Les actions des centres sociaux
Nom | Département | Année |
---|---|---|
Création d'un café intergénérationnel | Seine-Saint-Denis | 2017 |
Cours de français pour adultes | Seine-Saint-Denis | 2021 |
CLAS Contrat local d'accompagnement à la scolarité | Seine-Saint-Denis | 2018 |
Bla-Bla de l'accueil | Seine-Saint-Denis | 2019 |
Atelier sociolinguistique d'expression théâtrale | Seine-Saint-Denis | 2018 |
Atelier d'écriture "D'un monde à l'autre, elles sont passées" | Seine-Saint-Denis | 2018 |
ATELIER D'ACCOMPAGNEMENT A L'INTEGRATION ET A LA SOCIALISATION | Seine-Saint-Denis | 2019 |
Atelier cuisine | Seine-Saint-Denis | 2017 |
Atelier chanson | Seine-Saint-Denis | 2019 |
ASL | Seine-Saint-Denis | 2017 |
Apprentissage de la natation par un groupe d'adultes | Seine-Saint-Denis | 2019 |
Actions emploi et insertion | Seine-Saint-Denis | 2017 |
Action de prévention sur les rumeurs en milieu scolaire | Seine-Saint-Denis | 2015 |
Action de prévention sur la rumeur en milieu scolaire | Seine-Saint-Denis | 2015 |
ACCOMPAGNEMENT SOCIAL ET ADMINISTRATIF | Seine-Saint-Denis | 2019 |
"En réflexion" | Seine-Saint-Denis | 2019 |
Actions
Création d'un café intergénérationnel
- Structure organisatrice
- CS DU HAUT ET PETIT PANTIN - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Objectifs :
-
Créer un espace convivial et de lien social intergénérationnel
-
Mettre en place des ateliers cuisine
-
Développer un véritable lieu de vie dans le quartier
-
Travailler la gestion d'une programmation relative à cet espace avec les associations
Dans le cadre du projet social 2015-2018 :
Cet espace est un levier idéal à la dynamique du quartier, souhaitée par les habitant-e-s et les associations.
Il s’articulera autour de :
-
La mise en place d'ateliers cuisine et de repas partagés
-
L'accueil d'une habitant-e-s ayant pour projet un café associatif afin de lui permettre de lancer son activité
-
L’investissement des associations dans cette cuisine afin de proposer une programmation : par exemple des cafés-débat, des repas ouverts, des échanges culinaires....
Après un appel aux publics, cet espace est dénommé "Culture Pom'".
-
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le manque de dynamiqme du quartier des Pommiers (haut Pantin) a clairement été identifié dans le cadre de la construvction du projet social 2015/2018. Nous avons eu parallèlement l'opportunité de bénéficier d'un nouvel espace dans le centre social et avons choisi d'y développer un projet participatif, axé autour de la cuisine et de la culture, afin de permettre une grande mixité des publics et une programmation de développement culturel afin de dynamiser l'espace et le quartier.
Les habitant-e-s s'impliquent au fli du temps das la mise en place de cette action
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Bailleur social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Premières réunions participatives à partir de septembre 2016. l'amménagement à base de matériaux de récupération ainsi que la programmation (concerts, projections, café philo...) sont en cours avec les habitant-e-s et associations locales. Des ateliers cuisine parents-enfants ont été menés.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
3 000€ (budget municipal uniquement)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
20 habitant-e-s
5 associations
L'équipe salariée de 8 personnes (1 référent du projet)
- Résultat sur le territoire
Ce projet amène d'ores et déjà un dynamisme entre habitant-e-s et associations. L'impact réel en terme de dynamisme de territoire sera à évaluer l'année prochaine
- Résultat pour le centre social
Mobilisation des publics et concertation habtant-e-s - associations
- Résultat pour les habitants
Les habitant-e-s se retrouvent pour échanger sur le projet, donner leurs idées, aménager le lieu
- Suite de l'action : Limites
A définir
- Suite de l'action : Perspectives
L'aénagement du lieu et l'installation d'une restauration les midis + café l'après midi avec une habitant-e-s du quartier, afin de permettre aux habitant-e-s de se retrouver et de créer des liens.
Actions
Cours de français pour adultes
- Structure organisatrice
- CS ROUGEMONT - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Cours de français pour adultes - viens de terminer car durée septembre/juin
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Résumé
Objectifs pour les ELF de manière générale :
· Promouvoir l'autonomie des apprenants par une meilleure connaissance des espaces sociaux et culturels du quartier, de la commune et de la Région en commençant par la structure au sein de la quelle ils sont inscrits pour les ateliers ELF. La démarche des ateliers d'expression en langue française (ELF) part, de manière systémique, de l’espace social,et détermine les actes de langage environnants.
·Favoriser l'appropriation de la langue française orale et écrite, ainsi que les codes sociaux en lien avec la vie quotidienne et professionnelle. Le travail menant à l'autonomisation met en situation concrète l'apprenant, au sein d'un espace social qu'il va apprendre à découvrir, à explorer et à s'approprier, via des capacités nouvelles de communication. On tend donc à amener les stagiaires à s'approprier leurs besoins linguistiques de façon contextualisée, sans toutefois négliger les éléments syntaxiques, grammaticaux, phonétiques, qui leur permettront d'exploiter ces connaissances nouvelles. Ce dispositif tient donc compte des réalités et spécificités locales.
· Accompagner l’équipe de formateurs bénévoles grâce à la mise en commun de ressources pédagogiques (manuels et ressources numériques, formation en interne et par des partenaires comme la fédération des centres sociaux de Seine Saint Denis, les relais culturels de la Mission « vivre ensemble » dont, par exemple, le musée du Louvre, le centre Pompidou, le château de Versailles, etc…, l’association Radya) et d’outils de coordination pour suivre l’assiduité et la progression des apprenants.
· Consolider les partenariats avec les autres acteurs sociaux afin de favoriser l’accès aux droits (y compris le droit à l’accès à la formation linguistique), l’insertion professionnelle des apprenants (d’abord par l’accès à la formation) et leur implication dans le tissu social. Il s’agit de concevoir et d’animer le dispositif d’accompagnement et de formation en s’appuyant sur l’ensemble des ressources locales et des personnes qui interviennent dans les différents domaines du service public, tels que les bibliothèques municipales, les théâtres de la Poudrerie à Sevran et celui de la ferme Godier à Villepinte, l’atelier santé-ville, le PEIF, le CCAS, les PMI, mais aussi les associations de prévention santé et les structures culturelles ed la Région Île-de-France.
Objectifs primordiaux en ces temps de crise sanitaire, sociale et économique :
·Renforcer les interactions des personnes marginalisées du fait de leur isolement linguistique : offrir un cadre d’apprentissage convivial et bienveillant permettant la rencontre avec les autres (formateurs et co-apprenants), l’émulation par les pairs et l’ouverture sur l’environnement social et professionnel.
Sept ateliers ELF (contant 8 à 9 participant·es en raison des mesures prises contre l’expansion de la Covid) se dérouleront au cours de l’année 2020. Animés par une équipe de constituée d’une coordinatrice et formatrice salariée ainsi que d’une dizaine de formateur·rices bénévoles, ils se déploient du lundi au vendredi, à la fois en journée (9h-11h ; 13h30-15h30) et en soirée (18h30-20h30).
Les horaires et les jours d’ateliers tiennent compte des contraintes des apprenants : entrée et sorties d’école, pas de cours le mercredi à cause de présence des enfants à la maison, cours en soirée pour les travailleurs et les mères faisant garder leurs enfants par leur conjoint.
A noter : la Maison de quartier Rougemont dispose d’une Halte-jeu destinée à accueillir en priorité les enfants de 3 mois à 3 ans dont les parents sont inscrits aux ateliers ELF. Le planning des séances d’ateliers (2heures) est ainsi couplé à des créneaux de garde Halte-jeu (3heures), dans la limite de 10 enfants par créneau et à raison de 4 demi-journées par semaine.
Voici le détail des différents groupes ELF :
-
Groupe 1, A1/A2 (niveaux du CECRL, cadre commun de références pour les langues) à l’oral et à l’écrit, le matin ;
-
Groupe 2, ayant une aisance à l’oral (vers le B1) ou francophones et débutants à l’écrit (A1.1 à A1), le matin ;
-
Groupe 3, débutants à l’oral et à l’écrit (infra A1.1 à A1), le mardi après-midi ainsi que le jeudi et vendredi matin ;
-
Groupe 4, vers le A2 à l’oral et à l’écrit, l’après-midi ;
-
Groupe 5, vers le B1, l’après-midi et le soir ;
-
Groupe 6, A1/A2 à l’écrit, B1 à l’oral, le soir ;
-
Groupe 7, ayant une aisance à l’oral (vers le B1) ou francophones débutants à l’écrit (infra A1.1 à A1) ;
-
Projection-débat : séances sur différentes thématiques telles que l’emploi des femmes, l’école, la confiance en soi, l’appartenance multiculturelle, à la médiathèque L’@telier.
Visites d’exposition : préparation des visites en amont et médiation adaptée au niveau linguistique pendant la visite. Choix des musées en accord avec les apprenant·e·s dans le cadre de la mission «Vivre ensemble».
Atelier informatique : 4 à 6 séances de 2 heures pour trois groupes, animées par l’animateur informatique de la médiathèque L’@telier. Cet atelier vise à faire acquérir les compétences de bases en traitement de texte et utilisation d’Internet (recherche, démarches en ligne,apprentissage des langues via QIOZ). Pour les plus avancés, un atelier d’écriture collaborative autour du projet
auxquels s’ajouteront éventuellement deux à quatre ateliers supplémentaires à partir de janvier grâce un partenariat que nous espérons établir avec l'association SOS Solidarités ASFAM. En effet nous ne réussissons jamais (et cette année c'est encore plus affligeant de devoir refuser un aussi grand nombre de personnes) à répondre aux nombreuses demandes des habitants . Ce public hétérogène de primo-arrivants, de résidents ne maîtrisant pas la langue Française à l’écrit et/ou à l’oral sont identifiés comme prioritaires dans tous les ateliers participatifs, les conseil de usagers et donc dans les objectifs de travail de la MdQ . La langue et les supports utilisées par les services et les différentes administrations pour communiquer n’en facilite pas toujours l’accès. Les courriers ou supports de communication informant les publics de leurs droits ne sont pas toujours accessibles. Ces populations connaissent des difficultés spécifiques, la non maîtrise de la langue constitue un frein important en matière d’accès aux droits, d’exercice de la parentalité, et d’insertion socio professionnelle. Certains se découragent et finissent par renoncer à une démarche, une requête, un droit.
Nous essayons de faire au mieux et chaque groupe est présent entre 4 et 6 heures hebdomadaires, ce qui représente un total de 32 heures hebdomadaires d’ateliers au sein de la structure. Ces heures sont réparties entre des temps en classe et des temps découverte des différents espaces sociaux (PMI, Poste, médiathèque, Mairie, pharmacie, transports urbains, lieux culturels, Pôle emploi et plate-forme emploi, etc). Un calendrier est établi pour toutes les actions « hors les murs » s’inscrivant dans l’apprentissage du français et des espaces sociaux/professionnels.
En réponse aux besoins exprimés par les apprenant·e·s, les ateliers ELF ont aussi pour objectif de préparer les groupes aux diplômes du DILF, du DELF ou du TCF correspondant à leur niveau (obligatoires pour le renouvellement des titres de séjour). Plusieurs ateliers ou temps de partage seront aussi proposés en collaboration avec nos partenaires:
-
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les Maisons de quartier de Sevran font face à une très forte demande concernant l'accompagnement sociolinguistique (qui reste en grande partie insatisfaite du fait du manque de moyens humains et matériels alloués à l'action). Les habitants en demande de formation sociolinguistique nous sollicitent directement à l'accueil des MdQ et peuvent être orientés par les établissements scolaires, les services sociaux (service RSA), le Pôle Emploi, les clubs de prévention et les différentes structures du territoire. Les tests de positionnement permettent dans un second temps de définir plus finement les attentes des bénéficiaires. Dans le cadre des ateliers, les stagiaires sont ensuite invités à exprimer leurs attentes quant aux contenus de l'accompagnement sociolinguistique. Celui-ci doit donc être développé en constante adéquation avec les besoins primordiaux exprimés. Les ateliers sont volontairement mixtes en genre, culturellement divers, socialement inclusifs et sans discrimination aucune. Nous travaillons sur une dynamique de groupe qui favorise un climat de bienveillance et d'entraide parmi les stagiaires.
Ces ateliers se donnent pour vocation, entre autres, de transmettre les valeurs fondatrices de la République, mais aussi la laïcité, la démocratie, la solidarité, le respect des cultures. Les ateliers sont ouverts à tous les adultes, hommes et femmes habitants de la ville de Sevran. Ceux-ci s'engagent à respecter une charte rappelant les valeurs de la république, de la laïcité, spécifiant que les les ateliers sont mixtes et à respecter les locaux et les personnes franchissant le seuil de la maison de quartier.
La démarche pédagogique que nous adoptons, pensée en direction des adultes, est fondée sur les principes suivants :
·Prendre en compte les centres d’intérêts des apprenants pour définir les contenus des apprentissages.
·Solliciter les connaissances et l’expérience de chacun.
·Repérer et prendre en compte le profil d’apprentissage de chaque apprenant en prêtant attention à ce raisonnement mis en oeuvre et à la sensibilité propre à chacun qui pourrait favoriser ou gêner la démarche
formative.
·Solliciter l’interactivité entre les apprenants pour susciter l’activité de tous, l’entraide et l’émulation au sein
du groupe.
·Favoriser un processus d’auto-évaluation progressif.
·Proposer des animations de travail en situation de communication réelle (démarche actionnelle).
L'apprentissage de la langue est alors un moyen et non le but unique des ateliers. La finalité, à la suite
d'un processus dynamique, aboutira à l'autonomie complète de la personne.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
L'appropriation des contenus s'effectue dans un va-et-vient continu entre « ateliers complémentaires au sein de la structure » et « visites des espaces sociaux et culturels de proximité ». Tout apprenant inscrit aux ateliers ELF participe au préalable à un test de positionnement qui détermine ses acquis linguistiques et ses capacités d'autonomie dans la vie quotidienne. Il en ressort que les besoins principaux des stagiaires s'articulent autour : - de la nécessité de communiquer dans la sphère sociale et d'être autonome dans ses démarches quotidiennes (administratives, scolaires, professionnelles)
- de la maîtrise des réalités socioculturelles du pays d'accueil - de l'affermissement, de l'estime de soi, et de la confiance en ses capacités de communication et d'insertion.
L'appropriation des contenus s'effectue dans un va-et-vient continu entre « ateliers complémentaires au sein de la structure » et « visites des espaces sociaux et culturels de proximité ». Tout apprenant inscrit aux ateliers ELF participe au préalable à un test de positionnement qui détermine ses acquis linguistiques et ses capacités d'autonomie dans la vie quotidienne. Il en ressort que les besoins principaux des stagiaires s'articulent autour : - de la nécessité de communiquer dans la sphère sociale et d'être autonome dans ses démarches quotidiennes (administratives, scolaires, professionnelles)
- de la maîtrise des réalités socioculturelles du pays d'accueil - de l'affermissement, de l'estime de soi, et de la confiance en ses capacités de communication et d'insertion.
L'appropriation des contenus s'effectue dans un va-et-vient continu entre « ateliers complémentaires au sein de la structure » et « visites des espaces sociaux et culturels de proximité ». Tout apprenant inscrit aux ateliers ELF participe au préalable à un test de positionnement qui détermine ses acquis linguistiques et ses capacités d'autonomie dans la vie quotidienne. Il en ressort que les besoins principaux des stagiaires s'articulent autour : - de la nécessité de communiquer dans la sphère sociale et d'être autonome dans ses démarches quotidiennes (administratives, scolaires, professionnelles)
- de la maîtrise des réalités socioculturelles du pays d'accueil - de l'affermissement, de l'estime de soi, et de la confiance en ses capacités de communication et d'insertion.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
10.000
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 Coordinatrice ASl
20 benevoles (13 actifs pendant le confinement)
- Résultat sur le territoire
La crise sanitaire a complètement bouleversé la vie de millions de personnes en cette dernière année. 2020 a été une année hors normes. L'épidémie de coronavirus a changé nos vies et bouleversé la vie économique du pays.
Le 17 mars 2020, tout bascule : l'économie s'arrête, et depuis les français découvrent le télétravail.
Dans ce contexte les Maisons de quartier de Sevran ont toujours maintenu le lien avec les habitants. Elles ont porté soutien et accompagnement, elles ont continués les activités là où elles étaient possible avec tous les moyens qui leurs étaient données.
Le CLAS et les ELF ont continué pendant le confinement et après, les jeunes et surtout les apprenants ont eu la possibilité de s'exprimer et d’être accompagnés.
Tout ne s'est, certes, pas passé comme on l'avait prevu et dans ce contexte il est difficile de faire appel aux indicateurs qui étaient prévus. Il est difficile d’évaluer la qualité des cours dispensés via Zoom ou sur un banc du canal de l'Ourq …
Au vu de la situation, ce qu'il paraît à l'humble rédacteur de ce bilan c'est que les objectifs ont été largement atteints parce que malgré toute les difficultés l’apprentissage s'est fait, le lien et le care ont continué à exister, l'envie d'apprendre et d’évoluer ou de s’intégrer ont trouver un objet pour les satisfaire
.
Comment faire face aux difficultés engendrés par l’épidémie et concevoir un nouveau futur c'est le défis qui nous relevons pour 2021 et les années à venir.
- Résultat pour le centre social
Les ateliers se sont déployés du lundi au vendredi, en journée (9h-11h ; 13h30-15h30) et en soirée (18h30-20h30). À noter : la Maison de quartier Rougemont dispose d’une Halte-jeu destinée à accueillir en priorité les enfants de 3 mois à 3 ans dont les parents sont inscrits aux ateliers ELF.
Chaque groupe a été présent entre 4 et 6 heures hebdomadaires, ce qui représentait un total de 32 heures hebdomadaires d’ateliers au sein de la structure. Ces heures ont été réparties entre des temps en classe et des temps de découverte des différents espaces sociaux (PMI, Poste, médiathèque, Mairie, pharmacie, transports urbains, lieux culturels, Pôle emploi et plate-forme emploi, etc.).
Ils ont étés portés par une coordinatrice formatrice et 15 bénévoles.
Concernant l’accompagnement des formateurs, l’équipe bénévole a participé à plusieurs sessions de formation organisées par la Fédération des centres sociaux, le Radya, l’Assfam, d'abord en présentiel et puis en ligne pendant toute l'année.
167 apprenants
16 groupes au total ainsi repartis :
ELF A2 : 3 groupes
ELF Alpha : 2 groupes
ELF A1 : 5 groupes
ELF B1 : 2 groupes
ALF A2/B1 : 2 groupes
ELF A1/Alpha : 2 groupes
Quatre niveaux ont été définis selon le degré d’autonomie et de maîtrise de la langue des apprenant·e·s : un niveau pour les profils « alpha » (A1.1 du CECRL), un niveau débutant où l’autonomie des apprenants est en phase de construction à l’oral comme à l’écrit (A.1), un niveau intermédiaire correspondant à une phase de consolidation (A2) et un niveau d’acquisition plus avancée (B1). Les effectifs étaient compris entre une dizaine et une vingtaine de stagiaires par groupe. Deux groupes mêlent les niveaux alpha et A1.
En réponse aux besoins exprimés par les apprenant·e·s, les ateliers ELF ont aussi eu pour objectif de préparer les groupes aux diplômes du DILF, du DELF ou du TCF qui sont obligatoires pour le renouvellement des titres de séjour. En période de vacances scolaires puis pendant une semaine avant la session de juin 2019, des stages de préparation ont été organisés pour les apprenants inscrits aux examens.
Les ateliers se sont déployés du lundi au vendredi, en journée (9h-11h ; 13h30-15h30) et en soirée (18h30-20h30). À noter : la Maison de quartier Rougemont dispose d’une Halte-jeu destinée à accueillir en priorité les enfants de 3 mois à 3 ans dont les parents sont inscrits aux ateliers ELF.
Chaque groupe a été présent entre 4 et 6 heures hebdomadaires, ce qui représentait un total de 32 heures hebdomadaires d’ateliers au sein de la structure. Ces heures ont été réparties entre des temps en classe et des temps de découverte des différents espaces sociaux (PMI, Poste, médiathèque, Mairie, pharmacie, transports urbains, lieux culturels, Pôle emploi et plate-forme emploi, etc.).
Ils ont étés portés par une coordinatrice formatrice et 15 bénévoles.
Concernant l’accompagnement des formateurs, l’équipe bénévole a participé à plusieurs sessions de formation organisées par la Fédération des centres sociaux, le Radya, l’Assfam, d'abord en présentiel et puis en ligne pendant toute l'année.
167 apprenants
16 groupes au total ainsi repartis :
ELF A2 : 3 groupes
ELF Alpha : 2 groupes
ELF A1 : 5 groupes
ELF B1 : 2 groupes
ALF A2/B1 : 2 groupes
ELF A1/Alpha : 2 groupes
Quatre niveaux ont été définis selon le degré d’autonomie et de maîtrise de la langue des apprenant·e·s : un niveau pour les profils « alpha » (A1.1 du CECRL), un niveau débutant où l’autonomie des apprenants est en phase de construction à l’oral comme à l’écrit (A.1), un niveau intermédiaire correspondant à une phase de consolidation (A2) et un niveau d’acquisition plus avancée (B1). Les effectifs étaient compris entre une dizaine et une vingtaine de stagiaires par groupe. Deux groupes mêlent les niveaux alpha et A1.
En réponse aux besoins exprimés par les apprenant·e·s, les ateliers ELF ont aussi eu pour objectif de préparer les groupes aux diplômes du DILF, du DELF ou du TCF qui sont obligatoires pour le renouvellement des titres de séjour. En période de vacances scolaires puis pendant une semaine avant la session de juin 2019, des stages de préparation ont été organisés pour les apprenants inscrits aux examens.
Les ateliers se sont déployés du lundi au vendredi, en journée (9h-11h ; 13h30-15h30) et en soirée (18h30-20h30). À noter : la Maison de quartier Rougemont dispose d’une Halte-jeu destinée à accueillir en priorité les enfants de 3 mois à 3 ans dont les parents sont inscrits aux ateliers ELF.
Chaque groupe a été présent entre 4 et 6 heures hebdomadaires, ce qui représentait un total de 32 heures hebdomadaires d’ateliers au sein de la structure. Ces heures ont été réparties entre des temps en classe et des temps de découverte des différents espaces sociaux (PMI, Poste, médiathèque, Mairie, pharmacie, transports urbains, lieux culturels, Pôle emploi et plate-forme emploi, etc.).
Ils ont étés portés par une coordinatrice formatrice et 15 bénévoles.
Concernant l’accompagnement des formateurs, l’équipe bénévole a participé à plusieurs sessions de formation organisées par la Fédération des centres sociaux, le Radya, l’Assfam, d'abord en présentiel et puis en ligne pendant toute l'année.
167 apprenants
16 groupes au total ainsi repartis :
ELF A2 : 3 groupes
ELF Alpha : 2 groupes
ELF A1 : 5 groupes
ELF B1 : 2 groupes
ALF A2/B1 : 2 groupes
ELF A1/Alpha : 2 groupes
Quatre niveaux ont été définis selon le degré d’autonomie et de maîtrise de la langue des apprenant·e·s : un niveau pour les profils « alpha » (A1.1 du CECRL), un niveau débutant où l’autonomie des apprenants est en phase de construction à l’oral comme à l’écrit (A.1), un niveau intermédiaire correspondant à une phase de consolidation (A2) et un niveau d’acquisition plus avancée (B1). Les effectifs étaient compris entre une dizaine et une vingtaine de stagiaires par groupe. Deux groupes mêlent les niveaux alpha et A1.
En réponse aux besoins exprimés par les apprenant·e·s, les ateliers ELF ont aussi eu pour objectif de préparer les groupes aux diplômes du DILF, du DELF ou du TCF qui sont obligatoires pour le renouvellement des titres de séjour. En période de vacances scolaires puis pendant une semaine avant la session de juin 2019, des stages de préparation ont été organisés pour les apprenants inscrits aux examens.
Les ateliers se sont déployés du lundi au vendredi, en journée (9h-11h ; 13h30-15h30) et en soirée (18h30-20h30). À noter : la Maison de quartier Rougemont dispose d’une Halte-jeu destinée à accueillir en priorité les enfants de 3 mois à 3 ans dont les parents sont inscrits aux ateliers ELF.
Chaque groupe a été présent entre 4 et 6 heures hebdomadaires, ce qui représentait un total de 32 heures hebdomadaires d’ateliers au sein de la structure. Ces heures ont été réparties entre des temps en classe et des temps de découverte des différents espaces sociaux (PMI, Poste, médiathèque, Mairie, pharmacie, transports urbains, lieux culturels, Pôle emploi et plate-forme emploi, etc.).
Ils ont étés portés par une coordinatrice formatrice et 15 bénévoles.
Concernant l’accompagnement des formateurs, l’équipe bénévole a participé à plusieurs sessions de formation organisées par la Fédération des centres sociaux, le Radya, l’Assfam, d'abord en présentiel et puis en ligne pendant toute l'année.
167 apprenants
16 groupes au total ainsi repartis :
ELF A2 : 3 groupes
ELF Alpha : 2 groupes
ELF A1 : 5 groupes
ELF B1 : 2 groupes
ALF A2/B1 : 2 groupes
ELF A1/Alpha : 2 groupes
Quatre niveaux ont été définis selon le degré d’autonomie et de maîtrise de la langue des apprenant·e·s : un niveau pour les profils « alpha » (A1.1 du CECRL), un niveau débutant où l’autonomie des apprenants est en phase de construction à l’oral comme à l’écrit (A.1), un niveau intermédiaire correspondant à une phase de consolidation (A2) et un niveau d’acquisition plus avancée (B1). Les effectifs étaient compris entre une dizaine et une vingtaine de stagiaires par groupe. Deux groupes mêlent les niveaux alpha et A1.
En réponse aux besoins exprimés par les apprenant·e·s, les ateliers ELF ont aussi eu pour objectif de préparer les groupes aux diplômes du DILF, du DELF ou du TCF qui sont obligatoires pour le renouvellement des titres de séjour. En période de vacances scolaires puis pendant une semaine avant la session de juin 2019, des stages de préparation ont été organisés pour les apprenants inscrits aux examens.
Grâce à l’étonnante capacité d'anticipation de l’équipe composé par la coordinatrice/formatrice et par les bénévoles nous avons étés capables de reprendre des cours en ligne depuis le mardi 17 mars.
Le groupe de formateurs avait prevu l’éventualité d'un confinement et il s'y était préparé.
Ainsi des groupes What's app ont étés crées pour les apprenants qui n’étaient pas positionnés sur aucun (il faut dire que les bénévoles ont l'habitude d'envoyer des compléments de cours via le groupes – une classe = un groupe Wapp)
Une bénévole était référente pour l'installation des logiciels (Wapp et Zoom, House party etc) elle fournissait assistance en ce domaine.
3 cours en moyenne, voir 4 selon la disponibilité des bénévoles ont eu lieu pendant toute la période du confinement et dès que possible des cours en plein air ont eu lieu sur les berges du canal et sur la terrasse de la MdQ quand celle ci a rouvert au public et pendant toute l'été. (cela évidemment dans le respect des règles de distanciation)
Depuis juin 5 groupes groupes ont fonctionné pendant ce période, avec une présence totale plutôt aléatoire de 35/40 personnes.
La MdQ Rougemont accueille parmi ses adhérents et cela depuis sa création les résidents des trois résidences sociales avoisinantes, pendant la période confiné l’équipe s'est fait relais de leurs besoins en terme de colis alimentaires et aussi des masques, car beaucoup parmi les résidents ont continué le travail mais sans en être équipés. Ils ont étés destinataires du premier lot produit par la MdQ.
De septembre à décembre :
Les ateliers se déroulent du lundi au vendredi, en journée (9h-11h ; 13h30-15h30) et en soirée (18h00-19h30). Nombre de cours (séances) par semaine : 21.
Il se déroulent dans le plus stricte respect des normes de sécurité et sont portés par une Coordinatrice formatrice et 10 bénévoles. 10 stagiaires max par groupe. Un certains nombre de bénévoles avec des profiles à risque a mis en stand by son engagement pour le moment. Par contre l’équipe de bénévoles du Secours catholique avec lequel on collaborait nous a rejoint pour donner main forte sur les cours.
Nombre d’apprenants : 96
11 groupes au total ainsi repartis :
1 groupe débutant A1.1
2 groupes ateliers écritures du quotidien/ prépa A1
1 groupe A1
1 groupe ASL, depuis octobre Courses alimentaires et Santé (en lien avec la PMI et en association avec Ethnologues en herbe)
2 groupes A2, prépa DELF A2
1 groupe A2, renforcement écrit, prépa DELF A2
1 groupe A2/ B1, prépa DELF B1 ou A2 + atelier avec Ethnologues en herbe « Récits de vie et portraits des femmes du quartier »
1 groupe B1, prépa DELF B1, préparation démarche de naturalisation
1 groupe B1, renforcement écrit et prépa DELF B1A ce propos nous décomptons :
29 inscrits au DELF depuis septembre 2020 :
20 admis
2 non admis
2 reportés
5 en attente de résultatsAteliers ASSFAM : ASL emplois d’octobre à janvier,
ASL Accès aux droits (3 sessions, 1e de février à mars) 10 personnes max
- Résultat pour les habitants
Malgré la période une liste d’attente est ouverte qui donne la possibilité à toute personne désirant s’inscrire à une formation linguistique d’être reçue lors d’une permanence (à raison de deux mercredis par mois) avec la coordinatrice-formatrice. Après un test de positionnement, ces personnes intègrent les groupes déjà constitués (quand il y a de places) ou sont orientées vers des structures partenaires dans la mesure des capacités d’accueil de ces dernières, mais ce n'est pas malheureusement le cas actuellement.
- Suite de l'action : Limites
Impossibilité de faire face aux nombre des demandes. Cette action est très demandée elle represente un enjeu dans la vie des apprenants :
un travail ou un meilleur travail, un permis de sejour, la naturalisation sont en jeu.
- Suite de l'action : Perspectives
La formation linguistique des adultes est un processus d’adaptation et d’élargissement identitaire, empathie et discernement sont à développer côté enseignants et côté
apprenants. Il y va du vivre ensemble et de la compréhension de soi et de l’autre. Nous nous retrouvons en présence des publics de plus en plus hétéroclites, au quotidien cela veut dire une diversification des répertoires langagiers et des niveaux scolaires. Nous devons donc nous attacher à déterminer les éléments langagiers manquants à leur répertoire afin de favoriser la communication dans toutes les situations qu’ils rencontrent. Les besoins langagiers des adultes migrants sont difficiles à déterminer car il existe autant de besoins qu’il existe de sujets.
Ceci oblige à une réflexion renouvelée sur les besoins des personnes, les manuels et matériels utilisés en situation de formation, l'appréhension des compétences orales et écrites et leur évaluation. De plus, de nouveaux usages liés au numérique viennent bouleverser les pratiques de formation. La formation et l'accompagnement que nous proposons sont aussi une écoute de l’autre dans son originalité et dans toutes ses dimensions. C’est une manière d’accompagner autrui dans son processus de croissance, vers plus de maturité et de liberté intérieure.
C'est en conséquence un grand cycle d'accompagnement des adultes et des enfants qui se préfigure, les paroles des habitants et des professionnels ainsi que les observations directes incitent la Maison de quartier vers un accroissement dans l'implication du travail éducatif. Au sein de cette démarche se déligne un pôle important concernant communication et linguistique. Ce type d’apprentissage a une portée directe sur la vie quotidienne, les apprenants ont un projet et un objectif précis puisqu’il s’agit pour eux de s’intégrer dans la société d'accueil. Quand un apprenant s’engage, c'est une démarche consciente, volontaire et observable et qui a pour but l’appropriation de la langue et de outils communicationnels du pays d’accueil pour évoluer dans sa société de façon durable, souvent définitive.
Actions
CLAS Contrat local d'accompagnement à la scolarité
- Structure organisatrice
- SFM MONTREUIL - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Solidarité
- Intégration
- Résumé
Les actions d’accompagnement éducatif s’adressent aux enfants du CP au CM2 et aux jeunes du collège de la 6ème à la 3ème et se sont déroulées tout au long de l'année scolaire 2017.
Les actions entrant dans le cadre du CLAS proposent un accueil de proximité, une aide individualisée au travail scolaire et des activités éducatives. La proximité de l’équipement rassure les familles et offre aux jeunes un cadre de référence structurant, des personnes ressources pour les accompagner dans leur travail scolaire.
L’Aide individualisée au travail scolaire : Elle se traduit par une aide directe aux devoirs (aide à la mémorisation des leçons et la résolution de problèmes) et porte essentiellement sur l’appropriation d’une méthode de travail : Apprendre à travailler seul, devenir plus autonome et savoir rechercher de la documentation et comprendre l’énoncé des consignes.
Les activités éducatives : D’autres activités éducatives se réalisent pendant et en dehors de l’activité. Les animations, les sorties culturelles valorisent leur expression, stimulent leurs compétences intellectuelles.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place pour répondre aux difficultés d'apprentissage des enfants et des jeunes collégiens et contribuer à leur réussite scolaire. Il offre un cadre structurant et rassurant, composé d’une équipe de référents d'anciens enseignants et de jeunes étudiants.
Les objectifs visent à :
- Proposer un temps éducatif, un accès au savoir en dehors de l’école et de la famille.
- Apporter aux enfants et aux jeunes une aide méthodologique pour favoriser leur autonomie.
- Elargir leurs centres d’intérêt et les motiver dans leurs apprentissages.
- Valoriser les compétences des enfants et des jeunes.
- Soutenir les parents dans leur rôle éducatif.
- Encourager la communication entre les familles et l’école.
- Public
- Enfance
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Caf
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
L'action est menée 2 fois par semaine et propose en direction des enfants et des jeunes :
- Des espaces de travail propices à l’apprentissage
- La mise à disposition de jeux éducatifs et d’un petit matériel adapté.
En direction des familles, les professionnels et les encadrants bénévoles assurent :
- Un accueil de proximité, disponible et à l’écoute des familles.
- Des rencontres régulières avec les familles et les équipes éducatives scolaires.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
CAF : 6 260€
Ville de Montreuil : 9 160€
FONJEP : 3 350€
Participation des usagers : 490€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 salariée, permanente responsable de l'action
1 jeune volontaire en service civique
1 stagiaire en formation d'assistante sociale
5 intervenants bénévoles
- Résultat sur le territoire
Les jeunes sont soutenus par une équipe pédagogique, valorisés dans leurs efforts d'apprentissage. Ils se consacrent à leurs études et évitent les pièges de la petite délinquance.
- Résultat pour le centre social
La volonté du centre social est d'être dans une dynamique d'accompagnement global du jeune. Le Centre Social apporte une qualité éducative dans l’apprentissage et privilégie l’aide individualisée.
- Résultat pour les habitants
Les enfants et les jeunes ont acquis des compétences et ont progressé. Ils sont plus autonomes dans leur travail personnel.
Les différentes activités socio-éducatives multiplient les occasions d’apprendre, stimulent les compétences intellectuelles. Les jeux proposés favorisent la concentration. Ils sont nombreux à participer aux ateliers socio-éducatifs, à les apprécier et sont réguliers aux activités.
- Suite de l'action : Limites
L'équipe des intervenants bénévoles est difficile à recruter. Certains jeunes ont des problèmes de concentration.
- Suite de l'action : Perspectives
Elargir l'équipe des bénévoles. Recruter un jeune volontaire en service civique. Poursuivre le partenariat avec les écoles et collége du quartier.
Actions
Bla-Bla de l'accueil
- Structure organisatrice
- Centre socioculturel CLARA ZETKIN - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Résumé
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Atelier sociolinguistique d'expression théâtrale
- Structure organisatrice
- SFM MONTREUIL - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Intégration
- alphabétisation & apprentissage du français
- Résumé
Les ateliers théâtre font partie des ateliers sociolinguistiques dont le but est de parvenir à une autonomie sociale l’acquisition de compétences langagières et socioculturelles.
9 séances et une restitution ont été réalisées, animées par une comédienne de la compagnie de théâtre Les Anthropologues de La Noue pour favoriser l’expression orale des participants afin qu'ils prennent confiance en leurs capacités.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place pour répondre aux difficultés orales des participants et leur difficulté d'intégration dans le quartier. Les ateliers théâtre sont un moyen d'apprendre la langue française de façon plus ludique. Le travail de répétition, de mémorisation des textes améliorent la prononciation, la diction. Ils valorisent les participants, les mettent en scène. Ils gagnent en confiance, s'expriment mieux, osent davantage prendre la parole en public.
L'action a été menée en partenariat avec un théâtre qui propose une approche différente de l'apprentissage de la langue, à la fois ludique et corporelle. Les ateliers développent la créativité des participants par des jeux théâtraux et font connaître le théâtre de la Noue auprès des habitants.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Commune
- Conseil départemental
- Etat
- Fondations
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
13 participantes de l’atelier sociolinguistique. Le groupe était composé de personnes ne maîtrisant pas le français oral, souhaitant acquérir un langage de base pour communiquer dans différentes situations de la vie quotidienne.
Les ateliers se sont déroulés de la manière suivante :
Échauffement et bases du théâtre : Tous les ateliers ont débuté par un moment de relaxation et un échauffement au travers d’exercices sur la respiration, sur la conscience de l’autre et de soi, sur l’occupation de l’espace. Il s’agissait de créer une dynamique de groupe. Les participantes ont appris les bases du théâtre et des outils pour jouer sur scène : l’écoute, le geste, la parole, l’imaginaire, le langage du corps, la relation au partenaire, le rythme…
Improvisations seules ou à plusieurs, prise de parole et créativité :Les improvisations et scénettes avaient pour but de mettre les participantes dans des situations de la vie quotidienne en s’exprimant par gestes et avec des mots.
Atelier d’écriture Les participantes ont écrit des petits récits de vie en français et dans leurs langues maternelles.
Ces différents textes ont donné lieu à un spectacle qui s’articulait en 3 temps : Textes exprimant leur arrivée en France, écrit dans leur propre langue puis traduit par le reste du groupe « le chœur » par des gestuels : Textes de leurs souvenirs dits en français accompagnés de gestes. Un 3éme temps visait à faire participer le public qui répétait en tamoul, en anglais et en arabe quelques mots usuels.
Ce spectacle d’une vingtaine de minutes s’est produit dans le cadre du festival « Mitcho la rue » se déroulant en plein air dans le quartier Politique de la Ville de la Noue.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
9 séances de théâtre en direction des primo-arrivants et 1 restitution au théâtre Les Anthropologues de La Noue : 1 877.90€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- 13 participantes de l’atelier sociolinguistique
- La comédienne et la chargée du développement culturel du théâtre de la Noue
- La coordinatrice pédagogique du centre social
- Résultat sur le territoire
- L'enrichissement de l'offre culturel du territoire :
- Unemeilleure intégration des habitants du territoire
- Le développement des liens entre les habitants et les institutions culturelles : les participantes ont découvert un nouveau lieu culturel de la ville et ont participé à un évènement festif sur le quartier de La Noue
- Résultat pour le centre social
- La valorisation des talents des usagers du centre social.
- Résultat pour les habitants
- Une meilleure compréhension et expression de la langue française
- La reprise de confiance en soi et en ses capacités
- La valorisation du travail et des talents des participants et le développement de leur créativité
- Suite de l'action : Limites
- Les appréhensions des participants qui n'osent pas jouer et prendre la parole en public. La non-maîtrise de la langue française des stagiaires.
- Suite de l'action : Perspectives
L'action sera maintenue en partenariat avec le théâtre. De nouveaux projets culturels verront le jour en 2018.
Actions
Atelier d'écriture "D'un monde à l'autre, elles sont passées"
- Structure organisatrice
- CS MAISON DE QUARTIER PASTEUR - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
L'action ayant débuté en 2016, s'est poursuivie au cours de l'année 2017 pour aboutir à la réalisation d'un livret illustré qui a été présenté par les apprenantes lors d'une soirée à la Médiathèque Persépolis en présence des familles, des élus, et de certains partnaires qui ont soutenu l'action.
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Résumé
Objectifs généraux :
- Favoriser l’insertion sociale à travers la mise en place d’actions culturelles.
- Favoriser les liens entre les différents habitants du quartier.
- Lutter contre la fracture numérique.
Objectifs pédagogiques :
- Développer les expressions orales et écrites des publics primo-arrivants.
- Familiariser les participants aux outils informatiques de bureautique et de retouche d’images.
Présentation du projet :
Malika ABINA anime des ateliers sociolinguistiques, auprès d’un groupe de femmes, à la Maison de quartier Pasteur, depuis plusieurs années.
Pour permettre aux participantes de s’exprimer et créer des dynamiques de groupe, elle les accompagne régulièrement dans l’élaboration de projets culturels (réalisation de pièces de théâtre, détournement d’affiches à partir de films visionnés par le groupe…).
- Malika ABINA, intervenante bénévole qui anime des ateliers sociolinguistiques, auprès d’un groupe de femmes, à la Maison de quartier Pasteur.
- Jacques LUDER, référent informatique sur la Maison de quartier Pasteur.
Nombre de séances prévu : 1 dizaine de séances.
10 séances de février à mai (les dates des sessions de l’atelier peuvent être changées en fonction des disponibilités de l’animateur, planning à finaliser)
2 séances par mois avec pour objectif de présenter le livret lors du festival Transit
Les apprenantes de l’atelier ASL du mercredi soir.
Le projet a été financé par :
- La Ville
- L’Etat ( CGET)
Les participantes à l’atelier de Malika ont pu élaborer un texte pour présenter leur parcours de vie. En fonction de leur maîtrise de la langue, de l’écrit, les approches de prises de paroles, à la mise en texte étaient différentes, de la personne autonome qui élabore son propre récit, à la personne qui écrit partiellement (impliquant un travail de réécriture), jusqu’à la personne qui ne parle que très peu le français et ne maîtrisant pas du tout l’écrit avec qui il a parfois fallu travailler avec une traductrice.
Des personnes ne participant pas à l’atelier de Malika, mais intéressés par ce travail d’écriture, ont également pu apporter leur témoignage.
Pour amener les participants à se confier, sur les raisons, l’organisation de leur départ, leurs sentiments, les conditions d’arrivée…, un questionnaire a été élaboré.
Les parcours sont divers, parfois chaotiques, violents, c’est pour cette raison que les témoignages sont restés anonymes.
L’atelier a également été ponctué de sorties : visites de la médiathèque, visionnage de films au cinéma qui a d’ailleurs donné lieu à un travail de détournement d’affiches des films visionnés par les participantes (ateliers informatiques bureautique et retouche d’image), musée du Louvre, théâtre et atelier danse au Centre National de danse à Pantin. Une soirée interculturelle a aussi eu lieu au mois de juin 2016 où les dames ont pu réaliser et présenter des panneaux d’informations sur leur pays d’origine, ainsi que les affiches détournées, l’ensemble autour d’un grand repas-temps convivial.
Au mois de juin 2017, le recueil "D’un Monde à l’autre, elles sont passées" est créé. Le contenu, tout comme la mise en page du livret ont été effectués, en grande partie par les participantes. Pour ce faire, elles ont réalisé une série de panneaux (proportionnels au format du livret) mêlant jeux de collages de leur propre textes et décorations diverses. Puis l’ensemble a été photographié.
Les éléments que les participantes n’ont pas pu finaliser ont été aboutis par des bénévoles intéressés par la démarche.
Lors du premier temps de restitution qui a eu lieu au mois de juin 2017 à la Maison de quartier Pasteur, Jean Luc, bibliothécaire à la médiathèque Glarner, accompagné de Juliette Piedevache, comédienne, nous ont offert une lecture des témoignages, et la chanteuse-slameuse Tata Milouda qui avait bénéficié d’ateliers ASL avant d’entamer une carrière d’artiste professionnelle, était également présente.
Bilan quantitatif :
- Nombre d’apprenants ayant participé au projet : 16
- Nombre d’habitants ne participant aux ateliers ASL de Malika mais ayant témoigné de leur parcours de vie : 3
- Nombre d’habitants ayant participé bénévolement dans la mise en œuvre du projet (aide à la traduction de textes ou de paroles de participants ne maitrisant pas du tout la langue, ou aide à la réalisation de panneaux) : 8
- Nombre total de séances : 25
Coût financier :
Le projet s’est finalement déroulé sur deux ans au lieu d’un an initialement prévu. En effet, Au cours de la première année, un certain nombre de participantes ont déménagé ou trouvé un travail, ainsi le nombre de témoignages obtenus n’a pas été suffisant et nous n’avons pas eu suffisamment de temps pour réaliser le travail de mise en page.
Cependant, à travers les diverses actions mises en place pendant le temps du projet et les nombreuses personnes qui sont venues apporter leur soutien, le projet a dépassé le simple cadre initial, et il n’est d’ailleurs pas terminé.
Afin de valoriser ce travail, une exposition suivie d’échanges autour de la présentation des panneaux et du livret sera organisée à la médiathèque Persepolis entre au mois de novembre 2017. D’ailleurs, la médiathèque s’inscrit dans une dynamique d’ouverture en direction des participants ASL et FLE. Cette réalisation, même si elle ne s’adresse pas strictement au public ASL, peut être l’occasion de créer des passerelles avec ce public puisque l’exposition et le recueil qui en est issu donnent à voir et lire les paroles de femmes autour de leur exil, départ de leur pays et arrivée en France.
Cette exposition devrait être présentée aux autres groupes ASL et FLE de la ville qui seront amenés à visiter la médiathèque du 17 octobre à mi-novembre. Le livret pourra ainsi servir d’élément de travail, discussions, valorisation des parcours de vies des apprenantes. Et pour d’autres bénévoles encadrant des ateliers ASL et FLE, il pourra également servir d’exemple de projet d’action culturelle à monter, en direction de leur public.
Une grande rencontre sera également organisée vers fin du mois de novembre, avec lecture de texte, soit par des professionnels du spectacle, soit par des dames d’ateliers ASL. Lors de cet évènement, nous allons aussi travailler avec des jeunes afin d’obtenir un retour de leur parole, car ils/elles sont souvent un des effets de ce déplacement. La forme est à déterminer avec les jeunes et nous espérons que le CAP J, service jeunesse de la Ville, participera au projet.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L'apprentissage du français, la socialisationn par le langage ont été les éléments déclencheurs de cette action qui a permis aux apprenantes de se dépasser, de s'impliquer sur plusieurs mois dans un projet où elles ont pu collecter les souvenirs de leur parcours de vie, de leur pays d'origine jusqu'à leur pays d'accueil qui est la France. C'est une façon de parler de leur combat pour dépasser les difficultés de vie, leur tendance à l'isolement pour s'ouvrir aux autres et partager la richesse de leur culture, à la rencontre de l'autre.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Association locale
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
ATELIER D'ACCOMPAGNEMENT A L'INTEGRATION ET A LA SOCIALISATION
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL MAISON DES INITIATIVES ET DE LA CITOYENNETé - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Intégration
- alphabétisation & apprentissage du français
- Résumé
En 2018, 5 ateliers encadrés par des intervenants bénévoles, habitants de l'Ile-Saint-Denis, consistant à permettre aux participants (essentiellement un public d'origine étrangère et non francophone) d'acquérir des compétences en communication, ce qui représente un vecteur essentiel de l'intégation sociale. Ces ateliers visent également à permettre au public, à travers l'apprentisage du français, d'acquérir davantage d'autonomie en faciliant l'orientation dans leur vie professionnelle, personnelle et sociale. Les ateliers ont été pensé pour répondre aux attentes du public et d'aller au delà des classiques cours de langue française.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Ce besoin a été identifié par l'équipe du centre social qui a pu observer une demande sans cesse et croissante des habitants. Les partenaires du centre social ont également fait remonter ce besoin.
Ces ateliers ont été mis en place pour répondre aux difficultés langagières chez certains habitants de la ville, ne maîtrisant pas ou peu le français à l'écrit comme à l'oral.
Constat de demandes et de besoins de plus en plus importants dans la maîtrise de la langue et l'appropriation de valeurs.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Commune
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Ouvert à tous.
Ateliers animés par des bénévoles, sur plusieurs créneaux afin de répondre aux disponibiltés des participants; ateliers en matinée, soirées et le samedi matin (non payant).
Sur la forme des ateliers, les intervenants bénévoles privilégient un apprentissage ludique adpaté aux besoins et attentes des participants.
Principaux domaines et axes d'intervention : vie professionnelle, vie sociale et culturelle, vie admonitrative et juridique, vie citoyenne.
Des sorties culturelles, institutionnelles, de loisirs ou de santé telles que des sorties à l'Assemblée Nationale, à la médiathèque, au musée, au théâtre... Afin de permettre aux participants à travers des temps ludiques de découvrir différents lieux, d'améliorer leurs connaissances et compétences en ce qui concerne la langue française. Leur permettre également de se sociliaser en créant des liens entre eux et les autres Ilodyonisiens et de mettre en pratique leurs connaissances. Mais également des interventions des partenaires sociaux du territoire (Maison de l'Emploi, CAF...).
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
6 bénévoles en 2018
2 professionnels
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Atelier cuisine
- Structure organisatrice
- CS ASS AGG CSC LES MARNAUDES - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Résumé
cet atelier alieu tous les jeudis après midis; Le centre social organsie des temps de rencontres autour d'une préparation d'un goûter au vue des problèmes de la cuisine non adaptée. Cependant, 25 adultes (femmes) et 12 séniors(2 hommes et 10 femmes) partagent ce temps dans la préparation et dans l'échange. Chacun apporte la recette qui sera réalisé sur un jeudi à tour de rôle. Tous les jeudis de 14 h à 16 h, cet atelier est devenu le rendez vous incontournable autour d'une patisserie et d'un café. La convivilaité est au rendez vous.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L'atelier cuisine est un atelier dont les familles et les séniors aiment partager ce moment de convivilialité. Cette rencontre permet aussi d'identifier les personnes en difficultés, se soutenir et de comprendre l'autre.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Chaque atelier est un goûter . le centre social entre les denrées pour le goûter et le café s'évalue environ à 30 euros par atelier . 52 séances s'élèvent à une estimation de 1530 euros annuel
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
35 personnes par atelier dont 25 femmes et 12 séniors (10 femmes et 2 hommes)
- Résultat sur le territoire
L'atelier cuisine a pris une dimension intergénérationnelle. Les personnes âgées échangent sur le rôle de parents : leurs difficultés, leur joie et leur angoisse . Les mamans écoutent, posent des questions et exposent leur problème. le volet parentalité est omniprésent même dans un atelier cuisine.
- Résultat pour le centre social
Cet atelier est un outil pour le centre social et permet de travailler aussi sur leurs besoins;
- Résultat pour les habitants
les habitants se retrouvent avec plaisir et c'est un lieu d'écoute, de détente.
- Suite de l'action : Limites
La cuisine sera rénovée et c'est une attente des habitants afin développer des repas à grande dimension.
- Suite de l'action : Perspectives
développer les ateliers cuisines : rajouter un créneau supplémenatire
Actions
Atelier chanson
- Structure organisatrice
- Maison de quartier Plaine - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Viellissement
- Résumé
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La population seniors n'est pas beaucoup touchée par la Maison de quartier ,cette action se veut être une porte d'entrée ,un point de rendez-vous autour
du chant, ce préalable doit permettre la rencontre d'habitants seniors et donner l'envie de construire une vrai politique d'action dans la direction de ce public.
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Recontre hebdomadaire le jeudi de 14h à 16h avec l'animatrice de l'association ,d'abord autour d'un temps convivial(thé et café),
et ensuite,accompagné avec divers instruments,le travail vocal .
L'action a débuté en septembre 2018 et doit perdurer en ayant comme impact ,l'ancrage des séniors sur la structure ,la création d'une instance participative concernant cette population,
et la mise en oeuvre d'activités diverses :sorties ,fêtes ETC...
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le budget est de 3200€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 animatrice musical,la ccordinatrice vie social de l'équipement
- Résultat sur le territoire
Trop tôt encore pour pouvoir tirer des élements de bilan ,un de nos premier but est atteint :créer une action dédiée aux seniors ,et nscrire cette tranche horaire
dans la vie du quartier et de l'équipement pour la population sénior .
- Résultat pour le centre social
Avoir à travers cette action une vrai politique desormais en direction de la population des séniors.
- Résultat pour les habitants
Difficile à mesurer à cette étape du projet ,6 personnes suivent l'action et se sont inscrites au fil de l'eau tout au long de
l'automne 2018 ,nous misons sur un effet boule de neige qui permette d'amplifier la participation et d'atteindre nos buts secondaires (instance participative,programme d'actions)
- Suite de l'action : Limites
Manque de participation,volonté uniquement des participants de consommer des actions ou des services
- Suite de l'action : Perspectives
Création d'une instance participative specifiquement sénior.
Actions
ASL
- Structure organisatrice
- CS PARIS CAMPAGNE DRANCY - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Logement
- Résumé
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Apprentissage de la natation par un groupe d'adultes
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL FRANC MOISINS BEL AIR - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
La phase d'initiation du projet est terminée, l'aisance aquatique est acquise pour la plus part des participantes. La nage sportive reste à acquérir.
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- vacances / loisirs
- Résumé
Un groupe d'habitants s'est mobilisé pendant 6 mois pour financier via des buvettes une journée à la mer en famille. Au moment de tirer le bilan, de ce projet une partie des adultes fait le constat qu'elles ne savent pas nager et font le pari de revenir à la mer en étant capable de se baigner avec leurs enfants.
L'une des habitantes réalise de façon autonome le médiation et d'inscription dans le quartier, l'équipe du centre social est chargé de trouver un créneau à la piscine, un professeur et des financements pour le rémunérer.
Le groupe se rend ensuite toutes les semaines pendant 6 mois à la piscine pour apprendre à nager.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L'action n'a pu se dérouler que grace à la volonté d'une habitante qui a su fédérer autour d'elle un groupe de personnes.
Un débat sur le règlement intérieur de la piscine ( port du voile et mixité du cours) a eu lieu. Chacune a librement choisi de poursuivre ou de se retirer du projet dans le respect des convictions de chacune. Le fait que la médiation ait été portée par une habitante a largement faciliter le débat sur les questions de laicité: renvoyant les prises de position à des opinions personnelles et non à un clivage entre l'institution et les habitants.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Un groupe de travail s'est mis en place réunissant habitants et professionnels. Le CS a ensuite communiqué auprès du service politique de la ville afin de valoriser l'initiative et de trouver un financement adapté.
Le montage financier s'est avéré très complexe compte tenu du fait que le CS n'est pas une association mais un service municipal: le CS n'était pas éligible. Par ailleurs, le collectif d'habitants, constitué pour l'occasion, et sans personnalité juridique ne pouvait pas non plus être porteur du projet. Il a donc fallu trouver un tiers ( le club de natation), mais cela n'a pas rendu visible le volet participatif du projet.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
1700 € de cotisation au club de natation
le temps de travail des salariés et de la bénévole
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Au CS: Direction et chargée de mission
1 club de sport ( président, 1 educateur sportif et son assistant)
L'association de l'atelier ville-santé ( 1 chargée de mission)
1 habitante porteuse du projet et 2 autres habitantes bénévoles pour le fonctionnement
- Résultat sur le territoire
Une trentaine d'habitantes ont participé au débat sur le règlement intérieur de la piscine.
- Résultat pour le centre social
Le projet a permis d'illustrer le fait que les projets initiés ne se cantonnent pas à ce qui peut se passer dans le centre social et dans le quartier. La piscine est située à 2 km.
- Résultat pour les habitants
Très motivées par le projet, les habitantes ont trouvé les réponses aux questions de mobilité malgré le froid, la neige et l'absence de véhicule.
- Suite de l'action : Limites
Complexité du montage juridique pour permettre à un collectif de récupérer des financements.
L'apprentissage de la natation a été difficilement reconnu en tant que tel comme activité. Les financeurs tendant à en faire une application des dispositifs " sport santé" déjà existant alors que les participantes n'étaient pas prioritairement dans une démarche de santé ( perte de poids, régulation cardio-vasculaire...) mais plutôt dans une démarche d'autonomie sur un apprentissage fondamental.
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Actions emploi et insertion
- Structure organisatrice
- Maison de quartier ESPERANTO, centre social et culturel - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Emploi, économie
- Intégration
- Résumé
Suite au renouvellement du projet social 2014 2017, la thématique de l'insertion et de l'emploi ressort comme un besoin fondamental sur le territoire d'intervention du centre social. La première année 2014 2015 donne lieu à un diagnostic centré sur les jeunes. Depuis la rentrée de septembre 2015, le centre social lance de nouveaux ateliers relatifs à l'emploi.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les dispositifs d'insertion sont très nombreux sur le territoire communal. Cependant, certains habitants en sont encore éloignés. Le centre social joue le rôle de relais avec des premières actions dans le centre social. Cela a permis à 30%, une reprise d'activité salariée. Une partie des habitants est en formation. Pour d'autres, l'accompagnement a permis d'identifier des freins qu'il faut d'abord lever avant d'envisager une reprise d'activités.
Cette action s'inscrit d'abord dans l'axe jeunesse du centre social mais les actions ont très rapidement touché un public plus large.
Nous inscrivons également dans cette orientation les activités de découverte des métiers pour collégiens que nous menons dans le cadre d'un CLAS Collège.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- ACSE
- Association locale
- Association nationale
- Caf
- Etat
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Les activités ont démarré à la rentrée 2015 (permanences individuelles, ateliers collectifs). Elles sont ensuite enrichies à la rentrée 2016 (atelier informatique emploi, mise en place d'un réseau d'acteurs locaux, organisation d'un forum local, mise en place d'une communication affichage, plaquette).
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le budget du centre social n'a pas été impacté par les actions. C'est une réorientation des ressources humaines.
Une association partenaire a déposé un Contrat de ville pour pouvoir mener des ateliers collectifs dans les maisons de quartier de Montreuil. La ville de Montreuil cofinance cette action.
La mise en synergie des acteurs locaux ne nécessite pas non plus de budget de fonctionnement supplémentaire.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
CS : 1 apprenti + 1 coordinatrice Enfance jeunesse insertion + 1 directeur
Association Aurore : 1 conseillère
- Résultat sur le territoire
Synergie d'acteurs autour de l'insertion. De nouveaux acteurs se mobilisent autour de l'insertion. Il y avait donc une mise en réseau à opérer.
Nouveaux Acteurs :
- bibliothèque avec constitution d'un fond documentaire
- antenne jeunesse avec accueil d'un Point Information Jeunesse
- Résultat pour le centre social
Le bouche à oreille commence à identifier le centre social comme acteur de l'emploi et l'insertion. Cependant, cette image reste à développer.
- Résultat pour les habitants
Les parcours individuels et les données plus collectives chiffrées rendent compte d'un impact positif pour les habitants.
- Suite de l'action : Limites
Réticences des acteurs publics de l'emploi à décentraliser leurs actions dans les quartiers.
Légitimité du centre social à intervenir dans ce champs face à la multitude d'acteurs.
- Suite de l'action : Perspectives
Améliorer l'articultation entre le CS et les partenaires emploi locaux et extérieurs au quartier.
Actions
Action de prévention sur les rumeurs en milieu scolaire
- Structure organisatrice
- CS ASS AGG CSC LES MARNAUDES - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
l'action a été fait sur l'année 2014/2015
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Résumé
L'action s'est déroulée sur plusieurs séances de deux heures sur l'ensemble des classes de sixièmes. c'est une action pour comprendre la génèse d'une rumeur, les conséquences . Cette action s'est faite sur deux jours au collège auprès des sixièmes.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Suite à des problèmes de rumeur sur les réseaux sociaux , des jeunes ont été victimes de rumeurs. Le résultat est de faire comprendre aux jeunes qu'une rumeur peut "détruire" un individu.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Cette action a été menée par des ethnologues sur deux jours avec des séances de deux heures par classe. des supports vidéo , réflexions et échanges avec les jeunes
- Ressources financières mobilisées pour cette action
1200 euros pour l'intervention des ethnologues et 3 salariés mis à disposition sur les deux jours ( 4850 euros)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 ethnologues, 3 salariés, 6 professeurs
- Résultat sur le territoire
L'action sur les rumeurs est de travailler la relation filles et garçons dans le quartier. La rumeur peut être destructrice dans un quartier et rendre difficle d'y vivre d'où travailler cette prise de conscience auprès des jeunes.
- Résultat pour le centre social
L'impact est de légitimer le centre social en tant qu'acteur social au coeur du collège .
- Résultat pour les habitants
L'impact auprès des habitants est de les accompagner avec les nouvelles technologies : comment paramétrer les téléphones, une photo sur un téléphone peut être dangereux si celle ci n'est pas uitilisée à bon escient. Tenir des propos sur un individu doit être ^prise de conscience collective au sein du quartier en commançant par les parents.
- Suite de l'action : Limites
Les limites sont l'aspect financier. cette action devrait être mise sur tous les niveaux de sixème à la troisième.
- Suite de l'action : Perspectives
Développer sur l'ensemble des classes du collège avec d'autres thèmatiques : harcèlement au collège, les réseaux sociaux
Actions
Action de prévention sur la rumeur en milieu scolaire
- Structure organisatrice
- CS ASS AGG CSC LES MARNAUDES - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Résumé
Une action de prévention sur la compréhension de la rumeur , les conséquences et comment nait une rumeur . L'association ETHNOART est intervenue sur l'ensemble des classes de sixième.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Suite à des problèmes dans le collège, cette action a été mise en place afin de répondre aux problèmes de rumeur. Le résultat attendu est que les jeunes comprennent et changent de comportement.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
cette action a été mise en place sur des créneaux de deux heures avec un support de vidéo.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le budget de l'action a été de dégager 1200 euros pour l'intervention des ethnologues au collége et la présence de salariés sur 2 jours
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 ethnologues, 3 salariés et 6 professeurs
- Résultat sur le territoire
L'impact sur le terrtoire est d'améliorer les relations filles et garçons ainsi que dans le monde scolaire dans le quartier.
- Résultat pour le centre social
L'impact pour le centre social est de bienle positionner dans le quartier et de le légitimer au sein du collège.
- Résultat pour les habitants
Les effets : une prise de conscience auprès des jeunes et parents sur la notion de rumeur.
- Suite de l'action : Limites
Une telle action doit être faite sur tous les niveaux de la sixième à la troisième . L'aspect financier nous bloque à un seul niveau.
- Suite de l'action : Perspectives
Cette action doit être développer sur tous les niveaux et faire d'autres interventions : le harcelèments scolaire, les dangers des réseaux sociaux.
Actions
ACCOMPAGNEMENT SOCIAL ET ADMINISTRATIF
- Structure organisatrice
- CS MAROC CHATENAY POETES - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Précarité
- Résumé
Cet action consiste à recevoir, informer et accompagner les habitants des quartiers nord et gare de la ville de Pierrefitte sur Seine, sur l’ensemble des horaires d’ouverture du centre.
Les habitants sont accompagnés sur l’ensemble des problématiques qu’ils peuvent rencontrer liées aux administrations et aux institutions. Nous leur prodiguons une information globale et une assistance personnelle pour les démarches à destination de la caf, de la cpam, des impôts, de la préfecture...
Nous les informons, les orientons, pouvons remplir leurs dossiers et rédiger des courriers. Le centre social est investi par les habitant, bénéficie d’un lien de confiance particulier avec la structure.
Les agents du centre travaillent en transversalité avec les institutions et font office de veille sociale. L’accueil est réalisé par un adjoint administratif et nous avions mis en place une prise en charge individualisé.
L’agent dédié doit impérieusement veiller à la confidentialité des informations qui lui sont communiquées. Prioriser les demandes du public selon leur urgence, ou parfois de leur bien-fondé. Les demandes initiales des personnes portent souvent sur la maîtrise des outils numériques mais bien plus sur l’accès à leurs droits et prestations auxquels elles peuvent prétendre.
Nous essayons de les informer sur les modalités de fonctionnement des sites des différentes administrations (via les espaces personnels) dans la perspective de favoriser leur autonomie à long terme, et à l’accès aux droits à court terme.
Les habitants du quartier sont souvent les plus démunis par la dématérialisation et la déshumanisation des services publics. Nous rencontrons un grand nombre de personnes originaires des anciens territoires français parlant peu la langue, des personnes âgées ou porteuses de handicap, rencontrant ou cumulant de lourdes difficultés sociales.
Il nous est impossible, au vu du volume de démarches réalisées de les quantifier finement, nous devons l’estimer en recensant les courriers et justificatifs des démarches. (L'accés auxx droits, La CAF, Rédaction des courriers, Logement, Poles emploi, CPAM, CVAV, Préfecture, Divers(Transport, mutuel, assurance, amande...
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
"En réflexion"
- Structure organisatrice
- CS DES 4 CHEMINS - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- Mixité sociale
- Résumé
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives