Mise en place d’un espace « ludothèque/espace jeu » au sein du centre social (implanté dans un quartier populaire) afin de favoriser les liens parents-enfants à travers le jeu et de favoriser les acquisitions des enfants qui vivent dans des familles en dessous du seuil de pauvreté.

La phase de construction du projet s’est réalisé du 1er/09/2014 jusqu’au 31/12/2014 (mise en place du comité de pilotage, visites de projets similaires, construction du projet, achats, communication...)

Le projet a été lancé auprès de la population le 1er janvier 2015. L’ouverture du Ludo’Parc (nom choisi par les familles et salariés) se fait chaque samedi hors vacances scolaires.

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La création de l’espace jeu chaque samedi après-midi a été mis en place à partir du 10 janvier. Le bilan est plutôt positif : plus de personnes que nous pensons ont participé et les parents jouent avec leurs enfants, ils leur consacrent ces 2 heures pour leur faire plaisir. Ils utilisent les jeux qui leur sont mis à disposition et n’hésitent pas à solliciter les animateurs présents pour des renseignements. C’est un moment très convivial. Le prêt de jeu n’a pas été mis en place car nous n’avons pas encore eu demande à ce jour. Après bilan, les participants préfèrent avoir un lieu de vie sur le quartier, ils préfèrent sortir de chez eux, rencontrer d’autres familles et être avec les autres ce qui favorise le lien social. Les familles préfèrent que les animateurs soient présents afin de répondre à leurs différentes questions (règles du jeu, installation…). Nous proposons des jeux « courts » de 15 à 20 min pour que ceux-ci soient accessibles à tous, même aux parents qui se sentent en difficultés

La création de l’espace jeu chaque samedi après-midi a été mis en place à partir du 10 janvier. Le bilan est plutôt positif : plus de personnes que nous pensons ont participé et les parents jouent avec leurs enfants, ils leur consacrent ces 2 heures pour leur faire plaisir. Ils utilisent les jeux qui leur sont mis à disposition et n’hésitent pas à solliciter les animateurs présents pour des renseignements. C’est un moment très convivial. Le prêt de jeu n’a pas été mis en place car nous n’avons pas encore eu demande à ce jour. Après bilan, les participants préfèrent avoir un lieu de vie sur le quartier, ils préfèrent sortir de chez eux, rencontrer d’autres familles et être avec les autres ce qui favorise le lien social. Les familles préfèrent que les animateurs soient présents afin de répondre à leurs différentes questions (règles du jeu, installation…). Nous proposons des jeux « courts » de 15 à 20 min pour que ceux-ci soient accessibles à tous,

Après avoir questionné les familles, elles préfèrent se rendre au Centre Social pour se rencontrer et se retrouver. Toutes les familles présentes lors du temps d’accueil Ludo’parc sont respectueuses des autres ; Il y a tout le temps des échanges entre eux. Nous proposons quelques fois des jeux où plusieurs personnes peuvent participer et il est arrivé que plusieurs familles ou personnes seules se retrouvent à jouer ensemble, cela crée des échanges intergénérationnels donc interculturel très positif. En effet, nous avons reçu des personnes de différentes nationalité ce qui a été positif car elles ont été amené à vivre quelque chose ensemble. Les personnes seules viennent car elles savent qu’elles trouveront d’autres personnes pour échanger. Aujourd’hui, certaines familles se donnent même rendez-vous dans le quartier pour se rendre au Ludo’parc. Il est à noter que 24 nationalités différentes vivent dans le quartier. n difficultés.   

La maison de Quartier du Soleil est agrée Centre Social par la Caisse d’Allocations Familiales ;

Lors de son dernier diagnostic la question du vieillissement et d’isolement des personnes âgées est fortement ressortie d’où la création d’une commission de réflexion et de propositions à laquelle est associée de nombreux partenaires, des habitants et des administrateurs.

En effet, depuis plusieurs années nous accueillons dans nos activités un nombre croissant de personnes âgées. Aujourd’hui, les personnes âgées de plus de 60 ans représentent environ 20% de l’ensemble des adhérents de la Maison de Quartier du Soleil (110/522).

On les retrouves dans diverses activités : entretien de la mémoire, la marche, jeux de société, repas du mardi, utilisation d’espace numérique…

Elles sont aussi présentes dans des groupes de travail : commission animation, commission bien vieillir mais également au Conseil d’Administration.

Avec le centre de loisirs on a mis en place des activités intergénérationnelles au sein de la structure et avec l’EHPAD de la Mutualité de Loire.

En partenariat avec l’OSPA nous avons organisé différentes conférences directement liées à la question du vieillissement comme par exemple la conférence sur la mémoire, sur les droits (l’APA), mais aussi sur d’autres thèmes (l’alimentation) qui peuvent concernés l’ensemble de la population du quartier

1. Mettre en pratique une citoyenneté active, apprendre à faire ensemble et à échanger entre personnes différentes, en ayant un vrai pouvoir d’agir :

Ce projet nécessite une participation active des habitants du départ du projet (choix de la cabane de jardin, écriture des règles de fonctionnement du jardin…), à sa mise en œuvre, puisque la démarche participative se poursuivra lorsque le jardin aura été créé, avec une gestion elle aussi participative (mise en culture, récoltes, organisation d’évènements…).

Le jardin sera un lieu de développement des liens sociaux entre habitants du quartier puisque des temps forts au jardin seront créés (repas partagé, temps festifs et culturels…).

Ce jardin se doit d’être aussi un lieu de développement de la vie locale, identifié sur le quartier et travaillant en lien avec le tissu associatif local, les écoles du quartier, club de séniors, ainsi qu’avec les institutions existantes sur le territoire.

1. Favoriser la coopération intergénérationnelle et la transmission de savoirs :

Ce projet a pour objectif de faire évoluer les comportements et les pratiques alimentaires en cultivant la diversité des légumes. Le jardin se doit être un outil permettant d’apporter des connaissances sur le plan nutritionnel et sur le plan de la santé.

1. Permettre au jardin d’être un vrai lieu de vie développant des activités de sensibilisation et d’éducation à l’environnement et au développement durable :

Mettre en place ce projet c’est répondre à des besoins, notamment  la création d’un lieu de vie, un lieu convivial pouvant rassembler les habitants autour d’une dynamique : l’activité jardinière, permettant une bonne intégration sociale.

Ce jardin a une forte vocation pédagogique. En effet un espace du jardin sera réservé aux enfants pour des actions d’éducation à l’environnement et au développement durable, ainsi que des ateliers d’éveil au goût.

Depuis 2003, nous mettons en place un dispositif éducation populaire pour répondre à l’objectif fondateur de l’association : amener le public à user d’outils d’expression pour aborder les sujets fondamentaux de la citoyenneté (l’urgence environnementale, l’harmonie du vivre ensemble et du faire ensemble), que ce soit dans le cadre de la vie quotidienne ou de la vie en société, et donner en partage le produit de ce travail créatif à la communauté locale.

Nous avons mis en place ce parcours à la carte, pour pallier à la situation d'isolement du territoire, créer des ponts entre les générations et avoir une reflexion poussée, sublimée par la création artistique, pour sensibiliser les usagers et le grand public sur le monde qui nous entoure.

• Besoin d’aller vers les habitants les plus isolés, fragilisés, les plus éloignés de l’offre de loisirs de droit commun, pour informer, s’ouvrir sur la ville,

• Besoin de rompre le sentiment d’isolement, de solitude, de sortir des logements, besoin de tisser des liens avec les autres habitants (Echanger, discuter, partager).

• Besoin de bouger, agir, sortir de chez soi, d’un sentiment de vide ressenti par les familles,

• Besoin de temps ludiques, festifs, pour un nombre toujours plus important de familles et de jeunes,

• Besoin d’apprendre à se connaître, discuter dans un cadre « rassurant », élargir son tissu relationnel,

Objectifs de l’action 2017 autour de « virtuel VS Réel » :

Objectifs généraux de l’action :

• Prévenir des potentiels comportements à risque et inviter le jeune à questionner son fonctionnement autour de l’utilisation du numérique et du virtuel, et à construire des repères préventifs.
• Proposer différents modes d’entrée dans la thématique et différents support d’expression (échanges-débat, manipulation plastique, création d’images ciblées, expression théâtrale, etc. …)

Objectifs opérationnels de l’action :

• A partir de leurs pratiques, permettre aux jeunes d’échanger et débattre sur leur utilisation des technologies numériques et leur capacité à attendre pour un résultat.

Quel fonctionnement entre la construction d’une relation (amoureuse, amicale, …) et l’immédiateté permise par l’outil numérique ?

Permette une réflexion autour d’une société hyper-connectée.

• Accompagner à identifier et décrypter les techniques médiatiques. Pouvoir critiquer l’idéal virtuel proposé par les programmes télévisuels ciblés. Construire d’autres leviers d’identification, d’appartenance au groupe… Pouvoir définir « ce qui est bon pour moi, de ce qui n’est pas bon pour moi ». 
• Appréhender la conception ciblée d’un message fabriqué et comprendre son impact.
• A travers l’atelier théâtre proposé au festival, pouvoir jouer et vivre une relation initialement virtuelle, en « face à face ».
• Travailler avec les enfants et les jeunes, la recherche d’immédiateté et la gestion de la frustration.

Cette action a été mise en place pour favoriser la rencontre entre le centre social et les habitants du territoire. Il s'agissait également de proposer le jeu/le livre et de donner de la lisibilité à notre ludothèque/espace livre ouverte le reste du temps. Ce chariot permet de faire connaître le centre social et son action. Il permet également tout un travail sur la lecture "hors les murs" (ouverture culturelle). Il permet d'être présents sur le quartier durant la période estivale et de rompre parfois l'isolement de certains parents (contrôle social, veille sociale, parentalité, lien social...)

Le bib'o'lud permet de rencontrer des habitants, des parents - Ils  n'hésitent pas à passer ensuite la porte du centre social pour participer à nos actions. Le bib'o'lud offre également par les discussions engagées l'opportunité de dégager des interrogations et d'impulser des thématiques pour de nouvelles actions.

la Maison de Quartier Les Sources ne s'adressait pas au public jeunes du territoire si ce n'est au travers de quelques activités socio culturelles.

Ces actions ont été mises en oeuvre pour proposer un cadre socioéducatif permanent aux jeunes. Ces supports éducatifs visent plusieurs objectifs:

- La responsabilisation des jeunes dans l'occupation de leur temps libre

- l'apprentissage de la mobilité et de l'autonomie

- L'apprentissage de la vie collective

- L'apprentissage de la tolérance et de la solidarité envers autrui

- L'apprentissage de la bienveillance avec soi même et avec les autres

- L'apprentissage de la vie associative et de l'engagement citoyen

- La lute contre les discriminations

- La valorisation et la pacification du territoire

Ces projets ont vus le jour par la conjonction de la volonté de la CNAF d'accompagner les Centres Sociaux dans leurs actionbs en direction des familles et la volonté des Centres Sociaux Rémois de travailler avec ces dernières pour les aider à s'approprier leurs rôle éducatifs en lien avec la dynamique sociale et culturelle de leur quartier.

La Maison de Quartier Billard a été à l'initiative de la création d'un des premiers poste à plein temps de référent familles tant les questions d'éducations sont prégnantes sur le territoire.

La référente famille est missionée au delà de son coeur de métier et mène des actions contribuant au projet d'animation globale de la structure. Considérant qu'un parrallèle est à faire entre la construction des compétences éducatives et parentales et l'appropriation de la fonction citoyenne reliée à l'animation de la vie sociale territoriale.

Il s'agissait de créer un projet pour les enfants n'ayant aucune activté extra-scolaire et pour les parents n'ayant pas de moyens de garde ou ne pouvant pas faire sortir leurs enfants.

Lorsque les Retos du Coeur ont quitté Montmédy, le canton s'est retrouvé sans aide alimentaire aux personnes en situation de précarité.

Plusieurs associations dont le Centre se sont mobilisées pour créer l'Epicerie solidaire, avec la volonté de faire participer les personnes et de mettre l'accent sur l'équilibre alimentaire.

Le but était de donner la possibilité aux familles en situation difficile de se nourrir à moindre coût et d'acquérir les bonnes pratiques alimentaires.

L’association Audaces’s a su tisser de la cohésion sociale sur le territoire. Au travers de cette animation innovante, la promotion des habitants de notre territoire a été reconnue par la Fédération des Centres Sociaux de France « Hors les Murs » et d’autres instances. Avec nos différents partenaires comme les Bailleurs, le Conseil Citoyen, le Département de la Moselle et les villes de Folschviller Valmont et d’autres cette action tisse un maillage au cœur du quartier QPV et de la ZUS.

Face à une augmentation de la précarité, notre action permet aux habitants de sortir de chez eux et de se côtoyer.  

Il s’agira de poursuivre notre soutien à la population et au plus démunis au travers d’une action de proximité de collecter la parole des habitants, des jeunes, les familles et les acteurs locaux. Pour ce faire l’association mettre un plan citoyen de proximité avec comme support :

L’Arène Citoyenne, le triporteur citoyen, la cabane des mots, hors les murs, action réaction « citoyen », le rdv du triporteur citoyen à la sortie des écoles, des actions de découvertes culturelles et Citoyennes. 

Les objectifs  :

Utiliser un panel d’outils pour alimenter le débat participatif dans le quartier de FURST au côté du Conseil Citoyen et des Habitants.

Faire en sorte que les habitants se côtoient et vivent ensemble.

Créer de la cohésion sociale sur le territoire

Développer le Pourvoir d'Agir des Habitants

Créer des actions à visée émancipatrice

Cette action s'inscrit dans l'axe 3 du Projet social "Favoriser le développement du lien social et intergénérationnel, et agir pour le bien-être des Seniors".

Dans la continuité du partenariat existant (réseau de visites, animations ponctuelles...), l'objectif étant de créer des échanges, un lien entre les participants de générations différentes (Personnes âgées autonomes et/ou en situation de handicap) et des jeunes pré-ados/ados.

Origine du projet :

Le CADA (Centre d’Accueil de Demandeurs d’Asiles) s’est installé en fin d’année 2016, à la Charité sur Loire. Son public réside dans les logements de Nièvre Habitat. Une grande partie des demandeurs d’asile sont concentrés sur le secteur du quartier des Clairs Bassins.
Nièvre Habitat et  la ville de La Charité sur Loire et  le Centre Social décident de proposer des actions afin qu’habitants et demandeurs d’asile puissent se connaitre et vivre en harmonie.

objectifs du projet :

 Animer des temps d'accueil, d'écoute et d'échanges avec les habitants.
- Développer l'implication d'habitants dans des actions de cohésion, de vivre ensemble.
- Animer des projets utilisant le potentiel que les demandeurs d'asile peuvent apporter aux autres familles du quartier et utiliser tous les talents des habitants.
- Animer l'action "Faire vivre ton quartier" en impliquant les partenaires.
- Contribuer à créer une dynamique de groupe, de vie collective, pour ouvrir les résidents sur l'extérieur via les supports proposés.
- Être à l'écoute des résidents, les aider à exprimer leurs besoins, les inciter à participer.
- Sensibiliser les personnes accueillies aux gestes éco-responsables.

> Constats :

- Désengagement et attitude consumériste des jeunes

- Difficulté des jeunes à se respecter et à s'ouvrir à la différence

- Inertie des jeunes sur leur territoire d'habitation

- Rareté des départs en vacances

> Objectifs :

- Favoriser l'investissement et la prise d'initiative des jeunes dans les projets

- Développer la tolérance, le respect, la solidarité et la coopération entre les jeunes

- Favoriser la mobilité et la rencontre des jeunes

- Découvrir un nouveau territoire et de nouvelles richesses culturelles, patrimoniales, environnementalesa

Le diagnostic de territoire a révélé un manque de services et alarme sur des indicateurs en matiere de précarité et de sentiment d'abandon assez significatif.

Le centre social avec le soutien de la ville de Douai, modernise son accueil.

Notre projet d’accompagnement jeunesse est guidée par des finalités éducatives, qui visent l’inclusion sociale et culturelle dans une démarche de concertation et de coopération avec les parents, les enseignants, les associations culturelles et sportives, les partenaires socio-éducatifs du territoire. Il s’agit à la fois de proposer et d'animer des espaces d'expression et de légitimisation, ouverts à l’autre, à l’ailleurs, adaptés à leurs besoins d’expression, d’engagement et d’autonomie, pour construire en même temps avec eux les conditions d’épanouissement de cette citoyenneté.

L'e-inclusion est un enjeu social qui traverse aujourd'hui de nombreux champs et l'éducation aux médias et à l'information est essentielle dans ce sens où elle doit permettre aux enfants et aux jeunes de se saisir des clés du monde numérique afin de comprendre et de participer en pleine conscience de leurs choix et de leurs évolutions et s'en servir de façon intuitive, comme outil éducatif par exemple plutôt que de le subir en se contentant de consommer ce qui est fait et décidé ailleurs.

Les jeunes de nos quartiers baignent dans un environnement numérique à travers les réseaux sociaux notamment mais ils n'appréhendent pas toujours cet univers comme un espace régi pas des règles, celles de la société non virtuelle. Les géants du Net visent à développer des comportements de consommation et peuvent représenter un réel danger quand les rapports entre les jeunes utilsateurs (mais pas que) ne sont ni accompagnés, ni encadrés. Etre en capacité de décryper l'information, de discerner les sources fiables des fake news, de protéger son identité numérique, d'adopter un comportement citoyen… ça s'apprend. C'est un frein qui devient un défi qu'il faut relever afin que les jeunes puissent se servir de façon intuitive de ce monde de l'information, comme outil éducatif par exemple plutôt que de le subir en se contentant de consommer ce qui leur est proposé sans discernement ou "mode d'emploi".

Mais si cet univers est semé de chemins à risque, il présente également d'infinies possibilités d'apprentissages et d'acquisitions de compétences. La technologie et les réseaux sociaux sont devenus indispensables à notre quotidien.

Les nouvelles générations très captives sont vulnérables mais elles développent également un potentiel numérique créatif et cette appétence naturelle est un vrai levier pour avancer sur un parcours d'éducation au numérique, avec la communauté éducative qui entoure l'enfant et le jeune, le parent occupant bien entendu une place centrale dans cet accompagnement.

Nous nous sommes saisis de cet enjeu depuis plusieurs années: labellisation Cyber centre par la Région dès 2000, élaboration d'un extranet collaboratif avec des structures d'éducation et d'insertion du Versant Nord Est, habilitation sur le dispositif timp@ss, ateliers d'initiation, de création numérique, parentalité, projet de sensiblisation au Lycée et au collège sur l'identité numérique, animation de TAP Medi@TIC, projet tous connectés jeunes-seniors retenu par le FDI (fonds d'innovation), ateliers d'insertion E-compétences, labelisation centres sociaux connectés….Nous avons ainsi développé des compétences internes et constitué un réseau solide de partenaires associés avec lesquels nous travaillons dans une dynamique de recherche/action et de développement. Issus du monde de la recherche, de l'enseignement, de la formation, des TIC, des médi@s, de l'associatif, de la culture, de la communication et des pédagogies innovantes, les professionnels et les organisations avec lesquels nous cheminons sont issus d'horizons divers et nous travaillons en regards et pratiques croisés à la mise en œuvre de l'inclusion numérique par:

- L'EMI: Education aux médias et à l'information

- La culture numérique: temps d'information et d'échanges thématiques

- L'accès aux droits et à l'information: dématérailisation des démarches administratives

- L'identité numérique: prévention et sensibilisation à la protection des données

- L'initiation aux outils: ateliers d'usage des TIC

- La pratique créative et artistique: Arts numériques et visuels (story board, MAO, Vidéo..)

- La communication: pour rendre visible et audible la parole et les initiatives des habitants (journal, blog, enregistrements radio..)

- La valorisation des parcours et des compétences: serious game, folio, quizz, tests…

- La pratique "makers": cooding, repairs cafés numériques

Mieux connaitre nos arbres, notre flore, notre faune et appréhender le milieu de la forêt. Apprendre à respecter le vivant.

Favoriser l’entretien de nos chemins.

Partager ensemble les richesses de notre territoire

Résultats attendus

Implication des bénévoles.

Nombre de participants aux balades, aux projections et aux débats.

Evaluation de la sensibilisation à la faune et à la flore des participants par l’équipe lors des échanges.

Nombre d’actions impulsées et menées par les bénévoles et les habitants.

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Cette action a été mis en place avec d'accompagner les familles en difficulté ou pas, afin de leur permettre de retrouver une cohésion familiale sereine, mais aussi afin de développer le lien social et la citoyenneté de tous.

Mise en place de cette plateforme pour répondre à la problématique récurrente des jeunes sans emploi, ni formation. Cibler les difficultés du jeunes mais également ces potentiels pour l'orienter plus facielement vers un dispositif.  

Dans notre milieu rural les jeunes sont isolés, pas ou peu d'activités de loisirs sur les communes, les jeunes sont désoeuvrés pendant les vacances.

 Le centre social depuis 2017 propose un accueil libre le mercredi après-midi qui permet aux jeunes de faire des activités mais également qui leur permet de donner des idées pour monter des projets qui les intéressent et les valorisent.

Ces temps de rencontre permettent qu’ils expriment leurs souhaits, qu’ils co construisent des projets, qu’ils s’investissent sur des actions d’autofinancement et aussi sur des actions intergénérationnelles lors des temps forts associatifs du centre social.

En 2018, les jeunes ont réalisé plusieurs actions basées sur les loisirs sportifs, la culture. Ils ont participé à plusieurs évènements au niveau associatif et local.