredi en périodes de vacances scolaires de 17h00 à 22h00. Le local jeunes est un espace aménagé pour bien accueillir les jeunes (bar, canapé, baby-foot, jeux de société) qui s'adapte au temps des jeunes (ouverture encore plus tardive en fonction des demandes).
L'équipe d'animation composée de trois professionnels met en place un service d’aide : documentation, mise en relation avec des institutions et des partenaires, aide à la recherche d’emploi, de stage, de formation, ou d’orientation.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Autre
- Précision ( si autre )
Suite à des demandes récurrentes de jeunes qui lui étaient formulées en vue de bénéficier d’un lieu dédié dans le quartier de Monplaisir, la Ville d’Angers s’est engagée à créer un espace pour les 16/25 ans dans ce quartier en 2008.
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le projet du Local jeunes s'inscrit dans un projet de développement local, complémentaire et cohérent avec l’offre existante :
- Favoriser la mixité entre jeunes (sociale et de genre)
- Promouvoir la participation des jeunes
- Capter des publics « NEET »/«hors-circuit » dans le but de les inscrire dans des parcours d’insertion sociale et professionnelle en lien avec les différents acteurs jeunesse
La commande de la Ville exprime, dans le cahier des charges, cet objectif d’accueil en lui attribuant trois modalités opérationnelles :
- « Être ouvert aux différentes jeunesses du quartier.
- Leur permettre de se rencontrer de façon informelle.
- Être adapté aux temps des jeunes. L’accueil doit être souple, sans inscription obligatoire, il doit être organisé en fonction des besoins et réalités locales. »
A ces trois modalités de mise en œuvre du local jeunes, s’ajoute la recherche de visibilité dans la mesure où il s’agit aussi de remettre les jeunes au cœur du quartier. Le Local jeunes a ainsi été implanté le long d'une artère de communication importante. Le lieu a vocation à accueillir tous les jeunes du quartier, sans exception, dans une optique d’« espace de sociabilité ».
- Public
- Jeunes adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Suite à des demandes récurrentes de jeunes qui lui étaient formulées en vue de bénéficier d’un lieu dédié dans le quartier de Monplaisir, la Ville d’Angers s’est engagée à créer un espace pour les 16/25 ans dans ce quartier en 2008.
A l’été 2009, un appel à projet dans le cadre d’un marché public à procédure adapté (MAPA) a été lancé par la Municipalité en vue d’en confier la gestion et l’animation à un opérateur. La Maison pour tous de Monplaisir (MPTM) a répondu à l'appel à projet et s’est vue confier la gestion et l’animation de ce nouveau lieu.
Le local jeunes a officiellement ouvert ses portes en novembre 2010 pour une expérimentation d’un an. Il a ensuite été reconduit dans sa phase expérimentale. En 2016, à la fin de la phase expérimentale, la gestion du local jeunes a été intégré à la Covention Pluriannuelle d'Objectifs de la Maison pour tous.
Le local jeunes est doté de deux instances de gouvernance : l’une chargé du pilotage du projet et l’autre du suivi de sa mise en œuvre. Le comité de pilotage réunit les élus de la Ville et de la Maison pour tous. Il a pour a pour objectif de faire le bilan de l’activité du local, prendre des décisions quant à ses orientations et son financement et opérer, le cas échéant, des arbitrages. Le comité technique représente l’instance opérationnelle de la mise en œuvre du projet du local jeunes. Il a pour objectif le suivi et la régulation des activités qui y sont menées. Le comité technique réunit les acteurs suivants : Maison pour tous, Direction jeunesse de la Ville, Association pour la Sauvegarde de l’enfance et l’Adolescence (ASEA), le chef de projet du pôle de territoire de la Ville, la Mission Locale Angevine (MLA). Dans cette instance, les animateurs proposent un retour de leur activité et de leur expérience, présentent ce qui pose question ou problème et le mettent en débat.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
100.200 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 professionnels (Conseiller ESF, Moniteur-éducateur, animateur socio-culturel)
- Résultat sur le territoire
Les 180 jeunes qui fréquentent le local durant l'année sont majoritairement des garçons âgés de 16 à 22 ans. Près d'un tiers de ces jeunes sont des jeunes "hors-circuit". Les filles sont très marginales. Nombreux sont les témoignages recueillies au niveau de l’évaluation pour faire part de la baisse des tensions dans les espaces publics, aujourd’hui plus apaisé grâce au local jeunes.
- Résultat pour le centre social
Le local jeunes a permi à la Maison pour tous d'élargir son offre et de retisser du lien avec un public de jeunes adultes. Elle peut désormais intégrer des jeunes adultes aux activités intergénérationnelles qu'elle mène sur le territoire.
- Résultat pour les habitants
Les jeunes qui le fréquentent l’apprécient avant tout en tant que lieu de sociabilité avec différents « services » : café, baby foot, télé, presse. La présence des animateurs leur offre un repère et donne parfois du sens à leur présence :
« C’est comme un petit café où on est posé. On peut discuter, s’amuser, c’est une zone de rencontre. Ici, ce qu’il y a de plus, c’est le dialogue avec les animateurs, on peut même échanger entre nous, on fait des débats. Ici, on a l’esprit ouvert : on discute, on échange des idées. » (Jeune de 22 ans).
Les jeunes utilisent également l'appui des animateurs pour un soutien dans leurs parcours scolaires ou professionnels.
- Suite de l'action : Limites
Depuis plusieurs années, aux côtés des formes traditionnelles d’accueil (dans le cadre d’actions programmées), on constate une montée en charge progressive de nouveaux modes d’accueil : non formels, informels. Aujourd'hui, le non formel est quasi intégré comme un mode d'intervention au cœur des pratiques du Local jeunes mais le projet éducatif dans lequel il s'inscrit est encore à faire évoluer.
- Suite de l'action : Perspectives
La configuration des locaux pose quelques problèmes et ne facilite pas toujours la tâche des animateurs au quotidien. Dans cette perspective, et en s'appuyant sur l'expertise d'usage de la Maison pour tous, un nouveau lieu d'accueil est envisagé dans le cadre de la rénovation urbaine du quartier.
Actions
Actions emploi et insertion
- Structure organisatrice
- Maison de quartier ESPERANTO, centre social et culturel - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Emploi, économie
- Intégration
- Résumé
Suite au renouvellement du projet social 2014 2017, la thématique de l'insertion et de l'emploi ressort comme un besoin fondamental sur le territoire d'intervention du centre social. La première année 2014 2015 donne lieu à un diagnostic centré sur les jeunes. Depuis la rentrée de septembre 2015, le centre social lance de nouveaux ateliers relatifs à l'emploi.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les dispositifs d'insertion sont très nombreux sur le territoire communal. Cependant, certains habitants en sont encore éloignés. Le centre social joue le rôle de relais avec des premières actions dans le centre social. Cela a permis à 30%, une reprise d'activité salariée. Une partie des habitants est en formation. Pour d'autres, l'accompagnement a permis d'identifier des freins qu'il faut d'abord lever avant d'envisager une reprise d'activités.
Cette action s'inscrit d'abord dans l'axe jeunesse du centre social mais les actions ont très rapidement touché un public plus large.
Nous inscrivons également dans cette orientation les activités de découverte des métiers pour collégiens que nous menons dans le cadre d'un CLAS Collège.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Les activités ont démarré à la rentrée 2015 (permanences individuelles, ateliers collectifs). Elles sont ensuite enrichies à la rentrée 2016 (atelier informatique emploi, mise en place d'un réseau d'acteurs locaux, organisation d'un forum local, mise en place d'une communication affichage, plaquette).
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le budget du centre social n'a pas été impacté par les actions. C'est une réorientation des ressources humaines.
Une association partenaire a déposé un Contrat de ville pour pouvoir mener des ateliers collectifs dans les maisons de quartier de Montreuil. La ville de Montreuil cofinance cette action.
La mise en synergie des acteurs locaux ne nécessite pas non plus de budget de fonctionnement supplémentaire.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
CS : 1 apprenti + 1 coordinatrice Enfance jeunesse insertion + 1 directeur
Association Aurore : 1 conseillère
- Résultat sur le territoire
Synergie d'acteurs autour de l'insertion. De nouveaux acteurs se mobilisent autour de l'insertion. Il y avait donc une mise en réseau à opérer.
Nouveaux Acteurs :
- bibliothèque avec constitution d'un fond documentaire
- antenne jeunesse avec accueil d'un Point Information Jeunesse
- Résultat pour le centre social
Le bouche à oreille commence à identifier le centre social comme acteur de l'emploi et l'insertion. Cependant, cette image reste à développer.
- Résultat pour les habitants
Les parcours individuels et les données plus collectives chiffrées rendent compte d'un impact positif pour les habitants.
- Suite de l'action : Limites
Réticences des acteurs publics de l'emploi à décentraliser leurs actions dans les quartiers.
Légitimité du centre social à intervenir dans ce champs face à la multitude d'acteurs.
- Suite de l'action : Perspectives
Améliorer l'articultation entre le CS et les partenaires emploi locaux et extérieurs au quartier.
Actions
séjours de vacances en familles
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ET CULTUREL D'ETOU VIE - Somme
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- vacances / loisirs
- Résumé
Grâce à un accompagnement dégressif sur 3 ans, les familles gagnent en autonomie pour partir de façon complètement autonome et autofinanc" la 4ème année.
Une dmarche d'implication et d'engagement tout au long du projet
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
cette action a été mise en place pour répondre à la demande des habitants qui pensaient que l'accès aux vacances n'atait pas pour eux...
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
grâce à des temps de formation et aux cofinancements obtenus.
Ce projet suppose aussi et avant tout un engagement effective et une démarche de participation active des familles
- Ressources financières mobilisées pour cette action
environ 20 000 €, toute charges comprises ( dont salaires) pour environ 60 personnes par an
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
60 personnes sur deux destinations
- Résultat sur le territoire
intégration sociale
envie de repartir et de trouver des leviers ( retour à l'emploi)
amélioration des relations intra familiales
- Résultat pour le centre social
arrivée de nouveaux publics par ce projet
effet levier sur le retour à l'emploi
une mesure des ateliers sociaux durant le temps de vacances
- Résultat pour les habitants
Intégration sociale
bien être
rendre accessible ce qui ne leur semblait pas possible
- Suite de l'action : Limites
obligation de mettre en place une démarche d'épargne.
Au delà du 4ème départ, des freins à la mobilité empèchent le départ pour les familles nombreuses
- Suite de l'action : Perspectives
poursuite
Actions
Accompagnement à la scolarité
- Structure organisatrice
- CSC Rébérioux - Val-de-Marne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Deux modules d’Accompagnement à la Scolarité :
CLAS groupe 1 : 6ème-5ème.
Les mardis et jeudis de 17h30 à 19h30 au CSC Rebérioux.
CLAS groupe 2 : CM1-CM2.
Les lundis et les vendredis de 16h à 18h, au local de la Habette
L’action se déroule pour tous les groupes deux fois par semaines sur des séances de 2h00.
Les enfants sont accueillis par une collation offerte par la structure. Sur ce temps nous souhaitons les sensibiliser à de bonnes pratiques alimentaires (pain frais, jus de fruits, carré de chocolat).
Nous éditons à chaque séance une liste de présence nous permettant de nous assurer de l’assiduité et de la régularité des enfants.
Quel a été le nombre approximatif de personnes bénéficiaires (par type de publics) ?
15 collégiens sur le groupe 1
14 élèves d’élémentaire sur le groupe 2
Quels ont été les date(s) et lieu(x) de réalisation de votre action ?
Les séances d’Accompagnement à la Scolarité se déroulent régulièrement tout le long de l’année scolaire.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- aide méthodologique : faire acquérir aux enfants des réflexes méthodologiques face à l'organisation de leur travail.
- aide aux devoirs : accompagnement des enfants dans l'organisation et la réalisation de leurs devoirs par l'équipe bénévole, elle-même encadrée par une permanente et accompagnée d’une adulte-relai.
- ouverture culturelle : initiation et sensibilisation à des pratiques culturelles et artistiques / implication sur les projets de l’association en proposant des temps de valorisation et restitution des temps forts. Le groupe est suivi par une permanente référente et une animatrice.
- Public
- Enfance
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
CLAS groupe 1 :
L'action aura lieu deux fois par semaine, les mardis et jeudis de 17h30 à 19h30. Les enfants arriveront vers 17h15 dans l'équipement, pour y être accueillis et prendre leur goûter. L'association proposera une collation légère (jus, lait, pain). Nous éditerons à chaque séance une liste des présences et nous nous assurerons de l'assiduité et de la régularité des enfants. Une permanente professionnelle de l'association aura en charge de suivre les bénévoles, les relations avec les parents et les relations avec les établissements scolaires. Elle suivra avec la directrice adjointe la cohérence et l'orchestration des animations et les liens avec les autres projets de l'association.
CLAS groupe 2 :
L'action aura lieu deux fois par semaine, les lundis et vendredis de 16h à 18h. Les enfants seront accompagnés de l'école de la Habette à l'ancienne bibliothèque de la Habette, dont une partie des locaux est aujourd'hui mise à disposition de notre association quelques heures par semaine. Nous éditerons à chaque séance une liste des présences et nous nous assurerons de l'assiduité et de la régularité des enfants. Une permanente professionnelle de l'association aura en charge de suivre les bénévoles, les relations avec les parents et les relations avec les établissements scolaires. Elle aura le soutien de l’adulte-relais et suivra avec la directrice adjointe la cohérence et l'orchestration des animations et les liens avec les autres projets de l'association. Nous prévoyons également un suivi avec quelques rendez-vous réguliers avec un psychologue pour accompagner l’équipe permanente, les bénévoles et les familles. Cette démarche fait l’objet d’une demande de subvention spécifique auprès du REAPP.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
22000 euros
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Il y aura 5 personnes affectées en permanence à ce projet :
- 1 permanente coordinatrice du projet
- 1 permanente présente sur le site et sur un poste d'adulte relais
- 2 bénévoles cristoliennes, adhérentes de l'association et inscrite en atelier à la MJC
- 1 directrice adjointe sur le centre socioculturel Madeleine Rebérioux
- 1 animateur du service de la Jeunesse
des animateurs permanents ou des intervenants spécialisés sont par ailleurs sollicités en fonction des projets comme sur le cinéma, le multimédia, le théâtre ou encore le jardin en interne, le SLAM, la photo ou encore la couture, en externe.
- Résultat sur le territoire
Le premier objectif est l'épanouissement de l'enfant, en relation avec ses parents. Nous nous appuierons entre autres, afin d'entamer une démarche vers l'enfant, sur les critères suivants : difficultés d'apprentissage, difficultés de comportements, difficultés liées à l'environnement familial, socioculturel.
- Résultat pour le centre social
Cette action implantée dans le quartier de la Habette, a permis de faire connaitre notre association à des familles qui ne connaissaient pas notre centre social et plus généralement notre association.
- Résultat pour les habitants
Animation d'un espace référence pour les familles; un espace de convivialité (organisation de moments festifs) et de soutien, notamment dans la parentalité (présence régulière d'un adulte relai).
- Suite de l'action : Limites
Amplitude horaire des l'ouverture du lieu à étendre. Engagement bénévole qui pose parfois des difficultés.
- Suite de l'action : Perspectives
Edition d'un guide du quartier en juin 2017.
Actions
L'accès au numérique partout et pour tous
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL GRAND VAUX - Essonne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- Résumé
OBJECTIFS
- Réduire les inégalités numériques entre les citoyens et soutenir l’usage de l’informatique au sein de la ville.
- Lutter contre l’isolement des habitants
- S’initier, se former et se perfectionner de façon ludique.
- Proposer des plages horaires d’ouverture pour le plus grand nombre.
- Proposer des ateliers spécifiques tels que ceux liés à l’emploi (rédaction de CV, lettre de motivation, recherche d’emploi
svia internet…) ou à la vie quotidienne (création d’une boite email, envoyer un courriel…) ou encore faire une recherche documentaire en ligne. - Proposer des formations autour de la petite maintenance du matériel informatique.
PUBLIC CIBLÉ
Enfants, jeunes, adultes et séniors.
MISE EN OEUVRE
Ces lieux d'accès libre seront pourvus de matériel informatique. On pourra les utiliser en libre-service ou en session de formation. Une mise à disposition des outils informatique sera étudiée avec les associations proposant des activités liées à l’informatique.
On axera notre réflexion sur : Libre-service / Formations spécifiques / Maintenance du matériel.
D’autre part, des annonces emploi récupérées via notre réseau local (pôle emploi, Mission Locale) seront affichés régulièrement au sein des salles informatiques.
Un cours de deux heures hebdomadaires sera proposé sur les maisons de quartier Grand Vaux et Prés Saint Martin et animés par les salariés du centre social. Sur la maison de quartier Eole, des cours seront proposés en partenariat avec notre réseau de bénévoles.
Des créneaux accès libres seront formalisés sur les maisons de quartier Grand Vaux et Prés saint Martin, toutefois, l’accueil libre sera élargi fonction des disponibilités des animateurs jeunesse en semaine.
Actions spécifiques avec les structures partenaires.
Des animations type soirée Applis, Internet sans craintes… seront proposés sur chacune des maisons de quartier Grand Vaux et Prés Saint Martin avec notre réseau de partenaire. Ces ateliers consisteront notamment à aborder l’utilisation et les dangers des réseaux sociaux et de l’addiction multimédia notamment téléphonique. Les habitants pourront grâce à ces ateliers apprendre à utiliser ces outils en ayant connaissance des risques (dépendance, information des sites…). Plusieurs fois dans l’année, nous mettront en place des moments d’échanges, des petits événements, des festivités autour des questions numériques
PARTENARIAT
Le tissu associatif (ressources, Espace Multimédia Athégiens), la Mission locale, Pole emploi.
CRITÈRE D’ÉVALUATION
- Taux de fréquentation régulier et ponctuel,
- Nombre de formations mises en place
- Nombre d’actions mises en place
- Nombre de participants par événement,
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Dans le cadre de la lutte contre la fracture numérique, les ateliers informatiques permettent aux habitants d’avoir accès et de se familiariser avec l’outil informatique pour les actes courants de la vie de tous les jours. D'autre part, des accès libres sont proposés pour les jeunes demandeurs d'emploi.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
L'action est proposée depuis la reprise en gestion des maisons de quartier par l'ifac : 2009.
Des cours de deux heures sont proposés de manière hebdomadaire a direction des adultes et des seniors. D'autre part des créneaux accès libre sont proposés au jeunes majeurs du quartier deux fois par semaine afin de les accompagner à la rédaction de CV, lettre de motivation, recherche d'emploi et de formations.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
CHARGES Montants ¹ PRODUITS Montants CHARGES DIRECTES RESSOURCES DIRECTES 60 - Achats 3 300 € 70 - Ventes de produits finis, prestations de services 300 € Prestations de services 300 € 74 - Subventions d'exploitation 6 648 € Achats matières et fournitures 3 000 € Etat : préciser le(s) ministère(s) sollicité(s) Autres fournitures P147 (CGET) Politique de la ville 2 000 € 61 - Services extérieurs 150 € BOP 104 Locations Entretien et réparation Assurances 150 € Documentation Région(s) : 62-Autres services extérieurs 0 € Département(s) : Rémunérations d'intermédiaires, honoraires Essonne 2 000 € Publicité, publications Intercommunalité(s) : EPCI² Déplacements, missions et réceptions Services bancaires, autres Commune(s) : Savigny sur Orge 2 648 € 63 - Impôts et taxes 0 € Organismes sociaux (détailler) : Impôts et taxes sur Rémunérations Autres impôts et taxes Fonds européens 64 - Charges de personnel 3 498 € Rémunérations du personnel 2 186 € L’Agence de services et de paiement (ex-CNASEA-Emplois aidés) Charges sociales 1 312 € Autres établissements publics Autres charges de personnel Aides privées 65 - Autres charges de gestion courante 0 € 75 - Autres produits de gestion courante Dont cotisations, dons manuels ou legs 66 CHARGES FINANCIERES 0 € 76 - Produits financiers 0 € 67 - Charges exceptionnelles 0 € 77 - Produits exceptionnels 0 € 68 - Dotations aux amortissements et provisions 78 - Reprises sur amortissements et provisions 0 € CHARGES INDIRECTES REPARTIES AFFECTEES A L’ACTION RESSOURCES PROPRES AFFECTEES A L’ACTION Charges fixes de fonctionnement Frais financiers Autres TOTAL DES CHARGES 6 948 € TOTAL DES PRODUITS 6 948 € CONTRIBUTIONS VOLONTAIRES³ 86 - Emploi des contributions volontaires en nature 0 € 87 - Contributions volontaires en nature 0 € 860-Secours en nature 870-Bénévolat 861-Mise à disposition gratuite de biens et services 871-Prestations en nature 862-Prestations 864-Personnel bénévole 875-Dons en nature TOTAL 6 948 € TOTAL 6 948 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 animateurs et trois bénévoles.
- Résultat sur le territoire
La commune ne connait pas de lieux permettant l'accès à l'outil informatique pour tous. Le centre social est donc le seul lieu ressource pour les habitants nécessitant d'être accompagnés dans leurs démarches en ligne.
- Résultat pour le centre social
Les jeunes ne fréquentant pas les institutions qui leurs sont dédiés (mission locale), trouvent réponse à leurs demande sur le centre social. Cela nous permet de garder du lien avec ce public et ainsi de mieux gérer les éventuels conflits entre jeunes et équipes.
- Résultat pour les habitants
Les ateliers informatiques permettent aux usagers les plus eloignés des nouvelles technologies de se perfectionner et de gagner en autonomie dans l'utilisation de leur matériel informatique.
Les accès libres sont essentiellement utilisés par les jeunes majeurs dans le cadre de leur recherche d'emploi
- Suite de l'action : Limites
Nous constatons que les personnes les plus âgées nécessitent de revenir sur des notions déjà abordées très régulièrement. L'utilisation de l'informatique reste difficile car ils manquent généralement de pratique pour réinvestir de manière pérenne les contenus abordés.
- Suite de l'action : Perspectives
L'action est pérénisée, nous réflechissons a pouvoir accompagner les familles pour les inscriptions sur le portail famille ville (reservation des centres de loisirs, cantines...)
Actions
"Le Trois-Mâts accoste"
- Structure organisatrice
- MAISON DE QUARTIER LE TROIS MATS - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Démocratie & citoyenneté
- vacances / loisirs
- Résumé
Animations de proximité en pied de batiment, sur des ilôts d'habitat social.
installation d'un espace de vie
Pour les autres périodes, l’utilisation des espaces sportifs identifiés sur le quartier comme ceux de la Baraterie et Villoutreys permettra à l’équipe de mettre en place des
animations sportives avec le soutien des associations telles que le Sporting Club angevin et autres associations sportives ainsi que le Service des Sports de la Ville
d’Angers. Ces actions permettront d’entrer en relation avec les jeunes éloignés de nos propositions, considérant que les pratiques sportives sont des supports adaptés pour
une grande majorité des jeunes. Elles seront néanmoins compléter par des temps de proximité plus déambulatoire pour capter les jeunes là où ils se trouvent.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La constructiuon sociologique fait souvent référence à une "mixité" de l'hébiatnt et la population. Des îlots font apparaitre des signes d'appauvrissement e tde précarisation, nécessitant une attention toute particulière, notamment en période estivale. Le départ en vacances n'est pas une évidence pour tout le monde.
L'enjeu de cette démarche de proximité est de s'adresser vers des ilôts ou secteurs encore éloignés de nos propositions plus traditionnelles. Faire du hors les murs s'inscrit dans l'idée d'aller vers, de s'immiscer dans des espaces informels de lieux de vie public, en période estivale pour capter l'attention, la prole et l'engagement des jeunes et de tous les publics plus largement...
« Aller vers » les habitants implique la mise en oeuvre des moyens nécessaires facilitant :
- ... l’interconnaissance et la convivialité.
- ... l’accès des habitants aux outils de droit commun.
- ... leur implication dans la vie de leur quartier.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Mobilité et identification de l’équipe :
- .... Choix d’un espace sur chaque quartier repérable et adapté.
- .... Véhicule permettant l’installation d’un espace convivial et attrayant.
® ......Supports d’animation et d’information favorisant la rencontre et le lien avec les
habitants :
- .... Prise en compte de leur parole par le biais des supports audiovisuels : micro trottoirs, photo, vidéo, radio.
- .... Animation ludique : jeux de plein air / jeux de plateau.
- .... Temps d’information spécifiques dédiés à des thématiques liées à la recherche d’emploi, la santé, les vacances, l’éducation et la scolarité avec la
présence 1 fois par mois du coordinateur parentalité de la maison de quartier.
- .... Temps festifs sur les grandes vacances favorisant l’implication des habitants en soirée.- utilisation des espaces sportifs identifiés sur le quartier et déambulation pour capter les jeunes là où ils se trouvent
un outil de terrain pertinent et facile d'accès et d'appropriation :INSIDE OUT, projet photographique participatif : ou comment valoriser la diversité de portraits qui compose notre quartier
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Appui sur les ressources spécifiques des animateurs de la maiso nde quartier + temps de coordination
charges de fonctionnement hors salaires : 3200 € (fournitures, impression photos, locations jeux et strcutures, droit de films projection et location écran)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
120 portraits d'habitants + équipe d'une 30e de colleurs d'affiche + 12 photographes
Présents sur les temps d'animations : 180 enfants, 90 ados, 105 adultes
5 animateurs professionnels en continu
- Résultat sur le territoire
Valorisation du quartier à l'échelle de la ville et bien plus par un projet photographique de renommée international (Inside Out, proté parl'artiste JR)
Mise en scène et valorisation de portraits d'habitants tout âge, hors cadre associatif, institutionnel,...
- Résultat pour le centre social
Mise en réseau d'habitants sur un engagement à plus long terme au dynamisme du projet social. formulation de problématique sur lesquelles travailler toute l'année par la suite...
- Résultat pour les habitants
Alternative appréciée et attendue au départ en vacances, en complément des sorties mer à la journée en famille et offre de séjours enfance/ jeunesse
Réappropriation de l'espace public différent du quotidien. comment revisiter des lieux vers plus de convivialité, de lien social?
- Suite de l'action : Limites
Manque de partenaires près à s'investir sur des actions de proximité sur un quartier non prioritaire. difficulté à déployer des moyens humains et financiers supplémentaires
Manque d'implication des habitants dans la constructiuon de ces temps d'animation
- Suite de l'action : Perspectives
Dès le printemps, organisation d'animation "fete de quartier " en appui sur des habitants relais pour mobilisation de voisins, collectifs,... pour ajuster les propositions et s'appuyer sur des initiatives
organisation d'un vote des habitants sur le choix du ciné de plein air dans chaque ilôt
Coorganisation du dispositif avec les acteurs de l'aide à domicile pour mieux identifier les personnes isolées, en perte de mobilité...
Actions
Plaquette du centre Social La Maison du Port
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL MAISON DU PORT - Seine-Maritime
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Résumé
Notre plaquette nous permet d'informer nos adhérents sur l'ensemble des actions proposées sur l'année.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Nous n'avions pas de support visuel attractif , l'ecriture du nouveau projet social 2017/2020 nous a permis de travailler sur ce sujet.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Ce travail a été réalisé avec l'ensemble des agents du Centre Social et avec la participation d'une stagiaire CAFERIUS
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
L'ensemble de l'équipe pour la conception : 5 agents et pour la réalisation 1 personne .
- Résultat sur le territoire
Les adhérents et personnes extérieurs au centre social nous ont fait des retour positif, trouvant ce visuel agréable. La diffusion de cet outils a permis à certains habitants de mieux comprendre nos actions.
- Résultat pour le centre social
Difficile d'évaluer la plaquette est à dispostion depuis septembre 2016.
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Nous devrons la mettre à jour tous les ans, verifier que le visuel est toujours adapté. La perspective est de créer une page Facebook , afin d'informar les adhérents et autres de nos événements ponctuels dans de meilleurs délais.
Actions
JAM SESSION
- Structure organisatrice
- CS ANTHOUARD PRE L'EVEQUE - Meuse
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
ORGANISATION D’UNE MANIFESTATION
A CARACTERE SPORTIF ET CULTUREL
Rappels concernant
- l’action :
Nous souhaitions concrétiser collectivement (animateurs, jeunes, familles) une journée sur le thème de la culture urbaine en organisant une « jam ’session » en 2 temps :
- une compétition de scoot’oot (Tournoi de trottinettes)
- mini-concert de « Lésia&peace », groupe de rap du quartier en formation
Le projet a comporté 2 étapes :
- les ateliers de préparation
- la manifestation
- la démarche
Des liens se sont créés entre les jeunes adolescents et préadolescents (groupe 1) qui fréquentent le skate-park qui jouxtent le centre social et le groupe d’adolescents (groupe 2) qui eux ont une appétence particulière pour la musique. Ces groupes fréquentent l’accueil de jeunes (ainsi que le CLAS) et ont émis une demande commune à l’équipe d’animation :
- Ecouter, comprendre et répondre à la demande des groupes
- Demande du groupe 1 :
Emile, Anthony, Paul-Henri, Tristan âgé de 11 ans à 12 ans : « nous voudrions organiser un « scoot’out » sur notre piste, faire venir du monde, nous mesurer et montrer ce que l’on sait faire »
Mathieu, Paul et Adrien âge de 18 ans à 20 ans ont souhaité ajouter une dimension moins axée sur la compétition afin de se retrouver et partager.
Hamlet, Thierno, Erdjan âgés de 15 ans à 16 ans sollicitent notre structure afin de réaliser l’enregistrement de leurs « sons » mais aussi pour leur permettre de faire de la scène. Ils souhaitent avant tout pouvoir exprimer leur quotidien, leurs aspirations pour leur vie future en France, leur pays d’adoption.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Assurer la convergence des aspirations des jeunes vers un projet commun, les accompagner dans leurs initiatives, avec des adultes volontaires, des animateurs pour assurer une concrétisation positive et partagée de l’action qui bénéficiera à tous les participants quel que soit leur degré d’implication.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Nous avons plus de 100 jeunes venus de différents endroits de la Meuse mais aussi de jeunes Nancéiens. 40 jeunes des dispositifs Cod ‘accueils et Activ’été sont venus en spectateurs assister à la journée. 30 personnes (soit 12 familles du quartier) se sont déplacées et ont pu profiter de la buvette et du stand de jeu gratuit pour petits.
Concernant notre objectif général :
La concrétisation a été positive et partagée, l’implication de tous a bénéficié à l’ensemble des participants. Les adolescents avec les adultes volontaires se sont vu accompagnés dans leurs initiatives et ont réalisé leurs aspirations. Une journée commune et un projet commun : des liens se sont créés.
La journée du 31 juillet 2015 de 13h00 à 18h00
Au programme (avec le soleil) :
- Animation musical, sportive ( bmx, trotinette, skate-board, gymnastique)
- Atelier et démo hip-hop pour tous
- Performance graff
- Buvette et jeu pour enfants
- Mini-concert de Lésia and Peace.
Près de 200 visiteurs au long de la journée.
Commentaires :
Mathieu, 19 ans: « J’aurai jamais cru qu’on arriverait à faire ça, c’est trop bien »
Adrien, 19 ans : « j’ai jamais vu ça, merci !! »
Eliane, adulte : « ils sont pas mal nos jeunes, en fait, je suis fière d’eux, même si des fois …. »
Une grande sortie de cohésion est prévue le mercredi 21 octobre à la journée, au programme sortie à Amneville : patinoire et Thermapolis.
Les projections :
Après un bilan général de l’action qui a lieu le 13 octobre 2015, l’ensemble du groupe a participé. Les éléments suivant ont été relevés :
- Bonne organisation même si certains points restent à revoir comme la définition des tâches
- Reconduction du projet en 2016
- S’équiper en matériel (tonnelles …)
- Animations extérieures : se renouveler
- Ressources financières mobilisées pour cette action
CHARGES PRODUITS Frais de carburant 211,35 CAF Objectifs 7500 Fournitures d'activités 366,14 Contrat de Ville 2500 Alimentation boisson 624,50 Agglomération Verdun 2500 Location matériel 116,81 Assurance 8,10 Participation usagers 156,50 Voyages et déplacements 120,20 Services extérieurs 5319,40 Frais de personnel 4290,00 Gestioncourante 1600,00 12656,5 Contributions nature 1300,00 Prestations en nature 1300,00 13956,50 13956,50
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
20 bénévoles et 10 jeunes
6 salariés
- Résultat sur le territoire
Evaluation de l’action
Impact : une demande a été faire aux services techniques de la mairie afin de rendre le lieu (skate-park) plus agréable. Les adolescents ont pu réhabiliter la structure en remettant en peinture les modules afin de rendre le lieu plus agréable pour tous. Le Travail a été commun avec les chantiers d’insertion (CCAS). Le projet a mobilisé au-delà des adultes du quartier.
C’est une véritable synergie qui s’est créée autour de ce site.
- Favoriser l’autonomie, la responsabilisation
Le groupe d’adolescents a été responsable de la partie technique de l’action et de la mobilisation des participants, outre la préparation des infrastructures (mise en peinture, nettoyage, sécurisation).
La technique de travail en sous-groupe a permis aux jeunes d’exprimer leur point de vue et de ne pas se sentir dépossédés de l’action par les adultes. Des temps d’échanges constructifs, des débats ont eu lieu. Des solutions ont été trouvées ensemble afin de répondre aux contraintes exprimées Les adolescents autonomes se sont sentis responsabilisés, écoutés et valorisés.
Impact : les adolescents souhaitent créer leur association, le travail sur les statuts est en cours.
La vente de jus de pomme pressé par leurs soins permettra de financer les coûts liés aux démarches (déclaration, timbre …).
- Contribuer à l’épanouissement des adolescents
Cette journée a été un élément déclencheur, les jeunes sollicitent d’autant plus la structure pour réitérer l’expérience. Un regain de motivation a été observé.
Les adolescents ont exprimé de la reconnaissance et nous ont fait part de leur plaisir, de leur bonheur ressenti lors de cette journée.
- Résultat pour le centre social
Impact : les partenaires comme l’association Meusienne de prévention ou la mission locale souhaitent mettre en place des permanences au sein de notre structure pour aller au contact de ses jeunes qui pour certains sont décrocheurs scolaire ou sans emploi, sans formation.
- Résultat pour les habitants
- Impliquer les adultes, contribuer collectivement à la vie de la cité
Ce projet a suscité l’engouement des jeunes mais aussi des habitants du quartier d’Anthouard Pré L’Evêque au-delà même des objectifs que nous nous étions fixés.
Les adultes ont été forces de proposition et ont participé activement à la bonne réalisation de la manifestation.
En tout ; 20 bénévoles adultes tous âges et sexes confondus se sont portés volontaires en participant aux réunions préparatoires avec les enfants et les jeunes pour :
La préparation de la journée, du contenu :
- La définition des différentes tâches le jour j, leur exécution.
- La réflexion concernant les contraintes probables d’un tel projet (sécurité, matériel …)
- Assurer la mobilité des jeunes (navette, transport matériel …)
- Suite de l'action : Limites
Les groupes de jeunes évoluent rapidement d'une année à l'autre : les éléments-moteurs quittent le secteur et il nous faut travailler avec d'autres groupes de jeunes, recréer des liens.
- Suite de l'action : Perspectives
L'action se poursuit, a été reconnue par la Collectivité et l'Etat dans le cadre du PIA "ANRU JEUNESSE" dont Verdun bénéficie pour la période 2017-2021 : création de l'association de jeunes, organisations de manifestations...
Actions
Jardinons ensemble aux Planchettes
- Structure organisatrice
- Centre Social et Culturel Kergomard - Meuse
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Environnement
- développement durable
- Résumé
Le CSC Kergomard coordonne depuis mi-2015 l’action ‘JARDIN PARTAGE des Planchettes’ sur une surface de 7 500 m2: Les 3/4 de la surface étaient jusqu'au début 2015 à l'état de friche, au coeur du quartier en pied d'immeubles.
Une convention de partenariat est établie entre le CSC Kergomard et la Ville de Verdun (mise à disposition du foncier à titre gracieux) + une convention de partenariat entre le CSC Kergomard, l'AMATRAMI et le secours catholique (engagement collectif et mutualisation des moyens).
Les premiers mois sont dédiés à la mobilisation du public: une grande fête au jardin lance le point de départ de ce beau projet le 21 Juin 2015.
Les habitants vont semer, planter, récolter : cultiver un potager, oui, mais cultiver aussi la convivialité, le partage, la solidarité entre voisins et habitants du quartier et de la ville.
En quatre points :
-
Une forme de potager cultivé / mis en valeur de manière collective et accessible à tous.
Chacun apportera ses idées et sa contribution dans la réalisation du jardin.
Ensemble ! C’est l’esprit du jardin : une démarche collective pour faire avancer des idées, des façons de voir, des pratiques et peut-être au-delà, une certaine vision de notre avenir individuel et collectif.
-
Un vecteur de lien social : support pour repenser la relation entre les habitants du quartier :
Faire se rencontrer la population des Planchettes et permettre aux habitants de s’entraider ; Créer un lieu de convivialité pour favoriser le développement des liens sociaux entre les habitants.
Seront recherchés : l’épanouissement personnel, le bien-être de chacun, le respect de la terre et des autres, la santé, mais aussi le sens critique, l’autonomie, la méthodologie, la créativité,…
-
Un lieu d’éducation au respect de l’environnement et au développement durable :
Il conviendra de participer au maintien de la biodiversité - les plantations seront de saison – le jardinage éco responsable – l’eau économisée – le désherbage naturel.
-
Un espace d’animations pédagogiques :
Il s’agira d’éveiller petits et grands aux enjeux liés au respect de la nature et au jardinage.
En résumé, vaste espace à aménager et appropriation par les habitants: Atelier de fabrication de mobiliers de jardin en bois de palettes et atelier culinaire avec les récoltes du jardin mis en place en complément.
-
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La mise en place du jardin partagé sur le quartier fait écho aux préoccupations prégnantes de la population : les enjeux financiers ; le souci de son alimentation ; une activité manuelle en plein-air ; l’occasion de faire avec les autres et de sortir pour se rencontrer, au pied de son immeuble, au plus près de chez soi.
Le projet de jardin partagé des Planchettes ne s’est pas décrété par hasard : il répond aux besoins et attentes des habitants du quartier d’une part, et d’autre part à un besoin ressenti par le CSC Kergomard, la Collectivité, les partenaires locaux déjà impliqués dans le projet d'action ou bien des associations du quartier.
Résultats attendus: renforcer la cohésion sociale sur le quartier prioritaire des Planchettes.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Action mise en place au Printemps 2015. Différentes rencontres programmées entre le CSC, les Associations socio culturelles locales et la Ville de Verdun. La ville de Verdun ne souhaite pas utiliser cet espace disponible au coeur du quartier pour une fin immoblière mais elle tient à ce que ce vaste espace soit animé et dédié aux habitants du quartier, et non plus une friche où l'on retrouve du trafic.
Des habitants "moteurs" sont partie prenante à la mise en place du projet: définition du fonctionnement, d'un règlement interieur,
Une animatrice dédiée au projet, animatrice auprès des adultes du CSC : importance d'avoir une référente qui coordonne : soit 12h/semaine
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget global de l'action : 36 100€
Réparti de la façon suivante pour les montants les plus conséquents : 8 150 € Achats (alimentation pour manifestations, outillage de jardinage, petit matériel type débroussailleuse ...), 5 150€ autres services extérieurs, 15 000€ charges de personnels.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Une centainte d'habitants
Une dixaine de partenaires associatifs
- Résultat sur le territoire
Espace privilégié de rencontres et d'échanges
Répondre à un besoin de convivialité et de lien social
Respecter une démarche environnementale
- Résultat pour le centre social
Mobilisation transversale du public
Projet fédérateur et pluripartenarial
Permet d'aborder les thématiques d'une alimentation saine, de la gestion des déchets, du tri selectif,...
- Résultat pour les habitants
Favoriser au respect de la biodiversité et des saisons
Amélioration du cadre de vie
Espace de convivialité
- Suite de l'action : Limites
Délimiter les espaces / entretien conséquent des 7500m²
- Suite de l'action : Perspectives
Développement du projet / développement des partenariats / développement du partage
Actions
"La santé au quotidien"
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL CAF LA CLAIRIERE - Meurthe-et-Moselle
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Santé
- Précarité
- Résumé
Le but de l’action par le biais d’un travail entre les différents secteurs du centre social, sera d’amener les publics à prendre conscience de l’importance de prendre soin de leur santé au quotidien.
Une démarche pédagogique participative développée sur 3 axes d’intervention principaux:
SANTE – ALIMENTATION – ACTIVITE PHYSIQUE permettant à chaque adhérent de s'inscrire dans un parcours d'actions en lien avec ses attentes. La participation aux ateliers s’effectue sur inscription et adhésion à l'association. Selon l'activité, le public s'inscrit soit à la séance ou au trimestre. L'action est mené par deux Conseillères en Economie Sociale Familiale.
1/Des rencontres cuisine et santé « pour allier santé et alimentation »
Pour prendre soin de sa santé, il est important d’équilibrer son alimentation au quotidien. Ainsi bien manger c’est limiter les risques pour sa santé ce qui n’est pas toujours évident à mettre en œuvre. Ces rencontres cuisine et santé sont des outils pour favoriser une alimentation plus saine.
L’atelier sera découpé en trois temps :
- Un temps de cuisine ou les des recettes simples et équilibrées selon un budget maximum seront réalisés avec l’apprentissage de techniques culinaires de base et des échanges d’astuces entre les participants
- Un temps d’informations où avec l’utilisation de support d’animation et pédagogique des échanges et une réflexion collective seront effectués autour de diverses thématiques en lien avec l’alimentation et la santé (nutrition, lecture des étiquettes des aliments, compréhension des publicités…)
- Un temps de dégustation : le repas sera pris sur place à chaque atelier permettant ainsi de valoriser les participants, de partager un temps convivial et également d’évoquer l’importance de prendre le repas en famille.
La cuisine pédagogique sera utilisée pour réaliser ces rencontres. Certains ateliers seront organisés à l’appartement mis à disposition par l’Office Métropolitain de l’Habitat du Grand Nancy afin de réaliser des recettes avec des conditions matérielles similaires à celles des participants.
Pour compléter ces rencontres, des sorties et des visites pourront être proposées. Le but étant de faire découvrir en dehors du centre social d’autres activités en lien avec l’alimentation et la santé.
2/Des séances de sport et de bien-être « pour se ressourcer et se détendre »
Afin de renforcer l’accès à l’activité physique sur le quartier, le centre social travaillera avec un intervenant sportif afin de proposer aux femmes mais aussi aux hommes des séances de sport. Ces séances de sport seront aussi un support pour sensibiliser les participants à l’importance des bienfaits sur la santé de pratiquer une activité physique régulière combinée à une alimentation saine : se détendre, prévenir des risques de maladies cardiovasculaires, de diabète…
Différents pratiques sportives pourront être proposés soit en intérieur ou en extérieur afin de faire connaître et de permettre aux publics de s’approprier les ressources disponibles sur le quartier. Enfin le centre social pourra proposer aux adhérents de participer à des sorties nature et marche organisées par la fédération FLORE 54 dans le but de faire découvrir l’environnement et le territoire.
3/ Des ateliers du quotidien « pour faciliter son quotidien »
Ces ateliers d’informations et de sensibilisation permettront d’insister sur des thématiques de prévention santé (risques liés à une alimentation trop grasse, trop sucré, la santé mentale et le bien être…), de gestion du quotidien (part du budget alimentaire, marketing des supermarchés, publicité…) ainsi que l’accès aux droits santé (ouverture des droits CMUC, connaissance du parcours de santé, des remboursements de soins…). Des supports d’animations seront utilisés afin de faciliter les échanges entre les participants sur la thématique abordée et ainsi apporter des clefs pour faciliter la gestion du quotidien.
Des intervenants comme le Centre Technique Régional de la Consommation ainsi qu’un professionnel de la diététique, du bien être pourront être associés afin de compléter les ateliers animés par la CESF.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L’identification des besoins s’est faite par les professionnels du centre social et les bénévoles lors des activités et des échanges avec les adhérents. Ainsi différentes problématiques rencontrées au quotidien par les publics rendent plus difficile l’accès aux soins et à la santé. Les difficultés familiales, financières, de transport, l’isolement, une mauvaise image d’eux même, la peur de se rendre chez les spécialistes ont été identifiés. Les situations complexes des publics prennent parfois beaucoup de place dans leur quotidien et ne permettant pas aux adhérents de prendre du temps pour eux et de leur santé.
Les difficultés rencontrées dans la vie quotidienne occupent parfois tout l’espace, aussi certaines familles passent la majorité de leur temps à trouver des solutions aux problèmes d’ordre financier, administratif, familial et emploi. Il reste bien souvent peu de place dans leur quotidien pour s’occuper de leur personne. Au travers des discussions avec les participants dans les différentes activités, les professionnels et les bénévoles du centre social peuvent observer :
- une précarité socio-économique qui freine pour certaines familles l'accès aux soins
- un isolement, repli sur soi, les personnes sondées, plus de la moitié se sentent stressées, déprimées, ont des problèmes de sommeil et une mauvaise image d'eux-mêmes
- La peur de se rendre seules dans les structures sanitaires et sociales
Malgré un très important Pôle Santé comptant plusieurs cliniques, et laboratoires, bénéficiant d'une notoriété dépassant les frontières de la ville et de la région, on peut observer qu’il y a une difficulté pour s’y rendre : signalétique pas toujours évidente du fait de la rénovation urbaine, ajout de nouvelles adresses…. Et le coût de soins notamment pour les spécialistes.
L’accueil quotidien, mais aussi les différentes activités proposées au sein du Centre Social, ont permis de mettre en évidence la méconnaissance des adhérents en matière de santé, aussi l'enjeu dera de:
1. Permettre à un public repéré en précarité d'entrer dans une démarche de prise en charge globale de sa vie quotidienne.
2. Développer l'accès à l'information de prévention et d'accès aux droits à la santé permettant au public d'acquérir de l'autonomie dans les démarches du quotidien
3. Renforcer la pratique de l'activité physique régulière
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
L’accompagnement des publics se réalisent grâce aux compétences de deux Conseillères en Economie Sociale Familiale coordonnant le projet et animant les ateliers, au soutien de bénévoles pour l’animation des ateliers
Des intervenants sont associés afin de compléter les temps d’animation des CESF : encadrant sportif, professionnels issus du domaine de la nutrition santé, la Caisse Primaire d’Assurance Maladie par le biais de son service de prévention et d’accueil des publics, l’Institut Régional d’Education et de Promotion de la Santé par le biais de formations et d’outils pédagogiques et d’animation, des associations locales proposant des activités sportives…
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget prévisionnel 10 000 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
80 personnes
Hommes et femmes
De 18 à 70 ans
Résidant sur le territoire du Plateau de Haye Nancy-Maxéville
- Résultat sur le territoire
Meilleure connaissance du Pole santé implanté sur le territoire
Un travail de proximité avec certains médecins ou spécialistes du quartier pour démystifier la consultation: aller chez le dentiste, aller chez l'ophtalmo, aller chez le gynécologue.
Un travail étroit avec le médecin PMI ou la Puéricultrice
- Résultat pour le centre social
Des participants qui sortent de "leur torpeur" et se mobilisent dans une implication plus régulière soit dans les activités du centre social, soit en s'impliquant comme bénévoles.
- Résultat pour les habitants
- Investissement des participants dans les actions (co - construction des ateliers avec les
- participants), bénévolat, mobilisation du public
- Evolution des comportements et alimentaires : amélioration de la confiance en soi, alimentation plus équilibrée, prise de conscience collective du lien entre la santé et l'alimentation, prise en compte de la santé
- Evolution des démarches vers la santé
- Contenu des échanges en lien avec la santé
- Meilleure information et connaissance des droits santé et des risques de santé
- Rupture de l'isolement
- Suite de l'action : Limites
Convaincre les professionnels de santé d'ouvrir leur cabinet et de pouvoir s'adapter à un public fragile.
- Suite de l'action : Perspectives
L'action a été mise en place en 2016 et sera reconduite en 2017
Actions
Le conte parents-enfants
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL JOLIBOIS - Meurthe-et-Moselle
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Evolution du projet familles
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Culture
- Résumé
Le conte parents-enfants
A raison de 2 mercredis par mois, Léa Pellarin, conteuse professionnelle, embarque parents et enfants dans l’aventure et l’imaginaire rythmés par de nombreux instruments du monde.
Pour les petits : enfants de moins de 6 ans, de 16h à 17h, conte et comptines, livre en tissus colorés accompagnent les parents et les enfants. Des assistantes maternelles du quartier viennent régulièrement rejoindre le groupe.
Pour les plus grands : enfants de 6 à 12 ans, de 14h à 16h, en partenariat avec l’association « Nos Enfants » du centre social Jolibois. Contes et légendes du monde viennent frapper à notre porte. Parents et enfants peuvent également s’essayer à conter une histoire au groupe
Ce projet amène les parents et les enfants à partager un temps en commun autour du livre et de l’accès à la lecture. A travers les mots, les comptines, les chansons, l’enfant découvre un mode d’expression et d’émotions, un lien avec le monde qui l’entoure. Les paroles rassurent, amusent, cajolent, encouragent… Le conte devient alors passeur d’émotions et d’images.
Il permet aux parents de s’apercevoir qu’avec peu de choses, ils peuvent créer un réel moment de complicité avec leur enfant.
Le conte parents-enfants, c’est :
- 18 séances de conte pour les enfants de 6 ans et plus
- 16 séances de conte pour les enfants de moins de 6 ans
- 16 familles + 6 assistantes maternelles (19 parents, 6 assistantes maternelles, 53 enfants)
- 334 participations
- Un véritable soutien à la fonction parentale
Illustration : création d’une histoire, de son illustration et de son enregistrement par les enfants qui content l’histoire. Un livre CD a été produit à l’issue du projet « La Belle et la Moche ».
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
En relation avec un diagnostic partagé (Centre Sociol, PMI, école maternelle, directions de la petite enfance de 2 CCAS) qui a mis en avant :
Le besoin de créer des temps communs entre parents et enfants ;
Le besoin d'éveil des jeunes - enfants.
Le tout dans l'objectif de soutenir les parents dans leur fonction éducative.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Diagnostic partagé ; co-construction Centre Social et association locale ; demande de soutien financier ; réalisation et évaluation.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Accompagnbement Social et Médiation- Permanence d'écrivain public
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL Harpèges- Les accords solidaires - Alpes-Maritimes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Démocratie & citoyenneté
- Précarité
- Résumé
La médiation sociale est une action transversale qui permet de mobiliser les compétences internes de l’association au service des usagers accueillis.
L’action consiste à assurer un accompagnement individualisé dans tous les domaines de la vie quotidienne (santé, logement, famille, emploi, éducation…) en étant à l’interface des institutions pour s’adapter aux problématiques rencontrées.
Les permanences d’écrivain public proposées, trois demi-journées par semaine, se retrouvent étroitement liée à la médiation sociale. Les personnes ayant besoin de faire un courrier, sans nécessité de suivi spécifique par les services sociaux, MSD ou CCAS, sont automatiquement orientées sur cette permanence, tenues par trois bénévoles aguerris aux pratiques sociales et de gestion dont ceux sont d’anciens directeurs de ressources humaines, la troisième ayant une longue expérience en la matière acquise dans les centres sociaux des Bouches-du-Rhône. Ces permanences, totalement complémentaires, ont été élargies par une permanence supplémentaire (d’une demi-journée par semaine) axée sur les litiges civils.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Une partie de la population (située notamment dans le centre ancien de Grasse) ne peut réaliser de démarches administratives seule. Ces difficultés sont liées à diverses problématiques : pas de maîtrise suffisante de la langue française, difficultés sévères à l’écrit (sans être nécessairement dans une situation d’illettrisme), illectronisme, ou fracture numérique, véritable frein à des démarches s’effectuant le plus souvent soit par courrier, soit par site internet.
Les retards et les absences de réalisation dans ces démarches peuvent aggraver certaines situations déjà fragiles avec ruptures de droits, etc..
Ces difficultés touchent diverses thématiques :
- Accès aux droits,
- Rédaction de courriers,
- Préparation de dossiers sociaux d’emploi, maladie, pensions, retraite,
- Etablissement de demandes de surendettement,
- Recherche de logements etc…
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Fréquence :
-
Les permanences de médiation sociale sont quotidiennes. Elles s’organisent sur rendez-vous de 9h à 13h00 et de 14h00 à 18h (sauf le vendredi où le public est accueilli jusqu’à 17h).
-
Les permanences d’écrivain public ont lieu les mardi et vendredi après-midi.
-
La permanence axée sur les litiges civils a lieu tous les mercredis matin.
Echéancier de l’action :
Les permanences d’accueil individuel se font sur rendez-vous. Un bilan de la situation globale de la personne accueillie est réalisé. Le plan d’action est élaboré avec l’usager et vise à promouvoir son autonomie en favorisant ses ressources et potentialités, en l’impliquant activement dans les démarches à effectuer. En fonction des problématiques, un suivi se met en place ou une orientation est proposée. Dans une grande majorité des situations, un travail en transversalité avec d’autres secteurs d’Harjès est proposé : cours d’alphabétisation, suivi dans le cadre de l’aide aux victimes, orientation pour les parents vers les accueils de loisirs enfants-adolescents, etc..
-
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Contrat de ville :
- Etat : 13 500€
- Région : 13 000€
- Commune : 24 500€
ASP ( Agence de Service et de Paiement) : 27 529 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Equipe mixte:
- 2 médiatrices sociales
- 3 bénévoles
- Résultat sur le territoire
L’action d’accompagnement et de médiation sociale a permis l’accueil et le suivi d’un grand nombre de publics fragilisés, éloignés des dispositifs sociaux, sanitaires, de droit commun.
Cette action, très utilisées par les habitants, démontrent par le nombre d’usagers recensés le besoin existant d’accompagnement dans les difficultés et démarches de la vie quotidienne. Destiné à un public d’adultes, cet accompagnement fait l’objet d’une attention particulière en direction des personnes isolées et vieillissantes, des familles monoparentales, toutes en grand nombre sur ce territoire.
Dans un contexte économique et social particulièrement tendu ces dernières années, le service d’accompagnement et de médiation sociale occupe une place prépondérante au sein du quartier et rempli, autant que peut se faire, un rôle de « régulateur social ».
- Résultat pour le centre social
Du 1er janvier au 31 décembre 2016, 1126 personnes ont bénéficié des services de la médiation sociale.
Le nombre de bénéficiaires de l’action d’accompagnement social et de médiation est en constante augmentation depuis 2013. Ils étaient 682 en 2013, 1106 en 2014, 1423 en 2015 à la même période. (Le pic de 2015 s’explique par la fermeture de l’agence Caf de Grasse et la création du point-info CAF au centre social). L’augmentation des fréquentations des permanences de médiation démontre combien il est important de maintenir et développer ce service de proximité dans le secteur du Grand Centre et plus précisément sur le Centre Historique où les situations, d’une partie des habitants, sont particulièrement fragiles.
Destiné à un public d’adultes, cet accompagnement fait l’objet d’une attention particulière en direction des personnes isolées et vieillissantes, des familles monoparentales, toutes en grand nombre sur ce territoire.
- Résultat pour les habitants
Investis dans un partenariat riche et dynamique, les médiateurs sociaux proposent aux bénéficiaires, une prise en charge et un accompagnement social global. Ils prennent en compte, dans leur diagnostic les ressources, les potentialités, l’environnement familial et social de l’usager.
L’équipe tente, aussi souvent que possible, d’influer sur la capacité d’agir de la personne, sur son implication et sa responsabilisation dans toutes les démarches entreprises. L’objectif visé étant l’acquisition d’une plus grande autonomie.
L’accueil de partenaires, au sein du centre social, pour la tenue de leurs permanences (administrateurs Ad Hoc Actes Pelican, référent PLIE, travailleurs sociaux de la Maison des solidarités de Grasse Nord, travailleurs sociaux CAF du volet allocataires Pôle d’Interventions Sociales de Cannes.. ), permet d’offrir aux habitants d'autres prises en compte de proximité de leurs difficultés.
- Suite de l'action : Limites
Lutter contre l’illectronisme :
Les difficultés renforcées, chez certaines personnes (personnes âgées et/ou des personnes peu qualifiées en recherche d’emploi) engendrées par l’utilisation des technologies de l’information et de la communication représentent un enjeu majeur aujourd’hui avec lequel doit conjuguer le centre social.
Le problème qui se pose pour ces publics, ne se situe pas seulement par l’exclusion d’internet, mais plus fondamentalement au plan de l’information.
De plus en plus de démarches administratives passent par une plate-forme numérique (déclaration de ressources, constitution de dossier, ouverture de droits, inscription à l’Espace Activité Emploi, la plupart des annonces d’emploi sont aujourd’hui diffusées par internet…).
Afin de prévenir et limiter ces inégalités face à l’accès au savoir et aux démarches de la vie courante, il apparaît important de travailler avec le public sur l’acquisition des connaissances clés nécessaires à l’utilisation des ressources électroniques.
Aussi, si l’Espace Régional Internet Citoyen (ERIC) « hébergé » au sein même du centre social apporte déjà une plus-value aux activités de médiation sociale (près de 598 personnes reçues sur le premier semestre au sein de l’ERIC dont 90 % résident au Centre Ancien). Ce partenariat se renforcera et proposera des actions ciblées pour lutter contre cette fracture numérique (utilisation de l’environnement informatique, création d’adresse Email,..)
- Suite de l'action : Perspectives
Développement des ressources internes afin d'accompagner les demandes croissantes des usagers.
Actions
Alphabétisation-Insertion-Citoyenneté
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL Harpèges- Les accords solidaires - Alpes-Maritimes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Intégration
- alphabétisation & apprentissage du français
- Résumé
L'action « d'alphabétisation-insertion-citoyenneté » vise à renforcer avec les bénéficiaires les bases d'un parcours d'insertion sociale et/ou professionnelle. Elle a pour objectif d'accompagner le public vers une plus grande autonomie en leur donnant quelques repères, à partir le plus souvent, de situations de la vie quotidienne, comme prendre un rendez-vous chez le médecin, téléphoner, répondre au téléphone…
Il est important de souligner que l’alphabétisation ne doit pas se limiter à l’apprentissage linguistique, c’est un outil d’autonomisation personnelle et un facteur de développement social et humain, permettant aux apprenants d’enrichir leur esprit critique.
Ces ateliers répondent donc à trois objectifs principaux :
- Progresser dans l’apprentissage de la langue française (orale ou écrite).
- Mieux connaître l’organisation de la société (démarches, emploi, culture, etc.) et développer sa capacité d’y agir de manière autonome. Les ateliers collectifs « citoyens » proposés aux bénéficiaires se construisent à partir des besoins repérés ou exposés par ce public, de ses centres d’intérêts pour favoriser une plus grande adhésion. Ces ateliers offrent aussi un espace de découverte des institutions et des espaces culturels et une meilleure connaissance des valeurs de la République, des fondements de la laïcité et des codes sociaux.
- Créer du lien social : pour nombre de personnes, des femmes le plus souvent, les ateliers sociolinguistiques permettent de partager, de faire des rencontres et de sortir de l’isolement.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Diverses demandes préalablement diagnostiquées servent de point d'ancrage à ce projet.
Ces demandes émanent :
-
des mères de famille, d’origine étrangère, désireuses de s’investir dans l’éducation de leurs enfants et acquérir globalement une plus grande autonomie,
-
des populations immigrées, installées en France depuis plus de 4 années,domiciliées prioritairement sur le Grand Centre de la ville de Grasse, pour lesquelles la barrière de la langue constitue encore un obstacle à leur insertion et à leur intégration,
-
des personnes d’origine française, notamment des jeunes,souffrant d’illettrisme et souhaitant améliorer leur compétence à l’écrit.
-
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Dans sa mise en œuvre opérationnelle, le projet d’alphabétisation-insertion-citoyenneté s’articule autour de 2 axes complémentaires : Des cours d'alphabétisation constitués par groupe de niveau et des actions collectives s’appuyant sur des thématiques spécifiques.
A l’issue, d’une phase d’évaluation, 4 groupes sont organisés en fonction du niveau de compétence des apprenants : grand débutant, débutant, intermédiaire et avancé. Chaque groupe est composé de 5 à 8 apprenants.
Les cours sont assurés par des bénévoles qui interviennent, chaque fois que possible, en binôme permettant ainsi un accompagnement parfois individualisé voire personnalisé.
Les cours ont lieu dans les locaux de l'association à raison de 2 séances par semaine. Chaque cours dure 2 heures.
Les « apprenants » bénéficient donc d'un minimum de 4 heures d'apprentissage hebdomadaire. Certains parmi eux ont opté pour plusieurs groupes de niveaux semblables, ce qui peut représenter 6 à 8 heures de participation par semaine.
La coordination de l'action est assurée par la responsable du centre social en lien avec une salariée référente, chargée de faire passer les tests de niveau, avec l’aide d’un groupe de bénévoles.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Contrat de ville :
Etat: 15 000€
Région : 6 000€
Commune: 12 000€
ASP (Agence de Service et de Paiement) : 7 589€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
17 bénévoles intervenants parfois en binôme
1 médiatrice sociale
- Résultat sur le territoire
Cette action de proximité, conjuguée avec les autres activités de médiation sociale, a contribué, encore cette année, par le nombre de personnes accompagnées sur le secteur prioritaire de la politique de la ville (79 % en 2015), à prévenir l’isolement. Elle a permis de faciliter l’intégration des populations migrantes dans la vie locale mais aussi celles, nées en France, illettrées qui ont eu besoin de consolider leurs connaissances de bases à gagner encore un peu plus en autonomie.
Les ateliers sociolinguistiques ont apportés une ouverture sur les espaces sociaux et/ou culturels. Les actions citoyennes transversales aux différents ateliers ont permis de les sensibiliser aux codes sociaux, et à l’exercice des responsabilités sociales.
- Résultat pour le centre social
Les bénéficiaires des ateliers d’alphabétisation-insertion-citoyenneté ont été nombreux à s’investir sur les autres actions du centre social, démultipliant ainsi les espaces de socialisation et d’apprentissage.
Fédérateur, vecteur de bien être, d’ouverture, de partage l’ensemble des actions organisées avec les usagers des ateliers socio-linguistiques leur offrent des occasions de rencontres interculturelles et intergénérationnelles qui contribuent au mieux vivre ensemble.
- Résultat pour les habitants
D’un point de vue général, cette action a conduit une majorité de personnes à se familiariser avec la langue française et en acquérir les bases, permettant ainsi aux apprenants de communiquer plus facilement et de faire face aux situations de la vie quotidienne. Les ateliers d’alphabétisation-insertion-citoyenneté ont permis à un grand nombre de personnes d’origine étrangère, ou souffrant d’illettrisme, de capitaliser des savoirs et savoirs-faire, des compétences sociales transférables à d’autres situations de la vie personnelle et/ou professionnelles. Les ateliers citoyens ont aidé les bénéficiaires à mieux décrypter les règles et valeurs de la société française. Durant l’année, dans chaque groupe d’apprenants, au moins une sortie s’est organisée en Mairie, CPAM, … ou dans d’autres institutions, afin de les aider à mieux repérer les services publics de proximité.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
-Continuer de faire évoluer les pratiques et intégrer dans cette dynamique les nouveaux bénévoles arrivés au cours de l’année.
-Poursuivre la formation des bénévoles en ciblant la formation sur des thématiques qui les interrogent. - Mettre en place, au sein de la structure, des espaces d’échange de pratiques et de mutualisation.
-Renforcer la participation des apprenants sur l’ensemble des actions collectives portées par le centre social.
- Lutter contre l’illectronisme. Développer des actions d’initiation à l’outil informatique et de sensibilisation à l’utilisation des technologies de l’information et de la communication, à l’utilisation des réseaux sociaux et plus généralement à l’utilisation d’internet.
Actions
OPERATION "Les Maraudes" à Saint-Ouen : Les jeunes s'impliquent et sont solidaires des plus démunis.
- Structure organisatrice
- CS MAISON DE QUARTIER PASTEUR - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Précarité
- Résumé
Description de l’action :
L'opération, démarrée en novembre 2013, s’est poursuivie en 2014, puis en 2015, et sera maintenue en 2016. La Maison de quartier Pasteur accompagne l'engagement citoyen et solidaire des jeunes. Ils vont, avec des adultes et des enfants fréquentant la structure, s'impliquer dans un projet commun, afin d'améliorer l’image au quartier, de créer du lien entre les habitants, de lutter contre l’exclusion sociale et la stigmatisation. Faire des réunions de bilan après chaque opération avec les différents acteurs.
1°/- La Maison de quartier Pasteur mobilise les habitants : les mamans du quartier préparent des repas et les conditionneront avec la participation d’une dizaine d’enfants de moins de 12 ans, et de certains jeunes (5 ados et 10 majeurs).
Aussi nous allons constituer une banque alimentaire à partir des collectes faites par les jeunes et les mères auprès des commerçants et la grande distribution, pour distribuer les produits alimentaires aux plus nécessiteux. Renforcer le partenariat avec Resto du cœur pour mieux orienter les nécessiteux qui viennent nous voir.
Travailler avec des traiteurs pour récupérer les surplus de produits de restauration (encore consommables) afin de les distribuer régulièrement aux familles nécessiteuses du quartier.
2°/- La fondation Jeunesse Feu Vert, le Service Jeunesse, les associations D’Brouy Jeuness et ADT (association des talents), mobilisent les jeunes du quartier pour le conditionnement des repas aux côtés des familles (parents et enfants), ainsi que pour la distribution des repas aux personnes les plus démunies.
3°/- En outre, une formation au premier secours, sera mise en place pour permettre aux participants (10 jeunes et 10 adultes) d'acquérir des compétences en matière de protection civile. Cette formation sera coordonnée par Jeunesse Feu Vert. Un mode de garde sera organisé pour les enfants (0-5 ans) pour permettre aux parents de suivre cette formation qui dure toute la journée.
Objectifs généraux :
- Renforcer la solidarité et le lien entre les habitants
- Prévenir la délinquance juvénile en impliquant les jeunes en situation de pré-marginalisation.
-
Objectifs pédagogiques :
- Valoriser les compétences de chacun
- Concourir à l’amélioration de l’image du quartier
- Lutter contre l’isolement
- Favoriser les liens intergénérationnels.
-
Objectifs opérationnels :
- Acheter des denrées alimentaires et le matériel nécessaire
- Collecter des produits chez les commerçants, les restaurants, et les hôtels
- Organiser la préparation et le conditionnement des repas
- Effectuer la distribution
- Organiser des réunions pour des bilans intermédiaires après chaque action, pour préparer la suivante opération.
Porteurs du projet et intervenants dans l'action:
- Maison de quartier Pasteur
-
Jeunesse Feu vert
Service Jeunesse
D’Brouy Jeuness
ADT
Familles du quartier et Seniors
Nombre de séances dans l'année:
Une séance par mois, soit 12 séances dans l’année, du 15 janvier au 31 décembre 2016.
Population ciblée:
-D’abord, les jeunes en risque de marginalisation suivis par la fondation Jeunesse Feu Vert, qui n’ont pas bonne réputation auprès des habitants adultes du quartier, participeront à une action commune avec les habitants.
Groupe de 15 jeunes (8 garçons, 7 filles),
Les familles (10 parents et 10 enfants), surtout les mamans du quartier.
- Concernant le public des « plus démunis », en moyenne 100 repas à servir à chaque maraude, soit une moyenne de 1200 repas à servir au cours de l’année 2016.
Un public essentiellement adulte masculin, même si nous comptons toucher les mères avec leurs enfants.
Informations complémentaires :
Les maraudes seront distribuées par un groupe de 15 jeunes (18-20 ans) du quartier.
La présence des animateurs (Maison de quartier Pasteur, Service Jeunesse), des éducateurs de Jeunesse Feu Vert, d'encadrant des associations (D-Brouy Jeuness, ADT), sera utile et complémentaire.
Acheter des produits alimentaires pour la préparation. Former des groupes pour la distribution. Démarcher des commerçants pour collecter les produits alimentaires, les hôtels pour les kits d’hygiène.
Enfin, une formation au premier secours sera organisée pour 10 jeunes (et 5 adultes), afin de leur donner les moyens d’être plus réactifs face à des situations. Mais également pour qu’ils acquièrent plus de connaissance dans l’approche du public en fragilité.
Territoire de réalisation de l’action : Ville de Saint-Ouen,
Quartiers Arago/Zola, Garibaldi/Charles Schmidt, Porte Montmartre, Emile Cordon, Debain.
Moyens mis en œuvre :
Humains:
2 animateurs de la Maison de quartier Pasteur,
2 éducateurs spécialisés de la fondation Jeunesse Feu Vert,
1 animateur du service Jeunesse,
1 encadrant de l'association D-Brouy Jeuness,
1 encadrant de l’association des talents (ADT).
Matériels et logistiques :
Salle polyvalente, cuisine,
Mise à disposition de local (salle polyvalente de la Maison de quartier Pasteur), de matériels bureautique et informatique (ordinateurs, imprimante, scanner, photocopieuse, téléphone, papier), de matériels et ustensiles (cuisine) à la MDQ Pasteur.
Financiers :
Location de véhicule, Achat de matériels de cuisine, de couverts
Achat de denrées alimentaires – Formation au premier secours.
Méthode d'évaluation et indicateurs choisis:
- Fréquentation des jeunes et des habitants,
- Réunions régulières entre les différents groupes de participants (Adultes, Jeunes, Animateurs et Educateurs, associations) pour faire le bilan d’étape après chaque opération, en général la semaine suivant l’initiative.
- Réalisation de la formation « premier secours ».
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
1°/- Les jeunes et les adultes du quartier ont du mal à échanger, à s'entrevivre, parce que les jeunes "tiennent le mur" à longueur de journée ce qui gêne la quiétude des familles. Les adultes se méfient des jeunes à cause des attroupements tardifs , des nuisances sonores des motos, les allers et venues incessants. Tout ceci crée une ambiance de méfiance les uns à l'égard des autres.
2°/- Trouver un moyen de rapprocher les deux publics dans une action qui valoriserait les uns et les autres: s'impliquer dans une action de solidarité tout au long de l'année serait une occasion de construire du lien, et briserait cette défiance entre les deux publics: Participer à des réunions de préparation, se répartir les tâches, à savoir les mamans prépareraient des repas chauds dans la journée, les jeunes se chargeraient de la distribution le soir aux personnes démunies dans les quartiers de la ville. Les deux publics se rencontrent toujours en fin de journée pour finir la préparation des sandwichs, et se rappeler les consignes de préparation et de distribution.
3°/- Ouvrir un champ de formation premier secours aux deux publics: les jeunes et les adultes apprennent les gestes essentiels pour sauver des vies.
- Public
- Jeunes adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Depuis 2013, des rencontres de travail avec le SAMU social, Interlogement, les restos du coeur, nous ont permis de comprendre la réalité de ce qui était dejà mis en place sur la ville de Saint-Ouen, de cibler au plus près le public nécessiteux
D'autre part, les jeunes avaient montré leur souhait de se rendre utile en s'impliquant dans une action de solidarité. Les mamans du quartier voulaient également apporter un peu de chaleur aux personnes sans abri.
La rencontre avec la Fondation Jeunesse Feu Vert (éducateurs spécialisés) agissant auprès des jeunes du quartier a permis de sensibiliser les jeunes sur la question. L'association D-Brouy Jeuness qui met en place des activités d'accompagnement scolaire a également mobilisé les jeunes de l'association à participer à l'action.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Etat (Contrat de ville) : 6000 €
Commune de Saint-Ouen : 3970 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Groupe de 15 jeunes majeurs (8 garçons, 7 filles)
Groupe de 20 parents adultes (essentiellement les mamans du quartier)
Groupe de 18 enfants et jeunes mineurs aident à la préparation des sandwichs
Pour l'encadrement : 6 professionnels, 4 bénévoles
- Résultat sur le territoire
Un groupe d'adultes s'est constitué et se mobilise sur le projet. Un groupe de jeunes se mobilise également.
Les relations entre les adultes et les jeunes deviennent plus cordiales, les jeunes discutent plus aisément avec les adultes lorsqu'ils se croisent dans le quartier. Ils s'informent mutuellement des initiatives qui ont lieu au sein de la structure et dans le quartier.
1253 repas ont été distribués aux personnes démunies au cours de l'année 2016.
- Résultat pour le centre social
La participation des jeunes aux actions de la maison de quartier est plus significative, même aux côtés des adultes et des parents.
Les différents acteurs peuvent maintenant proposer d'autres initiatives auxquelles participent de nouveaux acteurs.
- Résultat pour les habitants
Les actions de solidarité (exemple: les maraudes) ont permis aux habitants de mieux discuter de la vie du quartier, d'échanger sur leurs problèmes familiaux, de l'éducation des enfants et de l'accompagnement qu'ils doivent apporter aux plus jeunes.
Le jeunes ont mieux compris la situation de précarité que vivent les personnes démunies.
Les adultes ont un regard plus valorisant des jeunes du quartier qui participent à l'action de solidarité.
Les habitants viennent donner des vêtements chauds à distribuer.
Certains se mobilisent pour collecter des denrées alimentaires auprès des commerçants les jours de marché.
- Suite de l'action : Limites
Les maraudes n'ont pas réglé les problèmes de troubles de voisinage des jeunes dans le quartier. Ni d'ailleurs le trafic qui en est le corollaire. La participation des bénévoles est tournante et il n'est pas facile de fidéliser les jeunes sur toute une année: le groupe évolue.
La mixité (garçons et filles) n'est pas encore tout à fait au point.
- Suite de l'action : Perspectives
- Poursuivre cette action de solidarité
- Inciter les jeunes, et surtout les mamans du quartier, à participer nombreux aux formations de premier secours
- Pour mieux répondre aux besoins exprimés par les personnes bénéficaires, il faut organiser la sensibilisation des commerçants, des pharmacies, des hotels pour collecter des denrées non périssables, des kits d'hygiène et des produits de premier soin.
Actions
Comme au Resto
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL LA FABRIQUE PRE FLEURI - Seine-Maritime
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Démocratie & citoyenneté
- discriminations
- Mixité sociale
- Résumé
Comme au resto est un projet inter-associatifs porté à la fois par la Ville du Havre et l'association AHAM. 11 associations accueillent à tour de rôle, chaque mois, des habitants au centre social comme dans un restaurant : service à table, paiement à la sortie etc. Les bénéfices des soirées sont conservées par les associatoins. 5% des bénéfices sont reversés dans une cagnotte qui sert au renouvellement du matériel (vaisselle notamment).
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Beaucoup d'association du quartier ont une base communautaire. Elles sont bien souvent issues du regroupement de ressortissants d'un pays ou région du monde et qui ont éprouvé le besoin à un moment de se regrouper en association, souvent pour des raisons d'entraide et d'intégration. Ces associations jouent un rôle positif dans le quartier, mais ce rôle est bien souvent sous estimé. Ayant fait le constat que ces associations réunissaient beaucoup d'habitants, souvent dans les locaux du centre social pour l'organisation de repas, l'Espace Pré Fleuri et le Centre de Ressources et d'Information pour les Bénévoles (CRIB), porté par l'association AHAM, leur a proposé une organisation et une communication pour toucher encore plus de monde.
Le projet vise donc à mettre en lumière ces associations à travers la dimension culinaire.
Les objecifs de l'action sont :
Promouvoir les associations qui jouent un rôle positif sur le territoire et leur permettre de s'autofinancer
Donner une image positive du quartier de Caucriauville
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
L'action a démarré en 2015. Une douzaine d'associations qui fréquentaient régulièrement l'Espace Pré Fleuri a été contactée pour participer à une réunion. Le projet leur a été proposé. 11 ont répondu positivement. Une série de réunions a permis de définir le cadre du projet : tarif, horaires, format, inscriptions etc.
En novembre 2015, une soirée de lancement regroupant les 11 associations parties prenantes a d'abord été mise en place pour faire connaitre le projet. Les bénéfices de cette soirée ont permis de constituer la cagnotte du projet. Les soirées ont ensuite été démarrées en décembre 2015, puis ont eu lieu en 2016 une fois par mois (sauf juillet et août). Une aide financière du CGET a permis d'acheter du matériel (vaisselle, lave-vaisselle) et de doter chaque association d'un fond de roulement de 200€ lui permettant d'acheter les ingrédients pour la préparation des repas.
Une réunion est mise en place chaque mois qui permet de faire le bilan de la soirée passée et de préparer la soirée suivante.
Le portage financier de l'action est fait par l'AHAM.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Dépenses : 9 000€ environ (dont 5500€ en masse salarial répartie entre l'AHAM et la Ville du Havre.).
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Directeur Espace Pré Fleuri : 100h/an
3 professionnels à l'accueil : 20h/an
Responsable AHAM : 100h/an
1 service civique : 40h/ an (arrivée en septembre)
100 bénévoles (valorisation) : 10 personnes par soirée pendant 8h : 720h/an
- Résultat sur le territoire
Soutien aux projets des association puisque chaque association a fait des bénéfices (237€ en moyenne).
Echange entre les associations : prêt de matériel, émergence de projets communs à Caucriauville, entraide entre les associations sur les soirées, échange de recettes entre les assos et avec le public.
Mixité du public avec des habitants du centre-ville, voire de la périphérie, mélangés avec des habitants de Caucriauville (552 repas servis en 2016).
Les partenaires institutionnels ont une image positive du projet et l’ont sollicité pour « animer » différents temps forts : LH Forum, journée mondiale du bénévolat notamment. Ce qui amène une retombée positive en termes de valorisation sur les associations participantes et sur le centre social.
- Résultat pour le centre social
Ce projet a eu une porté importante au delà du territoire. Il a fait l'objet de plusieurs articles dans la presse locale. Il a apporté une certaine reconnaissance au centre social dans son travail avec les associations.
Le projet a fait connaitre le centre social à de nouveaux habitants, notamment sur la dimension accès aux droits et accompagnement des familles (séjours familiaux).
- Résultat pour les habitants
Meilleure connaissance des associations du quartier et des différentes cultures par les habitants.
Très bon accueil du projet par les habitants du fait que pas de restaurant dans le quartier, réelle animation du territoir
- Suite de l'action : Limites
Toutes les associations ne sont pas représentées aux soirées et difficulté à mobiliser les associations sur les temps de réunions.
Valorisation insuffisante des associations en 2016 (pas de présentation formelle des associations durant les soirées, sauf une).
- Suite de l'action : Perspectives
Renouvellement du projet en 2017 avec 11 associations parties prenantes.
Travail sur les outils de communication propres à chaque association.
Amélioration de la visibilité du projet, notamment du lieu (flammes).
Actions
Education aux médias
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL HORIZON - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
- Eduquer les jeunes aux différents médias
- Développer l'esprit critique des jeunes
- Valoriser les savoirs des jeunes et les investir dans de la création, susciter des envies, des vocations
- Favoriser le vivre ensemble et la socialisation
- Favoriser l'insertion sociale des jeunesFormer les « cybercitoyens » et des lecteurs actifs, éclairés et responsables de demain
Permettre la compréhension et l'usage autonome des médias par les jeunes qui sont à la fois lecteurs, producteurs et diffuseurs de contenus.
La curiosité des jeunes à approfondir leurs connaissances concernant cette thématique.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les adolescents utilisent les médias dans la vie de tous les jours. S'en servent pour communiquer et valoriser certaines de leurs pratiques. Ils ne se rendent pas toujours compte des conséquences que ça peut entraîner. Le but de cette action est de faire découvrir au public l'ensemble des médias qui existent avec l'aide d'acteurs du secteur (ordinateurs, magazines, téléphone, internet, vidéo, musique, TV...). Qu'ils puissent en découvrir le processus de création (visites, rencontres de professionnels, de magazines, films...). Puis qu'à base d'ateliers ils se les approprient et participent à l'idée de créations collectives. L'utilisation de différentes formes de médias sera propice à ce que le public se questionne sur son territoire de vie, sur le public qu'ils y côtoie, sur les aspects positifs et négatifs de ce secteur. Les supports médias seront utilisés pour réaliser un "reportage" sur le quartier accompagné d'intervenants professionnels.
Des soirées débats pourront être mises en place avec la présence de réalisateur, auteurs, comédiens ayant utilisés des médias pour créer une oeuvre (films, Bande Dessinées, webseries, pocket film...). L'action s'adresse avant tout aux jeunes, mais des événements seront ouverts à tout public afin de proposer des animations culturelles sur le secteur. Un événement final ponctuera cette année avec la valorisation des réalisations du public.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Tout au long de l'année, les sorties et autres animations proposées par le secteur jeunesse ont été propices à échanger autour du thème des médias. Le fait d'avoir une page sur Facebook pour promouvoir nos actions auprès de notre public, mais aussi aux autres publics disponibles sur ce réseau social nous facilite la tâche.
Je vous propose de vous donner une liste non exhaustive des actions liés à différents médias que nous avons mis en place cette année.
Radio
Cinéma
Jeux vidéos
Musique
Presse
Visite des radios « Prun » et « Sun FM » avec une participation à une émission de radio en direct.
Lancement et lien avec l'association1.COM1
Visite du parc du puy du fou pour découvrir les métiers des arts du spectacle, que l'on trouve dans les films (cascadeurs, comédiens...)
Soirée film cuisine (Asie et Italie)
Visite de l'exposition « Ultima » au lieu unique (Nantes) autour de l'histoire des jeux vidéos
Soirée rétrogaming intergénérationnelle pour découvrir les origines des jeux actuels.
Festival international du jeu de Parthenay.
Rencontre d'artistes et participation à des temps sur des festivals (Hip Opsession, Cité Métisse, festival de Poupet...)
Avec les différents événements qui se sont déroulés sur l'année 2015, il nous a parût utile de proposer aux jeunes d'échanger sur leur ressenti et de leur mettre à disposition divers supports adaptés pour favoriser leur compréhension de l'actualité.
Deux membres de l'équipe du secteur jeunesse (1 permanent et 1 vacataire) ainsi que l'animatrice de l'association 1.COM1 ont participé à une formation organisée en lien avec Passeurs d'images et la DDCS à Angers. La formation « Filmer le réel » a lancé une dynamique sur le secteur à savoir d'aller avec des jeunes à la rencontre des habitants, leur proposer de les prendre en photos et y joindre leur expression autour du thème du vivre ensemble. Ces productions devraient être valorisées lors de l'Assemblée Générale du Centre Social.
La photographie aussi a été utilisée sur l'année autour d'un projet photo sur le quartier pendant lequel les jeunes allaient à la rencontre des habitants et leur demandaient ce qu'ils pensaient du territoire sur lequel ils vivaient. Ces rencontres leur ont permis de voir la diversité des habitants du quartier.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
CHARGES
Prévision
Réalisation
%
PRODUITS
Prévision
Réalisation
%
Charges directes affectées à l’action
Ressources directes affectées à l’action
60 - Achat
1600
879,00 €
70 – Vente de produits finis, prestations de services,
marchandises
600 €
12 €
Prestations de services
800 €
279 €
Achats matières et fournitures
600 €
408 €
74- Subventions d’exploitation1
5 500 €
2 250 €
Autres fournitures
200 €
192 €
Etat : (précisez le(s) ministère(s) sollicité(s)
5 000 €
61 - Services extérieurs
- CUCS
Locations immobilières et immobilières
- FIPD
Entretien et réparation
Région(s) :
Assurance
-
Documentation
Département(s) :
Divers
62 - Autres services extérieurs
2 900 €
1 209 €
Rémunérations intermédiaires et honoraires
2 400 €
700 €
Intercommunalité (s) : EPCI4
Publicité, publication
Commune(s) :
Déplacements, missions
500 €
509 €
- CAC CUCS
2 250 €
Services bancaires, autres
- CAC Hors CUCS
63 - Impôts et taxes
100 €
- Organismes sociaux (détailler)
Impôts et taxes sur rémunération
100 €
Autres impôts et taxes
64- Charges de personnel
4000
4 101,00 €
L’agence de services et de paiement (ex CNASEA, emploi aidés)
500 €
(Rémunération des personnels,
3 200 €
3 165 €
Autres établissements publics
Charges sociales,
800 €
936 €
Autres privées
Autres charges de personnel)
-
65- Autres charges de gestion courante
75 - Autres produits de gestion courante
4 220 €
5 165 €
66- Charges financières
Dont cotisations, dons manuels ou legs
67- Charges exceptionnelles
76 - Produits financiers
68- Dotation aux amortissements
78 - Reports ressources non utilisées d’opérations antérieures
Charges fixes de fonctionnement
1 720 €
1 238 €
Frais financiers
Autres
Total des charges
10 320 €
7 427 €
Total des produits
10 320 €
7 427 €
86- Emplois des contributions volontaires en nature
87 - Contributions volontaires en nature
Secours en nature
Bénévolat
1 500 €
Mise à disposition gratuite de biens et prestations
Prestations en nature
Personnel bénévole
1 500 €
Dons en nature
TOTAL
10 320 €
8 927 €
TOTAL
10 320 €
8 927 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Hommes
Femmes
Total
11-14 ans
15
10
25
15-17 ans
20
15
35
+ de 17ans
6
4
10
Total
41
29
70
- Résultat sur le territoire
- Favoriser le vivre ensemble et la socialisation
Les temps intergénérationnels et les divers événements auxquels les jeunes ont participé ont favorisé le vivre ensemble et la socialisation. Les jeunes sont sortis de leur quartier ont rencontré d'autres jeunes, des plus âgés, des professionnels du secteur. Avec le projet photo sur le quartier, ils sont allés au devant des habitants et n'ont pas hésiter à s'exprimer devant les autres.
- Favoriser l'insertion sociale des jeunes
En s'appropriant les médias, les jeunes ont réalisé à quel point la première impression que l'on donne est la plus importante. Depuis on se rend compte qu'ils soignent leur image, y compris celle qu'ils diffusent sur les réseau sociaux.
- Résultat pour le centre social
- Éduquer les jeunes aux différents médias
Les différentes sorties et animations que l'on a pu proposer ont toutes favorisées les échanges entre l'équipe d'animation et le public concernant leur pratique autour des médias. Les jeunes s'y sont livrés et étaient à l'écoute des conseils que l'on a pu leur donner (une vidéo de jeunes a été envoyé à un site Internet Spi0n.com, qui propose un zapping du pire et meilleur du web !).
- Développer l'esprit critique des jeunes
Les différents échanges que nous avons pu avoir avec le public autour des tragiques événements du début et de la fin d'année leur a permis de prendre du recul sur le trop plein d'informations auquel ils ont été soumis. Les jeunes ont réalisé que la réalité c'est eux qui la vive au quotidien, que les médias n'en montrent qu'une partie. Les rencontres avec les habitants du quartier lors du projet photo, leur ont ouvert les yeux sur les réalités de certains de leurs voisins (mixité culturelle, sociale et générationnelle, qui constituent une richesse sur notre territoire).
- Valoriser les savoirs des jeunes et les investir dans de la création, susciter des envies, des vocations
Nous avons favoriser ces savoirs et cette création en encourageant notre public a participer aux ateliers vidéo de l'association 1.COM1. Sur les 12 jeunes qui ont participé à cette aventure, 8 viennent du Centre Social Horizon.
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Les jeunes ne s'écarteront pas des médias du jour au lendemain. Ils vivent souvent accrochés à leur téléphone portable mais en connaissent-ils toutes les fonctions ? L'association 1.COM1 s'est saisie des propositions de concours qu'on lui a donné et a gagné un prix sur l'un d'entre eux autour des discriminations. De nombreux jeunes que nous côtoyons y participent, il paraît important que nous travaillions ensemble autour de projets communs. Pour 2016, nous avons fait le choix de proposer diverses actions communes pour favoriser la mixité des publics et légitimer la place de cette association dans son travail autour du cinéma. Un projet autour du cinéma va donc voir le jour ainsi qu'un séjour à thème pour des jeunes de moins de 15 ans. Nous allons aussi nous emparer de la dynamique qui s'organisait sur un événement autour des jeux vidéos (annulés) pour proposer quelque chose sur notre territoire.
Actions
Atelier français à visée professionnelle
- Structure organisatrice
- MICHEL CATONNE - BOISSY - Val-de-Marne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- alphabétisation & apprentissage du français
- Résumé
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Parmi les ateliers de Français existant sur le Centre social, les usagers ont sollicité l'équipe pour orienter un atelier français vers des enjeux de recherche d'emploi.
La séance à lieu tous les mardi matin de 9h30 à 11h30 en dehors des vacances scolaire.
Les contenus permettre de travailler sur la rédaction du CV et de la lettre de motivation ainsi que sur l'entrainement à l'entretien d'embauche.
Il s'agit également de faire découvrir les ressources du territoire ( Médiathèque, PIG, Mission locale, Forum emploi...) ainsi que l'intervention d'organismes pouvant recruter sur le territoire ou assurer des formations complémentaires.
Cette action s'inscrit dans notre projet dans le cadre de l'accès aux droits et à l'emploi.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
C'est la référente famille chargée de la coordination des ateliers de Français qui encadre celui-ci.
L'action a été lancée en 2015 afin de répondre à des demandes d'usager ou d'habitants résidants en France depuis plus de 5 ans.
L'atelier se déroule à l'année pour une douzaine de personnes et s'appui sur les échanges et les attentes des usagers et sur les différentes resources du territoire ou dse prestataires extérieurs (menée d'entretien). Les contenus sont évolutifs et correspondent aux rythmes d'acquisition des usagers.
Depuis l'année dernière, un projet de mise en place de postes informatiques devrait aboutir cette année.
IL doit permettre un meilleur accès aux tutoriels et faciliter l'environnemernt informatique afin d'en comprendre les modalités d'utilisation, d'accèder aux documents téléchargeables et de pratiquer le plus régulièrement possible.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
La commune et l'Etat financent cette action.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Une douzaine d'usagers et la Référente familles
- Résultat sur le territoire
Certaines personnes (re)trouvent un emploi ou une formation.
D'autres sont en recherchent plus active car elles se sentent plus rassurées et plus outillées.
- Résultat pour le centre social
Le Centre social est bien repéré comme étant l'acteur le plus adapté pour proposer des actions linguistiques en dehors même de la collectivité.
Les habitants saluent cette initiative.
- Résultat pour les habitants
Retrouver une confiance en soi;
Favoriser une méthodologie de recherche d'emploi;
Leur fournir le plus d'outils possible afin de faciliter leur autonomie et leur intégration dans le domaine de l'emploi.
- Suite de l'action : Limites
Cette atelier doit se poursuivre d'une année à l'autre.
Les acquisitions sont lentes à être maitrisées.
Les publics ne sont pas forcément assidus du fait des contraintes du quotidien.
- Suite de l'action : Perspectives
Recours plus régulier et plus intense à l'informatique, développer des liens avec les ateliers informatiques de la médiathèque.
Actions
De Génération à Génération
- Structure organisatrice
- CSC Rébérioux - Val-de-Marne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Résumé
Notre association poursuit son travail sur la transmission culturelle entre les générations (ou de la rupture de cette transmission) au sein de la cellule familiale, du groupe culturel d’appartenance, mais également à l’extérieur, entre des individus à priori plus éloignés. Nous développons notre projet au travers de portraits, d’entretiens d’habitants, d’expositions, de débats, de temps festifs, avec une attention particulière pour la jeunesse.
Le projet « De génération à génération » se déroulera en 2016, comme les années précédentes, parallèlement à des manifestations cinématographiques, pour être enrichi par les projections de films internationaux et les rencontres qu’elles proposent.
Cette année 2016, à l’occasion du Festival International de Films de Femmes, nous travaillerons sur la transmission d’une génération à l’autre de la relation à la musique, en faisant écho au 50 ans de l’association et en créant une passerelle avec Escale consacré cette année aux cultures créoles. Le thème de Génération à Génération permettra d’aborder la construction d’une culture musicale tout au long de la vie au travers de la transmission des parents, du partage au sein d’une même génération et, plus tard, de ses propres découvertes individuelles. La musique contribue à la construction identitaire et à l’émancipation individuelle et collective. La place de la musique est importante dans l’histoire des MJC et notre association a permis et permet à de nombreux Cristoliens de découvrir une pratique et d’aller à la rencontre de divers univers musicaux. Ce thème est également porteur pour une implication de la jeunesse.
Et parallèlement à l’œil vers consacré a priori à la Chine, nous aborderons la transmission de la culture chinoise. Dans ce pays contradictoire se posent d’immenses problèmes sociétaux et humains : mutations économiques, migrations intérieures et déplacements des populations, aménagement du territoire et environnement, droits de l’Homme et droits sociaux, aspirations à la démocratie et à la liberté d’expression, vieillissement de la population, droits des femmes… Ce territoire immense et méconnu génère aussi un mouvement d’émigration important, notamment vers la France et en particulier la région parisienne où désormais les générations originaires de Chine se succèdent. Nous voudrions aller à leur rencontre. La culture chinoise accordant une grande importance à la transmission familiale, on connait en France également de nombreuses populations sino-cambodgiennes ou sino-vietnamiennes qui se raccrochent encore à la Chine par la langue et les traditions.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Favoriser une plus grande conscientisation et lisibilite pour les cristoliens des transmissions culturelles au sein des familles
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Comme précisé précédemment, l’association, au travers du projet « Musiques, de génération à génération », souhaite favoriser les échanges sur la transmission musicale et alimenter les réflexions sur le rôle de la musique dans la construction identitaire individuelle et collective.
Les étapes de réalisation pour « Musiques de génération à génération »
Nous aborderons les thèmes de multiples manières : musiques transmises par les parents, par une génération, par l’école, les associations, les rencontres fortuites,…
La programmation du Festival International de Films de Femmes, présente également dans notre association nous permettra de provoquer une distanciation par rapport au sujet et des débats.
Nous serons très attentifs au fait de toucher et d'impliquer des publics enfants, adolescents et jeunes adultes par le biais des partenaires éducatifs et sociaux et par des relations que nous développerons lors de la préparation du projet. Le thème, la musique, peut renforcer l’intérêt de ses publics. Nous impliquerons également en particulier les familles du quartier de la Habette.
- Constitution d'une réunion de concertation pour la préparation de l'évènement pour dégager les axes des thèmes à aborder.
Nous sollicitons auprès de notre équipe composée de professionnels et de bénévoles, administrateurs de la MJC, des partenaires et des adhérents pour préparer les thèmes à aborder et les animations à mettre en place.
- Recherche d’habitants acceptant de participer aux entretiens
Nous réaliserons des entretiens audio d’habitants qui partageront la construction de leur culture musicale transmise par différents biais ainsi que des portraits permettant une présentation sous forme d’exposition et la poursuite de cet archivage depuis 2011.
- Recherche d'expositions artistiques et pédagogiques, récolte d'objets ou de documents personnels sur la ville évoquant le sujet, implication des espaces verts et des adhérents des accompagnements à la scolarité
Nous mettrons en place à la MJC Mont Mesly, au CSC Rebérioux et sur le local de la Habette, des expositions artistiques et pédagogiques. Nous travaillerons également avec les Espaces verts de la Ville de Créteil et nous ferons appel aux habitants et associations pour composer une ambiance générale. Les participants des accompagnements à la scolarité que nous gérons sur le CSC Madeleine Rebérioux et la Habette, ainsi que les adhérents des activités d’arts plastiques participeront aux travers de réalisations manuelles et de dessins.
La Médiathèque Nelson Mandela fera un écho au projet par la valorisation de la culture musicale dans ses murs au travers de points d’écoute avec des morceaux choisis des 50 dernières années. Nous bénéficierons également dans nos murs de points d’écoute semblables.
- Recherche d'un partenaire pour le Duplex
Nous rechercherons un partenaire le plus pertinent possible pour l’animation d’un débat en duplex sur le CSC Madeleine Rebérioux et nous permettant d’être en relation directe avec des jeunes en province ou à l’étranger sur des expériences liées à des pratiques musicales intergénérationnelles. Ce débat en lien avec un autre territoire permettra des échanges de points de vue sur le sujet. La musique peut rassembler ou diviser les générations. Nous pourrions aborder lors d’un débat à distance, la dimension rassembleuse de la musique dans certaines cultures (ex : Antilles, Bretagne,…).
- Organisation de temps forts, d’actions de sensibilisation et d’animations
Parallèlement au Festival International du Films de Femmes, nous organiserons des actions d’animation et festives avec les associations et les partenaires.
Un débat (thème affiné lors de la réunion de concertation pour la préparation du projet) sera mené avec l’apport des témoignages des familles et en direct avec une structure partenaire d’une autre région ou à l’étranger.
Des interventions seront programmées lors de l’accompagnement à la scolarité que nous pilotons sur le quartier de la Habette pour des CM1 et CM2 et sur le CSC pour des 6ème et 5ème. Les enfants seront impliqués pour le temps fort avec un atelier en amont conduit par un slameur. Ils travailleront en lien avec les adhérents des activités musicales.
Des interventions « surprises » ludiques seront organisées les mercredis et samedis pour les familles présentes dans les murs au Mont Mesly, à Rebérioux et à la Habette ou sur d’autres équipements nous sollicitant.
Nous réaliserons un croisement de thème avec le projet Escale tourné cette année vers les mondes créoles, co-animé par le conservatoire et la Maison de la solidarité. A cette occasion, nous aborderons la transmission de la musique créole. Nous proposerons une action d’initiation musicale en partenariat avec le conservatoire de Limeil Brevannes.
Nous impliquerons les activités de la MJC en relayant leurs propositions lors de la manifestation. Plusieurs intervenants d’activité nous ont déjà fait part de leur souhait de faire participer leurs adhérents des activités suivantes : guitare, éveil musical, théâtre et conte, jam session, …
Nous avons envisagé d’ores et déjà un partenariat avec Créteil en scène, en inscrivant une soirée dans le cadre du projet Musiques de génération à génération.
Enfin, nous proposerons des interventions pour présenter le projet et poser des débats autour de la pratique musicale lors des cafés des parents sur les collèges.
- Organisation de visites guidées des expositions
Nous proposerons des visites des expositions favorisant les échanges intergénérationnels lorsque ce sera possible : en direction des écoles, des adhérents, des centres de loisirs,…
- Organisation de lecture avec les médiathèques et mise en valeur d’une bibliographie avec consultation d’ouvrages sur place
Nous impliquerons les Médiathèques de la Plaine Centrale en amont du projet avec prêt d’ouvrages sur la musique pour l’organisation de lectures pendant la manifestation.
- à postériori du projet: conservation des projets et recherche de formes et supports de diffusion
Nous rechercherons des formes et supports de diffusion (Quat' pages, Vivre ensemble, site internet, autres...) permettant de faire vivre la récolte de matières effectuée pendant le projet
- Ressources financières mobilisées pour cette action
64500 euros
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
13 permanents (direction, animation, technique, communication) sur un total de 2200 h environ (1ETP salariés et 0.36 ETP sous-traitance ou mis à disposition).
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
Favoriser une plus grande conscientisation et lisibilite pour les cristoliens des transmissions culturelles au sein des familles
Réalisation d’entretiens, de portraits de différentes générations dans une même famille et les faire largement partager pour susciter le débat
Impliquer la jeunesse et développer des partenariats pour aborder ces questions de transmissions culturelles dans des familles d’autres régions du monde - voir projet « Lutte contre la fracture numérique »-
Organiser des expositions, des animations, des temps d’échanges, de débats, de temps festifs et conviviaux
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Création d'une exposition sur le thème du climat scolaire afin d'ouvrir les espaces d'expression entre parents-enseignants-enfants et partenaires.
- Structure organisatrice
- ASSOC. MONTARGOISE D'ANIMATION - Loiret
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Résumé
Construction entre un groupe de parents, l'Education Nationale et 3 écoles d'une exposition autour du thème du climat scolaire.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le GERPAM (Groupe de Réflexion de Parents de l'Agglomération Montargoise), soutenu par le centre social, a mené un travail de recherche de décembre 2012 à décembre 2014 sur le thème de la réussite scolaire. Cette recherche, encadrée par une anthropologue, s'est cloturée par un colloque et l'édition d'un livre "la réussite scolaire de nos enfants, parlons-en ! (détails de ce projet dans une autre fiche action). Du colloque est ressorti la difficulté pour les familles et les professsionnels de l'Education Nationale de se retrouver sur un pied d'égalité et de trouver conjointement des solutions dans l'intérêt de l'enfant. Dans un premier temps, nous avons essayé de mettre en place des rencontres parents-enseignants afin que chacun echange sur ses attentes mais la difficulté pour mobiliser nous a fait rebondir sur un autre projet. Puisque le public concerné ne vient pas à nous, le projet a donc été de créer une exposition qui pourrait circuler dans les écoles, les lieux publics afin d'ouvrir les espaces d'expression et d'échanges entre les parents, les enseignants, les enfants et les partenaires. et ainsi dégager des pistes de réflexion communes pour améliorer la vie scolaire au quotidien.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Il nous a semblé essentiel de travailler ce projet avec l'Education Nationale. Nous avons donc présenté ce projet à l'inspecteur Montargis Ouest. Nous avons été soutenu dans cettte démarche par le directeur de l'école proche du centre social, également coordinateur REP. L'inspecteur a été intéressé par l'idée. Une exposition a donc été créée conjointement par les membres du GERPAM et les 3 écoles du quartier en partant de différentes situations liées au climat scolaire. 9 panneaux ont été réalisés. Chacun aborde une situation qui a été mise en scène par les enfants et photografiée et qui est complétée par 3 points: "les enjeux", "des questions pour réfléchir" et "comment agir ensemble".
- Ressources financières mobilisées pour cette action
5000 € dont une bonne partie pour la confection des supports de l'expo.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 classes de CM2 + enseignants + 5 personnes du GERPAM
- Résultat sur le territoire
Mettre en évidence différents questionnements liés à l'école et faire réfléchir les personnes concernées autour de ces sujets afin de faire évoluer les perceptions voire améliorer la vie scolaire au quotidien.
- Résultat pour le centre social
Etablir un partenariat avec l'Education Nationale à partir d'un intérêt commun.
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Depuis janvier 2017, 2 supports circulent, entre chaque vacance, dans les écoles de REP de l'Agglomération Montargoise. L'exposition est utilisée de différentes façons par les écoles, elle est utilisée au moins par les enseignants qui abordent les différents sujets avec les élèves. Cet outil a également pour intérêt de lancer des CAFES DES PARENTS, initiatives soutenues par les inspecteurs, lancés par le coordinateur REP dans son école et auxquels l'AMA-GERPAM a participé. Un troisième support, sous forme de roll-up, est destiné aux autres lieux (collèges, médiathèques, associations, Espace Multi-Services de l'AME,...).
Actions
Fête du CLAS "Sur le chemin de Saint Exupéry"
- Structure organisatrice
- Centre Social SAINT EXUPERY - Lot-et-Garonne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Résumé
Le centre social Saint Exupéry accueille chaque année, environ une centaine d'enfants, primaires et collégiens, dans le cadre du Contrat Local d'Accompagnement à la Scolarité. A travers la promotion d'un soutien à la scolarité et d'une accessibilité à des activités socio-éducatives (sportives, culturelles, etc), c'est la réussite scolaire qui au cœur de ce dispositif. En juin 2016, à l'occasion du "Mois des familles en Lot-Et-Garonne", le centre social a organisé la première "Fête du CLAS". Cet évènement est né d'une volonté commune et partagée (élus, équipe du centre social, partenaires et parents) de valoriser le contenu éducatif réalisé tout au long de l’année scolaire en favorisant la participation des parents. Dans une dynamique participative, l’ensemble des acteurs se sont mobilisés pour créer, préparer et organiser cet évènement. Elus, parents et associations représentatives, équipe du centre social, établissements scolaires, partenaires socio-éducatifs, acteurs de la parentalité et accompagnateurs du CLAS, ont collaboré pour faire de la Fête du CLAS, un évènement convivial et familial. Au total près de 40 familles, dont les enfants sont inscrits au CLAS, se sont impliquées dans l’organisation de cet évènement, et 115 personnes (adultes et enfants) sont venues profiter en famille des animations proposées tout au long de cette journée. Au programme : divers ateliers co-animés par les parents, les accompagnateurs et les partenaires (origami, calligraphie, jeu de piste, danse, jeux surdimensionnés, théâtre, etc), une émission de radio en direct, etc. Un temps plus festif a clôturé cette première édition de la Fête du CLAS avec un spectacle d’art de rue familial suivi d’une auberge espagnole. La seconde édition de la Fête du CLAS est en cours de préparation pour 2017.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
L'ensemble des partenaires du CLAS (insitutionnels, socio-éducatifs, etc) et les parents dont les enfants bénéficient du CLAS ont été convié à une première réunion de présentation du projet. Suite à ce premier temps de rencontre et d'échange, quatre autres réunions se sont succédé afin de définir le programme et les missions de chacun (dans la préparation de l'évènement mais aussi le jour J). Une salariée du centre social a été désignée coordinatrice de l'évènement.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Le samedi des parents et des enfants
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL CONDORCET - Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
Le samedi des parents et des enfants
Objectifs de l’action :
- Valoriser les rôles et les compétences des parents
- Devenir parents ensemble dans une dynamique de groupe, se créer un réseau avec d'autres parents
- Favoriser les temps parents/enfants
- Permettre la participation et l'implication des parents dans les temps de l'enfant
- Offrir un espace d'écoute et d'échange entre parents
- Permettre l'accessibilité de ces temps à tousCe projet consiste à mettre en place des demi-journées familiales le samedi (12 demi-journées dans
l'année : une par mois cela dans le but de créer une dynamique et que cette action soit reconnue par nos
adhérents).
Le samedi des parents et des enfants est une action accessible à tous mise en place au centre social
Condorcet. Cette action est le samedi pour permettre aux personnes en emploi, en formation, au chômage, ou ne
travaillant pas de pouvoir y participer pleinement. Nous avions constaté que la mise en place de ces actions en
veillée ne fonctionnait pas car cela engendrait trop de contrainte pour les parents.
Pendant l'intervention auprès des parents, les enfants sont pris en charge par un salarié.
Le samedi des parents et des enfants se déroule de la façon suivante :
- Les parents participent à un temps d'échange avec un intervenant, d'une courte durée 1 heure environ,
autour d'une thématique comme le sommeil, l'alimentation, la prévention des écrans, le développement de
l'enfant, les relations intrafamiliales
- En parallèle les enfants ou jeunes sont pris en charge par un salarié et effectuent des activités ludiques
en lien avec la thématique
- La matinée se termine par un temps de partage parent/enfant permettant de resserrer le lien parentenfant
et de rendre compte mutuellement des découvertes faites auparavant.
Nous sommes dans une démarche participative, les familles participent dans le choix des thématiques. Le
samedi des parents et des enfants ne pourrait pas fonctionner si les familles n'étaient pas actrices lors de
l'intervention : partage de leur expérience, échanges, retours.
Exemples :
- Intervention d'une psychomotricienne sur le développement du corps de l'enfant auprès des parents et
des enfants en utilisant différents jeux pouvant être refaits facilement à la maison.
- Intervention d'une médiatrice familiale auprès de parents pour échanger ensemble sur la relation
parents-adolescent ; en parallèle les adolescentes échangent de leur côté et nous finalisons sur une rencontre
autour de jeux, d'un moment de partage parent-adolescent
- Intervention de la Ligue de l'Enseignement autour de la gestion des écrans auprès des parents et auprès
des ados
- Intervention d'orthophoniste auprès de parents avec des enfants de 3 6 ans autour de la thématique du
langage, nous proposerons un atelier conte aux enfants en même temps.
- Intervention d'un psychologue autour de la question « mon enfant refuse de manger ? Que puis-je faire ?
- Atelier cuisine auprès des parents avec notre cuisinière, nous proposons une recette simple et nous
l'adaptons en fonction des tranches d'âge des enfants, en parallèle les enfants effectuent une activité (découverte
des légumes et fruits de saison : activité que le salarié adapte selon l'âge des enfants)
- Intervention d'une comédienne d'In Pulse Creation auprès des parents et des ados autour de la relation
parent-ados (conflits, communication) : parents et ados participent ensemble à des jeux de rôle, à des mises en
situation de la vie réelle
L'action répond à un besoin identifié collectivement dans le diagnostic du territoire et découle de notre
projet social. C'est le choix du centre social de proposer cette action en plus des actions que nous menons autour
de la parentalité (sorties familiales, groupe de parents du jeudi, séjours familiaux accompagnés).
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Précision ( si autre )
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- ouvrir les actions parentalité et famille au plus grand nombre . Donc réalisation de ce temps le samedi afin que les personnes en emploi, au chômage ou en formation puissent y accéder.
résultats attendus :
des familles ayant des réalités de vie différentes puissent se rencontrer, échanger.
temps entre parents et enfants le week end
créer une dynamque dans le quartier le samedi
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
5 000 euros
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 professionnels dont 2 conseillères ESF
intervenants
- Résultat sur le territoire
temps très appréciés des familles
de nombreux échanges ont pu avoir lieu entre parents et leurs adolescents à cette occcasion (temps plus détrendues qu'en semaine)
des familles différentes se rencontrent
présence de pères lors de ces temps
- Résultat pour le centre social
dynamique sur le centre social le samedi car nous avons égalment une ludothèque qui fonctionne le samedi ap midi
ouverture du centre social aux femmes ou hommes qui ont repris un emploi ou sont entrés en formation
pour les parents déjà connus du centre social : pas de rupture dans l'accompagnement de ces familles à partir du moment où ils sont entrés en formation ou au travail
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
financEments politique de la ville aléatoires
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Installation défibrilateur - formation aux gestes de premiers secours.
- Structure organisatrice
- Centre social municipal du Val Vert - Maison de quartier Germaine TILLION - Haute-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Santé
- Résumé
Après l’étude de la carte des défibrillateurs disponibles sur la commune du Puy-en-Velay nous constatons que l’appareil le plus proche du quartier est situé dans l’enceinte sportive du stade de football du Père Fayard. Cet appareil est éloigné de 1 kilomètre par rapport au centre du quartier du Val-Vert représenté par la Place Eugène Pebellier. La place Pebellier est un lieu de passage très fréquenté par les habitants et les personnes en voiture qui trouvent des commerces de proximité et des places de stationnement. C’est aussi sur la place Pebellier que l’on trouve l’Espace Coluche (salle polyvalente) qui accueille de nombreux publics. L’espace Coluche peut accueillir 200 personnes.
L'idée:
- Le projet équiper le quartier avec un défibrillateur ( et maintenir l'appareil en état de marche).
- Former la population aux gestes de premiers secours (diplômePSC1) qui comprend la formation aux fonctionnements du défibrillateur. (Proposer une formation à la population peut favoriser l’épanouissement personnel, la réussite personnelle et permettra certainement de favoriser les actes solidaires).
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Autre
- Précision ( si autre )
L'initiative a été impulsée par le centre social municipal qui à su écouter et prendre en compte la parole des habitants.
Le centre social a concerné les commerçants du quartier afin de trouver le meilleur emplacement et pour proposer les formations.
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Ce projet a été impulsé afin de proposer un service de plus à la population, aux commerçants et aux membres des associations. De plus ce projet permet de donner la possibilté à certaines personnes d'obtenir une nouvelle compétence.
Ce projet reste un levier ou un support pour travailler divers axes de notre projet social. Pour le public, la concrétisation et l'obtention du diplôme permet de travailler divers enjeux :
- Sensibiliser les habitants
- Travailler les valeurs citoyennes
- Contribuer à valoriser le quartier et les habitants.
- Permettre la construction de l'individu par la réussite et l'obtention d'un diplôme.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Le centre social a investi pour l'achat du défibrilateur. Un agent de la structure, après étude avec les commerçants, a installé l'appareil. Nous avons contacté des associations de formation et prévention des gestes de premiers secours. Après l'inauguartion de la mise en fonction de l'appareil nous avons lancé les formations:
- Une formation avec les jeunes de l'accompagnement scolaire et leurs parents
- Une formation pour le public qui participe à nos ateliers
- Une ouverte aux commercants et a l'ensemble de la population.
A ce jour, pour chaque évènemùentiel porté par la structure ou une assovciation du quartier ( fête de quartier, repas de quarrtier...) nous proposons une formation au public.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le buget total est de 3860 euros. Les salaires sont comptabilisés.
Nous avons bénéficier d'une remise sur l'achat de l'appareil suite à une commande groupée de la ville du Puy-en-Velay.
Une partie en nature est à valoriser, car l'ensemble des personnes ayant suivi ces formations ont apporté des mets à partager afin de réaliser des repas après chaque session.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- 4 agents centre social.
- 60 personnes formées.
- 2 associations pour donner les formations.
- Résultat sur le territoire
L'impact de cette action est mesurée, ce n'est pas un bouleversement à l'echelle du territoire mais certains habitants ont pu exprimer qu'ils se sentaient considérés et que le quartier était enfin équipé.
Les formations sont de plus en plus demandées.
- Résultat pour le centre social
Ce projet reste un support pour le travail social. Certaines personnes qui ont participé à nos formations sont entrées pour un besoin individuel et nous avons su les amener vers du collectif. D'autres personnes rencontrées sur les formations sont désormais accompagnées par les travailleurs sociaux de la structure pour répondre à d'autres problématiques.
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
Nous continuerons nos actions de formation pour former un maximum de personnes.
Une fois la demande epuisée nous nous contenterons de maintenir l'appareil en état de marche.
Ce projet va certainement nous permettre de travailler d'autres actions autour de la thématique "Santé".
- Suite de l'action : Perspectives