Les actions des centres sociaux
Nom | Département | Année |
---|---|---|
UN ÉTÉ EN FAMILLES | Pas-de-Calais | 2018 |
Un été tranquille aux Bourrely | Bouches-du-Rhône | 2020 |
Un outil d'animation et de lutte contre les violences faites aux femmes : " Les monologues du Vagin " | Gard | 2016 |
Un réseau d'associations mobilisé pour favoriser la citoyenneté dans une perspective sociétale d'interculturalité | Rhône | 2017 |
Une galerie d'exposition pédagogique au service du lien social. | Moselle | 2019 |
université populaire | Savoie | 2016 |
Vacances en famille | Val-de-Marne | 2015 |
VALORISATION DU PATRIMOINE "A LA DECOUVERTE DES LAVOIRS" | Gard | 2019 |
Valoriser les initiatives culturelles et impliquer les acteurs dans le projet culturel de la | Loire-Atlantique | 2016 |
Vauvettes au fil du temps | Eure-et-Loir | 2015 |
végétalisation de la terrassé | Seine-Saint-Denis | 2019 |
Vers le milieu du mois | Indre | 2020 |
Vis ta ville | Meurthe-et-Moselle | 2015 |
Visites des classes au Fort de Villès Martin | Loire-Atlantique | 2016 |
voix en fête | Haute-Savoie | 2020 |
ZIK en VRAC | Saône-et-Loire | 2015 |
Actions "UN ÉTÉ EN FAMILLES"
DESCRIPTION DE L'ACTION
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- Solidarité
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- mobilité / transport
- vacances / loisirs
- discriminations
- Mixité sociale
- Résumé
Chaque été, le centre jacques brel se mobilise pour qu'enfants et parents puissent vivrent un été en familles et partager des loisirs en commun. En effet, suite au constat que de nombreux parents inactifs, sans emploi, ou retraités et garnds parents, se retrouvent l'été, contrainst d'inscrire leurs enfants aux accueils de loisirs sans pouvoir y participer, le Centre a décidé d'inventer un Centre de Loisirs Familial en créant des animations familiales de quartier où enfants et parents, accompagnés par l'équipe du centre, les aide à organiser et mettre en place des loisirs pour toute la cellule familiale (enfants, parents et grands parents). Ils se réunissent à partir du mois de mars et commencent à imaginer ensemble les lieux qu'ils ont envie de découvrir (et du coup prennent contact avec les centres sociaux du territoire convoité...), les modalités d'organisation, le budget prévisionnel (l'estimation des coûts et le montant de la participation financière des familles, ...), la communication, etc...
Durant les mois de juillet et aout, les familles se rencontrent au centre tous les lundis matin, matinée qui est consacrée pour organiser la semaine, régler les derniers détails, appeler les prestataires, ...
Toute l'équipe du Centre (qui ne gère pas les accueils de loisirs enfants l'été) est mis à disposition du projet "Un été en Familles" et accompagnent les familles dans leur loisirs. Un séjour est même organisé pour que les familles puissent découvrir les jois du camping...
Tous les transports en commun sont utilisés. Pour cela, le centre paie le bus et achète les cartes de train par exemple ou encore organise des sorties vélo en familles.
Il y a aussi des picnics la plus du temps et la préparation des picnics se fait en collectif et on en profite pour aborder l'équilibre alimentaire...
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL JACQUES BREL - Pas-de-Calais
RAISON D'ETRE DE L' ACTION
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Parce que de nombreux parents restent enfermés chez eux l'été ou vont rarement partager des loisirs avec leurs enfants, qui eux, fréquentent les centres de loisirs ou restent jouer dans le quartier.
Le résultat attendu est d'améliorer le vivre ensemble, de permettre de renforcer le rôle éducatif des parents, et d'accompagner les initiatives des habitants.
- Territoire concerné
- Une commune
METHODOLOGIE DE L' ACTION
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Association locale
- Bailleur social
- Caf
- Commune
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
par l'équipe du centre et sa référente familles qui vont à la rencontre des familles, les motive, les mobilise et accompagne chaque membre de la famille pour que chacun, )à son niveau, participe à l'organisation des activités, sorties, rencontres, séjour, etc....
- Ressources financières mobilisées pour cette action
25000€ (prestations de services, transports, alimentation, hébergement, communication, salaires accompagnants, ...)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Le centre et son équipe (11 personnes) et surtout la référente familles qui coordonne le projet
AUTO-EVALUATION DE L’ACTION
- Résultat sur le territoire
Les familles sont ravis :"je me suis senti en vacances avec mes parents cet été et c'était super", "merci au centre car gràace à vous, on a eu de vrais vacances et ça n'était pas arrivé depuis longtemps"... voici ce que l'on entends fin aout quand nous cessons le projet.
Cela complète parfaitement ce que la ville met en place dans le cadre des accueils de loisirs pour les enfants et ce que le CAJ met en place pour les ados.
- Résultat pour le centre social
Le Centre est reconnu comme étant l'acteur principal des actions, projets et activités qui sont mises en place pour notre public prioritaire à savoir : LES FAMILLES.
- Résultat pour les habitants
Des habitants/des Familles qui restaient cantonnés dans leur appt tout l'été à l'exception de quelques rares sorties et souvent locales car pas de moyens (financiers ou en terme de mobilité), redécouvrent des loisirs estivaux en familles (soirée barbecue, mini séjour en camping, etc...) et cela permet à l'éuqipe du centre de pouvoir observer les rapports intrafamiliaux et de pouvoir conseiller, redefinir un cadre, donner des conseils, etc...dans le domaine de la parentalité
- Suite de l'action : Limites
Le Centre doit pouvoir trouver des moyens (humains, financiers) pour poursuivre ce genre d'initiatives qui rencontre un réel succès auprès des familles.
Nous avons tenté l'été 2017, pour les 15 derniers d'août, de mettre en place un vrai accueil de loisirs Familial (avec habilitation DDCS, taux d'encadrement, etc...). Pour cela, nous avons même permis à 8 familles de pouvoir passer le BAFA en lien avec la Ligue de l'enseignement (voir action spécifique). Mais cela n'a pas pris car c'est une organisation trop rigide qui ne convient pas aux familles et nous allons donc poursuivre et qualifier encore notre organisation pour rendre les familles encore davantages actrices du projet car elles sont volontaires mais aiment la présence de l'équipe du centre... chaque chose en son temps
- Suite de l'action : Perspectives
Confier à chaque famille l'organisation d'un loisirs, sans les mettre en compétition, mais pour pouvoir individualiser l'accompagnement de chaque famille sans la stigmatiser. Poursuivre les BAFA Parentalité pour que chaque parent devienne animateur de leurs enfants mais également du groupe de familles
FICHIERS ASSOCIES
- Fichier(s) associé(s)
Actions "Un été tranquille aux Bourrely"
DESCRIPTION DE L'ACTION
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
L’enjeu de ces actions était d’apporter une réponse en termes de loisirs éducatifs, sportifs et culturels sur le territoire afin d’éviter tout sentiment d’abandon et d’errance lors de la période estivale. Pour la Ligue de l’Enseignement, ce projet permettait en outre d’inscrire un premier jalon de son intervention sur le territoire, qui a débuté en juillet 2019.
- Dimension
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- vacances / loisirs
- Résumé
Suite à la fermeture du Centre social des Bourrely, les partenaires financeurs ont lancé un appel à projets pour accompagner l’émergence d’une nouvelle structure de proximité sur le territoire. La Ligue de l’Enseignement s’est vue confier la nouvelle gestion de l'équipement. Dans le cadre de la réponse faite par la Ligue de l’Enseignement dans l’optique de la gestion du nouveau centre social, il a été proposée une 1ère inscription sur le territoire à travers l'action « un été 2019 tranquille au Bourrely ». Ainsi ont pu débuté :
- l'ACM
- le secteur Jeunesse
- camps VVV
- les sorties familles
- la rencontre des partenaires
- Structure organisatrice
- Centre social les Bourrely - Ligue de l'Enseignement FAIL 13 - Bouches-du-Rhône
RAISON D'ETRE DE L' ACTION
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Ce temps estival a permis un premier contact avec les habitants, de construire un partenariat effectif avec les associations œuvrant sur le territoire, d’affiner notre diagnostic de territoire en donnant une lisibilité au futur projet social.
- Territoire concerné
- Un quartier
METHODOLOGIE DE L' ACTION
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
9 enfants étaient présents dès le premier jour d’ouverture, ainsi que 3 adolescents. L’ACM et le secteur JEUNES ont ainsi pu démarrer à partir du 22 juillet. Les inscriptions n’ont pas cessé de croître pendant toute la période d’accueil. Ces accueils ont été pleinement plébiscités et apparaîssent comme un besoin crucial sur les temps de vacances scolaires.
Les 2 camps VVV ont pu être organisés au SAUZE du 19 au 23 août et du 26 au 30 août. Les séjours ont été organisés avec les jeunes ayant fréquentés les journées Jeunes.
Les sorties FAMILLES ont été initiées à partir du 9 août : 5 sorties ont été réalisées (Marché nocturne de la Ciotat, Sardinade de Port de Bouc et Fos, Piscine de Vitrolles, Plage de la Londe Des Maures, Aqualand). Les Associations DYHIA et AGC (Association Grand Cœur) ont été impliquées dans l'organisation du planning des sorties. Les familles qui ont participées aux Sorties Familles n’étaient globalement pas des parents de l’ACM à quelques exceptions près. Elles sont venues par un autre réseau, celui des associations d’habitants du territoire. Le besoin est grand et les sorties familles mobilisent très rapidement beaucoup de public.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
12 membres de l'équipe du Centre social, 2 associations du territoire et leurs bénévoles
AUTO-EVALUATION DE L’ACTION
- Résultat sur le territoire
Les associations d’habitants sont prêtes à travailler à nos côtés et se sont engagées depuis lors via des conventions partenariales. Un travail conjoint a été engagé.
Les partenaires opérationnels sont également mobilisés pour travailler avec le Centre social.
Enfin, les partenaires financeurs sont attentifs et impliqués dans cette phase de redémarrage.
- Résultat pour le centre social
L'action "un été tranquille aux Bourrely" a démontré que la capacité de la Ligue de l'Enseignement à répondre aux besoins et à engager des moyens. La première équipe a su répondre aux enjeux du démarrage, de la reprise du centre social.
- Résultat pour les habitants
La première série d’actions mises en œuvre pendant l’été a remporté la satisfaction des habitants, qui ont été placé au centre de du processus de développement. Les habitants ont ainsi exprimé une forte envie de voir le centre social rouvrir ses portes et des activités se développer.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
FICHIERS ASSOCIES
- Fichier(s) associé(s)
Actions "Un outil d'animation et de lutte contre les violences faites aux femmes : " Les monologues du Vagin ""
DESCRIPTION DE L'ACTION
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Action ponctuelle
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Représentations des "Monologues du Vagin " par un groupe d'habitantes accompagné par le centre social pendant plusieurs mois.
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ET SOCIOCULTUREL L'OUSTAL - Gard
RAISON D'ETRE DE L' ACTION
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Sensibiliser aux violences faites aux femmes
Récolter des fonds pour soutenir l'action d'une association locale
Créer une dynamique de projet
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
METHODOLOGIE DE L' ACTION
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Lancement du projet dernier trimestre 2014.
Travail en petitts groupes puis toutes ensemble
Représentations en mars 2015 dans trois villages du territoire (Saint Jean du Gard, Saint André de Valborgne, Lasalle). Salles mises à dispostion gracieusement. Près de 300 spectateurs.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
0
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
AUTO-EVALUATION DE L’ACTION
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
Ouverture sur le territoire,
Ouverture sur un nouveau public
Mobilisation de l'équipe et des bénévoles
Ouverture vers de nouveaux projets
- Résultat pour les habitants
Sensibilisation aux violences faites aux femmes
Animations sur le territoire
Création d'un atelier théâtre
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
FICHIERS ASSOCIES
- Fichier(s) associé(s)
Actions "Un réseau d'associations mobilisé pour favoriser la citoyenneté dans une perspective sociétale d'interculturalité"
DESCRIPTION DE L'ACTION
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
accueil de 25 à 30 associations dans les locaux du CS avec accompagnement de celles ci vers une posture d'adhésion au projet social du centre social puis d'engagement pour devenir acteur du projet social.
- Structure organisatrice
- Centre Social et Familial de la Ferrandière - Rhône
RAISON D'ETRE DE L' ACTION
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le vivre ensemble ne tombe pas sous le sens de tous et de la même manière, il ne se décrète pas, il doit être aidé, accompagné, facilité. L'ignorer c'est favoriser les mariages forcés entre les communautés, les cultures; dans cette état d'esprit, il faut s'attendre à des réactions négatives et des risques sérieux de replis communautaires. Un enjeu sociétal actuel est bien celui du partage de l'espace public en harmonie malgré les différences. Favoriser la prise de conscience que le respect du bien commun de notre société française, passe par le respect des différences dans un cadre républicain. Se rencontrer en ouvrant sa communauté et/ou sa culture aux autres, c'est se donner la possibilité de se rencontrer, donc mieux se connaître, et ainsi lutter contre les préjugés, les peurs. Le résultat attendu est que chaque personne puisse entrer au centre social et s'y sentir bien, sans appréhension. Si les 700 familles et 30 associations vivent ces rencontres quotidiennement dans le centre, cela doit rayonner sur le quartier d'implantation du centre social. Cet enjeu devient premier dans notre quotidien et pour l'avenir de la paix dans nos territoires.
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
METHODOLOGIE DE L' ACTION
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Elle est en cours sur plusieurs années. La difficulté est que ce projet devenu avec le projet famille, le coeur de notre projet social, ne retien pas le soutient de nos institutions finenceurs, ce qui fragilise l'ensemble de notre situation financière car nous engageons un ETP sur cette mission
- Ressources financières mobilisées pour cette action
40k€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 animateur socio culturelle avec approche antropologique et 40 adhérents des associations hébergées, plus des crénnaux horraires de salles mises à disposition des association à hauteur de 30 par semaine.
AUTO-EVALUATION DE L’ACTION
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
FICHIERS ASSOCIES
- Fichier(s) associé(s)
Actions "Une galerie d'exposition pédagogique au service du lien social."
DESCRIPTION DE L'ACTION
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Destinée à tous les habitants de la ville, le Centre Social Jean Morette a fait le choix de construire et animer un espace culturel de proximité: une galerie d'exposition pédagogique.
10 à 15 expositions sont présentées chaque année sur des thèmes choisis par un comité réunissant des habitants et des adhérents.
Les écoles de la ville sont invitées à découvrir les expositions, à contribuer aux contenus présentés. Des collectifs d'adultes sont également associés, accompagnés par des associations locales d'insertion et/ ou de prévention. Des ateliers de médiation sont proposés par l'animatrice référente.
Véritable lieu de rencontre, d'échange et de découverte, la galerie participe de la construction de liens sociaux au quotidien, sur une commune cosmopolite, marquée par l'histoire de la sidérurgie et de l'immigration.
- Structure organisatrice
- CENTRE JEAN MORETTE, FAMECK - Moselle
RAISON D'ETRE DE L' ACTION
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
En réponse à des besoins identifiés par le Centre Social et la Ville de FAMECK dans le domaine culturel local.Il s'agit de promouvoir l'accès à la culture, d'accompagner des initiatives locales portées par des habitants et des collectifs d'habitants, de susciter des prises de conscience sur des thématiques de société telle que l'immigration, la solidarité, les droits de l'enfant, la citoyenneté, l'environnement... Mieux vivre ensemble dans nos diversités, nos différences et nos ressemblances, tel est l'enjeu de cette action locale.
- Territoire concerné
- Une commune
METHODOLOGIE DE L' ACTION
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- Conseil régional
- Entreprise privée
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Les moyens de l'action: une animatrice médiatrice salariée, des bénévoles en fonction de la thématique de l'exposition, une galerie d'exposition de 120 m2; une commission "galerie" en charge du suivi de la programmation; des partenaires fidèles: associaitons locales, écoles, banque, municipalité, médiathèque municipale,
- Ressources financières mobilisées pour cette action
budget annuel :
Dépenses: salaires: 27750 €; location expositions: 2000 à 7000€; matériel : 1500€ ; alimentation - vernissage: 500€ - communication : 500€ - assurance 300 €
Recettes: ville : 15 000€; banque :2 500 ; aide au poste : 9000€ ; subventions 6000 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
une salariée ( 0.75 ETP); 6 à 10 membres de la commission; 20 à 30 bénévoles par an; 6 groupes scolaires; 5 associations locales L'action est élaborée en concertation et complémentarité des différentes actions du centre Social: secteur enfance, jeunesse, familles et adultes.
AUTO-EVALUATION DE L’ACTION
- Résultat sur le territoire
en 2018: 14 expositions présentées 5750 visiteurs dont 3370 scolaires (et 2330 hors scolaires); 1452 adultes , 110 adolescents et 820 enfants. 14 associations ou collectifs partenaires (1 par expo) des partenariats extérieurs pour des découvertes culturelles de proximité: musée Pompidou Metz, musée U4 de la sidérurgie Florange, musée de la ville de Metz "la cour d'Or". Démarche participative impliquant les publics et les partenaires; démarche créative pour la scénographie.des expositions
- Résultat pour le centre social
Spéciificité du Centre Social sur le territoire, reconnaissance effective, amélioration de la qualité des animations réalisées avec les différents publics, valorisation de l'engagement des adhérents et des bénévoles.
- Résultat pour les habitants
Espace convivial favorisant la rencontre de différents types d'habitants. Rapprochement et mixité des publics possible. Mise en valeur de l'histoire locale. Ouverture concrète vers l'extérieur de la Ville par le biais de découvertes culturelles.
- Suite de l'action : Limites
Limite budgétaire importante, fragilité des financements d'une année à l'autre. Ouverture en semaine privilégiée sur le W End .
- Suite de l'action : Perspectives
Développer et diversifier les partenariats, s'inscrire dans la durée, améliorer la communication , diversifier les publics (vigilance)
FICHIERS ASSOCIES
- Fichier(s) associé(s)
Actions "université populaire"
DESCRIPTION DE L'ACTION
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Résumé
chaque année le comité d'animation du l'université populaire propose une programmation de 30 à 40 conférences, animés par des intervenants bénévoles et s'adressant à tous les publics - actuellement plus de 1100 personnes sur le mail list.
les sujets sont variés et intéressent différents publics: histoire, écologie, droit, justice, citoyenneté, actualité, culture ...
entre 30 et 120 personnes par séance.
- Structure organisatrice
- ASSOCIATION QUARTIER CENTRE VILLE - Savoie
RAISON D'ETRE DE L' ACTION
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
pour revisiter l'éducation populaire ...
- Territoire concerné
- Une commune
METHODOLOGIE DE L' ACTION
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Autre
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
après une période d'expérimentation, en 2010, avec deux enseignants universitaires usagers du centre social, nous avons mobilisé des volontaires pour mettre en place le comité d'animation et de programmation.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
budget modeste car intégrant peu de temps de travail salarié
BP 2016
montant des charges 5962 euros
montants des produits: participation des usagers, fonctionnement ( Ville) et valorisation bénévolat.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- un salarié pour 0.06 ETP
- une dizaines d'intervenants comité d'animation
- entre 30 et 40 conférenciers bénévoles
AUTO-EVALUATION DE L’ACTION
- Résultat sur le territoire
un lieu d'expression citoyen,
proposer en lien avec la médiathèque, certaines associations et des enseignants locaux une approche critique du savoir, des savoirs.
- Résultat pour le centre social
propositions de conférences en lien avec les autres secteurs du CS : familles / parentalité/ éducation / solidarité ...
on peut parler d'expertise
- Résultat pour les habitants
acquisition de connaissances, débats, mises en place d'ateliers complémentaires pour approfondir les sujets abordés (ex: en économie, la laïcité ...)
- Suite de l'action : Limites
les réseaux locaux ont naturellemnt des limites = s'ouvrir à dautres Up pour mettre en place des échanges.
- Suite de l'action : Perspectives
poursuite des propositions et articulation avec l'université
FICHIERS ASSOCIES
- Fichier(s) associé(s)
Actions "Vacances en famille"
DESCRIPTION DE L'ACTION
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Action conduite de février à novembre 2014 pour des départs en vacances en été.
Projet reconductible en 2015
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Culture
- vacances / loisirs
- Résumé
Permettre à des familles qui ne partent pas (ou très peu) en vacances et les accompagner dans la construction de ce projet.
- Structure organisatrice
- CSC LA CROIX DES OUCHES OMC MAISONS-ALFORT - Val-de-Marne
RAISON D'ETRE DE L' ACTION
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Des familles dont les enfants ou parents participent aux ateliers du centre, sont fragilisés financièrement et ne partent pas (ou très peu) en vacances. Les sorties à la journée proposées durant l'été (mer, visites culturelles, base de loisirs) rencontrent un franc succès et nous ne pouvons satisfaire toutes les demandes.
- Créer du lien social entre les familles en favorisant l'exercice de la citoyenneté (prise de décision collective, engagement, capacité à se projeter, organisation d'action d'autofinancement...)
- Accompagner la parentalité en permettant aux familles de se retrouver hors du contexte quotidien et de se construire des souvenirs de vacances communs.
- Permettre le « Droit aux Vacances » pour tous et favoriser l'insertion sociale de familles financièrement précarisées.
- Territoire concerné
- Un quartier
METHODOLOGIE DE L' ACTION
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ANCV
- Caf
- Conseil régional
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Février / mars : présentation du projet et des dispositifs à des familles identifiées sur le centre. Retour des familles sur leur volonté de s'impliquer sur le projet
- rencontre avec les familles pour leur présenter les possibilités et les accompagner dans leurs choix : date et destination, activités sur place...
- accompagnement des participants dans la construction du séjour et leurs recherches : transports, sorties, budgétisation, préparatifs...
Oct/nov : rencontre à la rentrée pour un bilan avec les participants
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
AUTO-EVALUATION DE L’ACTION
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
Les participants sont des personnes ressources pour échanger avec d’autres sur cette expérience et s’impliquer, comme ils l’ont déjà fait sur la fête de la musique par exemple, dans les projets des centres socioculturels.
- Résultat pour les habitants
Retour des familles très positifs, ce projet a favorisé :
- le renforcement des liens familiaux
- l'épanouissement et le bien-être des participants
- l'autonomie et l'estime de soi
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Volonté de renouveler l'action en 2015 et d'ouvrir le projet à plus de familles
FICHIERS ASSOCIES
- Fichier(s) associé(s)
Actions "VALORISATION DU PATRIMOINE "A LA DECOUVERTE DES LAVOIRS""
DESCRIPTION DE L'ACTION
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Viellissement
- Résumé
Un groupe d'adhérentes seniors sont parties à la découverte des lavoirs de Bagnols sur Cèze et de ses environs.
Devant la richesse de leurs découvertes, elles ont décidé de partager leurs découvertes en les regroupant et les valorisant grâce à l'édition d'un livret.
Accompagnées d'une professionnelle en communication et graphime, elles ont réalisé un très gros travail de sélection des photos, écrits les textes les accompagnant, réfléchi à la mise en page...etc
Le livret a été édité, présenté publiquement à la médiathèque de Bagnols sur Cèze.
L'office du tourisme de l'agglomération du Gard Rhodanien est partenaire pour la vente de celui-ci à un prix très modique.
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL VIGAN BRAQUET - Gard
RAISON D'ETRE DE L' ACTION
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Soutenir l'initiative des habitantes impliquées; Valoriser leur connaissances du patrimoine local ; Partager ces connaissances en les diffusant largement ; valoriser le patrimoine local.
Renforcer la confiance en elles des habitantes impliquées ; Démontrer qu'elles étaient capable de mener un projet sur la durée (2 à 3 ans de persévérance) et qu'une telle initiative était possible !
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
METHODOLOGIE DE L' ACTION
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- Conseil départemental
- MSA
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Début de l'action 2017
Préparation des sorties par les adhérentes : recherches des lavoirs à aller visiter, recherches patrimoniales, informations sur la flore également
Mise en place d'un groupe de travail pour la préparation du livret avec la graphiste : un très grand nombre de rencontres ont été nécessaires pour faire aboutir le projet.
Rencontres avec les partenaires pour la valorisation et diffusion du livret : médiathèque, office du tourisme de l'agglomération du Gard Rhodanien
Un animateur a accompagné le projet sur toute sa durée. Il a apporté ses connaissances environnementales (flore notamment).
Le minibus de l'association a été mobilisé pour les sorties.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Cette action s'inscrit dans le cadre de notre mobilisation en faveur des seniors (projet autour de la prévention de la perte d'autonomie des personnes âgées). Il est donc financé dans ce cadre par la conférence des financeurs.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 animateur
1 professionnelle pour la réalisation du livret
4 personnes partenaires
10 habitantes
AUTO-EVALUATION DE L’ACTION
- Résultat sur le territoire
Valorisation du patrimoine local
- Résultat pour le centre social
Valorisation des habitantes ; Démonstration à d'autres que leurs envies, leurs initiatives peuvent aboutir à une réalisation concrète et extrêment valorisante ; Rayonnement de l'action du centre social bien au-delà de la commune ;
- Résultat pour les habitants
Possibilité de découverte de leur environnement proche ; Démonstration de réussite dans leurs initiatives.
- Suite de l'action : Limites
Pour l'instant, les participantes font une pause par rapport à la suite de ce projet. Elles se sont beaucoup mobilisées et ont besoin de "souffler"!
- Suite de l'action : Perspectives
Les habitantes du projet ont été sollicitées par des écoles pour venir faire des interventions dans des classes ; L'agglomération du Gard Rhodanien souhaiterait voir une suite à ce projet.
Il est possible que l'édition d'un deuxième livret soit lancé soit sur le même thème ou sur un autre.
FICHIERS ASSOCIES
- Fichier(s) associé(s)
Actions "Valoriser les initiatives culturelles et impliquer les acteurs dans le projet culturel de la"
DESCRIPTION DE L'ACTION
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Contexte
La Maison de quartier et son projet social favorisent l’implication et le lien social ; le projet culturel, a permis d’y répondre en partie. De plus, des membres associatifs très investis sur le quartier, très mobilisateurs et relais d’information s’impliquent activement dans cet investissement.
Le dynamisme des associations et institutions fait qu’elles proposent de nombreux projets culturels sur le quartier ; d’ailleurs le territoire des Dervallières s’y prête avec ses nombreux équipements à caractère culturels et des espaces verts
Une communication dense existe sur le quartier concernant l’actualité culturelle, mais elle semble être floue pour les habitants.
L’activité culturelle de la Maison de quartier amène des populations qui n’ont pas l’habitude de se côtoyer.
Un projet culturel de territoire est d’actualité dans le quartier Dervallières-Zola, qui devrait débuter en 2014. La Maison de quartier est un acteur central sur cette question en lien avec le projet culturel de l’association Accoord.
Objectifs opératoires
- construire collectivement un projet culturel et une programmation de la salle de spectacle cohérente et diversifiée
- favoriser l'implication des habitants et associations et des groupes dans la démarche culturelle. de la Maison de quartier
- conforter la diversité des représentants de la commission
Descriptif de l’action
Partenaires
- Commission de programmation d’activité culturelle : 1 fois par mois un groupe de bénévoles se réunit pour échanger, critiquer et organiser la programmation afin d’être au plus proche de la population du territoire Dervallières-Zola. Il s’agira aussi d’aller voir des spectacles pour des événements que la Maison de quartier organise afin de faire un choix croisé.
- Action autour de la commission culturelle : Ce groupe de pilotage qui coordonne toutes les activités culturelles de la Maison de quartier, prend en compte les avis des différentes commissions et des habitants, réajuste si besoin et réfléchit aux évolutions en lien. Elle est composée de membres du Conseil d’équipement, de professionnels de la Maison de quartier et d’invités en fonction de l’ordre du jour ou de l’actualité. Elle se réunit une fois par mois.
- Projet Culturel de Territoire : Dans le cadre d’une stratégie autour de la construction d’un projet culture de territoire, la Maison de quartier participera activement à ce processus avec les acteurs du quartier, pour mettre en synergie la dynamique que nous avons mise en place et être un acteur central de ce futur projet.
Conseil d’équipement, associations conventionnées avec la Maison de quartier
Conseil d’équipement, partenaires du quartier Dervallières-Zola
Equipe de quartier, DDA, Direction de la culture, Associations du quartier, La Fabrique, Séquoia
Critères d’évaluation
Indicateurs d’évaluation
- L’investissement dans le futur projet de territoire de la Maison de quartier
- L’implication des usagers et des professionnels dans les commissions
- L’implication des partenaires associatifs et institutionnels dans les activités culturelles de la Maison de quartier
- Qualité de mise en place du projet culturel de territoire
- Qualité des échanges entre bénévoles et professionnels
- Nombre de commissions
- Nombre de bénévoles impliqués dans les commissions
- Structure organisatrice
- ACCOORD Dervallières - Loire-Atlantique
RAISON D'ETRE DE L' ACTION
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un habitant
- Un groupe d'habitants
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Ainsi, nous travaillons depuis quelques temps sur des formations à la médiation en lien avec plusieurs habitants et organisées par Danielle Pailler et Caroline Urbain de l’Université de Lettres de Nantes. Aujourd’hui nous travaillons sur 3 axes :
1/ rencontres avec un rapport direct aux œuvres (le monde professionnel des artistes, des spectacles, des expositions, des spectacles vivants) : Voir et Fréquenter
2/ les ateliers de pratiques artistiques (Théâtre, danse, arts plastiques, photographie, et autres disciplines) : faire et pratiquer
3/ apports didactiques, la connaissance à travers des enseignements (le cognitif, l’approche analytique, des conférences, des répétitions publiques, enseignement de l’histoire des arts et des techniques) : Comprendre et s’approprier
Sur la question de la médiation, nous considérons qu’elle est transversale aux trois axes, c’est un prétexte au dialogue et au questionnement sur l’artistique mais elle amène aussi à réfléchir sur notre société. Plus que conquérir de nouveaux publics, nous visons la formation et l’émancipation des personnes à tout âge de la vie.
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
METHODOLOGIE DE L' ACTION
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Par la commission culturelle qui a été activée et fonctionne de manière démocratique..
En fonction des projets et actions cette année quatre commissions ont été activées cette année pour le grand Renc’art « festival culturel et festif », la fête de l’an, la fête de enfants et la sortie Port-Barbe. Elles sont plus ou moins intenses suivant les projets, cependant elles fonctionnent sur le même schéma, à savoir l’implication des habitants, la logistique, l’organisation, le choix et l’arbitrage de la programmation et du budget. De plus, un groupe d’adultes alimente le choix du spectacle en allant voir les propositions et en les critiquant ensuite.
La commission culturelle a évolué car le projet culturel est maintenant écrit et nous avons proposé à d’autres membres du conseil d’équipement d’animer ce projet.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
205 bénévoles
10 professionnels
3 instituteurs
15 associations
3 institutions
AUTO-EVALUATION DE L’ACTION
- Résultat sur le territoire
Nous nous situons sur le champ du socioculturel, et nous avons été obligés de travailler en complément sur la partie culturelle pour mettre en avant la singularité de nos pratiques. Cela nous a permis d’établir des liens ou de créer des passerelles entre le socioculturel et la culture. Cette recherche d’actions qui a permis de développer la relation entre les artistes, les compagnies et l’œuvre offre plusieurs types d’émotion pour le participant. Cela influe sur la vision que nous pouvons porter sur autrui et sur la culture dont chacun est porteur. Bien qu’elles aient un intérêt dans l’objet artistique, nous avons fait le constat que les personnes sont éloignées du monde de l’art et de la culture aussi bien dans la pratique que dans la compréhension des autres. C’est pourquoi nous développons une stratégie de médiation et une stratégie d’éducation à la culture. En se positionnant sur le levier de l’éducation à la culture, nous pouvons faire le lien entre le culturel et le socioculturel tout en faisant référence aux valeurs de l’éducation populaire. C'est pourquoi aujourd'hui l'implication des habitants dans ce processus est importante pour que l'art et la culture ne soient pas que l'affaire de professionnels.
- Résultat pour le centre social
La Maison de quartier a accompagné autant les bénévoles dans le rôle qu’ils occupent que les publics participant à ces actions et aux projets proposés. Dans cet accompagnement, elle a mis en permanence l’accent sur la formation des personnes pour permettre une implication et un engagement de qualité de tous les protagonistes. En effet, le rôle du professionnel a été d’épauler les initiatives portées par les usagers. L’équipe de la Maison de quartier a écouté et orienté les personnes . Les initiatives dans cette action ont été nombreuses et de qualité, le lien social à bien fonctionné.
- Résultat pour les habitants
L’implication des habitants est incontournable quand on intervient sur leur espace de vie, mais comme les professionnels qui interviennent, les habitants ont besoin d’une médiation pour décrypter le projet avant de s’y investir. En outre, nous avons fait en sorte d’avoir leur adhésion qui prend beaucoup de temps car parfois nous avons été trop vite, et ce pan est souvent occulté. Nous avons dû faire de la consultation auprès des habitants ou nous rabattre sur la poignée d’habitants référents que l’on voit dans tous les projets qui apportent en effet par leur connaissance du territoire, mais ne représentent pas forcément la majorité des habitants. Nous avons donc travaillé un objectif transversal qui est l’implication des habitants dans tous les projets de la Maison de quartier des Dervallières, et cette action reflète bien cet objectif.
Pour débuter cette sensibilisation, nous avons donné envie aux habitants de s’investir pour qu’ils se sentent en confiance afin de favoriser l'implication dans les commissions avec des habitants référents qui invitent d'autres habitants. Nous avons aussi communiqué sur nos activités et nous nous avons fait beaucoup de médiation et de vulgarisation autour du projet afin qu’une grande partie le comprenne. Innover et former dans les comités de pilotage et les commissions que nous proposons est notre leitmotiv pour permettre l’engagement. D’ailleurs, une équipe d’animateurs et de bénévoles sont chargés d’organiser ces temps de commissions afin de mieux collaborer et investir ces actions. Il en résulte que l'investissement dans ce processus rendre les habitants acteurs à plusieurs degrés et c'est comme cela que nous pouvons en respectant chaque personne dans sa singularité traiter différents sujets
- Suite de l'action : Limites
Continuer à créer des commissions dans chaque projets et actions afin que les habitants trouvent leurs places dans le centre socioculturel, ainsi répondre à leurs attentes et favoriser les initiatives, il faudra cependant faire attention que les élus associatifs confirmés laissent un place importante aux autres habitants
- Suite de l'action : Perspectives
Faire évoluer la médiation culturel entre artistes et habitants pour que l’art et la culture ne soit pas que l’histoire de professionnels de la culture et afin d’investir des habitants qui le souhaitent de rentrer dans ce débats pour plus de démocratie participative
FICHIERS ASSOCIES
- Fichier(s) associé(s)
Actions "Vauvettes au fil du temps"
DESCRIPTION DE L'ACTION
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Culture
- Mixité sociale
- Résumé
Le projet "Les Vauvettes au fil du temps" a été conçu en lien avec la direction de la politique de la ville de Vernouillet. Il concerne le quartier des Vauvettes.
Ce quartier populaire est représentatif des problématiques de l'urbanisme des grands ensembles à la française. Ces banlieues, édifiées ex-nihilo pour accueillir une population en très forte croissance, offraient à l'origine un horizon urbain, collectif et dynamique. Aujourd'hui, ce rêve a laissé place à un quotidien désenchanté, fait de difficultés économiques et d'atomisation de la population de ces désormais oxymoriques "ensembles".
Mais pas seulement. Et notre rôle, en tant qu'artistes, consiste plutôt à mettre à jour la richesse humaine de ces territoires qu'à nous contenter d'un ressassement de la misère qui, heureusement, n'en épuise ni la définition ni l'identité.
Ce quartier des Vauvettes a connu une très importante réhabilitation, une "réhabilitation lourde" comme l'on dit dans le jargon, entre 2004 et 2012, qui a profondément modifié son bâti et le paysage tout entier. Les tours ont été rasées, les immeubles restaurés, d'autres -plus petits- ont vu le jour. L'école a été chamboulée, la voirie et les espaces collectifs repensés, un centre social et culturel tout neuf, La Passerelle, a été implanté au cœur du quartier. C'est avec l'équipe de cette structure que nous travaillons sur le projet, autour d'un constat tout simple : il ne suffit pas de détruire puis reconstruire pour transformer un territoire. Les questions sociales sont tout aussi importantes que les questions d'urbanisme. Or, qui dit social dit société, dit humain. Ou encore, collectif et individu. Outre les évidentes questions socio-économiques, sur lesquelles nous ne sommes pas compétents pour intervenir, s'imposent des réflexions de l'ordre de l'imaginaire collectif, de la perception des choses, de la représentation de chacun et de tout le monde, qui constituent l'arrière-plan humain de cette métamorphose.
De là est né ce projet d'un grand travail artistique dans le quartier, pour et avec ses habitants. Un projet qui mêle le spectaculaire et l'intime, l'éducation populaire et l'événementiel, le soudain et le long cours. Un projet festif, convivial -c'est fondamental ! -, fédérateur, qui ait un sens. Qui donne du sens ? Il faut sûrement rester modeste, mais rien n'empêche de rêver un peu. De se projeter dans des dynamiques collectives qui donnent de l'envie, du plaisir, tout en proposant quelques pistes d'autonomisation aux participants, par la pratique et le faire ensemble.
L'idée est donc de mener un projet artistique sur une petite année, de septembre 2014 à juin 2015, aux Vauvettes. Nous l'abordons sous deux angles différents, en collaboration avec les services municipaux.
Le premier est la question de l'identité et du changement : comment un territoire, sujet (au sens littéral, puisque les décisions, quoi qu'on en dise, n'émanent pas des habitants, bien qu'ils puissent y être associés) de profondes transformations, continue-t-il d'exister en tant que territoire aux yeux de ses habitants ? Comment accompagner un changement radical de définition ? Nous suggérons quelques propositions, autour d'une notion évolutive de l'identité. Celle-ci n'est jamais figée, jamais arrêtée -il est au contraire parfaitement vain et dangereux de vouloir définir pour toujours une quelconque identité-, mais au contraire toujours mobile. C'est pourquoi nous convoquerons dans notre travail la mémoire du quartier, de ses habitants, leurs récits et leurs histoires, mais aussi des documents qui retracent cette mémoire à mettre en perspective de l'existant, aujourd'hui.
L'identité est aussi, et peut-être surtout, une question d'autodéfinition : comment se voit-on ? comment aimerait-on être ? La part laissée à la perception, au fantasme, au rêve, cette porte ouverte de l'identité individuelle et collective, nous voulons l'ouvrir à deux battants ! Nous proposerons de passer de l'histoire aux histoires, des récits à la fiction, voire à la narration et même à la représentation, autant de strates qui éloignent du réel vers le fictif, mais paradoxalement, qui rapprochent peut-être du vrai, de l'essentiel. Dans la même idée d'un travestissement du quotidien, nous intégrerons dans une large mesure des disciplines comme le théâtre invisible, le clown de rue, les flash-mob etc..., à intervalles réguliers, pour provoquer le surgissement de l'inattendu, de l'inhabituel, dans le quotidien et ainsi le remettre en perspective, depuis un point de vue légèrement décalé.
L'autre entrée que nous choisissons est plus simple, et par là-même peut-être plus essentielle. Il s'agit de la dimension festive. Elle est incontournable dans le désir de partager et de "vivre ensemble". La joie, expérimentée collectivement, est un ciment de la cohésion sociétale. La fête, entendue comme rituel social, comme rite fondateur d'une appartenance à un groupe, à un territoire etc... Comme il existe des fêtes de quartier et des fêtes nationales, ou plutôt, des fêtes de pendaison de crémaillère... Voilà ce qui nous intéresse : une crémaillère. On inaugure bien une maison, ou un appartement, en invitant ses amis à faire une fête. Celle-ci prend un sens inaugural, dont les convives sont conscients et auquel ils participent, ne serait-ce que par leur présence. C'est ce que nous souhaiterions réaliser, à l'échelle du quartier. Pour inaugurer le nouveau quartier, tout neuf, des habitants. Pour marquer le coup et se l'approprier, le faire sien. Que les gens participent en ayant conscience que, collectivement, ils posent un acte fondateur, au même titre que les bétonnières, mais en plus chaleureux. C'est pourquoi nous prévoyons, outre les ateliers divers et variés et les projets sur le long terme, un moment festif de mi-parcours et un grand final, une grande crémaillère à laquelle seront conviés les gens. A la fois pour y assister, mais aussi pour y contribuer, en fonction des différentes propositions. Certaines seront entièrement assumées par les artistes "professionnels", d'autres avec ou par les artistes "amateurs". Certaines propositions, le plus possible, mêleront les deux. C'est notre habitude de travail et le sens que nous souhaitons donner à ce projet.
Nous formulons donc un ensemble de propositions, assez varié intentionnellement, mais que nous espérons cohérent et pertinent. Certains éléments seront très ponctuels, d'autres se dérouleront sur plusieurs mois. Progressivement, au cours de l'année, l'ensemble du projet gagnera en intensité, pour tenter de fédérer les énergies autour de l'aboutissement que représentera la crémaillère. Il sera en grande partie éphémère. Parce que nous sommes du monde du théâtre, par nature fugitif, et que nous sommes convaincus qu'il porte en lui la puissance fondatrice que nous souhaitons convoquer pour les habitants. Ce projet sera réussi si, avant tout, il marque les esprits et réunit les gens, ne serait-ce que pour un temps, dans un "groupe en fusion".
La description détaillée et chiffrée fait suite. Il s'agit encore d'une version de travail, validé avec nos partenaires de la ville de Vernouillet. Au fil du temps, et au contact des habitants, elle pourra être amenée à évoluer de façon plus ou moins importante.
- Structure organisatrice
- la Passerelle Centre Social des Vauvettes - Eure-et-Loir
RAISON D'ETRE DE L' ACTION
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Territoire concerné
- Un quartier
METHODOLOGIE DE L' ACTION
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Bailleur social
- Caf
- Entreprise privée
- ERDF
- Etat
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
INFORMER LES HABITANTS DU PROJET
dès juin 2014
- Affichage dès juin 14 dans le quartier notamment dans les écoles, la Passerelle (centre d’actions sociales) et les différents lieux clés du quartier.
- Communication municipale habituelle.
- Rencontre des différents responsables locaux, acteurs associatifs etc... et présentation du projet (juin et septembre 14)
- Action(s) spectaculaire(s) : une marionnette géante et un échassier conduiront une opération de tractage en juin 14 (durant la fête de la musique, à l’extérieur de la Passerelle) ou en septembre.
- Permanences d’information à la Passerelle, dont les équipes pourront renseigner sur le projet et gérer les inscriptions.
RÉCOLTE DE TÉMOIGNAGES
septembre/octobre 2014
- Visites de quartier.
Les habitants feront visiter à l'équipe artistique leur quartier, leurs lieux de vie. A certains endroits précis, nous leur demanderons de nous raconter une histoire, une anecdote, personnelle ou non, qu'ils associent à cet endroit. L'idée est de passer d'un espace physique, urbain, à un espace affectif, vécu et ressenti. Si besoin, nous pourrons sortir du quartier pour aller vers le collège et la zone commerciale, tout proches.
- Atelier interview pour adolescents : 2 séances de 4h chacune.
Accompagnés de l’auteure (Carole Prieur) et/ou de la metteur en scène (Vanessa Sanchez), les jeunes vont interviewer des « figures » du quartier, c'est à dire des personnes dont la présence y est associée et qui est constitutive d'une identité. Là-encore, il s'agit de passer d'une définition géographique à une définition humaine, presque anthropomorphique, du "quartier". Pour préparer ces rencontres, et afin de susciter une parole intime au-delà de la simple spontanéité, les questions auront été élaborées au préalable avec les ados. Elles porteront sur le rapport des personnes interviewées à leur lieu de vie,
leurs histoires qui y sont liées -comment ils sont arrivés, pourquoi, dans quelles conditions etc…. S'ils le veulent bien, ils pourront aussi raconter leurs histoires intimes, histoires d’amour, histoires de vie, leurs rêves etc... en lien avec ces lieux.
Certaines interviews, avec l’accord des personnes concernées, pourront être retranscrites dans le blog « des Vauvettes », créé à l'occasion de la réhabilitation récente.
Cette expérience pourrait se conduire en partenariat avec une classe de français du collège.
TRANSFORMATION DE LA MATIÈRE
dès octobre 2014
- Ateliers d’écriture encadrés par l’auteure. Environ 4 séances de 3h, en direction des ados mais aussi des adultes. Ce ne sont pas nécessairement les mêmes qui auront participé à l’étape précédente.
Ces ateliers d'écriture permettront, soit à partir des interviews réalisées, soit à partir de nouveaux éléments personnels apportés par les participants, de produire des récits, des supports dramatiques… Il s’agira ici de se projeter dans la fiction. Composer, à partir de la réalité, à partir des histoires des gens et du territoire, un nouveau quartier, imaginaire. Comme un double fictionnel, un paysage rêvé.
- Ateliers d’écriture et d’expression sur le thème de la femme, avec le groupe d’alphabétisation de la Passerelle.
4 ateliers de 4 heures, encadrés par 2 personnes (metteur en scène + comédienne/ danseuse)
Paradoxalement, il est souvent plus facile de transformer radicalement un quartier entier que de faire évoluer des mentalités. Les représentations de chacun, et logiquement, la place des uns et des autres dans la société, restent largement tributaire de stéréotypes ou de modèles obsolètes, trop souvent oppressifs. C'est parce que ce thème nous tient à cœur que nous souhaitons conduire ces ateliers, dont le but est de donner aux femmes un espace de parole, et de redonner à la parole des femmes l'espace qu'elle est en droit d'occuper. Dans un projet portant sur un quartier, ses habitants et son espace, c'est fondamental.
Comme pour les étapes précédentes, une dessinatrice interviendra sur certains ateliers, pour saisir sur le vif, de manière discrète et évocatrice, ce qui s'y produira. Le but étant de garder une trace, et par la suite de pouvoir la montrer à l'extérieur, vers le quartier, tout en respectant l'intimité de chacun.
- Ateliers théâtre intergénérationnel :
2h hebdomadaires en direction des ados et adultes encadré par la metteur en scène (Vanessa Sanchez) et/ou un comédien (Emmanuel Leckner)
Ces ateliers s'appuieront sur les récits produits par les ateliers d'écriture portant sur les histoires du quartier. Il s'agira alors d'interpréter, d'incarner cette matière fictionnelle, dans le but de la porter sur scène ou, comme un retour à l'envoyeur, dans les rues qui l'auront générée.
Ces ateliers permettront de préparer certaines des « actions spectaculaires » ainsi que le spectacle de la « Crémaillère », à la fin du projet.
Outre le théâtre "traditionnel", nous aborderons les notions de théâtre de rue et de théâtre invisible.
- Ateliers danse :
Nous ne créerons pas d'ateliers danse, mais nous nous associerons à celui qui existe déjà à la Passerelle, les samedis matin, en direction des enfants. Cette fois, il s'agira non plus d'interpréter mais de danser, toujours à partir de ces récits, fictions et témoignages.
Cet atelier travaillera toute l’année autour des thèmes de notre projet.
- Ateliers danse « flash mob » : La danseuse Jessica Fouché fera plusieurs interventions au sein de différents groupes préexistants (théâtre, danse, classes etc...) ou groupes à constituer, pour aborder ce domaine particulier qu'est celui du flash-mob, qui est par nature celui de l'irruption de l'inattendu dans un espace et un temps parfaitement familiers.
Ces groupes prépareront différents flash-mob, afin de préparer les « actions spectaculaires » et la « Crémaillère ».
Deux interventions de 2h par groupe.
- Atelier chanson :
Encadré par un chanteur, Thomas Pitiot, en direction des ados et adultes, durant un mini-stage de 3 jours.
Celui-ci pourrait avoir lieu pendant les vacances de février, juste avant la "Soirée Cabaret".
Cet atelier conduira à l'écriture de 5 à 6 chansons (paroles et musiques) liées au quartier et à ses habitants.
Elles seront chantées par leur(s) auteur(s) lors de la "Soirée Cabaret" et/ou de la "Crémaillère". Si possible, les participants enregistreront leur chanson et un petit disque sera produit, qu’ils pourront garder comme trace de cette aventure. Nous pourrions également envisager d'en distribuer à l'ensemble des participants du projet.
MILIEU D’ÉTAPE : "Soirée Cabaret" :
Une soirée festive à la Passerelle - Février 2015
Sous la forme d’un Cabaret, un concours culinaire sera lancé aux habitants. Peut-être s'agira-t-il d'un concours de soupe : plat symbolique, nourri de toutes les cultures et toutes les histoires, il a l'avantage de se décliner à l'infini, d'être facile à cuisiner et d'être économique. Mise en scène de manière loufoque, cette soirée sera présentée par une clown déjantée et magicienne, Pénélope.
A cette occasion, nous pourrons déjà présenter différents travaux issus des ateliers en cours :
- lectures de textes (notamment de l'atelier sur le thème des femmes)
- chansons
- petites scènes de théâtre.
Par ailleurs, nous pourrions également y faire intervenir les comédiens de la compagnie professionnelle locale « La Caravane des Poètes ».
ACTIONS SPECTACULAIRES
Sur un week-end d’avril 2015
Ces actions auront plusieurs buts. Elles permettront d'abord de faire connaître notre projet.
Mais surtout, elles feront surgir dans le quotidien des gens, dans cet espace-temps routinier qu'est la fin de semaine au sein d'un quartier urbain, l'inattendu, l'imprévu, l'irruption poétique et vitale qui transforme l'espace d'un instant la perception d'un lieu, d'un temps et de la réalité qui les composent.
Encadrés par des professionnels, ce sont des gens du quartier qui participeront à ces diverses actions. Celles-ci se multiplieront sur le week-end, pour que le quartier et ses habitants aillent de surprise en surprise, écloses comme autant de petits évènements hors du commun.
- Flash mob à l’Hyper U - l'un des lieux les plus animés - le samedi et dans le quartier le dimanche ! Proche du théâtre invisible, par son caractère soudain, imprévisible et intrigant, le Flash Mob interpelle les gens et les rend acteurs malgré eux de l'évènement.
- Commando de plasticiens pour transformer le paysage de manière éphémère et surprenante. Ce peut être la modification -temporaire- de la signalisation, par l'emploi de panneaux inappropriés, la mise en place d'une installation qui attire l'attention, l'ameublement d'un square comme un salon d'appartement avec des meubles restaurés etc...
L’atelier « récup’ » de la Passerelle travaillera sur ce projet. L’atelier « arts plastiques » pourra aussi s'y associer.
Quoi qu'il en soit, il faudra que les membres du « commando » interviennent le vendredi soir tard afin de surprendre les habitants au réveil le samedi matin !
- Peinture d’une fresque par des jeunes du quartier, encadré par un peintre (Sarah Letouzey ?) ou un artiste plasticien.
Ce sera la seule action qui durera dans le temps, et qui constituera une trace de notre projet sur les lieux, un souvenir.
Le choix du sujet et de l'esthétique sera déterminé avec les jeunes, à partir d'une interrogation sur le thème du quartier utopique, du quartier fantasmé. Le résultat sera figuratif ou non, voire complètement expérimental.
- Commandos de théâtre invisible, menés par les membres de l'atelier théâtre.
Ils séviront dans les principaux lieux de sociabilisation du quartier, boulangerie, pharmacie, sortie d’école, marché... pour toucher directement les habitants dans leurs activités quotidiennes. Le théâtre invisible, ne met pas de barrière entre la scène et le public, entre l'espace de jeu et l'espace du regard, ni même dans la tête de celui qui, par là-même, devient plus un témoin qu'un spectateur. Il permet, l'espace d'un instant incertain, suspendu, de confondre le réel et le factice, la vie et sa représentation. Par ailleurs, en mettant en présence des habitants avec d'autres habitants, il brouille complètement les frontières et provoque le décalage, le surgissement d'un à côté propice au ré-enchantement du quotidien.
- Groupes d’intervention de théâtre de rue :
Des chœurs de comédiens, issus également de l’atelier théâtre, et en lien avec les commandos de théâtre invisible, proposeront à l'improviste des interventions dans la rue, sur le marché etc... Ils pourront, par exemple en tant que clown ou en personnages couverts d'argile de la tête aux pieds, aller vers les gens pour provoquer des rencontres décalées et poétiques.
EXPOSITIONS
mai 2015
- Exposition des dessins de Sarah Letouzey.
L'ensemble des dessins réalisés pendant les visites, les ateliers, les rencontres etc... et qui représenteront donc une illustration du travail mené, rendant compte des moments par nature éphémères qui constituent le corps de ce projet, seront exposés dans l'espace urbain.
Nous aimerions beaucoup que ce soit dans les cages d'escaliers des immeubles du quartier, lieux à la fois intimes et collectifs.
- Exposition de photos avant/après :
Avant et pendant la rénovation du quartier, rénovation "lourde" qui a sensiblement modifié l'environnement urbain, un certain nombre de prises de vues ont été réalisées. Aux mêmes endroits que ceux visibles sur les photos, il s'agirade coller à même les murs des tirages grand format sur papier, comme du papier peint décoratif à l'intérieur de chez soi.
Grandeur nature, la métamorphose du quartier sera ainsi matérialisée.
Ces expos aura également pour but d’annoncer la journée de juin aux habitants et d’entretenir l’effervescence artistique autour du projet.
PRÉPARATION DE LA « CRÉMAILLÈRE »
dès mars 2015
- Atelier de fabrication et manipulation de grandes marionnettes, encadrés par un plasticien et la metteur en scène. Destiné aux ados et adultes, il prendra la forme d'un mini-stage d'une semaine, pendant les vacances de printemps, à raison de 6 heures par jour. Les marionnettes réalisées joueront dans le spectacle de façade de la Crémaillère.
- Atelier échasses : encadrés par un comédien (Emmanuel Leckner). Destiné aux ados et enfants à partir de 10 ans, il prendra la forme d'un mini-stage d'une semaine, pendant les vacances de printemps, à raison de 3 heures par jour
Les échassiers déambuleront dans le quartier et aux alentours la veille ou le matin de la Crémaillère pour annoncer les festivités. Le jour même, ils feront plusieurs sorties.
- Ateliers flash-mob (voir plus haut) dans les écoles et autres groupes préconstitués pour élaborer le flash-mob géant qui lancera la soirée de la Crémaillère
Ecriture du spectacle en façade par l’auteure et la metteur en scène (seules cette fois-ci !)
Location et/ou création de costumes.
Création des décors du spectacle en façade (par l’atelier « récup » ?)
Par ailleurs, à toutes ces préparations s'ajoutent les ateliers déjà lancés depuis le mois de septembre et évoqués plus haut, qui contribueront aussi au grand évènement de la Crémaillère.
LA « CRÉMAILLÈRE » ou JOURNÉE POINT D’ORGUE DU PROJET
juin 2015
La veille :
Répétition générale sur les lieux et parades pour annoncer l’événement.
Mise en place, dans différents lieux du quartier, d'une grande exposition des dessins produits tout au long de l’année auprès des différents groupes de participants.
L’après-midi :
- Visites guidées détournées du quartier, avec des petits groupes de spectateurs habitants. Ces visites, guidées par de loufoques mais néanmoins très sérieux personnages, emmèneront les spectateurs dans des sites insolites (pièces d’appartement, cages d’escaliers, toboggans…) , où des petits groupes de comédiens amateurs interpréteront le fruit de leur travail de l'année, réalisé à partir des témoignages des habitants.
Le ou les guides seront des comédiens professionnels.
Il pourra aussi y avoir, ce serait très beau, des danseuses sur tissu tombant à l'improviste à l’intérieur d’une cage d’escalier. Par ailleurs, d'autres ateliers pourraient y être associés, comme ceux de la chanson ou de la danse.
- Déambulations régulières de marionnettes géantes, avec un marionnettiste professionnel et les créations du stage de fabrication et manipulation.
- Déambulations régulières d’échassiers, issus du stage d'échasses.
- Animations et stands divers liés au projet ou au quartier, en fonction des envies et besoins des associations et des services municipaux.
Début de soirée : spectacle en façade.
- Avec cette forme spectaculaire particulière, l'idée est de favoriser le rassemblement des habitants dans un endroit précis, au pied d'une façade d'immeuble. Il s'y déroulera un spectacle d’environ une demi-heure, interprété par les comédiens amateurs de l’atelier théâtre, les manipulateurs de l’atelier marionnettes et des comédiens et acrobates professionnels, depuis certains balcons de l’immeuble. Ils auront auparavant été décorés pour l’occasion. Nous ferons aussi intervenir des danseurs sur façade, qui évolueront depuis le toit de l’immeuble.
Le spectacle sera sonorisé et éclairé. L’histoire parlera bien sûr du quartier et de ses habitants, d'une façon très romancée, autour des tribulations d’une grande famille. Tout reste à écrire... L'intérêt de cette manifestation, comme certaines actions précédentes, est de travestir la réalité -un bâtiment familier, des références au quotidien, des histoires plausibles, un cadre banal etc... - en autre chose, un objet fictionnel auquel les spectateurs puissent s'identifier, où qui modifie leur perception du réel, pour une (ré)appropriation affective des lieux
Soir :
Pour faire la fête, ce n'est en théorie pas trop compliqué : il faut partager de quoi manger et boire, et il faut de la musique. Dans un joli cadre, si possible. C'est ce que nous proposons de faire.
Pour lancer la soirée, après le spectacle en façade, une Flash-mob géante, réunissant le plus de monde possible, fera la transition vers le lieu du repas.
A la nuit tombée, si les habitants ont joué le jeu, le quartier s'illuminera des multiples bougies qu'ils auront posées à leur fenêtre ainsi que de quelques installations de feu que nous aurons préparées. Il faudra aussi prévoir quelques guirlandes lumineuses de guinguette. Dans cette ambiance chaleureuse et magique, qui jouera là encore sur la transformation du réel, du décalage avec le quotidien, se déroulera le repas participatif . Celui-ci aura lieu dans une rue du quartier, comme un grand banquet. On y mangera ce que chaque habitant aura apporté, en fonction d'indications préalables.
Un grand bal terminera la soirée. Parce que malgré tout, rien de tel que de danser tous ensemble pour souder une communauté et un quartier.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
18708
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
400
AUTO-EVALUATION DE L’ACTION
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
FICHIERS ASSOCIES
- Fichier(s) associé(s)
Actions "végétalisation de la terrassé"
DESCRIPTION DE L'ACTION
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Solidarité
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Le projet de végétalisation de la terrasse de la maison de quartier est né dans l’esprit de deux habitantes du quartier Pierre SEMARD qui s’y sont investies, de la conception à la mise en réseau et l’animation. Il ouvre trois grandes perspectives : créer des espaces autogérés au sein de la structure, établir un lien avec le jardin partagé, établir un lien avec l’école SEMARD. Il est pensé sur le long terme comme un outil évolutif visant à appuyer l’implication d’habitant.e.s dans la vie de leur quartier et s’inscrit dans l’axe Pouvoir d’agir du projet social 2017-2020.
Les objectifs sont:
- Impulser une appropriation et une autogestion de certains espaces (bricothèque, terrasse suspendue, jardin partagé) par des habitant.e.s pour les impliquer dans la vie collective locale et celle de la structure
- Mettre en réseau des habitant.e.s et des bénévoles ; tendre à créer un collectif jardins
- Organiser des événements promouvant les espaces autogérés, et les modes d’adhésion au projet
- Valoriser le volontariat du binôme habitantes initiatrices du projet et les renforcer dans la confiance en leurs capacités et compétences
- Accompagner le binôme dans son appropriation des espaces et la prise en main du projet
- Accompagner le binôme dans une mise en posture d’animation d’ateliers, de collectifs habitant.e.s et partenaires
- Consolider l’articulation entre la Maison de Quartier, l’école Pierre SEMARD, et des familles
- Exploiter les ateliers scolaires organisés par le binôme d’habitantes pour créer des formes de partenariats avec les instituteurs.trices
- Utiliser les ateliers scolaires comme outil d’adhésion au projet à destination des familles
- Impulser une appropriation et une autogestion de certains espaces (bricothèque, terrasse suspendue, jardin partagé) par des habitant.e.s pour les impliquer dans la vie collective locale et celle de la structure
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL Maison de quartier SéMARD - Seine-Saint-Denis
RAISON D'ETRE DE L' ACTION
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Les habitant.e.s du quartier se projettent à une échelle familiale ou par petits groupes. Beaucoup d’entre eux.elles vivent la Maison de Quartier comme un lieu de consommation d’activités avec peu de propositions collectives à visée interculturelle et intergénérationnelle. La structure est tout de même repérée comme le lieu de convivialité du quartier et des habitant.e.s sont identifié.e.s pour leurs mobilisations régulières et leur volonté de participer à des mouvements collectifs, telles que les initiatrices de ce projet.
- De par son statut hybride (convivialité, animation, accès au droit…) le fonctionnement de la maison de quartier dépend de la disponibilité des locaux, des intervenants, vacataires, ou bénévoles, et s’articule sur des temps planifiés. Ce système ne correspond pas toujours à l’organisation de la vie des habitant.e.s, à leurs besoins psychiques du moment. L’espace convivialité est la seule proposition à usage spontané disponible sur toute l’amplitude des horaires de la structure, bien que des animations planifiées y soient également parfois organisés (rencontres culinaires, café des séniors…). Cette gestion des temps et des espaces freine les possibilités d’implication des habitant.e.s dans la vie de la structure.
- Le jardin partagé situé derrière la Maison de Quartier est unanimement reconnu comme une richesse du quartier Pierre SEMARD, au même titre que la promenade Jean AMBLARD. Ceci étant dit il s’agit essentiellement d’une richesse esthétique puisque les associations et le peu d’habitantes qui en assurent la gestion se plaignent du manque de mobilisation à l’égard de cet outil collectif, de plantations abimées ou de légumes volés, tout en ayant du mal à accepter d’autres modes de fonctionnement que ceux qui leurs sont propres.
- La Maison de Quartier a effectué plusieurs tentatives afin de travailler plus étroitement avec l’école Pierre SEMARD qui se sont révélées peu fructueuses.
- Territoire concerné
- Un quartier
METHODOLOGIE DE L' ACTION
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
A l’origine du projet se trouve une idée, une envie, simple, celle de deux habitantes quotidiennement impliquées dans la vie de la Maison de Quartier, à la vue d’une terrasse encombrée et peu exploitée : la végétaliser, l’orner d’une parure visible de l’extérieur, retrouver dans cet espace la quiétude et les senteurs méditerranéennes de leurs enfances.
Il a suffi d’une validation par l’équipe de la Maison de Quartier, de quelques vidéos sur le net, de quelques brochures promotionnelles de supermarchés en cette périodes de plantations printanières, pour imaginer le future décor, et voir quotidiennement s’amarrer devant la structure la petite voiture du binôme d’habitantes, coffre ouvert et sièges arrières rabattus, remplie d’encombrants en bois chinés ici et là : meubles, palettes, tourets de chantier… Parfois, parce que le créneau disponible entre le dépôt du plus grand à l’école et le rendez-vous chez le docteur de la plus petite était trop court, la Maison de Quartier recevait un appel invitant tout membre de l’équipe disponible, ou éventuellement tout.e adolescent.e/enfant errant sur le quartier, à bien vouloir se déplacer, parce qu’un objet précieux avait été repéré du côté du stade, de l’amicale des locataires, ou de la boucherie hallal de l’allée Camélinat.
Il a alors fallu retrousser ses manches pour construire le futur mur végétal. Le binôme a d’abord eu besoin d’être accompagné pour investir la bricothèque et la terrasse, utiliser les outils électriques et enfoncer les premières vis ; des ateliers ont donc été planifiés. Puis, l’assurance s’étant suffisamment installée, il n’y avait plus qu’à se rendre à la Maison de Quartier lors des temps libres et demander à l’accueil la clé de la bricothèque pour continuer les travaux.
En parallèle, toutes deux déléguées des parents à l’école Pierre SEMARD, le binôme avait évoqué le projet auprès d’institutrices qui avaient exprimé leur enthousiasme et leur envie d’y adjoindre l’empreinte de leurs élèves. Le groupe a acté la fabrication de pochoirs au sein de l’école, pour ensuite venir peindre les structures en bois avant d’y effectuer les plantations, dans le cadre d’ateliers planifiés en concertation avec la Maison de Quartier, et animés par le binôme.
Il fallait répondre à l’échéance. La petite voiture a repris le large, en quête de peinture, quincaillerie, et plantes vivaces, la Maison de Quartier a usé de son carnet d’adresses, serres communales pour récupérer du terreau et des plants, ferme de l’université de paris 13 pour récupérer des grandes jardinières afin de créer un espace destiné à l’école dans le jardin partagé. Deux bénévoles ont mis à contribution pour penser et aménager un espace d’animation respectueux afin d’accueillir les enfants le jour J.
Le premier atelier scolaire a eu lieu. Une classe de CP est venue étendre sur les structures en bois de la terrasse, de grands aplats de couleurs, pastelles et chatoyantes, et apposer, de leurs pochoirs, de petits animaux. Ils ont pu mettre leurs mains dans la terre pour y déposer les premières fleurs. De prochaines séances sont planifiées avec d’autres classes. Il s’agira ensuite de récupérer auprès des serres communales du terreau et des plantes, également du fumier à la ferme de l’université Paris 13. En fonction des besoins restants et des envies des jardinier.ères, de faire les achats nécessaires en jardinerie, l’objectif étant d’avoir fini les plantations et érigé le mur végétal à la fin du mois de Juin pour organiser un apéritif inaugurant les espaces, valorisant ici le travail effectué, et promouvant les futures étapes, notamment la construction de mobilier pour la terrasse pendant l’été, cherchant de nouvelles adhésions au projet
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Terre : 250€
Plantes : 550€
Bricolage : 200
Total : 1000€ (financement du contrat de ville Parentalité et du REAAP-DM1)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 bénévoles; 2 classes de 12 élèves, 2 professionnels, les serres municipales, la ferme urbaine
AUTO-EVALUATION DE L’ACTION
- Résultat sur le territoire
Faire connaître la maison de quartier aux familles de l'école Pierre Sémard; renforcer les liens au sein de la communauté éducative
- Résultat pour le centre social
Valorisation du bénévolat; aménagement d'un espace peu ou pas utilisé;
- Résultat pour les habitants
renforcement de l'estime de soi; valorisation des compétences
- Suite de l'action : Limites
De la terrasse au jardin partagé; faire en sorte que les habitants du quartier s'approprient le jardin partagé
- Suite de l'action : Perspectives
Faire venir plus d'enfants; construire un calendrier avec l'école en début d'année scolaire
FICHIERS ASSOCIES
- Fichier(s) associé(s)
Actions "Vers le milieu du mois"
DESCRIPTION DE L'ACTION
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Résumé
Vers le milieu de chaque mois, il est proposé une projection d'un documentaire suivie d'échanges autour d'une collation.
Il s'agissait de permettre l'appropriation des habitants de la salle de spectacles attenantes au centre.
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIO-CULTUREL SAINT JEAN/SAINT JACQUES - Indre
RAISON D'ETRE DE L' ACTION
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action est née après l'épisode des gilets jaunes, convaincu de l'importance d'échanger et de débattre autour des sujets de société.
Chacun est porteur de savoirs et peut participer au changement social.
- Territoire concerné
- Un quartier
METHODOLOGIE DE L' ACTION
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
L'action a débuté en mars 2019. Une programmation est faite avec une communication spécifique. Certains thèmes ont été choisis avec des partenaires qui ont participé aux débats.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Un budget alimentation est utilisé pour la collation après la projection. Les documentaires sont ceux trouvés sur Tënck.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Environ 20 personnes participent aux projections.
AUTO-EVALUATION DE L’ACTION
- Résultat sur le territoire
Cela a permis à des citoyens de la ville, ou des villes alentours de venir dans le quartier et de le démystifier.
- Résultat pour le centre social
Il s'agit de montrer les champs possibles d'un centre au delà des services et activités de loisirs, réflexion globale sur la société et la transformation sociale.
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
En 2020, des documentaires sur la co éducation seront programmés.
FICHIERS ASSOCIES
- Fichier(s) associé(s)
Actions "Vis ta ville"
DESCRIPTION DE L'ACTION
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Environnement
- développement durable
- Résumé
- Transformation et amélioration des espaces urbains et collectifs (chantiers jeunes avec contre-partie loisirs collectifs)
- Permettre aux jeunes de s'investir dans et pour leur lieu de vie
- Les différents publics et partenaires réalisent un travail sur le vivre ensemble
- Favoriser la rencontre entre les jeunes
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL BLANCHE HAYE - Meurthe-et-Moselle
RAISON D'ETRE DE L' ACTION
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Changer les représentations des habitants sur la jeunesse
Faire participer les jeunes à la réhabilitation en cours du quartier Voltaire de Longwy
Offrir des loisirs aux jeunes dont les parents ont de faibles revenus
Transmission de savoir-faires et de compétences
Prévention de la délinquance et cohésion sociale
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
METHODOLOGIE DE L' ACTION
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Association locale
- Bailleur social
- Caf
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Les chantiers jeunes, intitulés en 2014 "Vis ta ville", ont vu le jour au siècle dernier et se sont adaptés aux demandes et aux réalités locales,sociales et économiques des quartiers proches du centre social
- Mise en place de rencontres avant, pendant et après les actions avec les 2 bailleurs, les intervenants techniques de l'association intermédiaire, les parents et les jeunes
Définition, préparation et mise en oeuvre des chantiers : Réfection mobiliers urbains, fleurissement, peinture entrées d'immeubles et de garages
Choix et organisation des contre-parties loisirs avec les jeunes concernés
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Les subventions accordées par les partenaires :
Etat 2 000€ - Région 700€ - Conseil départemental 4 000€ - CAF Meurthe et Moselle 4 135€- Bailleurs sociaux : MMH 2 000€ et Batigère 1 728€
Participation des usagers 300€ - Valorisation personnel CAF 6 000€
Les Charges
Achats 2 842€ - Services extérieurs 460€ - Autres services extérieurs 11 053€ - charges diverses 509€
Valorisation personnel CAF 6 000€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 animatrice chef de projets
1 technicien par chantier (plusieurs chantiers sur l'année)
2 référents bailleurs
1 référent association intermédiare
Total 8 personnes
AUTO-EVALUATION DE L’ACTION
- Résultat sur le territoire
Reconnaissance des habitants
Evolution des représentations vis à vis des jeunes
Amélioration du cadre de vie urbain
Insertion sociale et professionnelle
Acquisition de compétences et de savoir-faire réutilisables
Maintien de la cohésion sociale
- Résultat pour le centre social
Implication dans la vie du centre social et dans la gestion de l'espace jeunes (accueil quotidien)
- Résultat pour les habitants
Amélioration du cadre de vie
création d'espaces partagés (bancs publics)
- Suite de l'action : Limites
Taux et qualité de l'encadrement technique et pédagogique, recrutement et nature des interventions à négocier en amont avec les bailleurs et l'association intermédiare
Liste d'attente chez les jeunes pour participer aux différents chantiers
- Suite de l'action : Perspectives
- Apporter une dimension culturelle et artistique
- Renforcer le partenariat avec la ville de Longwy et son service jeunesse
Actions "Visites des classes au Fort de Villès Martin"
DESCRIPTION DE L'ACTION
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Culture
- Mixité sociale
- Résumé
Permettre à des classes des écoles de proximité de découvrir les expositions du moment.
La Maison de Quartier établit un calendrier des expositions, chaque enseignant volontaire choisit un créneau horaire pendant la durée des expositions retenues.
Le travail pédagogique autour de cette visite est préparé en concertation.
Chaque classe est accueillie par des bénévoles et (ou) par les artistes eux mêmes pendant une heure environ.
- Structure organisatrice
- ASSOCIATION D'HABITANTS POUR L'ANIMATION DES QUARTIERS KERLEDE ET GALLICHERAIE - Loire-Atlantique
RAISON D'ETRE DE L' ACTION
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Favoriser l'ouverture culturelle et l'épanouissement personnel.
- favoriser l'implication des bénévoles.
- Faciliter les rencontres du public avec les artistes
- Initier à l'art sous toutes ses formes.
- désacraliser le lieu en donnant envie aux parents d'élèves de franchir à nouveau la porte dans une démarche personnelle.
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
METHODOLOGIE DE L' ACTION
- Public
- Enfance
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Association locale
- Commune
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Le groupe d'animation du Fort de Villès Martin, dans un souci d'ouverture aux écoles du secteur, a proposé de rencontrer les équipes des écoles pour les informer de ce projet.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Pas de budget spécifique pour cette action, si ce n'est le budget général alloué à l'organisation des expos (com, vernisages) soit 4000 euros.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 professionnelle, 15 bénévoles.
AUTO-EVALUATION DE L’ACTION
- Résultat sur le territoire
- valorisation de ce lieu culturel de proximité.
- Résultat pour le centre social
- partenariat renforcé avec les écvoles.
- ouverture vers d'autres établissements (CCAS, halte garderie, structures médico éducatives, associations locales)
- accueil de nouveaux habitants
- Résultat pour les habitants
- les habitants osent davantage ouvrir la porte de ce lieu.
- Suite de l'action : Limites
- le nombre de demandes augmente, le ce qui engage plus les bénévoles, tandis que leurs disponibilités ne sont pas extensibles.
- Suite de l'action : Perspectives
- En juin 2017, les tout petits de la Halte garderie exposeront leurs réalisations après avoir travailler sur un projets art plastique pendant l'année scolaire.
- Développer d'autres projets de ce type.
FICHIERS ASSOCIES
- Fichier(s) associé(s)
Actions "voix en fête"
DESCRIPTION DE L'ACTION
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Culture
- Résumé
Dans le cadre de notre mission culturelle "la parole en mouvement" et en lien avec notre accompagnement à la parentalité, nous proposons un temps festif de partage de la culture orale et de transmission : chants, comptines des pays :
- Récolte auprès des parents des chansons, comptines, textes à mettre en musique…
- vote des chansons par les familles. Pour une sélection d’une dizaine de chansons, soit environ 30 min.
- interventions de Franck André, musicien par des rendez-vous réguliers (toutes les 3 semaines et durant les vacances scolaires).
- le musicient intervient en tant que chef d’orchestre avec pour le public (enfants et parents) : manipulations d’instruments
- un goûter à partager tous ensemble est porposé à chaque séance
- une répétition générale avant la prestation "famille" (avec l'intervenant les professionnelles de la petite-enfance) dans les Jardins de l'Europe à Annecy pour le festival "Paroles en Eclats"
- Structure organisatrice
- MJC Centre Social ARCHIPEL SUD - Haute-Savoie
RAISON D'ETRE DE L' ACTION
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Objectifs généraux :
- Promouvoir l'iniiative : répondre à une demande exprimée par un groupe de parents de pouvoir chanter au sein des Espaces Parents-enfants;
- impliquer les parents dans notre projet culturel "la parole en mouvement"
- permettre aux familles des temps culturels partagés
- permettre aux familles de s'exprimer et se produire sur un temps culturel officiel
Objectifs opérationnels :
- Proposer des temps musicaux et des chansons
- Permettre aux familles de faire découvrir leur coup de cœur aux autres familles et de transmettre du patrimoine culturel
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
METHODOLOGIE DE L' ACTION
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
- du 4 au 21 décembre 2018 : Récolte des chansons, comptines, textes à mettre en musique… durant le mois de décembre (du 4 au 21 décembre).
- Du 7 au 18 janvier 2019 : vote des chansons par les familles.
- février à juin: 13 séances de partage, en chansons, comptines
- 27 juin : festival Paroles en Eclats : expression devant un public.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
participation : 12 adultes - 20 enfants - 4 professionelles - un intervenant musicien
195 participations/enfnats - 117 particpations/adultes
AUTO-EVALUATION DE L’ACTION
- Résultat sur le territoire
- Beaucoup de personnes sont venues spécialement pour le Festival Paroles en Eclats cette année 2019 pour écouter en famille élargie la restitution de "voix en fête" : Valorisation du festival pariticipatif
- Résultat pour le centre social
- Joie partagée avec les enfants, ambiance de fête
- Un partage entre enfants, parents et intervenant.
- Ce fut un très beau partage de rires et musique avec les autres.
- Très belle ambiance et échanges riches avec les enfants et adultes.
- Restitution Paroles en Eclats : environ 60 personnes sont venues chanter.
- Beaucoup de personnes sont venues spécialement pour le Festival Paroles en Eclats
- Résultat pour les habitants
- Nouvelles comptines apprises grâce à Voix en Fête et chantées maintenant à la maison.
- Le répertoire s’est enrichi des idées des uns et des autres
- valoirsation de l'implication et de l'autonomie
- Très belle ambiance et échanges riches avec les enfants et adultes.
- Apprentissage de l' écoute, de la participation,du projet collectif
- Dédouverte de l'univers musical avec des instruments.
- Satisfaction des parents ravis que leurs enfants participent aux rendez de voix en fête
- Suite de l'action : Limites
Poursuivre la dynamique : recommencer avec de nouvelles familles ? Initier un autre projet ? Poursuivre sur le même projet ? : comment fédérer de nouveaux, inciter les familles à initier un projet, à s'investir dans un nouveau projet.
- Suite de l'action : Perspectives
Initier une poursuite du projet sous une nouvelle forme tout en laissant aux familles des initiatives et leur place à prendre part au projet :
des rendez-vous en chansons au fil des saisons avec des goûters partagés "maison" au fil des saisons en prenant en compte la nature : les fruits, les légumes du moment.
et en cherchant dans la culture patrimoniale les chansons et comptines se rapportant à la nature au fil des saisons.
FICHIERS ASSOCIES
- Fichier(s) associé(s)
Actions "ZIK en VRAC"
DESCRIPTION DE L'ACTION
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Résumé
Auditions et aide technique/artistique de jeunes talents issus des quartiers, pour une première scène sur le quartier des Saugeraies. Intiative d'une nouvelle asociation " VITA CULTURE" composée de trentenaires originaires du quartier, musieciens du groupe "Jah Man", formé dans le cadre des actions du centre social enre 1995 et 2000, avec le soutien de Luciol
- Structure organisatrice
- STRUCTURE ANIMATION DE QUARTIER GAUTRIATS/SAUGERAIES - Saône-et-Loire
RAISON D'ETRE DE L' ACTION
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L'action résulte des difficultés à trouver une juste place pour les jeunes au sein de la fête de quartier. Les "scènes ouvertes" organisées jusqu'en 2014 ne satisfaisaient personne et donnait lieu à des tensions.
L'objectif est de créer un évenement pour les jeunes, monté avec des jeunes, sur le quartier des Saugeraies. Cet évenement vise à donner une image positive des jeunes et valoriser leus capacités créatives.
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
METHODOLOGIE DE L' ACTION
- Public
- Jeunes adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Commune
- Conseil régional
- Autre
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
La démarche est en cours, un comité d'organosation a été créé en septembre 2015, il est composé:
- des animateurs du centre social
- de l'association "Vita Culture"
- de Luciol.
Le déroulement du projet a été mis au point, ainsi que la calendrier, le visuel est prêt. L'appel à candidature va être lancé en janvier 2016.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
fonctionnement : 4 000 euros, hors salariés et moyens techniques de la ville de Mâcon, hors aide de Luciol.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 membres de l'équipe du centre social
1 salarié de Luciol
5 bénévoles de l'associationVita Culture
AUTO-EVALUATION DE L’ACTION
- Résultat sur le territoire
Création d'un nouvel évenement d'echelle communale sur le quartier des Saugeraies,
Valorisation des jeunes,
Promotion de l'engagement et du bénévolat.
- Résultat pour le centre social
Renforcement du lien avec les 15/25 ans,
Repositionnement du centre social comme espace à l'écoute des initiatives jeunes,
Intégration de jeunes dans les futures instances participatives ( ateliers urbains)
- Résultat pour les habitants
Amélioration de la lisibilité de l'action de proximité destinée aux jeunes. Modification de l'image des jeunes.
- Suite de l'action : Limites
Action ponctuelle qui devra être poursuivie, pour éviter l'effet "one shot":
- accompagnement des jeunes musiciens
- maintien du contact avec les 15/25 ans, notamment par une reconfiguration de l'équipe du centre social
- Suite de l'action : Perspectives
Zik en Vrac, à l'image de son nom, est une action non figée, ouverte à toutes les cultures musicales. Son inscription dans le temps, au rang des rendez-vous réguliers donné par le quartier aux Mâconnais, est une perspective importante pour les initiateurs de la démarche.
FICHIERS ASSOCIES
- Fichier(s) associé(s)