Les actions des centres sociaux
Actions
Plate forme de Redynamisation
- Structure organisatrice
- Social Animation Ronde Couture - Ardennes
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- Résumé
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Autre
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L'action fut mise en place suite à une demande de la sous profecture de Sedan et au regard de différents constat : Les chantiers d'insertion rencontrent des diffiucultés relatives au recrutment des béénficiaires. Ces derniers ne présentent pas forcément les pré reqis nécessaire pour suivre le dispositif. Souvent la reprise d'une activité, le respect du cadre avec l'éffort physique à fournir interfert au bon déroulement du chantier. A cet effet, il paraissait oportun de mettre un sas préparatoire aux chantiers d'insertion. Ce sas devait avoir pour mission le réentrainement au travail progressif pour un public cible: jeune de 18-25 ans et les femmes sans toutefois exclur d'autres typologie de public. La raison de ce public cible repose également sur le constat de compter peu de jeune et de femme sur les chantiers d'insertion. Le fait de préparer ces personnes a pour objectif d'optimiser leur parcours et de les préparer dans les meilleures conditions pour éviter les échecs avant et pendant les chantiers. La capacité d'intégrer des publiocs sur les chantiers d'insertion étant limité, d'autres objectifs sont visés: entrée en formation, notamment qualifiante, s'inserer dans l'emploi, créer son entreprise ou connaitre une réorientation spécifique au regard de problématique repérées,
- Public
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Autre
- Description générale
La Plate forme de Redynamisation fut mise en place en 2011 suite à de multiples réunion avec les différents partenaires de l'insertion sociale et professionnelle. Ce projet porté par le centre social, fut réellement co-construit, avec les différentes instances suite à un diagnostic affiné des besoins.
Le dispositif fonctionne fonctionne toute l'année en entrées et sorties permentes. A cet effet, des comités de suivi ont lieu tous les mois en présence des référents prescripteurs, des partenaires associés (structure d'accueil) et des financeurs. Cet temps d'échange permettent d'aborder la situation individuelle de chaque bénéficaires avec une attention particulière portés sur les progrès, difficultés, perspcetives de parcours, A cette occasion, il est question de déterminer me maintient ou la sortie du bénéficaire du présent dispositif. La décision colégiale est prise en fonction de l'atteinte ou non des objectifs fixés initialement par le prescripteur.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
41 195 Euros : co financement Conseil Départemental, Contrat de Ville, Etat (Fond Jep)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
En 2015 : 42 personnes inscrites, 32 rencontrées en entretiens, 28 entrées sur l'action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Manchest'Art
- Structure organisatrice
- Centre social Manchester - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Action ponctuelle dans le cadre de la Nuit des Musées
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- Mixité sociale
- Résumé
Dans le souci d’associer les jeunes dès l’élaboration du projet, une première phase de sensibilisation aux pratiques artistiques et culturelles a été prévue : rencontres avec des artistes divers (sculpteurs, peintres, dessinateurs, musiciens…), autour d’ateliers de créations artistiques, visites d’expositions, de musées.
Au fur et à mesure des rencontres, des réunions et des échanges,nous avons impliqué les jeunes au coup par coup en fonction de leurs envies : certains ont préférés s'impliquer dans la mise en place de sorties, d'autres sur la mise en place des ateliers artistiques, et d'autres pour l'installation de la manifestation.
- La conception de plaquettes d’information, d’affiches en direction des habitants
- L’organisation de sorties, de spectacles et d’un temps fort en direction de tous les habitants du quartier.
- L’élaboration d’une exposition « vivante et interactive » dans le quartier (Art éphémère, visite guidée).
- La Participation à « La nuit des musées ».
Les jeunes ont été encadrés et/ou accompagnés par des adultes référents, qui ont joué un rôle prépondérant dans la mobilisation des publics en créant des conditions favorables à leur implication et à leur participation active dans la mise en œuvre du projet
- Un animateur a été chargé de l’encadrement des jeunes tout au long du projet. Il s’agit d’une personne déjà en poste sur la structure qui a assuré le lien et la coordination du projet et a été là en soutien de toutes les démarches et initiatives des jeunes. De manière plus globale, la responsable du secteur jeune a eu un rôle de coordination du secteur et de toutes les actions s’y référent.
- Un réseau de partenaires a été constitué et associé au projet (Club de Prévention, collège, Service culturel de la ville, Musée de l'Ardenne...) et tout autre partenaire agissant dans les domaines culturels ou en milieu artistique et qui ont souhaité accompagner les jeunes dans ce projet).
- Les habitants et associations de quartier qui sont souhaité être associés à l’organisation des actions culturelles et à l’animation globale du quartier.
Ce projet aussi issu d’une volonté de recréer une dynamique partenariale sur le quartier et développer une politique commune en faveur de la jeunesse. Ont été associés les partenaires de l’insertion (Mission Locale, CIO…), les partenaires culturels (un représentant du Service culturel de la ville de Charleville-Mézières, un représentant de l’ORCCA, le directeur du musée de l’Ardenne…), les associations d’habitants (qui organisent aussi des manifestations culturelles et/ou festives sur le quartier), l’ACEPA, le collège Scamaroni…
Des liens permanents ont été établis au sein du Centre Social entre les différents secteurs (qui organisent aussi, chacun à leur niveau, des actions d’éveil artistique et de promotion de la culture).
En partant d’un projet de jeunes, c’est le développement social et l’animation globale du quartier qui ont été principaux objectifs à travers cette action.
C’est aussi une manière de mettre en valeur leurs compétences artistiques et de mettre en avant leurs aspirations culturelles, autant d’entrées permettant la mise en évidence de compétences et la valorisation des jeunes du quartier.
C’est durant l’Organisation du temps fort que l’implication des habitants du quartier a été la plus forte. Ils se sont mobilisés dans toutes les étapes de mise en place de cette manifestation sur leur lieu de vie.
Date : le 17 mai 2014(Nuit des musées)
De 18h00 à 24h00
Lieu : Quartier de Manchester
Présentation de l’évènement :
- Une structure posée sur la place de Manchester
- expositions interactives des œuvres réalisées dans le cadre des ateliers artistiques (depuis septembre 2010)
- visites guidées du musée et ateliers artistiques participatifs avec les habitants du quartier
- présence d’artistes et expositions d’artistes locaux (ORCCA…)
- Une animation musicale (groupe) en soirée
- Un espace restauration et buvette
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La loi de lutte contre les exclusions du 29 juillet 1998 stipule que "L'égal accès de tous, tout au long de la vie, à la culture, à la pratique sportive, aux vacances et aux loisirs constitue un objectif national. Il permet de garantir l'exercice effectif de la citoyenneté". L'accès à la culture placé au même titre que l'accès aux droits fondamentaux que sont le travail, le logement ou encore la santé ne doit pas rester une déclaration d'intention, et l'accès à la culture des populations les plus en difficulté pourrait être une priorité.
Le centre social veut participer à susciter dans ce sens l'intérêt de la société et des pouvoirs publics en oeuvrant pour l'accès et la pratique d'activités culturelles comme un moyen de lutter contre les exclusions. Non pas seulement dans le sens d'une appropriation de la culture classique mais d'abord pour offrir aux personnes en difficulté la possibilité d'exister autrement dans le regard des autres. Ce dont les personnes exclues souffrent le plus, ce n'est pas du manque de ressources, même si elles en parlent souvent en premier, c'est le manque de relations amicales avec d'autres et l'occasion de montrer qui elles sont réellement. Ce qu'elles pensent et ce qu'elles savent faire. En outre il faut du courage pour sortir d'un environnement que l'on maîtrise pour aller vers quelque chose dont on ne connaît pas les codes.
La dimension culturelle est une réelle amorce pour sortir de l'exclusion, se remobiliser et se projeter dans la vie. Par exemple, le simple fait d'aller au musée, permet de sortir de son entre soi, et de son environnement familier.
Loisirs et culture ne doivent pas être un luxe. Il s'agit de les faire entrer dans les quartiers populaires puis leur permettre d'intégrer des expressions nouvelles. La culture doit aussi être considéré comme un plus dans la vie (dans les relations avec les autres, dans un métier, dans un entretien d'embauche).
Les pratiques artistiques ( constituent les formes d'expression qui prennent appui sur un art, théâtre, danse, arts plastiques, écriture...et font appel à la créativité individuelle ou collective))et culturelles (ensemble des formes de diffusion, de mise en circulation, d'échange et de partage autour des biens culturels : fréquentation des musées, cinéma, monuments, écoute de la musique...) des jeunes sont un maillons essentiels de l'accès à l'autonomie, à la socialisation et à la responsabilité.
C'est à travers les activités artistiques et culturelles pratiquées dans des périodes clés d'apprentissage que sont l'adolescence et la jeunesse que chaque génération peut réinterpréter le monde, inscrire sa marque et apporter sa contribution au dialogue entre toutes les cultures: savantes, populaires et de toutes origines.
Seuls ces échanges et confrontations avec toutes les cultures dans l'espace public, permettent la reconnaissance des cultures des jeunes par les autres, autant que la reconnaissance des cultures des autres par les jeunes.
Même si les jeunes voyagent à travers la Webplanète, chambre close, ils ne grandissent pas seuls mais en harmonie avec leur entourage humain. Les adultes doivent les aider à activer un esprit critique, leur apprendre à argumenter, étayer et réfléchir pour que cela deviennent constructif et non plus négatif. Nous devons créer la rencontre Adolescents-Culture pour provoquer la protestation, ou tout du moins la réaction.
Tant que les jeunes protesteront contre "la musique de leurs parents" il y aura de l'espoir.
C'est pour cela que Manchest'art existe.
Les objectifs :
- Susciter les initiatives de jeunes du quartier en favorisant leur prise de responsabilités
- Favoriser leur autonomie en les associant à l’élaboration d’actions culturelles
- Sensibiliser les jeunes du quartier à différentes pratiques artistiques et/ou culturelles, et au-delà à la vie locale et à l’animation du quartier
- Participer à l’éveil artistique des jeunes tout en privilégiant les moments de partage intergénérationnel et de convivialité familiale.
- Aménager des espaces culturels et élaborer des moments de rencontres autour des pratiques artistiques.
- Travailler à la mise en réseau des acteurs du quartier (Centre social, Acepa, collège...)
- Inscrire le projet à l’échelle du quartier et en direction de tous les habitants
- Favoriser l’apprentissage de la vie sociale et la responsabilisation
- Permettre aux jeunes de découvrir le processus de création en privilégiant les rencontres conviviales avec les équipes artistiques et techniques
- organiser un temps fort autour des créations réalisées.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- ACSE
- Association locale
- Caf
- Commune
- Conseil départemental
- Conseil régional
- Etat
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Par l'implication des jeunes dans le cadre de ce projet, nous avons recherché un réel investissement des jeunes mais également des habitants du quartier sur tous les évènements festifs qui se sont organisés durant l’année sur le quartier.
Les jeunes ont engagés toutes les démarches nécessaires à l’organisation des ateliers artistiques et culturels, à l’information, à la planification des moments forts. Les habitants ont été conviés à participer à la mise en place de ces temps forts (Nuit des musées).
L'action a débuté en janvier 2014 mais des éléments ont été construits en amont précédemment. Des rencontres conviviales ont été organisées entre les équipes artistiques et techniques.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
56428 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Intervenants - en interne (équipe mobilisée)
coordinateur secteur adultes et familles
coordinatrice secteur jeunesse
animatrice secteur jeunesse
coordinatrice secteur enfance
responsable halte garderie
responsable insertion
responsable multimédia
Nombre d’intervenants participant à l’action :
1 artiste en résidence, 10 artistes (plasticien, peintre, sculpteur, graveur..) et 1 plasticien pour la mise en espace du musée
un technicien, groupe de musique...
- Résultat sur le territoire
Loisirs et culture ne doivent pas être un luxe. Il s'agit de les faire entrer dans les quartiers populaires puis leur permettre d'intégrer des expressions nouvelles. La culture doit aussi être considéré comme un plus dans la vie (dans les relations avec les autres, dans un métier, dans un entretien d'embauche).
- Résultat pour le centre social
Le centre social veut participer à susciter dans ce sens l'intérêt de la société et des pouvoirs publics en oeuvrant pour l'accès et la pratique d'activités culturelles comme un moyen de lutter contre les exclusions. Non pas seulement dans le sens d'une appropriation de la culture classique mais d'abord pour offrir aux personnes en difficulté la possibilité d'exister autrement dans le regard des autres.
- Résultat pour les habitants
C'est à travers les activités artistiques et culturelles pratiquées dans des périodes clés d'apprentissage que sont l'adolescence et la jeunesse que chaque génération peut réinterpréter le monde, inscrire sa marque et apporter sa contribution au dialogue entre toutes les cultures: savantes, populaires et de toutes origines.
Seuls ces échanges et confrontations avec toutes les cultures dans l'espace public, permettent la reconnaissance des cultures des jeunes par les autres, autant que la reconnaissance des cultures des autres par les jeunes.
Même si les jeunes voyagent à travers la Webplanète, chambre close, ils ne grandissent pas seuls mais en harmonie avec leur entourage humain. Les adultes doivent les aider à activer un esprit critique, leur apprendre à argumenter, étayer et réfléchir pour que cela deviennent constructif et non plus négatif. Nous devons créer la rencontre Adolescents-Culture pour provoquer la protestation, ou tout du moins la réaction.
- Suite de l'action : Limites
Pas de difficultés rencontrées
Tous les partenaires ont donné le meilleur d'eux même pour que le projet réussisse.
Chacun a trouvé sa place et a participé activement.
Les jeunes se sont impliqués de la conception a la réalisation du projet.
Les habitants se sont mobilisés dans les divers ateliers en amont mais également le jour de la manifestation.
Des habitants sont venus nous aider au montage ainsi qu'au démontage. D'autres étaient parfois guides ou surveillants du Musée
L'ensemble des habitants ont une réelle envie de faire des sorties culturelles et ils nous l'ont montrer lors des sorties, ils sont déjà mobilisé dans les différents ateliers. Une forte implication de leur part lors du temps fort du 17 mai 2014. Ils sont déjà venu nous demander si il y aurait une autre édition.
A ce jour, Manchest'art et la manifestation de la Nuit des Musées est toujours dans toutes les têtes.
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Un espace accueil pour une meilleure cohabitation des actions et une dynamique participative
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Animer un espace d’accueil pour une meilleure cohabitation des actions et une dynamique participative.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence au diagnostic :
De nombreuses activités s’y côtoient aujourd’hui, entrainant parfois des difficultés de cohabitations et de lisibilité auprès du public. Un travail de réflexion sur les espaces est donc nécessaire afin d’améliorer encore l’accueil, source de lien social et de convivialité.
Impossibilité d’empêcher des familles de séjourner dans le hall d’accueil malgré l’instauration d’un dialogue permanent.
Source :
(Extraits du diagnostic du bilan contrat de projet 2010-2014).
Objectif stratégique :
Développer et valoriser la fonction d’animation sociale, source de cohésion sociale à l’échelle du territoire.
Objectifs opérationnels :
Améliorer l’accueil des personnes, des familles, des associations
- Améliorer l’accueil des groupes informels, des partenaires…
- Modifier l’aménagement et l’organisation de l’espace accueil.
- Encourager les initiatives des habitants et enclencher une dynamique participative.
- Rompre l’isolement des habitants, prévenir et réduire les exclusions, renforcer les solidarités entre les personnes en les « intégrant » dans des projets collectifs leur permettant d’être acteurs et d’assumer un rôle social au sein d’un collectif ou sur le territoire.
- Installation de mobiliers et cloisons…
Résultats attendus de l’action :
- Mise en œuvre d’une démarche transversale avec l’ensemble des professionnels du centre social permettant d’organiser une fonction d’accueil et d’écoute des habitants, usagers, des familles et des groupes informels ou des associations.
- Amélioration de l’accueil des personnes, des familles et des associations.
- Appréciations des visiteurs de l’animation dans le hall d’accueil (expositions, ateliers, …) pour présenter le centre social.
- Favoriser une attente confortable, détendue, harmonieuse.
- Réaliser un hall d'accueil en vecteur d'images fortes du centre social.
- Communiquer d'emblée un message fort sur l'identité du centre social.
- Capitaliser l’expérience de cette action afin d’optimiser l’utilisation du nouveau hall d’accueil de la future maison de quartier.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
2015 à 2018.
Déroulement :
L’accueil, basé sur une écoute attentive, s’étendra à la capacité à proposer une offre globale d’information et d’orientation. Il sera surtout organisé de manière à recueillir les besoins des habitants et leurs idées de projets collectifs.
Il sera assuré, à titre principal, par un agent d’accueil qualifié, mais sera appréhendé comme une fonction portée collectivement par l’ensemble de l’équipe d’animation du centre social. Cette fonction devra être reconnue, repérée sur le territoire d’intervention et sera considérée comme une action à part entière.
L’équipe de professionnels du centre social assurera une attention particulière aux familles et aux publics fragilisés et, le cas échéant, leur proposera un accompagnement adapté.
Créer les conditions de l’accueil et de la participation :
Un cahier des charges sera élaboré sur le schéma d'agencement avec les dirigeants, les salariés, les adhérents. Il permettra d’améliorer l’accueil, source de lien social et de convivialité.
Le recensement des besoins se révèle une étape incontournable. Il convient, tout d'abord, de détailler les contraintes techniques auxquelles le centre social est confronté. « C'est ce qui va permettre d'organiser une continuité et une cohérence entre ce qui existe et ce qui va être créé pendant la durée du projet social et imaginé dans la future maison de quartier ».
À l'issue de cette phase d'audit, le cahier des charges pourra être soumis à un architecte d'intérieur qui sera en mesure de travailler sur le schéma d’agencement.
Il faudra ensuite s'interroger sur la qualité et la typologie des personnes qui transiteront par cet espace (adhérents, usagers, fournisseurs, salariés…) et sur les temps d'attente de chacun, afin de mieux définir les flux de circulation. Les questions de sécurité - gestion des accès et filtrage - doivent être examinées avec attention.
Les questions acoustiques ne sont pas à négliger. Dans un espace où transitent plusieurs dizaines de personnes chaque jour, le niveau sonore ambiant peut se révéler rapidement élevé et gênant, rendant difficiles les conversations. Il faudra utiliser des outils logiciels de simulation des phénomènes acoustiques permettant d'optimiser les traitements nécessaires.
En termes d’information :
Pérenniser le travail en lien avec les services de la Ville de Sedan, de la Caisse d’Allocations Familiales, du Conseil Général, les associations, des services publics (Pôle Emploi, Mission Locale…), les organismes HLM, afin d’être identifié comme un lieu de diffusion et d’information.
C'est un lieu où les visiteurs vont pouvoir s'informer sur le centre social, d'où l'intérêt d'y installer des outils communicants comme des moyens audiovisuels (écran géant, vidéo projecteur, tablettes numériques, ordinateurs portables…), pour améliorer l’information, la communication.
Les dirigeants du centre social pourront investir dans un logiciel destiné à planifier et automatiser la diffusion de nos contenus multimédia sur un ou plusieurs écrans informatiques ou télévisuels. L’agent d’accueil animera l’espace d’attente en diffusant, sur un ou plusieurs écrans, différentes informations issues de différents fichiers (MS PowerPoint converti en vidéo, flash, films, images. Musiques...) pour faire patienter les visiteurs.
En termes spatiaux :
L’installation de petits salons de type “lounge” pourra être envisagée afin de créer une ambiance plus conviviale et cosy que celle d'une salle de réunion. « Il s'agit de zones « d'attente active » où le visiteur peut se connecter à internet, travailler ou faire une rapide présentation à son interlocuteur ».
Il sera aussi possible d'opter pour la création de petits box où sont accueillis, par exemple, les parents, de façon plus confidentielle, sans avoir à les faire pénétrer dans les bureaux du centre social.
Ces espaces pourront être équipés d'un point café qui pourra être géré par des bénévoles, d'un canapé “lounge”, de petites tables basses ou, au contraire, de tables de type « bar » et de tabourets assis debout.
Des prises électriques et une connexion Wi-Fi peuvent être installées afin de permettre au visiteur de travailler.
Sur un plan pratique, l'éclairage est une composante importante qui concourt à l'ambiance du hall d'accueil. Aussi, un soin tout particulier devra y être apporté, surtout si l'installation d'écrans ou des bornes interactives est prévue.
Il faudra réorganiser la signalétique, l’affichage, l’implantation de plantes vertes, d’un kiosque à journaux et magazines…
En termes d’animation :
Quelques rares animations ont été proposées dans le hall d’accueil. Il s’agira de les augmenter tout en tenant compte de la promiscuité de l’espace. Il faudra faire tourner des expositions de peintures, de sculptures, du théâtre “interactif de poche” pour attirer des visiteurs qui ne viennent pas habituellement au centre social.
Le poste de travail :
L'ergonomie des postes de travail doit aussi être impérativement prise en compte. D'où l'importance d'avoir préalablement défini, avec précision, les missions du personnel d'accueil. Ainsi, lorsque le salarié est chargé du standard, son espace doit être conçu de manière à préserver la confidentialité des communications. S’il est amené à se lever pour proposer un ordinateur ou une tablette aux visiteurs, il doit pouvoir circuler facilement. « La qualité de vie au travail du personnel en poste a un impact immédiat sur la qualité de l'accueil et, par conséquent, sur l'image que renvoie le centre social”.
Ce travail s’inscrira aussi dans la perspective de l’aménagement de l’accueil dans la nouvelle maison de quartier.
Les moyens mis en œuvre :
* Humains :
Un agent d’accueil qui interviendra à raison de trente-cinq heures par semaine, en transversalité avec l’ensemble des dirigeants, bénévoles et du personnel.
* Amplitude d’ouverture :
Assurer des créneaux d’ouverture maximum, 70 heures par semaine, 6 jours sur 7, 10 mois sur 12.
* Moyens matériels :
Moyens audiovisuels (écran géant, vidéo projecteur, tablettes numériques, ordinateurs portables…).
Acquisition de mobiliers et de cloisons…
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Il n'existe pas de budget spécifique pour cette fiche action. Chaque bénévole, chaque salarié est totalement partie prenante de la mise en oeuvre opérationnelle de la fiche action. Un salarié chargé d'accueil et un contrat aidé assurent une plage horaire d'ouverture de 60 heures hebdomadaires. L'espace d'accueil est aussi animé pendant les périodes de fermeture par des bénévoles. Ces éléments ne permettent pas de formaliser un budget précis.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
25 salariés - 80 bénévoles -
- Résultat sur le territoire
Améliorer l’accueil des groupes informels, des partenaires,
Encourager les initiatives des habitants et enclencher une dynamique participative,
Rompre l’isolement des habitants, prévenir et réduire les exclusions.
- Résultat pour le centre social
Créer les conditions de l'accueil et de la participation.
- Résultat pour les habitants
Rompre l’isolement des habitants, prévenir et réduire les exclusions,
Encourager les initiatives des habitants.
- Suite de l'action : Limites
Le centre social Le Lac vient d'emménager dans la nouvelle maison de quartier et n'a pas pu mesurer les limites de son action.
- Suite de l'action : Perspectives
Evaluer la mise en oeuvre de la fiche action afin de définir des perspectives.
Actions
Accompagnement des parents dans leur mission éducative
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
Accompagner les parents dans leur mission éducative.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence au diagnostic :
Après de très nombreuses tentatives afin de mobiliser des partenaires (Ville de Sedan, établissements scolaires…), les dirigeants du Centre Social Le Lac, en accord avec la responsable de l’animation collective familles, ont dû se résigner à organiser « sans réseau », diverses actions. Cependant, la responsable de l’animation collective familles a pu s’appuyer sur une représentante de la Caisse d’Allocations Familiales ainsi que sur l’équipe de salariés et de bénévoles du Centre Social Le Lac
Source :
(Extrait du diagnostic du bilan contrat de projet 2010-2014).
Objectif stratégique :
Développer et valoriser la fonction d’animation sociale, source de cohésion sociale à l’échelle du territoire.
Objectif opérationnel :
Améliorer l’accueil des personnes, des familles, des associations.
- Encourager les initiatives des habitants.
- Enclencher une dynamique participative.
- Soutenir les parents dans leur rôle éducatif en utilisant le dispositif « REAAP », contrôlé et animé par la Caisse d’Allocations Familiales, afin d’améliorer l’accueil des personnes, des familles, en particulier les plus vulnérables, car leur engagement dans une activité sociale est souvent difficile.
Résultats attendus de l’action :
Participation d’acteurs divers pour accompagner plusieurs groupes de parents dans la perspective de relever des besoins, des attentes sur des questions de parentalité et leur donner les moyens de se structurer.
Participation de parents à des ateliers parents/enfants.
Développement de relations durables et construction de projets communs avec les associations de parents d’élèves du quartier du Lac.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
2015 à 2018.
Déroulement :
Mobiliser un réseau d’acteurs divers travaillant déjà sur ce sujet et dont les domaines d’intervention varient : des associations, des partenaires institutionnels (Caisse d’Allocations Familiales, Centre Communal d’Action Sociale…), des professionnels, les établissements scolaires, les parents d’élèves…
Le réseau pourra mettre à la disposition des parents des services et des moyens :
- Rencontres et échanges entre parents.
- Accompagnement de projets familiaux.
- Soutien psychologique.
- Actions culturelles.
- Sorties familiales.
- Conférence.
- Débat avec différentes méthodologies participatives.
- Accompagnement de plusieurs groupes de parents dans la perspective de relever des besoins, des attentes sur des questions de parentalité et leur donner les moyens de se structurer.
- Créer des ateliers parents/enfants.
- Développer des relations avec les associations de parents d’élèves du quartier du Lac pour collaborer sur certains projets, leur apporter un soutien technique, mutualiser des compétences, proposer des formations…
Les moyens mis en œuvre :
Une animatrice socioculturelle animera une démarche de transversalité avec l’ensemble des dirigeants, bénévoles et du personnel.
Résultats attendus de l’action :
Participation d’acteurs divers pour accompagner plusieurs groupes de parents dans la perspective de relever des besoins, des attentes sur des questions de parentalité et leur donner les moyens de se structurer.
Participation de parents à des ateliers parents/enfants.
Développement de relations durables et construction de projets communs avec les associations de parents d’élèves du quartier du Lac.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget du Réseau d'Ecoute, d'Appui et d'Accompagnement des Parents.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 salariés - 50 bénévoles -
- Résultat sur le territoire
Participation d’acteurs divers pour accompagner plusieurs groupes de parents dans la perspective de relever des besoins, des attentes sur des questions de parentalité et leur donner les moyens de se structurer.
- Résultat pour le centre social
Participation de parents à des ateliers parents/enfants.
- Résultat pour les habitants
Développement de relations durables et construction de projets communs avec les associations de parents d’élèves du quartier du Lac.
- Suite de l'action : Limites
Importantes difficultés à mobiliser les habitants dans la durée.
Indisponibilté des enseignants pour participer à la coconstruction des projets.
- Suite de l'action : Perspectives
Améliorer la structuration de la Fête de l'Enfance qui servira d'outil de mobilisation et de participation pour accompagner les parents dans leur mission éducative.
Actions
Atelier d'éducation artistique et culturelle
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- Culture
- Résumé
- Mise en place d’ateliers d'éducation artistique et culturelle qui ont pour ambition de viser un égal accès de tous les jeunes à l'art et à la culture, dans le respect de la liberté et des initiatives de l'ensemble des acteurs concernés.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence :
En 2012 et 2013, des ateliers d'éducation artistique et culturelle ont été mis en œuvre par le centre social Torcy Cités, le Secteur Jeune de la Ville de Sedan et le Centre Social Le Lac, dans le cadre du FACEJ ZUS, aux bénéfices des habitants des différents quartiers des ZUS de la ville de Sedan.
Les partenaires se sont associés afin de créer une dynamique partenariale. L’objectif était de favoriser le brassage des habitants, la coopération des animateurs, la mutualisation des moyens, humains, pédagogiques, des différents quartiers des ZUS et de la ville de Sedan.
Les différents ateliers d'éducation artistique et culturelle mis en œuvre ont permis de créer une chorale intergénérationnelle, une troupe déambulatoire, des groupes de percussions et de danses (zumba, danse africaine)… avec les habitants des différents quartiers des ZUS et de la ville de Sedan.
À partir des ateliers artistiques, en 2013, des œuvres collectives ont été présentées tout au long de l’année : fête de la musique, festival médiéval de la ville de Sedan, carnaval de Sedan, fête de Donchery, festival de la marionnette de Charleville-Mézières, spectacles présentés dans les différentes structures…
Lors des multiples bilans de fin d’année, les administrateurs, les directeurs, les animateurs du centre social Torcy Cités et le Lac, le Service Jeunesse de la Ville de Sedan, les familles (adultes, jeunes, enfants) ont souhaité, unanimement, l’utilisation d’ateliers d'éducation artistique et culturelle afin de poursuivre un projet collectif.
Le témoignage des acteurs socioéducatifs, MJC Calonne, centre social Torcy Cités, Secteur Jeune de la Ville de Sedan, Centre Social Le Lac, dans le cadre des bilans collectifs CUCS et FACEJ ZUS organisés par la Ville de Sedan.
Le témoignage de certaines institutions (Caisse d’Allocations Familiales, travailleurs sociaux, Pôle Sénior, CCAS…) a permis d’identifier ce besoin.
L’équipe de permanents du Centre Social Le Lac (le Directeur, les Responsables du Secteur Familles, de l’Accueil collectif de Mineurs, de l’Accueil jeunes, des Contrats locaux d’Accompagnement à la Scolarité, de la Ludothèque, les adultes relais, l’agent d’accueil, les animateurs…) a, dans sa relation permanente avec les usagers, recueilli de très nombreux témoignages qui ont pu être analysés.
Les usagers de tous les secteurs, les membres du conseil d’administration, ont témoigné quotidiennement des difficultés qu’ils ont rencontrées dans leurs pratiques.
Les jeunes et les familles qui habitent la ZUS du Lac, de Torcy, et du centre ancien fréquentent très peu ou pas les structures culturelles (MJC Calonne, école de musique, médiathèque…) en dehors du temps scolaire.
Cette fracture artistique et culturelle est inégale d'un jeune à l'autre pour des raisons diverses (socioculturelles, géographiques, etc...) et en fonction des écoles ou établissements fréquentés.
Les initiatives des opérateurs sont quelquefois anarchiques voir incohérentes avec peu d’évaluations qualitatives et quantitatives.
Leur mise en œuvre résulte d’un manque de concertation entre les différents acteurs du territoire.
Cette démarche à destination des jeunes ne conduit-elle pas à une simple juxtaposition d'actions dans tous les domaines des arts et de la culture ?
Ces propositions produisent des attitudes consuméristes qui ne facilitent pas la démarche de projet et le partenariat.
Il n’existe pas d’instance de pilotage et de suivi à l’échelon territorial afin d’assurer la mise en cohérence et la continuité des actions et de veiller au rééquilibrage sur le territoire.
Existe-t-il un projet politique permettant de mettre en œuvre les grands axes stratégiques de développement de l'éducation artistique et culturelle, sur la base de diagnostics et de bilans locaux, en portant une attention particulière aux territoires ZUS ?
L’absence de dynamique partenariale ne permet pas un égal accès de tous les jeunes aux arts et à la culture. Les actions et les budgets ne sont pas en synergie et ne peuvent donc pas initier des expérimentations et des actions innovantes.
Ce projet Co construit par les acteurs socioéducatifs, centre social Torcy Cités, Secteur Jeune de la Ville de Sedan et porté par le Centre Social Le Lac, pourrait contribuer pleinement à la réussite et à l'épanouissement de chaque jeune par la découverte de l'expérience esthétique et du plaisir qu'elle procure, par l'appropriation de savoirs, de compétences, de valeurs, et par le développement de sa créativité. Il concourrait aussi à tisser un lien social fondé sur une culture commune.
Source :
Diagnostic commun Service Jeunesse Ville, Centre social Torcy Cités et Centre Social Le Lac.
Objectif stratégique :
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire.
Objectifs généraux :
- Mise en place d’ateliers d'éducation artistique et culturelle qui ont pour ambition de viser un égal accès de tous les jeunes à l'art et à la culture, dans le respect de la liberté et des initiatives de l'ensemble des acteurs concernés.
- Impliquer les parents dans les projets artistiques et culturels de leurs enfants.
- Mise en place d’un parcours d'éducation artistique et culturelle qui a pour objectif de mettre en cohérence enseignements et actions éducatives, de les relier aux expériences personnelles, de les enrichir et de les diversifier.
- Mettre en valeur les actions menées, en leur donnant une continuité.
- Permettre aux jeunes, par l'expérience des pratiques, par la rencontre des œuvres et des artistes, par les investigations, de fonder une culture artistique personnelle, de s'initier aux différents langages de l'art et de diversifier et développer ces moyens d'expression.
- Le parcours d'éducation artistique et culturelle conjuguera l'ensemble des connaissances acquises, des pratiques expérimentées et des rencontres organisées dans les domaines des arts et de la culture, dans une complémentarité entre les temps scolaires, périscolaires et extrascolaires.
- Ce parcours contribuera pleinement à la réussite et à l'épanouissement de chaque jeune par la découverte de l'expérience esthétique et du plaisir qu'elle procure, par l'appropriation de savoirs, de compétences, de valeurs et par le développement de sa créativité. Il concourt aussi à tisser un lien social fondé sur une culture commune.
- Sa mise en œuvre résulte de la concertation entre les différents acteurs d'un territoire afin de construire une offre éducative cohérente à destination des jeunes qui aille au-delà de la simple juxtaposition d'actions, dans tous les domaines des arts et de la culture.
- Favoriser la continuité du parcours d'éducation artistique et culturelle entre les différents temps éducatifs de l'enfant.
- Compléter le parcours d'éducation artistique et culturelle mis en œuvre par l’Éducation Nationale en s’appuyant sur la circulaire n° 2013-073 du 3-5-2013 qui formalise, dans une démarche partenariale associant structures ou acteurs culturels et milieux socioéducatifs, notamment ceux de l'éducation populaire (MJC Calonne, Centre social Torcy Cités, Secteur Jeune de la Ville de Sedan).
- Proposer un parcours d'éducation artistique et culturelle en lien avec les politiques éducatives territoriales et les politiques de développement culturel que mènent les collectivités territoriales.
- Ces actions s'inscriront dans une démarche de projet avec les acteurs socioéducatifs (MJC Calonne, Centre social Torcy Cités, Secteur Jeune de la Ville de Sedan). Leurs contenus rechercheront la complémentarité des trois piliers de l'éducation artistique et culturelle.
- Elles prendront la forme d’ateliers artistiques dans les domaines de la musique (percussions), de la danse (africaine), ou du théâtre, etc…
- Mettre en œuvre un projet Co construit dans une logique de territoire éducatif.
- S'impliquer dans un projet artistique d'envergure ne pouvant se développer que dans le cadre de mutualisations formalisées.
- Participer au renforcement du lien entre les activités menées sur le temps scolaire et les expériences personnelles menées sur le temps extrascolaire, en particulier si le territoire prévoit la mise en place d’un Projet Educatif Territorial (PEDT).
Objectif opérationnel :
Adapter et renforcer les services existants.
Utiliser des ateliers d'éducation artistique et culturelle dans les domaines de la musique (percussions), de la danse (africaine) ou du théâtre, etc… au bénéfice des enfants et de leurs parents qui habitent la ZUS du Lac, de Torcy, du centre ancien, pour créer une œuvre collective (spectacle…).
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Commune
- Etat
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Déroulement :
Le parcours d'éducation artistique et culturelle conjuguera l'ensemble des connaissances acquises, des pratiques expérimentées et des rencontres organisées dans les domaines des arts et de la culture, dans une complémentarité entre les temps scolaires, périscolaires et extrascolaires.
Le projet des ateliers d'éducation artistique et culturelle sera donc présenté aux enseignants, aux animateurs qui accueillent les enfants dans les différents temps. Une rencontre sera organisée avec la conseillère pédagogique de l’Éducation Nationale afin qu’elle présente le parcours d'éducation artistique et culturelle mis en œuvre dans les écoles, par les enseignants.
Cet échange consolidera la complémentarité entre les différents temps et devrait permettre de futures coopérations dans une démarche de coéducation.
Il s’organisera aussi autour de créations sur plusieurs territoires qui, progressivement, n’en deviendra plus qu’un.
Des transversalités seront aussi élaborées en direction du projet « un artiste dans la ville » mis en œuvre par la MJC Calonne et la médiathèque de Sedan.
Des rassemblements seront organisés tout au long de l’année avec les publics du Centre social Torcy, le Secteur Jeune de la Ville de Sedan et le Centre Social Le Lac afin d’élaborer un spectacle commun. Il sera présenté aux habitants de la ville de Sedan, à la fin de l’année 2014.
Des ateliers communs (parents, enfants, parents/enfants) seront organisés avec les enfants et les jeunes des différentes structures.
Au-delà des ateliers, l’animateur spécialisé dans les activités d'éducation artistique et culturelle accompagnera, tout au long de l’année 2014, des groupes (parents, enfants, parents/enfants), des différentes structures, aux spectacles, expositions… organisées par la MJC Calonne et la médiathèque de Sedan…
Un animateur spécialisé dans les activités d'éducation artistique et culturelle sera recruté par le Centre Social Le Lac, sur la base de 35 heures. Il animera différents ateliers au Centre social Torcy Cités, Secteur Jeune de la Ville de Sedan et Centre Social Le Lac.
Pour la première fois dans l’histoire de ces structures, une mutualisation d’un salarié permettra d’atténuer les phénomènes quelquefois négatifs d’appartenance territoriale de certains habitants et particulièrement des jeunes.
Pour la première fois dans l’histoire de ces structures, une mutualisation du matériel pédagogique sera mise en œuvre quotidiennement.
Pour la première fois dans l’histoire de ces structures, une convergence sera mise en œuvre en transversalité avec d’autres projets financés conjointement par le CUCS et le FACEJ ZUS dans le cadre d’un projet intitulé « un artiste dans la ville ».
L’intervention d’un animateur spécialisé dans les activités d’éducation artistique et culturelle favorisera les initiatives de terrain et fera de chaque animateur, quelle que soit la structure dans laquelle il est salarié, un acteur de ce projet avec son propre public.
Chaque projet artistique et culturel sera unique, mais transversal, car sera le fruit du partenariat entre chaque animateur, quelle que soit la structure dans laquelle il est salarié et le même animateur spécialisé dans les activités d’éducation artistique et culturelle. Ensemble, ils feront appel à l’initiative des familles.
On peut comparer cette initiative à une résidence d’artistes, sur plusieurs mois.
En effet, le projet s’organisera aussi autour de créations sur plusieurs territoires qui, progressivement, n’en deviendra plus qu’un.
De ce fait, le projet répondra aussi à la devise du maire de Sedan « la ville est une et indivisible ».
Il aura plusieurs missions : de création, de diffusion et de sensibilisation. La rencontre avec une œuvre par la découverte d’un processus de création, la pratique culturelle à travers la mise en relation avec les différents champs du savoir et la construction d’un jugement esthétique.
Les ateliers artistiques seront :
- Des lieux d’une pratique critique effective, approfondie, créative et réflexive.
- Des lieux de rencontres essentiels entre le monde de l’animation et celui de la création, entre les animateurs et les professionnels de l’art, entre l’enseignement artistique et l’action culturelle.
- Des éléments essentiels du développement et de la diversification des activités artistiques.
- Des espaces d’innovation pédagogique et d’engagement artistique.
- Des voies de rencontre entre des acteurs socioéducatifs, MJC Calonne, centre social Torcy Cités, Secteur Jeune de la Ville de Sedan, Centre Social Le Lac et leur environnement artistique et culturel.
Les ateliers artistiques auront les caractéristiques suivantes :
- Être centrés sur la pratique.
- Être ouverts sur l’environnement culturel.
- Intégrer les nouvelles technologies.
- Être installés dans des locaux adaptés et équipés spécifiquement.
Les moyens mis en œuvre :
Un animateur spécialisé dans les activités d'éducation artistique et culturelle sera recruté par le Centre Le Lac sur la base de 35 heures. Il animera différents ateliers au Centre social Torcy Cités, Secteur Jeune de la Ville de Sedan et Centre Social Le Lac.
Salle spécifique dans chaque structure (Centre social Torcy Cités et du Lac, Secteur Jeune de la Ville de Sedan).
Matériel pédagogique (percussions, échasses, cirque…) des trois structures.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
5 salariés - 100 bénévoles -
- Résultat sur le territoire
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire.
- Résultat pour le centre social
Utiliser des ateliers d'éducation artistique et culturelle dans les domaines de la musique (percussions), de la danse (africaine) ou du théâtre, etc… au bénéfice des enfants et de leurs parents qui habitent la ZUS du Lac, de Torcy, du centre ancien, pour créer une œuvre collective (spectacle…).
- Résultat pour les habitants
- Des lieux d’une pratique critique effective, approfondie, créative et réflexive.
- Des lieux de rencontres essentiels entre le monde de l’animation et celui de la création, entre les animateurs et les professionnels de l’art, entre l’enseignement artistique et l’action culturelle.
- Des éléments essentiels du développement et de la diversification des activités artistiques.
- Suite de l'action : Limites
Importantes difficultés à mobiliser les habitants dans la durée.
- Suite de l'action : Perspectives
L’implication des différents publics, des animateurs, de l’animateur spécialisé dans les activités d'éducation artistique et culturelle, dans les différents ateliers, ainsi que les productions et œuvres créées dans le cadre de ces ateliers, seront mises en valeur par le biais d’expositions et de présentations publiques.
Actions
Implication des adhérents, des responsables d'activités, des bénévoles, des Elus dans les instances de décision du centre social
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Démocratie & citoyenneté
- Mixité sociale
- Résumé
Impliquer les adhérents, les responsables d’activités, les bénévoles, les élus du conseil d’administration dans une dynamique participative.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence au diagnostic :
Depuis les origines de la politique de la ville, la nécessité de la participation des habitants est reconnue par tous. Bien que les dispositifs participatifs se soient développés et diversifiés, ceux-ci relèvent plus souvent de l’information et de la consultation que d’une véritable possibilité de se faire entendre et d’intervenir dans l’action publique.
Tout en gardant à l’esprit les limites pouvant y être liées, de nombreux conseils considèrent aujourd’hui qu’il faudrait améliorer la qualité du débat public et associer davantage les citoyens aux décisions (Conseil d’État, Conseil National des Villes ou Conseil National des Politiques de Lutte contre la Pauvreté et l’Exclusion Sociale). Des attentes de renouveau démocratique semblent, en effet, émerger dans un contexte marqué par la crise de la représentation traditionnelle, le développement des réseaux sociaux et l’évolution de la répartition des compétences entre l’Union Européenne, l’État et les collectivités locales.
Dès lors, comment partager le pouvoir d’expertise et de décision avec les habitants ? Comment mieux articuler participation et représentation ? Quelle ambition pour la politique de la ville ? Pour éclairer l’action publique française, cette note analyse les dynamiques étrangères les plus prometteuses en dégageant trois axes : partager le pouvoir décisionnel avec les habitants au travers de « budgets participatifs de quartiers » ; garantir la qualité du débat public ; permettre aux habitants de développer leur pouvoir d’agir.
Source :
La participation des habitants : trois pistes pour rénover la politique de la ville [Note d'analyse 278 — septembre 2012].
Marion Carrel : maître de conférences en sociologie à l'université Lille 3.
Noémie Houard : département Questions sociales du Centre d'Analyse stratégique.
Une des conclusions du questionnaire :
On remarque une volonté de s’engager dans une démarche d’intérêt général par le biais des candidatures au conseil d’administration. On peut noter de nombreuses propositions concernant la mise en œuvre d’activités nouvelles.
Source :
[Extrait du diagnostic du bilan contrat de projet 2010-2014] – une des conclusions du questionnaire.
Objectif stratégique :
Développer et valoriser la fonction d’animation sociale, source de cohésion sociale à l’échelle du territoire.
Objectif opérationnel :
Promouvoir et accompagner le bénévolat.
- Améliorer la capacité des bénévoles anciens et nouveaux à encadrer et à animer les activités de l'association, notamment dans les actions socioculturelles ou sportives.
- Faire acquérir aux bénévoles participants de manière régulière aux organes de direction [conseil d’administration, bureau], des connaissances pour administrer rationnellement et efficacement le centre social dans le cadre d'un exercice de responsabilité non professionnelle.
Résultats attendus de l’action :
- Encourager les initiatives des habitants et une dynamique participative.
- Mobilisation des adhérents dans la participation aux formations.
- Utilisation des nouvelles compétences au sein du conseil d’administration et des bureaux.
- Augmentation des candidatures pour le conseil d’administration.
- Amélioration dans la gestion des activités gérées par les bénévoles.
- Création de nouvelles activités et une dynamique de mobilisation des habitants.
- L’engagement bénévole aura pour conséquence leur développement personnel, le développement de leurs compétences, la recherche de sens à leur vie, le plaisir, le besoin de développement du lien social…
- Valorisation des talents.
- Prise de responsabilité et développement d’une citoyenneté de proximité.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Commune
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Déroulement :
Le centre social organisera des formations, une fois par trimestre, à l’intention des bénévoles ou leur donnera accès à des formations conçues ou promues par des structures mandatées, à cet effet, par les directions régionales de la jeunesse, des sports et de la cohésion sociale. La formation comportera, la plupart du temps, une partie théorique et une partie pratique.
Elle permettra d’acquérir :
- Une culture générale sur la spécificité du fait associatif et de l’agrément d’un centre social par la Caisse d’Allocations Familiales des Ardennes, son évolution, son environnement, des connaissances pour prendre des responsabilités, conduire et développer le contrat de projet.
- Des données sur la définition du concept d’animation globale.
- Une formation pratique.
Ils recevront, à l’issue de cette formation, un livret de formation à la gestion associative. Il permettra aux bénévoles suivant ou ayant suivi un parcours de formation à la gestion associative reconnu par les autorités, de garder une trace du contenu de la formation. De plus, il comportera des appréciations portées sur ses compétences, par les responsables de formation.
Un contrat d’engagement pour suivre ces formations sera proposé aux bénévoles et aux adhérents élus au conseil d’administration
Les moyens mis en œuvre :
Le directeur et la comptable animeront une démarche de transversalité avec l’ensemble des dirigeants, bénévoles et du personnel.
Structures mandatées par les Directions Régionales de la Jeunesse, des Sports et de la Cohésion Sociale…
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Prestation de Service centre social.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
5 salariés - 20 bénévoles -
- Résultat sur le territoire
Développer et valoriser la fonction d’animation sociale, source de cohésion sociale à l’échelle du territoire.
- Résultat pour le centre social
Améliorer la capacité des bénévoles anciens et nouveaux à encadrer et à animer les activités de l'association, notamment dans les actions socioculturelles ou sportives.
Faire acquérir aux bénévoles participants de manière régulière aux organes de direction [conseil d’administration, bureau], des connaissances pour administrer rationnellement et efficacement le centre social dans le cadre d'un exercice de responsabilité non professionnelle.
- Résultat pour les habitants
- Des données sur la définition du concept d’animation globale.
- Une formation pratique.
- Suite de l'action : Limites
Difficultés à lutter contre le fatalisme et à inscrire les participants dans la durée.
- Suite de l'action : Perspectives
Amélioration dans la gestion des activités gérées par les bénévoles
Création de nouvelles activités
Mobilisation des habitants des différents quartiers.
Actions
Logithèque
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- éducation / scolarité
- Emploi, économie
- Résumé
Lutter contre la fracture numérique qui peut fragiliser la société qui n’a plus le temps de faire de l’innovation technologique un apprentissage social.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence :
Avec une proportion de non diplômés et de ménages non imposés, deux fois supérieure dans la ZUS du Lac, le quartier présente des risques élevés d’une forte fracture numérique.
Le niveau d’équipements à domicile (ordinateurs et abonnement) est inférieur dans la ZUS du Lac.
Les freins économiques à l’acquisition de l’équipement demeurent une des raisons majeures.
Les habitants interrogés à ce sujet expliquent qu’il s’agit avant tout d’un problème de coût.
Les pratiques et usages numériques marquent une nette fracture et sont générateurs d’exclusion.
Plus que sur les réseaux et les équipements, ce sont dans les usages que nos équipes de salariés ont observé une fracture numérique importante par rapport au reste de la population.
Certaines évolutions sociales, communes à de nombreux territoires, interrogent et/ou ont un impact sur la notion de « vivre ensemble ».
Le développement des nouvelles technologies modifie également les formes du lien social et réinterroge les notions de proximité et de voisinage. Plus globalement, l'accélération du changement technologique peut fragiliser la société qui n'a plus le temps de faire de cette innovation technologique un apprentissage social.
Source :
(Extrait du diagnostic du bilan contrat de projet 2010-2014).
(Extrait de la circulaire relative à l’animation de la vie sociale 2012).
Objectif stratégique :
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
Objectifs généraux :
Lutter contre la fracture numérique qui peut fragiliser la société qui n’a plus le temps de faire de l’innovation technologique un apprentissage social.
Objectifs opérationnels :
Adapter et renforcer les services existants.
- Organiser des ateliers d’initiation et de formation aux nouvelles technologies au bénéfice des familles, en particulier les plus vulnérables, car leur engagement dans une activité sociale est souvent difficile.
- Accès et initiation.
- Apprentissage, initiation à internet.
- Utiliser des CD-Rom éducatifs pour une remédiation de la lecture et de l'écriture.
- Apporter à chaque participant la compréhension des mécanismes de fonctionnement d'internet.
- Découvrir les principaux outils de connexion et de recherche d'informations.
- Utiliser la messagerie électronique.
- Etre capable d'assurer la saisie, la mise en forme, l’impression et l'archivage de documents dans le pack office de Microsoft ou de Libre Office.
Résultats attendus de l’action :
- Réduction du nombre d’adhérents de notre territoire d’intervention n’utilisant pas internet.
- Sensibilisation du plus grand nombre aux bonnes pratiques, en référence aux finalités du Centre Social Le Lac.
- Amélioration des usages pour améliorer les conditions de vie, le développement de l’éducation et de l’expression culturelle, la prévention et la réduction des exclusions…
- Utilisation des nouvelles technologies dans le cadre d’un apprentissage social.
- Participation à une activité collective des habitants de différentes générations.
- Réponse aux besoins des habitants.
- Insertion sociale d’un maximum de familles dans l’environnement des nouvelles technologies pour favoriser les liens sociaux et la cohésion sociale, en référence aux finalités du centre social.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- Etat
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Déroulement :
La logithèque, le cyberbase, Informatique pour tous.
Création de multiples actions dédiées à la micro-informatique, internet et aux multimédias au bénéfice de familles défavorisées de la ville du territoire d’intervention. Elles s'adresseront à des publics qui sont à l'écart du développement de la société, de l'information et de la communication. Deux espaces ont été créés : la logithèque et le cyberbase.
Afin d'éviter la reproduction de pratique d'exclusion sociale, les structures seront ouvertes à un large public sans limite, en termes d'âge, de catégories socioprofessionnelles, d'origine culturelle. Elles viseront ainsi à favoriser la mixité sociale, la rencontre, l'éco- apprentissage.
Le recours à l'outil informatique se présente comme un plus dans le cadre des missions du Centre Social Le Lac pour servir l'accompagnement des publics défavorisés : soutien à l'alphabétisation, accompagnement scolaire, recherche d'emploi, apprentissage d'initiation à l'usage d'internet, communication (mails, chats, etc...).
La nouvelle maison de quartier :
Un cahier des charges sera élaboré sur le schéma d'agencement avec les dirigeants, les salariés, les adhérents. Il permettra d’améliorer l’accueil, source de lien social et de convivialité.
Le recensement des besoins se révèle une étape incontournable. Il conviendra, tout d'abord, de détailler les contraintes techniques auxquelles le centre social est confronté. C'est ce qui va permettre d'organiser une continuité et une cohérence entre ce qui existe et ce qui va être créé pendant la durée du projet social et imaginé dans la future maison de quartier.
À l'issue de cette phase d'audit, le cahier des charges pourra être soumis à un architecte d'intérieur qui sera en mesure de travailler sur le schéma d’agencement de la logithèque.
Les moyens mis en œuvre :
Deux animateurs socioculturels et des animateurs bénévoles organiseront des animations, des cours, des formations…
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 salariés - 5 bénévoles -
- Résultat sur le territoire
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
- Résultat pour le centre social
Lutter contre la fracture numérique qui peut fragiliser la société qui n’a plus le temps de faire de l’innovation technologique un apprentissage social.
- Résultat pour les habitants
- Organiser des ateliers d’initiation et de formation aux nouvelles technologies au bénéfice des familles, en particulier les plus vulnérables, car leur engagement dans une activité sociale est souvent difficile.
- Suite de l'action : Limites
Cette action est principalement financée par les collectivités et le contrat de ville qui apporte un financement essentiel complémentaire.
Cependant, la précarité du dispositif remet en question régulièrement la pérennité des postes de salariés.
- Suite de l'action : Perspectives
Développer le bénévolat afin d'étendre les créneaux et accueillir plus d'habitants.
Actions
Accompagner le bien vieillir sur le territoire
- Structure organisatrice
- Centre social Fumay Charnois Animation - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Viellissement
- Santé
- Résumé
"Bien vieillir" à travers les propositions d'ateliers prévention santé, culturels et de loisirs :
exemples : ateliers mémoire, prévention des chutes, ateliers santé, découvertes culturelles et ateliers créatifs, cuisine, ateliers informatique ...
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La population de notre territoire est vieillissante, le contrat de projet mentionnait la problématique de la chute démographique et du vieillissement de la population.
Suite à un diagnostic de territoire élaboré par différents acteurs et partenaires locaux dont le Centre Social, un forum séniors porté par la structure a permis de mieux connaître les attentes et les besoins de la population et les champs d'action possibles à mettre en oeuvre avec les partenaires.
Suite au forum séniors, mise en oeuvre de nouvelles actions en direction des séniors de plus de 50 ans.
Résultats attendus : "Mieux vivre de la population séniors"
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ARS
- CARSAT
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Début : 2012
Groupes de travail : Conseil, départemental, carsat, CCAS, commune
Mise en oeuvre d'actions avec des partenaires spécialisés selon les thèmes abordés. (mobilisation de ressources)
Portage et coordination par des professionnels du centre Social : responsable secteur adultes, référent santé, référent séniors ...
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 professionnels réguliers du Centre Social
Partenaires extérieurs : 5
Bénévoles : 15
- Résultat sur le territoire
En 2016, 200 à 250 personnes de plus de 50 ans ont fréquenté les activités séniors du Centre Social : ce chiffre est en constante augmentation depuis 2012.
- Résultat pour le centre social
Augmentation de la fréquentation des séniors au Centre Social
- Résultat pour les habitants
Développement de l'information et des actions de prévention.
Sentiment de bien-être et de prise en compte de leurs besoins.
- Suite de l'action : Limites
Financements conventionnés et non pérennes : cela pourrait être un frein pour la pérennisation de l'action dans la durée ... alors que c'est un axe à développer pour le Centre Social et les besoins de la population du territoire.
- Suite de l'action : Perspectives
Continuer l'action, être capable de s'adapter aux besoins nouveaux : nouvelles technologies ...
Actions
Repas solidaires
- Structure organisatrice
- Centre social Manchester - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Précarité
- Intégration
- discriminations
- Résumé
Chaque jeudi matin, le centre social propose des ateliers cuisine à visé solidaire.
A partir de 10h, des habitants bénévoles se retrouvent afin de cuisiner, ensemble, des plats qu'ils iront ensuite distribuer aux personnes sans abris du quartier et sur des points stratégiques de la ville.
Les associations locales participent via le don de vétements chauds qui sont distribués lors de la période hivernale.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place afin de changer les habitudes de consommation des activités du centre social par les habitatns du quartier et de développer les solidarités.
Les habitants ne cuisinent plus simplement pour cuisiner et consommer mais dans une perspective d'entre-aide de solidarité.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
20
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
Développer les solidarités, lutter contre l'isolement et lutter contre les discriminations
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
"ATELIER MÉMOIRE - PEP'S EURÊKA"
- Structure organisatrice
- Centre Social et Culturel André Dhôtel - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Viellissement
- Santé
- Résumé
Outiller les seniors pour bien vieillir et en bonne santé chez soi. Les 12 "alliés" du bien vieillir :
Activités intellectuelles, physiques, nutrition, patrimoine génétique,moyens financiers, sommeil, environnement famillial, affectivité, vision et audition, loisirs et projets, environnement social, équilibre et logement.
Lors de ces ateliers nous allons initier les séniors participants aux 7 stratégies (discrimination, catégorisation, contextualisation, répétition, imagerie mentale, indiçage et association) mais également les aider à identifier les différentes formes de mémoire (mémoire de travail, mémoire topographique, mémoire des chiffres et des noms) dans le but de pouvoir s'organiser plus facilement au quotidien et à leur donner ou redonner confiance en eux.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Autre
- Précision ( si autre )
La Mutualité Sociale Agricole
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Vieillissement de la population sur le quartier (cause nationale)
- Prévention des maladies dégénératives cérébrales
- Action de prévention santé
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ARS
- Association locale
- Bailleur social
- Conseil départemental
- CPAM
- Entreprise privée
- FONJEP
- MSA
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Des séances sont organisées sur une demi journée à raison de 3 heures par semaine (1 fois par semaine) pendant un trimestre. Les participants aux séances se familiarisentavec la méthode (stratégies, les différentes formes de mémoire, exercices de solliciation et stimulation de la mémoire).
Ces exercices ont aussi vocation à crééer du lien, lutter contre l'isolement...
En 2018, 36 personnes ont suivi ces ateliers (3 sessions de 12 personnes)
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 professionnels
- Résultat sur le territoire
- Le Centre Social et Culturel André Dhôtel est la seule structure sur l'aglomération a proposer ce type d'action
- Résultat pour le centre social
- Toucher de nouvelles personnes
- Ces ateliers mémoires ont été le vecteur de la création d'autres actions seniors autour de la santé
- Résultat pour les habitants
- Autonomie, confiance en soi, lien social, solidarité de la part de séniors envers d'autres séniors
- Suite de l'action : Limites
- Pas de limite particulière constatée. Nous avons pratiquement un an d'attente pour les personnes qui souhaiteraient y participer
- Suite de l'action : Perspectives
- L'action va se poursuivre sur 2019 et la possibilité de "délocaliser" les ateliers est envisagée pour être au plus près de la population (contact avec des EPAHD)
Actions
Ombres chinoises pour Noël
- Structure organisatrice
- Association Thiérache Ardennaise Animation - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Renouvelable chaque année
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Mixité sociale
- Résumé
Les habitants du village de Liart regrettait qu'il y avait si peu d'animations dans leur village à Noël. C'est ainsi qu'ils ont proposé de créer des ombres chinoises (technique facile qui consiste à créer des ombres qu'on colle sur du papier calques sur des vitres et on met une lampe derrière). Ces ombres sont créées par différents groupes et l'activité en elle-même créée déjà du lien entre différentes générations. Les ombres sont collées sur des vitres partout dans le village et une balade contée est proposée lors d'une soirée d'inauguration. Cette soirée festive et animée permet de découvrir les réalisations des habitants. Toutes les vacances de Noël, les ombres peuvent être admirées par tout un chacun qui passe. Cette activité crée du lien, de l'animation et valorise les habitants dans leurs compétences de créer un spectacle et une animation de qualité
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Avoir un village animé le temps de Noël. L'action a été mise sur pied car elle était demandée par les habitants qui trouvaient que le village était mort à cette époque.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Caf
- Commune
- Conseil départemental
- Europe
- MSA
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
A partir de septembre, les habitants sont invités à se mettre en petits groupes et de développer des ombres. Ils peuvent laisser agir leur créativité ou les habitants peuvent aussi partir d'une histoire de Noël pour la représenter par des ombres. La technique est simple et abordable pour tout le monde.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
SOUTIEN A L’ASSOCIATION : « DECOUVERTE TERRES LOINTAINES »
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL C.A.F. - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Résumé
Accueillie dans les locaux du centre social, l’association « Découverte Terres Lointaines » a pour but de faire découvrir des pays, des régions et des cultures.
Elle organise notamment des manifestations culturelles et gastronomiques, des animations pédagogiques et met en place des échanges et des actions communes avec d’autres associations.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Accueillir au sein du Centre social une association dont l’objectif est de créer du lien social, culturel et pédagogique, reliant les générations, les origines, les cultures, les individus.
- Renforcement de la mixité sociale et culturelle.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Commune
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Ces actions et manifestations sont destinées aux enfants et aux jeunes des accueils de loisirs et des établissements scolaires, aux personnes âgées (établissement ou associations), aux enfants, aux jeunes et adultes handicapés en établissement ainsi qu’à l’ensemble des structures en lien avec le secteur social.
Certaines manifestations sont tout public.
Un pays est mis à l'affiche par année.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
NC
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Environ 200
- Résultat sur le territoire
Création de lien social, action constitutive d'une animation culturelle qui s'adresse à tous public
La culture doit être un bien commun, une source de connaissance et de découvertes pour les habitants du territoire. C'est aussi un lieu de partage et de rencontres. C’est objectif implique un investissement et une volonté de tous les habitants fédérés au sein de l’association « Découverte terres lointaines ».
Les différents partenaires sollicitent de plus en plus fréquemment l’association afin de prévoir leur intervention
- Résultat pour le centre social
Pleinement investi dans le déroulé, dans la méthodologie de projet et son suivi.
- Résultat pour les habitants
Rencontres et echanges autour d'animations et de manifestations culturelles et festives.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Reconduction avec chagement de théme tous les ans.
Actions
séjour vacances familles accompagnées
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL C.A.F. - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Action annuelle
- Dimension
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
Tout au long de l'année, rencontres avec les familles pour préparer un séjour vacances d'une durée d'une semaine :
Une semaine en juillet, en montagne dans le Quérigut. Moments de découvertes, de partages, d'échanges.
Soirée bilan au mois d'octobre avec tous les partenaires.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le projet est né de l’idée que le départ en vacances en famille en présence de travailleurs sociaux peut être un excellent outil d’accompagnement socio-éducatif.
Le projet est élaboré sur la base d’un diagnostic commun aux partenaires des deux territoires qui met en évidence des problématiques liées à une précarité économique et sociale commune à la majorité des familles accompagnées par les services ASE, PMI, CAF et Polyvalence de secteur. Les familles qui s’inscrivent dans ce projet, pour 70% monoparentales, sont non- acculturées aux pratiques vacancières.
Les vacances sont d’abord un temps pour « soi », sa « santé », son « équilibre » dans un cadre différent. Partir en vacances, dans un environnement en rupture avec le cadre de vie habituel, c’est partir à la découverte d’autres cultures, s’enrichir par des rencontres inattendues, appréhender d’autres savoir-faire et savoir être …
Le temps des vacances, est devenu aujourd’hui un temps socialement valorisé et nécessaire à tous pour se retrouver et recréer des liens sociaux. Il est aussi et surtout un moyen de resserrer les liens familiaux, de rétablir des solidarités dans l’espace familial, voire de reconstruire la figure parentale.
La persistance du chômage, la précarisation de l’emploi, l’éclatement de la cellule familiale, les difficultés éducatives importantes dans certains cas, sont autant de facteurs qui rendent difficile voire impossible la construction d’un projet de vacances.
Sans accompagnement, la plupart des familles suivies de manière globale par nos services ne seraient pas parties. La mise à distance culturelle et sociale du temps des vacances, conjuguée aux freins logistiques, psychosociaux et budgétaires de ces familles font de l’accompagnement une condition au départ.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ANCV
- Caf
- Commune
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Plusieurs rencontres entre travailleurs sociaux sont nécessaires pour la préparation du projet (demandes de financements, rencontres des élus....).
Des réunions entre les partenaires sociaux et les familles se déroulent une fois par mois dès le mois de janvier, au cours desquelles sont abordés : les freins au départ en vacances, l'élaboration des menus, le choix des activités de loisirs sur site....
Les équipes des centres locaux ADS et du centre social CAF de Lavelanet travaillent tout au long de l’année la préparation du séjour en impliquant les familles qu’elles ont préalablement pressenties.
En plus des rencontres avec les familles en collectif (mais aussi en individuel), l’organisation du séjour nécessite une logistique importante : visites sur site, contacts avec les communautés de communes, recherche de moyens de transport, préparation des repas de midi. L’organisation collective et définitive repose sur l’équipe médico-sociale avant et pendant chaque séjour.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
VACANCES FAMILLES - BUDGET PREVISIONNEL 2016 Libellés Montant Libellés Montant Hébergement 3 645,00 Participations familiales 800,00 Gas oil 100,00 Subvention : CAF 1 530,00 Alimentation 2 000,00 Subvention : ADS - Conseil Général 2 500,00 Location mini-bus 725,00 Subvention : Communautés de communes 600,00 Loisirs 800,00 Subvention : Vacances Ouvertes 2 000,00 Adhésion vacances ouvertes 160,00 S/TOTAL 7 430,00 S/TOTAL 7 430,00 Salaires (mises à disposition de personnel / CAF ADS) 9 240,00 CAF 3 680,00 Transport aller retour 1 200,00 ADS 6 760,00 Véhicule de service Conseil Général 600,00 Communautés de Communes / Mairies 1 200,00 Véhicule de service CAF 600,00 S/TOTAL 11 640,00 S/TOTAL 11 640,00 TOTAL 19 070,00 TOTAL 19 070,00
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Tous les professionnels médico-sociaux des équipes des centres locaux ADS de Lavelanet et de Tarascon et l'équipe du centre social CAF sont mobilisées sur le projet. Sur le séjour, en accompagnement sont présents deux groupes de 3
travailleurs sociaux.
16 familles participent au projet soit 60 personnes.
- Résultat sur le territoire
Création de lien social
Intérêt suscité pour manifestations culturelles organisées sur territoire.
- Résultat pour le centre social
Action permettant ensuite de mobiliser ces personnes sur d'autres projets.
Par la suite, parents, enfants souvent force de propositions pour d'autres actions.
Projet facilitant la relation de confiance entre travailleurs sociaux et familles.
- Résultat pour les habitants
Premier temps de vacances pour les habitants concernés par le projet
Ouverture culturelle
Lien parents enfants
- Suite de l'action : Limites
Pour des raisons financières, les familles ne peuvent repartir en autonomie. Pour certaines orientation vers le dispositif VACAF.
- Suite de l'action : Perspectives
Au vu du bilan très positif : renouvellement de l'action
Actions
jardins partagés
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL C.A.F. - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Intégration
- Mixité sociale
- Résumé
Ce projet a pour objectif principal de lutter contre l’isolement et les phénomènes d’exclusion. Il s’inscrit dans un processus d’accompagnement global. Le jardin collectif est utilisé comme support de remobilisation et s’adresse à des personnes fragilisés, n’arrivant plus à être acteurs de leur vie sociale car ils n’ont plus de désir ni de projet.
Le jardinage est une activité de plein air qui permet de se prouver mais aussi de montrer aux autres que l’on est capable de faire quelque chose de ses mains, c’est un outil favorisant la revalorisation des publics souvent stigmatisés par la situation de précarité dans laquelle ils se trouvent. Il permet de faire émerger et mettre en exergue des savoirs-faires peu mis en avant dans la vie de tous les jours.
La constitution d’un groupe qui favoriserait la mixité des publics, associé à la présence de travailleurs sociaux, a pour objectif de favoriser l’émergence de liens d’entraide et de solidarité.
Au delà du travail autour de la culture, cette action permet d’aborder et de sensibiliser le public à d’autres questions comme l’alimentation et le respect de l’environnement (en lien avec les modes de culture).
L’intérêt de cette activité réside dans le fait d’associer les participants à la globalité du projet à savoir de sa conception à sa réalisation (technique de culture, choix des plantations, entretien de la parcelle, cueillette etc...)
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les objectifs généraux :
- Sortir de l’isolement
- Favoriser l’émergence de lien social, d’entraide et de solidarité
- Travailler autour de la revalorisation de soi et valoriser les savoirs faire au travers d’un autre mode d’accompagnement
- De façon transversale, aborder tous les domaines de la vie quotidienne et familiale (vie familiale, gestion du quotidien, alimentation, préparation des repas…)
- Permettre les liens avec les autres organismes, associations, particuliers qui disposent de parcelles au travers de temps collectifs partagés
- A terme, permettre aux personnes d’être à nouveau acteur de leur vie, de faire des projets, de se mobiliser autour d’une activité
-Les objectifs opérationnels :
Cultiver des légumes en fonction des saisons avec des méthodes respectueuses de l’environnement, cuisiner ces produits ensemble pour les partager autour d’un repas éventuellement.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Caf
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
création d'un groupe de travail partenarial pour fixer les modalités d'intervention auprès du public visé
4 rencontres organisés avec des habitants potentiellement interressés et en situation d'isolement social : présentation générale de l'action, implication de ces habitants dans la mise en oeuvre de l'action (choix des denrées cultivées, fréquence de travail sur site et nombre d'intervenants en fonction des saisons)
début de l'action au mois de mars 2017 avec particiaption de travailleurs sociaux et l'appui de 2 personnes "resources" ayant des compétences poussées dans le jardinage
- Ressources financières mobilisées pour cette action
CHARGES
PRODUITS
Cotisation association
30.00
PDI Conseil Départemental : AFI collective
600.00
Achat de matériel
250.00
CAF
330.00
Achat de plans et graines
350.00
Denrées / cuisine
300.00
TOTAL
930
930
SUPPLETIF
SUPPLETIF
CAF
1000
Mise à dispo de personnel
3500
DSD
2500
TOTAL
4430
TOTAL
4430
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 professionnels travailleurs sociaux en alternance
2 bénévoles
21 habitants
- Résultat sur le territoire
rencontres entre habitants favorisant e lien social
échanges de savoirs faire et developpement de solidarités
dynamique collective et citoyenne contribuant à la revalorisation du territoire
- Résultat pour le centre social
participation d'usagers du centre social à l'action
mise en place au sein du centre social d'ateliers cuisine utilisant les produits récoltés
- Résultat pour les habitants
rupture de l'isolement (partages/échanges)
renforcement de l'estime de soi
redynamisation personnelle
- Suite de l'action : Limites
la superficie de la parcelle cultivée contraint à limiter le nombre de participants
Le renouvellement du public compte tenu du succès de l'action peut s'avérer difficile à opérer
- Suite de l'action : Perspectives
dans la perspective d'innover et de s'initier à la permaculture , un habitant projette de demander une parcelle supplémentaire mise à diposition du groupe .
Solliciter un chef cuisinier de la "Cité du gout et des saveurs" afin d' utiliser, mettre en valeur différemment et conserver les légumes produits. Un repas convivial sera organisé à cette occasion.
Actions
Sensibilisation au tri selectif à la Cité pierre Faur.
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ESPACE INTERGENERATION - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Action qui a trouvé son origine lors de constats posés à l'occasion d'un comité d'usagers .
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Environnement
- développement durable
- Résumé
Au coeur de la cité Pierre Faur, les habitants ont soulevé que malgré un effort de tri des déchets de la part de certains d'entre eux, la collectivité en charge de l'enlevement ne peut procéder au tri selectif correctement; Les efforts d'une minorité d'habitants restent vains.
Ce problème a été soulevé à l'occasion d'un comité d'usagers, le centre social s'est positionné sur un accompagnement des habitants et de la collectivité chargée de l'enlevement des ordures ménageres.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Une action de sensibilisation à la qualité de l'environnement du quartier et à la question du changement de comportement.
Attitude coopérante par rapport au principe de developpement durable, à l'image positive et volontaire du quartier.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Le centre social a organisé des réunions collectives d'information et de sensibilisation; A la suites desquelles, des agents de la communauté des communes, ont distribué des sacs de collectes dans tous les appartements en donnant des expliquations aux habitants, les containers de collecte ont été adaptés au tri selectif et ont été mis en place.
Par ailleurs le jardin du centre social, a été équipé de composteurs, les habitants volontaires ont reçu un seau de compostage. des bénévoles assurent l'ouverture au public du jardin afin que les seaux y soient vidés.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Néant pour le centre social.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Au total ; 350 personnes
- Résultat sur le territoire
Effet positif sur les conduites citoyennes des habitants du quartier, une majorité d'habitants du quartier procéde aujourd'hui au tri selectif relatif aux ordures ménageres.
Action qui a suscité la création d'un jardin partagé au coeur du quartier( pour également utiliser le compost)
- Résultat pour le centre social
Le centre social s'est positionné en médiateur et facilitateur pour les relations entre les habitants et la collectivité.
- Résultat pour les habitants
Changement de comportement des habitants de la cité concernée par le tri selectif au même titre que les autres quartiers de la ville.
Egalité de traitement des citoyens.
Création de lien social.
- Suite de l'action : Limites
Mise en place du jardin partagé à proximité du centre social et utilisation de la récolte au cours d'ateliers cuisine du centre social (beignets de tomates vertes)
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Sensibilisation au développement durable et création d'un jardin partagé
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ESPACE INTERGENERATION - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- Solidarité
- Résumé
Les travailleurs sociaux du centre social accompagnent un groupe d'habitants du quartier qui s'est mobilisé autour du compostage des déchets ménagers.
Pour donner du sens à cette action les habitants mobilisés se sont transformés en jardiniers qui se retrouvent trois fois par semaine afin de cultiver le jardin qui jouxte le centre social. Cette activité est l'occasion d'échanges de pratiques autour de l'agriculture raisonnée ou de la permaculture. Les produits récoltés sont échangés entre jardiniers ou utlisés en atelier cuisine au centre social, ces produits devraient être utilisés pour la préparation d'un repas populaire dès que la récolte sera suffisante.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Prise de conscience de la quantité des déchets ménagers
Activité intergénérationnelle qui intéresse les habitants de la cité HLM et de plus en plus des habitants venus du centre ville
Possibilité d'avoir une activité dans un jardin alors que les logements de la cité n'ont pas de jardins
Transmission de savoirs faire
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Caf
- Commune
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Action qui a débuté en début d'année 2015 autour de la permaculture, les habitants ont été aidés par un jardinier, par le secteur jeunesse de la ville (mise en place d'une serre), les services municipaux ou le SMECTOM qui ont apporté une aide technique (livraison de terre, installation d'un point d'eau pour l'arrosage, élagage des arbres...)
Les jardiniers ont écrit une charte afin que chaque participant respecte "l'esprit du jardin partagé"
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
10 bénévoles, 1 élu, 1 stagiaire, 2 travailleurs sociaux
- Résultat sur le territoire
Le jardin suscite beaucoup de curiosité et de convivialité pour tout le quartier, les habitants qui ne participent pas de façon concréte dispensent très régulièrement des conseils de culture.
- Résultat pour le centre social
Bel environnement !
Questionnement de la part des usagers du centre social, mobilisation plus grande des habitants autour du compostage
Utilisation des fruits de la culture pour animer les ateliers culinaires
- Résultat pour les habitants
De plus en plus de convivialité
- Suite de l'action : Limites
Pour le moment les habitants mobilisés ne sont qu'une dizaine, il est difficile pour de nouveaux jardiniers de comprendre la philosophie du jardin partagé
- Suite de l'action : Perspectives
L'action prend de l'ampleur et est amenée à s'étendre, le but est d'organiser des repas populaires avec les récoltes du jardin.
Actions
"L'ARBABULLE" LAEP
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL C.A.F. - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
Le LAEP est un lieu pour enfants de moins de 6 ans et leur(s) parent(s) et/ou adultes référents qui les accompagnent. Il s’adresse aussi aux futurs parents pendant la grossesse pour les accompagner dans leur nouveau rôle et échanger autour des questions relatives à l’éducation et à la santé d’un enfant.
Cet espace peut permettre de rompre un certain isolement et favorise la rencontre entre les parents et les enfants hors du cadre familial. Les échanges et observations pourront permettre de dédramatiser certaines situations éducatives, de valoriser ses compétences en tant que parents, de mieux connaître le développement psychomoteur de son enfant, et de renforcer sa relation avec son enfant.
L’enfant dispose d’un espace de jeux libres favorisant sa socialisation et se prépare ainsi à la séparation avec ses parents pour faciliter l’entrée en collectivité.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
A l’initiative du centre social CAF et de la « Commission parentalité/violences faites aux femmes/violences intrafamiliales" du CISPD (Conseil Intercommunal de Sécurité et de Prévention de la Délinquance), différents acteurs locaux du territoire ont été mobilisés. Leurs échanges ont permis d’analyser les besoins du territoire en matière d’accompagnement à la parentalité. Ils notent des besoins en prévention. En effet, encouragé par la PMI, les accueils d’enfants à la crèche se multiplient pour que les enfants fassent l’expérience de la socialisation et bénéficient d’un environnement stimulant, adapté et sécurisé. Pour d’autres parents, il semble difficile de confier leur enfant alors qu’ils ne travaillent pas et la dépense engendrée par un mode de garde peut être compliquée à prévoir dans le budget familial limité. Le sentiment d’isolement est alors possible. La présence de parents aux ateliers proposés par le RAM est le reflet d’un besoin de rencontre et d’échanges. Ces constats confirment la nécessité de mettre en place un projet permettant d’accompagner les parents dans leur rôle.
Le territoire du Pays d’Olmes dispose trois services petite enfance : un multi-accueil de 28 places, un accueil familial de 20 places et un Relais Assistantes Maternelles, trois services gérés par le Centre Intercommunal d’Action Sociale Pays d’Olmes.
Il est constaté l’absence de LAEP sur ce territoire composé de 24 communes. Lavelanet est la commune la plus importante de la Communauté de Communes du pays d’Olmes c’est pourquoi, la localisation du futur LAEP sur la commune de Lavelanet permet de centraliser ce service sur le territoire et de toucher le maximum de public.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Depuis de nombreuses années le centre social faisait le constat d'une absence de lieu de rencontre pour les parents et leurs jeunes enfants sur le territoire. Plusieurs réunions avaient eu lieu, sans aboutissement de projet.
Suite à l'écriture du contrat de territoire, l'inscription d'une ficha action et de la reprise des commissions parentalité du CISPD, à l'initiative des travailleurs sociaux CAF, des réunions partenariales sur ce thème ont eu lieu. Après constat, diagnostic, les partenaires(CAF? centre social, CIAS, DSD, PMI) ont élaboré le projet. Le Centre communal d'action sociale du Pays d'Olmes a été proposé comme porteur de projet (le CIAS ayant la compétence petite enfance) et le centre social comme lieu d'accueil du LAEP. L'action a débuté au mois d'octobre 2019.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Charges de personnel (A)
5 123
Autres charges (B)
5300
Total des dépenses (A)+(B)
10 423
Montant PS
3500
Participation MSA
Autres subvention
Subvention de la collectivité
6 923
Subvention conseil départemental
Total des recettes
10 423
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Deux accueillants sont présents à chaque séance. Il s'agit d'une éducatrice de jeunes enfants (mise à disposition CIAS) et d'un travailleur social (mis à disposition CAF) ayant suivi la formation d'accueillant LAEP.
Une fois tous les 2 mois, une séance d'analyse de pratiques est animée par une psychologue.
- Résultat sur le territoire
Nouveau lieu à destination des parents, nouvelle offre de service concernant la parentalité.
- Résultat pour le centre social
Lieu d'accueil du LAEP, lieu convivial qui permet de faire connaître le centre social, ses missions, ses activités, ses services aux futurs ou nouveaux parents.
- Résultat pour les habitants
Lieu anomyme permettant de rompre l'isolement de certaines jeunes mamans, habitantes du territoire, parfois éloignées de leur famille.
Moments d'échanges, de convivialité permettant de sortir du quotidien. Lieu adapté aux jeunes enfants alliant espace bébé, jeux, motricité....
- Suite de l'action : Limites
Nombre d'enfnats et d'accompagnants limités.
- Suite de l'action : Perspectives
Poursuite de l'action et éventuellement, en fonction de la participation, extension à un horaire d'ouverture supplémentaire. Il pourrait également être envisagé un délocalisation (dans petites communes très rurales) afin de se rendre au plus près des habitants
Actions
"Ce soir je sors mes parents"
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ESPACE INTERGENERATION - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Culture
- Mixité sociale
- Résumé
Ce pojet consiste à travailler avec des familles autour de thématiques culturelles en partenariat avec la scène nationale de Foix, L'Estive.
Plusieurs sessions distinctes sont proposées dans l'année. Chaque session est découpée en 2 axes:
- un ou plusieurs ateliers parents-enfants autour d’une pratique artistique (marionnettes, cirque, atelier numérique, danse théâtre, arts plastiques…) animés par un artiste et co-animés avec les travailleurs sociaux du centre social.
- des places de spectacle offertes pour chaque famille ayant participé à l'atelier
Il existe toujours un lien entre l'atelier et le spectacle (l'artiste lui-même, le support utilisé, la thématique...)
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La loi de 1998 relative à la lutte contre les exclusions souligne que l’égal accès de tous, tout au long de la vie, à la culture, à la pratique sportive, aux vacances et aux loisirs constitue un objectif national. Il permet de garantir l’exercice effectif de la citoyenneté.
L’accompagnement de familles vulnérables vers l’Estive est un enjeu important pour l’équipe du centre social qui observe le manque d'utilisation des structures et supports culturels proposés sur le territoire.
L'objectif est d'offrir un temps privilégié et de qualité concernant le culturel et d'accompagner les familles vers cet espace, "l'art", qui peut parfois faire peur ou sembler inaccessible. Cette action permet également de travailler l'accompagnement de la parentalité et la mixité, et ouvre des portes aux enfants dont les parents sont peu concernés par le domaine artistique.
Il est attendu que ces portes ouvertes puissent être plus facilement franchies par la suite, ou entrainer la curisosité, l'imaginaire, la créativité. Les relations parents-enfants peuvent être médiatisées, apaisées via l'outil culturel. C'est également un lieu où de nombreux sujets peuvent être abordés et discutés en fonction du thème.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Autre
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
La scène nationale de l'Estive reçoit un finacement Reaap pour cette action.
Le centre social met à disposition ses 2 salariés pour mobiliser les familles, les inscrire, co-animer les ateliers et accompagner au spectacle.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 professionnels, 1 à 2 artistes
- Résultat sur le territoire
Connaissance de la scène nationale l'Estive et d'artistes, notamment locaux, par le public du centre social. Mixité sociale des publics
- Résultat pour le centre social
Partenariat fort permettant de bénéficier de prestations artistiques et culturelles de grande qualité au sein du centre social. Permet d'avoir une activité culturelle à proposer à des publics éloignés de ce champ.
- Résultat pour les habitants
Ouverture sur l'axe culturel par le biais d'activités artistiques. Bénéfice de spectacles gratuits de grande qualité. Accompagnement de la parentalité via un support plaisant, ludique mais necessitant de la rigueur.
- Suite de l'action : Limites
Difficile de maintenir la participation des familles le mercredi après midi en raison de leur disponibilité (activités et rdv divers le mercredi après midi). Spectacles en soirée et en semaine pas toujours adaptés pour le sommeil des enfants. Activité sur inscription necessitant le rappel des familles qui oublient facilement. Souvent présence de fratries necessitant des activités à large tranche d'âge.
- Suite de l'action : Perspectives
Poursuite de l'action avec plusieurs thématiques et spectacles renouvelés. Réajustements réalisés avec le partenaire pour coller au plus près de la réalité des familles.
Actions
"Des usages des écrans au sein des familles : quel cadre ? quels risques ?Comment être en relation avec ses enfants ?"
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL C.A.F. - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Action ponctuelle
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Mixité sociale
- Résumé
3 temps sur un trimestre proposés aux parents enfants du territoire.
Objectif : - sensibiliser et informer les parents sur les risques pour le développement de l'enfant, à trop utiliser les écrans
- soutenir les parents dans leur rôle et leur posture éducative, modifié avec l'invasion des écrans au sein des foyers : comment poser un cadre et comment être en relation avec ses enfants.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les différents professionnels intervenants auprès d'enfnats (crèches, écoles, collèges, travailleurs sociaux) constatent les effets nocifs de l'usage des écrans sur le développement des enfants.
Les parents peuvent verbaliser leurs difficultés à poser un cadre visant à restreindre l'usage des écrans et l'avantage des écrans dans la vie de tous les jours : les enfants paraissent plus calme devant un écran, ne se disputent plus ou moins, sont occupés.
Face à ce double constat, les professionnels partagent le besoin d'informer et de sensibiliser les parents sur les risques liés aux usages des écrans et de soutenir les parents dans leurs relations aux enfants.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Association locale
- Caf
- Commune
- Conseil départemental
- DDCS
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Action menée en 3 étapes :
- une près midi "jeux" à l'attention des familles du territoire, afin de montrer comment être en relation différemment avec son enfant. Présence d'un clown réalisant des animations sur le thème des écrans et d'un lieu d'échanges avec les parents. Animation par des professionnels.
- une conférence - débat organisée à l'attention de tout public, animée par une psychologue. Objectif : expliquer les conséquences sur le développement de l'enfnat d'un usage non adapté des écrans (risque de myopie, troubles du sommeil, de l'attention, retard scolaire, retard dans le langage...) et de rappeler les règles à respecter (3-6-9-12)
- création de scénettes par des enfnats du primaire et du collège sur la thématique des écrans avec représentation des productions des enfants. temps d'échanges dans la salle avec les parents, les enfants, animé par des professionnels entre chaque scénettes.
Les actions constituant le projet, ouvertes à tous publics. Afin de mobiliser les familles les plus en difficultés dans leurs relations avec els enfants, il a été choisi de mettre en place des actions parents/enfnats et d'organiser, le temps de ces actions ludiques, des temps d'échange et de sensibilisation sur la thématique des écrans.
Les actions ont eu vocation de s'adresser aux enfants de 1 à 15 ans. Ce public étant le plus particulièrement en risque face à un usage inadapté aux écrans.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Projet partenarial avec un engagement financier de tous les partenaires. Projet financé dans le cadre du contrat de territoire (CGET).
Outre les mises à disposition de personnels, de salles, ont été financé les intervenants extérieurs
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
professionnels : 22
parents enfants : 250
- Résultat sur le territoire
Après midi jeux organisée lors de la journée des sports. Animation deans la ville qui a rencontré un franc succès.
- Résultat pour le centre social
Centre social porteur de projet d'une action action partenariale, mobilisant plusieurs professionnels d'institutions différentes. Usagers du centre et familles suivies dans le cadre de l'action sociale bénéficiaires de l'action.
- Résultat pour les habitants
Les parents les enfants ont apprécié ces temps d'animation, que se soit l'après midi jeux ou le théâtre. il sont pu mesurer l'intérêt du "faire ensemble", du partage. Nombreux parents nous ont sollicité afin de mettre en place d'autres expériences de ce type, sorties familles ou autre.
- Suite de l'action : Limites
Cette action était ponctuelle, a duré de septembre à décembre.
Bien qu'elle ait été bénéfique pour les familles, les effets sur le long terme sont difficilement mesurables.
- Suite de l'action : Perspectives
Au travers de toutes les actions parentalité mises en oeuvre au sein du centre social," l'éducation au numérique" est abordée, de façon claire ou détournée. Sont mis en avant les temps partagés parents enfants au travers d'activités communes, de sorties, de vacances....
Actions
Le centre social du Léo, résidence apprentis-etudiants, avec restauration sociale collective.
- Structure organisatrice
- LE LÉO LAGRANGE DE FOIX - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- Résumé
Depuis 2017, le centre social est gestionnaire d'une résidence apprentis-étudiants, a laquelle est adossée de la restauration sociale collective.
Une convention centre socailet centre de formation des apprentis - Chambre des Métiers de l'Ariège a permis la création de la résidence étudainte.
Au total, une moyenne de 15 apprentis est hébergée durant toute l'année scolaire et bénéficie dans ce cadre là d'une possibilité de restauration sur place; En outre ils sont invités à prendre part à l'ensemble des activités d'animation du centre socail.
A titre d'exemple, ces jeunes participent à la selection des films du Festival Résistance, événemant culturel organisé annuellement sur la ville de FOIX ou participent à l'organisation du Forum des associations.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Précision ( si autre )
Le CFA de L'Ariège
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Constat dréssé dans le cadre du diagnostic PDV, absence de mode d'hébergement pour les jeunes sur le centre ancien, constat partage par le centre universitaire de Foix.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Autre
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Action co-construite et intégrée au projet social du centre social, valorisée dans un des axes d'intervention.
Action correspondante à un volet économique du centre social.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le centre social met à disposition les locaux, asume les charges des fluides, l'entretien des locaux, frais de blanchisserie ( assurée par un prestataire) et prend en charge le poste de veilleur de nuit.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2.5 ETP
- Résultat sur le territoire
Fonction d'hébergement et de restauration sociale et collective présente sur le QPV.
- Résultat pour le centre social
Dimension marchande et économique du centre social.
Capacité d'autofinancement dégagée par cette activitée.
- Résultat pour les habitants
Offre de service pour un public jeune.
- Suite de l'action : Limites
Reconduction de l'action.
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Atelier relaxation
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ESPACE INTERGENERATION - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Viellissement
- Santé
- Résumé
Il est proposé aux usagers de s'inscrire sur une session de 7 séances de relaxation avec une professionnelle formée. La séance se pratique en groupe de 8 à 10 personnes maximum. Un groupe reste fixe pour la session dans son entiereté. Ceci permet de créer une véritable dynamique de groupe et des liens sociaux entre les participants. Chaque séance dure entre 1 heure et 1h30.
Une séance se déroule comme suit: Phase d'accueil et de présentation du groupe, on revient éventuellement sur la séance précédente et sur les bénéfices ressentis depuis. Il y a ensuite la présentation de la séance de relaxation dans laquelle les exercices sont détaillés et expliqués, puis la séance en elle-même. Elle se termine par un échange, un retour ''sur la séance'', où chacun peut exprimer ce qu’il a vécu, ses ressentis, ses sentiments.
La méthode employée est la relaxation issue de la sophrologie. Détente guidée, apprendre à respirer et l'importance de bien respirer, exercices de respiration, détente corporelle, visualisation, …
La relaxation, la détente s’acquière grâce à la répétition, c'est pourquoi l'inscription se fait sur une session de 7 séances. Ceci permet de ressentir de plus en plus les bienfaits de la pratique et de mettre en place de
nouvelles habitudes de vie.Il n'y a pas de visée thérapeutique à cet atelier même si des effets thérapeutiques peuvent avoir lieu.Les participants pouvait apporter une participation symbolique qui a permis de réaliser un goûter en fin d'année. Ce goûter a été l'occasion de faire un bilan de son ressenti, de poursuivre la création de liens, et d'échanger sur certains vécus.
Pendant les vacances scolaires l'atelier a été proposé à des parents avec leurs enfants, autour d'exercices spécialement conçus pour eux (autour des sons notamment).
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Lors d'une expérimentation avec un groupe d'usagers, nous avons pu observer de nombreux bénéfices à la pratique d'exercices de relaxation et aux échanges qui ont eu lieu au sein du groupe à la fin de la séance.
Les participants abordent de nombreux thèmes personnels, parfois intimes (mort, angoisses, sommeil, inquiétudes...). Ces échanges se font dans un grand respect, avec confiance vis-à-vis de l'intervenante et permettent d'exprimer et de vivre les émotions (pleurs, rires...) sans gêne. De plus, l'idée d'amener ces ateliers chaque semaine permet un travail plus approfondi sur le rapport au corps, le stress et l'image de soi.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Suite à une expérimentation dans un projet partenarial (Conseil départemental - Centre social Caf). Un groupe en insertion était accompagné sur plusieurs dimensions (insertion sociale, professionnelle, estime de soi). Le choix des ateliers se faisait en lien avec les participants qui se sont orientés vers la relaxation. Après avoir mis en place ces ateliers, lles participants ont évoqué les bénéfices retirés et les professionnels ont perçu l'intérêt de cet atelier et ont souhaité l'élargir à un public plus vaste et plus nombreux.
Le centre social a donc mis en place cet atelier ouvert à tous (jeunes adultes, adultes, séniors). La démarche: partenariat avec le prestataire, communication, inscriptions (dont proposition faite à certains bénéficiaires d'accompagnement social), réalisation de l'action.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
1650€ pour 15 séances
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 professionnels (2 salariés centre social, l'intervenante)
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
Nouveau public découvrant le centre social
- Résultat pour les habitants
Personnes retraitées ou avec des pathologies qui ont pu trouver sur ce temps un espace d'apaisement, d'expression et de bien-être.
Accès à une pratique trop couteuse à l'extérieur du centre social.
- Suite de l'action : Limites
Réflexions à mener sur l'assiduité des participants (au vu du nombre important de demandes par rapport aux places disponibles, et en raison du coût de l'action, il n'est pas envisageable d'être trop souple sur des absences injustifiées)
La participation symbolique à chaque séance, bien qu'ayant un intérêt indiscutable est difficile à mettre en place (rappel à chaque séance notamment). Peut être envisager une participation à donner en une fois, en début de session.
- Suite de l'action : Perspectives
Ajuster les modalités (inscriptions, participation symbolique, assiduité).
Co-financement Carsat qui sera sollicité car un nombre important de retraités est présent et évoquent des retours très positifs de l'atelier.
Proposer peut être 2 ou 3 sessions dans l'année, ne pas réaliser l'action en continu sur l'année.
Retenter les séances parents-enfants mais en formalisant les modalités d'inscriptions et le fonctionnement.
Actions
"Atelier d'écriture - Au clair de ma plume"
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ESPACE INTERGENERATION - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- Santé
- Résumé
Atelier visant à travailler sur l'expression, l'imagination, le lâcher prise, la confiance en soi et l'émancipation à travers l'écriture.
En appui sur des textes, des auteurs, des thèmes ou des formes d'écriture, l'intervenante donne des consignes d'écriture.
Le travail réalisé est ensuite partagé au sein du groupe.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L'objectif de l'action est de travailler sur la confiance en soi et le bien-être. Par le vecteur du travail l'écriture et de la dynamique de groupe, les participants prennent peu à peu leurs marques pour lâcher les freins à leur imagination ou à leur expression. L'orientation de l'atelier est avant tout de prendre du plaisir, de s'amuser avec les mots et de partager cette réjouissance de la création. Plusieurs dimensions de l'individu peuvent alors s'exprimer et conduire à un mieux être, parfois à une meilleure compréhension de ses émotions, de son histoire. Il n'y a pas d'objectif thérapeutique mais l'élaboration et la production necessaire au travail d'écriture conduit parfois à l'expression d'éléments intimes ou d'émotions fortes. Chacun peut évoquer des vécus profonds ou non, peut les mêler à de la fiction et ainsi se protéger tout en l'exteriorisant, d'autres sont parfois plus direct... Chacun fait à son rythme, selon ses envies et son état d'âme du jour. Certains font le choix d'être plus portés sur un travail littéraire.
Le cadre de l'atelier est très important et permet la sécurité de chacun des participants, indispensable à la possibilité d'écrire sans contraintes. Il est précisé que ce qui est dit, et écrit dans cet atelier n'a pas à sortir de l'atelier (sauf décision commune d'exposer les textes), qu'il n'y a pas de jugement de valeur sur les écrits des uns et des autres, qu'il est possible de ne pas lire sa production mais que le partage est souhaité.
A travers cet atelier le centre social souhaite ouvrir les portes de l'imaginaire personnel, du dépassement de soi et de la prise de confiance, d'apporter du soulagement et un mieux être à des usagers parfois angoissés, isolés ou qui se trouvent dans une forme d'ennui. Evidemment d'autres effets indirects sont positifs :
- rencontres et échanges entre usagers (notamment retraités et personnes plus jeunes);
- développement de projets en parralèle: exposition de textes dans le quartier avec petites animations.
Durant la période 2020, l'atelier a pu se poursuivre par échanges de mails coordonné par le centre social.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Débuté en 2019 suite une rencontre avec une retraitée formée aux ateliers d'écriture, le centre social a fait le choix de proposer cette action et de voir si cela interesserait certains de ses usagers. Les supports de communication ont été réalisés, une information dans le journal local, une information orale auprès des usagers.
Il a fallu 6 mois pour qu'un groupe perenne se dégage mais désormais un groupe de 8 usagers est fixe et régulier.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
1350 € pour 30 séances dans l'année (45€ par séance).
La totalité du coût est pris en charge par la CAF de l'Ariège.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 intervenant rémunéré, 1 salarié du centre
- Résultat sur le territoire
Accès pour tous à une activité habituellement onéreuse.
Exposition/animation dans le quartier.
Rencontres entre habitants de la cité (le centre social est implanté dans une cité HLM) et habitants du centre ville ou de la périphérie.
- Résultat pour le centre social
Possibilité d'organiser des animations en appui sur le groupe d'écriture.
Offre diversifiée d'activités (des usgaers ont pu passer d'une autre action à celle-ci avec des bénéfices exprimés)
- Résultat pour les habitants
Les participants expriment retirés un grand bénéfice de cet atelier ("cela me fait beaucoup de bien", "on se sent en confiance dans le groupe").
- Suite de l'action : Limites
Le fait de fonctionner à distance par mail ne convient pas à tous les participants. Certains ont le besoin d'être en présentiel car la part de partage "vivant", de relation effective et "physique" leur est indispensable. Cette modalité temporaire liée à la crise est donc interessante car a permis de poursuivre le fonctionnement en groupe mais n'est pas satisafisante pour autant.
Nous souhaitions faire participer symboliquement les participants (le centre social n'a pas d'adhésion car en gestion directe CAF). Or ce processus a des limites car certaines personnes oublient et ce versant du cadre est compliqué à imposer. Le choix en 2020 a été de plutôt proposer un goûter en fin d'année ou chacun porterait un plat. En raison de la crise cela n'a pu être réalisé.
D'autre part, il nous est impossible d'intégrer de nouveaux participants car le groupe ne peux excéder 10 personnes. Nous avons donc stopper la communication.
- Suite de l'action : Perspectives
De nouvelles expositions sont envisagées dans la ville.
Actions
Exposition atelier d'écriture
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ESPACE INTERGENERATION - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Action ponctuelle
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Il s'agit d'une exposition en extérieur, dans la résidence HLM Pierre Faur à Foix, des textes des écrivants qui participent à l'atelier d'écriture du centre social.
L'atelier d'écriture du centre social s'est poursuivi à distance pendant les confinements. Un projet est né de partager les textes des écrivants en les exposant à plusieurs endroits de la résidence Pierre Faur. Ils sont restés accrochés quelques jours et une animation a été proposée un mercredi autour de ces textes. Certains traitant des insectes, nous avons proposé aux visiteurs et aux curieux de créer un nom d'insecte imaginaire à partir de noms d'insectes bien réels, et d'ensuite dessiner la bestiole. De nombreux enfants du quartier se sont prêtés au jeu. Cette animation a permis de créer des points de discussion dans la cité et de valoriser les écrivants.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Autre
- Précision ( si autre )
L'animatrice de l'atelier
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L'objectif était de faire sortir les textes hors du centre social, d'investir l'espace public pour créer des échanges, susciter la curiosité, permettre la rencontre entre les habitants.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
L'action s'est déroulée en février 2021, le gros du travail a consisté en la mise en page des textes, leur illustration par certains usagers, leur accrochage à des points clés du quartier et la mise en place de l'animation le mercredi.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Appui logistique de la Caf 09 pour l'édition et la plastification des textes ainsi que pour le matériel de l'animation. Action sans coût majeur.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 salariées, 1 prestataires et 8 écrivants usagers
- Résultat sur le territoire
L'exposition a permis d'animer le quartier durant la journée du mercredi et de proposer une animation différente directement dans l'espace public.
- Résultat pour le centre social
Mise en valeur de l'activité écriture et valorisation des écrivants.
- Résultat pour les habitants
les habitants ont pu bénéficier d'un partage de textes et de l'animation au pied de leurs immeubles.
- Suite de l'action : Limites
Nous aurions pu penser que plus d'habitants seraient venus à la rencontre des textes et des écrivants.
- Suite de l'action : Perspectives
Il serait interessant de réaliser à nouveau cette action avec plus de préparation de manière à proposer une lecture à voix haute, des jeux d'écriture, un espace plus convivial... Il faudra également trouver le moyen de chercher à amener les habitants vers l'action, à attirer leur attention
Actions
Ateliers de mobilisation cuisine-insertion
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ESPACE INTERGENERATION - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- Santé
- Intégration
- Résumé
Permettre à des personnes bénéficiaires de minima sociaux de sortir de l'isolement, remobiliser des compétences, être accompagnées sur un projet personnel et trouver les ressorts d'une réinsertion sociale et professionnelle.
3 axes :
- Atelier cuisine une fois par mois, autour des produits de saison suivi d’un repas partagé.
- Travail avec les participants sur leur projet et les ateliers de l'après midi.
- Ateliers de l'après midi selon les souhaits et besoins des participants (balades/glanage, boxe, découverte entreprise d'insertion…).
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
En collaboration avec le centre local de Foix (service social du département)
Accompagner sous forme collective des personnes en insertion et porteuse d'un projet quel qu'il soit (reconversion professionnelle, recherche d'un logement, d'un emploi...). L'objectif étant de les remobiliser sur leurs perspectives en leur apportant confiance et estime de soi, et outils (connaissances des différents dispositifs liés à l'emploi, relais pôle emploi ou entreprises d'insertion...), levée des freins par pair émulation et ateliers participatifs.
Cet atelier permet à des personnes se sentant isolées dans leur projet d'insertion, ou en manque de dynamique, de retrouver une énergie par le groupe et les professionnels accompagnateurs.
L’atelier cuisine permet un travail autour du « fait maison », de sortir du quotidien, de partager un temps autour de la nouveauté et des savoirs faire. Valorisation des compétences et création de lien social (les recettes sont proposées et expliquées par les participants eux-mêmes). L’entraide entre participants est facilitante, les ateliers sont chaleureux et conviviaux avec de nombreux échanges concernant les habitudes et pratiques personnelles.
La réflexion commune sur les projets personnels et le développement des ateliers collectifs permet la mise en pratique des compétences de chacun, l'implication et le développement de l'estime de soi.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Travail commun sur l'orientation des personnes entre les publics connus par le centre local dans le cadre des suivis rsa, et le public accueilli au centre social. Réunion préparatoire de présentation du projet aux participants potentiels et entrée tout au long du dispositif.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Environ 400€ (alimentaire et intervention de prestataires) + etp des professionnels
Subvention insertion PDI, budget centre social Caf.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
5 professionnels
- Résultat sur le territoire
Durant les années passées, via cette action, plusieurs personnes (notamment femmes isolées avec enfants) ont pu préciser un projet professionnel, se former et trouver un emploi (formation AFC FLE, auxiliaire de vie, pâtissière, agent d'entretien, aide à domicile, contrats d'insertion). Un participant du groupe actuel est déjà entré dans un dispositif de retour à l'emploi (PEP's), D'autres commencent à préciser un projet et trouver des appuis (financement de formation notamment).
- Résultat pour le centre social
Cette action offre un outil d'accompagnement plus poussé sur la question du retour à l'emploi, concernant des personnes qui fréquentent ponctuellement les ateliers du centre. Des relais ont lieu entre accompagnement de l'assistante sociale Caf (séparation notamment) - ateliers bien-être ou français du centre social - et suivi d'insertion professionnelle. Ces ponts créent un cercle vertueux dans les accompagnements proposés.
- Résultat pour les habitants
Une offre de proximité, conviviale et collective sur l'insertion, qui se distingue des accompagnements pôle emploi ou rsa en étant complémentaire.
- Suite de l'action : Limites
Il faut veiller à ce que les personnes suivies dans le cadre du rsa ne se sentent pas obligées de participer mais soient réellement volontaires. Il est parfois compliqué d'expliquer clairement les objectifs au départ. Une grande hétérogénéité dans les profils est présente, c'est une richesse mais il faut pouvoir médiatiser les relations et trouver un juste équilibre. L'irrégularité des présences séances après séances ne permet pas toujours de prévoir précisément les choses. Des habitants peuvent demander à participer aux ateliers cuisine mais ne répondent pas aux critères car leur demande est avant tout occupationnelle (parfois difficile à expliquer). Pas toujours facile de mettre en œuvre les ateliers proposés par les participants.
- Suite de l'action : Perspectives
Tout au long de l'année, il convient de faire entrer de nouveaux participants. Ce principe, ainsi que le développement des ateliers de l'après midi au fil de l'eau et selon les échanges avec les participants, permet à l'action de se renouveler sans cesse.
Actions
Bougez avec le centre social de Lavelanet
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL C.A.F. - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Santé
- Intégration
- Mixité sociale
- Résumé
Une heure 15 par semaine est proposée une activité physique adaptée aux capacités, aux besoins, aux envies des habitants. Activité se déroulant au sein du centre social ou en extérieur.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Précision ( si autre )
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le centre social de Lavelanet souhaite permettre à ses allocataires et aux habitants de pratiquer gratuitement une activité physique adaptée. Il propose des cours collectifs d’activités physiques adaptées hebdomadaires qui seront assurées par une animatrice de l’association SIEL BLEU. Cet accompagnement s’adresse à tout public et plus particulièrement aux publics les plus fragiles, en situation de précarité, de difficulté ou d’isolement social.
Objectifs :
- Faire évoluer les représentations sur l’activité physique (difficulté, pénibilité) et la notion d’effort (quels bénéfices ?)
- Initier un changement de comportement durable pour lutter contre les effets de la sédentarité
- Permettre de retrouver une hygiène de vie limitant le risque de maladies chroniques
- Permettre de reprendre goût à une activité simple, remotiver, (re) prendre confiance en soi
- Rendre les participants acteurs de leur santé
- Permettre de retrouver un bon niveau de condition physique au travers d’une activité régulière
- Instaurer une démarche volontaire facilitant une réinsertion dans la vie active (objectifs)
- Encourager la pratique individuelle en dehors des séances au CS
- Favoriser les rencontres et le lien social au sein du groupe de participants
- Changer quelques habitudes alimentaires grâce aux « fiches minutes nutrition » et aux ateliers « hydratation »
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association nationale
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
2 cycles : de mars à juin et de septembre à décembre
- 18 séances de cours collectifs hebdomadaires par cycle
- 1h15 par séance
- En salle ou en extérieur
- Evaluation en début et fin de programme par des tests et questionnaires
- 1 séance d’essai et de découverte en début de programme
En complément :
- Tous les 15 jours présentation d’une “fiche minute nutrition” (9 fiches)
- Une séance “hydratation” en fin de programme (confection de boissons fraiches à base de fruits et de légumes frais fournis par l’animatrice)
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget 2 559 €
- 2 cycles de séances : 2385 €
- 9 fiches minutes nutrition : 144 €
- Séance hydratation : 15 €
- Adhésion SIEL BLEU : 15 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
42 personnes ont fréquenté cette activité.
L’orientation était faite par les partenaires suivants :
- Entreprises de service à la personne “Bouillotte et Chaudron”, Ariège Assistance
- CCAS
- Association L’ÂGE D’OLMES
- CLIC
- Associations caritatives
- Groupe d’alphabétisation UDAF 09
- Association PATCHWORK
- CIAS et les structures de la petite enfance de Lavelanet
- Centre Local DSD
- CMP
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
¾ du public accueilli pour cette activité ne fréquentait pas auparavant le centre social.
Le bouche à oreille a bien fonctionné, a permis d’élargir le public et de faire connaître les autres activités.
- Résultat pour les habitants
Accéder à une activité physique adaptée par un professionnel gratuitement
Permettre des rencontres, des échanges entre différents publics.
- Suite de l'action : Limites
le coût
- Suite de l'action : Perspectives
Renouvellement de l’action pour le premier semestre 2023
En complément, mise en place à la demande des participants d’ateliers de sophrologie.