Les actions des centres sociaux
Actions
l'âge d'or. Une expérience artistique mais pas que !
- Structure organisatrice
- ESPACE BORIS VIAN - Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- Mixité sociale
- Résumé
Dans le cadre d'un partenariat avec La Comédie de St-Etienne (CDN), une compagnie professionnelle de théâtre, le collège et la résidence de personnes âgées, nous avons mis en place un projet d'action culturelle qui a réuni une quinzaine de participants âgés de 11 à 91 ans. Encadrés par des comédiens, metteur en scène, musicien professionnel de la Cie The Party, ils ont partagé des moments intenses de discussion autour de l'âge d'or (les plus beaux moments de notre vie), mais aussi de la religion, de la politique, de l'enfance, de la famille, des "évènements". Ces temps d'échanges et d'écriture ont donné naissance à un spectacle joué à La Comédie et qui a fiat l'objet d'une publication de 128 pages et 70 photos qui relatent l'aventure vécue par ces amateurs habitants du quartier.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
pour favoriser l'accès à la culture pour tous, pour lutter contre l'isolement des personnes âgées, pour valoriser les pratiques artistiques des jeunes, pour recréer du lien entre les générations.
pour impliquer divers partenaires sociaux, éducatifs et culturels.
pour communiquer (notamment via le livre) sur la méthode utilisée pour mener à bien le projet, les points forts, les difficultés rencontrées,.... histoire d'impulser d'autres initiatives.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
contitution d'un groupe d'habitants du territoire, via les partenaires (maison de retraite, collège). 15 participants âgés de 11 à 91 ans (des collègiens, lycéens, jeunes adultes actifs, jeunes retraités, personnes âgées...)
ateliers de pratique théâtrale mêlant échanges, écriture et jeux théâtraux
création d'un spectacle à partir de la parole des participants (sur des soirées, des journées de vacances, des eek-end)
2 représentations sur la scène de la Comédie de Saint-Etienne
édition d'un ouvrage présenté par les acteurs et encadrants du projet au moment de la Fête du Livre de St-Etienne.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
budget global : 43.170 €
recettes : CAF 12.000€, Département 6.000€, région Rhône-Alpes 3.000€, AG2R la Mondiale 1.500€, Caisse des Dépôts 5.000€, Fondation Casino 7.000€, DRAC 4.000€, Ville 4.370€, SEDL 300€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 animateur du centre social
1 chargée d'action culturelle Comédie
1 animatrice résidence de personnes âgées
3 comédiens
1 musicien
1 photographe
1 enseignante du collège
1 auteur
- Résultat sur le territoire
valorisation du partenariat associatif et institutionnel
ouverture de la résidence de personnes âgées et du collège sur l'extérieur
positionnement de nombreux partenaires financiers privés et publics
- Résultat pour le centre social
ancrage sur le territoire
reconnaissance par le milieu culturel
mobilisation de publics nouveaux
- Résultat pour les habitants
remobilisation
découverte du milieu culturel
expression et partage de points de vue entre générations
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
le projet se poursuit avec la quasi totalité des participants rejoints par d'autres : ils sont à présent 28 à participer au projet qui a fait appel à un nouveau metteur en scène.
les participants se retrouvent soit le vendredi soir soit pendant les vacances scolaires, un week-end en gite est prévu en mai pour regrouper tous les participants.
Actions
gUIDE PRATIQUE lOISRS ET ANIMATONS SANS DISCRIMINATION
- Structure organisatrice
- AMICALE LAIQUE CHAPELON - Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- discriminations
- Résumé
Guide conçu par un groupe de professionels de l'animation sociocultrelle, de l'éducation spécialisée, de travailleurs sociaux et des bénévoles. Les participants ont mis à jour qu'il existe des situations discriminatoires ou discriminantes dans la plupart des activités des jeunes alors même qu'ils pensaient que les valeurs de l'éducation populaire suffisaient à les prévenir. Le travail et la reflexion collective on donné l'envie au collectif de partager leur questionnement, leur analyse, et de co-construire des solutions. A travers ce guide et des exemples concréts, les professionnels souhaitent particper à une meilleure prise en compte de cette question dans l'accès aux loisirs des enfants et des jeunes.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Lutter contre les discriminations
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Groupe de travail action-formatin
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
12 PERSONNES
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
passerelle emploi
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL FIRMINY VERT - Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Intégration
- Résumé
Un lien avec le Groupement d'employeur pour l'insertion qualifiante (GEIQ Batiscaf).
Nous avons une présence qui se porte dans une proximité avec les jeunes du quartier par le biai notament d'une salle de remise en forme. Nous pouvons ainsi relayer l'infos pour cerner des jeunes qui peuvent découvrir et être testés dans un circuit qui leur permet de rencontrer les métiers liés aux batiments. En effet, notre proximité nous permet d'évaluer le jeune dans son quotidien pr l'orienter...à maturité. ce travail se construit, avec le cordinateur du GEIQ qui est aussi en lien avec la MLJ.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Autre
- Précision ( si autre )
un réseau, des opportunités liés au réseau de conniassance de certains professionnels de la structure. Il s'est construit en lien avec la volonté d'accompagner les jeunes
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
porter des perspectives d'espoirs chez lers jeunes des signaux positif// essayer de casser la spirales de groupe qui peuvent parfois niveler par du négatif.
occuper le terrain (remise en forme ) et avoir un lien fort.
- Public
- Jeunes adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Dans le temps avec des temps forts et des périodes plus calmes ou de doutes.
il y a 6 ans
écriture rassembler les partenaires autour d'un projet
ERDF
STAS
ALPIS
MLJ
GEIQ
Ville
Dpt
ensuite bien que des débuts de formlisation se traduisaient chez certains partenaires nous ne sentions pas de co construction mais plus la volonté d'un affichage ou d'une relation d'interêt et des attentes administratives difficiles....ERDF et STAS nous avons abandonnés ces pistes nous avons continué avec ALPIS et le GEIQ et le soutien financier de la région.
pour 2015
- 6 rencontre par ans avec le GEIQ (pour définir l'opérationnel)
- autant avec les jeunes
mise en place d'un atelier théatre/expression pr retravailler le savoir être...comment on s'adresse à un employeur
- Ressources financières mobilisées pour cette action
financé en fonction des annéez
par la ville
la région
ACSE
Rotary
Aujourd'hui il n'y a plus que la ville qui accompagne ce projet avec des choix politiques d'orientations(emploi du tps des salariés)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
directeur structure
responsable jeunesse
coordinateur GEIQ
cordinateur ALPIS (villeubanne ils ont déposé bilan recement, leur axe de travail était les métiers saissonniers...pr les jeunes)
MLJ (suite de dossier avec GEIQ pr certains jeunes)
chargée de mission Région (dépot dossier CUCS)
entreprise par le biais du GEIQ (lieu de formation et de test pr les jeunes)
- Résultat sur le territoire
A effectivvement envoyés des signaux positifs pr les jeunes, celà nous a permis de conforter notre lien, de reprendre certains points en lien avec l'éducatif et des attitudes (façon de parler, d'être ds un groupe) des habitudes (le joints) / ou des attendus de certains jeunes.
forte attente de certains jeunes/ canaliser des jalousies des énergies, des incompréhensions ... ce qui est vue et le résultats et pas forcement l'adhesion à une forme de dispositif.
- Résultat pour le centre social
repéré par les plus jeunes pas toujours compris par certains adultes
- Résultat pour les habitants
faible en direct
- Suite de l'action : Limites
plus de finacement autres que ville
ALPIS a déposé bilan
que la volonté politique de la municipalité continue de s'affirmer sur cet axe
la réglementation liée à l'accueil jeune est mise en place dans notre structure comme un outil de lien favorisant la prévention. Celà pouvait fonctionner au regard du nombre de salariés (un responsable pr l'ACM loisir et un pr l'accueil jeune). Aujourd'hui les effets d'une réglementation appliquée à la lettre de la part de la DDCS (nous avions une certaine marge de liberté jusqu'à septembre 2016) associé à une conjoncture économique (non remplacement des arrêts des départs) peut mettre un terme au travail produit avec cette classe d'age (16 25 ans ). dout la bnécessité d'une volonté politique forte pour porter ce type de projet
- Suite de l'action : Perspectives
une convention signée avec le GEIQ pr 2016
Actions
F!esta des Rues (événement festif participatif)
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL LE BABET - Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- Emploi, économie
- développement durable
- Mixité sociale
- Résumé
Evénement festif : décor de rue géant, animations, défilés, concerts, grand bal populaire qui a lieu tous les 2 ans. La F!esta des Rues 2018 est la 3ème édition, elle aura lieu en centre-ville le samedi 7 juillet 2018 pm + soirée.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place à la suite d'un projet dit culturel / politique de la ville : rénovation de 11 halls d'entrées d'immeubles du quartier Tarentaize-Beaubrun à Saint-Etienne, dans la lignée de l'artiste catalan Gaudi. 17 habitants sont allés à Barcelone voir les oeuvres de Gaudi et en sont revenus avec un projet à l'aune de la Festa Major de Gracia barcelonaise (1500000 visiteurs du 15 au 21 août chaque année depuis 200 ans) : décors de rues, manifestations festives de toutes sortes, sur l'équivalent de 5 quartiers français.
Au retour de Barcelone, nos 17 habitants ont souhaité mettre en place un événement festif à petite échelle, pour rehausser l'image de leur quartier.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
L'action a débuté fin 2010.
Le collectif F!esta des Rues est un collectif d'habitants, accompagnés par le centre social. Plusieurs GT : ateliers de fabrication d'un décor de rue géant, animations programmation, budget, communication, logistique, partenariats.
Animation des GT : méthode de consensus.
CR systématiques (76 en 2013 et environ 50 en 2015).
Micro-événements (communication).
Vie du collectif : sorties, repas partagés, visites, etc.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
36000 euros / 2 ans : 2012-2013
25000 euros / 2 ans : 2014-2015
24000 euros (demandés) / 2 ans : 2017-2018
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
25 personnes sur le Collectif : préparation de l'événement. Environ 60 personnes le jour J.
2 salariés pour les 2 premières éditions. 15 salariés et 5 administrateurs le jour J.
7 salariés pour l'édition 2018 : préparation de l'événement (2 centres sociaux).
- Résultat sur le territoire
Meilleure image des habitants du quartier (impact modeste pour un quartier immigré à 1/3).
Mise en place d'un partenariat avec un autre centre social : la Maison du Crêt de Roch.
- Résultat pour le centre social
Création en cours d'une "filiale" : En pièces détachées de recyclage de déchets industriels, avec animations, formations, vente.
Implication plus importante de l'équipe du Babet dans cette 3ème édition.
- Résultat pour les habitants
Permet de rompre l'isolement (ateliers de fabrication du décor notamment), des habitants trouvent un emploi (phénomène de réseau), retours positifs des commerçants de la ville, des élus, des habitants stéphanois.
- Suite de l'action : Limites
Limites : le Collectif ne souhaite pas évoluer en association et souhaite rester au sein du Babet. La vie du groupe est le point d'achoppement, il s'agit de veiller sur les échanges et de les réguler (rôle du CS).
- Suite de l'action : Perspectives
Associer tous les quartiers de la ville pour l'édition n° 4 en 2020.
Réaliser des bénéfices avec le projet "En pièces détachées" et passer à une entreprise de proximité.
Actions
soutien aux associations locales
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIO CULTUREL LOIRE DIVATTE - Loire-Atlantique
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Le projet de Soutien à la Vie Associative se décline en deux grands axes d'intervention :
- la prise en compte individuelle de la vie de l'association.
- la prise en compte collective de la vie associative.
A partir de ces deux axes d'intervention, le projet se décline en quatre actions spécifiques :
- un espace ressource documentation/un portail internet dédié
- un espace ressource prêt de matériel/salle et reprographie
- un accompagnement individualisé aux associations
- des temps de rencontres et de formations collectives/le café des associations
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les premières demandes exprimées par les bénévoles des associations du territoire n'avaient pas de caractère "officiel". Elles étaient adressées au centre socioculturel Loire-Divatte autant en terme d'interrogation ("Savez-vous où je pourrais trouver …?") qu'en terme de requête. Elles ont permis de mettre en évidence le besoin d'un accompagnement "individuel" soit dans le domaine matériel (prêt de matériel, prêt de salle, aide à la reprographie…), soit dans le domaine statutaire.
Dès lors, une partie du travail a consisté à organiser la collecte des besoins afin de structurer le service et de répondre au mieux aux besoins des associations. Aujourd'hui, ce temps de collecte se fait au moins une fois par an sous forme d'enquête. Il s'accompagne d'une vigilance des salariés et bénévoles du centre socioculturel Loire-Divatte qui entendent régulièrement les bénévoles associatifs du territoire.
Les demandes exprimées dans le domaine du soutien matériel mettent en évidence une certaine "professionnalisation" des actions des associations : la communication doit être propre et claire, elle doit utiliser le plus possible tous les outils mis à disposition ; les manifestations doivent répondre à des critères de qualité nécessitant du matériel spécifique…
Les demandes des associations dans le domaine statutaire correspondent à l'arrivée de nouveaux bénévoles sensibles à la légalité des actions et du cadre de l'association. La législation évolue et les acteurs des associations ont besoin de savoir dans quelle mesure cette évolution impacte leur action de bénévoles.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Dans un premier temps, une enquête et trois rencontres ont été conduites à destination de l'ensemble des associations du territoire afin de mieux cerner les besoins et les envies des bénévoles associatifs. L'enquête a reccueilli une cinquantaine de réponses (250 envois) et les rencontres ont mobilisé une trentaine d'associations.
A la suite de ce premier travail, différents besoins ont été mis en évidence :
- besoins en prêt de matériel et en outil de communication
- besoins de formation à destination des bénévoles administrateurs
- besoins de rencontres collectives pour favoriser l'interconnaissance entre associations
L'ensemble de ces constats a conduit à la mise en place des différents espaces, des temps de rencontres et des appuis individualisés. Un à deux rencontres annuelles ont lieu avec les associations afin de faire le point sur l'avancée du projet.
A ce jour, 80 associations utilisent régulièrement les services proposées par le centre, 180 sont référencées sur le portail associatif.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
budget annuel : 30 000 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- 2 professionnels (équivalent 75 % ETP)
- ponctuellement les autres professionnels du centre (directeur, comptable..) en fonction de leur domaine de compétences
- 5 bénévoles membres de la commission soutien à la vie associative
- intervenants extérieurs (expert comptable, assureur...)
- Résultat sur le territoire
Un renforcement des liens entre associations locales qui permet de repérer les compétences des uns et des autres, de les sollciter et une mutalisation de matériel en cours.
- Résultat pour le centre social
Le projet a permis un changement de regard des associations locales sur le projet du centre socioculturel, en passant d'une perception d'association potentiellement concurente à une perception d'association facilitatrice de ses propres projets.
- Résultat pour les habitants
Dans certains cas, et plus particulièrement pour les bénévoles exerçant une fonction employeur, l'accompagnement du centre socioculturel a permis de faciliter, voir de maintenir leur investissement associatif.
- Suite de l'action : Limites
La difficulté d'impliquer les bénévoles des associations locales dans les réflexions sur le devenir du projet. En effet, les attentes se situent beaucoup plus en terme de services et leur investissement associatif réduit le temps disponible pour ce type de réflexion.
- Suite de l'action : Perspectives
Projet de mise en place en 2017 d'assises de la vie associative sur la communauté de communes
Actions
Fêtes du quartier, des écoles et de la musique
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIO CULTUREL DU CHATEAU - Loire-Atlantique
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Mixité sociale
- Résumé
Le projet consiste à créer un temps d’animation globale sur le quartier, en lien avec la fête des Couleurs (fête de la Ville), en y associant les habitants, les partenaires, notamment l’école, pour développer des temps de rencontres et de médiation culturelle avec une valorisation des projets menés par notre structure et ses partenaires, en juin 2014.
Cette fête contient les éléments suivants :
- Une scène professionnelle pour la diffusion des concerts d’élèves, d’amateurs et de groupes professionnels. L’objectif est de développer les dialogues entre les pratiques amateurs et professionnelles
- Une scène conventionnelle permettant la diffusion de petites formes et des groupes issus du studio de la Barakason et de l’Ecole Municipale de Musique et de Danse
- Une dizaine de stands d’information et de restauration tenus par les associations partenaires
- Un espace de jeux dans la cour d’école maternelle
- L’exploitation de la Barakason pour des animations complémentaires
- Une exposition en plein-air des « sorties d’ateliers » et des photographies temps forts de l’année.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Précision ( si autre )
- Une expérience dans la conduite de projets artistiques
-
A l’initiative de la Ville de Rezé : Fête des couleurs en juin 2004 (orange – Artitillerie), en juin 2006 (violet – Artitillerie), en juin 2008 (Ultra-violet – Artitillerie). Le CSC a permis l’inscription du projet artistique dans le quartier, l’information et la conduite d’ateliers.
-
A l’initiative du CSC Château avec la Ville : Musiques à Rezé en juin 2009 (les machines sonores et la Bodega) - Fête des couleurs en juin 2010 (Le Château voit rouge). Le CSC a conduit ces projets d’art plastique avec l’association Transformeurs, Peuples sans voix, peuples sans terre (Artitillerie) pour la scénographie du festival Antibemol, fête des couleurs en juin 2012 «La place des arts ».
-
A l’initiative du CSC Château en collaboration avec l’ARC : l’atelier du peintre en septembre 2010. Le centre socioculturel a conduit un travail avec le dessinateur de presse Bauer lors de l’installation du Cirque Plume dans le quartier Château.
-
A l’initiative des bénévoles : « Un sapin pas comme les autres » en décembre 2010 (Transformeurs), un œuf à la manière de Niki de ST Phalle en avril 2011, « brut de formes et de couleur » d’après Jean Dubuffet (avril 2012), installé Place François Mitterrand ; « Chubac et l’abstraction » avec une exposition des réalisations des enfants a la BaraKaSon au mois de décembre 2013.
-
L’expérience de l’association dans la conduite de projets musicaux via l’équipement BaraKaSon.
2 - Une demande d’actions fédératives et de qualités
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Les adhérents du centre et les bénévoles veulent mettre en place des actions
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Les équipes pédagogiques des écoles veulent continuer à développer des projets d’éducation aux arts visuels avec le centre socioculturel.
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Les adhérents, les parents d’élèves et des habitants souhaitent une vraie fête de quartier.
3 - Des objectifs convergents des acteurs du quartier
-
Un des objectifs de la politique culturelle de la Ville mise en œuvre par la Direction de l’Action Culturelle est de développer une offre culturelle de proximité.
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Une demande des bénévoles et des bailleurs d’être impliqués dans le projet.
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Les équipes pédagogiques des écoles (maternelle et élémentaire) souhaitent s’investir dans un projet artistique à l’échelle du territoire
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L’Ecole de Musique et de Danse de Rezé veut organiser un temps de valorisation du projet d’action culturel mené avec des écoles du quartier
-
L’Association « La malle à jouer » est dans une dynamique de lisibilité de son action sur le territoire
4 – Cadres et commanditaires
-
La convention avec la Ville de Rezé qui précise le développement de « la participation des habitants et des associations à la conception et à la gestion de l'animation sociale, culturelle et de loisirs dans les quartiers », ainsi que «d’assurer un rôle éducatif complémentaire des institutions existantes auprès des enfants et des jeunes ».
-
La participation du Centre Socioculturel à l’évènement communal Rezé Les Couleurs
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La fête de juin est une fiche action du projet social 2010 – 2013
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- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
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Développer la découverte de pratiques artistiques par la rencontre directe d’artistes et des habitants du Château.
-
Organiser et valoriser les actions de médiation culturelle
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Augmenter l’association des « forces vives du quartier » (bénévole de l’association, partenaires, écoles …) par la mise en place d’un dispositif de co-construction du projet
-
Inscrire un temps incontournable, festif et populaire, dans le quartier du Château - Mahaudières
Les finalités dans lesquelles s’inscrit le projet sont de :
· Favoriser le vivre et le faire ensemble. Le vivre ensemble (la confrontation) permet l’échange de paroles qui crée du savoir et le savoir de l’action (le faire ensemble). Provoquer la rencontre, l’échange, pour reconnaître l’autre et lutter contre l’isolement des populations les plus fragilisées
· Favoriser l’émancipation sociale pour permettre aux individus, aux groupes de concevoir de nouveaux mondes possibles. Permet de s’interroger sur le comment et le pourquoi pour agir sur le monde.
Pour l’association
L’idée du projet est d’inscrire la fête de quartier habituelle dans la dynamique de Rezé les couleurs. Elle permettra à l’association de poursuivre sa conquête de l’espace public en créant un lieu central d’animation devant la Barakason pour que les habitants, bénévoles et associations du quartier se rencontrent.
Pour les partenaires
L’évènement leur permettra d’être identifiés comme des acteurs du quartier à part entière qui s’inscrivent dans la vie du territoire au-delà de leurs compétences traditionnelles.
Pour le quartier
L’implantation d’une fête de la ville dans le quartier Château contribuera à la valorisation, la connaissance du territoire notamment par la venue d’habitants des autres quartiers.
Pour les habitants
Leur participation à la préparation de la manifestation en amont permettra d’appréhender l’organisation d’un évènement culturel et d’être acteur du projet. Le projet servira également de levier pour redynamiser les pratiques artistiques et culturelles. Le jour de la fête, les habitants pourront découvrir des spectacles, des animations, des ateliers d’initiation artistique et faire partager leurs pratiques culturelles. Ce temps fort sera aussi l’occasion de se rencontrer, d’échanger, de vivre ensemble un instant de convivialité.
-
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Développer la découverte de pratiques artistiques par la rencontre directe d’artistes et des habitants du Château
Une des rencontres a commencé en début d’année 2014, avec la présence de l’artiste nantaise Danny Steve pour accompagner un groupe d’habitants dans la finalisation d’une fresque. Nous avons travaillé la thématique des mondes marins sous forme d’ateliers plastiques, de visites. Nous avons sollicité cet artiste, pour faire suite à la demande du groupe d’exposer leur réalisation pendant la fête du 20 juin.
Lors de cette manifestation, les habitants du quartier Château ont pu découvrir les groupes amateurs, Matt Ceruze, Ol’Nag, Layenn et apprécier les groupes professionnels de chansons française, Biloba et La mine de rien.
Organiser et valoriser les actions de médiation culturelle
Nous avons proposé des ateliers d’arts plastiques et de couture, qui ont été déclinés d’après le projet municipal de Rezé les couleurs. La manifestation Rezé les couleurs se déroule tous les deux ans à l’échelle de la ville. Le principe est une colorisation des quartiers et une fête de ville générale le samedi 27 juin. Cette année, le bleu était la couleur du quartier du Château. Pour les ateliers d’arts plastiques, nous avons travaillé d’après l’œuvre de l’artiste américain, pop art, Keith Haring. Les participants aux ateliers ont réalisé 3 triptyques, pour la scénographie du site, qui reprennent les codes graphiques de l’artiste. Pour l’atelier couture, les habitants ont réalisé 3 patchworks d’après l’œuvre Légende du Nil de Paul Klee. Les bénévoles du projet Les Arts en famille ont également pris en charge deux ateliers d’arts plastiques le jour de la manifestation : la création de personnages d’après le projet du collectif de plasticiens l’Atelier du banc public et l’œuvre de Kandinsky, Bleu de ciel.
Faire converger les « forces vives du quartier »
-Des bénévoles impliqués à tous les niveaux de l’organisation.
14 partenaires se sont investis dans cet évènement, contre 8 pour l’édition précédente. Ces partenariats sont la concrétisation du travail mené à l’année avec les deux groupes scolaires du quartier, sur des projets communs et la présence de professionnels de l’association aux conseils d’école.
Inscrire un temps incontournable, festif et populaire, dans le quartier du Château-Mahaudières
Cette année, nous avons remarqué une baisse de la fréquentation de la manifestation par le public, 700 personnes sur l’édition 2014, contre 900 sur l’édition précédente. Nous expliquons cette baisse par la retransmission de la coupe du monde de football au Brésil et notamment un match de la France, le soir du 20 juin.
Cependant, cette deuxième édition de la fête de la musique, du quartier et des écoles a été une réussite auprès du public et des partenaires. L’ensemble des organisateurs souhaite reconduire leur participation à cet évènement pour l’année 2015.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
CHARGES
MONTANT €
PRODUITS
MONTANT €
60 - Achat
5300
70 - Vente de produits finis, prestations de services, marchandises
21822
Prestations de services
2800
Prestations des usagers
2000
Achats matières et de fournitures
Fonds propres
19822
Autres fournitures
2500
61 - Services extérieurs
6300
74- Subventions d’exploitation
24726
Locations
6000
Subvention Acsé
6000
Entretien et réparation
Assurance
200
L’Agence de services et de paiement
Documentation
100
Mise à disposition de personnel communal
13963
62 - Autres services extérieurs
15263
Subvention commune 2
Rémunérations intermédiaires et honoraires
13963
Subvention département
Publicité, publication
800
Subvention autres établissements
Déplacements, missions
500
Intercommunalité(s) : EPCI
Services bancaires, autres
Subvention fonds européens
63 - Impôts et taxes
0
Subvention Ministère 1
Impôts et taxes sur rémunération,
Autres impôts et taxes
CAF
3069
64- Charges de personnel
17991
Aides privées
Rémunération des personnels
12711
Subvention Région
Charges sociales
5280
FFMJC
1694
Autres charges de personnel
65- Autres charges de gestion courante
0
66- Charges financières
0
75 – Cotisations, dons manuels ou legs
0
67- Charges exceptionnelles
0
75 – Autres produits de gestion courante
0
68- Dotation aux amortissements (provisions pour renouvellement)
0
76 - Produits financiers
0
69 – Charges fixes de fonctionnement
0
77 - Produits exceptionnels
0
69 – Frais financiers
0
78 – Reprises sur amortissements et provisions
0
69 – Autres charges indirectes
0
TOTAL DES CHARGES PREVISIONNELLES
44854
TOTAL DES PRODUITS PREVISIONNELS
46548
86- Emplois des contributions volontaires en nature
8699
87 - Contributions volontaires en nature
7005
Secours en nature
Bénévolat
7005
Mise à disposition gratuite de biens et prestations
1694
Prestations en nature
Personnel bénévole
7005
Dons en nature
TOTAL DES CHARGES
53553
TOTAL DES PRODUITS
53553
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Les bénévoles ont été présents en amont de la manifestation en étant force de proposition dans le cadre de la commission animation, propositions de partenariats, de la commission musique actuelle, proposition de groupes amateurs et professionnels pour la programmation. On les retrouve également dans les ateliers de décoration (arts plastiques et couture) pour la scénographie du site : 22 bénévoles se sont investis pour un volume de 194h.
Le jour même, 34 bénévoles ont participé à l’installation–démontage du site, à la tenue du bar, de stands, à l’accueil du public et des artistes, à la restauration …, pour 220h de bénévolat.
- Résultat sur le territoire
- échanges et rencontres entre habitants
- meilleure connaissance entre les différents acteurs
- Résultat pour le centre social
- lisibilité
- renforcement du rôle de coordinateur
- fédérateur pour les bénévoles et l'équipe de professionnels
- projet structurant pour l'année
- Résultat pour les habitants
- valorisation des enfants, des bénévoles
- rupture de l'isolement
-image positive de leur quartier
- Suite de l'action : Limites
- peu de liens créés à l'année
- lisibilité des missions quotidiennes du Centre social limitées
- investissement des habitants au montage du projet à renforcer
- Suite de l'action : Perspectives
- renforcer l'implication des habitants
- ouvrir à d'autes associations du quartier
- renforcer l'image d'ouverture, d'accessibilité à l'année du CSC
Actions
la plage "les pieds dans la Fontaine": animation de rue et lien social
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIOCULTUREL DE LA FONTAINE - Loire-Atlantique
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Intégration
- vacances / loisirs
- Résumé
Aménagement chaque été d'une plage artificielle au coeur du quartier pour ses habitants avec présence de professionnels et d'habitants bénévoles, afin de proposer des loisirs, des initiations sportives et culturelles, une alternative aux vacances , un espace de rencontres et de partages pour toutes les générations, une intervention éducative et préventives en direction des enfants et des jeunes.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Occuper un espace public fréquenté par des jeunes en recherche d'occupation, troublant la tranquilité des habitants.
Impliquer les jeunes dans des projets de territoire au profit de tous les habitants pour les valoriser au regard des générations plus agées et améliorer les relations.
Offrir un environnement et une ambiance de vacances estivale pour les familles qui ne quitent pas le quartier.
Offrir aux enfants et aux jeunes des activités sportives et culturelles dans une logique de médiation.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Action qui a débuté en 2011 et qui est reconduite chaque été.
Elle a pris naissance à partir de difficultés constatées par les professionnels du centre, entre jeunes et habitants plus agés du territoire (incivilité, nuisances nocturnes, sentiment d'insécurité...)
Réflexion menée par les professionnels avec les jeunes qui aboutit à la mise en place de la plage le premier été. Plage fortement fréquentée par les jeunes qui nuit malheureusement à la tranquilité des riverains.
Après l'été, les riverains sont invités à exprimer les gênes que procure la plage et à s'associer aux jeunes pour ajuster l'action.
L'action est revue afin de répondre aux exigences des uns et des autres et depuis 4 ans elle ne cesse d'évoluer pour prendre en compte l'expression de chacun et s'adapter aux différents usagers.
Aujourd'hui la plage est organisée et animée par un collectif d'habitants ouvert à de nouveaux participants.
Les associations et clubs sportifs locaux, l'école de musique et la médiathèque de la ville sont sollicités pour proposer des animations sur la plage. Ces découvertes pour une partie des enfants et des jeunes favorisent et génèrent des envies nouvelles qui se traduisent par des inscriptions annuelles auprès des partenaires locaux.
Chaque été la soirée de clôture de la plage est un moment privilégié pour valoriser les autres actions estivales et les initiatives de jeunes.
Tous les animateurs du centre interviennent aujourd'hui sur la plage pour un travail concerté et intergénérationnel, favorisant le lien social et le vivre ensemble.
Au regard de la fréquentation et de l'implication des habitants qui évoluent au fil du temps, nous sollicitons le soutien financier de partenaires divers.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
un budget total de 10100€ sur deux mois de fonctionnement, subventionné en 2014 par le FiPD et la commune
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
5 animateurs permanents du CSC
2 animateurs saisonniers
La coordinatrice du CSC
16 habitants bénévoles (jeunes, adultes et plus de 6 ans)
personnel de la ville (les techniques pour l'aménagement de la plage, un salarié de l'école de muique, un salarié de la médiathèque)
12 bénévoles et salariés d'associations ou de clubs sportifs
deux groupes locaux de musiciens bénévoles pour animer la clôture
3 prestataires d'activités
- Résultat sur le territoire
Tranquilité sociale sur la quartier en période estivale.
Un lieu sûre proposé aux enfants du quartier : les enfants rencontrés dans la rue durant l'année fréquentent la plage l'été,
Un pôle attractif pour un quartier stigmatisé
Après la découverte d'activités sportives ou culturelles, certains enfants et jeunes s'inscrivent dans les associations, clubs sportifs, ou équipements de la ville, sur l'année.
- Résultat pour le centre social
Rencontre de publics nouveaux : information, communication et invitation à fréquenter le centre.
La plage est un lieu d'observation des pratiques des habitants, un lieu de recueil de paroles et un lieu d'émergence de nouveaux projets.
- Résultat pour les habitants
Meilleure cohabitation des générations: reconnaissance et respect mutuels, sentiment d'insécurité qui s'estompe.
Image de l'autre qui se modifie: les jeunes sont valorisés et les anciens écoutés par les jeunes.
- Suite de l'action : Limites
Sa durée limitée à deux mois par an.
le risque d'appropriation de l'espace par un groupe d'ages
la difficulté d'entrer en relation avec certains parents d'enfants qui fréquentent seuls la plage.
- Suite de l'action : Perspectives
Reconduire l'action chaque année tant que les habitants la réclament et qu'elle apporte des réponses aux problématiques sociales locales.
Etre vigilent sur la fréquentation intergénérationnelle et multiculturell de la plage
Maintenir la participation de tous les animateurs du centre pour assoir les relations avec les habitants sur le reste de l'année.
Actions
championnat de caisse à savon : mobiliser les adolescents à l’organisation et la participation à un événement jeunesse sur leur quartier
- Structure organisatrice
- ACCOORD CSC BOURDERIES - Loire-Atlantique
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
il s'agit de produire une manifestation par an pendant la période estivale. Aussi, le groupe mobilisé pour cette édition en a fait le bilan et se prépare à la prochaine édition.
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- vacances / loisirs
- Résumé
-
nous avons organisé un événement : championnat de Caisdse à Savon pour promouvoir cette activité et animer le quartier des Bourderies/Bellevue pendant l'été (Août)
-
les jeunes ont acquis des compétences techniques autour d’atelier de mécanique (réalisation d’une caisse à savon). Les adolescents ont participé à la mobilisation des publics pour cette manifestation (réalisation de l’affiche, tractage), les jeunes ont participé à l’animation de la journée avec différents stands (restauration, accueil, chronométrage)
-
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
-
: les jeunes ont participé à la réalisation de la Caisse à Savon et sont allés voir différents championnats dans le département 44. Pour nous, l’étape suivante était d’organiser avec les jeunes une étape du championnat et accueillir des jeunes de toute la région pour une course dans leur quartier. S’essayer à différents rôle entre la communication, l’accueil et la mécanique a permis aux jeunes de connaitre les étapes de la mise en œuvre d’une manifestation sur l’espace public.
-
participer à une action sur l'espace public dans son quartier participe de l'image positive de celui-ci.
-
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
: les animateurs se sont appuyés sur le groupe d’ado impliqué dans la construction de la Caisse à Savon. Les jeunes ont mobilisé certains de leurs amis pour construire l’organisation de la journée d’animation. Un mini-séjour a été proposé en amont pour développer les compétences techniques des jeunes et échanger avec d’autres jeunes sur les modalités d’organisation de ces manifestations. Un groupe, très impliqué a constitué une commission « manifestation » pour participer à l’organisation. Le jour même, les ados impliqués avaient un rôle qu’ils avaient choisi entre l’accueil des spectateurs, la restauration et les questions techniques du championnat.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
-
accoord : 3000
-
état/caf : 2000
-
masse salariale : 2700
-
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
17 professionnels
6 adultes bénévoles
14 adolescents impliqués
- Résultat sur le territoire
-
ceci a un impact sur les jeunes du centre social (fierté, reconnaissance)
-
ceci à un impact sur les autres jeunes qui ont découvert un nouveau quartier
-
les habitants ont apprécié voir les jeunes acteurs de la manifestation et impliqué dans une activité technique.
-
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
-
Limite : il nous faut désormais permettre aux enfants de 8 à 11 ans de bénéficié de l’organisation en développant une course de push-car, ceci permettra une implication de centres de loisirs enfants. Nous envisageons de développer la manifestation autour d’autre mode de déplacement urbain comme les descentes de trottinette, de roller… enfin, il nous faut apporter une touche culturelle avec un ou deux concerts sur le temps du midi
-
- Suite de l'action : Perspectives
-
Limite : il nous faut désormais permettre aux enfants de 8 à 11 ans de bénéficié de l’organisation en développant une course de push-car, ceci permettra une implication de centres de loisirs enfants. Nous envisageons de développer la manifestation autour d’autre mode de déplacement urbain comme les descentes de trottinette, de roller… enfin, il nous faut apporter une touche culturelle avec un ou deux concerts sur le temps du midi
-
Actions
« Le passé composé à la Bottière »
- Structure organisatrice
- ACCOORD BOTTIERE - Loire-Atlantique
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Intégration
- alphabétisation & apprentissage du français
- Résumé
Chaque lundi matin et chaque jeudi après-midi ont lieu à la Maison de Quartier de la Bottière les ateliers de « Français au Quotidien » (niveau alphabétisation-perfectionnement).
Destinés à un public étranger, ces ateliers ont pour objectif l’apprentissage de la langue : lecture, écriture, communication orale.
La connaissance et la compréhension de l’environnement dans lequel les stagiaires vivent tous les jours font également partie intégrante des séances.
Ainsi, des sorties sont parfois organisées : elles permettent de (re)découvrir Nantes ; elles peuvent donner ensuite l’occasion de travailler les compétences linguistiques : « le passé-composé » étant au programme depuis le mois de janvier, les stagiaires ont été amenés à raconter, par écrit, le récit de leur après-midi du jeudi 19 mars.
Voici le résultat :
Un joli après-midi à Nantes sous le soleil mais avec du vent !
Jeudi après-midi, nous avons eu rendez-vous à l’arrêt Souillarderie. Nous avons pris le tram et sommes descendus à Médiathèque. Nous avons traversé pour la première fois « la passerelle du tribunal », nous y avons pris des photos. Nous avons longé la Loire et nous sommes arrivés à notre sortie du jour : l’Ecole d’Architecture. Nous n’avons pas visité l’école, nous sommes montés (pour la première fois) sur son toit (c’est ouvert au public gratuitement) pour voir Nantes « en hauteur ». Arrivés là-haut à pied (cela grimpe un tout petit peu), nous avons vu un beau panorama sur la ville et nous avons encore fait des photos !
Nous sommes ensuite redescendus et avons continué notre balade. La Loire étant basse, nous sommes passés (pour la première fois encore) sous le Pont Anne de Bretagne pour rejoindre l’Eléphant et le Carrousel. Nous avons eu aussi l’occasion de voir le Belem.
Nous avons décidé de rentrer vers 16h00 mais avant nous avons fait une pause le long de la Loire : surprise Melouka a préparé un goûter : du jus d’orange et de délicieux gâteaux à la noix de coco.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
budget de fonctionnement de l'atelier soit 150€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
11 personnes
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
plus grande visibilité de l'atelier d'alphabétisation. lien créé entre les apprenants et l'équipe du CSC.
- Résultat pour les habitants
valorisation du travail effectué par les usagers
- Suite de l'action : Limites
l'atelier de français continue avec cette volonté d'ouverture et d'inclusion des publics dans le droit commun.
- Suite de l'action : Perspectives
Des temps de rencontres réguliers et la présence dur la rencontre annuelle des usagers.
Actions
Atelier Pratique du français
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIO CULTUREL DU CHATEAU - Loire-Atlantique
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Intégration
- alphabétisation & apprentissage du français
- Résumé
Ateliers de pratique du français en petits groupes différents, de 6 à 10 personnes définis en fonction des niveaux à l’oral et à l’écrit des participants (de l’alphabétisation au « perfectionnement », après test d'entrée). Les 2 ateliers par groupe sont animés par deux bénévoles, chaque bénévole assure l’animation d’un atelier. Les deux bénévoles œuvrent en collaboration. L’animatrice coordinatrice fait un point régulier avec les bénévoles (organisation, absences…). Une intervenante FLE assure les tests de positionnement, la constitution des groupes, l’accompagnement des bénévoles.
Un "café des langues" est proposé un mardi par mois, il permet d’échanger de manière plus spontanée et moins scolaire qu’au sein des ateliers hebdomadaires. C’est un moment privilégié pour échanger sur les activités du CSC, du quartier et de Rezé. C’est aussi un temps de sorties en groupe : les participants des groupes se retrouvent tous ensemble, avec les bénévoles et l’animatrice pour une sortie conviviale.
Exemples de sortie : Mairie (présentation des services), visite du quartier (participation à la consultation rénovation du quartier), Médiathèque, Trentemoult…
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- 10,3% de la population du quartier prioritaire Château est étrangère, en augmentation importante (+109% en 5 ans), soit 1/3 de la population étrangère de Rezé
- Forte demande d’apprentissage du français
- Envies de bénévoles
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Après une année d'expérimentation avec deux bénévoles volontaires et 10 habitants, nous avons souhaité développer cette action pour répondre à la forte demande des habitants (30 personnes). Un renouvellement de l'équipe nous a permis de salarier une personne diplômée Français Langue Etrangère pour une mission de 4 mois d'octobre 2015 à janvier 2016, qui a pu être prolongée grâce au financement de l'Etat dans le cadre de la Politique de la Ville. Ainsi 50 habitants ont pu être accueillis par 10 bénévoles, outillés et soutenus quotidiennement dans leur intervention. Un lien fort a été fait avec les autres actions du CSC.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- 60% ETP animatrice/ intervenante FLE (20 400 €)
- Mobilisation forte de bénévoles. 10 bénévoles actuellement. 4h/semaine (2h atelier + prépa, réunions/formation…)
- Budget matériel/sortie : 400 euros par an
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 professionnel
10 bénévoles
Une dizaine de partenaires
- Résultat sur le territoire
- Développement de l’entraide et de la bienveillance entre habitants
- Meilleure connaissance et compréhension des cultures, du quartier, du fonctionnement des services
- Mobilisation de nouvelles bénévoles, contribution à une nouvelle dynamique bénévole
- Résultat pour le centre social
- Porte d’entrée sur les activités du Centre (couture, cuisine, temps forts, bénévolat sur des actions enfants…)
- Image positive et ouverte du CSC, image dynamique (ça « grouille » 4 demi-journées par semaine)
- Mobilisation de nouvelles bénévoles, contribution à une nouvelle dynamique bénévole
- Résultat pour les habitants
- Connaissance des activités du Centre (couture, cuisine, temps forts, bénévolat sur des actions enfants…)
- Amélioration du niveau de pratique du français
- Meilleure connaissance et compréhension des cultures, du quartier, du fonctionnement des services
- Suite de l'action : Limites
-Fragilité du montage par le recours à une "mission" CDD pour l'intervenant FLE. Organisation à revoir
- Faible connaissance des acteurs et structures d'accompagnement. Pas d'impulsion d'un parcours.
- Suite de l'action : Perspectives
- Face aux nombreuses difficultés administratives, de compréhension des services : lancement d’un poste de médiateur d’accès aux droits en octobre 2016 (dispositif adultes relais)
- Réalisation d’un parcours dans l’apprentissage du français (passerelle vers des cours, français langue professionnelle…), d’où le choix d’une association extérieure expérimentée (Babel)
- Appréciation des progrès
- Implication des participants dans la définition des contenus, adaptation
Actions
Festival Tintamarre et Charivari
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- Culture
- Résumé
Les habitants constituent pendant plusieurs jours, en weekend et en été, une sorte de place du village, avec toutes ses composantes (de la convivialité, de la restauration, de la musique, des spectacles etc.).
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Nous ambitionnons d'améliorer le cadre de vie du quartier en mobilisant les habitants dans la mise en place d'un festival de proximité, en extérieur, innovant, attractif, d'ampleur, en été et sur plusieurs jours sur la Place Nadia Boulanger.
Nous visons 3 objectifs principaux : mobilisation des habitants et des jeunesses dans l'espace public dans une action fédératrice ; appropriation du quartier par les habitants et l'animation des espaces publics ; tisser du lien par la médiation socioculturelle favorisant l'interconnaissance et les relations de voisinage.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Cette action s'appuie sur un comité d'organisation composé d'habitants, d'artistes, de professionnels, de partenaires qui a vocation de créer le village éphémère et d'en assurer son animation.
Nous travaillons avec le collectif Mobil casbah qui, depuis 2008, regroupe des professionnels du spectacle et des bénévoles.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Environ 25 000 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Ce projet mobilise plus d'une soixantaine de bénévoles, 2 centres sociaux, 12 partenaires associatifs et institutionnels.
- Résultat sur le territoire
- Amélioration du cadre de vie
- Résultat pour le centre social
- Mobilisation et participation des habitants, 400 personnes par jour
- Résultat pour les habitants
- Cohésion sociale
- Suite de l'action : Limites
Perennité économique
- Suite de l'action : Perspectives
Reconduction en fonction des possibilités budgétaires
Actions
Habitants relais
- Structure organisatrice
- ASEC SILLON DE BRETAGNE - Loire-Atlantique
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Solidarité
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Des bénévoles, membres de la commission « Echange Parentalité généralement impliqués dans la vie locale (engagement associatif de quartier, au sein de l'école...), porteurs d'une histoire, d'une culture, d'une expérience de parent, sont prêts, après avoir été formés, à mettre à disposition leurs compétences.
L’ambition de ses bénévoles est de se situer dans un entre-deux, dans les interstices où se jouent les facteurs qui facilitent ou bloquent la rencontre entre une institution et une famille.
L’action des « Habitants-Relais » est coordonnée par le centre socioculturel via son animateur « Famille ».
Cette action a été présentée à l’ensemble des acteurs sociaux du territoire afin d’en définir le cadre d’intervention. Elle se concrétise en 2017 par la mise en place d’une formation ouverte à tous, animée par l’association Ecole et famille.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Faciliter les liens entre des familles et des professionnels y compris pour reconstruire un climat de confiance réciproque dans des situations pour lesquelles les relations ne peuvent ou n’ont pu s’installer d’elles-mêmes (écoles, collèges, services publics…).
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
L'ambition de ces bénévoles est de se situer dans un entre-deux, faire l'intermédiaire entre un parent et un professionnel.
L'action des « Parents-Relais est coordonnée par le centre socioculturel via son animatrice « Famille.
Le collectif de « Parents-Relais pourrait animer toute l'année un lieu de rencontre et d'échange entre familles ainsi que des temps d'animations spécifiques.
Plusieurs formats seraient proposés : un café famille, des soirées débats thématiques, présence sur le « Café des Parents au sein de l'Ecole Nelson Mandela, l'animation de groupes de travail sur les thèmes du lien parents-ados et de l'interculturalité...
Cet espace offrirait un cadre de rencontre libre d'accès pour tous les habitants, qu'ils soient parents ou non, qu'ils aient des problèmes ou non. Une attention particulière sera portée sur le fait de mobiliser des pères autour de cette action. Cet espace serait aussi l'occasion de donner de la visibilité au Pôle « Parents-Relais, de le faire reconnaître comme espace ressource sur la notion de « parentalité, de tisser des liens de confiance avec les bénévoles et les professionnels.
Ce travail a été engagé en 2016 en partenariat notamment avec l'association « Ecole et Famille d'Ile de France (95), pivot de ce projet. Cette association, créée en 1999, fondée par Marie-Claire Michaud, thérapeute familiale contextuelle, possède une forte expérience dans ce domaine d'intervention sur l'ensemble de la région parisienne notamment sur les zones prioritaires. Elle propose un accompagnement tant sur la méthodologie du projet, son articulation sur le territoire, que sur la formation des Parents.
Le bilan de la rencontre avec l'association « Ecole et Famille en 2016 et 2017, fait clairement apparaître une volonté de développer dès 2017 la démarche d'« Habitants-Relais plus encore que de « Parents-Relais » .
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Groupe parentalité soit 12 personnes
- Résultat sur le territoire
Identification d'habitants ressources auprès des habitants et des partenaires du quartier
Une relation facilitée entre les habitants et l'institution
- Résultat pour le centre social
Identification d'un espace ressource pour les habitants
- Résultat pour les habitants
Valorisation des compétences des habitants relais
ëtre accompagner dans les démarches
Lien social plus fort
Citoyenneté renforcée
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
La réussite scolaire de nos enfants, parlons-en! Recherche-action menée par les parents du GERPAM
- Structure organisatrice
- ASSOC. MONTARGOISE D'ANIMATION - Loiret
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
L'action est terminée car le groupe de parents concernés, le GERPAM (Groupe de Réflexion des Parents de l'Agglomération Montargoise) a mené à terme le projet qu'il s'était fixé.
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Résumé
Des parents ont voulu mener un travail de recherche sur un sujet les motivant tous: la réussite scolaire des enfants. L'action a débuté en 2012 et a donc demandé 3 ans de travail avec différentes étapes:
* le recueil de témoignages auprès de parents, d'enfants, de jeunes et de professionnels de l'Education Nationale permettant un premier travail d'analyse
* une formation a permis ensuite aux parents du GERPAM de construire des saynètes à partir des éléments repérés. Ces saynètes ont servi lors de différents événements à lancer des débats autour de la réussite scolaire
* travail de recherche effectué par le GERPAM à partir d'une méthodologie apportée par une anthropologue
* restitution du travail de recherche lors d'un colloque
* édition d'un livre reprenant le travail de recherche effectué par le groupe
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
* Analyser, comprendre, expliquer les processus et mécanismes favorisant la réussite scolaire ou au contraire le décrochage scolaire
* Mettre en place des temps de sensibilisation autour du sujet pour libérer la parole de parents qui n'ont pas l'habitude de la prendre et à les aider à prendre conscience de ce qu'ils pourraient faire dans le cadre de l'école
* Apporter des pistes concrètes favorisant la réussite scolaire que parents et/ou structures pourraient s'approprier.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
En 2014, accompagnés par l’animatrice de l’AMA, les parents du GERPAM se sont retrouvés 61 fois pour réaliser leur travail de recherche et mettre en place les différentes actions.
1/ Concernant la recherche, à partir d’une méthodologie apportée par une anthropologue, ils ont pu « analyser, comprendre, expliquer les processus et mécanismes favorisant la réussite soclaire ». Pour ce faire, ils se sont appuyés sur différents éléments :
-) Les témoignages recueillis auprès de parents, de professionnels d’établissements scolaires situés sur les quartiers CUCS, de lycéens, de collégiens et d’enfants en école primaire.
-) Les réflexions recueillies lors des saynètes et débats réalisés lors du festival de la famille et lors de la fête du Plateau en 2013
-) La recherche de données à partir de différentes sources : ANLCI, PISA 2009, Observatoire des Inégalités, baromètre Afev, OCDE, rapport Education Terra Nova école 2012,…
Le groupe a pu comparer, confronter ses réflexions avec différents documents (études, statistiques, articles,…) et prendre également connaissance de différentes expérimentations menées ailleurs pour faire évoluer la réussite scolaire.
Il a rédigé un rapport sur son travail de recherche qui a été réalisé sous forme d’un livre.
2/ Sensibilisation des parents à la thématique
Les parents du GERPAM ont pu jouer leurs saynètes interactives lors d’une rencontre « pause-café des parents » de Chalette le 30 janvier 2014 devant une douzaine de mamans. Ce temps a permis de « libérer la parole » aux parents présents sur les interactions qu’ils ont avec le monde enseignant et de faire ressortir des solutions pour favoriser la communication entre parents et enseignants.
Le débat sur la Chaussée s’est fait avec une dizaine de mamans venant à l’accueil du Secours Catholique rue de Crowborough.
Le groupe a également fait part de son travail lors de l’émission « le Mag » sur Radio Chalette et en rencontrant des parents grâce au stand tenu lors de la fête du Plateau 2014.
3/ Restitution du travail de recherche lors d’un colloque
Cette rencontre qui a eu lieu le vendredi 21 novembre 2014, a rassemblé 50 personnes qui ont pu, à partir de la restitution du travail du GERPAM, échanger autour de la réussite scolaire et ébaucher des pistes de solutions.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
7945 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
GERPAM: 5 parents + 1 anthropologue bénévole + 1 animatrice salariée du centre social
Public présent lors des 2 interventions avec saynètes: 22
Colloque du 21 novembre 2014: 50
- Résultat sur le territoire
* Rédaction d'un rapport portant sur le travail de recherche du groupe et pouvant servir à sensibiliser voire faire réagir les acteurs autour de cette question
* Les différentes actions menées ont mis en évidence la préoccupation partagée par les parents et les professionnels de l'Education Nationale sur cette thématique.
* La rencontre du 21 novembre a été une réussite car le GERPAM voulait qu'elle soit un temps de confrontation entre parents et professionnels de l'Education Nationale puiqu'étaient présents 23 parents, 12 professionnels de l'EN et 15 partenaires. La plupart des participants se sont retrouvés dans les éléments apportés par le GERPAM, ce qui a donné lieu à de nombreux débats.
- Résultat pour le centre social
* Ce projet nous a fait connaitre comme un partenaire auprès des établissements scolaires et des inspections académiques de Montargis.
* Il nous a également incité à poursuivre des actions dans cette thématique.
- Résultat pour les habitants
* Mobilisation sur la durée de 5 parents résidant sur les quartiers prioritaires de la politique de la ville autour d'une recherche portant sur la réussite scvolaire
* Valorisation des parents (meilleure estime de soi) qui ont appris à mener un véritable travail de recherche, ont pris confiance en eux en parlant par exemple devant un groupe
- Suite de l'action : Limites
* Un véritable travail de recherche demande un investissement important, ce qui a été difficile pour les membres du GERPAM qui n’ont pas pu notamment réaliser la totalité des débats participatifs
* Pour faciliter la mobilisation des enseignants, il faut bien en amont rencontrer les IEN et valider conjointement des actions.
* Mobiliser des parents est également une démarche difficile qui leur demande de s’organiser pour faire garder les enfants, d’accepter de sortir de chez soi, d’exposer ses idées et surtout de se dire que cela peut servir à quelque chose et notamment améliorer la préoccupation principale des mamans : la réussite de leurs enfants
- Suite de l'action : Perspectives
Le GERPAM travaille désormais sur la création d'un outil (exposition) qui permettrait l'échange sur différents sujets (le retard, le sommeil, le langage, la tenue vestimentaire, les devoirs à la maison, l'implication des parents dans la vie de l'école,...) pour lesquels parents, enfants et professionnels de l'EN ont parfois des difficultés à communiquer ensemble.
Actions
Création d'une exposition sur le thème du climat scolaire afin d'ouvrir les espaces d'expression entre parents-enseignants-enfants et partenaires.
- Structure organisatrice
- ASSOC. MONTARGOISE D'ANIMATION - Loiret
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Résumé
Construction entre un groupe de parents, l'Education Nationale et 3 écoles d'une exposition autour du thème du climat scolaire.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le GERPAM (Groupe de Réflexion de Parents de l'Agglomération Montargoise), soutenu par le centre social, a mené un travail de recherche de décembre 2012 à décembre 2014 sur le thème de la réussite scolaire. Cette recherche, encadrée par une anthropologue, s'est cloturée par un colloque et l'édition d'un livre "la réussite scolaire de nos enfants, parlons-en ! (détails de ce projet dans une autre fiche action). Du colloque est ressorti la difficulté pour les familles et les professsionnels de l'Education Nationale de se retrouver sur un pied d'égalité et de trouver conjointement des solutions dans l'intérêt de l'enfant. Dans un premier temps, nous avons essayé de mettre en place des rencontres parents-enseignants afin que chacun echange sur ses attentes mais la difficulté pour mobiliser nous a fait rebondir sur un autre projet. Puisque le public concerné ne vient pas à nous, le projet a donc été de créer une exposition qui pourrait circuler dans les écoles, les lieux publics afin d'ouvrir les espaces d'expression et d'échanges entre les parents, les enseignants, les enfants et les partenaires. et ainsi dégager des pistes de réflexion communes pour améliorer la vie scolaire au quotidien.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Il nous a semblé essentiel de travailler ce projet avec l'Education Nationale. Nous avons donc présenté ce projet à l'inspecteur Montargis Ouest. Nous avons été soutenu dans cettte démarche par le directeur de l'école proche du centre social, également coordinateur REP. L'inspecteur a été intéressé par l'idée. Une exposition a donc été créée conjointement par les membres du GERPAM et les 3 écoles du quartier en partant de différentes situations liées au climat scolaire. 9 panneaux ont été réalisés. Chacun aborde une situation qui a été mise en scène par les enfants et photografiée et qui est complétée par 3 points: "les enjeux", "des questions pour réfléchir" et "comment agir ensemble".
- Ressources financières mobilisées pour cette action
5000 € dont une bonne partie pour la confection des supports de l'expo.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 classes de CM2 + enseignants + 5 personnes du GERPAM
- Résultat sur le territoire
Mettre en évidence différents questionnements liés à l'école et faire réfléchir les personnes concernées autour de ces sujets afin de faire évoluer les perceptions voire améliorer la vie scolaire au quotidien.
- Résultat pour le centre social
Etablir un partenariat avec l'Education Nationale à partir d'un intérêt commun.
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Depuis janvier 2017, 2 supports circulent, entre chaque vacance, dans les écoles de REP de l'Agglomération Montargoise. L'exposition est utilisée de différentes façons par les écoles, elle est utilisée au moins par les enseignants qui abordent les différents sujets avec les élèves. Cet outil a également pour intérêt de lancer des CAFES DES PARENTS, initiatives soutenues par les inspecteurs, lancés par le coordinateur REP dans son école et auxquels l'AMA-GERPAM a participé. Un troisième support, sous forme de roll-up, est destiné aux autres lieux (collèges, médiathèques, associations, Espace Multi-Services de l'AME,...).
Actions
Accompagner les familles pour l’acquisition et l’utilisation d’outils numériques dans le cadre du travail scolaire à domicile
- Structure organisatrice
- ASSOC. MONTARGOISE D'ANIMATION - Loiret
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
L'action a été totalement réalisée en 2021 et devrait être reconduite en 2022.
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Résumé
Le projet consistait à former des familles à l'utilisation d'un ordinateur et à l'utilisation des supports de l'Education Nationale (ENT et Pronote) puis à les équiper d'un ordinateur reconditionné et d'une imprimante.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pendant le confinement, les enfants n’ont pas pu aller à l’école. Les cours ont donc eu lieu en distanciel par les enseignants. En ce qui concerne les écoles du quartier, les familles avaient la possibilité de récupérer les devoirs, en version papier, auprès de leur école. En parallèle et surtout à partir du collège, les enseignants ont utilisé les outils numériques pour envoyer les cours et les exercices à faire. Il s’agissait notamment :
- Sites dédiés type pronote où enfants et parents pouvaient se connecter pour savoir le travail à faire
- Echanges entre un enseignant et un ou plusieurs enfants par le biais de visio
- Envoi de mails avec le travail à faire
Cette situation a mis de nombreuses familles en difficulté :
- D’une part, les parents ont dû assurer le suivi scolaire mais également les cours alors que certains étaient déjà en difficultés (mauvaise compréhension orale et mauvaise maîtrise de l’écrit ; petit niveau de scolarisation voire en décrochage scolaire,…) pour aider leurs enfants dans les devoirs à faire
- D’autre part, la situation a fait apparaitre des difficultés pour beaucoup de familles en ce qui concerne l’utilisation des outils numériques. En effet, les familles possèdent souvent un smartphone qui peut permettre de communiquer avec l’établissement scolaire mais cette réalité cache de nombreuses lacunes :
- -) le temps que l’enfant a accès au smartphone peut être limité en fonction du temps de présence du parent qui l’utilise au sein du foyer. Des parents ont recopié des exercices de leur smartphone sur papier afin que leurs enfants puissent faire le travail demandé.
- -) la compréhension pour utiliser les sites dédiés
- -) la réalisation de tout travail écrit
- -) les conséquences sur le corps, la vue lors d’utilisation prolongée de petits écrans notamment ceux des smartphones
Le confinement a renforcé l’utilisation des outils numériques qui étaient déjà présent dans l’organisation scolaire. Il a mis en exergue la rupture numérique d’un public tant du point de vue de l’absence d’outils que de connaissances pratiques pour les utiliser.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Dans le cadre de cette démarche expérimentale, le projet serait donc d’aider 10 familles à acquérir les outils numériques nécessaires au travail scolaire mais aussi de former parents et enfants à l’utilisation de ces outils.
Etape 1 : aider les familles dans l’acquisition d’outils numériques
- Achat d’ordinateurs
Il s’agirait d’aider les familles à acquérir un ordinateur (+écran + clavier + souris) afin de répondre aux besoins décrits précédemment. Nous ne souhaitons pas axé cette démarche vers du matériel neuf coûteux mais plutôt de proposer du matériel reconditionné et sensibiliser par la même occasion, aux démarches de développement durable. Pour se faire, nous travaillerions en partenariat avec le chantier d’insertion ICARE de FAP.
Le matériel est vendu 80 €. Les familles auraient 50 € à prendre en charge avec éventuellement un échelonnement du paiement sur 5 mois maximum. Nous sollicitons le contrat de ville pour apporter une aide à l’acquisition de l’ordre de 30 € par famille.
L’achat d’ordinateurs comprendrait également l’installation des ordinateurs au domicile des familles pour celles qui auraient du mal à configurer, paramétrer le matériel bien qu’ayant suivi la formation décrite ci-dessous.
- Acquisition d’imprimantes : achats groupés
Ordinateur, tablette, smartphone sont nécessaires pour communiquer avec les établissements scolaires mais certains périphériques comme les imprimantes sont également indispensable dès que l’élève doit rendre un travail écrit (exercices, expo,…). Une action serait donc de proposer aux familles intéressées de réaliser un achat groupé et de négocier avec un distributeur.
Si cette démarche se concrétise, nous orienterons également vers le remplissage des cartouches au lieu d’en racheter de nouvelles, ce qui représenterait un autre aspect de sensibilisation au développement durable.
Etape 2 : former les parents et les enfants
Les parents sont plus en difficulté que les enfants dans l’utilisation des outils numériques. Face à ce constat, nous aimerions proposer une formation qui tienne compte de cette réalité.
Les familles seraient divisées en 2 groupes et chaque groupe bénéficierait du cursus suivant :
- 1 module de 5 séances pour les parents sur l’utilisation générale de l’ordinateur
- 1 module de 2 séances pour les parents sur l’utilisation de l’outil spécifiquement dans le cadre scolaire
- 1 module de 2 séances pour les enfants sur l’utilisation de l’outil spécifiquement dans le cadre scolaire
- 1 module de 2 séances pour une mise en commun parents et enfants
- 1 module complémentaire de 2 séances en lien avec la FRAPS pour prévenir les dangers issus des écrans
Le premier module serait encadré par un intervenant d’orange Solidarités, les 3 suivants par cette même personne et l’animatrice – référente famille de l’AMA et le dernier module par notre animatrice et la FRAPS.
Les séances seraient de 2 heures.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
5500 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 salariés et un intervenant en mécénat de compétence
10 familles soit 10 parents et 18 enfants
- Résultat sur le territoire
* des familles qui ne se connaissaient pas ou de vue ont appris à se connaitre et discutent désormais ensemble.
- Résultat pour le centre social
* création de supports de formation (initiation PC, la messagerie électronique, Pronote,…) pouvant être réutilisés
* répondre aux orientations de notre projet centre social
- Résultat pour les habitants
* public réceptif en attente de cette aide, content qu’une structure s’occcupe de lui et lui explique
* reconnaissant de lui fournir un matériel en bon état de fonctionnement et abordable financièrement
* apprentissage du Libre Office qui ne demande pas de mises à jour payantes
* capacité du public à créer une boite mail puis à rédiger, envoyer et recevoir un mail, utilisation de la copie carbone et de la copie invisible
* capacité des parents à utiliser Pronote grâce à des exercices pratiques
* développement du travail parents-enfants en utilisant Pronote comme un outil de travail commun et pas uniquement un moyen de contrôle des notes
* capacité des parents comme des enfants à rédiger et présenter un courier en traitement de texte
* prise de confiance. Un des papas qui avait des problématiques linguistiques était plutôt fermé. Les autres parents l’ont soutenu, une maman lui a traduit parfois en arabe les informations qu’il avait du mal à comprendre. Lors des temps collectifs, ses 2 filles l’ont beaucoup aidées et nous avons vu une réelle progression dans l’utilisation de l’ordinateur.
* apprentissage de l’écoute et notamment de celle du parent envers son enfant
* prise de conscience des risques liés aux écrans grâce à des vidéos de prevention et grâce aux ateliers de la FRAPS. Les discussions ont permis de libérer la parole, de prendre conscience de ce que les familles connaissent et surtout les situations auxquelles les enfants ont pu être confrontées. Ainsi en partant de ces constats, les parents ont pris conscience qu’ils devaient être plus attentifs à ce que leurs enfants regardant.
* forte entraide entre les participants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Cette action devrait être reconduite en septembre 2022.
Actions
Atelier cuisine "du goût à la cuisine"
- Structure organisatrice
- ASSOC. MONTARGOISE D'ANIMATION - Loiret
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Santé
- développement durable
- Résumé
Il s'agit de mettre en place 7 séances de formation cuisine pour un groupe de 10 parents encadrés par un cuisinier professionnel. Les séances sucessives permettent d'apprendre à cuisiner des produits locaux, de saison, parfois inconnus ou aussi connus mais en les cuisinant de façons différentes. Le cuisinier doit se positionner comme un formateur permettant au public d'expérimenter. Il montre comment faire puis il laisse le public réaliser l'exercice tout en étant présent pour modifier les gestes s'ils ne sont pas corrects. Ainsi, les parents peuvent apprendre de nombreuses choses: diminuer les graisses dans les cuissons, utiliser correctement les épices, réaliser des mets peu chers, associer des produits pour améliorer le goût, cuisiner les légumes de différentes façons. Les cours portent également sur d'autres points: respecter la chaine du froid en fermant le frigo, savoir organiser sa cuisine, savoir émincer les aliments sans se couper. Les parents travaillent sur les saveurs, ce qui amène le plaisir de manger et donne envie aux enfants de manger de tout.
A la suite d'un repas nous invitons une diététicienne à venir répondre aux différentes questions qui ont pu ressortir lors des ateliers. Nous sollicitons également le SMIRTOM pour une intervention de sensibilisation sur le tri sélectif des déchets.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place suite à différents constats:
* les personnes cuisinent moins et achètent plus facilement des produits tout préparé
* le budget de la plupart des habitants est peu élevé (beaucoup viivent en dessous du seuil de bas revenu). Cette situation a 2 incidences: d'une part, ils achètent prioritairement des aliments "premier prix" souvent de moindre qualité et d'autre part, les choix alimentaires se réduisent encore plus en fin de mois pour ces personnes qui ont parfois du mal à gérer leur budget nourriture.
* l'alimentation n'est pas toujours adaptée aux enfants notamment en ce qui concene les sucreries dont la consommation est souvent excessive.
* beaucoup de produits frais vont à la pubelle faute de savoir les cuisiner, de surveiller les dates limites de consommation ou simplement faute d'une bonne tenue du réfrigérateur. Ces produits périmés gonflent alors le poids des sacs poubelles de déchets ménagers.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Un bénévole a aménagé au préalable un local en atelier cuisine comprenant un plan de travail pour 10 personnes (avec 5 plaques vitrocéramiques + 2 fours).
Nous avons lancé le premier atelier le 10/10/17 avec une dizaine de mamans encadrée par un cuisinier et une animatrice.
Le public est issu de plusieurs associations partenaires: 1000 Sourires qui est une association d'aide aux familles sur un autre quartier de Montargis, Coallia qui héberge des familles en grandes difficultés et nous-mêmes. En ce qui nous concerne, nous avons également communiqué sur cette action auprès de nos usagers.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
5462 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Pour une année: 2 groupes de 10 personnes, 1 animatrice salariée de l'association, 1 cuisinier professionnel, 1 diététicinne, 1 ambassadeur du tri SMIRTOM
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
A la suite de cette formation cuisine, les mamans ont mis en pratique beaucoup d'astuces et ont reproduit plusieurs plats avec le plaisir de les voir appréciés par les enfants qui en redemandaient.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Nous souhaitons poursuivre l'action avec le même principe: un groupe d'une dizaine de parents qui se retrouveraient sur 7 séances et qui apprendraient de nombreuses choses grâce à l'intervention d'un cuisinier, une diététicienne et un ambassadeur du tri.
Actions
Fête du CLAS "Sur le chemin de Saint Exupéry"
- Structure organisatrice
- Centre Social SAINT EXUPERY - Lot-et-Garonne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Résumé
Le centre social Saint Exupéry accueille chaque année, environ une centaine d'enfants, primaires et collégiens, dans le cadre du Contrat Local d'Accompagnement à la Scolarité. A travers la promotion d'un soutien à la scolarité et d'une accessibilité à des activités socio-éducatives (sportives, culturelles, etc), c'est la réussite scolaire qui au cœur de ce dispositif. En juin 2016, à l'occasion du "Mois des familles en Lot-Et-Garonne", le centre social a organisé la première "Fête du CLAS". Cet évènement est né d'une volonté commune et partagée (élus, équipe du centre social, partenaires et parents) de valoriser le contenu éducatif réalisé tout au long de l’année scolaire en favorisant la participation des parents. Dans une dynamique participative, l’ensemble des acteurs se sont mobilisés pour créer, préparer et organiser cet évènement. Elus, parents et associations représentatives, équipe du centre social, établissements scolaires, partenaires socio-éducatifs, acteurs de la parentalité et accompagnateurs du CLAS, ont collaboré pour faire de la Fête du CLAS, un évènement convivial et familial. Au total près de 40 familles, dont les enfants sont inscrits au CLAS, se sont impliquées dans l’organisation de cet évènement, et 115 personnes (adultes et enfants) sont venues profiter en famille des animations proposées tout au long de cette journée. Au programme : divers ateliers co-animés par les parents, les accompagnateurs et les partenaires (origami, calligraphie, jeu de piste, danse, jeux surdimensionnés, théâtre, etc), une émission de radio en direct, etc. Un temps plus festif a clôturé cette première édition de la Fête du CLAS avec un spectacle d’art de rue familial suivi d’une auberge espagnole. La seconde édition de la Fête du CLAS est en cours de préparation pour 2017.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
L'ensemble des partenaires du CLAS (insitutionnels, socio-éducatifs, etc) et les parents dont les enfants bénéficient du CLAS ont été convié à une première réunion de présentation du projet. Suite à ce premier temps de rencontre et d'échange, quatre autres réunions se sont succédé afin de définir le programme et les missions de chacun (dans la préparation de l'évènement mais aussi le jour J). Une salariée du centre social a été désignée coordinatrice de l'évènement.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
ACM 13-17ANS
- Structure organisatrice
- Maison Pour Tous De La Masse - Lot-et-Garonne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- vacances / loisirs
- Résumé
L'ACM répond aux besoins,envies, aspirations des mineurs de 13 à 17ans.
L'équipe accompagne les jeunes dans le développement de projets.
L'action propose des activités de loisirs sur les thématiques culturelle, sportive, environnement. Ainsi que des mini-séjours.
L'ACM est ouvert les mercredis de 14h à 18h ainsi que les vacances scolaires. Ponctuellement les samedis et soirées selon les projets.
Les jeunes sont soumis a inscription mais l'organisation n'est pas "sous forme de mode de garde" comme un ACM traditionnel. Le planning s'organise en fonction des envies de jeunes.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Précision ( si autre )
L'ACM propose également :
*des projets croisés avec les VVV et le CLAS
* des projets spécifiques : journée contre les discriminations, tournois inter-centres ...
* des activités de loisirs traditionnelles : cinéma, tir à l'arc, ....
*des temps festifs organisés avec les différences pôles du centres social : fête de quartier, fête de fin d'année ...
* des mini-séjours
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La politique jeunesse au sein du territoire Nord-Est de la ville d'Agen, porte l'ambition de permettre aux jeunes de se construire et de trouver les moyans de se développer. Il s'agit aussi de prévenir les actes de délinquances.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
En tant qu'espace d'animation, soumit à la réglementation sur les ACM, son intervention peut être de deux sortes :
* certaines activités s'adressent aux inscrits les sorties extérieures notamment,
* d'autres s'adressent à tous, il s'agit d'animations présentant une facilité d'intervention et d'action en direct du public : animations de proximité ouvertes à tous (format local jeunes)
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Fonctionnement : 6500€
Masse salariale : 51560€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Equipe pôle jeunesse :
1 référent jeunesse (1 ETP)
2 animteurs socioculturel (2 ETP)
- Résultat sur le territoire
*Prévention des actes de délinquances
* Démarches participatives
- Résultat pour le centre social
Possiblité de mixer plusieurs dispositifs et travailler en partenariat avec des acteurs relais du centre social sur différentes thématiques auprès des jeunes : emploi, scolarité, accompagnement à la parentalité.....
- Résultat pour les habitants
Via des projets de démarches participatives, l'image des jeunes des quartiers "clichée" est atténuée auprès des habitants.
- Suite de l'action : Limites
Ouvrir l'ACM à partir de 12ans afin de faire le lien avec les jeunes inscrits au CLAS
- Suite de l'action : Perspectives
Recréer le comité de jeunes en interne de l'ACM.
Actions
Projet "Le Pin se dévoile"
- Structure organisatrice
- Maison Montesquieu (Centre social centre-ville) - Lot-et-Garonne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Résumé
La Maison Montesquieu, agrée centre social, est ouverte à tous les habitants d’Agen sans distinction d’âge ou de revenu. Dans le cadre de son activité, elle incite les habitants à mettre en place les projets qui leur tiennent à cœur, et les accompagne dans leurs démarches.
Suite à la fête du Pin organisée en septembre 2018, un groupe d’habitants, bénévoles à la Maison Montesquieu : Annie, Marie et Patrice, ont souhaité mettre en place un projet photo pour mettre en valeur le quartier prioritaire du Pin et donne rune image positive du quartier.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Mettre en avant le quartier prioritaire du Pin
Présenter une image positive du quartier du Pin
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Un projet participatif
En plus des porteurs de projet, des habitants participant à l’atelier photo de la Maison Montesquieu ont apporté leur soutien en :
- Menant une réflexion commune sur les aspects positifs, tournés vers le futur, la vie, l’animation et le bien vivre de ce quartier
- Prenant les photos sur le quartier du Pin
- Développant les images (sélection, traitement numérique avec un logiciel libre)
- Participant à la mise en place (mise sous cadre, sollicitation des partenaires pour les différents lieux d’exposition, accrochage de l’exposition)
-
Un projet accompagné par la Maison Montesquieu
En lien avec les valeurs et la démarche participative de la Maison Montesquieu, ce projet, est porté par les habitants à destination de tous les habitants.
La Maison Montesquieu dans son rôle d’accompagnateur de projets des habitants a soutenu cette initiative tout au long de sa mise en œuvre.
A l’image de son fonctionnement, la Maison Montesquieu poursuit son soutien aux projets portés par les habitants pour les habitants.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Un projet financé dans le cadre du Fond de participation des habitants (FPH)
Afin de permettre aux habitants de concrétiser leur projet photo, une présentation a été organisée auprès de la commission d’attribution du FPH, dispositif porté par l’Agglomération d’Agen et l’Etat, dans le cadre de la Politique de la ville. A cette occasion, les porteurs de projet ont pu défendre leur idée et obtenir un accord favorable pour un financement à hauteur de 500€.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
En tout ce sont donc 7 habitants qui ont participé à ce projet :
-
2 porteurs de projet Iguna Annie et Crognier Marie
-
2 bénévoles Gendreau Patrice et Salles Gilles
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- Résultat sur le territoire
Un réel engoument de la par des bénévoles, des habitants et de partenaires. Vision du quartier prioritaire différente.
- Résultat pour le centre social
Meilleure connaissance du portage de projet, du centre social et du territoire du Pin.
- Résultat pour les habitants
Meilleure connaissance du quartier et du centre social.
- Suite de l'action : Limites
Nouveau projet sur la photo à imaginer.
- Suite de l'action : Perspectives
Exposition chez différents partenaires et à la Fête du Pin 2019.
Actions
"Les canards du confinement"
- Structure organisatrice
- Maison Montesquieu (Centre social centre-ville) - Lot-et-Garonne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
A l’annonce du premier confinement le 16 mars 2020, La Maison Montesquieu s’est retrouvée fermée.
Equipe et bénévoles se sont alors questionnés pour inventer d’autres manières de maintenir le lien social entre les habitants du territoire.
Plusieurs initiatives ont vu le jour dans ce contexte qui reste, encore aujourd’hui, inédit :
- Plateforme téléphonique,
- Ateliers collectifs à distance,
- Initiatives solidaires et citoyennes : confection de masques, aide aux courses, entraide entre habitants, etc,
- Médiation et accompagnement numérique,
- Médiation éducative et accompagnement à la parentalité.
Les bénévoles de la Maison Montesquieu ont souhaité garder une trace de ce premier confinement, mais aussi de l’année 2020 et de l’évolution de la situation sanitaire.
Suite à un appel à contributions, une centaine de photos et de petits poèmes (appelés « haïkus ») ont été recueilli et mis en page sous forme de livrets en quatre volumes :
- « Le canard confiné »
- « Le canard déconfit »
- « Le canard retrouvé »
- « Le canard libéré »
A travers une démarche participative et citoyenne, ce travail de mémoire a été entièrement réalisé par les bénévoles du centre social. 10 d’entre eux se sont rencontrés à 9 reprises (dont parfois à distance) pour recueillir l’ensemble des photos et des poèmes, faire une sélection, réaliser la mise en page sur un logiciel libre, rédiger un dossier de demande de subvention auprès du Fond de Participation des Habitants, faire le lien avec l’imprimeur, etc.
Afin de conserver ce témoignage pour les générations futures, les quatre « canards du confinement » seront remis au pôle archives et mémoire de la Ville d’Agen à la Médiathèque Lacépède.
Le partenariat avec la Médiathèque Lacépède a également permis de proposer une exposition entièrement élaborée par les bénévoles intitulée « Le canard confiné s’expose ». Cette exposition sera itinérante dans différents lieux de la Ville d’Agen à partir du mois de mars 2021.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Immortaliser la période de confinement, dé confinement et reprise des activités sur le centre social,
- Créer une trace pérenne pour les générations futures sous forme de livrets, mais aussi sous forme d’exposition,
- Maintenir le lien entre habitants et avec la Maison Montesquieu
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
- Prise de vue de la ville lors du confinement et du dé confinement.
- Écritures de textes sur cette même période, avec découverte de Haïkus. Ceci a permis un certain nombre d’adhérents de rejoindre ce projet.
- Lancement d'un appel à contributions (photos + textes) via une plateforme numérique collaborative.
- Mise en page du journal au travers d’ateliers à distance (skype) puis lors des ateliers en présentiel.
- Mise à disposition du livret à l’ensemble des agenais et remise officielle aux archives municipales.
- Exposition à la médiathèque ouverte aussi à tous publics.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Coût total du projet "Canards du confinement" : 5 194€
Coût total du projet "Le canard confiné s'expose" : 2 269€
Action ayant bénéficié du soutien du Fond de participation des habitants à hauteur de 1 000€ et de la participation de la Direction de l'Action Culturelle de la Ville d'Agen à hauteur de 829€.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Equipe de la Maison Montesquieu : 1 directrice + 1 référente démarche participative et citoyenne
- 10 adhérents/bénévoles
- Direction de l'Action Culturelle de la Ville d'Agen : 1 directrice + 1 médiatrice
- Communication : 1 chargée de communication + 1 imprimeur
- Résultat sur le territoire
- Création d'un travail de mémoire collectif.
- Développement de partenariats culturels.
- Résultat pour le centre social
- Favoriser la visibilité du centre social.
- Résultat pour les habitants
- Maintien des liens sociaux en période de confinement.
- Valorisation de la place des habitants dans la réalisation d'un projet citoyen.
- Permettre l'échange et le dépôt de paroles face aux périodes vécues.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
L'exposition "Le canard confiné s'expose" a vocation a être itinérante sur l'ensemble du territoire d'intervention du centre social.
Différents acteurs du territoire souhaitent accueillir l'exposition : acteurs institutionnels, équipements culturels, associations locales, etc
Actions
Les paroles de la Maison Montesquieu : recueil de témoignages d'habitantes sur le thème de la vieillesse
- Structure organisatrice
- Maison Montesquieu (Centre social centre-ville) - Lot-et-Garonne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- Démocratie & citoyenneté
- Viellissement
- Résumé
« Les paroles de la Maison Montesquieu » est un projet qui reflète la rencontre intergénérationnelle entre Camille, en service civique au centre social pendant 7 mois (du 1er février au 31 aout), et 12 femmes de plus de 60 ans, engagées et investies dans leur centre social. De cette rencontre est née la volonté, pour Camille et les participantes, de construire un projet audio pour valoriser la parole et la place des femmes au sein de notre société. Après plusieurs temps d’échanges, elles ont eu à cœur de porter 3 questionnements quant à la place des femmes :
- Le rôle de la grand-mère
- Etre femme et retraitée
- Le parcours de femme
Camille et les participantes se sont investies pendant presque 8 mois autour des actions suivantes :
- Enregistrement du témoignage des participantes pendant des entretiens individuels,
- 1 atelier au Florida pour découvrir le montage radiophonique avec un animateur multimédia
- 2 ateliers de montage ont été mis en place au centre social avec un bénévole du centre social
- 3 temps d’écoute ont été mis en place afin de valider l’ensemble du projet.
- Participation à l’émission « La Quotidienne » dans les studios de Radio Bulle.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Autre
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Lutter contre l'isolement des personnes fragiles
- Valoriser la place des femmes âgées au sein de la société et de leur territoire
- Favoriser les échanges et les rencontres intergénérationnelles
- Découvrir le numérique et le support radiophonique
- Mettre en lumière le parcours d'habitants-acteurs au sein du centre social
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
- Lancement d'un appel à participation auprès des adhérentes du centre social
- Recueil des problématiques/thématiques importantes auprès des femmes volontaires
- Rencontre avec les participantes du projet au cours d’entretiens individuels et enregistrements
- Constitution d'un groupe de travail composé de Camille (service civique), participantes volontaires et d'une référente du centre social
- Mise en place des ateliers radiophoniques et numériques liés au projet :
- Atelier : découverte du montage radiophonique avec Le Florida
- Atelier : Sensibilisation au podcast
- Atelier : Temps d’écoute des podcasts terminé
- Rencontres avec les associations locales pour une présentation des podcasts, en vue d'une diffusion pour mars 2022.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
15 euros pour le repas de valorisation du projet en présence des participantes, des bénévoles, des partenaires et de l'équipe du centre social.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 service civique
Equipe du centre social = 1 directrice + 1 référente du projet
12 habitantes
1 bénévole radio
1 animateur multimédias
- Résultat sur le territoire
Aspects qui seront évalués à la finalité du projet en 2022.
- Résultat pour le centre social
- Favoriser la visibilité du centre social
- Résultat pour les habitants
- Dépassement de soi
- Fierté des participantes et prise de confiance
- Mobilisation des participantes pour les activités de la Maison Montesquieu
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
- Diffusion des podcasts lors du mois de la femme en mars 2022 (modalités à définir avec le groupe de femmes participantes au projet et les radios locales).
- Poursuite du projet « Les paroles de la Maison Montesquieu » et du format podcast sur une autre thématique portée par les habitants du territoire.
Actions
Du jardin à l'assiette, des légumes aux repas partagé.
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL JEAN VILAR ANGERS - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Résumé
Le projet se décline en plusieurs actions :
- La fabrik'à soupe sur le temps des filets solidaires
- Des tables pour tous sur la base d'un échange de savoir ou d'une orchestration par un professionnel de la restauration
- La Création d'un jardin collectif aromatique
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Sur le territoire de la Roseraie, les habitants manifestent le besoin de temps de rencontres conviviales et d'activités permettant de créer du lien social, de l'échange et notamment autour de la cuisine, le partage de recette, envie de manger bon, sain et pas cher.
Il fait écho aux différentes problématiques repérées sur le quartier :
- L'isolement croissant, besoin de lien social,
- Difficultés sociales liées à la perte d'emploi, baisse de revenu,
- Absence d'envie de cuisiner, ou difficultés à cuisiner certains produits frais dont légumes,
- Perte ou méconnaissance des savoirs culinaires et des façons de s'approvisionner ou de cultiver autrement son jardin,
Une demande croissante des habitants de se rencontrer autour de la cuisine et d'échanger des savoirs et recettes interculturelles une façon de mieux se connaître au travers de la cuisine. Une aspiration à participer à la culture d'un jardin mais pas seul.
Il convient donc d'inventer des moments de rencontres qui fédèrent, le moment du repas semble un bon moyen pour réunir les habitants. C'est à partir de ces moments mensuels que d'autres temps s'organisent : des temps de ré apprentissage de la transformation des fruits et légumes, de la réappropriation des gestes pour cuisiner et confectionner des repas soi même , de soutenir le gout du jardinage et partager des productions de plantes et légumes.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Ces repas "tables pour tous" ont lieu tous les mois avec une thématique. Pour les préparer des ateliers sont proposés pour faire découvrir de nouveaux produits , échanger et acquérir des savoir-faire en cuisine. Une dizaine de personne y participe avant chaque repas. Ils travaillent ensemble à la réalisation du repas sous la conduite d’une animatrice du Centre Jean Vilar et d’un cuisinier professionnel afin de garantir la gestion des quantités et de sensibiliser aussi les participants aux produits de saison,de préférence locaux, à l'appréciation des gouts et saveurs de chaque met .
Les ateliers et fabrique à soupes reste un atelier de cuisine et de vie sociale qui visent prioritairement les bénéficiaires des filets solidaires . Ceux-ci s'inscrivent à tour de role et s'impliquent pour (ré)apprendre à prendre plaisir à cuisiner et à échanger sur leurs savoirs culturels : 8 à 10 habitants à chaque atelier.
Nous animons ce temps de dégustation avec des bénévoles du CJV et des bénévoles des filets solidaires à partir des légumes contenus dans le filet.
Le jardin collectif avec librojardin et la régie de quartier est en démarrage avec 2 lieux d'implantation :
-des padocks dans les jardins intérieurs du centre social pour les plantes aromatiques qui peuvent servir ainsi aux repas ou aux ateliers
-et un jardin collectif pour la culture des légumes à partager entre les jardiniers dans une parcelle de la régie de quartier .
Actuellement, 8 bénévoles constituent le groupe de gestion de ces jardinets et d'entraide entre ces jardiiniers.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
5000 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
150 habitants
25 bénévoles
3 salariés
- Résultat sur le territoire
La table pour tous réunit 40 à 60 habitants : une action qui rayonne de plus en plus avec le concours des institutions, associations et personnes relais : france horizon, MDS, ASEA, régie de quartier, CCAS, secours populaire et secours catholique, CLCV, ASADOM etc. Cette action permet réellement à des habitants de sortir de l'isolement et à rétablir des liens sociaux. Parfois l'après-midi ouvre sur un atelier iu une sortie "culture et solidarité" à partager.
- Résultat pour le centre social
Lors de ces repas ateliers ou distributions, le centre social du Centre Jean Vilar accompagne et améliore l'accueil des bénéficiaires dans un cadre convivial avec la mise à contribution de bénévoles pour accueillir et distribuer aux côtés des bénévoles des filets Solidaires.
Cette action contribue à faire du centre social un vrai lieu de vie et non pas qu'un lieu de service.
Ce temps d'accueil sont pour nous l'occasion de mieux communiquer sur nos actions mais aussi de créer des liens avec des habitants que nous ne connaissions pas et entre ces habitants.
- Résultat pour les habitants
Tout d'abord l'action répond à des besoins et à une attente des habitants eux-mêmes .
Il permet de ne pas être considéré que comme des usagers/bénéficiaires mais aussi comme des participants, acteurs bénévoles dans l'organisation du repas ou dan l'atelier de fabrique à soupe ou dans la conception des jardinets.
L'enjeu étant de favoriser l'implication des habitants et des bénéficiaires en tant qu'acteurs dans les actions qui les concernent et de pouvoir mieux s'orienter vers d'autres activités de leur choix pour eux ou leurs enfants.
Enfin cette action permet de rencontrer d'autres habitants et d'être mieux informé (voir parfois accompagné) pour intégrer de nouvelles activités
- Suite de l'action : Limites
Une demande trop importante par rapport à la demande.
des conflits de voisinage ou interfamiliaux apparaissent.
une salle servant d'atelier cuisine mal équipé
- Suite de l'action : Perspectives
Poursuivre avec en particulier :
-la finalisation des jardins partagés,
-une alternance entre tables pour tous fruits d'un "échanges de pratiques" et fruits d'un "atelier gastronomique"
-une vigilance sur le turn over des inscriptions aux ateliers fabrique à souper pour favoriser un plus grand nombre de participants.
un lien entre ateliers cuisine , des randonnées et sorties culturelles ou des groupes de parole.
Actions
La violence non merci !
- Structure organisatrice
- Centre Marcelle Menet - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Cette action était prévue pour durée un mois. Toutefois aujourd'hui nous continuons à travailler sur les questions de violence avec les jeunes du quartier
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Démocratie & citoyenneté
- discriminations
- Résumé
Tout au long du mois d'octobre, l'ensemble des partenaires associatifs et institutionnels du territoire se sont mobilisés pour proposer des temps d'ateliers, des rencontres, des visites ou des évènements amenant à réfléchir aux causes et aux conséquences de la violence : Des ateliers slam et poésie / des lectures à haute voix du roman de Rachel Corenblit, 146 298 / une appoche artistique de l'exode au collège / des ateliers "lache la violence" avec les enfants de l'école du secteur / des collectes de paroles paret avec les jeunes du quartier "faut-il être un guerrier pour vivre dans un quartier?" / la réalisation par les jeunes d'un court métrage "violence(s)" / une formation à la médiation par la pairs / Des conférences :" l'éducation dans les cultures d'afrique" , "la place de la violence à l'adolescence", "accompagner le parentalité dans un contexte interculturel" / des témoignages : "les camps de la seconde guerre mondiale", le "harcelement scolaire", des débats blabla pizza "la violence si on en parlait" / des visites : le site de la "mémoire" à Oradour-sur-glane / des projections suivis de débats "l'Odyssée de l'Empathie", l'éducation dans le cultures d'Afrqiue" "Kirikou et la sorcière pour les plus petits / des spectacles "ma vie en jeu" / des ateliers et lecture de conte / des soirées jeux / un flash mob.
Nous avons comptabilisé plus de 2 000 participations à ces évènements.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Nous constatons fréquemment les difficultés que rencontrent certains enfants et/ou jeunes du territoire à accepter les codes qui font références dans notre organisation sociétale. Le manque de respect envers l’adulte, la violence verbale, l’incapacité à accepter la frustration, le refus de la règle, sont autant de symptômes de ce que nous considérons comme une socialisation inachevée pour certains des enfants et/ou jeunes que nous rencontrons sur le quartier.
Lorsque nous rencontrons les familles, certaines expliquent se sentir en difficulté. Progressivement, quelques enfants prennent le dessus sur l’autorité des parents. N’acceptant plus la frustration, ils contrôlent de moins en moins leurs émotions et se placent régulièrement dans des situations difficiles. Un rappel à la loi est malheureusement souvent nécessaire pour aider ces jeunes à se replacer dans des comportements socialement acceptables.
Progressivement, les phénomènes de violence entre jeunes ou à l’encontre d’adultes se renforcent de manière préoccupante sur le territoire. Les jeunes y fonctionnent en groupe. Ils communiquent entre eux par sms et donnent rendez-vous aux jeunes des autres quartiers sur les réseaux sociaux. Nous constatons que les bagarres organisées avec les jeunes des autres quartiers de la ville sont de plus en plus fréquentes. Nous assistons régulièrement à des regroupements d’une cinquantaine de jeunes qui souhaitent en découdre avec d’autres groupes. Bien qu’ils se mettent en danger, ils semblent s’en amuser et abordent les combats à "la manière de sportifs".
A la violence physique s’ajoute la violence morale. Les agressions verbales sont fréquentes. Dans cette étrange atmosphère, faire sa place parmi les jeunes du quartier oblige malheureusement à se protéger derrière des comportements violents. Ainsi, acteurs, témoins ou cibles de la violence, les jeunes du quartier en sont généralement les premières victimes.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Cette action a été pensé au sein le la commission continuité éducative animée par le centre social. Dans un premier temps un comité de pilotage constitué du centre social, du Collège Montaigne, de l'Ecole Fratellini, des éducateurs de prévention spécialisée et et des médiateurs sportifs a commencé définir les objectifs et les contours de ce projet.Tres vite l'ensemble des partenaires associatifs et institutionnels du territoire se sont joints au porjet. Il s'agit par exemple de la Régie de quartier, la bibliothèque, la ludothèque, l'Association Trait d'Union, l'Association AIFA, le REDA, la MDS, le Pôle territorial, le service éducation enfance, les écoles Isoret et Larevallière etc.
De nombreux temps de travail et de coordination ont été nécessaire pour mener à bien cette action. Le centre social en a assuré l'animation.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
15 000 euros ont été nécessaire pour financer le coût des intervenants, spectacles, des expositions, des projections des voyages et des visites.
5 700 euros ont été pris en charge dans le cadre du Contrat de Ville Unique.
4 000 euros dans le cadre d'une aide parlementaire
3 000 dans au titre des animations de proximité du centre social
1 300 par les collèges de secteur pour leur participation au spectacle "Ma vie en jeu"
1 000 euros sur les fonds propres du centre social
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Nous avons comptabilisé plus de 2 137 participations aux différents temps pour environ 1 000 habitants concernés
- Résultat sur le territoire
Cette mobilisation massive des acteurs socio-éducatifs du territoire contre la violence a permis l'affirmation d'un message "anti-violence"; il semble que ce message ait été écouté,entendu et réfléchit par de nombreux jeunes. Pour autant nous assistons toujours à des phénomènes de violence entre jeunes des quartiers.
- Résultat pour le centre social
Ce travail partenarial a relancé la dynamique de coopération autour du centre social. aujourd'hui l'ensemble des acteurs se remobilise pour travailler à la mise en place d'une année de l'interculturalité "tous différents".
- Résultat pour les habitants
Comme pour les jeunes, il semble que le message ait été entendu et réfléchit par les adultes du quartier. Il semble aussi qu'un travail d'affirmation de la non violence redonne de la légitimité aux adultes pour se positionner lors des phénomènes de violence des jeunes.
- Suite de l'action : Limites
Malheuresement nous constatons toujours des phénomènes de violence sur le territoire. L'action a été un lancement d'un travail de fond qu'il appartient aux acteurs de conduire au quotidien
- Suite de l'action : Perspectives
Le travail de réalisation d'un court métrage a fortement mobilisé une vingtaine de jeunes; Ils souhaitent continuer ce travail et organiser des actions de sensibilisation dans d'autres quartiers de la Ville. Un atelier vient d'être créé au centre social pour accompagner cette démarche.
Actions
CAP J : Cellule d'Appui aux Projets de Jeunes
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL JEAN VILAR ANGERS - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Fin de conventionnement avec la collecivité
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- mobilité / transport
- vacances / loisirs
- Résumé
Afin d’accompagner les idées de projets de jeunes, une cellule d’accompagnement aux projets, labellisée en 2013, est animée les mardis, mercredis, jeudis, vendredis et samedis, par deux animateurs accompagnateurs de projets référents, à destination des publics jeunes 16/25 ans.
Elle permet d’offrir un espace dédié aux initiatives jeunes, et d’apporter une aide, technique, pédagogique et financière aux projets à dominante associative, récréative, et culturelle.
Pour l’année 2015, ce sont 139 jeunes qui ont pu être reçus et accompagnés dans leurs projets, initiatives ou démarches quotidiennes.
Le nouvel espace dédié à cet accueil a permis de travailler davantage sur la dimension collective.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Autre
- Précision ( si autre )
La Fédération Léo Lagrange
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
En réponse à un besoin ressenti sur le territoire et à une politique associative de dévellopement de l'engagement avec et pour la jeunesse.
L'objectif est de sortir d'une vision collective d'une jeunesse des quartiers populaire attentiste, oisive et consommatrice et de lui permettre de faire valoir ses envies et ses potentiels
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Diagnostique territorial
Appui par une reflexion nationale de la fédération Léo Lagrange sur de nouveaux outils à destination des jeunesses
Confrontation et partage de ces différents constats avec le tissu local, les élus de référence, le public
Début en 2013 des permanences hebdomadaires sur le centre social
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 référents jeunesse
La coordinatrice du secteur
le directeur du centre social
- Résultat sur le territoire
Cercle vertueux du dispositif : l'écho des premières réussites de projets de jeunes permet à de nouveaux jeunes de venir se lancer.
Population jeunes s'implique sur son territoire
Autre regard de la population adulte
- Résultat pour le centre social
Structuration de la présence et de la participation des 16/25 ans sur le centre social
Nouveau public
- Résultat pour les habitants
Nouveau "service" proposé à un public volatile et peu captif sur le quartier
Esapce ressources permettant de réaliser un projet mais aussi de rentrer en contact avec l'équipe du centre social : traitement et orientation d'autres problématiques que celle de l'accompagnment de projet (santé, emploi...)
- Suite de l'action : Limites
Le contenu initial des projets plutôt consuméristes
La reproduction de projets déjà portés par des paires,
Le suivi et engagement notamment sur la dimmension collective.
- Suite de l'action : Perspectives
La fin du conventionnement avec la collectivité ne permet pas de dresser de perspectives.
Actions
Local jeunes 16/25 ans : un lieu de sociabilité pour tous les jeunes adultes
- Structure organisatrice
- MAISON POUR TOUS MONPLAISIR - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Démocratie & citoyenneté
- Intégration
- Résumé
Le local jeunes est un espace implanté en dehors de toute institution pour accueillir les jeunes adultes de 16 à 25 ans dans un quartier populaire où un tiers de la population vit sous le seuil de pauvreté. Il est ouvert du mardi au samedi en périodes scolaires et du lundi au vendredi en périodes de vacances scolaires de 17h00 à 22h00. Le local jeunes est un espace aménagé pour bien accueillir les jeunes (bar, canapé, baby-foot, jeux de société) qui s'adapte au temps des jeunes (ouverture encore plus tardive en fonction des demandes).
L'équipe d'animation composée de trois professionnels met en place un service d’aide : documentation, mise en relation avec des institutions et des partenaires, aide à la recherche d’emploi, de stage, de formation, ou d’orientation.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Autre
- Précision ( si autre )
Suite à des demandes récurrentes de jeunes qui lui étaient formulées en vue de bénéficier d’un lieu dédié dans le quartier de Monplaisir, la Ville d’Angers s’est engagée à créer un espace pour les 16/25 ans dans ce quartier en 2008.
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le projet du Local jeunes s'inscrit dans un projet de développement local, complémentaire et cohérent avec l’offre existante :
- Favoriser la mixité entre jeunes (sociale et de genre)
- Promouvoir la participation des jeunes
- Capter des publics « NEET »/«hors-circuit » dans le but de les inscrire dans des parcours d’insertion sociale et professionnelle en lien avec les différents acteurs jeunesse
La commande de la Ville exprime, dans le cahier des charges, cet objectif d’accueil en lui attribuant trois modalités opérationnelles :
- « Être ouvert aux différentes jeunesses du quartier.
- Leur permettre de se rencontrer de façon informelle.
- Être adapté aux temps des jeunes. L’accueil doit être souple, sans inscription obligatoire, il doit être organisé en fonction des besoins et réalités locales. »
A ces trois modalités de mise en œuvre du local jeunes, s’ajoute la recherche de visibilité dans la mesure où il s’agit aussi de remettre les jeunes au cœur du quartier. Le Local jeunes a ainsi été implanté le long d'une artère de communication importante. Le lieu a vocation à accueillir tous les jeunes du quartier, sans exception, dans une optique d’« espace de sociabilité ».
- Public
- Jeunes adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Suite à des demandes récurrentes de jeunes qui lui étaient formulées en vue de bénéficier d’un lieu dédié dans le quartier de Monplaisir, la Ville d’Angers s’est engagée à créer un espace pour les 16/25 ans dans ce quartier en 2008.
A l’été 2009, un appel à projet dans le cadre d’un marché public à procédure adapté (MAPA) a été lancé par la Municipalité en vue d’en confier la gestion et l’animation à un opérateur. La Maison pour tous de Monplaisir (MPTM) a répondu à l'appel à projet et s’est vue confier la gestion et l’animation de ce nouveau lieu.
Le local jeunes a officiellement ouvert ses portes en novembre 2010 pour une expérimentation d’un an. Il a ensuite été reconduit dans sa phase expérimentale. En 2016, à la fin de la phase expérimentale, la gestion du local jeunes a été intégré à la Covention Pluriannuelle d'Objectifs de la Maison pour tous.
Le local jeunes est doté de deux instances de gouvernance : l’une chargé du pilotage du projet et l’autre du suivi de sa mise en œuvre. Le comité de pilotage réunit les élus de la Ville et de la Maison pour tous. Il a pour a pour objectif de faire le bilan de l’activité du local, prendre des décisions quant à ses orientations et son financement et opérer, le cas échéant, des arbitrages. Le comité technique représente l’instance opérationnelle de la mise en œuvre du projet du local jeunes. Il a pour objectif le suivi et la régulation des activités qui y sont menées. Le comité technique réunit les acteurs suivants : Maison pour tous, Direction jeunesse de la Ville, Association pour la Sauvegarde de l’enfance et l’Adolescence (ASEA), le chef de projet du pôle de territoire de la Ville, la Mission Locale Angevine (MLA). Dans cette instance, les animateurs proposent un retour de leur activité et de leur expérience, présentent ce qui pose question ou problème et le mettent en débat.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
100.200 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 professionnels (Conseiller ESF, Moniteur-éducateur, animateur socio-culturel)
- Résultat sur le territoire
Les 180 jeunes qui fréquentent le local durant l'année sont majoritairement des garçons âgés de 16 à 22 ans. Près d'un tiers de ces jeunes sont des jeunes "hors-circuit". Les filles sont très marginales. Nombreux sont les témoignages recueillies au niveau de l’évaluation pour faire part de la baisse des tensions dans les espaces publics, aujourd’hui plus apaisé grâce au local jeunes.
- Résultat pour le centre social
Le local jeunes a permi à la Maison pour tous d'élargir son offre et de retisser du lien avec un public de jeunes adultes. Elle peut désormais intégrer des jeunes adultes aux activités intergénérationnelles qu'elle mène sur le territoire.
- Résultat pour les habitants
Les jeunes qui le fréquentent l’apprécient avant tout en tant que lieu de sociabilité avec différents « services » : café, baby foot, télé, presse. La présence des animateurs leur offre un repère et donne parfois du sens à leur présence :
« C’est comme un petit café où on est posé. On peut discuter, s’amuser, c’est une zone de rencontre. Ici, ce qu’il y a de plus, c’est le dialogue avec les animateurs, on peut même échanger entre nous, on fait des débats. Ici, on a l’esprit ouvert : on discute, on échange des idées. » (Jeune de 22 ans).
Les jeunes utilisent également l'appui des animateurs pour un soutien dans leurs parcours scolaires ou professionnels.
- Suite de l'action : Limites
Depuis plusieurs années, aux côtés des formes traditionnelles d’accueil (dans le cadre d’actions programmées), on constate une montée en charge progressive de nouveaux modes d’accueil : non formels, informels. Aujourd'hui, le non formel est quasi intégré comme un mode d'intervention au cœur des pratiques du Local jeunes mais le projet éducatif dans lequel il s'inscrit est encore à faire évoluer.
- Suite de l'action : Perspectives
La configuration des locaux pose quelques problèmes et ne facilite pas toujours la tâche des animateurs au quotidien. Dans cette perspective, et en s'appuyant sur l'expertise d'usage de la Maison pour tous, un nouveau lieu d'accueil est envisagé dans le cadre de la rénovation urbaine du quartier.