Nos différences : c'est notre point commun ?, c'est :

• 1854 passages de jeunes et moins jeunes,
• 4 spectacles, 6 conférences, 3 ateliers, 7 films organisés en Cœur de Savoie

• Une Journée « Différences » à St Pierre d’Albigny : 244 passages dans la journée + 200 repas le soir, cuisinés et servis par les participants et les bénévoles des ateliers « langages » et les membres des commissions de l’ACA de la Combe de Savoie + 8 stands d’information, 3 expositions, 1 atelier d’écriture, 2 grands jeux, 1 table ronde, 2 ateliers animés.
• Création d’une bande dessinée, de 2 poèmes,  de 5 films et  2 chansons dont une avec un clip, par des jeunes âgés de 12 à 17 ans et accompagnés par les équipes d’animation « jeunesse » de la CCC de Savoie et de l’ACA de la Combe de Savoie.
• Création d’un film par les jeunes du Centre Scolaire et Educatif « La Plantaz ».

Mais aussi :

• Entre février et mars 2013 : 250 jeunes du Collège « Les Frontailles » à St Pierre d’Albigny, 125 jeunes du Collège « Val Gelon » à La Rochette, 140 jeunes de l’école N°1 de Pitesti (Roumanie) consultés sur leur représentation de « La différence ».
• 2 voyages d’études en Argès (Roumanie) du 19 au 23 mai 2014 et en Savoie (France) du 17 au 22 novembre 2014, organisés par la CCCdeS et l’ACACS avec l’appui de Pays de Savoie Solidaire ; la participation de la Sauvegarde de l’Enfance et de l’Adolescence de Savoie, du Centre Scolaire et Educatif de « La Plantaz », du Service Enfance/Jeunesse/Famille du Conseil Départemental, de l’Association Nationale de Prévention en Alcoologie et Addictologie de Savoie et l’éclairage de Daniel Marcelli (Professeur de Psychiatrie de l’Enfant et de l’Adolescent), d’Abdessalem Yahaoui (Enseignant Chercheur à l’Université de Savoie en Psychologie Clinique Interculturelle) et Maria Constantinescu (Directrice du Département Assistance Sociale de l’Université de Pitesti)
• A Pitesti, des jeunes de l’Ecole N°1 et de l’association Argès Solidaire ont réalisé :1 pièce de théâtre, 1 exposition de photos et de dessins, 2 films d’animation et 4 courts-métrages
• Des ateliers «  théâtre d’impro » pour 25 jeunes et 1 spectacle pour les classes de 5ème et une séance en famille au Collège « Val Gelon » accompagné par l’équipe d’animation de la CC de Cœur de Savoie.

Un film réalisé par les étudiants de licence pro "Métiers de l'audiovisuel" du Bourget du Lac permet de présenter rapidement les actions de sensibilisation du mois de novembre 2014.

Afin de permettre aux enfants de l'école maternelle du quartier, ceux de la crèche, ceux reçus par des assistantes maternelles et des habitants du quartier avec leurs enfants de moins de 3ans, de rencontrer les personnes âgées, souvent isolées, de la Maison de Retraite du quartier. Au cours de l'élaboration du projet se sont rajouter les séniors fréquentant les activités gym douce et cuisine du Centre Social.

Pour la troisième année consécutive la MQD a participé en 2014 / 2015 à l’action MAD (Musiques à Découvrir) initiée par Trampolino et organisée en partenariat avec les Lycées. Cette action se déroule en 2 phases. Un groupe de lycéens est formé à l’organisation d’un concert par deux animateurs ACCOORD s’appuyant sur un contenu pédagogique élaboré avec Trampolino : règlementation, technique, communication, médiation… Ils organisent un premier concert dans leur lycée avec des groupes repérés dans l’établissement. Ils participent ensuite à l’organisation d’un 2ème concert à la MQD qui réunit sur scène un groupe lycéen sélectionné par eux et deux groupes d’amateurs confirmés repérés par l’ensemble des partenaires.

Un festival autour de la musique organisé sur deux centres, en parallèlle et en complémentarité.

3 objectifs:

- une action en partenariat avec le CSC Perray

- une mixité de tous nos publics

- un évènement festif et convivial, visible

un programme d'animations et  de spectacles autour du thème de la musique pendant 4 jours.

Permettre aux habitants du quartier de créer un événement culturel en exposant des oeuvres artistiques 

Sensibiliser les habitants à l'approche artistique et valoriser différents supports artistiques

Faire découvrir différentes formes d'art

Permettre à des artistes amateurs et professionnels de se rencontrer

Animer un atelier culturel et artistique au sein du collège de Méréville, autour de la typographie, du lettrage et des mots, par le jeu et l'exploration

mise en place d'un groupe de réflexion qui alimente et évalue le projet familles de l'association

Projet partenarial visant à travailler le partenariat autrement. Cette action consiste à proposer à l'ensemble des partenaires d'actions de réaliser une oeuvre collective (entre collègues, avec les publics) exposée au centre social en fin (sur une semaine) et clôturée par une journée festive.

Cette oeuvre doit représenter un sapin quelque que soit sa forme, ses matériaux.

Les partenaires visés sont : écoles, IME, Sessad, crèches, CCAS, maisons de retraite ou Ephad, foyers ados, centre de loisirs, collèges, maison des solidarités (CD), bibliothèque muncipale,...

Cette action vise à permettre la résolution de conflits par un procédé pédagogique animé par les habitants eux mêmes (et non des professionnels).

Le marché de Noel a lieu chaque année le premier samedi de décembre.

Il s'agit d'un marché de noel associatif ou toutes les réalisations vendues sont faites par les acteurs du territoire (les enfants de la maternelle, de l'élémentaire, les collégiens, les adultes, les seniors).Les fonds collectés sont reversés  intégralement à des associations pour soutenir divers de divers projets.

Le jour du marché de noel il y a les stands de vente, mais diverses animations sont aussi proposées: ballade en calèche, spectacles de Noel, réalisation de contes de Noel, atelier maquillage, atelier parents enfants sur la réalisation de strucutres de ballons...).

Une ballade aux lampions à la tombée de la nuit cloture cette journée;Celle-ci est animée par un spectacle artistique qui illumine le quartier à différents endroits le temps d'un moment.Lors du final un feu d'artifices est proposé.

Dans le souci d’associer les jeunes dès l’élaboration du projet, une première phase de sensibilisation aux pratiques artistiques et culturelles a été prévue : rencontres avec des artistes divers (sculpteurs, peintres, dessinateurs, musiciens…), autour d’ateliers de créations artistiques, visites d’expositions, de musées.

Au fur et à mesure des rencontres, des réunions et des échanges,nous avons impliqué les jeunes au coup par coup en fonction de leurs envies : certains ont préférés s'impliquer dans la mise en place de sorties, d'autres sur la mise en place des ateliers artistiques, et d'autres pour l'installation de la manifestation.

- La conception de plaquettes d’information, d’affiches en direction des habitants

- L’organisation de sorties, de spectacles et d’un temps fort en direction de tous les habitants du quartier.

- L’élaboration d’une exposition « vivante et interactive » dans le quartier (Art éphémère, visite guidée).

- La Participation à « La nuit des musées ».

Les jeunes ont été encadrés et/ou accompagnés par des adultes référents, qui ont joué un rôle prépondérant dans la mobilisation des publics en créant des conditions favorables à leur implication et à leur participation active dans la mise en œuvre du projet

• Un animateur a été chargé de l’encadrement des jeunes tout au long du projet. Il s’agit d’une personne déjà en poste sur la structure qui a assuré le lien et la coordination du projet et a été là en soutien de toutes les démarches et initiatives des jeunes. De manière plus globale, la responsable du secteur jeune a eu un rôle de coordination du secteur et de toutes les actions s’y référent.
• Un réseau de partenaires a été constitué et associé au projet (Club de Prévention, collège, Service culturel de la ville, Musée de l'Ardenne...) et tout autre partenaire agissant dans les domaines culturels ou en milieu artistique et qui ont souhaité accompagner les jeunes dans ce projet).
• Les habitants et associations de quartier qui sont souhaité être associés à l’organisation des actions culturelles et à l’animation globale du quartier.

Ce projet  aussi issu d’une volonté de recréer une dynamique partenariale sur le quartier et développer une politique commune en faveur de la jeunesse. Ont été associés les partenaires de l’insertion (Mission Locale, CIO…), les partenaires culturels (un représentant du Service culturel de la ville de Charleville-Mézières, un représentant de l’ORCCA, le directeur du musée de l’Ardenne…), les associations d’habitants (qui organisent aussi des manifestations culturelles et/ou festives sur le quartier), l’ACEPA,  le collège Scamaroni…

Des liens permanents ont été établis au sein du Centre Social entre les différents secteurs (qui organisent aussi, chacun à leur niveau, des actions d’éveil artistique et de promotion de la culture).

En partant d’un projet de jeunes, c’est le développement social et l’animation globale du quartier qui ont été principaux objectifs à travers cette action.

C’est aussi une manière de mettre en valeur leurs compétences artistiques et de mettre en avant leurs aspirations culturelles, autant d’entrées permettant la mise en évidence de compétences et la valorisation des jeunes du quartier.

C’est durant l’Organisation du temps fort que l’implication des habitants du quartier a été la plus forte. Ils se sont mobilisés dans toutes les étapes de mise en place de cette manifestation sur leur lieu de vie.

Date : le 17 mai 2014(Nuit des musées)

De 18h00 à 24h00

Lieu : Quartier de Manchester

Présentation de l’évènement :

• Une structure posée sur la place de Manchester
  • expositions interactives des œuvres réalisées dans le cadre des ateliers artistiques (depuis septembre 2010)
  • visites guidées du musée et ateliers artistiques participatifs avec les habitants du quartier
  • présence d’artistes et expositions d’artistes locaux (ORCCA…)
• Une animation musicale (groupe) en soirée
• Un espace restauration et buvette 

Projet d'échanges franco sénégalais qui s'est déroulé en 2 parties :

1 - Echanges de pratiques entre animateurs français et Sénégalais :

2 - Echange de jeunes franco-sénégalais bilatéral : Ce sont donc deux groupes de jeunes qui sont mobilisés à quelques milliers de kilomètres l’un de l’autre avec un objectif commun : se rencontrer et échanger.

L’approche privilégie un large partenariat associant la population, les professionnels médicaux, sanitaires et sociaux, l’Education Nationale et les collectivités territoriales, l’équipe pluridisciplinaire de l’association.

Objectifs généraux :

Faciliter l’accès de tous à la prévention, aux droits et aux soins, et notamment les plus démunis.

Promouvoir la santé en agissant sur le renforcement des compétences et l’adoption de comportements favorables à la santé

Projet :

Organisation de plusieurs temps forts (forum, rendez-vous santé, animation…) dans l’année autour du thème « Ma santé, j’en prends soin » :

• Mise en place d’ateliers hebdomadaires : Gymnastique douce, détente/bien être et marches actives

• Proposition dans les écoles primaires et/ou maternelles d’Elbeuf, ainsi qu’auprès des jeunes des centres de loisirs du quartier, des animations autour de la nutrition, l’hygiène bucco-dentaire, le sommeil... Les thématiques pourront être modifiées selon les besoins et le travail avec les différents partenaires.

   

• Ce projet s’appuie sur un groupe « d’habitants acteurs » :

• Ces habitants s’informent et se forment sur des thèmes de santé globale leur permettant :

  • De bénéficier de connaissances en santé par des temps d’échanges avec des professionnels de santé, tels que diététicienne, médecins généralistes, spécialistes et associations médico-sociales ou par des conférences, initiatives locales.

                   .   Ces habitants s'impliquent , ce qui favorise leur participation lors du forum, des ateliers, des animations auprès des écoles et des rendez-vous santé

 Il s'appuie également sur le réseau partenarial local

• Repérer et associer les partenaires pour la réalisation du projet.

• Proposer aux établissements scolaires à inscrire notre action « Ma santé j’en prends soin » dans le cadre des projets pédagogiques.

• Assurer un partenariat avecl’Atelier Santé Ville du territoire Elbeuvien .

• Mise en place d'activités physique régulières, toutes lles emaines tel détente, gymnastique et marches actives.

Le CSP place la lutte pour l’Egalité au cœur de son projet en 2015. Volonté se traduite par la mise en œuvre d’actions en direction des publics les plus exposés aux discriminations, au premier rang desquels les femmes qui continuent de faire face à des inégalités de traitement importantes, notamment dans le monde professionnel, et demeurent les premières victimes de violences psychologiques ou sexuelles.

Campagne soutenue par le CA du CSP, les habitants, et des partenaires (Région, Ville...) pour mettre l’accent et dénoncer les stéréotypes : partage équitable des rôles, des tâches, loisirs ; parfois difficile au sein d’une famille. Le CS Pons’est engagé pour agir en termes d’éducation à la citoyennetév en faveur d’une meilleure égalité femmes-hommes.

 Actions menées

• L’idée d’une affiche est prévu afin que le message passe par un slogan, une question choc ou un ton décalé. Travailler, jouer sur les stéréotypes... L’affiche doit être déclinable sur les différents stéréotypes. Pour que cela ait plus d’impacts, un personnage sera représenté sur chaque affiche tout en conservant une partie centrale commune à chaque affiche.
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• Lancement de la campagne au forum des associations de Pons, avec une exposition adaptée et animée. Diffusion de la campagne à l’occasion de la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes en novembre 2014, dans l’ensemble du territoire, à l’aide de différents supports (cartes postales, expo, etc…), dans différents lieux du secteur (associations, commerces, etc…)
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• Réalisation d’un kit pédagogique utilisable par les écoles, les centres de loisirs, etc…pour présenter la campagne de communication et permettre d’engager la discussion avec les élèves.
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• Proposer un atelier théâtre forum - des séances dans les écoles, collège, lycée et au centre de loisirs, avec des sujets adaptés, afin que les enfants et jeunes puissent se rendre compte eux-mêmes de la nécessité de faire évoluer les mentalités.
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• Mise en scène de petites scénettes de la vie quotidienne. La sphère familiale, privée, parait alors comme l’endroit où la possibilité d’agir est essentielle. Entrer dans le quotidien des personnes permet de changer les mentalités petit à petit. L’humour peut faire changer beaucoup de choses…
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• Mettre en place des ateliers philosophiques «filles/garçons ? » proposés aux enfants et jeunes et animés par les bénévoles de l’association dans le cadre de notre action d’accompagnements à la scolarité.
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• Une sensibilisation aux discriminations sexistes proposée via la littérature de jeunesse en partenariat avec la bibliothèque municipale.
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• Le développement d’activités sportives et culturelles à destination des filles, des femmes dans le projet de la structure.
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• Un projet pédagogique des centres de loisirs axé sur la culture, la citoyenneté et la mixité permettant de travailler sur la déconstruction des stéréotypes.
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• La valorisation de parcours  féminins. Réalisation d’une exposition sur l’exercice de métiers au féminin pour rappeler l’égalité professionnelle entre hommes et femmes, en lien avec une programmation confiée à des femmes artistes.
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• Des aides matérielles aux associations, en partenariat avec le tissu associatif, œuvrant pour les droits et la cause des femmes.

La ludothèque est un espace de jeu pour les habitants de 0 à 99 ans.

Pour les habitants c'est :

• C'est 12h d'ouverture par semaine pour jouer sur place
• Prêt de jeux pour 3 semaines maximum
• Location de jeux en bois
• La possibilité d'organiser l'anniversaire de son enfant sur place
• Des animations à la médiathèque
• Des animations en pied d’immeubles dans les différents quartiers de la ville

C'est aussi :

• L’intervention 1 fois par mois dans chaque classe des deux écoles maternelles de la ville.
• C'est l'accueil de 2 classes de maternelles sur place dans l'année
• C'est l'accueil d'une classe de CM1 une fois par mois
• C'est l'organisation de la fête du jeu

Cela permet aussi d'alimenter les animations périscolaires, les centres de loisirs du mercredi et des vacances, l’accompagnement scolaire, l’accueil jeune…

Projet pédagogique ludothèque de Guilers

La ludothèque est un équipement culturel où se pratiquent le jeu libre, le prêt et des animations ludiques. Sa structuration autour des jeux lui permet d’accueillir des personnes de tout âge. Le principal objectif d'une ludothèque est de favoriser la pratique du jeu pour faire reconnaître l'importance de son rôle éducatif, social et culturel.

C'est grâce au jeu que l'enfant se construit, se confrontant à lui même et aux autres. En effet, c'est en échangeant avec autrui (enfant ou adulte), en coopérant, en s'associant, que l'enfant grandit et acquiert une plus grande autonomie.

Rôle éducatif

La ludothèque est avant tout un lieu de sensibilisation au jeu et aux valeurs qui vont avec (respect des règles, des autres joueurs et du matériel). C'est un lieu propice à l'apprentissage de l'autonomie et de la responsabilisation.

Rôle social

Tous les enfants ont les mêmes chances de s'épanouir par le jeu. La ludothèque propose un espace favorable à la socialisation et à la rencontre de l'autre, un lieu ouvert aux différences afin d'encourager l'intégration.

Le jeu étant un outil de médiation, une des missions des responsables de la ludothèque est de mettre en valeur le jeu comme un moyen de communication privilégié. L'accueil et le conseil y sont très importants.

Rôle culturel

La ludothèque est un lieu de découverte qui accueille tous les publics, sans discrimination d'âge, d'origine ou de culture. On se confronte aux autres autour d'une table, autour d'un même jeu et en toute égalité. La découverte des jeux du monde permet aux enfants d'accéder à la culture par un moyen ludique.

Interventions auprès des enfants du voyage, sur les aires d'accueil, avec un enseignant de la mission Enfants du voyage de la DSDEN, autour du livre, avec le centre social mobile.

Il s'agit de faire venir la bibliothèque sur les aires d’accueil : séance de choix de livres pour le prêt (15 jours) et une séance de lecture, chaque mercredi.

Animation tous les matins à l'école maternelle et élémentaire, par l'animatrice du secteur adultes famille, d'un espace où les parents sont accueillis après avoir déposé les enfants à l'école.

Ces temps collectifs permettent de mettre en lien les parents avec le projet de l'école , de créer des réseaux d'entre aide entre parents, de faire émerger les situations qui posent problème aux parents vis à vis de la scolarité de leurs enfats, d'être médiateur entre certains parents et l'école, de faire le liens entre les parents et la vie du quartier.

Les Z’haubaneries restent un évènement très attendu, temps festif autour du jeu et du spectacle vivant au sein de la Maison des Haubans et sur l’espace public Malakoff/Pré Gauchet. L’équipe se mobilise avec de nombreux acteurs associatif pour créer la surprise, l’étonnement et donner accès la culture pour tous. Le principe de gratuité est un parti pris pour que tous les habitants de Malakoff puissent accéder aux spectacles et aux animations. La 4ème édition a une fois de plus permis aux habitants de participer à des ateliers créatifs, de bénéficier d’espaces de rencontres et d’assister à des spectacles en famille. L’équipe avec les associations partenaires ose la métamorphose de  l’ambiance de la Maison des Haubans suivant une thématique, ce qui surprend le public et suscite l’intérêt de participer aux animations de la semaine.

Cet évènement est très apprécié des habitants sur la période de l’hiver propice à une ambiance plus morose…. Ce projet piloté par la ludothécaire est en co pilotage avec l’équipe de quartier qui finance dans le cadre du GPV les prestations qui ont lieu sur l’espace public. Cela nous permet d’avoir des prestations de qualité en direction du grand public.

Lutte contre les ruptures scolaires au collège. Ce projet comporte trois cimentions; les adolescents, les parents et la communautés éducative. Il s'agit d'un projet coconstruit avec un collège en rep+ sur le constat que de nombreux élèves se voyaient sanctionnés de 3 à 8 jours d'exclusion facteur pour nombre d'entre eux de désaffiliation et d'assignation à la marge. Les élèves sont repérés par la CPE qui organise une réunions avec leurs parents et le référent jeunesse du centre social. Nous expliquons aux parents que s'ils le désirent leurs enfants viendrons 6 jeudi consécutifs au centre social, que cela fera partie de leur emploie du temps. Au centre social, ils poursuivront leurs apprentissages sous un autre angle, par une revalorisation de leur estime de soi proposé par une psychologue et son atelier de parole, par un acteur et son atelier d'improvisations, par un artiste et la réalisation de petites créations et par des animateurs sur des loisirs éducatifs. Le dernier jeudi est consacré a un bilan construit avec les ado et un repas confectionné par eux ou ils invitent leurs parents et leurs professeurs. Parallèlement nous proposons aux parents de participer à un "atelier de pratiques parentales" organiser par le référent jeunesse et une psychologue. Les parents des enfants concernés sont avec d'autres parents dans cet atelier. Une réunion d'analyse de pratique est organisée entre les professeurs et les animateurs jeunesse du centre social.

Le projet consiste à programmer des sorties culturelles diversifiées (concert, spectacles, expositions, musées, etc.) ouvertes à un large public en utilisant les ressources internes à Pont de Claix et les offres culturelles de l'agglomération. Afin de s'assurer que les publics visés se sentent concernés par les sorties proposées, des habitants sont en charge de sélectionner ces dernières afin de proposer un programme trimestriel de sorties. Ce groupe participatif constitué est accompagné par des professionnels des centres sociaux en lien avec le service culturel ou tout autre service jugé pertinent. Le groupe participatif se réunit une fois par trimestre pour élaborer une programmation trimestrielle (une sortie collective en moyenne par mois) dans l'agglomération grenobloise. Chaque sortie est accompagnée par un habitant référent et/ou par un professionnel. Le déplacement sur le lieu de spectacle s'effectue en covoiturage ou transport en commun, le lieu de rendez-vous étant fixé au départ des centres sociaux. Le spectacle peut avoir lieu en journée, en soirée ou même le week-end. Le nombre moyen de participants par sortie est fixé à environ 12 habitants. A l'issue de chaque sortie, il est prévu un temps d'échanges entre habitants afin que chacun exprime son ressenti. Les relations entre l'Amphithéâtre et les habitants se sont développées au cours des années : présentation de la programmation, discussion autour des envies culturelles des Pontois, création de temps d'échanges avec les artistes en amont de la programmation des spectacles, etc...

Toute l’année le médiateur social du Centre Socioculturel de la Côte Sainte Catherine  accompagnera 12 enfants de 10 à 12 ans afin d’acquérir des techniques de médiation : travail sur les émotions et sur l’écoute, connaissance du groupe, vocabulaire du médiateur ( mots clefs, reformulation….), message clair, utilisation des outils du médiateur et création d’outils.

Les enfants seront séparés en 2 groupe : le premier groupe avec les enfants ayant participés au projet l'année dernière et le deuxième groupe avec des nouveaux enfants ciblés par les paretenaires et notre structure. L’animateur organisera des rencontres avec les deux groupes afin qu’ils échangent sur leurs expériences et ressentis.

L'année dernière, les enfants ont organisé avec le médiateur une sortie citoyenne et culturelle à Strasbourg. Ils ont été visiter le parlement européen et visiter le parc de l'orangerie. Cette année, les enfants feront une sortie à Paris sur une journée. L’organisation complète de la journée sera travaillé avec les enfants durant l’année.

Une sortie au cinéma sera également proposée aux enfants. Ils choisiront un film sur la thématique du vivre ensemble. Par la suite, un travail de débat autour du film sera organisé avec les enfants.

L’association Au Foin De La Rue développe ces actions spécifiques (PDC) en mettant l’accent sur la diversité des propositions dans un seul et même parcours (rencontres, ateliers, visites, insertion dans les équipes bénévoles... Ils sont mis en place en partenariat avec les habitants, des structures médico-éducatives, de réinsertion, des établissements scolaires (du primaire au lycée), des services jeunesse, maisons de retraite... et sont la réponse aux besoins des structures d’accueil et d’Au Foin De La Rue.

L’objectif est de créer du lien sur le territoire et permettre d’échanger, expérimenter et pratiquer. L’interaction qui s’exerce entre les participants, les acteurs locaux pendant les actions renforcent ce en quoi l’association croit depuis ses débuts : générer une agitation créative dans la rencontre.

De quoi parlons-nous ?

« Parcours » : notion de chemins partagés qui répondent conjointement à des objectifs développés par les partenaires (structure(s) / Association Au Foin De La Rue)

« Diversité » : notion qui renvoie à un ensemble de personnes qui différent les unes des autres par leur origine géographique, socio-culturelle ou religieuse, leur âge, leur sexe etc. Ici le terme induit une volonté de « faire-ensemble », de tisser des liens inter structures et d’offrir plusieurs temps artistiques et culturels

« Culturelle » : notion qui vise à garantir à chacun la liberté de vivre son identité culturelle et d’assurer les individualités de chacun(e) dans le collectif

L’association Au Foin De La Rue a pour objet de promouvoir les pratiques artistiques centrées autour des musiques actuelles, des arts de la rue, des arts plastiques ; d’organiser des évènements et actions de sensibilisation sur ces thèmes auprès de tous les publics comme ceux qui pourraient en être éloignés.

La volonté de l’association est de faire vivre et valoriser ces expressions culturelles en milieu rural en contribuant à l’engagement citoyen de ceux et celles qui y participent, quelques soient leurs origines ou leurs particularités. Le choix a été fait de mobiliser un emploi salarié consacré aux actions culturelles qui assure leur développement et leur mise en oeuvre.

Aussi, l’association Au Foin De La Rue s’engage dans un travail de partenariat avec différentes structures du territoire mayennais s’adressant à divers publics. Le partenariat se déroule en étapes de novembre à juillet et en fonction du projet convenu entre les participants. Malgré plusieurs évènements annuels, la plupart des parcours trouvent le point d’orgue est le festival Au Foin De La Rue.

L’association s’engage alors à accompagner le projet des participants, fournir un soutien technique et/ou pédagogique et s’assure de la communication du projet auprès des acteurs du festival (bénévoles, partenaires, festivaliers, etc.) afin de réunir les meilleures conditions d’accueil aux publics concernés et valoriser leurs implications.

Les objectifs d’un « Parcours Diversité Culturelle » :

• Fédérer les participants autour d’un projet global de spectacle vivant

• Viser une ouverture dans le domaine culturel d’une association et de son festival et notamment sur celui des Musiques Actuelles par le biais de la création artistique

• Partir des capacités de chacun pour produire une oeuvre collective

• Appréhender l’espace par la gestion de volumes importants (si projet scénographique)

• Permettre aux participants de disposer d’un lieu d’exposition (site du festival, site de L’Etang, centre-bourg ou ailleurs)

• Créer du lien social à petite et grande échelle

• Accompagner pour mener à l’autonomie pour que chacun soit considérer à part entière

Au Foin De La Rue s’engage à :

• Fournir aux participants un local de travail («La Déco», «Le Cube - studios de répétition» ou d’autres lieux à Saint-Denis-de-Gastines) afin de construire son projet en amont si besoin

• Etudier avec chaque structure la faisabilité de son projet et en assurer un suivi

• Placer un cadre structuré et être un soutien pour les structures participantes, habitants

Le déroulé d’un Parcours Diversité Culturelle :

#1 Novembre - Rencontres avec l’ensemble des partenaires potentiels pour échanger sur la co-construction d’un projet annuel partagé entre l'association, le collectif d'habitants, citoyens, etc.  en vue de signer une convention déclinant les étapes souhaitées et défendues dans ce Parcours Diversité Culturelle.

#1 bis Novembre à janvier - Mise en forme et écriture du projet par les participants avec soutien de l'association et signature d'une convention (dès lors qu'il s'agit d'une structure juridique)

#2 Début février - Dépôt du projet qui devra impliquer la notion de parcours avec un début et une finalité sur un événement ou non

#3 Février à ...- Visites / présentations, concertations, ateliers, rencontres diverses (faire-ensemble) au local de l’association ou au sein de l’établissement d’accueil

En parallèle - Selon les envies et les possibilités, participation au cours de l’année aux évènements de l’association afin de prendre connaissance du travail de l’association à échelle réduite. Permettre à chacun de s’approprier la dynamique de l’évènement, rencontrer les bénévoles et démystifier ce qu’il peut représenter

#4 Selon «évènement support choisi» - Conclusion du partenariat par la participation au «montage / démontage» du projet (sur un des évènements de l’association) afin de concrétiser le travail effectué pendant l’année

#5 Fin de saison (juillet ou plus tard) – Au Foin De La Rue fait le bilan avec chacun(e) des participants et appuie sur la projection pour l’année suivante.

Les Olympiades de la Haute-Bigorre s'inscrit dans le cadre des "Jeux de Paris 2024". L'objetcif est de réunir toutes les écoles de la CCHB, d'inviter les élèves de CM1-CM2 à partager une journée de rencontre et de partage sportive. Cette journée est l’occasion de célébrer les valeurs du sport olympique et paralympique portées notamment par la Chartre Olympique : engagement, excellence, égalité, respect, amitié, inclusion et partage.