Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2019
Population de la zone de compétence : 70000

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Promouvoir l’image et les missions du CSI sur le territoire de Lamballe Terre et Mer
• Axe 2 : Favoriser les dynamiques territoriales et développer l’animation sociale du territoire
• Axe 3 : Accompagner et soutenir la fonction parentale
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2010
Population de la zone de compétence : 6800

Inauguration fin décembre 2019 de La Boussole :  mutualisation de deux services : médiathèque et centre social pour créer un centre sociocultuel nommé La Boussole

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Proposer un accueil inclusif
• Axe 2 : Valoriser l'identité socioculturelle de la structure
• Axe 3 : Démarche prospective
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/05/2022
Population de la zone de compétence : 15000

Le centre social et socioculturel d'Auray a été initié par la Ville d'Auray et la CAF du Morbihan. Une préfiguration participative, ayant associé habitant.es, associations, services municipaux et élu.es a permis d'identifier les contours d'un premier projet social pour la période 2022-2024. L'équipe du centre social est portée par la Fédération des Centres Sociaux et socioculturels de Bretagne depuis mai 2022. Un transfert de compétence sera réalisé au 1er janvier 2024 (agrément, portage des postes) à l'association La Cabanatous.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Développer une fonction d’accueil itinérante dans et hors-des-murs du centre social et des structures partenaires
• Axe 2 : Animer la vie sociale avec la visée d’une proposition mobile et interquartiers
• Axe 3 : Mettre en place un projet famille concerté entre acteurs, visant à soutenir la parentalité
• Axe 4 : Développer le pouvoir d’agir des habitant·e·s
• Axe 5 : Accompagner la vie associative du territoire et soutenir les dynamiques de bénévolat et de formation en collaboration avec les acteurs en place

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2009
Population de la zone de compétence : 16000

HISTORIQUE DU CENTRE SOCIAL DU CRÉONNAIS L'association Solidarité en Créonnais, gestionnaire du centre social du Créonnais, s'est créée à la fin des années 90, sur la volonté de mettre en place une structure d'accompagnement social sous une forme qui, depuis, a fait florès sous l'appellation de « guichet unique ». L'idée de base était que la commune de Créon devait offrir aux citoyens, administrés, ayants droit, assujettis, clients, usagers, salariés, chômeurs, un lieu unique de réponse à des questions administratives toujours plus complexes. La plupart des administrations et services ayant leur siège à BORDEAUX ou sa banlieue  et pas au même endroit !  l'existence de ce lieu devait permettre, en trouvant les réponses sur place, d'éviter pour partie les difficultés de liaison vers le chef-lieu du département dues à des transports mal adaptés. Dans le même temps, en 2000, se crée à Créon le Bureau information jeunesse (BIJ). Il est décidé que le BIJ serait géré par Solidarité en Créonnais, qui s'enrichit ainsi d'une nouvelle activité. Le siège de l'association devient ainsi un lieu dans lequel se côtoient des adultes, des adolescents, des inactifs, des demandeurs d'emploi. L'activité de l'association s'accroît en raison du développement des permanences assurées par des organismes tels que le Centre d?Information du Droit des Femmes et de la Famille (CIDFF), l'Association Départementale d'Information au Logement, le Point Service Caf. En outre, le partenariat avec la Caisse d'allocations familiales (CAF) de la Gironde se structure et s'intensifie. Dans le même temps, treize communes du Créonnais se regroupent en un syndicat intercommunal à vocations multiples qui donnera naissance, en 2000, à la Communauté de communes du Créonnais. Celle-ci confie la gestion de certaines de ses compétences à des associations plutôt que de l'assurer en régie directe. Ainsi, les associations oeuvrant sur un périmètre plus large que celui de la commune de Créon deviennent des associations présentant un intérêt communautaire. Solidarité en Créonnais en fait partie. À partir du milieu des années 2000, l'association commence à s'interroger sur son évolution. Elle ne veut pas risquer l'immobilisme dû à la répétition à l'identique des mêmes activités. Après discussion et vote de son Conseil d?administration, ses statuts, qui la plaçaient déjà dans le sillon de l'éducation populaire, l'ouvrent à l'idée d'un centre socioculturel. Le diagnostic social local, élaboré après une intense concertation, est ratifié par la Caisse d?allocations familiales de la Gironde. En janvier 2009, elle accorde au projet qui en découle l'agrément de centre social.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : démarches et accès aux droits
• Axe 2 : centre ressources d ela vie associative
• Axe 3 : culture et écanges de savoirs
• Axe 4 : autonomie des jeunes
• Axe 5 : vie de famille // Axe 6: épicerie solidaire

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2010
Population de la zone de compétence : 10621

association créée en 1969. Maison des jeunes et de la culture ayant pour mission l'animation globale sur la commune de Portes-lès-Valence. Au regard de la population et des besoins un diagnostic a conduit l'association a accentué son intervention sociale sur le territoire, ce qui a donné lieu à l'agrément social

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Soutenir la population dans ses difficultés
• Axe 2 : Développer la vie sociale des habitants
• Axe 3 : Proposer une action culturelle accessible à tous
• Axe 4 : Accompagner la jeunesse socialement et culturellement
• Axe 5 : Conforter la fonction d’accueil de l’association

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2014
Population de la zone de compétence : 18120

1er janvier 2014

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : insertion JEUNESSE
• Axe 2 : CITOYENNETE
• Axe 3 :
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 09/01/2011
Population de la zone de compétence : 6046

L’association la Colporteuse a vu le jour en mai 2007 à l’initiative de trois jeunes personnes fortement motivées par l’envie de dynamiser un territoire par le biais de leurs idées, leurs valeurs, leurs compétences et leur militance dans l’éducation populaire. L’idée principale est de proposer des animations socioculturelles et de créer un lieu de vie, d’accueil, d’échanges, de découvertes, d’initiatives, de création et de partage sur le territoire de l’Argentonnais.

La Colporteuse est un centre socioculturel, tiers lieux et école de la transition écologique et citoyenne

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Projet familles
• Axe 2 : Tiers-lieu : ateliers partagés
• Axe 3 : Ecole de la transition écologique
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 09/02/2000
Population de la zone de compétence : 14098

Novembre 1978, création d'une association nommée ACSCB ( Action Collective Socio Culturelle de Bléville) par un collectif d'habitants. 1994, 1er agrément de Centre social et modification des statuts de l'association qui devient le Centre Social Raymond Queneau (place Raymond Queneau aux Points Cardinaux). 2004, dissolution de l'association suite à une situation financière difficile. Sollicitation de la CAF du Havre et la Ville auprès du Centre de Jeunes de la Sous Bretonne, association loi 1901 créée en 1963 qui développe des activités de centre de loisirs sur le quartier, pour reprendre la gestion du centre social. Janvier 2012, municipalisation de centre social CJSB qui devient le CABLE (Centre d'Animation de BLEville). En décembre 2017, une renomination de toutes les structures d'animation et centres sociaux fait naître le mot "Fabrique" comme nom commun. Pour notre centre social, ce sera donc La Fabrique Augustin-Normand.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Favoriser l’intégration de tous les publics, ouvrir à de nouveaux habitants
• Axe 2 : Renforcer le pouvoir d’agir des habitants
• Axe 3 : Affirmer le centre social comme une force vive du territoire
• Axe 4 : Accompagner les jeunes afin de leur redonner confiance et envie : Culture et insertion
• Axe 5 : Aider à se réaliser dans le rôle de parent & Renforcer la stratégie partenariale des acteurs de la parentalité

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2008
Population de la zone de compétence : 40303

En 1982, le quartier de la Mare Rouge avait fait l'objet d'une opération de réhabilitation qui avait proposé la création de l'association A.G.E.M.A.R (Association pour la Gestion des Equipements de la Mare Rouge) pour coordonner les interventions des travailleurs sociaux de différents statuts, rapprocher les services des utilisateurs, recueillir et diffuser l'information sur les éléments de la vie sociale du quartier. En 1997, les évolutions du contexte général du quartier amènent l'association à réactualiser son objet, adapter ses moyens et ses statuts. Prenant appui sur l'intérêt et le service apporté à tous les habitants du quartier, l'association maintient son rôle de proximité et de coordination en privilégiant le service global de la famille dans le cadre d'un centre social. En 2002, reprise de la gestion de l'ancienne SAM, rebaptisée le SATELLITE par les habitants, par l'association AGEMAR. 2012, Municipalisation du Centre Social – nouvelle dénomination le centre social Agemar devient le Satellite.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Développer les actions favorisant le lien social et permettant une vie de quartier
• Axe 2 : Développer l'intervention auprès des 11-30 ans
• Axe 3 : Permettre l'accessibilité aux services et au multimédia
• Axe 4 : Organiser une communication adaptée
• Axe 5 : En lien avec la cité éducative, impliquer les parents dans les activités liées à l'éducation et aux loisirs

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/1973
Population de la zone de compétence : 23000

Créée en 1968, l'évolution de l'association peut se présenter en quelques dates : 1968 /1980 : A l’initiative de personnes relativement proches de l’Église catholique, l’association s’appelle au moment de sa création « Centre Social Notre Dame ». Elle démarre quelques activités (couture, émaux, club 3ème âge) dans un local prêté par la Paroisse. Son fonctionnement s’appuie beaucoup sur un personnage charismatique qu’est le curé. L’arrivée d’une professionnelle salariée de la Fédération des Centres Sociaux en 1977 influe sur les activités et le fonctionnement. Des divergences apparaissent et provoquent une crise qui débouche sur une scission en 1981.  1968 : création du « Centre Social du quartier Notre Dame ». Démarrage d’activités hebdomadaires dans un local prêté par la paroisse rue Alcide d’Orbigny.  1974 : arrivée d’une animatrice couture, salariée de la Fédération des Centres Sociaux. Elle prend en charge la coordination des activités en 1975.  1977 : Arrivée de la première Directrice du Centre Social, recrutée à mi-temps.  1978 : La Directrice passe à temps plein. Évolution des activités. 1981 / 1991 : Aux quelques anciens de la première heure se joignent de nouvelles personnes. Le Centre Social s’installe dans des locaux mis à disposition par la Ville de La Rochelle, recrute une secrétaire-animatrice, un puis deux vacataires, et une puéricultrice, ce qui lui permet de développer des activités de loisirs (gymnastique, anglais, peinture sur soie...) et de créer une Halte-garderie. Celle-ci prend une part de plus en plus importante dans le projet de l’association, au point d’en devenir l’élément principal. Après une décennie de ce fonctionnement, l’association peine à présenter et à négocier un projet social pertinent. Elle se retrouve en difficulté et n’échappe pas à une nouvelle crise qui la conduit au bord de l’implosion.  1981 : l’association devient Centre Social La Rochelle-ville et travaille sur un projet d’espace petite enfance. La municipalité lui attribue 2 pièces et une cuisine dans les locaux du 41 rue Thiers. Embauche d’une secrétaire d’accueil à mi-temps.  1983 : ouverture de la Halte-garderie, une directrice est recrutée. Création de l’activité bébés nageurs. Élection de la première présidente de l’association. (Marie-Thérèse Delahaye).  1984 : extension des locaux du Centre Social, avec l’aménagement de l’aile droite du bâtiment.  1986 : les Assistantes Sociales du secteur réalisent une partie de leurs permanences dans les locaux du Centre Social.  1991 : changement du Conseil d’Administration à la suite d’une Assemblée Générale Extraordinaire. 1992 / 2001 : Une nouvelle équipe se constitue et bénéficie du soutien de la Fédération des Centres Sociaux et des organismes de tutelle pour mettre en œuvre de nouvelles orientations qui visent à s’ouvrir sur le quartier, accueillir et accompagner les publics rencontrant des difficultés, redémarrer une vie associative avec un fonctionnement démocratique. L’équipe de salariés se renouvelle en partie et évolue fortement avec le développement des actions Cette croissance de l’effectif est liée au processus de professionnalisation des intervenants dans tous les secteurs (petite-enfance, enfance jeunesse, insertion sociale et professionnelle, accueil-administration) et se réalise dans le cadre des dispositifs des emplois-aidés.  1992 : arrivée d’un nouveau Directeur. Changement de statuts. Nouveau projet social soutenu par les partenaires. Création du journal interne « de la Plume à l’Oreille ».  1993 : développement des actions d’insertion sociale et professionnelle dans le cadre du Programme Départemental d’Insertion.  1995 : renforcement de l’équipe Halte-garderie avec l’arrivée d’une éducatrice de jeunes enfants.  1996 : création de l’association Le Triporteur (portage de repas à domicile). Nouvelles activités (sophrologie, peinture…)  1998 : les 30 ans du Centre, nouveau logo.  1999 : lancement de l’opération Collège ouvert à Fromentin. Embauche d’une animatrice jeunesse. Ouverture de l’accueil périscolaire à l'école primaire Massiou.  2000 : partenariat des Centres Sociaux La Rochelle ville et Le Noroît dans le cadre d’un projet concerté sur le centre-ville élargi. Création des "P’tits.Déj de l’Emploi" 2001 / 2008 : Le Centre Social poursuit sa croissance avec la consolidation des actions enfance-jeunesse, l’évolution de la capacité d’accueil des publics en situation précaire (nouvelles actions d’accompagnement vers l’emploi), le renforcement de la démarche d’implication des usagers et des habitants dans la mise en place de projets collectifs (création d’un journal de quartier) et l’intégration d’une crèche parentale et de son équipe de huit salariés.  2001: premier numéro du journal de quartier « Tours de parole ». Fusion avec la Crèche parentale « Il était une Petit Navire ».  2002 : l’activité Gym délogée de la salle de l’Arsenal se mobilise et obtient l’accès à la salle Bonpland pour pouvoir rester sur le quartier centre-ville.  2003 : la Halte-garderie fête ses 20 ans.  2004 : réalisation d’un diagnostic du territoire centre-ville avec la collaboration de l’IRTS Aquitaine. Nouvelle organisation de la vie associative, nouveaux statuts. Réalisation d’un film avec les Centres Sociaux rochelais.  2005 : 20 ans de la Crèche « Il était un Petit Navire ».  2007 : création du site Internet.  2008 : transfert de la crèche avenue des Cordeliers et recrutement d’un nouveau directeur. 2008 à 2015 : Après un fort et rapide développement (l’effectif salarié a triplé depuis 1995, le budget de fonctionnement dépasse le million d’euros), les activités du Centre Social se stabilisent. Dans un contexte économique de plus en plus contraint, marqué par la crise de 2008, l’association s’efforce de préserver sa capacité d’intervention. Les activités dans le domaine de la petite enfance gardent une place prépondérante dans le projet de l’association, avec pour principal objectif le soutien à la parentalité. L’accompagnement social et professionnel, réalisé dans le cadre de différents dispositifs et malmené par la mise en place du RSA, reste un axe fort d’intervention au vu des besoins d’une partie des habitants du quartier. La question des moyens devient prépondérante, que ce soit dans le domaine des ressources humaines (salariée comme bénévole), de la gestion financière ou encore des locaux. En 2015, les centres sociaux du Noroît et de la Rochelle-Ville fusionnent et donnent naissance au centre social et culturel "Christiane Faure". En 2017 : développement du secteur jeunesse, mise en place de comités adhérents dans 7 secteurs. Le budget global dépasse 1.8 million € et le CSC emploi 50 personnels. Il rayonne sur son territoire et fait grandir, chaque jour un peu plus, son implantation sur le territoire à travers de nombreux nouveaux partenariats locaux.

En 2024, le centre social et culturel Christiane Faure devient La fabrique du lien social Christiane Faure. Fruit de longs mois d'échanges et de débats, cette appelation a été choisie par les adhérents pour moins confondre notre association avec le CCAS et mieux expliquer à ceux qui ne la connaissent pas, ce qu'elle fait réellement.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Favoriser activement le développement de la citoyenneté : des habitants acteurs et à l'initiative
• Axe 2 : Agir en réponse à diverses formes de précarité et d'inégalités
• Axe 3 : Mettre en oeuvre un projet spécifique pour les familles
• Axe 4 : Structurer et animer des réseaux d'acteurs cohérents
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/09/1988
Population de la zone de compétence : 11078

Le Centre Social était auparavant une association loi 1901 créée en 1966. Elle a été municipalisée en janvier 2012.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Favoriser l'accès aux droits en contribuant au développement de services de proximité
• Axe 2 : Développer et améliorer le vivre ensemble
• Axe 3 : Favoriser l'engagement et soutenir les initiatives
• Axe 4 : Inviter les habitants à devenir acteur de leur santé et de leur bien être
• Axe 5 : Renforcer l'accompagnement à la fonction parentale

Historique

Date du 1er agrément : 01/10/1974
Population de la zone de compétence : 7500

1973

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : ENCOURAGER LA CONCERTATION ET LA CO-CONSTRUCTION CITOYENNE DES HABITANTS ET DES ACTEURS AUTOUR DU CADRE DE VIE
• Axe 2 : OFFRIR A L'ENSEMBLE DES HABITANTS UNE PROGRAMMATION ADAPTEE QUI FACILITE L'INCLUSION LA REUSSITE ET LE LIEN SOCIAL
• Axe 3 : DEVELOPPER LE MULTIPARTENARIAT POUR FAVORISER DE MANIERE PLUS EFFICACE AUX PROBLEMATIQUES DES HABITANTS
• Axe 4 : ENCOURAGER LE PARENT A ETRE AU COEUR DE L'EDUCATION DE L'ENFANT TOUT AU LONG DE SON PARCOURS
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2004
Population de la zone de compétence : 1

Le projet de l'association la Ferme-du-Parc-des-Meuniers s'est créé en 1996 sur le constat d'une dégradation du lien social et sur un morcellement de la société porteur d'exclusion. Sur la base de cette analyse sociétale faite il y a maintenant 26 ans, le parc de 3 hectares mis à disposition par l'ADP (Aéroport De Paris), est développé comme un lieu ressource construit pour, par et avec les habitants, comme un lieu support de leurs initiatives. Le partage des savoir-faire individuels dans des projets communs crée une richesse collective qui donne sens au projet. La transmission à l'autre en est un des piliers, ce qui accompagne la volonté originelle d'ouvrir un lieu où différentes populations peuvent se rencontrer et échanger sans souci d'âge, de couleur de peau, de croyance ou de statut social. C'est dans des processus de co-élaboration et de coréalisation que chaque projet est entrepris. C'est un lieu fondé sur l'échange, la solidarité, le vivre ensemble, le partage et la réciprocité, les habitants y sont pleinement acteurs. Les enjeux ciblés dans le diagnostic social à la base du projet sont aujourd'hui des pierres angulaires au croisement entre l'économie sociale et solidaire, la démocratie participative et le développement durable. Le projet y répond pour partie depuis son origine ou par des activités qui ont vu le jour au fil du temps avec l'arrivée de nouveaux meuniers et meunières. La mise en liens entre les supports animal et végétal, la valorisation des déchets, le développement d'éco-activités autour des énergies renouvelables, une brocante solidaire, l'accueil de jeunes adultes en difficulté parrainés par les meuniers, l'entretien de jardins collectifs, la vente de la production agricole, l'accueil de structures variées, un rucher, un four à pain, une cuisine collective, des serres de culture et un espace viticole reposent sur les savoirs et les savoir-faire des meunières et meuniers qui portent le projet. L'énumération qui précède est loin d'être exhaustive tant la force habitante crée une myriade de projets si elle a l'espace pour s'exprimer. En se fixant comme objectif premier de respecter la place centrale des habitants, les processus de développement émanent graduellement du territoire (commune, canton, département, région). Les liens tissés au fil des années avec d'autres acteurs du réseau territorial Val-de-marnais et régional forment un réseau qui s'étend pas à pas, comme la Ferme du Saut du Loup, la Plaine des Bordes, Planète Lilas, des accueils de loisirs d'Orly et Choisy-le-Roi, des écoles de Villeneuve-le-Roi et d'Orly, des missions locales, des EDS et CCAS ainsi que des entreprises locales. Ce sont des partenariats pérennes qui se sont construits progressivement. C'est à partir de cet ancrage territorial et de son expérience construite depuis 24 ans que la Ferme-du-Parc-des-Meuniers cherche à partager ses savoirs et savoir-faire territoriaux dans une perspective d'Economie sociale et solidaire et de Recherche-action. Par une démarche expérimentale de recherche-action, c'est progressivement que le projet a évolué au fil des réussites et des échecs dans le souci constant d'adopter une approche globale et transversale et de ne pas cloisonner les groupes sociaux (jeunes, retraités actifs, personnes porteuses de handicaps, chômeurs, …) conformément aux analyses des effets ségrégatifs des approches clivées des politiques sociales relevées par les professionnels, les élus et les chercheurs. Grâce à l'expérience acquise, le projet a pris de l'ampleur et l'association est aujourd'hui en capacité d'accompagner de nouveaux projets dans des démarches similaires où le dénominateur commun est la place centrale des habitants. Une des évaluations principales qui ressort de ces 26 années de vie de la Ferme est que notre démarche permet à la collectivité d'économiser en accordant aux habitants une place d'acteurs à part entière et pas simplement de consommateurs de services. La part d'autofinancement du projet augmente progressivement grâce à cette force habitante en construction et aux savoir-faire des professionnels qui ont appris à la laisser s'épanouir.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Accompagnement et reconnaissance dans le projet de toutes personnes en situation d'exclusion, en fragilité quelconque, dans une démarche digne, solidaire et non stigmatisante
• Axe 2 : Développement et renforcement du secteur Economie Sociale et Solidaire ESS
• Axe 3 : animation collective familles : Développement des ateliers parants/enfants, soin aux animaux, jardinage...
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2012
Population de la zone de compétence : 15000

2012

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : DEVELOPPER UNE POLITIQUE D’ACTIONS SOCIO-CULTURELLES AUTOUR DU « BIEN VIEILLIR EN MILIEU RURAL »
• Axe 2 : DEVELOPPER UNE POLITIQUE D’ACTIONS SOCIO-CULTURELLES AUTOUR DE LA PETITE ENFANCE
• Axe 3 : FAVORISER LA PARTICIPATION DES PUBLICS ELOIGNES DE L’OFFRE SOCIOCULTURELLE ET LES ACCOMPAGNER
• Axe 4 : DEVELOPPER UNE POLITIQUE D’ACTIONS SOCIO-CULTURELLLES AUTOUR D’UNE OFFRE ADOS
• Axe 5 : FAVORISER L’IMPLICATION ET L’ACCOMPAGNEMENT DE TOUS LES PUBLICS

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2011
Population de la zone de compétence : 15500

Association crée le 5 juillet 1985 sous l'appellation "Association cantonale d'animation de St Jean de Maurienne

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Parentalité
• Axe 2 : Appui aux initiatives locales
• Axe 3 : Accès aux droits
• Axe 4 : seniors
• Axe 5 : appui à la vie associative

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/1993
Population de la zone de compétence : 15011

Les locaux qu’occupe actuellement le Centre ont été bâtis en 1968 par le bailleur S.A d’HLM La Lutèce – devenu S.A d’HLM France habitation, puis SEQUENS –, le même bailleur qui entre 1965 et 1967 a construit et donné le nom à l’ensemble des logements du quartier « La Lutèce ». Jusqu’en 1975, les locaux ont accueilli une Maison de l’Enfance, administrée par l’association APES Développement social et urbain. En 1975, la Maison de l’enfance s’est transformée en Maison de quartier, administrée cette fois-ci par ADER et LPS, associations aujourd’hui disparues. - 4 - Cette Maison de quartier proposait des activités assez semblables à ce que propose aujourd’hui le Centre social : des permanences sociales (CESF), des activités pour adultes (pétanque, jeux de cartes, menuiserie), des cours de français, un centre de loisirs et de l’accompagnement à la scolarité. En 1991 les gestionnaires de la Maison de quartier déposent le bilan et la Marie rachète le bâtiment pour le transformer en un Centre socioculturel. Elle décide alors de le mettre en gestion associative et c’est ainsi que le 1e mai 1992 l’association du « Centre socioculturel de La Lutèce » s’est constituée en association de gestion. Le Conseil d’Administration de l’association comprend entre 10 et 15 membres répartis de la manière suivante :  3 désignés par délibération du Conseil Municipal  2 représentants des associations et des groupements adhérents (désignés par les associations et groupements d’adhérents)  1 représentant de l’APES et 1 représentant du bailleur Séquens  Un nombre d’adhérents compris entre 3 et 8 élus en assemblée générale. Le Centre obtient son premier agrément CAF en 1993, agrément qu’il conserve jusqu’à nos jours. En 2002 démarrent les travaux de réaménagement les plus importants qu’a connus le bâtiment. La surface exploitée par le Centre est amputée d’une partie de la surface pour construire une salle de spectacle (100 places) et une halte-garderie municipale. Depuis cette époque, le Centre partage ces locaux avec ces deux services municipaux.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Contribuer à l'amélioration di cadre de vie des Valentonnais
• Axe 2 : Agir contre l'exclusion et l'isolement des personnes les plus vulnérables
• Axe 3 : Accompagner et soutenir les parenrts afin qu'ils s'épanouissent dans leur rôle d'éducateur
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 28/03/2023
Population de la zone de compétence : 5000

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Définir le centre social comme lieu ressource pour répondre aux besoins des habitants
• Axe 2 : Favoriser l'insertion sociale et professionnelle des calonnois
• Axe 3 : Animer la vie des quartiers pour tous les publics et sur tous le territoire
• Axe 4 : Redonner aux calonnois la place qu'il doivent prendre dans leur vie et dans leur ville
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/07/2013
Population de la zone de compétence : 15000
A la suite de la disparition de l'Antenne BINET, annexe du Centre Social CAF BELLIARD, une voonté conjointe des habitants et des acteurs institutionnels a donné naissance à un comité d'habitants, le Comité Binet, dont le noyau dur formera l'Association Maison Bleue - Porte Montmartre, gestionnaire du futur centre social qui ouvrira ses portes au public, le 02/11/2014. L'agrément Centre Social a été donné le 01/07/2013

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Mise en place d'actions liées a l'accès aux droits avec l'organisation de permanences sociales
• Axe 2 : Mise en place d'un secteur enfance jeunesse
• Axe 3 : Actions transversales concernant le développement durable
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2012
Population de la zone de compétence : 1950

Directeur : Mr Yann GRUY - depuis le 01/07/2022

Présidente : Mme Annie POCHET - depuis le 28/02/2023

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Consolider le centre social en interne
• Axe 2 : Développer et animer du lien sur le territoire
• Axe 3 : Développer les activités créées pour la famille et la jeunesse
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2012
Population de la zone de compétence : 22000

La Maison des Solidarités a ouvert ses portes en octobre 2010. Elle développe 3 axes de travail : épicerie solidaire et accompagnement social, soutien aux parentalités, soutien aux initiatives citoyennes et aux pratiques solidaires. L'agrément CAF, Animation Globale, a été donné à la Maison des Solidarités pour la période 2023-2026. Elle porte également sur cette même période un agrément ACF.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : La Maison accueille, va à la rencontre de tous les publics et favorise la mixité sociale
• Axe 2 : La Maison est attentive aux publics les plus précaires
• Axe 3 : La Maison accompagne le pouvoir d'agir des habitants
• Axe 4 : La Maison soutient les parentalités
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 03/01/1977
Population de la zone de compétence : 20000

Ouverture du centre social le 1/03/1977 Décision de création par délibération du Conseil Municipal de Dijon - date (1973 ?) Il existait à l'époque 4 centres sociaux à Dijon, gérés par la CAF de Côte d'Or . Considérant les besoins des habitants du nord de Dijon, la Ville de Dijon a décidé de la création de ce cinquième centre social en a confié la gestion au BAS Bureau d'Aide Sociale. Au 1er janvier 2018 le centre social Balzac et la MJC Maldière fusionne et constitue la MJC-Centre Social : La Maison Maladiere

LA gestion est assurée de janvier 2018 à décembre 2020 par la Fédération Française des MJC. 

Depuis le 1er janvier 2021 elle est administré par l'association locale de La Maison Mladière. 

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Animation Locale
• Axe 2 : Animations Collectives Familles
• Axe 3 : Animations Jeunesse
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 30/06/2022
Population de la zone de compétence : 16000

Historique du projet « centre social »

Doté d’un service Enfance Jeunesse communautaire en gestion direct et d’un Centre Social associatif sur une partie de leur territoire (convention d’objectif avec l’EPCI) , les élus de la Communauté ont fait le choix de structurer cette offre en créant un Centre Intercommunal d’Action Sociale ( janvier 2022) .

Au vu du diagnostic de territoire petite enfance, enfance-jeunesse réalisé entre 2019 et 2020 et au vu de  la signature de la convention territoriale globale le 13 février 2020 (pour 4 ans) et en considérant le travail de réflexion mené dans différentes instances, les élus communautaires lors du conseil du 5 juillet 2021 (délibération n°2021 07 n°03) ont validé la création d’un CIAS, suite à la définition de l’intérêt communautaire de la compétence action sociale à l’échelle du territoire (l’animation de la vie sociale devient donc d’intérêt communautaire ).

Avec tout le travail au préalable entrepris par les groupes de travail et les retours des comités de l’animation de la vie sociale, les membres élus du CIAS ont trouvé pertinent de créer un Centre Social sur les communes non couvertes du territoire afin de conforter la démarche d’élaboration du projet social du territoire.

Le souhait a été de vérifier (à travers le diagonstic de territoire ) est de développer au sein des communes de La Vraie Croix, Larré, Le Cours, Molac, Questembert, Berric, Lauzach, des actions pour et avec les habitants.

Dès septembre 2021 , co-construction d’un diagnostic partagé sur le territoire en vue d’élaborer le projet social . Dans la mise en œuvre et la réflexion de l’élaboration, le groupe projet est renforcé par la directrice du centre social associatif « Eveil » .

Cette démarche de travailler en collaboration à renforcer l’interconnaissance et également une vision commune de l’AVS.

Le centre social intercommunal « Maison Pop’ » à eu son 1er agrément le 30 juin 2022

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Accompagner les transitions et actions de solidarité
• Axe 2 : Renforcer le lien social, la proximité et le maillage territorial
• Axe 3 : Accompagner les familles du territoire
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2012
Population de la zone de compétence : 10353

Association créée en 1991, Liaison Animation Montendre organise des actions socio-éducatives et d'animations de la vie locale pendant 20 ans. Peu à peu, son territoire d'action dépasse la seule ville de Montendre, elle professionnalise ses animateurs et cherche à développer des actions plus transversales et plus globales, en lien avec ce qu'elle repère comme problématiques. En 2012, "le LAM" évolue en centre social et socio-culturel sous le nom de LA Maison Pop'. L’engagement des habitants, le soutien de ses partenaires, anciens et nouveaux, lui permettent de développer des actions de soutien à la fonction parentale et d'insertion qui répondent à des besoins identifiés sur le territoire tout en poursuivant les projets menés antérieurement. L'association impulse des projets partenariaux et s'implique dans une dynamique de réseau. Education populaire et développement durable demeurent ses fondamentaux. LA Maison Pop' est labellisée France Services et Guid'Asso. En octobre 2019, LA Maison Pop' intègre ses nouveaux locaux, situés dans l'ancienne gare de Montendre réaménagée à cet effet par la ville de Montendre qui en est propriétaire. Le train s'arrête toujours, et désormais, les habitants peuvent trouver dans un équipement accueillant et accessible services et permamences mais aussi des espaces pour se rassembler afin de donner corps à leurs initiatives et faire vivre LA Maison Pop' et notre territoire.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Initier une démarche de transition écologique, sociale et économique sur le territoire
• Axe 2 : Oser agir ensemble de manière plus éthique
• Axe 3 : De l'accueil à l'appropriation du centre socioculturel par les habitants
• Axe 4 : Se cultiver ensemble pour s'émanciper et créer des liens de solidarité
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 30/03/2016
Population de la zone de compétence : 18000

La prise de gestion du Centre Socioculturel de Fontaine d'Ouche s'est faite en deux temps. Un premier, de 2016 à 2020 où la Fédération Française des MJC était gestionnaire de l'équipement et ce dans le cadre du schéma de développement des structures de quartier porté et piloté par la Ville de Dijon. En septembre 2016, le Centre Socioculturel de Fontaine d'Ouche a été renommé "la Maison-phare". Puis un second temps, qui a démarré le 7 janvier 2021, où l'association locale La Maison-phare, créée en 2017, a pris la gestion intégrale de l'équipement : fonction employeur, animation du projet de La Maison-phare. A ce jour, La Maison-phare est affiliée à la Fédération Régionale des MJC de Bourgogne Franche-Comté, bénéficie d'un agrément CAF et d'un agrément Jeunesse et Education Populaire depuis mars 2021.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Famille / Intergénérationnel (soutien à la fonction parentale - Lutte contre l'isolement - Accompagnement social)
• Axe 2 : Vie sociale (Actions culturelles / actions sociales)
• Axe 3 : Jeunesse ( 12/25 ans)
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2015
Population de la zone de compétence : 28490

Une MJC pour ouvrir à la démocratisation de l’accès à la Culture et aux pratiques artistiques.

Un centre social pour permettre aux habitant.e.s de participer à la vie de leur cité et à la construction d’une société juste, mixte et inclusive.

Une auberge internationale de séjour pour favoriser un accès inconditionnel aux loisirs et aux vacances.

Le 30 avril 1964 était déclarée à la Préfecture d’Indre et Loire une « Maison des jeunes de la culture d’Amboise et du canton [dont le but était] : la création, la gestion et le contrôle de la Maison des jeunes et de la culture. Siège social : Entrepont, Amboise ».

C’est sous cette formule que le Journal Officiel de la République Française officialisait en 1964 la création d’une nouvelle association sur le territoire d’Amboise. Et il n’est certainement pas inutile de souligner et de rappeler cette longévité : 60 années d’activisme socio culturel donc, de l’âge d’or du projet des MJC au divorce entre la culture et le socioculturel ; 60 années d’initiatives, d’expériences, de rencontres, d’impasses parfois, d’équilibre financier toujours difficile, de turbulences et d’aléas politiques.

Les statuts de 1964 qui accompagnaient cette déclaration étaient fort heureusement plus précis quant aux buts que se fixait l’Association Centre Charles Péguy :

« L’association a pour but de promouvoir, soutenir et favoriser toutes initiatives d’ordre, culturel, récréatif ou éducatif, en faveur de la population locale. Elle pourra [ainsi] organiser ou prêter son concours pour la mise en place de rencontres, de conférences, spectacles, voyages, expositions, ciné- - clubs et toutes autres activités socio- - éducatives, sportives et d’animation en général … ».

L’article 2 précisait également que l’association assurerait la gestion des locaux et équipements mis à sa disposition y compris un centre d’hébergement. Ce dernier d’abord repéré comme une Auberge de Jeunesse affiliée à la Fédération Unie des Auberges de Jeunesse (FUAJ) s’est rapproché en 2005 du réseau Ethic Etapes auquel il appartient désormais.

Deux autres articles affirmaient le principe de laïcité et stipulaient enfin que l’association nouvellement créée « s’interdisait toute attache avec un parti, un mouvement politique ou une confession ».

Le 1er janvier 2013 marque officiellement le début de la fusion entre la MJC et l'association qui avait porté "le centre social" et constitue une année d'organisation politique (intégration des conseils d'administration respectifs), administrative (reprise des contrats), financière et budgétaire (mise en place d'une comptabilité analytique...) et de management commun.

La fusion des associations a été une expérience douloureuse pour tou.te.s les acteur/trice.s que ce soit les élu.e.s associatif/tive.s (historiques et nouveaux), les salarié.e.s « historiques », les partenaires et les habitant.es, victimes de ces péripéties administratives. Il fallait donc trouver un nouvel élan et de nouveaux objectifs qui permettraient de fédérer celles et ceux qui étaient resté.e.s, de sécuriser les salarié.e.s et de leur permettre de trouver leur place. Il fallait également réfléchir à la transversalité des actions et de l’accueil des différents publics attachés à leur « maison » de proximité respective : centre social et MJC.

L’association devait travailler à casser les préjugés sur la conditionnalité (sociale ou territoriale) des activités et des projets proposés par l’association.

Quand la CAF a donné son accord pour travailler sur le projet d’un nouveau centre social, l’association y a vu une opportunité, l’opportunité de faire sens commun.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Accompagner les habitant.e.s dans leur quotidien
• Axe 2 : Contribuer à lever les freins à l’accès aux loisirs et valoriser les pratiques culturelles individuelles et collectives
• Axe 3 : Promouvoir la citoyenneté, le volontariat et l’engagement
• Axe 4 : Contribuer à émanciper les personnes en situation de vulnérabilité, de fragilité et d’handicap
• Axe 5 : Promouvoir une transition écologique par l’alimentation et les lieux de vie