L'organisation de la fête de Quartier St Jacques Le Viguier, "Faites du Vivre Ensemble", a nécessité la tenue de 6 Comités de pilotage (dont 1 de bilan), 5 comités d'animations et 2 comités techniques et administratifs. En outre, de nombreuses rencontres se sont tenues avec les habitants afin de préparer avec eux la tenue de stands présentant leur culture d'origine. De nombreux habitants et acteurs du quartier ont été associés à tous les temps de préparation de la manifestation. Les acteurs du quartier ont formé, pour cette occasion, le collectif "Faites du Vivre ensemble!".

La faisabilité de cet atelier a été décidée en réunion d’équipe plénière en présence du directeur et du président de l’association A.M.I.

Elle a été partagée avec la responsable de l’Espace Grand Narbonne qui a confirmé les besoins identifiés sur le territoire et auprès des personnes accueillies dans leurs locaux.

Plusieurs réunions avec les habitants ont eu lieu pour présenter le cadre de l’atelier et discuter avec eux de leurs besoins et attentes pour ajuster la mise en œuvre de l’atelier.

Cette action a démarré en février 2018. Un financement CAF/ACF a permis l’achat de 6 tablettes numériques, pour débuter l’atelier.

Les ateliers ont lieu les lundis après midi hors vacances scolaires (1h30)

Le Centre Social a présenté sa démarche de travail et ses valeurs a l'artiste.

Nous avons ensuite organisé les premières rencontres avec des habitants et des associations et nous avons laissé la liberté à chacun des participants d'orienter la vidéaste vers de nouvelles personnes. Tout au long du printemps Natacha Sautereau a silloné le territoire pour récolter le parole de personnes et faire des prises de vues. Plusieurs temps de présentation du documentaire ont été réalisé sur plusieurs communes de l'intercommunilité.

L'action s'est déroulée sur l'année 2014. Cependant dès 2013 l'animatrice famille à travaillé avec les parents qui avaient exprimés leu volonté de mener un projet autour des Dys pour comprendre leurs attentes et créer un groupe de travail en associant dés le départ des partenaires.

Le Centre Social, dans le cadre du Dispositif de Réussite Educative piloté par la Communauté des Communes a créé un lieu de débats autour de la fonction parentale : le Café Parentalité.

C’est un lieu où les parents s’interrogent en toute convivialité avec l’aide d'une psychothérapeute.

Le choix a été fait, pour favoriser l’échange entre parents, d’articuler ces soirées autour de courts apports théoriques sur une thématique donnée, avec des temps d‘échanges et de discussion entre parents par petits groupes.

L’intervenant s’attache à donner des pistes de réflexion suscitant débats et réponses pour permettre le plus possible l’interactivité avec l’ensemble des participants.

L'action a lieu une fois par trimestre dans les locaux du Centre Social. Toutefois, certaines actions sont délocalisées.

Après la définition d’une thématique (le carnet de voyage), contact a été pris avec l’artiste à qui les objectifs, attentes et le cadre du projet ont été exposé. Les partenaires et bénéficiaires locaux ont ensuite été contactés et informés de la démarche. Un premier temps de rencontre avec le territoire et les partenaires a ensuite été mis en place au mois de juin, permettant avec chacun de définir le calendrier de l’action et les contenus prévisionnels des actions pré-ciblés. Ce temps a également été l’occasion pour l’artiste de s’imprégner de l’atmosphère du territoire et des problématiques portés par le CSCN.

De nombreux échanges téléphoniques et mails entre l’artiste, le Centre Social et Culturel et les partenaires de l’action ont ensuite eu lieu avant le démarrage du projet au mois de septembre.

Ces temps préparatoires et la définition précise en amont du calendrier d’action du premier mois de résidence ont permis à l’artiste d’être autonome au niveau de la menée des actions. Des points réguliers avec le Centre social et culturel ont eu lieu, permettant d’accompagner au mieux l’artiste dans sa découverte du territoire.

Sur le second mois de résidence et le questionnement de la notion de mobilité, le CSCN a aiguillé l’artiste vers plusieurs personnes ou groupes avec qui elle a ensuite pris directement contact.

Les différents partenaires de l’action ont été dans un premier temps rencontré uniquement par le CSCN et des rencontres avec l’artiste ont ensuite été convenues.

Une commission "fête du sport" composée de bénévoles et salarié du Centre Social a tout d'abord rencontré les représentants de la commune et des associations de Brandonnet. Ensuite, une groupe de travail composé de bénévoles et salarié du Centre Social, représentants de la municipalité et des associations de Brandonnet partenaires s'est constitué avec pour objectif d'organiser l'ensemble de la manifestation (programme, communication, budget, bilan...). Il s'est retrouvé 4 fois de septembre à octobre.

Ce projet s’inscrit à la croisée de différents domaines d’intervention associés à la parentalité (santé, éducation,…). Il illustre l’intérêt du travail en partenariat et en réseau qui nous a permis d'avoir une approche globale indispensable pour aborder ce type de thématique. Plusieurs rencontres ont été organisées avec les acteurs locaux et une présentation du projet a été réalisée dans le cadre du réseau parentalité local.

Construit  sur une durée de six mois, le projet "écrans en conscience" s’est articulé autour de différents espaces de réflexion, reposant sur un fil rouge, une armature afin de donner du sens aux rencontres et de proposer une diversité de modalités d'interventions en direction des familles.

Description de l'action :

• 1er temps : Semaine « conscience écrans », portée à l’attention des enfants et parents fréquentant les écoles primaire et collèges du territoire.
• 2ème temps : Conférence "les effets des écrans sur le cerveau" animée par un intervenant spécialisé sur le sujet. Cette dernière a permis de sensibiliser les familles aux effets négatifs (physiologique et psychologique), et de les amener à engager une réflexion sur cette thématique.
• 3ème temps : Cafés Parentalité  afin de favoriser la libre expression et le libre questionnement des parents sur cette thématique au travers de l’animation d’un espace convivial. Des animations ont également été proposées au sein de la structure petite enfance et de la médiathèque du territoire. Ainsi, les parents ont pu s’informer, échanger et débattre autour de réalités vécues au sein de la sphère familiale (effets négatifs des écrans, comment promouvoir l’attention, la pratique du jeu, le faire ensemble…).
•  4ème temps : « Salon des alternatives aux écrans», un samedi après-midi, pour convier les familles à venir jouer ensemble et offrir la possibilité de trouver des supports conviviaux qui se posent en alternative aux écrans.

Dans la continuité de ce projet, nous avons souhaité intervenir auprès des élèves scolarisés en classe de 5e. A cet effet, des séances de sensibilisation aux harcèlements numériques et à l’utilisation responsable des réseaux sociaux ont été menées au sein des Collèges du territoire. En parrallèle, une soirée a été proposée à l’ensemble des parents sur la thématique du contrôle parental et du harcèlement numérique.

Plusieurs groupes de travail ont été mis en place avec les acteurs de ce projet : Conseil Départemental, Maternité, Maison de la Petite Enfance (animation CS).

               Le projet a comporté deux volets :

- La recherche et l'enquête sur l'histoire du quartier des Bressons-Blazots, sur la vie actuelle du quartier et les enjeux qu'il présente. Pour cela nous avons organisé des ateliers aux archives municipales, des tables rondes (espaces de discussions et d'échanges ouverts) et des entretiens en lien avec Mosaïk'Radio pour recueillir la parole des habitants.

- La création artistique pluridisciplinaire mettant en lien diverses pratiques artistiques : l’expression scénique (danse et théâtre), la musique (rap et slam) et les techniques images et sons (témoignages et histoire de vie des habitants des Bressons). Cette phase de création a eu lieu à travers des ateliers réguliers pendant les périodes scolaires et des résidences d'artistes pendant les vacances.

                        Le projet s'est déroulé en plusieurs phases de septembre 2018 à octobre 2019. La mobilisation des jeunes participants au projet et constituant la troupe d'artiste a été un réel enjeu du projet sur la durée. L'adaptation du projet et sa construction avec les jeunes a été primordiale tout au long de l'année pour répondre au mieux aux objectifs et aux enjeux artistiques et pédagogiques que nous nous étions fixés.

1/ Initiation aux pratiques artistiques et ateliers de recherches

                        Dans un premier temps nous avons mis en place des ateliers de recherche sur l'histoire et la mémoire du quartier des Bressons en lien avec les archives de la ville et l'outil radio. Ces premiers ateliers avec les adolescents et les adultes ont eu pour but de les sensibiliser à la thématique de la mémoire, de leur faire (re)découvrir le quartier des Bressons-Blazots à travers des jeux de piste, les documents d'archives, les entretiens avec les habitants, etc. Au fil des séances, le public a utilisé des outils différents pour travailler et échanger sur le quartier : radio (entretiens, micros-trottoirs, émissions...), archives, graphs, jeux pédagogiques, débats...

Dans le même temps à partir des vacances de la Toussaint 2018, nous avons débuté les ateliers d'initiation aux pratiques artistiques des arts vivants avec des artistes intervenants. Ces ateliers destinés aux jeunes, aux enfants et aux adultes ont touché essentiellement les jeunes et les enfants dans le cadre du centre de loisir et de l'ACM. Les participants ont pu tester à plusieurs reprises des ateliers écriture/rap, danse/hip hop et théâtre. Ces ateliers ont eu lieu pendant les vacances de la Toussaint (13 séances d'initiation).

                        La mobilisation du public au début du projet, notamment dans les nouveaux locaux des Bressons a été difficile. Nous avons donc pris de temps de bien expliquer le projet, les intérêts, les enjeux lors de plusieurs séances de découverte. De même, les ateliers d'initiation artistique ont permis de mobiliser le public au fur et à mesure de septembre à décembre pour constituer la troupe. 

2/ Création artistique

(janvier à juillet 2019)

                        Suite aux ateliers d'initiation qui ont mobilisé principalement les jeunes et les enfants, nous avons cherché à constituer une troupe d'artiste pour la suite du projet et la phase de création artistique. Pour des raisons d'organisation, de mobilisation mais également de cohérence dans les ateliers, nous avons proposé aux jeunes (11-18ans), aux enfants (6-10ans) et aux adultes de participer au projet sur plusieurs angles différents.

- Les jeunes se sont constitué en troupe (environ 25 jeunes) et ont travaillé sur la création d'un spectacle d'art vivant pour raconter le quartier des Bressons et son histoire. Ce travail s'est déroulé pendant les ACM du secteur jeune (périodes scolaires et vacances).

- Les enfants ont participé à des ateliers de création pour donner leur vision du quartier à travers une maquette, un jeu de société et des photos montages. Ces ateliers ont eu lieu dans le cadre du centre de loisir les mercredis matin tout au long de l'année.

- Les adultes, actifs dans la phase de recherche sur le quartier, ont également participé dans la suite du projet dans le cadre de rencontres intergénérationnelles lors des résidences d'artiste. En effet, nous avons organisé des soirées de débats et d'échanges sur la mémoire du quartier des Bressons entre les adultes (habitants des Bressons depuis plusieurs années) et les jeunes de la troupe. Les habitants ont ainsi pu transmettre leurs savoirs et leur vision du quartier aux jeunes et inversement. Ces rencontres ont été très intéressantes pour l'ensemble du public et ont permis de confronter différentes visions du quartier.

La troupe Mosaïk'Art

                        A partir du travail de recherche et des compétences acquises par le public pendant les ateliers d'initiation, nous avons pu initier une période de création artistique à travers plusieurs résidences d'artiste pendant les vacances scolaires. Ces résidences ont permis de travailler de manière intensive avec les artistes accompagnants et ont marqué les étapes intermédiaires du projet avec des sorties de résidence sous forme d'évènements festifs dans le quartier.

- 5 jours en février (dans les locaux des Bressons). Cette résidence a permis de constituer un premier noyau de jeunes motivés par le projet et moteurs par la suite. Les jeunes se sont investis dans une discipline et ont commencé à transformer la matière récoltée sur l'histoire des Bressons en pièces artistiques. A la fin de la résidence, ils ont également pu présenter le travail réalisé dans les ateliers à l'ensemble des jeunes participants.

- 10 jours en avril (5 jours à Salon et 5 jours à Vallouise). Lors de cette résidence, les jeunes ont poursuivi le travail de création la première semaine avec les artistes puis lors d'un séjour à Vallouise nous avons mis en place des ateliers de répétition. Ce séjour a permis de renforcer le lien entre les jeunes de la troupe et de travailler sur l'autonomie des jeunes.

- 5 jours en juillet (à la Ruche avec une sortie de résidence dans la cour de l'école primaire des Bressons). Lors de cette résidence, nous avons accueilli un nombre important de nouveaux participants attirés par le projet (bouche à oreille). Leur intégration dans le projet a permis d'apporter une nouvelle dynamique au groupe et un nouveau regard sur la création artistique. A la fin de la résidence nous avons organisé un évènement festif dans la cour de l'école des Bressons pour présenter la création en cours et confronter les participants à la scène devant un public.

                        En parallèle de ces périodes intensives, nous avons maintenu des ateliers de création en autonomie (sans les intervenants) et des ateliers de répétition pour poursuivre la dynamique du projet et continuer à mobiliser les jeunes sur le temps long (environ 2 ateliers par mois les mercredis et les samedis après midi). Les éléments réalisés dans ces ateliers ont ensuite été retravaillé avec les artistes lors des périodes de résidences.

Les ateliers enfance

                        Avec le centre de loisir nous avons travaillé sur 3 ateliers différents : la réalisation d'une maquette des Bressons, un jeu de société sur l'histoire des Bressons et des photomontages pour imaginer un nouveau quartier. Ces ateliers ont permis aux enfants de se réapproprier leurs espaces de vie, l'histoire de leur quartier et de se projeter dans le futur.

Dans un premier temps, à travers des balades urbaines thématiques (histoire, végétation, jeux, habitations...) dans le quartier, les enfants ont pu prendre des photos, récolter des éléments trouvés sur place, comparer les photos d'archives aux espaces d'aujourd'hui... Ces balades urbaines leur ont permis de mieux comprendre et visualiser le quartier, de se poser des questions et d'y répondre de manière ludique.

- Pour l'atelier maquette, les enfants se sont ensuite réparti des espaces et ont travaillé en équipe pour construire collectivement leur vision ou leurs envies pour le quartier. Les projets des participants ont été aussi variés que révélateurs de leur vision du quartier. La dimension plastique des maquettes a permis de renforcer leur imagination et de leur laisser une grande liberté d’expression.

- Pour l'atelier jeu de société, nous sommes parti des archives récoltées sur les Bressons (photographies, lettres, articles de journaux, enregistrements sonores...)  pour imaginer des questions et des défis à poser aux joueurs. En testant plusieurs systèmes de jeu, ils ont ensuite choisi la forme et les règles qu'ils voulaient pour leur jeu, un nom "Les Bressonniers" et l'on fabriqué (plateau, cartes, pions...). De même que pour la maquette, la dimension plastique du travail (découpage, coloriage, collage de vignette, terre crue...) a permis aux participants de s’investir et de se sentir réellement acteurs du projet.

- L'atelier photomontage a été réalisé pendant les vacances d'été sur plusieurs séances. Les enfants ont tout d'abord choisi des photos du quartier qui leur plaisaient le plus puis ont imaginé des situations et des nouveaux aménagements pour le quartier. A partir des situations imaginées, nous avons pris des photos des mises en scène sur fond bleu réalisées par les enfants pour les intégrer en suite sur les photos réelles du quartier.

3/ Répétitions / Spectacle

(septembre à octobre 2019)

                        Cette dernière phase a principalement concerné les jeunes de la troupe d'artiste. A l'approche de la représentation finale (rentrée de septembre 2019), nous avons travaillé plus intensément sur des répétitions et l'affinage de la création.

                        Un week-end de résidence d'artiste à la Couronne (10-11-12 octobre 2019) a permis aux participants de se replonger dans le projet et d'intensifier le travail. Cette résidence à l'extérieur a permis de remobiliser les jeunes, de créer du lien et une dynamique positive après la coupure de l'été. Sous forme de séjour, ces temps sont très importants car ils permettent de travailler sur l'autonomie et la solidarité entre les jeunes.

                        La dernière phase du projet pendant les vacances de la Toussaint 2019 s'est déroulée au théâtre municipal Armand (lieu du spectacle). Ces 10 jours de résidence au sein du théâtre ont permis aux jeunes de travailler dans des conditions et avec du matériel professionnel. Cette plongée dans le monde du spectacle (éclairage, projection vidéo, micros...) a permis de valoriser le travail mené pendant l'année et les jeunes se sont d'autant plus investis à la fin du projet pour cette raison.

                        La représentation finale de la création "Bresso de mémoire" a eu lieu au théâtre le 30 octobre 2019. Cet évènement a été un véritable succès. Le public est venu nombreux et les jeunes ont eu l'opportunité de jouer deux fois : l'après midi devant des enfants des centres de loisirs de la région (100 personnes) et le soir devant un public plus large d'habitant du quartier des Bressons et plus largement de Salon de Provence (263 personnes). Sur scène les jeunes ont proposé un spectacle débordant d'énergie et leur propre interprétation de l'histoire de leur quartier. Le spectacle a ému leurs familles venues nombreuses pour les voir, les habitants et les anciens habitants des Bressons heureux de voir les jeunes conter leurs histoires.

Cette action a été  proposée par l'association du Centre Social,  les habitants, Les associations locales et la commune

Depuis plusieurs années, le Centre Social participe activement aux manifestations locales initiées par le tissu associatif local et la commune.

Dans ce cadre, nous sommes engagés dans l’ensemble des réunions préparatoires et mobilisons des bénévoles et des salariés de l’ADAJ.

En 2018, nous avons participé à :

• La fête de la Baronnie
• La fête des enfants
• Le sentier des Arts
• Chasse aux œufs
• La ronde des galettes

Ces actions ont vocation à être pérennisées.

Les ateliers sont ouverts à tous. Une attention particulière est portée aux familles en situation de précarité.Chaque séance peux accueillir jusqu’à 18 personnes.

Les séances se déroulent en 3 temps : un temps d’accueil permettant de se découvrir puis un temps de cuisine et un déjeuner convivial. Chaque famille repart avec les recettes proposées.

Inventaire du fonctionnement de chaque service existant et des pratiques tarifaires. Détermination d’un dispositif unique (jours, horaires, modalités de réservation, tarification….)  Réflexion sur la « contrepartie monnaie locale » et démarchage auprès des commerces locaux. Communication du projet auprès des associations locales et entreprises pour relais des informations. Appel à participation de chauffeurs bénévoles. Préparation supports de communication auprès du grand public et des personnes âgées (affiches, flyers…) Diffusion d’informations via les sites internet, bulletins des collectivités… 

L'action a démarré début juin 2020 avec la préparation. 12 jeunes se sont positionnés (6 filles et 6 garçons)  avec 7 âgés de 17 ans et 5 de 18 ans.

La coopérative a démarré le 1er juillet et prendra fin le 29 août.

Nous avons commencé cette action en novembre 2013 et depuis cette date nous en sommes à 20 soirées.

Le choix des thèmes se fait en fonction des réflexions échangées lors des soirées elles-mêmesk ainsi qu'en fonction de l'actualité. Par exemple : nous collons aux échéances électorales avec une soirée sur le thème de la collectivité concernée (compétences, avenir etc.)

Certaines personnes commencent à nous interpeller comme par exemple : "j'ai vu un film sur l'homosexualité....nous pourrions organiser une soupe sur cette question..."

​Contenus éducatifs, culturels et artistiques

• Découverte du patrimoine écrit 

Quatre séances de deux heures à la médiathèque permettent aux jeunes de se familiariser avec l’histoire de l’écrit à travers la présentation et l’explication de documents originaux. Pendant ces séances, une place est laissée à la manipulation et à l’appropriation des techniques par les jeunes, et à un temps de réflexion avec l’artiste (dessin, réappropriation des contenus…). Les séances s’articulent autour de quatre thèmes, ayant pour point commun le dessin de la lettre et la lettre comme dessin, le geste, les styles, les techniques et les supports d’écriture. A partir des différents documents patrimoniaux présentés, les jeunes choisissent des pistes à explorer avec l’artiste ; ils prennent en photo les documents et peuvent revenir consulter des documents pour s’en inspirer dans leur processus créatif.

• Le dessin de la lettre : de l’écriture pictographique à l’écriture alphabétique

Evocation de la naissance de l’écriture, et des différents types d’écriture (pictogrammes, idéogrammes, phonogrammes, systèmes consonantiques et alphabétiques).

Documents originaux présentés : une tablette sumérienne en écriture cunéiforme ; un livre en chinois, un ouvrage de la Renaissance bilingue (grec ou hébreu), un manuscrit arabe.

Pendant la séance, les jeunes réalisent une « tablette sumérienne » (argile et calame) ; à la fin de la présentation, ils imaginent ou esquissent avec l’artiste des graffs inspirés de ce qu’ils ont vu.

• L’enluminure et la lettre au Moyen Age

Différence entre la cursive et l’écriture calligraphiée, lettre romaine et lettre gothique ; l’enluminure, la lettre ornée et la décoration du manuscrit médiéval.

Documents présentés : Bible portative du XIIIe siècle, livre d’heures du XVe siècle, manuscrit médiéval en écriture cursive.

Pendant la séance, les jeunes réalisent, à partir de modèles, une « enluminure » sur du parchemin, avec des pigments traditionnels ; ils réfléchissent avec l’artiste à une transposition en graffs de ce qu’ils ont vu.

• La typographie et les lettrines

L’invention de l’imprimerie et ses conséquences ; la gravure des caractères d’imprimerie ; différentes typographies (16è-20è s.); lettrines et lettres ornées dans les imprimés modernes et contemporains.

Documents présentés : un incunable, un imprimé rochelais du 16e siècle, exemples de lettrines et de polices de caractère dans différents imprimés, une affiche ancienne.

Pendant la séance, les jeunes manipulent des caractères d’imprimerie et visionnent un extrait de film sur la gravure de caractères à l’Imprimerie nationale ; ils réfléchissent avec l’artiste à une transposition en graffs de ce qu’ils ont vu.

• La signature, l’autographe, les marques d’appartenance

Documents présentés : visite de l’exposition en cours sur les manuscrits autographes (lettres manuscrites de rois et reines de France, dont certaines avec des sceaux, manuscrits de personnages historiques et de scientifiques) ; une reliure aux armes ; quelques ex-libris.

Les jeunes peuvent s’inspirer de ces différents signes et symboles pour inventer une signature à l’œuvre qu’ils réalisent.

• Découverte et pratique du graff

Traditionnellement le graff se pratique avec une bombe de peinture ou des marqueurs. L'objet d'un atelier de découvertes et de pratiques est de s'approprier les différents outils du graffeur tout en se familiarisant avec l'univers graff (vocabulaire, culture, technique, histoire). Le graff c'est d'abord du dessin mais c'est aussi une multitude de codes et de techniques « artisanales ». Il s'agit lors de ces ateliers de mettre à la disposition du projet collectif l'ensemble de ces éléments. L'écrit et le travail de la lettre étant au centre des problématiques de la culture graff, le lien se fera logiquement avec les éléments du patrimoine écrit présentés lors des visites.

• Communication autour du projet sur Internet

Les jeunes réaliseront tout au long du projet une page Facebook, leur permettant de mettre en ligne et commenter des photos des documents anciens qui les ont inspirés, et de présenter leur travail artistique en cours. Ils inciteront leurs proches à suivre cette page, qui sera par ailleurs relayée par la page Facebook jeunesse du Centre social (environ 300 abonnés) ainsi que son site Internet, les compte Facebook et Instagram de l’artiste (environ 300 abonnés), le site Internet des médiathèques de l’agglomération et le compte Facebook de la Communauté d’Agglomération de La Rochelle.

L'action est portée par un réseau d'actuers qui se retrouve 1 fois par mois en comité de pilotage restreint. Ce groupe organise des réunions plénières ouvertes à un plus large public (1 fois par trimestre=, des sessions de formation, des actions de sensibilisation à destination de tous, ...

Cinq réunions préparatoires ont été nécessaires entre juillet 2017 et avril 2018, date de l'évènement. En parallèle, des habitants ont rencontré d'autres habitants qui avaient une expérience dans l'organisation une gratiféria, mobilisé des partenaires selon les besoins ; par ex pour que le lieu soit agréable le jour J, pourquoi ne pas faire appel au talent de l'atelier d'insertion espaces verts de la communauté des communes ? D'autres ont contribué à la communication, etc. Le jour J, le groupe s'est étoffé et chacun avait sa fonction. La convivalité a été soignée, avec des espaces déjeuner pour les bénévoles ou un accueil personnalisé et une buvette pour les visiteurs. Un mois après la gratiféria, une évaluation partiicpative (avec l'abaque de régner) a été proposée. 

Sur les 2 premières années, nous étions 3 partenaires à accompagner la troupe dans son évolution : collectif artistiques l"Horizon" pour garantir leur représentation au festival, le centre social Espace Mosaïque dans l'accompagnement de la troupe pour son organisation et son développement avec l'appui de l'intervenant artistqiue (logistique, lieu de répétition, communication, démarche de projet, relation partenaires et élus, ....) et une association d'habitants pour la sauvegarde du patrimoine faisant le lien entre les habitants souhaitant rejoindre la troupe, la mise à disposition de matériel, la diffusion des informations et des outils de communication (plaquettes, affiches, ...) et la mobilisation de bénévoles pour le festival.

Depuis 1 an, la troupe musicial évolue vers une démarche d'action en dehors du festival. Ce groupe d'habitants a fait le choix de poursuivre son aventure tout en restant soutenu et accompagné par le centre social dans ses missions d'accompagnement de projet d'habitant et d'activités socioculturelles

Au cours de différents projets ou ateliers menés par le Centre Raoul Dautry, nous avons remarqué que les mamans sont en demande de temps pour elle. Ce besoin s’est fait ressentir autant dans leur quotidien, que lors d’un temps de vacances.

En effet, lors des bilans d’actions ou de moment d’échanges avec les familles ( Vac Familles, veillées familiales, ateliers culinaires), ces mamans « ne  vivant qu’à  travers leurs vies de mères » ont manifesté le besoin de s’occuper d’elles, de rompre l’isolement et la routine ménagère.

Au-delà d’être une mère, et une épouse, ces mamans ont besoin de retrouver ou de développer leur identité de femme nécessaire à leur épanouissement. C'est ainsi qu'elles ont fait appel à nous et qu'un « Temps danse » d'1h30 par semaine au moment où leurs enfants sont à l’école, a été mis en place.

Cette action visait à développer l’estime de ces femmes en recherchant à travers cette pratique un bien-être physique, social et mental. Plus en confiance lors de ces échanges, elles ont montré un besoin vital de s’exprimer sur ce qui les touche émotionnellement, sur leurs parcours et les difficultés qu’elles pouvaient rencontrer au quotidien.

De là est né l'atelier d'écriture hebdomadaire. Au fil des séances, des partenaires associatifs et institutionnels ont été associés au projet (Atelier photographique briviste pour les photos, l'éducation nationale, la MSD, de nombreuses associations oeuvrant auprès des femmes CIDFF, inform'elles, ...) 9 mois plus tard l'ouvrage était édité... et présenté un soir d'octobre à la médiathèque de BRIVE

Début: mai 2016

Action qui se réalise avec des améliorations chaque année. Le groupe " jardin " se réunit tous les mois et fait le point sur les activités réalisées et celles à venir. Les tâches sont réparties en fonction de la disponibilité de chacun et inscrites sur un tableau.

L'action nécessite une coordination, personnel salarié, et des financements pour les achats et les prestations de services lors d'interventions de spécialistes. Il y a aussi nécessité de communication et de suivi avec les partenaires financiers et techniques.

Stade 1: diagnostic partagé et participation à la rédaction du projet

Achat du matériel informatique

Recrutement et formation d'un animateur numérique

Construction d'outils pédagogiques et de suivi de l'activité

Mise en place de permanences au siège de l'association et de veilles numériques sur le territoire