Le projet "femmes d'abord" , par la présence d'un groupe à une manifestation en centre ville, participe au dynamisme de la commune, à la diffusion d'une image positive de celle-ci.

Les familles usagères de la structure sont avant tout adhérentes, c'est-à-dire qu'elles partagent les valeurs de l'association dans laquelle elles ont le droit d'agir. Le centre socio culturel est un lieu ouvert qui encourage les adhérents à bouger, à s'intégrer dans les projets existants et à en créer d'autres. C'est une de ses missions principales en tant que centre social; "femmes d'abord" est un projet qui se place en cohérence avec cette mission.

Le projet "femmes d'abord" permet également à la structure de se faire connaitre en étant présente une fois par mois au centre ville; les acheteurs prennent connaissance du centre socioculturel et de ses missions diverses et variées.
 

Le groupe est constitué de femmes dont certaines s'impliquent davantage que d'autres; il existe un noyau dur de 4-5 femmes présentes à chaque fois et 3-4 femmes qui interviennent un peu moins. La difficulté réside dans la gestion du degré d'implication de chacune  qui peut ou pourra être une source de "conflit" interne dans le groupe.

- En décembre, le marché des producteurs n'a pas lieu mais le centre socio culturel occupe le chalet associatif du marché de Noël durant 4 après-midi dans la semaine du 7 au 10 décembre. Deux après-midi seront consacrés à la vente de sachets de petits gâteaux confectionnés par le même groupe de femmes; une réunion avec elles et les professionnels permettra de se mettre d'accord sur les permanences à tenir durant ces deux jours.

- Le centre socio culturel est également en pleine réflexion avec les structures de Cernay et Masevaux pour l'organisation de la journée de la femme le 8 mars; le groupe existant sera bien sûr sollicité dans la réflexion de ce projet afin d'être en cohérence avec leurs attentes et besoins.

- Pour l'instant, ce projet concerne uniquement des mères mais le droit au répit, le besoin de souffler existe certainement aussi chez les pères mais ces derniers ne l'expriment pas ouvertement. La référente famille est en réflexion avec les équipes des différents secteurs d'activités (particulièrement enfance et jeunesse) sur l'organisation de WE ou mini séjour durant lesquels les parents et leurs enfants seraient au même endroit mais pourraient vivre des temps séparés.

Proposer une offre linguistique pour une ville accueillant 120 nationalités différentes.

Cette action répond aux besoins exprimés par les habitants.
 

Toujours pouvoir être en mesure d'accueillir les demandeurs dans les délais raisonnables.

Réussite des apprenants par l'obtention d'un diplôme national reconnu par l'Education Nationale

Favoriser un collectif autour des acteurs du centre socio culturel: salariés, bénévoles, familles et acteurs de terrain.

Rassurer les parents et leur donner envie de se remettre à niveau: lien avec les cours de français ou de remédiation pour adultes.

Amélioration du partenariat avec les écoles pour une meilleure réussite scolaire.

En 2014, sur chaque séance, c’est en moyenne 25 enfants et 15 adultes qui ont bénéficié de cette proposition.

C’est l’opportunité de rencontrer les habitants qui ne sont pas usagers du centre social, d’être à l’écoute et de communiquer sur les propositions de la structure tout en nourrissant le diagnostic territorial.

Cette action est tributaire des conditions météorologiques

L’action est reconduite chaque année

4 rencontres organisées,  2 projets en cours
 

dynamisation de la participation des usagers, réflexion avec le personnel permanent sur la nécessité de remettre l'habitant au coeur des actions et des décisions le concernant

le temps des personnes bénévoles, le temps pour faire évoluer les mentalités, la difficulté à faire que cette table soit perçue par toutes les catégories d'âge comme un outil de développement

expérimentation jusqu'en 2016, création à terme d'un poste de médiateur sur la question de la participation citoyenne

Contribution du CSC à la lutte contre l'isolement

Action reconduite depuis plusieurs années

Forte mobilisation bénévole pour assurer l'organisation de cette action

Action porteuse pour des projets intergénérationnels

Problématique de la mobilité pour venir au repas

Repas parfois considéré par les personnes comme un équivalent de prestation de restaurant

C'est un événement attendu. Il permet de rapprocher les habitants, les adhérents, de découvrir d'autres cultures. Il participe au mieux vivre ensemble.

Sortir du Centre, aller vers...

Faire connaître nos valeurs, nos actions, les professionnels, les bénévoles...

Renforcer notre rôle fédérateur

Budget

Nombre de participants

Météo

Trouver des nouvelles idées

Trouver des fonds

Trouver de nouveaux partenaires

Pas d'effet au niveau du territoire

Nouvelles personnes qui se sont rendues au sein du CSC

Pas de retour sur les RDV qui ont été pris avec la ligue concernant les dépistages

Partenariat avec la ligue qui va être reconduit mais en ciblant d'autres thèmes et publics (ex: les mefaits du tabagisme, les cigarettes électroniques...)

Ce projet ambitieux s’est avéré  très fédérateur  pour les familles engagées dans la démarche et a impulsé une excellente dynamique au sein du LAEP. L’ensemble du projet a pu être valorisé auprès des autres parents qui n’avaient pas pris part au projet, mais également auprès des autres partenaires du territoire : 

• De la Protection Maternelle et Infantile
• Des parents du Foyer Espoir
• Des écoles maternelles du quartier
• De la classe passerelle Victor Hugo et Brossolette
• Du Multi-Accueil Couleurs de Vie.

Le projet initial "Dis maman, tu m’emmènes au Pestakl ?" a été déterminant dans la confiance apportée aux parents à s’investir dans une création artistique collective avec leurs enfants.

A Bourtzwiller, il reste difficile pour les familles du quartier, de franchir seules le pas, d'aller au spectacle, pour des raisons variées :

• Peu de familles qui fréquentent La Souricette se déplacent hors du quartier pour des activités culturelles où artistiques avec leurs jeunes enfants.

• Certaines familles connaissent des situations économiques précaires (couples sans emploi, personnes inscrites au RSA, …).

• Des mamans issues de l'immigration connaissent un isolement dû notamment à la barrière de la langue, d’où une difficulté à tisser des liens dans le quartier de Bourtzwiller, mais aussi à oser aller vers les offres culturelles de l’agglomération.

• Au niveau du développement de l’enfant, l'ouverture culturelle est parfois reléguée au second plan en raison d'un quotidien lourd à porter : ce n'est pas une priorité pour ces familles qui ont bien des difficultés à gérer, et se trouve parfois totalement impensée par les familles.

Malgré plusieurs devis chez différents imprimeurs nous nous somme heurtés au coût élevé pour l’impression de notre conte en format livre. Nous avons donc décidé de l’éditer sous forme de brochure pour diminuer les frais d’impression.

Offrir la possibilité aux familles du LAEP, d’assister au moins une fois par an à un spectacle jeune public de qualité.

La contribution des différents professionnels, a eu pour objet d’apporter un éclairage face aux problématiques soulevées mais aussi de permettre un dialogue  facilité avec les parents et les adolescents, voire de faire tomber certaines représentations des familles ou des jeunes à l’égard des institutions.

L’équipe du C.S.C. Pax mais aussi les professionnels investis dans le projet ont pu échanger de façon libre et ouverte avec les familles sur différentes thématiques abordées lors du dîner mais ne se sont pas limités à cela ; certaines familles et professionnels se sont revus pour des entretiens individuels. Pour d’autres, le dialogique a pu être renoué avec le collège, par exemple,  via la présence de la Principale. La participation de la Responsable du Poste de police du quartier a aussi permis aux adolescents de mieux comprendre la mission des agents sur le terrain et aux parents de se sentir moins intimidés. Chaque professionnel engagé dans le projet faisant le pari, qu’il serait désormais peut-être un peu plus facile pour ces familles de s’adresser à eux désormais.

Il reste parfois très difficile de mobiliser des adolescents en présence de leurs parents. A noter qu’au départ du projet chaque professionnel investi avait pour mission d’inviter personnellement une famille de sa connaissance qui s’était trouvée à un moment ou à un autre en difficulté face aux conduites ou comportements d’un de ces enfants adolescents (absentéisme scolaire, incivilités, dégradations, addiction aux écrans…)

Forts de la réussite de ce premier projet et de l’édition 2015, nous souhaitons pour 2016 proposer à des jeunes de 12 à 17 ans identifiés par les partenaires comme exposés aux risques de délinquance (incivilités répétées, décrocheurs scolaires, primo-délinquants, etc.) ainsi qu’à leurs parents, de participer à un nouveau dîner convivial avec les différents représentants des institutions afin :

• d’aborder de façon ludique, par le biais d’un quiz, des questions relatives à la citoyenneté

• d’amorcer le débat quant aux facteurs de risques pouvant conduire à des actes de délinquance sanctionnés par la loi.

Les Mamies Galopantes commencent à être connues et reconnues dans le quartier de Bourtzwiller et au niveau de la ville de Mulhouse, tant leur engagement est remarquable. Leur projet est régulièrement salué pour son originalité, car il permet de créer, de développer, de tisser du lien social, de favoriser la mixité sociale, et ainsi de rompre l’isolement.

Ces personnes ont pour objectifs de :

- se rencontrer et de vivre ensemble des moments d’échanges et  de convivialité,

- d’échanger autour de leurs souhaits les plus insolites,

- de s’inscrire dans certaines activités en tant que bénévole (exemples : Atelier tricot, Balades et découvertes, Jamais Sans Papi et Mamie).

La disponibilité, la volonté de rester très actifs et les compétences de ces personnes ont permis de mettre en place de nouvelles actions ou animations pour les habitants du quartier et adhérents du Pax, que ce soit dans le domaine culinaire, manuel, culturel ou artistique. Ces actions favorisent l’élargissement des liens intergénérationnels et n’auraient sans doute pas pu être mise en œuvre sans leur fort investissement. 

A noter que ce groupe est aussi parvenu à déployer parallèlement un projet de vacances collectives en Espagne, totalement ou presque auto-financé, grâce à des ventes de produits d’artisanat conçus ensemble lors de séances d’art manuels au Pax.

En plus d’être bénévoles d’activités, trois personnes ont souhaité davantage s’investir au sein de notre structure et se sont engagées au niveau du Conseil d’Administration et au Bureau du CSC Pax.

A ce jour, une dizaine d’entres elles sont également investies bénévolement au sein du P’tit Bouillon, un groupe de travail qui pilote les actions culturelles du centre en lien avec les publics scolaires.

Ce projet ne bénéficie aujourd’hui d’aucune subvention de droit commun et ne peut se renouveler qu’avec l’appui de financeurs intéressés par notre démarche et soucieux de favoriser le « bien vieillir » des jeunes seniors. Ainsi chaque année, il est remis en question. Les souhaits des personnes sont nombreux et ambitieux. Il faut constamment revenir avec eux au principe de réalité financière, aux moyens humains disponibles en termes d’encadrement ainsi qu’aux  moyens matériels mobilisables.

Le souhait  du CSC Pax est de poursuivre, de développer et de faire perdurer ce  projet.

Résultat positif sur la réussite scolaire

Ambiance sereine dans le Collège

Partenariat constructif

Les ados au Collège sont aussi ceux qui sont au Centre Socio-Culturel.

Le but est qu'ils trouvent partout un environnement d'adultes qui portent les mêmes valeurs et les mêmes exigences à tous les endroits de la ville qu'ils fréquentent.

A évaluer

A évaluer

A évaluer

A définir

- Création de liens entre habitants. 

- Espace de parole pour favoriser la relation parents/école

- Ouverture de l'école aux parents pour une meilleur compréhension mutuelle.

- Sensible amélioration de la relation parents/école

- Faire connaitre le centre aux habitants qui en étaient éloigné - Arrivée de nouveaux adhèrents

- Création et renforcement du partenariat avec les directrices d'écoles.

- Reconnaissance de l'action et de sont impact positivent auprès des partenaires (D'autres directrices nous sollicitent pour développer un café des parents au sein de leur école)

La trop faible participations des pères.

Proposer ponctuellement des horaires plus adaptés (en soirée) pour les personnes en activités pour favoriser la participations des pères.

 A partir des objectifs de départ, voici nos résultats au niveau des parents.

- Soutenir et valoriser les compétences des futurs parents et des jeunes parents

La qualité des interventions de la professionnelle en terme de savoir être, d’empathie et de savoir-faire ont permis aux parents de se sentir valorisé et soutenu dans leur rôle de parent. Les parents se sont vu rassurer au fur et à mesure de leurs rencontres avec l’éducatrice de jeunes enfants. Ils se sont montrés très satisfaits par l’intervenante lors des séances de massages bébés c’est pourquoi nous avons souhaité poursuivre avec elle. 

Pour l’intervention du pédiatre, le temps de parole a aussi permis aux parents de repartir rassuré dans ce qu’ils font avec leurs enfants. Tous se demandaient s’ils faisaient bien ou non et le Docteur les a fait relativiser et a apaisé leurs angoisses.

- Favoriser l'expression et proposer l'écoute

L’éducatrice de jeunes enfants a réellement facilité l’expression et l’écoute des parents. Au début et à la fin de chaque séance elle laissait un temps de parole à chaque parent pour parler de leurs enfants, du quotidien, des questions de parentalité…La parole est très libre, le relationnel très facilité de par les qualités de l’intervenante. Les parents le disent très simplement Sl’intervenante est une professionnelle attentionnée, à l’écoute, qui les met en confiance et qui leur apporte du bien-être et du réconfort.

Le Docteur a également pris le temps de favoriser l’expression de chaque parent présent lors de la soirée débat. Certains ont fait le choix de s’exprimer et d’autres non. Les parents ont pu échanger avec ce professionnel autour de leurs préoccupations alimentaires en fonction de l’âge de leurs enfants : refus de manger tel ou tel aliment, les goûters, les petits pots, les produits bio… Le pédiatre est aussi quelqu’un qui est très à l’écoute et qui laisse une place à chacun pour s’exprimer.

- Informer les parents

Les deux professionnels ont aussi transmis beaucoup d’informations aux parents.

Le pédiatre a longuement expliqué les origines et l’historique de l’alimentation, les conseils nutritionnels en fonction de l’âge, les recommandations, les apports de chaque aliment… Les informations qu’il a transmis étaient très complètes et ont permis aux parents de mieux comprendre certaines choses. L’alimentation est un sujet très vaste et les parents s’y perdent quelques fois.

L’EJE prend elle aussi le temps d’expliquer aux parents les techniques de massages bébés, les apports pour l’enfant, le lien parent enfant autour de cette activité…elle complète toujours ses gestes avec des explications. Lors des séances de communication gestuelles associée à la parole, l’intervenante prend aussi toujours le temps d’expliquer la démarche aux parents, de répondre à leurs questions…

De par ces actions parentalité, le Centre social se fait davantage connaître pour ses missions d'accompagnement à la parentalité et son projet action collective famille.

Les partenaires ne relayent pas toujours l’information (PMI).

Pour 2017, nous prévoyons de poursuivre les massages bébés et d’élargir les propositions autour d’une initiation au portage en écharpe, de propositions d’activités d’éveil et de spectacles pour les tout petits autour de contes et comptines. L’action s’appellera dorénavant "Au rendez-vous des Bout’chou".

Le film de 8 minutes environ portant le nom de "sans-cible" a été mis sur le site youtube. A ce jour il a été vu plus de 2200 fois.

Les adolescents sont devenus acteurs du CSC en participant à un tel projet. Par ailleurs d'autres jeunes sont venus nous voir pour traiter via ce mode de communication d'autres problématiques.

D'autres projets sont à l'étude pour traiter d'autres sujets

Animation du territoire

Visibilité et identification du Centre Socioculturel sur le territoire.

• Valoriser l'animation et sa place dans le développement territorial.

• Proposer un moment festif et convivial autour d'une manifestation familiale

• Donner du sens et une valeur Centre Socioculturel aux activités développées dans le cadre des NAP

Le lieux dans lequel se déroule l'action limite le nombre de participants.

Inscrire cette manifestation dans le temps en lui donnant d'année en année une plus grande envergure.

Le CSC est reconnu sur son territoire pour ses activités de loisirs en direction des enfants et des adultes. A la suite de ce projet, il
souhaite être reconnu comme lieu ressource pour ce public précis.
Notre souhait est d'encourager les filles à s’inscrire dans cette démarche émancipatrice.

Inscrire l'activité sportive régulière dans l'offre proposée par le centre social.

Les réticences des familles.
 

Reproduire ce type d'action sur une autre pratique sportvie.

Engouement de la part du public, la fréquentation est en hausse au fur et à mesure des séances.

Réponse à un besoin de loisirs et de mode de garde de la part des familles.

Fréquentation à la hausse, on relève l’augmentation des adhésions, l’amélioration des propositions d’activités et du cadre d’accueil. Les enfants sont accueillis dans des salles aménagées et rénovées par des collectifs de travail parents-enfants.

Evolution de la fréquentation des mercredis de loisirs par tranche d’âge :

Quartier prioritaire, peu de moyen des habitants et faible participation financière, ce qui est un frein dans la proposition de certaines activités de découvertes nécessitant une participation financière plus conséquente.

Propositions d’activités en lien avec la programmation bimensuelle du CSC Pax qui prend en compte les souhaits du public.

Poursuite de la formation de l’équipe d’animation.

• Proposition d’événements culturels et de temps de convivialité dans le quartier.

• Création de lien social et intergénérationnel

• Accompagnement à la scolarité

• Lutte contre l’isolement des personnes en précarité

• Accès à la culture pour les écoles en proposant des ateliers accessibles à tous et gratuits.

• Accroitre la fréquentation

• Plus de visibilité dans les écoles

• Valoriser le pouvoir d’agir, d’action et de décision des bénévoles

• Valoriser l’intergénérationnel et lutter contre l’isolement des seniors

Certaines thématiques n’ont pas été abordées comme souhaité par manque de moyens (humains, financiers et matériel). De plus certains partenariats n’ont pas été aussi constructifs qu’espérés.

Impliquer encore plus les habitants afin de leur donner d’avantage de pouvoir d’agir.

Accroitre les propositions d’ateliers et leur qualité.

Au quotidien, à Bourtzwiller, il nous semble important de poursuivre ce travail de prévention, d’information, de conseil et d’échange dans le quartier car  nous constatons :

• une méconnaissance de principes alimentaires de base,

• et une méconnaissance de l’importance de la pratique d’une activité physique régulière par des gestes ou des actes simples.

Afin de faire évoluer les comportements et changer les habitudes alimentaires, de telles actions de prévention et d’information nécessitent du temps et ne demandent qu’à être pérennisées. Il s’agit donc d’un travail à long terme pour une réelle prise de conscience et une aide à de meilleurs repères face à l’ampleur de l’offre alimentaire. C’est une véritable éducation nutritionnelle qui doit être constamment rappelée aux habitants du quartier de Bourtzwiller.

La posture et la sensibilité du centre face à la notion de l’alimentation équilibré en lien avec les différentes actions : confection de repas équilibré et en lien avec les saisons, prioriser les fruits pour les goûter, être attentive à la lecture des étiquettes alimentaires, etc.

Afin de faire évoluer les comportements et changer les habitudes alimentaires, de telles actions de prévention et d’information nécessitent du temps et ne demandent qu’à être pérennisées. Il s’agit donc d’un travail à long terme pour une réelle prise de conscience et une aide à de meilleurs repères face à l’ampleur de l’offre alimentaire. C’est une véritable éducation nutritionnelle qui doit être constamment rappelée aux habitants du quartier de Bourtzwiller.

Notre volonté en tant que centre socio-culturel est donc de poursuivre et pérenniser diverses actions autour de l’alimentation et de l’activité physique régulière, auprès des habitants du quartier. Il est nécessaire de rappeler que nous sommes des vecteurs privilégiés en matière de sensibilisation, d’information et de prévention au niveau de la santé.

Offrir la possibilité aux personnes âgées un lieu de rencontre identifié et convivial avec une proposition d’activités.Offrir la possibilité aux personnes âgées un lieu de rencontre identifié et convivial avec une proposition d’activités.

Être en adéquation avec l’un des axes forts du contrat projet du centre.

Nos limites se situent principalement dans notre capacité à mobiliser les personnes âgées très précaires et isolées ainsi que les séniors issus de l’immigration.

Notre volonté est de renouveler et de faire perdurer un tel projet et surtout de poursuivre ces rencontres afin de lutter contre l’isolement des personnes âgées. Pour cela, il serait nécessaire de nouer des contacts avec l’assistante sociale du Conseil Départemental, référente du quartier de Bourtzwiller.

Il serait également judicieux de s’appuyer sur les habitants du quartier, qui peuvent être des relais, pour nous faire part des personnes vivant en situation d’isolement.

Il est à noter que le prix de participation au repas, du montant de 13.50€, est un frein pour les personnes en situation de précarité. Une réflexion devrait être menée quant à la participation financière des personnes vraiment précaires.

Le Pax souhaite également s’engager dans la démarche du projet « Ville Amie des Ainés » mise en œuvre par la Ville de Mulhouse. Cette démarche s’attache à être attentive au vieillissement de la population afin de mieux répondre aux défis de la transition démographique et du mieux vivre dans son quartier, dans sa ville.

En 2016, nous souhaitons lutter contre la fracture numérique qui s’avère être un facteur supplémentaire d’isolement et mettre en place une formation autour des nouvelles technologies. Il s’agit d’un souhait exprimé par les personnes du groupe.

Sur le territoire, l’impact fut positif car le retour des jeunes sur leur projet et ce qu’ils y ont vécu, génère l’envie chez d’autres groupes de se former et ainsi de travailler sur un projet ensemble pour, à leur tour, vivre une expérience hors du quartier.

Le centre social met en place des projets de séjour afin d’insister sur un travail éducatif sur le long terme. Mais également pour permettre aux jeunes de vivre une expérience hors du quartier et loin de leurs parents, et ainsi découvrir d’autres horizons géographiques et culturels.

Il n’est pas toujours évident de former un groupe afin d’entamer des projets avec certains jeunes car il y a un grand nombre de familles en situation de grande précarité qui ne peuvent financer la part de celui-ci.

Nous persévérons dans la formation de différents groupes afin de continuer notre mission auprès des jeunes pour ainsi leur permettre de construire leur propre projet de vacances tout au long de l’année. Plusieurs projets sont en cours, cela facilite l’échange et les relations des jeunes au sein du quartier. Un projet de voyage à l’étranger est souhaité de la part des jeunes plus âgés. Il s’agirait de faire du camping itinérant et/ou du camping au sein d’une écurie pour avoir une autre approche du contact avec l’animal et de la nature. Nous allons tout mettre en œuvre afin de réaliser leurs ambitions en 2016.

Ce projet ambitieux s’est avéré très fédérateur pour les familles engagées dans la démarche et a impulsé une excellente dynamique au sein du LAEP. L’ensemble du projet a pu être valorisé auprès des autres parents qui n’ont pas pris part au projet, mais également auprès des autres partenaires du territoire :

• De la Protection Maternelle et Infantile

• Des parents du Foyer Espoir

• Des écoles maternelles du quartier

• De la classe passerelle Victor Hugo et Brossolette

• Du Multi-Accueil Couleurs de Vie.

Le projet initial Dis maman, tu m’emmènes au Pestakl a été déterminant dans la confiance apportée aux parents à s’investir dans une création artistique collective avec leurs enfants.

A Bourtzwiller, il reste difficile pour les familles du quartier, de franchir seules le pas, d'aller au spectacle, pour des raisons variées:

• Peu de familles qui fréquentent La Souricette se déplacent hors du quartier pour des activités culturelles où artistiques avec leurs jeunes enfants.

• Certaines familles connaissent des situations économiques précaires (couples sans emploi, personnes inscrites au RSA,…).

• Des mamans issues de l'immigration connaissent un isolement dû notamment à la barrière de la langue, d’où une difficulté à tisser des liens dans le quartier de Bourtzwiller, mais aussi à oser aller vers les offres culturelles de l’agglomération.

• Au niveau du développement de l’enfant, l'ouverture culturelle est parfois reléguée au second plan en raison d'un quotidien lourd à porter : ce n'est pas une priorité pour ces familles qui ont bien des difficultés à gérer.

Malgré plusieurs devis chez différents imprimeurs nous nous somme heurtés au coût élevé pour l’impression de notre conte en format livre. Nous avons donc décidé de l’éditer sous forme de brochure pour diminuer les frais d’impression.

Offrir la possibilité aux familles du LAEP, d’assister au moins une fois par an à un spectacle jeune public de qualité.