Les actions des centres sociaux
Nom | Département | Année |
---|---|---|
Atelier Bricolage | Nord | 2019 |
ALLEZ LES FILLES | Pas-de-Calais | 2019 |
Les rues aux enfants | Paris | 2019 |
L'alphabétisation : un moyen d'insertion | Nord | 2019 |
"Petits dej partenaires" | Seine-et-Marne | 2020 |
Cantine solidaire "Si ma cantine m'était contée..." | Haute-Garonne | 2020 |
Education aux medias et à l'information | Nord | 2020 |
Création du Club CPN (Connaitre & Protéger la Nature) Chouette & Chanterelle | Loire | 2021 |
Ateliers Anti-gaspi | Val-de-Marne | 2021 |
M@m@ns digitales | Nord | 2021 |
MUSECOLO EPHEMERE PEI | La Réunion | 2022 |
Les Paumes Vertes, un réseau d'habitants éco-responsables | Nord | 2022 |
De la plume au clavier | Hérault | 2022 |
Actions
Atelier Bricolage
- Structure organisatrice
- CS LES FLORALIES - Nord
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Environnement
- Logement
- Résumé
Maintenir l’atelier de bricolage tel qu’il existe aujourd’hui en le développant avec la mise en place d’une outil - thèque. L’idée est de prêter à des prix modiques des outils onéreux pour les petits travaux du quotidiens : perceuses, visseuses, tournevis, niveau, pinces diverses, …. Et les conseils d’utilisation s’y afférant. Cet atelier est une activité favorisant la mixité : sociale, générationnelle, homme – femme, … et c’est un atout pour le centre social. Les habitants locataires et propriétaires pourront ainsi être accompagnés dans l’entretien de leur logement.
créer des ateliers collectifs de bricolage (enduire, peindre, installer un lavabo, aménager une cuisine, isoler une pièce, ….) à destination des propriétaires nouvellement installés sur le quartier ou les locataires. Ces derniers permettront aux habitants de faire un diagnostic de leur logement et de se projeter dans les travaux à effectuer. Notre objectif premier est l’éco – rénovation des logements. Les travaux permettront de vivre sainement et de faire des économies d’énergie tout en faisant soi – même. Nous encouragerons la solidarité entre habitants dans les travaux les plus couteux physiquement et temporellement. Ainsi, quatre personnes iront soutenir et aider un habitant pour monter sa salle de bain par exemple et ce dernier ira aider l’une des personnes qui l’a aidé pour aménager sa cuisine. Les personnes pourront y trouver les conseils et les techniques pour rénover leur logement tout en respectant leur environnement et en faisant des économies. Afin d’y assurer notre mission première qui est le développement social local, nous mènerons dans cette « maison – témoin » des temps forts et de la convivialité pour que les personnes puissent se rencontrer, échanger et crée une dynamique de bien vivre ensemble.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
A la demande des habitants qui voulaient prendre eux-même en charge l'entretien de leur logement à moindre frais
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
ALLEZ LES FILLES
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIOCULTUREL AUDREY BARTIER - Pas-de-Calais
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Résumé
Le centre en collaboration avec différents partenaires met en place diverses actions éducatives afin de favoriser la pratique d'activités physiques et sportives ches des jeunes filles fragilisées repérées par les acteurs sociaux du territoire ainsi que l'équipe pédagogique du collége de wimille; en s'appuyant sur une démarche participative et collaborative en prenant en considération l'environnement social de chacune
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le cnetreest implanté dans le nord de wimereux prés des quartiers du bon air, Léo Lagrange, le Baston. Diverses permanences ont lieu dans les locaux du centre telles que PMI, permanences mission locale, assistante sociale. Le centre organise les accueils collectifs de minieurs maternel et primaire et un accueil jeunes. Divers dispositifs et actions sont dirigés vers la jeunesses : accompagnement scolaire, projet initiatives jeunes, les bourses jeunes, les départs en vacances, des actions de prévention santé, parentalité, insertion sociale....
La part des moins de 20 ans représente 24.98% de la population, ce qui est supérieur à la moyenne
plus de 140 jeunes sont suivis par la mission locale,
l'équipe du centre est régulièrement sollicité autourdes question d'insertion professionnelle et sociale des jeunes
On note une augmentation des conduites à risques chez les jeunes : délinquance et consommation de produits. Les problèmatiques "santé" identifiées par les professionnels de santé du territoire à savoir la question de l'obésité et celle de l'insuffisance pondérale viennent conforter les statistiques régionales.
Cette action a été soutenu par la fondation de france durant 3 ans et il répond aujourd'hui à la demande des jeunes filles sensibilisées par ll'action antérieure; les jeunes filles ont besoin de changer le regard porté sur elles-même; les parents ont besoin d'être accompagnés, soutenus face à des difficultés qu'ils rencontrentavec leurs ados; l'équipe éducative du collège a besoin de relais sur le territoire, auprès des jeunes filles et de leur famille
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
création d'un comité de pilotage composé des partenaires, des intervenants extérieurs, des salariés du csc, des représentants des jeunes filles, des représentants des parents et créer des outils de suivi du parcours des jeunes filles
aller à la rencontre des jeunes filles sur leur lieux de vie, réparer les jeunes filles les plus éloignées des activités physiques et sportives, sensibiliser et associer les jeunes filles dans la mise en place du projet en prenant en compte la dimension sociales de chacune
visite de différentes structures sportives de l'agglomération
proposer de suivre une formation PSC1 ou SST
développer la pratique hebdomadaire urban fit fitness : investissement des quartiers autrment et utiliser le matériel urbain
mettre en place un projet de création artistique en lien avec le hip hop accompagné par l'association l'embardée
le projet s'articule autour de deux dimensions : sportive et sociale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
cout total : 20 000 €
subvention 7000
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
l'animatrice jeunesse, des prestataires, renfort de l'éducateur et référent famille pour certaines situations
- Résultat sur le territoire
projet partagé et concerté avec les partenaires : collège, clubs sportifs
remobiliser les jeunes filles en risque de décrochage scolaire et ou de conduites à risques
- Résultat pour le centre social
L'accompagnement d'un nouveau public
Etre fédérateur, effet d'assemblier (parents/école/jeunes)
- Résultat pour les habitants
S'inscrire dans une dynamique de projet
développer les compétences psychosociales des adolescentes. les effes recherchés sont l'estime de soi, la relation avec les autres, la capacité à se positionner et à faire des chois
- Suite de l'action : Limites
Pas de coüt de poste de financer uniquement l'action
- Suite de l'action : Perspectives
essaimer ce pojet auprés d'autres structures jeunesse, centres sociaux
Actions
Les rues aux enfants
- Structure organisatrice
- CAFEZOIDE - Paris
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- Mixité sociale
- Résumé
La « Rue aux enfants » est une prise en compte de la place de l’enfant et des jeunes et leur légitimité d’être et de jouer dans l’espace public, espace de socialisation et du vivre ensemble. La Rue aux enfants, se base sur la pédagogie sociale qui favorise la rencontre et les projets collectifs dans un environnement propice à remplir l’objectif d’épanouissement et le développement des enfants (jusqu’à 18 ans), à travers la création et l’animation sociales et culturelles, dans un esprit de convivialité, de partage et de tolérance.
Pour faire vivre cette action, le Cafézoïde met en place des jeux et des ateliers d’extérieurs, gratuitement mis à la disposition des enfants, avec un encadrement d’animateurs. Les enfants, les jeunes, les familles deviennent petit à petit les acteurs principaux de la rue.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Autre
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
"Dans le passé, l’enfant appartenait tout naturellement à l’espace urbain, avec ou sans ses parents. Dans un monde de petits métiers, et de petites aventures, il était une figure familière de la rue. Pas de rue sans enfants de tous âges et de toutes conditions. Ensuite, un long mouvement de privatisation l’a retiré peu à peu de l’espace urbain qui cessait dès lors d’être un espace de vie épaisse, où le privé et le public ne se distinguaient pas, pour devenir un lieu de passage, réglé par les espaces de vie épaisse, où le privé et le public ne se distinguaient pas, pour devenir un lieu de passage, réglé par les logiques transparentes de la circulation et de la sécurité" Philippe Aries
La rue aux enfants, c'est un cri du coeur que l'équipage (bénévoles et professionnels) a poussé en réaction à la demande de vider la rue, des enfants et des ados qui y jouaient non accompagnés.
A quels besoins répond-il ?
1- Le besoin fondamental pour de nombreux enfants d’être écoutés et de pouvoir exprimer leur point de vue et leur regard sur le monde, et d’être ainsi reconnus.
2 - Répondre au manque de proposition à destination des enfants dans l’espace public, occupé dans la majorité par la voirie automobile.
3 - Le besoin de mixité sociale et de compréhension mutuelle, dans un arrondissement «politique de la Ville», et plus précisement dans un quartier dit «sensible» ou en «difficulté».
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
L’équipe travaille dans un esprit participatif : le projet associe les enfants, les adolescents et les parents dans la co construction de chaque évènement. Par l’implication des enfants et la liberté de choix, chacun ayant une place dans le projet, il s’agit de les aider à développer une sensibilité personnelle et à acquérir des modes d’expression, qui leur permettront de mieux comprendre, imaginer, créer, proposer et agir dans le monde de demain. En rompant l’isolement, en participant à un projet collectif et en réalisant une œuvre commune, qui se nourrit de la singularité créative de chacun, cette action permet aux enfants de trouver leur place et de mûrir, grâce aux interactions et aux interrelations nécessaires pour assurer la réussite du projet.
Activités
Avec les Rues aux Enfants, des jeux et des ateliers, en libre disposition et gratuits, sont proposés aux jeunes et à leurs familles, de 11h à 18h, tous les dimanches après midi, devant le Cafézoïde, tout au long de l'année, en profitant de la fermeture aux voitures du Quai de Loire. Une "grande" Rue aux Enfants a lieu une fois par an, le dernier dimanche de mai, et s'étend alors sur les espaces le long du Bassin de La Villette (côté Quai de Loire).
De multiples activités sont prévues : un espace cirque et sports de rue, un espace artisanal, des jeux en bois géants, jeux de plateau, jeux coopératifs, un « camion des petits débrouillards », un studio mobile radio (la « Radiozoïde »), des ateliers films et cinéma, des ateliers divers, un espace restaurant des enfants, un ring, etc. Des spectacles (marionnettes, par exemple) sont également proposés.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le budget annuel de l’opération est évalué à 39 000 €. Il comprend les dépenses pour les petites rues aux enfants, mises en place tous les dimanches, ainsi que le budget de la Grande Rue aux enfants (festival d'une journée tous les derniers dimanches du mois de mai).
Les rémunérations des animateurs du Cafézoïde et des intervenants extérieurs (musiciens, par exemple) représentent, logiquement, une forte proportion des dépenses (48%). Un tiers du budget est consacré aux achats (matériel, jeux, etc.), à l’entretien et aux réparations. Le reste concerne principalement des dépenses liées à la communication.
La CAF, la Mairie de Paris et celle du 19e, sont les soutiens traditionnels des Rues aux Enfants, procurant 40% des recettes. L’Etat (DDCS) est également sollicité. Des recettes liées à l’activité, ainsi que des fonds propres, complètent le plan de financement, à hauteur de 18 %.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Une soixantaine de bénévoles et une dizaine de personnes rémunérées sont mobilisées. Les adhérents (plus de 500 en 2018) sont invités à participer aux activités.
Des assemblées d’enfants, auxquelles se joignent des parents, sont encadrés par l’équipe du Cafézoïde avec pour objectif de favoriser l’expression libre des jeunes, dans une ambiance de liberté et de partage. Il est demandé aux présents de participer aux projets en étant eux même organisateurs et forces de propositions. Les activités sont peu à peu prises en charge par les plus grands, leur conférant ainsi une responsabilité valorisante.
Enfin, le Cafézoïde se situe au cœur du réseau associatif et institutionnel de l’arrondissement et monte les projets locaux, notamment, « les Rues aux Enfants », avec une trentaine d’associations, écoles et institutions. Il s’appuie donc sur un large partenariat : habitants, écoles, artistes, associations, entreprises, commerces, institutions, etc.
- Résultat sur le territoire
En mettant à disposition des jeux et en animant ces lieux dans l’espace public, avec des animateurs qui jouent et font jouer, la « Rue aux enfants » du Cafézoïde participe au “mieux vivre ensemble” dans le quartier.
- Résultat pour le centre social
Rencontre avec le quartier, un lien direct avec les habitants qui permet le développement d'une action cohérente de l'association.
Une dynamique relancée à chaque Rue aux Enfant par un projet collectif : une énergie nouvelle et rafaichissante.
Un renforcement des liens partenarials autour d'actions concrètes, régulières ou ponctuelles.
- Résultat pour les habitants
La rencontre et la découverte d'un autre monde, en bas de chez soi ! Par l'implication des ressources de chacun avec la mise en avant des compétences, arts et envies des enfants.
Un lieu de vie mouvant, ouvert et intégrant pour les personnes isolées, pour les familles qui ne partent pas en vacances...
Une reprise en main de l'espace commun par les habitants : le développement des projets individuels et collectifs par et pour tous.
- Suite de l'action : Limites
Il y a une vrai problématique sur la circulation voiture/vélo/pietons : un danger à réguler sur chaque Rue aux Enfants.
Afin de proposer du materiel de qualité, varié et adapté, le Cafézoïde est obligé de stocker dans son local de nombreuses choses... l'association est limitée en terme d'espace de stockage, et cela empêche le développement de certains projets (ring de boxe, materiel de sport, kart et voitures à pédales, déco de rue...).
- Suite de l'action : Perspectives
Développement des Rues aux Enfants et des espaces de jeux à l’exterieur pour lutter contre les inégalités éducatives : la Rue aux Enfant devient un espace d'accès aux droits (protection, expression....). Avec différents acteurs comme un avocat spécialisé en droits des enfants, un facteur des enfants et un médiateur/psychologue des familles.
Actions
L'alphabétisation : un moyen d'insertion
- Structure organisatrice
- CS ACOLJAQ - CHRISTIAN JANSSENS - Nord
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Le projet a été mis en place sur une année avec un financement sur un seul exercice.
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Emploi, économie
- Intégration
- alphabétisation & apprentissage du français
- Mixité sociale
- Résumé
L’association propose des ateliers d’alphabétisation en direction du public adulte. Les séances se déroulaient principalement en individuel. Nous avons voulu apporter une dynamique collective à ces ateliers tout en rendant les adultes, qui ne maîtrisent pas ou peu la langue française, acteurs de leur insertion aussi bien sociale que professionnelle.
Pour cela, nous avons choisi d’utiliser différents moyens afin de permettre à chacun d’apprendre le français tout en s’insérant socialement et professionnellement. Ce projet s’est décliné en 3 actions phare :
- La création d’un livre de recettes
- La création d’un code de la circulation
- La mise en place de la semaine de l’emploi
Les thématiques « cuisine », « mobilité – sécurité routière » et « emploi » ont été dans ce projet, utilisées uniquement comme moyens et supports pour apprendre la langue française (fil rouge du projet) tout en répondant aux demandes des adhérents en terme d’insertion sociale et/ou professionnelle.
Chaque action était composée de plusieurs activités qui répondaient aux objectifs généraux suivants :
Description du projet : Une des bénévoles des ateliers d’alphabétisation accompagne spontanément ses apprenants dans leur insertion professionnelle (recherche d’offre, de formation, écriture de la lettre de motivation etc…). Les sollicitations ont été de plus en plus nombreuses. C’est pourquoi, nous avons mis en oeuvre ce projet afin de créer une dynamique collective autour de l’apprentissage du français et de l’insertion.
Les « Ateliers informatiques » : cette action a permis de créer du lien entre les apprenants. Pour les valoriser et les fédérer autour de cette action, nous avons choisi une thématique commune, celle de la cuisine. L’idée est d’apprendre le français et de s’initier à l’outil informatique en réalisant un livre de recettes du monde, recettes des pays d'origine des participantsPour cela, chaque participant a du écrire une recette typique de son pays d’origine. Les séances se sont déroulé sur ordinateur afin de sensibiliser les apprenants à l’outil informatique (écriture, mise en page). Toutes les recettes ont été centralisées dans un livre de « recettes du monde ».
Les « Ateliers cuisine » : Ces ateliers ont réuni tous les participants des « ateliers informatiques » ayant proposé une recette. Ils ont été co-animés par des bénévoles (ceux de l’alphabétisation ou d’autres volontaires repérés) et par la responsable du secteur « Adultes et Familles », toujours dans l’optique de créer et renforcer les liens entre les participants, apprendre le français de manière ludique et s’insérer professionnellement.
Les participants ont préparé un menu complet, à partir des recettes proposées dans leur livre. Le temps de préparation a été l’occasion de travailler le français : lecture de la recette, vocabulaire lié à la cuisine et aux ingrédients, conversation de groupe… Ces réalisations ont été dégustées, lors des repas thématiques, appelés « les repas écoute-infos
Les « Repas écoute-infos » : Ces repas ont été les temps forts des actions présentées ci-dessus. C’est un moyen de valoriser les participants et leur investissement dans les différentes actions. Les menus ont été issus du livre et préparé par les participants. Le repas a été partagé avec ces derniers, les bénévoles et les partenaires. Au cours de ces repas, un ou plusieurs partenaires, professionnels de l’insertion professionnelle ont été conviés pour informer et répondre aux questions des participants. Par exemple : un agent de pôle emploi, un directeur des ressources humaines, etc.…
Le « code de la circulation » : Cette action a été organisée en direction de toutes les personnes souhaitant se sensibiliser au code de la route et rencontrant des difficultés de compréhension dues à la non-maîtrise de la langue française. Cet atelier s’est traduit par des séances de tournage ou séances photos sur des situations routières rencontrées au sein du quartier.Les participants ont pu appréhender le code de la route de façon ludique. Ces derniers ont été sensibilisés au code de la route, ont écrit et filmé des saynètes sur des situations de circulation dans le but de créer un quizz dont ils ont rédigé les questions et les réponses. L’ensemble a été monté sur un support vidéo qui se présente sous la forme d’un « code de la route classique ». Une manière de travailler le français écrit et oral et de les sensibiliser au code de la route et au système de l’examen.
La semaine de l’emploi en plusieurs étapes :
Les Ateliers recherches d’emploi : Ces ateliers seront proposés en priorité aux personnes ayant participé à la semaine de l’emploi. Ils seront également ouverts à tous ceux qui recherchent un emploi et/ou d’une formation. Ils seront animés par l’animatrice « multimédia » de notre association et pérennisés après le projet. Lors de ces ateliers les participants pourront apprendre à rédiger un CV et une lettre de motivation, créer son compte pôle emploi, créer sa boîte mail, apprendre à envoyer ses CV et ses lettres de motivation en ligne et mener ses recherches sur internet… L’animatrice adaptera son programme en fonction des attentes des participants et des besoins repérés lors de la semaine de l’emploi.
Pour valoriser le travail mené sur cette action, un livret de l’emploi a été créé. Ce livret synthétise de manière simple et adaptée (vocabulaire accessible) toutes les informations vues lors de ces ateliers. Il a été construit au fur et à mesure des séances.
Les « Ateliers de développement personnel » : Lors de ces ateliers les participants ont appris à mieux se connaitre, à travailler l’estime de soi et la confiance en soi, à contrôler leur stress et à se préparer pour un entretien
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Apprendre à lire, écrire et parler le français
- Acquérir son autonomie
- S’insérer socialement et professionnellement
- Découvrir la culture française
- S’émanciper socialement, civiquement et intellectuellement
- Développer la confiance en soi et l’estime de soi
- Partager des moments conviviaux
- Rencontrer des nouvelles personnes
- S’ouvrir à son environnement
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
L'action a été réalisée en 2017 pour s'achever en 2018.
Le projet a été porté par la responsable du secteur « Adultes et Familles » et l’animatrice « multimédia » appuyées par plusieurs bénévoles des ateliers en alphabétisation.
Les ressources humaines externes (intervenants, partenaires)
Association « DMDS » (Wambrechies) : coordination, la mobilisation du réseau de professionnels et l’animation de certaines actions.
Association « INSIGHT et MOI » (Mouvaux) : accompagnement collectif lors des ateliers de développement personnel.
UTPAS : Diffuse l’information et oriente les publics
CCAS (suivi des personnes au RSA) : Diffuse l’information et oriente les publics
FCP (Club de prévention) : Diffuse l’information et oriente les publics.
PIJ (Point Information Jeunesse) : Diffuse et oriente les publics notamment (18-25 ans)
Autres partenaires des différentes actions : pôle emploi, Directeurs de service, Directeurs des ressources humaines etc…).l’association EVASION qui en charge de la mobilisation des partenaires professionnels de l’insertion professionnelle et du recrutement.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget global : 22738 €
Une subvention spécifique de la fondation orange de 16600 € (fonctionnement et investissement)
La Ville de La Madeleine : Prêt des locaux - 70% des salaires des permanents
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Les salariés de l'association : 2
les partenaires : 6
les bénévoles des ateliers : 5
les bénéficiaires du projet : entre 20 et 30 personnes
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
"Petits dej partenaires"
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL YVES AGOSTINI - Seine-et-Marne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Mixité sociale
- Résumé
L'équipe du Centre Social a mis en place tous les trimestres un temps de rencontres entre partenaires, professionnels, bénévoles. Articulé autour d'un petit déjeuner, un partenaire est invité à présenter sa structure, ses missions aux personnes présentes. Un temps d'échanges s'en suit.
Nos objectifs:
Créer un réseau de partenaires identifiés et identifiables par tous
Développer les relations entre les partenaires pour un meilleur service rendu à la population
Organiser un temps convivial de rencontres entre professionnels
Favoriser les passerelles entre les structures
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pour développer les liens entre les partenaires.
Créer un espace de rencontres et d'échanges, formels et informels
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
un petit déjeuner par trimestre - durée 1h30
en fonction de la thématique proposée, on invite les partenaires un mois avant par mail à y participer
partenaires: tous ceux qui gravitent autour du centre social.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
principalement du fongible et de l'alimentation. prévoir 100 euros par petit déjeuner en fonction du nombre de partenaires présents
Frais personnels non comptabilisés.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
en fonction des thèmes et de la période, le nombre de personnes peut varier.
En 2019, moyenne de 20 participants par petit déjeuner
- Résultat sur le territoire
Des passerelles se sont créées entre certaines structures qui jusque-là ne communiquaient pas entre elles.
Meilleure connaissance du territoire, de ses possibilités et des partenaires.
Attente des partenaires et des propositions de thèmes émis par eux
Elle induit une meilleure prise en charge des familles.
- Résultat pour le centre social
Meilleure connaissance du centre social: missions, fonctionnement, équipe (permanents, bénévoles, vacataires...).
Découverte et rencontre avec de nouveaux acteurs locaux.
- Résultat pour les habitants
Meilleure prise en charge des familles donc plus grande autonomie, moins sollicitations équipe...
- Suite de l'action : Limites
Trouver des thèmes correspondants aux attentes et aux besoins d’un maximum de partenaires.
Communiquer en amont sur la date pour favoriser la venue du plus grand nombre.
- Suite de l'action : Perspectives
Poursuite de l’action sur le même modèle.
Calendrier fixé au semestre.
Actions
Cantine solidaire "Si ma cantine m'était contée..."
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL LES IZARDS-BORDEROUGE - Haute-Garonne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Culture
- Mixité sociale
- Résumé
C'est un projet d'habitants que le centre social accompagne avec une association culturelle. L’insertion par l’activité économique (IAE) est au coeur de ce projet
« Si MA CANTINE m’était contée … » est un lieu de vie et de sociabilité, imaginé par les habitants et ses partenaires. C’est une cantine « éco-responsable » où l’on sert des repas peu chers mais de bonne qualité et équilibré. C’est également un endroit intergénérationnel et propice à la mixité sociale, à la rencontre. Ce projet a également pour objectif de créer de l’activité économique sur le quartier par l’emploi de personnes en insertion.
C’est espace qui renforce la vie de quartier en associant les associations, les acteurs sociaux, les collectivités locales en développant des évènements culturels ou projet de quartier. « Si ma cantine m’était contée … » est respectueuse de l’environnement dans un esprit de développement local et durable.
La cantine est un espace d’organisation et d’expression collective qui doit permettre à de nombreux projets de se construire de se réaliser et de se croiser. La cantine est un outil pour promouvoir, développer et soutenir les initiatives locales et leur autonomie.
Ce projet s’inscrit dans une démarche d’innovation sociale pour le quartier Izards/3cocus.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un habitant
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action émane de plusieurs constats : une difficulté de trouver des espaces de restauration avec un petit budget. En effet, une étude démontre qu’une personne qui souhaite consommer le midi un plat chaud, en étant à une table et sans dépenser plus de 8€ ne se voit proposer que les nombreux Macdonald et autres Fast-food. L’INSEE observe que la part des fast-foods dans l’ensemble de l’offre de restauration est la plus haute dans les quartiers prioritaires de la politique de la Ville, et de très loin. L’INSEE constate également que les quartiers prioritaires ont les offres commerciales les moins développées, et que les commerces favorisant la disponibilité de fruits et légumes frais y sont les moins nombreux. Il apparaît donc que les quartiers prioritaires de la politique de la Ville ont les environnements alimentaires les moins favorables à la santé. sur le quartier des Izards les 3 restaurant sont des fast-food et il n'y a qu'un seul commerce qui vend des fruits et légumes mais de qualité moindre.
De plus, il semble exister un lien entre l’organisation urbaine et commerciale et la santé. Ce lien se concrétise particulièrement autour des modes d’alimentation et les conséquences de ces choix sur des grandes pathologies comme le diabète et l’obésité, en particulier dans les quartiers qui abritent les populations les plus défavorisées.
Et enfin, la question de l'emploi des femmes est dans ce projet essentiel. Nous constatons que les femmes vivant dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville (QPV) subissent une double inégalité, à la fois territoriale et sexuée.
4 objectifs de ce projet :
-Favoriser l’insertion par l’économie des habitants avec une attention particulière pour les femmes du quartier politique de la ville Izards/3 cocus (valoriser l’estime de soi, un tremplin pour rentrer dans la vie active, valoriser leur savoir-faire).
-Proposer un lieu de rencontre pour les habitants, un espace pour faire ensemble, un coin dédié à la culture…
-Partager un projet avec les partenaires locaux pour dynamiser la vie de quartier
-Volet éco-responsable : Promouvoir une alimentation saine et durable en privilégiant les circuits courts et respectant la saisonnalité des produits.
Le centre social en lien avec l'association Tactikollectif se positionne sur l'accompagnement des habitants pour orienter le collectif vers un incibateur de projet "Première brique"
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
L'action a débutée en juin 2019. Les premiers contacts avec "Premières briques" ont eu lieu en janvier.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Pour le moment l'accompagnement n'a pas necessite de budget. Toutefois le projet cantine va nécessite un réèl travail de recherche de budget tant de droit commun qu'auprès des fondation.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
20 habitants et 2 professionnels.
- Résultat sur le territoire
Pour le moment un collectif d'habitants mobilisés et une dynamique partenariale qui se fédère.
- Résultat pour le centre social
Le centre social placé au centre de ce projet par l'accompagnement des habitants est reconnu comme un acteur essentiel pour les partenaires et les habitants.
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
La limite du centre social se pose sur l'accompagnement du montage de projet (financement, appel à projet, chantier d'inertion...). Notre objectif est de transférer l'accompagnement à "Première brique" incubateur de projet et rester positionnées sur la mobilisation des habitants et la dynamique partenariale.
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Education aux medias et à l'information
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIO-CULTUREL LA MAISON NOUVELLE - Nord
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Solidarité
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
-Mobiliser et développer les capacités des 11/15 ans à comprendre l’environnement numérique et à se l’approprier pour pouvoir à leur tour être producteur de contenus, de médias
-Construire une expression citoyenne critique, distanciée et partagée en développant le regard sur les médias et le monde : décrypter différentes sources d’informations afin de se forger une opinion critique et construire une expression collective argumentée (article, interviews reportage, témoignage émission radio, slogan…)
-Développer une méthodologie qui vise à accompagner et à construire l’exercice de cette expression
-Accompagner l’inclusion numérique des ados en proposant des parcours expérimentaux permettant aux jeunes engagés dans la démarche de rencontrer des professionnels du numérique, de visiter des lieux dédiés au numérique et de pratiquer/expérimenter
-Proposer par la médiation de l’image (photos, vidéos) et du son et donc l’utilisation de TIC un espace d’éducation aux médias par la réalisation de créations numériques
-Participer à des évènements locaux qui valorisent les jeunes et les inscrivent dans une dynamique de projet collectif (court métrage/vidéo mapping/story board-cinéma d’animation..)
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Précision ( si autre )
Un groupe de parents associé au colectif Quand Les Parents S'en Mêlent que nous animons à l'échelle du territoire
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Notre projet d’accompagnement jeunesse est guidée par des finalités éducatives, qui visent l’inclusion sociale et culturelle dans une démarche de concertation et de coopération avec les parents, les enseignants, les associations culturelles et sportives, les partenaires socio-éducatifs du territoire. Il s’agit à la fois de proposer et d'animer des espaces d'expression et de légitimisation, ouverts à l’autre, à l’ailleurs, adaptés à leurs besoins d’expression, d’engagement et d’autonomie, pour construire en même temps avec eux les conditions d’épanouissement de cette citoyenneté.
L'e-inclusion est un enjeu social qui traverse aujourd'hui de nombreux champs et l'éducation aux médias et à l'information est essentielle dans ce sens où elle doit permettre aux enfants et aux jeunes de se saisir des clés du monde numérique afin de comprendre et de participer en pleine conscience de leurs choix et de leurs évolutions et s'en servir de façon intuitive, comme outil éducatif par exemple plutôt que de le subir en se contentant de consommer ce qui est fait et décidé ailleurs.
Les jeunes de nos quartiers baignent dans un environnement numérique à travers les réseaux sociaux notamment mais ils n'appréhendent pas toujours cet univers comme un espace régi pas des règles, celles de la société non virtuelle. Les géants du Net visent à développer des comportements de consommation et peuvent représenter un réel danger quand les rapports entre les jeunes utilsateurs (mais pas que) ne sont ni accompagnés, ni encadrés. Etre en capacité de décryper l'information, de discerner les sources fiables des fake news, de protéger son identité numérique, d'adopter un comportement citoyen… ça s'apprend. C'est un frein qui devient un défi qu'il faut relever afin que les jeunes puissent se servir de façon intuitive de ce monde de l'information, comme outil éducatif par exemple plutôt que de le subir en se contentant de consommer ce qui leur est proposé sans discernement ou "mode d'emploi".
Mais si cet univers est semé de chemins à risque, il présente également d'infinies possibilités d'apprentissages et d'acquisitions de compétences. La technologie et les réseaux sociaux sont devenus indispensables à notre quotidien.
Les nouvelles générations très captives sont vulnérables mais elles développent également un potentiel numérique créatif et cette appétence naturelle est un vrai levier pour avancer sur un parcours d'éducation au numérique, avec la communauté éducative qui entoure l'enfant et le jeune, le parent occupant bien entendu une place centrale dans cet accompagnement.
Nous nous sommes saisis de cet enjeu depuis plusieurs années: labellisation Cyber centre par la Région dès 2000, élaboration d'un extranet collaboratif avec des structures d'éducation et d'insertion du Versant Nord Est, habilitation sur le dispositif timp@ss, ateliers d'initiation, de création numérique, parentalité, projet de sensiblisation au Lycée et au collège sur l'identité numérique, animation de TAP Medi@TIC, projet tous connectés jeunes-seniors retenu par le FDI (fonds d'innovation), ateliers d'insertion E-compétences, labelisation centres sociaux connectés….Nous avons ainsi développé des compétences internes et constitué un réseau solide de partenaires associés avec lesquels nous travaillons dans une dynamique de recherche/action et de développement. Issus du monde de la recherche, de l'enseignement, de la formation, des TIC, des médi@s, de l'associatif, de la culture, de la communication et des pédagogies innovantes, les professionnels et les organisations avec lesquels nous cheminons sont issus d'horizons divers et nous travaillons en regards et pratiques croisés à la mise en œuvre de l'inclusion numérique par:
- L'EMI: Education aux médias et à l'information
- La culture numérique: temps d'information et d'échanges thématiques
- L'accès aux droits et à l'information: dématérailisation des démarches administratives
- L'identité numérique: prévention et sensibilisation à la protection des données
- L'initiation aux outils: ateliers d'usage des TIC
- La pratique créative et artistique: Arts numériques et visuels (story board, MAO, Vidéo..)
- La communication: pour rendre visible et audible la parole et les initiatives des habitants (journal, blog, enregistrements radio..)
- La valorisation des parcours et des compétences: serious game, folio, quizz, tests…
- La pratique "makers": cooding, repairs cafés numériques
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
L'action a débuté en 2018. Elle est menée au sein de l'association et d'un collège.
Ce projet a été initié par le Collectif parentalité "Quand Les parents S'en Mêlent" regroupant à l'originedes partenaires institutionnels (Département du Nord,Service jeunesse municipal, des établissements scolaires, des parents, un CMP Adolescents, la clinique des adolescents. De là, des groupes de réflexion action ont été constitués: Résidence parentalité, PIA numérique, PIA jeunesse qui nous ont permis de travailler notamment avec la MEL, des centres sociaux connectés, la Fédération des centres sociaux, centres sociaux connectés, un laboratoire de recherche de l'Université de Lille 1.
Ainsi tout au long de l'année, ces groupes de concertation échangent, analysent, co-construisent, se forment pour mettre en oeuvre des projets d 'EMI dans une dynamique d'évaluation permanente pour rester au plus près des évolutions et des pratiques numériques pour accompagner des jeunes avec des outils éducatifs adaptés (rencontres mensuelles).
- Ressources financières mobilisées pour cette action
16000€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Si on ne tient compte que de l'animation de l'action:
12 professionels
4 bénévoles
12 parents
Mais cet enjeu mobilise plus largement à travers les réseaux décrtits plus haut dont nous sommes membres actifs et qui fédérent des initiatives sur le territoire de la MEL
- Résultat sur le territoire
Comme décrit ci-dessus, le travail en réseau a donné naissance depuis 2 ans à de nombreuses initiatives portées par des acteurs éducatifs jeunesse sur tout le territoire de la MEL
- Résultat pour le centre social
EMI (Education aux Médias et à l'Information) est un enjeu crutial en matière d'éducation et de parentalité. Ces actions nous permettent de développer de nombreux partenariats et d'accompagner ainsi de concert des jeunes et des parents.
- Résultat pour les habitants
L'e-inclusion dans une démarche d'appropriation citoyenne par la coopération, le sens et le maill'âges.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Contribuer à une recherche universitaire et transfrontallière à partir des travaux menés avec les jeunes.
Actions
Création du Club CPN (Connaitre & Protéger la Nature) Chouette & Chanterelle
- Structure organisatrice
- LA MAISONNEE ADMR - Loire
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Environnement
- Résumé
La création d'un club CPN a permis de mettre en oeuvre une action pour la connaissance ornithologique et la construction de mangeoires et de nichoirs sur le Pays de Belmont.
Ces objets en bois, confectionnés par les participants pour les oiseaux de nos villages, vont ensuite être distribués aux collectivités locales du territoire.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
‘’Promouvoir la culture de la nature, l'école buissonnière, autrement dit connaître la nature par la nature, dans la nature, pour mieux la protéger bien sûr ! ’’
Une finalité : développer des activités socioculturelles sur un territoire rural, pour favoriser le lien social et la solidarité, pour et par ses habitants.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Des actions sont en cours sur le Pays de Belmont.:
- Communales : comme à La Gresle devenue village d’accueil pour les hirondelles et martinets en partenariat avec la LPO - Intercommunales, avec la mise en œuvre d’un projet de connaissance de la forêt, auprès des écoles primaires
Dans cet élan, le comité de pilotage de notre EVS décide de rejoindre cette dynamique pour proposer des projets d’éducation ’’ verte et durable’’. C’est entre autre, la mise en place d’un club CPN qui est actée.
A savoir que depuis 2016, notre EVS organise sur l'ensemble des 9 communes du Pays de Belmont des sorties botaniques, pour découvrir la flore environnante et qu'un herbier numérique est en cours de réalisation. Ces sorties font partie d'un axe majeur de notre projet social sur : La découverte de la faune et de la flore du Pays de Belmont.
Février 2020 : Réunion de présentation auprès des habitants des 9 communes
Mars 2020 : Les premiers ateliers devant débuter sont repoussés en septembre, à cause de la pandémie.
Septembtre : Première sorties sur le terain...puis
la crise sanitaire nous obligeant à fermer notre structure fin octobre, l'action de création de mangeoires et nichoirs est reportée à l'année prochaine.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
4 628,00 €
Subventions:
- Nature & Découvertes : 1270 €
- Département : 250 €
- Commune : Prêt d"un local
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 animateur professionnel
1 salarié de l'EVS
- Résultat sur le territoire
Avec une meilleure connaissance de leur environnement, les habitants seront à même de mieux le préserver.
Le fait de donner des mangeoires à chaque collectivités locales, implique un suivit de la part des habitants, pour approvisionner celles-ci. Une participation active, pour une prise de conscience de chacun dans une action collective.
- Résultat pour le centre social
Cet atelier, ouvert à tous les publics, de 3 ans à 90 + ans, avec inclusion de personnes en situation de handicap grâce à un partenariat avec une structute locale, permet à notre EVS de rayonner sur les 9 communes du Pays de Belmont.
- Résultat pour les habitants
L'éducation et l'implication de chaque membre du Club dans la réalisation de cette action va engendrer de sa part, un autre regard sur son environnement.
Une meilleure compréhension pour un respect et une responsabilité de chacun face au monde végétal et animal.
- Suite de l'action : Limites
L'action n'ayant pu avoir lieu cet hivers, elle est reportée à l'automne 2021.
L'objectifs étant, entre autre, de donner la responsabilité aux habitants de chaque commune, d'oeuvrer pour la préservation des oiseaux de leur village, elle dépend de l'entousiasme de ceux ci à continuer à mener à bien ce que les membres du Club CPN auront initiés.
- Suite de l'action : Perspectives
La perspectice est bien sûr de continuer, avec les membres du Club CPN, l'entretien des mangeoires et des nichoirs mis en place sur chaque commune. Suivit, analyse de la fréquentation et répertoire des différentes espèces d'oiseaux.
Une réalisation de nichoir plus spécifique, pour une espèce particulière, peut être envisagée, afin de répondre, selon observation, à une demande précise d'un village.
Enfin l'échange avec les habitants des diverses communes, la création de lien, via une action en faveur de la préservation de l'environnement, peut devenir une action perenne.
Actions
Ateliers Anti-gaspi
- Structure organisatrice
- LA FERME DU PARC DES MEUNIERS - Val-de-Marne
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- développement durable
- Mixité sociale
- Résumé
- Un atelier de transport et de récupération des produits reliant un jeune-un habitant-un professionnel
- Un conditionnement pour une distribution solidaire avec les produits consommables sans intervention
- Une transformation culinaire des produits non consommables dans leur état de récupération (préparation de sauces tomates, de soupes, de confitures et autres…)
- Des ateliers de tris permettant aux jeunes avec l’appui des adultes de reconnaître les différents produits avant transformation (concombre, tomates, pêches…). Explication par les anciens de la partie consommable d’un fruit ou d’un légume pour ne pas le jeter systématiquement
- Référencement des produits pour définir les ateliers culinaires à venir
- Mise en œuvre des ateliers culinaires soit pour consommation en repas collectifs, soit conditionnement pour différentes utilisation (avec stérilisation) : paniers solidaires, vente à la boutique
- Les non consommables vont soit au compost soit pour la nourriture des animaux
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Nous pointons sur les jeunes que nous accueillons et certains adultes retraités ou non, une problématique pour les jeunes adultes en difficulté de précarité alimentaire doublée d'une culture de "malbouf". D'ici 2020 une prévision de 8 millions de départ en retraite auquel s'ajoute un volume de personnes quinquagénaire au chômage ou en invalidité (dispensées de recherche d'emploi). La prise de conscience planétaire du gaspillage alimentaire, 2,3 millions de tonnes de denrées alimentaires sont jetées par la grande et moyenne distribution. Le manque d'espaces de rencontre de partage entre jeunes adultes et retraités. Les jeunes adultes accueillis à l’EDI (Espace Dynamique d’Insertion) sont de plus en plus précarisés et confrontés à une malnutrition. Les personnes accueillies dans le cadre du RSA sont confrontées à la même problématique ainsi que les familles du secours populaire. Certains des habitants impliqués sur le projet de la ferme sont aussi en situation de précarité et de fait, dans l’impossibilité de se nourrir sainement. Une bonne partie de la génération des 30/45 ans est dépourvue de pratiques culinaires et est dépendante de l’industrie alimentaire. Par ailleurs, cette génération, parents des jeunes adultes accueillis à l’EDI développe peu les temps sociaux que représentent les repas familiaux. Nous observons une implication importante du groupe de retraités issu du papy/mamy boom et qui dispose encore de la mémoire et des savoirs faire culinaires autonomes.
Notre projet est innovant car il permet avec la récupération de fruits et légumes d'être dans une action de développement durable, d'anti-gaspillage en maillant des jeunes et des adultes en insertion professionnelle, des familles bénéficiaires du Secours Populaire de Villeneuve-le-Roi avec des meunières et des meuniers pour la plupart retraités en recherche de lien social.
Ce projet permet également de répondre à des besoins économiques avec le don de fruits et légumes qui permettent le partage dans les familles et l'économie d'environ 15€ par semaine sur le panier de course grâce à la récupération ce qui est signifiant pour les personnes impliquées.
Les repas partagés associés à ces journées sont des moments conviviaux qui permettent des échanges notamment autour de l'alimentation et des repas équilibrés. C'est également l'occasion d'échanger des recettes.
La conception des repas collectifs en fonction de la récupération des invendus de fruits et légumes se fait de manière collégiale entre les générations. Des jeunes en insertion professionnelle proposent régulièrement des plats typiques de leur pays ou fait par leurs grands-parents.
L'attention par chacun que tous repartent avec des dons de fruits et de légumes.
Comme le montre les repas du mercredi où chacun met la main à la pâte afin de préparer un repas avec les produits récupérés. Ce qui permet aux nouveaux Meuniers de mieux s’intégrer à la ferme , mais aussi aux personnes venant du secours populaire qui n’ont pas tous les jours l’occasion de partager un repas en collectifs ce qui apporte beaucoup en terme de lien social.
Ces ateliers valorisant « le faire et le vivre ensemble » se développent de la récupération des produits à leur consommation, en passant par le tri, la distribution, la transformation, sans oublier les modes d’organisation collectifs. Ces modes d’organisation collectifs s’appuient sur l’évaluation, les choix des menus ou des transformations, l’adaptation des outils d’évaluation, les logiques de tris, la réalisation des repas. Ces processus mettent en valeur les compétences sociales et individuelles des personnes (habitants bénévoles, jeunes en insertion), offrent un autre rapport à la société de consommation et développent une conscience solidaire éclairée.
L’action « anti-gaspi » est devenue l’un des points d’ancrage dans les temps sociaux de la ferme où des personnes se retrouvent dans la bonne humeur et où différentes générations partagent et apprennent ensemble autour de pratiques de lutte contre le gaspillage.
Notre action, de façon micro sociale répond à des questions de société : toute en créant du lien social entre les génération et un partage des savoirs, nous répondons à des questions de redistributions équitable, de dons alimentaires. Cette redistribution digne ouvre des voies économiques, sociales (boutique, économie vivrière, repas collectifs) tout en restant au service du bien commun.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
En partenariat avec le Leclerc d’Orly, nous récupérons de façon hebdomadaire, leurs invendus alimentaires pour les valoriser de façons suivantes :
- Un atelier de transport et de récupération des produits reliant un jeune-un habitant-un professionnel
- Un conditionnement pour une distribution solidaire avec les produits consommables sans intervention
- Une transformation culinaire des produits non consommables dans leur état de récupération (préparation de sauces tomates, de soupes, de confitures et autres…)
- Des ateliers de tris permettant aux jeunes avec l’appui des adultes de reconnaître les différents produits avant transformation (concombre, tomates, pêches…). Explication par les anciens de la partie consommable d’un fruit ou d’un légume pour ne pas le jeter systématiquement
- Référencement des produits pour définir les ateliers culinaires à venir
- Mise en œuvre des ateliers culinaires soit pour consommation en repas collectifs, soit conditionnement pour différentes utilisation (avec stérilisation) : paniers solidaires, vente à la boutique
- Les non consommables vont soit au compost soit pour la nourriture des animaux
-
Sur le panneau d’accueil à l’entrée de la Ferme est indiqué l’atelier anti-gaspi tous les mercredis à partir de 9h30. L’information de ce temps est relayé sur « le pense bête mensuel » et le bouche à oreille.
La participation des bénéficiaires au projet de la définition des objectifs à la réalisation et à l’évaluation du projet passe par les étapes suivantes :
- l’organisation d’un temps convivial le midi, qui favorise les échanges et la communication.
- prise de conscience du lien entre équilibre alimentaire/santé et les différentes formes de malnutrition
- réflexions sur les modes de consommations
- réappropriation de la mémoire familiale et d’une identité par des pratiques culinaires
- consolidation des liens avec les bénévoles
- prise de confiance en soi
- Ecriture d’un cahier de recettes avec les restes dans le lien intergénérationnel
- Mise en place d’un blog organisé en corrélation avec le chantier collectif qui réunit 30 à 50 bénévoles (parrains) et les jeunes adultes, cet atelier vise à :
- assurer la préparation du repas collectif du midi.
- mettre en situation d’apprentissage les jeunes adultes accompagnés par un groupe de retraités composé d’anciens professionnels de cuisine collective ou maîtrisant la cuisine familiale
- permettre le passage des savoir-faire
- initier et favoriser les relations interculturelles et intergénérationnelles
- aborder en situation les aspects de l’équilibre et de l’hygiène alimentaire
- faciliter l’expression sur la gestion budgétaire du quotidien
- sensibiliser, découvrir les métiers de bouche
- donner un sens et une continuité à la culture potagère
- mise en place régulière du groupe « évaluations des actions » qui vise le vécu, les modes d’organisation, les perspectives.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget prévisionnel du projet Structure porteuse : Ferme du Parc des Meuniers Intitulé de l'action : "Anti-Gaspi" CHARGES Montant PRODUITS Montant CHARGES DIRECTES AFFECTEES A L'ACTION 49 077,00 € RESSOURCES DIRECTES AFFECTEES A L'ACTION 49 077,00 € 60 - Achat 21 877,00 € 70 - Vente de produits finis, prestations de services, marchandises 8 677,00 € Prestations de services - € Achats matières et fournitures 21 877,00 € 74 - Subventions d’exploitation (1+2+3+4+5+6+7+8) (préciser si elles sont acquises) 40 400,00 € Autres fournitures - € 1 - ETAT dont (a+b+c+d) : 7 400,00 € - € 61 - Services extérieurs 5 400,00 € CAF 7 400,00 € Locations - € - € Entretien et réparation 4 900,00 € - € Assurance 300,00 € Maintenance (gaz, eau) 200,00 € 2 - REGION dont (e+f) : - € e - Crédits spécifiques "politique de la ville" (CUCS) - € 62 - Autres services extérieurs 800,00 € - € Rémunérations intermédiaires et honoraires Publicité, publication - € 3 - DEPARTEMENT (préciser le ou les service(s) sollicité(s) : - € Déplacements, missions 800,00 € Services bancaires, autres - € 4 - COMMUNAUTE D'AGGLOMERATION - € 63 - Impôts et taxes - € Impôts et taxes sur rémunération - € 5 - COMMUNE (préciser le ou les service(s) sollicité(s) : - € Autres impôts et taxes - € 64 - Charges de personnel 21 000,00 € 6 - ORGANISMES SOCIAUX / ETABLISSEMENTS PUBLICS - € Rémunération des personnels 12 180,00 € Charges sociales 8 820,00 € Autres charges de personnel - € 7- FONDS EUROPEENS - € 65 - Autres charges de gestion courante - € 8 - AIDES PRIVEES (faire apparaître Fondation Macif) 33 000,00 € 66 - Charges financières - € prix fondation AG2R 10 000,00 € fondation MACIF 20 000,00 € 67 - Charges exceptionnelles - € fondation Crédit Coopératif 3 000,00 € 75 - Autres produits de gestion courante (dont cotisations, dons, legs) - € 68 - Dotation aux amortissements - € 76 - Produits financiers - € 78 - Reprises sur amortissements et provisions - € TOTAL DES CHARGES 49 077,00 € TOTAL DES PRODUITS 49 077,00 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- 10 meuniers/meunières mettant à disposition leurs savoirs dans ce projet
- Création d’un mi-temps dédié à la démarche globale « anti gaspi »et précarité alimentaire
- Un temps d’accompagnement global des professionnels de l’Espace Dynamique d’Insertion
A ce jour, en moyenne 13 personnes participent chaque semaine à l’anti-gaspi
- Présence de chacun à la réalisation de l’action sans évaluation
- Résultat sur le territoire
- Developpement durable
- lien avec entreprise et territoire
- partenariat avec des associations et institutions adhérentes à la ferme (Secours Populaire de Villeneuve-le-Roi, ETAI de Choisy-le-Roi...)
- Résultat pour le centre social
- plus de lien social entre les habitants
- la réalisation des repas conviviaux avec les invendus
- le don pour les habitants et les jeunes de l'EDI
- le nourrisage des animaux
- Résultat pour les habitants
Et surtout les habitants et les jeunes, ci-joints les témoignages :
Pour Rosa une meunière qui aime s’occuper du potager, l’anti-gaspi : « ça fait des économies, ça rend service, on se sent utile, on évite le gaspillage ».
Boubou stagiaire à l’EDI, qui a pour vocation de devenir boulanger, « c’est très bien, on rapporte des légumes gratuitement chez nous. J’aime bien participer à l’atelier »
Guy un ancien pâtissier et meunier depuis peu évoque « le plaisir d’échanger et de tenir compte des difficultés de chacun. »
Pour Isalys, stagiaire à l’EDI, l’anti-gaspi : « c’est bien, on recycle, on fait une bonne action ça me donne envie de faire du bénévolat »
Pour Carmen, meunière depuis la création de la ferme et initiatrice de l’action, « tout le monde se nourrit, on se sent plus utile »
Anthony un jeune intéressé par la menuiserie nous dit : « c’est sympa, on fait le tri le concept de récupération de fruits et légumes est super car on évite le gaspillage. L’ambiance est cool et on rit bien. »
Grâce meunière qui aime la cuisine et le jardin, dit : « tout le monde repart avec son sac, et les jeunes sont contents de profiter de cette action. Le fait que l’on fasse passer d’abord les jeunes lors de la distribution des fruits et légumes est important, car certains n’ont pas les moyens de s’en acheter. »
Pour Amir jeune de l’EDI : « c’est une bonne action, et en plus c’est bon pour la santé »
Madeleine meunière et passionnée de peinture « trouve ça bien le recyclage des légumes, cela fait du bien d’être en collectif c’est bonne initiative ».
Trystan un stagiaire de l’EDI qui souhaiterait devenir agriculteur raconte que « c’est bien ce que l’on fait, ça évite le gaspillage et en plus on peut récupérer des fruits et légumes. Il y a une bonne organisation et tout le monde s’entend bien »
Pour Pierre meunier le plus important « c’est de « sauver » les aliments en soulignant l’importance de la lutte contre le gaspillage » et qu’ «il est heureux d’être en groupe et de se retrouver pour bavarder »
Aurore Stagiaire à l’EDI pointe qu’«en plus les légumes sont en bon état, ça nous permet de faire des recettes maison »
A travers tous ces témoignages ce sont souvent les mêmes vécus qui s’expriment : le partage, la convivialité, l’entraide.
Cela montre à quel point chaque génération peut être sensible à la lutte contre le gaspillage, et le plaisir que prend chacun et chacune à contribuer à cette action.
Tout le monde y trouve sa place mettant en valeur les uns et les autres
- Suite de l'action : Limites
Les principales difficultés sont d’ordre matériel :
- Aménagement, rénovation de la boutique qui permet la vente des produits transformés dans le cadre de l’anti gaspi à nos adhérents
- Travaux d’amélioration dans notre cuisine (la marche en avant)
- Suite de l'action : Perspectives
Reprise de cette action tous les mercredis, en fonction des mesures sanitaires.
Actions
M@m@ns digitales
- Structure organisatrice
- Maison de Quartier Centre-Ville de Valenciennes - Nord
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Une action terminée : annuelle et... reconductible
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Culture
- Intégration
- Résumé
M@m@ns digitales : un parcours collectif pour une montée en compétence numérique, soutenue par la Fondation Orange, avec certification du parcours de 10 mois à raison de 2h / semaine. L'employabilité, l'entraide et l'estime de soi sont les objectifs de cette action. S'y rajoute une dimension de parentalité numérique, pour apprendre à rester en veille sur les parcours des enfants.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Autre
- Précision ( si autre )
Fondation Orange
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
M@m@ns digitales : un parcours collectif pour une montée en compétence numérique, soutenue par la Fondation Orange, avec certification du parcours de 10 mois à raison de 2h / semaine. L'employabilité, l'entraide et l'estime de soi sont les objectifs de cette action. S'y rajoute une dimension de parentalité numérique, pour apprendre à rester en veille sur les parcours des enfants.
Bel exemple d'un atelier créant petit à petit l'interconnaissance, la création de liens, l'entraide, en même temps que l'obtention de compétences entrant dans l'univers numérique.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Action annuelle octobre 2020 / juin 2021, elle prend la forme d'un atelier hebdomadaire pour appréhender les outils numériques (tablettes / pc) et savoir, outre leur utilisation, acquérir les savoirs de base pour améliorer l'employabilité et la parentalité, obtenir une certification attestant de la montée en compétences sur les 3 phases de progression. Entre les ateliers, l'intervention d'un arthérapeute permet de retravailler la confiance et l'estime de soi.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
6 000 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
la médiatrice numérique
la référente familles
les bénévoles de la Fondation Orange Solidarité
- Résultat sur le territoire
L'atelier est limité à 8 personnes pour l'accès aux postes, mais cette action sera reconduite, ce sont donc 8 mamans chaque année qui ont, la plupart pour la 1ère fois, découvert et appris à utiliser les outils numériques, au profit de leur recherche d'emploi, de leur parentalité, de leurs liens familiaux.
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
MUSECOLO EPHEMERE PEI
- Structure organisatrice
- ASSOCIATION DE QUARTIER LA CHAUMIERE 974 - La Réunion
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Cette action a été mise en place conformément à l'appel à projet de la Fondation pour la Mémoire de l'Esclavage et avec le désir des enfants à la réaliser. Les impératifs de délai exigeaient une action menée et révolue en 2021.
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Intégration
- Résumé
Coupler la réalisation de divers ateliers (citoyenneté, culturel, nature, historique, etc.) au local et les sorties extérieures (musées, cité des arts, résidence d'artiste au brûlé, etc.) pour faire ressortir la vision qu'on les enfants du quartier concernant l'esclavage. Deux rendez-vous par semaine : les mercredis et les samedis après-midi. Un moment pour découvrir l'art, la culture, l'histoire de l'esclavage et sa place dans la construction de notre société, l'importance des valeurs de la république et s'écouter pour faire ressortir des émotions. Le dévoloppement d'une nouvelle approche interculturelle et inclusivee, qui favorise l'intégration des jeunes du quartier à l'hétéroclisme de la société réunionnaise et de la France en général.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place pour permettre aux jeunes du quartier de La Chaumière d'avoir un autre regard sur la violence, grâce à une éducation accentuée sur l'importance de l'empathie et du vivre ensemble. Tout en comprenant ce qu'ont pu vivre les esclaves à l'époque.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
- La réalisation d'ateliers et de sorties du 15 avril au 1 décembre pour préparer les pièces de l'exposition éphémère.
- Une exposition à la Médiathèque François Mitterand tout le mois de décembre, pendant le mois des mémoires de l'esclavage. Une restitution avec les enfants qui expliquent leurs oeuvres et ce qu'ils ont appris de l'esclavage à La Réunion.
Lien vers la présentation de l'action
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- 6 000 € de subventions de la Politique de la Ville de Saint Denis
- 5 600 € de subventions de la CAF au titre de son Espace de Vie Sociale
- 4 000 € de financement par la Fondation pour la Mémoire de l'Esclavage
- 2 200 € de la subvention de la Ville de Saint-Denis sur son programme "Enfance Jeunesse"
- Les dépenses : financement des intervenants culture, du matériel et de prestataire de service
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- 4 encadrants bénévoles
- 1 prestataire de service pour le pilotage du projet
- 6 intervenants extérieurs
- Résultat sur le territoire
- Moins de violence entre les enfants (plus de grosses bagarres par une meilleure connaissance des uns et des autres)
- Le respect du temps de parole de chacun (l'envie d'écouter l'autre)
- Une autre manière de montrer son désaccord (explication, dessin, scène de théâtre, métaphore)
- Les enfants comprennet quand les adultes demandent le silence, ce qui n'était pas le cas auparavant (effet des ateliers musciaux et des visionnage de documentaire
- Résultat pour le centre social
- Des enfants plus calmes et attentifs lors des aides aux devoirs et soutiens scolaires
- Des enfants plus créatifs
- Une ambiance joviale, conviviale et un meilleur rapport intergénérationnel
- Des jeunes (16-20 ans) qui veulent s'investir bénévolement à l'encadrement des plus petits
- Résultat pour les habitants
- Quartier plus calme
- Échanges interculturels plus simples
- Patience et écoute des enfants quand on leur explique pourquoi en pas faire certaine choses (crier, taper contre le mur avec un ballon de foot, etc.)
- Meilleur respect de voisinage
- Entente des parents graçe aux fin de querrelage entre les enfants
- Suite de l'action : Limites
- Pour qu'il soit mené de façon optimal, le projet était évalué à 40 000 €
- Il a pu être réalisé graçe à l'implication bénévole de la médiatrice interculturelle
- Difficulté de mobilisation de publics jeunes des camélias par la mairie qui n'a pas permis de faire renconter les jeunes des quartiers en prévision de mésentente redondante entre ces deux quartiers
- Suite de l'action : Perspectives
Lien vers la présentation de l'action
- Réitérer un projet phare annuel orienté culture, citoyenneté et tolérance
- En 2022, nous menons l'ARC-EN-CIEL AUX PAPILLONS, on postera sa fiche ici en 2023
Actions
Les Paumes Vertes, un réseau d'habitants éco-responsables
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIO-CULTUREL LA MAISON NOUVELLE - Nord
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- développement durable
- Mixité sociale
- Résumé
Les Paumes Vertes est un réseau solidaire éco-citoyen au sein duquel chacunE peut réaliser sa part en terme de démarche éco-responsable en fonctions de ses envies, ses aspirations et de ses disponibilités: organiser la distribution de paniers de légumes (point relai), participer aux activités liées au jardin comestible (pépinière de semis, transmission auprès des plus jeunes, plantations, entretien), préparer et animer des apéros potager, participer aux samedis Repair Café, permettre le développement des actions zéro déchet (sensibilisation, animation et entretien du compost collectif, co-animer les ateliers cuisine Biocabas et Jardin de Cocagne), organiser la fête des initiatives vertes (rencontre printannières des initiatives vertes locales animée par La Maison Nouvelle et ses partenaires DD associés), et toute autre initiative participant au développant de l'eco-attitude.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Fin 2019, un groupe de travail composé d'habitants, de bénévoles et de professionnels s'est interrogé sur l'engagement citoyen et son expression. En 2020, durant le confinement, un questionnaire est soumis en ligne auprès d'un large public (de 18 à 80 ans). Plus de 200 réponses et une orientation qui s'en dégage: l'écocitoyenneté et la solidarité sont des leviers porteurs de l'envie d'agir ensemble. Pour autant, ces envies d'engagement sont corrélées à de nouvelles formes de disponibilités qui s'inscrivent dans une temporalité différente chez les 18-45 ans. Il nous faut tenir compte des nouveaux modes de vie et aspirations mais aussi du temps disponible de chacunE qui se situe dans la flexibilité et non dans la régularité. Un capital temps qui demande à se mettre au service d'une action collective, citoyenne et solidaire mais à condition de pouvoir l'offrir librement.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Action qui a pris naissance en 2018 quand des habitants au sein de La Maison Nouvelle ont fait sortir de terre un jardin potager pédagogique pour tous, qui s'est développé avec l'émanation du collectif les Initiatives vertes (groupe de formation-action à l'origine) composé d'habitants, d'associations locales oeuvrant sur le champ du DD (Les Anges Gardins, les Bio en Haut de France), d'établissements scolaires (école et collège de proximité), du service jeunesse de la ville et qui a pris son envol en 2020.
Plus de 80 personnes sont aujourd'hui mobilisées sur ces actions de solidarité éco-citoyennes qui représentent près de 90 temps d'accueil sur l'année.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Habitants: 47
Partenaires associés: 9 structures soit 15 membres
Bénévoles de l'association: 12
Salariés: 6
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
De la plume au clavier
- Structure organisatrice
- ASSOCIATION FEMME EN LANGUEDOC ROUSSILLON - Hérault
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Précarité
- Intégration
- Mixité sociale
- Résumé
Il s'agit d'une action permettant d'accompagner tout public intra-muros et dans l'espace public grace à un triporteur aménagé, dans tous les domaines de la vie quotidienne. Nous accueillons de façon inconditionnelle les habitants, les passants et menons des actions d'informations, de conseils, d'orientations et/ou d'accompagnement à l'accès aux Droits pour tous. Nous visons tout public et les publics dits "invisibles".
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Autre
- Précision ( si autre )
C'est l'Espace de vie sociale Femmes en Languedoc Roussillon qui a répondu à un appel à candidature et qui a été retenu parmi les 30 guitounes de métropoles à avoir été selectionnées en 2021.
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L'action de la plume au clavier tient compte de l'évolution du numérique dans la société et de la fracture qu'elle entraine. Ainsi elle favorise la prise en main des outils informatiques et l'accès aux informations et aux droits des personnes. Aussi, elle cherche à "aller vers" grace à la guitoune, afin de lutter contre le non-recours.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Cette action remplace l'action "Ecrivain public, médiation sociale" et axe davantage les résultats sur l'utilisation du numérique pour l'accès aux droits. Aussi, une nouvelle branche de cette action s'est développée cette année. Elle a démarré il y a peu, grace à 2COPIL organisés avec de nombreux partenaires afin de cosonstruire le projet.
Des sorties en guitounes sont réalisées avec les partenaires : les premiers ont été le STS de Frontignan et la MLI de Frontignan.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
72 373€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Les 4 salariées sont mobilisées ainsi que une bénévole pour le moment + de nombreux partenaires.
- Résultat sur le territoire
Permet l'accessibilité toutes informations, le repérage d'un lieu d'accueil pour tous itinérent qui prone la convivialité, l'écoute et l'empathie.
- Résultat pour le centre social
Permet une mise en veille plus régulière grace aux copil et une meilleure connaissance des partenaires. Cette nouvelle branche de l'action favorise une nouvelle méthode d' "aller-vers" et permet aux habitants de se saisir de l'outil car il est possible de proposer toute action/projet citoyen à la guitoune.
- Résultat pour les habitants
Ne pas toujours avoir à frapper aux portes des institutions. Etre en extérieur. Avoir un accueil de rue chaleureux. Permettre à ceux qui ont des difficultés à se rendre dans les institutions à accéder à leur droits et à l'information malgré tout.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives