Les actions des centres sociaux
Actions
F!esta des Rues (événement festif participatif)
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL LE BABET - Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- Emploi, économie
- développement durable
- Mixité sociale
- Résumé
Evénement festif : décor de rue géant, animations, défilés, concerts, grand bal populaire qui a lieu tous les 2 ans. La F!esta des Rues 2018 est la 3ème édition, elle aura lieu en centre-ville le samedi 7 juillet 2018 pm + soirée.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place à la suite d'un projet dit culturel / politique de la ville : rénovation de 11 halls d'entrées d'immeubles du quartier Tarentaize-Beaubrun à Saint-Etienne, dans la lignée de l'artiste catalan Gaudi. 17 habitants sont allés à Barcelone voir les oeuvres de Gaudi et en sont revenus avec un projet à l'aune de la Festa Major de Gracia barcelonaise (1500000 visiteurs du 15 au 21 août chaque année depuis 200 ans) : décors de rues, manifestations festives de toutes sortes, sur l'équivalent de 5 quartiers français.
Au retour de Barcelone, nos 17 habitants ont souhaité mettre en place un événement festif à petite échelle, pour rehausser l'image de leur quartier.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
L'action a débuté fin 2010.
Le collectif F!esta des Rues est un collectif d'habitants, accompagnés par le centre social. Plusieurs GT : ateliers de fabrication d'un décor de rue géant, animations programmation, budget, communication, logistique, partenariats.
Animation des GT : méthode de consensus.
CR systématiques (76 en 2013 et environ 50 en 2015).
Micro-événements (communication).
Vie du collectif : sorties, repas partagés, visites, etc.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
36000 euros / 2 ans : 2012-2013
25000 euros / 2 ans : 2014-2015
24000 euros (demandés) / 2 ans : 2017-2018
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
25 personnes sur le Collectif : préparation de l'événement. Environ 60 personnes le jour J.
2 salariés pour les 2 premières éditions. 15 salariés et 5 administrateurs le jour J.
7 salariés pour l'édition 2018 : préparation de l'événement (2 centres sociaux).
- Résultat sur le territoire
Meilleure image des habitants du quartier (impact modeste pour un quartier immigré à 1/3).
Mise en place d'un partenariat avec un autre centre social : la Maison du Crêt de Roch.
- Résultat pour le centre social
Création en cours d'une "filiale" : En pièces détachées de recyclage de déchets industriels, avec animations, formations, vente.
Implication plus importante de l'équipe du Babet dans cette 3ème édition.
- Résultat pour les habitants
Permet de rompre l'isolement (ateliers de fabrication du décor notamment), des habitants trouvent un emploi (phénomène de réseau), retours positifs des commerçants de la ville, des élus, des habitants stéphanois.
- Suite de l'action : Limites
Limites : le Collectif ne souhaite pas évoluer en association et souhaite rester au sein du Babet. La vie du groupe est le point d'achoppement, il s'agit de veiller sur les échanges et de les réguler (rôle du CS).
- Suite de l'action : Perspectives
Associer tous les quartiers de la ville pour l'édition n° 4 en 2020.
Réaliser des bénéfices avec le projet "En pièces détachées" et passer à une entreprise de proximité.
Actions
Atelier cuisine "du goût à la cuisine"
- Structure organisatrice
- ASSOC. MONTARGOISE D'ANIMATION - Loiret
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Santé
- développement durable
- Résumé
Il s'agit de mettre en place 7 séances de formation cuisine pour un groupe de 10 parents encadrés par un cuisinier professionnel. Les séances sucessives permettent d'apprendre à cuisiner des produits locaux, de saison, parfois inconnus ou aussi connus mais en les cuisinant de façons différentes. Le cuisinier doit se positionner comme un formateur permettant au public d'expérimenter. Il montre comment faire puis il laisse le public réaliser l'exercice tout en étant présent pour modifier les gestes s'ils ne sont pas corrects. Ainsi, les parents peuvent apprendre de nombreuses choses: diminuer les graisses dans les cuissons, utiliser correctement les épices, réaliser des mets peu chers, associer des produits pour améliorer le goût, cuisiner les légumes de différentes façons. Les cours portent également sur d'autres points: respecter la chaine du froid en fermant le frigo, savoir organiser sa cuisine, savoir émincer les aliments sans se couper. Les parents travaillent sur les saveurs, ce qui amène le plaisir de manger et donne envie aux enfants de manger de tout.
A la suite d'un repas nous invitons une diététicienne à venir répondre aux différentes questions qui ont pu ressortir lors des ateliers. Nous sollicitons également le SMIRTOM pour une intervention de sensibilisation sur le tri sélectif des déchets.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place suite à différents constats:
* les personnes cuisinent moins et achètent plus facilement des produits tout préparé
* le budget de la plupart des habitants est peu élevé (beaucoup viivent en dessous du seuil de bas revenu). Cette situation a 2 incidences: d'une part, ils achètent prioritairement des aliments "premier prix" souvent de moindre qualité et d'autre part, les choix alimentaires se réduisent encore plus en fin de mois pour ces personnes qui ont parfois du mal à gérer leur budget nourriture.
* l'alimentation n'est pas toujours adaptée aux enfants notamment en ce qui concene les sucreries dont la consommation est souvent excessive.
* beaucoup de produits frais vont à la pubelle faute de savoir les cuisiner, de surveiller les dates limites de consommation ou simplement faute d'une bonne tenue du réfrigérateur. Ces produits périmés gonflent alors le poids des sacs poubelles de déchets ménagers.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Un bénévole a aménagé au préalable un local en atelier cuisine comprenant un plan de travail pour 10 personnes (avec 5 plaques vitrocéramiques + 2 fours).
Nous avons lancé le premier atelier le 10/10/17 avec une dizaine de mamans encadrée par un cuisinier et une animatrice.
Le public est issu de plusieurs associations partenaires: 1000 Sourires qui est une association d'aide aux familles sur un autre quartier de Montargis, Coallia qui héberge des familles en grandes difficultés et nous-mêmes. En ce qui nous concerne, nous avons également communiqué sur cette action auprès de nos usagers.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
5462 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Pour une année: 2 groupes de 10 personnes, 1 animatrice salariée de l'association, 1 cuisinier professionnel, 1 diététicinne, 1 ambassadeur du tri SMIRTOM
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
A la suite de cette formation cuisine, les mamans ont mis en pratique beaucoup d'astuces et ont reproduit plusieurs plats avec le plaisir de les voir appréciés par les enfants qui en redemandaient.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Nous souhaitons poursuivre l'action avec le même principe: un groupe d'une dizaine de parents qui se retrouveraient sur 7 séances et qui apprendraient de nombreuses choses grâce à l'intervention d'un cuisinier, une diététicienne et un ambassadeur du tri.
Actions
Festival Tintamarre et Charivari
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- Culture
- Résumé
Les habitants constituent pendant plusieurs jours, en weekend et en été, une sorte de place du village, avec toutes ses composantes (de la convivialité, de la restauration, de la musique, des spectacles etc.).
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Nous ambitionnons d'améliorer le cadre de vie du quartier en mobilisant les habitants dans la mise en place d'un festival de proximité, en extérieur, innovant, attractif, d'ampleur, en été et sur plusieurs jours sur la Place Nadia Boulanger.
Nous visons 3 objectifs principaux : mobilisation des habitants et des jeunesses dans l'espace public dans une action fédératrice ; appropriation du quartier par les habitants et l'animation des espaces publics ; tisser du lien par la médiation socioculturelle favorisant l'interconnaissance et les relations de voisinage.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Cette action s'appuie sur un comité d'organisation composé d'habitants, d'artistes, de professionnels, de partenaires qui a vocation de créer le village éphémère et d'en assurer son animation.
Nous travaillons avec le collectif Mobil casbah qui, depuis 2008, regroupe des professionnels du spectacle et des bénévoles.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Environ 25 000 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Ce projet mobilise plus d'une soixantaine de bénévoles, 2 centres sociaux, 12 partenaires associatifs et institutionnels.
- Résultat sur le territoire
- Amélioration du cadre de vie
- Résultat pour le centre social
- Mobilisation et participation des habitants, 400 personnes par jour
- Résultat pour les habitants
- Cohésion sociale
- Suite de l'action : Limites
Perennité économique
- Suite de l'action : Perspectives
Reconduction en fonction des possibilités budgétaires
Actions
L'étoffe des héros - défilé des petites coutures
- Structure organisatrice
- OMAC Office Municipal d'Animation de la Cité - Seine-et-Marne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Action déterminée dans le temps qui s'est déroulée de décembre 2016 à septembre 2017.
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- Résumé
De janvier à mai 2017, la Ferme du Buisson (scène nationale), le Château de Champs-sur-Marne (centre des monuments nationaux) et l'OMAC ont invité les habitants (domiciliés en ZSP de Torcy) et la compagnie Cirkatomik à créer des costumes uniques et originaux à partir d'objets de tous les jours et de matériaux recyclés. Le samedi 20 mai 2017 à la Ferme du Buisson, s'est déroulé le spectacle "Le plus grand défilé des Petites Coutures". L'occasion pour une vingtaine de volontaires, adultes ou adolescent et un enfant, de vivre une expérience de mannequinat exceptionnelle ou d'assister les artistes et comédiens dans les coulisses du spectacle pour l'habillage, le maquillage ou l'ouverture des rideaux. Du 16 septembre au 8 octobre une exposition de de toutes les réalisations a eu lieu au château , le vernissage s'est déroulé le vendredi 15 septembre 2017. Une sortie a été organisée le 25 juin 2017 à Moulin (Allier03) au Centre National du costume pour une visite guidée de l'exposition "Modes ! A la ville A la scène".
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Dans le cadre de la mise en place d'une nouvelle ZSP sur la ville de Torcy, un jumelage a été mis en place entre le château de Champs, la Ferme du Buisson (scène nationale), la ville de Torcy/OMAC afin d'inventer des actions spécifiques pour les habitants de ces quartiers et de les rendre autant que faire se peut acteurs des processus culturels.
Le projet porte sur la prise de conscience de la transformation de la silhouette à travers les différentes époques et des modes, sensibilisation au développement durable par le biais des ateliers de fabrication de costumes.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Mise en place d'un comité de pilotage des partenaires impliqués : septembre 2016.
Décembre 2016 1ère réunion de présentation aux habitant du projet participatif : "Avis aux torcéens - L'étoffe des héros".
De février à avril 2017 : Mise en place des ateliers de collectes de matériaux, fabrication des costumes, accompagnées par la Compagnie Cirkatomik.
De février à juin : Ateliers de confection d'accessoires au Château de Champs-sur-Marne (Centre des Monuments Nationaux).
20 Mai 2017 : Spectacle "Le plus grand défilé des Petites Coutures". Se spectacle a associé des habitants et des comédiens de la troupe Cirkatomik
Juin 2017 Visite avec des habitants du Centre National du costume à Moulins.
Du 16 au 8 octobre 2017 : Exposition au Château de Champs de toutes les costumes et accessoires faient par les habitants.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
L'OMAC était uniquement partenaire au niveau de la mobilisation de habitants, mise à disposition du matériel et des locaux.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
6 professionnels et 65 habitants.
- Résultat sur le territoire
Consolider la relation de proximité existant entre les habitants de ces quartiers et les 2 structures culturelles (La Ferme du Buisson et le Château de Champs-sur-Marne)
- Résultat pour le centre social
Consolider la relation de proximité, valoriser les productions des habitants
- Résultat pour les habitants
Sensibilisation au développement durable par le biais des ateliers de fabrication de costumes avec des matériaux de récupération.
- Suite de l'action : Limites
Il a été difficile de mobiliser un nombre d'habitants plus important au regard des objectifs initiaux.
- Suite de l'action : Perspectives
Continuité de l'action avec ces 2 partenaires (La Ferme du Buisson et Château de Champs) pour 2018 et 2019 et mise en place d'un projet artistique avec la Compagnie XTNT. Compagnie travaillant plus particulièrement sur des interventions dans l'espace public.
Actions
familles et reseaux sociaux
- Structure organisatrice
- Le point commun centre social - Haute-Marne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- Résumé
le centre social en partenarait avec différents acteurs associatifs du territoire a mis en place une action pour sensibiliser les familles aux risqus d'internet.
Le groupe partenarail a choisi d'aborder cette question avec comme support un spectacle humoutistique avec la comédinne Esta Webster.
Le spectacle a permis d'aborder diffférents points/
-la place de l'enfant et les relations avec le sparents, l'ttitude de sparents face au consumérisme
-le choc de sgénérations
-l'usage d'internet positif et négatif
les stéréotypes divulgués, les humiliations pouvant être subis , les risques encourus
le spectacle a réuni parents et adolescents, à la fin du spectacle un mini débat a été organisé avec la présence d'un juriste et d'une éducatrice d'associations partenaires. Le juriste a apporté des points de vigilance et des apports par rapport à la loi.
L'éducatrice a sennsibilisé les parents et les adolescents sur les risques de jeux dangereux sur internet.
-les humiuli
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place pour sensibiliser les familles à la nécéssité d'accompagner leurs enfants dan sleurs pratiques quotidiennes du numérique, pour soutenir les parents dans leur rôle éducatif et prévenir des dangers d'internet.
Les résultats attendus : permettre aux parents de s'interroger sur leur rôle d'accompagnateur et d'éducateur face aux dangers d'internet
permettre de faciliter les échanges entre parents et adolescents sur les risques d'nternet
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Cetta action a été menée en partenarait avec de nombreux acteurs du territoire. En amont du projet, ont été organisées des réunions pour la mise en place de l'action avec identification des difficultés des parents, de problématiques du territoire.
Après repérage des problématiques, le groupe a organisé collectivement l'action en apportant de idées et leurs connaissances.
La proposition du spectacle a été initiée par un acteur associatif du CIDFF qui connaisit la comédienne.
Le choix de ce support de comédie humouristique permet d'aborder des sujets de parentalité d'une manière plus ludique.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
charges: 8651 €
produits : Reeap 3000 €
contrat de ville: Agglomération de Chaumont :1000 € et CGET : 1000 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
14 parents
2 enfants
13 adolescents
10 professionnels
- Résultat sur le territoire
action favorisant la venue d'un public mixte car organisé dans les locaux de Canopé
- Résultat pour le centre social
ancrage du rôle fédérateur du centre socail car action menbée dans un cadre partenarial
réponse aux besoins des familles et sujet prégnant dans la société
- Résultat pour les habitants
renforcement des capacités éducatives des parents
education aux riques d'internet pour les familes (adolescents et parents)
facilitation des échanges entre parents et enfants
- Suite de l'action : Limites
dificultés à mobiliser de nombreux parents
- Suite de l'action : Perspectives
le centre social poursuit des actions parentmalité mais n'a pas souhaité conduire une action en 2018 sur cette thématique
Actions
Chantier d'Insertion Récupelido
- Structure organisatrice
- L'ESPELIDO - Vaucluse
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- Résumé
Le Centre Social Espelido développe depuis 2010, avec son chantier d'insertion Le Tournesol, un vrai savoir-faire en matière de collecte de déchets, de lutte contre les décharges illégales, de ramassage d'envols.
Placé sous la responsabilité technique de Laurent Crespin, directeur de l’Espelido, le Tournesol constitue une véritable entreprise qui génère un revenu de plus de 160 000 € en 2015.
L’équipe du Tournesol s’est lancée un nouveau défi avec l’élaboration d’un grand projet baptisé « Récupelido ».
Récupelido proposent des solutions sur mesure pour ses clients en matière de collecte sélective de papiers, cartons et déchets verts. L'objectif est d'augmenter la recyclabilité des produits en développant une économie circulaire. Les déchets sont valorisés au maximum, en créant des débouchés auprès de structures spécialisées. Lors de chaque intervention, les équipes s'occupent de toute la manutention, le transport, le traitement, la valorisation.
Avec le développement de ces activités, l'Espelido a expérimenté la création d'un marché local, a créé une complémentarité entre différents acteurs. Le marché de la récupération des papiers de bureau s'est ouvert pour l'Espelido avec la demande de partenaires (Conseil Départemental) et de clients (Ministère de la Justice, Direction des Finances Publiques).
D'où l'idée de proposer des prestations de collecte sélective, de recyclage de matières issues des activités tertiaires : des papiers « blancs » (papier imprimante, enveloppes…), des papiers, "couleurs" (magazine, brochures, annuaires…), du carton d'emballage. Un partenariat important s'est construit avec Nouvelle Attitude, une entreprise d'insertion et le Groupe La Poste, concrétisé le 7 décembre 2016 par la signature d'une convention Alliance Dynamique.
Tous les papiers triés sont recyclés. L'action permet de proposer un service simple, peu couteux, qui déploie une solution locale pour améliorer les performances environnementale de ses clients. L'action mobilise des salariés en insertion qui développent à la fois des compétences professionnelles et une formation à la protection de l'environnement, aux éco-gestes. Elle permet de créer une économie circulaire du papier : grâce à un procédé simple, la mobilisation de partenariats, la mutualisation de moyens, il est possible au final de récupérer les fibres qui composent le papier pour en faire une nouvelle matière première.
Parce qu’il est moins coûteux et plus efficace de transformer les vieux papiers à proximité de leurs lieux de collecte, la filière des papiers recyclés se construit localement, autour des centres de tri, des usines de recyclage et de transformation. Le chantier d'insertion Récupelido présente un caractère exemplaire dans le sens où il met en oeuvre une organisation simple pour une grande efficacité. Il permet l'embauche de salariés éloignés jusque-là de l'emploi à qui il transmet un engagement en faveur de l'environnement, des gestes éco-responsables, car il génère la mise en place d'une économie circulaire du papier. Le projet est transférable sur d'autres territoires.
Résumé du projet
Le projet s'appuie sur la création d'une structure d'insertion par l'activité économique (SIAE) sous forme de chantier d'insertion.
Les missions du chantier d'insertion Récupelido reposent sur :
La prise en charge d’un public spécifique prioritaire
Une activité ou un emploi support d’un parcours d’insertion dans le cadre d’un contrat de travail
Une organisation spécifique : la mise à l’emploi repose sur un accompagnement socioprofessionnel individualisé et de qualité ainsi qu’un encadrement technique adapté à l’activité ou l’emploi support de chaque salarié en insertion.
Description de l'activité :
Les activités du chantier s’organisent autour de trois axes :
- travaux réguliers avec des collectivités, d'autres SIAE
- travaux obtenus auprès de donneurs d’ordre privés (gré à gré, bons de commande, MAPA)
- travaux obtenus dans le cadre de marchés publics clausés (réponses directes ou sous traitantes)
De façon générale les travaux de récupération de papiers et cartons visent à :
- déployer des solutions locales pour organiser la récupération de déchets (gestion, collecte et traitement)
- conditionner le papier dans des bacs de transport (type CE30)
- préparer l'expédition du papier pour une destruction éventuelle, un tri et un recyclage.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les objectifs sont :
- de responsabiliser les habitants sur la gestion des déchets verts, de réduire le volume des déchets verts déposés dans les poubelles d'ordures ménagères (il est aberrant de brûler des déchets composés principalement d'eau)
- de proposer une solution à des habitants qui ne peuvent pas, ou plus, se rendre en déchetterie pour y déposer les déchets verts qu'ils produisent
- d'alimenter une économie circulaire visant à valoriser des déchets verts (paillage, compost, BRF)
- apporter des solutions locales au plan d'élimination des déchets, compléter l'offre de service de la collecte du Grand Avignon
- créer des emplois pour des bénéficiaires du RSA et demandeurs d'emploi de longue durée
- agir en faveur de démarches citoyennes et protectrice de l'environnement.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- un emploi d'encadrant technique crée directement (CDI 35 heures hebdo)
- un emploi de conseillère en insertion professionnelle (CDI 4 heures hebdo)
- six emplois en insertion crées directement (4.11 ETP par an) - Environ 13 personnes sur l'année
Le projet soutient directement l'activité d'une entreprise d'insertion (Nouvelle Attitude). Il permet le développement d'emplois indirects.
Le projet est supervisé par une responsable de service et par le directeur de l'association.
- Résultat sur le territoire
Prévention des déchets
- Eviter les déchets,
- Réduire leurs nocivités,
- Faire l’objet d’une valorisation en interne
L'action permet de proposer un service simple, peu couteux , qui déploie une solution locale pour améliorer les performances environnementale de ses clients. L'action mobilise des salariés en insertion qui développent à la fois des compétences professionnelles et une formation à la protection de l'environnement, aux éco-gestes. L'action permet de créer une économie circulaire : grâce à un procédé simple, la mobilisation de partenariats, la mutualisation de moyens, il est possible au final de récupérer des matières destinées à être un déchet pour en faire une nouvelle matière première.
Caractère exemplaire et novateur du projet
Parce qu’il est moins coûteux et plus efficace de transformer des matières (végétale, papier, carton) à proximité de leurs lieux de collecte, les filières se construisent localement, autour des centres de tri, des usines de recyclage et de transformation. Le chantier d'insertion Récupelido présente un caractère exemplaire dans le sens où il met en œuvre une organisation simple pour une grande efficacité. Il est exemplaire car il permet l'embauche de salariés éloignés jusque là de l'emploi à qui il transmet un engagement en faveur de l'environnement, des gestes éco-responsables, car il génère la mise en place d'une économie circulaire du papier. Le projet est transférable sur d'autres territoires.
- Résultat pour le centre social
Sensibilisation des adhérents, des salariés, des bénévoles, des habitants, au tri des déchets, à la prise en compte des recommandations enn faveurs de gestes qui protègent l'environnement.
- Résultat pour les habitants
Mise en place de nouvelles pratiques en matières de récupération des papiers et au delà, mise en place de réflexion en matière de recyclage. Le déchets est perçu pour beaucoup plus de personnes maintenant comme une ressource.
- Suite de l'action : Limites
La suite de l'action s'envisage à travers l'appropriation par les habitants de la gestion de leurs déchets : création de composteurs, de bacs de récupération (papier, plastique, verre, ...), de manière à proposer un recyclage sur place (jardins potagers, troc, échanges, revente, ...) ou une valorisation du déchets afin de le transformer en matière première.
La gestion des déchets, la récupération, le recyclage sont des sujets abordés par de grands groupes industriels. Le centre social est un tout petit acteur et nos actions ne peuvent se mesurer qu'à l'échelle du quartier. Sur un si petit territoire les indicateurs volumétriques (contenu des bennes à ordures, évolution de la nature des déchets dans les poubelles d'orudres ménagères) sont difficiles à obtenir.
- Suite de l'action : Perspectives
La perspective est de développer à l'échelle du quartier des pratiques comportementales individuelles incluant la valorisation ou le recyclage de ce qui était auparavant un déchet et l'envisager comme maintenant comme une ressource potentielle.
Actions
"listen to this sur le quartier"
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL LE PLANTY - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- Mixité sociale
- Résumé
1/Dans quel cadre les jeunes réaliseront-ils ce projet (Alsh, foyer de jeunes, centre social, Accueil jeunes….) ?
Les jeunes réaliseront ce projet dans le cadre de la Fête de quartier Favreau. Ils sont adhérents du pôle jeunesse du centre social du planty et sont suivis par l’équipe d’animation depuis plusieurs années.
2/Quelle est l’origine du projet ?
L’initiative « Listen To This » a vu le jour en 2014. Elle s’appuie sur un rapprochement entre l’association angevine L’R de Rien et un collectif d’artistes et d’animateurs socioculturels du département désireux de fédérer des jeunes autour de pratiques artistiques.
Chaque été, un collectif de jeunes du département participe à des ateliers pendant une semaine et se déplace chaque jour sur un nouveau pôle territorial afin de créer un spectacle présentant différentes disciplines (chant, danse, beat box, musique)
Chacune des résidences artistiques s’est achevée par une représentation (Angers en 2014 et 2015, Faye d’Anjou en 2016). Deux spectacles supplémentaires ont été proposés en 2015 et 2016 dans le cadre du festival Cité Métisse à Cholet et un autre à Vihiers pendant les fêtes de fin d’année en 2016.
Cette année, de nouveaux jeunes repartiront sur les routes du département du 24 au 28 juillet pour créer la 4ème édition de « Listen To This ». Mais avant cela, une partie du groupe constitué en 2016 se produira sur scène le samedi 17 juin à 15h pendant la Fête de quartier Favreau-Mauges.
C’est après la représentation de Vihiers, que les jeunes du centre social m’ont sollicité afin de les accompagner dans l’organisation d’un évènement dans le cadre de la fête de quartier. En effet, ils ont pris conscience que des jeunes de leur âge avaient pu organiser une manifestation de ce type et se sont dits qu’ils étaient eux aussi capables de créer un évènement festif à Cholet, en plein cœur du quartier prioritaire sur le quel est implanté le centre social du planty
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Autre
- Précision ( si autre )
un groupe de jeunes adherents au centre social Planty
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
9/Quelles sont les étapes de réalisation de votre projet ?
- Echanges avec les animateurs jeunesse
- Demande au niveau du Conseil d’Administration du centre social
- Sollicitation des artistes de l’association l’R de rien
- Sollicitation des animateurs et des jeunes des autres structures ayant participé à Listen to this 3
- Demande de mise à disposition d’une scène auprès de la ville de Cholet
- Réalisation d’un budget prévisionnel
- Réalisation du dossier de demande de subvention
- Présentation devant un jury le 7 juin 2017
- Création d’affiches et de flyers
- Sollicitation de la presse locale afin de réaliser un article
- Répétition avec les membres du groupe disponibles
10/Date de mise en œuvre prévue (date de réalisation du projet) :
Samedi 17 juin 2017
11/Nombre de jeunes porteurs du projet :
5 jeunes du centre social du Planty
12/Nombre de jeunes bénéficiaires de l’action :
Une quarantaine de jeunes de structures jeunesse du département en plus des jeunes du Planty :
- Centre Social de Saint Georges sur Loire
- Centre social des Coteaux du Layon – Thouarcé
- Centre Social espace Baugeois – Baugé
- Centre social de Montreuil Bellay
- Centre socio culturel Le coin de la rue – Vihiers
+ Tous les jeunes qui pourront assister à la représentation
- Public
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
1/Quel est votre projet ? (expliquez dans le détail ce que vous comptez faire)
Nous voulons organiser une représentation scénique dans le cadre de la fête de quartier Favreau avec les partenaires du projet Listen to this 3.
Nous voulons faire découvrir notre initiative à l’échelle locale et ainsi permettre aux personnes que nous connaissons d’assister au spectacle que nous avons créé.
Nous venons au centre social du Planty depuis plusieurs années et se produire sur scène au cœur du quartier Favreau est le meilleur moyen de faire découvrir ce que l’on est capable de faire, de transmettre ce que nous avons appris et peut-être donner envie à d’autres jeunes de faire comme nous.
Cela permettra de mettre de l’ambiance dans le quartier tout en faisant découvrir la culture urbaine à certaines personnes.
2/Comment est née cette idée ?
Nous voulons continuer à faire vivre l’aventure Listen to this en proposant aux habitants du quartier de découvrir une partie de nos réalisations.
A la suite de la représentation à Faye d’Anjou en juillet 2016, celle dans le cadre du Festival Cité Métisse à Cholet en novembre 2016, et celle de Vihiers en décembre 2016, nous avons voulu continuer sur notre lancée et nous produire en plein cœur du quartier.
C’est à l’initiative de jeunes comme nous que le spectacle de Vihiers a eu lieu et nous voulons montrer que nous aussi nous sommes capables d’organiser un évènement de ce type.
3/Quelles sont vos motivations ?
Nous voulons permettre à nos amis et à nos familles d’assister à ce spectacle. Nous voulons aussi montrer que les jeunes ne sont pas uniquement attirés par le rap et que de toute façon la culture hip hop est riche, complexe et variée.
C’est un moyen de modifier les représentations, les préjugés que peuvent ressentir certaines personnes à l’égard de jeunes comme nous et de ce à quoi nous nous intéressons.
4/Qu’est-ce que ce projet apportera au groupe ?
Cela permettra de renforcer les liens entre nous et également revoir les jeunes des autres structures qui ont créé ce spectacle avec nous.
Nous voulons également donner envie aux autres jeunes de nous rejoindre et c’est évènement est un bon moyen de faire de la communication sur la prochaine édition de Listen to this qui aura lieu du 24 au 28 juillet 2017.
an> taux de dépendance des familles aux prestations CAF ainsi que l’augmentation du nombre de bénéficiaires des minima sociaux illustrent une forte précarité sur le quartier.
Si l’on prend en compte les adhérents du pôle jeunesse, plus de 45 % des familles concernées ont un quotient familial inférieur à 500 euros, 60 % un quotient inférieur à 700 euros. Malheureusement, tous ces éléments peuvent avoir un impact négatif sur le comportement des publics jeunes accueillis.
Typologie des adhérents du pôle Jeunesse
Cette étude concerne 180 jeunes, 77 filles et 103 garçons. Notons que le nombre de jeunes filles qui fréquentent la structure est en constante augmentation sur les 3 dernières années.
Les jeunes que nous accueillons sont majoritairement issus de la zone de compétence du centre social (environ 75%) et plus particulièrement du quartier Favreau-Les Mauges. En effet, 46% de ces jeunes résident sur le quartier prioritaire, 60% si l’on prend en compte les rues qui bordent celui-ci.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Dépenses
Montant
Recettes
Montant
Achats
Alimentation
Services extérieurs
Prestations de services
Autres services extérieurs
Déplacements, transports
500
1 200
250
1 – Ressources propres
Autofinancement
-dont apport personnel
-dont recettes /ventes
-dont autres produits
-dont apports de l’association
100
250
2 - Subventions demandées
- Etat – Contrat de Ville
400
- Caf de Maine-et-Loire – Appel à projets jeunes
1 200
3- Autres financements
TOTAL DES DEPENSES
1 950
TOTAL DES RECETTES
1 950
Les charges de personnel de l’accompagnateur des jeunes ne sont pas à indiquer dans
le budget prévisionnel du projet.
Valorisations – à remplir avec l’adulte accompagnateur de votre projet
(mise à disposition de matériel, de salle….)
Valorisations municipales et autres
Montant
Temps d’accompagnement
Mise à disposition des locaux du CS Planty
13822
Mise à disposition d’une scène par la ville de Cholet
2175
Au regard du coût total du projet, le groupe de jeunes sollicite une subvention de : 1 200 €
Attention : Les factures que vous nous communiquerez devront être acquittées
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
12 jeunes du quartier
- Résultat sur le territoire
5/Qu’est-ce que ce projet apportera à votre quartier ou commune ?
C’est l’occasion d’organiser un évènement festif sur le quartier et de donner une bonne image des jeunes du centre social. Nous rendons ainsi le fruit de notre travail accessible à la population du quartier. C’est donc aussi un moyen de valoriser notre initiative.
- Résultat pour le centre social
Valorisation de l'accompagnement des jeunes autour de la démarche projetdéveloppment des liens avec les parents
- Résultat pour les habitants
Valorisation des jeunes par les habiants autour d'un projet très original
- Suite de l'action : Limites
Trouver des financements
- Suite de l'action : Perspectives
Volnté de travailler cette thematique surt l'année
Actions
FabLab Junior
- Structure organisatrice
- ODDAS (Office De Développement Associatif et Social) - Vendée
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Démocratie & citoyenneté
- développement durable
- Résumé
Le FabLab junior a débuté en juin 2016 avec l’arrivée de l’imprimante 3d montée par les adhérents de l’ODDAS (dont 2 jeunes). L’espace FabLab intégré dans la structure jeunesse permet aux jeunes de se réunir et de travailler sur des projets notamment grâce à du matériel numérique (imprimante 3d, Minicut 2d, Robotique, découpe vinyle, découpe laser).
Le projet se déroule dans la maison de quartier des Moulins-Liot durant les horaires d’ouvertures jeunesse, au départ que le mercredi après-midi puis, pour répondre à la demande, nous avons rajouté le temps du samedi après-midi pour favoriser la naissance de projets de jeunes.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- L’implication des jeunes dans la vie de l’association et dans leurs loisirs et la réalisation d’un projet collectif porté par eux.
- La dynamisation du partage de pratiques et de connaissances
- Sensibiliser aux emplois d’avenir liées aux usages du numérique
- Favoriser la création
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Les jeunes ont commencé par s’approprier le lieu grâce à l’impression d’objets de la vie courante comme des supports de téléphone. Ils ont petit à petit trouvé l’intérêt de créer leur propres modèle 3D (portes clés personnalisés). A partir de ce moment, ils ont commencé à développer plusieurs projets, soient personnels, soient collectifs. Ils ont ainsi pu créer des petites machines outils, assembler et programmer différents robots, monter un drone.
Le FabLab junior a aussi permis de créer plusieurs partenariats avec des structures éducatives du territoire. Ainsi à partir de la rentrée de 2016, tous les mercredis, la maison de quartier a accueilli alternativement les jeunes de la MFR de Puy-Sec et /ou ceux de l’IME des trois Moulins afin de découvrir ce qu’est un FabLab et de s’initier aux machines. Dans ce cadre, plusieurs projets ont rapidement pu voir le jour (montage de nouvelles machines, armoire à don, découverte de la programmation…).
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget Total : 10723€
Recette principale :
- DDCS 85 : 4500€
Charges principales :
Masse salariale : 5851€
Achat matériel: 3607€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Au total, 97 jeunes différents ont participé au FabLab junior en 2016. Il s’agit de jeunes adhérents à l’ODDAS et de jeunes venant de structures partenaires (IME des trois moulins, Collège Tiraqueau, MFR de Puy Sec)
- Résultat sur le territoire
Le FabLab junior a permis de créer une dynamique de partage entre jeunes et plus âgés à partir des savoirs faires et envies des jeunes leur permettant d'être acteurs de leurs loisirs. De plus, celui-ci étant au sein d’un centre social où sont présents toutes les générations, cette initiative favorise les interconnaissances et améliore beaucoup l’image des jeunes sur la ville.
- Résultat pour le centre social
Dans le centre social, le premier impact a concerné le volet intergénérationnel. Si l’action est initialement à destination des jeunes, beaucoup de bénévoles de l’ODDAS s’y sont intéressés et ont partagé leurs compétences avec les adolescents (menuiserie, construction, mécanique, programmation….).
D’ailleurs depuis novembre 2016, un projet autour d’un FabLab pour tous, porté par les habitants, a commencé à être mis en place.
Le FabLab junior, projet novateur sur notre territoire, a aussi apporté une reconnaissance du centre social et a entraîné de nouveaux partenariats notamment auprès de structures éducatives.
- Résultat pour les habitants
Un début d’action très prometteur. L’ouverture du lieu et la variété de projets envisageables ont favorisé l’implication des jeunes tant sur des projets individuels que collectifs.
- Suite de l'action : Limites
De nombreuses nouvelles structures nous contactent pour créer de nouveaux partenariats. Cependant, le suivi d’une telle action, malgré l’implication très significative de nos bénévoles, demande davantage de moyens humains salariés.
- Suite de l'action : Perspectives
Le FabLab junior a continué à fonctionner en 2017. L’ODDAS a fait l’acquisition de nouvelles machines ce qui a notamment permis de mettre en place un espace couture avec brodeuse numérique, machine à coudre et surjeteuse.
A l’avenir, l’ODDAS envisage de développer plus amplement l’implication des jeunes dans le lieu afin de favoriser leur autonomie. En 2017, ils ont déjà été porteurs d’un projet autour d’un Raspberry (ordinateur miniature) pour créer une borne d’arcade sur le retrogaming. Ils ont aussi pu fabriquer des lampes et un râtelier pour canne de billard pour la structure.
Actions
Do It Yourself
- Structure organisatrice
- Centre Social - Maison Pour Tous d'ABBEVILLE - Somme
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- éducation / scolarité
- Culture
- Résumé
Ouverte à tout public de tout niveau, la Fabrique Numérique se propose de lutter contre la fracture sociale en mettant en œuvre les conditions qui permettent aux habitants des quartiers prioritaires de bénéficier des ressources existantes.
Pour les jeunes gens, fréquenter la Fabrique Numérique c’est :
· Découvrir la robotique, expérimenter et créer des objets
· Acquérir des capacités (raisonnement, recherche et synthèse de l’information, attention, créativité, démarche expérimentale…) et des savoir être (assiduité, travail en groupe, respect de consignes, respect du matériel…) utiles au sein de l’école et dans la société qui les entoure (ultérieurement, au sein du monde du travail)
· Etre sensibilisés aux métiers des filières scientifiques et techniques dans le cadre de leur projet scolaire puis d’orientation professionnelle. Lutter contre le fatalisme
Pour les adultes et parents, fréquenter la Fabrique Numérique c’est :
· Mieux comprendre les TIC et les enjeux actuels
· Donc, mieux dialoguer avec leurs enfants, mieux suivre leur scolarité, mieux les guider dans leur orientation
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L’année écoulée montre qu’il existe un réel intérêt pour un tel dispositif de la part des jeunes (ou moins jeunes) et des acteurs locaux (des partenariats ont été menés avec le Musée Boucher de Perthes, des enseignants, des animateurs de quartiers…). Le stand « Fabrique numérique » installé au sein de la Fête de le Science 2016 a été très visité.
Sur le plan scolaire, l’activité proposée contribue à la démarche scientifique conforme aux programmes de l’éducation nationale dans un contexte où les sciences et techniques doivent être rendus accessibles au plus grand nombre, où les filières scientifiques et technologiques sont valorisées.
Ce projet s’inscrit également dans le cadre du projet « Sciences en culture » lancé par Ombelliscience Picardie en 2015 dans le cadre des Investissements d’Avenir et du dispositif « Picardie en Ligne 3D» (Conseil Régional Hauts de France).
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
· En amont : mobilisation des partenaires des quartiers, des jeunes, des parents, des écoles, des collèges, des lycées, des habitants
· Pendant l’action : assiduité et capacité à participer à un projet, une activité
· En aval, exploitation de l’action suivie (transfert d’acquisitions, valorisation des réalisations, ouverture vers les métiers scientifiques…)
- Au sein du Centre Social :
o Tous les mercredis après-midi, accueil d’une vingtaine de jeunes collégiens intéressés par l’électronique, la robotique, l’impression 3D et la programmation. Ils ont découvert les cartes Arduino et Raspberry Pi ainsi que les kits de robotique Mindstorm.
o Pendant les vacances scolaires, des ateliers thématiques ont permis d’approfondir ce qui a été abordé le mercredi: conception 3D avec Sketchup, impression 3D et robotique.
- En milieu scolaire
o Promotion des activités auprès des établissements scolaires et des personnels enseignants.
o Parallèlement, 8 séquences ont été programmées au sein de l’école Alain DETRE avec un conseiller pédagogique de l’Académie. Intervention auprès d’une classe de CM2 (23 élèves) encadrée par l'enseignante: robots programmables avec Scratch
Formation à destination des animateurs multimédias des Hauts de France
- Sur le territoire
o Au sein du Musée Boucher de Perthes (février - avril 2016), intervention autour du scan 3D et de l’impression 3D dans le cadre d’une exposition sur les figurines en terre cuite gallo-romaines trouvées localement. Ont été accueillis: des publics issus des quartiers, le Collectif Famille de la MPT, le Collège Ponthieu, l’ALSH Menchecourt…. (au total une centaine de personnes).
o Participation à l’opération Abbeville Plage (21 et 29 juillet): promotion des activités auprès des jeunes fréquentant les Maisons de Quartier
o Courant septembre, promotion des activités auprès de divers établissements: Lycée Boucher de Perthes, Lycée Saint-Pierre, Collège Ponthieu, Collège Millevoye, Musée d’Abbeville.
o Atelier “impression 3D” au CAJ de la Ville d’Abbeville avec 20 jeunes. Le résultat a été l’arrivée de nouveaux jeunes adhérents à la Fabrique Multimédia.
o Contribution à la mise en place d’un Village des Sciences à l’occasion de la Fête de la Science sur Abbeville, à l’initiative de la MPT. 600 personnes visiteurs à l’Espace Culturel Saint-André. La Fabrique multimedia y tenait un stand “numérisation et impression 3D”.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
40 000 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 animateur multimédia, 1 service civique, 1 pilote
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
L'outil numérique autour de la Fabrique Multimédia prend de l'essor. Les partenaires associatifs, éducatifs et institutionnels y sont de plus en plus intéressés. La fréquentation est en hausse intra muros et en dehors les murs.
- Résultat pour les habitants
Effets bénéfiques à l’apprentissage de la logique, des mathématiques et à l’éveil sur les sciences et techniques. Les enseignants encouragent leurs élèves à fréquenter la Fabrique Multimédia. Certains, à leur demande, ont été formés.
Nous observons un réel intérêt de la part des jeunes (et des adultes).
La Fabrique Multimédia est (et peut être davantage encore) un réel atout pour le territoire. Il nous faut, tous ensemble contribuer à son développement (matériel et ressources humaines), envisager des coopérations encore plus soutenues avec les quartiers, établissements scolaires et acteurs locaux, décentraliser, autant que possible et nécessaire, un certain nombre d’actions.
- Suite de l'action : Limites
Les limtes sont malheureusement financières et le projet essaie de structurer de même que la nouvelle Région, ce qui n'est pas toujours facilitant.
- Suite de l'action : Perspectives
Projet qui continue en 2017
Actions
LA CARAVANE DES POSSIBLES
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ET D 'INITIATIVES MUNICIPAL, LA MAISON DU CITOYEN - Orne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Action financée dans le cadre du contrat de ville 2017 mais qui a débuté en 2016
En lien diret avec un des axes esentiels d'orientation du projet social du centre pour 2017/2020 ; le centre social hors les murs
L'outil utilisé : une caravane rachetée à une association locale, transformée, relookée, personnalisée par les participants au projet, qui deviendra à la fois le déclic et le lieu de rencontre,le vecteur de communication et le rendez vous des possibles
Objectif du projet : sortir du centre social, aller au devant des habitants les plus isolés ou (et) ceux qui ne souhaitent pas adhérer à une organisation de centre mais ont néanmoins des choses à dire, à faire et à faire-valoir
Ecouter, entendre,comprendre et accompagner dans la mise en action sur les projets qui intéressent les habitants, sans clivage d'âges, de lieux de résidence, de culture
Proposer des animations artistiques, culturelles, de loisirs permettant la découverte, la compréhension et l'ouverture au monde : musique, danse, expression artistique : arts plastiques, cinéma, ateliers philo, théâtre d'impro, arts de rue ..
Impulser des curiosités, des initiatives, des envies de découvrir l'ailleurs, l'autrement ( visites d'autres villes et de leur organisation, les différences importantes d'une ville à l'autre, leurs richesses, leurs faiblesses, l'histoire d'une ville, le témoignage de personnes plus âgées, les histoires de vie ...)
Se poser ou il y a un passage, à la sortie des écoles, des collèges, lycées, dans un quartier, en centre ville, partout ou on peut être un levier qui permettra la rencontre
Susciter le questionnement, l'intérrogation puis l'intérêt pour créer le déclic qui créera l'envie de participer et D 'ALLER VERS LES POSSIBLES
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Création du projet en partenariat avec l'association CEMEA, basée dans le secteur Vallée d'Auge : septembre 2016
Observation, recueil des attentes, écoute, échanges réguliers avec les habitants, dans les rues, en pieds d'immeubles etc
Implication des habitants dans le recueil des attentes, échanges et relais entre eux
Organisation des demandes par secteurs et par thématiques
Mise en place de rencontres régulières avec les habitants, hors les murs
Lancement de l'action par l'installation et la remise en état de la caravane
Organisation d'une fête de quartier avec participation des habitants à l'origine de la demande, sur le secteur Vallée d'Auge
- Ressources financières mobilisées pour cette action
66200
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 à 5 professionnels
30 à 40bénévoles
- Résultat sur le territoire
Dynamique de territoire
Effet positif en terme de bien être et de valorisation des compétences
- Résultat pour le centre social
Centre social au plus près des besoins
Centre social dans son rôle d'initiateur, d'aide au développement de projets, de soutien à la prise d'inititaives
Centre social sans son organisation "d'institution" , hors les murs, plus proche des habitants
- Résultat pour les habitants
Valorisation des compétences
Travil sur l'estime de soi
Prise d'initiatives
Création d'un intérêt, d'une curiosité, d'une envie de faire autrement, de découvrir
- Suite de l'action : Limites
Difficultés du "hors les murs" en période hivernale: repli à trouver mais sans la formule institutionnelle
Ne pas basculer dans une forme de consommation de demandes et de production de projets qui n'apporteront rien en terme de prises d'initiatives des habitants par la suite
Etre limités par des bloquages politiques en terme de demandes, par ex, par rapport à l'environnement, la qualité de vie dans certaines zones de résidence etc..
- Suite de l'action : Perspectives
Développer l'action chaque année en impliquant davantage d'habitants et en les amenant à prendre de plus en plus d'inititaives pour être plus autonomes et créer leurs propres projets d'action
A moyen ou long terme, pouvoir les amener à créer leurs associations s'ils le souhaitent
Actions
Installation défibrilateur - formation aux gestes de premiers secours.
- Structure organisatrice
- Centre social municipal du Val Vert - Maison de quartier Germaine TILLION - Haute-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Santé
- Résumé
Après l’étude de la carte des défibrillateurs disponibles sur la commune du Puy-en-Velay nous constatons que l’appareil le plus proche du quartier est situé dans l’enceinte sportive du stade de football du Père Fayard. Cet appareil est éloigné de 1 kilomètre par rapport au centre du quartier du Val-Vert représenté par la Place Eugène Pebellier. La place Pebellier est un lieu de passage très fréquenté par les habitants et les personnes en voiture qui trouvent des commerces de proximité et des places de stationnement. C’est aussi sur la place Pebellier que l’on trouve l’Espace Coluche (salle polyvalente) qui accueille de nombreux publics. L’espace Coluche peut accueillir 200 personnes.
L'idée:
- Le projet équiper le quartier avec un défibrillateur ( et maintenir l'appareil en état de marche).
- Former la population aux gestes de premiers secours (diplômePSC1) qui comprend la formation aux fonctionnements du défibrillateur. (Proposer une formation à la population peut favoriser l’épanouissement personnel, la réussite personnelle et permettra certainement de favoriser les actes solidaires).
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Autre
- Précision ( si autre )
L'initiative a été impulsée par le centre social municipal qui à su écouter et prendre en compte la parole des habitants.
Le centre social a concerné les commerçants du quartier afin de trouver le meilleur emplacement et pour proposer les formations.
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Ce projet a été impulsé afin de proposer un service de plus à la population, aux commerçants et aux membres des associations. De plus ce projet permet de donner la possibilté à certaines personnes d'obtenir une nouvelle compétence.
Ce projet reste un levier ou un support pour travailler divers axes de notre projet social. Pour le public, la concrétisation et l'obtention du diplôme permet de travailler divers enjeux :
- Sensibiliser les habitants
- Travailler les valeurs citoyennes
- Contribuer à valoriser le quartier et les habitants.
- Permettre la construction de l'individu par la réussite et l'obtention d'un diplôme.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Le centre social a investi pour l'achat du défibrilateur. Un agent de la structure, après étude avec les commerçants, a installé l'appareil. Nous avons contacté des associations de formation et prévention des gestes de premiers secours. Après l'inauguartion de la mise en fonction de l'appareil nous avons lancé les formations:
- Une formation avec les jeunes de l'accompagnement scolaire et leurs parents
- Une formation pour le public qui participe à nos ateliers
- Une ouverte aux commercants et a l'ensemble de la population.
A ce jour, pour chaque évènemùentiel porté par la structure ou une assovciation du quartier ( fête de quartier, repas de quarrtier...) nous proposons une formation au public.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le buget total est de 3860 euros. Les salaires sont comptabilisés.
Nous avons bénéficier d'une remise sur l'achat de l'appareil suite à une commande groupée de la ville du Puy-en-Velay.
Une partie en nature est à valoriser, car l'ensemble des personnes ayant suivi ces formations ont apporté des mets à partager afin de réaliser des repas après chaque session.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- 4 agents centre social.
- 60 personnes formées.
- 2 associations pour donner les formations.
- Résultat sur le territoire
L'impact de cette action est mesurée, ce n'est pas un bouleversement à l'echelle du territoire mais certains habitants ont pu exprimer qu'ils se sentaient considérés et que le quartier était enfin équipé.
Les formations sont de plus en plus demandées.
- Résultat pour le centre social
Ce projet reste un support pour le travail social. Certaines personnes qui ont participé à nos formations sont entrées pour un besoin individuel et nous avons su les amener vers du collectif. D'autres personnes rencontrées sur les formations sont désormais accompagnées par les travailleurs sociaux de la structure pour répondre à d'autres problématiques.
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
Nous continuerons nos actions de formation pour former un maximum de personnes.
Une fois la demande epuisée nous nous contenterons de maintenir l'appareil en état de marche.
Ce projet va certainement nous permettre de travailler d'autres actions autour de la thématique "Santé".
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Le samedi des parents et des enfants
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL CONDORCET - Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
Le samedi des parents et des enfants
Objectifs de l’action :
- Valoriser les rôles et les compétences des parents
- Devenir parents ensemble dans une dynamique de groupe, se créer un réseau avec d'autres parents
- Favoriser les temps parents/enfants
- Permettre la participation et l'implication des parents dans les temps de l'enfant
- Offrir un espace d'écoute et d'échange entre parents
- Permettre l'accessibilité de ces temps à tousCe projet consiste à mettre en place des demi-journées familiales le samedi (12 demi-journées dans
l'année : une par mois cela dans le but de créer une dynamique et que cette action soit reconnue par nos
adhérents).
Le samedi des parents et des enfants est une action accessible à tous mise en place au centre social
Condorcet. Cette action est le samedi pour permettre aux personnes en emploi, en formation, au chômage, ou ne
travaillant pas de pouvoir y participer pleinement. Nous avions constaté que la mise en place de ces actions en
veillée ne fonctionnait pas car cela engendrait trop de contrainte pour les parents.
Pendant l'intervention auprès des parents, les enfants sont pris en charge par un salarié.
Le samedi des parents et des enfants se déroule de la façon suivante :
- Les parents participent à un temps d'échange avec un intervenant, d'une courte durée 1 heure environ,
autour d'une thématique comme le sommeil, l'alimentation, la prévention des écrans, le développement de
l'enfant, les relations intrafamiliales
- En parallèle les enfants ou jeunes sont pris en charge par un salarié et effectuent des activités ludiques
en lien avec la thématique
- La matinée se termine par un temps de partage parent/enfant permettant de resserrer le lien parentenfant
et de rendre compte mutuellement des découvertes faites auparavant.
Nous sommes dans une démarche participative, les familles participent dans le choix des thématiques. Le
samedi des parents et des enfants ne pourrait pas fonctionner si les familles n'étaient pas actrices lors de
l'intervention : partage de leur expérience, échanges, retours.
Exemples :
- Intervention d'une psychomotricienne sur le développement du corps de l'enfant auprès des parents et
des enfants en utilisant différents jeux pouvant être refaits facilement à la maison.
- Intervention d'une médiatrice familiale auprès de parents pour échanger ensemble sur la relation
parents-adolescent ; en parallèle les adolescentes échangent de leur côté et nous finalisons sur une rencontre
autour de jeux, d'un moment de partage parent-adolescent
- Intervention de la Ligue de l'Enseignement autour de la gestion des écrans auprès des parents et auprès
des ados
- Intervention d'orthophoniste auprès de parents avec des enfants de 3 6 ans autour de la thématique du
langage, nous proposerons un atelier conte aux enfants en même temps.
- Intervention d'un psychologue autour de la question « mon enfant refuse de manger ? Que puis-je faire ?
- Atelier cuisine auprès des parents avec notre cuisinière, nous proposons une recette simple et nous
l'adaptons en fonction des tranches d'âge des enfants, en parallèle les enfants effectuent une activité (découverte
des légumes et fruits de saison : activité que le salarié adapte selon l'âge des enfants)
- Intervention d'une comédienne d'In Pulse Creation auprès des parents et des ados autour de la relation
parent-ados (conflits, communication) : parents et ados participent ensemble à des jeux de rôle, à des mises en
situation de la vie réelle
L'action répond à un besoin identifié collectivement dans le diagnostic du territoire et découle de notre
projet social. C'est le choix du centre social de proposer cette action en plus des actions que nous menons autour
de la parentalité (sorties familiales, groupe de parents du jeudi, séjours familiaux accompagnés).
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Précision ( si autre )
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- ouvrir les actions parentalité et famille au plus grand nombre . Donc réalisation de ce temps le samedi afin que les personnes en emploi, au chômage ou en formation puissent y accéder.
résultats attendus :
des familles ayant des réalités de vie différentes puissent se rencontrer, échanger.
temps entre parents et enfants le week end
créer une dynamque dans le quartier le samedi
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
5 000 euros
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 professionnels dont 2 conseillères ESF
intervenants
- Résultat sur le territoire
temps très appréciés des familles
de nombreux échanges ont pu avoir lieu entre parents et leurs adolescents à cette occcasion (temps plus détrendues qu'en semaine)
des familles différentes se rencontrent
présence de pères lors de ces temps
- Résultat pour le centre social
dynamique sur le centre social le samedi car nous avons égalment une ludothèque qui fonctionne le samedi ap midi
ouverture du centre social aux femmes ou hommes qui ont repris un emploi ou sont entrés en formation
pour les parents déjà connus du centre social : pas de rupture dans l'accompagnement de ces familles à partir du moment où ils sont entrés en formation ou au travail
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
financEments politique de la ville aléatoires
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Fête du CLAS "Sur le chemin de Saint Exupéry"
- Structure organisatrice
- Centre Social SAINT EXUPERY - Lot-et-Garonne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Résumé
Le centre social Saint Exupéry accueille chaque année, environ une centaine d'enfants, primaires et collégiens, dans le cadre du Contrat Local d'Accompagnement à la Scolarité. A travers la promotion d'un soutien à la scolarité et d'une accessibilité à des activités socio-éducatives (sportives, culturelles, etc), c'est la réussite scolaire qui au cœur de ce dispositif. En juin 2016, à l'occasion du "Mois des familles en Lot-Et-Garonne", le centre social a organisé la première "Fête du CLAS". Cet évènement est né d'une volonté commune et partagée (élus, équipe du centre social, partenaires et parents) de valoriser le contenu éducatif réalisé tout au long de l’année scolaire en favorisant la participation des parents. Dans une dynamique participative, l’ensemble des acteurs se sont mobilisés pour créer, préparer et organiser cet évènement. Elus, parents et associations représentatives, équipe du centre social, établissements scolaires, partenaires socio-éducatifs, acteurs de la parentalité et accompagnateurs du CLAS, ont collaboré pour faire de la Fête du CLAS, un évènement convivial et familial. Au total près de 40 familles, dont les enfants sont inscrits au CLAS, se sont impliquées dans l’organisation de cet évènement, et 115 personnes (adultes et enfants) sont venues profiter en famille des animations proposées tout au long de cette journée. Au programme : divers ateliers co-animés par les parents, les accompagnateurs et les partenaires (origami, calligraphie, jeu de piste, danse, jeux surdimensionnés, théâtre, etc), une émission de radio en direct, etc. Un temps plus festif a clôturé cette première édition de la Fête du CLAS avec un spectacle d’art de rue familial suivi d’une auberge espagnole. La seconde édition de la Fête du CLAS est en cours de préparation pour 2017.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
L'ensemble des partenaires du CLAS (insitutionnels, socio-éducatifs, etc) et les parents dont les enfants bénéficient du CLAS ont été convié à une première réunion de présentation du projet. Suite à ce premier temps de rencontre et d'échange, quatre autres réunions se sont succédé afin de définir le programme et les missions de chacun (dans la préparation de l'évènement mais aussi le jour J). Une salariée du centre social a été désignée coordinatrice de l'évènement.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Création d'une exposition sur le thème du climat scolaire afin d'ouvrir les espaces d'expression entre parents-enseignants-enfants et partenaires.
- Structure organisatrice
- ASSOC. MONTARGOISE D'ANIMATION - Loiret
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Résumé
Construction entre un groupe de parents, l'Education Nationale et 3 écoles d'une exposition autour du thème du climat scolaire.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le GERPAM (Groupe de Réflexion de Parents de l'Agglomération Montargoise), soutenu par le centre social, a mené un travail de recherche de décembre 2012 à décembre 2014 sur le thème de la réussite scolaire. Cette recherche, encadrée par une anthropologue, s'est cloturée par un colloque et l'édition d'un livre "la réussite scolaire de nos enfants, parlons-en ! (détails de ce projet dans une autre fiche action). Du colloque est ressorti la difficulté pour les familles et les professsionnels de l'Education Nationale de se retrouver sur un pied d'égalité et de trouver conjointement des solutions dans l'intérêt de l'enfant. Dans un premier temps, nous avons essayé de mettre en place des rencontres parents-enseignants afin que chacun echange sur ses attentes mais la difficulté pour mobiliser nous a fait rebondir sur un autre projet. Puisque le public concerné ne vient pas à nous, le projet a donc été de créer une exposition qui pourrait circuler dans les écoles, les lieux publics afin d'ouvrir les espaces d'expression et d'échanges entre les parents, les enseignants, les enfants et les partenaires. et ainsi dégager des pistes de réflexion communes pour améliorer la vie scolaire au quotidien.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Il nous a semblé essentiel de travailler ce projet avec l'Education Nationale. Nous avons donc présenté ce projet à l'inspecteur Montargis Ouest. Nous avons été soutenu dans cettte démarche par le directeur de l'école proche du centre social, également coordinateur REP. L'inspecteur a été intéressé par l'idée. Une exposition a donc été créée conjointement par les membres du GERPAM et les 3 écoles du quartier en partant de différentes situations liées au climat scolaire. 9 panneaux ont été réalisés. Chacun aborde une situation qui a été mise en scène par les enfants et photografiée et qui est complétée par 3 points: "les enjeux", "des questions pour réfléchir" et "comment agir ensemble".
- Ressources financières mobilisées pour cette action
5000 € dont une bonne partie pour la confection des supports de l'expo.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 classes de CM2 + enseignants + 5 personnes du GERPAM
- Résultat sur le territoire
Mettre en évidence différents questionnements liés à l'école et faire réfléchir les personnes concernées autour de ces sujets afin de faire évoluer les perceptions voire améliorer la vie scolaire au quotidien.
- Résultat pour le centre social
Etablir un partenariat avec l'Education Nationale à partir d'un intérêt commun.
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Depuis janvier 2017, 2 supports circulent, entre chaque vacance, dans les écoles de REP de l'Agglomération Montargoise. L'exposition est utilisée de différentes façons par les écoles, elle est utilisée au moins par les enseignants qui abordent les différents sujets avec les élèves. Cet outil a également pour intérêt de lancer des CAFES DES PARENTS, initiatives soutenues par les inspecteurs, lancés par le coordinateur REP dans son école et auxquels l'AMA-GERPAM a participé. Un troisième support, sous forme de roll-up, est destiné aux autres lieux (collèges, médiathèques, associations, Espace Multi-Services de l'AME,...).
Actions
De Génération à Génération
- Structure organisatrice
- CSC Rébérioux - Val-de-Marne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Résumé
Notre association poursuit son travail sur la transmission culturelle entre les générations (ou de la rupture de cette transmission) au sein de la cellule familiale, du groupe culturel d’appartenance, mais également à l’extérieur, entre des individus à priori plus éloignés. Nous développons notre projet au travers de portraits, d’entretiens d’habitants, d’expositions, de débats, de temps festifs, avec une attention particulière pour la jeunesse.
Le projet « De génération à génération » se déroulera en 2016, comme les années précédentes, parallèlement à des manifestations cinématographiques, pour être enrichi par les projections de films internationaux et les rencontres qu’elles proposent.
Cette année 2016, à l’occasion du Festival International de Films de Femmes, nous travaillerons sur la transmission d’une génération à l’autre de la relation à la musique, en faisant écho au 50 ans de l’association et en créant une passerelle avec Escale consacré cette année aux cultures créoles. Le thème de Génération à Génération permettra d’aborder la construction d’une culture musicale tout au long de la vie au travers de la transmission des parents, du partage au sein d’une même génération et, plus tard, de ses propres découvertes individuelles. La musique contribue à la construction identitaire et à l’émancipation individuelle et collective. La place de la musique est importante dans l’histoire des MJC et notre association a permis et permet à de nombreux Cristoliens de découvrir une pratique et d’aller à la rencontre de divers univers musicaux. Ce thème est également porteur pour une implication de la jeunesse.
Et parallèlement à l’œil vers consacré a priori à la Chine, nous aborderons la transmission de la culture chinoise. Dans ce pays contradictoire se posent d’immenses problèmes sociétaux et humains : mutations économiques, migrations intérieures et déplacements des populations, aménagement du territoire et environnement, droits de l’Homme et droits sociaux, aspirations à la démocratie et à la liberté d’expression, vieillissement de la population, droits des femmes… Ce territoire immense et méconnu génère aussi un mouvement d’émigration important, notamment vers la France et en particulier la région parisienne où désormais les générations originaires de Chine se succèdent. Nous voudrions aller à leur rencontre. La culture chinoise accordant une grande importance à la transmission familiale, on connait en France également de nombreuses populations sino-cambodgiennes ou sino-vietnamiennes qui se raccrochent encore à la Chine par la langue et les traditions.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Favoriser une plus grande conscientisation et lisibilite pour les cristoliens des transmissions culturelles au sein des familles
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Comme précisé précédemment, l’association, au travers du projet « Musiques, de génération à génération », souhaite favoriser les échanges sur la transmission musicale et alimenter les réflexions sur le rôle de la musique dans la construction identitaire individuelle et collective.
Les étapes de réalisation pour « Musiques de génération à génération »
Nous aborderons les thèmes de multiples manières : musiques transmises par les parents, par une génération, par l’école, les associations, les rencontres fortuites,…
La programmation du Festival International de Films de Femmes, présente également dans notre association nous permettra de provoquer une distanciation par rapport au sujet et des débats.
Nous serons très attentifs au fait de toucher et d'impliquer des publics enfants, adolescents et jeunes adultes par le biais des partenaires éducatifs et sociaux et par des relations que nous développerons lors de la préparation du projet. Le thème, la musique, peut renforcer l’intérêt de ses publics. Nous impliquerons également en particulier les familles du quartier de la Habette.
- Constitution d'une réunion de concertation pour la préparation de l'évènement pour dégager les axes des thèmes à aborder.
Nous sollicitons auprès de notre équipe composée de professionnels et de bénévoles, administrateurs de la MJC, des partenaires et des adhérents pour préparer les thèmes à aborder et les animations à mettre en place.
- Recherche d’habitants acceptant de participer aux entretiens
Nous réaliserons des entretiens audio d’habitants qui partageront la construction de leur culture musicale transmise par différents biais ainsi que des portraits permettant une présentation sous forme d’exposition et la poursuite de cet archivage depuis 2011.
- Recherche d'expositions artistiques et pédagogiques, récolte d'objets ou de documents personnels sur la ville évoquant le sujet, implication des espaces verts et des adhérents des accompagnements à la scolarité
Nous mettrons en place à la MJC Mont Mesly, au CSC Rebérioux et sur le local de la Habette, des expositions artistiques et pédagogiques. Nous travaillerons également avec les Espaces verts de la Ville de Créteil et nous ferons appel aux habitants et associations pour composer une ambiance générale. Les participants des accompagnements à la scolarité que nous gérons sur le CSC Madeleine Rebérioux et la Habette, ainsi que les adhérents des activités d’arts plastiques participeront aux travers de réalisations manuelles et de dessins.
La Médiathèque Nelson Mandela fera un écho au projet par la valorisation de la culture musicale dans ses murs au travers de points d’écoute avec des morceaux choisis des 50 dernières années. Nous bénéficierons également dans nos murs de points d’écoute semblables.
- Recherche d'un partenaire pour le Duplex
Nous rechercherons un partenaire le plus pertinent possible pour l’animation d’un débat en duplex sur le CSC Madeleine Rebérioux et nous permettant d’être en relation directe avec des jeunes en province ou à l’étranger sur des expériences liées à des pratiques musicales intergénérationnelles. Ce débat en lien avec un autre territoire permettra des échanges de points de vue sur le sujet. La musique peut rassembler ou diviser les générations. Nous pourrions aborder lors d’un débat à distance, la dimension rassembleuse de la musique dans certaines cultures (ex : Antilles, Bretagne,…).
- Organisation de temps forts, d’actions de sensibilisation et d’animations
Parallèlement au Festival International du Films de Femmes, nous organiserons des actions d’animation et festives avec les associations et les partenaires.
Un débat (thème affiné lors de la réunion de concertation pour la préparation du projet) sera mené avec l’apport des témoignages des familles et en direct avec une structure partenaire d’une autre région ou à l’étranger.
Des interventions seront programmées lors de l’accompagnement à la scolarité que nous pilotons sur le quartier de la Habette pour des CM1 et CM2 et sur le CSC pour des 6ème et 5ème. Les enfants seront impliqués pour le temps fort avec un atelier en amont conduit par un slameur. Ils travailleront en lien avec les adhérents des activités musicales.
Des interventions « surprises » ludiques seront organisées les mercredis et samedis pour les familles présentes dans les murs au Mont Mesly, à Rebérioux et à la Habette ou sur d’autres équipements nous sollicitant.
Nous réaliserons un croisement de thème avec le projet Escale tourné cette année vers les mondes créoles, co-animé par le conservatoire et la Maison de la solidarité. A cette occasion, nous aborderons la transmission de la musique créole. Nous proposerons une action d’initiation musicale en partenariat avec le conservatoire de Limeil Brevannes.
Nous impliquerons les activités de la MJC en relayant leurs propositions lors de la manifestation. Plusieurs intervenants d’activité nous ont déjà fait part de leur souhait de faire participer leurs adhérents des activités suivantes : guitare, éveil musical, théâtre et conte, jam session, …
Nous avons envisagé d’ores et déjà un partenariat avec Créteil en scène, en inscrivant une soirée dans le cadre du projet Musiques de génération à génération.
Enfin, nous proposerons des interventions pour présenter le projet et poser des débats autour de la pratique musicale lors des cafés des parents sur les collèges.
- Organisation de visites guidées des expositions
Nous proposerons des visites des expositions favorisant les échanges intergénérationnels lorsque ce sera possible : en direction des écoles, des adhérents, des centres de loisirs,…
- Organisation de lecture avec les médiathèques et mise en valeur d’une bibliographie avec consultation d’ouvrages sur place
Nous impliquerons les Médiathèques de la Plaine Centrale en amont du projet avec prêt d’ouvrages sur la musique pour l’organisation de lectures pendant la manifestation.
- à postériori du projet: conservation des projets et recherche de formes et supports de diffusion
Nous rechercherons des formes et supports de diffusion (Quat' pages, Vivre ensemble, site internet, autres...) permettant de faire vivre la récolte de matières effectuée pendant le projet
- Ressources financières mobilisées pour cette action
64500 euros
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
13 permanents (direction, animation, technique, communication) sur un total de 2200 h environ (1ETP salariés et 0.36 ETP sous-traitance ou mis à disposition).
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
Favoriser une plus grande conscientisation et lisibilite pour les cristoliens des transmissions culturelles au sein des familles
Réalisation d’entretiens, de portraits de différentes générations dans une même famille et les faire largement partager pour susciter le débat
Impliquer la jeunesse et développer des partenariats pour aborder ces questions de transmissions culturelles dans des familles d’autres régions du monde - voir projet « Lutte contre la fracture numérique »-
Organiser des expositions, des animations, des temps d’échanges, de débats, de temps festifs et conviviaux
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Atelier français à visée professionnelle
- Structure organisatrice
- MICHEL CATONNE - BOISSY - Val-de-Marne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- alphabétisation & apprentissage du français
- Résumé
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Parmi les ateliers de Français existant sur le Centre social, les usagers ont sollicité l'équipe pour orienter un atelier français vers des enjeux de recherche d'emploi.
La séance à lieu tous les mardi matin de 9h30 à 11h30 en dehors des vacances scolaire.
Les contenus permettre de travailler sur la rédaction du CV et de la lettre de motivation ainsi que sur l'entrainement à l'entretien d'embauche.
Il s'agit également de faire découvrir les ressources du territoire ( Médiathèque, PIG, Mission locale, Forum emploi...) ainsi que l'intervention d'organismes pouvant recruter sur le territoire ou assurer des formations complémentaires.
Cette action s'inscrit dans notre projet dans le cadre de l'accès aux droits et à l'emploi.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
C'est la référente famille chargée de la coordination des ateliers de Français qui encadre celui-ci.
L'action a été lancée en 2015 afin de répondre à des demandes d'usager ou d'habitants résidants en France depuis plus de 5 ans.
L'atelier se déroule à l'année pour une douzaine de personnes et s'appui sur les échanges et les attentes des usagers et sur les différentes resources du territoire ou dse prestataires extérieurs (menée d'entretien). Les contenus sont évolutifs et correspondent aux rythmes d'acquisition des usagers.
Depuis l'année dernière, un projet de mise en place de postes informatiques devrait aboutir cette année.
IL doit permettre un meilleur accès aux tutoriels et faciliter l'environnemernt informatique afin d'en comprendre les modalités d'utilisation, d'accèder aux documents téléchargeables et de pratiquer le plus régulièrement possible.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
La commune et l'Etat financent cette action.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Une douzaine d'usagers et la Référente familles
- Résultat sur le territoire
Certaines personnes (re)trouvent un emploi ou une formation.
D'autres sont en recherchent plus active car elles se sentent plus rassurées et plus outillées.
- Résultat pour le centre social
Le Centre social est bien repéré comme étant l'acteur le plus adapté pour proposer des actions linguistiques en dehors même de la collectivité.
Les habitants saluent cette initiative.
- Résultat pour les habitants
Retrouver une confiance en soi;
Favoriser une méthodologie de recherche d'emploi;
Leur fournir le plus d'outils possible afin de faciliter leur autonomie et leur intégration dans le domaine de l'emploi.
- Suite de l'action : Limites
Cette atelier doit se poursuivre d'une année à l'autre.
Les acquisitions sont lentes à être maitrisées.
Les publics ne sont pas forcément assidus du fait des contraintes du quotidien.
- Suite de l'action : Perspectives
Recours plus régulier et plus intense à l'informatique, développer des liens avec les ateliers informatiques de la médiathèque.
Actions
Education aux médias
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL HORIZON - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
- Eduquer les jeunes aux différents médias
- Développer l'esprit critique des jeunes
- Valoriser les savoirs des jeunes et les investir dans de la création, susciter des envies, des vocations
- Favoriser le vivre ensemble et la socialisation
- Favoriser l'insertion sociale des jeunesFormer les « cybercitoyens » et des lecteurs actifs, éclairés et responsables de demain
Permettre la compréhension et l'usage autonome des médias par les jeunes qui sont à la fois lecteurs, producteurs et diffuseurs de contenus.
La curiosité des jeunes à approfondir leurs connaissances concernant cette thématique.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les adolescents utilisent les médias dans la vie de tous les jours. S'en servent pour communiquer et valoriser certaines de leurs pratiques. Ils ne se rendent pas toujours compte des conséquences que ça peut entraîner. Le but de cette action est de faire découvrir au public l'ensemble des médias qui existent avec l'aide d'acteurs du secteur (ordinateurs, magazines, téléphone, internet, vidéo, musique, TV...). Qu'ils puissent en découvrir le processus de création (visites, rencontres de professionnels, de magazines, films...). Puis qu'à base d'ateliers ils se les approprient et participent à l'idée de créations collectives. L'utilisation de différentes formes de médias sera propice à ce que le public se questionne sur son territoire de vie, sur le public qu'ils y côtoie, sur les aspects positifs et négatifs de ce secteur. Les supports médias seront utilisés pour réaliser un "reportage" sur le quartier accompagné d'intervenants professionnels.
Des soirées débats pourront être mises en place avec la présence de réalisateur, auteurs, comédiens ayant utilisés des médias pour créer une oeuvre (films, Bande Dessinées, webseries, pocket film...). L'action s'adresse avant tout aux jeunes, mais des événements seront ouverts à tout public afin de proposer des animations culturelles sur le secteur. Un événement final ponctuera cette année avec la valorisation des réalisations du public.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Tout au long de l'année, les sorties et autres animations proposées par le secteur jeunesse ont été propices à échanger autour du thème des médias. Le fait d'avoir une page sur Facebook pour promouvoir nos actions auprès de notre public, mais aussi aux autres publics disponibles sur ce réseau social nous facilite la tâche.
Je vous propose de vous donner une liste non exhaustive des actions liés à différents médias que nous avons mis en place cette année.
Radio
Cinéma
Jeux vidéos
Musique
Presse
Visite des radios « Prun » et « Sun FM » avec une participation à une émission de radio en direct.
Lancement et lien avec l'association1.COM1
Visite du parc du puy du fou pour découvrir les métiers des arts du spectacle, que l'on trouve dans les films (cascadeurs, comédiens...)
Soirée film cuisine (Asie et Italie)
Visite de l'exposition « Ultima » au lieu unique (Nantes) autour de l'histoire des jeux vidéos
Soirée rétrogaming intergénérationnelle pour découvrir les origines des jeux actuels.
Festival international du jeu de Parthenay.
Rencontre d'artistes et participation à des temps sur des festivals (Hip Opsession, Cité Métisse, festival de Poupet...)
Avec les différents événements qui se sont déroulés sur l'année 2015, il nous a parût utile de proposer aux jeunes d'échanger sur leur ressenti et de leur mettre à disposition divers supports adaptés pour favoriser leur compréhension de l'actualité.
Deux membres de l'équipe du secteur jeunesse (1 permanent et 1 vacataire) ainsi que l'animatrice de l'association 1.COM1 ont participé à une formation organisée en lien avec Passeurs d'images et la DDCS à Angers. La formation « Filmer le réel » a lancé une dynamique sur le secteur à savoir d'aller avec des jeunes à la rencontre des habitants, leur proposer de les prendre en photos et y joindre leur expression autour du thème du vivre ensemble. Ces productions devraient être valorisées lors de l'Assemblée Générale du Centre Social.
La photographie aussi a été utilisée sur l'année autour d'un projet photo sur le quartier pendant lequel les jeunes allaient à la rencontre des habitants et leur demandaient ce qu'ils pensaient du territoire sur lequel ils vivaient. Ces rencontres leur ont permis de voir la diversité des habitants du quartier.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
CHARGES
Prévision
Réalisation
%
PRODUITS
Prévision
Réalisation
%
Charges directes affectées à l’action
Ressources directes affectées à l’action
60 - Achat
1600
879,00 €
70 – Vente de produits finis, prestations de services,
marchandises
600 €
12 €
Prestations de services
800 €
279 €
Achats matières et fournitures
600 €
408 €
74- Subventions d’exploitation1
5 500 €
2 250 €
Autres fournitures
200 €
192 €
Etat : (précisez le(s) ministère(s) sollicité(s)
5 000 €
61 - Services extérieurs
- CUCS
Locations immobilières et immobilières
- FIPD
Entretien et réparation
Région(s) :
Assurance
-
Documentation
Département(s) :
Divers
62 - Autres services extérieurs
2 900 €
1 209 €
Rémunérations intermédiaires et honoraires
2 400 €
700 €
Intercommunalité (s) : EPCI4
Publicité, publication
Commune(s) :
Déplacements, missions
500 €
509 €
- CAC CUCS
2 250 €
Services bancaires, autres
- CAC Hors CUCS
63 - Impôts et taxes
100 €
- Organismes sociaux (détailler)
Impôts et taxes sur rémunération
100 €
Autres impôts et taxes
64- Charges de personnel
4000
4 101,00 €
L’agence de services et de paiement (ex CNASEA, emploi aidés)
500 €
(Rémunération des personnels,
3 200 €
3 165 €
Autres établissements publics
Charges sociales,
800 €
936 €
Autres privées
Autres charges de personnel)
-
65- Autres charges de gestion courante
75 - Autres produits de gestion courante
4 220 €
5 165 €
66- Charges financières
Dont cotisations, dons manuels ou legs
67- Charges exceptionnelles
76 - Produits financiers
68- Dotation aux amortissements
78 - Reports ressources non utilisées d’opérations antérieures
Charges fixes de fonctionnement
1 720 €
1 238 €
Frais financiers
Autres
Total des charges
10 320 €
7 427 €
Total des produits
10 320 €
7 427 €
86- Emplois des contributions volontaires en nature
87 - Contributions volontaires en nature
Secours en nature
Bénévolat
1 500 €
Mise à disposition gratuite de biens et prestations
Prestations en nature
Personnel bénévole
1 500 €
Dons en nature
TOTAL
10 320 €
8 927 €
TOTAL
10 320 €
8 927 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Hommes
Femmes
Total
11-14 ans
15
10
25
15-17 ans
20
15
35
+ de 17ans
6
4
10
Total
41
29
70
- Résultat sur le territoire
- Favoriser le vivre ensemble et la socialisation
Les temps intergénérationnels et les divers événements auxquels les jeunes ont participé ont favorisé le vivre ensemble et la socialisation. Les jeunes sont sortis de leur quartier ont rencontré d'autres jeunes, des plus âgés, des professionnels du secteur. Avec le projet photo sur le quartier, ils sont allés au devant des habitants et n'ont pas hésiter à s'exprimer devant les autres.
- Favoriser l'insertion sociale des jeunes
En s'appropriant les médias, les jeunes ont réalisé à quel point la première impression que l'on donne est la plus importante. Depuis on se rend compte qu'ils soignent leur image, y compris celle qu'ils diffusent sur les réseau sociaux.
- Résultat pour le centre social
- Éduquer les jeunes aux différents médias
Les différentes sorties et animations que l'on a pu proposer ont toutes favorisées les échanges entre l'équipe d'animation et le public concernant leur pratique autour des médias. Les jeunes s'y sont livrés et étaient à l'écoute des conseils que l'on a pu leur donner (une vidéo de jeunes a été envoyé à un site Internet Spi0n.com, qui propose un zapping du pire et meilleur du web !).
- Développer l'esprit critique des jeunes
Les différents échanges que nous avons pu avoir avec le public autour des tragiques événements du début et de la fin d'année leur a permis de prendre du recul sur le trop plein d'informations auquel ils ont été soumis. Les jeunes ont réalisé que la réalité c'est eux qui la vive au quotidien, que les médias n'en montrent qu'une partie. Les rencontres avec les habitants du quartier lors du projet photo, leur ont ouvert les yeux sur les réalités de certains de leurs voisins (mixité culturelle, sociale et générationnelle, qui constituent une richesse sur notre territoire).
- Valoriser les savoirs des jeunes et les investir dans de la création, susciter des envies, des vocations
Nous avons favoriser ces savoirs et cette création en encourageant notre public a participer aux ateliers vidéo de l'association 1.COM1. Sur les 12 jeunes qui ont participé à cette aventure, 8 viennent du Centre Social Horizon.
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Les jeunes ne s'écarteront pas des médias du jour au lendemain. Ils vivent souvent accrochés à leur téléphone portable mais en connaissent-ils toutes les fonctions ? L'association 1.COM1 s'est saisie des propositions de concours qu'on lui a donné et a gagné un prix sur l'un d'entre eux autour des discriminations. De nombreux jeunes que nous côtoyons y participent, il paraît important que nous travaillions ensemble autour de projets communs. Pour 2016, nous avons fait le choix de proposer diverses actions communes pour favoriser la mixité des publics et légitimer la place de cette association dans son travail autour du cinéma. Un projet autour du cinéma va donc voir le jour ainsi qu'un séjour à thème pour des jeunes de moins de 15 ans. Nous allons aussi nous emparer de la dynamique qui s'organisait sur un événement autour des jeux vidéos (annulés) pour proposer quelque chose sur notre territoire.
Actions
Comme au Resto
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL LA FABRIQUE PRE FLEURI - Seine-Maritime
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Démocratie & citoyenneté
- discriminations
- Mixité sociale
- Résumé
Comme au resto est un projet inter-associatifs porté à la fois par la Ville du Havre et l'association AHAM. 11 associations accueillent à tour de rôle, chaque mois, des habitants au centre social comme dans un restaurant : service à table, paiement à la sortie etc. Les bénéfices des soirées sont conservées par les associatoins. 5% des bénéfices sont reversés dans une cagnotte qui sert au renouvellement du matériel (vaisselle notamment).
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Beaucoup d'association du quartier ont une base communautaire. Elles sont bien souvent issues du regroupement de ressortissants d'un pays ou région du monde et qui ont éprouvé le besoin à un moment de se regrouper en association, souvent pour des raisons d'entraide et d'intégration. Ces associations jouent un rôle positif dans le quartier, mais ce rôle est bien souvent sous estimé. Ayant fait le constat que ces associations réunissaient beaucoup d'habitants, souvent dans les locaux du centre social pour l'organisation de repas, l'Espace Pré Fleuri et le Centre de Ressources et d'Information pour les Bénévoles (CRIB), porté par l'association AHAM, leur a proposé une organisation et une communication pour toucher encore plus de monde.
Le projet vise donc à mettre en lumière ces associations à travers la dimension culinaire.
Les objecifs de l'action sont :
Promouvoir les associations qui jouent un rôle positif sur le territoire et leur permettre de s'autofinancer
Donner une image positive du quartier de Caucriauville
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
L'action a démarré en 2015. Une douzaine d'associations qui fréquentaient régulièrement l'Espace Pré Fleuri a été contactée pour participer à une réunion. Le projet leur a été proposé. 11 ont répondu positivement. Une série de réunions a permis de définir le cadre du projet : tarif, horaires, format, inscriptions etc.
En novembre 2015, une soirée de lancement regroupant les 11 associations parties prenantes a d'abord été mise en place pour faire connaitre le projet. Les bénéfices de cette soirée ont permis de constituer la cagnotte du projet. Les soirées ont ensuite été démarrées en décembre 2015, puis ont eu lieu en 2016 une fois par mois (sauf juillet et août). Une aide financière du CGET a permis d'acheter du matériel (vaisselle, lave-vaisselle) et de doter chaque association d'un fond de roulement de 200€ lui permettant d'acheter les ingrédients pour la préparation des repas.
Une réunion est mise en place chaque mois qui permet de faire le bilan de la soirée passée et de préparer la soirée suivante.
Le portage financier de l'action est fait par l'AHAM.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Dépenses : 9 000€ environ (dont 5500€ en masse salarial répartie entre l'AHAM et la Ville du Havre.).
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Directeur Espace Pré Fleuri : 100h/an
3 professionnels à l'accueil : 20h/an
Responsable AHAM : 100h/an
1 service civique : 40h/ an (arrivée en septembre)
100 bénévoles (valorisation) : 10 personnes par soirée pendant 8h : 720h/an
- Résultat sur le territoire
Soutien aux projets des association puisque chaque association a fait des bénéfices (237€ en moyenne).
Echange entre les associations : prêt de matériel, émergence de projets communs à Caucriauville, entraide entre les associations sur les soirées, échange de recettes entre les assos et avec le public.
Mixité du public avec des habitants du centre-ville, voire de la périphérie, mélangés avec des habitants de Caucriauville (552 repas servis en 2016).
Les partenaires institutionnels ont une image positive du projet et l’ont sollicité pour « animer » différents temps forts : LH Forum, journée mondiale du bénévolat notamment. Ce qui amène une retombée positive en termes de valorisation sur les associations participantes et sur le centre social.
- Résultat pour le centre social
Ce projet a eu une porté importante au delà du territoire. Il a fait l'objet de plusieurs articles dans la presse locale. Il a apporté une certaine reconnaissance au centre social dans son travail avec les associations.
Le projet a fait connaitre le centre social à de nouveaux habitants, notamment sur la dimension accès aux droits et accompagnement des familles (séjours familiaux).
- Résultat pour les habitants
Meilleure connaissance des associations du quartier et des différentes cultures par les habitants.
Très bon accueil du projet par les habitants du fait que pas de restaurant dans le quartier, réelle animation du territoir
- Suite de l'action : Limites
Toutes les associations ne sont pas représentées aux soirées et difficulté à mobiliser les associations sur les temps de réunions.
Valorisation insuffisante des associations en 2016 (pas de présentation formelle des associations durant les soirées, sauf une).
- Suite de l'action : Perspectives
Renouvellement du projet en 2017 avec 11 associations parties prenantes.
Travail sur les outils de communication propres à chaque association.
Amélioration de la visibilité du projet, notamment du lieu (flammes).
Actions
OPERATION "Les Maraudes" à Saint-Ouen : Les jeunes s'impliquent et sont solidaires des plus démunis.
- Structure organisatrice
- PASTEUR (MQ) - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Précarité
- Résumé
Description de l’action :
L'opération, démarrée en novembre 2013, s’est poursuivie en 2014, puis en 2015, et sera maintenue en 2016. La Maison de quartier Pasteur accompagne l'engagement citoyen et solidaire des jeunes. Ils vont, avec des adultes et des enfants fréquentant la structure, s'impliquer dans un projet commun, afin d'améliorer l’image au quartier, de créer du lien entre les habitants, de lutter contre l’exclusion sociale et la stigmatisation. Faire des réunions de bilan après chaque opération avec les différents acteurs.
1°/- La Maison de quartier Pasteur mobilise les habitants : les mamans du quartier préparent des repas et les conditionneront avec la participation d’une dizaine d’enfants de moins de 12 ans, et de certains jeunes (5 ados et 10 majeurs).
Aussi nous allons constituer une banque alimentaire à partir des collectes faites par les jeunes et les mères auprès des commerçants et la grande distribution, pour distribuer les produits alimentaires aux plus nécessiteux. Renforcer le partenariat avec Resto du cœur pour mieux orienter les nécessiteux qui viennent nous voir.
Travailler avec des traiteurs pour récupérer les surplus de produits de restauration (encore consommables) afin de les distribuer régulièrement aux familles nécessiteuses du quartier.
2°/- La fondation Jeunesse Feu Vert, le Service Jeunesse, les associations D’Brouy Jeuness et ADT (association des talents), mobilisent les jeunes du quartier pour le conditionnement des repas aux côtés des familles (parents et enfants), ainsi que pour la distribution des repas aux personnes les plus démunies.
3°/- En outre, une formation au premier secours, sera mise en place pour permettre aux participants (10 jeunes et 10 adultes) d'acquérir des compétences en matière de protection civile. Cette formation sera coordonnée par Jeunesse Feu Vert. Un mode de garde sera organisé pour les enfants (0-5 ans) pour permettre aux parents de suivre cette formation qui dure toute la journée.
Objectifs généraux :
- Renforcer la solidarité et le lien entre les habitants
- Prévenir la délinquance juvénile en impliquant les jeunes en situation de pré-marginalisation.
-
Objectifs pédagogiques :
- Valoriser les compétences de chacun
- Concourir à l’amélioration de l’image du quartier
- Lutter contre l’isolement
- Favoriser les liens intergénérationnels.
-
Objectifs opérationnels :
- Acheter des denrées alimentaires et le matériel nécessaire
- Collecter des produits chez les commerçants, les restaurants, et les hôtels
- Organiser la préparation et le conditionnement des repas
- Effectuer la distribution
- Organiser des réunions pour des bilans intermédiaires après chaque action, pour préparer la suivante opération.
Porteurs du projet et intervenants dans l'action:
- Maison de quartier Pasteur
-
Jeunesse Feu vert
Service Jeunesse
D’Brouy Jeuness
ADT
Familles du quartier et Seniors
Nombre de séances dans l'année:
Une séance par mois, soit 12 séances dans l’année, du 15 janvier au 31 décembre 2016.
Population ciblée:
-D’abord, les jeunes en risque de marginalisation suivis par la fondation Jeunesse Feu Vert, qui n’ont pas bonne réputation auprès des habitants adultes du quartier, participeront à une action commune avec les habitants.
Groupe de 15 jeunes (8 garçons, 7 filles),
Les familles (10 parents et 10 enfants), surtout les mamans du quartier.
- Concernant le public des « plus démunis », en moyenne 100 repas à servir à chaque maraude, soit une moyenne de 1200 repas à servir au cours de l’année 2016.
Un public essentiellement adulte masculin, même si nous comptons toucher les mères avec leurs enfants.
Informations complémentaires :
Les maraudes seront distribuées par un groupe de 15 jeunes (18-20 ans) du quartier.
La présence des animateurs (Maison de quartier Pasteur, Service Jeunesse), des éducateurs de Jeunesse Feu Vert, d'encadrant des associations (D-Brouy Jeuness, ADT), sera utile et complémentaire.
Acheter des produits alimentaires pour la préparation. Former des groupes pour la distribution. Démarcher des commerçants pour collecter les produits alimentaires, les hôtels pour les kits d’hygiène.
Enfin, une formation au premier secours sera organisée pour 10 jeunes (et 5 adultes), afin de leur donner les moyens d’être plus réactifs face à des situations. Mais également pour qu’ils acquièrent plus de connaissance dans l’approche du public en fragilité.
Territoire de réalisation de l’action : Ville de Saint-Ouen,
Quartiers Arago/Zola, Garibaldi/Charles Schmidt, Porte Montmartre, Emile Cordon, Debain.
Moyens mis en œuvre :
Humains:
2 animateurs de la Maison de quartier Pasteur,
2 éducateurs spécialisés de la fondation Jeunesse Feu Vert,
1 animateur du service Jeunesse,
1 encadrant de l'association D-Brouy Jeuness,
1 encadrant de l’association des talents (ADT).
Matériels et logistiques :
Salle polyvalente, cuisine,
Mise à disposition de local (salle polyvalente de la Maison de quartier Pasteur), de matériels bureautique et informatique (ordinateurs, imprimante, scanner, photocopieuse, téléphone, papier), de matériels et ustensiles (cuisine) à la MDQ Pasteur.
Financiers :
Location de véhicule, Achat de matériels de cuisine, de couverts
Achat de denrées alimentaires – Formation au premier secours.
Méthode d'évaluation et indicateurs choisis:
- Fréquentation des jeunes et des habitants,
- Réunions régulières entre les différents groupes de participants (Adultes, Jeunes, Animateurs et Educateurs, associations) pour faire le bilan d’étape après chaque opération, en général la semaine suivant l’initiative.
- Réalisation de la formation « premier secours ».
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
1°/- Les jeunes et les adultes du quartier ont du mal à échanger, à s'entrevivre, parce que les jeunes "tiennent le mur" à longueur de journée ce qui gêne la quiétude des familles. Les adultes se méfient des jeunes à cause des attroupements tardifs , des nuisances sonores des motos, les allers et venues incessants. Tout ceci crée une ambiance de méfiance les uns à l'égard des autres.
2°/- Trouver un moyen de rapprocher les deux publics dans une action qui valoriserait les uns et les autres: s'impliquer dans une action de solidarité tout au long de l'année serait une occasion de construire du lien, et briserait cette défiance entre les deux publics: Participer à des réunions de préparation, se répartir les tâches, à savoir les mamans prépareraient des repas chauds dans la journée, les jeunes se chargeraient de la distribution le soir aux personnes démunies dans les quartiers de la ville. Les deux publics se rencontrent toujours en fin de journée pour finir la préparation des sandwichs, et se rappeler les consignes de préparation et de distribution.
3°/- Ouvrir un champ de formation premier secours aux deux publics: les jeunes et les adultes apprennent les gestes essentiels pour sauver des vies.
- Public
- Jeunes adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Depuis 2013, des rencontres de travail avec le SAMU social, Interlogement, les restos du coeur, nous ont permis de comprendre la réalité de ce qui était dejà mis en place sur la ville de Saint-Ouen, de cibler au plus près le public nécessiteux
D'autre part, les jeunes avaient montré leur souhait de se rendre utile en s'impliquant dans une action de solidarité. Les mamans du quartier voulaient également apporter un peu de chaleur aux personnes sans abri.
La rencontre avec la Fondation Jeunesse Feu Vert (éducateurs spécialisés) agissant auprès des jeunes du quartier a permis de sensibiliser les jeunes sur la question. L'association D-Brouy Jeuness qui met en place des activités d'accompagnement scolaire a également mobilisé les jeunes de l'association à participer à l'action.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Etat (Contrat de ville) : 6000 €
Commune de Saint-Ouen : 3970 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Groupe de 15 jeunes majeurs (8 garçons, 7 filles)
Groupe de 20 parents adultes (essentiellement les mamans du quartier)
Groupe de 18 enfants et jeunes mineurs aident à la préparation des sandwichs
Pour l'encadrement : 6 professionnels, 4 bénévoles
- Résultat sur le territoire
Un groupe d'adultes s'est constitué et se mobilise sur le projet. Un groupe de jeunes se mobilise également.
Les relations entre les adultes et les jeunes deviennent plus cordiales, les jeunes discutent plus aisément avec les adultes lorsqu'ils se croisent dans le quartier. Ils s'informent mutuellement des initiatives qui ont lieu au sein de la structure et dans le quartier.
1253 repas ont été distribués aux personnes démunies au cours de l'année 2016.
- Résultat pour le centre social
La participation des jeunes aux actions de la maison de quartier est plus significative, même aux côtés des adultes et des parents.
Les différents acteurs peuvent maintenant proposer d'autres initiatives auxquelles participent de nouveaux acteurs.
- Résultat pour les habitants
Les actions de solidarité (exemple: les maraudes) ont permis aux habitants de mieux discuter de la vie du quartier, d'échanger sur leurs problèmes familiaux, de l'éducation des enfants et de l'accompagnement qu'ils doivent apporter aux plus jeunes.
Le jeunes ont mieux compris la situation de précarité que vivent les personnes démunies.
Les adultes ont un regard plus valorisant des jeunes du quartier qui participent à l'action de solidarité.
Les habitants viennent donner des vêtements chauds à distribuer.
Certains se mobilisent pour collecter des denrées alimentaires auprès des commerçants les jours de marché.
- Suite de l'action : Limites
Les maraudes n'ont pas réglé les problèmes de troubles de voisinage des jeunes dans le quartier. Ni d'ailleurs le trafic qui en est le corollaire. La participation des bénévoles est tournante et il n'est pas facile de fidéliser les jeunes sur toute une année: le groupe évolue.
La mixité (garçons et filles) n'est pas encore tout à fait au point.
- Suite de l'action : Perspectives
- Poursuivre cette action de solidarité
- Inciter les jeunes, et surtout les mamans du quartier, à participer nombreux aux formations de premier secours
- Pour mieux répondre aux besoins exprimés par les personnes bénéficaires, il faut organiser la sensibilisation des commerçants, des pharmacies, des hotels pour collecter des denrées non périssables, des kits d'hygiène et des produits de premier soin.
Actions
Alphabétisation-Insertion-Citoyenneté
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL Harpèges- Les accords solidaires - Alpes-Maritimes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Intégration
- alphabétisation & apprentissage du français
- Résumé
L'action « d'alphabétisation-insertion-citoyenneté » vise à renforcer avec les bénéficiaires les bases d'un parcours d'insertion sociale et/ou professionnelle. Elle a pour objectif d'accompagner le public vers une plus grande autonomie en leur donnant quelques repères, à partir le plus souvent, de situations de la vie quotidienne, comme prendre un rendez-vous chez le médecin, téléphoner, répondre au téléphone…
Il est important de souligner que l’alphabétisation ne doit pas se limiter à l’apprentissage linguistique, c’est un outil d’autonomisation personnelle et un facteur de développement social et humain, permettant aux apprenants d’enrichir leur esprit critique.
Ces ateliers répondent donc à trois objectifs principaux :
- Progresser dans l’apprentissage de la langue française (orale ou écrite).
- Mieux connaître l’organisation de la société (démarches, emploi, culture, etc.) et développer sa capacité d’y agir de manière autonome. Les ateliers collectifs « citoyens » proposés aux bénéficiaires se construisent à partir des besoins repérés ou exposés par ce public, de ses centres d’intérêts pour favoriser une plus grande adhésion. Ces ateliers offrent aussi un espace de découverte des institutions et des espaces culturels et une meilleure connaissance des valeurs de la République, des fondements de la laïcité et des codes sociaux.
- Créer du lien social : pour nombre de personnes, des femmes le plus souvent, les ateliers sociolinguistiques permettent de partager, de faire des rencontres et de sortir de l’isolement.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Diverses demandes préalablement diagnostiquées servent de point d'ancrage à ce projet.
Ces demandes émanent :
-
des mères de famille, d’origine étrangère, désireuses de s’investir dans l’éducation de leurs enfants et acquérir globalement une plus grande autonomie,
-
des populations immigrées, installées en France depuis plus de 4 années,domiciliées prioritairement sur le Grand Centre de la ville de Grasse, pour lesquelles la barrière de la langue constitue encore un obstacle à leur insertion et à leur intégration,
-
des personnes d’origine française, notamment des jeunes,souffrant d’illettrisme et souhaitant améliorer leur compétence à l’écrit.
-
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Dans sa mise en œuvre opérationnelle, le projet d’alphabétisation-insertion-citoyenneté s’articule autour de 2 axes complémentaires : Des cours d'alphabétisation constitués par groupe de niveau et des actions collectives s’appuyant sur des thématiques spécifiques.
A l’issue, d’une phase d’évaluation, 4 groupes sont organisés en fonction du niveau de compétence des apprenants : grand débutant, débutant, intermédiaire et avancé. Chaque groupe est composé de 5 à 8 apprenants.
Les cours sont assurés par des bénévoles qui interviennent, chaque fois que possible, en binôme permettant ainsi un accompagnement parfois individualisé voire personnalisé.
Les cours ont lieu dans les locaux de l'association à raison de 2 séances par semaine. Chaque cours dure 2 heures.
Les « apprenants » bénéficient donc d'un minimum de 4 heures d'apprentissage hebdomadaire. Certains parmi eux ont opté pour plusieurs groupes de niveaux semblables, ce qui peut représenter 6 à 8 heures de participation par semaine.
La coordination de l'action est assurée par la responsable du centre social en lien avec une salariée référente, chargée de faire passer les tests de niveau, avec l’aide d’un groupe de bénévoles.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Contrat de ville :
Etat: 15 000€
Région : 6 000€
Commune: 12 000€
ASP (Agence de Service et de Paiement) : 7 589€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
17 bénévoles intervenants parfois en binôme
1 médiatrice sociale
- Résultat sur le territoire
Cette action de proximité, conjuguée avec les autres activités de médiation sociale, a contribué, encore cette année, par le nombre de personnes accompagnées sur le secteur prioritaire de la politique de la ville (79 % en 2015), à prévenir l’isolement. Elle a permis de faciliter l’intégration des populations migrantes dans la vie locale mais aussi celles, nées en France, illettrées qui ont eu besoin de consolider leurs connaissances de bases à gagner encore un peu plus en autonomie.
Les ateliers sociolinguistiques ont apportés une ouverture sur les espaces sociaux et/ou culturels. Les actions citoyennes transversales aux différents ateliers ont permis de les sensibiliser aux codes sociaux, et à l’exercice des responsabilités sociales.
- Résultat pour le centre social
Les bénéficiaires des ateliers d’alphabétisation-insertion-citoyenneté ont été nombreux à s’investir sur les autres actions du centre social, démultipliant ainsi les espaces de socialisation et d’apprentissage.
Fédérateur, vecteur de bien être, d’ouverture, de partage l’ensemble des actions organisées avec les usagers des ateliers socio-linguistiques leur offrent des occasions de rencontres interculturelles et intergénérationnelles qui contribuent au mieux vivre ensemble.
- Résultat pour les habitants
D’un point de vue général, cette action a conduit une majorité de personnes à se familiariser avec la langue française et en acquérir les bases, permettant ainsi aux apprenants de communiquer plus facilement et de faire face aux situations de la vie quotidienne. Les ateliers d’alphabétisation-insertion-citoyenneté ont permis à un grand nombre de personnes d’origine étrangère, ou souffrant d’illettrisme, de capitaliser des savoirs et savoirs-faire, des compétences sociales transférables à d’autres situations de la vie personnelle et/ou professionnelles. Les ateliers citoyens ont aidé les bénéficiaires à mieux décrypter les règles et valeurs de la société française. Durant l’année, dans chaque groupe d’apprenants, au moins une sortie s’est organisée en Mairie, CPAM, … ou dans d’autres institutions, afin de les aider à mieux repérer les services publics de proximité.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
-Continuer de faire évoluer les pratiques et intégrer dans cette dynamique les nouveaux bénévoles arrivés au cours de l’année.
-Poursuivre la formation des bénévoles en ciblant la formation sur des thématiques qui les interrogent. - Mettre en place, au sein de la structure, des espaces d’échange de pratiques et de mutualisation.
-Renforcer la participation des apprenants sur l’ensemble des actions collectives portées par le centre social.
- Lutter contre l’illectronisme. Développer des actions d’initiation à l’outil informatique et de sensibilisation à l’utilisation des technologies de l’information et de la communication, à l’utilisation des réseaux sociaux et plus généralement à l’utilisation d’internet.
Actions
Accompagnbement Social et Médiation- Permanence d'écrivain public
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL Harpèges- Les accords solidaires - Alpes-Maritimes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Démocratie & citoyenneté
- Précarité
- Résumé
La médiation sociale est une action transversale qui permet de mobiliser les compétences internes de l’association au service des usagers accueillis.
L’action consiste à assurer un accompagnement individualisé dans tous les domaines de la vie quotidienne (santé, logement, famille, emploi, éducation…) en étant à l’interface des institutions pour s’adapter aux problématiques rencontrées.
Les permanences d’écrivain public proposées, trois demi-journées par semaine, se retrouvent étroitement liée à la médiation sociale. Les personnes ayant besoin de faire un courrier, sans nécessité de suivi spécifique par les services sociaux, MSD ou CCAS, sont automatiquement orientées sur cette permanence, tenues par trois bénévoles aguerris aux pratiques sociales et de gestion dont ceux sont d’anciens directeurs de ressources humaines, la troisième ayant une longue expérience en la matière acquise dans les centres sociaux des Bouches-du-Rhône. Ces permanences, totalement complémentaires, ont été élargies par une permanence supplémentaire (d’une demi-journée par semaine) axée sur les litiges civils.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Une partie de la population (située notamment dans le centre ancien de Grasse) ne peut réaliser de démarches administratives seule. Ces difficultés sont liées à diverses problématiques : pas de maîtrise suffisante de la langue française, difficultés sévères à l’écrit (sans être nécessairement dans une situation d’illettrisme), illectronisme, ou fracture numérique, véritable frein à des démarches s’effectuant le plus souvent soit par courrier, soit par site internet.
Les retards et les absences de réalisation dans ces démarches peuvent aggraver certaines situations déjà fragiles avec ruptures de droits, etc..
Ces difficultés touchent diverses thématiques :
- Accès aux droits,
- Rédaction de courriers,
- Préparation de dossiers sociaux d’emploi, maladie, pensions, retraite,
- Etablissement de demandes de surendettement,
- Recherche de logements etc…
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Fréquence :
-
Les permanences de médiation sociale sont quotidiennes. Elles s’organisent sur rendez-vous de 9h à 13h00 et de 14h00 à 18h (sauf le vendredi où le public est accueilli jusqu’à 17h).
-
Les permanences d’écrivain public ont lieu les mardi et vendredi après-midi.
-
La permanence axée sur les litiges civils a lieu tous les mercredis matin.
Echéancier de l’action :
Les permanences d’accueil individuel se font sur rendez-vous. Un bilan de la situation globale de la personne accueillie est réalisé. Le plan d’action est élaboré avec l’usager et vise à promouvoir son autonomie en favorisant ses ressources et potentialités, en l’impliquant activement dans les démarches à effectuer. En fonction des problématiques, un suivi se met en place ou une orientation est proposée. Dans une grande majorité des situations, un travail en transversalité avec d’autres secteurs d’Harjès est proposé : cours d’alphabétisation, suivi dans le cadre de l’aide aux victimes, orientation pour les parents vers les accueils de loisirs enfants-adolescents, etc..
-
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Contrat de ville :
- Etat : 13 500€
- Région : 13 000€
- Commune : 24 500€
ASP ( Agence de Service et de Paiement) : 27 529 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Equipe mixte:
- 2 médiatrices sociales
- 3 bénévoles
- Résultat sur le territoire
L’action d’accompagnement et de médiation sociale a permis l’accueil et le suivi d’un grand nombre de publics fragilisés, éloignés des dispositifs sociaux, sanitaires, de droit commun.
Cette action, très utilisées par les habitants, démontrent par le nombre d’usagers recensés le besoin existant d’accompagnement dans les difficultés et démarches de la vie quotidienne. Destiné à un public d’adultes, cet accompagnement fait l’objet d’une attention particulière en direction des personnes isolées et vieillissantes, des familles monoparentales, toutes en grand nombre sur ce territoire.
Dans un contexte économique et social particulièrement tendu ces dernières années, le service d’accompagnement et de médiation sociale occupe une place prépondérante au sein du quartier et rempli, autant que peut se faire, un rôle de « régulateur social ».
- Résultat pour le centre social
Du 1er janvier au 31 décembre 2016, 1126 personnes ont bénéficié des services de la médiation sociale.
Le nombre de bénéficiaires de l’action d’accompagnement social et de médiation est en constante augmentation depuis 2013. Ils étaient 682 en 2013, 1106 en 2014, 1423 en 2015 à la même période. (Le pic de 2015 s’explique par la fermeture de l’agence Caf de Grasse et la création du point-info CAF au centre social). L’augmentation des fréquentations des permanences de médiation démontre combien il est important de maintenir et développer ce service de proximité dans le secteur du Grand Centre et plus précisément sur le Centre Historique où les situations, d’une partie des habitants, sont particulièrement fragiles.
Destiné à un public d’adultes, cet accompagnement fait l’objet d’une attention particulière en direction des personnes isolées et vieillissantes, des familles monoparentales, toutes en grand nombre sur ce territoire.
- Résultat pour les habitants
Investis dans un partenariat riche et dynamique, les médiateurs sociaux proposent aux bénéficiaires, une prise en charge et un accompagnement social global. Ils prennent en compte, dans leur diagnostic les ressources, les potentialités, l’environnement familial et social de l’usager.
L’équipe tente, aussi souvent que possible, d’influer sur la capacité d’agir de la personne, sur son implication et sa responsabilisation dans toutes les démarches entreprises. L’objectif visé étant l’acquisition d’une plus grande autonomie.
L’accueil de partenaires, au sein du centre social, pour la tenue de leurs permanences (administrateurs Ad Hoc Actes Pelican, référent PLIE, travailleurs sociaux de la Maison des solidarités de Grasse Nord, travailleurs sociaux CAF du volet allocataires Pôle d’Interventions Sociales de Cannes.. ), permet d’offrir aux habitants d'autres prises en compte de proximité de leurs difficultés.
- Suite de l'action : Limites
Lutter contre l’illectronisme :
Les difficultés renforcées, chez certaines personnes (personnes âgées et/ou des personnes peu qualifiées en recherche d’emploi) engendrées par l’utilisation des technologies de l’information et de la communication représentent un enjeu majeur aujourd’hui avec lequel doit conjuguer le centre social.
Le problème qui se pose pour ces publics, ne se situe pas seulement par l’exclusion d’internet, mais plus fondamentalement au plan de l’information.
De plus en plus de démarches administratives passent par une plate-forme numérique (déclaration de ressources, constitution de dossier, ouverture de droits, inscription à l’Espace Activité Emploi, la plupart des annonces d’emploi sont aujourd’hui diffusées par internet…).
Afin de prévenir et limiter ces inégalités face à l’accès au savoir et aux démarches de la vie courante, il apparaît important de travailler avec le public sur l’acquisition des connaissances clés nécessaires à l’utilisation des ressources électroniques.
Aussi, si l’Espace Régional Internet Citoyen (ERIC) « hébergé » au sein même du centre social apporte déjà une plus-value aux activités de médiation sociale (près de 598 personnes reçues sur le premier semestre au sein de l’ERIC dont 90 % résident au Centre Ancien). Ce partenariat se renforcera et proposera des actions ciblées pour lutter contre cette fracture numérique (utilisation de l’environnement informatique, création d’adresse Email,..)
- Suite de l'action : Perspectives
Développement des ressources internes afin d'accompagner les demandes croissantes des usagers.
Actions
Le conte parents-enfants
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL JOLIBOIS - Meurthe-et-Moselle
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Evolution du projet familles
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Culture
- Résumé
Le conte parents-enfants
A raison de 2 mercredis par mois, Léa Pellarin, conteuse professionnelle, embarque parents et enfants dans l’aventure et l’imaginaire rythmés par de nombreux instruments du monde.
Pour les petits : enfants de moins de 6 ans, de 16h à 17h, conte et comptines, livre en tissus colorés accompagnent les parents et les enfants. Des assistantes maternelles du quartier viennent régulièrement rejoindre le groupe.
Pour les plus grands : enfants de 6 à 12 ans, de 14h à 16h, en partenariat avec l’association « Nos Enfants » du centre social Jolibois. Contes et légendes du monde viennent frapper à notre porte. Parents et enfants peuvent également s’essayer à conter une histoire au groupe
Ce projet amène les parents et les enfants à partager un temps en commun autour du livre et de l’accès à la lecture. A travers les mots, les comptines, les chansons, l’enfant découvre un mode d’expression et d’émotions, un lien avec le monde qui l’entoure. Les paroles rassurent, amusent, cajolent, encouragent… Le conte devient alors passeur d’émotions et d’images.
Il permet aux parents de s’apercevoir qu’avec peu de choses, ils peuvent créer un réel moment de complicité avec leur enfant.
Le conte parents-enfants, c’est :
- 18 séances de conte pour les enfants de 6 ans et plus
- 16 séances de conte pour les enfants de moins de 6 ans
- 16 familles + 6 assistantes maternelles (19 parents, 6 assistantes maternelles, 53 enfants)
- 334 participations
- Un véritable soutien à la fonction parentale
Illustration : création d’une histoire, de son illustration et de son enregistrement par les enfants qui content l’histoire. Un livre CD a été produit à l’issue du projet « La Belle et la Moche ».
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
En relation avec un diagnostic partagé (Centre Sociol, PMI, école maternelle, directions de la petite enfance de 2 CCAS) qui a mis en avant :
Le besoin de créer des temps communs entre parents et enfants ;
Le besoin d'éveil des jeunes - enfants.
Le tout dans l'objectif de soutenir les parents dans leur fonction éducative.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Diagnostic partagé ; co-construction Centre Social et association locale ; demande de soutien financier ; réalisation et évaluation.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
"La santé au quotidien"
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL CAF LA CLAIRIERE - Meurthe-et-Moselle
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Santé
- Précarité
- Résumé
Le but de l’action par le biais d’un travail entre les différents secteurs du centre social, sera d’amener les publics à prendre conscience de l’importance de prendre soin de leur santé au quotidien.
Une démarche pédagogique participative développée sur 3 axes d’intervention principaux:
SANTE – ALIMENTATION – ACTIVITE PHYSIQUE permettant à chaque adhérent de s'inscrire dans un parcours d'actions en lien avec ses attentes. La participation aux ateliers s’effectue sur inscription et adhésion à l'association. Selon l'activité, le public s'inscrit soit à la séance ou au trimestre. L'action est mené par deux Conseillères en Economie Sociale Familiale.
1/Des rencontres cuisine et santé « pour allier santé et alimentation »
Pour prendre soin de sa santé, il est important d’équilibrer son alimentation au quotidien. Ainsi bien manger c’est limiter les risques pour sa santé ce qui n’est pas toujours évident à mettre en œuvre. Ces rencontres cuisine et santé sont des outils pour favoriser une alimentation plus saine.
L’atelier sera découpé en trois temps :
- Un temps de cuisine ou les des recettes simples et équilibrées selon un budget maximum seront réalisés avec l’apprentissage de techniques culinaires de base et des échanges d’astuces entre les participants
- Un temps d’informations où avec l’utilisation de support d’animation et pédagogique des échanges et une réflexion collective seront effectués autour de diverses thématiques en lien avec l’alimentation et la santé (nutrition, lecture des étiquettes des aliments, compréhension des publicités…)
- Un temps de dégustation : le repas sera pris sur place à chaque atelier permettant ainsi de valoriser les participants, de partager un temps convivial et également d’évoquer l’importance de prendre le repas en famille.
La cuisine pédagogique sera utilisée pour réaliser ces rencontres. Certains ateliers seront organisés à l’appartement mis à disposition par l’Office Métropolitain de l’Habitat du Grand Nancy afin de réaliser des recettes avec des conditions matérielles similaires à celles des participants.
Pour compléter ces rencontres, des sorties et des visites pourront être proposées. Le but étant de faire découvrir en dehors du centre social d’autres activités en lien avec l’alimentation et la santé.
2/Des séances de sport et de bien-être « pour se ressourcer et se détendre »
Afin de renforcer l’accès à l’activité physique sur le quartier, le centre social travaillera avec un intervenant sportif afin de proposer aux femmes mais aussi aux hommes des séances de sport. Ces séances de sport seront aussi un support pour sensibiliser les participants à l’importance des bienfaits sur la santé de pratiquer une activité physique régulière combinée à une alimentation saine : se détendre, prévenir des risques de maladies cardiovasculaires, de diabète…
Différents pratiques sportives pourront être proposés soit en intérieur ou en extérieur afin de faire connaître et de permettre aux publics de s’approprier les ressources disponibles sur le quartier. Enfin le centre social pourra proposer aux adhérents de participer à des sorties nature et marche organisées par la fédération FLORE 54 dans le but de faire découvrir l’environnement et le territoire.
3/ Des ateliers du quotidien « pour faciliter son quotidien »
Ces ateliers d’informations et de sensibilisation permettront d’insister sur des thématiques de prévention santé (risques liés à une alimentation trop grasse, trop sucré, la santé mentale et le bien être…), de gestion du quotidien (part du budget alimentaire, marketing des supermarchés, publicité…) ainsi que l’accès aux droits santé (ouverture des droits CMUC, connaissance du parcours de santé, des remboursements de soins…). Des supports d’animations seront utilisés afin de faciliter les échanges entre les participants sur la thématique abordée et ainsi apporter des clefs pour faciliter la gestion du quotidien.
Des intervenants comme le Centre Technique Régional de la Consommation ainsi qu’un professionnel de la diététique, du bien être pourront être associés afin de compléter les ateliers animés par la CESF.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L’identification des besoins s’est faite par les professionnels du centre social et les bénévoles lors des activités et des échanges avec les adhérents. Ainsi différentes problématiques rencontrées au quotidien par les publics rendent plus difficile l’accès aux soins et à la santé. Les difficultés familiales, financières, de transport, l’isolement, une mauvaise image d’eux même, la peur de se rendre chez les spécialistes ont été identifiés. Les situations complexes des publics prennent parfois beaucoup de place dans leur quotidien et ne permettant pas aux adhérents de prendre du temps pour eux et de leur santé.
Les difficultés rencontrées dans la vie quotidienne occupent parfois tout l’espace, aussi certaines familles passent la majorité de leur temps à trouver des solutions aux problèmes d’ordre financier, administratif, familial et emploi. Il reste bien souvent peu de place dans leur quotidien pour s’occuper de leur personne. Au travers des discussions avec les participants dans les différentes activités, les professionnels et les bénévoles du centre social peuvent observer :
- une précarité socio-économique qui freine pour certaines familles l'accès aux soins
- un isolement, repli sur soi, les personnes sondées, plus de la moitié se sentent stressées, déprimées, ont des problèmes de sommeil et une mauvaise image d'eux-mêmes
- La peur de se rendre seules dans les structures sanitaires et sociales
Malgré un très important Pôle Santé comptant plusieurs cliniques, et laboratoires, bénéficiant d'une notoriété dépassant les frontières de la ville et de la région, on peut observer qu’il y a une difficulté pour s’y rendre : signalétique pas toujours évidente du fait de la rénovation urbaine, ajout de nouvelles adresses…. Et le coût de soins notamment pour les spécialistes.
L’accueil quotidien, mais aussi les différentes activités proposées au sein du Centre Social, ont permis de mettre en évidence la méconnaissance des adhérents en matière de santé, aussi l'enjeu dera de:
1. Permettre à un public repéré en précarité d'entrer dans une démarche de prise en charge globale de sa vie quotidienne.
2. Développer l'accès à l'information de prévention et d'accès aux droits à la santé permettant au public d'acquérir de l'autonomie dans les démarches du quotidien
3. Renforcer la pratique de l'activité physique régulière
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
L’accompagnement des publics se réalisent grâce aux compétences de deux Conseillères en Economie Sociale Familiale coordonnant le projet et animant les ateliers, au soutien de bénévoles pour l’animation des ateliers
Des intervenants sont associés afin de compléter les temps d’animation des CESF : encadrant sportif, professionnels issus du domaine de la nutrition santé, la Caisse Primaire d’Assurance Maladie par le biais de son service de prévention et d’accueil des publics, l’Institut Régional d’Education et de Promotion de la Santé par le biais de formations et d’outils pédagogiques et d’animation, des associations locales proposant des activités sportives…
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget prévisionnel 10 000 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
80 personnes
Hommes et femmes
De 18 à 70 ans
Résidant sur le territoire du Plateau de Haye Nancy-Maxéville
- Résultat sur le territoire
Meilleure connaissance du Pole santé implanté sur le territoire
Un travail de proximité avec certains médecins ou spécialistes du quartier pour démystifier la consultation: aller chez le dentiste, aller chez l'ophtalmo, aller chez le gynécologue.
Un travail étroit avec le médecin PMI ou la Puéricultrice
- Résultat pour le centre social
Des participants qui sortent de "leur torpeur" et se mobilisent dans une implication plus régulière soit dans les activités du centre social, soit en s'impliquant comme bénévoles.
- Résultat pour les habitants
- Investissement des participants dans les actions (co - construction des ateliers avec les
- participants), bénévolat, mobilisation du public
- Evolution des comportements et alimentaires : amélioration de la confiance en soi, alimentation plus équilibrée, prise de conscience collective du lien entre la santé et l'alimentation, prise en compte de la santé
- Evolution des démarches vers la santé
- Contenu des échanges en lien avec la santé
- Meilleure information et connaissance des droits santé et des risques de santé
- Rupture de l'isolement
- Suite de l'action : Limites
Convaincre les professionnels de santé d'ouvrir leur cabinet et de pouvoir s'adapter à un public fragile.
- Suite de l'action : Perspectives
L'action a été mise en place en 2016 et sera reconduite en 2017
Actions
Jardinons ensemble aux Planchettes
- Structure organisatrice
- Centre Social et Culturel Kergomard - Meuse
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Environnement
- développement durable
- Résumé
Le CSC Kergomard coordonne depuis mi-2015 l’action ‘JARDIN PARTAGE des Planchettes’ sur une surface de 7 500 m2: Les 3/4 de la surface étaient jusqu'au début 2015 à l'état de friche, au coeur du quartier en pied d'immeubles.
Une convention de partenariat est établie entre le CSC Kergomard et la Ville de Verdun (mise à disposition du foncier à titre gracieux) + une convention de partenariat entre le CSC Kergomard, l'AMATRAMI et le secours catholique (engagement collectif et mutualisation des moyens).
Les premiers mois sont dédiés à la mobilisation du public: une grande fête au jardin lance le point de départ de ce beau projet le 21 Juin 2015.
Les habitants vont semer, planter, récolter : cultiver un potager, oui, mais cultiver aussi la convivialité, le partage, la solidarité entre voisins et habitants du quartier et de la ville.
En quatre points :
-
Une forme de potager cultivé / mis en valeur de manière collective et accessible à tous.
Chacun apportera ses idées et sa contribution dans la réalisation du jardin.
Ensemble ! C’est l’esprit du jardin : une démarche collective pour faire avancer des idées, des façons de voir, des pratiques et peut-être au-delà, une certaine vision de notre avenir individuel et collectif.
-
Un vecteur de lien social : support pour repenser la relation entre les habitants du quartier :
Faire se rencontrer la population des Planchettes et permettre aux habitants de s’entraider ; Créer un lieu de convivialité pour favoriser le développement des liens sociaux entre les habitants.
Seront recherchés : l’épanouissement personnel, le bien-être de chacun, le respect de la terre et des autres, la santé, mais aussi le sens critique, l’autonomie, la méthodologie, la créativité,…
-
Un lieu d’éducation au respect de l’environnement et au développement durable :
Il conviendra de participer au maintien de la biodiversité - les plantations seront de saison – le jardinage éco responsable – l’eau économisée – le désherbage naturel.
-
Un espace d’animations pédagogiques :
Il s’agira d’éveiller petits et grands aux enjeux liés au respect de la nature et au jardinage.
En résumé, vaste espace à aménager et appropriation par les habitants: Atelier de fabrication de mobiliers de jardin en bois de palettes et atelier culinaire avec les récoltes du jardin mis en place en complément.
-
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La mise en place du jardin partagé sur le quartier fait écho aux préoccupations prégnantes de la population : les enjeux financiers ; le souci de son alimentation ; une activité manuelle en plein-air ; l’occasion de faire avec les autres et de sortir pour se rencontrer, au pied de son immeuble, au plus près de chez soi.
Le projet de jardin partagé des Planchettes ne s’est pas décrété par hasard : il répond aux besoins et attentes des habitants du quartier d’une part, et d’autre part à un besoin ressenti par le CSC Kergomard, la Collectivité, les partenaires locaux déjà impliqués dans le projet d'action ou bien des associations du quartier.
Résultats attendus: renforcer la cohésion sociale sur le quartier prioritaire des Planchettes.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Action mise en place au Printemps 2015. Différentes rencontres programmées entre le CSC, les Associations socio culturelles locales et la Ville de Verdun. La ville de Verdun ne souhaite pas utiliser cet espace disponible au coeur du quartier pour une fin immoblière mais elle tient à ce que ce vaste espace soit animé et dédié aux habitants du quartier, et non plus une friche où l'on retrouve du trafic.
Des habitants "moteurs" sont partie prenante à la mise en place du projet: définition du fonctionnement, d'un règlement interieur,
Une animatrice dédiée au projet, animatrice auprès des adultes du CSC : importance d'avoir une référente qui coordonne : soit 12h/semaine
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget global de l'action : 36 100€
Réparti de la façon suivante pour les montants les plus conséquents : 8 150 € Achats (alimentation pour manifestations, outillage de jardinage, petit matériel type débroussailleuse ...), 5 150€ autres services extérieurs, 15 000€ charges de personnels.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Une centainte d'habitants
Une dixaine de partenaires associatifs
- Résultat sur le territoire
Espace privilégié de rencontres et d'échanges
Répondre à un besoin de convivialité et de lien social
Respecter une démarche environnementale
- Résultat pour le centre social
Mobilisation transversale du public
Projet fédérateur et pluripartenarial
Permet d'aborder les thématiques d'une alimentation saine, de la gestion des déchets, du tri selectif,...
- Résultat pour les habitants
Favoriser au respect de la biodiversité et des saisons
Amélioration du cadre de vie
Espace de convivialité
- Suite de l'action : Limites
Délimiter les espaces / entretien conséquent des 7500m²
- Suite de l'action : Perspectives
Développement du projet / développement des partenariats / développement du partage
Actions
JAM SESSION
- Structure organisatrice
- CS ANTHOUARD PRE L'EVEQUE - Meuse
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
ORGANISATION D’UNE MANIFESTATION
A CARACTERE SPORTIF ET CULTUREL
Rappels concernant
- l’action :
Nous souhaitions concrétiser collectivement (animateurs, jeunes, familles) une journée sur le thème de la culture urbaine en organisant une « jam ’session » en 2 temps :
- une compétition de scoot’oot (Tournoi de trottinettes)
- mini-concert de « Lésia&peace », groupe de rap du quartier en formation
Le projet a comporté 2 étapes :
- les ateliers de préparation
- la manifestation
- la démarche
Des liens se sont créés entre les jeunes adolescents et préadolescents (groupe 1) qui fréquentent le skate-park qui jouxtent le centre social et le groupe d’adolescents (groupe 2) qui eux ont une appétence particulière pour la musique. Ces groupes fréquentent l’accueil de jeunes (ainsi que le CLAS) et ont émis une demande commune à l’équipe d’animation :
- Ecouter, comprendre et répondre à la demande des groupes
- Demande du groupe 1 :
Emile, Anthony, Paul-Henri, Tristan âgé de 11 ans à 12 ans : « nous voudrions organiser un « scoot’out » sur notre piste, faire venir du monde, nous mesurer et montrer ce que l’on sait faire »
Mathieu, Paul et Adrien âge de 18 ans à 20 ans ont souhaité ajouter une dimension moins axée sur la compétition afin de se retrouver et partager.
Hamlet, Thierno, Erdjan âgés de 15 ans à 16 ans sollicitent notre structure afin de réaliser l’enregistrement de leurs « sons » mais aussi pour leur permettre de faire de la scène. Ils souhaitent avant tout pouvoir exprimer leur quotidien, leurs aspirations pour leur vie future en France, leur pays d’adoption.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Assurer la convergence des aspirations des jeunes vers un projet commun, les accompagner dans leurs initiatives, avec des adultes volontaires, des animateurs pour assurer une concrétisation positive et partagée de l’action qui bénéficiera à tous les participants quel que soit leur degré d’implication.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Nous avons plus de 100 jeunes venus de différents endroits de la Meuse mais aussi de jeunes Nancéiens. 40 jeunes des dispositifs Cod ‘accueils et Activ’été sont venus en spectateurs assister à la journée. 30 personnes (soit 12 familles du quartier) se sont déplacées et ont pu profiter de la buvette et du stand de jeu gratuit pour petits.
Concernant notre objectif général :
La concrétisation a été positive et partagée, l’implication de tous a bénéficié à l’ensemble des participants. Les adolescents avec les adultes volontaires se sont vu accompagnés dans leurs initiatives et ont réalisé leurs aspirations. Une journée commune et un projet commun : des liens se sont créés.
La journée du 31 juillet 2015 de 13h00 à 18h00
Au programme (avec le soleil) :
- Animation musical, sportive ( bmx, trotinette, skate-board, gymnastique)
- Atelier et démo hip-hop pour tous
- Performance graff
- Buvette et jeu pour enfants
- Mini-concert de Lésia and Peace.
Près de 200 visiteurs au long de la journée.
Commentaires :
Mathieu, 19 ans: « J’aurai jamais cru qu’on arriverait à faire ça, c’est trop bien »
Adrien, 19 ans : « j’ai jamais vu ça, merci !! »
Eliane, adulte : « ils sont pas mal nos jeunes, en fait, je suis fière d’eux, même si des fois …. »
Une grande sortie de cohésion est prévue le mercredi 21 octobre à la journée, au programme sortie à Amneville : patinoire et Thermapolis.
Les projections :
Après un bilan général de l’action qui a lieu le 13 octobre 2015, l’ensemble du groupe a participé. Les éléments suivant ont été relevés :
- Bonne organisation même si certains points restent à revoir comme la définition des tâches
- Reconduction du projet en 2016
- S’équiper en matériel (tonnelles …)
- Animations extérieures : se renouveler
- Ressources financières mobilisées pour cette action
CHARGES PRODUITS Frais de carburant 211,35 CAF Objectifs 7500 Fournitures d'activités 366,14 Contrat de Ville 2500 Alimentation boisson 624,50 Agglomération Verdun 2500 Location matériel 116,81 Assurance 8,10 Participation usagers 156,50 Voyages et déplacements 120,20 Services extérieurs 5319,40 Frais de personnel 4290,00 Gestioncourante 1600,00 12656,5 Contributions nature 1300,00 Prestations en nature 1300,00 13956,50 13956,50
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
20 bénévoles et 10 jeunes
6 salariés
- Résultat sur le territoire
Evaluation de l’action
Impact : une demande a été faire aux services techniques de la mairie afin de rendre le lieu (skate-park) plus agréable. Les adolescents ont pu réhabiliter la structure en remettant en peinture les modules afin de rendre le lieu plus agréable pour tous. Le Travail a été commun avec les chantiers d’insertion (CCAS). Le projet a mobilisé au-delà des adultes du quartier.
C’est une véritable synergie qui s’est créée autour de ce site.
- Favoriser l’autonomie, la responsabilisation
Le groupe d’adolescents a été responsable de la partie technique de l’action et de la mobilisation des participants, outre la préparation des infrastructures (mise en peinture, nettoyage, sécurisation).
La technique de travail en sous-groupe a permis aux jeunes d’exprimer leur point de vue et de ne pas se sentir dépossédés de l’action par les adultes. Des temps d’échanges constructifs, des débats ont eu lieu. Des solutions ont été trouvées ensemble afin de répondre aux contraintes exprimées Les adolescents autonomes se sont sentis responsabilisés, écoutés et valorisés.
Impact : les adolescents souhaitent créer leur association, le travail sur les statuts est en cours.
La vente de jus de pomme pressé par leurs soins permettra de financer les coûts liés aux démarches (déclaration, timbre …).
- Contribuer à l’épanouissement des adolescents
Cette journée a été un élément déclencheur, les jeunes sollicitent d’autant plus la structure pour réitérer l’expérience. Un regain de motivation a été observé.
Les adolescents ont exprimé de la reconnaissance et nous ont fait part de leur plaisir, de leur bonheur ressenti lors de cette journée.
- Résultat pour le centre social
Impact : les partenaires comme l’association Meusienne de prévention ou la mission locale souhaitent mettre en place des permanences au sein de notre structure pour aller au contact de ses jeunes qui pour certains sont décrocheurs scolaire ou sans emploi, sans formation.
- Résultat pour les habitants
- Impliquer les adultes, contribuer collectivement à la vie de la cité
Ce projet a suscité l’engouement des jeunes mais aussi des habitants du quartier d’Anthouard Pré L’Evêque au-delà même des objectifs que nous nous étions fixés.
Les adultes ont été forces de proposition et ont participé activement à la bonne réalisation de la manifestation.
En tout ; 20 bénévoles adultes tous âges et sexes confondus se sont portés volontaires en participant aux réunions préparatoires avec les enfants et les jeunes pour :
La préparation de la journée, du contenu :
- La définition des différentes tâches le jour j, leur exécution.
- La réflexion concernant les contraintes probables d’un tel projet (sécurité, matériel …)
- Assurer la mobilité des jeunes (navette, transport matériel …)
- Suite de l'action : Limites
Les groupes de jeunes évoluent rapidement d'une année à l'autre : les éléments-moteurs quittent le secteur et il nous faut travailler avec d'autres groupes de jeunes, recréer des liens.
- Suite de l'action : Perspectives
L'action se poursuit, a été reconnue par la Collectivité et l'Etat dans le cadre du PIA "ANRU JEUNESSE" dont Verdun bénéficie pour la période 2017-2021 : création de l'association de jeunes, organisations de manifestations...