Les actions des centres sociaux
Actions
Echo
- Structure organisatrice
- MJC CENTRE SOCIAL COULEURS DES LIENS - Ardèche
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Résumé
Mise en place d'ateliers artistiques dans le quartier, en bas des immeubles, sur les temps festifs pour récolter la matière (mosaique et céramique) puis élaboration des fresques avec les habitants. Ces actions nous ont permis de sensibiliser les habitants à la propreté dans les espaces collectifs et leur capacité à agir sur leur environnement.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
A la demande des habitants qui avaient envie d'embellir leur quartier.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Une dizaine d'ateliers mis en place dans le quartier et sur les temps festifs du centre social et réalisation des fresques pendant les vacances de la Toussaint.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget total :15000€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
120 personnes (adultes et enfants), différentes strutures un EHPAD, un CADA, un IME, la MJC et le centre social, une association d'artiste porteuse du projet
- Résultat sur le territoire
Les habitants ont envi de poursuivre les actions qui permettent d'améliorer la vie dans leur quartier et le projet se poursuit porté par le centre social avec les groupes d'habitants et les partenaires.
- Résultat pour le centre social
Les habitants sont plus dans une dynamique de prendre des initiatives et d'agir sur leur environnement. Ils se connaissent mieux et les fresques réalisées sont respectées. Ils proposent d'autres actions sur le centre social et s'impliquent davantage dans la vie du centre
- Résultat pour les habitants
Les habitants se connaissent mieux, ont plaisir à se rencontrer et à s'entraider.
- Suite de l'action : Limites
Les limites sont plus du côté institutionnel, à repérer les actions possibles à mener en collaboration avec le bailleur, la mairie...
- Suite de l'action : Perspectives
Le projet se poursuit porté par le centre social administrativement et avec l'implication des habitants moteur du projet
Actions
Départ Vacances Familles
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL L'ODYSSEE DE SAINT AGRÈVE - Ardèche
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Nous avons réalisé cette action deux années de suite (2014 et 2015), il semblait nécessaire de faire une "pause" les participants (familles) ne présentant plus des garanties d'implication optimum comme cela a été le cas en 2014. Nous gardons par contre l'espoir de renouveler cette expérience dans les années futures notamment autour de départs vacances seniors et également familles à nouveau
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Solidarité
- Résumé
Accompagner le départ en vacances (individuelle ou collective au choix des familles), pour des familles n'étant jamais partis en vacances. Sur 9 mois, à raison d'une seance de 2h par mois, l'accompagnement est fait par la CESF du centre et d'une assistante sociale du département. Autour de la création du projet, choix du séjour, les dépenses sur place, les activités, le transport. Une épargne est établie chaque mois avec les familles. Le projet a reçu le soutien de la CAF, du département et de l'ANCV. Un soutien spécifique pour le centre social a également lieu pour le centre social de la part du département.
La recherche des familles sur un territoire très rural et assez grand, s'est fait en relation avec les associations d'entraide, les travailleurs sociaux, le cias et les ccas. Une réunion de bilan a lieu à la fin de chaque action.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Nous avions fait le constat que des familles ne partaient pas en vacances, soit par manque de moyens financiers mais pas que. En effet, certaines ont un véritable frein pyschologique, des difficultés également pour s'organiser, pensant que le fait de partir en vacances, cette notion même n'est pas pour eux. le changement attendu concerne un processus d'émancipation de ces familles, il s'agit ici de leur donner un coup de pouce pour l'organisation, l'élément financier est un plus mais n'est sans doute pas le frein principal. L'idée est que ces familles, suite à cette expérience, puisse renouveller l'expérience d'elles-mêmes.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Caf
- Commune
- Conseil départemental
- MSA
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Une préparation en amont avec les partenaires pour définir les objectifs, s'appuyer sur les travailleurs sociaux, associations locales pour le ciblage des familles. Ensuite, rencontre individuelle avec les familles puis lancement de l'action (entre oct 2013 et août 2014 pour le bilan). Une séance par mois de décembre 2013 à juin 2014, le départ des familles en vacances se faisant surtout en juillet, un bilan général en août 2014.
Des temps de travail sur les séances en collectif sur le budget, choix des vacances, les transports, l'épargne, l'organisation sur place.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
En tout environ 10 000€ pour 6 familles qui sont parties
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 professionnelles sur l'action en suivi (préparation, action collective, bilan)
4 à 5 professionnels sur l'organisation au départ et le suivi
- Résultat sur le territoire
6 familles, 16 personnes en tout (avec les enfants) qui sont parties pour la première fois en vacances. Un partenariat effectif entre la caf, le département et le centre social, une mobilisation des acteurs associatifs d'entraide, les ccas et le cias. Un projet sur presque 10 mois qui a mobilisé des energies et a eu un effet positif sur les personnes qui en ont profité.
- Résultat pour le centre social
Reconnaissance du travail effectué par le centre auprès des partenaires et des habitants
- Résultat pour les habitants
Premier départ en vacances pour les familles
Emancipation avec d'autres départs de celles-ci mais sans accompagnement prolongé lors de vacances les années après.
- Suite de l'action : Limites
la principale limite consiste à l'appropriation des familles au projet, leur investissement quelque fois trop faible même si les absences cette année 2014 ont été très faibles et toujours justifiés. Malgré tout on se rend compte que des familles n'ont pas la vonlonté de s'intégrer dans un projet de longue durée (6 mois minimum)
En 2015 lors d'une seconde édition, nous avons eu plus de mal à mobiliser les familles dans le suivi et quelques loupés sur les vacances en elles-mêmes (une annulation par exemple)
- Suite de l'action : Perspectives
pas d'action en 2015-2016 mais un projet en cours autour d'un départ vacances seniors et sans doute une relance du projet départ vacances familles en 2017 avec l'appui à nouveau d'un cias en plein développement qui interviendrait dans le projet plus fortement.
Actions
Navette Solidaire "Le Ptit'Bus"
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL L'ODYSSEE DE SAINT AGRÈVE - Ardèche
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- mobilité / transport
- Résumé
Une navette pour aller au centre ville de la commune de Saint-Agrève (2400h). 4 fois par semaine, serice gratuit, il suffit d'être adhérent au centre socioculturel. Les chauffeurs bénévoles (8) vont chercher les personnes (tout public mais en majorité des seniors) chez elles, les aménent chez le médécin, maison de services au public, mairie, courses puis les ramènent chez elles. Il suffit juste de réserver la veille avant midi. Un coup de fil et on vous enmène !
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Répondre aux besoins liés à la mobilité sur une commune étirée autour d'une rue centrale (1,5 km entre l'est et l'ouest). Pour les personnes n'ayant pas de véhicule ou plus les moyens de le conduire, la difficulté quand on est fatigué, malade, de cheminer sur des trottoirs quelque fois en très mauvais état. Le projet s'adresse à tous les publics même si les bénéficiaires sont essentiellement des personnes âgées (+75 ans en moyenne). Il s'agit pour elle quelque fois de la seule sortie de la semaine, pour aller au centre socioculturel, à la mairie, à la maison de santé, faire ses courses. Cela permet aussi de rendre acteur des chauffeurs bénévoles, jeunes retraités pour la plupart, qui veulent rendre service à leurs concitoyens.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- CARSAT
- Commune
- Conseil départemental
- Fondations
- MSA
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Existence d'un comité de pilotage local sur la problématique "mobilité" très prégnante sur notre bassin de vie. Des associations locales, des habitants, des élus, le département. Après un diagnostic local, un projet de navette voit le jour en mai 2015 en s'appuyant sur des chauffeurs bénévoles et un véhicule existant (minibus 9 places) appartenant au centre socioculturel. Un groupe de travail avec un animateur du centre, le directeur et des chauffeurs bénévoles s'est constitué. 3 réunions ont été nécessaire pour définir : le territoire, le public, le coût, la communication et le planning des navettes. L'objectif est de permettre aux personnes rencontrant des difficultés à se déplacer, de les amener en centre ville pour faire des activités, les courses, des démarches administratives... Le projet a pu voir le jour avec le soutien financier de partenaires comme la MSA, la carsat, le département et la fondation de france
- Ressources financières mobilisées pour cette action
avec les charges de personnel, on est autour de 5000 euros par an
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 salariés, 8 chauffeurs bénévoles et le comité de pilotage soit 15 personnes de plus donc au total : 26 personnes
- Résultat sur le territoire
1 service supplémentaire sur le bassin de vie, pas de concurrence avec les taxiteurs locaux qui ne font que rarement des courses très locales et ils ont été contactés avant le démarrage de l'action. Un vrai service à la population, du lien social (rencontres entre personnes), de la solidarité (portage des courses), bonne image des chaffeurs qui donnent de leur temps
- Résultat pour le centre social
Reconnaissance du centre socioculturel pour proposer des projets innovants et vecteur de lien social
Un budget relativemetn important pour une seule action avec des soutiens financiers importants mais qui reste à péréniser (fondation de france que pour une année)
- Résultat pour les habitants
1 service gratuit (adhésion de 11€ par an)
des rencontres entre bénéficiaires et avec les chauffeurs, des personnes qui sortent d'un isolement qui était forcé (pas de voiture en milieu rural, c'est dur)
des habitants bénéficiaires qui s'impliquent dans la vie du centre (commissions, échange, autres activités)
reconnaissance des bénévoles pour leur implication dans la vie locale
- Suite de l'action : Limites
malgré le succès de la navette qui fonctionne en moyenne 3 à 4 fois par semaine, il y a peu de personnes à chaque fois (1 à 3 max) sauf le mardi matin pour une activité particulière du centre (assiette des aînés avec 8 personnes à chaque navette)
le financement car l'action est coordonnée par des salariés (comité de pilotage, réservation, communication, dossiers) et que certains financeurs (fondation d efrance) ne finance l'action que sur une année, donc nécessité de trouver des financements pérénnes.
- Suite de l'action : Perspectives
cette action peut relativement facilement s'externaliser sur d'autres communes, souvent des véhicules d'associations, de collectivit, d'entreprises sont sous-utilisés et pourraient servir. Les bénévoles peuvent se "recruter" et des structures peuvent organiser ce genre de projets.
Actions
Cafés Blabla et Blabla Mobile
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIO-CULTUREL LE PALABRE - Ardèche
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- Mixité sociale
- Résumé
Organisations de 3 espaces de rencontres dont 1 au centre socio-culturel et deux dans des écoles une fois par semaine.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action à été mise en place pour répondre à la problématique de la mixité sociale sur le territoire et principalement dans les écoles élémentaires. Dans le but d'amener les habitants à proposer des solutions et des initiatives à l'interieur de ces espaces d'échanges et d'écoutes.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Commune
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Il y'a eu deux groupes de travail, la mairie et le conseil général.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le budget de l'action s'élevait à 9000€.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 salariés, 2 bénévoles.
- Résultat sur le territoire
De nombreuses personnes sur le projet, ainsi qu'une volonté croissante de proposer des solutions avec comme objectif le développement du lien social sur le territoire.
- Résultat pour le centre social
Des habitants qui fréquentent le centre socio-culturel se sont investit plus profondemment dans le centre et font maintenant partie du conseil d'administrations.
- Résultat pour les habitants
Une nette amélioration de la cohésion sociale entre les habitants, les parents d'éleves ...
- Suite de l'action : Limites
L'action à plus fait évoluer le lien social entre les habitants et n'a pas créé une véritable dynamique collective.
- Suite de l'action : Perspectives
Une volonté de faire évoluer le projet avec la création d'un Blabla Truck se déplaçant sur l'ensemble de l'intercommunalité (39 communes) avec le soutien d'un financement intercommunal.
Actions
Balade découverte
- Structure organisatrice
- MJC CENTRE SOCIAL COULEURS DES LIENS - Ardèche
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Santé
- Résumé
L'animateur construit un programme de sorties avec les usagers. Toutes les semaines, il propose une balade découverte différente, de niveaux de difficulté différentes, et avec des thématiques différentes.
On découvre notre commune mais également le bassin de vie. Cet atelier créé un lien fort entre les usagers qui se retrouvent pour des balades hors cadre du centre social.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Autre
- Précision ( si autre )
L'animateur du centre social est à l'origine de cette initiative, en lien avec les usagers qui souhaitaient faire une activité douce.
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place pour repondre à un besoin d'activité accessible, accompagnée, favorisant à la fois le lien social et l'activité phylique douce. Cette action a permis de rompre l'isolement des usagers, elle favorise la mixité entre les habitants des quartiers de la ville et des villages alentours.
Les usagers pratiquent une activité physique régulière. Le médiateur santé accompagne 1 fois par mois. Le groupe constitué est assidu aux sorties, il connait son niveau / difficulté des sorties. Ils apprennent à se diriger à partir de cartes.
Pendant les vacances scolaires, ces balades se transforment en balades en famille.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Cette action a commencé en 2013. elle est née de la rencontre entre le besoin des habitants et l'animation du centre centre social.
L'action a mobilisé des ressources internes auxquelles s'ajoutent des intervenants extérieurs : médiateur santé,...
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Salaire animateur : 7500€
Programmes : 100€
Véhicules : 684€
Equipements de sécurité : 300€
Alimentation : 50 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1/2 professionels
Personnes participantes : 25
Moyenne par sortie : 15/20 personnes
Nb de sorties : 40/45 par an
- Résultat sur le territoire
Création de lien social
Assurance, gain de confiance en soi
Pratique sportive adaptée
Bénéfice santé
Découverte du patrimoine
- Résultat pour le centre social
Le centre soical propose une activité en extérieur, qui a des missions transversales.
- Résultat pour les habitants
L'action est très bien accueillie et suivie par les habitants, qui en sont les milleurs ambassadeurs.
- Suite de l'action : Limites
Hétérogénéité du niveau des pratiquants
- Suite de l'action : Perspectives
Faire des groupes de niveaux pour répondre aux besoins.
Mobiliser un groupe de bénévole pour encadrer un groupe de niveau différent, accompagner les pratiquants vers l'autonomie.
Actions
Balade découverte
- Structure organisatrice
- MJC CENTRE SOCIAL COULEURS DES LIENS - Ardèche
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Santé
- Résumé
L'animateur construit un programme de sorties avec les usagers. Toutes les semaines, il propose une balade découverte différente, de niveaux de difficulté différentes, et avec des thématiques différentes.
On découvre notre commune mais également le bassin de vie. Cet atelier créé un lien fort entre les usagers qui se retrouvent pour des balades hors cadre du centre social.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Autre
- Précision ( si autre )
L'animateur du centre social est à l'origine de cette initiative, en lien avec les usagers qui souhaitaient faire une activité douce.
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place pour repondre à un besoin d'activité accessible, accompagnée, favorisant à la fois le lien social et l'activité phylique douce. Cette action a permis de rompre l'isolement des usagers, elle favorise la mixité entre les habitants des quartiers de la ville et des villages alentours.
Les usagers pratiquent une activité physique régulière. Le médiateur santé accompagne 1 fois par mois. Le groupe constitué est assidu aux sorties, il connait son niveau / difficulté des sorties. Ils apprennent à se diriger à partir de cartes.
Pendant les vacances scolaires, ces balades se transforment en balades en famille.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Cette action a commencé en 2013. elle est née de la rencontre entre le besoin des habitants et l'animation du centre centre social.
L'action a mobilisé des ressources internes auxquelles s'ajoutent des intervenants extérieurs : médiateur santé,...
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Salaire animateur : 7500€
Programmes : 100€
Véhicules : 684€
Equipements de sécurité : 300€
Alimentation : 50 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1/2 professionels
Personnes participantes : 25
Moyenne par sortie : 15/20 personnes
Nb de sorties : 40/45 par an
- Résultat sur le territoire
Création de lien social
Assurance, gain de confiance en soi
Pratique sportive adaptée
Bénéfice santé
Découverte du patrimoine
- Résultat pour le centre social
Le centre soical propose une activité en extérieur, qui a des missions transversales.
- Résultat pour les habitants
L'action est très bien accueillie et suivie par les habitants, qui en sont les milleurs ambassadeurs.
- Suite de l'action : Limites
Hétérogénéité du niveau des pratiquants
- Suite de l'action : Perspectives
Faire des groupes de niveaux pour répondre aux besoins.
Mobiliser un groupe de bénévole pour encadrer un groupe de niveau différent, accompagner les pratiquants vers l'autonomie.
Actions
Dîner Quizz
- Structure organisatrice
- Centre social Fumay Charnois Animation - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Chaque dîner quizz se déroule sur une séquence
Le Centre Social organise 2 à 3 dîner quizz par an.
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- Santé
- Résumé
Déroulement de la soirée :
La salle est formée par des petites tables de 5 à 6 personnes
Cette disposition permet de créer des minis débats sur chaque question.
Une table « Joker » est formée avec les professionnels référents de chacun des domaines de questions liés à la thématique retenue.
En début de soirée, chaque Joker aura un temps bref de présentation. Il sera aussi identifié par son nom, sa structure et son thème.
Le quizz est formé de 20 questions : les réponses sont à choix multiples
Les questions et les possibilités de réponses sont affichées sur un écran géant visible de tous. Elles sont lues par un animateur afin de ne pas mettre les personnes en difficulté vis-à-vis de la lecture et permet de « mettre le ton » pour une meilleure compréhension des questions et réponses.
Chaque table peut solliciter un joker (professionnel) pour deux questions au cours de la soirée. Le groupe doit cibler le bon joker. Si le ciblage est bon par rapport à la thématique de la question, le joker répond et la table gagne 2 points, sinon la réponse est donnée par le bon joker mais cela ne rapporte pas de point.
Au bout d’une minute de mini débat, chaque table doit avoir écrit la/les réponses sur son ardoise ou la sollicitation à un Joker.
Les bonnes réponses apparaissent sur l’écran ainsi que le nom du bon joker.
Les points sont comptabilisés sur un tableau.
Les professionnels expliquent les réponses et apportent des informations aux participants.
Les questions sont posées en 4 séries de 5 questions. A raison d’une minute de mini débat ainsi que du relevé des réponses et des apports des jokers, cela représente un temps d’environ 30 min par série. Entre chaque série, les participants se restaurent et font une pause. (d’où le nom de dîner quizz ou goûter quizz)
découpage de la soirée
18h30/19h00 : accueil des participants puis présentation des professionnels, accompagné d’un cocktail de bienvenue.
19h00/23h00 : 5 questions / entrée - 5 questions / plat – 5 questions / salade-fromage – 5 questions /dessert
23h00 … : Réponses à des questions de la salle, échanges informels avec les professionnels.
Soit une soirée de 3h environ pour le dîner quizz auquel s’ajoute un temps informel en fin de soirée.
A la fin de la soirée, les gagnants reçoivent des lots. Chaque groupe participant recevra une malette de prévention correspondant au thème abordé.
Selon le thème de la soirée, nous sollicitons des partenaires ou intervenants qui pourront répondre aux questions abordées et que nous appelons "Joker".
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Précision ( si autre )
A la demande d'un partenaire local, un dîner quizz thématique peut être mis en place en partenariat (collège et infirmière scolaire - planning familial ...)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Une action dîner quizz a pour objectif de :
- sensibiliser le public sur des questions de santé,ou autre, dans une ambiance ludique et conviviale.
- provoquer des minis débats entre les participants et les inciter à réfléchir sur le thème proposé.
- présenter des référents : santé, médico-social, juridique … qui sont ainsi connus des participants et peuvent être des relais futurs suivant les besoins.
-permettre des rencontres et ainsi croiser les regards et casser des représentations.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ARS
- CARSAT
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Les thèmes choisis répondent aux éléments de diagnostic soulevés par l’équipe d’animation.
Exemple : Le dîner quizz « Relations et vie affective » a été mis en place car les professionnels ont fait émerger les constats suivants : Nombre important de grossesses précoces - Conduites à risques dans le nom respect de soi et de l’autre dans les relations sexuelles - Difficulté, voire impossibilité d’aborder la sexualité en terme de prévention entre les parents et les enfants du quartier - Méconnaissance du corps, de la contraception, non respect de l’autre,tendance à une recherche du plaisir immédiat hors du partage -Importance de l’image media - Problème du respect de la loi, etc …
Les quizz sont préparés en concertation avec les professionnels présents sur l’action : choix d’environ 20 questions.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
rémunération d'intervenants éventuellement selon les besoins
partenariats gracieux selon les thèmes
partage des frais entre partenaires
achat alimentation et fournitures d'activités
animation et coordination par le personnel du centre Social
petite participation financière des usagers
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
4 à 6 professionnels du Centre Social
2 à 4 intervenants spécialisés
4 à 6 bénévoles habitants
- Résultat sur le territoire
le dîner quizz mobilise davantage sur un thème choisi qu'une réunion ou une conférence
- Résultat pour le centre social
bonne participation des habitants
outil d'animation facilitant l'approche d'un thème parfois difficile avec les habitants
développement de partenariats dynamiques
- Résultat pour les habitants
40 et 50 habitants participent à chaque dîner quizz
permet des rencontres intergénérationnelles et ainsi croiser des regards et casser des représentations.
permet de rencontrer des professionnels de la santé, du juridique, du médico-social pour "désacraliser" certaines fonctions ...
apprendre en s'amusant
- Suite de l'action : Limites
tout thème peut être abordé de façon ludique et collective :
Novembre 2013 :
« Relation et vie affective »Prévention sur les questions de sexualité
1
CONSEIL DEPARTEMENTAL:conseillère conjugale et familiale
Joker sanitaire et social
1
CIDFF : Centre d'Information sur les Droits des Femmes et des familles : juriste
Joker juridique
1
CDAG : Centre de Dépistage Anonyme et Gratuit : infirmière de l’Hôpital de Manchester à Charleville-Mézières
Joker sanitaire et social
1
conseillère conjugale et familiale (indépendante)
Joker psycho-social
1
Centre Social Fumay : Référente santé
Joker culturel et sémantique
avril 2014 :
« Manger / bouger »
1
Educatrice sportive EPMM
Joker « Bouger » : activités physiques
1
Diététicien nutritionniste
Joker « Manger » : nutrition
Octobre 2014 :
« Cyber-risques »
1
CIDFF : Centre d'Information sur les Droits des Femmes et des familles : juriste
Joker juridique
1
Maison des adolescents Charleville : psychologue
Joker psycho-social
1
Centre Social Fumay : coordonateurcyberbase
Joker Technique
- Suite de l'action : Perspectives
Autres exemples axés culture : février 2014 « Culture générale » - novembre 2014 « Les deux guerres »
reconduction en 2015 :
thème prévention routière
reprise du thème "relations et vie affective" en lien avec le collège classes de 3ème
Actions
Plate forme de Redynamisation
- Structure organisatrice
- Social Animation Ronde Couture - Ardennes
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- Résumé
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Autre
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L'action fut mise en place suite à une demande de la sous profecture de Sedan et au regard de différents constat : Les chantiers d'insertion rencontrent des diffiucultés relatives au recrutment des béénficiaires. Ces derniers ne présentent pas forcément les pré reqis nécessaire pour suivre le dispositif. Souvent la reprise d'une activité, le respect du cadre avec l'éffort physique à fournir interfert au bon déroulement du chantier. A cet effet, il paraissait oportun de mettre un sas préparatoire aux chantiers d'insertion. Ce sas devait avoir pour mission le réentrainement au travail progressif pour un public cible: jeune de 18-25 ans et les femmes sans toutefois exclur d'autres typologie de public. La raison de ce public cible repose également sur le constat de compter peu de jeune et de femme sur les chantiers d'insertion. Le fait de préparer ces personnes a pour objectif d'optimiser leur parcours et de les préparer dans les meilleures conditions pour éviter les échecs avant et pendant les chantiers. La capacité d'intégrer des publiocs sur les chantiers d'insertion étant limité, d'autres objectifs sont visés: entrée en formation, notamment qualifiante, s'inserer dans l'emploi, créer son entreprise ou connaitre une réorientation spécifique au regard de problématique repérées,
- Public
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Autre
- Description générale
La Plate forme de Redynamisation fut mise en place en 2011 suite à de multiples réunion avec les différents partenaires de l'insertion sociale et professionnelle. Ce projet porté par le centre social, fut réellement co-construit, avec les différentes instances suite à un diagnostic affiné des besoins.
Le dispositif fonctionne fonctionne toute l'année en entrées et sorties permentes. A cet effet, des comités de suivi ont lieu tous les mois en présence des référents prescripteurs, des partenaires associés (structure d'accueil) et des financeurs. Cet temps d'échange permettent d'aborder la situation individuelle de chaque bénéficaires avec une attention particulière portés sur les progrès, difficultés, perspcetives de parcours, A cette occasion, il est question de déterminer me maintient ou la sortie du bénéficaire du présent dispositif. La décision colégiale est prise en fonction de l'atteinte ou non des objectifs fixés initialement par le prescripteur.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
41 195 Euros : co financement Conseil Départemental, Contrat de Ville, Etat (Fond Jep)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
En 2015 : 42 personnes inscrites, 32 rencontrées en entretiens, 28 entrées sur l'action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Manchest'Art
- Structure organisatrice
- Centre social Manchester - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Action ponctuelle dans le cadre de la Nuit des Musées
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- Mixité sociale
- Résumé
Dans le souci d’associer les jeunes dès l’élaboration du projet, une première phase de sensibilisation aux pratiques artistiques et culturelles a été prévue : rencontres avec des artistes divers (sculpteurs, peintres, dessinateurs, musiciens…), autour d’ateliers de créations artistiques, visites d’expositions, de musées.
Au fur et à mesure des rencontres, des réunions et des échanges,nous avons impliqué les jeunes au coup par coup en fonction de leurs envies : certains ont préférés s'impliquer dans la mise en place de sorties, d'autres sur la mise en place des ateliers artistiques, et d'autres pour l'installation de la manifestation.
- La conception de plaquettes d’information, d’affiches en direction des habitants
- L’organisation de sorties, de spectacles et d’un temps fort en direction de tous les habitants du quartier.
- L’élaboration d’une exposition « vivante et interactive » dans le quartier (Art éphémère, visite guidée).
- La Participation à « La nuit des musées ».
Les jeunes ont été encadrés et/ou accompagnés par des adultes référents, qui ont joué un rôle prépondérant dans la mobilisation des publics en créant des conditions favorables à leur implication et à leur participation active dans la mise en œuvre du projet
- Un animateur a été chargé de l’encadrement des jeunes tout au long du projet. Il s’agit d’une personne déjà en poste sur la structure qui a assuré le lien et la coordination du projet et a été là en soutien de toutes les démarches et initiatives des jeunes. De manière plus globale, la responsable du secteur jeune a eu un rôle de coordination du secteur et de toutes les actions s’y référent.
- Un réseau de partenaires a été constitué et associé au projet (Club de Prévention, collège, Service culturel de la ville, Musée de l'Ardenne...) et tout autre partenaire agissant dans les domaines culturels ou en milieu artistique et qui ont souhaité accompagner les jeunes dans ce projet).
- Les habitants et associations de quartier qui sont souhaité être associés à l’organisation des actions culturelles et à l’animation globale du quartier.
Ce projet aussi issu d’une volonté de recréer une dynamique partenariale sur le quartier et développer une politique commune en faveur de la jeunesse. Ont été associés les partenaires de l’insertion (Mission Locale, CIO…), les partenaires culturels (un représentant du Service culturel de la ville de Charleville-Mézières, un représentant de l’ORCCA, le directeur du musée de l’Ardenne…), les associations d’habitants (qui organisent aussi des manifestations culturelles et/ou festives sur le quartier), l’ACEPA, le collège Scamaroni…
Des liens permanents ont été établis au sein du Centre Social entre les différents secteurs (qui organisent aussi, chacun à leur niveau, des actions d’éveil artistique et de promotion de la culture).
En partant d’un projet de jeunes, c’est le développement social et l’animation globale du quartier qui ont été principaux objectifs à travers cette action.
C’est aussi une manière de mettre en valeur leurs compétences artistiques et de mettre en avant leurs aspirations culturelles, autant d’entrées permettant la mise en évidence de compétences et la valorisation des jeunes du quartier.
C’est durant l’Organisation du temps fort que l’implication des habitants du quartier a été la plus forte. Ils se sont mobilisés dans toutes les étapes de mise en place de cette manifestation sur leur lieu de vie.
Date : le 17 mai 2014(Nuit des musées)
De 18h00 à 24h00
Lieu : Quartier de Manchester
Présentation de l’évènement :
- Une structure posée sur la place de Manchester
- expositions interactives des œuvres réalisées dans le cadre des ateliers artistiques (depuis septembre 2010)
- visites guidées du musée et ateliers artistiques participatifs avec les habitants du quartier
- présence d’artistes et expositions d’artistes locaux (ORCCA…)
- Une animation musicale (groupe) en soirée
- Un espace restauration et buvette
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La loi de lutte contre les exclusions du 29 juillet 1998 stipule que "L'égal accès de tous, tout au long de la vie, à la culture, à la pratique sportive, aux vacances et aux loisirs constitue un objectif national. Il permet de garantir l'exercice effectif de la citoyenneté". L'accès à la culture placé au même titre que l'accès aux droits fondamentaux que sont le travail, le logement ou encore la santé ne doit pas rester une déclaration d'intention, et l'accès à la culture des populations les plus en difficulté pourrait être une priorité.
Le centre social veut participer à susciter dans ce sens l'intérêt de la société et des pouvoirs publics en oeuvrant pour l'accès et la pratique d'activités culturelles comme un moyen de lutter contre les exclusions. Non pas seulement dans le sens d'une appropriation de la culture classique mais d'abord pour offrir aux personnes en difficulté la possibilité d'exister autrement dans le regard des autres. Ce dont les personnes exclues souffrent le plus, ce n'est pas du manque de ressources, même si elles en parlent souvent en premier, c'est le manque de relations amicales avec d'autres et l'occasion de montrer qui elles sont réellement. Ce qu'elles pensent et ce qu'elles savent faire. En outre il faut du courage pour sortir d'un environnement que l'on maîtrise pour aller vers quelque chose dont on ne connaît pas les codes.
La dimension culturelle est une réelle amorce pour sortir de l'exclusion, se remobiliser et se projeter dans la vie. Par exemple, le simple fait d'aller au musée, permet de sortir de son entre soi, et de son environnement familier.
Loisirs et culture ne doivent pas être un luxe. Il s'agit de les faire entrer dans les quartiers populaires puis leur permettre d'intégrer des expressions nouvelles. La culture doit aussi être considéré comme un plus dans la vie (dans les relations avec les autres, dans un métier, dans un entretien d'embauche).
Les pratiques artistiques ( constituent les formes d'expression qui prennent appui sur un art, théâtre, danse, arts plastiques, écriture...et font appel à la créativité individuelle ou collective))et culturelles (ensemble des formes de diffusion, de mise en circulation, d'échange et de partage autour des biens culturels : fréquentation des musées, cinéma, monuments, écoute de la musique...) des jeunes sont un maillons essentiels de l'accès à l'autonomie, à la socialisation et à la responsabilité.
C'est à travers les activités artistiques et culturelles pratiquées dans des périodes clés d'apprentissage que sont l'adolescence et la jeunesse que chaque génération peut réinterpréter le monde, inscrire sa marque et apporter sa contribution au dialogue entre toutes les cultures: savantes, populaires et de toutes origines.
Seuls ces échanges et confrontations avec toutes les cultures dans l'espace public, permettent la reconnaissance des cultures des jeunes par les autres, autant que la reconnaissance des cultures des autres par les jeunes.
Même si les jeunes voyagent à travers la Webplanète, chambre close, ils ne grandissent pas seuls mais en harmonie avec leur entourage humain. Les adultes doivent les aider à activer un esprit critique, leur apprendre à argumenter, étayer et réfléchir pour que cela deviennent constructif et non plus négatif. Nous devons créer la rencontre Adolescents-Culture pour provoquer la protestation, ou tout du moins la réaction.
Tant que les jeunes protesteront contre "la musique de leurs parents" il y aura de l'espoir.
C'est pour cela que Manchest'art existe.
Les objectifs :
- Susciter les initiatives de jeunes du quartier en favorisant leur prise de responsabilités
- Favoriser leur autonomie en les associant à l’élaboration d’actions culturelles
- Sensibiliser les jeunes du quartier à différentes pratiques artistiques et/ou culturelles, et au-delà à la vie locale et à l’animation du quartier
- Participer à l’éveil artistique des jeunes tout en privilégiant les moments de partage intergénérationnel et de convivialité familiale.
- Aménager des espaces culturels et élaborer des moments de rencontres autour des pratiques artistiques.
- Travailler à la mise en réseau des acteurs du quartier (Centre social, Acepa, collège...)
- Inscrire le projet à l’échelle du quartier et en direction de tous les habitants
- Favoriser l’apprentissage de la vie sociale et la responsabilisation
- Permettre aux jeunes de découvrir le processus de création en privilégiant les rencontres conviviales avec les équipes artistiques et techniques
- organiser un temps fort autour des créations réalisées.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- ACSE
- Association locale
- Caf
- Commune
- Conseil départemental
- Conseil régional
- Etat
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Par l'implication des jeunes dans le cadre de ce projet, nous avons recherché un réel investissement des jeunes mais également des habitants du quartier sur tous les évènements festifs qui se sont organisés durant l’année sur le quartier.
Les jeunes ont engagés toutes les démarches nécessaires à l’organisation des ateliers artistiques et culturels, à l’information, à la planification des moments forts. Les habitants ont été conviés à participer à la mise en place de ces temps forts (Nuit des musées).
L'action a débuté en janvier 2014 mais des éléments ont été construits en amont précédemment. Des rencontres conviviales ont été organisées entre les équipes artistiques et techniques.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
56428 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Intervenants - en interne (équipe mobilisée)
coordinateur secteur adultes et familles
coordinatrice secteur jeunesse
animatrice secteur jeunesse
coordinatrice secteur enfance
responsable halte garderie
responsable insertion
responsable multimédia
Nombre d’intervenants participant à l’action :
1 artiste en résidence, 10 artistes (plasticien, peintre, sculpteur, graveur..) et 1 plasticien pour la mise en espace du musée
un technicien, groupe de musique...
- Résultat sur le territoire
Loisirs et culture ne doivent pas être un luxe. Il s'agit de les faire entrer dans les quartiers populaires puis leur permettre d'intégrer des expressions nouvelles. La culture doit aussi être considéré comme un plus dans la vie (dans les relations avec les autres, dans un métier, dans un entretien d'embauche).
- Résultat pour le centre social
Le centre social veut participer à susciter dans ce sens l'intérêt de la société et des pouvoirs publics en oeuvrant pour l'accès et la pratique d'activités culturelles comme un moyen de lutter contre les exclusions. Non pas seulement dans le sens d'une appropriation de la culture classique mais d'abord pour offrir aux personnes en difficulté la possibilité d'exister autrement dans le regard des autres.
- Résultat pour les habitants
C'est à travers les activités artistiques et culturelles pratiquées dans des périodes clés d'apprentissage que sont l'adolescence et la jeunesse que chaque génération peut réinterpréter le monde, inscrire sa marque et apporter sa contribution au dialogue entre toutes les cultures: savantes, populaires et de toutes origines.
Seuls ces échanges et confrontations avec toutes les cultures dans l'espace public, permettent la reconnaissance des cultures des jeunes par les autres, autant que la reconnaissance des cultures des autres par les jeunes.
Même si les jeunes voyagent à travers la Webplanète, chambre close, ils ne grandissent pas seuls mais en harmonie avec leur entourage humain. Les adultes doivent les aider à activer un esprit critique, leur apprendre à argumenter, étayer et réfléchir pour que cela deviennent constructif et non plus négatif. Nous devons créer la rencontre Adolescents-Culture pour provoquer la protestation, ou tout du moins la réaction.
- Suite de l'action : Limites
Pas de difficultés rencontrées
Tous les partenaires ont donné le meilleur d'eux même pour que le projet réussisse.
Chacun a trouvé sa place et a participé activement.
Les jeunes se sont impliqués de la conception a la réalisation du projet.
Les habitants se sont mobilisés dans les divers ateliers en amont mais également le jour de la manifestation.
Des habitants sont venus nous aider au montage ainsi qu'au démontage. D'autres étaient parfois guides ou surveillants du Musée
L'ensemble des habitants ont une réelle envie de faire des sorties culturelles et ils nous l'ont montrer lors des sorties, ils sont déjà mobilisé dans les différents ateliers. Une forte implication de leur part lors du temps fort du 17 mai 2014. Ils sont déjà venu nous demander si il y aurait une autre édition.
A ce jour, Manchest'art et la manifestation de la Nuit des Musées est toujours dans toutes les têtes.
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Un espace accueil pour une meilleure cohabitation des actions et une dynamique participative
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Animer un espace d’accueil pour une meilleure cohabitation des actions et une dynamique participative.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence au diagnostic :
De nombreuses activités s’y côtoient aujourd’hui, entrainant parfois des difficultés de cohabitations et de lisibilité auprès du public. Un travail de réflexion sur les espaces est donc nécessaire afin d’améliorer encore l’accueil, source de lien social et de convivialité.
Impossibilité d’empêcher des familles de séjourner dans le hall d’accueil malgré l’instauration d’un dialogue permanent.
Source :
(Extraits du diagnostic du bilan contrat de projet 2010-2014).
Objectif stratégique :
Développer et valoriser la fonction d’animation sociale, source de cohésion sociale à l’échelle du territoire.
Objectifs opérationnels :
Améliorer l’accueil des personnes, des familles, des associations
- Améliorer l’accueil des groupes informels, des partenaires…
- Modifier l’aménagement et l’organisation de l’espace accueil.
- Encourager les initiatives des habitants et enclencher une dynamique participative.
- Rompre l’isolement des habitants, prévenir et réduire les exclusions, renforcer les solidarités entre les personnes en les « intégrant » dans des projets collectifs leur permettant d’être acteurs et d’assumer un rôle social au sein d’un collectif ou sur le territoire.
- Installation de mobiliers et cloisons…
Résultats attendus de l’action :
- Mise en œuvre d’une démarche transversale avec l’ensemble des professionnels du centre social permettant d’organiser une fonction d’accueil et d’écoute des habitants, usagers, des familles et des groupes informels ou des associations.
- Amélioration de l’accueil des personnes, des familles et des associations.
- Appréciations des visiteurs de l’animation dans le hall d’accueil (expositions, ateliers, …) pour présenter le centre social.
- Favoriser une attente confortable, détendue, harmonieuse.
- Réaliser un hall d'accueil en vecteur d'images fortes du centre social.
- Communiquer d'emblée un message fort sur l'identité du centre social.
- Capitaliser l’expérience de cette action afin d’optimiser l’utilisation du nouveau hall d’accueil de la future maison de quartier.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
2015 à 2018.
Déroulement :
L’accueil, basé sur une écoute attentive, s’étendra à la capacité à proposer une offre globale d’information et d’orientation. Il sera surtout organisé de manière à recueillir les besoins des habitants et leurs idées de projets collectifs.
Il sera assuré, à titre principal, par un agent d’accueil qualifié, mais sera appréhendé comme une fonction portée collectivement par l’ensemble de l’équipe d’animation du centre social. Cette fonction devra être reconnue, repérée sur le territoire d’intervention et sera considérée comme une action à part entière.
L’équipe de professionnels du centre social assurera une attention particulière aux familles et aux publics fragilisés et, le cas échéant, leur proposera un accompagnement adapté.
Créer les conditions de l’accueil et de la participation :
Un cahier des charges sera élaboré sur le schéma d'agencement avec les dirigeants, les salariés, les adhérents. Il permettra d’améliorer l’accueil, source de lien social et de convivialité.
Le recensement des besoins se révèle une étape incontournable. Il convient, tout d'abord, de détailler les contraintes techniques auxquelles le centre social est confronté. « C'est ce qui va permettre d'organiser une continuité et une cohérence entre ce qui existe et ce qui va être créé pendant la durée du projet social et imaginé dans la future maison de quartier ».
À l'issue de cette phase d'audit, le cahier des charges pourra être soumis à un architecte d'intérieur qui sera en mesure de travailler sur le schéma d’agencement.
Il faudra ensuite s'interroger sur la qualité et la typologie des personnes qui transiteront par cet espace (adhérents, usagers, fournisseurs, salariés…) et sur les temps d'attente de chacun, afin de mieux définir les flux de circulation. Les questions de sécurité - gestion des accès et filtrage - doivent être examinées avec attention.
Les questions acoustiques ne sont pas à négliger. Dans un espace où transitent plusieurs dizaines de personnes chaque jour, le niveau sonore ambiant peut se révéler rapidement élevé et gênant, rendant difficiles les conversations. Il faudra utiliser des outils logiciels de simulation des phénomènes acoustiques permettant d'optimiser les traitements nécessaires.
En termes d’information :
Pérenniser le travail en lien avec les services de la Ville de Sedan, de la Caisse d’Allocations Familiales, du Conseil Général, les associations, des services publics (Pôle Emploi, Mission Locale…), les organismes HLM, afin d’être identifié comme un lieu de diffusion et d’information.
C'est un lieu où les visiteurs vont pouvoir s'informer sur le centre social, d'où l'intérêt d'y installer des outils communicants comme des moyens audiovisuels (écran géant, vidéo projecteur, tablettes numériques, ordinateurs portables…), pour améliorer l’information, la communication.
Les dirigeants du centre social pourront investir dans un logiciel destiné à planifier et automatiser la diffusion de nos contenus multimédia sur un ou plusieurs écrans informatiques ou télévisuels. L’agent d’accueil animera l’espace d’attente en diffusant, sur un ou plusieurs écrans, différentes informations issues de différents fichiers (MS PowerPoint converti en vidéo, flash, films, images. Musiques...) pour faire patienter les visiteurs.
En termes spatiaux :
L’installation de petits salons de type “lounge” pourra être envisagée afin de créer une ambiance plus conviviale et cosy que celle d'une salle de réunion. « Il s'agit de zones « d'attente active » où le visiteur peut se connecter à internet, travailler ou faire une rapide présentation à son interlocuteur ».
Il sera aussi possible d'opter pour la création de petits box où sont accueillis, par exemple, les parents, de façon plus confidentielle, sans avoir à les faire pénétrer dans les bureaux du centre social.
Ces espaces pourront être équipés d'un point café qui pourra être géré par des bénévoles, d'un canapé “lounge”, de petites tables basses ou, au contraire, de tables de type « bar » et de tabourets assis debout.
Des prises électriques et une connexion Wi-Fi peuvent être installées afin de permettre au visiteur de travailler.
Sur un plan pratique, l'éclairage est une composante importante qui concourt à l'ambiance du hall d'accueil. Aussi, un soin tout particulier devra y être apporté, surtout si l'installation d'écrans ou des bornes interactives est prévue.
Il faudra réorganiser la signalétique, l’affichage, l’implantation de plantes vertes, d’un kiosque à journaux et magazines…
En termes d’animation :
Quelques rares animations ont été proposées dans le hall d’accueil. Il s’agira de les augmenter tout en tenant compte de la promiscuité de l’espace. Il faudra faire tourner des expositions de peintures, de sculptures, du théâtre “interactif de poche” pour attirer des visiteurs qui ne viennent pas habituellement au centre social.
Le poste de travail :
L'ergonomie des postes de travail doit aussi être impérativement prise en compte. D'où l'importance d'avoir préalablement défini, avec précision, les missions du personnel d'accueil. Ainsi, lorsque le salarié est chargé du standard, son espace doit être conçu de manière à préserver la confidentialité des communications. S’il est amené à se lever pour proposer un ordinateur ou une tablette aux visiteurs, il doit pouvoir circuler facilement. « La qualité de vie au travail du personnel en poste a un impact immédiat sur la qualité de l'accueil et, par conséquent, sur l'image que renvoie le centre social”.
Ce travail s’inscrira aussi dans la perspective de l’aménagement de l’accueil dans la nouvelle maison de quartier.
Les moyens mis en œuvre :
* Humains :
Un agent d’accueil qui interviendra à raison de trente-cinq heures par semaine, en transversalité avec l’ensemble des dirigeants, bénévoles et du personnel.
* Amplitude d’ouverture :
Assurer des créneaux d’ouverture maximum, 70 heures par semaine, 6 jours sur 7, 10 mois sur 12.
* Moyens matériels :
Moyens audiovisuels (écran géant, vidéo projecteur, tablettes numériques, ordinateurs portables…).
Acquisition de mobiliers et de cloisons…
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Il n'existe pas de budget spécifique pour cette fiche action. Chaque bénévole, chaque salarié est totalement partie prenante de la mise en oeuvre opérationnelle de la fiche action. Un salarié chargé d'accueil et un contrat aidé assurent une plage horaire d'ouverture de 60 heures hebdomadaires. L'espace d'accueil est aussi animé pendant les périodes de fermeture par des bénévoles. Ces éléments ne permettent pas de formaliser un budget précis.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
25 salariés - 80 bénévoles -
- Résultat sur le territoire
Améliorer l’accueil des groupes informels, des partenaires,
Encourager les initiatives des habitants et enclencher une dynamique participative,
Rompre l’isolement des habitants, prévenir et réduire les exclusions.
- Résultat pour le centre social
Créer les conditions de l'accueil et de la participation.
- Résultat pour les habitants
Rompre l’isolement des habitants, prévenir et réduire les exclusions,
Encourager les initiatives des habitants.
- Suite de l'action : Limites
Le centre social Le Lac vient d'emménager dans la nouvelle maison de quartier et n'a pas pu mesurer les limites de son action.
- Suite de l'action : Perspectives
Evaluer la mise en oeuvre de la fiche action afin de définir des perspectives.
Actions
Accompagnement des parents dans leur mission éducative
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
Accompagner les parents dans leur mission éducative.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence au diagnostic :
Après de très nombreuses tentatives afin de mobiliser des partenaires (Ville de Sedan, établissements scolaires…), les dirigeants du Centre Social Le Lac, en accord avec la responsable de l’animation collective familles, ont dû se résigner à organiser « sans réseau », diverses actions. Cependant, la responsable de l’animation collective familles a pu s’appuyer sur une représentante de la Caisse d’Allocations Familiales ainsi que sur l’équipe de salariés et de bénévoles du Centre Social Le Lac
Source :
(Extrait du diagnostic du bilan contrat de projet 2010-2014).
Objectif stratégique :
Développer et valoriser la fonction d’animation sociale, source de cohésion sociale à l’échelle du territoire.
Objectif opérationnel :
Améliorer l’accueil des personnes, des familles, des associations.
- Encourager les initiatives des habitants.
- Enclencher une dynamique participative.
- Soutenir les parents dans leur rôle éducatif en utilisant le dispositif « REAAP », contrôlé et animé par la Caisse d’Allocations Familiales, afin d’améliorer l’accueil des personnes, des familles, en particulier les plus vulnérables, car leur engagement dans une activité sociale est souvent difficile.
Résultats attendus de l’action :
Participation d’acteurs divers pour accompagner plusieurs groupes de parents dans la perspective de relever des besoins, des attentes sur des questions de parentalité et leur donner les moyens de se structurer.
Participation de parents à des ateliers parents/enfants.
Développement de relations durables et construction de projets communs avec les associations de parents d’élèves du quartier du Lac.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
2015 à 2018.
Déroulement :
Mobiliser un réseau d’acteurs divers travaillant déjà sur ce sujet et dont les domaines d’intervention varient : des associations, des partenaires institutionnels (Caisse d’Allocations Familiales, Centre Communal d’Action Sociale…), des professionnels, les établissements scolaires, les parents d’élèves…
Le réseau pourra mettre à la disposition des parents des services et des moyens :
- Rencontres et échanges entre parents.
- Accompagnement de projets familiaux.
- Soutien psychologique.
- Actions culturelles.
- Sorties familiales.
- Conférence.
- Débat avec différentes méthodologies participatives.
- Accompagnement de plusieurs groupes de parents dans la perspective de relever des besoins, des attentes sur des questions de parentalité et leur donner les moyens de se structurer.
- Créer des ateliers parents/enfants.
- Développer des relations avec les associations de parents d’élèves du quartier du Lac pour collaborer sur certains projets, leur apporter un soutien technique, mutualiser des compétences, proposer des formations…
Les moyens mis en œuvre :
Une animatrice socioculturelle animera une démarche de transversalité avec l’ensemble des dirigeants, bénévoles et du personnel.
Résultats attendus de l’action :
Participation d’acteurs divers pour accompagner plusieurs groupes de parents dans la perspective de relever des besoins, des attentes sur des questions de parentalité et leur donner les moyens de se structurer.
Participation de parents à des ateliers parents/enfants.
Développement de relations durables et construction de projets communs avec les associations de parents d’élèves du quartier du Lac.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget du Réseau d'Ecoute, d'Appui et d'Accompagnement des Parents.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 salariés - 50 bénévoles -
- Résultat sur le territoire
Participation d’acteurs divers pour accompagner plusieurs groupes de parents dans la perspective de relever des besoins, des attentes sur des questions de parentalité et leur donner les moyens de se structurer.
- Résultat pour le centre social
Participation de parents à des ateliers parents/enfants.
- Résultat pour les habitants
Développement de relations durables et construction de projets communs avec les associations de parents d’élèves du quartier du Lac.
- Suite de l'action : Limites
Importantes difficultés à mobiliser les habitants dans la durée.
Indisponibilté des enseignants pour participer à la coconstruction des projets.
- Suite de l'action : Perspectives
Améliorer la structuration de la Fête de l'Enfance qui servira d'outil de mobilisation et de participation pour accompagner les parents dans leur mission éducative.
Actions
Implication des adhérents, des responsables d'activités, des bénévoles, des Elus dans les instances de décision du centre social
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Démocratie & citoyenneté
- Mixité sociale
- Résumé
Impliquer les adhérents, les responsables d’activités, les bénévoles, les élus du conseil d’administration dans une dynamique participative.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence au diagnostic :
Depuis les origines de la politique de la ville, la nécessité de la participation des habitants est reconnue par tous. Bien que les dispositifs participatifs se soient développés et diversifiés, ceux-ci relèvent plus souvent de l’information et de la consultation que d’une véritable possibilité de se faire entendre et d’intervenir dans l’action publique.
Tout en gardant à l’esprit les limites pouvant y être liées, de nombreux conseils considèrent aujourd’hui qu’il faudrait améliorer la qualité du débat public et associer davantage les citoyens aux décisions (Conseil d’État, Conseil National des Villes ou Conseil National des Politiques de Lutte contre la Pauvreté et l’Exclusion Sociale). Des attentes de renouveau démocratique semblent, en effet, émerger dans un contexte marqué par la crise de la représentation traditionnelle, le développement des réseaux sociaux et l’évolution de la répartition des compétences entre l’Union Européenne, l’État et les collectivités locales.
Dès lors, comment partager le pouvoir d’expertise et de décision avec les habitants ? Comment mieux articuler participation et représentation ? Quelle ambition pour la politique de la ville ? Pour éclairer l’action publique française, cette note analyse les dynamiques étrangères les plus prometteuses en dégageant trois axes : partager le pouvoir décisionnel avec les habitants au travers de « budgets participatifs de quartiers » ; garantir la qualité du débat public ; permettre aux habitants de développer leur pouvoir d’agir.
Source :
La participation des habitants : trois pistes pour rénover la politique de la ville [Note d'analyse 278 — septembre 2012].
Marion Carrel : maître de conférences en sociologie à l'université Lille 3.
Noémie Houard : département Questions sociales du Centre d'Analyse stratégique.
Une des conclusions du questionnaire :
On remarque une volonté de s’engager dans une démarche d’intérêt général par le biais des candidatures au conseil d’administration. On peut noter de nombreuses propositions concernant la mise en œuvre d’activités nouvelles.
Source :
[Extrait du diagnostic du bilan contrat de projet 2010-2014] – une des conclusions du questionnaire.
Objectif stratégique :
Développer et valoriser la fonction d’animation sociale, source de cohésion sociale à l’échelle du territoire.
Objectif opérationnel :
Promouvoir et accompagner le bénévolat.
- Améliorer la capacité des bénévoles anciens et nouveaux à encadrer et à animer les activités de l'association, notamment dans les actions socioculturelles ou sportives.
- Faire acquérir aux bénévoles participants de manière régulière aux organes de direction [conseil d’administration, bureau], des connaissances pour administrer rationnellement et efficacement le centre social dans le cadre d'un exercice de responsabilité non professionnelle.
Résultats attendus de l’action :
- Encourager les initiatives des habitants et une dynamique participative.
- Mobilisation des adhérents dans la participation aux formations.
- Utilisation des nouvelles compétences au sein du conseil d’administration et des bureaux.
- Augmentation des candidatures pour le conseil d’administration.
- Amélioration dans la gestion des activités gérées par les bénévoles.
- Création de nouvelles activités et une dynamique de mobilisation des habitants.
- L’engagement bénévole aura pour conséquence leur développement personnel, le développement de leurs compétences, la recherche de sens à leur vie, le plaisir, le besoin de développement du lien social…
- Valorisation des talents.
- Prise de responsabilité et développement d’une citoyenneté de proximité.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Commune
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Déroulement :
Le centre social organisera des formations, une fois par trimestre, à l’intention des bénévoles ou leur donnera accès à des formations conçues ou promues par des structures mandatées, à cet effet, par les directions régionales de la jeunesse, des sports et de la cohésion sociale. La formation comportera, la plupart du temps, une partie théorique et une partie pratique.
Elle permettra d’acquérir :
- Une culture générale sur la spécificité du fait associatif et de l’agrément d’un centre social par la Caisse d’Allocations Familiales des Ardennes, son évolution, son environnement, des connaissances pour prendre des responsabilités, conduire et développer le contrat de projet.
- Des données sur la définition du concept d’animation globale.
- Une formation pratique.
Ils recevront, à l’issue de cette formation, un livret de formation à la gestion associative. Il permettra aux bénévoles suivant ou ayant suivi un parcours de formation à la gestion associative reconnu par les autorités, de garder une trace du contenu de la formation. De plus, il comportera des appréciations portées sur ses compétences, par les responsables de formation.
Un contrat d’engagement pour suivre ces formations sera proposé aux bénévoles et aux adhérents élus au conseil d’administration
Les moyens mis en œuvre :
Le directeur et la comptable animeront une démarche de transversalité avec l’ensemble des dirigeants, bénévoles et du personnel.
Structures mandatées par les Directions Régionales de la Jeunesse, des Sports et de la Cohésion Sociale…
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Prestation de Service centre social.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
5 salariés - 20 bénévoles -
- Résultat sur le territoire
Développer et valoriser la fonction d’animation sociale, source de cohésion sociale à l’échelle du territoire.
- Résultat pour le centre social
Améliorer la capacité des bénévoles anciens et nouveaux à encadrer et à animer les activités de l'association, notamment dans les actions socioculturelles ou sportives.
Faire acquérir aux bénévoles participants de manière régulière aux organes de direction [conseil d’administration, bureau], des connaissances pour administrer rationnellement et efficacement le centre social dans le cadre d'un exercice de responsabilité non professionnelle.
- Résultat pour les habitants
- Des données sur la définition du concept d’animation globale.
- Une formation pratique.
- Suite de l'action : Limites
Difficultés à lutter contre le fatalisme et à inscrire les participants dans la durée.
- Suite de l'action : Perspectives
Amélioration dans la gestion des activités gérées par les bénévoles
Création de nouvelles activités
Mobilisation des habitants des différents quartiers.
Actions
Atelier d'éducation artistique et culturelle
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- Culture
- Résumé
- Mise en place d’ateliers d'éducation artistique et culturelle qui ont pour ambition de viser un égal accès de tous les jeunes à l'art et à la culture, dans le respect de la liberté et des initiatives de l'ensemble des acteurs concernés.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence :
En 2012 et 2013, des ateliers d'éducation artistique et culturelle ont été mis en œuvre par le centre social Torcy Cités, le Secteur Jeune de la Ville de Sedan et le Centre Social Le Lac, dans le cadre du FACEJ ZUS, aux bénéfices des habitants des différents quartiers des ZUS de la ville de Sedan.
Les partenaires se sont associés afin de créer une dynamique partenariale. L’objectif était de favoriser le brassage des habitants, la coopération des animateurs, la mutualisation des moyens, humains, pédagogiques, des différents quartiers des ZUS et de la ville de Sedan.
Les différents ateliers d'éducation artistique et culturelle mis en œuvre ont permis de créer une chorale intergénérationnelle, une troupe déambulatoire, des groupes de percussions et de danses (zumba, danse africaine)… avec les habitants des différents quartiers des ZUS et de la ville de Sedan.
À partir des ateliers artistiques, en 2013, des œuvres collectives ont été présentées tout au long de l’année : fête de la musique, festival médiéval de la ville de Sedan, carnaval de Sedan, fête de Donchery, festival de la marionnette de Charleville-Mézières, spectacles présentés dans les différentes structures…
Lors des multiples bilans de fin d’année, les administrateurs, les directeurs, les animateurs du centre social Torcy Cités et le Lac, le Service Jeunesse de la Ville de Sedan, les familles (adultes, jeunes, enfants) ont souhaité, unanimement, l’utilisation d’ateliers d'éducation artistique et culturelle afin de poursuivre un projet collectif.
Le témoignage des acteurs socioéducatifs, MJC Calonne, centre social Torcy Cités, Secteur Jeune de la Ville de Sedan, Centre Social Le Lac, dans le cadre des bilans collectifs CUCS et FACEJ ZUS organisés par la Ville de Sedan.
Le témoignage de certaines institutions (Caisse d’Allocations Familiales, travailleurs sociaux, Pôle Sénior, CCAS…) a permis d’identifier ce besoin.
L’équipe de permanents du Centre Social Le Lac (le Directeur, les Responsables du Secteur Familles, de l’Accueil collectif de Mineurs, de l’Accueil jeunes, des Contrats locaux d’Accompagnement à la Scolarité, de la Ludothèque, les adultes relais, l’agent d’accueil, les animateurs…) a, dans sa relation permanente avec les usagers, recueilli de très nombreux témoignages qui ont pu être analysés.
Les usagers de tous les secteurs, les membres du conseil d’administration, ont témoigné quotidiennement des difficultés qu’ils ont rencontrées dans leurs pratiques.
Les jeunes et les familles qui habitent la ZUS du Lac, de Torcy, et du centre ancien fréquentent très peu ou pas les structures culturelles (MJC Calonne, école de musique, médiathèque…) en dehors du temps scolaire.
Cette fracture artistique et culturelle est inégale d'un jeune à l'autre pour des raisons diverses (socioculturelles, géographiques, etc...) et en fonction des écoles ou établissements fréquentés.
Les initiatives des opérateurs sont quelquefois anarchiques voir incohérentes avec peu d’évaluations qualitatives et quantitatives.
Leur mise en œuvre résulte d’un manque de concertation entre les différents acteurs du territoire.
Cette démarche à destination des jeunes ne conduit-elle pas à une simple juxtaposition d'actions dans tous les domaines des arts et de la culture ?
Ces propositions produisent des attitudes consuméristes qui ne facilitent pas la démarche de projet et le partenariat.
Il n’existe pas d’instance de pilotage et de suivi à l’échelon territorial afin d’assurer la mise en cohérence et la continuité des actions et de veiller au rééquilibrage sur le territoire.
Existe-t-il un projet politique permettant de mettre en œuvre les grands axes stratégiques de développement de l'éducation artistique et culturelle, sur la base de diagnostics et de bilans locaux, en portant une attention particulière aux territoires ZUS ?
L’absence de dynamique partenariale ne permet pas un égal accès de tous les jeunes aux arts et à la culture. Les actions et les budgets ne sont pas en synergie et ne peuvent donc pas initier des expérimentations et des actions innovantes.
Ce projet Co construit par les acteurs socioéducatifs, centre social Torcy Cités, Secteur Jeune de la Ville de Sedan et porté par le Centre Social Le Lac, pourrait contribuer pleinement à la réussite et à l'épanouissement de chaque jeune par la découverte de l'expérience esthétique et du plaisir qu'elle procure, par l'appropriation de savoirs, de compétences, de valeurs, et par le développement de sa créativité. Il concourrait aussi à tisser un lien social fondé sur une culture commune.
Source :
Diagnostic commun Service Jeunesse Ville, Centre social Torcy Cités et Centre Social Le Lac.
Objectif stratégique :
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire.
Objectifs généraux :
- Mise en place d’ateliers d'éducation artistique et culturelle qui ont pour ambition de viser un égal accès de tous les jeunes à l'art et à la culture, dans le respect de la liberté et des initiatives de l'ensemble des acteurs concernés.
- Impliquer les parents dans les projets artistiques et culturels de leurs enfants.
- Mise en place d’un parcours d'éducation artistique et culturelle qui a pour objectif de mettre en cohérence enseignements et actions éducatives, de les relier aux expériences personnelles, de les enrichir et de les diversifier.
- Mettre en valeur les actions menées, en leur donnant une continuité.
- Permettre aux jeunes, par l'expérience des pratiques, par la rencontre des œuvres et des artistes, par les investigations, de fonder une culture artistique personnelle, de s'initier aux différents langages de l'art et de diversifier et développer ces moyens d'expression.
- Le parcours d'éducation artistique et culturelle conjuguera l'ensemble des connaissances acquises, des pratiques expérimentées et des rencontres organisées dans les domaines des arts et de la culture, dans une complémentarité entre les temps scolaires, périscolaires et extrascolaires.
- Ce parcours contribuera pleinement à la réussite et à l'épanouissement de chaque jeune par la découverte de l'expérience esthétique et du plaisir qu'elle procure, par l'appropriation de savoirs, de compétences, de valeurs et par le développement de sa créativité. Il concourt aussi à tisser un lien social fondé sur une culture commune.
- Sa mise en œuvre résulte de la concertation entre les différents acteurs d'un territoire afin de construire une offre éducative cohérente à destination des jeunes qui aille au-delà de la simple juxtaposition d'actions, dans tous les domaines des arts et de la culture.
- Favoriser la continuité du parcours d'éducation artistique et culturelle entre les différents temps éducatifs de l'enfant.
- Compléter le parcours d'éducation artistique et culturelle mis en œuvre par l’Éducation Nationale en s’appuyant sur la circulaire n° 2013-073 du 3-5-2013 qui formalise, dans une démarche partenariale associant structures ou acteurs culturels et milieux socioéducatifs, notamment ceux de l'éducation populaire (MJC Calonne, Centre social Torcy Cités, Secteur Jeune de la Ville de Sedan).
- Proposer un parcours d'éducation artistique et culturelle en lien avec les politiques éducatives territoriales et les politiques de développement culturel que mènent les collectivités territoriales.
- Ces actions s'inscriront dans une démarche de projet avec les acteurs socioéducatifs (MJC Calonne, Centre social Torcy Cités, Secteur Jeune de la Ville de Sedan). Leurs contenus rechercheront la complémentarité des trois piliers de l'éducation artistique et culturelle.
- Elles prendront la forme d’ateliers artistiques dans les domaines de la musique (percussions), de la danse (africaine), ou du théâtre, etc…
- Mettre en œuvre un projet Co construit dans une logique de territoire éducatif.
- S'impliquer dans un projet artistique d'envergure ne pouvant se développer que dans le cadre de mutualisations formalisées.
- Participer au renforcement du lien entre les activités menées sur le temps scolaire et les expériences personnelles menées sur le temps extrascolaire, en particulier si le territoire prévoit la mise en place d’un Projet Educatif Territorial (PEDT).
Objectif opérationnel :
Adapter et renforcer les services existants.
Utiliser des ateliers d'éducation artistique et culturelle dans les domaines de la musique (percussions), de la danse (africaine) ou du théâtre, etc… au bénéfice des enfants et de leurs parents qui habitent la ZUS du Lac, de Torcy, du centre ancien, pour créer une œuvre collective (spectacle…).
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Commune
- Etat
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Déroulement :
Le parcours d'éducation artistique et culturelle conjuguera l'ensemble des connaissances acquises, des pratiques expérimentées et des rencontres organisées dans les domaines des arts et de la culture, dans une complémentarité entre les temps scolaires, périscolaires et extrascolaires.
Le projet des ateliers d'éducation artistique et culturelle sera donc présenté aux enseignants, aux animateurs qui accueillent les enfants dans les différents temps. Une rencontre sera organisée avec la conseillère pédagogique de l’Éducation Nationale afin qu’elle présente le parcours d'éducation artistique et culturelle mis en œuvre dans les écoles, par les enseignants.
Cet échange consolidera la complémentarité entre les différents temps et devrait permettre de futures coopérations dans une démarche de coéducation.
Il s’organisera aussi autour de créations sur plusieurs territoires qui, progressivement, n’en deviendra plus qu’un.
Des transversalités seront aussi élaborées en direction du projet « un artiste dans la ville » mis en œuvre par la MJC Calonne et la médiathèque de Sedan.
Des rassemblements seront organisés tout au long de l’année avec les publics du Centre social Torcy, le Secteur Jeune de la Ville de Sedan et le Centre Social Le Lac afin d’élaborer un spectacle commun. Il sera présenté aux habitants de la ville de Sedan, à la fin de l’année 2014.
Des ateliers communs (parents, enfants, parents/enfants) seront organisés avec les enfants et les jeunes des différentes structures.
Au-delà des ateliers, l’animateur spécialisé dans les activités d'éducation artistique et culturelle accompagnera, tout au long de l’année 2014, des groupes (parents, enfants, parents/enfants), des différentes structures, aux spectacles, expositions… organisées par la MJC Calonne et la médiathèque de Sedan…
Un animateur spécialisé dans les activités d'éducation artistique et culturelle sera recruté par le Centre Social Le Lac, sur la base de 35 heures. Il animera différents ateliers au Centre social Torcy Cités, Secteur Jeune de la Ville de Sedan et Centre Social Le Lac.
Pour la première fois dans l’histoire de ces structures, une mutualisation d’un salarié permettra d’atténuer les phénomènes quelquefois négatifs d’appartenance territoriale de certains habitants et particulièrement des jeunes.
Pour la première fois dans l’histoire de ces structures, une mutualisation du matériel pédagogique sera mise en œuvre quotidiennement.
Pour la première fois dans l’histoire de ces structures, une convergence sera mise en œuvre en transversalité avec d’autres projets financés conjointement par le CUCS et le FACEJ ZUS dans le cadre d’un projet intitulé « un artiste dans la ville ».
L’intervention d’un animateur spécialisé dans les activités d’éducation artistique et culturelle favorisera les initiatives de terrain et fera de chaque animateur, quelle que soit la structure dans laquelle il est salarié, un acteur de ce projet avec son propre public.
Chaque projet artistique et culturel sera unique, mais transversal, car sera le fruit du partenariat entre chaque animateur, quelle que soit la structure dans laquelle il est salarié et le même animateur spécialisé dans les activités d’éducation artistique et culturelle. Ensemble, ils feront appel à l’initiative des familles.
On peut comparer cette initiative à une résidence d’artistes, sur plusieurs mois.
En effet, le projet s’organisera aussi autour de créations sur plusieurs territoires qui, progressivement, n’en deviendra plus qu’un.
De ce fait, le projet répondra aussi à la devise du maire de Sedan « la ville est une et indivisible ».
Il aura plusieurs missions : de création, de diffusion et de sensibilisation. La rencontre avec une œuvre par la découverte d’un processus de création, la pratique culturelle à travers la mise en relation avec les différents champs du savoir et la construction d’un jugement esthétique.
Les ateliers artistiques seront :
- Des lieux d’une pratique critique effective, approfondie, créative et réflexive.
- Des lieux de rencontres essentiels entre le monde de l’animation et celui de la création, entre les animateurs et les professionnels de l’art, entre l’enseignement artistique et l’action culturelle.
- Des éléments essentiels du développement et de la diversification des activités artistiques.
- Des espaces d’innovation pédagogique et d’engagement artistique.
- Des voies de rencontre entre des acteurs socioéducatifs, MJC Calonne, centre social Torcy Cités, Secteur Jeune de la Ville de Sedan, Centre Social Le Lac et leur environnement artistique et culturel.
Les ateliers artistiques auront les caractéristiques suivantes :
- Être centrés sur la pratique.
- Être ouverts sur l’environnement culturel.
- Intégrer les nouvelles technologies.
- Être installés dans des locaux adaptés et équipés spécifiquement.
Les moyens mis en œuvre :
Un animateur spécialisé dans les activités d'éducation artistique et culturelle sera recruté par le Centre Le Lac sur la base de 35 heures. Il animera différents ateliers au Centre social Torcy Cités, Secteur Jeune de la Ville de Sedan et Centre Social Le Lac.
Salle spécifique dans chaque structure (Centre social Torcy Cités et du Lac, Secteur Jeune de la Ville de Sedan).
Matériel pédagogique (percussions, échasses, cirque…) des trois structures.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
5 salariés - 100 bénévoles -
- Résultat sur le territoire
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire.
- Résultat pour le centre social
Utiliser des ateliers d'éducation artistique et culturelle dans les domaines de la musique (percussions), de la danse (africaine) ou du théâtre, etc… au bénéfice des enfants et de leurs parents qui habitent la ZUS du Lac, de Torcy, du centre ancien, pour créer une œuvre collective (spectacle…).
- Résultat pour les habitants
- Des lieux d’une pratique critique effective, approfondie, créative et réflexive.
- Des lieux de rencontres essentiels entre le monde de l’animation et celui de la création, entre les animateurs et les professionnels de l’art, entre l’enseignement artistique et l’action culturelle.
- Des éléments essentiels du développement et de la diversification des activités artistiques.
- Suite de l'action : Limites
Importantes difficultés à mobiliser les habitants dans la durée.
- Suite de l'action : Perspectives
L’implication des différents publics, des animateurs, de l’animateur spécialisé dans les activités d'éducation artistique et culturelle, dans les différents ateliers, ainsi que les productions et œuvres créées dans le cadre de ces ateliers, seront mises en valeur par le biais d’expositions et de présentations publiques.
Actions
Logithèque
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- éducation / scolarité
- Emploi, économie
- Résumé
Lutter contre la fracture numérique qui peut fragiliser la société qui n’a plus le temps de faire de l’innovation technologique un apprentissage social.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence :
Avec une proportion de non diplômés et de ménages non imposés, deux fois supérieure dans la ZUS du Lac, le quartier présente des risques élevés d’une forte fracture numérique.
Le niveau d’équipements à domicile (ordinateurs et abonnement) est inférieur dans la ZUS du Lac.
Les freins économiques à l’acquisition de l’équipement demeurent une des raisons majeures.
Les habitants interrogés à ce sujet expliquent qu’il s’agit avant tout d’un problème de coût.
Les pratiques et usages numériques marquent une nette fracture et sont générateurs d’exclusion.
Plus que sur les réseaux et les équipements, ce sont dans les usages que nos équipes de salariés ont observé une fracture numérique importante par rapport au reste de la population.
Certaines évolutions sociales, communes à de nombreux territoires, interrogent et/ou ont un impact sur la notion de « vivre ensemble ».
Le développement des nouvelles technologies modifie également les formes du lien social et réinterroge les notions de proximité et de voisinage. Plus globalement, l'accélération du changement technologique peut fragiliser la société qui n'a plus le temps de faire de cette innovation technologique un apprentissage social.
Source :
(Extrait du diagnostic du bilan contrat de projet 2010-2014).
(Extrait de la circulaire relative à l’animation de la vie sociale 2012).
Objectif stratégique :
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
Objectifs généraux :
Lutter contre la fracture numérique qui peut fragiliser la société qui n’a plus le temps de faire de l’innovation technologique un apprentissage social.
Objectifs opérationnels :
Adapter et renforcer les services existants.
- Organiser des ateliers d’initiation et de formation aux nouvelles technologies au bénéfice des familles, en particulier les plus vulnérables, car leur engagement dans une activité sociale est souvent difficile.
- Accès et initiation.
- Apprentissage, initiation à internet.
- Utiliser des CD-Rom éducatifs pour une remédiation de la lecture et de l'écriture.
- Apporter à chaque participant la compréhension des mécanismes de fonctionnement d'internet.
- Découvrir les principaux outils de connexion et de recherche d'informations.
- Utiliser la messagerie électronique.
- Etre capable d'assurer la saisie, la mise en forme, l’impression et l'archivage de documents dans le pack office de Microsoft ou de Libre Office.
Résultats attendus de l’action :
- Réduction du nombre d’adhérents de notre territoire d’intervention n’utilisant pas internet.
- Sensibilisation du plus grand nombre aux bonnes pratiques, en référence aux finalités du Centre Social Le Lac.
- Amélioration des usages pour améliorer les conditions de vie, le développement de l’éducation et de l’expression culturelle, la prévention et la réduction des exclusions…
- Utilisation des nouvelles technologies dans le cadre d’un apprentissage social.
- Participation à une activité collective des habitants de différentes générations.
- Réponse aux besoins des habitants.
- Insertion sociale d’un maximum de familles dans l’environnement des nouvelles technologies pour favoriser les liens sociaux et la cohésion sociale, en référence aux finalités du centre social.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- Etat
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Déroulement :
La logithèque, le cyberbase, Informatique pour tous.
Création de multiples actions dédiées à la micro-informatique, internet et aux multimédias au bénéfice de familles défavorisées de la ville du territoire d’intervention. Elles s'adresseront à des publics qui sont à l'écart du développement de la société, de l'information et de la communication. Deux espaces ont été créés : la logithèque et le cyberbase.
Afin d'éviter la reproduction de pratique d'exclusion sociale, les structures seront ouvertes à un large public sans limite, en termes d'âge, de catégories socioprofessionnelles, d'origine culturelle. Elles viseront ainsi à favoriser la mixité sociale, la rencontre, l'éco- apprentissage.
Le recours à l'outil informatique se présente comme un plus dans le cadre des missions du Centre Social Le Lac pour servir l'accompagnement des publics défavorisés : soutien à l'alphabétisation, accompagnement scolaire, recherche d'emploi, apprentissage d'initiation à l'usage d'internet, communication (mails, chats, etc...).
La nouvelle maison de quartier :
Un cahier des charges sera élaboré sur le schéma d'agencement avec les dirigeants, les salariés, les adhérents. Il permettra d’améliorer l’accueil, source de lien social et de convivialité.
Le recensement des besoins se révèle une étape incontournable. Il conviendra, tout d'abord, de détailler les contraintes techniques auxquelles le centre social est confronté. C'est ce qui va permettre d'organiser une continuité et une cohérence entre ce qui existe et ce qui va être créé pendant la durée du projet social et imaginé dans la future maison de quartier.
À l'issue de cette phase d'audit, le cahier des charges pourra être soumis à un architecte d'intérieur qui sera en mesure de travailler sur le schéma d’agencement de la logithèque.
Les moyens mis en œuvre :
Deux animateurs socioculturels et des animateurs bénévoles organiseront des animations, des cours, des formations…
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 salariés - 5 bénévoles -
- Résultat sur le territoire
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
- Résultat pour le centre social
Lutter contre la fracture numérique qui peut fragiliser la société qui n’a plus le temps de faire de l’innovation technologique un apprentissage social.
- Résultat pour les habitants
- Organiser des ateliers d’initiation et de formation aux nouvelles technologies au bénéfice des familles, en particulier les plus vulnérables, car leur engagement dans une activité sociale est souvent difficile.
- Suite de l'action : Limites
Cette action est principalement financée par les collectivités et le contrat de ville qui apporte un financement essentiel complémentaire.
Cependant, la précarité du dispositif remet en question régulièrement la pérennité des postes de salariés.
- Suite de l'action : Perspectives
Développer le bénévolat afin d'étendre les créneaux et accueillir plus d'habitants.
Actions
Accueil de Loisirs Sans Hébergement
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- vacances / loisirs
- Résumé
Soutenir la fonction parentale et faciliter les relations parents-enfants en utilisant le principe de la coéducation dans une structure contrôlé par les services de la D.D.C.S.P.P.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence :
Les familles monoparentales représentent une très forte proportion d’allocataires de la ZUP.
Cette situation suppose de nouvelles façons d'exercer l'autorité parentale.
Source :
(Extrait du diagnostic du bilan contrat de projet 2010-2014).
Objectif stratégique :
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
Objectifs opérationnels :
Adapter et renforcer les services existants.
- Mettre en œuvre le projet éducatif et pédagogique (horaires de fonctionnement, tranches d’âge, aménagement, accueil d’enfants à partir de deux ans, dans le futur « Pôle enfance » du Pôle enfance…) et en s’appuyant sur des activités à finalité éducative, culturelles ou de loisirs.
- Associer les parents à l’évolution et à la transformation du projet éducatif et pédagogique.
- Public
- Enfance
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Déroulement :
Les dirigeants du centre social ont souhaité que la directrice de l’ACM soit aussi la référente famille.
Cette double fonction permettra de renforcer de manière efficiente le soutien à la fonction parentale à travers de nombreuses actions. En effet, une cinquante de famille bénéficie de cette action qui s’inscrit une démarche de soutien à la parentalité.
L’ALSH dans le pôle enfance :
Un cahier des charges sera élaboré sur le schéma d'agencement avec les dirigeants, les salariés, les adhérents, la Ville de sedan, le Conseil Général, la Caisse d’Allocations Familiales… Il permettra d’améliorer l’accueil, source de lien social et de convivialité
Le recensement des besoins se révèle une étape incontournable. Il conviendra, tout d'abord, de détailler les contraintes techniques auxquelles le centre social est confronté. « C'est ce qui va permettre d'organiser une continuité et une cohérence entre ce qui existe et ce qui va être créé pendant la durée du projet social et imaginé dans le futur Pôle Enfance ».
À l'issue de cette phase d'audit, le cahier des charges pourra être soumis à un architecte d'intérieur qui sera en mesure de travailler sur le schéma d’agencement de l’ALSH.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
20 salariés - 5 personnes -
- Résultat sur le territoire
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
- Résultat pour le centre social
Adapter et renforcer les services existants.
- Mettre en œuvre le projet éducatif et pédagogique (horaires de fonctionnement, tranches d’âge, aménagement, accueil d’enfants à partir de deux ans, dans le futur « Pôle enfance » du Pôle enfance…) et en s’appuyant sur des activités à finalité éducative, culturelles ou de loisirs.
- Résultat pour les habitants
- Associer les parents à l’évolution et à la transformation du projet éducatif et pédagogique.
- Suite de l'action : Limites
Importantes difficultés à mobiliser les parents dans la durée.
- Suite de l'action : Perspectives
- Associer les parents à l’évolution et à la transformation du projet éducatif et pédagogique.
Actions
Contrats Locaux d'Accompagnement à la Scolarité
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Résumé
- Accompagner les familles dans leurs responsabilités éducatives et valoriser leurs compétences parentales dans le dispositif Contrats Locaux d’Accompagnement à la Scolarité contrôlé par l’ACSE et la Caisse d’Allocations Familiales des Ardennes.
- Renforcer le lien entre familles et école
- Faciliter l’accès au savoir des jeunes par des approches différentes de l’école et fournir un appui qu’ils ne trouvent pas toujours dans leur environnement familial et social
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence :
Les élèves résidant en ZUS sont nettement plus souvent issus de catégories sociales défavorisées que les autres élèves résidant dans leur unité urbaine. L’inactivité professionnelle (notamment féminine) des parents, y est aussi plus importante. Ces phénomènes peuvent expliquer le moindre recours à la demi-pension. En termes d’orientation, les élèves résidant en ZUS sont deux fois moins nombreux en 1ère générale et s’orientent majoritairement vers les filières professionnelles. Résider en ZUS atténue les différences d’orientation observées par âge ou PCS, mais renforce celles liées au sexe. Le retard scolaire est au collège plus fréquent pour les élèves résidant en ZUS que pour les collégiens résidant en unités urbaines englobantes. Enfin, les établissements ayant une plus forte part d’élèves de ZUS enregistrent des résultats, en moyenne, plus faibles aux examens, et ce, même en prenant en compte les spécificités liées à l’environnement social des établissements (à l’exception notable des filières S et ES).
Source :
(Rapport ONZUS 2013)
Le collège Le Lac bénéficie, en 2014, d’un Réseau d’Education Prioritaire Renforcé.
Source :
Journal l’Union
Le ministère chargé de l’Education Nationale a, à cette fin, construit un indice social permettant de mesurer les difficultés rencontrées par les élèves et leurs parents, et leurs conséquences sur les apprentissages. Cet indice prend en compte la part d’élèves dont les parents appartiennent aux catégories socioprofessionnelles défavorisées, la part d’élèves boursiers, la part d’élèves résidant en zones urbaines sensibles et la part d’élèves arrivant en sixième avec au moins un an de retard.
Source :
(Ministère de l’Education Nationale)
Objectifs stratégiques :
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
Objectifs opérationnels :
Adapter et renforcer les services existants.
Par des stratégies diversifiées et une pédagogie du détour, l’accompagnement à la scolarité visera à :
Soutient à la fonction parentale
- Aider les jeunes par l’acquisition des méthodes et approches susceptibles de faciliter la réalisation de leur travail scolaire.
- L’acquisition des savoirs (savoir-être, savoir-faire).
- Élargir les centres d’intérêt des enfants et adolescents, promouvoir leur apprentissage de la citoyenneté par une ouverture sur les ressources culturelles, sociales et économiques de la ville ou l’environnement proche.
- Valoriser leurs acquis afin de renforcer leur autonomie personnelle et leur capacité de vie collective, notamment par la pratique de l’entraide et de l’encouragement du tutorat entre les jeunes.
Résultats attendus de l’action :
- Prise de conscience des familles de leurs responsabilités éducatives.
- Valorisation de leurs compétences parentales.
- Validation de la définition de la parentalité avec l’ensemble des Co éducateurs, à savoir « un ensemble de savoir-être et de savoir-faire qui se déclinent au fil des situations quotidiennes en différentes postures, paroles, actes et plaisirs, en reconnaissance de l’enfant, mais aussi en autorité, en exigence et en continuité ».
- Amélioration des résultats scolaires.
- Regard positif des enfants et des parents sur le système scolaire.
- Coopération entre tous les Co éducateurs (parents, enseignants, salariés du centre social…).
- Public
- Enfance
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Caf
- Commune
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Le projet Clas vise à fournir aux enfants et aux jeunes des méthodes et des approches susceptibles de faciliter l’acquisition des savoirs et de développer leur autonomie :
Par un appui et une aide méthodologique
Par une aide au travail personnel
Par un accompagnement à l’usage du numérique
Par des activités scientifiques et techniques
Par des jeux éducatifs
Le projet Clas vise à élargir les centres d’intérêt des jeunes et promouvoir leur apprentissage de la citoyenneté par une ouverture sur les ressources culturelles sociales et économiques de la ville et de son environnement :
En créant des contextes de recherche, d’informations, débats
En développant des capacités de vie collective
En mobilisant la pédagogie de « détour » par des activités ludiques, artistiques, culturelles ou sportives
En proposant des sorties et visites (accompagner vers des centres ressources en vue d’une ouverture sur les ressources culturelles, sociales de la ville ou de l’environnement proche
Le projet Clas vise à mettre en valeur les compétences et acquis des enfants et des jeunes :
Par la présentation des actions conduites par les enfants
Par l’organisation et l’encouragement de l’entraide au sein du groupe
Par l’organisation d’activités liées à la citoyenneté
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
20 salariés - 5 bénévoles -
- Résultat sur le territoire
- Prise de conscience des familles de leurs responsabilités éducatives.
- Valorisation de leurs compétences parentales.
- Validation de la définition de la parentalité avec l’ensemble des Co éducateurs, à savoir « un ensemble de savoir-être et de savoir-faire qui se déclinent au fil des situations quotidiennes en différentes postures, paroles, actes et plaisirs, en reconnaissance de l’enfant, mais aussi en autorité, en exigence et en continuité ».
- Résultat pour le centre social
- Coopération entre tous les Co éducateurs (parents, enseignants, salariés du centre social…).
- Résultat pour les habitants
- Amélioration des résultats scolaires.
- Regard positif des enfants et des parents sur le système scolaire.
- Suite de l'action : Limites
Malgré un excellent partenariat avec les enseignants et l'Education Nationale en général, il est pratiquement impossible d'organiser des réunions de travail communes permettant la coconstruction du projet et des actions éducatives.
- Suite de l'action : Perspectives
Renforcer la formation des animateurs afin qu'ils bénéficient d'un CQP.
Actions
Mobiliser contre l'isolement social des personnes âgées
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Viellissement
- Résumé
- Promouvoir des « équipes citoyennes » qui agissent au plus près des personnes isolées.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence :
En 2013, un Français sur quatre de plus de 18 ans se trouve dans une situation le rendant potentiellement exposé, en cas de rupture, à l’isolement social. 5 millions de personnes de plus de 18 ans sont effectivement seules, soit 12 % des personnes, plaçant la France parmi les trois pays d’Europe les plus touchés par l’isolement relationnel. Cette précarité relationnelle est fortement ressentie. Deux tiers des Français considèrent que l’isolement et la solitude se sont aggravés et 7 Français sur 10 reprochent à la puissance publique de ne pas être suffisamment mobilisés sur cette question et considèrent que seules les associations et fondations sont mobilisées contre l’isolement. Pour les Français, ce qui contribue à améliorer la cohésion sociale est autant de l’ordre de l’engagement des citoyens que de la solidarité nationale.
La population des personnes en situation d’isolement relationnel est composée pour un quart (23 %) de personnes âgées de plus de 75 ans, soit environ 1,2 million de personnes. La part de personnes âgées isolées augmente de façon aiguë.
Sources :
(Extrait du rapport de Synthèse du rapport Monalisa).
(INSEE, statistiques Caisse d’Allocations Familiales des Ardennes).
Objectif stratégique :
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
Objectifs généraux :
- Mieux « vivre et faire société ensemble », entre les générations.
- Mobiliser contre l’isolement social des personnes âgées.
- Encourager la participation des citoyens et des acteurs locaux volontaires pour développer la création de lien social avec les personnes fragilisées.
- Appeler à la solidarité entre citoyens contre l’isolement des âgés.
- Constituer un catalyseur permettant de renouer les liens de voisinage et de proximité, indispensable à la cohésion sociale.
Objectifs opérationnels :
Expérimentation de nouveaux services.
- Promouvoir des « équipes citoyennes » qui agissent au plus près des personnes isolées.
- Faire cause commune avec le pôle sénior de la Ville de Sedan pour mener un programme d’émergence et de déploiement d’« équipes citoyennes » à la hauteur des enjeux.
- Contribuer au signalement et à l’orientation des personnes en situation d’isolement, au soutien des situations complexes
Résultats attendus de l’action :
- Construire une vision partagée des besoins, des moyens disponibles, des actions prioritaires à entreprendre, des résultats des actions entreprises et des correctives à envisager.
- Partager un diagnostic territorial, des besoins et des potentiels en veillant à consolider le lien partenarial.
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- CARSAT
- Commune
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Points de référence :
En 2013, un Français sur quatre de plus de 18 ans se trouve dans une situation le rendant potentiellement exposé, en cas de rupture, à l’isolement social. 5 millions de personnes de plus de 18 ans sont effectivement seules, soit 12 % des personnes, plaçant la France parmi les trois pays d’Europe les plus touchés par l’isolement relationnel. Cette précarité relationnelle est fortement ressentie. Deux tiers des Français considèrent que l’isolement et la solitude se sont aggravés et 7 Français sur 10 reprochent à la puissance publique de ne pas être suffisamment mobilisés sur cette question et considèrent que seules les associations et fondations sont mobilisées contre l’isolement. Pour les Français, ce qui contribue à améliorer la cohésion sociale est autant de l’ordre de l’engagement des citoyens que de la solidarité nationale.
La population des personnes en situation d’isolement relationnel est composée pour un quart (23 %) de personnes âgées de plus de 75 ans, soit environ 1,2 million de personnes. La part de personnes âgées isolées augmente de façon aiguë.
Sources :
(Extrait du rapport de Synthèse du rapport Monalisa).
(INSEE, statistiques Caisse d’Allocations Familiales des Ardennes).
Objectif stratégique :
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
Objectifs généraux :
- Mieux « vivre et faire société ensemble », entre les générations.
- Mobiliser contre l’isolement social des personnes âgées.
- Encourager la participation des citoyens et des acteurs locaux volontaires pour développer la création de lien social avec les personnes fragilisées.
- Appeler à la solidarité entre citoyens contre l’isolement des âgés.
- Constituer un catalyseur permettant de renouer les liens de voisinage et de proximité, indispensable à la cohésion sociale.
Objectifs opérationnels :
Expérimentation de nouveaux services.
- Promouvoir des « équipes citoyennes » qui agissent au plus près des personnes isolées.
- Faire cause commune avec le pôle sénior de la Ville de Sedan pour mener un programme d’émergence et de déploiement d’« équipes citoyennes » à la hauteur des enjeux.
- Contribuer au signalement et à l’orientation des personnes en situation d’isolement, au soutien des situations complexes
Résultats attendus de l’action :
- Construire une vision partagée des besoins, des moyens disponibles, des actions prioritaires à entreprendre, des résultats des actions entreprises et des correctives à envisager.
- Partager un diagnostic territorial, des besoins et des potentiels en veillant à consolider le lien partenarial.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 salarié - 3 bénévoles -
- Résultat sur le territoire
- Faire cause commune avec le pôle sénior de la Ville de Sedan pour mener un programme d’émergence et de déploiement d’« équipes citoyennes » à la hauteur des enjeux.
- Résultat pour le centre social
- Contribuer au signalement et à l’orientation des personnes en situation d’isolement, au soutien des situations complexes
- Résultat pour les habitants
Le centre social deviendra un lieu de rencontres et de lien social. Il pourra devenir un café social. Des animations pourront y être organisées (accès à la culture, sortie, fête, repas, chorale intergénérationnelle,…)
- Suite de l'action : Limites
Cette action est actuellement mise en oeuvre essentiellement par le Directeur. Elle nécessitera des moyens budgétaires supplémentaires afin de recruter un salarié (service civique qui animerait des équipes de bénévoles).
- Suite de l'action : Perspectives
Renforcer le partenariat avec le pôle sénior de la Ville et les services du Département.
Actions
Lieu d'accueil parents/enfants
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
Créer un lieu d’accueil enfants-parents pour conforter la relation parents-enfants en valorisant le rôle et les compétences des parents.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence au diagnostic :
Il n’existe pas, sur le quartier du Lac, de structure qui accueille des enfants de 0 à 3 ans. La crèche municipale accueille exclusivement des enfants dont les représentants légaux habitent Sedan ou les alentours et qui ont une activité professionnelle. Le manque de structure, l’absence de lieu de rencontres et d’échanges engendrent un isolement, au quotidien, des parents ou grands-parents gardant les enfants et des professionnels de la petite enfance.
Sources :
(Extrait du diagnostic contrat de projet 2010-2014)
(Statistiques Caisse d’Allocations Familiales).
Objectifs stratégiques :
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
Objectifs généraux :
Soutenir les parents dans leur rôle éducatif en utilisant le dispositif « REAAP », contrôlé et animé par la Caisse d’Allocations Familiales, afin d’améliorer l’accueil des personnes, des familles, en particulier les plus vulnérables, car leur engagement dans une activité sociale est souvent difficile.
Créer un lieu d’accueil enfants-parents pour conforter la relation parents-enfants en valorisant le rôle et les compétences des parents.
- Il prendra en compte la diversité des structures familiales, les formes d’exercice de la fonction parentale et la reconnaissance de la place de chacun des parents en tant qu’éducateur de son enfant.
- Il favorisera le développement et l’autonomie de l’enfant en permettant la mise en évidence de ses compétences. L’enfant pourra, en sécurité, y faire l’expérience de la séparation et se confronter aux règles et aux limites, se préparant ainsi à l’entrée dans la vie sociale.
- Lieu « tiers intermédiaire » permettant aux enfants une socialisation et le passage d’un monde encore familial, à un monde déjà social. Il constituera, à travers rencontres et séparations, une expérience fondamentale pour les enfants et leurs parents.
- Il sera un lieu de prévention de l’isolement social et d’élaboration de nouvelles solidarités.
- Il sera un lieu de prévention précoce des troubles de la relation enfants-parents.
- Il contribuera à prévenir des situations de négligence ou de violence, en dehors de toute visée thérapeutique ou injonction éducative.
Objectifs opérationnels :
Expérimentation de nouveaux services.
- Accueillir des enfants de moins de 6 ans accompagnés d’un parent ou d’un adulte responsable, dans un lieu adapté.
- Accepter la participation des adultes, basée sur le volontariat et le respect de l’anonymat ou, au minimum, la confidentialité.
- Mettre en avant l’absence de visée thérapeutique, tant à l’égard des enfants que des familles.
- Garantir la présence, à chaque séance, d’au moins deux accueillants, formés à l’écoute et supervisés régulièrement par un professionnel compétent.
Un lieu d’accueil enfants-parents dans le Pôle Enfance :
- Les dirigeants et les salariés proposeront des locaux réservés uniquement au Lieu d’Accueil Enfants/Parents qui disposeront d’un espace extérieur de jeu.
- Les dirigeants et les salariés proposeront une superficie suffisante en fonction des activités et des publics accueillis.
- Les dirigeants et les salariés proposeront les types de locaux nécessaires pour le fonctionnement de la structure (locaux pour l’accueil du public, locaux techniques, administratifs, sanitaires…).
Les dirigeants et les salariés faciliteront l’accès du Lieu d’Accueil Parents/Enfants aux publics : proximité des lieux d’habitation, transports en commun, parking…
- Les dirigeants et les salariés proposeront des locaux accessibles à tous (fauteuils roulants, landaus, etc…).
- Les dirigeants et les salariés proposeront des locaux clairs, insonorisés, isolés, aérés…
- Les dirigeants, les salariés, les usagers respecteront les règles de sécurité et d’hygiène.
- Les dirigeants et les salariés aménageront les espaces ouverts au public en fonction des âges, des types d’activités et des services offerts.
- Les dirigeants et les salariés proposeront du mobilier modulable et fonctionnel, adapté aux différents publics, aux jeux, aux activités.
- Les dirigeants, les salariés, les usagers proposeront des locaux attrayants (couleurs, éléments décoratifs, esthétique du mobilier, propres, rangés …).
Un cahier des charges sera élaboré sur le schéma d'agencement avec les dirigeants, les salariés, les adhérents, la Ville de Sedan, le Conseil Général, la Caisse d’Allocations Familiales… Il permettra d’améliorer l’accueil, source de lien social et de convivialité.
Le recensement des besoins se révèle une étape incontournable. Il conviendra, tout d'abord, de détailler les contraintes techniques auxquelles le centre social est confronté. C'est ce qui va permettre d'organiser une continuité et une cohérence entre ce qui existe et ce qui va être créé pendant la durée du projet social et imaginé dans le futur Pôle Enfance.
À l'issue de cette phase d'audit, le cahier des charges pourra être soumis à un architecte d'intérieur qui sera en mesure de travailler sur le schéma d’agencement du Lieu d’Accueil Parents/Enfants.
Résultats attendus de l’action :
- Prise en compte du besoin des familles.
- Mobiliser des acteurs autour d’un projet de la petite enfance.
- Établir un projet partenarial durable.
- Inscription du LAEP dans le cadre du contrat enfance.
Public ciblé :
Enfants de moins de 6 ans accompagnés d’un parent ou d’un adulte responsable.
Le public de parents accueillis ne sera pas un public spécifique : tous les parents seront invités à participer au Lieu d’Accueil Parents/Enfants. La question de l’accueil de parents ne résidant pas sur le territoire d’implantation du Lieu d’Accueil Parents/Enfants pourra se poser. Cette question devra être débattue au sein du comité de pilotage afin de définir une position sur la priorité des publics accueillis. La question de l’âge limite des enfants accueillis sera à aborder également : 3 ans, 4 ans ou 6 ans. La présence des futurs parents, des grands-parents, assistantes maternelles dans le Lieu d’Accueil Parents/Enfants devra être également précisée.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Commune
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Déroulement :
La construction d’un projet et sa formalisation demande un temps de maturation. Il sera primordial d’inscrire le projet dans la réalité du territoire. Son élaboration devra être effectuée en partenariat avec les acteurs locaux, et par étapes.
Le diagnostic devra s’inscrire dans un travail avec les acteurs locaux issus de fonctions et d’institutions différentes : enseignants des écoles maternelles, équipements petite enfance, accueils de loisirs, élus, professionnels de santé et libéraux (médecins, sages-femmes), associations, conseillers de territoire (Caisse d’Allocations Familiales), responsables des Maisons départementales de la Solidarité …
La supervision sera indispensable, elle sera obligatoire dans le cadre d’un projet Lieu d’Accueil Parents/Enfants. Il s’agira, pour l’équipe d’accueillants, avec l’aide d’une personne extérieure, d’exprimer sa pratique, ses ressentis, afin de trouver la bonne distance vis-à-vis des accueillis et des autres accueillants. Elle facilitera la mise en parole des situations d’accueil et permettra de donner sens aux attitudes d’accueil.
La supervision sera assurée par un professionnel extérieur à l’équipe ayant une formation à la psychologie ou à la psychanalyse. Une attention devra être apportée à la qualification et l’expérience lors du choix.
Les accueillants veilleront, au préalable, à préciser leurs attentes. La supervision n’aura pas de visée thérapeutique et il ne s’agira pas de faire des études de cas. Elle favorisera la cohésion de l’équipe d’accueillants.
La bonne adéquation relationnelle entre le superviseur et les accueillants sera nécessaire pour que puisse s’installer un véritable climat de confiance.
L’équipe fera proposition du cadre et des modalités de mise en œuvre de la supervision à un comité de pilotage, pour validation.
Un comité de pilotage sera créé afin d’établir la rédaction d’un règlement de fonctionnement spécifique, l’élaboration d’une charte des accueillants. Une convention de partenariat sera proposée aux partenaires (Ville de Sedan, Caisse d’Allocations Familiales, Conseil Général…).
Le choix des jours et horaires d’ouverture sera important. Ces choix pourront avoir une incidence non négligeable sur la fréquentation et la mixité des publics accueillis. Le choix devra tenir compte des besoins exprimés par les parents, de la complémentarité avec d’autres structures d’accueil du territoire et de la disponibilité des accueillants et du lieu.
Dans la philosophie des Lieu d’Accueil Parents/Enfants, une contribution minime pourra être demandée aux familles, mais elle ne sera pas obligatoire. Le montant demandé devra rester raisonnable et ne pas être un critère d’empêchement. Cette question devra être débattue par le comité de pilotage.
Les modalités de fonctionnement du lieu devront être exprimées aux familles (sensibilisation des adultes accompagnants sur leur responsabilité pendant le temps d’accueil, respect des conditions d’accès au lieu, respect des règles de vie). Pour ces raisons, un règlement intérieur sera élaboré avec l’accueillante et communiqué à toute nouvelle famille fréquentant le Lieu d’Accueil Parents/Enfants.
Les activités proposées seront des supports à la rencontre, à l’échange, à l’apprentissage et au plaisir partagé, entre les enfants et les parents.
Les enfants et leurs parents partageront un temps autour des jeux proposés ou des activités motrices.
Les lieux d’accueil parents-enfants prévoient des espaces dédiés à une activité permettant l’apprentissage des règles.
Moyens mis en œuvre :
Deux salariés qualifiés seront chargés d’animer un espace de socialisation qui accueillera, de manière libre et sans inscription, des jeunes enfants de moins de 6 ans, accompagnés d’un parent ou d’un adulte responsable (mère, père, grands-parents…). Ils seront garants des règles de vie spécifiques à ce lieu. Ils mettront en valeur les compétences parentales lors de la conduite du projet qui sera un espace d’écoute, d’échange parents/enfants/accueillants, avant d’être un espace d’activités
Les accueillants seront des professionnels formés à la situation d’accueil des familles. Pour chaque accueil, deux accueillants seront présents à chaque séance et seront garants du respect du règlement de fonctionnement et des modalités organisationnelles définies dans le projet.
Les accueillants feront preuve des capacités suivantes : connaissance de l’enfant et de son développement et des enjeux relationnels parents-enfants, capacité de communication avec les familles (empathie) et travail en équipe.
Une charte de l’accueillant définira les savoir-faire et les savoir-être attendus, les conditions de recrutement, la formation et la supervision.
Une formation pour l’ensemble des accueillants sera obligatoire avant leur prise de fonction.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 salarié - 10 bénévoles -
- Résultat sur le territoire
- Accueillir des enfants de moins de 6 ans accompagnés d’un parent ou d’un adulte responsable, dans un lieu adapté.
- Résultat pour le centre social
Soutenir les parents dans leur rôle éducatif en utilisant le dispositif « REAAP », contrôlé et animé par la Caisse d’Allocations Familiales, afin d’améliorer l’accueil des personnes, des familles, en particulier les plus vulnérables, car leur engagement dans une activité sociale est souvent difficile.
- Résultat pour les habitants
- Il sera un lieu de prévention de l’isolement social et d’élaboration de nouvelles solidarités.
- Suite de l'action : Limites
Difficulté de mobiliser les parents autour d'un projet de la petite enfance.
Difficulté à établir un projet partenarial durable.
- Suite de l'action : Perspectives
Renforcer le partenariat avec la PMI, le Conseil Départemental et le CCAS.
Actions
Accompagner le bien vieillir sur le territoire
- Structure organisatrice
- Centre social Fumay Charnois Animation - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Viellissement
- Santé
- Résumé
"Bien vieillir" à travers les propositions d'ateliers prévention santé, culturels et de loisirs :
exemples : ateliers mémoire, prévention des chutes, ateliers santé, découvertes culturelles et ateliers créatifs, cuisine, ateliers informatique ...
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La population de notre territoire est vieillissante, le contrat de projet mentionnait la problématique de la chute démographique et du vieillissement de la population.
Suite à un diagnostic de territoire élaboré par différents acteurs et partenaires locaux dont le Centre Social, un forum séniors porté par la structure a permis de mieux connaître les attentes et les besoins de la population et les champs d'action possibles à mettre en oeuvre avec les partenaires.
Suite au forum séniors, mise en oeuvre de nouvelles actions en direction des séniors de plus de 50 ans.
Résultats attendus : "Mieux vivre de la population séniors"
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ARS
- CARSAT
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Début : 2012
Groupes de travail : Conseil, départemental, carsat, CCAS, commune
Mise en oeuvre d'actions avec des partenaires spécialisés selon les thèmes abordés. (mobilisation de ressources)
Portage et coordination par des professionnels du centre Social : responsable secteur adultes, référent santé, référent séniors ...
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 professionnels réguliers du Centre Social
Partenaires extérieurs : 5
Bénévoles : 15
- Résultat sur le territoire
En 2016, 200 à 250 personnes de plus de 50 ans ont fréquenté les activités séniors du Centre Social : ce chiffre est en constante augmentation depuis 2012.
- Résultat pour le centre social
Augmentation de la fréquentation des séniors au Centre Social
- Résultat pour les habitants
Développement de l'information et des actions de prévention.
Sentiment de bien-être et de prise en compte de leurs besoins.
- Suite de l'action : Limites
Financements conventionnés et non pérennes : cela pourrait être un frein pour la pérennisation de l'action dans la durée ... alors que c'est un axe à développer pour le Centre Social et les besoins de la population du territoire.
- Suite de l'action : Perspectives
Continuer l'action, être capable de s'adapter aux besoins nouveaux : nouvelles technologies ...
Actions
Des outils de communication au service du projet social
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Résumé
Améliorer la communication externe en direction des habitants, des partenaires et des collectivités locales.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence aux nouveaux diagnostics :
Réponses aux questionnaires.
Adhérents : les 4 doléances les plus souvent citées : des moyens financiers plus importants pour le pédagogique, des animations de qualité, des animateurs supplémentaires, des outils de communication plus efficaces.
On peut s’étonner de la réponse relative à la communication. En effet, le Centre Social Le Lac dispose d’un site internet, d’une lettre d’information qui touche 500 abonnés. La presse écrite, radiophonique, télévisée présente régulièrement des reportages sur le Centre Social Le Lac. Par ailleurs, des brochures papier et des affiches sont régulièrement distribuées sur le quartier.
Nous sommes interrogatifs concernant la méconnaissance de 33 adhérents qui disent ne pas connaître de salarié du centre social alors que la majorité de l’équipe travaille sur le quartier depuis plus de 20 ans.
En majorité, les non-adhérents ont entendu parler du Centre Social Le Lac et trouvent son implantation accessible. Cependant, ils considèrent que les activités sont principalement axées en direction des enfants.
Source :
Réponses aux questionnaires du bilan du contrat de projet 2011-2014.
Objectif stratégique :
Améliorer la communication externe en direction des habitants, des partenaires et des collectivités locales.
Objectif général :
Créer des outils de communication au service du projet social.
Objectif opérationnel :
Élaborer un plan de communication à l’échelle de l’agrément.
Résultats attendus de l’action :
Mettre en œuvre une communication efficiente au service des usagers.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Autre
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Déroulement :
Le centre social renouvellera son plan de communication après avoir évalué finement l’efficacité des outils utilisés.
Il est important de maintenir une communication claire et globale sur les missions et le projet auprès des habitants, des élus et des partenaires institutionnels.
Cette réflexion portera donc sur : les éléments à communiquer, les stratégies à mettre en œuvre, l’utilisation de supports existants (site internet, brochures…), l’utilisation des supports de la Communauté d’Agglomération Charleville/Sedan.
Moyen mis en œuvre :
L’ensemble des dirigeants, des salariés, des adhérents sera amené à réfléchir et a apporter des contributions pour la création d’un nouveau plan de communication.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 salariés -
- Résultat sur le territoire
Mettre en œuvre une communication efficiente au service des usagers.
- Résultat pour le centre social
Maintenir une communication claire et globale sur les missions et le projet auprès des habitants, des élus et des partenaires institutionnels.
- Résultat pour les habitants
Meilleure compréhension sur les missions et le projet du centre social.
- Suite de l'action : Limites
En raison de l'importante diversité des actions développées par le centre social, la mise en oeuvre du plan de communication est très chronophage.
- Suite de l'action : Perspectives
Développer la participation collective des usagers et des salariés sur l'ensemble des supports de communication du centre social (site internet, Facebook...).
Actions
Repas solidaires
- Structure organisatrice
- Centre social Manchester - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Précarité
- Intégration
- discriminations
- Résumé
Chaque jeudi matin, le centre social propose des ateliers cuisine à visé solidaire.
A partir de 10h, des habitants bénévoles se retrouvent afin de cuisiner, ensemble, des plats qu'ils iront ensuite distribuer aux personnes sans abris du quartier et sur des points stratégiques de la ville.
Les associations locales participent via le don de vétements chauds qui sont distribués lors de la période hivernale.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place afin de changer les habitudes de consommation des activités du centre social par les habitatns du quartier et de développer les solidarités.
Les habitants ne cuisinent plus simplement pour cuisiner et consommer mais dans une perspective d'entre-aide de solidarité.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
20
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
Développer les solidarités, lutter contre l'isolement et lutter contre les discriminations
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Ombres chinoises pour Noël
- Structure organisatrice
- Association Thiérache Ardennaise Animation - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Renouvelable chaque année
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Mixité sociale
- Résumé
Les habitants du village de Liart regrettait qu'il y avait si peu d'animations dans leur village à Noël. C'est ainsi qu'ils ont proposé de créer des ombres chinoises (technique facile qui consiste à créer des ombres qu'on colle sur du papier calques sur des vitres et on met une lampe derrière). Ces ombres sont créées par différents groupes et l'activité en elle-même créée déjà du lien entre différentes générations. Les ombres sont collées sur des vitres partout dans le village et une balade contée est proposée lors d'une soirée d'inauguration. Cette soirée festive et animée permet de découvrir les réalisations des habitants. Toutes les vacances de Noël, les ombres peuvent être admirées par tout un chacun qui passe. Cette activité crée du lien, de l'animation et valorise les habitants dans leurs compétences de créer un spectacle et une animation de qualité
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Avoir un village animé le temps de Noël. L'action a été mise sur pied car elle était demandée par les habitants qui trouvaient que le village était mort à cette époque.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Caf
- Commune
- Conseil départemental
- Europe
- MSA
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
A partir de septembre, les habitants sont invités à se mettre en petits groupes et de développer des ombres. Ils peuvent laisser agir leur créativité ou les habitants peuvent aussi partir d'une histoire de Noël pour la représenter par des ombres. La technique est simple et abordable pour tout le monde.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
"ATELIER MÉMOIRE - PEP'S EURÊKA"
- Structure organisatrice
- Centre Social et Culturel André Dhôtel - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Viellissement
- Santé
- Résumé
Outiller les seniors pour bien vieillir et en bonne santé chez soi. Les 12 "alliés" du bien vieillir :
Activités intellectuelles, physiques, nutrition, patrimoine génétique,moyens financiers, sommeil, environnement famillial, affectivité, vision et audition, loisirs et projets, environnement social, équilibre et logement.
Lors de ces ateliers nous allons initier les séniors participants aux 7 stratégies (discrimination, catégorisation, contextualisation, répétition, imagerie mentale, indiçage et association) mais également les aider à identifier les différentes formes de mémoire (mémoire de travail, mémoire topographique, mémoire des chiffres et des noms) dans le but de pouvoir s'organiser plus facilement au quotidien et à leur donner ou redonner confiance en eux.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Autre
- Précision ( si autre )
La Mutualité Sociale Agricole
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Vieillissement de la population sur le quartier (cause nationale)
- Prévention des maladies dégénératives cérébrales
- Action de prévention santé
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ARS
- Association locale
- Bailleur social
- Conseil départemental
- CPAM
- Entreprise privée
- FONJEP
- MSA
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Des séances sont organisées sur une demi journée à raison de 3 heures par semaine (1 fois par semaine) pendant un trimestre. Les participants aux séances se familiarisentavec la méthode (stratégies, les différentes formes de mémoire, exercices de solliciation et stimulation de la mémoire).
Ces exercices ont aussi vocation à crééer du lien, lutter contre l'isolement...
En 2018, 36 personnes ont suivi ces ateliers (3 sessions de 12 personnes)
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 professionnels
- Résultat sur le territoire
- Le Centre Social et Culturel André Dhôtel est la seule structure sur l'aglomération a proposer ce type d'action
- Résultat pour le centre social
- Toucher de nouvelles personnes
- Ces ateliers mémoires ont été le vecteur de la création d'autres actions seniors autour de la santé
- Résultat pour les habitants
- Autonomie, confiance en soi, lien social, solidarité de la part de séniors envers d'autres séniors
- Suite de l'action : Limites
- Pas de limite particulière constatée. Nous avons pratiquement un an d'attente pour les personnes qui souhaiteraient y participer
- Suite de l'action : Perspectives
- L'action va se poursuivre sur 2019 et la possibilité de "délocaliser" les ateliers est envisagée pour être au plus près de la population (contact avec des EPAHD)
Actions
ACTION SENIORS ACTIFS
- Structure organisatrice
- OFFICE ANIMATION DES CRETES PREARDENNAISES - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- Viellissement
- Résumé
MISE en place d'un programme d'actions annuel avec des ateliers créatifs (fabrication de bijoux, ateliers culinaires..), et des sorties organisées à thème (visites du Moulin aux couleurs d'Ecordal, sorties culturelles, et participations à des spectacles délocalisées
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Autre
- Précision ( si autre )
L'office d'Animation est la structure initiatrice et fédératrice qui recueillent les besoins et favorisenet les échanges entre les habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place car elle tient compte de facteurs socio-démographiques: le vieilisssement de la population est un élément du territoire. Ceci a permis de mettre en avant des besoins et des attentes exprimés par les habitants issus des communes; l'idée est de rassembler et favoriser les échanges par des actions collectives égrainées sur le territoire. les effets atytendus sont la lutte contre l'isolement et faire en sorte que les gens puissent se regrouper même si ils sont issus de communes voisines, limitrophes ou excentrées.
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- MSA
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Cette action est menée avec l'aide des services de la communauté de communes et avec le soutien des associations locales (clubs séniors....); un diagnostic avec la MSA a permis aussi de mettre en avant les besoins des habitants et cela a nécessité la création de ce programme
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
Effets et impacts: prise de conscience collective des élus sur l'isolement et la pertinence d'actions sur les publics séniors
- Résultat pour le centre social
Actions valorisantes dans le but d'aller au devant des publics et de favoriser les liens entre générations; c'est aussi un acte fondateur intergénérationnel pour le travail avec ces publics
- Résultat pour les habitants
Permettre la vie en collectivité et donner du sens à l'existence quotidienne parfois difficile; rester aux contacts des institutions, des informations ; être à l'écoute des autres
- Suite de l'action : Limites
Difficile d'aller chercher des personnes réellement en situation de souffrance et d'isolement social et personnel
- Suite de l'action : Perspectives
Accompagner la démarche par le projet "pilote" "contact" en lien avec la Fédératio ndes centres sociaux
Actions
Culture "hors mes murs"
- Structure organisatrice
- OFFICE ANIMATION DES CRETES PREARDENNAISES - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Résumé
Mise en place d'actions avec les publics jeunes autour de la culture . Des ateliers ont été mis en place avec un grapheur et une association de hip hop pour développer des projets dans les lieux du territoire auprès des jeunes ruraux. Nous avons réalisé des fresques en lien avec la Médiathèque de Signy l'Abbaye et l'association loisirs de Chaumont Porcien. De même des spectaclers de rues et musicaux ont été mis en place sur des actions existantes: domaine de la Vênerie, opération "artistes en campagne" à Guicourt, Barbaise..
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Autre
- Précision ( si autre )
Ce projet a été monté avec les jeunes
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
cette action a été mise en place car les jeunes se sont portés moteur de l'opération. Nous voulons développer une itnérance sur les actiosn culturelles et apoporter une plus value sur le territoire.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Nous avons réalisé des réunions et des briefs avec les jeunes sur des temps d'échanges. Chaque action a été menée en lien avec les ressources du territoire afin d'apporter du sens.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
12 000 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
36 jeunes et des associations locales issues des communes rurales. Les axctions ont été mises en place en lien avec des évènementiels existantes ce qui a valorisé l'action et donné du volume en terme de fréquentation.
- Résultat sur le territoire
Plus value culturelle sur les communes rurales
- Résultat pour le centre social
Dynamique d'image et un lien social avec les actions exsitantes. C'est aussi le moyen d'aller au devant des jeunes qui omettent en lumièere des idées et des envies
- Résultat pour les habitants
avoir accès à des spectacles et des actions culturelles
- Suite de l'action : Limites
Continuer à accompagner les acteurs locaux sur ces manifestations et actions
- Suite de l'action : Perspectives
Renouveller l'opération