Historique

Date du 1er agrément : 01/01/1991
Population de la zone de compétence : 6000

Date de création de l'association :  1979

Origine de l'initiative de la structure: habitants origine de l'initiative du projet "Centre Social"

Noms des co-président.es : Marie-Laurence Giraudeau - Anthony Rozec - Mario Farina 

Nom du directeur : Frédéric Pinaud 

Site Internet : alcv-blois.fr

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Faire de l'action auprès des familles et de la participation un axe majeur du travail de l'association
• Axe 2 : Faire de la culture un outil de lien social, d'émancipation, d'ouverture à l'autre, de culture démocratique et de paix
• Axe 3 : Favoriser un fonctionnement compatible avec les enjeux climatiques
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 28/02/1968
Population de la zone de compétence : 12012

L'Espace Mirabeau est le plus ancien des centres sociaux de la ville de Blois.

Sa premiére ouverture date du mercredi 28 février 1968, en gestion CAF jusqu'en 2007, il est depuis en gestion municipale (Ville de Blois).

L’Espace Mirabeau est un accueil de proximité et un lieu d’animation, où de nombreuses activités sont organisées toute l’année afin d’améliorer la vie quotidienne.

Les habitants ont toujours leur place avec des temps et des espaces pour participer à la vie de l’Espace Mirabeau, être acteur de la réponse à leurs attentes, pour organiser des
sorties culturelles ou permettre aux enfants de construire leurs projets.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Favoriser l'accès aux droits et à l'offre de service
• Axe 2 : Accompagner l'exercice de la parentalité par le renforcement du lien parents-enfants
• Axe 3 : Favoriser le vivre ensemble, l'ouverture culturelle et la participation des habitants
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 12/02/1991
Population de la zone de compétence : 13000

1964: NAISSANCE DU PROJET MAISON DE BÉGON ET DE SON BATIMENT SOUS STATUT MUNICIPAL

1972: CRÉATION DE L'ASSOCIATION "MAISON DE BÉGON" agréé "EDUCATION POPULAIRE"

1991: PREMIER AGRÉMENT CENTRE SOCIAL auprès de la CAF

1994: DÉCLARATION COMME "ORGANISME DE FORMATION" auprès de la DIRRECTE en complément de ses agréments

2003: DETENTEUR DES LICENCES 1, 2, 3 "D'ENTREPRENEURS DE SPECTACLES" auprès de la DRAC

Objet de l'association : 

L’association Maison de Bégon a pour objet de favoriser les rencontres, les échanges et le rapprochement des personnes, des populations et des cultures de la cité, au travers d’actions culturelles et sociales, dans un esprit d’éducation populaire, d’animation globale, et dans le respect des individualités.

La Maison de Bégon est laïque, c’est-à-dire respectueuse des convictions personnelles. Elle s’interdit toute attache avec un parti, un mouvement politique ou une confession, ainsi que toute forme de discrimination. Elle est ouverte à tous.

Dans ce cadre, il lui revient de :

• Proposer des actions en lien avec son projet associatif,
• Offrir un espace de partage, d’échanges et de convivialité,
• Permettre à chacun de devenir un citoyen actif,
• Organiser des évènements culturels tout public,
• Participer à divers temps forts du territoire,
• Développer des projets sur une échelle territoriale élargie,
• Travailler en lien avec les différentes structures locales (culturelles, sociales, éducatives, etc.),
• Travailler en co-construction avec les habitants et les acteurs du territoire,
• Gérer les lieux mis à disposition par la ville de Blois et/ou les collectivités territoriales.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : L'intervention sociale, culturelle et professionnelle, vecteur d'insertion des populations
• Axe 2 : Soutenir et accompagner les associations, les acteurs du territoire et les porteurs de projets
• Axe 3 : Développer les capacités de la Maison de Bégon, pour en faire un outils de référence au service de l'innovation et du développement, facteurs d'ouverture du "faire ensemble" et du "vivre ensemble"
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/10/1977
Population de la zone de compétence : 7500

Né sous l'impulsion d'un groupe d'habitants du QUARTIER

Gestion du Centre par la CAF de 1977 à 2010

Depuis 2010, la ville assure la gestion de l'Espace Quinière Rosa Parks

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Développer la participation des usagers à la vie du centre
• Axe 2 : Développer une part d'agilité et de souplesse dans l'organisation du centre et de ses locaux
• Axe 3 : Renforcer, développer et impulser des partenariats
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 05/01/2001
Population de la zone de compétence :

L'association a été créée en 1992 avec pour objet social la promotion de la culture par le livre. En 1998, une commission "relation avec la jeunesse" est mise en place. Les premiers ateliers vacances sont organisés. Après une année passée en tant que pré-centre social (2000), le premier agrément centre social est lui octroyé en janvier 2001.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Parentalité
• Axe 2 : Lien social et solidarité
• Axe 3 : Accès aux droits et à l'information
• Axe 4 : Favoriser la capacité d’agir des habitants sur leur parcours, sur leur bien-être et sur leur environnement
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 07/01/2012
Population de la zone de compétence : 6500

projet social initié par les usagers et acteurs locaux du Centre Socioculturel de Bohain (janvier 1997, à l'initiative des élus, est créé le centre socioculturel qui gère et anime les accueils de loisirs et le foyer de jeunes. Après de nombreuses expériences menées avec et pour la population, les membres décident de porter ensemble un diagnostic de territoire partagé avec tous les acteurs. De ce diagnostic émane un projet social de territoire validé par la CAF de l'Aisne LE 1 JUILLET 2012

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : CO EDUCATION
• Axe 2 : PARENTALITE
• Axe 3 : MIXITE SOCIALE
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/1975
Population de la zone de compétence : 8145

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : le centre social espace d'acces aux droits, à l'info, la culture, favorisant le lien social particulièrement pour les publics fragilisés
• Axe 2 : centre social appui aux projets locaux et initiatives, favorisant le mieux vivre ensemble
• Axe 3 : lieu de soutien à la parentalité et de renforcement des liens familliaux
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2015
Population de la zone de compétence : 11190

Au regard des différentes évaluations faites sur le territoire de Bolbec (projet de ville, évaluations du service lien social) et l'analyse des besoins sociaux réalisée par le CCAS, il est apparu nécessaire de formaliser un projet social soutenu par un agrément "centre social". Un premier agrément a été obtenu pour la période 2016/2019. Nous sommes cette année en cours de renouvellement d'agrément pour la période 2024-2027

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Mettre en place des lieux d'accueil, d'écoute et d'accompagnement en coopération avec les partenaires du territoire
• Axe 2 : Accompagner des projets, des actions collectives et participatives par et pour les habitants
• Axe 3 : Renforcer une dynamique collective d'accès à la culture, aux loisirs et à la citoyenneté en famille
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2019
Population de la zone de compétence : 4100

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : accueil de toutes les populations et renforcer le lien social
• Axe 2 : accompagner les familles dans un principe de co-éducation et pour la réussite éducative de tous
• Axe 3 :
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/06/2003
Population de la zone de compétence : 7200

Suite à la dynamique familiale développée au sein du service jeunesse, un diagnostic a été réalisé. Il a mis en lumière le besoin de créer une structure favorisant la cohésion sociale . Un comité des usagers a été associé dès la réflexion du centre social ce qui a favorisé la mise en place d'un projet d'animation globale adapté aux besoins de la population. Le centre social a ouvert ses portes le 1er juin 2003. Son nom est : POINT ACCUEIL SOLIDARITé (PAS).

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Lutter contre toutes les formes d'exclusion
• Axe 2 : Créer du lien social et intergénérationnel
• Axe 3 : Valoriser les compétences et créer des espaces de solidarité
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/1995
Population de la zone de compétence : 23000

La Maison de Quartier et de la Citoyenneté (nouvelle appellation depuis janvier 2018) Georges Brassens est une « Maison de Quartier » municipale implantée de 1970 à 2015 près de la cité du stade/cité des Fleurs - 3 allée des Pensées dans un des quartiers du centre-ville de Bondy puis à partir de 2015 au coeur du centre ville (près de l'Hôtel de ville) et dont l’histoire remonte aux années 1960. 1964-2012 : une longue histoire de la maison de quartier Brassens . En 1957, une commission de réflexion sur les « problèmes de la vie dans les grands ensembles d’habitation » est créée par le Ministère de la Construction qui, selon l’historien spécialiste de l’histoire du logement social et de la Politique de la Ville Thibault Tellier (2008 : 10), prend « la mesure du risque qu’il y aurait à ne pas « encadrer » socialement les nouvelles populations ». C’est dans ce contexte que les locaux collectifs résidentiels (LCR) ont vu le jour en juin 1960 à la demande de l’Etat qui impose aux constructeurs d’ensembles résidentiels de plus de 100 logements, de prévoir des « locaux spéciaux » pour des utilisations collectives. Plusieurs constructeurs, comme la société centrale immobilière de la caisse des dépôts et des consignations (SCIC) sous l’impulsion de son directeur M. Bloch-Lainé, ont souhaité associer à la gestion des logements sociaux des services (équipements socio-culturels, terrains de jeux pour les enfants, espaces verts…) pour accueillir les nouveaux habitants. Ils vont alors créer des associations ad-hoc employant des travailleurs sociaux. Pour la SCIC, il s’agit donc de louer à l’Association pour le Logement Familial et l’Animation des Grands Ensembles (ALFA) créée en 1955, agréée association d’éducation populaire et membre de la Fédération des centres sociaux, les LCR construits dans ses programmes de logements. L’ALFA mandate alors un animateur ou une assistante sociale qui étudie l’affectation du local avec les habitants, les municipalités et les représentants des administrations locales. A Bondy, un groupe ALFA se structure dès avril 1964 et prépare l’ouverture d’un « chalet » avec l’aide d’un permanent. Une note d’information de l’ALFA datée du 30 novembre 1965 précise le rôle des permanents : « dans chaque centre de quartier, les permanents ALFA aident les habitants à trouver des réponses collectives aux divers besoins qu’engendre la vie en société, par une utilisation adaptée et enrichissante des temps de loisirs, dans le cadre d’activités socio-culturelles et éducatives, intérieures et extérieures aux locaux disponibles. (…) La marche de ces activités est ensuite assumée de plus en plus complètement par des bénévoles qui se réunissent en comités d’organisation et constituent finalement des associations d’animation, structurées selon la loi de 1901 ». Le 20 mars 1970, une convention est signée entre l’association ALFA et la SCIC qui met gratuitement à disposition à compter du 1er novembre 1969 rétroactivement et pour une durée de trente ans des locaux de 1 300 m2, à usage de centre social situé en rez-de-chaussée bas d’un immeuble de 6 niveaux. De la vingtaine d’années de fonctionnement du centre ALFA, il a été trouvé qu’un seul rapport d’activité daté de 1986 . Dans ce document, nous relevons plus particulièrement l’existence d’un « comité d’animation » appelé Comité pour les Loisirs et l’Animation Socio-Culturelle (CLASC) composé d’une dizaine d’associations sur quatorze présentes sur le centre. Le CLASC « est une union d’associations et de groupes fonctionnant au centre ALFA. Son but principal est de participer en collaboration avec l’équipe ALFA à la définition de l’animation dans le centre ». En 1986, « Il cherche à réviser certains points de ses statuts pour répondre plus complètement à sa volonté première : réunir le plus de bénévoles possibles autour de l’animation globale du centre. Les statuts devraient donc permettre notamment à des bénévoles non représentants de groupes ou d’associations de s’intégrer dans notre structure. Parallèlement une information plus importante auprès des utilisateurs est prévue et particulièrement un accueil destiné aux nouveaux arrivants » . Nous pouvons ici faire un parallèle avec les instances de participation (Conseil d’animation, Conseil d’usagers et Conseil de maison) qui semblent avoir les mêmes fonctions et que nous souhaitons (re)mettre en place dans la continuité de notre démarche de renouvellement de projet social. Notons que l’accueil est cité comme étant « une grosse partie de l’animation globale », ainsi qu’un important travail de liens avec les partenaires : « Ces rencontres ont été riches d’enseignements pour la connaissance nécessaire de la ville. Ceci conjugué avec le travail quotidien du centre, la rencontre des associations participant à son fonctionnement et l’étude des dossiers et archives permet peu à peu d’avoir une idée plus précise des besoins des habitants et de poser des jalons dans l’élaboration du projet du centre social » . Sans qu’il soit nommé, nous reconnaissons ici un travail de « diagnostic partagé », indispensable à l’élaboration d’un projet social. En conclusion de ce rapport, nous pouvons lire : « la mise en place d’un comité d’animation représentatif des forces vives du quartier s’avère nécessaire et urgente afin de pouvoir déboucher par la suite sur une association de gestion qui soit réellement le moteur d’une action promotionnelle sur le quartier » . Il s’agit là de préparer l’avenir puisqu’il a été convenu avec la ville un désengagement progressif de la SCIC sur quatre ans pour une reprise en gestion par la ville. En effet, à la fin de l’année 1989, un article dans le journal municipal « Le Bondynois » , au titre évocateur « Centre ALFA : une nouvelle « Maison Pour Tous ». Des espaces de liberté et de rencontres », informe par la voix du maire de Bondy Claude Fuzier, que le centre ALFA a souhaité la reprise de la gestion de la structure par la ville. Il est précisé que « pour préserver l’avenir d’un établissement utile », « ce sont donc les associations de gestion de la ville (ABC et ABI ) qui prendront en charge le « Chalet » et assureront sa transformation en Maison de Quartier ». C’est la création de la deuxième maison de quartier municipale (après le centre Daniel Balavoine dans le nord de la ville ouvert en 1979 et municipalisé en 1989) qui semble s’inscrire dans la politique municipale : « A partir d’une surface géographique délimitée, le territoire de Bondy sera dans une première étape coupé en quartiers, chaque maison offrira des activités socio-culturelles décentralisées et permettra à la vie associative de disposer de moyens supplémentaires pour s’exercer ». Dans un contexte de développement urbain et de concentration des populations, il est impératif pour le maire de Bondy de « rechercher les moyens de créer de nouvelles solidarités et de nouvelles rencontres ». L’objectif est de créer dans chaque quartier une « maison pour tous » pour répondre à la lutte « contre les ghettos qu’ils soient d’origine sociale, démographique ou culturelle » et « contribuer sans cesse au brassage des origines et des convictions. (la communauté démocratique) doit apprendre à vivre ensemble, à partir de valeurs essentielles, le respect d’autrui, la compréhension réciproque, l’esprit de tolérance». Le 4 décembre 1989, l’exécutif municipal retient le nom de « Georges Brassens » . Un protocole d’accord stipulant que la gestion du centre sera assurée par la ville de Bondy est signé le 8 janvier 1990 avec la SCIC Gestion Ile-de-France. L’article 2 précise « la destination des lieux est celle d’un centre social. Il ne pourra être utilisé à d’autres fins ». Le projet social établi pour demander le renouvellement de l’agrément en 1990 fixe à l’équipe du centre une orientation autour de la participation des usagers aux projets du centre : « Cette équipe participera aux diverses activités en proposant des ateliers précis, mais aussi et surtout en favorisant la participation de chacun dans l’initiation et l’élaboration des projets. Elle devra toujours veiller à ce que l’individu ne devienne pas un consommateur mais l’artisan de son propre quotidien ». Notons que cette préoccupation semble s’être perdue avec le temps. Constatant le développement de prestations de services aux dépens du soutien aux initiatives des habitants, il a été jugé nécessaire de repenser la question de la participation dans le cadre du renouvellement du projet social 2014-2017. Dans un paragraphe de ce projet social de 1990 consacré à la « vie associative dans le centre », il est indiqué que « l’équipe du centre prévoit de sensibiliser les associations du centre au projet social, ainsi chacun pourra selon ce qu’il souhaite donner, participer au « développement social » du quartier ». Il est même précisé : « Nous devons travailler avec elles mais pas pour elles. La Maison de Quartier n’est pas la Maison des associations » ; ce qui fait écho avec la situation d’aujourd’hui. En 1994, un article dans Le Bondynois , nous apprend qu’une troisième Maison de Quartier s’est ouverte sur le quartier Blanqui (à ce jour annexe du centre Brassens) et qu’un « Espace Brassens » a été ouvert au 1, place Neuburger (aujourd’hui « Maison des Parents et de la Famille »). Le 16 décembre 1996, la ville décide d’intégrer la gestion de ses Maisons de Quartier et centres sociaux dans le service public communal à compter du 1er janvier 1997 et approuve le « nouveau contrat de projet » permettant le versement de la prestation de service CAF. Ce document d’une dizaine de pages, répertorie 17 activités suivies par 700 personnes sur l’année scolaire 1995/1996 : les cours de langues (anglais, macédonien, arabe et portugais) ont réuni plus de 300 personnes, 93 se sont inscrites aux cours de danses (de salon, moderne jazz, yougoslave). L’espace jeune a rassemblé 200 jeunes adolescents de toute la ville. Il est noté que le public provient essentiellement de cinq quartiers (Blanqui, De Lattre, Cité du Stade/cité des Fleurs, La Bruyère et Les Merisiers). En conclusion de cette première partie « environnement du centre social », il est indiqué que « le centre devient donc peu à peu un lieu de rassemblement des différents quartiers de Bondy. Aussi, il nous faut continuer à tout mettre en place pour que ces différentes populations se rencontrent et construisent ensemble leurs projets pour leur cité mais aussi pour eux-mêmes. Notre projet va prendre en compte cette réalité, et pouvoir s’orienter vers la construction commune, avec la population, de ce grand édifice qu’est ce Lieu de ressources et d’échanges ». Nous voyons ainsi se dessiner la prise en compte d’enjeux de lien social, d’autonomie, qui vont se traduire dans la partie « Nouveau contrat de projet » par un objectif de soutien et d’accompagnement à la création d’un « réseau de femme » : « Notre objectif (…) est de créer un réseau de femmes susceptibles de poursuivre l’action engagée dans leur quartier, dans leur ville ; leur permettre d’être un relais auprès de leurs voisines, de leurs amies ». Par ailleurs, il est indiqué qu’il pourra être fait appel à des bénévoles pour du soutien scolaire auprès des enfants. A la demande des plus grands de « leur donner des responsabilités mais aussi de les aider à s’autonomiser », l’équipe se fixe notamment l’objectif d’ « aide à l’émergence des ressources des jeunes ». Notons à nouveau dans la continuité du projet social de 1990, l’objectif de « Sensibilisation et participation des Associations au Projet Social ». Avant de conclure cet historique, relevons l’impossibilité de souligner quelques éléments significatifs de la dernière période de l’histoire du centre, puisque nous n’avons malheureusement pas retrouvé de documents (rapports d’activités, projets sociaux….) de ces années 1997-2004. Même partielle, cette description de l’histoire du centre donne à voir et à comprendre quelques enjeux d’une structure de proximité et de son évolution dans le temps.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Vivre ensemble et solidarité : "seul on va plus vite - ensemble, on va plus loin"
• Axe 2 : La culture : de l'éducation à l'émancipation
• Axe 3 : Accès aux droits et numérique : une visée inclusive des habitants - accès pour tous
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2004
Population de la zone de compétence : 14000
Centre social crée en 2002, avec le concours du bailleur social, La sabliere

Axes du projet en cours :

• Axe 1 :
• Axe 2 :
• Axe 3 :
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2007
Population de la zone de compétence : 16526

Maison de quartier depuis 1982, agréé centre social depuis 2007

Axes du projet en cours :

• Axe 1 :
• Axe 2 :
• Axe 3 :
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/09/2000
Population de la zone de compétence : 8600

01/09/2000

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Poursuivre le développement des actions collectives familles
• Axe 2 : Impliquer les habitants dans l'élaboration et la mise en oeuvre du projet social
• Axe 3 : Rester un équipement de proximité pour les habitants, un lieu ressource
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2016
Population de la zone de compétence : 16000

Association d'Education Populaire, créée en 1963, par les habitants de Bonneuil sur Marne. Rattachée à la fédération des MJC en Ile de France et à la Fédération des Centres sociaux. Projet Centre social initié par la nécessité d'accompagner les habitants, sur la base d'un diagnostic partagé, réalisé alors que la ville entamait une grande dynamique de renouvellement urbain.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Action collective Familles
• Axe 2 : le lien social et la socialisation
• Axe 3 : Place des habitants
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/1997
Population de la zone de compétence : 4650
Création de la structure en 1967, c'est un foyer de jeunes. En 1970 l'association devient association des centres d'animation des quartiers de la ville de Bordeaux, le premier agrément centre social est en 1997.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 :
• Axe 2 :
• Axe 3 :
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 07/01/2005
Population de la zone de compétence : 9800

Créée en 1976 , premier agrément centre social juillet 2005 La zone de compétence choisie est le territoire en proximité de la structure. Là ou les habitants, usagers rentrent en contact, en relation, se parlent, se mettent en réseau, s'organisent collectivement . Notre zone de compétence est composée des quartiers de Bourran et du Jard pour la commune de Mérignac et de Cauderan Lestonnat et Gare pour la commune de Bordeaux.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Favoriser le pouvoir d'agir et la solidarité des habitants pour : Lutter contre la précarité, la pauvreté
• Axe 2 : Favoriser le pouvoir d'agir et la solidarité des habitants pour : prévenir l'isolement et favoriser l'accès aux droits
• Axe 3 : Favoriser le pouvoir d'agir et la solidarité des habitants pour : préserver l'environnement
• Axe 4 : Favoriser le pouvoir d'agir et la solidarité des habitants pour : accompagner les jeunes dans leur développement par l'éducation et l'accès à la culture
• Axe 5 : Favoriser le pouvoir d'agir et la solidarité des habitants pour : soutenir la famille, leur épanouissement et leur rôle de parents

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/1992
Population de la zone de compétence : 14379

Situé au cœur de la cité de la Benauge, le centre d’animation, à vocation sociale et culturelle, se veut un lieu de proximité qui accueille toutre la population en veillant à la mixité sociale. Il est ouvert à l'ensemble de la population à laquelle il offre un accueil, des activités et des services. Par la même, il est en capacité de déceler les besoins et les attentes des usagers et des habitants. C'est un lieu de rencontre et d'échange entre les génèrations, il favorise le développement des liens familiaux et sociaux.

C'est aussi un lieu d'animation de la vie sociale permettant aux habitants d'exprimer, de concevoir et de réaliser leurs projets: il pernd en compte l'expression des demandes et des iniatives des adhérents et des habitants, et favorise le vie sociale et associative. Il propose des activités et/ou des services à finalités sociales, éducative, culturelle et de loisirs, ainsi que des actions spécifiques pour répondre aux problématiques sociales et socioculturelles du territoire. Il favorise le développement des iniatives ds personnes accueillies en mettant des moyens humains et logistiques à leur disposition.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : L'accueil de tous les habitants, des nouveaux Bordelais (enfants, jeunes et adultes) avec une attention particulière pour les familles et les personnes les plus vulnérables
• Axe 2 : Dynamique partenariale à conforter-le faire -ensemble- Accueil des nouveaux arrivants bordelais
• Axe 3 : Expressions, implications et participations de tous dans les quartiers. Accès à la culture pour tous : pôle d’excellence Danse
• Axe 4 : Axe transversal avec le centre d’animation Bastide Queyries : veiller à maintenir une articulation entre les deux projets centres sociaux / Actions communes en cohérence du territoire en pleine mutations
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/1992
Population de la zone de compétence : 24604

Si l'association des centres d'animation vient de fêter ses 50 ans en 2013, le centre d'animation Saint-Michel a été créé en 1991 dans son lieu actuel. Il a été agréé centre social par la Caisse d'allocations familiales dès 1992. Il se situe au coeur d'un quartier qui, historiquement, a toujours été un lieu d'accueil pour toutes les populations. Des origines diverses s'y côtoient, tous les milieux y sont représentés. Parmi d'autres structures de proximité, le centre d'animation est bien repéré comme lieu d'accueil, de rencontres, d'écoute et d'émergence de projets à caractère social, culturel ou tout simplement de loisirs ou festifs. Il est aussi identifié comme relais des institutions, comme un espace d'échanges et de réflexion ouvert au débat. Lieu d'animation pour tous les publics et tous les âges, il favorise une participation citoyenne à la mesure de chacun. le centre d'animation Saint-Michel est co-organisateur du festival Chahuts en partenariat étroit avec l'association éponyme. Il permet de fédérer et de mobiliser les ressources individuelles, collectives et partenariales autour de projets artistiques et culturels. C'est un lieu à l'écoute et au diapason de son quartier d'implantation.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Maintenir un état de veille sociale et de réflexion permanent entre le centre d’animation et les Espaces de Vie sociale en étant à l’écoute des besoins du territoire et co-construire des projets avec les acteurs locaux.
• Axe 2 : Préserver la mixité sociale et culturelle dans un contexte de mutation urbaine, favoriser la rencontre et l’interconnaissance des personnes avec des animations festives, des projets artistiques et des actions éducatives, s’appuyant sur la participation
• Axe 3 : Accueillir, orienter et accompagner les publics, notamment les plus fragiles, vers l’Accès aux droits
• Axe 4 : Accompagner les familles dans leur vie quotidienne et soutenir la parentalité et le lien familial au travers de différentes actions
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 29/06/2005
Population de la zone de compétence : 6000

Association créée en 1986. Centre social et culturel depuis Juillet 2005. Animations territoire : quartier jardin, Apiculture... Offre services: Bar et restaurant, Hammam, Laverie, cyber, radio FM... 40 volontaires bénévoles, 13 salariés

Installation après achat immeuble 2 rue Paul BERT en 2004, des services sur 1000m2

Direction: Christophe PHILIPPE, Emmanuel JOURDES

Présidente: Bernadette LOPES

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Radio FM
• Axe 2 : Agro écologie, extension de la végétalisation sur l'ensemble du quartier avec écoles, institutions, commerçants, habitants
• Axe 3 : territoire avec association commerçants
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/1990
Population de la zone de compétence : 17000

Le centre social et familial Bordeaux Nord existe depuis le 22 janvier 1963, né de l'initiative d'habitants regroupés autour d'une coopérative d'habitants, la sa-coop. Au départ regroupé autour d'une APF, sous l'impulsion de la CAF, l'association est devenue centre social. un centre social autonome dès le départ qui s'est construit au fur et à mesure des initiatives de ses membres fondateurs: actions collectives, comité mieux vivre, centre de loisirs, accueil, chantier d'insertion. Depuis nous avons développé des actions dans les champs de la petite enfance, la scolarité, l'éducation, l'insertion sociale et professionnelle, le soutien à la parentalité, la réussite éducative, les actions culturelles et le soutien au développement associatif ( coordination de collectifs...).

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : éducation prévention
• Axe 2 : insertion et solidarité
• Axe 3 : vie associative et engagement citoyen
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2016
Population de la zone de compétence : 8000

Nouvelle structure / ouverture du centre le 18/11/2013

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Accueil et accompagnement des familles
• Axe 2 : GINKO : le vivre et le faire ensemble
• Axe 3 : Le grand lac (Ginko et Lac : animations et projets partagés)
• Axe 4 : Axe transversal : L'environnement
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/1991
Population de la zone de compétence : 13586

Création en 1951. Protestantisme bordelais.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Répondre aux besoins éducatifs et de loisirs des familles
• Axe 2 : Répondre aux besoins d'accueil, d'insertion sociale et de solidarité
• Axe 3 : Répondre aux besoins de formation et d'insertion professionnelle
• Axe 4 :
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2016
Population de la zone de compétence : 34959

La structure fait partie de l'association des centres d'animation de quartiers de Bordeaux créée en 1963 à l'initiative du Maire de Bordeaux Jacques Chaban Delmas. Historiquement implantée dans le quartier de la Gare au 22 cours Barbey sous l'appellation "Foyer des jeunes Barbey" puis "centre d'animation Barbey" , elle a déménagée en 1998 au cœur du quartier Nansouty et changera de nom en 2000 pour s'appeler centre d'animation Argonne Nansouty Saint-Genès. Après deux ans de travaux et une totale réhabilitation le centre d'animation Argonne Nansouty Saint-Genès est inaugurée en octobre 2014. Dans cette dynamique la structure sera agrée centre social pour la première fois en 2016 avec un premier renouvellement en 2018. Au regard de l'histoire du centre d'animation sa zone de compétence est vaste avec un territoire qui s'étend de la gare Saint-Jean à la rue de Pessac. Le public accueilli par la structure est à l'image du quartier, avec une mixité sociale et culturelle très riche.

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Renforcer le vivre ensemble et favoriser la participation citoyenne des habitants pour créer une vraie dynamique de quartier, associative, solidaire, intergénérationnelle et culturelle (dans la gouvernance et dans l'action).
• Axe 2 : Renforcer le soutien à la parentalité, l'action auprès des familles et favoriser l'insertion des publics les plus en difficulté.
• Axe 3 : Renforcer la dynamique partenariale et fédérer le tissu associatif dans une logique de co-construction, de partage et de veille sociale.
• Axe 4 : Soutenir des initiatives de jeunes en lien avec leurs aspirations et favoriser leur participation citoyenne
• Axe 5 :

Historique

Date du 1er agrément : 01/01/2016
Population de la zone de compétence : 9397

Date de création : Novembre 1968 L’une des premières actions de cette association d’éducation populaire avait été d’organiser des séjours pour les jeunes du quartier dans les Pyrénées… Voilà pourquoi elle portait le nom de cette chaîne. Initialement installée dans la demeure de son fondateur, Louis Boulesque, « le Tauzin » ayant grandi a déménagé dans le château du même nom. Cet ancien domaine viticole devenu studios de cinéma était entouré de chênes Tauzin, d’où le nom qu’il a emprunté. Depuis sa naissance, l’association a pris de l’ampleur et a contribué à donner une identité au quartier qui, lui-aussi, a repris officiellement le nom de cet arbre au début du précédent mandat d’Alain Juppé, Maire de Bordeaux (« le Tauzin » avec « Alphonse Dupeux » et le cœur de « Saint Augustin » forment à eux trois le 4ème quartier de Bordeaux, le Grand Saint Augustin). Le Tauzin 2018 Aujourd’hui, quand on vient participer à une activité, aux ateliers de la PARENThèse ou quand on vient inscrire son enfant pour le Centre d’Accueil et de Loisirs, on va au « Tauzin » ; une expression ancrée dans le langage des habitants du quartier ! Il était donc naturel que nous reprenions officiellement ce nom pour simplifier notre communication. Quant aux chênes Tauzin, il n’en reste plus du tout autour du Tauzin mais ils survivent dans nos mémoires par le nom de notre association et de notre quartier !

Axes du projet en cours :

• Axe 1 : Favoriser l'intégration des personnes et familles isolées
• Axe 2 : Renforcer nos actions
• Axe 3 : Fédérer les ateurs de la vie locale autour du Centre Social
• Axe 4 :
• Axe 5 :