Les actions des centres sociaux
Actions
" Bonjour Voisin"
- Structure organisatrice
- Centre Socioculturel du Douessin - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- Intégration
- Résumé
L'idée du projet "bonjour voisin" était d'organiser un repérage des personnes isolées , d'aller à leur rencontre, de les écouter pour pouvoir construire avec elles ce qui pourraient correspondre à leur besoin. Des liens sont créés avec un bénévole en particulier et un rythme de "visite" prenant différentes formes est mis en place. Il s'agit aussi de pouvoir transmettre et accompagner l'information de ce qui existe sur le territoire et qui pourrait les intéresser, aider, concerner. Pour mener à bien ce projet, il s'agissait aussi de repérer des relais communaux, de mobiliser des bénévoles volontaires pour ce rôle de "voisins". Pour chaque commune un système de quadrillage est mis en place. les partenaires locaux de proximité sont mobilisés pour inviter des habitants relais afin de réaliser un repérage précis.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le centre socioculturel se situe sur un territoire rural composé aujourd'hui de 3 communes dont une commune nouvelle, elle-même composée de 8 communes déléguées. Lors du diagnostic effectué en 2015 la question de l'isolement à tous les âges de la vie a été posé. Le territoire concentre un contexte d’emploi fragilisé avec un chômage qui touche les + de 50 ans, et les jeunes , des chômeurs de longue durée de plus en plus nombreux, le nombre d'allocataires du RSA et le nombre de familles allocataires CAF sous le seuil de pauvreté sont en augmentation. Les causes de l'isolement sont multiples: la précarité, la santé, les ruptures familiales, les accidents de la vie, les problèmes de mobilité et les difficultés relationnelles. Il existe de nombreuses propositions sur le territoire mais les partenaires s'accordent pour constater la difficulté à entrer en contact avec les personnes les plus isolées. Les enquêtes auprès des habitants confirment cette problématique de l'isolement et nomment la difficulté à aller vers les personnes concernées qui peuvent avoir du mal à s’accepter comme ayant besoin d’aide et/ou risquer d’être stigmatisé « public en difficultés ». Les personnes isolées n'ont pas forcément accès à l’information sur l'existant.
Les résultats attendus, pour l'impact, il s'agit au sens large de lutter contre l'isolement sur le terriroire. De façon plus pragmatique, le résultat c'est la mise en place de l'action, la mobilisation d' habitants bénévoles pour les voisineurs, réaliser une charte des visites, mettre en place un relais communal sur chacune des communes, y réaliser un quadrillage, repérer les personnes isolées.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Janvier et février 2017, Visites d’expériences proches, recherches Solidarité paysans :
Trois bénévoles du centre et la référente famille sont les référents de ce projet. Un comité d epilotage est mis en place , des réunions de tous les bénévoles sont organisées deux fois par an, ainsi que des réunions de suivi sur les communes L'action expérimentale bénéficie d'un financement Fondation de France..
10 et 30 mars 2017 : Définition de pré-requis attendus des volontaires
Choix du nom "bonjour voisin"
Juillet 2017 Repérage et mobilisation d’habitants volontaires pour être relais communaux, voisineurs, visiteurs. Cette action se fait en continu depuis.
depuis juillet 2017 Quadrillage du territoire toujours en cours :
Enrichissement du répertoire d’acteurs existants :
-Les bénévoles sont allés rencontrer des responsables : De la Mission locale, Choix de vie, ASPFA, Tact, Secours Catholique et des structures engagées initialement : MSA, CAF, MDS, CCAS
-acteurs locaux : le quadrillage donne lieu à la mobilisation de nouveaux acteurs :
Concourson : élus municipaux, responsables comité des fêtes, association de parents d’élèves, ADMR, club de marche et des personnes ressources
Louresse : festival petites cheminées, club 3ième âge, théâtre, comité des fêtes, paroisse, parents d’élèves et des élus, CCAS, groupe de marche.
Denezé : comité des fêtes, ADMR, amicale de l’école, club du 3ième âge, des élus municipaux et personnes ressources
- Définition de missions avec charte et règlement intérieur , création d'un classeur informations sur l'existant.
- Elaboration d’un programme de formation : A ce jour, les voisins visiteurs investis n’ont pas accroché à notre proposition de bénéficier d’une formation telle que prévue dans le projet initial.Il nous est difficile à ce jour de savoir si ce qui nous apparaît encore comme un besoin pour la majorité d’entre eux se transformera en demande dans un futur proche. Nous ne disposons pas de leviers pour les y contraindre, d’ailleurs, l’exercice d’une contrainte serait contre-productif et pourrait faire que leur investissement s’arrête.
Néanmoins, des pas ont été faits! deux d’entre eux ont participé à une formation de quatre jours sur le risque suicidaire, organisée par la MSA, deux autres ont bénéficié d’une formation à l’écoute organisée par le Secours Catholique, et deux derniers ont suivi quatre séances animées par une psychologue sur la communication bienveillante . Ces démarches ont été «réinvesties dans le groupe des bénévoles» Est-ce suffisant? Nous ne le pensons toujours pas et restons en veille sur cette question.
Repérage d’habitants concernés par la problématique de l’isolement: quadrillage progressif du territoire. Selon les communes, notre intitaitve est plus ou moins bien accueillie. dans certains lieux on constate que les soidarités de voisinage se crée spontanément et que des veilles existent mais spécifiquement envers les personnes âgées voire très agées.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
L'action est financée pendant 3 ans dans le cadre des "initiatives pétillantes" de la Fondation de France (4000€/an) ainsi que par les communes dans le cadre de l'axe Solidarité de notre projet ( environ 2000€/an sur l'action ). les coûts sont essentiellement ceux concernant les charges salariales de la référente familles qui coordonne l'action sur l'isolement. Autres charge: intervenants service extérieurs pour les formations ou l'accompagnement ainsi que d'autres faris de déplacement, mise à dispoition de nos minibus ;
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Professionnelles: essentiellement la référente famille mais aussi la directrice dans la réflexion
Bénévoles référents: 3 membres de notre C.A.P. (Cercle d'Animation du Projet) , le président et deux membres.
bénévoles volontaires voisineurs et relais communaux: 9 + 13 habitants de Dénezé, Louresse qui visitaient spontanément mais cela a permis de structurer et revivifier.
- Résultat sur le territoire
Dans les communes où les contacts ont pu déboucher sur une réunion de quadrillage cela a créé une réelle dynamique et une prise de conscience de l'existant et des besoins. Les personnes conviées s'investissent dans la réflexion et témoignent que cela crée une attention et une vigilance particulière. La réflexion collective permet d'organiser une vérification systématique, quartier par quartier ou hameau par hameau. Des questionnements émergent sur tel ou tel habitant, maison, réseaux se créent pour se renseigner. Cela met parfois en valeur ou en évidence des solidarités naturelles et permet de les entretenir ou de les consolider.
On constate aussi pour certains des réticences à se poser ces questions.
- Résultat pour le centre social
Evolution de l'ancrage territorial. reconnaissance.
Nous n’avions pas expérimenté le quadrillage dans les communes : une démarche systématique qui s’appuie sur la connaissance fine des habitants. Cela est rendu possible par le croisement des connaissances des habitants. C’est pour nous une nouvelle méthode
- Résultat pour les habitants
Les voisins entrés dans la démarche apprécient ce lien régulier. Reconnaissance des personnes, renforcement des liens
- Suite de l'action : Limites
L’action n’a pas atteint l’objectif initial de toucher « tout public », hormis les personnes âgées, la rencontre avec d’autres habitants passe sans doute par une approche spécifique que nous n’avons pu engager.
Dans la construction du projet , les outils de suivi imaginés n'ont pas parus appropriés à l'épreuve de la mise en oeuvre et de la réalité, jugés "trop administratifs ou contrôle" (carnet de visite, fiches synthètique trimestrielle, liste des typologies) . Les personnes visitées parlent plus de besoin d erencontres que d'aides.
Une réflexion et confrontation en interne sur le sens d'un tel projet pour le centre social, l'accompagnement individuel ou collectif, comment partir de l'individuel pour aller vers le collectif? la construction même du projet , la place du pouvoir d'agir et du centre.
- Suite de l'action : Perspectives
Nous avons le sentiment de ne pas avoir abouti et avons souhaité lors d’un comité de pilotage nous doter de moyens supplémentaires pour
- Maintenir des liens quand un quadrillage dans une commune mobilise ses habitants
- Renforcer ou recréer des liens avec les travailleurs sociaux, les associations locales, afin de co-construire avec eux des solutions adaptées pour aller vers les publics plus jeunes et isolés. Si cela aboutit, alors une mobilisation de nouveaux habitants « visiteurs » est à imaginer. Ainsi, lors d’une réunion partenariale « le groupe rencontre », des travailleurs sociaux de la MDS, de la CAF et du CCAS ont indiqué que des personnes expriment leur isolement et leurs besoins de rencontre. Ils se sont portés partenaires pour chercher comment faire des passerelles vers les actions existantes.
- L’idée retenue dans un premier temps serait d’accueillir un stagiaire en travail social qui viendrait en complément de l’action de la coordinatrice, action que nous souhaitons poursuivre sur les fonds qui restent et que nous n’avons pas mobilisés. Faire le point avec la fondation de France .
- faire du lien avec l'action des" ateliers du lundi" mise en place au centre elle-même en évolution.
- envisager une action différente pour le public plus jeune, la visite à domicile, ne semble pas être adaptée.
Actions
"Accès aux droits et lutte contre la fracture numérique"
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL CAF LA CLAIRIERE - Meurthe-et-Moselle
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- discriminations
- Résumé
A. Une réponse individuelle et bienveillante:
La vigilance particulière du Centre Social à la qualité de l'accueil permet une première étape indispensable pour identifier les besoins spécifiques de chaque personne et y apporter une réponse adaptée de premier niveau.
- Un accueil de premier niveau
Le Centre Social est un lieu ouvert assurant un accueil individuel et bienveillant pour permettre au plus grand nombre de pouvoir réaliser des démarches administratives en étant accompagnés. Créer un tel lieu d'accueil permet aux personnes de trouver une écoute et une ouverture qui peut être une première entrée pour certains publics vers une démarche accompagnée pour l'accès aux droits.
La présence de jeunes volontaires en mission de service civique missionnés par la CAF 54 permet de recevoir les personnes et de leur apporter une réponse immédiate une aide concrète dans la réalisation de démarches en ligne. Un accompagnement à l'utilisation de la borne Caf est également proposé pour les personnes qui le souhaitent (plus de 100 personnes passent chaque mois pour imprimer une attestation)
Des permanences hors des murs de notre structure sont également assurées avec d’autres volontaires services civiques du territoire pour aller vers les publics qui ne viennent pas au Centre Social:
- expliquer un courrier
- donner des informations sur les différentes prestations
- aider les personnes à remplir des formulaires (demande de logement social, demande de CMUC…).
Démarche :
- Pédagogie rendant la personne actrice (faire avec et non pas faire à la place) .
- Ecoute et décryptage du besoin.
- Explication simple et claire avec un vocabulaire accessible à tous.
- Vérification de la bonne compréhension par la personne des explications données ou des démarches réalisées ou à réaliser.
2) A la suite de ce premier accueil individualisé, orientation possible vers :
- Un accès accompagné sur les outils informatiques du centre social (télé-déclarations, création ou accès à sa messagerie, inscription à pôle emploi, recherche internet.)
- Un accompagnement approfondi en cas de difficultés d’accès aux droits par le travailleur social référent de l’action, qui aura une vigilance particulière sur les situations complexes et la recherche de solutions.
- Une réorientation et une mise en lien avec les partenaires adéquats en fonction de la problématique identifiée.
B. Des actions collectives pour impulser un parcours et acquérir une plus grande autonomie :
Une meilleure connaissance de ses droits:
- Mise en place de temps d'informations réguliers sur des démarches de droits plus élargies en réactivité à l'actualité, intervention de partenaires extérieurs, en lien avec les personnes participants à d'autres activités du Centre Social et avec les partenaires territoriaux.
- Création et diffusion d'outils récapitulatifs simples permettant une compréhension par nos publics des différents types de démarches administratives auxquelles ils pourraient être confrontés.
La facilitation numérique:
- Mise en œuvre de deux modules de formation à l’outil informatique. Le premier s’adresse à des personnes qui n’ont aucune connaissance en informatique, le second à des personnes ayant déjà quelques notions. Les groupes sont constitués en fonction du niveau de compétences nécessaire des personnes présentes et des pré-requis indispensables (langue, écrit, vocabulaire.).
L’objectif de ces ateliers est d’acquérir les principes de base de l’outil informatique et de l’accès à Internet pour pouvoir réaliser des démarches en ligne en autonomie.
Au niveau du contenu, il y a une présentation théorique minime qui aborde l’essentiel de la séance (construit après recueil des besoins des participants) avec des mots simples, une mise en pratique, un outil récapitulatif à emmener chez soi. Les ateliers informatiques sont animés par un volontaire en service civique, la Conseillère en ESF référente et /ou un bénévole pour pouvoir accompagner les personnes de manière plus personnalisée lors de la pratique.
- Pour faciliter la réappropriation des savoirs acquis pendant la formation, les participants ont la possibilité de s’exercer sur les ordinateurs du Centre Social de manière individuelle.
C. Travail de partenariat :
Contribution avec les partenaires territoriaux de l'expérimentation « Accès aux droits du Plateau de Haye », pour continuer à:
- Travailler en collaboration et faciliter la résolution des situations complexes grâce notamment à la nomination de « Référents accès aux droit » dans les différentes institutions.
- Communiquer, mieux informer pour permettre une visibilité des différentes actions proposées sur le territoire afin de faciliter l'accès aux droits du plus grand nombre d’habitants du territoire.
- « Aller vers » un public qui ne fait pas appel aux institutions :
Sortir de la structure, mobiliser éventuellement d'autres services civiques du territoire ayant des missions similaires, mutualiser ou diversifier nos actions pour permettre d'aller à la rencontre des habitants. Temps de présence hebdomadaire des services civiques à l'extérieur de Centre Social à la mairie de quartier pour aller au-devant d'habitants, compléter et soutenir les accueils existants.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L’aide à l’accès ou au maintien des droits et l’usage de l’outil numérique sont devenus indissociables dans un contexte de développement accéléré de la simplification des démarches administratives.
Les formalités de la vie quotidienne sont de plus en plus marquées par l’obligation d’avoir une adresse email et de faire des démarches sur un compte personnel en ligne. Que ce soit pour suivre le versement de ses prestations, ses remboursements de santé, son compte en banque, ses factures d’énergie ou de téléphone, pour rechercher un emploi ou encore passer son permis de conduire, il devient indispensable d’avoir accès à un outil numérique et de savoir l’utiliser.
Si pour 80% de personnes, il s’agit réellement d’une simplification, une minorité en situation de précarité risque de se trouver dans l’impossibilité d’accéder à ses droits voire même d’avoir une existence sociale.
Il s’agit, d’une manière générale, d’accompagner un public qui rencontre des difficultés, perdu dans les méandres administratifs de par leur non compréhension ou de par leur négligence.
En tout état de cause, quel que soit leur problématique, ce qui les motive à franchir la porte du centre social c’est d’abord pour recevoir une écoute, avoir la possibilité de se sentir épaulés pour enfin être rassuré en faisant seul.
La mise en confiance est primordiale comme la capacité à savoir renseigner sans prendre la place des gens ni faire à leur place ou répondre à la pression.
Ces temps de rencontredoivent permettre aussi de pouvoir approcher les inquiétudes, calmer le jeu, être en position de tiers. L’accueil demeurant avant tout : une affaire d’équipe.
Outre des réponses à des questionnements individuels des publics qui ont interpellé l’équipe, la mise en œuvre de cette action permet d’apporter des éléments d’analyse sur les besoins des habitants et sur les modalités d’action à proposer sur la thématique de l’accès aux droits.
Les problématiques relevées dans ce domaine sont :
- Une évolution du contexte administratif : La modification des modalités d’accueils physiques et téléphoniques des institutions et une réorientation quasi systématique sur des sites internet dédiés.
- Une précarité accentuée des publics accueillis qui entraîne une certaine instabilité des situations sociales, familiales et professionnelles, ce qui multiplie le nombre de démarches à effectuer à chaque changement de situation administrative.
- Un accès limité à l’outil informatique du fait d’un manque d’équipement (seuls 24% des publics reçus dans le cadre de l’accès aux droits déclarent avoir accès à un ordinateur à domicile pour réaliser des démarches en ligne), une acquisition de nouvelles connaissances ou savoir-faire rendue difficile par une impossibilité de pratiquer, mais aussi une utilisation limitée en raison d’une méconnaissance de l’outil informatique et un manque de confiance en soi dans la réalisation des démarches numériques.
- Une méconnaissance des droits, une difficulté à trouver les renseignements et à réaliser des démarches administratives, une difficulté de compréhension de la logique administrative française pour des personnes arrivant de l’étranger notamment.
Pour certaines personnes des facteurs aggravants s’ajoutent :
- La non-maîtrise de la langue française (incompréhension face à des courriers administratifs aux termes techniques et parfois peu explicites de la part des administrations françaises)
- Des problématiques de santés entrainant des difficultés à l’utilisation des outils numériques : problème de vue, handicap moteur, difficulté de mémorisation, difficultés cognitives…
A noter : Dans le cadre du Plan pluriannuel contre la pauvreté et pour l’inclusion sociale, le Centre Social est engagé avec les institutions et d’autres partenaires de terrain du quartier politique de la ville Plateau de Haye dans une expérimentation sur le chantier « Accès aux droits ».
Dans le cadre des échanges partenariaux de cette expérimentation, nous pressentons le non-recours aux droits d’un nombre certain de personnes éloignées des structures.
S’il est difficile d’en évaluer la quantité, nous souhaitons trouver ensemble des solutions pour aller vers ses personnes et leur donner la possibilité d’avoir toutes les informations et l’accompagnement nécessaires à l’ouverture de leurs droits.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Cette action est conduite de manière transversale en s'appuyant sur l'ensemble des secteurs du centre social.
Notre action permet surtout d’offrir un accueil et une écoute bienveillante à de personnes ayant besoin d’être accompagnées et épaulées dans leurs démarches administratives.
Afin d’accompagner au mieux les habitants, deux jeunes volontaires en Service Civique et un bénévole, avec le soutien de la Conseillère en Economie Sociale et Familiale, mettent en place des temps d’accueil individuel pour répondre aux besoins immédiats et des ateliers participatifs permettent aux habitants de s’investir et de progresser dans la réalisation de leurs démarches administratives et ainsi concourir à l’amélioration de leur situation quotidienne :
- Apprendre à se repérer dans la vie citoyenne : droits et devoirs,
- Connaître les différentes institutions (Mairie, CAF, CPAM…)
- Se familiariser avec les formulaires, avec les démarches en ligne
- Se familiariser avec l’outil informatique
L’accueil réalisé par ces différents intervenants permet aux personnes d’être écoutées et de verbaliser leur demande, mais aussi de les rassurer, d’expliquer, de clarifier, de donner les bonnes informations et réponses, de mettre en lien avec d’autres interlocuteurs si besoin.
Le contact humain et la disponibilité sont des éléments indispensables à une bonne compréhension des problématiques de personnes reçues et donc à une meilleure résolution de leurs difficultés.
L’approche pédagogique est de favoriser une démarche participative des personnes, de ne pas faire à leur place mais de leur permettre d’apprendre de manière active et d’accéder ainsi à une plus grande autonomie.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
5000 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Le public bénéficiaire des différents accompagnements proposés par le centre social est très diversifié.
Au total 428 personnes en 2017 ont pu être accompagnés.
- 25% des personnes reçues sont en situation de monoparentalité
- 20% des personnes accueillies sont en difficulté avec la langue française
- Seulement 24% des personnes affirment disposer d’un accès à un ordinateur pour pouvoir faire des démarches en lignes
Âge
Homme
Femme
Total
18-25 ans
3
11
14
26-64 ans
146
240
386
65 ans et +
21
7
28
Total
170
258
428
- Résultat sur le territoire
Dans le cadre de l’action mise en œuvre cette année, l’intervention d’un travailleur social en soutien des services civiques a permis de prendre en charge ce risque et d’apporter des réponses adaptées :
- réaliser une médiation entre la personne et l’institution
- réorienter vers les services sociaux ou administratifs lorsque la demande était trop complexe pour être traitée sur place et sans connaissance du dossier de la personne.
Concernant la résolution des situations complexes une réflexion approfondie et une mise en œuvre sont en cours afin de faciliter la connexion entre institutions pour faire face aux urgences. Des démarches ont été réalisées dans ce sens dans le cadre du l’expérimentation Accès au Droit du plateau de Haye courant de l’année 2017, avec la nomination de réfèrent « accès au droit » dans les institutions.
Nous avons ainsi pu accélérer le déblocage de plusieurs situations complexes en recourant à l’intervention de ces référents.
- Résultat pour le centre social
Le Centre Social du fait de sa grande amplitude d’ouverture et de son accueil est un réel repère vers lequel les personnes se tournent lorsque les autres structures du quartier sont fermées.
L’activité réalisée par les services civiques mis à disposition par la CAF a permis de renforcer les moyens humains pour garder une accessibilité minimum des publics à l’institution.
Lorsqu’il s’est agi d’une demande simple (demande d’information, aide pour une démarche en ligne, explication d’un courrier, prise de rendez-vous…) le service civique a pu apporter une réponse immédiate en veillant à la compréhension de la démarche par la personne accueillie.
Les services civiques ont été facilitateurs pour ces publics fragilisés en proposant des actions. Au-delà de l’aide concrète apportée, les permanences ont également permis aux personnes les plus éloignées du système administratif de trouver un soutien et une écoute face à leurs difficultés.
En faisant connaître leur démarche auprès des acteurs locaux et notamment de la Mairie de quartier, des relais d’information ont pu être mobilisés et ont permis d’aller au contact des publics plus éloignés du centre social et d’élargir la communication autour de la mise en place de séances d’information collectives.
Au-delà, la réflexion porte aussi vers les publics dits “invisibles”. Comment atteindre les personnes qui ne franchissent pas le seuil du Centre Social mais dont les besoins en termes de mise en place, de maintien ou de renouvellement de droits sont bien présents.
Cette notion d’”aller vers” également étudiée dans le cadre du plan de lutte contre la précarité et la pauvreté avec les partenaires du territoire du Plateau de Haye nous semble un aspect qu’il faut continuer à développer dans notre action.
Force est de constater aussi que beaucoup de structures et institutions présentes sur le quartier partagent les mêmes constats quant aux problématiques d’accès aux droits, certaines réponses sont proposées selon les moyens disponibles ou les spécificités de chacune d’elles. Connaître les actions des uns et des autres et partager une analyse des situations rencontrées est aussi un axe à travailler au sein de l’action pour apporter de la cohérence aux réponses.
- Résultat pour les habitants
Sur l’année 2017 :
- 88 journées d’accueil au sein du Centre Social
- 31 temps d’accueil en mairie de quartier ont été réalisées par les volontaires en mission de service civique,
- 23 temps d’accueil ont été réalisé par un bénévole.
Si pour la plupart des personnes, un entretien aura suffi à expliquer, aider à la réalisation d’une démarche ou à orienter la personne vers le bon interlocuteur, un accompagnement a pu être proposé à des personnes dont la situation était plus complexe ou pour permettre d’acquérir des savoirs et savoir-faire en matière de droits et d’utilisation des outils numérique en vue d’une plus grande autonomie dans la réalisation des démarches administratives en ligne.
Plus de 400 entretiens individuels ont ainsi été réalisés avec une demande de soutien par rapport à une démarche administrative.
74 % d’entre elles concernaient des démarches vis-à-vis de la CAF :
- 32 % pour des déclarations de ressources (dont 60% pour le RSA,10% pour la prime d’activité et 27 % de déclarations annuelles)
- 11% pour des simulations pour l’ouverture de droit (dont APL :40%, RSA :30% et prime d’activité :20%)
- 41% pour autres démarches sur le compte Caf : changement de situation, changement de mot de passe, impression d’attestation, demande de justificatif…
- 16 % autres démarches : explication de courrier, aide à la constitution des pièces d’un dossier, appel téléphonique à la Caf….
Dans la plupart des cas, à l’occasion des séances d’accueils, la demande a pu être traitée sur place, via l’outil informatique :
Les personnes sont particulièrement à la recherche d’un accompagnement dans leurs démarches en ligne (APL, Changement de situation, Déclaration trimestrielle…) : pour certains allocataires l’intervention de l’équipe a permis de se repérer dans des démarches simples qu’ils font seuls maintenant.
15% des demandes ont aussi concernées des démarches en ligne sur d’autres sites que la CAF comme celui de la sécurité sociale (Améli), ou le site de Pôle Emploi.
11% ont été des demandes de renseignements sur des prestations, des explications de courrier, de l’aide à remplir des formulaires administratifs papier... et à des temps d’accompagnements plus lourd pour certaines personnes.
- Suite de l'action : Limites
La présence de moyens humains dans cet accompagnement est sans conteste un atout permettant un accompagnement individuel plus adapté aux besoins spécifiques des personnes.
Mais concernant les publics plus éloignés des outils numériques, l’accès à l’autonomie ne peut se faire que dans un cadre pédagogique plus construit :
- Pour compléter des connaissances liées aux logiques administratives et au fonctionnement institutionnel
- Pour compléter des compétences dans l’utilisation des outils informatiques, dans l’organisation des démarches familiales
- Pour favoriser la prise de confiance en soi
C'est pourquoi, le Centre Social s'est appuyé sur des paretenaires comme la fondation Orange pour mener une expérimentation spécifique vers les publis en difficulté avec la maîtrise de la langue française.
- Mise en œuvre d’une réflexion portant sur une démarche pédagogique partagée avec les différents acteurs de l’action d’apprentissage de la langue française, afin de construire un mode d’action adapté aux besoins du public et permettant sa familiarisation avec les outils numériques.
- La proposition est de travailler en premier lieu sur la thématique de l’accès aux droits qui requiert de fait l’utilisation des outils numériques et qui est au cœur des préoccupations des apprenants.
- L’Association Orange Solidarité pourra être un appui complémentaire pour soutenir la réalisation des outils pédagogiques qui constitueront une base documentaire à partager avec d’autres acteurs du centre social ou d’autres structures engagées dans un projet similaire.
Ainsi avec avec l’intervention des salariés de l’Association Orange Solidarité, le centre social a pu mettre l'accent sur la formation des encadrants bénévoles et salariés du Centre social Caf « La Clairière » pour
- Se familiariser avec l’utilisation de l’équipement mis en place.
- Se former à l’outil numérique pour soi afin de s’assurer dans son utilisation et fixer des compétences souvent acquises de manière empirique.
- Et pour être en capacité de construire des outils pédagogiques adaptés au public mêlant le numérique et l’apprentissage de la langue française.
- Suite de l'action : Perspectives
- Reconduction l'action
- Reconnaissance par la CAf 54: Point e-numérique
- Reconnaissance par la Fondation Orange: Maison digitale ( en cours)
Actions
"Allez les filles"
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIO-CULTUREL JEAN WAGNER - Haut-Rhin
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
L'action, comportant 3 phases, s'est déroulée de septembre 2015 à juillet 2016.
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- vacances / loisirs
- discriminations
- Mixité sociale
- Résumé
Un temps d'accueil spécifique en direction des jeunes filles de 12 à 17ans pour leur permettre de se développer et de s'émanciper.
L'action se déroule en 3 phases :
1 - activité piscine
2 - pratique du canoé-kayak
3 - séjour été : pratique d'activités aquatiques
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Autre
- Précision ( si autre )
Un groupe de filles a émis le souhait de bénéficier d'activités sportives adaptées : pratique d'un sport individuel sans compétition, sans violence ni contact.
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les loisirs sportifs proposés par le CSC aux jeunes de 11 à 17 ans n'accueillent qu'exceptionnellement des filles. On constate aussi que peu d'associations sportives interviennent sur notre territoire. La réticence des parents à laisser sa ou ses filles sortir le soir pour y participer est aussi un frein. A cela se rajoute la question de la mixité. D'où l'idée de proposer des actions qui leurs soient spécialement adressées, et ceci sur des créneaux adaptés.
Ce projet entend répondre à :
- l'égalité d'accès aux activités sportives,
- au développement et l'émancipation de ces jeunes filles.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Phase 1 : une fois par semaine, le mercredi après-midi, une activité piscine qui permet de travailler 4 principes : la flottabilité, l'équilibre, la respiration et la propulsion. Une fois par mois, une pratique de vélo aquatique durant 30 mn.
Phase 2 : suite aux séances de piscine , pratique du canoë-kayak en partenariat avec l'association de canoë-kayak. Ces séances nécessitent les compétences acquises en piscine et s'appuyent sur 4 axes :
- la motricité : évolution dans un milieu en mouvement sur une embarcation instable.
- le déplacement : travail sur l'orientation et la navigation.
- la découverte du milieu : sensibilisation au milieu et aux espèces aquatiques.
- l'aspect ludique : organisation de différents jeux (kayak-polo, baignade, échange d'embarcation sur l'eau…).
Phase 3 : Organisation d'un séjour durant l'été 2016 en lien avec les activités aquatiques. Ce séjour finalise l'action, tout en travaillant sur la cohésion sociale et de groupe.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
voir document annexe.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
éducateur spécialisé : 1
animatrice : 1
moniteur fédéral canoé-kayak : 1
animateur culturel : 1
référente famille : 1
équipe éducative du collège Wolf
pôle sports et jeunesse de la Ville de Mulhouse
- Résultat sur le territoire
Le CSC est reconnu sur son territoire pour ses activités de loisirs en direction des enfants et des adultes. A la suite de ce projet, il
souhaite être reconnu comme lieu ressource pour ce public précis.
Notre souhait est d'encourager les filles à s’inscrire dans cette démarche émancipatrice.
- Résultat pour le centre social
Inscrire l'activité sportive régulière dans l'offre proposée par le centre social.
- Résultat pour les habitants
Lever les réticences des familles sur la pratique sportive concernant les filles.
- Suite de l'action : Limites
Les réticences des familles.
- Suite de l'action : Perspectives
Reproduire ce type d'action sur une autre pratique sportvie.
Actions
"Génération 60"
- Structure organisatrice
- CS FLERS SART - Nord
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Viellissement
- Résumé
Objet de l’action : "Vieillissement de la population"
Dans le cadre de la préservation de l’autonomie et du maintien du lien social ,mettre en place des actions d’accompagnement et d’animation collectives en faveur des retraités Villeneuvois , vivant à domicile , en situation de fragilités sociales ; psychologique ; et (ou) économique
.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Précision ( si autre )
La CARSAT soutien ce projet depuis 2008.
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Finalité :
Depuis 2008, le centre Culturel et social Flers Sart a orienté et renforcé ses missions en faveur d’un nouveau public communément appelé les seniors pour agir et répondre aux enjeux liés au vieillissement de la population. Ces missions s’inscrivent dans le projet Social …
Objectifs généraux partagés :
Développement de nouvelles dynamiques territoriales autour de la prévention du vieillissement.
Emergence d’une culture de la prévention autour du vieillissement.
Meilleure connaissance des besoins du public retraité autonome et fragile.
Articulation entre les acteurs et les dispositifs institutionnels concernant la prévention.Objectifs opérationnels partagés :
Développer une mission d’animation globale et collective spécifique au vieillissement dans les centres sociaux du Nord – Pas de Calais.
Réaliser un diagnostic partagé à partir des observations et des analyses territoriales.
Mettre en place des actions collectives et partenariales pour prévenir les risques liés au vieillissement.Les orientations visées par l’association:
Accompagner les personnes âgées dans cette transition de vie difficile qu’est le passage à la retraite.
Encourager l’expression de la parole des retraités
Favoriser la mixité sociale, Culturelle, intergénérationnelle
Lutter contre l’isolement des seniorsRésultats :
Moins d'isolement
Maintien du lien social/Tisser du lien social
Préserver l'autonomie des personnes âgées
Prévention santé
Développer des partenariats
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
En 2004, nous avons mis en place un atelier informatique. Cet atelier attire en majorité des seniors qui au fil des années ont souhaités mener d'autres actions au centre social.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
15000 € par an
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 animateur référent
30 bénévoles
- Résultat sur le territoire
Moins de personnes seules/plus d'animations de services en adéquation avec les besoins et les attentes des jeunes retraités.
- Résultat pour le centre social
Les seniors un public exigeant mais reconnaissant qui nous a ammener à faire évoluer notre accueil/nos pratiques professionnelles/développement du partenariat... Aujoud'hui : Plus d'animations/de services ; plus d'engagements, de bénévoles ; plus de projets ; plus de gestion adminisitratives
- Résultat pour les habitants
Des habitants qui ont la possibilité de construire un projet personnel, collectif, bien vivre dans leur quartier, ne pas se sentir seule.
Des animations et des services supplémentaires
Maintien du lien social/vivre ensemble (mixité/intergénaration...)
Citoyenneté : Des habitants s'engagent plus dans leur quartier alors que la tendance est au repli...
- Suite de l'action : Limites
L'axe seniors en plein essor qui demande plus de financements, de personnels, de compétences, de formations...
- Suite de l'action : Perspectives
Développer/renforcer le partenariat.
lutter contre l'isolement.
Prévention santé
Actions
"Mieux Vieillir aux Fossés-Jean"
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ET CULTUREL DES FOSSES JEAN - Hauts-de-Seine
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Viellissement
- Résumé
Description succincte du projet (objet et objectifs principaux du projet)
Selon la charte des Centres Sociaux, « Considérer les hommes et les femmes comme solidaires, c'est-à-dire comme étant capables de vivre ensemble en société, est une conviction constante des Centres sociaux et socio-culturels depuis leurs origines. »Nous nous accordons donc avec les objectifs de la CNAV pour fixer l’accent sur la prévention de la perte d'autonomie en permettant aux retraités de retisser ou de maintenir du lien social.
Le projet se décline en 3 axes :
Axe 1 : Une proposition d’aide individualisé : développement des actions individuelles en direction des seniors au niveau du pôle social, et qui permet une interface entre les administrations.
Axe 2 : Des échanges intergénérationnels : des nombreuses actions proposées par les adolescents peuvent être mises en place : échanges de savoirs, échanges de services, activités…
Axe 3 : Un panel d’activités de loisirs : Le Centre Social et Culturel est un espace qui accueille toutes les catégories. Cela permet de ne pas isoler les personnes dans leurs loisirs. Il s’agirait de développer les activités de journée à destination des publics non actifs et retraités.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action vise à ce que l'équipe prenne en compte les enjeux de la problématique du vieillissement afin d'être plus attentif à ce public, de proposer une meilleure écoute et des les mobiliser dans des actions du centre et/ou desquels ils pourraient être porteurs.
L'idée est vraiment de prévenir la perte d'autonomie pour une partie, a travers la pérénisation d'actions déjà existantes, leur développement, et d'imaginer de nouvelles actions, avec les partenaires et/ou les personnes concernées. Nos constats et partenariats nous ont conduit par exemple à créer un accueil séniors tous les mercredis matin de l'année. Il est construit et animé le CSC et la médiathèque et concerne notament les chibanis du foyer adoma du quartier, qui n'a pas de lieu de rencontre dans ses murs.
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
L'action a débuté en septembre 2014.
En ce qui concerne l'aide individualisée, force est de constater que de nombreuses personnes ont du mal à acceder à leurs droits, du fait qu'ils ne savent ni lire ni écrire et ce fossé se creuse encore plus avec la dématérialisation des services publics qui engendre des difficultés supplémentaires pour les publics fragiles victimes de la fracture numérique. Environ 15% du public du Pôle social du CSC se situe dans la catégorie sénior. Le CSC est en général de seul lieu ou elles sont écoutées et qui peut les accompagner (remplissage de dossiers...). Des permanences d'accès à la culture permettent aux séniors de pouvoir profiter de spectacles à moindre cout et de vivre des temps collectifs.
Le CSC organise des échanges intergénérationnels, par exemple dans le cadre de la semaine bleue (programme dans toute la ville de Colombes) ou dans le cadre de projets en partenariat avec des associations culturelles (théâtre, arts plastiques...). De nombreuses actions sont organisées par les jeunes du Club ados : Grands lotos, après midi jeux, gouter et échanges... Ils vont aussi à la rencontre des habitants du quartier pour les interviewer sur divers sujets.
La Commission Vie Sociale du CSC est composée d'une quarantaire de membres dont 60% sont des retraités. 10 d'entre eux sont des jeunes du club ado. Ils organisent des évènements de solidarité en direction des publics isolés. Il sollicitent les associations caritatives pour inviter les personnes à des temps festifs (voir fiche action "Repas solidarité")
Le projet a permis de développer le panel d'activités de loisirs du Centre en s'attachant à ajouter des activités qui intéressent les séniors et à des horaires adaptés. Sur 516 adhérents adultes, 30% sont des séniors.
Suite au constat du CSC et de la médiathèque de l'isolement des chibanis du foyer Adoma, nous avons ouvert un accueil café jeux journaux séniors tous les mercredis matin depuis septembre 2015. Nous leur proposons des activités en lien avec leurs envies, et besoins évoqués. Sorties, informations santé (diabete, cholestérol...) initiations à internet...
Les moyens humains : Permanentes du pôle social, l'équipe du club ados, la coordinatrice pour suivre la mise en œuvre de certaines actions et la coordination du projet, les animateurs d’activités hebdomadaires, les bénévoles.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Dates du projet : septembre 2014 - décembre 2015
Montant total du projet : 41500 / part de la ville 26500 / Part de la CNAV : 15000
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Environ 500 personnes.
- Résultat sur le territoire
Une meilleure prise en compte des besoin des personnes, et de leurs envies, ne peut être que bénéfique pour le territoire. Toutefois, nous ne pouvons pas encore en mesurer les effets.
- Résultat pour le centre social
Le projet a permis de resserer les liens avec des partenaires, de mettre en place un partenariat d'action avec la médiathèque, de mieux connaitres les dispositifs, de mieux orienter les publics. Il a permis à l'équipe de prendre conscience de l'impact de l'enjeux du vieillissement.
- Résultat pour les habitants
Les actions mises en place permettent, a l'instar des autres actions du CSC, de créer du lien social, de la rencontre. De nombreuses actions intergénérationnelles ont été mises en place qui permettent de combattre et dépasser les préjugées qu’ont les générations les unes sur les autres.
- Suite de l'action : Limites
Il est difficile de faire emmerger des envies d'action. Des rencontres avec des séniors ont été faites et souvent elles avouent avoir un emploi du temps très chargé. Il faudrait réfléchir à d'autres modalités.
- Suite de l'action : Perspectives
Développer des actions en direction du public, et notament en favorisant les actions portées par les séniors.
Actions
"Petits dej partenaires"
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL YVES AGOSTINI - Seine-et-Marne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Mixité sociale
- Résumé
L'équipe du Centre Social a mis en place tous les trimestres un temps de rencontres entre partenaires, professionnels, bénévoles. Articulé autour d'un petit déjeuner, un partenaire est invité à présenter sa structure, ses missions aux personnes présentes. Un temps d'échanges s'en suit.
Nos objectifs:
Créer un réseau de partenaires identifiés et identifiables par tous
Développer les relations entre les partenaires pour un meilleur service rendu à la population
Organiser un temps convivial de rencontres entre professionnels
Favoriser les passerelles entre les structures
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pour développer les liens entre les partenaires.
Créer un espace de rencontres et d'échanges, formels et informels
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
un petit déjeuner par trimestre - durée 1h30
en fonction de la thématique proposée, on invite les partenaires un mois avant par mail à y participer
partenaires: tous ceux qui gravitent autour du centre social.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
principalement du fongible et de l'alimentation. prévoir 100 euros par petit déjeuner en fonction du nombre de partenaires présents
Frais personnels non comptabilisés.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
en fonction des thèmes et de la période, le nombre de personnes peut varier.
En 2019, moyenne de 20 participants par petit déjeuner
- Résultat sur le territoire
Des passerelles se sont créées entre certaines structures qui jusque-là ne communiquaient pas entre elles.
Meilleure connaissance du territoire, de ses possibilités et des partenaires.
Attente des partenaires et des propositions de thèmes émis par eux
Elle induit une meilleure prise en charge des familles.
- Résultat pour le centre social
Meilleure connaissance du centre social: missions, fonctionnement, équipe (permanents, bénévoles, vacataires...).
Découverte et rencontre avec de nouveaux acteurs locaux.
- Résultat pour les habitants
Meilleure prise en charge des familles donc plus grande autonomie, moins sollicitations équipe...
- Suite de l'action : Limites
Trouver des thèmes correspondants aux attentes et aux besoins d’un maximum de partenaires.
Communiquer en amont sur la date pour favoriser la venue du plus grand nombre.
- Suite de l'action : Perspectives
Poursuite de l’action sur le même modèle.
Calendrier fixé au semestre.
Actions
Accès aux droits
- Structure organisatrice
- SOLIDARITE FORMATION MEDIATION S.F.M. CLICHY - Hauts-de-Seine
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Viellissement
- Précarité
- Résumé
Il s'agit de favoriser l’accès aux droits sociaux à travers les actions individuelles et collectives du Relais d’Accès au Droit (RAD). Les actions sont les suivantes:
- accueil information, orientation de façon transversale aux activités : quotidien
- permanences écrivain public : 9 par semaine de 2h30
- accompagnement des dossiers DALO sur rendez-vous
- médiation individualisée : accueil sur rendez-vous proposé aux personnes dont la(es) situation(s) administrative(s) est complexe(s) et nécessite de nombreuses mises en relation avec l’institution concernée.
- réunions collectives d’informations, d’échanges et d’accès aux droits
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L’association SFM a mis en place ces actions constatant la demande importante d’accompagnement dans mes démarches administratives du public qui fréquentait les cours d’alphabétisation. L’action s’est adaptée d’année en années en fonction des problématiques liées à l’accès aux droits qu’il nous semblait important de traiter, de façon individuelle ou collective.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Partenariat:
- Services Sociaux (Conseil Départemental et Municipalité, CAF)
- Accueil de la Mairie de Clichy,
- Maison du droit, (ville de Clichy)
- Maison de l’habitat, (ville de Clichy)
- Service retraité (ville de Clichy)
- Mission handicap (ville de Clichy)
- Pôle emploi,
- Maison de l’emploi : PLIE, Mission Locale… (ville de Clichy)
- Associations intervenant dans le domaine du logement: ADIL, Fondation Abbé Pierre, Secours Catholique
- Associations liées au droit des étrangers : APRIM, GISTI,
- Association de Consommateurs : Léo Lagrange…
- DIRRECTE service de la consommation et de la répression des fraudes
- CAF : CAF Gennevilliers et permanence d’action sociale à Clichy
- Caisses de retraite & retraites complémentaires
- Association accompagnant les retraités : ADIPR
- Banque de France
- CPAM
- Association 92 Média
Moyens matériels :un local Ecrivain public et une salle d’attente, une salle de réunion pour les réunions collectives, salles pour les rendez-vous individuels
Matériel : accès Internet, ordinateurs, photocopieurs, matériel de rétro et vidéo projection
- Ressources financières mobilisées pour cette action
120423€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Moyens humains : Salariés : 3 animatrices médiatrices, Bénévoles : une quinzaine
- Résultat sur le territoire
4600 visite par an
1600 personnes / an
- Résultat pour le centre social
label Relais d'Accès au Droit (TGI Nanterre)
- Résultat pour les habitants
objet des visites: logement, allocations familiales, droits sociaux, couverture maladie, taxes, pôle emploi, scolarité, ...
- Suite de l'action : Limites
nos possibilités d'accueil
le fait d'être intermédiaire rend parfois long le traitement
informatisation des démarches administratives, facteur d'exclusion du public
- Suite de l'action : Perspectives
partenariat à construire ou poursuivre sur les problématiques concernées
Actions
Accompagnbement Social et Médiation- Permanence d'écrivain public
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL Harpèges- Les accords solidaires - Alpes-Maritimes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Démocratie & citoyenneté
- Précarité
- Résumé
La médiation sociale est une action transversale qui permet de mobiliser les compétences internes de l’association au service des usagers accueillis.
L’action consiste à assurer un accompagnement individualisé dans tous les domaines de la vie quotidienne (santé, logement, famille, emploi, éducation…) en étant à l’interface des institutions pour s’adapter aux problématiques rencontrées.
Les permanences d’écrivain public proposées, trois demi-journées par semaine, se retrouvent étroitement liée à la médiation sociale. Les personnes ayant besoin de faire un courrier, sans nécessité de suivi spécifique par les services sociaux, MSD ou CCAS, sont automatiquement orientées sur cette permanence, tenues par trois bénévoles aguerris aux pratiques sociales et de gestion dont ceux sont d’anciens directeurs de ressources humaines, la troisième ayant une longue expérience en la matière acquise dans les centres sociaux des Bouches-du-Rhône. Ces permanences, totalement complémentaires, ont été élargies par une permanence supplémentaire (d’une demi-journée par semaine) axée sur les litiges civils.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Une partie de la population (située notamment dans le centre ancien de Grasse) ne peut réaliser de démarches administratives seule. Ces difficultés sont liées à diverses problématiques : pas de maîtrise suffisante de la langue française, difficultés sévères à l’écrit (sans être nécessairement dans une situation d’illettrisme), illectronisme, ou fracture numérique, véritable frein à des démarches s’effectuant le plus souvent soit par courrier, soit par site internet.
Les retards et les absences de réalisation dans ces démarches peuvent aggraver certaines situations déjà fragiles avec ruptures de droits, etc..
Ces difficultés touchent diverses thématiques :
- Accès aux droits,
- Rédaction de courriers,
- Préparation de dossiers sociaux d’emploi, maladie, pensions, retraite,
- Etablissement de demandes de surendettement,
- Recherche de logements etc…
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Fréquence :
-
Les permanences de médiation sociale sont quotidiennes. Elles s’organisent sur rendez-vous de 9h à 13h00 et de 14h00 à 18h (sauf le vendredi où le public est accueilli jusqu’à 17h).
-
Les permanences d’écrivain public ont lieu les mardi et vendredi après-midi.
-
La permanence axée sur les litiges civils a lieu tous les mercredis matin.
Echéancier de l’action :
Les permanences d’accueil individuel se font sur rendez-vous. Un bilan de la situation globale de la personne accueillie est réalisé. Le plan d’action est élaboré avec l’usager et vise à promouvoir son autonomie en favorisant ses ressources et potentialités, en l’impliquant activement dans les démarches à effectuer. En fonction des problématiques, un suivi se met en place ou une orientation est proposée. Dans une grande majorité des situations, un travail en transversalité avec d’autres secteurs d’Harjès est proposé : cours d’alphabétisation, suivi dans le cadre de l’aide aux victimes, orientation pour les parents vers les accueils de loisirs enfants-adolescents, etc..
-
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Contrat de ville :
- Etat : 13 500€
- Région : 13 000€
- Commune : 24 500€
ASP ( Agence de Service et de Paiement) : 27 529 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Equipe mixte:
- 2 médiatrices sociales
- 3 bénévoles
- Résultat sur le territoire
L’action d’accompagnement et de médiation sociale a permis l’accueil et le suivi d’un grand nombre de publics fragilisés, éloignés des dispositifs sociaux, sanitaires, de droit commun.
Cette action, très utilisées par les habitants, démontrent par le nombre d’usagers recensés le besoin existant d’accompagnement dans les difficultés et démarches de la vie quotidienne. Destiné à un public d’adultes, cet accompagnement fait l’objet d’une attention particulière en direction des personnes isolées et vieillissantes, des familles monoparentales, toutes en grand nombre sur ce territoire.
Dans un contexte économique et social particulièrement tendu ces dernières années, le service d’accompagnement et de médiation sociale occupe une place prépondérante au sein du quartier et rempli, autant que peut se faire, un rôle de « régulateur social ».
- Résultat pour le centre social
Du 1er janvier au 31 décembre 2016, 1126 personnes ont bénéficié des services de la médiation sociale.
Le nombre de bénéficiaires de l’action d’accompagnement social et de médiation est en constante augmentation depuis 2013. Ils étaient 682 en 2013, 1106 en 2014, 1423 en 2015 à la même période. (Le pic de 2015 s’explique par la fermeture de l’agence Caf de Grasse et la création du point-info CAF au centre social). L’augmentation des fréquentations des permanences de médiation démontre combien il est important de maintenir et développer ce service de proximité dans le secteur du Grand Centre et plus précisément sur le Centre Historique où les situations, d’une partie des habitants, sont particulièrement fragiles.
Destiné à un public d’adultes, cet accompagnement fait l’objet d’une attention particulière en direction des personnes isolées et vieillissantes, des familles monoparentales, toutes en grand nombre sur ce territoire.
- Résultat pour les habitants
Investis dans un partenariat riche et dynamique, les médiateurs sociaux proposent aux bénéficiaires, une prise en charge et un accompagnement social global. Ils prennent en compte, dans leur diagnostic les ressources, les potentialités, l’environnement familial et social de l’usager.
L’équipe tente, aussi souvent que possible, d’influer sur la capacité d’agir de la personne, sur son implication et sa responsabilisation dans toutes les démarches entreprises. L’objectif visé étant l’acquisition d’une plus grande autonomie.
L’accueil de partenaires, au sein du centre social, pour la tenue de leurs permanences (administrateurs Ad Hoc Actes Pelican, référent PLIE, travailleurs sociaux de la Maison des solidarités de Grasse Nord, travailleurs sociaux CAF du volet allocataires Pôle d’Interventions Sociales de Cannes.. ), permet d’offrir aux habitants d'autres prises en compte de proximité de leurs difficultés.
- Suite de l'action : Limites
Lutter contre l’illectronisme :
Les difficultés renforcées, chez certaines personnes (personnes âgées et/ou des personnes peu qualifiées en recherche d’emploi) engendrées par l’utilisation des technologies de l’information et de la communication représentent un enjeu majeur aujourd’hui avec lequel doit conjuguer le centre social.
Le problème qui se pose pour ces publics, ne se situe pas seulement par l’exclusion d’internet, mais plus fondamentalement au plan de l’information.
De plus en plus de démarches administratives passent par une plate-forme numérique (déclaration de ressources, constitution de dossier, ouverture de droits, inscription à l’Espace Activité Emploi, la plupart des annonces d’emploi sont aujourd’hui diffusées par internet…).
Afin de prévenir et limiter ces inégalités face à l’accès au savoir et aux démarches de la vie courante, il apparaît important de travailler avec le public sur l’acquisition des connaissances clés nécessaires à l’utilisation des ressources électroniques.
Aussi, si l’Espace Régional Internet Citoyen (ERIC) « hébergé » au sein même du centre social apporte déjà une plus-value aux activités de médiation sociale (près de 598 personnes reçues sur le premier semestre au sein de l’ERIC dont 90 % résident au Centre Ancien). Ce partenariat se renforcera et proposera des actions ciblées pour lutter contre cette fracture numérique (utilisation de l’environnement informatique, création d’adresse Email,..)
- Suite de l'action : Perspectives
Développement des ressources internes afin d'accompagner les demandes croissantes des usagers.
Actions
Action Jeunes Meinau
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIOCULTUREL DE LA MEINAU - Bas-Rhin
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- Résumé
mise en synergie du réseau d'acteurs du quartier auprès et avec des jeunes "dits perdus de vue", dans le sens d'une intelligence territoriale...pour :
- leur redonner envie de s'inscrire dans un parcours de formation et d'emploi
- les accompagner, coacher...
- lever des freins...
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Précision ( si autre )
Projet initié par la Mission Locale avec le réseau de partenaires dont le CSC. Animation et pilotage territorial confié au CSC
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Souhait des partenaires de mobiliser leurs forces respectives et de mieux les articuler au service des jeunes les plus en rade...
Entrée en formation et accès à l'emploi, mais aussi mieux être des jeunes en général et recul des passages à l'acte de toutes sortes le cas échéant
- Public
- Jeunes adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Repérage des jeunes par les différents partenaires
Mobilisation par les partenaires de terrain pour les amener vers les structures Emploi (Mission Locale, Pôle Emploi...) : temps informels et formels de mobilisation...
Mise en place d'ateliers collectifs + accompganement individuels + visites d'entreprises + rencontres de chefs d'entreprises.... + pârrainage
Groupe de suivi tous les 15 jours
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
5 pour le CSC dont 3 animateurs Jeunes, 1 médiatice Insertion Emploi, et ponctuellement Référente Familles, Coordinatrice Activités et Projets...
Educateurs de prévention spécialisée, 1 personne Régie de quartier, 3 personnes Mission Locale, 1 Pôle Emploi, 1 Médiathèque...
5 bénévoles Lions Club
- Résultat sur le territoire
Plus de 50 jeunes accompagnés au long cours chaque année, entrées en formation et en emploi...
Sortir de la spirale "y'a rien pour nous"
- Résultat pour le centre social
Réelle place du CSC dans le rôle de mobilisation accompagnement, avec une belle articulation entre les animateurs et la Médiatrice Insertion Emploi
Reconnaissance de cette place par tous
développement d'une démarche similiare mais centrée sur des adultes, toujours dans le souci de ne pas se substutuer à mais d'amener vers le droit commun et de soutenir dans les méandres des démarches...
- Résultat pour les habitants
des jeunes qui sortent de l'impasse !!!!
- Suite de l'action : Limites
Toujours en cours et en développement.
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Aleliers Parents / Enfants autour du livre
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL D'ANIMATION DU BIOLLAY (CSAB) - Savoie
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
Au vu des besoins repérés par les bénévoles de la bibliothèque et les travailleurs sociaux du quartier,
il nous semble important d'engager un projet pour aider les enfants à enrichir leur vocabulaire.
Deux types d'animations autour du livre seront proposés aux enfants et à leurs parents :
- Des rencontres mensuelles pour les 0/3 ans
- Des ateliers bimestriels pour les 3/6 ans.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le public du quartier, composé de familles d’origines ethniques variées possède un accès limité à la
lecture et à l’écrit. Les besoins repérés par la bibliothèque et les écoles du territoire sont
essentiellement liés au manque de vocabulaire des enfants dans leur processus d'apprentissage de la
langue française : la cohabitation de deux langues (une à la maison et une autre à l'école) amène
souvent au mélange des mots pour les plus petits. Outre les origines des familles, le niveau scolaire
des parents et leur capacité à apporter une base d'apprentissage à leurs enfants fait également
souvent défaut.
Ainsi, la mise en place d'un projet autour du livre par la bibliothèque permettrait de répondre à un
besoin d'aide cognitive par le jeu, la lecture et l'oralité.
- Public
- Petite enfance
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Les animations de la bibliothèque seront découpées en deux tranches d'âges (0-3 ans et 3-6 ans) afin
de pouvoir adapter les animations à chacun des publics selon ses spécificités. En effet, pour les plus
petits, les actions reposeront davantage sur l'oralité et l'imaginaire par le biais de contes ou de
"raconte tapis", alors que les actions destinées aux plus grands seront plus élaborées et reposeront
en partie sur l'accompagnement des parents dans la mise en place des activités. Les bénévoles de la
bibliothèque souhaitent orienter leurs actions pour cette tranche d'âge sur des temps créatifs qui
encourageraient le lien entre les parents et leurs enfants et auraient un résultat concret : production
d'un objet en rapport avec la thématique proposée (le déguisement, le jeu, la cuisine/déco, les
contes...) à ramener à la maison. Ces temps créatifs - dont le point de départ est le livre - sont le
moment privilégié pour être dans l'oralité afin d'enrichir le vocabulaire des enfants.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Débutée en janvier 2015, l'action a été financée par la Fondation SNCF à la hauteur de 2500 euros. Le partenariat entre la Médiathèque et le Centre Social ont permis la mise à disposition gratuite des intervenants pour les animations.
L'enveloppe budgétaire a permis l'achat de livres, des fournitures d'actvités et le financement d'un spectacle pour clôturer la première année de ce projet.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 salariés de la médiathèque, 2 salariés du centre social et 5 bénévoles de la bibliothèque.
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
ALLEZ LES FILLES
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIOCULTUREL AUDREY BARTIER - Pas-de-Calais
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Résumé
Le centre en collaboration avec différents partenaires met en place diverses actions éducatives afin de favoriser la pratique d'activités physiques et sportives ches des jeunes filles fragilisées repérées par les acteurs sociaux du territoire ainsi que l'équipe pédagogique du collége de wimille; en s'appuyant sur une démarche participative et collaborative en prenant en considération l'environnement social de chacune
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le cnetreest implanté dans le nord de wimereux prés des quartiers du bon air, Léo Lagrange, le Baston. Diverses permanences ont lieu dans les locaux du centre telles que PMI, permanences mission locale, assistante sociale. Le centre organise les accueils collectifs de minieurs maternel et primaire et un accueil jeunes. Divers dispositifs et actions sont dirigés vers la jeunesses : accompagnement scolaire, projet initiatives jeunes, les bourses jeunes, les départs en vacances, des actions de prévention santé, parentalité, insertion sociale....
La part des moins de 20 ans représente 24.98% de la population, ce qui est supérieur à la moyenne
plus de 140 jeunes sont suivis par la mission locale,
l'équipe du centre est régulièrement sollicité autourdes question d'insertion professionnelle et sociale des jeunes
On note une augmentation des conduites à risques chez les jeunes : délinquance et consommation de produits. Les problèmatiques "santé" identifiées par les professionnels de santé du territoire à savoir la question de l'obésité et celle de l'insuffisance pondérale viennent conforter les statistiques régionales.
Cette action a été soutenu par la fondation de france durant 3 ans et il répond aujourd'hui à la demande des jeunes filles sensibilisées par ll'action antérieure; les jeunes filles ont besoin de changer le regard porté sur elles-même; les parents ont besoin d'être accompagnés, soutenus face à des difficultés qu'ils rencontrentavec leurs ados; l'équipe éducative du collège a besoin de relais sur le territoire, auprès des jeunes filles et de leur famille
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
création d'un comité de pilotage composé des partenaires, des intervenants extérieurs, des salariés du csc, des représentants des jeunes filles, des représentants des parents et créer des outils de suivi du parcours des jeunes filles
aller à la rencontre des jeunes filles sur leur lieux de vie, réparer les jeunes filles les plus éloignées des activités physiques et sportives, sensibiliser et associer les jeunes filles dans la mise en place du projet en prenant en compte la dimension sociales de chacune
visite de différentes structures sportives de l'agglomération
proposer de suivre une formation PSC1 ou SST
développer la pratique hebdomadaire urban fit fitness : investissement des quartiers autrment et utiliser le matériel urbain
mettre en place un projet de création artistique en lien avec le hip hop accompagné par l'association l'embardée
le projet s'articule autour de deux dimensions : sportive et sociale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
cout total : 20 000 €
subvention 7000
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
l'animatrice jeunesse, des prestataires, renfort de l'éducateur et référent famille pour certaines situations
- Résultat sur le territoire
projet partagé et concerté avec les partenaires : collège, clubs sportifs
remobiliser les jeunes filles en risque de décrochage scolaire et ou de conduites à risques
- Résultat pour le centre social
L'accompagnement d'un nouveau public
Etre fédérateur, effet d'assemblier (parents/école/jeunes)
- Résultat pour les habitants
S'inscrire dans une dynamique de projet
développer les compétences psychosociales des adolescentes. les effes recherchés sont l'estime de soi, la relation avec les autres, la capacité à se positionner et à faire des chois
- Suite de l'action : Limites
Pas de coüt de poste de financer uniquement l'action
- Suite de l'action : Perspectives
essaimer ce pojet auprés d'autres structures jeunesse, centres sociaux
Actions
Atelier Bricolage
- Structure organisatrice
- CS LES FLORALIES - Nord
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Environnement
- Logement
- Résumé
Maintenir l’atelier de bricolage tel qu’il existe aujourd’hui en le développant avec la mise en place d’une outil - thèque. L’idée est de prêter à des prix modiques des outils onéreux pour les petits travaux du quotidiens : perceuses, visseuses, tournevis, niveau, pinces diverses, …. Et les conseils d’utilisation s’y afférant. Cet atelier est une activité favorisant la mixité : sociale, générationnelle, homme – femme, … et c’est un atout pour le centre social. Les habitants locataires et propriétaires pourront ainsi être accompagnés dans l’entretien de leur logement.
créer des ateliers collectifs de bricolage (enduire, peindre, installer un lavabo, aménager une cuisine, isoler une pièce, ….) à destination des propriétaires nouvellement installés sur le quartier ou les locataires. Ces derniers permettront aux habitants de faire un diagnostic de leur logement et de se projeter dans les travaux à effectuer. Notre objectif premier est l’éco – rénovation des logements. Les travaux permettront de vivre sainement et de faire des économies d’énergie tout en faisant soi – même. Nous encouragerons la solidarité entre habitants dans les travaux les plus couteux physiquement et temporellement. Ainsi, quatre personnes iront soutenir et aider un habitant pour monter sa salle de bain par exemple et ce dernier ira aider l’une des personnes qui l’a aidé pour aménager sa cuisine. Les personnes pourront y trouver les conseils et les techniques pour rénover leur logement tout en respectant leur environnement et en faisant des économies. Afin d’y assurer notre mission première qui est le développement social local, nous mènerons dans cette « maison – témoin » des temps forts et de la convivialité pour que les personnes puissent se rencontrer, échanger et crée une dynamique de bien vivre ensemble.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
A la demande des habitants qui voulaient prendre eux-même en charge l'entretien de leur logement à moindre frais
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Atelier sociolinguistique d'expression théâtrale
- Structure organisatrice
- SFM MONTREUIL - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Intégration
- alphabétisation & apprentissage du français
- Résumé
Les ateliers théâtre font partie des ateliers sociolinguistiques dont le but est de parvenir à une autonomie sociale l’acquisition de compétences langagières et socioculturelles.
9 séances et une restitution ont été réalisées, animées par une comédienne de la compagnie de théâtre Les Anthropologues de La Noue pour favoriser l’expression orale des participants afin qu'ils prennent confiance en leurs capacités.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place pour répondre aux difficultés orales des participants et leur difficulté d'intégration dans le quartier. Les ateliers théâtre sont un moyen d'apprendre la langue française de façon plus ludique. Le travail de répétition, de mémorisation des textes améliorent la prononciation, la diction. Ils valorisent les participants, les mettent en scène. Ils gagnent en confiance, s'expriment mieux, osent davantage prendre la parole en public.
L'action a été menée en partenariat avec un théâtre qui propose une approche différente de l'apprentissage de la langue, à la fois ludique et corporelle. Les ateliers développent la créativité des participants par des jeux théâtraux et font connaître le théâtre de la Noue auprès des habitants.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
13 participantes de l’atelier sociolinguistique. Le groupe était composé de personnes ne maîtrisant pas le français oral, souhaitant acquérir un langage de base pour communiquer dans différentes situations de la vie quotidienne.
Les ateliers se sont déroulés de la manière suivante :
Échauffement et bases du théâtre : Tous les ateliers ont débuté par un moment de relaxation et un échauffement au travers d’exercices sur la respiration, sur la conscience de l’autre et de soi, sur l’occupation de l’espace. Il s’agissait de créer une dynamique de groupe. Les participantes ont appris les bases du théâtre et des outils pour jouer sur scène : l’écoute, le geste, la parole, l’imaginaire, le langage du corps, la relation au partenaire, le rythme…
Improvisations seules ou à plusieurs, prise de parole et créativité :Les improvisations et scénettes avaient pour but de mettre les participantes dans des situations de la vie quotidienne en s’exprimant par gestes et avec des mots.
Atelier d’écriture Les participantes ont écrit des petits récits de vie en français et dans leurs langues maternelles.
Ces différents textes ont donné lieu à un spectacle qui s’articulait en 3 temps : Textes exprimant leur arrivée en France, écrit dans leur propre langue puis traduit par le reste du groupe « le chœur » par des gestuels : Textes de leurs souvenirs dits en français accompagnés de gestes. Un 3éme temps visait à faire participer le public qui répétait en tamoul, en anglais et en arabe quelques mots usuels.
Ce spectacle d’une vingtaine de minutes s’est produit dans le cadre du festival « Mitcho la rue » se déroulant en plein air dans le quartier Politique de la Ville de la Noue.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
9 séances de théâtre en direction des primo-arrivants et 1 restitution au théâtre Les Anthropologues de La Noue : 1 877.90€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- 13 participantes de l’atelier sociolinguistique
- La comédienne et la chargée du développement culturel du théâtre de la Noue
- La coordinatrice pédagogique du centre social
- Résultat sur le territoire
- L'enrichissement de l'offre culturel du territoire :
- Unemeilleure intégration des habitants du territoire
- Le développement des liens entre les habitants et les institutions culturelles : les participantes ont découvert un nouveau lieu culturel de la ville et ont participé à un évènement festif sur le quartier de La Noue
- Résultat pour le centre social
- La valorisation des talents des usagers du centre social.
- Résultat pour les habitants
- Une meilleure compréhension et expression de la langue française
- La reprise de confiance en soi et en ses capacités
- La valorisation du travail et des talents des participants et le développement de leur créativité
- Suite de l'action : Limites
- Les appréhensions des participants qui n'osent pas jouer et prendre la parole en public. La non-maîtrise de la langue française des stagiaires.
- Suite de l'action : Perspectives
L'action sera maintenue en partenariat avec le théâtre. De nouveaux projets culturels verront le jour en 2018.
Actions
Ateliers Anti-gaspi
- Structure organisatrice
- LA FERME DU PARC DES MEUNIERS - Val-de-Marne
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- développement durable
- Mixité sociale
- Résumé
- Un atelier de transport et de récupération des produits reliant un jeune-un habitant-un professionnel
- Un conditionnement pour une distribution solidaire avec les produits consommables sans intervention
- Une transformation culinaire des produits non consommables dans leur état de récupération (préparation de sauces tomates, de soupes, de confitures et autres…)
- Des ateliers de tris permettant aux jeunes avec l’appui des adultes de reconnaître les différents produits avant transformation (concombre, tomates, pêches…). Explication par les anciens de la partie consommable d’un fruit ou d’un légume pour ne pas le jeter systématiquement
- Référencement des produits pour définir les ateliers culinaires à venir
- Mise en œuvre des ateliers culinaires soit pour consommation en repas collectifs, soit conditionnement pour différentes utilisation (avec stérilisation) : paniers solidaires, vente à la boutique
- Les non consommables vont soit au compost soit pour la nourriture des animaux
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Nous pointons sur les jeunes que nous accueillons et certains adultes retraités ou non, une problématique pour les jeunes adultes en difficulté de précarité alimentaire doublée d'une culture de "malbouf". D'ici 2020 une prévision de 8 millions de départ en retraite auquel s'ajoute un volume de personnes quinquagénaire au chômage ou en invalidité (dispensées de recherche d'emploi). La prise de conscience planétaire du gaspillage alimentaire, 2,3 millions de tonnes de denrées alimentaires sont jetées par la grande et moyenne distribution. Le manque d'espaces de rencontre de partage entre jeunes adultes et retraités. Les jeunes adultes accueillis à l’EDI (Espace Dynamique d’Insertion) sont de plus en plus précarisés et confrontés à une malnutrition. Les personnes accueillies dans le cadre du RSA sont confrontées à la même problématique ainsi que les familles du secours populaire. Certains des habitants impliqués sur le projet de la ferme sont aussi en situation de précarité et de fait, dans l’impossibilité de se nourrir sainement. Une bonne partie de la génération des 30/45 ans est dépourvue de pratiques culinaires et est dépendante de l’industrie alimentaire. Par ailleurs, cette génération, parents des jeunes adultes accueillis à l’EDI développe peu les temps sociaux que représentent les repas familiaux. Nous observons une implication importante du groupe de retraités issu du papy/mamy boom et qui dispose encore de la mémoire et des savoirs faire culinaires autonomes.
Notre projet est innovant car il permet avec la récupération de fruits et légumes d'être dans une action de développement durable, d'anti-gaspillage en maillant des jeunes et des adultes en insertion professionnelle, des familles bénéficiaires du Secours Populaire de Villeneuve-le-Roi avec des meunières et des meuniers pour la plupart retraités en recherche de lien social.
Ce projet permet également de répondre à des besoins économiques avec le don de fruits et légumes qui permettent le partage dans les familles et l'économie d'environ 15€ par semaine sur le panier de course grâce à la récupération ce qui est signifiant pour les personnes impliquées.
Les repas partagés associés à ces journées sont des moments conviviaux qui permettent des échanges notamment autour de l'alimentation et des repas équilibrés. C'est également l'occasion d'échanger des recettes.
La conception des repas collectifs en fonction de la récupération des invendus de fruits et légumes se fait de manière collégiale entre les générations. Des jeunes en insertion professionnelle proposent régulièrement des plats typiques de leur pays ou fait par leurs grands-parents.
L'attention par chacun que tous repartent avec des dons de fruits et de légumes.
Comme le montre les repas du mercredi où chacun met la main à la pâte afin de préparer un repas avec les produits récupérés. Ce qui permet aux nouveaux Meuniers de mieux s’intégrer à la ferme , mais aussi aux personnes venant du secours populaire qui n’ont pas tous les jours l’occasion de partager un repas en collectifs ce qui apporte beaucoup en terme de lien social.
Ces ateliers valorisant « le faire et le vivre ensemble » se développent de la récupération des produits à leur consommation, en passant par le tri, la distribution, la transformation, sans oublier les modes d’organisation collectifs. Ces modes d’organisation collectifs s’appuient sur l’évaluation, les choix des menus ou des transformations, l’adaptation des outils d’évaluation, les logiques de tris, la réalisation des repas. Ces processus mettent en valeur les compétences sociales et individuelles des personnes (habitants bénévoles, jeunes en insertion), offrent un autre rapport à la société de consommation et développent une conscience solidaire éclairée.
L’action « anti-gaspi » est devenue l’un des points d’ancrage dans les temps sociaux de la ferme où des personnes se retrouvent dans la bonne humeur et où différentes générations partagent et apprennent ensemble autour de pratiques de lutte contre le gaspillage.
Notre action, de façon micro sociale répond à des questions de société : toute en créant du lien social entre les génération et un partage des savoirs, nous répondons à des questions de redistributions équitable, de dons alimentaires. Cette redistribution digne ouvre des voies économiques, sociales (boutique, économie vivrière, repas collectifs) tout en restant au service du bien commun.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
En partenariat avec le Leclerc d’Orly, nous récupérons de façon hebdomadaire, leurs invendus alimentaires pour les valoriser de façons suivantes :
- Un atelier de transport et de récupération des produits reliant un jeune-un habitant-un professionnel
- Un conditionnement pour une distribution solidaire avec les produits consommables sans intervention
- Une transformation culinaire des produits non consommables dans leur état de récupération (préparation de sauces tomates, de soupes, de confitures et autres…)
- Des ateliers de tris permettant aux jeunes avec l’appui des adultes de reconnaître les différents produits avant transformation (concombre, tomates, pêches…). Explication par les anciens de la partie consommable d’un fruit ou d’un légume pour ne pas le jeter systématiquement
- Référencement des produits pour définir les ateliers culinaires à venir
- Mise en œuvre des ateliers culinaires soit pour consommation en repas collectifs, soit conditionnement pour différentes utilisation (avec stérilisation) : paniers solidaires, vente à la boutique
- Les non consommables vont soit au compost soit pour la nourriture des animaux
-
Sur le panneau d’accueil à l’entrée de la Ferme est indiqué l’atelier anti-gaspi tous les mercredis à partir de 9h30. L’information de ce temps est relayé sur « le pense bête mensuel » et le bouche à oreille.
La participation des bénéficiaires au projet de la définition des objectifs à la réalisation et à l’évaluation du projet passe par les étapes suivantes :
- l’organisation d’un temps convivial le midi, qui favorise les échanges et la communication.
- prise de conscience du lien entre équilibre alimentaire/santé et les différentes formes de malnutrition
- réflexions sur les modes de consommations
- réappropriation de la mémoire familiale et d’une identité par des pratiques culinaires
- consolidation des liens avec les bénévoles
- prise de confiance en soi
- Ecriture d’un cahier de recettes avec les restes dans le lien intergénérationnel
- Mise en place d’un blog organisé en corrélation avec le chantier collectif qui réunit 30 à 50 bénévoles (parrains) et les jeunes adultes, cet atelier vise à :
- assurer la préparation du repas collectif du midi.
- mettre en situation d’apprentissage les jeunes adultes accompagnés par un groupe de retraités composé d’anciens professionnels de cuisine collective ou maîtrisant la cuisine familiale
- permettre le passage des savoir-faire
- initier et favoriser les relations interculturelles et intergénérationnelles
- aborder en situation les aspects de l’équilibre et de l’hygiène alimentaire
- faciliter l’expression sur la gestion budgétaire du quotidien
- sensibiliser, découvrir les métiers de bouche
- donner un sens et une continuité à la culture potagère
- mise en place régulière du groupe « évaluations des actions » qui vise le vécu, les modes d’organisation, les perspectives.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget prévisionnel du projet Structure porteuse : Ferme du Parc des Meuniers Intitulé de l'action : "Anti-Gaspi" CHARGES Montant PRODUITS Montant CHARGES DIRECTES AFFECTEES A L'ACTION 49 077,00 € RESSOURCES DIRECTES AFFECTEES A L'ACTION 49 077,00 € 60 - Achat 21 877,00 € 70 - Vente de produits finis, prestations de services, marchandises 8 677,00 € Prestations de services - € Achats matières et fournitures 21 877,00 € 74 - Subventions d’exploitation (1+2+3+4+5+6+7+8) (préciser si elles sont acquises) 40 400,00 € Autres fournitures - € 1 - ETAT dont (a+b+c+d) : 7 400,00 € - € 61 - Services extérieurs 5 400,00 € CAF 7 400,00 € Locations - € - € Entretien et réparation 4 900,00 € - € Assurance 300,00 € Maintenance (gaz, eau) 200,00 € 2 - REGION dont (e+f) : - € e - Crédits spécifiques "politique de la ville" (CUCS) - € 62 - Autres services extérieurs 800,00 € - € Rémunérations intermédiaires et honoraires Publicité, publication - € 3 - DEPARTEMENT (préciser le ou les service(s) sollicité(s) : - € Déplacements, missions 800,00 € Services bancaires, autres - € 4 - COMMUNAUTE D'AGGLOMERATION - € 63 - Impôts et taxes - € Impôts et taxes sur rémunération - € 5 - COMMUNE (préciser le ou les service(s) sollicité(s) : - € Autres impôts et taxes - € 64 - Charges de personnel 21 000,00 € 6 - ORGANISMES SOCIAUX / ETABLISSEMENTS PUBLICS - € Rémunération des personnels 12 180,00 € Charges sociales 8 820,00 € Autres charges de personnel - € 7- FONDS EUROPEENS - € 65 - Autres charges de gestion courante - € 8 - AIDES PRIVEES (faire apparaître Fondation Macif) 33 000,00 € 66 - Charges financières - € prix fondation AG2R 10 000,00 € fondation MACIF 20 000,00 € 67 - Charges exceptionnelles - € fondation Crédit Coopératif 3 000,00 € 75 - Autres produits de gestion courante (dont cotisations, dons, legs) - € 68 - Dotation aux amortissements - € 76 - Produits financiers - € 78 - Reprises sur amortissements et provisions - € TOTAL DES CHARGES 49 077,00 € TOTAL DES PRODUITS 49 077,00 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- 10 meuniers/meunières mettant à disposition leurs savoirs dans ce projet
- Création d’un mi-temps dédié à la démarche globale « anti gaspi »et précarité alimentaire
- Un temps d’accompagnement global des professionnels de l’Espace Dynamique d’Insertion
A ce jour, en moyenne 13 personnes participent chaque semaine à l’anti-gaspi
- Présence de chacun à la réalisation de l’action sans évaluation
- Résultat sur le territoire
- Developpement durable
- lien avec entreprise et territoire
- partenariat avec des associations et institutions adhérentes à la ferme (Secours Populaire de Villeneuve-le-Roi, ETAI de Choisy-le-Roi...)
- Résultat pour le centre social
- plus de lien social entre les habitants
- la réalisation des repas conviviaux avec les invendus
- le don pour les habitants et les jeunes de l'EDI
- le nourrisage des animaux
- Résultat pour les habitants
Et surtout les habitants et les jeunes, ci-joints les témoignages :
Pour Rosa une meunière qui aime s’occuper du potager, l’anti-gaspi : « ça fait des économies, ça rend service, on se sent utile, on évite le gaspillage ».
Boubou stagiaire à l’EDI, qui a pour vocation de devenir boulanger, « c’est très bien, on rapporte des légumes gratuitement chez nous. J’aime bien participer à l’atelier »
Guy un ancien pâtissier et meunier depuis peu évoque « le plaisir d’échanger et de tenir compte des difficultés de chacun. »
Pour Isalys, stagiaire à l’EDI, l’anti-gaspi : « c’est bien, on recycle, on fait une bonne action ça me donne envie de faire du bénévolat »
Pour Carmen, meunière depuis la création de la ferme et initiatrice de l’action, « tout le monde se nourrit, on se sent plus utile »
Anthony un jeune intéressé par la menuiserie nous dit : « c’est sympa, on fait le tri le concept de récupération de fruits et légumes est super car on évite le gaspillage. L’ambiance est cool et on rit bien. »
Grâce meunière qui aime la cuisine et le jardin, dit : « tout le monde repart avec son sac, et les jeunes sont contents de profiter de cette action. Le fait que l’on fasse passer d’abord les jeunes lors de la distribution des fruits et légumes est important, car certains n’ont pas les moyens de s’en acheter. »
Pour Amir jeune de l’EDI : « c’est une bonne action, et en plus c’est bon pour la santé »
Madeleine meunière et passionnée de peinture « trouve ça bien le recyclage des légumes, cela fait du bien d’être en collectif c’est bonne initiative ».
Trystan un stagiaire de l’EDI qui souhaiterait devenir agriculteur raconte que « c’est bien ce que l’on fait, ça évite le gaspillage et en plus on peut récupérer des fruits et légumes. Il y a une bonne organisation et tout le monde s’entend bien »
Pour Pierre meunier le plus important « c’est de « sauver » les aliments en soulignant l’importance de la lutte contre le gaspillage » et qu’ «il est heureux d’être en groupe et de se retrouver pour bavarder »
Aurore Stagiaire à l’EDI pointe qu’«en plus les légumes sont en bon état, ça nous permet de faire des recettes maison »
A travers tous ces témoignages ce sont souvent les mêmes vécus qui s’expriment : le partage, la convivialité, l’entraide.
Cela montre à quel point chaque génération peut être sensible à la lutte contre le gaspillage, et le plaisir que prend chacun et chacune à contribuer à cette action.
Tout le monde y trouve sa place mettant en valeur les uns et les autres
- Suite de l'action : Limites
Les principales difficultés sont d’ordre matériel :
- Aménagement, rénovation de la boutique qui permet la vente des produits transformés dans le cadre de l’anti gaspi à nos adhérents
- Travaux d’amélioration dans notre cuisine (la marche en avant)
- Suite de l'action : Perspectives
Reprise de cette action tous les mercredis, en fonction des mesures sanitaires.
Actions
Besoin d'ici, envie d'ailleurs
- Structure organisatrice
- APAS - CENTRE SOCIAL MAISON BONHOMME - Vaucluse
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Démocratie & citoyenneté
- Mixité sociale
- Résumé
Organiser un accueil collectif et pluriprofessionnel de jeunes 11/18 ans, afin de faire émerger leurs initiatives et de les accompagner dans l’élaboration de leurs projets.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Autre
- Précision ( si autre )
La Fondation de France et la Fondation des 3 Cyprès
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Sur l’impulsion de la Fondation de France et de la Fondation des 3 Cyprès un groupement d’acteurs associatifs relevant des champs culturel, social et sportif s’est mobilisé autour de la problématique « Jeunes » en Pays d’Apt : il s’agit de la MJC d’Apt, l’ANPEP, Le Goût de Lire en Pays d’Apt, Le Vélo-Théâtre, Apt School Boxing, le Festival du Cinéma d’Afrique, le Centre Social et Culturel Lou Pasquié et le Centre Social Maison Bonhomme
L’idée étant de proposer un projet innovant qui met en œuvre les ressources et compétences des structures autour d’un objectif commun : l’accompagnement des jeunes de façon à ce qu’ils soient en capacité de faire des choix, de prendre des initiatives.
En effet, nous avons constaté que les jeunes ne fréquentent pas spontanément nos structures, ils y passent à l’occasion de stages, d’événements ponctuels… c’est-à-dire lorsqu’ils y sont obligés, le plus souvent par le système scolaire. Mais ils n’y reviennent pas , ne se saisissent pas des ressources que nous proposons car ils n’y ont pas d’intérêt propre, de motivation intrinsèque. D’où l’idée de la place que peut prendre l’adulte dans une posture d’écoute pour permettre aux jeunes d’identifier leurs besoins, leurs attentes et leurs envies, pour qu’ils soient en capacité de formuler des demandes propres et d’explorer leurs compétences et savoir-faire.
A ce stade de la réflexion, soit un an après son démarrage, une étape a été franchie dans l’harmonie qui nous unit. Nous voulons mettre au point une forme insolite qui déconstruise la vision habituelle de « guichet » où l’on vient chercher une réponse standard à une question qui renvoie à des problématiques singulières. Et cela en concertation avec les jeunes.
Entre l’impératif de réussite matérielle et le risque de repli et de fragmentation, il est nécessaire de donner un espace à l’expérience de désirs singuliers et d’en rechercher la traduction en projets d’action.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Phase 1 : Aller à la rencontre des jeunes, accueillir et recueillir leurs attentes, écouter et faire émerger les intentions de projets
Phase 2 : Accompagnement des initiatives des jeunes par la mise à disposition de ressources
- Mobiliser et identifier les ressources complémentaires et pluridisciplinaires (culturelles, artistiques, sportives, développement social et local
- Construire l’accompagnement et organiser les ressources
Phase 3 : Consolider les pratiques, formaliser, présenter, restituer et mettre en valeur les projets des jeunes.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Classe compta.
Dépenses
(à détailler : ne pas hésiter à insérer des lignes)
Type d’unité
Nombre unités
Coût unitaire
Coût total
(Toutes années)
2015 ou 2016
2016 ou 2017
60
Achats (matières et fournitures)
4000
2000
2000
61
Services extérieurs (locations, assurances, documentations…)
2000
1000
1000
62
Autres services extérieurs (honoraires, missions et réceptions…)
38000
19000
19000
64
Ressources humaines dédiées au projet (salaires et charges, à détailler par fonction)
40000
20000
20000
Autres coûts (à préciser)
2
Equipements nécessaires pour le projet (investissements à lister)
6000
3000
3000
Frais administratifs (somme forfaitaire intégrant la quote-part des frais de gestion de l’organisme affectée à ce projet)
TOTAL des dépenses du projet
90000
45000
45000
Plan de financement
Acquis
Demandé
(ou à solliciter)
% du total
Montant
(Toutes années)
2015 ou 2016
2016 ou 2017
Subvention demandée à la Fondation de France
(pour toutes les années du projet)
20000
10000
10000
Autofinancement (fonds propres apportés par le porteur du projet, participation des usagers, ventes de biens ou services – à préciser)
50000
25000
25000
Autre financeur (préciser le bailleur et le dispositif, et cocher acquis ou demandé)
Fondation des 3 Cyprès
40000
20000
20000
Autre financeur (préciser le bailleur et le dispositif, et cocher acquis ou demandé)
CAF de Vaucluse
20000
10000
10000
Autres (à préciser)
DDCS, Conseil régional, Conseil départemental
10000
5000
5000
TOTAL des ressources pour le projet
100 %
140000
70000
70000
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Un Collectif constitué des Animateurs salariés et bénévoles, des responsables des associations suivantes
Nombre de personnes affectées au projet
Fréquence de la présence sur le lieu d’accueil
Personnels mis à disposition pour le projet
ANPEP
4 à 5 personnes
Tous les jours
Formateurs
Apt School Boxing
1 à 2 personnes
1 à 2 fois par semaine
Educateur sportif + 1 bénévole
Festival du Cinéma d’Afrique
1 à 2 personnes
1 fois par semaine
1 salarié + 1 bénévole
Le Goût de Lire en Pays d’Apt
1 à 2 personnes
1 fois par semaine
1 salarié + 1 bénévole
Centre Social et Culturel “Lou Pasquié
A déterminer
MJC d’Apt
Le projet a un caractère structurant pour l’association,
Présente forte assurée.
Animateurs salariés + bénévoles
Le Vélo-Théâtre
1 à 2 personnes
1 à 2 fois par semaine
1 salarié + des bénévoles
Centre Social Maison Bonhomme
2 personnes
1 fois par semaine
20h/semaine
Animateurs
Coordinateur
- 1 coordinateur 20 heures/semaine : 1 salariée de l’APAS, animatrice jeunesse ayant plus de 10 ans d’expérience auprès d’un public jeune, actuellement en charge de la coordination du CLAS au sein de l’APAS (Contrat Local d’Accompagnement à la Scolarité), en lien avec l’équipe éducative de la Cité Scolaire, le Collège Jeanne d’Arc et avec les différentes structures éducatives de la ville.
Ses missions : organiser les phases opérationnelles de l’action décrites ci-dessus (présence des partenaires sur le lieu d’accueil, réunir le comité de suivi, demander les autorisations nécessaires au déroulement de l’action, mettre en place la communication. Le coordinateur fera des allers-retours entre les différentes associations impliquées, ne se substituant pas à eux dans les temps d’intervention d’accueil et d’accompagnement des projets.
- Résultat sur le territoire
Aspects innovants du projet dans :
- notre capacité à mobiliser et à croiser nos compétences
- l’occupation d’un espace coopératif et éphémère à ciel ouvert,
- la possibilité pour les jeunes accueillis de co-construire le projet,
- la proposition d’une initiative culturelle qui croise les enjeux sociaux.
- le mode collaboratif et participatif
- l’échelle territoriale
- Résultat pour le centre social
C'est l'occasion pour le centre social mais aussi pour l'ensemble des partenaires associés, de présenter aux habitants une autre facette de l'animation.
Elargir et consolider notre action partenariale.
- Résultat pour les habitants
De façon générale : Amélioration de la représentation des jeunes, valorisation de leurs compétences et de leur pouvoir d'agir.
Pour les jeunes eux-mêmes : passer de l'idée au projet et à sa réalisation.
Les jeunes que nous visons rencontrent des difficultés variées (socialisation, apprentissages divers, développement personnel, accès aux droits, mobilité, …) et ne bénéficient pas tous d’un environnement propice à l’ouverture, néanmoins ils ont des compétences et des connaissances à faire valoir. Par ailleurs nous veillons aussi à favoriser la mixité, tant sociale que culturelle. L’action auprès des jeunes ne doit pas être perçue comme sélective, il est important de communiquer avec des jeunes de groupes d’intérêts et de provenance différentes. Pour garantir cette mixité nous nous appuyons sur la cooptation de jeunes déjà en lien avec nos structures pour jouer le rôle de prescripteurs auprès de leurs pairs.
- Suite de l'action : Limites
la poursuite de l'action dépendra de l'implication des partenaires institutionnels dans le soutien financier.
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Bien vivre dans son logement, s'ouvrir vers l'extérieur
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL GISELE HALIMI ALLONNES - Sarthe
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Démocratie & citoyenneté
- développement durable
- Résumé
Ce projet émane d'un groupe de travail "partenaires" sur la question du logement. Il a pour objectifs d'accompagner les habitants dans l'aménagement, l'embellissement et la prise en compte de leurs responsbilités locatives.
L'entraide, la valorisation des compétences techniques et la rupture de l'isolement social sont également visées à travers ce projet.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Des besoins de soutien aux habitants avaient été repérés par les travailleurs sociaux : petit bricolage, aide au déménagement, prêts de matériel électroménager et de bricolage,...
Plusieurs actions sont mises en place à travers ce projet :
- l'ouverture d'un repair café
- la mise en place d'ateliers de bricolage
- des actions de sensibilisation au développement durable
- du pret de matériel de bricolage et électroménager
- une mise à disposition d'un lave-linge..
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
2013 /2014 : Dans un premier temps, une réflexion a été menée dans le cadre d'un groupe de travail "partenaires".
Depuis fin 2014 : lors de la mise en oeuvre des actions , un groupe d'habitants relais a été constitué et se retoruve régulièrement avec les acteurs sociaux dans la réflexion et la mise en oeuvre des actions.
En parallèle, un groupe de pilotage a été constitué avec les financeurs.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Buget global 2014 : 30500 € incluant un poste d'animateur en emploi avenir, l'achat du matériel pour les préts et l'aménagement du Repair Café.
N'est pas pris en compte le temps de travail de coordination et pilotage.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 personnes sont mobilisées sur ce projet :
- 1 animatrice coordinatrice à 30%
- 1 animatrice Logement à 100 %
- 1 directrice à 10 %
- Résultat sur le territoire
- Ouverture du repair café, nouveau lieu ressource sur le territoire
- Apport de réponses individuelles à des problèmatiques logement pour les habitants
- Développement de compétences à travers les différents ateliers
- Lien social, intergénérationnel et mixité sociale, culturelle
- Projet qui touche un public masculin
- Dynamique partenariale positive
- Résultat pour le centre social
- Développement d 'un des axes du projet social, à savoir le soutien aux habitants dans leur vie quotidienne et le développement de potentialités
- Nouveau public non connu du centre social à travers la féquentation du Repair Café
- Promotion du centre social à travers différents articles et reportage sur le Repair Café
- Dynamique partenariale positive
- Résultat pour les habitants
- Mise en place de nouveaux services, d'un nouveau lieu ressource investi par les hommes contrairement aux autres actions plutôt investies par des femmes.
- Valorisation de compétences techniques,
- Lien social, développement de réseaux sociaux sur le territoire
- Suite de l'action : Limites
La pérénnisation du projet qui a été développé en partie grâce au recrutement d'une animatrice en emploi d'avenir
- Suite de l'action : Perspectives
Réflexion sur les suites à envisager en termes de portage du projet.
Renforcement de l'implicationet du pouvoir d'agir des habitants
Actions
Bouger pour la santé!
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ARCOLAN - Espace Familial et Social - Gers
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Viellissement
- Santé
- Environnement
- Mixité sociale
- Résumé
Proposer aux personnes âgées et isolées un programme complet santé bien-être autour de balades botaniques, d'ateliers nutrition et d'ateliers de pratique du QI GONG. L'objectif est de sensibiliser les habitants à se rapprocher de la pratique sportive en offrant un service de proximité adapté à tous. la finalité de la pratique sportive ets l'épanouissement individuel et collectif des habitants en milieu rural.
- Permettre l'accès à la pratique régulière d'une activité physique en zone rurale
- Accompagner les populations fragillisées par un handicap ou une maladie chronique
- rompre l'isolement social
- Développer des informations et conseils en matière de nutrition
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les habitants ont exprimé un besoin de pratique d'une activité physique régulière et adaptée c'est à dire excluant toute forme de performance physique mais plutôt placée sous le signe de la santé et du bien-être. En effet, nous avons constaté que les habitants et usagers du centre social (public essentiellement féminin, en situation de handicap ou atteinte de maladies chroniques, de toutes catégories sociales confondues) souhaitaient allier sport, santé et bien-être. L'objectif du centre social est donc de renforcer le concept de convivialité dans la pratique et de viser des objectifs à la fois physiques, psychiques et sociaux. Les objectifs opérationnels sont donc:
- Sensibiliser les participants à la pratique d'une activité sportive régulière
- Proposer des activités accessibles à tous le sâges, et à tout type de population
- Renforcer ses capacités de récupération
- Renforcer ses capacités à se détendre
- Retrouver confiance en soi et équilibre corps-esprit
-Maintenir, améliorer et conserver le niveau de santé des habitants du territoire
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
L'action a débuté en septembre 2016. C'est un programme sur 3 ans, hebdomadaire, qui alterne entre:
- balades botaniques ou de pleine conscience: promenade conviviale permettant de découvrir le patrimoine naturel et d'évoquer les enjeux liés à l'éco cioyenneté
- ateliers nutrition: ateliers cuisine et réunions d'information sur des conseils d'alimentation animés par une diététicienne, en lien avec la pratique sportive mais également au quotidien
- pratique régulière du QI GONG: aider les participants à retrouver un équilibre sport, santé et bien-être, animée par une professionnelle
- Ressources financières mobilisées pour cette action
6000€ par an avec des financements de la Fondation de France dans le cadre de l'appel à projet Sport et santé en milieu rural.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- 1 professionnelle du centre social
- 1 diététicienne de la maison de retraite
- 1 professionnelle du QI GONG également adhérente du centre social
- 1 animatrice de la maison de retraite
- un groupe de 28 participants: résidents de la maison de retraite, habitants et adhérents
- Résultat sur le territoire
Caractère innovant permettant un mettre en place, au-delà que la simple action ponctuelle, un vrai programme de santé en milieu rural.
- Résultat pour le centre social
Valorisation des potentialités des habitants dnas la mesure où le projet émane d'un besoin recensé par les usagers et qu'ils ont participé à la mise en place de l'action, ainsi qu'à ses bilans intermédiaires
- Résultat pour les habitants
Par le biais de grilles d'observation établies lors du montage du projet, constat d'un mieux être des participants.
- Suite de l'action : Limites
Le programme est plannifié pour 3 ans. A chaque rentrée, un nouveau groupe sera constitué avec la volonté de pérenniser cette action au-delà de ces trois ans de financements. Les balades botaniques sont planifiées davantage aux beaux jours car le mauvais temps et le froid freinent considérablement les sorties des résidents de la maison de retraite.
- Suite de l'action : Perspectives
Poursuivre l'action sur 3 ans en essayant de la pérenniser au-delà, intégrer de nouvaux partenaires.
Actions
Cantine solidaire "Si ma cantine m'était contée..."
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL LES IZARDS-BORDEROUGE - Haute-Garonne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Culture
- Mixité sociale
- Résumé
C'est un projet d'habitants que le centre social accompagne avec une association culturelle. L’insertion par l’activité économique (IAE) est au coeur de ce projet
« Si MA CANTINE m’était contée … » est un lieu de vie et de sociabilité, imaginé par les habitants et ses partenaires. C’est une cantine « éco-responsable » où l’on sert des repas peu chers mais de bonne qualité et équilibré. C’est également un endroit intergénérationnel et propice à la mixité sociale, à la rencontre. Ce projet a également pour objectif de créer de l’activité économique sur le quartier par l’emploi de personnes en insertion.
C’est espace qui renforce la vie de quartier en associant les associations, les acteurs sociaux, les collectivités locales en développant des évènements culturels ou projet de quartier. « Si ma cantine m’était contée … » est respectueuse de l’environnement dans un esprit de développement local et durable.
La cantine est un espace d’organisation et d’expression collective qui doit permettre à de nombreux projets de se construire de se réaliser et de se croiser. La cantine est un outil pour promouvoir, développer et soutenir les initiatives locales et leur autonomie.
Ce projet s’inscrit dans une démarche d’innovation sociale pour le quartier Izards/3cocus.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un habitant
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action émane de plusieurs constats : une difficulté de trouver des espaces de restauration avec un petit budget. En effet, une étude démontre qu’une personne qui souhaite consommer le midi un plat chaud, en étant à une table et sans dépenser plus de 8€ ne se voit proposer que les nombreux Macdonald et autres Fast-food. L’INSEE observe que la part des fast-foods dans l’ensemble de l’offre de restauration est la plus haute dans les quartiers prioritaires de la politique de la Ville, et de très loin. L’INSEE constate également que les quartiers prioritaires ont les offres commerciales les moins développées, et que les commerces favorisant la disponibilité de fruits et légumes frais y sont les moins nombreux. Il apparaît donc que les quartiers prioritaires de la politique de la Ville ont les environnements alimentaires les moins favorables à la santé. sur le quartier des Izards les 3 restaurant sont des fast-food et il n'y a qu'un seul commerce qui vend des fruits et légumes mais de qualité moindre.
De plus, il semble exister un lien entre l’organisation urbaine et commerciale et la santé. Ce lien se concrétise particulièrement autour des modes d’alimentation et les conséquences de ces choix sur des grandes pathologies comme le diabète et l’obésité, en particulier dans les quartiers qui abritent les populations les plus défavorisées.
Et enfin, la question de l'emploi des femmes est dans ce projet essentiel. Nous constatons que les femmes vivant dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville (QPV) subissent une double inégalité, à la fois territoriale et sexuée.
4 objectifs de ce projet :
-Favoriser l’insertion par l’économie des habitants avec une attention particulière pour les femmes du quartier politique de la ville Izards/3 cocus (valoriser l’estime de soi, un tremplin pour rentrer dans la vie active, valoriser leur savoir-faire).
-Proposer un lieu de rencontre pour les habitants, un espace pour faire ensemble, un coin dédié à la culture…
-Partager un projet avec les partenaires locaux pour dynamiser la vie de quartier
-Volet éco-responsable : Promouvoir une alimentation saine et durable en privilégiant les circuits courts et respectant la saisonnalité des produits.
Le centre social en lien avec l'association Tactikollectif se positionne sur l'accompagnement des habitants pour orienter le collectif vers un incibateur de projet "Première brique"
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
L'action a débutée en juin 2019. Les premiers contacts avec "Premières briques" ont eu lieu en janvier.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Pour le moment l'accompagnement n'a pas necessite de budget. Toutefois le projet cantine va nécessite un réèl travail de recherche de budget tant de droit commun qu'auprès des fondation.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
20 habitants et 2 professionnels.
- Résultat sur le territoire
Pour le moment un collectif d'habitants mobilisés et une dynamique partenariale qui se fédère.
- Résultat pour le centre social
Le centre social placé au centre de ce projet par l'accompagnement des habitants est reconnu comme un acteur essentiel pour les partenaires et les habitants.
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
La limite du centre social se pose sur l'accompagnement du montage de projet (financement, appel à projet, chantier d'inertion...). Notre objectif est de transférer l'accompagnement à "Première brique" incubateur de projet et rester positionnées sur la mobilisation des habitants et la dynamique partenariale.
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Click Silver
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL LA FENETRE - Vaucluse
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Résumé
Accueil des seniors à l’espace multimédia (atelier woueb) du centre social pour la création et animation d’ateliers multimédia, avec un accès libre et gratuit. Ces seniors vivent à St Chamand un quartier sensible en périphérie d’Avignon ils n’ont pas accès aux nouvelles technologies, nous proposons des ateliers e administration, intergénérationnels, créatifs et ludiques.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Certains seniors du quartier ne peuvent pas avoir accès aux TIC, ou ne sont pas formés pour appréhender l’outil informatique.
Les personnes âgées vivent souvent isolées, éloignées des structures sociales et ne peuvent pas avoir accès à internet pour effectuer certaines démarches administratives, l’eadministration n’est pas acquise pour ce type de public.
Les seniors du quartier vivent dans la solitude, le centre social reste le seul endroit pour créer du lien social, à travers l’espace multimédia ils peuvent créer des liens, être orientés et encadrés
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Dans sa démarche de participation des habitants chaque projet du centre social est coconstruit avec les habitants, les actions répondent à des attentes à la fois des financeurs publics et des usagers.
Ce projet Clic ‘Silver est le résultat de demande de terrain des usagers mais aussi une commande des partenaires qui souhaitent réduire la fracture numérique sur le territoire à travers l’e administration inciter les allocataires à entreprendre des démarches en ligne.
Le conseil départemental du Vaucluse nous a aussi demandé de répondre à l’isolement des personnes âgées en mettant en place des actions créant du lien social, et d’encourager les initiatives citoyennes.
Les seniors (inscrits à l’atelier woueb en septembre 2015 > 50), sont demandeurs d’actions de formation et d’ateliers créatifs.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
21190.96 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
+ de 80 personnes
- Résultat sur le territoire
Le développement de ces ateliers va permettre à certaines personnes âgées de sortir de leur vie monotone et de se mélanger à la population, et faire parti d’un groupe dynamique qui peut être force de proposition dans la vie du quartier.
Les seniors en ayant accès aux sites des institutions pourront mettre à jour leur dossier, suivre l’évolution de leur situation et anticiper les changements plus rapidement.
Les ateliers intergénérationnels seront aussi une force d’intégration et un pas vers le « mieux vivre ensemble », se connaître pour créer du lien, et enlever les aprioris vis-à-vis des jeunes du quartier. Les seniors se sentiront mieux dans leur quartier.
- Résultat pour le centre social
Par essence l’espace multimédia est tout le temps en mouvement d’adaptant aux nouvelles tendances et répondant aux demandes des usagers, la demande de mise en place d’ateliers de la part des seniors nous a amené à innover en proposant des ateliers adaptés aux seniors à leur attentes et à leur capacité d’apprentissage.
- Résultat pour les habitants
Le développement de ces ateliers va permettre à certaines personnes âgées de sortir de leur vie monotone et de se mélanger à la population, et faire parti d’un groupe dynamique qui peut être force de proposition dans la vie du quartier.
Les seniors en ayant accès aux sites des institutions pourront mettre à jour leur dossier, suivre l’évolution de leur situation et anticiper les changements plus rapidement.
Les ateliers intergénérationnels seront aussi une force d’intégration et un pas vers le « mieux vivre ensemble », se connaître pour créer du lien, et enlever les aprioris vis-à-vis des jeunes du quartier. Les seniors se sentiront mieux dans leur quartier.
- Suite de l'action : Limites
Ce projet est en parti financé par le biais d'un appel à projet de la Fondation de Frnce
- Suite de l'action : Perspectives
Il faudra trouver d'autres sources de financement afin de pereniser le projet
Actions
Collectif "Handi'Carnière" - semaine du handicap
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIOCULTUREL DE LA CARNIERE - Rhône
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Intégration
- discriminations
- Résumé
Création d'un collectif d'habitants autour de la thématique du handicap : informations, sensibilisations par la mise en place d'actions.Agir pour l'intégration de ces publics et lutter contre toutes formes d'exclusions ou de discriminations.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le centre social est trsè actif sur la thémathique du handicap en terme d'accès au droit. A partir des actions que nous avons mis en place, un collectif d'habitants directement concerné s'est constitué avec l'appui du centre social pour agir sur ce sujet. Il s'agit de porter haut et fort la réalité des difficultés vécues par les personnes en situation de handicap mais également des personnes qui les entourent. Celà se traduit par la mise en place d'actions de sensibilisation et d'information sur les diiférents handicaps dont les invisibles. Le collectif se réuni régulièrement et prévoit d'organiser une année sur deux une seamaine d'évènements entièrement dédiées.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Dans le cadre d'un partenariat avec la Commune, les associations locales, l'APF France... une semaine de temps fort sur la thématique du handicap a été organisée en juin 2018. Nous avons notamment la création d'une BD par des adultes polyhandicapés grace à du matériel informatique adapté. D'autre ateliers ont été menés: handisport, conduite en fauteuil, ciné débat....
- Ressources financières mobilisées pour cette action
2000 euros de budget ont été nécessaire.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Environ 30 personnes ont participé à l'organisation de cet évènement.
- Résultat sur le territoire
Un impact important à l'échelle du territoire grace à la diffusion de la BD dans les lieux de la ville: écoles, mairie, CCAS, association, bibliothèque...Un vernissage de l'opération soutenu par la commune et largement relayé par la presse locale, de nombreux habitants présents et sensibilisés, un collectif qui s'est constitué et enfin l'inscription de ces initiatives dans les guides locaux.
- Résultat pour le centre social
L'enjeu de l'ouverture à tous les publics et en particulier les plus en difficulté et plus vulnérable est inscrit dans notre projet. Vivre ensemble et agir dans son quartier ou sa ville contribue à la qualité de vie ou chacun trouve sa place. Développer le pouvoir d'agir des habitants en soutenant la participation dans les projets est essentiel dans la mission que nous nous sommes fixés. Par ce projet, des familles ont découvert le centre social et s'implique maintenant dans nos commissions.
- Résultat pour les habitants
Certains ont découvert "l'univers du handicap" d'autres le connaissaient déjà mais tous ont compris l'enjeu d'être plus solidaires.
- Suite de l'action : Limites
Le temps long à consacrer à l'action en prenant en compte tout les paramètres et les spécificités de chacun pour rendre le projet le plus partagé et le plus participatif.
- Suite de l'action : Perspectives
Nécessité d'inscrire durablement ce type de projet pour qu'il ne passe pas inaperçu. Nous prévoyons avec le collectif une semaine d'évènements tous les deux ans.
Actions
Conte illustré
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIOCULTUREL INTERCOMMUNAL - Pas-de-Calais
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- éducation / scolarité
- Viellissement
- Résumé
Les seniors du canton ont relaté les traditions à un auteur illustrateur qui s'en est inspiré pour écrire un conte illustré avec 2 personnages.
Le conte permettra de : Favoriser les échanges intergénérationnels, susciter l'envie de lire, favoriser les rencontres autour de la lecture et de l'illustration, transmettre notre patrimoine pour continuer de le faire vivre, valoriser le savoir-faire local, renforcer la dynamique partenariale.
Les écoles et les associations du canton seront associées au projet afin d'impliquer un maximum de familles.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le canton d'Hucqueliers est un territoire milieu rural classé en ZRR (le seul du département).
Il est très étendu et faiblement peuplé.
Les problématiques sont: isolement géographique et psychologique; manque d'infrastructures culturelles, sportives et de soins; vieillissement de la population, difficultés de mobilité.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Des rencontres ont été organisées avec les partenaires, un groupe de seniors et l'auteur illustrateur.
Une dizaine de rencontres organisées en 2014. Chacun apporte ses connaissances du territoire, les coutumes, les lieux emblématiques du canton...L'auteur fait des propositions étudiées en cours de projet. Les seniors ont échangé entre eux et ont relaté des faits marquants de leur jeunesse, ils se sont sentis valorisés par la conception de l'auteur.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Dépenses
Livres = 7 850 €
Recettes
Participation Fondation Crédit Mutuel = 1 500 €
Participation Conseil Départemental = 4 600 €
Participation MSA = 1 750 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
environ 10 seniors + partenaires
- Résultat sur le territoire
Inauguration du conte en 2015.
Actions en lien avec le livre en 2015 mobilisant les enfants scolarisés de la maternelle au CM2, les parents, les grand parents, les enseignants, les associations locales, les clubs des ainés, les bibliothéques / médiathéques...
Effets: Lutter contre l'illétrisme, créer du lien social entre les générations, créer des manifestations autour du projet (bourdis, series...), rendre la culture accessible à tous.
- Résultat pour le centre social
Mobiliser les habitants autour d'un projet fédérateur,
Identifier le CSCI comme lieu ressources pour tous,
Etoffer / renforcer les partenaires du territoire
- Résultat pour les habitants
Valorisation des seniors,
Favoriser les liens
Impliquer les habitants dans des actions
Rompre l'isolement
- Suite de l'action : Limites
Mobiliser tous les partenaires du territoire notamment les écoles
Senesibiliser les enfants autour de la lecture
- Suite de l'action : Perspectives
Animations diverses autour du tome 1 (pôle lecture, ateliers dessins, concours lecture, réalisation d'événements : char, bourdis...)
Réfléchir au tome 2
Imaginer d'autres supports permettant de créer du lien entre les générations
Actions
Création du Club CPN (Connaitre & Protéger la Nature) Chouette & Chanterelle
- Structure organisatrice
- LA MAISONNEE ADMR - Loire
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Environnement
- Résumé
La création d'un club CPN a permis de mettre en oeuvre une action pour la connaissance ornithologique et la construction de mangeoires et de nichoirs sur le Pays de Belmont.
Ces objets en bois, confectionnés par les participants pour les oiseaux de nos villages, vont ensuite être distribués aux collectivités locales du territoire.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
‘’Promouvoir la culture de la nature, l'école buissonnière, autrement dit connaître la nature par la nature, dans la nature, pour mieux la protéger bien sûr ! ’’
Une finalité : développer des activités socioculturelles sur un territoire rural, pour favoriser le lien social et la solidarité, pour et par ses habitants.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Des actions sont en cours sur le Pays de Belmont.:
- Communales : comme à La Gresle devenue village d’accueil pour les hirondelles et martinets en partenariat avec la LPO - Intercommunales, avec la mise en œuvre d’un projet de connaissance de la forêt, auprès des écoles primaires
Dans cet élan, le comité de pilotage de notre EVS décide de rejoindre cette dynamique pour proposer des projets d’éducation ’’ verte et durable’’. C’est entre autre, la mise en place d’un club CPN qui est actée.
A savoir que depuis 2016, notre EVS organise sur l'ensemble des 9 communes du Pays de Belmont des sorties botaniques, pour découvrir la flore environnante et qu'un herbier numérique est en cours de réalisation. Ces sorties font partie d'un axe majeur de notre projet social sur : La découverte de la faune et de la flore du Pays de Belmont.
Février 2020 : Réunion de présentation auprès des habitants des 9 communes
Mars 2020 : Les premiers ateliers devant débuter sont repoussés en septembre, à cause de la pandémie.
Septembtre : Première sorties sur le terain...puis
la crise sanitaire nous obligeant à fermer notre structure fin octobre, l'action de création de mangeoires et nichoirs est reportée à l'année prochaine.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
4 628,00 €
Subventions:
- Nature & Découvertes : 1270 €
- Département : 250 €
- Commune : Prêt d"un local
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 animateur professionnel
1 salarié de l'EVS
- Résultat sur le territoire
Avec une meilleure connaissance de leur environnement, les habitants seront à même de mieux le préserver.
Le fait de donner des mangeoires à chaque collectivités locales, implique un suivit de la part des habitants, pour approvisionner celles-ci. Une participation active, pour une prise de conscience de chacun dans une action collective.
- Résultat pour le centre social
Cet atelier, ouvert à tous les publics, de 3 ans à 90 + ans, avec inclusion de personnes en situation de handicap grâce à un partenariat avec une structute locale, permet à notre EVS de rayonner sur les 9 communes du Pays de Belmont.
- Résultat pour les habitants
L'éducation et l'implication de chaque membre du Club dans la réalisation de cette action va engendrer de sa part, un autre regard sur son environnement.
Une meilleure compréhension pour un respect et une responsabilité de chacun face au monde végétal et animal.
- Suite de l'action : Limites
L'action n'ayant pu avoir lieu cet hivers, elle est reportée à l'automne 2021.
L'objectifs étant, entre autre, de donner la responsabilité aux habitants de chaque commune, d'oeuvrer pour la préservation des oiseaux de leur village, elle dépend de l'entousiasme de ceux ci à continuer à mener à bien ce que les membres du Club CPN auront initiés.
- Suite de l'action : Perspectives
La perspectice est bien sûr de continuer, avec les membres du Club CPN, l'entretien des mangeoires et des nichoirs mis en place sur chaque commune. Suivit, analyse de la fréquentation et répertoire des différentes espèces d'oiseaux.
Une réalisation de nichoir plus spécifique, pour une espèce particulière, peut être envisagée, afin de répondre, selon observation, à une demande précise d'un village.
Enfin l'échange avec les habitants des diverses communes, la création de lien, via une action en faveur de la préservation de l'environnement, peut devenir une action perenne.
Actions
De la plume au clavier
- Structure organisatrice
- ASSOCIATION FEMME EN LANGUEDOC ROUSSILLON - Hérault
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Précarité
- Intégration
- Mixité sociale
- Résumé
Il s'agit d'une action permettant d'accompagner tout public intra-muros et dans l'espace public grace à un triporteur aménagé, dans tous les domaines de la vie quotidienne. Nous accueillons de façon inconditionnelle les habitants, les passants et menons des actions d'informations, de conseils, d'orientations et/ou d'accompagnement à l'accès aux Droits pour tous. Nous visons tout public et les publics dits "invisibles".
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Autre
- Précision ( si autre )
C'est l'Espace de vie sociale Femmes en Languedoc Roussillon qui a répondu à un appel à candidature et qui a été retenu parmi les 30 guitounes de métropoles à avoir été selectionnées en 2021.
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L'action de la plume au clavier tient compte de l'évolution du numérique dans la société et de la fracture qu'elle entraine. Ainsi elle favorise la prise en main des outils informatiques et l'accès aux informations et aux droits des personnes. Aussi, elle cherche à "aller vers" grace à la guitoune, afin de lutter contre le non-recours.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Cette action remplace l'action "Ecrivain public, médiation sociale" et axe davantage les résultats sur l'utilisation du numérique pour l'accès aux droits. Aussi, une nouvelle branche de cette action s'est développée cette année. Elle a démarré il y a peu, grace à 2COPIL organisés avec de nombreux partenaires afin de cosonstruire le projet.
Des sorties en guitounes sont réalisées avec les partenaires : les premiers ont été le STS de Frontignan et la MLI de Frontignan.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
72 373€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Les 4 salariées sont mobilisées ainsi que une bénévole pour le moment + de nombreux partenaires.
- Résultat sur le territoire
Permet l'accessibilité toutes informations, le repérage d'un lieu d'accueil pour tous itinérent qui prone la convivialité, l'écoute et l'empathie.
- Résultat pour le centre social
Permet une mise en veille plus régulière grace aux copil et une meilleure connaissance des partenaires. Cette nouvelle branche de l'action favorise une nouvelle méthode d' "aller-vers" et permet aux habitants de se saisir de l'outil car il est possible de proposer toute action/projet citoyen à la guitoune.
- Résultat pour les habitants
Ne pas toujours avoir à frapper aux portes des institutions. Etre en extérieur. Avoir un accueil de rue chaleureux. Permettre à ceux qui ont des difficultés à se rendre dans les institutions à accéder à leur droits et à l'information malgré tout.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
DEFILE SOLIDAIRE
- Structure organisatrice
- CS DULCIE SEPTEMBER - Nord
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Résumé
Un défilé est organisé chaque année un soir en septembre depuis 2010 dans la salle des fêtes mise à la disposition du centre socioculturel par la ville gracieusement. Une soirée sous le signe de la convivialité avec une scène ouverte à tous les habitants. Adhérents du centre, habitants en situation de handicap ou non, enfants jeunes ou séniors peuvent se faire plaisir et devenir mannequin d'un soir ou chanteur, joueur de djembé, artiste débutant... De nombreuses associations accueillant des personnes en situation de handicap adhèrent au projet car elles sont rarement sollicitées pour de tels évènements. En ressortent de belles rencontres grâce à l'investissement de tous... 200 personnes défilent sur scène, 400 viennent en spectateurs...
Des ateliers sont créés pour préparer le défilé
Un partenariat est développé entre la ville et le centre socioculturel ainsi qu'avec les associations volontaires.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L'hôtesse d'accueil du centre socioculturel, investie dans le projet du centre, a proposé de monter ce projet suite à la rencontre au quotidien des habitants, à la récolte de leurs paroles, et au repérage des besoins de changement de regard sur la différence et sur le handicap.
L'action a donc pris du sens pour que le bien vivre ensemble se concrétise autour d'un évènement pensé et construit en amont pendant quelques mois avec la visée d'un changement de regard des uns envers les autres, d'une meilleure connaissance de l'autre pour s'ouvrir, se rencontrer, faire grandir son estime de soi, prendre plaisir, échanger des savoir faires... Et être surpris et émerveillé ...
Il aboutit aujourd'hui au projet de développement d'un partenariat plus poussé avec une structure d'accueil de jeunes en situation de handicap sur la commune et à un système d'échanges entre les 2 structures.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
2695 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
5 professionnels
10 bénévoles
- Résultat sur le territoire
reconnaissance des institutions, évènement attendu, changement de regard qui s'amorce
- Résultat pour le centre social
reconnaissance du centre social comme plateforme de projets, comme facilitateur d'actions
- Résultat pour les habitants
amélioration du changement de regard, de l'acceptation de la différence
- Suite de l'action : Limites
sans financement il est difficile d'en faire un évènement "magique" chaque année avec de nouveaux intervenants
- Suite de l'action : Perspectives
Développement du partenariat avec les institutions spécialisées pour des actions pérennes à l'année: atelier théâtre à l'espace jeunes, atelier peinture en co-production, expositions communes entre le centre socioculturel et le service CLIP (culture/loisirs/insertion professionnelle) des papillons blancs.
Actions
Do It Yourself
- Structure organisatrice
- Centre Social - Maison Pour Tous d'ABBEVILLE - Somme
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- éducation / scolarité
- Culture
- Résumé
Ouverte à tout public de tout niveau, la Fabrique Numérique se propose de lutter contre la fracture sociale en mettant en œuvre les conditions qui permettent aux habitants des quartiers prioritaires de bénéficier des ressources existantes.
Pour les jeunes gens, fréquenter la Fabrique Numérique c’est :
· Découvrir la robotique, expérimenter et créer des objets
· Acquérir des capacités (raisonnement, recherche et synthèse de l’information, attention, créativité, démarche expérimentale…) et des savoir être (assiduité, travail en groupe, respect de consignes, respect du matériel…) utiles au sein de l’école et dans la société qui les entoure (ultérieurement, au sein du monde du travail)
· Etre sensibilisés aux métiers des filières scientifiques et techniques dans le cadre de leur projet scolaire puis d’orientation professionnelle. Lutter contre le fatalisme
Pour les adultes et parents, fréquenter la Fabrique Numérique c’est :
· Mieux comprendre les TIC et les enjeux actuels
· Donc, mieux dialoguer avec leurs enfants, mieux suivre leur scolarité, mieux les guider dans leur orientation
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L’année écoulée montre qu’il existe un réel intérêt pour un tel dispositif de la part des jeunes (ou moins jeunes) et des acteurs locaux (des partenariats ont été menés avec le Musée Boucher de Perthes, des enseignants, des animateurs de quartiers…). Le stand « Fabrique numérique » installé au sein de la Fête de le Science 2016 a été très visité.
Sur le plan scolaire, l’activité proposée contribue à la démarche scientifique conforme aux programmes de l’éducation nationale dans un contexte où les sciences et techniques doivent être rendus accessibles au plus grand nombre, où les filières scientifiques et technologiques sont valorisées.
Ce projet s’inscrit également dans le cadre du projet « Sciences en culture » lancé par Ombelliscience Picardie en 2015 dans le cadre des Investissements d’Avenir et du dispositif « Picardie en Ligne 3D» (Conseil Régional Hauts de France).
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
· En amont : mobilisation des partenaires des quartiers, des jeunes, des parents, des écoles, des collèges, des lycées, des habitants
· Pendant l’action : assiduité et capacité à participer à un projet, une activité
· En aval, exploitation de l’action suivie (transfert d’acquisitions, valorisation des réalisations, ouverture vers les métiers scientifiques…)
- Au sein du Centre Social :
o Tous les mercredis après-midi, accueil d’une vingtaine de jeunes collégiens intéressés par l’électronique, la robotique, l’impression 3D et la programmation. Ils ont découvert les cartes Arduino et Raspberry Pi ainsi que les kits de robotique Mindstorm.
o Pendant les vacances scolaires, des ateliers thématiques ont permis d’approfondir ce qui a été abordé le mercredi: conception 3D avec Sketchup, impression 3D et robotique.
- En milieu scolaire
o Promotion des activités auprès des établissements scolaires et des personnels enseignants.
o Parallèlement, 8 séquences ont été programmées au sein de l’école Alain DETRE avec un conseiller pédagogique de l’Académie. Intervention auprès d’une classe de CM2 (23 élèves) encadrée par l'enseignante: robots programmables avec Scratch
Formation à destination des animateurs multimédias des Hauts de France
- Sur le territoire
o Au sein du Musée Boucher de Perthes (février - avril 2016), intervention autour du scan 3D et de l’impression 3D dans le cadre d’une exposition sur les figurines en terre cuite gallo-romaines trouvées localement. Ont été accueillis: des publics issus des quartiers, le Collectif Famille de la MPT, le Collège Ponthieu, l’ALSH Menchecourt…. (au total une centaine de personnes).
o Participation à l’opération Abbeville Plage (21 et 29 juillet): promotion des activités auprès des jeunes fréquentant les Maisons de Quartier
o Courant septembre, promotion des activités auprès de divers établissements: Lycée Boucher de Perthes, Lycée Saint-Pierre, Collège Ponthieu, Collège Millevoye, Musée d’Abbeville.
o Atelier “impression 3D” au CAJ de la Ville d’Abbeville avec 20 jeunes. Le résultat a été l’arrivée de nouveaux jeunes adhérents à la Fabrique Multimédia.
o Contribution à la mise en place d’un Village des Sciences à l’occasion de la Fête de la Science sur Abbeville, à l’initiative de la MPT. 600 personnes visiteurs à l’Espace Culturel Saint-André. La Fabrique multimedia y tenait un stand “numérisation et impression 3D”.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
40 000 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 animateur multimédia, 1 service civique, 1 pilote
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
L'outil numérique autour de la Fabrique Multimédia prend de l'essor. Les partenaires associatifs, éducatifs et institutionnels y sont de plus en plus intéressés. La fréquentation est en hausse intra muros et en dehors les murs.
- Résultat pour les habitants
Effets bénéfiques à l’apprentissage de la logique, des mathématiques et à l’éveil sur les sciences et techniques. Les enseignants encouragent leurs élèves à fréquenter la Fabrique Multimédia. Certains, à leur demande, ont été formés.
Nous observons un réel intérêt de la part des jeunes (et des adultes).
La Fabrique Multimédia est (et peut être davantage encore) un réel atout pour le territoire. Il nous faut, tous ensemble contribuer à son développement (matériel et ressources humaines), envisager des coopérations encore plus soutenues avec les quartiers, établissements scolaires et acteurs locaux, décentraliser, autant que possible et nécessaire, un certain nombre d’actions.
- Suite de l'action : Limites
Les limtes sont malheureusement financières et le projet essaie de structurer de même que la nouvelle Région, ce qui n'est pas toujours facilitant.
- Suite de l'action : Perspectives
Projet qui continue en 2017