Soirée créative et repas participatif sur le thème "Noël en récup"

Cette soirée a regroupé une soixantaine de personnes issues des différents ateliers du centre pour la fabrication collective et l'installation de décorations de Noël. 

Une vingtaine de familles des ateliers d'iniation à la langue française, des ateliers enfants mais aussi des adultes retraités ont participé aux ateliers proposés et partagé un moment convivial autour des spécialités culinaires apportées par chacun.

Soirée d'été, portée par les bénévoles,  autour du partage et de la citoyenneté.

Les bénévoles ont accueilli les habitants venus avec leur pique-nique.Une centaine de personnes s’est déplacée pour un repas festif  entre amis et en famille rythmé par des animations ( flashmob, jeux sportifs, stand couture, produits de beauté,  buvette …).

La compagnie PAF THEATRE , en résidence au centre social d’octobre à juin  a  proposé sa première représentation : Hors d’œuvre d’art. le soirée s'est cloturée par un concert 

Une soirée d’échanges sera proposée avec comme outil le film. Un film sera diffusé dans l’enceinte du centre suivi d’un apéritif sans alcool pour permettre un échange plus informel sur des thèmes que nous aurons choisi en amont.

La caf souhaitait organiser sur le territoire une sensibiluisation sur les dangers d'internet

les jeunes de trois accueil jeunes ont pris la balle aux bond en disant nous allons vous parler des dangers comme vous le demandez mais aussi des apports positifs de ces nouveaux médias

trentes jeunes ont travaillé avec le "psychanalyste geek" Yann Leroux, l'animateur radio de la MJC et les animateurs des accueils jeunes

ils ont préparé et organisé une soirée debat ou les habitants étaient invités et qui serait diffusé en direct sur la radio de la MJC

cette soirée a eu lieu, animé par les jeunes et le psychanalyste. une centaine de personnes étaitent présentes.

elle as permis de prendre concience que les jeunes étaient au fait des dangers d'internet.

elle as permis aussi de montrer au parent comment accompagné les jeunes de façon bienveillante

elle as permis aux jeunes de montrer les réalisations positives possibles grâce aux écrans

l'émission devait durer 1h30, elle a duré 2h30 et s'est terminé par un repas convivial

Dans le cadre des ateliers sociolinguistiques, les professionnels et bénevoles accompagnent les participants de ces ateliers dans la mise en place d'une soirée "découverte culturelle": il s'agit de fair découvrir une région du monde , des traditions, de présenter des paysages inconnus....

Les informations que l’on recueille sur internet sont illimitées. Il était ’important pour les habitants d’obtenir les clés pour apprendre à faire le tri, cette demande a, pour la première fois été formulée après les attentats contre Charlie Hebdo! Durant cette période nous avions en effet offert une "place commune" de discussion avec des spécialistes aux habitants.

 
Balla Fofana, journaliste à Libération  intervient deux fois par mois , une fois auprès des ados, une fois auprès d’un public intergénérationnel afin de nous initier à une compréhension globale du fonctionnement des médias. Les sujets sont choisis en amont en fonction de l’actualité hebdomadaire, parfois le soir même par les participants. Le journaliste prépare ses séances en s’appuyant sur différents supports qui permettront à chacun de s’exprimer, d’étayer son analyse, d’apporter un regard critique sur des informations, d’identifier d’où celles-ci proviennent etc. Certains participants découvriront le sujet, d’autres pourront l’approfondir et confronter leur point de vue à ceux des autres. Le fonctionnement des réseaux sociaux, blog, journaux papiers, journaux numériques est mis en lumière grâce à différents supports présentant des points de vue divergents.
 
 
Nous visons également la déconstruction de la théorie du complot auprès des jeunes et des moins jeunes et la vérification de l’information en elle-même.

« La demande est faite par des familles qui voulaient reprendre le pouvoir sur la société de l’information qui les tenait souvent à distance. Besoin urgent de s’approprier le flux continu de l’information  On travaille sur un sujet d’actualité et les enjeux de société que pose ce sujet , ça peut ête l’économie des médias, ça permet aussi de voir qui produit l’info et comment il la produit. Beaucoup de sujets abordés vont nous pousser à réfléchir aux inégalités, de genre, de classe sociale, de race ou autre. Une fois ces enjeux posés, les femmes prennent la parole, analysent les faits, donnent des arguments et débattent entre elles. Ce débat se fait dans le respect de chacunes et des idées, et ça leur donne un goût pour l’information, une sensation de dompter enfin celle-ci, ça les aide  à penser la société, à penser leur place dans la société et leur rôle et c’est en cela que c’est émancipateur pour elles. Reprendre le contenu de l’information c’est prendre une certaine assurance, c’est se sentir moins éloigné des sujets qui animent la société au quotidien »
 
Balla Fofana, journaliste à Libération

"Les soirées décryptage des médias  
A 13 pour tous, depuis 2018, des soirées décryptage des médias ont lieu pour les ados et les adultes. A l'aide de documentaires, de films, de textes et avec des intervenants qualifiés (journaliste, sociologue, anthropologue, etc.).
 
C'est un beau défi qui relève autant de l'éducation populaire que de la citoyenneté active.
Apprendre à décoder avec un sens critique les différents aspects des médias.
Analyser l'actualité récente en réfléchissant aux choix faits par les journalistes et les diverses raisons qui les guident.
 
Il est très facile de manipuler le sens des images et de plus en plus difficile semble-t-il de faire la différence entre le vrai et le faux. Avec les mêmes images il est possible de raconter plusieurs histoires.
Le poids des mots ! Les journalistes disent-ils tous la même chose ? L'information est-elle orientée ? Que nous donne-t-on à voir ? A entendre ? A lire ? Comment nous formate-t-on ?
 
Le décryptage des médias c'est aussi lutter contre la propagation d'idées nauséabondes (islamophobie, antisémitisme, propos haineux contre les migrants, démonter la ligue du LOL, la théorie du complot, etc.).
 
Trop d'informations tue l'information. Nous finissons par être désinformés.
 
Ces soirées animées à 13 pour Tous donnent lieu à des débats fructueux et remportent un vif succès auprès de nos publics. Dans le cadre du pouvoir d'agir (DPA) cette activité y répond pleinement, car elle permet à toutes et à tous de ne  pas subir passivement les discours des médias, mais de pouvoir déceler et analyser les mécanismes qui nous aliénent et nous désinforment.
                                                                                                                                                        Monique "

à l'initiative de qqs jeunes du quartier de Preux, ce projet s'est realisé durant 1 an

nous avons accompagnés les jeunes dans la méthodologie et la recherche de partenaires et de financement de ce projet

Deux soirées à thèmes par an sont organisées pour et avec les familles du quartier. Cettre action permet de favoriser les échanges, la participation active des habitants autour d'un projet commun.

Organisation, en lien avec les habitnats des résidences HLM, et avec le bailleur social, de 2 à 3 manifestations tout public, en soirée, au mois de juillet.

Le contenu est défini par le groupe d'habitants, en lien avec le bailleur (qui finance en partie) et le centre social (qui met des moyens humains et tchniques à disposition)

En 2018 : soirée jeux surdimensionnés et cinéma en plein air - soirée barbecue-pétanque

Organisation, en lien avec les habitnats des résidences HLM, et avec le bailleur social, de 2 à 3 manifestations tout public, en soirée, au mois de juillet.

Le contenu est défini par le groupe d'habitants, en lien avec le bailleur (qui finance en partie) et le centre social (qui met des moyens humains et tchniques à disposition)

En 2018 : soirée jeux surdimensionnés et cinéma en plein air - soirée barbecue-pétanque

Initialement crées pour répondre à une demande d'habitants souhaitant avoir l'occasion de pratiquer le patois, ces soirées ont rapidement évoluées pour intégrer un volet valorisation du patrimoine accessible à tous (parlant le patois ou non).
Ces soirées se composent désormais de deux parties : un premier temps consacré à la découverte du
patrimoine local (ex : explications sur le canal latéral à la Loire par un intervenant des Voies navigables de France, interventions sur l'histoire des communautés agricoles du secteur, des croix et statues...)  et un second temps dédié à la lecture de textes en patois écrits par les participants.

Elles se terminent toujours par un temps convivial autour d'un verre et de spécialités locales préparées par des bénévoles du Centre Social.

Les jeunes se retrouvent un vendredi sur 2, de 18h à 22h, au Tempo ou en extérieur selon le programme. Programme qu’ils auront élaboré eux-mêmes, selon leurs envies, leurs besoins, les contraintes budgétaires et les opportunités.

Les soirées débutent par un atelier cuisine et l’installation de la salle pour le repas. Après avoir partagé ce temps convivial, les jeunes rangent la salle et préparent l’activité (jeux en groupes ou grands jeux, ateliers spécifiques ou sorties). Ces moments se concluent avec eux par un bref bilan « ce qui a le plus plu, ce qui a le moins plu ».

Nous organisons chaque trimestre une soirée en famille autour de jeux de société et d'animations intercatives en associant les pôles jeunesse, enfance et l'animation collective familles pour créer du lien intergénérationnel ainsi renforcer la cellule familiale.

Chapitres : lien social ; appropriation

Descriptif : les membres actifs de Ludirunner ont mis en place un forum internet associatif où les adhérents peuvent se retrouver pour organiser chez eux des soirées dédiées aux jeux et aux rencontres. L’association met à disposition ses supports ludiques et administre le forum en mettant à jour la liste des joueuses et joueurs disponibles tel jour à telle adresse. Ceux qui n’ont pas accès à Internet sont prévenus par SMS. C’est ainsi que l’on trouve chaque semaine plusieurs tablées de jeux ouvertes à tous à Digne-les-Bains et dans ses environs. Ludirunner veut toujours aider son public à poursuivre l’expérience ludique à domicile, avec l’envie de générer ou entretenir des amitiés entre les habitants.

Ressources à mobiliser : 1 coordinateur salarié et 1 bénévole en gestion du forum web.

Planning : toute l’année.

Chaque veille de vacances scolaires, nous organisons une soirée grand jeu (inspiration des jeux télévisés) à destination des habitants du territoire. Suivant les jeux, un âge minimum peut être recquis. Cependant, nous essayons de choisir des jeux accéssibles à tous. Toute l'équipe d'animation se mobilise pour faire de ce moment un moment de déconnexion et de détente. Les jeux qui ont été proposés sont de l'ordre de "Fort Boyard", "Une famille en or", etc... Les équipes sont faites soit en familles, soit en mixant les publics. L'équipe veille à ce que l'intergénérationnel soit respecté. Cela permet aux habitants de se rencontrer et de mieux seconnaitre. Ces soirées créent des liens entre les habitants qui ne se seraient peut-être jamais rencontrés.

Après le jeu, la soirée se termine par un repas partagé, un temps convivial de discussion et d'échanges .

Chapitres : lien social ; parentalité, appropriation

Objectifs : « bien jouer ensemble pour mieux vivre ensemble » en réunissant familles, adolescents, voisins, groupes d’amis, joueuses et joueurs esseulés, néophytes et avertis. Grâce à notre rayonnement chez la jeunesse, nous mobilisons cette dernière avec la volonté d’attirer toujours plus de parents à ces soirées.

Descriptif : organisation tous les derniers vendredis du mois d’une soirée réunissant 50 à 80 personnes de tous horizons qui se retrouvent autour d’une assiette (repas partagé en été) puis de jeux de société et d’estaminet. L’implantation de la salle, située au cœur du quartier du Pigeonnier-Barbejas, carrefour de nombreuses cultures, favorise la mixité sociale. Ces soirées sont l’occasion de faire des rencontres, de nouer des amitiés, d’échanger avec le prétexte du jeu. Notre public est invité à ramener ses propres jeux pour les partager. L’apport du public est essentiel pour nous, que ce soit un plat, une boisson ou un jeu, chacun doit pouvoir prendre une part active à la soirée. Le support ludique sert d’interface, certaines barrières ou gênes s’effacent puisque les habitants sont dans l’action. Le sujet de conversation est tout trouvé. Les adolescents y trouvent des jeux de plateau qui ont en surface beaucoup de points communs avec les jeux vidéo et ils s’impliquent ainsi sans aprioris. Les familles vivent une aventure intergénérationnelle. Un jeu peut se révéler une véritable expérience vécue entre parents et enfants, grands-parents et petits-enfants. Ludirunner est témoin du rapprochement familial que le jeu favorise. Il y a d’abord la partie, riche en sensations et interactions, et puis l’après-partie. Car nombre de jeux d’aujourd’hui racontent une histoire qui peut perdurer quand parents et enfants rentrent chez eux. L’imagination stimulée des plus jeunes vient nourrir le dialogue avec les adultes, on se remémore les temps forts de la partie, quand on a tous vibré ensemble.

Ressources à mobiliser : 1 salarié animateur, 4 à 7 animateurs bénévoles, set tournant de 50 jeux de société (avec de nouvelles propositions chaque mois), couverts réutilisables, 1 véhicule, 1 salle municipale (Perchot).

Planning : toute l’année, une fois par mois.

Les soirées parents/ados sont nées d'une suggestion de l'animateur jeunesse et de la référente famille autour de deux axes du projet social : Liens durables, cohésion familiale / faire ensemble au CSC.

Validées et construites avec les parents et les jeunes, ces soirées sont des moments privilégiés, parfois des instants de « trèves » dans des quotidiens conflictuels. C'est l'occasion de faire ensemble, en dehors du foyer. Ainsi, la soirée Mère/Fille autour du bien-être et des produits de beauté a pu être organisée grâce à la contribution du service Entraide du CSC centre ville.

Témoignage d'un père auprès de sa femme après une soirée parents/ados :

« ça m'a rassuré d'entendre d'autres parents. Y'a pas qu'à la maison que ça se passe comme ça ».

C'est le double-effet des soirées parents/ados. Les parents échangent entre eux sans que ce soit l'objet de leur rencontre. Il ne s'agit pas d'un groupe de paroles mais l'activité (de loisirs) n'est pas la finalité, elle devient prétexte à la rencontre et à l'échange.

Collectif d'habitants et d'associations qui se réunissent pour animer le quartier tout au long de l'année.

Fêtes de quartier, actions solidaires au profil des restos du coeur, animations... sont au programme.

Le collectif décident du programme. Le centre social vient en appui technique, financier et logistique.

Temps festif mené avec un groupe d'habitants de la commune d'Annecy-le-Vieux et les différents partenaires. Tous les talents étaient mis en avant, surtout les danses, autour desquelles les adhérents de tous âges se sont retrouvés, avant de faire une grande soupe en commun.

Depuis 3 ans nous organisons un réveillon solidaire "soli'fête", à l'échelle intercommunale

Les CCAS de 4 communes, un EVS et le Centre social sont partie prenante.

La porte d'entrée retenue est prioritairement l'isolement des personnes au moment des fêtes, et non la précarité comme dans de nombreux cas. De plus, le entre social travaillant sur le lien social, le vivre ensemble, des personnes non isolées sont également les bienvenues, dès lors qu'elles s'inscrivent dans cette démarche de partage, d'échanges, de solidarité.

Le groupe de pilotage est composé à 80% de participants habitants du territoire et 20% de professionnels.

A l'exception du plat principal qui est réalisé par un professionnel (question logistique et sanitaire), tout le reste est réalisé par les participants via différents ateliers organisés en amont, y compris la communication

(Atelier chocolats, Ateliers cuisine (entrées et desserts), Atelier cocktail (sans alcool), Atelier animation,Atelier décoration de salle, Atelier décoration de table)

En moyenne 140 convives par an, dont la moitié participe aux ateliers.

Ce projet est itinérant: chaque édition se passe dans une des 4 communes partenaires.

Financements: Fondation de France, La Métro, la CAF, les 4 CCAS

L'action vise à encourager et accompagner les actions de solidarités réalisées par les habitants à destination des associations ou des familles fragiles sur le plan économique.

L’action propose aux habitants de s'investir dans des actions de solidarité à destination de diverses associations. L'action évolue en fonction des idées des familles.
Cela peut se traduire par l’organisation de collectes ou de bourses (vêtements, jouets, affaires de puériculture) au profit d’associations. La liste repose sur les propositions recensées et n’est pas exhaustive. Beaucoup de familles tervilloises bénéficient des dons de cette association.Participation au marché de noël en famille (coin buvette, vente de boissons chaudes pour financer l’achat de jouets à destination des enfants tervillois les plus fragilisés).

Les meuniers récupèrent et stockent à la ferme les objets et matériel que les gens souhaitent jeter.(appareils ménagers et  petits appareils ménagers, meubles, bibelots, linge de maison, vétements , jouets....).Un tri et une remise en état si necessaire sont assurés par les meuniers.Le groupe projet solibroc assure ensuite :

Le groupe de meuniers qui developpe le projet assure :

La collecte du matériel.

L' information: réalisation et diffusion  d'affiches et fleyers.

La signalisation dans la ville : panneaux et fléchage.

L'organisation et le déroulement de la  journée: mise en place des objets et matériel à vendre,accueil,vente, Une restauration rapide,.

Le rangement.

Les comptes de la journée

Les professionnels sont présents au même titre que les meuniers et participent aux tâches de la journée.

Mise en place d'un réseau de visite à domicile pour les personnes âgées isolées et d'un réseau de veilleurs citoyens lequel quadrille la ville. Ce sont des bénévoles formés qui assurent cette mission.

Le 11 Novembre 2019, le Teil est l'épicentre d'un séisme d’une magnitude de 5.4 sur l’échelle de Richter. Les dégâts sont considérables et impactent 1/3 de la population. Dans cette épreuve collective, le centre socioculturel fait preuve d'une solidarité plurielle :

• des locaux impactés qu’il s’agit de partager, l'accès à deux de nos plus grandes salles étant interdit

• des salariés disponibles et réactifs pour répondre aux besoins : accueillir, écouter les gens, remplir des demandes d’aides, occuper les enfants dans les gymnases les premiers jours.

• des bénévoles présents à la Maison des solidarités, aux côtés des autres associations (Secours populaire, Croix rouge, Secours catholique et Arc en ciel) pour réceptionner les dons et les redistribuer aux personnes ayant dû être évacuées, rendre visite aux familles relogées provisoirement dans les campings. Salariés et bénévoles ont, avec le Secours populaire, trié et distribué des jouets et des colis gourmands du Département offerts aux sinistrés. 

• un accueil loisirs délocalisé car il n’est plus possible dans les locaux habituels. Après avoir fermé le mercredi 13 novembre, nous accueillons matin et soir les enfants au centre socio-culturel puis partons en sortie à la journée. Depuis fin décembre et jusqu’à fin juin 2020, l’accueil de loisirs est installé dans une partie de l’école du Teil centre.

• le réveillon solidaire qui s’est tenu exceptionnellement en salle Paul Avon, nos locaux n'étant pas accessibles. 

• une solidarité pour nous permettre de poursuivre nos missions : un minibus gratuit, les intercommunalités ARC ou Montélimar prennent en charge les entrées des sorties de l'ALSH, le pôle cirque accueille les enfants pour un atelier...

• des soins aux personnes par des thérapeutes solidaires : 50 séances bien-être dispensées gracieusement par des professionnels

• Le Teil, un film-témoignage  d'Anaïs Girard Blanc
  Commandé par CLEFS, un film documentaire donne la parole aux personnes sinistrées et/ou bénévoles, qui expriment leurs ressentis. Il montre à ceux qui n’ont pas conscience, les dégâts engendrés, fait témoigner des habitants de 6 à 91 ans. Les premières diffusions ont été bien accueillies.

• la publication FB qui bat le record  : 11 100 vues, 593 clics sur la publication et 257 partages
  Le 16 novembre, le centre socioculturel relaie la demande de l’école du centre : recherche des balles de tennis anti-bruit pour les pieds de chaises des 180 enfants installés dans la salle des fêtes pour 5 semaines minimum.

Favoriser le vivre-ensemble

 Permettre à chaque habitant de devenir acteur de projets