Les actions des centres sociaux
Actions
Du jardin à l'assiette, des légumes aux repas partagé.
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL JEAN VILAR ANGERS - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Résumé
Le projet se décline en plusieurs actions :
- La fabrik'à soupe sur le temps des filets solidaires
- Des tables pour tous sur la base d'un échange de savoir ou d'une orchestration par un professionnel de la restauration
- La Création d'un jardin collectif aromatique
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Sur le territoire de la Roseraie, les habitants manifestent le besoin de temps de rencontres conviviales et d'activités permettant de créer du lien social, de l'échange et notamment autour de la cuisine, le partage de recette, envie de manger bon, sain et pas cher.
Il fait écho aux différentes problématiques repérées sur le quartier :
- L'isolement croissant, besoin de lien social,
- Difficultés sociales liées à la perte d'emploi, baisse de revenu,
- Absence d'envie de cuisiner, ou difficultés à cuisiner certains produits frais dont légumes,
- Perte ou méconnaissance des savoirs culinaires et des façons de s'approvisionner ou de cultiver autrement son jardin,
Une demande croissante des habitants de se rencontrer autour de la cuisine et d'échanger des savoirs et recettes interculturelles une façon de mieux se connaître au travers de la cuisine. Une aspiration à participer à la culture d'un jardin mais pas seul.
Il convient donc d'inventer des moments de rencontres qui fédèrent, le moment du repas semble un bon moyen pour réunir les habitants. C'est à partir de ces moments mensuels que d'autres temps s'organisent : des temps de ré apprentissage de la transformation des fruits et légumes, de la réappropriation des gestes pour cuisiner et confectionner des repas soi même , de soutenir le gout du jardinage et partager des productions de plantes et légumes.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Ces repas "tables pour tous" ont lieu tous les mois avec une thématique. Pour les préparer des ateliers sont proposés pour faire découvrir de nouveaux produits , échanger et acquérir des savoir-faire en cuisine. Une dizaine de personne y participe avant chaque repas. Ils travaillent ensemble à la réalisation du repas sous la conduite d’une animatrice du Centre Jean Vilar et d’un cuisinier professionnel afin de garantir la gestion des quantités et de sensibiliser aussi les participants aux produits de saison,de préférence locaux, à l'appréciation des gouts et saveurs de chaque met .
Les ateliers et fabrique à soupes reste un atelier de cuisine et de vie sociale qui visent prioritairement les bénéficiaires des filets solidaires . Ceux-ci s'inscrivent à tour de role et s'impliquent pour (ré)apprendre à prendre plaisir à cuisiner et à échanger sur leurs savoirs culturels : 8 à 10 habitants à chaque atelier.
Nous animons ce temps de dégustation avec des bénévoles du CJV et des bénévoles des filets solidaires à partir des légumes contenus dans le filet.
Le jardin collectif avec librojardin et la régie de quartier est en démarrage avec 2 lieux d'implantation :
-des padocks dans les jardins intérieurs du centre social pour les plantes aromatiques qui peuvent servir ainsi aux repas ou aux ateliers
-et un jardin collectif pour la culture des légumes à partager entre les jardiniers dans une parcelle de la régie de quartier .
Actuellement, 8 bénévoles constituent le groupe de gestion de ces jardinets et d'entraide entre ces jardiiniers.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
5000 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
150 habitants
25 bénévoles
3 salariés
- Résultat sur le territoire
La table pour tous réunit 40 à 60 habitants : une action qui rayonne de plus en plus avec le concours des institutions, associations et personnes relais : france horizon, MDS, ASEA, régie de quartier, CCAS, secours populaire et secours catholique, CLCV, ASADOM etc. Cette action permet réellement à des habitants de sortir de l'isolement et à rétablir des liens sociaux. Parfois l'après-midi ouvre sur un atelier iu une sortie "culture et solidarité" à partager.
- Résultat pour le centre social
Lors de ces repas ateliers ou distributions, le centre social du Centre Jean Vilar accompagne et améliore l'accueil des bénéficiaires dans un cadre convivial avec la mise à contribution de bénévoles pour accueillir et distribuer aux côtés des bénévoles des filets Solidaires.
Cette action contribue à faire du centre social un vrai lieu de vie et non pas qu'un lieu de service.
Ce temps d'accueil sont pour nous l'occasion de mieux communiquer sur nos actions mais aussi de créer des liens avec des habitants que nous ne connaissions pas et entre ces habitants.
- Résultat pour les habitants
Tout d'abord l'action répond à des besoins et à une attente des habitants eux-mêmes .
Il permet de ne pas être considéré que comme des usagers/bénéficiaires mais aussi comme des participants, acteurs bénévoles dans l'organisation du repas ou dan l'atelier de fabrique à soupe ou dans la conception des jardinets.
L'enjeu étant de favoriser l'implication des habitants et des bénéficiaires en tant qu'acteurs dans les actions qui les concernent et de pouvoir mieux s'orienter vers d'autres activités de leur choix pour eux ou leurs enfants.
Enfin cette action permet de rencontrer d'autres habitants et d'être mieux informé (voir parfois accompagné) pour intégrer de nouvelles activités
- Suite de l'action : Limites
Une demande trop importante par rapport à la demande.
des conflits de voisinage ou interfamiliaux apparaissent.
une salle servant d'atelier cuisine mal équipé
- Suite de l'action : Perspectives
Poursuivre avec en particulier :
-la finalisation des jardins partagés,
-une alternance entre tables pour tous fruits d'un "échanges de pratiques" et fruits d'un "atelier gastronomique"
-une vigilance sur le turn over des inscriptions aux ateliers fabrique à souper pour favoriser un plus grand nombre de participants.
un lien entre ateliers cuisine , des randonnées et sorties culturelles ou des groupes de parole.
Actions
Citoyenneté 2016/2017
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL LE PLANTY - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- Solidarité
- Démocratie & citoyenneté
- discriminations
- Mixité sociale
- Résumé
1. Favoriser la mixité, le dialogue et l’égalité entre garçons et filles
2. Prévenir les discriminations et notamment l’égalité femmes/hommes
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
• Offrir un espace et un moment de paroles afin de permettre de faire émerger et discuter des heurts, des conflits, des plaintes, des demandes et des questions des enfants
• Parler collectivement des problèmes rencontrés, échanger et confronter les points de vue
• se repérer dans le groupe et peu à peu y trouver sa place avant d'en comprendre et de s'en approprier les règles
Le centre social accueille sur différentes actions (accompagnement à la scolarité, animations familles) des enfants d’âges primaires. Les encadrants : animateurs et bénévoles ont constatés des difficultés relationnelles entre certains enfants. Des remarques sexistes, racistes ont été prononcées « je ne parle pas avec toi, tu es une fille », « tu ne t’assoies pas à côté de moi, je n’aime pas les noirs »…Ces comportements se retrouvent également au sein de l’école primaire Buffon située à côté du centre social. Le directeur de cet établissement faisait part lors du dernier groupe-pro du quartier de ses observations et inquiétudes quant aux relations développées entre les élèves. Les cris, les coups semblent être leurs modes de communication privilégiés. Nous sommes également de plus en plus sollicités par des familles déstabilisées par les relations entre les enfants de la fratrie ou les enfants habitants le quartier. Certains parents ont également des problèmes de voisinage du au comportement de leur enfant. Nous sollicitons de plus en plus le dispositif de réussite éducative ou la permanence éducative de la maison des solidarités.
Des problèmes de comportement se posent. Nous souhaitons améliorer cette situation.
Le centre social du planty a pour but d'amener chaque enfant à devenir un citoyen responsable. Dans cette optique, plusieurs activités seront menées afin d'éveiller et de sensibiliser chaque enfant à la démocratie, la solidarité, la tolérance.
Le but de ce projet est de favoriser le vivre ensemble : « C’est faire partie d’un groupe ou d’une société qui partage les mêmes valeurs, dans le respect de la singularité de chacun. C’est permettre l’épanouissement de l’enfant au sein du groupe, dans le respect et la tolérance. C’est construire une relation aux autres qui permet à l’enfant de grandir. »
A l’heure où l’accent mis sur la responsabilité de l’individu montre ses limites face à des situations de plus en plus difficiles, nous sommes convaincus qu’il est plus que jamais nécessaire de replacer la solidarité comme une valeur centrale de notre société et une possibilité de réponse collective aux crises contemporaines. La solidarité dans son sens 1er est une valeur sociale qui reconnait un destin commun à tous les hommes : une dépendance mutuelle. Cette valeur humaniste inscrit l’ensemble des hommes dans une même communauté d’intérêt.
La solidarité est liée à la valeur de la fraternité et aux concepts d’équité et de dignité de la personne. Elle permet de remédier à certaines inégalités de fortune, d’état de santé, de capacité physique ou intellectuelle de lieu d’habitation…. Etre solidaire, c’est reconnaitre à ses pairs les mêmes droits et devoirs que pour nous-mêmes. La solidarité, peut exister à différents échelles : nous sommes solidaires avec notre famille, avec notre ville mais aussi avec d’autres pays et de manière plus globale avec l’ensemble des êtres vivants, sans aucune distinction : à l’échelle de la planète.
Si nous souhaitons réduire les actes d’incivilité, recréer du lien entre les citoyens et restaurer le respect entre les individus, il faut que chacun puisse découvrir « l’autre » et, au-delà de ses différences, comprendre que nous avons des points communs et des intérêts collectifs. Il est également nécessaire de connaitre les institutions françaises et leur fonctionnement.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Ce projet permettra de donner la parole aux enfants, aux adolescents, aux parents, aux habitants du territoire sur les enjeux de la solidarité, d’approfondir leur réflexion sur ce thème et de les inciter à l’action. Il entend contribuer à ouvrir les questions d’éducation citoyenne au grand public. Le centre social veut ainsi ouvrir un lieu d’échange sur les notions de solidarité, de responsabilité, d’ouverture au monde ou encore, de respect de la diversité. Ainsi le centre social utilisera des outils pédagogiques, des pratiques d’éducation citoyenne, qui rendent l’enfant, l’adolescent, le parent, l’habitant acteur de son apprentissage et favorise l’émergence de citoyen à même d’exercer pleinement leurs droits et devoirs, d’être impliqués dans la vie sociale, économique et politique de leur pays. Nous nous appuierons sur la vision de Jean Marie Montel (via le site « citoyendedemain.net » pour qui une éducation à la citoyenneté est indispensable. «Elle concerne chacun dans sa capacité à connaitre l’autre, à être par lui-même, et dans sa relation avec les autres. Dans l’éducation à la citoyenneté deux éléments complémentaires s’enrichissent l’une de l’autre : une formation à la civilité, une éducation à vivre les relations interpersonnelles dans la vie quotidienne. Parler de citoyenneté, c’est parler de respect des autres, de politesse, de liberté individuelle, de respect de l’environnement… Le deuxième volet est celui de l’éducation à l’intérêt général. Une société est un groupe dont l’intérêt général est supérieur à la somme des intérêts particuliers. Cet intérêt général donne à une société une dimension nouvelle, collective, et aux individus qui la composent une valeur supplémentaire ».
La démarche pédagogique du centre social abordera les thèmes de l’identité, de la laïcité, de la solidarité, de respect….et proposera des actions visant trois étapes : l’expression, la sensibilisation et l’action.
- L’expression : faire émerger les opinions, points de vue et expériences
- La sensibilisation : poursuivre la réflexion et sensibiliser aux questions de citoyenneté
- L’action : mettre en place sur le long terme des actions et pratiques pédagogiques
Les espaces éducatifs doivent être pour tous des espaces de justice et d’équité, favorisant ainsi une période de construction personnelle et collective sereine. Il s’agit de développer tous les espaces et toutes les situations qui peuvent favoriser l’expression et la participation des enfants, des adolescents, des parents, des habitants, donner à vivre la conflictualité si besoin et apprendre à la gérer pour favoriser le vivre-ensemble.
Cependant, une éducation relative à la citoyenneté, la laïcité interroge le rôle et la posture des intervenants de l’action éducative. Elle questionne leur capacité à écouter, à prendre en compte la différence, à animer des temps de dialogue, à se positionner sur des situations concrètes qui peut questionner le caractère laïque de la structure. L’intervenant qu’il soit professionnel de la structure ou bénévole, doit en maitriser le sens pour développer une posture et proposer des situations et démarches pédagogiques adaptées. La question de la formation des intervenants sera primordiale pour le bon déroulement du projet.
Les objectifs
Favoriser la rencontre et l’échange
Offrir un espace et un moment de paroles afin de permettre de faire émerger et discuter des heurts, des conflits, des plaintes, des demandes et des questions des enfants
• Parler collectivement des problèmes rencontrés, échanger et confronter les points de vue
• se repérer dans le groupe et peu à peu y trouve sa place avant d'en comprendre et de s'en approprier les règles
Favoriser le sens civique
Les actions
1er semestre
2 journées de formation dans le cadre du plan national de la formation à la laïcité
12 bénévoles et 6 animateurs
Formation « laïcité et valeur de la République » en direction des encadrants bénévoles et animateurs de la structure.
Objectifs Plan national de la formation:
-Mieux appréhender le principe de laïcité dans ses aspects juridiques et historiques
-Adopter un positionnement adapté à sa situation professionnelle et au statut de sa structure employeuse
-Apporter des réponses aux demandes et situations rencontrées dans l’exercice de ses fonctions, fondées sur le droit et dans une logique de dialogue
½ journée de module de spécialisation : « Laïcité et relation socioéducative» ou « Laïcité et espace public »
+ transmission outils pédagogiques Jeu « La Ï Cité » de Graine de Citoyen
2ème semestre
4 interventions afin d’aborder différentes notions
Intervention de 2 heures de formation pour les encadrants suivi de 2 heures d’intervention pour chaque groupe de 10 à 12 enfants ou pré-adolescents:
Les histoires interactives : de grandes affiches, des accessoires pour faire jouer les enfants, les adolescents, des livrets pour en reparler en famille.
les pingouins
Thèmes abordés: les rites d’entrée dans le groupe, l’exclusion et l’acceptation, l’individu dans le groupe, la différence, le chef, la pression du groupe, les responsabilités, les conduites à risque, le bouc émissaire, la richesse du groupe et la solidarité
2 versions : 1 pour les enfants d’âge primaire et 1 pour les collégiens1 journée de formation à la malle pour 12 personnes animateurs et bénévoles
Utilisation de la malle ensuite
Concerne environ 50 enfants et adolescents et leurs parents
La valise pédagogique « si mes droits m’étaient contés » :
La valise est composée de romans, d’album jeunesse, de documentaires, de jeux de société. Il s’agit d’un outil pédagogique pour sensibiliser à la convention internationale des droits de l’enfant et favoriser le débat et la prise de parole.
Une journée de formation est nécessaire en amont de l’utilisation de la mallette.
Finalité : Former les animateurs et bénévoles à l’utilisation de la malle pour encadrer des séances sur le thème de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant.
Public : enfant, adolescent et famille
1 journée de représentations,
Spectacle ouvert aux partenaires éducatifs (accueils de loisirs ou écoles en fonction de la programmation), aux familles
Le spectacle « le chat bleu » de la compagnie acteurs en herbe
Par le jeu théâtral, le chat bleu va amener les enfants à exprimer leurs différences et à regarder le monde qui les entourent avec toutes ses diversités.
Ce spectacle et interactif et le public est mis à contribution.
Un dossier pédagogique sera donné en amont afin d’aborder ces notions par le jeu.
Une exposition interactive sur la paix, les conflits, les préjugés à destination des adolescents, des parents, des habitants
Invitation des élèves de CM2 et des collèges de notre territoire, ouverture également à l’ensemble des établissements scolaires de la ville de Cholet, des structures éducatives (secteur jeunesse des centres sociaux, accueils de loisirs, association d’aide sociale à l’enfance, CADA, CHRS…)
Exposition « la fabrique de la paix » par la ligue de l’enseignement
Une cinquantaine d’activités variées proposant de réagir à des situations quotidiennes, pour évaluer eux-mêmes leurs préjugés et les effets de leurs comportements. L’approche consiste à remonter aux origines du préjugé, à aider les enfants à identifier son impact dans leur vie et à le démasquer lorsqu’ils y sont confrontés.
Tout au long de l’année
Fil rouge conduit par le centre social
En direction des enfants, des adolescents, des parents, des habitants lors des temps fort du centre social (fête du quartier, portes ouvertes) ou d’animations pendant les vacances scolaires
Jeux coopératifs, activités artistiques et éducative abordant les différents lieux de citoyenneté : à l’école, l’Europe, dans la cité en utilisant différentes ressources provenant :
- Cidem
- Collection « repères pour éduquer : les droits de l’enfant avec Fetitsa »
- Citoyen de demain « d’ici et de là : sous un autre toit, l’autre c’est toi »
- « vinz et lou » livret pédagogique
2 fois dans l’année à destination des familles (enfants, parents)
Animation au relais lecture du centre social à partir du livret pédagogique « conte moi l’interculturel » pour aborder l’interculturel autour des contes : fiches et activités pédagogiques, film d’animation « Conte-moi »
Actions
Poste de dépenses
financement
Formation « laïcité et valeurs de la République »
Matériel pédagogique consommable
Existant au centre social
Animateurs centre social
Droit commun
Prestataires extérieurs, intervenant : graine de citoyens
Contrat ville
Les histoires interactives : Les pingouins
Matériel pédagogique consommable
Existant au centre social
Animateurs centre social
Droit commun
Prestataires extérieurs, intervenant : graine de citoyens
Contrat ville
La valise pédagogique « si mes droits m’étaient contés »
Animateurs centre social
Droit commun
Prestataires extérieurs, intervenant : graine de citoyens
Contrat ville
Le spectacle « le chat bleu »
Animateurs centre social
Droit commun
Prestataires extérieurs, intervenant : acteurs en herbe
Contrat ville
Exposition « la fabrique de la paix »
Matériel pédagogique consommable
Existant au centre social
Animateurs centre social
Droit commun
Prestataires extérieurs, intervenant : la ligue de l’enseignement
Contrat ville
Jeux coopératifs, activités artistiques et éducative
Acquisition des ressources documentaires
Contrat ville
Matériel pédagogique consommable
Existant au centre social
Animateurs centre social
Droit commun
Livres et jeux
Existant au centre social
- Ressources financières mobilisées pour cette action
2017 Citoyenneté
CHARGES
Montant [1]
PRODUITS
Montant
CHARGES DIRECTES
RESSOURCES DIRECTES
60 - Achats
70 – Vente de produits finis, de marchandises, prestations de services
Prestations de services
Achats matières et fournitures
350
74- Subventions d’exploitation[2]
Autres fournitures
100
Etat : précisez le(s) ministère(s) sollicité(s)
61 - Services extérieurs
- CUCS
5 070
Locations
-
Entretien et réparation
Région(s) :
Assurance
-
Documentation
Département(s) :
62 - Autres services extérieurs
-
Rémunérations intermédiaires et honoraires
4620
Intercommunalité(s) : EPCI [3]
Publicité, publication
-
Déplacements, missions
Commune(s) :
Services bancaires, autres
-
63 - Impôts et taxes
Organismes sociaux (détailler) :
Impôts et taxes sur rémunération,
- CAC Référent Famille
804
Autres impôts et taxes
- CAF Référent Famille
127
64- Charges de personnel
CAC Jeunesse
992
Rémunération des personnels,
3 530
L’agence de services et de paiement (ex CNASEA, emploi aidés)
1 296
Charges sociales,
1 103
Autres établissements publics
Autres charges de personnel
Autres part centre social
1 899
65- Autres charges de gestion courante
75 - Autres produits de gestion courante
66- Charges financières
Dont cotisations, dons manuels ou legs
67- Charges exceptionnelles
76 - Produits financiers
68- Dotation aux amortissements
78 - Reprises sur amortissements et provisions
Charges fixes de fonctionnement
485
Frais financiers
Autres
TOTAL DES CHARGES
10 188
TOTAL DES PRODUITS
10 188
CONTRIBUTIONS VOLONTAIRES [4]
86- Emplois des contributions volontaires en nature
87 - Contributions volontaires en nature
Secours en nature
Bénévolat
Mise à disposition gratuite de biens et prestations
Prestations en nature
Personnel bénévole
Dons en nature
TOTAL
10 188
TOTAL
10 188
[1] Ne pas indiquer les centimes d’euros.
[2] L’attention du demandeur est appelée sur le fait que les indications sur les financements demandés auprès d’autres financeurs publics valent déclaration sur l’honneur et tiennent lieu de justificatifs. Aucun document complémentaire ne sera demandé si cette partie est complétée en indiquant les autres services et collectivités sollicitées.
[3] Catégories d’établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre : communauté de communes, communauté d’agglomération, communauté urbaine.
[4] Le plan comptable des associations, issu du règlement CRC n°99-01, prévoit a minima une information (quantitative ou, à défaut, qualitative) dans l’annexe et une possibilité d’inscription en comptabilité, mais en engagements « hors bilan » et « au pied » du compte de résultat.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Ce projet se veut être un projet transversal à l’ensemble de la structure.
è enfants, adolescents, parents, habitants de la zone d’intervention du centre social et plus particulièrement la zone prioritaire
Hommes
femmes
Total
0-10 ans
25
25
50
10-14 ans
15
15
30
15-18 ans
5
5
10
19-25 ans
5
5
10
26-50 ans
10
30
40
+50 ans
5
10
15
Total
65
90
155
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
SANS TITRE - 2055
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL HORIZON - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
- Dimension
- Mots clés associés à l'action
-
- Résumé
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
"listen to this sur le quartier"
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL LE PLANTY - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Mixité sociale
- intergénérationnel
- Résumé
1/Dans quel cadre les jeunes réaliseront-ils ce projet (Alsh, foyer de jeunes, centre social, Accueil jeunes….) ?
Les jeunes réaliseront ce projet dans le cadre de la Fête de quartier Favreau. Ils sont adhérents du pôle jeunesse du centre social du planty et sont suivis par l’équipe d’animation depuis plusieurs années.
2/Quelle est l’origine du projet ?
L’initiative « Listen To This » a vu le jour en 2014. Elle s’appuie sur un rapprochement entre l’association angevine L’R de Rien et un collectif d’artistes et d’animateurs socioculturels du département désireux de fédérer des jeunes autour de pratiques artistiques.
Chaque été, un collectif de jeunes du département participe à des ateliers pendant une semaine et se déplace chaque jour sur un nouveau pôle territorial afin de créer un spectacle présentant différentes disciplines (chant, danse, beat box, musique)
Chacune des résidences artistiques s’est achevée par une représentation (Angers en 2014 et 2015, Faye d’Anjou en 2016). Deux spectacles supplémentaires ont été proposés en 2015 et 2016 dans le cadre du festival Cité Métisse à Cholet et un autre à Vihiers pendant les fêtes de fin d’année en 2016.
Cette année, de nouveaux jeunes repartiront sur les routes du département du 24 au 28 juillet pour créer la 4ème édition de « Listen To This ». Mais avant cela, une partie du groupe constitué en 2016 se produira sur scène le samedi 17 juin à 15h pendant la Fête de quartier Favreau-Mauges.
C’est après la représentation de Vihiers, que les jeunes du centre social m’ont sollicité afin de les accompagner dans l’organisation d’un évènement dans le cadre de la fête de quartier. En effet, ils ont pris conscience que des jeunes de leur âge avaient pu organiser une manifestation de ce type et se sont dits qu’ils étaient eux aussi capables de créer un évènement festif à Cholet, en plein cœur du quartier prioritaire sur le quel est implanté le centre social du planty
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Autre
- Précision ( si autre )
un groupe de jeunes adherents au centre social Planty
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
9/Quelles sont les étapes de réalisation de votre projet ?
- Echanges avec les animateurs jeunesse
- Demande au niveau du Conseil d’Administration du centre social
- Sollicitation des artistes de l’association l’R de rien
- Sollicitation des animateurs et des jeunes des autres structures ayant participé à Listen to this 3
- Demande de mise à disposition d’une scène auprès de la ville de Cholet
- Réalisation d’un budget prévisionnel
- Réalisation du dossier de demande de subvention
- Présentation devant un jury le 7 juin 2017
- Création d’affiches et de flyers
- Sollicitation de la presse locale afin de réaliser un article
- Répétition avec les membres du groupe disponibles
10/Date de mise en œuvre prévue (date de réalisation du projet) :
Samedi 17 juin 2017
11/Nombre de jeunes porteurs du projet :
5 jeunes du centre social du Planty
12/Nombre de jeunes bénéficiaires de l’action :
Une quarantaine de jeunes de structures jeunesse du département en plus des jeunes du Planty :
- Centre Social de Saint Georges sur Loire
- Centre social des Coteaux du Layon – Thouarcé
- Centre Social espace Baugeois – Baugé
- Centre social de Montreuil Bellay
- Centre socio culturel Le coin de la rue – Vihiers
+ Tous les jeunes qui pourront assister à la représentation
- Public
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
1/Quel est votre projet ? (expliquez dans le détail ce que vous comptez faire)
Nous voulons organiser une représentation scénique dans le cadre de la fête de quartier Favreau avec les partenaires du projet Listen to this 3.
Nous voulons faire découvrir notre initiative à l’échelle locale et ainsi permettre aux personnes que nous connaissons d’assister au spectacle que nous avons créé.
Nous venons au centre social du Planty depuis plusieurs années et se produire sur scène au cœur du quartier Favreau est le meilleur moyen de faire découvrir ce que l’on est capable de faire, de transmettre ce que nous avons appris et peut-être donner envie à d’autres jeunes de faire comme nous.
Cela permettra de mettre de l’ambiance dans le quartier tout en faisant découvrir la culture urbaine à certaines personnes.
2/Comment est née cette idée ?
Nous voulons continuer à faire vivre l’aventure Listen to this en proposant aux habitants du quartier de découvrir une partie de nos réalisations.
A la suite de la représentation à Faye d’Anjou en juillet 2016, celle dans le cadre du Festival Cité Métisse à Cholet en novembre 2016, et celle de Vihiers en décembre 2016, nous avons voulu continuer sur notre lancée et nous produire en plein cœur du quartier.
C’est à l’initiative de jeunes comme nous que le spectacle de Vihiers a eu lieu et nous voulons montrer que nous aussi nous sommes capables d’organiser un évènement de ce type.
3/Quelles sont vos motivations ?
Nous voulons permettre à nos amis et à nos familles d’assister à ce spectacle. Nous voulons aussi montrer que les jeunes ne sont pas uniquement attirés par le rap et que de toute façon la culture hip hop est riche, complexe et variée.
C’est un moyen de modifier les représentations, les préjugés que peuvent ressentir certaines personnes à l’égard de jeunes comme nous et de ce à quoi nous nous intéressons.
4/Qu’est-ce que ce projet apportera au groupe ?
Cela permettra de renforcer les liens entre nous et également revoir les jeunes des autres structures qui ont créé ce spectacle avec nous.
Nous voulons également donner envie aux autres jeunes de nous rejoindre et c’est évènement est un bon moyen de faire de la communication sur la prochaine édition de Listen to this qui aura lieu du 24 au 28 juillet 2017.
an> taux de dépendance des familles aux prestations CAF ainsi que l’augmentation du nombre de bénéficiaires des minima sociaux illustrent une forte précarité sur le quartier.
Si l’on prend en compte les adhérents du pôle jeunesse, plus de 45 % des familles concernées ont un quotient familial inférieur à 500 euros, 60 % un quotient inférieur à 700 euros. Malheureusement, tous ces éléments peuvent avoir un impact négatif sur le comportement des publics jeunes accueillis.
Typologie des adhérents du pôle Jeunesse
Cette étude concerne 180 jeunes, 77 filles et 103 garçons. Notons que le nombre de jeunes filles qui fréquentent la structure est en constante augmentation sur les 3 dernières années.
Les jeunes que nous accueillons sont majoritairement issus de la zone de compétence du centre social (environ 75%) et plus particulièrement du quartier Favreau-Les Mauges. En effet, 46% de ces jeunes résident sur le quartier prioritaire, 60% si l’on prend en compte les rues qui bordent celui-ci.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Dépenses
Montant
Recettes
Montant
Achats
Alimentation
Services extérieurs
Prestations de services
Autres services extérieurs
Déplacements, transports
500
1 200
250
1 – Ressources propres
Autofinancement
-dont apport personnel
-dont recettes /ventes
-dont autres produits
-dont apports de l’association
100
250
2 - Subventions demandées
- Etat – Contrat de Ville
400
- Caf de Maine-et-Loire – Appel à projets jeunes
1 200
3- Autres financements
TOTAL DES DEPENSES
1 950
TOTAL DES RECETTES
1 950
Les charges de personnel de l’accompagnateur des jeunes ne sont pas à indiquer dans
le budget prévisionnel du projet.
Valorisations – à remplir avec l’adulte accompagnateur de votre projet
(mise à disposition de matériel, de salle….)
Valorisations municipales et autres
Montant
Temps d’accompagnement
Mise à disposition des locaux du CS Planty
13822
Mise à disposition d’une scène par la ville de Cholet
2175
Au regard du coût total du projet, le groupe de jeunes sollicite une subvention de : 1 200 €
Attention : Les factures que vous nous communiquerez devront être acquittées
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
12 jeunes du quartier
- Résultat sur le territoire
5/Qu’est-ce que ce projet apportera à votre quartier ou commune ?
C’est l’occasion d’organiser un évènement festif sur le quartier et de donner une bonne image des jeunes du centre social. Nous rendons ainsi le fruit de notre travail accessible à la population du quartier. C’est donc aussi un moyen de valoriser notre initiative.
- Résultat pour le centre social
Valorisation de l'accompagnement des jeunes autour de la démarche projetdéveloppment des liens avec les parents
- Résultat pour les habitants
Valorisation des jeunes par les habiants autour d'un projet très original
- Suite de l'action : Limites
Trouver des financements
- Suite de l'action : Perspectives
Volnté de travailler cette thematique surt l'année
Actions
CAP J : Cellule d'Appui aux Projets de Jeunes
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL JEAN VILAR ANGERS - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Fin de conventionnement avec la collecivité
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- mobilité / transport
- vacances / loisirs
- Résumé
Afin d’accompagner les idées de projets de jeunes, une cellule d’accompagnement aux projets, labellisée en 2013, est animée les mardis, mercredis, jeudis, vendredis et samedis, par deux animateurs accompagnateurs de projets référents, à destination des publics jeunes 16/25 ans.
Elle permet d’offrir un espace dédié aux initiatives jeunes, et d’apporter une aide, technique, pédagogique et financière aux projets à dominante associative, récréative, et culturelle.
Pour l’année 2015, ce sont 139 jeunes qui ont pu être reçus et accompagnés dans leurs projets, initiatives ou démarches quotidiennes.
Le nouvel espace dédié à cet accueil a permis de travailler davantage sur la dimension collective.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Autre
- Précision ( si autre )
La Fédération Léo Lagrange
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
En réponse à un besoin ressenti sur le territoire et à une politique associative de dévellopement de l'engagement avec et pour la jeunesse.
L'objectif est de sortir d'une vision collective d'une jeunesse des quartiers populaire attentiste, oisive et consommatrice et de lui permettre de faire valoir ses envies et ses potentiels
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Diagnostique territorial
Appui par une reflexion nationale de la fédération Léo Lagrange sur de nouveaux outils à destination des jeunesses
Confrontation et partage de ces différents constats avec le tissu local, les élus de référence, le public
Début en 2013 des permanences hebdomadaires sur le centre social
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 référents jeunesse
La coordinatrice du secteur
le directeur du centre social
- Résultat sur le territoire
Cercle vertueux du dispositif : l'écho des premières réussites de projets de jeunes permet à de nouveaux jeunes de venir se lancer.
Population jeunes s'implique sur son territoire
Autre regard de la population adulte
- Résultat pour le centre social
Structuration de la présence et de la participation des 16/25 ans sur le centre social
Nouveau public
- Résultat pour les habitants
Nouveau "service" proposé à un public volatile et peu captif sur le quartier
Esapce ressources permettant de réaliser un projet mais aussi de rentrer en contact avec l'équipe du centre social : traitement et orientation d'autres problématiques que celle de l'accompagnment de projet (santé, emploi...)
- Suite de l'action : Limites
Le contenu initial des projets plutôt consuméristes
La reproduction de projets déjà portés par des paires,
Le suivi et engagement notamment sur la dimmension collective.
- Suite de l'action : Perspectives
La fin du conventionnement avec la collectivité ne permet pas de dresser de perspectives.
Actions
accompagnement d'initiatives
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL LE PLANTY - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Culture
- vacances / loisirs
- Résumé
Intitulé de l’action : Accompagnement d’initiatives
Objectifs opérationnels de l’action en direction des jeunes du quartier prioritaire
- Favoriser l’implication des jeunes dans la construction et la mise en œuvre d’actions
- Développer leur autonomie et leur prise de responsabilité dans leurs initiatives
- Favoriser leur rapprochement aux institutions
Description de l’action
Nous encourageons toutes les démarches participatives dans jeunes du quartier prioritaire dans la préparation et l’organisation de différentes actions. Au travers de l’accompagnement d’initiatives, nous favorisons les temps d’échanges, d’expression et de concertation. L’implication et la participation des jeunes dans la mise en œuvre de leurs initiatives contribuent à leur donner confiance et à les valoriser.
Cette démarche s’inscrit naturellement dans nos actions puisqu’elle permet aux jeunes du quartier prioritaire de construire leur personnalité et de développer leur prise de responsabilité. Notre méthode d’accompagnement s’appuie sur la dimension collective et l’engagement afin de faciliter l’investissement de chacun. Nous favorisons alors des situations d’animation qui permettent de développer leurs compétences et leur esprit d’initiative.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Que voulons-nous mettre en œuvre ?
Ateliers artistiques et culturels
A quoi cela sert-il ?
- Développer des espaces d’initiation et d’expérimentation
- Créer un rapprochement entre des jeunes issus d’horizons divers
- Favoriser les échanges, la concertation, l’entraide, fédérer autour d’une initiative commune
- Valoriser les jeunes grâce à des productions de qualité et leur donner confiance
Certains pensent que la curiosité culturelle et la création artistique ne font pas partie des priorités des jeunes des quartiers prioritaires car ils sont perturbés par des préoccupations économiques, éducatives, sociales et familiales. Pourtant, des jeunes que nous accueillons, mettent en avant le besoin de s’évader par la création artistique. C’est pourquoi nous soutenons leurs initiatives dans ce domaine.
Depuis plusieurs années, nous développons des actions de sensibilisation aux pratiques culturelles et des actions de création artistique. Dans le cadre de son orientation éducative et pédagogique, le centre social du Planty fait son maximum, en fonction de ses ressources pour intégrer la culture comme levier d'insertion sociale et ce, de manière transversale en direction des publics du quartier prioritaire.
De fait, depuis 4 ans, une amélioration en matière d'offre culturelle et artistique s'est opérée grâce à la mise en place de projets d’envergure à dimension culturelle :
- -Réalisation du film « Favreau, quand il y aura la mer » dans le cadre de Cinestival en 2014
- -Résidence Artistique « Listen To This » avec l’association angevine l’R de rien, tous les étés depuis 2014
- -Projet Graff « Respect » avec l’artiste Batiste Gandrille avec le collège Clémenceau en 2015
- -Ateliers Breakdance au Planty et au collège Clémenceau en 2016 et 2017
- -Organisation d’un concert dans le cadre de la fête de quartier avec l’association l’R de rien en 2017
- -Réalisation du court-métrage « De poils en étoiles » avec l’association 1.com1 en 2018
Il s’agit maintenant pour nous de conforter l'existant et de soutenir les nouvelles initiatives. Les pratiques d'expression artistique et de découverte culturelle nous apparaissent comme un atout dans le développement personnel des jeunes du quartier prioritaire, aussi bien en matière de connaissances et d’expériences qu’en matière de valorisation.
Quels apports pour les jeunes ?
- Explorer sa propre identité, être valorisé, tendre vers une meilleure estime de soi
- S’exprimer par le biais d’expérimentations artistiques
- Développer et valoriser leur créativité et leur investissement
- Développer la dimension collective et les échanges
- Etre acteur d’un projet culturel innovant
- Développer la confiance, l’autonomie et les prises de responsabilité
- Développer l’implication, l’écoute, la participation, la concentration, « le goût » de l’effort
Quels ateliers voulons-nous développer ?
- Création artistique « Et si on rappait en langue des signes »
Des jeunes des quartiers prioritaires Favreau - Les Mauges et Jean Monnet ont créé un collectif qui se réunira au centre social du Planty afin d’écrire et de composer un morceau de rap en langage oral et en langue des signes sur le thème de la lutte contre les discriminations. Ils réaliseront également une chorégraphie alliant hip hop et danse contemporaine, dans le but de tourner un clip, avec le soutien de l’association choletaise1.COM1.
L'écriture et la composition du rap se réaliseront pendant les vacances de printemps 2019. Durant cette période, les jeunes bénéficieront de la projection-débat de « Travail d'arabe » de Christian Philibert. Cette fiction nous servira de support pour les aider à réfléchir sur les préjugés que l'on peut avoir par rapport à l’origine ou les singularités. Les jeunes enregistreront ensuite leur morceau en studio.
Pendant les vacances d'été, les jeunes réaliseront le clip sur le morceau qu'ils auront créé au printemps. Une danseuse professionnelle leur fera découvrir l'art de la mise en scène et les aidera à transmettre leurs émotions grâce au langage universel du corps. L'association 1.COM1 leur fera découvrir l'outil audiovisuel et ses possibilités. Le clip réalisé pendant l'action, sera projeté en salle pour une séance débat et diffusé sur internet.
Cette création « Et si on rappait en langue des signes » s’inscrit complètement dans notre démarche. Notre expérience dans le cadre d’accompagnement d’initiatives de jeunes ainsi que notre connaissance de certains jeunes qui vont y participer sont des atouts supplémentaires dans la menée du projet.
Nous voulons permettre à ces jeunes de vivre l’expérimentation d’une activité artistique dans une dimension collective, participative et valorisante.
- Création artistique « Listen to this winter collection »
L’initiative « Listen To This » a vu le jour en 2014. Elle s’appuie sur un rapprochement entre l’association angevine L’R de Rien et un collectif d’artistes et d’animateurs socioculturels du département désireux de fédérer des jeunes autour de pratiques artistiques.
Chaque été, un collectif de jeunes du département participe à des ateliers pendant une semaine et se déplace chaque jour sur un nouveau pôle territorial afin de créer un spectacle présentant différentes disciplines (chant, danse, beat box, musique). Chacune des résidences artistiques s’est achevée par plusieurs prestations scéniques.
Cette année, de nouveaux jeunes repartiront sur les routes du département au mois de juillet pour créer la 6ème édition de « Listen To This ». Mais avant cela, nous allons accompagner des jeunes du quartier prioritaire dans l’organisation d’une résidence artistique pendant 3 jours au cours des vacances de février. 4 jeunes originaires du quartier Favreau - Les Mauges sont à l’initiative de cette action. Ils veulent présenter un concert de sensibilisation à destination des jeunes du département qui seraient intéressés pour participer la 6ème édition de Listen to this au cours du mois de juillet 2019
- Création artistique « Listen to this in Favreau »
Des jeunes du quartier prioritaire nous ont sollicités afin de les accompagner dans l’organisation d’un évènement dans le cadre de la fête de quartier Favreau - Les Mauges en juin 2019.
Ils veulent partager leur passion de la musique, du chant et de la danse et faire découvrir aux habitants du quartier ce qu’ils sont capables de faire, de transmettre ce qu’ils ont appris et donner envie à d’autres jeunes de faire comme eux.
Ils veulent créer un moment festif qui pourra concerner toutes les générations tout en faisant découvrir la culture urbaine aux personnes qui peuvent avoir certaines représentations négatives de celle-ci. Ils veulent montrer que leur univers artistique est riche, complexe et variée.
C’est aussi le moyen de modifier les préjugés que peuvent ressentir certaines personnes à l’égard de jeunes des quartiers et de ce à quoi ils s’intéressent.
C’est également pour eux l’occasion d’organiser un évènement festif sur le quartier et de donner une bonne image des jeunes du centre social. Voilà pourquoi, nous voulons accompagner une quinzaine de jeunes en amont de l’évènement afin de leur permettre de concevoir leur spectacle au travers d’ateliers de créations artistiques entre mars et juin 2019. La prestation scénique aura lieu en plein cœur du quartier Favreau - Les Mauges le 15 juin 2019. Au travers de leur initiative, nous voulons valoriser leur investissement et leur engagement.
Afin de mener à bien ces ateliers créatifs et participatifs qui laissent une empreinte et valorisent les jeunes du quartier prioritaire de la réflexion à la concrétisation, il nous faudra investir dans l’achat de matériel spécifique et nous appuyer sur les compétences techniques d’intervenants extérieurs.
« Tu taffes et tu claques »
A quoi cela sert-il ?
- Permettre aux jeunes d’appréhender la notion de travail collectif
- Apprendre aux jeunes à respecter des règles et des consignes de sécurité
- Favoriser une rencontre entre des jeunes axée sur la dimension d’effort collectif
- Développer la prise de responsabilité des jeunes et les aider à être acteurs de leurs loisirs
L’action « tu taffes et tu claques » est mise en place depuis le mois de juillet 2016. Celle-ci permet à des jeunes du quartier prioritaire de bénéficier de tarifs très réduits pour la mise en place d’actions de loisirs, en contrepartie de leur implication sur des travaux d’une demi-journée, ou d’une journée au centre social ou sur le quartier. Nous cherchons à valoriser la notion de travail, d’investissement, en permettant aux jeunes d’acquérir une première expérience dans ce domaine.
L’image des jeunes du quartier prioritaire peut être valorisée par la réalisation d’un travail représentant un intérêt pour les usagers du centre social et les habitants du quartier prioritaire.
Cette démarche aide les jeunes à prendre conscience qu’ils sont en capacité de financer une action ponctuelle et leur montre que l’équipe d’animation peut les soutenir dans la mise en œuvre d’autres initiatives (mise en place d’un atelier, organisation d’un bivouac ou d’un séjour…).
Accompagnement d’actions d’autofinancement
A quoi cela sert-il ?
- Développer l’engagement et la participation des jeunes du quartier prioritaire
- Prendre en compte leurs attentes et répondre à leurs besoins d’accompagnement
- Eveiller les potentialités de chacun et favoriser les prises de responsabilité
- Favoriser des dynamiques où les jeunes sont au centre d’un processus qui les concerne dans un cadre d’échange et de co-construction avec l’équipe d’animation, les parents et les bénévoles
Cet accompagnement spécifique s’appuie sur une logique d’implication des jeunes, des parents et des bénévoles. Des jeunes nous ont déjà fait part de leur volonté de s’investir sur plusieurs actions d’autofinancement au cours de l’année :
- Chantier loisirs concernant la réalisation d’une fresque sur un transformateur ENEDIS en février
- Organisation d’un loto le samedi 4 mai
- Resto Planty 4 fois dans l’année pour une vingtaine de personnes
- Fabrication de jus de pomme aux Landes Génusson en octobre
Par le biais de ces actions, nous aidons les jeunes à financer une partie de leurs initiatives. Leur donner l’opportunité de s’exprimer et d’agir leur donne confiance, les valorise et développe leur capacité d’initiative et d’engagement collectif.
Notre rôle est de faire en sorte que chacun puisse trouver sa place dans la mise en œuvre d’une initiative tout en développant des méthodes co-construites avec les parents des jeunes concernés.
Soutien aux dynamiques collectives
Nous encourageons les jeunes du quartier prioritaire à s’engager dans toutes formes de dynamiques collectives. Nous leur proposons des temps d’échanges et de concertation afin de les soutenir et les conseiller dans la mise en œuvre d’actions qui valorisent leur implication :
- Organisation d’une manifestation spécifique dans le cadre de la semaine du jeu au cours des vacances d’hiver (journée autour des jeux vidéo et sensibilisation avec l’association Ouest games)
- Participation à l’organisation des fêtes des écoles Buffon et Turpault en juin
- Accompagnement de jeunes dans la création de Junior Association
Place et rôle des parents : nous serons vigilants à ce que les démarches d’accompagnement soient concertées avec les parents. Nous favoriserons en priorité la participation de jeunes du quartier prioritaire dont les parents disposent de faibles revenus. Nous aurons également une attention particulière à la communication et à la valorisation des actions mises en place. En effet, l’implication des parents constitue une condition essentielle dans la mise en œuvre de ces actions.
L’idée est d’organiser des temps de travail autour de la notion d’engagement avec eux, les jeunes et les bénévoles et ainsi définir collectivement comment l’accompagnement des adultes envers les jeunes peut se matérialiser (ex : présence de parents et de bénévoles sur les temps d’ateliers, les actions d’autofinancement et le dispositif « Tu taffes et tu claques »).
Afin d’accueillir au mieux les jeunes et leur donner envie de s’impliquer pleinement dans cette démarche, il nous paraît primordial de travailler cette notion de lien entre les publics. Nous veillerons également à contractualiser avec les membres du groupe ; cette étape importante symbolise et concrétise le moment de l’engagement, celui où chaque individu devient membre d’un groupe porteur d’une initiative collective. La contractualisation peut aider à souder le groupe autour d’un engagement et d’objectifs communs.Que voulons-nous mettre en œuvre ?
Ateliers artistiques et culturels
A quoi cela sert-il ?
- Développer des espaces d’initiation et d’expérimentation
- Créer un rapprochement entre des jeunes issus d’horizons divers
- Favoriser les échanges, la concertation, l’entraide, fédérer autour d’une initiative commune
- Valoriser les jeunes grâce à des productions de qualité et leur donner confiance
Certains pensent que la curiosité culturelle et la création artistique ne font pas partie des priorités des jeunes des quartiers prioritaires car ils sont perturbés par des préoccupations économiques, éducatives, sociales et familiales. Pourtant, des jeunes que nous accueillons, mettent en avant le besoin de s’évader par la création artistique. C’est pourquoi nous soutenons leurs initiatives dans ce domaine.
Depuis plusieurs années, nous développons des actions de sensibilisation aux pratiques culturelles et des actions de création artistique. Dans le cadre de son orientation éducative et pédagogique, le centre social du Planty fait son maximum, en fonction de ses ressources pour intégrer la culture comme levier d'insertion sociale et ce, de manière transversale en direction des publics du quartier prioritaire.
De fait, depuis 4 ans, une amélioration en matière d'offre culturelle et artistique s'est opérée grâce à la mise en place de projets d’envergure à dimension culturelle :
- -Réalisation du film « Favreau, quand il y aura la mer » dans le cadre de Cinestival en 2014
- -Résidence Artistique « Listen To This » avec l’association angevine l’R de rien, tous les étés depuis 2014
- -Projet Graff « Respect » avec l’artiste Batiste Gandrille avec le collège Clémenceau en 2015
- -Ateliers Breakdance au Planty et au collège Clémenceau en 2016 et 2017
- -Organisation d’un concert dans le cadre de la fête de quartier avec l’association l’R de rien en 2017
- -Réalisation du court-métrage « De poils en étoiles » avec l’association 1.com1 en 2018
Il s’agit maintenant pour nous de conforter l'existant et de soutenir les nouvelles initiatives. Les pratiques d'expression artistique et de découverte culturelle nous apparaissent comme un atout dans le développement personnel des jeunes du quartier prioritaire, aussi bien en matière de connaissances et d’expériences qu’en matière de valorisation.
Quels apports pour les jeunes ?
- Explorer sa propre identité, être valorisé, tendre vers une meilleure estime de soi
- S’exprimer par le biais d’expérimentations artistiques
- Développer et valoriser leur créativité et leur investissement
- Développer la dimension collective et les échanges
- Etre acteur d’un projet culturel innovant
- Développer la confiance, l’autonomie et les prises de responsabilité
- Développer l’implication, l’écoute, la participation, la concentration, « le goût » de l’effort
Quels ateliers voulons-nous développer ?
- Création artistique « Et si on rappait en langue des signes »
Des jeunes des quartiers prioritaires Favreau - Les Mauges et Jean Monnet ont créé un collectif qui se réunira au centre social du Planty afin d’écrire et de composer un morceau de rap en langage oral et en langue des signes sur le thème de la lutte contre les discriminations. Ils réaliseront également une chorégraphie alliant hip hop et danse contemporaine, dans le but de tourner un clip, avec le soutien de l’association choletaise1.COM1.
L'écriture et la composition du rap se réaliseront pendant les vacances de printemps 2019. Durant cette période, les jeunes bénéficieront de la projection-débat de « Travail d'arabe » de Christian Philibert. Cette fiction nous servira de support pour les aider à réfléchir sur les préjugés que l'on peut avoir par rapport à l’origine ou les singularités. Les jeunes enregistreront ensuite leur morceau en studio.
Pendant les vacances d'été, les jeunes réaliseront le clip sur le morceau qu'ils auront créé au printemps. Une danseuse professionnelle leur fera découvrir l'art de la mise en scène et les aidera à transmettre leurs émotions grâce au langage universel du corps. L'association 1.COM1 leur fera découvrir l'outil audiovisuel et ses possibilités. Le clip réalisé pendant l'action, sera projeté en salle pour une séance débat et diffusé sur internet.
Cette création « Et si on rappait en langue des signes » s’inscrit complètement dans notre démarche. Notre expérience dans le cadre d’accompagnement d’initiatives de jeunes ainsi que notre connaissance de certains jeunes qui vont y participer sont des atouts supplémentaires dans la menée du projet.
Nous voulons permettre à ces jeunes de vivre l’expérimentation d’une activité artistique dans une dimension collective, participative et valorisante.
- Création artistique « Listen to this winter collection »
L’initiative « Listen To This » a vu le jour en 2014. Elle s’appuie sur un rapprochement entre l’association angevine L’R de Rien et un collectif d’artistes et d’animateurs socioculturels du département désireux de fédérer des jeunes autour de pratiques artistiques.
Chaque été, un collectif de jeunes du département participe à des ateliers pendant une semaine et se déplace chaque jour sur un nouveau pôle territorial afin de créer un spectacle présentant différentes disciplines (chant, danse, beat box, musique). Chacune des résidences artistiques s’est achevée par plusieurs prestations scéniques.
Cette année, de nouveaux jeunes repartiront sur les routes du département au mois de juillet pour créer la 6ème édition de « Listen To This ». Mais avant cela, nous allons accompagner des jeunes du quartier prioritaire dans l’organisation d’une résidence artistique pendant 3 jours au cours des vacances de février. 4 jeunes originaires du quartier Favreau - Les Mauges sont à l’initiative de cette action. Ils veulent présenter un concert de sensibilisation à destination des jeunes du département qui seraient intéressés pour participer la 6ème édition de Listen to this au cours du mois de juillet 2019
- Création artistique « Listen to this in Favreau »
Des jeunes du quartier prioritaire nous ont sollicités afin de les accompagner dans l’organisation d’un évènement dans le cadre de la fête de quartier Favreau - Les Mauges en juin 2019.
Ils veulent partager leur passion de la musique, du chant et de la danse et faire découvrir aux habitants du quartier ce qu’ils sont capables de faire, de transmettre ce qu’ils ont appris et donner envie à d’autres jeunes de faire comme eux.
Ils veulent créer un moment festif qui pourra concerner toutes les générations tout en faisant découvrir la culture urbaine aux personnes qui peuvent avoir certaines représentations négatives de celle-ci. Ils veulent montrer que leur univers artistique est riche, complexe et variée.
C’est aussi le moyen de modifier les préjugés que peuvent ressentir certaines personnes à l’égard de jeunes des quartiers et de ce à quoi ils s’intéressent.
C’est également pour eux l’occasion d’organiser un évènement festif sur le quartier et de donner une bonne image des jeunes du centre social. Voilà pourquoi, nous voulons accompagner une quinzaine de jeunes en amont de l’évènement afin de leur permettre de concevoir leur spectacle au travers d’ateliers de créations artistiques entre mars et juin 2019. La prestation scénique aura lieu en plein cœur du quartier Favreau - Les Mauges le 15 juin 2019. Au travers de leur initiative, nous voulons valoriser leur investissement et leur engagement.
Afin de mener à bien ces ateliers créatifs et participatifs qui laissent une empreinte et valorisent les jeunes du quartier prioritaire de la réflexion à la concrétisation, il nous faudra investir dans l’achat de matériel spécifique et nous appuyer sur les compétences techniques d’intervenants extérieurs.
« Tu taffes et tu claques »
A quoi cela sert-il ?
- Permettre aux jeunes d’appréhender la notion de travail collectif
- Apprendre aux jeunes à respecter des règles et des consignes de sécurité
- Favoriser une rencontre entre des jeunes axée sur la dimension d’effort collectif
- Développer la prise de responsabilité des jeunes et les aider à être acteurs de leurs loisirs
L’action « tu taffes et tu claques » est mise en place depuis le mois de juillet 2016. Celle-ci permet à des jeunes du quartier prioritaire de bénéficier de tarifs très réduits pour la mise en place d’actions de loisirs, en contrepartie de leur implication sur des travaux d’une demi-journée, ou d’une journée au centre social ou sur le quartier. Nous cherchons à valoriser la notion de travail, d’investissement, en permettant aux jeunes d’acquérir une première expérience dans ce domaine.
L’image des jeunes du quartier prioritaire peut être valorisée par la réalisation d’un travail représentant un intérêt pour les usagers du centre social et les habitants du quartier prioritaire.
Cette démarche aide les jeunes à prendre conscience qu’ils sont en capacité de financer une action ponctuelle et leur montre que l’équipe d’animation peut les soutenir dans la mise en œuvre d’autres initiatives (mise en place d’un atelier, organisation d’un bivouac ou d’un séjour…).
Accompagnement d’actions d’autofinancement
A quoi cela sert-il ?
- Développer l’engagement et la participation des jeunes du quartier prioritaire
- Prendre en compte leurs attentes et répondre à leurs besoins d’accompagnement
- Eveiller les potentialités de chacun et favoriser les prises de responsabilité
- Favoriser des dynamiques où les jeunes sont au centre d’un processus qui les concerne dans un cadre d’échange et de co-construction avec l’équipe d’animation, les parents et les bénévoles
Cet accompagnement spécifique s’appuie sur une logique d’implication des jeunes, des parents et des bénévoles. Des jeunes nous ont déjà fait part de leur volonté de s’investir sur plusieurs actions d’autofinancement au cours de l’année :
- Chantier loisirs concernant la réalisation d’une fresque sur un transformateur ENEDIS en février
- Organisation d’un loto le samedi 4 mai
- Resto Planty 4 fois dans l’année pour une vingtaine de personnes
- Fabrication de jus de pomme aux Landes Génusson en octobre
Par le biais de ces actions, nous aidons les jeunes à financer une partie de leurs initiatives. Leur donner l’opportunité de s’exprimer et d’agir leur donne confiance, les valorise et développe leur capacité d’initiative et d’engagement collectif.
Notre rôle est de faire en sorte que chacun puisse trouver sa place dans la mise en œuvre d’une initiative tout en développant des méthodes co-construites avec les parents des jeunes concernés.
Soutien aux dynamiques collectives
Nous encourageons les jeunes du quartier prioritaire à s’engager dans toutes formes de dynamiques collectives. Nous leur proposons des temps d’échanges et de concertation afin de les soutenir et les conseiller dans la mise en œuvre d’actions qui valorisent leur implication :
- Organisation d’une manifestation spécifique dans le cadre de la semaine du jeu au cours des vacances d’hiver (journée autour des jeux vidéo et sensibilisation avec l’association Ouest games)
- Participation à l’organisation des fêtes des écoles Buffon et Turpault en juin
- Accompagnement de jeunes dans la création de Junior Association
Place et rôle des parents : nous serons vigilants à ce que les démarches d’accompagnement soient concertées avec les parents. Nous favoriserons en priorité la participation de jeunes du quartier prioritaire dont les parents disposent de faibles revenus. Nous aurons également une attention particulière à la communication et à la valorisation des actions mises en place. En effet, l’implication des parents constitue une condition essentielle dans la mise en œuvre de ces actions.
L’idée est d’organiser des temps de travail autour de la notion d’engagement avec eux, les jeunes et les bénévoles et ainsi définir collectivement comment l’accompagnement des adultes envers les jeunes peut se matérialiser (ex : présence de parents et de bénévoles sur les temps d’ateliers, les actions d’autofinancement et le dispositif « Tu taffes et tu claques »).
Afin d’accueillir au mieux les jeunes et leur donner envie de s’impliquer pleinement dans cette démarche, il nous paraît primordial de travailler cette notion de lien entre les publics. Nous veillerons également à contractualiser avec les membres du groupe ; cette étape importante symbolise et concrétise le moment de l’engagement, celui où chaque individu devient membre d’un groupe porteur d’une initiative collective. La contractualisation peut aider à souder le groupe autour d’un engagement et d’objectifs communs.Que voulons-nous mettre en œuvre ?
Ateliers artistiques et culturels
A quoi cela sert-il ?
- Développer des espaces d’initiation et d’expérimentation
- Créer un rapprochement entre des jeunes issus d’horizons divers
- Favoriser les échanges, la concertation, l’entraide, fédérer autour d’une initiative commune
- Valoriser les jeunes grâce à des productions de qualité et leur donner confiance
Certains pensent que la curiosité culturelle et la création artistique ne font pas partie des priorités des jeunes des quartiers prioritaires car ils sont perturbés par des préoccupations économiques, éducatives, sociales et familiales. Pourtant, des jeunes que nous accueillons, mettent en avant le besoin de s’évader par la création artistique. C’est pourquoi nous soutenons leurs initiatives dans ce domaine.
Depuis plusieurs années, nous développons des actions de sensibilisation aux pratiques culturelles et des actions de création artistique. Dans le cadre de son orientation éducative et pédagogique, le centre social du Planty fait son maximum, en fonction de ses ressources pour intégrer la culture comme levier d'insertion sociale et ce, de manière transversale en direction des publics du quartier prioritaire.
De fait, depuis 4 ans, une amélioration en matière d'offre culturelle et artistique s'est opérée grâce à la mise en place de projets d’envergure à dimension culturelle :
- -Réalisation du film « Favreau, quand il y aura la mer » dans le cadre de Cinestival en 2014
- -Résidence Artistique « Listen To This » avec l’association angevine l’R de rien, tous les étés depuis 2014
- -Projet Graff « Respect » avec l’artiste Batiste Gandrille avec le collège Clémenceau en 2015
- -Ateliers Breakdance au Planty et au collège Clémenceau en 2016 et 2017
- -Organisation d’un concert dans le cadre de la fête de quartier avec l’association l’R de rien en 2017
- -Réalisation du court-métrage « De poils en étoiles » avec l’association 1.com1 en 2018
Il s’agit maintenant pour nous de conforter l'existant et de soutenir les nouvelles initiatives. Les pratiques d'expression artistique et de découverte culturelle nous apparaissent comme un atout dans le développement personnel des jeunes du quartier prioritaire, aussi bien en matière de connaissances et d’expériences qu’en matière de valorisation.
Quels apports pour les jeunes ?
- Explorer sa propre identité, être valorisé, tendre vers une meilleure estime de soi
- S’exprimer par le biais d’expérimentations artistiques
- Développer et valoriser leur créativité et leur investissement
- Développer la dimension collective et les échanges
- Etre acteur d’un projet culturel innovant
- Développer la confiance, l’autonomie et les prises de responsabilité
- Développer l’implication, l’écoute, la participation, la concentration, « le goût » de l’effort
Quels ateliers voulons-nous développer ?
- Création artistique « Et si on rappait en langue des signes »
Des jeunes des quartiers prioritaires Favreau - Les Mauges et Jean Monnet ont créé un collectif qui se réunira au centre social du Planty afin d’écrire et de composer un morceau de rap en langage oral et en langue des signes sur le thème de la lutte contre les discriminations. Ils réaliseront également une chorégraphie alliant hip hop et danse contemporaine, dans le but de tourner un clip, avec le soutien de l’association choletaise1.COM1.
L'écriture et la composition du rap se réaliseront pendant les vacances de printemps 2019. Durant cette période, les jeunes bénéficieront de la projection-débat de « Travail d'arabe » de Christian Philibert. Cette fiction nous servira de support pour les aider à réfléchir sur les préjugés que l'on peut avoir par rapport à l’origine ou les singularités. Les jeunes enregistreront ensuite leur morceau en studio.
Pendant les vacances d'été, les jeunes réaliseront le clip sur le morceau qu'ils auront créé au printemps. Une danseuse professionnelle leur fera découvrir l'art de la mise en scène et les aidera à transmettre leurs émotions grâce au langage universel du corps. L'association 1.COM1 leur fera découvrir l'outil audiovisuel et ses possibilités. Le clip réalisé pendant l'action, sera projeté en salle pour une séance débat et diffusé sur internet.
Cette création « Et si on rappait en langue des signes » s’inscrit complètement dans notre démarche. Notre expérience dans le cadre d’accompagnement d’initiatives de jeunes ainsi que notre connaissance de certains jeunes qui vont y participer sont des atouts supplémentaires dans la menée du projet.
Nous voulons permettre à ces jeunes de vivre l’expérimentation d’une activité artistique dans une dimension collective, participative et valorisante.
- Création artistique « Listen to this winter collection »
L’initiative « Listen To This » a vu le jour en 2014. Elle s’appuie sur un rapprochement entre l’association angevine L’R de Rien et un collectif d’artistes et d’animateurs socioculturels du département désireux de fédérer des jeunes autour de pratiques artistiques.
Chaque été, un collectif de jeunes du département participe à des ateliers pendant une semaine et se déplace chaque jour sur un nouveau pôle territorial afin de créer un spectacle présentant différentes disciplines (chant, danse, beat box, musique). Chacune des résidences artistiques s’est achevée par plusieurs prestations scéniques.
Cette année, de nouveaux jeunes repartiront sur les routes du département au mois de juillet pour créer la 6ème édition de « Listen To This ». Mais avant cela, nous allons accompagner des jeunes du quartier prioritaire dans l’organisation d’une résidence artistique pendant 3 jours au cours des vacances de février. 4 jeunes originaires du quartier Favreau - Les Mauges sont à l’initiative de cette action. Ils veulent présenter un concert de sensibilisation à destination des jeunes du département qui seraient intéressés pour participer la 6ème édition de Listen to this au cours du mois de juillet 2019
- Création artistique « Listen to this in Favreau »
Des jeunes du quartier prioritaire nous ont sollicités afin de les accompagner dans l’organisation d’un évènement dans le cadre de la fête de quartier Favreau - Les Mauges en juin 2019.
Ils veulent partager leur passion de la musique, du chant et de la danse et faire découvrir aux habitants du quartier ce qu’ils sont capables de faire, de transmettre ce qu’ils ont appris et donner envie à d’autres jeunes de faire comme eux.
Ils veulent créer un moment festif qui pourra concerner toutes les générations tout en faisant découvrir la culture urbaine aux personnes qui peuvent avoir certaines représentations négatives de celle-ci. Ils veulent montrer que leur univers artistique est riche, complexe et variée.
C’est aussi le moyen de modifier les préjugés que peuvent ressentir certaines personnes à l’égard de jeunes des quartiers et de ce à quoi ils s’intéressent.
C’est également pour eux l’occasion d’organiser un évènement festif sur le quartier et de donner une bonne image des jeunes du centre social. Voilà pourquoi, nous voulons accompagner une quinzaine de jeunes en amont de l’évènement afin de leur permettre de concevoir leur spectacle au travers d’ateliers de créations artistiques entre mars et juin 2019. La prestation scénique aura lieu en plein cœur du quartier Favreau - Les Mauges le 15 juin 2019. Au travers de leur initiative, nous voulons valoriser leur investissement et leur engagement.
Afin de mener à bien ces ateliers créatifs et participatifs qui laissent une empreinte et valorisent les jeunes du quartier prioritaire de la réflexion à la concrétisation, il nous faudra investir dans l’achat de matériel spécifique et nous appuyer sur les compétences techniques d’intervenants extérieurs.
« Tu taffes et tu claques »
A quoi cela sert-il ?
- Permettre aux jeunes d’appréhender la notion de travail collectif
- Apprendre aux jeunes à respecter des règles et des consignes de sécurité
- Favoriser une rencontre entre des jeunes axée sur la dimension d’effort collectif
- Développer la prise de responsabilité des jeunes et les aider à être acteurs de leurs loisirs
L’action « tu taffes et tu claques » est mise en place depuis le mois de juillet 2016. Celle-ci permet à des jeunes du quartier prioritaire de bénéficier de tarifs très réduits pour la mise en place d’actions de loisirs, en contrepartie de leur implication sur des travaux d’une demi-journée, ou d’une journée au centre social ou sur le quartier. Nous cherchons à valoriser la notion de travail, d’investissement, en permettant aux jeunes d’acquérir une première expérience dans ce domaine.
L’image des jeunes du quartier prioritaire peut être valorisée par la réalisation d’un travail représentant un intérêt pour les usagers du centre social et les habitants du quartier prioritaire.
Cette démarche aide les jeunes à prendre conscience qu’ils sont en capacité de financer une action ponctuelle et leur montre que l’équipe d’animation peut les soutenir dans la mise en œuvre d’autres initiatives (mise en place d’un atelier, organisation d’un bivouac ou d’un séjour…).
Accompagnement d’actions d’autofinancement
A quoi cela sert-il ?
- Développer l’engagement et la participation des jeunes du quartier prioritaire
- Prendre en compte leurs attentes et répondre à leurs besoins d’accompagnement
- Eveiller les potentialités de chacun et favoriser les prises de responsabilité
- Favoriser des dynamiques où les jeunes sont au centre d’un processus qui les concerne dans un cadre d’échange et de co-construction avec l’équipe d’animation, les parents et les bénévoles
Cet accompagnement spécifique s’appuie sur une logique d’implication des jeunes, des parents et des bénévoles. Des jeunes nous ont déjà fait part de leur volonté de s’investir sur plusieurs actions d’autofinancement au cours de l’année :
- Chantier loisirs concernant la réalisation d’une fresque sur un transformateur ENEDIS en février
- Organisation d’un loto le samedi 4 mai
- Resto Planty 4 fois dans l’année pour une vingtaine de personnes
- Fabrication de jus de pomme aux Landes Génusson en octobre
Par le biais de ces actions, nous aidons les jeunes à financer une partie de leurs initiatives. Leur donner l’opportunité de s’exprimer et d’agir leur donne confiance, les valorise et développe leur capacité d’initiative et d’engagement collectif.
Notre rôle est de faire en sorte que chacun puisse trouver sa place dans la mise en œuvre d’une initiative tout en développant des méthodes co-construites avec les parents des jeunes concernés.
Soutien aux dynamiques collectives
Nous encourageons les jeunes du quartier prioritaire à s’engager dans toutes formes de dynamiques collectives. Nous leur proposons des temps d’échanges et de concertation afin de les soutenir et les conseiller dans la mise en œuvre d’actions qui valorisent leur implication :
- Organisation d’une manifestation spécifique dans le cadre de la semaine du jeu au cours des vacances d’hiver (journée autour des jeux vidéo et sensibilisation avec l’association Ouest games)
- Participation à l’organisation des fêtes des écoles Buffon et Turpault en juin
- Accompagnement de jeunes dans la création de Junior Association
Place et rôle des parents : nous serons vigilants à ce que les démarches d’accompagnement soient concertées avec les parents. Nous favoriserons en priorité la participation de jeunes du quartier prioritaire dont les parents disposent de faibles revenus. Nous aurons également une attention particulière à la communication et à la valorisation des actions mises en place. En effet, l’implication des parents constitue une condition essentielle dans la mise en œuvre de ces actions.
L’idée est d’organiser des temps de travail autour de la notion d’engagement avec eux, les jeunes et les bénévoles et ainsi définir collectivement comment l’accompagnement des adultes envers les jeunes peut se matérialiser (ex : présence de parents et de bénévoles sur les temps d’ateliers, les actions d’autofinancement et le dispositif « Tu taffes et tu claques »).
Afin d’accueillir au mieux les jeunes et leur donner envie de s’impliquer pleinement dans cette démarche, il nous paraît primordial de travailler cette notion de lien entre les publics. Nous veillerons également à contractualiser avec les membres du groupe ; cette étape importante symbolise et concrétise le moment de l’engagement, celui où chaque individu devient membre d’un groupe porteur d’une initiative collective. La contractualisation peut aider à souder le groupe autour d’un engagement et d’objectifs communs.Que voulons-nous mettre en œuvre ?
Ateliers artistiques et culturels
A quoi cela sert-il ?
- Développer des espaces d’initiation et d’expérimentation
- Créer un rapprochement entre des jeunes issus d’horizons divers
- Favoriser les échanges, la concertation, l’entraide, fédérer autour d’une initiative commune
- Valoriser les jeunes grâce à des productions de qualité et leur donner confiance
Certains pensent que la curiosité culturelle et la création artistique ne font pas partie des priorités des jeunes des quartiers prioritaires car ils sont perturbés par des préoccupations économiques, éducatives, sociales et familiales. Pourtant, des jeunes que nous accueillons, mettent en avant le besoin de s’évader par la création artistique. C’est pourquoi nous soutenons leurs initiatives dans ce domaine.
Depuis plusieurs années, nous développons des actions de sensibilisation aux pratiques culturelles et des actions de création artistique. Dans le cadre de son orientation éducative et pédagogique, le centre social du Planty fait son maximum, en fonction de ses ressources pour intégrer la culture comme levier d'insertion sociale et ce, de manière transversale en direction des publics du quartier prioritaire.
De fait, depuis 4 ans, une amélioration en matière d'offre culturelle et artistique s'est opérée grâce à la mise en place de projets d’envergure à dimension culturelle :
- -Réalisation du film « Favreau, quand il y aura la mer » dans le cadre de Cinestival en 2014
- -Résidence Artistique « Listen To This » avec l’association angevine l’R de rien, tous les étés depuis 2014
- -Projet Graff « Respect » avec l’artiste Batiste Gandrille avec le collège Clémenceau en 2015
- -Ateliers Breakdance au Planty et au collège Clémenceau en 2016 et 2017
- -Organisation d’un concert dans le cadre de la fête de quartier avec l’association l’R de rien en 2017
- -Réalisation du court-métrage « De poils en étoiles » avec l’association 1.com1 en 2018
Il s’agit maintenant pour nous de conforter l'existant et de soutenir les nouvelles initiatives. Les pratiques d'expression artistique et de découverte culturelle nous apparaissent comme un atout dans le développement personnel des jeunes du quartier prioritaire, aussi bien en matière de connaissances et d’expériences qu’en matière de valorisation.
Quels apports pour les jeunes ?
- Explorer sa propre identité, être valorisé, tendre vers une meilleure estime de soi
- S’exprimer par le biais d’expérimentations artistiques
- Développer et valoriser leur créativité et leur investissement
- Développer la dimension collective et les échanges
- Etre acteur d’un projet culturel innovant
- Développer la confiance, l’autonomie et les prises de responsabilité
- Développer l’implication, l’écoute, la participation, la concentration, « le goût » de l’effort
Quels ateliers voulons-nous développer ?
- Création artistique « Et si on rappait en langue des signes »
Des jeunes des quartiers prioritaires Favreau - Les Mauges et Jean Monnet ont créé un collectif qui se réunira au centre social du Planty afin d’écrire et de composer un morceau de rap en langage oral et en langue des signes sur le thème de la lutte contre les discriminations. Ils réaliseront également une chorégraphie alliant hip hop et danse contemporaine, dans le but de tourner un clip, avec le soutien de l’association choletaise1.COM1.
L'écriture et la composition du rap se réaliseront pendant les vacances de printemps 2019. Durant cette période, les jeunes bénéficieront de la projection-débat de « Travail d'arabe » de Christian Philibert. Cette fiction nous servira de support pour les aider à réfléchir sur les préjugés que l'on peut avoir par rapport à l’origine ou les singularités. Les jeunes enregistreront ensuite leur morceau en studio.
Pendant les vacances d'été, les jeunes réaliseront le clip sur le morceau qu'ils auront créé au printemps. Une danseuse professionnelle leur fera découvrir l'art de la mise en scène et les aidera à transmettre leurs émotions grâce au langage universel du corps. L'association 1.COM1 leur fera découvrir l'outil audiovisuel et ses possibilités. Le clip réalisé pendant l'action, sera projeté en salle pour une séance débat et diffusé sur internet.
Cette création « Et si on rappait en langue des signes » s’inscrit complètement dans notre démarche. Notre expérience dans le cadre d’accompagnement d’initiatives de jeunes ainsi que notre connaissance de certains jeunes qui vont y participer sont des atouts supplémentaires dans la menée du projet.
Nous voulons permettre à ces jeunes de vivre l’expérimentation d’une activité artistique dans une dimension collective, participative et valorisante.
- Création artistique « Listen to this winter collection »
L’initiative « Listen To This » a vu le jour en 2014. Elle s’appuie sur un rapprochement entre l’association angevine L’R de Rien et un collectif d’artistes et d’animateurs socioculturels du département désireux de fédérer des jeunes autour de pratiques artistiques.
Chaque été, un collectif de jeunes du département participe à des ateliers pendant une semaine et se déplace chaque jour sur un nouveau pôle territorial afin de créer un spectacle présentant différentes disciplines (chant, danse, beat box, musique). Chacune des résidences artistiques s’est achevée par plusieurs prestations scéniques.
Cette année, de nouveaux jeunes repartiront sur les routes du département au mois de juillet pour créer la 6ème édition de « Listen To This ». Mais avant cela, nous allons accompagner des jeunes du quartier prioritaire dans l’organisation d’une résidence artistique pendant 3 jours au cours des vacances de février. 4 jeunes originaires du quartier Favreau - Les Mauges sont à l’initiative de cette action. Ils veulent présenter un concert de sensibilisation à destination des jeunes du département qui seraient intéressés pour participer la 6ème édition de Listen to this au cours du mois de juillet 2019
- Création artistique « Listen to this in Favreau »
Des jeunes du quartier prioritaire nous ont sollicités afin de les accompagner dans l’organisation d’un évènement dans le cadre de la fête de quartier Favreau - Les Mauges en juin 2019.
Ils veulent partager leur passion de la musique, du chant et de la danse et faire découvrir aux habitants du quartier ce qu’ils sont capables de faire, de transmettre ce qu’ils ont appris et donner envie à d’autres jeunes de faire comme eux.
Ils veulent créer un moment festif qui pourra concerner toutes les générations tout en faisant découvrir la culture urbaine aux personnes qui peuvent avoir certaines représentations négatives de celle-ci. Ils veulent montrer que leur univers artistique est riche, complexe et variée.
C’est aussi le moyen de modifier les préjugés que peuvent ressentir certaines personnes à l’égard de jeunes des quartiers et de ce à quoi ils s’intéressent.
C’est également pour eux l’occasion d’organiser un évènement festif sur le quartier et de donner une bonne image des jeunes du centre social. Voilà pourquoi, nous voulons accompagner une quinzaine de jeunes en amont de l’évènement afin de leur permettre de concevoir leur spectacle au travers d’ateliers de créations artistiques entre mars et juin 2019. La prestation scénique aura lieu en plein cœur du quartier Favreau - Les Mauges le 15 juin 2019. Au travers de leur initiative, nous voulons valoriser leur investissement et leur engagement.
Afin de mener à bien ces ateliers créatifs et participatifs qui laissent une empreinte et valorisent les jeunes du quartier prioritaire de la réflexion à la concrétisation, il nous faudra investir dans l’achat de matériel spécifique et nous appuyer sur les compétences techniques d’intervenants extérieurs.
« Tu taffes et tu claques »
A quoi cela sert-il ?
- Permettre aux jeunes d’appréhender la notion de travail collectif
- Apprendre aux jeunes à respecter des règles et des consignes de sécurité
- Favoriser une rencontre entre des jeunes axée sur la dimension d’effort collectif
- Développer la prise de responsabilité des jeunes et les aider à être acteurs de leurs loisirs
L’action « tu taffes et tu claques » est mise en place depuis le mois de juillet 2016. Celle-ci permet à des jeunes du quartier prioritaire de bénéficier de tarifs très réduits pour la mise en place d’actions de loisirs, en contrepartie de leur implication sur des travaux d’une demi-journée, ou d’une journée au centre social ou sur le quartier. Nous cherchons à valoriser la notion de travail, d’investissement, en permettant aux jeunes d’acquérir une première expérience dans ce domaine.
L’image des jeunes du quartier prioritaire peut être valorisée par la réalisation d’un travail représentant un intérêt pour les usagers du centre social et les habitants du quartier prioritaire.
Cette démarche aide les jeunes à prendre conscience qu’ils sont en capacité de financer une action ponctuelle et leur montre que l’équipe d’animation peut les soutenir dans la mise en œuvre d’autres initiatives (mise en place d’un atelier, organisation d’un bivouac ou d’un séjour…).
Accompagnement d’actions d’autofinancement
A quoi cela sert-il ?
- Développer l’engagement et la participation des jeunes du quartier prioritaire
- Prendre en compte leurs attentes et répondre à leurs besoins d’accompagnement
- Eveiller les potentialités de chacun et favoriser les prises de responsabilité
- Favoriser des dynamiques où les jeunes sont au centre d’un processus qui les concerne dans un cadre d’échange et de co-construction avec l’équipe d’animation, les parents et les bénévoles
Cet accompagnement spécifique s’appuie sur une logique d’implication des jeunes, des parents et des bénévoles. Des jeunes nous ont déjà fait part de leur volonté de s’investir sur plusieurs actions d’autofinancement au cours de l’année :
- Chantier loisirs concernant la réalisation d’une fresque sur un transformateur ENEDIS en février
- Organisation d’un loto le samedi 4 mai
- Resto Planty 4 fois dans l’année pour une vingtaine de personnes
- Fabrication de jus de pomme aux Landes Génusson en octobre
Par le biais de ces actions, nous aidons les jeunes à financer une partie de leurs initiatives. Leur donner l’opportunité de s’exprimer et d’agir leur donne confiance, les valorise et développe leur capacité d’initiative et d’engagement collectif.
Notre rôle est de faire en sorte que chacun puisse trouver sa place dans la mise en œuvre d’une initiative tout en développant des méthodes co-construites avec les parents des jeunes concernés.
Soutien aux dynamiques collectives
Nous encourageons les jeunes du quartier prioritaire à s’engager dans toutes formes de dynamiques collectives. Nous leur proposons des temps d’échanges et de concertation afin de les soutenir et les conseiller dans la mise en œuvre d’actions qui valorisent leur implication :
- Organisation d’une manifestation spécifique dans le cadre de la semaine du jeu au cours des vacances d’hiver (journée autour des jeux vidéo et sensibilisation avec l’association Ouest games)
- Participation à l’organisation des fêtes des écoles Buffon et Turpault en juin
- Accompagnement de jeunes dans la création de Junior Association
Place et rôle des parents : nous serons vigilants à ce que les démarches d’accompagnement soient concertées avec les parents. Nous favoriserons en priorité la participation de jeunes du quartier prioritaire dont les parents disposent de faibles revenus. Nous aurons également une attention particulière à la communication et à la valorisation des actions mises en place. En effet, l’implication des parents constitue une condition essentielle dans la mise en œuvre de ces actions.
L’idée est d’organiser des temps de travail autour de la notion d’engagement avec eux, les jeunes et les bénévoles et ainsi définir collectivement comment l’accompagnement des adultes envers les jeunes peut se matérialiser (ex : présence de parents et de bénévoles sur les temps d’ateliers, les actions d’autofinancement et le dispositif « Tu taffes et tu claques »).
Afin d’accueillir au mieux les jeunes et leur donner envie de s’impliquer pleinement dans cette démarche, il nous paraît primordial de travailler cette notion de lien entre les publics. Nous veillerons également à contractualiser avec les membres du groupe ; cette étape importante symbolise et concrétise le moment de l’engagement, celui où chaque individu devient membre d’un groupe porteur d’une initiative collective. La contractualisation peut aider à souder le groupe autour d’un engagement et d’objectifs communs.Que voulons-nous mettre en œuvre ?
- Ateliers artistiques et culturels
A quoi cela sert-il ?
- Développer des espaces d’initiation et d’expérimentation
- Créer un rapprochement entre des jeunes issus d’horizons divers
- Favoriser les échanges, la concertation, l’entraide, fédérer autour d’une initiative commune
- Valoriser les jeunes grâce à des productions de qualité et leur donner confiance
Certains pensent que la curiosité culturelle et la création artistique ne font pas partie des priorités des jeunes des quartiers prioritaires car ils sont perturbés par des préoccupations économiques, éducatives, sociales et familiales. Pourtant, des jeunes que nous accueillons, mettent en avant le besoin de s’évader par la création artistique. C’est pourquoi nous soutenons leurs initiatives dans ce domaine.
Depuis plusieurs années, nous développons des actions de sensibilisation aux pratiques culturelles et des actions de création artistique. Dans le cadre de son orientation éducative et pédagogique, le centre social du Planty fait son maximum, en fonction de ses ressources pour intégrer la culture comme levier d'insertion sociale et ce, de manière transversale en direction des publics du quartier prioritaire.
De fait, depuis 4 ans, une amélioration en matière d'offre culturelle et artistique s'est opérée grâce à la mise en place de projets d’envergure à dimension culturelle :
- -Réalisation du film « Favreau, quand il y aura la mer » dans le cadre de Cinestival en 2014
- -Résidence Artistique « Listen To This » avec l’association angevine l’R de rien, tous les étés depuis 2014
- -Projet Graff « Respect » avec l’artiste Batiste Gandrille avec le collège Clémenceau en 2015
- -Ateliers Breakdance au Planty et au collège Clémenceau en 2016 et 2017
- -Organisation d’un concert dans le cadre de la fête de quartier avec l’association l’R de rien en 2017
- -Réalisation du court-métrage « De poils en étoiles » avec l’association 1.com1 en 2018
Il s’agit maintenant pour nous de conforter l'existant et de soutenir les nouvelles initiatives. Les pratiques d'expression artistique et de découverte culturelle nous apparaissent comme un atout dans le développement personnel des jeunes du quartier prioritaire, aussi bien en matière de connaissances et d’expériences qu’en matière de valorisation.
Quels apports pour les jeunes ?
- Explorer sa propre identité, être valorisé, tendre vers une meilleure estime de soi
- S’exprimer par le biais d’expérimentations artistiques
- Développer et valoriser leur créativité et leur investissement
- Développer la dimension collective et les échanges
- Etre acteur d’un projet culturel innovant
- Développer la confiance, l’autonomie et les prises de responsabilité
- Développer l’implication, l’écoute, la participation, la concentration, « le goût » de l’effort
Quels ateliers voulons-nous développer ?
- Création artistique « Et si on rappait en langue des signes »
Des jeunes des quartiers prioritaires Favreau - Les Mauges et Jean Monnet ont créé un collectif qui se réunira au centre social du Planty afin d’écrire et de composer un morceau de rap en langage oral et en langue des signes sur le thème de la lutte contre les discriminations. Ils réaliseront également une chorégraphie alliant hip hop et danse contemporaine, dans le but de tourner un clip, avec le soutien de l’association choletaise1.COM1.
L'écriture et la composition du rap se réaliseront pendant les vacances de printemps 2019. Durant cette période, les jeunes bénéficieront de la projection-débat de « Travail d'arabe » de Christian Philibert. Cette fiction nous servira de support pour les aider à réfléchir sur les préjugés que l'on peut avoir par rapport à l’origine ou les singularités. Les jeunes enregistreront ensuite leur morceau en studio.
Pendant les vacances d'été, les jeunes réaliseront le clip sur le morceau qu'ils auront créé au printemps. Une danseuse professionnelle leur fera découvrir l'art de la mise en scène et les aidera à transmettre leurs émotions grâce au langage universel du corps. L'association 1.COM1 leur fera découvrir l'outil audiovisuel et ses possibilités. Le clip réalisé pendant l'action, sera projeté en salle pour une séance débat et diffusé sur internet.
Cette création « Et si on rappait en langue des signes » s’inscrit complètement dans notre démarche. Notre expérience dans le cadre d’accompagnement d’initiatives de jeunes ainsi que notre connaissance de certains jeunes qui vont y participer sont des atouts supplémentaires dans la menée du projet.
Nous voulons permettre à ces jeunes de vivre l’expérimentation d’une activité artistique dans une dimension collective, participative et valorisante.
- Création artistique « Listen to this winter collection »
L’initiative « Listen To This » a vu le jour en 2014. Elle s’appuie sur un rapprochement entre l’association angevine L’R de Rien et un collectif d’artistes et d’animateurs socioculturels du département désireux de fédérer des jeunes autour de pratiques artistiques.
Chaque été, un collectif de jeunes du département participe à des ateliers pendant une semaine et se déplace chaque jour sur un nouveau pôle territorial afin de créer un spectacle présentant différentes disciplines (chant, danse, beat box, musique). Chacune des résidences artistiques s’est achevée par plusieurs prestations scéniques.
Cette année, de nouveaux jeunes repartiront sur les routes du département au mois de juillet pour créer la 6ème édition de « Listen To This ». Mais avant cela, nous allons accompagner des jeunes du quartier prioritaire dans l’organisation d’une résidence artistique pendant 3 jours au cours des vacances de février. 4 jeunes originaires du quartier Favreau - Les Mauges sont à l’initiative de cette action. Ils veulent présenter un concert de sensibilisation à destination des jeunes du département qui seraient intéressés pour participer la 6ème édition de Listen to this au cours du mois de juillet 2019
- Création artistique « Listen to this in Favreau »
Des jeunes du quartier prioritaire nous ont sollicités afin de les accompagner dans l’organisation d’un évènement dans le cadre de la fête de quartier Favreau - Les Mauges en juin 2019.
Ils veulent partager leur passion de la musique, du chant et de la danse et faire découvrir aux habitants du quartier ce qu’ils sont capables de faire, de transmettre ce qu’ils ont appris et donner envie à d’autres jeunes de faire comme eux.
Ils veulent créer un moment festif qui pourra concerner toutes les générations tout en faisant découvrir la culture urbaine aux personnes qui peuvent avoir certaines représentations négatives de celle-ci. Ils veulent montrer que leur univers artistique est riche, complexe et variée.
C’est aussi le moyen de modifier les préjugés que peuvent ressentir certaines personnes à l’égard de jeunes des quartiers et de ce à quoi ils s’intéressent.
C’est également pour eux l’occasion d’organiser un évènement festif sur le quartier et de donner une bonne image des jeunes du centre social. Voilà pourquoi, nous voulons accompagner une quinzaine de jeunes en amont de l’évènement afin de leur permettre de concevoir leur spectacle au travers d’ateliers de créations artistiques entre mars et juin 2019. La prestation scénique aura lieu en plein cœur du quartier Favreau - Les Mauges le 15 juin 2019. Au travers de leur initiative, nous voulons valoriser leur investissement et leur engagement.
Afin de mener à bien ces ateliers créatifs et participatifs qui laissent une empreinte et valorisent les jeunes du quartier prioritaire de la réflexion à la concrétisation, il nous faudra investir dans l’achat de matériel spécifique et nous appuyer sur les compétences techniques d’intervenants extérieurs.
- « Tu taffes et tu claques »
A quoi cela sert-il ?
- Permettre aux jeunes d’appréhender la notion de travail collectif
- Apprendre aux jeunes à respecter des règles et des consignes de sécurité
- Favoriser une rencontre entre des jeunes axée sur la dimension d’effort collectif
- Développer la prise de responsabilité des jeunes et les aider à être acteurs de leurs loisirs
L’action « tu taffes et tu claques » est mise en place depuis le mois de juillet 2016. Celle-ci permet à des jeunes du quartier prioritaire de bénéficier de tarifs très réduits pour la mise en place d’actions de loisirs, en contrepartie de leur implication sur des travaux d’une demi-journée, ou d’une journée au centre social ou sur le quartier. Nous cherchons à valoriser la notion de travail, d’investissement, en permettant aux jeunes d’acquérir une première expérience dans ce domaine.
L’image des jeunes du quartier prioritaire peut être valorisée par la réalisation d’un travail représentant un intérêt pour les usagers du centre social et les habitants du quartier prioritaire.
Cette démarche aide les jeunes à prendre conscience qu’ils sont en capacité de financer une action ponctuelle et leur montre que l’équipe d’animation peut les soutenir dans la mise en œuvre d’autres initiatives (mise en place d’un atelier, organisation d’un bivouac ou d’un séjour…).
- Accompagnement d’actions d’autofinancement
A quoi cela sert-il ?
- Développer l’engagement et la participation des jeunes du quartier prioritaire
- Prendre en compte leurs attentes et répondre à leurs besoins d’accompagnement
- Eveiller les potentialités de chacun et favoriser les prises de responsabilité
- Favoriser des dynamiques où les jeunes sont au centre d’un processus qui les concerne dans un cadre d’échange et de co-construction avec l’équipe d’animation, les parents et les bénévoles
Cet accompagnement spécifique s’appuie sur une logique d’implication des jeunes, des parents et des bénévoles. Des jeunes nous ont déjà fait part de leur volonté de s’investir sur plusieurs actions d’autofinancement au cours de l’année :
- Chantier loisirs concernant la réalisation d’une fresque sur un transformateur ENEDIS en février
- Organisation d’un loto le samedi 4 mai
- Resto Planty 4 fois dans l’année pour une vingtaine de personnes
- Fabrication de jus de pomme aux Landes Génusson en octobre
Par le biais de ces actions, nous aidons les jeunes à financer une partie de leurs initiatives. Leur donner l’opportunité de s’exprimer et d’agir leur donne confiance, les valorise et développe leur capacité d’initiative et d’engagement collectif.
Notre rôle est de faire en sorte que chacun puisse trouver sa place dans la mise en œuvre d’une initiative tout en développant des méthodes co-construites avec les parents des jeunes concernés.
- Soutien aux dynamiques collectives
Nous encourageons les jeunes du quartier prioritaire à s’engager dans toutes formes de dynamiques collectives. Nous leur proposons des temps d’échanges et de concertation afin de les soutenir et les conseiller dans la mise en œuvre d’actions qui valorisent leur implication :
- Organisation d’une manifestation spécifique dans le cadre de la semaine du jeu au cours des vacances d’hiver (journée autour des jeux vidéo et sensibilisation avec l’association Ouest games)
- Participation à l’organisation des fêtes des écoles Buffon et Turpault en juin
- Accompagnement de jeunes dans la création de Junior Association
Place et rôle des parents : nous serons vigilants à ce que les démarches d’accompagnement soient concertées avec les parents. Nous favoriserons en priorité la participation de jeunes du quartier prioritaire dont les parents disposent de faibles revenus. Nous aurons également une attention particulière à la communication et à la valorisation des actions mises en place. En effet, l’implication des parents constitue une condition essentielle dans la mise en œuvre de ces actions.
L’idée est d’organiser des temps de travail autour de la notion d’engagement avec eux, les jeunes et les bénévoles et ainsi définir collectivement comment l’accompagnement des adultes envers les jeunes peut se matérialiser (ex : présence de parents et de bénévoles sur les temps d’ateliers, les actions d’autofinancement et le dispositif « Tu taffes et tu claques »).
Afin d’accueillir au mieux les jeunes et leur donner envie de s’impliquer pleinement dans cette démarche, il nous paraît primordial de travailler cette notion de lien entre les publics. Nous veillerons également à contractualiser avec les membres du groupe ; cette étape importante symbolise et concrétise le moment de l’engagement, celui où chaque individu devient membre d’un groupe porteur d’une initiative collective. La contractualisation peut aider à souder le groupe autour d’un engagement et d’objectifs communs.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
27800.00€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
4 animateurs
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Tiers lieu numérique
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL HORIZON - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Intégration
- intergénérationnel
- Mixité sociale
- Résumé
La finalité du projet consiste en la création d’un « tiers lieu » dédié au numérique de type « Fablab ». Celui-ci s’étalera sur l’ensemble du projet social 2021/2024.
Un « tiers lieu » est un espace convivial où les habitants peuvent se rencontrer, se réunir, échanger de façon informelle. Il permet l’expression de la solidarité, le partage libre de ressources, de compétences et de savoirs et est source d’innovations sociales. Celui que nous souhaitons mettre en place sera essentiellement tourné vers le numérique.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Le numérique prend aujourd’hui une place de plus en plus centrale dans l’organisation et la transformation de la société. Cette « transition numérique » est perçue comme une opportunité de développer de nouveaux outils au service de tous. Cependant le numérique peut-être facteur d’exclusion s’il y a une absence d’accompagnement dans les usages. On évalue en France que 13 millions de personnes rencontrent des difficultés avec le numérique.
- Cette « transition du numérique » est accélérée par l’ambition gouvernementale d’une dématérialisation à 100% des démarches administratives à l’horizon 2022. Cette échéance donne un coup d’accélération à la nécessité d’une médiation numérique pour accompagner tous les individus dans ce nouveau modèle de société.
- La fracture numérique se mesure tant d’un point de vue de l’outil, que de l’usage. Il ne suffit pas de pouvoir se payer un ordinateur et une connexion internet, mais aussi d’être capable de s’en servir.
- L’utilisation d’Internet révolutionne notre mode de fonctionnement quotidien, les moyens de communiquer, les liens sociaux. Il en découle des questions de prévention : quelles sont limites, comment utiliser les applications Internet de façon lucide, à partir de quand passe-t-on trop de temps devant les écrans… ? Ces questions se posent principalement pour le jeune public.
- La fracture numérique entraine l’exclusion sociale. Faire ses démarches administratives, inscrire ses enfants à des activités sportives, payer la cantine scolaire…avec la multiplication des démarches en ligne et la dématérialisation des services publics, avoir accès à internet est indispensable. Pourtant les freins sont nombreux et pour beaucoup de personnes, la barrière de la langue pour les personnes d’origine étrangère, l’âge, la situation économique, sont autant de facteurs discriminants.
- Le confinement que nous venons de vivre récemment, démontre l’importance du numérique dans la communication avec nos proches, mais également avec les institutions.
- Nous avons régulièrement des demandes d’habitants pour leurs démarches administratives, faire un CV, imprimer des documents reçus depuis leur smartphone.
- Les seniors qui fréquentent le Centre Social sont très demandeurs pour apprendre à utiliser leur ordinateur. Comment envoyer des mails, comment envoyer ou lire les photos envoyées par la famille, comment naviguer sur le net… ? Ils ont également certaines appréhensions avec l’outil numérique, peur de se faire pirater, peur de ne pas savoir l’utiliser correctement.
- Les enfants que nous accueillons dans le cadre du CLAS notamment ne sont pas tous équipés d’ordinateurs à la maison. Cela creuse les inégalités et l’accès à l’apprentissage.
- Les familles qui fréquentent le Centre Social exprime ne pas être à l’aise avec l’informatique. Les causes les plus souvent exprimées :
La méconnaissance de l’informatique, la complexité des sites : les sites qui se ressemblent (j’ai des difficultés à trouver le bon site), les mots de passe pour chaque compte, le blocage des comptes, la difficulté des tâches numériques, peur de perdre le réseau, ne pas avoir le bon matériel numérique, ne pas avoir un outil informatique, ne pas maîtriser la longue française, le langage administratif est difficile.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Dans un premier temps, nous allons mettre en place une quinzaine autour du numérique pour sensibiliser nos différents publics (enfants, jeunes familles, seniors) à l’usage numérique. Celle-ci est programmée en avril 2021 soit une semaine avant les vacances scolaires de printemps et la première des vacances. Cela dans le but de pouvoir travailler en amont avec les écoles et pour donner envie aux familles de venir sur la deuxième semaine.
Tout au long de ces deux semaines, nous allons proposer différents ateliers de découverte des soirées débats, des conférences, dont les contenus sont encore en cours d’élaboration. Ce projet est travaillé conjointement avec les Centres Sociaux Pasteur et le Verger de Cholet.
Quelques exemples toutefois d’ateliers que nous pourrions proposer :
-
- Accès aux droits et démarches administratives
- Découverte de l’outil numérique
- Découverte des logiciels libres
- Découverte des métiers liés au numérique
- Modélisation 3D
- Imprimante 3D
- Casques de réalité virtuelle
- Robotique
- Logiciels libres
- Brodeuse numérique
- Découpe laser
- Visite culturelle virtuelle
- Jeux vidéo
- Vidéo/audiovisuel
- Effets spéciaux
- Codage
- Liseuses numériques
- Conférences/débats…
-
- Ressources financières mobilisées pour cette action
en cours
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 salarié médiateur numérique
Une commission numérique composée de 5 bénévoles
- Résultat sur le territoire
Réduction de la fracture numérique
Développement des liens sociaux sur le quartier
- Résultat pour le centre social
Placer le Centre Social comme un acteur incontournable dans l'accompagnment des publics vers le numérique
- Résultat pour les habitants
Avoir un lieu ressources pour les démarches adminstratives et l'accès au numérique
- Suite de l'action : Limites
Pérennité des financments pour le poste du salarié
- Suite de l'action : Perspectives
Inscrire l'action dans la durée
Actions
CCopérative jeunesse de services
- Structure organisatrice
- LEO LAGRANGE OUEST- Ginette Leroux TRELAZE - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- Résumé
La coopérative jeunesse de services est un apprentissage de l’entreprenariat, dans la coopération au travail, pendant deux mois.
En amont, une démarche d'informations, de mobilisation et de recrutement est organisée dès le mois de mars, lors du forum job d'été, en direction des jeunes. Les animateurs sont formés au fonctionnement et à la gestion de la CJS (une semaine en juin).
Concrètement, ce sont des jeunes Trélazéen (-ne)s, accompagnés par deux animateurs, qui apprennent à conduire une entreprise coopérative :
- Proposer des services à la population du territoire,
- Prendre des décisions collectivement, définir une stratégie de commercialisation,
- Décider de l'affectation des résultats.
Pour les jeunes, la CJS répond au besoin de trouver un emploi d'été rémunéré, mais son impact et ses retombées ne se limitent pas à cela. La coopérative initie les jeunes au fonctionnement démocratique d'une entreprise, à l'organisation collective du travail, à la gestion coopérative et au fonctionnement du marché.
Un projet de prise en charge par les jeunes…
La volonté première du projet CJS est d'offrir aux jeunes coopérants un milieu propice aux apprentissages relatifs, entre autre, à l'exercice du pouvoir démocratique, à la gestion d'entreprise collective et à la réalité du travail.
La qualité de ces apprentissages est grandement influencée par l'approche pédagogique coopérative mise en place au sein du projet.
Les principes pédagogiques appliqués développent chez les jeunes, la responsabilisation personnelle et mutuelle, la solidarité, la motivation ainsi que la compréhension réelle de l'utilité des apprentissages.
Ainsi, les coopérants en viennent graduellement à piloter leur projet. Cette prise en charge de la CJS se fait en fonction du rythme, de l'intérêt et de la capacité d'apprentissage de chacune et de chacun des jeunes, et du groupe lui-même.
L'idée est de mobiliser pour l'été, un groupe hétérogène (garçons, filles, étudiants, demandeurs d'emploi... de 16 à 25 ans), de les former sur les notions entreprenariat et les faire "monter une entreprise de services le temps d'un été".
Les services seront divers et variés (jardinage, baby sitting, nettoyage de chariots, de vitrines...) et seront proposés aux habitants et aux entreprises du territoire.
Le groupe sera suivi par un animateur LLO (éducation populaire), et un animateur recruté par Coup de Pouce 49 (avec un profil économique, social et solidaire).
De juin à septembre 2015 et 2016, la coopérative jeunesse de service a trouvé toute sa place au sein du centre social Ginette Leroux.
En 2015, c’est :
- Un nom : « Trélaz’& vous »,
- Deux animateurs formés : un de l’éducation populaire et un du pôle économie sociale et solidaire,
- 21 jeunes candidats, 15 participants (5 filles et 10 garçons), 14 qui sont allés jusqu’au bout de l’aventure,
- 6 jeunes issus de quartiers prioritaires, 7 demandeurs d’emploi, tous entre 16 et 20 ans,
- 4 179 € de chiffres d’affaire,
- 300 heures de contrat,
- 36 contrats (29 particuliers et 7 pour des entreprises, collectivités et associations),
- 389 heures par coopérant de travail effectif, 65 heures de formation,
- Une entraide et solidarité au quotidien,
- Une organisation en comité (ressources humaines, finances marketing…).
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Permettre aux jeunes d'avoir une première expérience dans l'entrepreunariat
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
un comité de piloate et de suivi par les partenaires 4 fois par an.
une formation pour les jeunes et les animateurs sur le travail coopératif en entreprise
Création d'une entre^prise sur 2 mois avec un CA
- Ressources financières mobilisées pour cette action
12500 euros
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
10 personnes
- Résultat sur le territoire
revalorisation des 14 jeunes au regard des habitants
- Résultat pour le centre social
ouverture du partenariat vers les entreprises locales
- Résultat pour les habitants
regard solidaire et admiratif vers les jeunes coopérants
- Suite de l'action : Limites
le financement des salaires des 2 animateurs encadrants
- Suite de l'action : Perspectives
reconduction de l'action tous les étés.
Actions
"Le Trois-Mâts accoste"
- Structure organisatrice
- MAISON DE QUARTIER LE TROIS MATS - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Démocratie & citoyenneté
- vacances / loisirs
- Résumé
Animations de proximité en pied de batiment, sur des ilôts d'habitat social.
installation d'un espace de vie
Pour les autres périodes, l’utilisation des espaces sportifs identifiés sur le quartier comme ceux de la Baraterie et Villoutreys permettra à l’équipe de mettre en place des
animations sportives avec le soutien des associations telles que le Sporting Club angevin et autres associations sportives ainsi que le Service des Sports de la Ville
d’Angers. Ces actions permettront d’entrer en relation avec les jeunes éloignés de nos propositions, considérant que les pratiques sportives sont des supports adaptés pour
une grande majorité des jeunes. Elles seront néanmoins compléter par des temps de proximité plus déambulatoire pour capter les jeunes là où ils se trouvent.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La constructiuon sociologique fait souvent référence à une "mixité" de l'hébiatnt et la population. Des îlots font apparaitre des signes d'appauvrissement e tde précarisation, nécessitant une attention toute particulière, notamment en période estivale. Le départ en vacances n'est pas une évidence pour tout le monde.
L'enjeu de cette démarche de proximité est de s'adresser vers des ilôts ou secteurs encore éloignés de nos propositions plus traditionnelles. Faire du hors les murs s'inscrit dans l'idée d'aller vers, de s'immiscer dans des espaces informels de lieux de vie public, en période estivale pour capter l'attention, la prole et l'engagement des jeunes et de tous les publics plus largement...
« Aller vers » les habitants implique la mise en oeuvre des moyens nécessaires facilitant :
- ... l’interconnaissance et la convivialité.
- ... l’accès des habitants aux outils de droit commun.
- ... leur implication dans la vie de leur quartier.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Mobilité et identification de l’équipe :
- .... Choix d’un espace sur chaque quartier repérable et adapté.
- .... Véhicule permettant l’installation d’un espace convivial et attrayant.
® ......Supports d’animation et d’information favorisant la rencontre et le lien avec les
habitants :
- .... Prise en compte de leur parole par le biais des supports audiovisuels : micro trottoirs, photo, vidéo, radio.
- .... Animation ludique : jeux de plein air / jeux de plateau.
- .... Temps d’information spécifiques dédiés à des thématiques liées à la recherche d’emploi, la santé, les vacances, l’éducation et la scolarité avec la
présence 1 fois par mois du coordinateur parentalité de la maison de quartier.
- .... Temps festifs sur les grandes vacances favorisant l’implication des habitants en soirée.- utilisation des espaces sportifs identifiés sur le quartier et déambulation pour capter les jeunes là où ils se trouvent
un outil de terrain pertinent et facile d'accès et d'appropriation :INSIDE OUT, projet photographique participatif : ou comment valoriser la diversité de portraits qui compose notre quartier
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Appui sur les ressources spécifiques des animateurs de la maiso nde quartier + temps de coordination
charges de fonctionnement hors salaires : 3200 € (fournitures, impression photos, locations jeux et strcutures, droit de films projection et location écran)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
120 portraits d'habitants + équipe d'une 30e de colleurs d'affiche + 12 photographes
Présents sur les temps d'animations : 180 enfants, 90 ados, 105 adultes
5 animateurs professionnels en continu
- Résultat sur le territoire
Valorisation du quartier à l'échelle de la ville et bien plus par un projet photographique de renommée international (Inside Out, proté parl'artiste JR)
Mise en scène et valorisation de portraits d'habitants tout âge, hors cadre associatif, institutionnel,...
- Résultat pour le centre social
Mise en réseau d'habitants sur un engagement à plus long terme au dynamisme du projet social. formulation de problématique sur lesquelles travailler toute l'année par la suite...
- Résultat pour les habitants
Alternative appréciée et attendue au départ en vacances, en complément des sorties mer à la journée en famille et offre de séjours enfance/ jeunesse
Réappropriation de l'espace public différent du quotidien. comment revisiter des lieux vers plus de convivialité, de lien social?
- Suite de l'action : Limites
Manque de partenaires près à s'investir sur des actions de proximité sur un quartier non prioritaire. difficulté à déployer des moyens humains et financiers supplémentaires
Manque d'implication des habitants dans la constructiuon de ces temps d'animation
- Suite de l'action : Perspectives
Dès le printemps, organisation d'animation "fete de quartier " en appui sur des habitants relais pour mobilisation de voisins, collectifs,... pour ajuster les propositions et s'appuyer sur des initiatives
organisation d'un vote des habitants sur le choix du ciné de plein air dans chaque ilôt
Coorganisation du dispositif avec les acteurs de l'aide à domicile pour mieux identifier les personnes isolées, en perte de mobilité...
Actions
La violence non merci !
- Structure organisatrice
- Centre Marcelle Menet - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Cette action était prévue pour durée un mois. Toutefois aujourd'hui nous continuons à travailler sur les questions de violence avec les jeunes du quartier
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Démocratie & citoyenneté
- discriminations
- Résumé
Tout au long du mois d'octobre, l'ensemble des partenaires associatifs et institutionnels du territoire se sont mobilisés pour proposer des temps d'ateliers, des rencontres, des visites ou des évènements amenant à réfléchir aux causes et aux conséquences de la violence : Des ateliers slam et poésie / des lectures à haute voix du roman de Rachel Corenblit, 146 298 / une appoche artistique de l'exode au collège / des ateliers "lache la violence" avec les enfants de l'école du secteur / des collectes de paroles paret avec les jeunes du quartier "faut-il être un guerrier pour vivre dans un quartier?" / la réalisation par les jeunes d'un court métrage "violence(s)" / une formation à la médiation par la pairs / Des conférences :" l'éducation dans les cultures d'afrique" , "la place de la violence à l'adolescence", "accompagner le parentalité dans un contexte interculturel" / des témoignages : "les camps de la seconde guerre mondiale", le "harcelement scolaire", des débats blabla pizza "la violence si on en parlait" / des visites : le site de la "mémoire" à Oradour-sur-glane / des projections suivis de débats "l'Odyssée de l'Empathie", l'éducation dans le cultures d'Afrqiue" "Kirikou et la sorcière pour les plus petits / des spectacles "ma vie en jeu" / des ateliers et lecture de conte / des soirées jeux / un flash mob.
Nous avons comptabilisé plus de 2 000 participations à ces évènements.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Nous constatons fréquemment les difficultés que rencontrent certains enfants et/ou jeunes du territoire à accepter les codes qui font références dans notre organisation sociétale. Le manque de respect envers l’adulte, la violence verbale, l’incapacité à accepter la frustration, le refus de la règle, sont autant de symptômes de ce que nous considérons comme une socialisation inachevée pour certains des enfants et/ou jeunes que nous rencontrons sur le quartier.
Lorsque nous rencontrons les familles, certaines expliquent se sentir en difficulté. Progressivement, quelques enfants prennent le dessus sur l’autorité des parents. N’acceptant plus la frustration, ils contrôlent de moins en moins leurs émotions et se placent régulièrement dans des situations difficiles. Un rappel à la loi est malheureusement souvent nécessaire pour aider ces jeunes à se replacer dans des comportements socialement acceptables.
Progressivement, les phénomènes de violence entre jeunes ou à l’encontre d’adultes se renforcent de manière préoccupante sur le territoire. Les jeunes y fonctionnent en groupe. Ils communiquent entre eux par sms et donnent rendez-vous aux jeunes des autres quartiers sur les réseaux sociaux. Nous constatons que les bagarres organisées avec les jeunes des autres quartiers de la ville sont de plus en plus fréquentes. Nous assistons régulièrement à des regroupements d’une cinquantaine de jeunes qui souhaitent en découdre avec d’autres groupes. Bien qu’ils se mettent en danger, ils semblent s’en amuser et abordent les combats à "la manière de sportifs".
A la violence physique s’ajoute la violence morale. Les agressions verbales sont fréquentes. Dans cette étrange atmosphère, faire sa place parmi les jeunes du quartier oblige malheureusement à se protéger derrière des comportements violents. Ainsi, acteurs, témoins ou cibles de la violence, les jeunes du quartier en sont généralement les premières victimes.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Cette action a été pensé au sein le la commission continuité éducative animée par le centre social. Dans un premier temps un comité de pilotage constitué du centre social, du Collège Montaigne, de l'Ecole Fratellini, des éducateurs de prévention spécialisée et et des médiateurs sportifs a commencé définir les objectifs et les contours de ce projet.Tres vite l'ensemble des partenaires associatifs et institutionnels du territoire se sont joints au porjet. Il s'agit par exemple de la Régie de quartier, la bibliothèque, la ludothèque, l'Association Trait d'Union, l'Association AIFA, le REDA, la MDS, le Pôle territorial, le service éducation enfance, les écoles Isoret et Larevallière etc.
De nombreux temps de travail et de coordination ont été nécessaire pour mener à bien cette action. Le centre social en a assuré l'animation.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
15 000 euros ont été nécessaire pour financer le coût des intervenants, spectacles, des expositions, des projections des voyages et des visites.
5 700 euros ont été pris en charge dans le cadre du Contrat de Ville Unique.
4 000 euros dans le cadre d'une aide parlementaire
3 000 dans au titre des animations de proximité du centre social
1 300 par les collèges de secteur pour leur participation au spectacle "Ma vie en jeu"
1 000 euros sur les fonds propres du centre social
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Nous avons comptabilisé plus de 2 137 participations aux différents temps pour environ 1 000 habitants concernés
- Résultat sur le territoire
Cette mobilisation massive des acteurs socio-éducatifs du territoire contre la violence a permis l'affirmation d'un message "anti-violence"; il semble que ce message ait été écouté,entendu et réfléchit par de nombreux jeunes. Pour autant nous assistons toujours à des phénomènes de violence entre jeunes des quartiers.
- Résultat pour le centre social
Ce travail partenarial a relancé la dynamique de coopération autour du centre social. aujourd'hui l'ensemble des acteurs se remobilise pour travailler à la mise en place d'une année de l'interculturalité "tous différents".
- Résultat pour les habitants
Comme pour les jeunes, il semble que le message ait été entendu et réfléchit par les adultes du quartier. Il semble aussi qu'un travail d'affirmation de la non violence redonne de la légitimité aux adultes pour se positionner lors des phénomènes de violence des jeunes.
- Suite de l'action : Limites
Malheuresement nous constatons toujours des phénomènes de violence sur le territoire. L'action a été un lancement d'un travail de fond qu'il appartient aux acteurs de conduire au quotidien
- Suite de l'action : Perspectives
Le travail de réalisation d'un court métrage a fortement mobilisé une vingtaine de jeunes; Ils souhaitent continuer ce travail et organiser des actions de sensibilisation dans d'autres quartiers de la Ville. Un atelier vient d'être créé au centre social pour accompagner cette démarche.
Actions
Local jeunes 16/25 ans : un lieu de sociabilité pour tous les jeunes adultes
- Structure organisatrice
- MAISON POUR TOUS MONPLAISIR - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Démocratie & citoyenneté
- Intégration
- Résumé
Le local jeunes est un espace implanté en dehors de toute institution pour accueillir les jeunes adultes de 16 à 25 ans dans un quartier populaire où un tiers de la population vit sous le seuil de pauvreté. Il est ouvert du mardi au samedi en périodes scolaires et du lundi au vendredi en périodes de vacances scolaires de 17h00 à 22h00. Le local jeunes est un espace aménagé pour bien accueillir les jeunes (bar, canapé, baby-foot, jeux de société) qui s'adapte au temps des jeunes (ouverture encore plus tardive en fonction des demandes).
L'équipe d'animation composée de trois professionnels met en place un service d’aide : documentation, mise en relation avec des institutions et des partenaires, aide à la recherche d’emploi, de stage, de formation, ou d’orientation.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Autre
- Précision ( si autre )
Suite à des demandes récurrentes de jeunes qui lui étaient formulées en vue de bénéficier d’un lieu dédié dans le quartier de Monplaisir, la Ville d’Angers s’est engagée à créer un espace pour les 16/25 ans dans ce quartier en 2008.
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le projet du Local jeunes s'inscrit dans un projet de développement local, complémentaire et cohérent avec l’offre existante :
- Favoriser la mixité entre jeunes (sociale et de genre)
- Promouvoir la participation des jeunes
- Capter des publics « NEET »/«hors-circuit » dans le but de les inscrire dans des parcours d’insertion sociale et professionnelle en lien avec les différents acteurs jeunesse
La commande de la Ville exprime, dans le cahier des charges, cet objectif d’accueil en lui attribuant trois modalités opérationnelles :
- « Être ouvert aux différentes jeunesses du quartier.
- Leur permettre de se rencontrer de façon informelle.
- Être adapté aux temps des jeunes. L’accueil doit être souple, sans inscription obligatoire, il doit être organisé en fonction des besoins et réalités locales. »
A ces trois modalités de mise en œuvre du local jeunes, s’ajoute la recherche de visibilité dans la mesure où il s’agit aussi de remettre les jeunes au cœur du quartier. Le Local jeunes a ainsi été implanté le long d'une artère de communication importante. Le lieu a vocation à accueillir tous les jeunes du quartier, sans exception, dans une optique d’« espace de sociabilité ».
- Public
- Jeunes adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Suite à des demandes récurrentes de jeunes qui lui étaient formulées en vue de bénéficier d’un lieu dédié dans le quartier de Monplaisir, la Ville d’Angers s’est engagée à créer un espace pour les 16/25 ans dans ce quartier en 2008.
A l’été 2009, un appel à projet dans le cadre d’un marché public à procédure adapté (MAPA) a été lancé par la Municipalité en vue d’en confier la gestion et l’animation à un opérateur. La Maison pour tous de Monplaisir (MPTM) a répondu à l'appel à projet et s’est vue confier la gestion et l’animation de ce nouveau lieu.
Le local jeunes a officiellement ouvert ses portes en novembre 2010 pour une expérimentation d’un an. Il a ensuite été reconduit dans sa phase expérimentale. En 2016, à la fin de la phase expérimentale, la gestion du local jeunes a été intégré à la Covention Pluriannuelle d'Objectifs de la Maison pour tous.
Le local jeunes est doté de deux instances de gouvernance : l’une chargé du pilotage du projet et l’autre du suivi de sa mise en œuvre. Le comité de pilotage réunit les élus de la Ville et de la Maison pour tous. Il a pour a pour objectif de faire le bilan de l’activité du local, prendre des décisions quant à ses orientations et son financement et opérer, le cas échéant, des arbitrages. Le comité technique représente l’instance opérationnelle de la mise en œuvre du projet du local jeunes. Il a pour objectif le suivi et la régulation des activités qui y sont menées. Le comité technique réunit les acteurs suivants : Maison pour tous, Direction jeunesse de la Ville, Association pour la Sauvegarde de l’enfance et l’Adolescence (ASEA), le chef de projet du pôle de territoire de la Ville, la Mission Locale Angevine (MLA). Dans cette instance, les animateurs proposent un retour de leur activité et de leur expérience, présentent ce qui pose question ou problème et le mettent en débat.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
100.200 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 professionnels (Conseiller ESF, Moniteur-éducateur, animateur socio-culturel)
- Résultat sur le territoire
Les 180 jeunes qui fréquentent le local durant l'année sont majoritairement des garçons âgés de 16 à 22 ans. Près d'un tiers de ces jeunes sont des jeunes "hors-circuit". Les filles sont très marginales. Nombreux sont les témoignages recueillies au niveau de l’évaluation pour faire part de la baisse des tensions dans les espaces publics, aujourd’hui plus apaisé grâce au local jeunes.
- Résultat pour le centre social
Le local jeunes a permi à la Maison pour tous d'élargir son offre et de retisser du lien avec un public de jeunes adultes. Elle peut désormais intégrer des jeunes adultes aux activités intergénérationnelles qu'elle mène sur le territoire.
- Résultat pour les habitants
Les jeunes qui le fréquentent l’apprécient avant tout en tant que lieu de sociabilité avec différents « services » : café, baby foot, télé, presse. La présence des animateurs leur offre un repère et donne parfois du sens à leur présence :
« C’est comme un petit café où on est posé. On peut discuter, s’amuser, c’est une zone de rencontre. Ici, ce qu’il y a de plus, c’est le dialogue avec les animateurs, on peut même échanger entre nous, on fait des débats. Ici, on a l’esprit ouvert : on discute, on échange des idées. » (Jeune de 22 ans).
Les jeunes utilisent également l'appui des animateurs pour un soutien dans leurs parcours scolaires ou professionnels.
- Suite de l'action : Limites
Depuis plusieurs années, aux côtés des formes traditionnelles d’accueil (dans le cadre d’actions programmées), on constate une montée en charge progressive de nouveaux modes d’accueil : non formels, informels. Aujourd'hui, le non formel est quasi intégré comme un mode d'intervention au cœur des pratiques du Local jeunes mais le projet éducatif dans lequel il s'inscrit est encore à faire évoluer.
- Suite de l'action : Perspectives
La configuration des locaux pose quelques problèmes et ne facilite pas toujours la tâche des animateurs au quotidien. Dans cette perspective, et en s'appuyant sur l'expertise d'usage de la Maison pour tous, un nouveau lieu d'accueil est envisagé dans le cadre de la rénovation urbaine du quartier.
Actions
Education aux médias
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL HORIZON - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
- Eduquer les jeunes aux différents médias
- Développer l'esprit critique des jeunes
- Valoriser les savoirs des jeunes et les investir dans de la création, susciter des envies, des vocations
- Favoriser le vivre ensemble et la socialisation
- Favoriser l'insertion sociale des jeunesFormer les « cybercitoyens » et des lecteurs actifs, éclairés et responsables de demain
Permettre la compréhension et l'usage autonome des médias par les jeunes qui sont à la fois lecteurs, producteurs et diffuseurs de contenus.
La curiosité des jeunes à approfondir leurs connaissances concernant cette thématique.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les adolescents utilisent les médias dans la vie de tous les jours. S'en servent pour communiquer et valoriser certaines de leurs pratiques. Ils ne se rendent pas toujours compte des conséquences que ça peut entraîner. Le but de cette action est de faire découvrir au public l'ensemble des médias qui existent avec l'aide d'acteurs du secteur (ordinateurs, magazines, téléphone, internet, vidéo, musique, TV...). Qu'ils puissent en découvrir le processus de création (visites, rencontres de professionnels, de magazines, films...). Puis qu'à base d'ateliers ils se les approprient et participent à l'idée de créations collectives. L'utilisation de différentes formes de médias sera propice à ce que le public se questionne sur son territoire de vie, sur le public qu'ils y côtoie, sur les aspects positifs et négatifs de ce secteur. Les supports médias seront utilisés pour réaliser un "reportage" sur le quartier accompagné d'intervenants professionnels.
Des soirées débats pourront être mises en place avec la présence de réalisateur, auteurs, comédiens ayant utilisés des médias pour créer une oeuvre (films, Bande Dessinées, webseries, pocket film...). L'action s'adresse avant tout aux jeunes, mais des événements seront ouverts à tout public afin de proposer des animations culturelles sur le secteur. Un événement final ponctuera cette année avec la valorisation des réalisations du public.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Tout au long de l'année, les sorties et autres animations proposées par le secteur jeunesse ont été propices à échanger autour du thème des médias. Le fait d'avoir une page sur Facebook pour promouvoir nos actions auprès de notre public, mais aussi aux autres publics disponibles sur ce réseau social nous facilite la tâche.
Je vous propose de vous donner une liste non exhaustive des actions liés à différents médias que nous avons mis en place cette année.
Radio
Cinéma
Jeux vidéos
Musique
Presse
Visite des radios « Prun » et « Sun FM » avec une participation à une émission de radio en direct.
Lancement et lien avec l'association1.COM1
Visite du parc du puy du fou pour découvrir les métiers des arts du spectacle, que l'on trouve dans les films (cascadeurs, comédiens...)
Soirée film cuisine (Asie et Italie)
Visite de l'exposition « Ultima » au lieu unique (Nantes) autour de l'histoire des jeux vidéos
Soirée rétrogaming intergénérationnelle pour découvrir les origines des jeux actuels.
Festival international du jeu de Parthenay.
Rencontre d'artistes et participation à des temps sur des festivals (Hip Opsession, Cité Métisse, festival de Poupet...)
Avec les différents événements qui se sont déroulés sur l'année 2015, il nous a parût utile de proposer aux jeunes d'échanger sur leur ressenti et de leur mettre à disposition divers supports adaptés pour favoriser leur compréhension de l'actualité.
Deux membres de l'équipe du secteur jeunesse (1 permanent et 1 vacataire) ainsi que l'animatrice de l'association 1.COM1 ont participé à une formation organisée en lien avec Passeurs d'images et la DDCS à Angers. La formation « Filmer le réel » a lancé une dynamique sur le secteur à savoir d'aller avec des jeunes à la rencontre des habitants, leur proposer de les prendre en photos et y joindre leur expression autour du thème du vivre ensemble. Ces productions devraient être valorisées lors de l'Assemblée Générale du Centre Social.
La photographie aussi a été utilisée sur l'année autour d'un projet photo sur le quartier pendant lequel les jeunes allaient à la rencontre des habitants et leur demandaient ce qu'ils pensaient du territoire sur lequel ils vivaient. Ces rencontres leur ont permis de voir la diversité des habitants du quartier.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
CHARGES
Prévision
Réalisation
%
PRODUITS
Prévision
Réalisation
%
Charges directes affectées à l’action
Ressources directes affectées à l’action
60 - Achat
1600
879,00 €
70 – Vente de produits finis, prestations de services,
marchandises
600 €
12 €
Prestations de services
800 €
279 €
Achats matières et fournitures
600 €
408 €
74- Subventions d’exploitation1
5 500 €
2 250 €
Autres fournitures
200 €
192 €
Etat : (précisez le(s) ministère(s) sollicité(s)
5 000 €
61 - Services extérieurs
- CUCS
Locations immobilières et immobilières
- FIPD
Entretien et réparation
Région(s) :
Assurance
-
Documentation
Département(s) :
Divers
62 - Autres services extérieurs
2 900 €
1 209 €
Rémunérations intermédiaires et honoraires
2 400 €
700 €
Intercommunalité (s) : EPCI4
Publicité, publication
Commune(s) :
Déplacements, missions
500 €
509 €
- CAC CUCS
2 250 €
Services bancaires, autres
- CAC Hors CUCS
63 - Impôts et taxes
100 €
- Organismes sociaux (détailler)
Impôts et taxes sur rémunération
100 €
Autres impôts et taxes
64- Charges de personnel
4000
4 101,00 €
L’agence de services et de paiement (ex CNASEA, emploi aidés)
500 €
(Rémunération des personnels,
3 200 €
3 165 €
Autres établissements publics
Charges sociales,
800 €
936 €
Autres privées
Autres charges de personnel)
-
65- Autres charges de gestion courante
75 - Autres produits de gestion courante
4 220 €
5 165 €
66- Charges financières
Dont cotisations, dons manuels ou legs
67- Charges exceptionnelles
76 - Produits financiers
68- Dotation aux amortissements
78 - Reports ressources non utilisées d’opérations antérieures
Charges fixes de fonctionnement
1 720 €
1 238 €
Frais financiers
Autres
Total des charges
10 320 €
7 427 €
Total des produits
10 320 €
7 427 €
86- Emplois des contributions volontaires en nature
87 - Contributions volontaires en nature
Secours en nature
Bénévolat
1 500 €
Mise à disposition gratuite de biens et prestations
Prestations en nature
Personnel bénévole
1 500 €
Dons en nature
TOTAL
10 320 €
8 927 €
TOTAL
10 320 €
8 927 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Hommes
Femmes
Total
11-14 ans
15
10
25
15-17 ans
20
15
35
+ de 17ans
6
4
10
Total
41
29
70
- Résultat sur le territoire
- Favoriser le vivre ensemble et la socialisation
Les temps intergénérationnels et les divers événements auxquels les jeunes ont participé ont favorisé le vivre ensemble et la socialisation. Les jeunes sont sortis de leur quartier ont rencontré d'autres jeunes, des plus âgés, des professionnels du secteur. Avec le projet photo sur le quartier, ils sont allés au devant des habitants et n'ont pas hésiter à s'exprimer devant les autres.
- Favoriser l'insertion sociale des jeunes
En s'appropriant les médias, les jeunes ont réalisé à quel point la première impression que l'on donne est la plus importante. Depuis on se rend compte qu'ils soignent leur image, y compris celle qu'ils diffusent sur les réseau sociaux.
- Résultat pour le centre social
- Éduquer les jeunes aux différents médias
Les différentes sorties et animations que l'on a pu proposer ont toutes favorisées les échanges entre l'équipe d'animation et le public concernant leur pratique autour des médias. Les jeunes s'y sont livrés et étaient à l'écoute des conseils que l'on a pu leur donner (une vidéo de jeunes a été envoyé à un site Internet Spi0n.com, qui propose un zapping du pire et meilleur du web !).
- Développer l'esprit critique des jeunes
Les différents échanges que nous avons pu avoir avec le public autour des tragiques événements du début et de la fin d'année leur a permis de prendre du recul sur le trop plein d'informations auquel ils ont été soumis. Les jeunes ont réalisé que la réalité c'est eux qui la vive au quotidien, que les médias n'en montrent qu'une partie. Les rencontres avec les habitants du quartier lors du projet photo, leur ont ouvert les yeux sur les réalités de certains de leurs voisins (mixité culturelle, sociale et générationnelle, qui constituent une richesse sur notre territoire).
- Valoriser les savoirs des jeunes et les investir dans de la création, susciter des envies, des vocations
Nous avons favoriser ces savoirs et cette création en encourageant notre public a participer aux ateliers vidéo de l'association 1.COM1. Sur les 12 jeunes qui ont participé à cette aventure, 8 viennent du Centre Social Horizon.
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Les jeunes ne s'écarteront pas des médias du jour au lendemain. Ils vivent souvent accrochés à leur téléphone portable mais en connaissent-ils toutes les fonctions ? L'association 1.COM1 s'est saisie des propositions de concours qu'on lui a donné et a gagné un prix sur l'un d'entre eux autour des discriminations. De nombreux jeunes que nous côtoyons y participent, il paraît important que nous travaillions ensemble autour de projets communs. Pour 2016, nous avons fait le choix de proposer diverses actions communes pour favoriser la mixité des publics et légitimer la place de cette association dans son travail autour du cinéma. Un projet autour du cinéma va donc voir le jour ainsi qu'un séjour à thème pour des jeunes de moins de 15 ans. Nous allons aussi nous emparer de la dynamique qui s'organisait sur un événement autour des jeux vidéos (annulés) pour proposer quelque chose sur notre territoire.
Actions
Chants d'enfance, comptines et berceuses du monde
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL HORIZON - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Culture
- Intégration
- Résumé
Nous souhaitons aller à la rencontre des habitants de nos quartiers, accompagnés de cette artiste d'art lyrique, pour chanter ensemble et se souvenir des chants, comptines et berceuses fredonnés aux enfants à travers le monde.
L'idée étant de rassembler des femmes/des hommes de cultures différentes autour d'un projet commun, de se rencontrer, de partager des moments agréables autour du chant et d'aller au bout d'une démarche, ensemble. Car ce projet serait concrétisé par un enregistrement et la création d'un CD.
Il s'agit là d'une action parentalité originale. Au fur et à mesure du déroulé de ce projet, des femmes- majoritairement- vont se rencontrer, parler de leur enfance puis de leur manière d'être près de leurs propres enfants. Nous parlons, à travers ce projet, de transmission culturelle et familiale.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un habitant
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le Centre Social et Socioculturel Horizon propose depuis quelques étés l'animation de proximité, qui consiste à aller vers les enfants de nos quartiers, avec notre caravane, et leur proposer diverses animations chaque jour. Nous rencontrons alors quelques parents, souvent des femmes, avec parfois de plus jeunes enfants. Les plus grands jouant avec nous.
Une installation de couvertures et coussins au sol leur offre la possibilité d'un lieu plus calme et entre elles, pour discuter et s'occuper de leurs enfants. Ces mamans, pour la majorité d'origines étrangères, chantonnent parfois pour leurs bébés.
Nous accueillons également au Centre Social un public seniors, désireux de transmettre leur histoire et notamment leurs souvenirs d'enfance.
C'est de ces observations et rencontres et suite à une discussion avec : Gaëlle Le Teuff, artiste au sein de « La Compagnie des Ronds de papillons », qu'est née l'idée de ce projet.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Dans un premier temps, la référente famille avec l'artiste sont allées à la rencontre des écoles, de la halte garderie et des familles du Centre en 2018. 2 écoles ont finalement rejoint le projet et nous ont mis des locaux et des temps de rencontre avec les familles pour expliciter le projet et susciter l'adhésion de ces dernières. Au total, 13 personnes ont participé en proposant des chants et des berceuses de leur pays respectif. Il s'agit :
- d'habitants de nos quartiers, majoritairement d'origines étrangères : Maroc, Algérie, Turquie, Tunisie, Soudan, Somalie, Tchad, Bénin, Côte d'Ivoire, Comores...
- de parents d'élèves des écoles de notre territoire
- d'usagers du Centre Social : adolescents, adultes, senior de femmes et d'hommes
-
Moyens matériels :
- Salles du Centre Social
- Communication : affiches, flyers
- Matériel de base pour l'enregistrement des chants
- Caravane-radio du Centre Social du Chemillois (pour aller à la rencontre des habitants)
-
Moyens humains :
- Interventions, sur l'ensemble de l'action, de Mme Gaëlle Le Teuff- artiste professionnelle en co-construction du projet avec la référente famille
- Interventions de musiciens pour l'accompagnement des habitants
- Interventions d'interprète(s) si besoin– pour les paroles des chansons du monde
- Interventions d'un professionnel extérieur spécialisé pour l'enregistrement.
Deux séances d'enregistrement se sont déroulées en 2019 au Centre Social. Le CD est en cours de mixage actuellement et devrait être édité à 250 exemplaires et disponible pour notre fête de quartier au mois de juin 2019.
La pochette sera illustrée par des enfants des écoles partenaires
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Exercice 2018
CHARGES
Prévision
Réalisation
%
PRODUITS
Prévision
Réalisation
%
Charges directes affectées à l’action
Ressources directes affectées à l’action
60 - Achat
1120
920
70 – Vente de produits finis, prestations de services,
marchandises
Prestations de services
1 080 €
880 €
Achats matières et fournitures
40 €
40 €
74- Subventions d’exploitation[1]
3000
2000
Autres fournitures
État : (précisez le(s) ministère(s) sollicité(s)
61 - Services extérieurs
- CUCS
2000
Locations immobilières et immobilières
- FIPD
Entretien et réparation
Région(s) :
Assurance
-
Documentation
Département(s) :
Divers
CUCS
2000
62 - Autres services extérieurs
250
200
REAAP
1000
Rémunérations intermédiaires et honoraires
Intercommunalité (s) : EPCI4
Publicité, publication
200 €
200 €
Commune(s) :
Déplacements, missions
50
- CAC CUCS
Services bancaires, autres
- CAC Hors CUCS
63 - Impôts et taxes
- Organismes sociaux (détailler)
Impôts et taxes sur rémunération
Autres impôts et taxes
64- Charges de personnel
2300
2300
L’agence de services et de paiement (ex CNASEA, emploi aidés)
(Rémunération des personnels,
1 600 €
1 600 €
Autres établissements publics
Charges sociales,
700 €
700 €
Autres privées
Autres charges de personnel)
-
65- Autres charges de gestion courante
75 - Autres produits de gestion courante
1404
2104
66- Charges financières
Dont cotisations, dons manuels ou legs
67- Charges exceptionnelles
76 - Produits financiers
68- Dotation aux amortissements
78 - Reports ressources non utilisées d’opérations antérieures
Charges fixes de fonctionnement
734
684
Frais financiers
Autres
Total des charges
4404
4104
Total des produits
4404
4104
86- Emplois des contributions volontaires en nature
87 - Contributions volontaires en nature
Secours en nature
Bénévolat
Mise à disposition gratuite de biens et prestations
Prestations en nature
Personnel bénévole
Dons en nature
TOTAL
4404
4104
TOTAL
4404
4104
Chants d'enfance, comptines et berceuses du monde 2019
CHARGES
Montant [1]
PRODUITS
Montant
CHARGES DIRECTES
RESSOURCES DIRECTES
60 - Achats
1100
70 – Vente de produits finis, de marchandises, prestations de services
200
Prestations de services
1000
Achats matières et fournitures
100
74- Subventions d’exploitation[2]
4500
Autres fournitures
État : précisez le(s) ministère(s) sollicité(s)
61 - Services extérieurs
- VVV
Locations
- Contrat de ville
4500
Entretien et réparation
Région(s) :
Assurance
-
Documentation
Département(s) :
62 - Autres services extérieurs
1680
-
Rémunérations intermédiaires et honoraires
1680
Intercommunalité(s) : EPCI [3]
Publicité, publication
- Conservatoire
Déplacements, missions
Commune(s) :
Services bancaires, autres
-
63 - Impôts et taxes
Organismes sociaux CAF :
Impôts et taxes sur rémunération,
- Subvention Contrat de ville
Autres impôts et taxes
- REAAP
64- Charges de personnel
2300
Fonds européens
Rémunération des personnels,
2300
L’agence de services et de paiement (ex CNASEA, emploi aidés)
Charges sociales,
Autres établissements publics
Autres charges de personnel
Centre Social
65- Autres charges de gestion courante
75 - Autres produits de gestion courante
66- Charges financières
Dont cotisations, dons manuels ou legs
67- Charges exceptionnelles
76 - Produits financiers
68- Dotation aux amortissements
78 - Reprises sur amortissements et provisions
CHARGES INDIRECTES
Charges fixes de fonctionnement
1020
Quote-part Centre Social
1400
Frais financiers
Autres
TOTAL DES CHARGES
6100
TOTAL DES PRODUITS
6100
CONTRIBUTIONS VOLONTAIRES [4]
86- Emplois des contributions volontaires en nature
87 - Contributions volontaires en nature
Secours en nature
Bénévolat
Mise à disposition gratuite de biens et prestations
Prestations en nature
Personnel bénévole
Dons en nature
TOTAL
6100
TOTAL
6100
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
7 professionnels
- Résultat sur le territoire
En cours d'évaluation
- Résultat pour le centre social
Ce projet mené sur 2 années a été retenu coup de coeur da la part des conseils citoyens donnant leur avis sur les projets déposés dans le cadre du contrat de ville.
- Résultat pour les habitants
outre la forte mobilisation des habitatns ayant participé à ce projet, nous envisageons de diffuser le CD prochainement
En cours d'évaluation
- Suite de l'action : Limites
Même si les participants se sont rencontrés à plusieurs reprises, notamment pour l'enregistrement des chansons, nous ne pouvons mesurer si ces personnes pourront ocntinuer à se voir ni si celles-ci reviendront pour d'autres projets au Centre Social.
- Suite de l'action : Perspectives
Ce projet pourrait se poursuivre en fonction de la demande des habitants
Actions
Chants d'enfance, comptines et berceuses du monde
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL HORIZON - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Culture
- Intégration
- Résumé
Nous souhaitons aller à la rencontre des habitants de nos quartiers, accompagnés de cette artiste d'art lyrique, pour chanter ensemble et se souvenir des chants, comptines et berceuses fredonnés aux enfants à travers le monde.
L'idée étant de rassembler des femmes/des hommes de cultures différentes autour d'un projet commun, de se rencontrer, de partager des moments agréables autour du chant et d'aller au bout d'une démarche, ensemble. Car ce projet serait concrétisé par un enregistrement et la création d'un CD.
Il s'agit là d'une action parentalité originale. Au fur et à mesure du déroulé de ce projet, des femmes- majoritairement- vont se rencontrer, parler de leur enfance puis de leur manière d'être près de leurs propres enfants. Nous parlons, à travers ce projet, de transmission culturelle et familiale.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un habitant
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le Centre Social et Socioculturel Horizon propose depuis quelques étés l'animation de proximité, qui consiste à aller vers les enfants de nos quartiers, avec notre caravane, et leur proposer diverses animations chaque jour. Nous rencontrons alors quelques parents, souvent des femmes, avec parfois de plus jeunes enfants. Les plus grands jouant avec nous.
Une installation de couvertures et coussins au sol leur offre la possibilité d'un lieu plus calme et entre elles, pour discuter et s'occuper de leurs enfants. Ces mamans, pour la majorité d'origines étrangères, chantonnent parfois pour leurs bébés.
Nous accueillons également au Centre Social un public seniors, désireux de transmettre leur histoire et notamment leurs souvenirs d'enfance.
C'est de ces observations et rencontres et suite à une discussion avec : Gaëlle Le Teuff, artiste au sein de « La Compagnie des Ronds de papillons », qu'est née l'idée de ce projet.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Dans un premier temps, la référente famille avec l'artiste sont allées à la rencontre des écoles, de la halte garderie et des familles du Centre en 2018. 2 écoles ont finalement rejoint le projet et nous ont mis des locaux et des temps de rencontre avec les familles pour expliciter le projet et susciter l'adhésion de ces dernières. Au total, 13 personnes ont participé en proposant des chants et des berceuses de leur pays respectif. Il s'agit :
- d'habitants de nos quartiers, majoritairement d'origines étrangères : Maroc, Algérie, Turquie, Tunisie, Soudan, Somalie, Tchad, Bénin, Côte d'Ivoire, Comores...
- de parents d'élèves des écoles de notre territoire
- d'usagers du Centre Social : adolescents, adultes, senior de femmes et d'hommes
-
Moyens matériels :
- Salles du Centre Social
- Communication : affiches, flyers
- Matériel de base pour l'enregistrement des chants
- Caravane-radio du Centre Social du Chemillois (pour aller à la rencontre des habitants)
-
Moyens humains :
- Interventions, sur l'ensemble de l'action, de Mme Gaëlle Le Teuff- artiste professionnelle en co-construction du projet avec la référente famille
- Interventions de musiciens pour l'accompagnement des habitants
- Interventions d'interprète(s) si besoin– pour les paroles des chansons du monde
- Interventions d'un professionnel extérieur spécialisé pour l'enregistrement.
Deux séances d'enregistrement se sont déroulées en 2019 au Centre Social. Le CD est en cours de mixage actuellement et devrait être édité à 250 exemplaires et disponible pour notre fête de quartier au mois de juin 2019.
La pochette sera illustrée par des enfants des écoles partenaires
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Exercice 2018
CHARGES
Prévision
Réalisation
%
PRODUITS
Prévision
Réalisation
%
Charges directes affectées à l’action
Ressources directes affectées à l’action
60 - Achat
1120
920
70 – Vente de produits finis, prestations de services,
marchandises
Prestations de services
1 080 €
880 €
Achats matières et fournitures
40 €
40 €
74- Subventions d’exploitation[1]
3000
2000
Autres fournitures
État : (précisez le(s) ministère(s) sollicité(s)
61 - Services extérieurs
- CUCS
2000
Locations immobilières et immobilières
- FIPD
Entretien et réparation
Région(s) :
Assurance
-
Documentation
Département(s) :
Divers
CUCS
2000
62 - Autres services extérieurs
250
200
REAAP
1000
Rémunérations intermédiaires et honoraires
Intercommunalité (s) : EPCI4
Publicité, publication
200 €
200 €
Commune(s) :
Déplacements, missions
50
- CAC CUCS
Services bancaires, autres
- CAC Hors CUCS
63 - Impôts et taxes
- Organismes sociaux (détailler)
Impôts et taxes sur rémunération
Autres impôts et taxes
64- Charges de personnel
2300
2300
L’agence de services et de paiement (ex CNASEA, emploi aidés)
(Rémunération des personnels,
1 600 €
1 600 €
Autres établissements publics
Charges sociales,
700 €
700 €
Autres privées
Autres charges de personnel)
-
65- Autres charges de gestion courante
75 - Autres produits de gestion courante
1404
2104
66- Charges financières
Dont cotisations, dons manuels ou legs
67- Charges exceptionnelles
76 - Produits financiers
68- Dotation aux amortissements
78 - Reports ressources non utilisées d’opérations antérieures
Charges fixes de fonctionnement
734
684
Frais financiers
Autres
Total des charges
4404
4104
Total des produits
4404
4104
86- Emplois des contributions volontaires en nature
87 - Contributions volontaires en nature
Secours en nature
Bénévolat
Mise à disposition gratuite de biens et prestations
Prestations en nature
Personnel bénévole
Dons en nature
TOTAL
4404
4104
TOTAL
4404
4104
Chants d'enfance, comptines et berceuses du monde 2019
CHARGES
Montant [1]
PRODUITS
Montant
CHARGES DIRECTES
RESSOURCES DIRECTES
60 - Achats
1100
70 – Vente de produits finis, de marchandises, prestations de services
200
Prestations de services
1000
Achats matières et fournitures
100
74- Subventions d’exploitation[2]
4500
Autres fournitures
État : précisez le(s) ministère(s) sollicité(s)
61 - Services extérieurs
- VVV
Locations
- Contrat de ville
4500
Entretien et réparation
Région(s) :
Assurance
-
Documentation
Département(s) :
62 - Autres services extérieurs
1680
-
Rémunérations intermédiaires et honoraires
1680
Intercommunalité(s) : EPCI [3]
Publicité, publication
- Conservatoire
Déplacements, missions
Commune(s) :
Services bancaires, autres
-
63 - Impôts et taxes
Organismes sociaux CAF :
Impôts et taxes sur rémunération,
- Subvention Contrat de ville
Autres impôts et taxes
- REAAP
64- Charges de personnel
2300
Fonds européens
Rémunération des personnels,
2300
L’agence de services et de paiement (ex CNASEA, emploi aidés)
Charges sociales,
Autres établissements publics
Autres charges de personnel
Centre Social
65- Autres charges de gestion courante
75 - Autres produits de gestion courante
66- Charges financières
Dont cotisations, dons manuels ou legs
67- Charges exceptionnelles
76 - Produits financiers
68- Dotation aux amortissements
78 - Reprises sur amortissements et provisions
CHARGES INDIRECTES
Charges fixes de fonctionnement
1020
Quote-part Centre Social
1400
Frais financiers
Autres
TOTAL DES CHARGES
6100
TOTAL DES PRODUITS
6100
CONTRIBUTIONS VOLONTAIRES [4]
86- Emplois des contributions volontaires en nature
87 - Contributions volontaires en nature
Secours en nature
Bénévolat
Mise à disposition gratuite de biens et prestations
Prestations en nature
Personnel bénévole
Dons en nature
TOTAL
6100
TOTAL
6100
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
7 professionnels
- Résultat sur le territoire
En cours d'évaluation
- Résultat pour le centre social
Ce projet mené sur 2 années a été retenu coup de coeur da la part des conseils citoyens donnant leur avis sur les projets déposés dans le cadre du contrat de ville.
- Résultat pour les habitants
outre la forte mobilisation des habitatns ayant participé à ce projet, nous envisageons de diffuser le CD prochainement
En cours d'évaluation
- Suite de l'action : Limites
Même si les participants se sont rencontrés à plusieurs reprises, notamment pour l'enregistrement des chansons, nous ne pouvons mesurer si ces personnes pourront ocntinuer à se voir ni si celles-ci reviendront pour d'autres projets au Centre Social.
- Suite de l'action : Perspectives
Ce projet pourrait se poursuivre en fonction de la demande des habitants
Actions
Jeunesse d'hier, jeunesse d'aujourd'hui
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL HORIZON - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Résumé
Le Centre Social Horizon accueil des publics d’âges variés : des familles avec des enfants, des adolescents, des seniors. Ces publics se croisent mais ne se rencontrent pas toujours, en particulier les publics seniors et adolescents.
De plus, d'un côté certains seniors ont une mauvaise image des jeunes et d’un autre côté les jeunes n’ont pas toujours non plus une image positive des + de 60 ans. L’idée est aussi de favoriser l’inter connaissance entre les publics, la transmission des savoirs des ainés vers les nouvelles générations, mais aussi la transmission des modes de vie actuels des plus jeunes vers les ainés. Provoquer des rencontres peut amener à mieux se connaître, mieux se comprendre, et à mieux vivre ensemble.
Dans le cadre des animations seniors du Centre Social, les échanges se sont à plusieurs reprises portés sur les modes de vie d’hier (dans les années 50). Sur des sujets divers : l’école, la vie quotidienne, les loisirs… Beaucoup d’aînés prennent du plaisir à se remémorer cette période de vie passée pas toujours facile mais en générale heureuse. Il semblait important à la commission Bien Vieillir de proposer aux seniors un travail de mémoire autour de cette question, afin de pouvoir transmettre aux plus jeunes les modes de vie passé bien éloignés de nos vies d’aujourd’hui. L’idée n’est pas de dire c’était mieux hier ou c’est mieux maintenant ! Mais de mettre en avant une évidence : nos modes de vies ont fondamentalement changé en 60 ans ! Ce projet va se décliner en plusieurs axes, l'objectif final est de provoquer des échanges entre générations sur les modes de vie d'hier et d'aujourd'hui. Et de façon informelle de faire réfléchir les uns et les autres sur les représentations qu'ils peuvent avoir de façon réciproque.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Ce projet est né d'un groupe de seniors qui participe aux activités du Centre Social qui avait envie de se raconter, de raconter leur histoire, leur vécu, et leur jeunesse. Ils ont rapidement formulé le souhait de pouvoir échanger avecc des jeunes, pour savoir comment eux vivaient leur jeunesse aujourd'hui.
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Ce projet va se décliner en plusieurs axes, il va partir des seniors, venir vers les jeunes et à travers eux vers les familles. Ce qui nous semble intéressant c’est de rendre les seniors ACTEURS d’un projet à destination d’un autre public, projet qui sera support d’échanges, de débats, de rencontres entre générations.
Dans un premier temps, lors des animations mémoire du Centre Social, qui réunissent en moyenne 35 seniors, nous aborderons le thème de la jeunesse d’hier d’une façon globale sous les 3 axes suivants : l’école, la vie quotidienne, les loisirs. Suite à ces temps d’animations mémoire, nous constituerons un groupe de participants (+/- 10 personnes) pour mettre en valeur ce temps passé dans les années 50. L’idée c’est de créer une exposition visuelle (photos, dessins, textes…), voire sonore (témoignages) à destination des plus jeunes (familles et adolescents). La mise en forme de cette exposition reste à travailler avec le groupe, mais l’idée c’est de faire voyager dans le temps, à travers les 3 mêmes axes (école, vie quotidienne, loisirs).
Ensuite, une présentation de l’exposition sera faite lors de la fête de quartier du Centre Social. A cette occasion nous touchons des publics d’âges divers, ce qui permettra des échanges, des prises de consciences globales. L’exposition sera affichée ensuite quelques semaines à l’accueil du Centre Social et présentée aux jeunes lors du CLAS collège. Dans le cadre du CLAS, elle sera l’occasion d’échanges, de débats : les seniors présenteront leur jeunesse d’hier et les jeunes viendront compléter avec leurs modes de vie d’aujourd’hui. Des débats un partage d’expérience s’en suivront sur les thèmes suivants : ambiance de classe, la durée des études, la participation aux taches de la famille, les loisirs, les sorties entre amis(es), la rigueur de l’éducation, les moyens matériel… le choix des thématiques est vaste. La mise en place et l’animation de ces débats resteront à co-construire entre le groupe de travail et les animateurs du CLAS collège. Nous envisageons même d’utiliser la caravane radio avec les jeunes. Ces derniers prépareront une interview qui se déroulera dans la caravane radio. Un podcast sera ensuite mis en ligne, et viendra compléter l’exposition visuelle.
Enfin, nous souhaitons sur un temps de vacances scolaires poursuivre ces rencontres entre générations (seniors, ados, familles) autour des loisirs : après midi initiation des seniors aux jeux vidéo par les jeunes, présentation de jeux traditionnels par les seniors, visite d’une école à l’ancienne.
Et pour compléter notre propos et les partages d’expériences l’intervention d’un sociologue présentant l’évolution de la jeunesse à travers le temps, nous semble intéressant. Cette thématique sera à destination aussi bien des aînés que des familles. Ce temps d’échange brossera l’évolution des comportements des jeunes avec l’évolution de la société, il permettra aussi de répondre à certaines questions que les familles et les aînés peuvent se poser sur les adolescents et comment accompagner cette période de vie.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
CHARGES
Montant
PRODUITS
Montant
CHARGES DIRECTES
RESSOURCES DIRECTES
60 - Achats
550
70 – Vente de produits finis, de marchandises, prestations de services
Prestations de services
300
Achats matières et fournitures
150
74- Subventions d’exploitation
2500
Autres fournitures
100
État : précisez le(s) ministère(s) sollicité(s)
61 - Services extérieurs
400
- VVV
Locations
400
- Contrat de ville
2000
Entretien et réparation
Région(s) :
Assurance
-
Documentation
Département(s) :
62 - Autres services extérieurs
650
- CARSAT
500
Rémunérations intermédiaires et honoraires
500
Intercommunalité(s) : EPCI
Publicité, publication
- Conservatoire
Déplacements, missions
150
Commune(s) :
Services bancaires, autres
-
63 - Impôts et taxes
Organismes sociaux CAF :
Impôts et taxes sur rémunération,
- Subvention Contrat de ville
Autres impôts et taxes
- REAAP
64- Charges de personnel
1240
Fonds européens
Rémunération des personnels,
870
L’agence de services et de paiement (ex CNASEA, emploi aidés)
Charges sociales,
370
Autres établissements publics
Autres charges de personnel
Centre Social
65- Autres charges de gestion courante
75 - Autres produits de gestion courante
66- Charges financières
Dont cotisations, dons manuels ou legs
67- Charges exceptionnelles
76 - Produits financiers
68- Dotation aux amortissements
78 - Reprises sur amortissements et provisions
Charges fixes de fonctionnement
570
Quote-part Centre Social
910
Frais financiers
Autres
TOTAL DES CHARGES
3410
TOTAL DES PRODUITS
3410
CONTRIBUTIONS VOLONTAIRES
86- Emplois des contributions volontaires en nature
87 - Contributions volontaires en nature
Secours en nature
Bénévolat
Mise à disposition gratuite de biens et prestations
Prestations en nature
Personnel bénévole
Dons en nature
TOTAL
TOTAL
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
10 seniors et 8 jeunes une salariée
- Résultat sur le territoire
Depuis la réalisation du livret, des habitants des communes alentours sont venus l'acheter. Ce projet a largement été communiqué dans la presse locale.
- Résultat pour le centre social
Reconnaissance des actions du Centre Social, liens intergénérationnels entre les seniors et les jeunes.
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Création d'une exposition sur le projet en lien avec le collège du quartier
Actions
Fête du CLAS "Sur le chemin de Saint Exupéry"
- Structure organisatrice
- Centre Social SAINT EXUPERY - Lot-et-Garonne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Résumé
Le centre social Saint Exupéry accueille chaque année, environ une centaine d'enfants, primaires et collégiens, dans le cadre du Contrat Local d'Accompagnement à la Scolarité. A travers la promotion d'un soutien à la scolarité et d'une accessibilité à des activités socio-éducatives (sportives, culturelles, etc), c'est la réussite scolaire qui au cœur de ce dispositif. En juin 2016, à l'occasion du "Mois des familles en Lot-Et-Garonne", le centre social a organisé la première "Fête du CLAS". Cet évènement est né d'une volonté commune et partagée (élus, équipe du centre social, partenaires et parents) de valoriser le contenu éducatif réalisé tout au long de l’année scolaire en favorisant la participation des parents. Dans une dynamique participative, l’ensemble des acteurs se sont mobilisés pour créer, préparer et organiser cet évènement. Elus, parents et associations représentatives, équipe du centre social, établissements scolaires, partenaires socio-éducatifs, acteurs de la parentalité et accompagnateurs du CLAS, ont collaboré pour faire de la Fête du CLAS, un évènement convivial et familial. Au total près de 40 familles, dont les enfants sont inscrits au CLAS, se sont impliquées dans l’organisation de cet évènement, et 115 personnes (adultes et enfants) sont venues profiter en famille des animations proposées tout au long de cette journée. Au programme : divers ateliers co-animés par les parents, les accompagnateurs et les partenaires (origami, calligraphie, jeu de piste, danse, jeux surdimensionnés, théâtre, etc), une émission de radio en direct, etc. Un temps plus festif a clôturé cette première édition de la Fête du CLAS avec un spectacle d’art de rue familial suivi d’une auberge espagnole. La seconde édition de la Fête du CLAS est en cours de préparation pour 2017.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
L'ensemble des partenaires du CLAS (insitutionnels, socio-éducatifs, etc) et les parents dont les enfants bénéficient du CLAS ont été convié à une première réunion de présentation du projet. Suite à ce premier temps de rencontre et d'échange, quatre autres réunions se sont succédé afin de définir le programme et les missions de chacun (dans la préparation de l'évènement mais aussi le jour J). Une salariée du centre social a été désignée coordinatrice de l'évènement.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Projet "Le Pin se dévoile"
- Structure organisatrice
- Maison Montesquieu (Centre social centre-ville) - Lot-et-Garonne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Résumé
La Maison Montesquieu, agrée centre social, est ouverte à tous les habitants d’Agen sans distinction d’âge ou de revenu. Dans le cadre de son activité, elle incite les habitants à mettre en place les projets qui leur tiennent à cœur, et les accompagne dans leurs démarches.
Suite à la fête du Pin organisée en septembre 2018, un groupe d’habitants, bénévoles à la Maison Montesquieu : Annie, Marie et Patrice, ont souhaité mettre en place un projet photo pour mettre en valeur le quartier prioritaire du Pin et donne rune image positive du quartier.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Mettre en avant le quartier prioritaire du Pin
Présenter une image positive du quartier du Pin
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Un projet participatif
En plus des porteurs de projet, des habitants participant à l’atelier photo de la Maison Montesquieu ont apporté leur soutien en :
- Menant une réflexion commune sur les aspects positifs, tournés vers le futur, la vie, l’animation et le bien vivre de ce quartier
- Prenant les photos sur le quartier du Pin
- Développant les images (sélection, traitement numérique avec un logiciel libre)
- Participant à la mise en place (mise sous cadre, sollicitation des partenaires pour les différents lieux d’exposition, accrochage de l’exposition)
-
Un projet accompagné par la Maison Montesquieu
En lien avec les valeurs et la démarche participative de la Maison Montesquieu, ce projet, est porté par les habitants à destination de tous les habitants.
La Maison Montesquieu dans son rôle d’accompagnateur de projets des habitants a soutenu cette initiative tout au long de sa mise en œuvre.
A l’image de son fonctionnement, la Maison Montesquieu poursuit son soutien aux projets portés par les habitants pour les habitants.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Un projet financé dans le cadre du Fond de participation des habitants (FPH)
Afin de permettre aux habitants de concrétiser leur projet photo, une présentation a été organisée auprès de la commission d’attribution du FPH, dispositif porté par l’Agglomération d’Agen et l’Etat, dans le cadre de la Politique de la ville. A cette occasion, les porteurs de projet ont pu défendre leur idée et obtenir un accord favorable pour un financement à hauteur de 500€.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
En tout ce sont donc 7 habitants qui ont participé à ce projet :
-
2 porteurs de projet Iguna Annie et Crognier Marie
-
2 bénévoles Gendreau Patrice et Salles Gilles
- < >
-
- Résultat sur le territoire
Un réel engoument de la par des bénévoles, des habitants et de partenaires. Vision du quartier prioritaire différente.
- Résultat pour le centre social
Meilleure connaissance du portage de projet, du centre social et du territoire du Pin.
- Résultat pour les habitants
Meilleure connaissance du quartier et du centre social.
- Suite de l'action : Limites
Nouveau projet sur la photo à imaginer.
- Suite de l'action : Perspectives
Exposition chez différents partenaires et à la Fête du Pin 2019.
Actions
ACM 13-17ANS
- Structure organisatrice
- Maison Pour Tous De La Masse - Lot-et-Garonne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- vacances / loisirs
- Résumé
L'ACM répond aux besoins,envies, aspirations des mineurs de 13 à 17ans.
L'équipe accompagne les jeunes dans le développement de projets.
L'action propose des activités de loisirs sur les thématiques culturelle, sportive, environnement. Ainsi que des mini-séjours.
L'ACM est ouvert les mercredis de 14h à 18h ainsi que les vacances scolaires. Ponctuellement les samedis et soirées selon les projets.
Les jeunes sont soumis a inscription mais l'organisation n'est pas "sous forme de mode de garde" comme un ACM traditionnel. Le planning s'organise en fonction des envies de jeunes.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Précision ( si autre )
L'ACM propose également :
*des projets croisés avec les VVV et le CLAS
* des projets spécifiques : journée contre les discriminations, tournois inter-centres ...
* des activités de loisirs traditionnelles : cinéma, tir à l'arc, ....
*des temps festifs organisés avec les différences pôles du centres social : fête de quartier, fête de fin d'année ...
* des mini-séjours
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La politique jeunesse au sein du territoire Nord-Est de la ville d'Agen, porte l'ambition de permettre aux jeunes de se construire et de trouver les moyans de se développer. Il s'agit aussi de prévenir les actes de délinquances.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
En tant qu'espace d'animation, soumit à la réglementation sur les ACM, son intervention peut être de deux sortes :
* certaines activités s'adressent aux inscrits les sorties extérieures notamment,
* d'autres s'adressent à tous, il s'agit d'animations présentant une facilité d'intervention et d'action en direct du public : animations de proximité ouvertes à tous (format local jeunes)
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Fonctionnement : 6500€
Masse salariale : 51560€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Equipe pôle jeunesse :
1 référent jeunesse (1 ETP)
2 animteurs socioculturel (2 ETP)
- Résultat sur le territoire
*Prévention des actes de délinquances
* Démarches participatives
- Résultat pour le centre social
Possiblité de mixer plusieurs dispositifs et travailler en partenariat avec des acteurs relais du centre social sur différentes thématiques auprès des jeunes : emploi, scolarité, accompagnement à la parentalité.....
- Résultat pour les habitants
Via des projets de démarches participatives, l'image des jeunes des quartiers "clichée" est atténuée auprès des habitants.
- Suite de l'action : Limites
Ouvrir l'ACM à partir de 12ans afin de faire le lien avec les jeunes inscrits au CLAS
- Suite de l'action : Perspectives
Recréer le comité de jeunes en interne de l'ACM.
Actions
"Les canards du confinement"
- Structure organisatrice
- Maison Montesquieu (Centre social centre-ville) - Lot-et-Garonne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
A l’annonce du premier confinement le 16 mars 2020, La Maison Montesquieu s’est retrouvée fermée.
Equipe et bénévoles se sont alors questionnés pour inventer d’autres manières de maintenir le lien social entre les habitants du territoire.
Plusieurs initiatives ont vu le jour dans ce contexte qui reste, encore aujourd’hui, inédit :
- Plateforme téléphonique,
- Ateliers collectifs à distance,
- Initiatives solidaires et citoyennes : confection de masques, aide aux courses, entraide entre habitants, etc,
- Médiation et accompagnement numérique,
- Médiation éducative et accompagnement à la parentalité.
Les bénévoles de la Maison Montesquieu ont souhaité garder une trace de ce premier confinement, mais aussi de l’année 2020 et de l’évolution de la situation sanitaire.
Suite à un appel à contributions, une centaine de photos et de petits poèmes (appelés « haïkus ») ont été recueilli et mis en page sous forme de livrets en quatre volumes :
- « Le canard confiné »
- « Le canard déconfit »
- « Le canard retrouvé »
- « Le canard libéré »
A travers une démarche participative et citoyenne, ce travail de mémoire a été entièrement réalisé par les bénévoles du centre social. 10 d’entre eux se sont rencontrés à 9 reprises (dont parfois à distance) pour recueillir l’ensemble des photos et des poèmes, faire une sélection, réaliser la mise en page sur un logiciel libre, rédiger un dossier de demande de subvention auprès du Fond de Participation des Habitants, faire le lien avec l’imprimeur, etc.
Afin de conserver ce témoignage pour les générations futures, les quatre « canards du confinement » seront remis au pôle archives et mémoire de la Ville d’Agen à la Médiathèque Lacépède.
Le partenariat avec la Médiathèque Lacépède a également permis de proposer une exposition entièrement élaborée par les bénévoles intitulée « Le canard confiné s’expose ». Cette exposition sera itinérante dans différents lieux de la Ville d’Agen à partir du mois de mars 2021.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Immortaliser la période de confinement, dé confinement et reprise des activités sur le centre social,
- Créer une trace pérenne pour les générations futures sous forme de livrets, mais aussi sous forme d’exposition,
- Maintenir le lien entre habitants et avec la Maison Montesquieu
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
- Prise de vue de la ville lors du confinement et du dé confinement.
- Écritures de textes sur cette même période, avec découverte de Haïkus. Ceci a permis un certain nombre d’adhérents de rejoindre ce projet.
- Lancement d'un appel à contributions (photos + textes) via une plateforme numérique collaborative.
- Mise en page du journal au travers d’ateliers à distance (skype) puis lors des ateliers en présentiel.
- Mise à disposition du livret à l’ensemble des agenais et remise officielle aux archives municipales.
- Exposition à la médiathèque ouverte aussi à tous publics.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Coût total du projet "Canards du confinement" : 5 194€
Coût total du projet "Le canard confiné s'expose" : 2 269€
Action ayant bénéficié du soutien du Fond de participation des habitants à hauteur de 1 000€ et de la participation de la Direction de l'Action Culturelle de la Ville d'Agen à hauteur de 829€.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Equipe de la Maison Montesquieu : 1 directrice + 1 référente démarche participative et citoyenne
- 10 adhérents/bénévoles
- Direction de l'Action Culturelle de la Ville d'Agen : 1 directrice + 1 médiatrice
- Communication : 1 chargée de communication + 1 imprimeur
- Résultat sur le territoire
- Création d'un travail de mémoire collectif.
- Développement de partenariats culturels.
- Résultat pour le centre social
- Favoriser la visibilité du centre social.
- Résultat pour les habitants
- Maintien des liens sociaux en période de confinement.
- Valorisation de la place des habitants dans la réalisation d'un projet citoyen.
- Permettre l'échange et le dépôt de paroles face aux périodes vécues.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
L'exposition "Le canard confiné s'expose" a vocation a être itinérante sur l'ensemble du territoire d'intervention du centre social.
Différents acteurs du territoire souhaitent accueillir l'exposition : acteurs institutionnels, équipements culturels, associations locales, etc
Actions
Les paroles de la Maison Montesquieu : recueil de témoignages d'habitantes sur le thème de la vieillesse
- Structure organisatrice
- Maison Montesquieu (Centre social centre-ville) - Lot-et-Garonne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- Démocratie & citoyenneté
- Viellissement
- Résumé
« Les paroles de la Maison Montesquieu » est un projet qui reflète la rencontre intergénérationnelle entre Camille, en service civique au centre social pendant 7 mois (du 1er février au 31 aout), et 12 femmes de plus de 60 ans, engagées et investies dans leur centre social. De cette rencontre est née la volonté, pour Camille et les participantes, de construire un projet audio pour valoriser la parole et la place des femmes au sein de notre société. Après plusieurs temps d’échanges, elles ont eu à cœur de porter 3 questionnements quant à la place des femmes :
- Le rôle de la grand-mère
- Etre femme et retraitée
- Le parcours de femme
Camille et les participantes se sont investies pendant presque 8 mois autour des actions suivantes :
- Enregistrement du témoignage des participantes pendant des entretiens individuels,
- 1 atelier au Florida pour découvrir le montage radiophonique avec un animateur multimédia
- 2 ateliers de montage ont été mis en place au centre social avec un bénévole du centre social
- 3 temps d’écoute ont été mis en place afin de valider l’ensemble du projet.
- Participation à l’émission « La Quotidienne » dans les studios de Radio Bulle.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Autre
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Lutter contre l'isolement des personnes fragiles
- Valoriser la place des femmes âgées au sein de la société et de leur territoire
- Favoriser les échanges et les rencontres intergénérationnelles
- Découvrir le numérique et le support radiophonique
- Mettre en lumière le parcours d'habitants-acteurs au sein du centre social
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
- Lancement d'un appel à participation auprès des adhérentes du centre social
- Recueil des problématiques/thématiques importantes auprès des femmes volontaires
- Rencontre avec les participantes du projet au cours d’entretiens individuels et enregistrements
- Constitution d'un groupe de travail composé de Camille (service civique), participantes volontaires et d'une référente du centre social
- Mise en place des ateliers radiophoniques et numériques liés au projet :
- Atelier : découverte du montage radiophonique avec Le Florida
- Atelier : Sensibilisation au podcast
- Atelier : Temps d’écoute des podcasts terminé
- Rencontres avec les associations locales pour une présentation des podcasts, en vue d'une diffusion pour mars 2022.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
15 euros pour le repas de valorisation du projet en présence des participantes, des bénévoles, des partenaires et de l'équipe du centre social.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 service civique
Equipe du centre social = 1 directrice + 1 référente du projet
12 habitantes
1 bénévole radio
1 animateur multimédias
- Résultat sur le territoire
Aspects qui seront évalués à la finalité du projet en 2022.
- Résultat pour le centre social
- Favoriser la visibilité du centre social
- Résultat pour les habitants
- Dépassement de soi
- Fierté des participantes et prise de confiance
- Mobilisation des participantes pour les activités de la Maison Montesquieu
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
- Diffusion des podcasts lors du mois de la femme en mars 2022 (modalités à définir avec le groupe de femmes participantes au projet et les radios locales).
- Poursuite du projet « Les paroles de la Maison Montesquieu » et du format podcast sur une autre thématique portée par les habitants du territoire.
Actions
La réussite scolaire de nos enfants, parlons-en! Recherche-action menée par les parents du GERPAM
- Structure organisatrice
- ASSOC. MONTARGOISE D'ANIMATION - Loiret
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
L'action est terminée car le groupe de parents concernés, le GERPAM (Groupe de Réflexion des Parents de l'Agglomération Montargoise) a mené à terme le projet qu'il s'était fixé.
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Résumé
Des parents ont voulu mener un travail de recherche sur un sujet les motivant tous: la réussite scolaire des enfants. L'action a débuté en 2012 et a donc demandé 3 ans de travail avec différentes étapes:
* le recueil de témoignages auprès de parents, d'enfants, de jeunes et de professionnels de l'Education Nationale permettant un premier travail d'analyse
* une formation a permis ensuite aux parents du GERPAM de construire des saynètes à partir des éléments repérés. Ces saynètes ont servi lors de différents événements à lancer des débats autour de la réussite scolaire
* travail de recherche effectué par le GERPAM à partir d'une méthodologie apportée par une anthropologue
* restitution du travail de recherche lors d'un colloque
* édition d'un livre reprenant le travail de recherche effectué par le groupe
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
* Analyser, comprendre, expliquer les processus et mécanismes favorisant la réussite scolaire ou au contraire le décrochage scolaire
* Mettre en place des temps de sensibilisation autour du sujet pour libérer la parole de parents qui n'ont pas l'habitude de la prendre et à les aider à prendre conscience de ce qu'ils pourraient faire dans le cadre de l'école
* Apporter des pistes concrètes favorisant la réussite scolaire que parents et/ou structures pourraient s'approprier.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
En 2014, accompagnés par l’animatrice de l’AMA, les parents du GERPAM se sont retrouvés 61 fois pour réaliser leur travail de recherche et mettre en place les différentes actions.
1/ Concernant la recherche, à partir d’une méthodologie apportée par une anthropologue, ils ont pu « analyser, comprendre, expliquer les processus et mécanismes favorisant la réussite soclaire ». Pour ce faire, ils se sont appuyés sur différents éléments :
-) Les témoignages recueillis auprès de parents, de professionnels d’établissements scolaires situés sur les quartiers CUCS, de lycéens, de collégiens et d’enfants en école primaire.
-) Les réflexions recueillies lors des saynètes et débats réalisés lors du festival de la famille et lors de la fête du Plateau en 2013
-) La recherche de données à partir de différentes sources : ANLCI, PISA 2009, Observatoire des Inégalités, baromètre Afev, OCDE, rapport Education Terra Nova école 2012,…
Le groupe a pu comparer, confronter ses réflexions avec différents documents (études, statistiques, articles,…) et prendre également connaissance de différentes expérimentations menées ailleurs pour faire évoluer la réussite scolaire.
Il a rédigé un rapport sur son travail de recherche qui a été réalisé sous forme d’un livre.
2/ Sensibilisation des parents à la thématique
Les parents du GERPAM ont pu jouer leurs saynètes interactives lors d’une rencontre « pause-café des parents » de Chalette le 30 janvier 2014 devant une douzaine de mamans. Ce temps a permis de « libérer la parole » aux parents présents sur les interactions qu’ils ont avec le monde enseignant et de faire ressortir des solutions pour favoriser la communication entre parents et enseignants.
Le débat sur la Chaussée s’est fait avec une dizaine de mamans venant à l’accueil du Secours Catholique rue de Crowborough.
Le groupe a également fait part de son travail lors de l’émission « le Mag » sur Radio Chalette et en rencontrant des parents grâce au stand tenu lors de la fête du Plateau 2014.
3/ Restitution du travail de recherche lors d’un colloque
Cette rencontre qui a eu lieu le vendredi 21 novembre 2014, a rassemblé 50 personnes qui ont pu, à partir de la restitution du travail du GERPAM, échanger autour de la réussite scolaire et ébaucher des pistes de solutions.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
7945 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
GERPAM: 5 parents + 1 anthropologue bénévole + 1 animatrice salariée du centre social
Public présent lors des 2 interventions avec saynètes: 22
Colloque du 21 novembre 2014: 50
- Résultat sur le territoire
* Rédaction d'un rapport portant sur le travail de recherche du groupe et pouvant servir à sensibiliser voire faire réagir les acteurs autour de cette question
* Les différentes actions menées ont mis en évidence la préoccupation partagée par les parents et les professionnels de l'Education Nationale sur cette thématique.
* La rencontre du 21 novembre a été une réussite car le GERPAM voulait qu'elle soit un temps de confrontation entre parents et professionnels de l'Education Nationale puiqu'étaient présents 23 parents, 12 professionnels de l'EN et 15 partenaires. La plupart des participants se sont retrouvés dans les éléments apportés par le GERPAM, ce qui a donné lieu à de nombreux débats.
- Résultat pour le centre social
* Ce projet nous a fait connaitre comme un partenaire auprès des établissements scolaires et des inspections académiques de Montargis.
* Il nous a également incité à poursuivre des actions dans cette thématique.
- Résultat pour les habitants
* Mobilisation sur la durée de 5 parents résidant sur les quartiers prioritaires de la politique de la ville autour d'une recherche portant sur la réussite scvolaire
* Valorisation des parents (meilleure estime de soi) qui ont appris à mener un véritable travail de recherche, ont pris confiance en eux en parlant par exemple devant un groupe
- Suite de l'action : Limites
* Un véritable travail de recherche demande un investissement important, ce qui a été difficile pour les membres du GERPAM qui n’ont pas pu notamment réaliser la totalité des débats participatifs
* Pour faciliter la mobilisation des enseignants, il faut bien en amont rencontrer les IEN et valider conjointement des actions.
* Mobiliser des parents est également une démarche difficile qui leur demande de s’organiser pour faire garder les enfants, d’accepter de sortir de chez soi, d’exposer ses idées et surtout de se dire que cela peut servir à quelque chose et notamment améliorer la préoccupation principale des mamans : la réussite de leurs enfants
- Suite de l'action : Perspectives
Le GERPAM travaille désormais sur la création d'un outil (exposition) qui permettrait l'échange sur différents sujets (le retard, le sommeil, le langage, la tenue vestimentaire, les devoirs à la maison, l'implication des parents dans la vie de l'école,...) pour lesquels parents, enfants et professionnels de l'EN ont parfois des difficultés à communiquer ensemble.
Actions
Création d'une exposition sur le thème du climat scolaire afin d'ouvrir les espaces d'expression entre parents-enseignants-enfants et partenaires.
- Structure organisatrice
- ASSOC. MONTARGOISE D'ANIMATION - Loiret
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Résumé
Construction entre un groupe de parents, l'Education Nationale et 3 écoles d'une exposition autour du thème du climat scolaire.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le GERPAM (Groupe de Réflexion de Parents de l'Agglomération Montargoise), soutenu par le centre social, a mené un travail de recherche de décembre 2012 à décembre 2014 sur le thème de la réussite scolaire. Cette recherche, encadrée par une anthropologue, s'est cloturée par un colloque et l'édition d'un livre "la réussite scolaire de nos enfants, parlons-en ! (détails de ce projet dans une autre fiche action). Du colloque est ressorti la difficulté pour les familles et les professsionnels de l'Education Nationale de se retrouver sur un pied d'égalité et de trouver conjointement des solutions dans l'intérêt de l'enfant. Dans un premier temps, nous avons essayé de mettre en place des rencontres parents-enseignants afin que chacun echange sur ses attentes mais la difficulté pour mobiliser nous a fait rebondir sur un autre projet. Puisque le public concerné ne vient pas à nous, le projet a donc été de créer une exposition qui pourrait circuler dans les écoles, les lieux publics afin d'ouvrir les espaces d'expression et d'échanges entre les parents, les enseignants, les enfants et les partenaires. et ainsi dégager des pistes de réflexion communes pour améliorer la vie scolaire au quotidien.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Il nous a semblé essentiel de travailler ce projet avec l'Education Nationale. Nous avons donc présenté ce projet à l'inspecteur Montargis Ouest. Nous avons été soutenu dans cettte démarche par le directeur de l'école proche du centre social, également coordinateur REP. L'inspecteur a été intéressé par l'idée. Une exposition a donc été créée conjointement par les membres du GERPAM et les 3 écoles du quartier en partant de différentes situations liées au climat scolaire. 9 panneaux ont été réalisés. Chacun aborde une situation qui a été mise en scène par les enfants et photografiée et qui est complétée par 3 points: "les enjeux", "des questions pour réfléchir" et "comment agir ensemble".
- Ressources financières mobilisées pour cette action
5000 € dont une bonne partie pour la confection des supports de l'expo.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 classes de CM2 + enseignants + 5 personnes du GERPAM
- Résultat sur le territoire
Mettre en évidence différents questionnements liés à l'école et faire réfléchir les personnes concernées autour de ces sujets afin de faire évoluer les perceptions voire améliorer la vie scolaire au quotidien.
- Résultat pour le centre social
Etablir un partenariat avec l'Education Nationale à partir d'un intérêt commun.
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Depuis janvier 2017, 2 supports circulent, entre chaque vacance, dans les écoles de REP de l'Agglomération Montargoise. L'exposition est utilisée de différentes façons par les écoles, elle est utilisée au moins par les enseignants qui abordent les différents sujets avec les élèves. Cet outil a également pour intérêt de lancer des CAFES DES PARENTS, initiatives soutenues par les inspecteurs, lancés par le coordinateur REP dans son école et auxquels l'AMA-GERPAM a participé. Un troisième support, sous forme de roll-up, est destiné aux autres lieux (collèges, médiathèques, associations, Espace Multi-Services de l'AME,...).
Actions
Atelier cuisine "du goût à la cuisine"
- Structure organisatrice
- ASSOC. MONTARGOISE D'ANIMATION - Loiret
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Santé
- développement durable
- Résumé
Il s'agit de mettre en place 7 séances de formation cuisine pour un groupe de 10 parents encadrés par un cuisinier professionnel. Les séances sucessives permettent d'apprendre à cuisiner des produits locaux, de saison, parfois inconnus ou aussi connus mais en les cuisinant de façons différentes. Le cuisinier doit se positionner comme un formateur permettant au public d'expérimenter. Il montre comment faire puis il laisse le public réaliser l'exercice tout en étant présent pour modifier les gestes s'ils ne sont pas corrects. Ainsi, les parents peuvent apprendre de nombreuses choses: diminuer les graisses dans les cuissons, utiliser correctement les épices, réaliser des mets peu chers, associer des produits pour améliorer le goût, cuisiner les légumes de différentes façons. Les cours portent également sur d'autres points: respecter la chaine du froid en fermant le frigo, savoir organiser sa cuisine, savoir émincer les aliments sans se couper. Les parents travaillent sur les saveurs, ce qui amène le plaisir de manger et donne envie aux enfants de manger de tout.
A la suite d'un repas nous invitons une diététicienne à venir répondre aux différentes questions qui ont pu ressortir lors des ateliers. Nous sollicitons également le SMIRTOM pour une intervention de sensibilisation sur le tri sélectif des déchets.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place suite à différents constats:
* les personnes cuisinent moins et achètent plus facilement des produits tout préparé
* le budget de la plupart des habitants est peu élevé (beaucoup viivent en dessous du seuil de bas revenu). Cette situation a 2 incidences: d'une part, ils achètent prioritairement des aliments "premier prix" souvent de moindre qualité et d'autre part, les choix alimentaires se réduisent encore plus en fin de mois pour ces personnes qui ont parfois du mal à gérer leur budget nourriture.
* l'alimentation n'est pas toujours adaptée aux enfants notamment en ce qui concene les sucreries dont la consommation est souvent excessive.
* beaucoup de produits frais vont à la pubelle faute de savoir les cuisiner, de surveiller les dates limites de consommation ou simplement faute d'une bonne tenue du réfrigérateur. Ces produits périmés gonflent alors le poids des sacs poubelles de déchets ménagers.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Un bénévole a aménagé au préalable un local en atelier cuisine comprenant un plan de travail pour 10 personnes (avec 5 plaques vitrocéramiques + 2 fours).
Nous avons lancé le premier atelier le 10/10/17 avec une dizaine de mamans encadrée par un cuisinier et une animatrice.
Le public est issu de plusieurs associations partenaires: 1000 Sourires qui est une association d'aide aux familles sur un autre quartier de Montargis, Coallia qui héberge des familles en grandes difficultés et nous-mêmes. En ce qui nous concerne, nous avons également communiqué sur cette action auprès de nos usagers.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
5462 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Pour une année: 2 groupes de 10 personnes, 1 animatrice salariée de l'association, 1 cuisinier professionnel, 1 diététicinne, 1 ambassadeur du tri SMIRTOM
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
A la suite de cette formation cuisine, les mamans ont mis en pratique beaucoup d'astuces et ont reproduit plusieurs plats avec le plaisir de les voir appréciés par les enfants qui en redemandaient.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Nous souhaitons poursuivre l'action avec le même principe: un groupe d'une dizaine de parents qui se retrouveraient sur 7 séances et qui apprendraient de nombreuses choses grâce à l'intervention d'un cuisinier, une diététicienne et un ambassadeur du tri.
Actions
Accompagner les familles pour l’acquisition et l’utilisation d’outils numériques dans le cadre du travail scolaire à domicile
- Structure organisatrice
- ASSOC. MONTARGOISE D'ANIMATION - Loiret
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
L'action a été totalement réalisée en 2021 et devrait être reconduite en 2022.
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Résumé
Le projet consistait à former des familles à l'utilisation d'un ordinateur et à l'utilisation des supports de l'Education Nationale (ENT et Pronote) puis à les équiper d'un ordinateur reconditionné et d'une imprimante.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pendant le confinement, les enfants n’ont pas pu aller à l’école. Les cours ont donc eu lieu en distanciel par les enseignants. En ce qui concerne les écoles du quartier, les familles avaient la possibilité de récupérer les devoirs, en version papier, auprès de leur école. En parallèle et surtout à partir du collège, les enseignants ont utilisé les outils numériques pour envoyer les cours et les exercices à faire. Il s’agissait notamment :
- Sites dédiés type pronote où enfants et parents pouvaient se connecter pour savoir le travail à faire
- Echanges entre un enseignant et un ou plusieurs enfants par le biais de visio
- Envoi de mails avec le travail à faire
Cette situation a mis de nombreuses familles en difficulté :
- D’une part, les parents ont dû assurer le suivi scolaire mais également les cours alors que certains étaient déjà en difficultés (mauvaise compréhension orale et mauvaise maîtrise de l’écrit ; petit niveau de scolarisation voire en décrochage scolaire,…) pour aider leurs enfants dans les devoirs à faire
- D’autre part, la situation a fait apparaitre des difficultés pour beaucoup de familles en ce qui concerne l’utilisation des outils numériques. En effet, les familles possèdent souvent un smartphone qui peut permettre de communiquer avec l’établissement scolaire mais cette réalité cache de nombreuses lacunes :
- -) le temps que l’enfant a accès au smartphone peut être limité en fonction du temps de présence du parent qui l’utilise au sein du foyer. Des parents ont recopié des exercices de leur smartphone sur papier afin que leurs enfants puissent faire le travail demandé.
- -) la compréhension pour utiliser les sites dédiés
- -) la réalisation de tout travail écrit
- -) les conséquences sur le corps, la vue lors d’utilisation prolongée de petits écrans notamment ceux des smartphones
Le confinement a renforcé l’utilisation des outils numériques qui étaient déjà présent dans l’organisation scolaire. Il a mis en exergue la rupture numérique d’un public tant du point de vue de l’absence d’outils que de connaissances pratiques pour les utiliser.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Dans le cadre de cette démarche expérimentale, le projet serait donc d’aider 10 familles à acquérir les outils numériques nécessaires au travail scolaire mais aussi de former parents et enfants à l’utilisation de ces outils.
Etape 1 : aider les familles dans l’acquisition d’outils numériques
- Achat d’ordinateurs
Il s’agirait d’aider les familles à acquérir un ordinateur (+écran + clavier + souris) afin de répondre aux besoins décrits précédemment. Nous ne souhaitons pas axé cette démarche vers du matériel neuf coûteux mais plutôt de proposer du matériel reconditionné et sensibiliser par la même occasion, aux démarches de développement durable. Pour se faire, nous travaillerions en partenariat avec le chantier d’insertion ICARE de FAP.
Le matériel est vendu 80 €. Les familles auraient 50 € à prendre en charge avec éventuellement un échelonnement du paiement sur 5 mois maximum. Nous sollicitons le contrat de ville pour apporter une aide à l’acquisition de l’ordre de 30 € par famille.
L’achat d’ordinateurs comprendrait également l’installation des ordinateurs au domicile des familles pour celles qui auraient du mal à configurer, paramétrer le matériel bien qu’ayant suivi la formation décrite ci-dessous.
- Acquisition d’imprimantes : achats groupés
Ordinateur, tablette, smartphone sont nécessaires pour communiquer avec les établissements scolaires mais certains périphériques comme les imprimantes sont également indispensable dès que l’élève doit rendre un travail écrit (exercices, expo,…). Une action serait donc de proposer aux familles intéressées de réaliser un achat groupé et de négocier avec un distributeur.
Si cette démarche se concrétise, nous orienterons également vers le remplissage des cartouches au lieu d’en racheter de nouvelles, ce qui représenterait un autre aspect de sensibilisation au développement durable.
Etape 2 : former les parents et les enfants
Les parents sont plus en difficulté que les enfants dans l’utilisation des outils numériques. Face à ce constat, nous aimerions proposer une formation qui tienne compte de cette réalité.
Les familles seraient divisées en 2 groupes et chaque groupe bénéficierait du cursus suivant :
- 1 module de 5 séances pour les parents sur l’utilisation générale de l’ordinateur
- 1 module de 2 séances pour les parents sur l’utilisation de l’outil spécifiquement dans le cadre scolaire
- 1 module de 2 séances pour les enfants sur l’utilisation de l’outil spécifiquement dans le cadre scolaire
- 1 module de 2 séances pour une mise en commun parents et enfants
- 1 module complémentaire de 2 séances en lien avec la FRAPS pour prévenir les dangers issus des écrans
Le premier module serait encadré par un intervenant d’orange Solidarités, les 3 suivants par cette même personne et l’animatrice – référente famille de l’AMA et le dernier module par notre animatrice et la FRAPS.
Les séances seraient de 2 heures.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
5500 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 salariés et un intervenant en mécénat de compétence
10 familles soit 10 parents et 18 enfants
- Résultat sur le territoire
* des familles qui ne se connaissaient pas ou de vue ont appris à se connaitre et discutent désormais ensemble.
- Résultat pour le centre social
* création de supports de formation (initiation PC, la messagerie électronique, Pronote,…) pouvant être réutilisés
* répondre aux orientations de notre projet centre social
- Résultat pour les habitants
* public réceptif en attente de cette aide, content qu’une structure s’occcupe de lui et lui explique
* reconnaissant de lui fournir un matériel en bon état de fonctionnement et abordable financièrement
* apprentissage du Libre Office qui ne demande pas de mises à jour payantes
* capacité du public à créer une boite mail puis à rédiger, envoyer et recevoir un mail, utilisation de la copie carbone et de la copie invisible
* capacité des parents à utiliser Pronote grâce à des exercices pratiques
* développement du travail parents-enfants en utilisant Pronote comme un outil de travail commun et pas uniquement un moyen de contrôle des notes
* capacité des parents comme des enfants à rédiger et présenter un courier en traitement de texte
* prise de confiance. Un des papas qui avait des problématiques linguistiques était plutôt fermé. Les autres parents l’ont soutenu, une maman lui a traduit parfois en arabe les informations qu’il avait du mal à comprendre. Lors des temps collectifs, ses 2 filles l’ont beaucoup aidées et nous avons vu une réelle progression dans l’utilisation de l’ordinateur.
* apprentissage de l’écoute et notamment de celle du parent envers son enfant
* prise de conscience des risques liés aux écrans grâce à des vidéos de prevention et grâce aux ateliers de la FRAPS. Les discussions ont permis de libérer la parole, de prendre conscience de ce que les familles connaissent et surtout les situations auxquelles les enfants ont pu être confrontées. Ainsi en partant de ces constats, les parents ont pris conscience qu’ils devaient être plus attentifs à ce que leurs enfants regardant.
* forte entraide entre les participants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Cette action devrait être reconduite en septembre 2022.
Actions
Fêtes du quartier, des écoles et de la musique
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIO CULTUREL DU CHATEAU - Loire-Atlantique
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Mixité sociale
- Résumé
Le projet consiste à créer un temps d’animation globale sur le quartier, en lien avec la fête des Couleurs (fête de la Ville), en y associant les habitants, les partenaires, notamment l’école, pour développer des temps de rencontres et de médiation culturelle avec une valorisation des projets menés par notre structure et ses partenaires, en juin 2014.
Cette fête contient les éléments suivants :
- Une scène professionnelle pour la diffusion des concerts d’élèves, d’amateurs et de groupes professionnels. L’objectif est de développer les dialogues entre les pratiques amateurs et professionnelles
- Une scène conventionnelle permettant la diffusion de petites formes et des groupes issus du studio de la Barakason et de l’Ecole Municipale de Musique et de Danse
- Une dizaine de stands d’information et de restauration tenus par les associations partenaires
- Un espace de jeux dans la cour d’école maternelle
- L’exploitation de la Barakason pour des animations complémentaires
- Une exposition en plein-air des « sorties d’ateliers » et des photographies temps forts de l’année.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Précision ( si autre )
- Une expérience dans la conduite de projets artistiques
-
A l’initiative de la Ville de Rezé : Fête des couleurs en juin 2004 (orange – Artitillerie), en juin 2006 (violet – Artitillerie), en juin 2008 (Ultra-violet – Artitillerie). Le CSC a permis l’inscription du projet artistique dans le quartier, l’information et la conduite d’ateliers.
-
A l’initiative du CSC Château avec la Ville : Musiques à Rezé en juin 2009 (les machines sonores et la Bodega) - Fête des couleurs en juin 2010 (Le Château voit rouge). Le CSC a conduit ces projets d’art plastique avec l’association Transformeurs, Peuples sans voix, peuples sans terre (Artitillerie) pour la scénographie du festival Antibemol, fête des couleurs en juin 2012 «La place des arts ».
-
A l’initiative du CSC Château en collaboration avec l’ARC : l’atelier du peintre en septembre 2010. Le centre socioculturel a conduit un travail avec le dessinateur de presse Bauer lors de l’installation du Cirque Plume dans le quartier Château.
-
A l’initiative des bénévoles : « Un sapin pas comme les autres » en décembre 2010 (Transformeurs), un œuf à la manière de Niki de ST Phalle en avril 2011, « brut de formes et de couleur » d’après Jean Dubuffet (avril 2012), installé Place François Mitterrand ; « Chubac et l’abstraction » avec une exposition des réalisations des enfants a la BaraKaSon au mois de décembre 2013.
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L’expérience de l’association dans la conduite de projets musicaux via l’équipement BaraKaSon.
2 - Une demande d’actions fédératives et de qualités
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Les adhérents du centre et les bénévoles veulent mettre en place des actions
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Les équipes pédagogiques des écoles veulent continuer à développer des projets d’éducation aux arts visuels avec le centre socioculturel.
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Les adhérents, les parents d’élèves et des habitants souhaitent une vraie fête de quartier.
3 - Des objectifs convergents des acteurs du quartier
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Un des objectifs de la politique culturelle de la Ville mise en œuvre par la Direction de l’Action Culturelle est de développer une offre culturelle de proximité.
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Une demande des bénévoles et des bailleurs d’être impliqués dans le projet.
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Les équipes pédagogiques des écoles (maternelle et élémentaire) souhaitent s’investir dans un projet artistique à l’échelle du territoire
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L’Ecole de Musique et de Danse de Rezé veut organiser un temps de valorisation du projet d’action culturel mené avec des écoles du quartier
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L’Association « La malle à jouer » est dans une dynamique de lisibilité de son action sur le territoire
4 – Cadres et commanditaires
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La convention avec la Ville de Rezé qui précise le développement de « la participation des habitants et des associations à la conception et à la gestion de l'animation sociale, culturelle et de loisirs dans les quartiers », ainsi que «d’assurer un rôle éducatif complémentaire des institutions existantes auprès des enfants et des jeunes ».
-
La participation du Centre Socioculturel à l’évènement communal Rezé Les Couleurs
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La fête de juin est une fiche action du projet social 2010 – 2013
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- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
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Développer la découverte de pratiques artistiques par la rencontre directe d’artistes et des habitants du Château.
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Organiser et valoriser les actions de médiation culturelle
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Augmenter l’association des « forces vives du quartier » (bénévole de l’association, partenaires, écoles …) par la mise en place d’un dispositif de co-construction du projet
-
Inscrire un temps incontournable, festif et populaire, dans le quartier du Château - Mahaudières
Les finalités dans lesquelles s’inscrit le projet sont de :
· Favoriser le vivre et le faire ensemble. Le vivre ensemble (la confrontation) permet l’échange de paroles qui crée du savoir et le savoir de l’action (le faire ensemble). Provoquer la rencontre, l’échange, pour reconnaître l’autre et lutter contre l’isolement des populations les plus fragilisées
· Favoriser l’émancipation sociale pour permettre aux individus, aux groupes de concevoir de nouveaux mondes possibles. Permet de s’interroger sur le comment et le pourquoi pour agir sur le monde.
Pour l’association
L’idée du projet est d’inscrire la fête de quartier habituelle dans la dynamique de Rezé les couleurs. Elle permettra à l’association de poursuivre sa conquête de l’espace public en créant un lieu central d’animation devant la Barakason pour que les habitants, bénévoles et associations du quartier se rencontrent.
Pour les partenaires
L’évènement leur permettra d’être identifiés comme des acteurs du quartier à part entière qui s’inscrivent dans la vie du territoire au-delà de leurs compétences traditionnelles.
Pour le quartier
L’implantation d’une fête de la ville dans le quartier Château contribuera à la valorisation, la connaissance du territoire notamment par la venue d’habitants des autres quartiers.
Pour les habitants
Leur participation à la préparation de la manifestation en amont permettra d’appréhender l’organisation d’un évènement culturel et d’être acteur du projet. Le projet servira également de levier pour redynamiser les pratiques artistiques et culturelles. Le jour de la fête, les habitants pourront découvrir des spectacles, des animations, des ateliers d’initiation artistique et faire partager leurs pratiques culturelles. Ce temps fort sera aussi l’occasion de se rencontrer, d’échanger, de vivre ensemble un instant de convivialité.
-
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Développer la découverte de pratiques artistiques par la rencontre directe d’artistes et des habitants du Château
Une des rencontres a commencé en début d’année 2014, avec la présence de l’artiste nantaise Danny Steve pour accompagner un groupe d’habitants dans la finalisation d’une fresque. Nous avons travaillé la thématique des mondes marins sous forme d’ateliers plastiques, de visites. Nous avons sollicité cet artiste, pour faire suite à la demande du groupe d’exposer leur réalisation pendant la fête du 20 juin.
Lors de cette manifestation, les habitants du quartier Château ont pu découvrir les groupes amateurs, Matt Ceruze, Ol’Nag, Layenn et apprécier les groupes professionnels de chansons française, Biloba et La mine de rien.
Organiser et valoriser les actions de médiation culturelle
Nous avons proposé des ateliers d’arts plastiques et de couture, qui ont été déclinés d’après le projet municipal de Rezé les couleurs. La manifestation Rezé les couleurs se déroule tous les deux ans à l’échelle de la ville. Le principe est une colorisation des quartiers et une fête de ville générale le samedi 27 juin. Cette année, le bleu était la couleur du quartier du Château. Pour les ateliers d’arts plastiques, nous avons travaillé d’après l’œuvre de l’artiste américain, pop art, Keith Haring. Les participants aux ateliers ont réalisé 3 triptyques, pour la scénographie du site, qui reprennent les codes graphiques de l’artiste. Pour l’atelier couture, les habitants ont réalisé 3 patchworks d’après l’œuvre Légende du Nil de Paul Klee. Les bénévoles du projet Les Arts en famille ont également pris en charge deux ateliers d’arts plastiques le jour de la manifestation : la création de personnages d’après le projet du collectif de plasticiens l’Atelier du banc public et l’œuvre de Kandinsky, Bleu de ciel.
Faire converger les « forces vives du quartier »
-Des bénévoles impliqués à tous les niveaux de l’organisation.
14 partenaires se sont investis dans cet évènement, contre 8 pour l’édition précédente. Ces partenariats sont la concrétisation du travail mené à l’année avec les deux groupes scolaires du quartier, sur des projets communs et la présence de professionnels de l’association aux conseils d’école.
Inscrire un temps incontournable, festif et populaire, dans le quartier du Château-Mahaudières
Cette année, nous avons remarqué une baisse de la fréquentation de la manifestation par le public, 700 personnes sur l’édition 2014, contre 900 sur l’édition précédente. Nous expliquons cette baisse par la retransmission de la coupe du monde de football au Brésil et notamment un match de la France, le soir du 20 juin.
Cependant, cette deuxième édition de la fête de la musique, du quartier et des écoles a été une réussite auprès du public et des partenaires. L’ensemble des organisateurs souhaite reconduire leur participation à cet évènement pour l’année 2015.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
CHARGES
MONTANT €
PRODUITS
MONTANT €
60 - Achat
5300
70 - Vente de produits finis, prestations de services, marchandises
21822
Prestations de services
2800
Prestations des usagers
2000
Achats matières et de fournitures
Fonds propres
19822
Autres fournitures
2500
61 - Services extérieurs
6300
74- Subventions d’exploitation
24726
Locations
6000
Subvention Acsé
6000
Entretien et réparation
Assurance
200
L’Agence de services et de paiement
Documentation
100
Mise à disposition de personnel communal
13963
62 - Autres services extérieurs
15263
Subvention commune 2
Rémunérations intermédiaires et honoraires
13963
Subvention département
Publicité, publication
800
Subvention autres établissements
Déplacements, missions
500
Intercommunalité(s) : EPCI
Services bancaires, autres
Subvention fonds européens
63 - Impôts et taxes
0
Subvention Ministère 1
Impôts et taxes sur rémunération,
Autres impôts et taxes
CAF
3069
64- Charges de personnel
17991
Aides privées
Rémunération des personnels
12711
Subvention Région
Charges sociales
5280
FFMJC
1694
Autres charges de personnel
65- Autres charges de gestion courante
0
66- Charges financières
0
75 – Cotisations, dons manuels ou legs
0
67- Charges exceptionnelles
0
75 – Autres produits de gestion courante
0
68- Dotation aux amortissements (provisions pour renouvellement)
0
76 - Produits financiers
0
69 – Charges fixes de fonctionnement
0
77 - Produits exceptionnels
0
69 – Frais financiers
0
78 – Reprises sur amortissements et provisions
0
69 – Autres charges indirectes
0
TOTAL DES CHARGES PREVISIONNELLES
44854
TOTAL DES PRODUITS PREVISIONNELS
46548
86- Emplois des contributions volontaires en nature
8699
87 - Contributions volontaires en nature
7005
Secours en nature
Bénévolat
7005
Mise à disposition gratuite de biens et prestations
1694
Prestations en nature
Personnel bénévole
7005
Dons en nature
TOTAL DES CHARGES
53553
TOTAL DES PRODUITS
53553
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Les bénévoles ont été présents en amont de la manifestation en étant force de proposition dans le cadre de la commission animation, propositions de partenariats, de la commission musique actuelle, proposition de groupes amateurs et professionnels pour la programmation. On les retrouve également dans les ateliers de décoration (arts plastiques et couture) pour la scénographie du site : 22 bénévoles se sont investis pour un volume de 194h.
Le jour même, 34 bénévoles ont participé à l’installation–démontage du site, à la tenue du bar, de stands, à l’accueil du public et des artistes, à la restauration …, pour 220h de bénévolat.
- Résultat sur le territoire
- échanges et rencontres entre habitants
- meilleure connaissance entre les différents acteurs
- Résultat pour le centre social
- lisibilité
- renforcement du rôle de coordinateur
- fédérateur pour les bénévoles et l'équipe de professionnels
- projet structurant pour l'année
- Résultat pour les habitants
- valorisation des enfants, des bénévoles
- rupture de l'isolement
-image positive de leur quartier
- Suite de l'action : Limites
- peu de liens créés à l'année
- lisibilité des missions quotidiennes du Centre social limitées
- investissement des habitants au montage du projet à renforcer
- Suite de l'action : Perspectives
- renforcer l'implication des habitants
- ouvrir à d'autes associations du quartier
- renforcer l'image d'ouverture, d'accessibilité à l'année du CSC