Les actions des centres sociaux
Actions
Implication des parents dans la scolarité de leurs enfants
- Structure organisatrice
- Maison pour tous Joséphine Baker - Val-de-Marne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Solidarité
- Résumé
Implication des parents dans la scolarité de leur(s) enfant(s).
Des temps de formation pour les parents avec l'implication du GFEN.
Des ateliers avec des parents, des enseignants, des acteurs sociaux du quartier situé en REP+
Des conférences ouvertes aux acteurs sociaux et aux parents.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le quartier est classé REP +.
Les habitants issus de cultures différentes et n'ayant pas forcément eux-mêmes été scolarisés ou ayant réussi leur scolarité, n'osent pas ou ne pensent pas à s'impliquer dans la scolarité de leur(s) enfant(s).
Le but est de leur montrer les enjeux en leur faisant découvrir les processus d'apprentissages en les mettant eux-mêmes en situation, en leur donnant des repères et des outils pour qu'ils puissent aider/accompagner leur(s) enfant(s), en les amenant à entrer dans l'école, à rencontrer les enseignants et à prendre toute la place qui leur est due.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Un constat partagé, notamment lors du l'élaboration du Contrat de ville. Des partenaires volontaires pour s'atteler au "chantier".
Mise en place d'un groupe de pilotage composé du coordinateur REP +, de 3 associations, de la MPT, de la coordinatrice sociale, d'un chargé de mission éducation du Conseil Départemental.
Les temps de formation et les ateliers sont conduits ou accompagnés par le GFEN (Groupe Français d'Education Nouvelle). Pour les conférences nous faisons appel à des intervenants divers.
L'action a commencé au cours de l'année scolaire 2014/2015. Elle se poursuivra autant que nécessaire.
Le groupe de pilotage se réunit très souvent, autant que nécessaire.
Petit à petit, des parents d'élèves seront impliqués dans le pilotage.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget propre des acteurs sociaux impliqués. Le GFEN intervient gratuitement.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
40 professionnels 5 bénévoles.
- Résultat sur le territoire
Trop tôt pour mesurer du côté des parents mais positif du côté des partenaires impliqués, notamment avec les responsables des établissements scolaires et les équipes enseignantes.
- Résultat pour le centre social
Plus de liens avec les équipes enseignantes.
- Résultat pour les habitants
Pour les parents, il est encore trop tôt pour mesurer les effets mais aucun mal pour trouver les aprents volontaires (y compris des papas) pour participer aux temps de formation ou aux ateliers.
- Suite de l'action : Limites
Pas de fin prévue.
- Suite de l'action : Perspectives
Toucher le plus possible de parents, donc d'enfants.
Actions
Parents c'est aussi Prendre du bon temps
- Structure organisatrice
- MAISON POUR TOUS DE CHEVILLY LARUE - CGAMPT - Val-de-Marne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Résumé
Ce projet s'inscrit dans la continuité du projet on sort ce soir initié en 2014. De nombreux adultes ont exprimé leurs satisfactions de pouvoir s'évader l'espace de quelques heures. Pour différentes raisons, certains parents sortaient pour la première fois sans leurs enfants. Le projet de 2015/2016 doit nous permettre de donner une dimension encore plus pertinente à ce projet.
Nous souhaitons que les personnes investies puissent avoir accès à un espace de loisirs au-delà de l'offre collective de la MPT. Il s'agit de leur offrir un cadre leur permettant d'être autonome.
De plus ce projet doit nous permettre également d'accompagner des jeunes dans une pratique structurante et socialisante, en répondant à une problématique du territoire.
Ainsi nous souhaitons nous appuyer sur les jeunes ayant participé en 2014 en leur proposant un processus de formation (1 à 3 séances) leur permettant d'être autonomes. Ces jeunes formés nous permettront de disposer d'une base de « baby sitter » qui seront en lien avec les familles.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Ce projet s'inscrit dans la continuité du projet on sort ce soir initié en 2014. De nombreux adultes ont exprimé leurs satisfactions de pouvoir s'évader l'espace de quelques heures. Pour différentes raisons, certains parents sortaient pour la première fois sans leurs enfants. Le projet de 2015/2016 doit nous permettre de donner une dimension encore plus pertinente à ce projet.
Nous souhaitons que les personnes investies puissent avoir accès à un espace de loisirs au-delà de l'offre collective de la MPT. Il s'agit de leur offrir un cadre leur permettant d'être autonome.
De plus ce projet doit nous permettre également d'accompagner des jeunes dans une pratique structurante et socialisante, en répondant à une problématique du territoire.
Ainsi nous souhaitons nous appuyer sur les jeunes ayant participé en 2014 en leur proposant un processus de formation (1 à 3 séances) leur permettant d'être autonomes. Ces jeunes formés nous permettront de disposer d'une base de « baby sitter » qui seront en lien avec les familles.
La continuité de ce projet et la nouvelle envergure que nous souhaitons lui donner doit donc nous permettre d'atteindre un double objectif d'émancipation
1) A destination des parents qui pourront accéder de manière autonome et pérenne à une offre de loisirs
2) A destination des jeunes qui bénéficieront d'une formation et d'un soutien financier pour leurs projets
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Sensibilisation autour du projet
Une première réunion a été mise en place pour expliquer l'évolution du projet aux parents et la volonté de leur permettre d'accéder de manière autonome aux loisirs notamment par le biais des bons Baby sitting.
Parallèlement en lien avec les partenaires, des jeunes ont été identifiés. Nous leur avons présenté l'action et expliqué la nécessité de participer à une sensibilisation sur la petite Enfance.
L'objectif d'autonomie concernant les familles n'a pas pu être atteint. Plusieurs freins semblent expliquer cela :
- le contexte très pesant et anxiogène des attentats n'a pas encouragé les familles dans leurs volontés de sortir sur Paris
- le passage à l'autonomie reste complexe pour certaines familles, qui expliquent être plus rassurés par la démarche collective et par le cadre proposé par la référente Famille
- la référente Famille a entamé une Formation VAE , et a disposé de moins de temps pour mobiliser les familles.
Les familles restent en demande concernant les sorties collectives. Ainsi comme prévu 3 sorties ont pu être proposées : 2 au restaurant et une au Bowling. Une de ces sorties a été organisée en journée, car pour certaines femmes la sortie en soirée reste compliquée.
Ces 3 sorties ont permis de réunir près de 30 parents, à noter la présence de 2 pères de famille.
En plus de ces sorties et à la demande des familles, des temps de baby sitting ont été mis en place lors d'évènements proposés par la MPT. En effet la présence d'enfants en bas âges constituent un frein pour la participation à certaines activités.
Lors de la journée de la femme, le 8 mars nous avons ainsi permis aux moments de profiter pleinement de cette journée. Nous avons accueilli près de 30 enfants, et les femmes ont pu profiter des espaces bien être ainsi que des temps d'échanges mis en place. Ces moments sont percus comme de véritables « bouffées
d'oxygène » par les femmes participants
Concernant les jeunes ce projet a répondu aux objectifs. La majorité des jeunes ciblés ont un projet professionnel en lien avec la Petite Enfance. Ils ont pu rencontrer la directrice de la crèche du Multi Accueil qui leur a proposé un temps de sensibilisation sur la Petite Enfance. De plus ils ont pu rencontrer les familles et expliquer le déroulement des baby sitting. Afin d'assurer l'insertion sociale, la MPT proposait des contrats de travail à ces jeunes (CDD) qui pour certains ont recu leur première fiche de paie.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
DEPENSES
Montant prévisionnel
Montant réalisé
RECETTES en €
Montant prévisionnel
Montant réalisé
ACHATS (fournitures, achats liés au projet)
SUBVENTIONS DEMANDEES
Alimentation
300
248
ETAT (préciser les services sollicités) :
Fournitures droits d'entrée
2500
1258
Fournitures d'activité
300
60
0
COLLECTIVITES TERRITORIALES
Téléphone/Fax
30
30
CG PROJET EXPERIMENTAL
3500
3500
Assurance
30
30
Communication
20
20
FRAIS DE PERSONNEL (affectés au projet)
Référente Famille
2500
2080,00
AUTRES (à préciser)
Référent jeunesse
1200
400
CAF
800
800
Animateur jeunesse
170
Ville Chevilly Larue
3950
1176
Baby sitter
1500
960
Directeur
600
0
AUTRES RECETTES
Participation des familles
300
210
0
TOTAL
8550
5686
TOTAL
8550
5686
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Ce projet a mobilisé 40 mamans différentes et près de 50 adultes en cumulé sur des activités de loisirs collectifs
- 0 parents ont franchi la démarche de prendre des bon baby sitting ce qui démontre l'échec de la volonté d'autonomie concernant l'accès aux loisirs.
- 4 jeunes sur 6 ont pu suivre le temps de rencontre et de sensibilisation proposé avec la directrice de crèche
- 4 jeunes différents ont recu des rémunérations pour les gardes d'enfants
- Résultat sur le territoire
Cette action a contribué a valoriser les jeunes investis, et a faire connaitre aux partenaires l'action du centre social
- Résultat pour le centre social
Cela a permis de créer des liens avec les jeunes investis qui continuent a fréquenter la structure
Pour les familles un grand nombre se sont investis par la suite dans d'autres actions et noatmment les vacances Famille
- Résultat pour les habitants
Difficile de remobiliser les parents en début d'année notamment en raison du contexte des attentats.
- Sorties restent très conviviales et permettent à des voisins qui ne se connaissent pas de se rencontrer.
- Participants sont en grande majorité des personnes qui n'ont pas l'habitude de s'accorder du temps pour eux, et ils ont apprécié ce projet et demandé à sortir ensemble plus souvent
- Jeunes se sont montrés très investis dans la réalisation des baby sitting
La déception liée, de la non appropriation des tickets baby sitting ne doit pas remettre en cause la pertinence de ce projet.
En 2 ans « On sort ce soir » et « Parents c'est aussi prendre du bon temps » ont permis de favoriser l'accès aux loisirs de nombreux parents. Pour certains qui s'interdisaient de prendre du temps pour eux, ces sorties sont apparues comme de véritable bouffée d'oxygène.
Pour être bien dans sa peau de parents, il faut aussi être bien dans sa peau d'hommes ou de femmes. On peut considérer que ce projet en réunissant des voisins, en intégrant des jeunes du territoire, et en permettant à des parents de penser à eux a un impact important.
- Suite de l'action : Limites
L'objectif d'autonomie concernant les familles n'a pas pu être atteint. Plusieurs freins semblent expliquer cela :
- le contexte très pesant et anxiogène des attentats n'a pas encouragé les familles dans leurs volontés de sortir sur Paris
- le passage à l'autonomie reste complexe pour certaines familles, qui expliquent être plus rassurés par la démarche collective et par le cadre proposé par la référente Famille
- la référente Famille a entamé une Formation VAE , et a disposé de moins de temps pour mobiliser les familles.
- Suite de l'action : Perspectives
La MPT va réfléchir avec les familles aux suites à donner à ce projet, nous avons bénéficié pendant 2 ans du soutien financier du CG , il faudra sans doute trouver d'autres sources de financement pour le pérenniser et espérer à terme atteindre l'objectif d'autonomie.
Actions
choregraphie urbaine
- Structure organisatrice
- LA LUTECE .VALENTON - Val-de-Marne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Résumé
Durant une année de septembre à juin, différents ateliers se mettent en place pour animer la fête du jeu du mois de mai sur le parc st julien attenant au centre social. Avec une plasticienne 10 bénévoles organisent la décoration et l'animation des différents espaces de jeu de la fête. Des décors en bois, tissus et papiers sont réalisés dans l'atelier avec 10 bénévoles dont 2 menuisiers. De petites décorations sont réalises par les enfants du CLAS durant les ateliers periscolaires après les devoirs de janvier à mai.Des jeux en bois et décorations sont réalisées avec le service jeunesse de la ville et nos bénévoles menuisiers. Différentes réunions ont lieu de septembre à mai avec les partenaires associatifs et services municipaux et avec les bénévoles.La thématique de la fête est choisi par l'ensemble des participants. 1 atelier hebdomadaire adulte avec la plasticienne de septembre à juin. Un atelier adulte mensuel avec les bénévoles pour continuer à réaliser les différents jeux et éléments du décor de la fête. un atelier hebdomadaire avec les enfants du CLAS de janvier à mai et des participations des autres activités du centre : ASL, couture pontuels. Un atelier de 4 jours à chaque vacances scolaires avec les jeunes du service jeunesse de la ville.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
A la demande des habitants, c'est la fête annuelle du centre préparé par et pour les habitants de la ville. Cette action permet aux habitants de se retrouver toute l'année autour d'une activité citoyenne. Toutes les tranches d'âge y participent. C'est une action citoyenne, solidaire, éducative et coopérative.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
cette action a démarré en 2008 avec l'art rue durant 2 ans et quand le festival des arts de rue s'est terminé les habitants ont souhaité creer leur fête. C'est une démarche citoyenne, collaborative, coopérative et solidaire.
Des rencontres mensuelles avec les habitants, les partenaires : associations locales et services municipaux, conseil général. L'action est portée toute l'année par la coordinatrice et l'équipe (3 salariés) avec une prestation d'une plasticienne à l'année. Deux spectacles sont présentés sur la fête ainsi qu'une prestation d'une compagnie de jeux extérieurs.Le conseil général assure la logistique : tentes, chaises longues, sono, et la ville la logistique tables et chaises. Le centre fait appel à une société de gardiennage pour surveiller les stands la veille et fait appel à une société de sécurité pour le jour de la fête. Toute l'installation est assurée par les bénévoles et l'équipe durant 1 semaine : fléchage, affichage, distribution de flyers, décoration, installation des stands, restauration. le jour même un panier repas pour les 60 partenaires participants avec un stand est réalisé par les bénévoles et offert aux participants partenaires.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
60000€ : 15000€ prestations diverses, animations
45000€ salaires équipe
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
4 salaries, 25 partenaires, 15 bénévoles
- Résultat sur le territoire
reconnaissance du centre social sur la ville. Participation des habitants. Reconnaissance des partenaires sur la qualité du travail réalisé avec les différentes générations présentes sur la fête.
- Résultat pour le centre social
participation citoyenne plus importante, ils viennent plus facilement sur les commisiisons réunions d'échanges et sur les réunions de préparation des activités du centre social.
- Résultat pour les habitants
Les parents, les familles, les adultes viennent plus facillement aux réunions de préparation des activités.Ils s'interessent davantage au projet de l'association.
- Suite de l'action : Limites
Les associations sur Valenton sont peu nombreuses, nous les touchons ainsi que des associations départementales, cependant nous atteignons la limite d'accueil.Plus la fête s'agrandit, plus les moyens doivent être importants (logistique, prestations, professionnels) et nous ne pouvons pas investir davantage.De plus notre fête a lieu un mercredi, nous pourrions l'envisager un samedi pour toucher davantage d'habitants, cependant les services municipaux ne seraient plus présents (petite enfance, service jeunesse, centre de loisirs) et la logistique serait également plus compliquée à organiser.
Les bénévoles se maintiennent et se renouvellent peu, ce sont en majorité des retraités. Il faudrait davantage de bénévoles pour envisager une fête encore plus grande. Le travail de communication se fait sur le bénévolat cependant il y a peu de candidats.
- Suite de l'action : Perspectives
Poursuivre le travail citoyen sur la préparation et la réalisation de cette fête en y associant le plus d'habitants, d'associations locales et de services municipaux.
Actions
Histoire d'Hier et d'Aujourd'hui
- Structure organisatrice
- MAISON MUNICIPALE DE QUARTIER CENTRE-VILLE GAGARINE - Val-de-Marne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Projet semestriel. Nouveau projet en cours avec le même groupe de participants et de nouveaux arrivés.
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Contexte : Résumé en quelques lignes le contexte dans lequel démarre l’action
L'installation récente d'une Maison de quartier, ce au moment où la population va déménager, nécessite qu'on renforce et légitime son rôle fédérateur sur le territoire afin qu'elle contribue à l'épanouissement et au développement du lien social local et à la cohésion sociale.
La Maison de quartier Centre-ville Gagarine souhaite construire son projet social et compte sur l'investissement et l'appropriation par les habitants de cet équipement dans le but de fédérer les familles et d'atteindre celles qui ne fréquentent pas ou peu le lieu.
Objectif général : Axe du projet social dans lequel s’inscrit l’action
Axe du projet social « Accès aux savoirs, savoir-faire et savoirs-être »
CONTRAT DE VILLE : LIEN SOCIAL, CITOYENNETE, ACCES AUX DROITS ET AUX SERVICES PUBLICS EGALITE HOMMES/FEMME ...
Enjeu stratégique n°15 : Favoriser les dynamiques locales et le développement endogène des quartiers prioritaires
Fiche opérationnelle n°15-1 : Valoriser les ressources des quartiers et les compétences de leurs habitants notamment à travers un échange de savoirs
Objectif(s) de l’action : un ou deux max. qui sont en lien direct avec le ou les impact(s) que l’on souhaite avoir auprès du public, donc les critères d’évaluation que l’on va déterminer
Valoriser les contributions des habitants, membres ou non des associations locales, à travers la théâtralisation de leurs parcours de vie, en mettant en exergue leur savoir être et leur savoir-faire.
Transmettre la mémoire collective contribuant à réduire les préjugés induisant les stigmatisations d'un quartier et donc de ses habitants.
Descriptif et calendrier de l’action :
Mise en place d'ateliers rencontres avec les habitants, pour échanger autour de leur vie dans le quartier.
Construction et réalisation d'interviewes ciblées sur leurs interventions/actions dans les associations et/ou cercles d’habitants informels (amical, voisinage, …). Puis collecte, enregistrement et retranscription écrite des récits de vie.
Ecriture (mise en texte) et mise en situation théâtrale de ces histoires de vie (la parole devenant texte de théâtre).
Construction conjointe (sous forme d’ateliers de théâtre ou de répétitions) avec des comédiens professionnels et des habitants si ces derniers le désirent d'une forme théâtrale retraçant leurs parcours et représentations / restitutions de ces ateliers devant les habitants du quartier dans un premier temps et dans un 2ème temps dans d’autres Maisons de Quartiers (Monmousseau, Ivry Port, Petit Ivry).
Nous prévoyons plusieurs séances avec les participants à confirmer :
- Atelier de récolte de paroles les vendredis 23 septembre et 7, 14, 21 octobre et 2, 9, 16 décembre entre 16h30 et 18h30
- Les répétitions avec les pros (5 jrs à définir)
- Les restitutions seraient prévues le 21 décembre, premier mercredi des vacances de noël
Lieu(x) :
Les lieux de récolte de la parole des habitants seront les cités Gagarine-Truillot-Spinoza et Guignois
Le lieu de réalisation des permanences, sera en priorité une des salles de la Maison de quartier Centre-ville Gagarine et/ou espaces extérieurs (domicile, parc, rue)
Les lieux envisagés de restitution du projet seront les Maisons de quartier et/ou autre équipement municipal ouvert à l’accueil de ce travail.
Public(s) destinataire(s) : caractéristiques (nombre de pers. Visées, âge(s), intérêts de travailler avec ce public/problématiques spécifiques à laquelle on souhaite répondre)
Public adulte usager de la Maison de quartier Gagarine-Truillot
Intervenants (Structure+Nom): Néant
Moyens Humains : Qui suit/participe à l’action ?
Equipe artistique de Kokoya : 3 comédiens dont 1 metteur en scène, dont 1 chef de projet socioculturel - coordonnateur
Interviewes et retranscriptions : 1 personne
Ateliers Théâtre : 3 comédiens intervenants
Restitution publique (2) : 3 comédiens dont 1 metteur en scène
Une personne de la Maison de quartier Centre-ville Gagarine
Moyens Matériels :
Une salle dédiée mise à disposition par la Maison de quartier Centre-ville Gagarine pour les permanences, répétitions et restitution. Impressions des outils de communication offerts par la Maison de quartier.
Matériel d’enregistrement, de retranscription et décorations pour la/les représentations en possession de la compagnie de Théâtre.
Budget : 6340 euros
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Action mise en place dans le cadre du renouvellement du projet social. Par la réalisation d'interviewes individuels et d'ateliers collectifs puis de création artistique, cela a permis de dresser un état des lieux qualitatifs du vécu des habitants qui ont participé aux actions durant la première année d'agrééement du centre.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Descriptif et calendrier de l’action :
Mise en place d'ateliers rencontres avec les habitants, pour échanger autour de leur vie dans le quartier.
Construction et réalisation d'interviewes ciblées sur leurs interventions/actions dans les associations et/ou cercles d’habitants informels (amical, voisinage, …). Puis collecte, enregistrement et retranscription écrite des récits de vie.
Ecriture (mise en texte) et mise en situation théâtrale de ces histoires de vie (la parole devenant texte de théâtre).
Construction conjointe (sous forme d’ateliers de théâtre ou de répétitions) avec des comédiens professionnels et des habitants si ces derniers le désirent d'une forme théâtrale retraçant leurs parcours et représentations / restitutions de ces ateliers devant les habitants du quartier dans un premier temps et dans un 2ème temps dans d’autres Maisons de Quartiers (Monmousseau, Ivry Port, Petit Ivry).
Nous prévoyons plusieurs séances avec les participants à confirmer :
- Atelier de récolte de paroles les vendredis 23 septembre et 7, 14, 21 octobre et 2, 9, 16 décembre entre 16h30 et 18h30
- Les répétitions avec les pros (5 jrs à définir)
- Les restitutions seraient prévues le 21 décembre, premier mercredi des vacances de noël
- Ressources financières mobilisées pour cette action
6340 euros
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
8 participants adultes / 2 bénévoles associatifs / 2 comédiens (cf. plus haut
- Résultat sur le territoire
Projet de création artistique et culturelle accessible et gratuit
- Résultat pour le centre social
Valorisation et reconnaissance du travail et des projets portés par l'équipe et le réseau d'intervenants de la Maison de quartier.
Valorisation sur un autre quartier par la tenue d'une Représentation sur un autre centre de la ville pour exposer les apports du centre social.
- Résultat pour les habitants
Expression et Valorisation de leurs expériences lors des activités menées par le centre social.
Développement de savoirs, savoirs-faire et savoirs-être en termes de narration et représentation scénique.
Accès à la culture: Participation à un projet de création artistique et culturelle.
- Suite de l'action : Limites
Recherche d'autres structures d'accueil pour diffuser ce spectacle.
Projet subventionné mais retard de paiement qui a provoqué le report de al réprésentation finale début 2017.
- Suite de l'action : Perspectives
Travail autour d'une oeuvre classique. Projet en cours autour de la pièce l'avare de Molière.
Actions
Apprentissage du français
- Structure organisatrice
- Centre Socioculturel Municipal - Val-de-Marne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Action terminée au 31 décembre 2017
- Dimension
- Mots clés associés à l'action
-
- alphabétisation & apprentissage du français
- Résumé
Permanence : Accueil, orientation, suivi et évaluation des primo-arrivants
Ouverture des offres linguistiques sur tout le département
Il a été mise en place des cours de FLE adaptés à la demande et niveau des apprenants
Les ateliers de Français Langue Etrangères sont des ateliers collectifs avec des groupes de niveau quasi homogène. Les apprenants sont accueillis en entretiens individuels pour connaitre leurs besoins et leurs niveaux en langue française. Le positionnement des personnes se fait sur la base de leur projet de vie, de leurs
connaissances de la langue française et de leurs disponibilités.
Les ateliers sont organisés en 5 niveaux différents : Alpha, A1.1 débutant, A1 niveau intermédiaire, A2
niveau plus avancé, B1.
Le travail pédagogique s'effectue à partir de divers supports (audio, vidéo, expositions) des rencontres
avec des intervenants extérieurs, des visites et des débats...
Préparation et présentation aux certifications de langue française DILF, DELF
Un travail thématique autour des valeurs républicaines et de l'accès aux droits viendra enrichir le contenu.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les ateliers proposés répondent à plusieurs besoins sociaux dont celui de l’apprentissage du français. Les apprentissages proposés visent à favoriser l’autonomie en France, pour laquelle l’aptitude à communiquer est indispensable. Il s’agit ensuite de l’acquisition ou de renforcement de plusieurs connaissances et compétences nécessaires pour vivre en France. Outre la maitrise des compétences orales (expression et compréhension) et la maitrise de l’écrit (compréhension et production), nous proposons un travail sur les normes et codes sociaux et les valeurs républicaines. C’est également la proposition d’un cadre attrayant qui permet aux usagers de bénéficier un moment privilégié où notre équipe s’engage à observer et à diagnostiquer les situations individuelles et dynamise les parcours dans le cadre du suivi personnalisé des apprenants. Ce qui permet de travailler plus efficacement sur les solutions d’insertion et l’accompagnement adéquat.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Les offres du Français Langue Etrangère (FLE) varient du niveau A1.1 au B1.
Il a été mis en place des prises en charge individualisées dans le cas de certaines demandes spécifiques (préparation à l’entrée en formation ou l’université). Les créneaux proposés au public sont aussi diversifiés afin de répondre au mieux à la demande. Ainsi, nous avions proposé des cours en matinée, en journée et en soirée.
Ce public est accueilli spécifiquement au Centre Social.
Le centre social a maintenu ses Ateliers socio linguistiques en direction des habitants installés de longue date mais toujours désireux d’apprendre ou de perfectionner leur Français.
198 personnes ont été accueillies cette année.
6 ateliers dont 3 en journée et 3 en soirée soit 6 groupes. Chaque groupe est pris en charge à raison de 3 séances de 2 heures par semaine. Les ateliers sont organisés en 5 niveaux différents.
L’apprentissage est articulé autour des quatre compétences définies par le Cadre européen commun de référence ;
Tout au long de l’année un travail a été fait autour de l’accès aux droits et à la santé axé sur :
● Le droit à la santé
● Le don d’organe
● Les bilans de santé, la vaccination,
● Sport et bien- être,
● le mal être,
● L’hygiène bucco-dentaire,
● Les troubles alimentaires,
Les différents groupes ont participé aux ateliers d’écriture et de théâtre au château de Versailles
« À partir de la découverte des lieux, les participants se familiarisent aux jeux de mots et à la mise en forme de textes. Cette année, les groupes ont travaillé sur l’écriture d’une saynète de théâtre inspirée des pièces de Molière au cours de différents ateliers. À la suite des ateliers d’écriture, les participants ont assisté à un atelier d’expression corporelle autour des jeux de mots afin de mettre en scène la saynète qu’ils ont écrite. Le lundi 20 mars, dans le cadre de la Semaine de la langue française et de la francophonie, chaque groupe a joué la saynète qu’il a écrite et mise en scène devant l’ensemble des participants».
- Ressources financières mobilisées pour cette action
CHARGES
Montant (2)
PRODUITS
Montant (2)
I. Charges directes affectées à l’action
I. Ressources directes affectées à l’action
60 – Achat
1785
70 – Vente de produits finis, prestations de services,
marchandises
825
Prestations de services
1206
Achats matières et fournitures
579
74- Subventions d’exploitation(1)
96122
Autres fournitures
Etat: (précisez le(s) ministère(s) sollicité(s)
61 - Services extérieurs
703
- ACSé
Locations
- BOP 104
30 000
Entretien et réparation
-
Assurance
578
Région(s):
Documentation
125
-
62 - Autres services extérieurs
3249
Département(s):
Rémunérations intermédiaires et honoraires
3249
-
Publicité, publication
Commune(s):
Déplacements, missions
- Villiers sur Marne
66 122
Services bancaires, autres
-
63 - Impôts et taxes
Organismes sociaux ( à détailler):
Impôts et taxes sur rémunération,
-
Autres impôts et taxes
-
64- Charges de personnel
91 210
Fonds européens
Rémunération des personnels,
63 146
CNASEA (emploi aidés)
Charges sociales,
28 064
Autres aides, dons ou subventions affectées
Autres charges de personnel
-
65- Autres charges de gestion courante
75 - Autres produits de gestion courante
66- Charges financières
67- Charges exceptionnelles
76 - Produits financiers
68- Dotation aux amortissements
78 – Reprises sur amortissements et provisions
I. Charges indirectes affectées à l’action
I. Ressources indirectes affectées à l’action
Charges fixes de fonctionnement
Frais financiers
Autres
Total des Charges
96 947
Total des produits
96 947
86- Emplois des contributions volontaires en nature
87 - Contributions volontaires en nature
Secours en nature
Bénévolat
Mise à disposition gratuite de biens et prestations
Prestations en nature
Personnel bénévole
Dons en nature
TOTAL
TOTAL
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
8
- Résultat sur le territoire
D’ouvrir les offres linguistiques sur tout le département. La plateforme linguistique a accueilli tous les primo-arrivants de la ville de Villiers-sur-Marne et du département, référés soit par l’OFFI soit dans le cadre d’une démarche personnelle. Comme il a été prévu, ces personnes ont reçu une formation en FLE qui les ont permis d’acquérir des connaissances et des compétences nécessaires pour être autonomes aussi bien sur le marché de l’emploi que dans leur vie quotidienne. Après cette formation, certain ont choisi de continuer dans notre dispositif pour l’année 2017-2018, d’autres sont sortis autonomes aptes à se débrouiller et s’intégrer dans la société française.
- Résultat pour le centre social
Plus d'implication dans la vie du centre
- Résultat pour les habitants
L’action a permis :
De proposer aux Primo-arrivants une offre linguistique de qualité avec plusieurs niveaux (de A1.1 à B1) sur différents créneaux.
D’assurer le suivi des parcours des bénéficiaires sur la base de projets de vie grâce à la fiche commune de suivi
D'assurer l’accompagnement social des apprenants,
De coopérer avec des réseaux départementaux et régionaux du domaine de la linguistique.
- Suite de l'action : Limites
nombre toujours croissant des demandeurs
- Suite de l'action : Perspectives
reconduction en 2018
Actions
Allier le sport et l'insertion professionnelle pour les 16 / 25 ans
- Structure organisatrice
- CAJT DE THIAIS - Val-de-Marne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- Résumé
Nous souhaitons accompagner des jeunes femmes et hommes de 16 / 25 ans provenant d'un quartier prioritaire sur le plan social, scolaire ou professionnel avec un suivi personnalisé.
En parallèle, pour favoriser leur engagement, le goût de l’effort et transmettre les valeurs positives véhiculées par le sport et sa pratique, ces jeunes seront inscrits à un championnat de football en salle en partenariat avec le complexe sportif local.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le but est d'aider de jeunes adultes habitant un quartier prioritaire a trouvé un emploi ou une formation par l'intermédiaire de deux biais: le sport et l'esprit d'équipe et le suivi personnalisé par un éducateur pour les démarches à entamer sur toute l'année.
- Public
- Jeunes adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
L'initiative du projet est celle du bailleur social qui a réuni les associations, acteurs locaux du quartier afin de proposer un projet pédagogique en direction des jeunes adultes, l'objectif est de créer une dynamique de recherche d'emploi avec le biais du sport.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Nous mobilisons deux éducateurs pour ce projet, un éducateur sportif pour les entrainements et matchs, un autre éducateur pour le suivi personnalisé.
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Forum Citoyen avec l'association CODHO
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL LA MAISON DES FAMILLES - Val-de-Marne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- Intégration
- discriminations
- Europe et International
- Résumé
Une fois par mois, l'association CODHO proposant des permanences d'accès aux droits met en place un temps de débat autour d'un sujet souvent en lien avec le calendrier des journées promues par l'ONU (journée du droits des femmes, journée mondiale de l'eau, journée internationale des migrants, ...).
L'intervenant introduit le propos en donnant des éléments généraux, une courte vidéo est généralement diffusée, puis les participants réagissent.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un habitant
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Ces rdv permettent des temps d'échange et de libération de la parole sur des sujets de société, intéressant tout le monde. Ils donnent aussi la possibilité à ceux qui ont rarement l'occasion de s'exprimer de le faire en public. Ils permettent aussi aux personnes de sortir ponctuellement de leur horizon parfois très fortement rattaché à leur quotidien pour apprendre des choses sur l'actualité dans le monde, sur l'histoire.
- Public
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
0
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
30
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
Des sujets d'échanges permettant du débat entre les personnes, sur des thèmes déconnectés au quotidien des habitants.
- Résultat pour les habitants
Acquisitien de notions de culture générale et de connaissance de l'actualité en France et dans le monde.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Projet CLAS : "Traditions chantées" en partenariat avec la Philharmonie de Paris
- Structure organisatrice
- CSC LA CROIX DES OUCHES OMC MAISONS-ALFORT - Val-de-Marne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- éducation / scolarité
- Culture
- Résumé
Dans le cadre des ateliers d'accompagnement à la scolarité, le centre sociocuturel a développé un projet intitulé « Traditions chantées » en partenariat avec la Philharmonie de Paris.
Ce projet a été imaginé comme un parcours de découverte de différentes traditions vocales et musicales du monde, animé en neuf séances d'une heure et demie par des intervenants musiciens de la Philharmonie de Paris au centre socioculturel. Une occasion pour les enfants de s'investir dans un projet collectif, de découvrir de nouvelles pratiques et de s'ouvrir à la culture musicale à travers des chants du Brésil, des Balkans et afro-américains ainsi que la pratique d’instruments de percussion (claves, surdo, maracas, tambourins).
15 enfants de 8 à 12 ans ainsi que 2 bénévoles réguliers des ateliers d'accompagnement à la scolarité ont participé aux différentes séances proposées associant étirements, jeux de voix, percussions corporelles, danse, chants mais aussi des échanges sur les pays et traditions culturelles, les différentes langues...
Deux restitutions sous forme de concert/spectacle ont permis aux enfants de faire découvrir à leurs familles les chants, les instruments ainsi que le travail collectif mené au fil des séances pour réussir à s'accorder collectivement, créer une rythmique. Pour clôturer le projet, les familles et bénévoles étaient invités à une sortie collective à la Philharmonie de Paris. Au total, 47 personnes dont 11 familles des enfants engagés sur le projet et 6 bénévoles des ateliers Clas ainsi ont profité du concert de l'Orchestre Padeloup et de la Chanteuse Liz Callaway, dans la grande salle de la Philharmonie de Paris.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le Centre socioculturel La Croix des Ouches souhaite être un tremplin pour les habitants et les familles qui fréquentent le centre et qui sont parfois éloignés des pratiques artistiques et disciplines culturelles diverses. Les activités du pôle Éducation de la Philharmonie de Paris sont animées par des objectifs qui font de la pratique musicale un vecteur de lien social et un outil éducatif pour le développement des individus. L’objectif du partenariat est de proposer aux enfants une activité socialisante, qui contribue à leur épanouissement personnel et collectif en favorisant l’estime de soi et le respect mutuel. La voix établit le rapport le plus direct à l’expression artistique et permet aux enfants d’accéder à la musique sans le frein technique de la pratique instrumentale. Aborder plusieurs traditions musicales créé aussi une dynamique favorable au dialogue interculturel. La valorisation de la diversité, en écho aux origines de populations liées à l’histoire de l’immigration, permet de travailler sur l’image que chacun a de lui-même et sur le respect d’autrui.
- Public
- Enfance
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Suite aux bilan des ateliers CLAS avec les enfants et les parents : souhait de développer des actions visant à la découverte de nouvelles pratiques et l'ouverture culturelle
3 rencontres avec la Philharmonie de Paris pour monter le projet
Rencontre avec les parents et enfants pour la présentation du projet et l'inscription des enfants qui le souhaitaient.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
Le retour des enfants sur cette action est très positif, ils se sont investis tout au long du projet avec plaisir, rigueur et étaient très fiers de présenter leur travail à leur famille et à l'équipe du centre. Certains enfants ont découvert ces nouvelles disciplines et ont exprimé leur envie de poursuivre une pratique musicale (chant ou instrument) avec le conservatoire ou des associations locales vers qui nous les avons orientés.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
L'oie m'a dit
- Structure organisatrice
- AGAESCC - MAISON COUSTE - - Val-de-Marne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Viellissement
- Résumé
Il s'agit de la création d 'un jeu de l'oie destiné prioritairement aux retraités. Les objectifs sont les suivants : rompre l'isolement, jouer en s'informant et rencontrer et échanger avec d'autres personnes. C'est le fruit d'un travail partenarial qui a regroupé 6 habitants bénévoles, 1 salarié de la fédération des centres sociaux du Val de Marne, 1 salarié du CLC7 , 1 salarié de l'association accès aux droits "nouvelles voies", 2 salariés de la Masion Cousté et 1 stagiaire DEJEPS. Les questions du jeu ont été proposées par ce groupe, le plateau par la directrice de la Maison Cousté puis conçu par une graphiste qui a également conçu le graphique pour les cartes, les jetons, la règle du jeu ainsi que le mémo de l’animateur du jeu. Nous avons fait appel à des professionnels pour sa réalisation. Des adhérentes de l'atelier "couture" ont égelement contribué en réalisant des petits sacs pour les cartes et les jetons.
ire DEJEPS.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
C'est suite à l'accueil de certains retraités sur des permanences mais également sur certains de nos ateliers, que nous avons constaté que ces derniers n'étaient pas toujours au courant de leurs droits. En discutant avec des bénévoles retraités autour de cette méconnaissance, ces derniers se sont portés volontaires pour élaborer des questions/réponses qu'un retraité pourrait se poser. De fil en aiguille, la directrice a proposé de mettre en place un jeu de l'oie : allier le ludique à l'information. C'est ce qui a été retenu. des professionnels du vieillissemnt nous ont rejoint.
le jeu de l'oie est réalisé et est disponible. les nombreuses fois où il a été testé ont été très prometteuses. aujourd'hui, le jeu remporte un grand succès. les joueurs le trouvent très instructif mais aussi très ludique. dés les premières cases, les échanges s'installent; des étonnements, des rires, des satisfactions (quand le joueur trouve la réponse) amis également des remerciements!. "on en sort avec plein d'informations", "et ben moi qui croyait être incollable sur la retraite!", "super, le jeu", "on rigole tout en apprenant des choses".
cette action répond pelinement au ptemeir axe de notre projet social, à savoir l'inclusion.
- Public
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Les questions ont été proposées par les présents et de même chacun essayait de trouver les réponses.Une bonne relation s’est installée entre les bénévoles et les professionnels. Pour la seconde réunion, un débat s’est installé, pour verifier les réponses aux questions, éliminer quelques unes. A la troisième réunion, le groupe a commencé à jouer, rectifier, proposer d’autres questions,..ect. Première proposition du plateau de jeu. Quelques essais ont été mis en place par la suite, avec les retraités adhérents à la Maison Cousté et ceux de la résidence pour personnes âgées (RPA). Les salariès de la Maison Cousté ont pris en charge la conception des questions/réponses après des vérifications autant pour les réponses données que pour la logique de déplacement sur le jeu. En avril 2017, la rencontre avec une graphiste/illustratrice nous a poussé à lui confier la conception graphique du jeu. Une dernière rencontre avec la professionnelle de la fédération des centres sociaux du 94 a eu lieu en mai 2017. Un dernier essai avec les seniors a eu lieu également en mai 2017. Les personnes présentes ont été ravies ; elles sont trouvé le jeu très pertinent, alliant des questions informatives et ludiques en même temps. Le jeu a suscité des échanges, de la coopération, du plasir . Quelques questions sont suscité un débat.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Séjour collectif famille sénior
- Structure organisatrice
- LAMARTINE . CACHAN - Val-de-Marne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- vacances / loisirs
- Résumé
Partir en avril avec 50 personnes en Bretagne.Ce projet est préparé avec les familles et les séniors du quartier. Plusieurs rencontres sont prévues dans l'année avant le départ. Nous touchons des familles très modestes, d'origine culturelle très diverses et surtout de 0 à 94 ans. L'impact sur le quartier est très important au retour du séjour. Des personnes qui ne se connaissaient pas avant le séjour se rencontrent, voir font des projets, des sorties ensemble. Ce projet est vraiment dans la dynamiqye du vivre ensemble. Du lien social et culturel. De l'accés aux vacances et aux loisirs pour tous, De sortir du quartier pour aller à la rencontre d'autres cultures et découvrir un autre patrimoine français.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Il correspond à un besoin des habitants, d'un quartier voir plus. Il y a la possibilité d'etre bien financé ce qui permet de faire partir des adhèrents et habitants très modestes. Avec le développement des actions séniors nous pouvons faire partir des personnes qui ne partaient jamais en vacances et qui restaient chez eux isolées. Cela permet de développer une solidarité entre toutes ces personnes même au retour au centre. Cela créer une dynamique très positive sur le quartier et également sur le centre. Ces personnes ont les retrouvent sur d'autres actions du quartier et de la structure. Pour certain ils viennent prendre des responsabilités dans le centre, deviennent bénévoles, participent aux instances d'éloboration de projets ou d'actions. Exemples : fete de quartier, fete de fin d'année, évaluation du projet social, comité de quartier etc...
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Réunion de préparation avec le groupe qui va partir. Information sur le quartier du projet, ccas rpa services sociaux, foyer.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
24800 hors salaires
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 salariés et 3 bénévoles
- Résultat sur le territoire
Plus que positif. Lien social, dynamique positif au niveau du voisinage, mélange des personnes des deux quartiers qui avant ne faisaient rien ensemble.
- Résultat pour le centre social
Très positif aussi les personne qui sont parties avec nous réviennent pour d'autres projets et actions. Voir prennent des responsabilités. Et surtout font venir d'autres personnes sur ce projet mais aussi sur d'autres actions du centre.
- Résultat pour les habitants
Repos, ne plus etre seul, de voir la mer, se reposer, prendre l'air, voir et visiter. C'est vraiment bénéfiques pour toutes les tranches d'ages car le lieu permet des activités pour toutes les tranches d'ages.
En général les personnes ne veulent plus rentrer et demandent à repartir avec nous ce qui hélas n'est pas possible.
- Suite de l'action : Limites
Les personnes ne peuvent pas repartir en collectif donc nous travaillons avec eux pour partie en individuel mais avec leurs voisins ou leurs familles
- Suite de l'action : Perspectives
Renouvellement de l'action pour permettre aux plus grand nombre de partir l'année prochaines. nOus avons une liste d'attente que nous essayons de répondre le plus possible l'année suivante.
Actions
Insertion des filles par le sport
- Structure organisatrice
- LA PLAINE .CACHAN - Val-de-Marne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Culture
- Santé
- vacances / loisirs
- discriminations
- Europe et International
- Résumé
Le centre social en partenariat avec le Club olympique de cachan a creer en 2016 une equipe feminine de football. Ce projet sportif est né de la volonté ,dans le cadre du projet social ,de developper la participation des filles au sein des activités. ,Au dela de l'aspect sportif un travail important est mené en direction des parents et de la scolarité des participantes. Cette approche globale nous impose de developper un partenariat etroit avec les collèges , les educateurs de prevention, les services des sports ainsi que les acteurs de la santé.L'encadrement des differents groupes se deroule du lundi au dimanche et nous oblige à une presence quotidienne afin d'assurer les entrainements, les matchs, l'organisation de sessions de soutien scolaire, de prevention des conduites à risques, de reunions avec les parents, d'interventions dans les collèges, et de projets de vacances à l'international.(participation en juillet 2017 aux tournois de football en Suede et au Danemark)...Le projet est aujourd'hui ouvert aux filles des communes avoisinnantes ce qui cree une dynamique interessante en dehors de notre sphere d'intervention.Pour exemple nous travaillons regulierement avec des clubs sportifs partenaires, et aussi avec les services jeunesse pour maintenir une continuité du suivi.
En paralelle, nous developpons un projet vidéo afin de retracer le quotidien de ces sportives et de leur implication dans l'ensemble des actions du centre et de la ville.
Avec pres de 100 filles agées de 13 à 27 ans , le projet en est a sa 3 eme année de fonctionnement
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le diagnostic effectué lors du renouvellement de l'agrément, a revelé le manque de visibilité des filles sur l'ensemble des actions.Comparativement aux garcons surepresentés, les filles ne frequentaient que rarement le centre.A partir de 14/15 ans les adolescantes disparaissaient litteralement des radars.Les propositions des differentes associations sportives ne permettaient pas aux filles de pratiquer une activité comme le football ou la boxe.
Si aujourd hui la section feminine de football compte pres de 100 lincenciées, il a fallut pres de 3 ans pour changer le regard des parents, des partenaires sportifs et des garcons.Ce qui etait une curiosité avec une forme de denigrement est devenu un projet cité en exemple et mieux soutenu.En paralelle une section de boxe educative est en cours de developement sur lameme idée que le footabll.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
L'action a demarré en 2014/15
1/ identification d'un groupe fille
2/Developpement d'actions collectives
3/Signature du partenariat avec le club sportif du COC
4/Formation des animateurs en collaboration avec les instances departementales
5/Entrainements,particpation aux differnets tournois
6/Inscription sur les championnats
- Ressources financières mobilisées pour cette action
48000 euros
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Pres de 300 personnes ( filles, parents, partenaires, familles)
- Résultat sur le territoire
Creation d'une equipe feminine et augmentation de la participation des filles
Developpement d'un partenariat specifique pour l'encadrement du porojet ( ville, education nationale, prevention specialisé,)
Visibilité de l'action et finacement
- Résultat pour le centre social
Financement dans le cadre d'une experimentation jeunesse
Developpement de relations avec de nouveaux financeurs
Visibilité du centre social et de ses actions
- Résultat pour les habitants
Decouverte d'une activité nouvelle pour les filles
implication des parents
Soutien des associations
- Suite de l'action : Limites
Le nombre de places et le manque d'encadrants
le manque de creneaux sur les terrains et les gymnases
les financements
- Suite de l'action : Perspectives
Nous souhaitons developper une section boxe educative
Actions
« Le Gout des histoires au Centre Socioculturel Les Portes Du Midi »
- Structure organisatrice
- Centre Socioculturel "LES PORTES DU MIDI" - VITRY - Val-de-Marne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- Culture
- Résumé
LE CONTE
La pratique du conte devient de plus en plus populaire, il s’apparente à la fois à la littérature, au théâtre et à l’humour. On ne peut l’inclure tout entier dans une de ces trois catégories: c’est une forme d’art et de spectacle à part.
Le conte est une forme de fiction, tout comme le roman et la nouvelle littéraire. La différence est que le conte est plus immédiat: il est conçu pour être mémorisé et livré de vive voix à un public.
Un spectacle de conte, tout comme une pièce de théâtre, demande une attention soutenue. Le conte est généralement bien plus court et bien plus simple. L’attention reste essentielle puisqu’en l’absence de décor, il revient au spectateur de tout s’imaginer.
Le conte n’a pas de limites. Il se prête au choc comme au réconfort, à l’humour comme au drame, aux thèmes traditionnels comme aux sujets modernes.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
¤ Donner envie aux parents de conter à leur enfants et de leur transmettre leurs contes, comptines et autres souvenirs d’enfance (recettes de cuisine, jeux d’enfance …)
¤Favoriser leurs propres possibilités d’expression, les remettre dans une dynamique d’échange collectif et de valorisation de soi.
¤ Sensibiliser aux enjeux de l’éducation à travers des histoires contées et collectées.
¤ Permettre aux parents à travers les thèmes abordés dans les contes (abandon, dévoration, amour, trahison etc… ) d’exprimer et de partager librement et sans jugement leurs craintes et leurs difficultés en tant que parents
¤Donner la possibilité d’intégrer des familles du quartier dans un objectif de mixité des publics et d’ouverture
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Déroulement
Il s’agit de donner la possibilité aux parents qui le souhaitent, de se retrouver pendant un moment convivial et culturel ou chacun peut trouver une place au sein du centre.
Cette action permettra aux participants d’exprimer et de faire profiter les autres participants
(Parents et enfants) de leurs connaissances en matière de conte, comptines, ritournelles berceuses etc …. Le centre accueille un public multiculture : de nombreux contes se retrouvent avec des variantes dans beaucoup de cultures. Au-delà du plaisir, de la découverte et de l’échange autour de ces différentes variations, cette action donnera l’occasion aux parents de faire le point et de s’interroger sur la transmission orale.
Chaque parent quelle que soit l’idée qu’il se fait de son niveau culturel, a quelque chose à transmettre à son enfant. La parole, le langage est une source de plaisir, un vecteur de transmission et l’enfant est avide de communication avec sa famille, curieux d’apprendre d’elle.
Les parents n’ont pas toujours conscience de leur propre richesse et sous-estiment souvent les capacités de leur enfant. Cet atelier permettra ainsi la confrontation des différents points de vue sur le sujet
La transmission : elle va dans les deux sens : les enfants ont à transmettre aux parents (ils font des expériences que les parents de par leur culture ne connaissent pas)Cet atelier de collecte et de transmission prendra la forme de séances bi-mensuelle
Chaque séance débutera par un moment ou l’intervenant contera des histoires et partagera des souvenirs personnels.
Les participants seront invités à partager de courts récits de vie et souvenirs autour des recettes et plats confectionnés à chaque séance.
Différents supports viendront en appui pour déclencher la parole (livres, kamichi bai, écoute de CD , photos etc…)
Les participants, parents et enfants seront amener à collecter des histoires auprès des uns et des autres, mais également à l’extérieur du centres dans leur famille et dans leur cercle d’amis.
Chaque séance proposera des activités ludiques facilitant le lâcher-prise et la libération de la parole.Les différents types de contes seront recherchés : contes merveilleux, facétieux (Ch’ra, nasredine hodja ..) contes d’animaux, , étiologiques….
On cherchera à contextualiser les souvenirs de contes, les associer à des moments particuliers de la vie, les resituer dans un cadre familier, chercher des résonnances avec des situations vécues.
Ces échanges donneront lieu à des enregistrements audio réguliers, et à des transcriptions qui seront affichées dans les espaces du centre.
Les participants seront sollicités en fonction de leurs compétences pour traduire des contes livrés dans des langues étrangères.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 salariés et 1 intervenant comte.
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Pereniser le comte au sein de notre centre.
Actions
"CONJUGUONS NOS BESOINS … JE JARDINE, TU M’ACCUEILLES, NOUS PARTAGEONS ! ... SERVICES GAGNANTS !"
- Structure organisatrice
- CS Ferme du Saut du Loup - Val-de-Marne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Environnement
- Mixité sociale
- Résumé
Le principe de ces dispositifs est d’établir que les « besoins » et les « moyens » circulent de manière permanente et aléatoire d’une personne à l’autre dans le système d’échange de services, et ce dans un mécanisme qui s’articule autour d’objectifs communs tels que : le lien social, l’intergénérationnel, la lutte contre l’isolement, le partage des connaissances, l’accès à des produits locaux saisonniers de qualité, l’hygiène alimentaire, la solidarité, etc. …
- LE JARDINAGE À LA MAISON : Mettre en relation des habitants en attente de parcelles libres dans les jardins partagés gérés par la ville, avec des habitants qui souhaiteraient avoir sur leur terrain un espace potager et/ou fleuri.
- LES CUEILLETTES À DOMICILE : Proposer à des habitants propriétaires d’arbres fruitiers dont la production des arbres est souvent plus importante que leur capacité à la consommer entièrement, d’accueillir une équipe de « cueilleurs ».
Il y a moyen de réengager une véritable découverte des fruits et légumes produits localement et proprement !
La Ferme du Saut du Loup se propose d’être la charnière qui met en relation le jardinier ou le cueilleur postulant avec l’habitant qui propose son espace.
La récolte est ensuite partagée, et tout le monde s’y retrouve !!
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- JARDINAGE À LA MAISON : 1) La liste d’habitants en attente de parcelles libres est estimée à environ une trentaine de postulants (information fournie par le service de la mairie en charge du dossier).
2) Les parcelles de terrains mettent parfois du temps à se libérer et les demandes de jardiniers postulants restent longtemps sans réponse favorable et sans perspective d’aboutissement dans le temps. La municipalité est donc amenée à gérer la déception des postulants qui souvent se voient opposer un « non » à leur demande (il y plus de demandes que de parcelles à fournir). Un « oui, mais » est possible dans le dispositif présenté puisqu’il propose d’augmenter les surfaces de jardinage dans la commune en faisant appel aux particuliers propriétaires de terrains.
3) Les propriétaires de pavillons ne disposent pas toujours de potager, et ce pour diverses raisons : manque de temps ou de connaissances, grand âge, situation d’isolement, pas d’outillages, etc. …
4) Notre expérience de vente des produits du potager de la Ferme du Saut du Loup nous confirme que tous les habitants sont intéressés pour s’alimenter avec des légumes « propres », saisonniers, accessibles à des coûts raisonnables, et dont ils connaissent la provenance ... et c’est encore mieux pour eux lorsqu’ils connaissent le ou les jardiniers qui les a cultivés !
- CUEILLETTES À DOMICILE : 1) Beaucoup de particuliers perdent une bonne partie de leur récolte de fruits parce que la production des arbres est souvent plus importante que leur capacité à la consommer entièrement.
2) Les fruits, selon les saisons, mais d’une manière générale, ne sont pas bon marché et tous les habitants n’y ont pas accès.
3) Il y a souvent dans les « vergers » privés, une variété importante de fruits : pommes, pêches, poires, abricots (y’en a une, y’en a une, …), cerises, coings, figues, framboises, cassis, groseilles, kakis, prunes, noix, noisettes, etc. … qui peuvent être dégustés de différentes façons : frais, en confiture, en pâtisseries, en bocaux, etc. … Il y a moyen de réengager une véritable découverte des fruits produits localement, autres que les fruits de consommation courante qui ont une empreinte carbone catastrophique.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Nous pensons qu’il conviendrait notamment d’élaborer une charte du « Jardinier et du Cueilleur Itinérants » qui tienne compte des conditions de l’accueil de ces derniers, de la nature de l’espace mis à disposition, du choix des plantations ou des cueillettes à réaliser, de la répartition de la production, etc.
1) Présenter les dispositifs dans le Journal Municipal du mois d’avril afin d’en faire la promotion au mois de mai dans un stand dédié lors de la Faites du Jardinage, … et pourquoi pas d’ores et déjà récupérer des adhésions ?
Nous aurons la même démarche d’information dans notre « Gazette de Printemps » qui sera publiée et transmise aux adhérents de la Ferme, mi-avril.
2) La Ferme du Saut du Loup sera la charnière pédagogique qui met en relation le jardinier postulant avec l’habitant qui propose son espace à potager, et ce autour des objectifs de « plantations propres » en pratique à la Ferme du Saut du Loup.
3) Les jardiniers qui ont investi ces dispositifs, pourraient devenir prioritaires dans l’attribution des parcelles qui se libèrent dans les jardins partagés gérés par la Municipalité. Ainsi, la Municipalité s’assurerait d’avoir dans ses espaces potagers, des jardiniers formés aux pratiques potagères respectueuses de l’environnement.
4) Pour le dispositif « Cueillettes à Domicile », et notamment pour les fruitiers qui donnent beaucoup comme les cerisiers, il serait utile d’évaluer un pourcentage de la production qui serait directement offert à l’Epicerie Solidaire (Sol’Epi).
Etc. …
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Pas de budget particulier si ce n'est le temps pris pour mettre les protagonistes en relations ... difficile à évaluer ...
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 personne très ponctuellement ... et 4 à 5 bénévoles.
- Résultat sur le territoire
Multiplication des surfaces cultivables sur le territoire à partir de techniques de cultures qui protège les sols et l'environnement.
Par ailleurs, nous pourrons vérifier que ces dispositifs s’inscrivent naturellement dans les actions développées dans le nouvel Agenda 21, et qu’elles sont en cohérence avec l’opération "maillage du territoire" démarrée en février 2019 qui tend à protéger les abeilles de notre territoire en installant des pièges à frelons asiatiques chez des habitants volontaires (carte géographique des pièges installés disponible à la Ferme du Saut du Loup).
- Résultat pour le centre social
Activer le principe de la transmission des savoirs de nos adhérents bénévoles en leur proposant de former les futurs jardiniers.
- Résultat pour les habitants
Nous pouvons affirmer de par leur objet, que ces 2 dispositifs mettront nécessairement en relation des habitants qui vivent en appartement la plupart du temps loué (mais parfois aussi, acheté), avec des habitants très souvent propriétaires de leur pavillon ; globalement dans l’imaginaire collectif : des gens qui « ont des besoins » avec des gens qui « ont des moyens ».
- Suite de l'action : Limites
Multiplier les parcelles accueillant un potager.
- Suite de l'action : Perspectives
Nous en sommes au début de l'expérience, ... on verra avec les habitants où elle nous mènera ...
Actions
Repas de fin d'année au collège du secteur
- Structure organisatrice
- Maison pour Tous Jean FERRAT - Centre social - Val-de-Marne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Mots clés associés à l'action
-
- Mixité sociale
- Résumé
une douzaine de parents elaborent un menu avec le centre social, investissent la cuisine du college pour préparer le menu ( entrée,; plat , dessert)
300 adultes (' parents issus de differents zones du territoire, zone d'ahabaits sociale, QPV, zone pavillonaire,et érsidentielle, ( secteur de la carte scolaire du COllege), enseignants, benevoles du quartier, inscrits à ce repas et servis par 15 jeunes collegiens,
une programmation culturelle est mis en place.
Cette action dure depuis 15 ans et elle est attendue chaque année par les habitants. c'est le rendez vous mondain du secteur.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Autre
- Territoire concerné
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Initiation à la langue française : « Vocabulons # 2 MashPaTmo »
- Structure organisatrice
- CSC LA CROIX DES OUCHES OMC MAISONS-ALFORT - Val-de-Marne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Action ponctuelle
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- alphabétisation & apprentissage du français
- Résumé
La structure a développé, en partenariat avec la Médiathèque de la ville, un projet intitulé « Vocabulons # 2 MashPaTmo », initié par le Conseil Départemental du Val-de-Marne. Ce projet mené avec un groupe de 12 personnes inscrites aux ateliers d'inititiation à la langue française, s’est développé autour d’un outil numérique collaboratif : la table Mash Up, prêtée par le Conseil Départemental. Cet outil permet une approche ludique et intuitive au montage vidéo, en associant et détournant des bases d’images et de sons pour créer des histoires.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L'Initiation à la Langue Française est proposée aux adultes maisonnais issus de l'immigration ou en difficultés d'apprentissage qui ont besoin d’un accompagnement pour la maîtrise de la langue française et la connaissance de l'environnement socioculturel immédiat. A travers ces ateliers, le Centre Socioculturel souhaite :
- Faciliter l'accès à l'autonomie et l'épanouissement personnel et professionnel, à travers des ateliers de socialisation et d'apprentissage du français.
- Favoriser les échanges et rencontres entre les personnes inscrites et les publics du centre socioculturel.
- Orienter, accompagner le public vers les différents acteurs, partenaires du quartier (accès à l’emploi, culture…).
Les ateliers d'initiation à la langue française s'articulent autour d'un volet linguistique, mais aussi à travers des ateliers proposant des activités diverses et des approches de la vie sociale, citoyenne et quotidienne. Pour ce faire, les ateliers Initiation à la Langue Française s'inscrivent complètement dans le projet d'animation globale du Centre Socioculturel et la dynamique du quartier.
Le projet « Vocabulons # 2 MashPaTmo » mené en partenariat avec la Médiathèque et le Conseil Général visait à :
- Favoriser l’appropriation de la langue, l’expression orale et l’imaginaire à travers un projet collectif
- Accompagner le public des ateliers sociolinguistiques dans la découverte et l’appropriation de l’espace et des collections de la Médiathèque
- Favoriser la mobilité des participants et l’accès à la vie culturelle
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
12 personnes inscrites sur les différents groupes d’Initiation à la Langue Française ont participé à 4 ateliers à la Médiathèque André Malraux (janvier /février 2019) :
- Une séance d’introduction : inscription et visite de la Médiathèque puis présentation du projet et de l’outil table Mash-Up.
- 3 ateliers de création vidéo avec la table Mash Up, animés par un intervenant technique via le Conseil Départemental et des membres du Centre Socioculturel et de la Médiathèque.
Riches en échanges, complicité et bonne humeur, ces ateliers ont donné lieu à la réalisation de petits films collectifs.
A partir de titre de livres sélectionnés par la Médiathèque (Le retour du héros, Le parfum, 25 grammes de bonheur, La quiche fatale… par exemple), les participants, divisés en deux groupes, ont imaginé une histoire, sélectionné les visuels et bruitages (fond libre de droit disponible avec l’outil Mash Up), imaginé des textes et dialogues pour illustrer leurs récits (répétition des textes et enregistrement des voix off).
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
12 participants
3 salariés et un intervenant
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
annexe ambulante de l'épicerie qui s'installe dans un ancien café
- Structure organisatrice
- EPI DE SON - Val-de-Marne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- Mixité sociale
- Résumé
Profiter de notre nouvelle structure pour développer de nouveaux projets, regrouper les ventes habituelles (alimentation, hygiène et entretien) autres vents complémentaires au même endroit (vétements, chaussures, fournitures scolaires, jouets, cosmétiques ,accessoires maison...). Nous allons accueillir 2 à 3 services civiques. il va falloir travailler sur l'organisation des ventes "ambulantes" appréhender et organiser le nouveau local, prévoir l'approvisionnemebt et le revoir en fonction d'un nombre de bénéficiaires bien plus important.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Autre
- Précision ( si autre )
il ne s'agit pas d'un centre social mais d'une épicerie solidaire qui travailler cependant une étroite relation avec le centre social avec du personnel détaché travaillant sur les deux structures. En effet une reconnaissance EVS entraine un partenarait avec le centre social mais aussi avec toutes les communes soient rattachées pu en cours de rattachement.
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le Covid et la crise ont fait émergé de nouveaux besoins. La coordinatrice qui travaille sur le centre social et l'épicerie solidaire a demandé son détachement à 100% sur l'épicerie solidaire au vu des nombreux et importants projets mis en place.
ce projet répond a une évidence et une urgence "sociale" où l'épicerie solidaire se pose en complément d'autres structures d'aide alimentaire et autres, mais avec sa grande flexibilité de fonctionnement peut se montrer très réactive.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
action en cours. appel à projets fin 2020 et une réponse positive concernant le financement de la camionnette avec son aménagement. Attente de la réponse de l'état pour la réhabilitation du café. L'organisation prendra forme dans les semaines qui viennent avecle démnénagement et de la livraison du véhicule.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
63 000 euros pour le véhicule - 51 000 euros réhabilitation "café"
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
50 Bénévoles
1 coordinatrice
3 services civiques
- Résultat sur le territoire
Epicerie solidaire dans des communes excentrées, aide alimentaire à un plus grand nombre. Complémentarité des structures déjà existantes.
- Résultat pour le centre social
Nouvel essor et dynamique. Forme d'approvisionnement original et facilitant les échanges. Moins de manutention avec les ventes regroupées. Apporter le savoir faire à des jeunes.
- Résultat pour les habitants
Plus de services. Un accueil facilité dans un cadre agréable. Moyens de développer des actions complémentaires car plus d'espace.
- Suite de l'action : Limites
Le nombre de bénéficiaires, l'approvisionnement en fonction des aides, la collaboration ou non des enseignes (produits DLC courtes quasi inexistantes car nouvelle plate-forme to good to go)
nombre de bénévoles et personnel "qualifié" comme une CESF;
- Suite de l'action : Perspectives
développer et faire fonctionner tous ces nouveaux projets en s'inscrivant dans une démarche la plus respectueuse de l'environnement possible : bio, producteurs de proximité...
Actions
Soutien de la parentalité à l'école maternelle
- Structure organisatrice
- MAISON DE QUARTIER DU VAL SUD/ESPACE FAMILLES - Val-d'Oise
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Santé
- Résumé
Un groupe multi-partenarial propose de rencontrer les parents d'enfants scolarisés à l'école maternelle pour échanger autour des thématiques liées à la parentalité, l'éducation, les liens avec l'école, la santé, et l'ensemble des problématiques que souhaitent aborder les parents concernés. Ce groupe se réunit une fois toutes les deux semaines au sein des locaux scolaires et est ouvert à tous.
Ce projet a été initié par les partenaires et l'équipe éducative du groupe scolaire.
De ces échanges peuvent naître différentes actions au sein du quartier.
Le groupe de professionnels est constitué des agents de développement de la maison de quartier, de travailleurs sociaux de la CAF et du SSD.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action fait suite aux groupes de travail découlant du diagnostique partagé du projet social de la structure. Elle a été initiée par le centre social, la CAF, le SSD et l'éducation nationale.
Ce groupe doit permettre de:
- Contribuer à favoriser la relation parents / école
- Prise de conscience des enjeux du rôle des parents dans la scolarité
- Accroître l’implication des parents dans leur rôle éducatif
- Epanouissement et valorisation du rôle parental
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
En Septembre 2015, les partenaires ont accueillis dès le jour de la rentrée les parents des enfants scolarisés à l'école maternelle Pauline Kergomard, autour d'une collation pour échanger sur leurs impressions, leur ressenti de cette rentrée. Ils ont été invités à revenir régulièrement pour échanger sur les sujets de leur choix.
Par la suite, le groupe s'est constitué avec une fréquentation allant de 6 à 10 personnes par temps d'accueil.
Différentes thématiques sont ressorties des échanges; des professionnels spécifiques ont été invités à échanger avec les parents: psychologue des écoles, diététicienne...
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Alimentation diverse: 100 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
5 professionnels réguliers
- Résultat sur le territoire
Meilleure connaissance des activités du quartier
Amélioration des relations Parents / enseignants
Création et renforcement des liens entre les parents
- Résultat pour le centre social
Participation à différentes activités d'un nouveau public
Renforcement des liens partenariaux avec la CAF, le SSD et l'école concernée.
- Résultat pour les habitants
Meilleure connaissance des institutions
Renforcement des liens
- Suite de l'action : Limites
Impact limité aux parents sans activité professionnelle
- Suite de l'action : Perspectives
Développement du projet sur d'autres écoles du quartier
Développement d'actions autour des thématiques abordées
Implication des habitants concernés dans la vie du quartier
Actions
Nettoyage de printemps
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL DES HAUTS-DE-CERGY - Val-d'Oise
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Environnement
- développement durable
- Résumé
- Organisation d'une journée de nettoyage du quartier avec un repas particpatif
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
- Réunions préparatoires, outils de communication, l'action est en cours
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- 400 euros pour l'alimentaire
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- 7 professionnels 100 bénévoles
- Résultat sur le territoire
- Nettoyage du quartier, sensibilisation à l'environnement et à la problèmatique de la propreté
- Résultat pour le centre social
- renforcement du lien avec les acteurs loocaux et les habitants, nouveaux publics
- Résultat pour les habitants
- sensibilisation, acteur en terme d'éco citoyenneté
- Suite de l'action : Limites
- Manque de récurence
- Suite de l'action : Perspectives
- Demander aux habitants de proposer des actions pour améliorer l'environnement
Actions
intergénérationnel
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL JEAN BOSCO - Val-d'Oise
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- Intégration
- Mixité sociale
- Résumé
un groupe de jeunes à débuté en 2015 une exposition composé de 10 panneaux et d'un cours métrage de 12 minutes intitulé "Du côté des jeunes d'Argenteuil"
Ces jeunes ont échangés avec 10 adultes et anciens, acteurs du quartier Val Sud sur leurs parcourts, leurs visions des jeunes, du quartier et de la ville.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le groupe des "chibanis" voulais raconter leurs histoires de vie. Les jeunes se sont emparés du projet, pour en faire une exposition.
l'objectif est de permettre la rencontre entre les générations.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
l'action à débuté en novembre 2015.
Il y a eu des groupe de travail avec les 14 jeunes qui ont mené le projet avec l'équipe du Centre Social et les professionnels en appuis technique.
9 rencontres ont eu lieu, avec également un partage avec des jeunes du Centre social de St Prix, avant les séances avec les adultes et seniors prévus en 2016.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
financé par la région, la caisse des dépots et un monde pour tous.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
9 professionnels (3 professionnels du Centre Social + 6 professionnels en appui techniques)
15 jeunes, 10 adultes et seniors
- Résultat sur le territoire
une rencontre intergénérationnelle
suite SENAC 2016
- Résultat pour le centre social
une rencontre intergénérationnelle
suite SENAC 2016
- Résultat pour les habitants
une rencontre intergénérationnelles
suite SENAC 2016
- Suite de l'action : Limites
peur de s'afficher devant une caméra, un appareil photo ou un public
- Suite de l'action : Perspectives
poursuivre les rencontres intergénérationnelles
Actions
Nettoyage de printemps
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL DES HAUTS-DE-CERGY - Val-d'Oise
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Environnement
- développement durable
- Résumé
- Organisation d'une journée de nettoyage du quartier avec un repas particpatif
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
- Réunions préparatoires, outils de communication, l'action est en cours
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- 400 euros pour l'alimentaire
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- 7 professionnels 100 bénévoles
- Résultat sur le territoire
- Nettoyage du quartier, sensibilisation à l'environnement et à la problèmatique de la propreté
- Résultat pour le centre social
- renforcement du lien avec les acteurs loocaux et les habitants, nouveaux publics
- Résultat pour les habitants
- sensibilisation, acteur en terme d'éco citoyenneté
- Suite de l'action : Limites
- Manque de récurence
- Suite de l'action : Perspectives
- Demander aux habitants de proposer des actions pour améliorer l'environnement
Actions
"Les petits Dej' des partenaires"
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL SARCELLES LOCHERES - Val-d'Oise
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Solidarité
- Emploi, économie
- Santé
- Logement
- Précarité
- Intégration
- alphabétisation & apprentissage du français
- Résumé
Cette action est à destination des ptrofessionnels pour une meilleure intervention auprès des publics.
Le centre social avec le concours du Territoire d'action sociale Caf ont initié des rencontres entre tous les partenaires de la ville ( et des alentours selon la thématique).
La rencontre a lieu tous les 3 mois a chaque fois chez un partenaire différent. Ce changement de site permet de situer le partenaire, de couvrir son fonctionnement, ses moyens et contraintes mais aussi d'impliquer tous les professionnels à tour de ro^le. La construction de la rencontre permet au centre social de renfoercer ses lien avec le partenaire en question.
Depuis 2019, la démache est copilotée par le centre social et le conseil départemental ( TISM).
Chaque rencontre accueille entre 40 et 50 professionnels d"nviron 20/25 institutions différentes.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Autre
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les professionnels du centre social se snetent parfois enfermés dans leur structure alors même qu'ils doivent être l'interface entre le public et les acteurs sociaux.
le constat a été fait qu' avant(ou en parallèle) de redevelopper les actions en direction des publics il fallait reconstruire le partenariat local. Cela semble être un psotualt pour des actions et des orientations pertinentes
Se rencontrer c'est se connaitere et se reconnaitre : cela est unenécessité pour créer un maillage fort autour des habitants mais aussi pour rendre les interventions de chacun plus éfficientes.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Le centre social et le TAS de Sarcelles ont convié plus de 70 partenaires locaux de 46 institutions ou administrations différentes pour une rencontre informalle, échange de supports de communication, prise de contact et évaluation des souhaits/besoins des professionnels par la passation d'un questionnaires.
Avec l'adhesion du groupe lors de la rencontre suivante le choix à été fait que les partenaires accueilleraient à tour de rôle les "petit dej' des partenaires".
Le centre social et le CD gére les invitation et l'organisation du contenu des rencontre avec l'hôte du moment.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
diffcilement quantifiable car chaque partenaire prend à sa charge le petit dej qu'il accueille : environ 40 euros pour chaque hôte
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 responsable de centre social
1 responsable SSD
1 travailleur social Caf
peut être prochainement : 1 agent municipal ( politique de la ville ?)
- Résultat sur le territoire
partenariat renfocé , familles mieux orientées, passerelles pour le public entre les sites et les actions, projets multipartenariaux, mutualisations de moyens, plus grande qualité des actions, amélioration de la circulation de l"information/communication
- Résultat pour le centre social
CF point précedent
- Résultat pour les habitants
cf points précedents
- Suite de l'action : Limites
Le contenu des rencontres .
le partenariat étant renfocé il faut desormais modifier l'objet des rencontres. nous envisageons de conserver 3 "petit Dej' des partenaires" dans sa forme classique et un quartième sera axé sur une thématique avec un intervenant.
- Suite de l'action : Perspectives
poursuivre de ne pas se contenter des créer du lien entre les habitants mais aussi entre les professionnels et laisser le projet évoluer avec l'investissement de certains partenaires et de l'expressions des demandes/ besoins
Actions
Accueil seniors
- Structure organisatrice
- OÏKOS - CENTRE CULTUREL ET SOCIAL DE LA PEPINIERE MICHEL LEGRAND - Territoire de Belfort
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- Viellissement
- Intégration
- vacances / loisirs
- Mixité sociale
- Résumé
Certains retraités rencontrent des difficultés économiques et/ou sociales et/ou en situation d’isolement.
L’avancée en âge de la personne est souvent accompagnée de la question du nouveau sens donné à son projet de vie.
Dans le diagnostic réalisé par les structures Oïkos (CCSRB, MQJJ CCSP et CCSBN), les retraités ont exprimé leur volonté d’être actifs, tout en restant autonomes et en bonne santé.
La démarche participative menée dans le cadre du contrat de projet a permis d’organiser une nouvelle commission de travail thématique, ayant pour but de répondre aux préoccupations exprimées par les usagers séniors.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Lutter contre les phénomènes d’isolement des seniors.
Proposer des animations favorisant la convivialité.
Proposer des ateliers de prévention et de bien-être (diététique, gymnastique d’entretien, randonnée, marche nordique).
Proposer des sorties à caractère culturel.
- Public
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Les éléments révélés par les différents diagnostics sont alarmants et reflètent, notamment dans le secteur « Pépinière 2 », une paupérisation économique, mais aussi une grande fragilité sociale et culturelle. Ces chiffres soulignent la fragilité du sous-quartier, avec des problématiques très nombreuses : vieillissement, dépendance économique et sociale, isolement et difficultés en matière d’emploi, de formation et d’accès aux droits et à la santé. Bien qu’implanté dans un territoire ne relevant pas des Quartiers prioritaires de la Politique de la Ville, le CCSP doit faire face aux mêmes problématiques que les équipements situés en zone sensible. L’adéquation des ressources de la structure avec le contexte contraint le projet de développement d’éducation populaire visant la lutte contre les inégalités sociales. La permanence de ce contexte a pour effet induit une orientation de l’approche généraliste vers la « fonction d’accueil ».
Mise en place d’une coordination entre les centres culturels et sociaux et maisons de quartier de l’association OÏKOS
Organisation de réunions de concertation et partage d’un programme d’action entre les centres OÏKOS prenant par à ce projet.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Usagers, équipes et bénévoles des stuctures partageant le projet d'inclusion des publics seniors.
Cela concerne pour l'anialtion de l'action au CCSP les membres de la commission thématique "vieillissement" soit 12 personnes.
- Résultat sur le territoire
Intervention transversale en concertation avec les partenaires.
Initiation d’une réflexion sur la thématique d’inclusion des publics « âgés »
- Résultat pour le centre social
La mission du centre socieal tient compte des publics particuliers et du contexte territorial (Pépinière 2). Le nombre de personnes en situation de fragilité et handicap et/ou d’isolement dans le quartier de la Pépinière justifie la considération de ses problématiques dans la fonction d’accueil de proximité de notre centre social. « Travailler à mettre en œuvre l’inclusion, c’est investir pour une société plus juste pour un mieux vivre ensemble. »
- Résultat pour les habitants
Chaque personne ne sera pas accueillie en tant qu’usager ou client d’un service proposé, mais comme habitant du quartier ou du territoire et partenaire potentiel du projet du centre social. L’accueil du centre est aussi un observatoire nous permettant d’identifier les ressources propres des habitants.
- Suite de l'action : Limites
Aniamtion necessitant des connaissances médico-sociales.
- Suite de l'action : Perspectives
Perenité et développment de l'action visant l'accueil et l'inclusion des personnes en situation d'isolement.
Actions
Journée citoyenne et républicaine édition 2018 : Mobilisation contre l'endoctrinement et la radicalisation.
- Structure organisatrice
- ASSOCIATION CULTURE LOISIRS EDUCATION (CLE) - Territoire de Belfort
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Journée citoyenne et républicaine du vendredi 30 novembre 2018.
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Vendredi 30 novembre 2018
Journée Citoyenne et Républicaine
Mobilisation contre l'endoctrinement et la radicalisation
de 9h à 23h, et davantage...
Salle de spectacle de la Pépinière
13, Rue Georges Danton - 90000 BELFORT
Dans le cadre de la Journée Citoyenne et Républicaine édition 2018, l’Association Culture Loisirs Education d’Offemont (CLE) a organisé à l'échelle du Territoire de Belfort, une manifestation majeure portée sur la formation, la mobilisation contre les dérives sectaires, l’endoctrinement et les risques de radicalisation.
Cette action était soutenue par les pouvoirs publics, les différents coopérateurs institutionnels dont la Préfecture du Territoire de Belfort, la CAF du Territoire de Belfort, la Région Bourgogne – Franche Comté, le Conseil Départemental du Territoire de Belfort, Le Grand Belfort, la commune d'Offemont.
Cette journée citoyenne a été l'occasion d'un grand rassemblement inter disciplinaire, au cours duquel tous les professionnels intéressés et interpelés au quotidien dans leur pratique ont eu un temps d'écoute, de formation, d'échanges, de réflexion, d'émotion et de partage.
Cette journée s’est déroulée : Vendredi 30 Novembre 2018 à la salle de spectacle de la Pépinière ainsi qu’au LP Diderot de BAVILLIERS.
Cette journée a été co animée par Marion STALENS, réalisatrice et Assad MOKHENACHE, Directeur de la CLE d’Offemont.
Marion STALENS, photographe et réalisatrice de renom, auteure de nombreux documentaires explorant de façon singulière des sujets de société prégnants, tels que la condition des femmes, l’immigration, le handicap, l’Afrique, la liberté d’expression.
Le documentaire « Revenantes » de Marion STALENS déjà diffusé sur France Télévision donne la parole à des femmes qui ont réussi à prendre suffisamment de recul pour raconter leur bascule dans la radicalisation qui a menée certaines d’entre elles au cœur de l’enfer de Daech en Syrie. Les questions qui traversent tout le documentaire : Comment plusieurs femmes ont pu adhérer à l’idéologie jihadiste ? Quels sont les ressorts qui les ont poussés à s’en sortir ?
Cette journée citoyenne et républicaine a comporté 3 temps forts (ateliers) :
1. Temps de formation, échange – débats autour notamment du travail d'enquête, d'investigation et de réalisation du documentaire "Revenantes" de 9h à 12h avec les professionnels intéressés par la problématique notamment de l’endoctrinement et de la radicalisation.
2. Rencontre et échanges avec des lycéens du LP DIDEROT à Bavilliers : Echange – débat à partir du documentaire les « Revenantes ».
Afin de poursuivre le travail de prévention, d’information et de lutte contre l’embrigadement, nous avons mis à disposition des équipes éducatives toute une série de modules pédagogiques : Récits de femmes, paroles d'experts, certains thèmes s’appuyant sur les témoignages de « revenantes » et le décryptage d’experts. Ce support pédagogique a fait l'objet d'un travail inter disciplinaire par les équipes éducatives du Lycée Professionnel Diderot.
L’échange s’est organisée cette année sous la forme de deux débats de 45 minutes, 1h avec à chaque session, près d’une centaine d’élèves.
Au final, les deux sessions ont été très riches, de nombreuses questions ont été posées, cela traduisait bien les interrogations et autres réflexions qui demeurent celles de ces adolescents, adolescentes. Ce nouveau format a été grandement apprécié par l’ensemble des partis investis et impliqués dans la démarche de dénonciation de l’endoctrinement et des processus de radicalisation.
3. Diffusion du reportage les « Revenantes » à partir de 20h à la Salle de spectacle de la Pépinière à BELFORT.
La diffusion du documentaire a été suivie d’un échange – débat entre Mme STALENS, M. MOKHENACHE et les nombreux spectateurs présents. Nous avons pu compter la présence de nombreuses personnalités, Mme ELIZEON Sophie Préfète du Territoire de Belfort aurait dû être présente, empêchée à la dernière minute par des évènements liés aux « gilets jaunes », plusieurs adjoints de la mairie d’Offemont, des représentants du Conseil Régional, de l’Université, de l’éducation nationale, des différents services de l’Etat.
Publics bénéficiaires ou cibles :
Pré-adolescents, adolescents, jeunes adultes et parents issus des QPV : près de 550 personnes dans le cadre de la Journée Citoyenne et Républicaine, édition 2019 : conférence-débat, échange avec du public étudiant, visionnage du court métrage "Tu iras au Paradis" suivi d'un débat avec le public.
Grand public et autres professionnels de l'animation, de l'éducation et de la prévention de la délinquance intéressés et sensibilisés par ces questions : 160 personnes.
L'ensemble des actions, projets développés et mis en œuvre au cours de l'année 2018 a touché près de 700 personnes. Cette journée citoyenne et républicaine a fait l’objet d’une interview croisée de Marion STALENS et d’Assad MOKHENACHE par une équipe de france 3 Bourggone Frnache Comté. La journée Citoyenne et Républiciane édition 2018 a fait l'objet d'un reportage diffusé lors de l'édition du journal d'information de 19h.
Indicateurs – évaluation :
Présence, régularité, investissement du public dans sa diversité, des jeunes particulièrement,
- La qualité des échanges et des débats suscités lors et à l'issue des séances et autres débats avec des intervenants, des spécialistes, des professionnels.
- La motivation lors de la conférence, diffusion du documentaire « Revenantes ».
- Une meilleure compréhension du concept du vivre ensemble, de la tolérance, de l'égale dignité humaine.
- L'acquisition d'un répertoire de connaissances et de références aux valeurs républicaines et citoyennes, humanistes et universelles.
- La prise de conscience de la dangerosité et de la haine de l'humanité que ces groupuscules djihadistes véhiculent de par leurs canaux de communication, de vulgarisation du principe de "théorie du complot".
Finalités recherchées :
Le projet visait également à susciter la réflexion, le questionnement, à lutter contre certains clichés, stéréotypes et autres représentations et à inviter au dialogue dans des conditions sereines et empreintes de sérénité, valeurs républicaines.
Il s'agissait de fait de permettre, faciliter une meilleure ou plus juste appréhension du monde par nos publics pré adolescents et adolescents en dénonçant notamment les injustices, la théorie du complot véhiculée sur la toile, contribuant par la même à faire évoluer les mentalités dans un esprit, espace citoyen pour tendre vers une compréhension du monde, des contextes géopolitiques qui ne soit pas biaisée, altérée par de la frustration, de la démagogie, de l'ignorance.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Action majeure de prévention contre l'endoctrinement et la radicalisation. L'objectif étant de vulgariser un certain nombre de concepts, de présenter au plus grand nombre les mécanismes et autres stratégies mises en oeuvre par des entités ou groupuscules fondamentalistes.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Un groupe de travail a été mis en place, il comportait des membres de l'équipe éducative et d'animation de la CLE d'Offemont, ainsi que des membres du conseil citoyen d'Offemont.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Plusieurs demandes de subventions ont été adressées aux partenaires : Préfecture du Territoire de Belfort, CAF du Territoire de Belfort, Conseil Départemental et Conseil Régional.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
L'ensemble de l'équipe éducative et d'animation, des membres du conseil citoyen, des adhérents et autres membres des secteurs jeunes et pré-ados de la CLE d'Offemont.
- Résultat sur le territoire
Cette action est une déclinaison locale d'une politique de prévention nationale, elle vise a dénoncer un certain nombre de clichés et autres représentations.
Elle ambitionne également de lutter contre la théorie du complot et du grand remplacement.
- Résultat pour le centre social
La journée citoyenne et républicaine met en exergue la politique éducative, de prévention et d'accompagnement vers une citoyenneté conscientisée et apaisée du centre social.
- Résultat pour les habitants
Ces temps d'échanges, de réflexion, de débats et autres conférences ambitionne l'aculturation, la vulgarisation d'un certain nombre de concepts et autres connaissances qui au final permettent aux habitants, bénéficiaires de porter un regard critique et objectif sur les bouleversements majeurs que ces idéologies ont amenés au cours de la dernière décennie.
- Suite de l'action : Limites
La journée citoyenne et républicaine n'est pas une fin en soi, elle ambitionne d'être reconduite chaque année afin d'apporter un regard, un éclairage singulier sur la lutte et autres mobilisations contre l'endoctrinement et la radicalisation.
- Suite de l'action : Perspectives
Le concept de la journée citoyenne et républicaine commence à faire des émules sur le territoire national, à savoir concentrer sur une journée plusieurs temps de réflexion, d'échanges, de débats, un volet conférence de sorte à toucher toutes les franges de la populations.
Actions
De nous à vous, de vous à nous vers un "Je " Collectif
- Structure organisatrice
- OIKOS - CENTRE CULTUREL ET SOCIAL DES BARRES ET DU MONT - Territoire de Belfort
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Mixité sociale
- Résumé
Cette action transversale se décline sur l'ensemble des différents projets.
Elle consiste d'une part à aller à la rencontre et au plus près des habitants à travers les animations hors les murs, et d'autre part de tenir informés les adhérents et les habitants des activités mises en oeuvre par différents canaux de communication : lettre d'info bi-mensuelle en 2019 et mensuelle depuis le janvier 2020, publications régulières et circonstaciées sur les réseaux sociaux.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L'action est mise en place pour sensibiliser les publics que nous n'accueillons pas forcément dans nos murs et d'être à leur écoute là où ils sont.
Elle vise à faire connaître le centre social et à amener des nouveaux usagers à le fréquenter tout en renforçant l'image d'un centre social et culturel ouvert à tous.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Nous élaborons des animations hors les murs dans différents lieux du quartier : au pied des immeubles, à la sortie des écoles, au sein des écoles. Les animations proposées permettent la participation active des publics à travers divers ateliers autour de l'art plastique, la découverte de l'art floral, de pratique culturelle et numérique, des sorties aux Musées et au théâtre...
L'équipe professionnelle travaille étroitement avec les bénévoles sur la programmation des animations hors les murs, la rédaction de la lettre d'info. Les publics concernés expriment leurs ressentis sur les animations expérimentées.
Nous transmettons les informations dans la lettre d'info mensuelle publiée en version numérique et en version papier.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
6 bénévoles
3 professionnels
5 intervenants
- Résultat sur le territoire
Accompagnement des habitants dans des lieux par le biais de partenaires.
Plus de lisibilité et de visibilité des actions menées.
- Résultat pour le centre social
Echanges informels avec les habitants sur le quotidien du centre social, les missions et les activités possibles. Venue des habitants que nous ne verrons pas par ailleurs.
Une action transversale fondée sur un travail intersectoriel qui rend visible et accessible un lieu socioculturel.
Communication fluide entre les différents secteurs d'activité et les associations hébergées.
- Résultat pour les habitants
L'habitant existe au sein d'un groupe à travers l'expérience collective des ateliers hors les murs.
L'habitant se saisit des thématiques des animations hors les murs pour appréhender le centre social et culturel dans la diversité de ses missions socio-culturelles et éducatives.
- Suite de l'action : Limites
Certains publics potentiels demeurent toutefois à l’écart et toujours éloignés par leur représentation d'un centre social (ne se sentent pas concernés par le social).
Les publics ne sortent pas forcément de leurs propres murs.
La programmation des animations hors les murs se fait généralement durant les beaux temps.
- Suite de l'action : Perspectives
Développer des animations plus attrayantes par la recherche de collaborations avec les structures culturelles.
Etablir des relations suivies avec les familles et les publics touchés lors des animations hors les murs en se déplaçant dans tous les lieux de vie (habitations, locaux à usages collectifs, espaces extérieurs...) pour qu'ils puissent avoir la lettre d'infos.
Travailler avec l’ensemble des partenaires et acteurs locaux sur la compélmentarité et la transversalité des actions menées pour que chaque "je" ait sa place au sein du collectif et que le collectif soit porté par chaque "je".
Actions
Jardin partagé des Glacis du Château
- Structure organisatrice
- OÏKOS - MAISON DE QUARTIER DES GLACIS DU CHATEAU - Territoire de Belfort
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- éducation / scolarité
- développement durable
- Résumé
Le Jardin partagé des Glacis du Château est devenu un outil pédagogique pour les acteurs du quartier. Outre la Maison de Quartier des Glacis du Château qui coordonne le projet aux côtés de l'agent de développement social de la Ville de Belfort, participent à sa culture et à son animation les deux écoles maternelles du quartier, le multi-accueil, le centre de loisirs, la Régie des quartiers, l'EPIDE et l'ADAPEI du Territoire de Belfort. Ces acteurs ont été accompagnés en 2019 par l'association Permakids qui leur a proposé des ateliers autour du jardinage et de la permaculture. La maison de quartier, quant à elle, a notamment organisé des animations relatives à la réduction des déchets et aux économies d'énergie, à l'alimentation ou encore à la connaissance des plantes potagères.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pour nourrir le lien avec la nature, le quartier des Glacis du Château à Belfort dispose, depuis 2017, d'un jardin partagé. D'abord peu investi par la population du quartier, il a connu des dégradations qui ont découragé les habitants mobilisés. Aujourd'hui, les acteurs du quartier, fédérés au sein d'un collectif, s'y investissent de manière coordonnée, chacun avec son public et ses compétences, pour en faire un véritable outil pédagogique de développement social. Des ateliers éducatifs pour découvrir la biodiversité sont proposés. Ces animations portent sur la permaculture, le compostage, le jardinage et la protection de l'environnement.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Le Jardin partagé des Glacis du Château a été mis en place au printemps 2017. Aujourd'hui, il est cultivé et animé par de nombreux acteurs du quartier : la Régie des quartiers, l'ADAPEI 90, les écoles maternelles, le multi-accueil municipal, l'Accueil Collectif de Mineurs porté par la Ville de Belfort, l'EPIDE et par les habitants. La coordination de ce collectif est assurée par la Ville de Belfort et OÏKOS-Maison de Quartier des Glacis du Château.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le budget de l'action était de 8 205 euros en 2019 hors charges supplétives et ces dernières s'élevaient à 3 380 euros.
En 2019, les principaux financeurs du projet étaient la Région Bourgogne-Franche-Comté et l'Agence de Services et de Paiement.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Environ 200 personnes en 2019 (enfants, adolescents, adultes et seniors).
- Résultat sur le territoire
Aujourd'hui, les habitants du quartier des Glacis du Château se sont appropriés le jardin et il est un lieu de rencontre et de partage pour ceux-ci et pour les structures intervenant aux Glacis et leurs usagers.
- Résultat pour le centre social
Le projet "jardin partagé" a permis à la Maison de Quartier des Glacis du Château de renforcer ses partenariats avec les autres structures situées dans le quartier (établissements d'accueil du jeune enfant, établissements scolaires, structures sociales...). De plus, le jardin partagé est un lieu particulièrement adapté pour réaliser des animations de sensibilisation au développement durable.
- Résultat pour les habitants
Le jardin partagé est devenu un lieu de rencontre et de co-réalisation pour les habitants du quartier des Glacis du Château.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
A partir de 2020, le projet éco-citoyenneté va encore se développer. En effet, OÏKOS-Maison de Quartier des Glacis du Château proposera des sorties nature (balades familiales thématiques, en partenariat avec le CCAS de Belfort), des ateliers de cuisine "zéro déchet", des animations "bien manger" et des ateliers "Do it yourself". De plus, un groupe de travail "prévention des déchets" se réunira à partir de septembre 2020 pour réfléchir de manière coordonnée aux actions à mettre en place pour lutter contre le gaspillage et les dépôts sauvages dans le quartier.