Les actions des centres sociaux
Actions
CHANTIER ADOS
- Structure organisatrice
- CAP'GRAY - Haute-Saône
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
C'était une action précise et ponctuelle
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Mixité sociale
- Résumé
Avant le début des vacances d'été, l'équipe d'animationet un groupe de jeunes adolescents impliqués dans la vie du centre ont décidé de rénover une grande partie des locaux intérieur de Cap'Gray pour les plus petits qui fréquentent notre structure. Pour cela, nous avons répondu à un appel à projets de la DDCSPP qui nous fait confiance en finançant l'action.
A la fin du chantier, nous avons accompagné les jeunes au bowling afin de récompenser leur bénévolat.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pour apprendre aux jeunes à donner de leur temps pour les autres sans contre-partie
Valoriser le travail des ados sur le quartier
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
L'action s'est déroulé du 02 au 06 juillet 2018
Après un incendie des locaux, les adolescents du quartier sont venus spontanément apporter leur soutien en proposant leur aide.
Ils ont souhaité que les locaux soient propres et accueillant pour les plus petits.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
4322.00€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
6 jeunes et 2 animateurs
- Résultat sur le territoire
Ce chantier a mis en lumière l'investissement et le sérieux des adolescents pour mener à bien ces travaux.Cela leur a donné également le sens des responsabilités.
Le rendu final de ce chantier a été très apprécié de tous les usagers et habitants du quartier mais aussi du bassin Graylois
- Résultat pour le centre social
Une continuité dans notre projet du Vivre ensemble avec la mixité des habitants
- Résultat pour les habitants
Les habitants ont pû se rendre compte de l'importance qu'avait le centre social pour les jeunes qui sont passés étant petits
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Chantier d'insertion :" T'Lien3"
- Structure organisatrice
- Centre Social "VILLE PLURIELLE" Place Neruda Allende - Meurthe-et-Moselle
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- Résumé
Le chantier d'insertion T'Lien 3 propose 3 pôles surpports (Pôle autour du linge, Pôle entretien en collectivité et Pôle épicerie sociale) pour permettre à un public rencontrant des difficultés socioprofessionnelles, mais motivé dans sa volonté d'aller vers l'emploi de dépasser ses freins et d'acquérir une palette de compétences transférables sur un projet professionnel validé. Un accompagnement technique et socio professionnel adaptés autour qu'un réseau de partenaires permettent de traiter les problématiques globalement. Il accueille 12 salariés en insertion
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le Centre Social Ville Plurielle s’inscrit depuis de nombreuses années dans une politique d’insertion sociale. A l’écoute du public féminin dans le cadre des ateliers « Point Femmes » (fonctionnant depuis octobre 1995), nous avons très vite été sensibilisés aux difficultés d’accès à l’emploi liées au marché du travail sur le secteur pour une part, mais aussi aux nombreux obstacles personnels qui tiennent les intéressées très éloignées de la réalité du travail.
Plusieurs réflexions poussées et différentes propositions innovantes s’appuyant sur un partenariat d’acteurs locaux n’ont pas aboutit. Cependant l’association à continué de se développer : l’évolution du vestiaire social avec l’acquisition de nouveaux locaux, l’ouverture en juin 2013 d’une « boutique sociale », la mise en place d’un Dispositif Local d’Accompagnement autour de la création d’une épicerie sociale et solidaire nous ont amené à la proposition d’un nouveau projet ACI.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Validé par la DIRECCTE (Direction Régionale des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l'Emploi), le projet a démarré au 1er octobre 2015, avec le recrutement d’un accompagnateur socioprofessionnel et la mise en place de l’Atelier Chantier d’Insertion (ACI) T’Lien3 qui a pour support d'apprentissage 3 pôles :
Un pôle autour du linge (récupération, tri, entretien et vente.
Un pôle autour de l’entretien (en collectivité, petites réparations),
Un pôle autour d’une épicerie sociale (récupération de marchandise, gestion de stocks, mise en rayons, vente). Les salariés en insertion découvrent ces différents terrains d'apprentissages et développent des savoir-faire et savoir-être indispensables pour envisager l'accès à l'emploi.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget global : 372100€
Subventions : 214650€ (Villes : 37250€ / Conseil départemental : 26200€ / Etat :136200 / CAF : 10000 / ANDES : 5000)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Pour 12 salariés en Insertion
Secrétariat : 0,06 ETP
Compta : 0,09 ETP
Directeur : 0,06 ETP
Chef de Service : 0,18 ETP
Encadrement technique 3 personnes : Linge/Epicerie : 0,6 ETP /Entretien en collectivité : 0,5/ Epicerie : 0,3
Accompagnement socio professionnel 1 personne : 0,42
Bénévolat : 4 personnes : 0,40 ETP
- Résultat sur le territoire
Dynamique locale
Développement de l'emploi
Développement d'un partenariat avec les entreprises et les collectivités
Echanges de pratiques et mutualisation de formations entre SIAE
- Résultat pour le centre social
Développement de l'emploi
Evolution dans l'organisation du service
Développement des compétences
- Résultat pour les habitants
Lien social,
Accès à tous à la boutique des Solidarités (vêtements vendus entre 1,2 et 3,2 euros)
+Possibilité de s'impliquer dans une action solidaire (en faisant don des vêtements ne servant plus),ce qui permet le fonctionnement des postes autour du linge et donc la formation et l'accompagnement des personnes en insertion.
+ Impact sur l'environnement : Limitation des déchets grâce au recyclage et la valorisation des déchets (confection de chiffon)
- Suite de l'action : Limites
Les résultats de l'action en matière de travail dépendent beaucoup de l'offre d'emploi et des employeurs prêts à s'investir. Certain public bien que motivé est parfois très éloigné et ne parvient pas malgré l'accompagnement dispensé à développer toutes les compétences nécessaires pour décrocher la formation ou l' emploi espéré, cependant, nous faisons le choix d'accueillir aussi ces personnes pour qui le chantier peut apporter du lien social et une valorisation précieuse.
- Suite de l'action : Perspectives
Le chantier d'insertion est encore jeune, nous souhaitons bien sûr maintenir et développer les activités autour des différents pôles, élargir le réseau de partenaires, mais aussi affiner son fonctionnement global et les compétences de chacun afin de répondre toujours plus efficacement au besoin du public.
Actions
Chantier d'insertion "Entreprise Ecole"
- Structure organisatrice
- Maison de Quartier de Port Neuf / Centre Social Jean Benoit - Charente-Maritime
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Entrepreneuriat social
- Résumé
L'"Entreprise Ecole" est un chantier d'insertion en direction des jeunes de 18 à 25 ans uniquement issus principalement des quartiers prioritaires . Ce chantier avec comme support différents activités( réparation de bateaux, travaux du bâtiments, actions dans l'environnement) a été mis en place afin de permettre à des jeunes très souvent sans qualifications d'accéder à un premier emploi. Mais le but principal du chantier en dehors de l'aquisition de certain savoir faire et de comprendre et d'aquérir les savoir être indispensable dans une situation de salarié en entreprise. Nous nous sommes aperçu que bon nombre de jeunes n'avais aucune idée de ce que pouvait être les règles et le comportement en entreprise. D'où la mise en place de ce chantier.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pour permettre à des jeunes issus des quartiers prioritaires de se confronter dans une situation de salarié a l'apprentissage du comportement en entreprise
- Public
- Jeunes adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Nous avons travaillé au départ avec la Mission Locale en 2011
Puis nous avons travaillé avec les différents partenaires Etat CDA Pole Emploi Mission locale club d'entreprises du territoire afin de faire passer le projet en CDIAE et pouvoir bénéficier de l'agrément des chantiers d'insertion.
Puis Nous avons débuté les recrutements des jeunes avec deux règles
1) Que celui-ci ou celle-ci soit motivé pour travailler
2) Qu'ils aient un projet professionnel même si celui-ci n'est pas en rapport avec le travail proposé.
Puis nous avons proposé des contrats de travail sur 24h hebdomadaire du :
Lundi au jeudi de 8h à 13h et le Vendredi de 8h à 12h.
L'équipe d'encadrement était formé de deux accompagnateurs techniques et d'un accompagnateur sociopro, présent en permanence dans le réglement au quotidien des freins et problèmes autant liés au travail qu'à la vie quotidienne.
Cette action concerne 14 jeunes tout au long de l'année et a pour objectif que 50% de ces jeunes quittent le chantier soit:
En apprentissage, en contrat de pro, en formation diplomante, en CDD de plus de 6 mois en CDI ou retourne faire des études.
Régulièrement des points collectifs ou individuelles sont réalisés avec l'ensemble de l'équipe et les partenaires.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Produit liés a l'activité: 47 500
Etat ACSE: 15 000
Emplois aidés: 88 500
FSE: 66 000
Cucs CDA: 15 000
Budget Total: 232 000
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 professionnels et 5 bénévoles
- Résultat sur le territoire
C'est la seule action sur le territoire qui permet à des jeunes sans qualification de trouver un premier travail et de faire un parcours accompagné
- Résultat pour le centre social
C'est notre réponse aux jeunes de plus de 18 ans. Nous ne voulions pas être dans des réponses d'accompagnement sans issus et nous ne voulions pas non plus être dans des réponses autour des loisirs.
Une grande fierté de la part des administrateurs.
Une dynamisation générale de l'équipe.
- Résultat pour les habitants
Un espoir pour leurs jeunes au chomage ou sans emploi et des perspectives.
- Suite de l'action : Limites
Nous avons travaillé durant l'année 2015 au transfert du chantier vers un partenaire ne portant que ce type de structure et d'action et de travailler par la suite en partenariat étroit car si nous sommes à l'origine et à la création de cette action nous n'avons pas obligatoirement mission pour la péréniser au sein du centre social. C'est quand même un travail très lourd.
- Suite de l'action : Perspectives
Cessions des chantiers à une autre Association.
Actions
CHANTIER DE JEUNES INTERNATIONAL
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL DU CHEMILLOIS - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Résumé
Les chantiers de jeunes internationaux se posent comme un moyen d'action pour la mise en oeuvre de 3 objectifs éducatifs définis par notre structure :
. Encourager et valoriser l'intérêt des jeunes, leurs actions et leur implication dans l'animation de la vie locale
. Proposer des activités et des modalités d'animation qui permettent aux jeunes participants de se découvrir, de se dépasser, de développer des compétences personnelles. Proposer des activités et des modalités d'animation qui permettent aux jeunes participants d'apprendre des autres, d'être enrichis par de nouvelles expériences, de développer des compétences relationnelles
Les jeunes seront amenés à participer à la réalisation de travaux sur la commune d'accueil déléguée. Nous veillerons à inciter les communes à exploiter la créativité des jeunes : fresque, sculpture... ou à faire découvrir un lieu inédit de la commune (lavoir, fontaine...).
L'accueil de jeunes internationaux sur les chantiers pemet de travailler sur le regard qu'ont les jeunes locaux sur leur territoire. Ils sont amenés à accueillir les jeunes étrangers en prenant en compte les ressources de leurs lieux de vie.
Une attention particulière est portée à l'apprentissage de techniques de travail, notamment autour du travail manuel. La valorisation des réalisations des jeunes est un axe important du projet.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place pour :
. répondre à la diminution des travaux estivaux proposés aux jeunes du Chemillois
. développer la participation des jeunes à la vie locale
. impliquer des habitants dans une relation d'accompagnement avec des jeunes
Nous souhaitons modifier le regard des habitants autour de la jeunesse et favoriser la cohésion sociale.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
L'action a été réfléchie au sein de la commission jeunesse du Centre Social. Pour chaque chantier, un groupe de travail se met en place et réfléchit à l'organisation du chantier de jeunes. Cinq à dix personnes font partie de la commission.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Un chantier de jeunes bénévoles représente un budget d'environ 10 000 €.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Chaque chantier mobilise une vingtaine de personnes pour sa mise en oeuvre.
- Résultat sur le territoire
- Amélioration des lieux de vie des habitants
- Développement du lien entre les générations
- Valorisation des jeunes au sein des communes
- Résultat pour le centre social
- Valorisation des jeunes au sein de la commune déléguée
- Développement de la participation des jeunes au sein de la structure
- Valorisation de l'image de l'association Centre Social auprès des habitants
- Résultat pour les habitants
- Temps fort au cours de la période estivale "il se passe quelque chose"
- Création de liens avec des jeunes
- Valorisation de son lieu de vie dans la presse locale, le bulletin communal
- Suite de l'action : Limites
- Poursuite des financements par les pouvoirs publics ? Les négociations sont en cours mais la part de participation du Conseil Régional et de la Direction Régionale de la Jeunesse et des Sports se réduisent très progressivement.
- Capacité des élus locaux à trouver des idées innovantes de chantiers de jeunes bénévoles
- Suite de l'action : Perspectives
- Développement de 2 à 3 chantiers de jeunes internationaux par an au sein des communes déléguées de Chemillé-en-Anjou
- Inscripption des chantiers de jeunes dans une logique de participation citoyenne des jeunes au sein des communes
Actions
chantier éducatif
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL LUCIE AUBRAC - Vosges
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- discriminations
- Mixité sociale
- Résumé
L'action consiste à réaliser des chantiers, en commun avec les jeunes issus des deux quartiers prioritaires et de la ville. Ensemble les jeunes réalisent des travaux d'intérêt général pour promouvoir l'attractivité et embellir la ville, le quartier (exemples : entretiens d'espaces conviviaux, jardins partagés...) Sont associés à la démarche, les jeunes, les parents et les habitants.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Précision ( si autre )
L'action est à l'initiative des deux centres sociaux de la ville.
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action aété mise en place suite aux constats suivants des partenaires locaux (travailleurs sociaux de terrain, bailleurs sociaux, éducateurs de rue..), des membres des conseils d'administration des associations co-gestionnaires des centres sociaux, des habitants :
- importance de favoriser la participation des habitants dans la vie de leur quartier, de leur ville
- les accueils de loisirs classiques ne répondant plus aux attentes de ces jeunes
- importance d'associer en amont les acteurs locaux du territoire (bailleurs sociaux, police municipale...)
- les jeunes adolescents, à partir de 12 ans, commettent déjà des actes d'incivilité (dégradations, vols) et les centres sociaux doivent agir en terme de prévention primaire en amont sur ce type de public
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
L'action a débutée en 2013 suite à des concertations entre les deux centre sociaux. Puis en 2014, en partenariat avec le service jeunesse de la ville.
Les aménagements publics ont, quand à eux ,été repérés lors des arpentages avec les habitants des quartiers, qui ont lieu dans le cadre de la gestion urbaine de proximité.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- 3 coordinateurs (1centre social L.Aubrac,1 centre social Saint Roch, 1 Service Jeunesse)
- 6 animateurs (2 par structures référentes)
- des technicines de la ville et des bailleurs sociaux
- des policiers municipaux
- les animateurs santé
- Résultat sur le territoire
-valorisation du travail des jeunes auprès de habitants
-respect des réalisations effectuées
-retour positif : paroles des animateurs, des jeunes, des parents,des habitants
- Résultat pour le centre social
- mutalisation des moyens avec les partenaires
- valorisation de l'action menée
- Résultat pour les habitants
- image positive du quartier
- valorisation du comportement des jeunes,meilleure image des jeunes
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
action renouvelée en 2016
Actions
Chantiers Ville Vie Vacances
- Structure organisatrice
- Maison Pour Tous De La Masse - Lot-et-Garonne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Solidarité
- Démocratie & citoyenneté
- Emploi, économie
- vacances / loisirs
- Mixité sociale
- Résumé
Le dispositif Ville Vie Vacances (VVV) est un dispositif "politique de la ville" porté par la municipalité et déployé sur le centre social Maison pour tous de La Masse. Ce dispositif constitue un axe fort de la politique jeunesse portée par le centre social sur son territoire d'intervention. A destination des 14-17 ans, issus prioritairement des quartiers politique de la ville, le dispositif permet une prise en charge éducative contribuant à la socialisation et à la prévention de la délinquance, pendant les vacances scolaires.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les axes structurants portés par le dispostif VVV consituent des priorités d'intervention à destination de la jeunesse définies dans le contrat de projet du centre social :
- contribuer à une éducation partagée,
- développer des actions à « contenu citoyen et civique »,
- favoriser l'insertion socio professionnelle et la découverte des métiers,- organiser des travaux d’utilité sociale,
- contribuer à l'amélioration du cadre de vie,- renforcer le lien social sur le territoire entre les jeunes et les habitants,
Les chantiers VVV organisés répondent autant d’un besoin éducatif identifié par la structure que d’un besoin manifesté par les publics de pouvoir contribuer positivement à l’aménagement de l’espace, à la réalisation de travaux ou d’actions à vocation collective et citoyenne. Il s’agit d’une action ayant fait l’objet de moyens supplémentaires, bien repéré et au travers de laquelle les jeunes mobilisent des ressources et mettent en œuvre des projets. Ces chantiers permettent la valorisation des jeunes au sein du quartier. Ils permettent également de confronter les jeunes aux notions de responsabilité en les positionnant dans des situations éducatives impliquant un niveau, de responsabilité relative. Les jeunes travaillent, avec des professionnels de différents corps de métier et signent un contrat d’engagement.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Les chantiers se déroulent sur une semaine de vacances scolaires. Ils se composent de matinées de citoyennes (production de biens ou de services), le reste du temps est consacré aux activités culturelles, sportives et de loisirs. Ces chantiers sont aussi l’occasion pour les jeunes de se confronter à leur première expérience professionnelle avec un dépôt de candidature accompagné d’un CV et d’une lettre de motivation. En 2019, 10 chantiers différents ont pu être proposés. La programmation des chantiers est annuelle et fait l'objet d'une réunion de présentation et d'échanges avec les jeunes et les partenaires du territoire. Au total 70 jeunes ont bénéficiés de cette action en 2019.
Un chantier supplémentaire en lien avec l'emploi et la découverte des entreprises est organisé pour les jeunes en décrochage scolaire. En co-animation avec la Mission Locale. Ce chantier organisé hors temps scolaire a permis à des jeunes de se raccrocher à des dispositifs de l'ETAT et/ou entrer dans des formations professionnelles.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget global 2019 : 22 475 €
Ce dispositif est largement soutenu par nos partenaires financiers : CAF 47, Etat et l’Agglomération d’Agen, qui contribuent à la prise en charge de la rémunération des jeunes et le paiement des charges (activités, matériels, transport…).
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Equipe du centre social :
- 1 référent jeunesse
- 2 animateurs jeunesse
- 1 animatrice insertion à l'emploi
Partenaires :
- Mission Locale
- Associations locales: Resto du coeur, Hangart, ALJIPA, Le Florida, La Sauvegarde...
- Service de la ville,
- EHPAD
- Prefecture,
- Police nationale
- Résultat sur le territoire
- valoristion de l'implication des jeunes sur leur territoire
- amélioration du cadre de vie
- développement de nouveaux partenariats
- Résultat pour le centre social
- engager des liens avec des nouveaux jeunes du territoire
- permettre un accompagnement éducatif global
- développer de nouveaux partenariats et renforcer une coordination éducative
- Résultat pour les habitants
- valorisation des parcours des jeunes
- amélioration du cadre de vie
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Suite aux différents bilans réalisés (en présence des jeunes bénéficiaires, de leur famille et des partenaires) le centre social souhaite pour les années à venir proposer des chantiers VVV parents/enfants. Le centre social souhaite développer de nouveaux partenaires et proposer, au regard des attentes des jeunes, de nouvelles thématiques de chantier VVV.
Actions
Chorale "Chœur de femme"
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL JEAN VILAR ANGERS - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- discriminations
- Résumé
La Chorale éphémère est née en août 2019, de la fructueuse collaboration entre le Centre Jean Vilar, l’association Femmes d’ici et d’ailleurs et l’artiste-intervenante Virginie Brébion (Les Boites sauvages). Le projet avait pour vocation, au départ, de rassembler des femmes de l’association et des femmes du quartier de la Roseraie pour 5 temps d’échanges et de chants.
il avait pour objet de permettre aux femmes de prendre du temps pour elle via un atelier alliant bien-être et chant, elles y ont trouvé un espace de parole sécurisant et libérateur ; cela leur a permis de rencontrer d’autres femmes ayant eu des parcours similaires aux leurs et de se retrouver pour porter des messages en matière d’égalité.
Elles ont grâce aux ateliers osés prendre la parole en public pour porter des messages en matières d’égalité homme / femme, pour participer à lutter contre les violences faites aux femmes, là où elles n’auraient pas osés le faire de manière individuelle.
La restitution des ateliers a eu lieu lors du Festival des Femmes (organisé par Femmes d’ici et d’ailleurs) les 27 et 28 septembre au Centre Jean Vilar.
Lors de la conception du projet, nous avions imaginé une restitution d’une vingtaine de minutes dans le hall. Finalement, la restitution a duré presque une heure, et a eu lieu dans la salle de spectacle du Centre devant un public de plus de 100 personnes.
Au regard du succès inattendu de la représentation, des énergies et de l’harmonie créées tout au long des mois de répétitions, les femmes du projet ont fait part de leur souhait de poursuivre l’aventure.
De nouvelles femmes se sont jointes au groupe de départ. Des associations partenaires sont également venues collaborer (SOS Femmes, Planning Familial, Choeur de meufs, CADA), créant de nouvelles synergies.
Mobilisation de différents acteurs sur le projet (SOS Femmes, CLCV, Planning Familial, Pôle Territorial, ASEA), volonté du collectif de porter une parole collective au-delà de la Roseraie...
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La poursuite de la « chorale éphémère » va permettre le développement de plusieurs objectifs :
- créer des liens entre femmes d’horizons très divers et promouvoir les valeurs de l’interculturalité, des bienfaits des échanges intergénérationnels et du bien-vivre ensemble (densifier les solidarités interculturelles et intergénérationnelles et lutter contre l’isolement)
- renforcer les collaborations entre associations de la ville autour de la question des violences faites aux femmes et de la promotion de l’égalité femmes-hommes (soutenir le tissu associatif)
- par le biais des temps d’échanges organisés lors des répétitions : améliorer l’accompagnement et la prévention des violences faites aux femmes, par le biais d’un autre support de libération de la parole (améliorer la prévention des violences intrafamiliales, des violences faites aux femmes et l’aide aux victimes)
- mettre en valeur des parcours de femmes de divers horizons
- favoriser le bien être de femmes grâce au chant, au travail sur l’acceptation de son corps, aux activités de maîtrise de leur voix ainsi que tous les bienfaits sur l’esprit générés par les ateliers
- favoriser l’égalité des chances en promouvant l’accès à la culture (lors des représentations)
- mettre en valeur l’égalité par des choix de chants engagés
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
La Chorale éphémère est née en août 2019, de la fructueuse collaboration entre le Centre Jean Vilar, l’association Femmes d’ici et d’ailleurs et l’artiste-intervenante Virginie Brébion (Les Boites sauvages).
3 mois de préparation à raison d'un atelier de 3h par semaine pour la préparations et les répetions
3 réprésentations :
Une representation (la restitution du projet) dans le cadre du festival des femmes portés par l'association femmes d'ici et d'ailleurs et le centre jean Vilar.
Une représentation (avec une mise en scène différente et de nouveaux chants) a été donnée dans le cadre de la journée « Agir ensemble pour l’égalité – prévenir les violences faites aux femmes » organisée le samedi 23 novembre 2019, conjointement organisée par le Centre Jean Vilar et l’association Femmes d’ici et d’ailleurs et SOS Femmes. Le succès fut également au rendez-vous (plus d’une centaine de personnes là encore), chargé d’émotions en raison des chants choisis et des thématiques abordées.
Une troisième représentation a eu lieu, cette fois-ci dans le cadre de la journée « Agir ensemble pour l’égalité- Les droits des femmes toute l’année », le samedi 7 mars, projet toujours porté par le Centre Jean Vilar, l’association Femmes d’ici et d’ailleurs, auxquels sont venus se joindre la CLCV et le Planning Familial).
Nous avons également eu la chance d’être suivies tout au long du projet en septembre 2019 par Thierry Charrier (Cinéma parlant), réalisateur d’un documentaire sur la chorale. Son travail a été projeté, entre autres, dans le cadre du Festival Premiers Plans.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget prévisionnel : 6000 €
% des differents postes de dépenses :
Achats : 15 %
Services exterieurs prestations de services : 60%
charges de personnels : 25%
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Le Coeur de femmes est, comme son nom l’indique, destiné à accompagner des femmes et à les faire travailler ensemble. A ce jour, 17 femmes ont participé au projet depuis sa création. Mais nous pouvons bien entendu envisager d’accueillir plus de femmes (notamment par le biais de nos partenaires comme le Planning Familial ou SOS Femmes). Nous n’avons pas de nombre « limite » d’inscrites. Chacune est la bienvenue si elle souhaite participer au projet et si elle adhère aux valeurs que nous souhaitons véhiculer.
Cette actyion est accompagnée par 4 bénévoles de l'association femmes d'ici et d'ailleurs et de la réferente famille du Centre social.
- Résultat sur le territoire
Le territoire concerné en premier lieu est le quartier de la Roseraie, le Centre Jean Vilar mobilisant les habitant-e-s du quartier sur les projets et l’association Femmes d’ici et d’ailleurs étant rattachée à ce quartier depuis sa création en 2009. Les effets au niveau territorial ont été très bénéfique notamment au niveau le l'implication et la participatiion d'un public nombreux aux differentes représentations. Emulation également au niveau de l'élargissement de la participation à d'autres associations du quartier.
- Résultat pour le centre social
Projet avec une forte émulation qui permet au CJV de poursuivre son action en matière d'égalité femme homme tout au long de l'année et de lutter contre toutes les formes de violences sexistes.
- Résultat pour les habitants
Au niveau qualitatif, il est difficile de quantifier les retombées immédiates ou à long terme d’un tel projet. Mais au regard de nos expériences passées, nous pouvons d’ores et déjà affirmer que pour chacune des femmes ayant participé (mais aussi pour de nombreuses personnes des publics présents et qui nous ont fait part de leurs émotions), les bienfaits sont sans mesure : revalorisation de l’estime de soi, libération de la parole, développement de la confiance en soi et du bien-être, sentiment d’appartenance à un groupe harmonieux qui lutte pour promouvoir des valeurs d’égalité et de Bien Vivre Ensemble.
Outre les échanges avec les femmes participantes, nous pouvons envisager des témoignages individuels.
- Suite de l'action : Limites
Nous ne voyons pas de limites à l'action !
- Suite de l'action : Perspectives
L’objectif à présent est de poursuivre cette belle aventure, en y associant de nouveaux partenaires, en en faisant bénéficier de plus en plus de femmes.
Premièrement parce que les femmes qui en ont bénéficié souhaitent poursuivre l’expérience et ouvrir le groupe à de nouvelles venues.
Ensuite parce qu’au regard de la situation sanitaire actuelle, nous pensons qu’il va être nécessaire de travailler sur les thématiques des violences faites aux femmes lorsque nous sortirons de cette crise (augmentation forte des violences domestiques lors de cette période de confinement estimée à 37%). Nous devrons alors mobiliser tous les moyens de lutte et de prévention possibles pour que les chiffres alarmants ne se réitèrent pas année après année.
Actions
citoyenneté et démocratie participative
- Structure organisatrice
- CS LA CASTELLANE - Bouches-du-Rhône
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- développement durable
- Résumé
Cette action permet aux habitants de se mobiliser de se concerter et d être impliqués sur des décisions au niveau local. Il s'agit à travers des instances de concertation et des ateliers ludiques de porter leur parole ( journal, clip...). Ainsi, les objectifs sont :
- Soutenir la démarche participative et démocratique locale
- Accompagner les habitants vers la citoyenneté
- Libérer la parole et construire des projets communs
Ainsi, plusieurs actions: - création d'un journal - création d'un clip - Fresque - visite des institutions - activités autour de la citoyenneté
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Il s'agit de permettre aux habitants de participer à des dynamiques de projet et d'être complétement intégré au diagnostic et aux méthodes d'élaboration projet. Cela permet d'avoir l'adhésion et de confronter les différents points de vue. Nous avons pu également constaté un enrichissement individuel et collectif par la découverte et l'acquisition de connaissances. l'exercice de la citoyenneté étant un fil conducteur dans la programmation.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Une campagne de communication (affichage et phoning) sur la cité a permis de drainer le plus grand nombre d'habitants sur des instances de concertation plénières et thématiques.
Au fur à mesure des instances, plusieurs constats ou problématiques ont été soulevées. De plus, ces temps collectifs ont permis de déterminer un programme sur lesquels les habitants étaient désireux de s'inscrire (visites, sorties et ateliers ludiques autour de la citoyenneté ). Ainsi, les différents groupes de travail ont planifiés des temps afin de travailler sur différents supports.
Ce travail a été également intéressant car il a permet d'associer beaucoup de partenaires en fonction des sensibilités ( institutionnels, rénovation urbaine, artistes, intervenants spécialisés).
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Ces actions ont été menées dans le cadre de financement des partenaires sur des dimensions de citoyenneté.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- directeur
- chef de projet
- responsable jeunesse
- coordinatrice familles
- 10 animateurs
- Résultat sur le territoire
Cette action a permis de mobiliser les habitants sur leurs problématiques locales et de contribuer à l'avancement des projets. De plus, l'organisation des instances en groupe de travail a permis de créer des liens et des solidarités entre les habitants et les différentes générations.
- Résultat pour le centre social
Ces actions ont permis une meilleure implication des habitants sur les projets et une meilleure structuration de la parole des habitants. De nouvelles dynamiques citoyennes ont également émergées ce qui permet de travailler de nuvelles actions.
- Résultat pour les habitants
- Acquisition de connaissance
- Prise d'initiatives et d'autonomie dans l'exercice de la citoyenneté
- Meilleure connaissance des dispositifs
- Suite de l'action : Limites
Ce travail nécessite un accompanement individuel et collectif approfondi compte tenu des enjeux qui touche le territoire.
- Suite de l'action : Perspectives
Il s'agit de poursuivre et d'approfondir ces démarches participatives tout en réféchissant aux modalités et aux nouvelles actions.
Actions
Collectif "Faites du Vivre Ensemble" - Fête de quartier St Jacques - Le Viguier
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ET CULTUREL JEAN-MONTSARRAT - Aude
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- Mixité sociale
- Résumé
Ce projet a été initié en juin 2017, suite à un petit déjeuner des acteurs du quartier St Jacques Le Viguier et la volonté commune de "faire ensemble" pour mieux se connaître. Ce projet est donc porté administrativement par le centre social Jean Montsarrat pour le compte d'un collectif où sont présents : 11Bouge, ALOGEA, l'Association Culturelle Arménienne, Association Cultuelle Musulmane du Viguier, La Boîte à Linge, le CADA, Carcassonne Viguier Futsal, le CHT (Centre d'Hébergement Temporaire), la CIMADE, CLCV, le Collège Alain, la Communauté Dominicaine de St Jacques, Le Conseil Citoyen, la crèche du Viguier, les Ecoles maternelles Ferry et Condorcet et les écoles élémentaires Ferry et Pagnol, Farandole, Gym Volontaire, Habitat Audois, les Jardins du Viguier, Les Petits Débrouillards, la Paroisse du Viguier , la Pastorale des Migrants, RCF Pays d'Aude, la Régie des Quartiers, Résidences Habitats Jeunes (ex FJT), Viguier Culture, Vivre Ensemble. Ce collectif est très largement complété par un groupe d'habitant(e)s réuni en "commission animation", qui ont proposé le contenu suivant pour cette journée festive en juin 2018 :
• Matinée organisation de tournois sportifs notamment de foot, pétanque, tir à l'arc, ...
• Repas de midi : grillades/sandwiches proposés par les associations du quartier.
• Après-midi animations qui ciblent un public "Familles" autour de 3 parcours thématiques : La découverte des différentes cultures du quartier, la migration (accueillir des migrants : une richesse), environnement et écocitoyenneté.
• Repas du soir avec des prestations de différentes origines à un tarif similaire. Exemples : paëlla, plats orientaux, plats africains.
• Soirée : Bal "occitano-oriental" organisé par 11Bouge dans le cadre de son projet "Arab'Oc".Plusieurs niveaux de bénéficiaires pour cette action :
- les acteurs du quartier avec qui il s'agit de retrouver des habitudes de travail communes, de refaire réseau.
- les habitant(e)s bénévoles, qui s'impliquent ou s'impliqueront dans l'organisation de la fête. A ce jour c'est un groupe d'une dizaine de mamans habitantes du Viguier et de St Jacques qui sont le plus investies. Mais, au fur et à mesure de l'avancée de la préparation du projet d'autres habitant(e)s nous rejoignent. Nous souhaitons ainsi impliquer les enfants via les écoles, les adolescents, d'autres familles, mamans et papas, représentant le plus possible la diaspora du quartier, les plus ancien(ne)s,... dans l'organisation matérielle et la tenue des animations. Pour ce faire l'ensemble des acteurs du collectif est mobilisé.
- les participant(e)s le jour J : nous visons un public familial, toutes générations confondues, habitant(e)s du quartier, mais également les familles extérieures au quartier. Les animations de l'ensemble de la journée sont prévues pour cibler enfants, parents et éventuels grands parents. Les parcours thématiques permettront aux "visiteurs" de découvrir le quartier autrement.
La fête a donc eut lieu le 16 juin 2018. Nous estimons le public de la fête à environ 2000 personnes avec une très bonne mixité de public "venus d'ailleurs" et d'habitants du quartier. L'esprit "fête de village" et l'organisation en parallèle de l'action "Arab'Oc" par l'association "11Bouge" ont permis cette mixité sociale et culturelle. Plus de 600 repas ont été servis. Présence d'une quinzaine de stands d'habitants venus partager leur culture d'origine et d'associations du quartier. Les animations proposées l'après-midi, la qualité du spectacle en soirée qui a su marier cultures occitane et maghrébine (Arab'Oc) ont attiré un public familial avec beaucoup d'enfants. Ces publics ont partagé repas, danses et musiques.
30 élèves de l'école élémentaire FERRY (et autant de la Calendreta) ainsi que 40 enfants du quartier fréquentant le CLAS ont pu se produire sur scène afin de présenter des créations musicales préparées pour l'occasion, en présence de leurs parents et parfois de leurs grands parents.Le collectif est en train de préparer la Fête 2019.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Pour répondre à une demande des habitants, pour se rencontrer, pour mieux se connaître, pour transmettre et favoriser l'intergénérationnel.
- Pour favoriser la prise de conscience d'une communauté de quartier et "casser" la frontière entre Le Viguier et St Jacques. Pour ouvrir le quartier sur l'extérieur et modifier son image.
- Pour mieux vivre ensemble, pour faire ensemble, pour faire avec les habitants et l'ensemble des acteurs du quartier ..
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
L'organisation de la fête de Quartier St Jacques Le Viguier, "Faites du Vivre Ensemble", a nécessité la tenue de 6 Comités de pilotage (dont 1 de bilan), 5 comités d'animations et 2 comités techniques et administratifs. En outre, de nombreuses rencontres se sont tenues avec les habitants afin de préparer avec eux la tenue de stands présentant leur culture d'origine. De nombreux habitants et acteurs du quartier ont été associés à tous les temps de préparation de la manifestation. Les acteurs du quartier ont formé, pour cette occasion, le collectif "Faites du Vivre ensemble!".
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Outre l'ensemble de l'équipe du centre social (soit 10 personnes), environ 35 bénévoles (habitants + acteurs) ont été mobilisés sur l’événement et sa préparation avec une moyenne de 30h/bénévole.
- Résultat sur le territoire
La fête de quartier a répondu à l'attente des habitants qui regrettaient son absence depuis plusieurs années. Elle a permis aux plus jeunes comme aux plus anciens de se rencontrer autour d'un temps festif, de faire, jouer ,créer, voir des spectacles ...ensemble. Elle a permit aux habitants de partager avec leurs voisins et des personnes extérieures au quartier leur culture d'origine. Elle a modifier l'image que beaucoup de ces "extérieurs" se faisaient du quartier St Jacques / Le Viguier, véhiculant une image positive de ce territoire avant tout familial.
La fête de quartier a permis à certains habitants de devenir acteur de la vie de leur quartier, de s'impliquer positivement dans un projet collectif.
La fête de quartier a permis à l'ensemble des acteurs du quartier de se retrouver autour d'un projet commun, de faire à nouveau ensemble et de recréer certains liens qui s'étaient distendus. De nouveaux partenariats entre acteurs ont vu le jour à cette occasion (action 11Bouge et Petits Débrouillards; action 11Bouge et FJT, ...).
La fête de quartier a également permis aux actions labellisées contrat de ville de s'articuler lors de cette journée (actions d'11Bouge, des Petits Débrouillards, de la Régie des Quartiers du Carcassonnais et le CLAS porté par le Centre social) et de trouver une vitrine.
- Résultat pour le centre social
Repositionner le centre social comme tête de réseau des acteurs du quartier. Recréer du lien avec les partenaies locaux. Véhiculer une image dynamique du centre social auprès des habitants et des acteurs associatifs.
- Résultat pour les habitants
Evolution de l'image véhiculer à l'extèrieur du quartier et de ses habitants. Rencontres et partage entre habitants de communauté différentes lors d'un vrai temps festif qui leur appartient. Rencontres et partages avec d'autres publics venus d'ailleurs.
- Suite de l'action : Limites
Financement très dépendant du Contrat de Ville et du soutien des élus et de la préfecture.
- Suite de l'action : Perspectives
C'est reparti pour 2019 !!! Le collectif s'est déjà réuni 3 fois et l'organisdation de la fête est en cours avec pour ambition de mobiliser encore plus d'habitants. Rendez-vous le 22 juin 2019.
Actions
Collectif "Handi'Carnière" - semaine du handicap
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIOCULTUREL DE LA CARNIERE - Rhône
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Intégration
- discriminations
- Résumé
Création d'un collectif d'habitants autour de la thématique du handicap : informations, sensibilisations par la mise en place d'actions.Agir pour l'intégration de ces publics et lutter contre toutes formes d'exclusions ou de discriminations.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le centre social est trsè actif sur la thémathique du handicap en terme d'accès au droit. A partir des actions que nous avons mis en place, un collectif d'habitants directement concerné s'est constitué avec l'appui du centre social pour agir sur ce sujet. Il s'agit de porter haut et fort la réalité des difficultés vécues par les personnes en situation de handicap mais également des personnes qui les entourent. Celà se traduit par la mise en place d'actions de sensibilisation et d'information sur les diiférents handicaps dont les invisibles. Le collectif se réuni régulièrement et prévoit d'organiser une année sur deux une seamaine d'évènements entièrement dédiées.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Dans le cadre d'un partenariat avec la Commune, les associations locales, l'APF France... une semaine de temps fort sur la thématique du handicap a été organisée en juin 2018. Nous avons notamment la création d'une BD par des adultes polyhandicapés grace à du matériel informatique adapté. D'autre ateliers ont été menés: handisport, conduite en fauteuil, ciné débat....
- Ressources financières mobilisées pour cette action
2000 euros de budget ont été nécessaire.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Environ 30 personnes ont participé à l'organisation de cet évènement.
- Résultat sur le territoire
Un impact important à l'échelle du territoire grace à la diffusion de la BD dans les lieux de la ville: écoles, mairie, CCAS, association, bibliothèque...Un vernissage de l'opération soutenu par la commune et largement relayé par la presse locale, de nombreux habitants présents et sensibilisés, un collectif qui s'est constitué et enfin l'inscription de ces initiatives dans les guides locaux.
- Résultat pour le centre social
L'enjeu de l'ouverture à tous les publics et en particulier les plus en difficulté et plus vulnérable est inscrit dans notre projet. Vivre ensemble et agir dans son quartier ou sa ville contribue à la qualité de vie ou chacun trouve sa place. Développer le pouvoir d'agir des habitants en soutenant la participation dans les projets est essentiel dans la mission que nous nous sommes fixés. Par ce projet, des familles ont découvert le centre social et s'implique maintenant dans nos commissions.
- Résultat pour les habitants
Certains ont découvert "l'univers du handicap" d'autres le connaissaient déjà mais tous ont compris l'enjeu d'être plus solidaires.
- Suite de l'action : Limites
Le temps long à consacrer à l'action en prenant en compte tout les paramètres et les spécificités de chacun pour rendre le projet le plus partagé et le plus participatif.
- Suite de l'action : Perspectives
Nécessité d'inscrire durablement ce type de projet pour qu'il ne passe pas inaperçu. Nous prévoyons avec le collectif une semaine d'évènements tous les deux ans.
Actions
CONSEIL CITOYEN DE BRIGNOLES
- Structure organisatrice
- Maison des Initiatives Sociales - Var
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Mixité sociale
- Résumé
La MIS est l'association porteuse du Conseil Citoyen de BRIGNOLES.
Elle organise la vie démocratique de cette instance, constituée d'habitants représentant les quartiers prioritaires de la Ville.
Elle fait le lien entre les décideurs, Mairie, Bailleurs sociaux, Etat, ..... et le Conseil Citoyen.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Autre
- Précision ( si autre )
L'Etat par l'intermédiaire du délégue du Préfet à la Politique de la Ville, la Commune de Brignoles, l'Agglomération Provence Verte.
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Dans le cadre des textes régissant la Politique de la Ville les acteurs sociaux ont identifié les besoins spécifiques des quartiers désignés comme prioritaires de Brignoles.
Le Conseil Citoyen a été créé pour permettre la mobilisation citoyenne ouverte à la diversité, conforter l'émergence et l'expression libre des habitants des quartiers. Donner aux habitants les moyens d'échanger sur leurs besoins, proposer des initiatives citoyennes, développer la solidarité et favoriser le lien social.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Le Conseil Citoyen a d'abord été consitué après une large information faite auprès des habitants des quartiers concernés. Les candidatures ont été reçues et un vote a validé la composition du conseil.
Le Conseil Citoyen se réunit mensuellement sur un ordre du jour validé par ses membres. Il rencontre régulièrement les bailleurs sociaux, la commune et le représentant de l'Etat.
Une fois par trimestre des visites de quartier sont organisées pour noter les besoins et constater les réponses apportées.
Le Conseil Citoyen est aussi force de proposition.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le budget annuel est de : 25 500 euros auxquels se rajoutent les contributions volontaires de 8 300 euros.
Les dépenses principales sont les charges de personnel de 17 900 euros (un adulte relais financé par l'Etat).
Les ressources principales sont : l'Etat : 17 500 euros, la Commune 2000 euros.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 salairé Médiateur de Quartier.
Le Directeur de la MIS
Les bénévoles élus du Conseil Citoyen (24)
- Résultat sur le territoire
Cela a permis une meilleure relation entre les habitants des quartiers et les décideurs.
Une plus grande réactivité des bailleurs sociaux et de la Commune face à des besoins constatés.
Une meilleure connaissance des besoins des quartiers.
- Résultat pour le centre social
Une reconnaissance accrue des partenaires institutionnels surtout l'Etat, la Commune et l'Agglomération.
Une place valorisée et centrale sur les questions relatives aux quartiers prioritaires.
- Résultat pour les habitants
Une meilleure prise en compte de leurs besoins.
La valorisation de leur engagement citoyen.
- Suite de l'action : Limites
L'action est prévue de continuer tant que Brignoles sera inscrite dans le cadre de la Politique de la Ville.
Nécessité de renouveler régulièrement les membres élus pour favoriser une dynamique participative.
- Suite de l'action : Perspectives
L' action "Conseil Citoyen" est devenue une action emblématique du Centre Social.
Cela lui a permis d'être au plus près des quartiers prioritaires.
Les perspectives sont de continuer l'action en améliorant la communication des résultats obtenus auprès de l'ensemble des habitants.
Actions
Conseil d'usagers
- Structure organisatrice
- MPT-CS LES CAILLOLS - Synergie Family - Bouches-du-Rhône
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- Démocratie & citoyenneté
- Mixité sociale
- Résumé
Le Conseil d'usagers a pour vocation de participer à la gouvernance et à la mise en oeuvre du projet social du Centre Social. Il est composé d'habitants, de partenaires, de la directrice du Centre Social, et travaille en collaboration avec l'équipe salariée.
Il se réunit une fois par trimestre et s'organise aussi en sous-commissions en fonction des souhaits de projets, d'envies et de priorités des membres.
Sa mission est de permettre un espace de reflexion collectif et participatif des habitants et acteurs du territoire, pour proposer une offre sociale et de service adaptés à destination de toutes et tous.
Il a ainsi un rôle citoyen par la mise en oeuvre du projet social par et pour la population du territoire.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le Conseil d'usagers est mis en oeuvre pour permettre à l'équipe salarié, de mettre en oeuvre le projet social avec et pour les habitants du territoire. Cette démarche associe aussi les acteurs, partenaires du territoire pour une complémentarité au sein des réflexions et actions menées.
Les résultats et changements attendus sont centrées autour l'impulsion d'une nouvelle dynamique avec ce nouvel agrément Centre Social.
En effet, ces dernières années, sous la gestion de l'ancien délagataire avec un agrément d'Espace Pour Tous, l'organisation s'apparantait ces dernières années à la mise en oeuvre d'activités centrées sur l'enfance, et les temps péri-scolaire. La dimension de projet social ne faisait plus sens. Les actions à destination des familles et des jeunes s'étaient considérablement réduites, et le conseil d'usagers ne fonctionnait plus.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Jusqu’à la passation les conseils d’usagers n’avait pas lieu depuis un moment. A partir du 8 juin 2018 (changement du délégataire), certains habitants sont venus régulièrement et spontanément, manifestant leur envie de voir se développer des actions, mais aussi de s’y impliquer.
Les salariés ont donc contacté les personnes identifiées. La directrice a organisé le premier conseil d’usagers, le vendredi 12 octobre 2018, dont l'ordre du jour était :
- La rencontre des nouveaux membres
- L’objet de cette instance
- Ses objectifs pour l’année 2019
- Sa composition, sa représentativité et ses différents collèges
- La périodicité des rencontres.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Cette action a été budgétisée dans le cadre du financement AGC.
Les charges sont peu importantes (en dehors des charges fixes : salaires, fluides etc), et représentent :
- 20,00€ de fournitures admnistratives (papier, impression etc.)
- 30,00€ de frais de réception (alimentation, boissons etc.)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Les membres sont à ce jour sont des habitants : 15 bénévoles + 1 salarié
- 3 Jeunes
- 11 Adultes
- 1 association de quartier Asso Tama qui favorise les rencontres artistiques et culturelles multiculturelles et sociales
- 1 directrice
Ils sont en grande majorité issus des Caillols, sauf deux personnes de la Moularde et de la Pastorale.
- Résultat sur le territoire
Les partenaires du territoire sont impliqués dans de nombreuses autres instances telles que la commission d'usagers, les rencontres partenariales, les projets territoriaux, etc. et le seront au sein du Conseil d'usagers dès 2019.
Les différentes actions menées avec eux, permettent de mieux communiquer aux habitants sur les services et loisirs sur le territoire.
Le Conseil d'usagers deviend un maillon supplémentaire et indispensable au Centre Social dans sa mission de pilote du territoire.
- Résultat pour le centre social
La création du conseil a permis aux salariés de mieux comprendre et appréhender la question de participation, de la gouvernance participative, du diagnoctic et du projet social lui même avec ses objectifs et leur évaluation.
Cela participe a une amélioration du cadre de travail pour les salariés, et permet une adaption au changement via d'une part, le sens des projets élaborés, et les nouvelles organisations de travail en équipe.
- Résultat pour les habitants
Les habitants ont un espace de parole et de choix au sein des projets mis en oeuvre par la structure. Ils agissent sur le choix des actions, leur organisation materielle (horaires etc.) et budgétaire (tarifs, achats etc.).
Le conseil a pour vocation de s'ouvrir à d'autres habitants pour promouvoir davantage cette instance, son objet, ses enjeux.
- Suite de l'action : Limites
Les habitants ont un espace de parole au sein d'un espace démocratique, autant que faire ce peu. En effet, pour le moment, la représentativité n'est pas encore effective, et pourra être aléatoire.
La notion de création implique la nécessité de créer un cadre et une organisation permettant d'atteindre les objectifs fixés. Cela prendra peut-être une année environ pour tendre vers un espace de reflexion partagé et de coconstruction, permettant l'expression du plus grand nombre.
La mixité sociale, culturelle, etc. au sein d'un espace qui se veut démocratique n'est pas une dimension simple à réaliser. Elle implique la garantie d'une représentativité, mais aussi la garantie de l'égalité et de l'équité au sein de l'organisation elle-même, de liberté, encourageant vivement le vivre ensemble.
Il sera pertinent d'analyser et prendre du recul quant aux enjeux de la structure et de son environnement, par le système institutionnel local, les modes de collaboration avec l’association, les dynamiques associatives et caractéristiques du territoire, les partenariats et la concurrence entre les acteurs et l’association. Et aussi concernant la population et le répérages des attentes et analyse du besoin.
- Suite de l'action : Perspectives
La mise en oeuvre des conseils d'usagers de façon trimestrielle, et d'encourager les rencontres en sous-commissions, et lui donner progressivement la place réelle qui lui incombe.
Actions
Cours de français pour adultes
- Structure organisatrice
- CS ROUGEMONT - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Cours de français pour adultes - viens de terminer car durée septembre/juin
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Résumé
Objectifs pour les ELF de manière générale :
· Promouvoir l'autonomie des apprenants par une meilleure connaissance des espaces sociaux et culturels du quartier, de la commune et de la Région en commençant par la structure au sein de la quelle ils sont inscrits pour les ateliers ELF. La démarche des ateliers d'expression en langue française (ELF) part, de manière systémique, de l’espace social,et détermine les actes de langage environnants.
·Favoriser l'appropriation de la langue française orale et écrite, ainsi que les codes sociaux en lien avec la vie quotidienne et professionnelle. Le travail menant à l'autonomisation met en situation concrète l'apprenant, au sein d'un espace social qu'il va apprendre à découvrir, à explorer et à s'approprier, via des capacités nouvelles de communication. On tend donc à amener les stagiaires à s'approprier leurs besoins linguistiques de façon contextualisée, sans toutefois négliger les éléments syntaxiques, grammaticaux, phonétiques, qui leur permettront d'exploiter ces connaissances nouvelles. Ce dispositif tient donc compte des réalités et spécificités locales.
· Accompagner l’équipe de formateurs bénévoles grâce à la mise en commun de ressources pédagogiques (manuels et ressources numériques, formation en interne et par des partenaires comme la fédération des centres sociaux de Seine Saint Denis, les relais culturels de la Mission « vivre ensemble » dont, par exemple, le musée du Louvre, le centre Pompidou, le château de Versailles, etc…, l’association Radya) et d’outils de coordination pour suivre l’assiduité et la progression des apprenants.
· Consolider les partenariats avec les autres acteurs sociaux afin de favoriser l’accès aux droits (y compris le droit à l’accès à la formation linguistique), l’insertion professionnelle des apprenants (d’abord par l’accès à la formation) et leur implication dans le tissu social. Il s’agit de concevoir et d’animer le dispositif d’accompagnement et de formation en s’appuyant sur l’ensemble des ressources locales et des personnes qui interviennent dans les différents domaines du service public, tels que les bibliothèques municipales, les théâtres de la Poudrerie à Sevran et celui de la ferme Godier à Villepinte, l’atelier santé-ville, le PEIF, le CCAS, les PMI, mais aussi les associations de prévention santé et les structures culturelles ed la Région Île-de-France.
Objectifs primordiaux en ces temps de crise sanitaire, sociale et économique :
·Renforcer les interactions des personnes marginalisées du fait de leur isolement linguistique : offrir un cadre d’apprentissage convivial et bienveillant permettant la rencontre avec les autres (formateurs et co-apprenants), l’émulation par les pairs et l’ouverture sur l’environnement social et professionnel.
Sept ateliers ELF (contant 8 à 9 participant·es en raison des mesures prises contre l’expansion de la Covid) se dérouleront au cours de l’année 2020. Animés par une équipe de constituée d’une coordinatrice et formatrice salariée ainsi que d’une dizaine de formateur·rices bénévoles, ils se déploient du lundi au vendredi, à la fois en journée (9h-11h ; 13h30-15h30) et en soirée (18h30-20h30).
Les horaires et les jours d’ateliers tiennent compte des contraintes des apprenants : entrée et sorties d’école, pas de cours le mercredi à cause de présence des enfants à la maison, cours en soirée pour les travailleurs et les mères faisant garder leurs enfants par leur conjoint.
A noter : la Maison de quartier Rougemont dispose d’une Halte-jeu destinée à accueillir en priorité les enfants de 3 mois à 3 ans dont les parents sont inscrits aux ateliers ELF. Le planning des séances d’ateliers (2heures) est ainsi couplé à des créneaux de garde Halte-jeu (3heures), dans la limite de 10 enfants par créneau et à raison de 4 demi-journées par semaine.
Voici le détail des différents groupes ELF :
-
Groupe 1, A1/A2 (niveaux du CECRL, cadre commun de références pour les langues) à l’oral et à l’écrit, le matin ;
-
Groupe 2, ayant une aisance à l’oral (vers le B1) ou francophones et débutants à l’écrit (A1.1 à A1), le matin ;
-
Groupe 3, débutants à l’oral et à l’écrit (infra A1.1 à A1), le mardi après-midi ainsi que le jeudi et vendredi matin ;
-
Groupe 4, vers le A2 à l’oral et à l’écrit, l’après-midi ;
-
Groupe 5, vers le B1, l’après-midi et le soir ;
-
Groupe 6, A1/A2 à l’écrit, B1 à l’oral, le soir ;
-
Groupe 7, ayant une aisance à l’oral (vers le B1) ou francophones débutants à l’écrit (infra A1.1 à A1) ;
-
Projection-débat : séances sur différentes thématiques telles que l’emploi des femmes, l’école, la confiance en soi, l’appartenance multiculturelle, à la médiathèque L’@telier.
Visites d’exposition : préparation des visites en amont et médiation adaptée au niveau linguistique pendant la visite. Choix des musées en accord avec les apprenant·e·s dans le cadre de la mission «Vivre ensemble».
Atelier informatique : 4 à 6 séances de 2 heures pour trois groupes, animées par l’animateur informatique de la médiathèque L’@telier. Cet atelier vise à faire acquérir les compétences de bases en traitement de texte et utilisation d’Internet (recherche, démarches en ligne,apprentissage des langues via QIOZ). Pour les plus avancés, un atelier d’écriture collaborative autour du projet
auxquels s’ajouteront éventuellement deux à quatre ateliers supplémentaires à partir de janvier grâce un partenariat que nous espérons établir avec l'association SOS Solidarités ASFAM. En effet nous ne réussissons jamais (et cette année c'est encore plus affligeant de devoir refuser un aussi grand nombre de personnes) à répondre aux nombreuses demandes des habitants . Ce public hétérogène de primo-arrivants, de résidents ne maîtrisant pas la langue Française à l’écrit et/ou à l’oral sont identifiés comme prioritaires dans tous les ateliers participatifs, les conseil de usagers et donc dans les objectifs de travail de la MdQ . La langue et les supports utilisées par les services et les différentes administrations pour communiquer n’en facilite pas toujours l’accès. Les courriers ou supports de communication informant les publics de leurs droits ne sont pas toujours accessibles. Ces populations connaissent des difficultés spécifiques, la non maîtrise de la langue constitue un frein important en matière d’accès aux droits, d’exercice de la parentalité, et d’insertion socio professionnelle. Certains se découragent et finissent par renoncer à une démarche, une requête, un droit.
Nous essayons de faire au mieux et chaque groupe est présent entre 4 et 6 heures hebdomadaires, ce qui représente un total de 32 heures hebdomadaires d’ateliers au sein de la structure. Ces heures sont réparties entre des temps en classe et des temps découverte des différents espaces sociaux (PMI, Poste, médiathèque, Mairie, pharmacie, transports urbains, lieux culturels, Pôle emploi et plate-forme emploi, etc). Un calendrier est établi pour toutes les actions « hors les murs » s’inscrivant dans l’apprentissage du français et des espaces sociaux/professionnels.
En réponse aux besoins exprimés par les apprenant·e·s, les ateliers ELF ont aussi pour objectif de préparer les groupes aux diplômes du DILF, du DELF ou du TCF correspondant à leur niveau (obligatoires pour le renouvellement des titres de séjour). Plusieurs ateliers ou temps de partage seront aussi proposés en collaboration avec nos partenaires:
-
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les Maisons de quartier de Sevran font face à une très forte demande concernant l'accompagnement sociolinguistique (qui reste en grande partie insatisfaite du fait du manque de moyens humains et matériels alloués à l'action). Les habitants en demande de formation sociolinguistique nous sollicitent directement à l'accueil des MdQ et peuvent être orientés par les établissements scolaires, les services sociaux (service RSA), le Pôle Emploi, les clubs de prévention et les différentes structures du territoire. Les tests de positionnement permettent dans un second temps de définir plus finement les attentes des bénéficiaires. Dans le cadre des ateliers, les stagiaires sont ensuite invités à exprimer leurs attentes quant aux contenus de l'accompagnement sociolinguistique. Celui-ci doit donc être développé en constante adéquation avec les besoins primordiaux exprimés. Les ateliers sont volontairement mixtes en genre, culturellement divers, socialement inclusifs et sans discrimination aucune. Nous travaillons sur une dynamique de groupe qui favorise un climat de bienveillance et d'entraide parmi les stagiaires.
Ces ateliers se donnent pour vocation, entre autres, de transmettre les valeurs fondatrices de la République, mais aussi la laïcité, la démocratie, la solidarité, le respect des cultures. Les ateliers sont ouverts à tous les adultes, hommes et femmes habitants de la ville de Sevran. Ceux-ci s'engagent à respecter une charte rappelant les valeurs de la république, de la laïcité, spécifiant que les les ateliers sont mixtes et à respecter les locaux et les personnes franchissant le seuil de la maison de quartier.
La démarche pédagogique que nous adoptons, pensée en direction des adultes, est fondée sur les principes suivants :
·Prendre en compte les centres d’intérêts des apprenants pour définir les contenus des apprentissages.
·Solliciter les connaissances et l’expérience de chacun.
·Repérer et prendre en compte le profil d’apprentissage de chaque apprenant en prêtant attention à ce raisonnement mis en oeuvre et à la sensibilité propre à chacun qui pourrait favoriser ou gêner la démarche
formative.
·Solliciter l’interactivité entre les apprenants pour susciter l’activité de tous, l’entraide et l’émulation au sein
du groupe.
·Favoriser un processus d’auto-évaluation progressif.
·Proposer des animations de travail en situation de communication réelle (démarche actionnelle).
L'apprentissage de la langue est alors un moyen et non le but unique des ateliers. La finalité, à la suite
d'un processus dynamique, aboutira à l'autonomie complète de la personne.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
L'appropriation des contenus s'effectue dans un va-et-vient continu entre « ateliers complémentaires au sein de la structure » et « visites des espaces sociaux et culturels de proximité ». Tout apprenant inscrit aux ateliers ELF participe au préalable à un test de positionnement qui détermine ses acquis linguistiques et ses capacités d'autonomie dans la vie quotidienne. Il en ressort que les besoins principaux des stagiaires s'articulent autour : - de la nécessité de communiquer dans la sphère sociale et d'être autonome dans ses démarches quotidiennes (administratives, scolaires, professionnelles)
- de la maîtrise des réalités socioculturelles du pays d'accueil - de l'affermissement, de l'estime de soi, et de la confiance en ses capacités de communication et d'insertion.
L'appropriation des contenus s'effectue dans un va-et-vient continu entre « ateliers complémentaires au sein de la structure » et « visites des espaces sociaux et culturels de proximité ». Tout apprenant inscrit aux ateliers ELF participe au préalable à un test de positionnement qui détermine ses acquis linguistiques et ses capacités d'autonomie dans la vie quotidienne. Il en ressort que les besoins principaux des stagiaires s'articulent autour : - de la nécessité de communiquer dans la sphère sociale et d'être autonome dans ses démarches quotidiennes (administratives, scolaires, professionnelles)
- de la maîtrise des réalités socioculturelles du pays d'accueil - de l'affermissement, de l'estime de soi, et de la confiance en ses capacités de communication et d'insertion.
L'appropriation des contenus s'effectue dans un va-et-vient continu entre « ateliers complémentaires au sein de la structure » et « visites des espaces sociaux et culturels de proximité ». Tout apprenant inscrit aux ateliers ELF participe au préalable à un test de positionnement qui détermine ses acquis linguistiques et ses capacités d'autonomie dans la vie quotidienne. Il en ressort que les besoins principaux des stagiaires s'articulent autour : - de la nécessité de communiquer dans la sphère sociale et d'être autonome dans ses démarches quotidiennes (administratives, scolaires, professionnelles)
- de la maîtrise des réalités socioculturelles du pays d'accueil - de l'affermissement, de l'estime de soi, et de la confiance en ses capacités de communication et d'insertion.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
10.000
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 Coordinatrice ASl
20 benevoles (13 actifs pendant le confinement)
- Résultat sur le territoire
La crise sanitaire a complètement bouleversé la vie de millions de personnes en cette dernière année. 2020 a été une année hors normes. L'épidémie de coronavirus a changé nos vies et bouleversé la vie économique du pays.
Le 17 mars 2020, tout bascule : l'économie s'arrête, et depuis les français découvrent le télétravail.
Dans ce contexte les Maisons de quartier de Sevran ont toujours maintenu le lien avec les habitants. Elles ont porté soutien et accompagnement, elles ont continués les activités là où elles étaient possible avec tous les moyens qui leurs étaient données.
Le CLAS et les ELF ont continué pendant le confinement et après, les jeunes et surtout les apprenants ont eu la possibilité de s'exprimer et d’être accompagnés.
Tout ne s'est, certes, pas passé comme on l'avait prevu et dans ce contexte il est difficile de faire appel aux indicateurs qui étaient prévus. Il est difficile d’évaluer la qualité des cours dispensés via Zoom ou sur un banc du canal de l'Ourq …
Au vu de la situation, ce qu'il paraît à l'humble rédacteur de ce bilan c'est que les objectifs ont été largement atteints parce que malgré toute les difficultés l’apprentissage s'est fait, le lien et le care ont continué à exister, l'envie d'apprendre et d’évoluer ou de s’intégrer ont trouver un objet pour les satisfaire
.
Comment faire face aux difficultés engendrés par l’épidémie et concevoir un nouveau futur c'est le défis qui nous relevons pour 2021 et les années à venir.
- Résultat pour le centre social
Les ateliers se sont déployés du lundi au vendredi, en journée (9h-11h ; 13h30-15h30) et en soirée (18h30-20h30). À noter : la Maison de quartier Rougemont dispose d’une Halte-jeu destinée à accueillir en priorité les enfants de 3 mois à 3 ans dont les parents sont inscrits aux ateliers ELF.
Chaque groupe a été présent entre 4 et 6 heures hebdomadaires, ce qui représentait un total de 32 heures hebdomadaires d’ateliers au sein de la structure. Ces heures ont été réparties entre des temps en classe et des temps de découverte des différents espaces sociaux (PMI, Poste, médiathèque, Mairie, pharmacie, transports urbains, lieux culturels, Pôle emploi et plate-forme emploi, etc.).
Ils ont étés portés par une coordinatrice formatrice et 15 bénévoles.
Concernant l’accompagnement des formateurs, l’équipe bénévole a participé à plusieurs sessions de formation organisées par la Fédération des centres sociaux, le Radya, l’Assfam, d'abord en présentiel et puis en ligne pendant toute l'année.
167 apprenants
16 groupes au total ainsi repartis :
ELF A2 : 3 groupes
ELF Alpha : 2 groupes
ELF A1 : 5 groupes
ELF B1 : 2 groupes
ALF A2/B1 : 2 groupes
ELF A1/Alpha : 2 groupes
Quatre niveaux ont été définis selon le degré d’autonomie et de maîtrise de la langue des apprenant·e·s : un niveau pour les profils « alpha » (A1.1 du CECRL), un niveau débutant où l’autonomie des apprenants est en phase de construction à l’oral comme à l’écrit (A.1), un niveau intermédiaire correspondant à une phase de consolidation (A2) et un niveau d’acquisition plus avancée (B1). Les effectifs étaient compris entre une dizaine et une vingtaine de stagiaires par groupe. Deux groupes mêlent les niveaux alpha et A1.
En réponse aux besoins exprimés par les apprenant·e·s, les ateliers ELF ont aussi eu pour objectif de préparer les groupes aux diplômes du DILF, du DELF ou du TCF qui sont obligatoires pour le renouvellement des titres de séjour. En période de vacances scolaires puis pendant une semaine avant la session de juin 2019, des stages de préparation ont été organisés pour les apprenants inscrits aux examens.
Les ateliers se sont déployés du lundi au vendredi, en journée (9h-11h ; 13h30-15h30) et en soirée (18h30-20h30). À noter : la Maison de quartier Rougemont dispose d’une Halte-jeu destinée à accueillir en priorité les enfants de 3 mois à 3 ans dont les parents sont inscrits aux ateliers ELF.
Chaque groupe a été présent entre 4 et 6 heures hebdomadaires, ce qui représentait un total de 32 heures hebdomadaires d’ateliers au sein de la structure. Ces heures ont été réparties entre des temps en classe et des temps de découverte des différents espaces sociaux (PMI, Poste, médiathèque, Mairie, pharmacie, transports urbains, lieux culturels, Pôle emploi et plate-forme emploi, etc.).
Ils ont étés portés par une coordinatrice formatrice et 15 bénévoles.
Concernant l’accompagnement des formateurs, l’équipe bénévole a participé à plusieurs sessions de formation organisées par la Fédération des centres sociaux, le Radya, l’Assfam, d'abord en présentiel et puis en ligne pendant toute l'année.
167 apprenants
16 groupes au total ainsi repartis :
ELF A2 : 3 groupes
ELF Alpha : 2 groupes
ELF A1 : 5 groupes
ELF B1 : 2 groupes
ALF A2/B1 : 2 groupes
ELF A1/Alpha : 2 groupes
Quatre niveaux ont été définis selon le degré d’autonomie et de maîtrise de la langue des apprenant·e·s : un niveau pour les profils « alpha » (A1.1 du CECRL), un niveau débutant où l’autonomie des apprenants est en phase de construction à l’oral comme à l’écrit (A.1), un niveau intermédiaire correspondant à une phase de consolidation (A2) et un niveau d’acquisition plus avancée (B1). Les effectifs étaient compris entre une dizaine et une vingtaine de stagiaires par groupe. Deux groupes mêlent les niveaux alpha et A1.
En réponse aux besoins exprimés par les apprenant·e·s, les ateliers ELF ont aussi eu pour objectif de préparer les groupes aux diplômes du DILF, du DELF ou du TCF qui sont obligatoires pour le renouvellement des titres de séjour. En période de vacances scolaires puis pendant une semaine avant la session de juin 2019, des stages de préparation ont été organisés pour les apprenants inscrits aux examens.
Les ateliers se sont déployés du lundi au vendredi, en journée (9h-11h ; 13h30-15h30) et en soirée (18h30-20h30). À noter : la Maison de quartier Rougemont dispose d’une Halte-jeu destinée à accueillir en priorité les enfants de 3 mois à 3 ans dont les parents sont inscrits aux ateliers ELF.
Chaque groupe a été présent entre 4 et 6 heures hebdomadaires, ce qui représentait un total de 32 heures hebdomadaires d’ateliers au sein de la structure. Ces heures ont été réparties entre des temps en classe et des temps de découverte des différents espaces sociaux (PMI, Poste, médiathèque, Mairie, pharmacie, transports urbains, lieux culturels, Pôle emploi et plate-forme emploi, etc.).
Ils ont étés portés par une coordinatrice formatrice et 15 bénévoles.
Concernant l’accompagnement des formateurs, l’équipe bénévole a participé à plusieurs sessions de formation organisées par la Fédération des centres sociaux, le Radya, l’Assfam, d'abord en présentiel et puis en ligne pendant toute l'année.
167 apprenants
16 groupes au total ainsi repartis :
ELF A2 : 3 groupes
ELF Alpha : 2 groupes
ELF A1 : 5 groupes
ELF B1 : 2 groupes
ALF A2/B1 : 2 groupes
ELF A1/Alpha : 2 groupes
Quatre niveaux ont été définis selon le degré d’autonomie et de maîtrise de la langue des apprenant·e·s : un niveau pour les profils « alpha » (A1.1 du CECRL), un niveau débutant où l’autonomie des apprenants est en phase de construction à l’oral comme à l’écrit (A.1), un niveau intermédiaire correspondant à une phase de consolidation (A2) et un niveau d’acquisition plus avancée (B1). Les effectifs étaient compris entre une dizaine et une vingtaine de stagiaires par groupe. Deux groupes mêlent les niveaux alpha et A1.
En réponse aux besoins exprimés par les apprenant·e·s, les ateliers ELF ont aussi eu pour objectif de préparer les groupes aux diplômes du DILF, du DELF ou du TCF qui sont obligatoires pour le renouvellement des titres de séjour. En période de vacances scolaires puis pendant une semaine avant la session de juin 2019, des stages de préparation ont été organisés pour les apprenants inscrits aux examens.
Les ateliers se sont déployés du lundi au vendredi, en journée (9h-11h ; 13h30-15h30) et en soirée (18h30-20h30). À noter : la Maison de quartier Rougemont dispose d’une Halte-jeu destinée à accueillir en priorité les enfants de 3 mois à 3 ans dont les parents sont inscrits aux ateliers ELF.
Chaque groupe a été présent entre 4 et 6 heures hebdomadaires, ce qui représentait un total de 32 heures hebdomadaires d’ateliers au sein de la structure. Ces heures ont été réparties entre des temps en classe et des temps de découverte des différents espaces sociaux (PMI, Poste, médiathèque, Mairie, pharmacie, transports urbains, lieux culturels, Pôle emploi et plate-forme emploi, etc.).
Ils ont étés portés par une coordinatrice formatrice et 15 bénévoles.
Concernant l’accompagnement des formateurs, l’équipe bénévole a participé à plusieurs sessions de formation organisées par la Fédération des centres sociaux, le Radya, l’Assfam, d'abord en présentiel et puis en ligne pendant toute l'année.
167 apprenants
16 groupes au total ainsi repartis :
ELF A2 : 3 groupes
ELF Alpha : 2 groupes
ELF A1 : 5 groupes
ELF B1 : 2 groupes
ALF A2/B1 : 2 groupes
ELF A1/Alpha : 2 groupes
Quatre niveaux ont été définis selon le degré d’autonomie et de maîtrise de la langue des apprenant·e·s : un niveau pour les profils « alpha » (A1.1 du CECRL), un niveau débutant où l’autonomie des apprenants est en phase de construction à l’oral comme à l’écrit (A.1), un niveau intermédiaire correspondant à une phase de consolidation (A2) et un niveau d’acquisition plus avancée (B1). Les effectifs étaient compris entre une dizaine et une vingtaine de stagiaires par groupe. Deux groupes mêlent les niveaux alpha et A1.
En réponse aux besoins exprimés par les apprenant·e·s, les ateliers ELF ont aussi eu pour objectif de préparer les groupes aux diplômes du DILF, du DELF ou du TCF qui sont obligatoires pour le renouvellement des titres de séjour. En période de vacances scolaires puis pendant une semaine avant la session de juin 2019, des stages de préparation ont été organisés pour les apprenants inscrits aux examens.
Grâce à l’étonnante capacité d'anticipation de l’équipe composé par la coordinatrice/formatrice et par les bénévoles nous avons étés capables de reprendre des cours en ligne depuis le mardi 17 mars.
Le groupe de formateurs avait prevu l’éventualité d'un confinement et il s'y était préparé.
Ainsi des groupes What's app ont étés crées pour les apprenants qui n’étaient pas positionnés sur aucun (il faut dire que les bénévoles ont l'habitude d'envoyer des compléments de cours via le groupes – une classe = un groupe Wapp)
Une bénévole était référente pour l'installation des logiciels (Wapp et Zoom, House party etc) elle fournissait assistance en ce domaine.
3 cours en moyenne, voir 4 selon la disponibilité des bénévoles ont eu lieu pendant toute la période du confinement et dès que possible des cours en plein air ont eu lieu sur les berges du canal et sur la terrasse de la MdQ quand celle ci a rouvert au public et pendant toute l'été. (cela évidemment dans le respect des règles de distanciation)
Depuis juin 5 groupes groupes ont fonctionné pendant ce période, avec une présence totale plutôt aléatoire de 35/40 personnes.
La MdQ Rougemont accueille parmi ses adhérents et cela depuis sa création les résidents des trois résidences sociales avoisinantes, pendant la période confiné l’équipe s'est fait relais de leurs besoins en terme de colis alimentaires et aussi des masques, car beaucoup parmi les résidents ont continué le travail mais sans en être équipés. Ils ont étés destinataires du premier lot produit par la MdQ.
De septembre à décembre :
Les ateliers se déroulent du lundi au vendredi, en journée (9h-11h ; 13h30-15h30) et en soirée (18h00-19h30). Nombre de cours (séances) par semaine : 21.
Il se déroulent dans le plus stricte respect des normes de sécurité et sont portés par une Coordinatrice formatrice et 10 bénévoles. 10 stagiaires max par groupe. Un certains nombre de bénévoles avec des profiles à risque a mis en stand by son engagement pour le moment. Par contre l’équipe de bénévoles du Secours catholique avec lequel on collaborait nous a rejoint pour donner main forte sur les cours.
Nombre d’apprenants : 96
11 groupes au total ainsi repartis :
1 groupe débutant A1.1
2 groupes ateliers écritures du quotidien/ prépa A1
1 groupe A1
1 groupe ASL, depuis octobre Courses alimentaires et Santé (en lien avec la PMI et en association avec Ethnologues en herbe)
2 groupes A2, prépa DELF A2
1 groupe A2, renforcement écrit, prépa DELF A2
1 groupe A2/ B1, prépa DELF B1 ou A2 + atelier avec Ethnologues en herbe « Récits de vie et portraits des femmes du quartier »
1 groupe B1, prépa DELF B1, préparation démarche de naturalisation
1 groupe B1, renforcement écrit et prépa DELF B1A ce propos nous décomptons :
29 inscrits au DELF depuis septembre 2020 :
20 admis
2 non admis
2 reportés
5 en attente de résultatsAteliers ASSFAM : ASL emplois d’octobre à janvier,
ASL Accès aux droits (3 sessions, 1e de février à mars) 10 personnes max
- Résultat pour les habitants
Malgré la période une liste d’attente est ouverte qui donne la possibilité à toute personne désirant s’inscrire à une formation linguistique d’être reçue lors d’une permanence (à raison de deux mercredis par mois) avec la coordinatrice-formatrice. Après un test de positionnement, ces personnes intègrent les groupes déjà constitués (quand il y a de places) ou sont orientées vers des structures partenaires dans la mesure des capacités d’accueil de ces dernières, mais ce n'est pas malheureusement le cas actuellement.
- Suite de l'action : Limites
Impossibilité de faire face aux nombre des demandes. Cette action est très demandée elle represente un enjeu dans la vie des apprenants :
un travail ou un meilleur travail, un permis de sejour, la naturalisation sont en jeu.
- Suite de l'action : Perspectives
La formation linguistique des adultes est un processus d’adaptation et d’élargissement identitaire, empathie et discernement sont à développer côté enseignants et côté
apprenants. Il y va du vivre ensemble et de la compréhension de soi et de l’autre. Nous nous retrouvons en présence des publics de plus en plus hétéroclites, au quotidien cela veut dire une diversification des répertoires langagiers et des niveaux scolaires. Nous devons donc nous attacher à déterminer les éléments langagiers manquants à leur répertoire afin de favoriser la communication dans toutes les situations qu’ils rencontrent. Les besoins langagiers des adultes migrants sont difficiles à déterminer car il existe autant de besoins qu’il existe de sujets.
Ceci oblige à une réflexion renouvelée sur les besoins des personnes, les manuels et matériels utilisés en situation de formation, l'appréhension des compétences orales et écrites et leur évaluation. De plus, de nouveaux usages liés au numérique viennent bouleverser les pratiques de formation. La formation et l'accompagnement que nous proposons sont aussi une écoute de l’autre dans son originalité et dans toutes ses dimensions. C’est une manière d’accompagner autrui dans son processus de croissance, vers plus de maturité et de liberté intérieure.
C'est en conséquence un grand cycle d'accompagnement des adultes et des enfants qui se préfigure, les paroles des habitants et des professionnels ainsi que les observations directes incitent la Maison de quartier vers un accroissement dans l'implication du travail éducatif. Au sein de cette démarche se déligne un pôle important concernant communication et linguistique. Ce type d’apprentissage a une portée directe sur la vie quotidienne, les apprenants ont un projet et un objectif précis puisqu’il s’agit pour eux de s’intégrer dans la société d'accueil. Quand un apprenant s’engage, c'est une démarche consciente, volontaire et observable et qui a pour but l’appropriation de la langue et de outils communicationnels du pays d’accueil pour évoluer dans sa société de façon durable, souvent définitive.
Actions
Création d'un secteur jeunesse
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIO-CULTUREL DE SAINT- LOUIS - Haut-Rhin
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- vacances / loisirs
- discriminations
- Résumé
L’ensemble des actions citées ci-dessous visent la création d’un secteur jeunesse au Centre Socio Culturel. Ces actions ont pour but de soutenir les jeunes dans leurs démarches, leur créativité et leurs initiatives. Afin de toucher un maximum de jeunes, les actions ont lieu à divers moments durant les temps extra-scolaires.
Le partenariat avec les membres du projet de l’Atelier permettra également d’apporter une plus-value aux jeunes en recherche de professionnalisation. L’intervention d’artistes ou techniciens du monde artistique permettra de développer la créativité des jeunes mais également de les rendre attentifs au monde de l’art.
« Créer un espace jeunesse (studio d’enregistrement, salle informatique, espace de détente et de discussion, soutien à la création de projets [initiés par les jeunes et mise en place d’actions d’autofinancement], d’écriture de projet et leur réalisation, …) géré par des animateurs jeunesse.
Proposer une aide aux devoirs, un soutien dans le parcours professionnel, aider dans les démarches administratives et recherches de stages ou d’employeur, … être un lieu de ressource et d’information sur les instances existantes pour soutenir le jeune dans ses démarches. »
Pour les collégiens :
CLAS collège une fois par semaine : Soutien à la scolarité par des activités artistiques et ludiques, aide aux devoirs. Mise en place d’une action de tutorat lycéens-collégiens.
Passerelle, Club 10-14 ans (collège), mercredis après-midi et vacances scolaires : activités de loisirs ou sorties pour les 10-14 ans. Le programme est construit avec les jeunes qui gèrent leurs sorties et leur budget.
Pour les 15 ans et plus
Club 15-25 ans (lycée/BTS/Licence/Apprentissage) :
Séjour jeunes : proposer à des jeunes de construire, financer et réaliser un projet de séjour dans une capitale européenne durant l’été. En commençant par des projets de sorties loisirs de proximité (Branches et Montagne, Europa Park, …) et de séjours en France.
Jobdating : organisation d’une journée d’information et de rencontre avec des entreprises pour faciliter la recherche de stages, d’apprentissage ou de job d’été
Pour tous les jeunes
Animation de quartier (12 ans et plus) : Tous les vendredis soirs les animateurs proposent des animations à destination des jeunes (hip-hop, rap, arts de rue, arts plastiques, art du cirque, sport, …). En période hivernale (du 15 octobre au 15 avril) ces ateliers se déroulent dans les locaux 10 rue des prés et l’autre partie de l’année les ateliers se passent directement en plein air dans le quartier de la gare (quartier prioritaire).
Créer un espace jeunes (12-25 ans):
Trouver, aménager et rénover un futur espace avec les jeunes du quartier où ils pourront se référer aux animateurs jeunesse pour toute démarche administrative, professionnelle, scolaire, personnelle…
Utilisation d’un gymnase pour favoriser les rencontres sportives et initiation aux sports associatifs sur Saint-Louis.
Susciter l’entraide et le bénévolat
Encourager le tutorat entre jeunes : les lycéens peuvent apporter leur soutien aux élèves de primaire et de collège dans le cadre du CLAS.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L’offre d’activités et d’accompagnement en direction de la jeunesse est globalement insuffisante. Actuellement, elle cible principalement les jeunes en difficulté, en situation de décrochage scolaire par exemple.
Il existe peu de soutien à la scolarité au collège et dans les projets professionnels. L’offre existante dans le domaine sportif et culturel n’est pas suffisamment repérée par les jeunes.
D’autre part, le local de la rue des Prés qui est utilisé actuellement n’est pas adapté à l’accueil de jeunes.
La situation géographique du CSC constitue un atout : la proximité du collège, du lycée et des équipements sportifs, ainsi que l’arrivée du tram, sont autant d’opportunités pour la rencontre avec les jeunes.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Rencontre avec les différents acteurs qui agissent en lien avec la jeunesse, création d'un comité de pilotage pour partager les pratiques et créer des liens partenariaux avec les acteurs.
Le comité de pilotage se rencontre une fois par trimestre pour faire le bilan des actions réalisées et des actions à venir.
Mise en place d'événements et d'activités pour les jeunes, sorties, intervention auprès des jeunes de la mission locale dans le cadre de la garantie jeune, ..
L'action a débuté en janvier 2018 avec une phase de repérage, d'évaluation des besoins avec les partenaires, de mise en place de petites actions ponctuelles/sorties et une phase de réalisation des actions quotidiennes à partir de septembre.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
35 000
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Une responsable Enfance - Jeunesse, une coordinatrice jeunesse, 3 animatrices jeunesses (2 mi-temps et une animatrice plein temps), un bénévole régulier
- Résultat sur le territoire
Création d'une dynamique jeunesse commune sur le territoire
- Résultat pour le centre social
Développement des activités et partenariats
Axe 1 : S’ouvrir à toutes les différences Axe 2 : Favoriser la rencontre, partager des idées, des connaissances et des projets Axe 3 : accompagner la dynamique sociale et culturelle globale du territoire
- Résultat pour les habitants
Élargir les horizons des jeunes de St-Louis à travers une offre de loisirs diversifiée et d‘accompagnement aux projets individuels et collectifs dans le domaine personnel, scolaire et professionnel
- Lutter contre l’isolement des jeunes et leur signifier qu’ils ont toute leur place au CSC
- Favoriser et valoriser la participation et l’initiative des jeunes
- Suite de l'action : Limites
Difficulté à attirer les jeunes et les rendre captif sur la durée. Manque de moyens (locaux pas adaptés, financiers, matériel et mobilité)
- Suite de l'action : Perspectives
Création d'activités et suivi des jeunes au quotidien, création de poste d'animateurs et coordinateur jeunesse
Actions
Création du pôle Environnement Nature
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIO-CULTUREL DE SAINT- LOUIS - Haut-Rhin
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Environnement
- développement durable
- Résumé
Chaque secteur propose des actions en lien avec l’environnement qui sont à destination d’un public ciblé ou sont proposées aux autres secteurs et leurs publics cibles.
-Secteurs Famille et Adultes :
Jardin’âge, Sortie Nature, Action Haut-Rhin propre, Atelier récup’Art.
Secteur Enfance et Jeunesse :
Mercredi Nature avec des ateliers de découverte et sensibilisation à l’environnement, le jardin des Gribouilles (jardinage et décoration), action menée dans les jardins de Francette, Haut-Rhin propre, Sensibilisation éco-citoyenne quotidienne (tri sélectif, sensibilisation au gaspillage alimentaire, bricolage de récupération), Land Art, Création et entretien de l’hôtel à insectes, sorties découvertes de la faune et la flore.
Secteur petite enfance : Sensibilisation éco-citoyenne quotidienne (sensibilisation au non gaspillage dès 2 ans), création d’un jardin à l’Escargotine (découverte des fruits et légumes du jardin avec des ateliers jardinage quotidiens si la saison le permet), utilisation d’un compost (objectif de diminution des déchets), projet de fabrication d’un hôtel à insectes (découverte du monde des insectes), mise en place d’ateliers de découverte des animaux (visite dun chenil, d’animaux de la ferme, élevage d’escargots), sorties au zoo, atelier quotidien en lien avec la nature (lecture, chanson, dessin, bricolage…)
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Création d’un pôle environnement et nature afin de créer du lien entre les secteurs du CSC
- Favoriser une démarche implicative et participative des usagers
- Définir un réfèrent nature qui coordonne les projets entre les secteurs par l’intermédiaire d’un professionnel défini par secteur, et qui les valorise par différents moyens et supports de communication.
- Sensibiliser au respect de l’environnement, de la faune et de la flore
- Valoriser la découverte, l’échange, le partage et le savoir autour de la nature et l’environnement
- Développer des attitudes éco citoyennes et de prévention des risques
- Favoriser une ouverture pluri-générationnelle et interculturelle
Retour de chaque usager concerné (forum, bien-être, questionnaire de satisfaction, retours oraux, souhaits de reconduite.
Nombre d’actions menées dans l’année
Nombre de participants
Variété des actions proposées
Variété des publics touchés (critères d’âge et d’origine culturelle).
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Le projet est à l'initiative des habitants et responsables de secteurs qui mettaient en place des activités nature dans leur secteur.
Suite à l'écriture du projet social, les différents acteurs ont décidés de se réunir pour partager un projet commun et transversal qui a débuté en janvier 2018.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Les responsables de secteurs (3), les animateurs et professionnels de la petite enfance/enfance (20), les bénévoles (10)
- Résultat sur le territoire
Sensibilisation à l'environnement, développement des actions et sorties nature, création de jardins partagés, renforcement du lien intergénérationnel
- Résultat pour le centre social
Accroissement des activités, créer et renforcer les liens entre les secteurs
- Résultat pour les habitants
Accroisssement des activités pour les habitants, développement de lien social, adopter un mode de vie plus sain.
- Suite de l'action : Limites
Les activités natures sont souvent tributaire de la météo et des saisons (plantations, nature). Certains sports ou activités peuvent être coûteuses et nécessiter du matériel spécifique.
- Suite de l'action : Perspectives
Développement des activités de sensibilisation à l'environnement, autonomie des bénévoles dans la mise en place d'activités, tri-séléctif...
Actions
création Point Information Jeunesse (PIJ)
- Structure organisatrice
- Espace Socioculturel du Candéen (ESC) - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Démocratie & citoyenneté
- mobilité / transport
- vacances / loisirs
- Résumé
Le PIJ est un lieu d'information gratuit et ouvert à tous les publics avec un accueil privilégié pour les jeunes 16-30 ans. Le but est d'avoir un lieu d'information pour les jeunes en milieu rural. L'animateur-informateur jeunesse accompagne les demandes et les éventuels projets des jeunes sut les 6 communes.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
cette action avu le jour pour avoir un accueil visible et gratuit sur le territoire ceci afin de faciliter l'accès à l'information et l'accompagnement des initiatives jeunes.
Le résultat c'est l'accueil d'un nouveau public jeune et l'accompagnement de nouveaux projets
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Mission locale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
4091
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
10
- Résultat sur le territoire
nouveaux porjets émergeants
- Résultat pour le centre social
implication de nouveaux jeunes
- Résultat pour les habitants
Lieu d'information en local
- Suite de l'action : Limites
Manque d'implication des partenaires scolaires
- Suite de l'action : Perspectives
Proposer des actions sur des thématiques demandées par les jeunes
Actions
Crèche parentale à vocation insertion
- Structure organisatrice
- Centre Social & Culturel VAL PLAN BEGUDES - Bouches-du-Rhône
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Emploi, économie
- Précarité
- Résumé
Projet spécifique à destination des personnes aux RSA voulant reprendre une activité professionnelle et ne pouvant bénéficier d'une place en crèche.
Mode de garde parental dans lequel les parents sont impliqués dans le fonctionnement et assurent un co-encadrement avec un accompagnement à la fonction parentale.
Parallèlement, un travail de coatching emploi personnalisé permet d'accélérer une entrée en formation ou un retour à l'emploi.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Suite à une démarche de projet social et un diagnostic partagé, des habitants relevaient que les dispositifs existants ne permettaient pas un retour à l'emploi et les freins de garde d'enfants bloquaient les situations.
- Public
- Petite enfance
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
début des réflexions 2017 - partenariat 2018 - ouverture crèche octobre 2009
Démarche partenariale pour partager les compétences à mettre en oeuvre pour la réalisation du projet
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Financement dans le cadre du Contrat Enfance Jeunesse
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
7 professionnels
- Résultat sur le territoire
Amélioration du lien social
Garde d'enfant adapté
Accompagnement parentalité
Insertion profesionnelle réussie
- Résultat pour le centre social
Meilleure transversalité des secteurs
Meilleure prise en charge de la question de la petite enfance
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
Capacité limité à 20 enfants
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Cuisinez-vous !
- Structure organisatrice
- Maison Montesquieu (Centre social centre-ville) - Lot-et-Garonne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Santé
- Résumé
La Maison Montesquieu, agréée centre social, est ouverte à tous les habitants d'Agen, sans distinction d'âge ou de revenu. Dans le cadre de son activité, elle incite les habitants à mettre en place des projets qui leur tiennent à coeur, et les accompagne dans la réalisation de ce projet. Lors du renouvellement du contrat de projet de la Maison Montesquieu, en 2018, les habitants avaient proposé de mettre en place différents ateliers autour de l'alimentation. Le point de départ de cette volonté, était la compléxité pour les habitants d'avoir une alimentation riche en fruits et légumes. Un groupe d'habitants "porteurs de projets" s'est constitué pour proposer tout au long de l'année des actions autour des fruits et légumes.
3 actions phares réalisées :
- participation à la fête des fruits et légumes frais
- programmation de différents ateliers cuisine autour des fruits et des légumes
- Interventions de professionnels de l'alimentation et de la nutrition
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Permettre à tous d'acccèder à une alimentation équilibrée
- Développer l'autonomie alimentaire
- Acquérir des connaissances nutritionnelles,
- Bénéficier des conseils de professionnels de l'alimentation,
- Prendre goût à cuisiner des fruits et légumes frais,
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Fidèle à son fonctionnement participatif, l'action a été porté par un groupe d'une dizaine d'habitants dits "porteurs de projets".
L'équipe du centre social a accompagné ce groupe d'habitants dans la définition des actions à réaliser, dans la recherche de partenaires, dans la planification et l'organisation des différentes actions prévues (courses, budget à respecter, etc)
En moyenne, deux séances de cuisine gratuites par mois suivies d'un repas pris en collectivité au centre social sont organisés.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget global de l'action : 4 238.32 euros
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- 2 personnes du centre social
- 10 habitants "porteurs de projets"
- 3 professionnels partenaires (2 diététiciennes, 1 nutritionniste)
- 25 personnes bénéficiaires des différentes actions
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Développement de nouveaux partenariats (association Interfel, réseau Miam Nutrition, etc)
- Valorisation de la démarche participative
- Actions en accord avec les axes prioritaires du contrat de projet
- Résultat pour les habitants
- Développement de leur autonomie
- Acquisition de nouvelles connaissances sur l'alimentation
- Modification de leur alimentation
- Création de liens et des échanges entre habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
- Poursuite de l'action portée par les habitants (peut-être sur un autre aspect de l'alimentation, ex : l'alimentation végétale)
- Maintien des partenariats
- Développement de nouveaux partenaires (lien avec le pôle santé du centre hospitalier de la Ville d'Agen, lien avec le Contrat Local de Santé de l'Agglomération d'Agen, etc)
Actions
De l'apprentissage à la maîtrise de la langue française
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL GERMAINE TILLION - Vosges
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Intégration
- Résumé
Cette action consiste à accompagner des adultes et des jeunes lycéens, dans la maîtrise de la langue française par un apprentissage personnalisé, singulier : « faire de la langue française leur langue première ».
Nous avons intitulé ce projet « confluence socio-éducative : de l’apprentissage à la maîtrise de la langue française ».
Les séances d’apprentissage ont eu lieu sur les quartiers classés prioritaires dans la Politique de la Ville :
- Au Centre Social Saint-Roch
- Au Centre Social Lucie Aubrac, quartier de Kellermann
- A KAFE/MPES, quartier de Kellermann
à raison de 2 séances par semaine en moyenne, de 1.50 heure à 2 heures, plus des séances complémentaires sur toute la semaine, en fonction des groupes.
Le nombre de bénévoles (13 en 2015) étant important, des petits groupes et des groupes de niveaux ont pu être constitués.
Un référent et un coordinateur assurent le suivi de cette action en lien direct avec le Directrice du Centre Social Saint-Roch.
Les outils pédagogiques sont des ouvrages pour adultes, pour la plupart connus par le CASNAV-CAREP et sont fondés sur une classification de niveau A1 à B2 (pour ce qui nous concerne).
Les niveaux retenus sont ceux du CECRL (Cadre Européen Commun de Référence des Langues) : référentiel spécifiquement adapté aux migrants adultes appelés à s'installer durablement en France et qui souhaitent bénéficier d'un apprentissage du français. Voir annexe.
« En résumé, le français langue d'intégration est :
- une langue d'usage pratique, dont l'apprentissage se fonde sur des références quotidiennes,
- une langue destinée à devenir la langue courante des apprenants. Elle n'est pas enseignée comme une langue étrangère, mais est progressivement intériorisée,
- une langue familière. Son enseignement fait écho à l'environnement linguistique dans lequel l'apprenant se meut (au travail, dans la rue, dans les administrations, dans les commerces et les services),
- une langue de l'autonomie, qui permet à l'apprenant de se mouvoir dans les différents espaces de la société et d'y trouver sa place,
- une langue dont la première approche est orale et qui n'ignore pas les expressions, les tournures et « les manières de parler », qui permettent de comprendre les conversations courantes et de s'y insérer,
- la langue des parents des enfants scolarisés dans les écoles de la République Française, désireux d'accompagner leur évolution,
- une langue qui donne les clés de l'insertion ».
L’action se déroulant sur l’année scolaire, cette évaluation portera
de septembre 2014 à juin 2015.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cinq besoins élémentaires recensés :
1 : d'autonomie langagière, principalement orale (sans négliger l'écrit) pour une intégration facilitée dans la société française
2 : de compréhension pour les familles afin qu'elles puissent instaurer un dialogue avec leurs scolarisés en France
3 : de construction de liens sociaux
4 : d’outils d'insertion professionnelle dans la société française
5 : de réussite dans leurs études
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
UN PROJET, DEUX AXES
AXE 1 : un projet spécifique
La singularité originelle du projet subsiste dans son titre :
« Confluence socio-éducative : de l’apprentissage à la maîtrise de la langue française ».
Toutefois, les deux courants unifiés « social » et « éducatif » ont creusé, tout au long de leur cheminement un lit plus ample, en amont duquel survint l’apex « référentiel FLI ». C’est ce dernier, qui structure, oriente et fonde prioritairement la démarche d’accompagnement des animateurs.
L’accueil et accompagnement : deux notions principales qui guident la structuration de l’action et qui se conjuguent parfaitement avec les valeurs de respect, de solidarité, de partage.
Des attentes différentes et des bénévoles qui s’adaptent, avec professionnalisme et bienveillance : alphabétisation, lutte contre l’illettrisme, ateliers sociolinguistiques dans le but par exemple d’un apprentissage du vocabulaire spécifique pour le passage du permis de conduire, d’une maîtrise de la langue pour obtenir la nationalité française, ou pour une insertion professionnelle, ou pour envisager le passage d’un diplôme de langue DELF, DILF … ou pour rédiger une lettre de motivation...
Les bénévoles s’attachent tout particulièrement à ne pas proposer « une formation » mais d’adapter le contenu aux apprenants : c’est notre spécificité que nous tenons à maintenir.
Le mode d’apprentissage est fondé :
- sur la réalité, en prenant des exemples concrets du quotidien
- sur la valorisation des notions d’engagement, de prise de confiance en soi
- vers l’autonomie.
Les cours sont individualisés, c’est-à-dire que l’on part de ce que les apprenants sont, vivent au quotidien ; la méthode d’accompagnement est personnalisée.
Les types d’apprentissage peuvent se caractériser ainsi :
- Ateliers sociolinguistiques
- Illettrisme
- FLE : français langue étrangère
- FLI : adultes et étudiants ou lycéens
Afin de compléter les séances d’apprentissage du français, des visites, des sorties sont organisées. Une entrevue a été également été prévue avec Monsieur le Maire de Saint-Dié-des-Vosges afin d’évoquer les valeurs républicaines, et les symboles de la République : cette rencontre est prévue en novembre 2015.
AXE 2 : un projet partagé
Un regroupement départemental des groupes d’apprentissage du français a été organisé le 28 avril 2015, à l’Espace cours d’EPINAL, sur le thème du « conte : oralité et traditions populaires ».
Il a réuni les groupes d’EPINAL (centre social du plateau de la Justice, de la Vierge Léo Lagrange), de Rambervillers, de Remiremont, de Neufchâteau, de Thaon-les-Vosges et de Saint-Dié des Vosges.
Nous avons réuni plus de 158 personnes, et 44 nationalités étaient représentées.
Le matin des tables rondes étaient proposées aux apprenants sur différents thèmes :
- L’insertion sociale : a permis d’évoquer avec les apprenants les différents points relatifs à la recherche d’emploi, l’insertion professionnelle et sociale : découverte des institutions, CARSAT, CAF, mairie, préfecture, établissements scolaires, poste…Avec l’intervention d’ISM/EST migrants
- L’accès à la santé : découverte de la carte vitale, de l’AME…avec l’intervention de la CARSAT, et du service prévention
- La scolarité : a permis aux apprenants de découvrir le système scolaire français, les différentes classes et le contenu des apprentissages.
Les animations étaient assurées par les encadrants des différents groupes et des intervenants extérieurs avec divers supports : diaporamas, jeux de carte, jeux de plateaux…
Le temps de midi, un repas a été proposé et achevé par la dégustation de desserts typiques de chaque pays réalisés par les apprenants.
L’après-midi était placé sous le thème du conte. Sur scène, les 8 groupes ont proposé tour à tour différents contes travaillés avec les apprenants durant les séances. Contes chantés, théâtralisés, dessinés, contes étrangers parfois cités en langue d’origine ont été présentés.
Pour clôturer cette journée un conteur professionnel a présenté plusieurs contes avec des interludes musicaux.
Cette journée riche d’échanges, de partage, d’apports théoriques, de dialogue sera reconduite l’année prochaine, avec une ouverture sur les autres structures proposant ce type d’apprentissage. Il s’en est suivi des rencontres entre les animateurs, qui ont pu échanger sur leurs pratiques, échanger leurs outils…
Au-delà de cette rencontre, des liens se sont créés entre les accompagnateurs, et des rencontres ont lieu régulièrement : 3 rencontres en 2015 ont permis d’échanger des pratiques, des outils.
Une formation proposée par l’éducation nationale a été également mise en place à destination des accompagnateurs : 2 bénévoles ont suivi cette formation, et ont ensuite retransmis les outils aux autres bénévoles.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 coordinateur
1 référent bénévole
13 bénévoles encadrants
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
L’impact :
La satisfaction des apprenants adultes « fidèles » est effective et unanime. Leur volonté de poursuivre l’activité en est une belle illustration. Ils ont d’ailleurs donné l’envie à d’autres de se présenter au diplôme.
L’intérêt porté pour différents partenaires, par les institutionnels, montre que l’action est non seulement utile mais s’inscrit dans une réelle politique d’intégration.
Le soutien financier corrobore ce sentiment.
Une apprenante, en se présentant au Conseil d’Administration de l’association porteuse de cette action, spécifie la nature de l’intégration sociale.
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
L'action repose entièrement sur des bénévoles.
- Suite de l'action : Perspectives
Poursuite de l'action en 2016.
Demande "d'agrément FLI" pour l'association.
De nouveaux tableaux de bord pour l'évaluation des apprennants.
Actions
Découverte de notre milieu naturel
- Structure organisatrice
- ADACL - Puy-de-Dôme
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Démocratie & citoyenneté
- Environnement
- Résumé
Balades de sensibilisation au milieu naturel.
Partager nos connaissances scientifiques sur la faune et la flore au travers de projections et de débats (première séance prévue : « La vie secrète des arbres »).
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Mieux connaitre nos arbres, notre flore, notre faune et appréhender le milieu de la forêt. Apprendre à respecter le vivant.
Favoriser l’entretien de nos chemins.
Partager ensemble les richesses de notre territoire
Résultats attendus
Implication des bénévoles.
Nombre de participants aux balades, aux projections et aux débats.
Evaluation de la sensibilisation à la faune et à la flore des participants par l’équipe lors des échanges.
Nombre d’actions impulsées et menées par les bénévoles et les habitants.
.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Une équipe composée d’un salarié et de deux bénévoles.
Partenariats avec les associations, les forestiers, les chercheurs et spécialistes (INRA, le Parc, ONF). Prestations des intervenants.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le budget est intégré dans notre saison culturelle
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 professionnel, 2 bénévoles, 1 partenaires (Ciné Parc), 1 intervenant
- Résultat sur le territoire
Meilleure connaissance des particularités du territoire. Partage et echange.
- Résultat pour le centre social
Implication des bénévoles et travail avec les partenaires du territoire.
- Résultat pour les habitants
Découvertes, partage et echange.
- Suite de l'action : Limites
Les actions n'ont pas de limite. La limite peut être financière.
- Suite de l'action : Perspectives
l'association essaie de répondre à chaque initiative;
Actions
Développement Durable : Ici et là-bas et DD : We are back
- Structure organisatrice
- ASSOCIATION VIVA SIOULE, CENTRE SOCIAL - Allier
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Démocratie & citoyenneté
- développement durable
- Europe et International
- Résumé
Suite des différentes actions menées depuis 2013 autour de la coopération avec le Sénégal.
Un groupe de jeunes collégiens (13 jeunes de 12 ans) a monté leur projet "Développement Durable : ici et là-bas" pour travailler les questions de développement durable et notamment le tri des déchets.
Etape 1 - 2016/2017 : Sensibilisation des jeunes français au développmeent durable et formation des "jeunes ambassadeurs" - Création d'outils pédagogiques, de jeux à destination pour sensibiliser la population (animés par le jeunes du groupe).
En parrallèle, notre partenaire sénégalais sensibilise et forme de jeunes collégiens de Nguekokh. Des échanges se réalisent entre les 2 groupes avec les réseaux sociaux.
Etape 2 - 2018 : Actions de sensibilisation sur le territoire (journée de labelisation des établissements scolaires ED3, Après-midi ludique, Salon de la Récup', accueils périscolaires, collège, échange avec un autre groupe de jeunes du centre social voisin...)
Montage de projet et recherche de financement pour les jeunes français afin de financer leur voyage à Nguekokh - Voyage des jeunes Français en Octobre 2018 : préparation au départ avec RESACOOP
Echanges de pratiques entre les jeunes sénégalais et les jeunes français sur la thématque DD. Formation et adaptation des outils crées en France avec les jeunes sénégalais. Création notamment d'une pièce de théâtre en français et Wolof.
Sensibilisation de la population au Sénégal - près de 2000 enfants/jeunes sensibilisés
Etape 3 - 2019-2020 : DD, We are back : une partie des jeunes ont souhaité continuer leur engagement (8/13) sur le Développement durable et faire venir leurs homologues sénégalais. Ils ont souhaité élargir leur projet en faisant venir des jeunes d'un autre pays.
Ainsi en octobre 2019, ont été accueillis des jeunes italiennes travaillant également sur la thématique. Malheuresuement, les jeunes sénégalais n'ont pas obtenu leur visa pour octobre.
Pendant 2 semaines, actions de sensibilisation sur le territoire, visite des installations existantes et création d'une pièce de théâtre franco-italienne sur la thématique avec représentation publique et auprès d el'accueil de loisirs.
Les jeunes souhaitent vraiment recevoir leur homologues sénagalais... le projet se poursuit sur 2020 avec un accueil prévu en Juin.... mais quizz de la pandémie mondiale... report en Octobre, annulation ?
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Autre
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a fait suite un autre projet de jeunes "main dans la main avec le Sénégal". Lors des échanges entre jeunes franco-sénégalais, les jeunes ont vraiment fait remonter le besoin de travailler sur le développment durable et notamment sur le tri des déchets au Sénégal mais aussi chez nous.
Le collège partenaire est très investi sur ces questions là, ayant depuis lontemps des éco-délgués, multipliant les actions... De plus, l'association TERAANGA avec qui nous travaillons les actions de coopération avec Nguekokh au Sénégal était d'autant plus interessé par la thématique. Le projet des jeunes a servi de support pour engager une réflexion sur la canton de M'bour sur la création d'un système de ramassage des ordures.
L'objectif visé était de créer une dynamique autour de ces questions de développement durable et de favoriser la réflexion et une prise de conscience dans les populations franco-sénégalaise.
L'autre objectif était aussi d'établir une coopération éducative entre les 2 collèges, durable.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Autre
- Description générale
Accompagement du groupe de jeunes ados, qui avaient 12-13 ans au démarrage du projet, par les animateurs du centre social avec un partenariat poussé avec le collège. Des liens étaient faits entre le projet et les cours, notamment histoire-géo.
Pour les jeunes, nous avons travaillé la notion d'engagement, de coopération, de montage de projet (objectifs, finalité, recherche de finacement, présentation devant des élus...). Pui la 1ère année a nécessité une formation plus appronfondi des jeunes sur la notion de développement durable (données théoriques en lien avec l'enseignants, intervention d'aceteurs locaux, visites de site...).
Les jeunes se réunissaient avec l'animatrice soit au collège (pause méridienne), soit les mercredis, samedis et/ou vacances soclaires à raison d'au moins au fois par semeine au démarrgae du projet puis après au grès des besoins et des actions menées.
Le voyage s'est déroulé sur les vacances d'Automne 2018 pendant 10 jours avec 2 accompagnatrices Centre Social et 2 accompagnatrices collège.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le projet global s'étalant sur 4-5 ans, le budget est assez complexe.
Pour la 1ère partie, avec le départ des jeunes aux sénégal :
2017-2018 = 28252€ de budget avec 8% de financement des actions menées par les jeunes, 15% par les familles, 33% pour la coopération éducative (finacement DAREIC) et 44% par des partenaires multiples (CAF, MSA, CD 03, DDCSPP 03, ComCom, Mairies d'habitation des jeunes, Rotary...).
2019-2020 = Echanges avec l'Italie (dossier ERASMUS+) et poursuite du projet avec le Sénégal (Fonjep coopération, "A fonds jeunes"...
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
13 ados français au départ du projet, 8sur la continuité
13 ados sénégalais
2-3 professeurs des collèges de Bellenaves et Nguekokh
Des bénévoles et des parents
- Résultat sur le territoire
Sensibilisation et prise de conscience sur l'intérêt écologique
Engagement des jeunes et de la population à la protection du territoire
Animation locale
Ouverture interculturelle
- Résultat pour le centre social
Ouverture interculturelle
Développement ou consolidation de partenariat
- Résultat pour les habitants
Engagement solidaire
- Suite de l'action : Limites
Suite à la non venue des Sénégalais en octobre 2019, le projet s'est prolongé sur 2020 avec une préviosn de la venue en Juin. Avec la pandémie, report sur Octobre...A suivre... inchallah !
- Suite de l'action : Perspectives
Contratualisation du partenariat autour de la coopération éducative entre les établissements scolaires, français et Sénégalais, les associations TERAANGA, France et Sénégal et le centre social
Actions
DIFFERENT...ET ALORS ?
- Structure organisatrice
- AJC MJC/Centre Social - Ain
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
il s'agissait d'un projet semestriel
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- discriminations
- Mixité sociale
- Résumé
Le projet a démarré le 17 novembre 2018 pour se terminer le 29 mars 2019.
Le travail est engagé déjà depuis trois mois au sein d'une commission constituée de bénévoles de l'association et de bibliothèques, de professionnels de la culture et de l'éducation, qui travaille à la mise en œuvre de ce projet. Cette commission a décidé de s'inspirer de la démarche de Olivier Ciappa sur "les couples homosexuels imaginaires" et d'en faire une déclinaison locale avec des habitants volontaires (dont deux maires de communes rurales). Olivier Ciappa a accepté de la parrainer.
Le 17 novembre, invitation de tous les habitants, partenaires du centre social MJC pour venir à l'accrochage de cette exposition et à un spectacle présenté par le compagnie Traction Avant intitulé, « Je suis gay, c'est toujours mieux que d'être triste". L'exposition sur les couples homosexuels imaginaires, comme les autres expositions, était itinérante. Elle a été installée dans chaque commune de la communauté de communes soit en mairie soit dans les bibliothèques ou médiathèques. Les autres expositions qui ont tourné sont une exposition créée par les bénévoles sur "les mots venus d'ailleurs".
En écho avec ces expositions, à partir de janvier un atelier, animé par le compagnie Théâtre aux bords de Saône, est ouvert pour assurer l'écriture d'un Théâtre Forum dont la présentation a eu lieu le 29 mars 2019.Le thème est "Différent". Il s'agit pour les participant-es de l'atelier de faire part de leur expérience de ces moments, de ces situations où ils ou elles se sont senti-e-s différent-e-s ou ont été vécu-e-s comme telles. Le théâtre -forum sera l’occasion d’une soirée de réflexion et d’échange.
Ce projet s’accompagne s'est accompagné d'un projet avec les établissements scolaires primaires autour d'une création artistiques avec Tom Nadone sur la thème de la différence.
D’autres évènements somme un concert de jazz manouche, des lectures publique sont été proposés
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Dans la continuité des projets conduits ces deux dernières années, dont « Un monde 100 femmes » en 2017-2018, l'association Animation Jeunesse et Culture, au travers du centre social-MJC L'Embarcadère, s'inscrit pour une troisième année dans un projet d'actions qui se déclinera selon les mêmes principes participatifs qui se sont mis en place lors du projet « Un monde 100 femmes » : en fédérant les partenaires autour du projet pour qu'ils puissent soit créer, soit accueillir une action. Le principe de sa déclinaison sur l'ensemble de la communauté de communes Val de Saône Centre a également été réaffirmée comme élément fédérateur.
Le choix de ce thème s'est fait en écho aux constats que :
- les différences, sous toutes leurs formes et expressions, peuvent être cachées, minorées ou dénigrées,
- elles ne doivent pas séparer mais rassembler.
- La différence, les différences doit avoir la possibilité de s'exprimer, de s'exposer dans l'espace public.
Le résultat attendu était la participation des communes du territoire pour une diffusion large ainsi qu'une prise en compte de la différence dans un secteur plutôt rural.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Pour mener à bien ce projet, un comité de pilotage s'est constitué autour de bénévoles de l'association et de partenaires (bibliothèques) déjà engagés dans les projets précédents. 10 rencontres. Le ressources internes et celles des partenaires
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le budget 6600 € + 3500 de contributions volontaires (3000 € bénévoles)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
15 personnes bénévoles, 13 professionnels
- Résultat sur le territoire
*La Mobilisation autour d'un projet fédérateur valorise la sentiment d'appartenance
*Des liens se créent entre les communes autour de ce prijet
- Résultat pour le centre social
*un positionnement reconnu sur les questions de société
*une capacité à mobiliser auour d'un projet à l'échelle du terrioire intercommunale
- Résultat pour les habitants
* évolution des représentations
*des échanges et des liens favorisés à partir de questions de société
- Suite de l'action : Limites
*Participation plus active des communes pour relayer sur leut territoire et mettre en place des actions en propre
- Suite de l'action : Perspectives
*continuer sur le principe de projet fédérateur à l'échelle du territoire
*Aborder des sujets sur l'avenir et la responsabilité de tous dans la construction de cette avenir (dimension environnementale et sociale)
Actions
DINAMO : Accompagnement de jeunes de 16-25 ans
- Structure organisatrice
- FPTCSEC Saint Brice Courcelles - Marne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Emploi, économie
- Résumé
Les objectifs généraux sont en adéquation avec les objectifs de l’appel à projet du contrat de ville Reims Métropole, en lien avec le Contrat Intercommunal de Sécurité et de Prévention de la Délinquance :
- favoriser les parcours de réussite éducative des jeunes,
- améliorer le cadre de vie quotidien des habitants et la tranquillité publique et résidentielle,
- renforcer l’attractivité, le développement économique et l’accès à l’emploi,
- réduire les inégalités d’accès aux soins et prévenir les risques liés à la santé,
- développer la participation et l’implication des habitants,
- renforcer le lien social de proximité dans un contexte de précarisation.
Et plus spécifiquement, les actions en direction de la jeunesse
- Assurer la promotion auprès des jeunes de 12 à 17 ans et accompagner vers l’offre jeunesse « de droit commun » présente sur l’ensemble du territoire ;
- Favoriser la mobilité et la mixité (genre, territoriale et sociale), l’ouverture sociale et culturelle ;
Responsabiliser les jeunes majeurs (18 à 25 ans) dans un objectif d’autonomie sociale et professionnelle.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Ce projet est issu de constats réalisés sur le territoire élargi de Saint Brice Courcelles. Les points de départ de ces constats sont les rencontres avec les jeunes, leurs discours, les besoins repérés et leurs demandes. En parallèle, ces constats sont partagés par les élus du centre social et ceux de la commune. Des sollicitations existent du côté des familles, de la population, voire des associations de la commune.
Par ailleurs, certains jeunes ont exprimé leurs regrets de ne plus avoir de lieu pour être ensemble, partager des temps d'échange, une fois arrivé à leur majorité. Les jeunes nous font également part du fait qu'ils souhaitent mettre en place des projets professionnels ou personnels, mais qu'ils ont besoin d’un soutien pour structurer leurs envies.
Les principaux problèmes repérés pour ces jeunes sont :
- Oisiveté due à une déscolarisation ou une perte d'emploi ;
- Difficultés, voire incapacités à entrer dans un milieu professionnel ;
- Difficultés dans la recherche de formation ou la recherche d'emploi ;
- Problèmes familiaux, manque de dialogue, rupture familiale ;
- Difficultés financières ;
- Prise de drogue, d'alcool et autres conduites à risques ;
- Méconnaissance des institutions (Mission Locale, Pôle Emploi…)
Le territoire n’a pas de permanences spécifiques dans l’insertion socio-professionnelle (Pôle Emploi, Mission Locale, Prévention spécialisée,…).
De plus en plus de jeunes (14-17 ans) utilisent les services du centre social, illustrant un besoin d’un lieu institutionnel pour répondre à leur « oisiveté ».
Nous avons également observé que certains jeunes n'ont aucune connaissance des structures qui peuvent les aider dans leurs démarches personnelles et administratives, comme la Mission Locale, le pôle service de prévention du Conseil Général ou le Centre Régional d'Information Jeunesse (CRIJ)…
- Public
- Jeunes adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Pour mettre en place ces objectifs, le centre social a choisi d’encadrer ses actions par des professionnels spécialisés dans les domaines de la jeunesse et de l’insertion professionnelle. Elle est composée d’un coordinateur jeunesse, de deux animateurs jeunesse et d’un éducateur ou conseiller en insertion professionnelle.
Les locaux du centre social permettront d'accueillir les jeunes sur des temps de loisirs et d'accompagnement individualisés. Les ouvertures se feront, au minimum sur 3 après-midi et 3 soirées. Les locaux seront aménagés par le Centre Social (outillage administratif, informatique, téléphone, ...). Le projet peut s’appuyer sur l’ensemble de l’équipement pédagogique disponible au sein du centre social.
Les jeunes et leurs familles doivent être en capacité de connaitre le dispositif, des informations régulières sont faites dans le cadre de nos outils de communication (journal communal, facebook, affichage,…). Pour accéder au dispositif, nous demandons aux jeunes de s’engager et d’au moins fournir les premiers éléments de leur état civil.
Les moyens comprennent aussi la mobilisation des acteurs de l'agglomération de l'insertion socioprofessionnelle (Pôle Emploi, Mission Locale, Prévention Spécialisée, Assistantes sociales, la ligue de l'enseignement ...)
Nous avons à disposition l’équipement présent sur la commune : véhicules, gymnase, …
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Les principaux postes de dépenses du projet sont :
- Salaires pour environ 1/4 équivalent temps plein ;
- Charges supplétives de la commune : locaux, électricité, chauffage, personnel d’entretien, répartition évaluée au prorata financier de chaque activité du centre social
- Charges de logistique : sont la répartition du poste logistique de la comptabilité analytique, en fonction du volume de chaque activité de la structure. Cette pratique est celle établie pour tous les centres sociaux agréés, elle permet une répartition juste des charges difficilement imputable à une activité particulière (secrétariat, assurance, papier,…).
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Au moins 45 jeunes différents participeront au projet et au moins 20 jeunes seront accompagnés spécifiquement vers l’emploi et la formation.
2 professionnels
Un partenariat mobilisé
- Résultat sur le territoire
La zone géographique de réalisation de l'action comprend essentiellement les habitants de la commune de Saint Brice Courcelles mais aussi des jeunes issus des communes avoisinantes, comme Reims, Tinqueux, Champigny,.... Au final, nous pensons accompagner des jeunes de la partie Nord-Ouest de la communauté d'agglomération, notamment du fait de la mobilité des jeunes mais aussi de leurs réseaux issus par exemple de leurs liens dans le cadre de la scolarité ou leur réseau affectifs.
Certains jeunes adhérents aux associations sportives et peuvent côtoyer aussi le dispositif.
Permettre à des jeunes du territoire de bénéficier d'un interlocuteur de qualité pour répondre à des besoins d'accompagnement et d'échange d'un public souvent isolé.
- Résultat pour le centre social
Etre un interlocuteur de qualité pour les jeunes et leur famille en leur permettant d'accéder à des réponses pour un soutien et de bénéficier d'un partenariat adapté aux besoins du jeune.
- Résultat pour les habitants
Disposer d'un lieu, d'interlocuteur, de projets, pour les habitants de la commune et des environs proches
- Suite de l'action : Limites
La communication, la disponibilité des professionnels qui peut être en dent de scie en fonction des besoins, le financement à renouveler chaque année pour des dépots de projets.
- Suite de l'action : Perspectives
Adapter le dispositif aux besoins en constatnte evolution pour ce public jeune.
Travailler davantage en collectif pour enrichir la solution individuelle de savoirs-faire collectifs.
Aller vers une perenisation dans la mesure du possible, aller vers le "droit commun"
Actions
Du temps pour PAPA
- Structure organisatrice
- CENTRE D'ANIMATION SAINT JEAN - Rhône
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
L'action est terminée mais elle sera renouvelée en 2023/2024.
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
Il s'agit de mettre en avant les capacités parentales des papa dans l'exercice de leur fonction, tout en comprenant la né"cessité de travailler la notion de coparentalité. Passer du temps avec son enfant en tant que Papa peut s'inscrire dans un processus qui prend du temps pour comprendre, mieux saisir les enjeux d'une éducation partagée et bienveillante.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Précision ( si autre )
Plusieurs PAPA.
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
A la demande des papas concernés et ouverture par le centre de discussions pour favoriser la notion de projets et d'actions en direction des pères.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Suite à une demande de quelques papas sur la nécessité de meiux comprendre les inquiétudes de pères sur l'éducation de leurs enfants.
Des rencontres onté été mises en place pour développer le raisonnement de ces pères et arriver à développer des actions en lien avec les problématiques qu'ils rencontrent (absence dans l'éducation, question sur l'autorité parentale, la question de la garde et/ou de la résiednce alternée...).
Mise en place d'ateliers (4 en 2022/23) en direction des papas et des enfants (lecture, échanges sur des situations rencontrées avec un professionnel, accompagnement et orientation...).
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Une coordinatrice familles/adultes/séniors.
Une bénévole
Un professionnel (prestation de service)
Une animatrice séniors
- Résultat sur le territoire
Meilleur accueil des papas dans la structure.
Outils transmis aux papas pour mieux communiquer et information en lien avec leur demande.
Meilleure compréhension sur des sujets touchant les notions de parentalité, d'autorité, de garde, de gestion des conflits...
- Résultat pour le centre social
Accueil des papas dans le centre social.
- Résultat pour les habitants
Centre social identifié comme pôle de ressources.
Informations pertinentes sur les attentes et besoins des papas.
- Suite de l'action : Limites
Les papas concernés sont réceptifs, à l'inverse de ceux qui n'ont pas fait la demande au départ et qui intègrent le groupe.
Nous travaillons davantage sur les papas réceptifs et demandeurs.
Les effets positifs nous poussent à maintenir cette action, dans la durée.
- Suite de l'action : Perspectives
Maintien de l'atelier dans l'année (5 au total). Mêmes objectifs pour les papas impliqués.
Actions
E-numérique
- Structure organisatrice
- BILBOK - Var
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Emploi, économie
- Intégration
- Résumé
L'action se décline en 3 formes d'intervention, au siège de l'association et dans les lieux de vie des usagers (résidence, centre d'hébergement et d'accueil, parc, médiathèque, lab-numérique…):
Grâce à la Bilbok Mobil (minibus) le numérique vient aux usagers, accompagnée la plupart du temps par un Dcodeur ou animateur TIC.
Ces derniers proposeront :
-Des ateliers de découverte et d'acquisition des compétences de bases en lien les outils numériques regroupant des publics divers, des enfants aux séniors
-Des tutorats de découverte des outils numériques et des réseaux sociaux par des jeunes pour des adultes
-Des séances - débats autour de l'usage des outils numériques : relation sociale, information, services
Le Service Civique Dcodeur s’engage dans des missions d’inclusion par le numérique auprès des publics et d’espaces variés. Les actions permettent aux bénéficiaires de s’emparer de ces outils et de profiter de toutes les dimensions créatives et éducatives qu’ils peuvent apporter.
De nombreux points seront abordées par le Dcodeur, les jeunes et les animateurs TIC (la communication avec les proches, l’utilisation d’un courriel, des réseaux sociaux, faire des achats en ligne et comparer les prix, consulter leurs comptes bancaires et pour réaliser des démarches administratives, comme déclarer ses impôts, demander une nouvelle pièce d’identité…)
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Depuis quelques années, les organismes de l'Etat effectuent une transition numérique. De plus en plus de démarches administratives ne peuvent être réalisées qu'en ligne, en même temps que les accueils physiques des institutions ferment.
Une portion importante du public ne parvient pas à suivre la transition numérique, notamment sur la commune de Le Val et ses alentours. Cela s'explique aussi par le vieillissement de la population et la situation des publics défavorisés, qui n'ont pas accès à internet ou appréhendent mal les outils en ligne.
Notre action permettra d'aller à la rencontre des publics en difficulté, et de leur aider à manier les outils numériques. De cette façon, nous favoriserons l'autonomie des publics en les éduquant au numérique, le tout en créant du lien social.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Voir la fiche d'action
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 membre du Conseil d'Administation informaticien, 1 bénévole, 1 salarié et un 1 Service Civique E-Dcodeur, pour un public d'en moyenne 14 personnes, suivies à l'année.
- Résultat sur le territoire
Cette action permettra aux organismes du territoire (CAF, Pôle Emploi, services publics...) de communiquer plus facilement avec un public plus à l'aise avec le numérique.
Ainsi, l'action permettra de diminuer la fracture numérique qui sépare les publics défavorisés des organismes présents sur le territoire.
- Résultat pour le centre social
Grâce à cette action, l'association aura davantage de visibilité sur le territoire de la Provence Verte.
- Résultat pour les habitants
Les habitants marginalisés par le manque de mobilité et l'inaptitude au numérique recevront une aide à domicile.
Ils pourront profiter d'ateliers leur permettant de réaliser seul, à terme, leurs démarches administratives en ligne.
De plus, la participation au projet de jeunes adhérents volontaires de l'association développera un lien social intergénérationnel.
- Suite de l'action : Limites
L'ampleur de l'action sera limitée seulement par le nombre d'intervenants et la quantité de matériel que pourra transporter le minibus.
Dans un premier temps, l'action se déroulera sur Le Val et ses alentours, et éventuellement dans différentes communes à travers la Provence Verte.
- Suite de l'action : Perspectives
A l'avenir, nous envisageons de travailler avec davantage de partenaires et d'intervenants pour multiplier les ateliers numériques dans toute la Provence Verte. Les communes les plus isolées du point de vue de l'accès à internet et de la mobilité seront notre priorité.
Nous envisageons aussi de mettre en place des permanences d'aide au numérique dans différentes communes, ouvertes à tous les publics, grâce à notre projet Bilbok Mobile (Minibus équipé de matériel lié à toutes les activités de l'association, qui tournera dans les villages).