Les actions des centres sociaux

• Le centre social

Un film sur ce projet a été réalisé en 2016. Un autre le sera en 2017.

Pour envoi de ce film: écrire à direction@ccsrb.fr

Cette mise en place s'est faite en 2009 car les jeunes accueillis au CCSRB sont des 16-20 anset Nous avons constater

- Que les jeunes étaient souvent tout désir, tout plaisir (vitesse, conduite sans permis, addictions, narcissisme....)

- Que la mobilité professionnelle, sociale, dépend beaucoup d'un permis de conduire qui était difficile à engager pour les jeunes des QPV avec peu d'opportunité économique.

C'est pour cela que nous avons mis sur pied ce projet avec d'autres comme la recherche de jobs d'été (spour complêter le financement) ou des séjours internationaux (pour aller vers plus de mobilité) qui favorisent l'autonomie et la responsabilité.

Partenaires d'action:

• Association locale
• Association nationale
• Caf
• Conseil régional
• Entreprise privée
• Fondations
• Préfecture

Cette action débute toujours en février par une réunion d'information à tous les jeunes de 16 à 19 ans désireux d'avoir le permis de conduire. Environ 60 à 80 jeunes viennent à cette réunion. Après cette réunion où sont données le principe de l'engagement, 40 à 50 jeunes confirment leur souhait de faire partie et ce sont les animateurs qui font le choix de 30 jeunes avec le moins d'opportunité économique (QF) en garantissant une mixité filles-garçons.

Les modules se déroulent de mars à juillet (vacances, mercredis...). L'évalutaion est faite en septembre de même qu'une restitution devant financeurs et famille en octobre avec film et témoignages construits des jeunes.Pour l'instant depuis 2009 sur 100 jeunes qui sont entrés dans ce projet seuls 3 n'ont pas respecté l'engagement d'aller jusqu'au bout de la démarche

Sur présentation d'un devis d'une auto-école de leur choix, chaque jeunes se voit accompagné par l'animatrice du CCSRB à l'auto-école avec un chèque de 500€ pour valider l'inscription au permis

Le budget pour cette action 2016 avec 30 jeunes est de 29500€ (dont 8800€ de charges de personnel pour 8800€).

Les financements proviennent

-la Fondation MACIF pour 15000€

la Région pour 7000€

La CAF 90 pour 4000€, l'Etat pour 3500€

A noter que l'aide de la fonadtion MACIF est reconduite à hauteur de 10000€ pour 2017 et s'éteindra ensuite. Il faudra donc rechercher un autre partenaire ''privé'' important si l'on veut reconduire cette action avec ce nombre important de jeunes.  Seules la CAF 90 et l'Etat sont des partenaires solides et fidèles

20 professionnels dont 3 de la structure porteuse CCSRB

La plupart des jeunes ont pris conscience de gestes et postures à avoir en société (voiture et autres).

Certains se sont même servis de leurs PSC1 pour intervenir lors d'une fête en soirée

26 jeunes inscrits en 2016 sur ce projet ont réussi leur code en 2017 et sont sur l'acquistion de la conduite

Des rappels ont néanmoins eu lieu par rapport à deux garçons qui roulent en scooter sans casque après avoir vécu ce projet. La notion de responsabilité ne s'acquiert pas comme cela à court terme...

Le CCSRB est reconnu par les jeunes et les parents comme un acteur essentiel qui aide non seulement à acquérir le permis mais qui aide à transmettre des compétences pour mieux faire société et aider le jeunes dans sa vie socialeet professionnelle.

IDEM

Une limite: le soutien financier à long terme

Comment faire pour qu'au niveau d'une Région par exemple, ce projet devienne un projety développé par les institutions. Les élus au CR du 90 sont pour mais il reste à convaincer une assemblée pour qu'il soit porté par l'institution (actuellement la Région Bourgagone Franche-Comté porte à travers la Mission Locale un projet d'une aide au permis (500€) contre 15 heures de bénévolat, ceci pour 25 jeunes sur le département 90.

Convaincre et faire des petits...

• Le centre social
• Autre

L'éducation nationale. Les directrices des deux écoles maternelles. 

Chaque année, l’école maternelle Martin Luther King et l’école maternelle Louis Pergaud accueillent chacune entre 20 et 25 enfants âgés de 2 ans. La Maison de Quartier Jacques Brel coordonnant un réseau d’acteurs de la parentalité dans le quartier Résidences – La Douce, est considérée comme légitime pour participer à la conception et à la mise en œuvre ce nouveau projet «Scolarisation précoce avec les parents ». 

Partenaires d'action:

• Éducation Nationale

Trois rencontres ont été programmées en juin 2018 afin de préparer la rentrée scolaire 2018-2019. Ces temps de travail ont permis de clarifier la place de chacun, l'objectif de chacun et les résultats attendus pour chacun des acteurs. Ces rencontres ont permis de travailler sur une base de convention avec l'éducation national et l'association. 

Deux temps de travail ont été fait avec l'inspectrice d'académie pour finaliser la convention avant signature par le DASEN. 

A l’issue de la période, une réunion sera organisée avec les directrices des deux écoles maternelles, la coordinatrice réseau d’éducation prioritaire Plus Signoret et la directrice de la Maison de Quartier Jacques Brel. Elle visera à formaliser l’évaluation du dispositif.

Le coût de l'action pour la maison de quartier est les charges de personnel des deux animatrices. 

Tous les achats liées aux ateliers sont pris en charge par l'éducation nationale.

Deux professeures des écoles 

Deux animatrices de la Maison de Quartier Jacques Brel 

Une meilleure connaissance par les  familles des actions que propose la MQJB -> lien avec l’ACM

L’objectif est de travailler en étroite collaboration pour accompagner au mieux les parents dans leur rôle d’éducateurs et travailler conjointement la réussite éducative

Accompagnement des familles dans la scolarité de leurs enfants 

Outiller les familles sur leurs différents questionnements : la séparation, la propreté...Interventions de professionnels pour répondre aux besoins des familles. 

Poursuite de l'action sur l'année scolaire 2019-2020, en programmation des rencontres trimestrielles avec des professionnels pour accompagner et outiller le parent sur la question de la parentalité. 

• Le centre social
• Autre

L'association Femmes Relais 90

La place de la femme dans notre société, l’égalité des sexes, la question des stéréotypes restent les grands défis pour tout le monde. Sur les différents quartiers Belfortains, dans les ateliers / projets développés par  les centres sociaux et associations, ces questions sont omniprésentes, nous observons une réelle régression dans les représentations de chacun.  Sensibiliser, informer, former les habitants sur ces questions sont plus que nécessaires pour mieux construire le monde de demain et mieux accompagner les parents et enfants dans la construction du futur.

Ce projet est un opportunité pour les femmes des quartiers Belfortains de communiquer entre elles, de partager leurs expériences, se former et s’informer et véhiculer de nouvelles informations… pour contribuer à faire changer les représentations.           

Il  nous semble intéressant de développer ce projet au-delà du quartier des Résidences et de l’étendre à l’ensemble des autres territoires Belfortains afin d’amener les participants à avoir une vision globale et pouvoir par la suite véhiculer de nouvelles informations au plus large. Travailler dans ce sens va nous permettre d’avoir une pluralité de représentation sur ces sujets, ce qui va favoriser des pistes de réflexions nouvelles et un mieux vivre ensemble. Travailler à l’échelle de la ville va nous permettre de créer une dynamique. Il est vraiment nécessaire de décloisonner les différents quartiers et travailler de façon transversale, d’autant plus sur ce type de thématique.                       

Partenaires d'action:

• Association locale
• Autre

de septembre 2018 à mars 2019

2 journées de colloques

26 heures d’ateliers débats

35h de conceptions 

14 femmes engagées de la réflexion à la concrétisation

44 participants : 25 adultes et 19 jeunes 

La plupart des objectifs ont été atteints car à travers ceux-ci, nous avons pu déconstruire les stéréotypes de chacun du groupe en ce confrontant également à ses propres préjugés et en les modifiant dans certains cas. Le respect de la confidentialité au sein du groupe a permis à chacun de pouvoir s’exprimer librement sans être jugés et à libérer la parole de certaines personnes. Grâce à ce projet, certaines personnes ont pu prendre confiance en elles. Le partage d’une démarche collective avec l’ensemble du groupe a permis d’échanger et de débattre sur les différentes thématiques abordées.

L’ensemble du groupe est demandeur de poursuivre ce projet avec une suite du travail déjà engagé. En effet, le groupe constitué a appris à se connaitre et à partager énormément d’expérience de vie qui a leur a permis de créer une réelle solidarité et cohésion de groupe. 

Le projet pourrait être reconduit car les thématiques traitées sont de réels sujets de sociétés où certains préjugés et stéréotypes sont en besoin constant d’être questionnés, bousculés et réfléchit collectivement pour faire avancer le débat.  Sur l'année 2019-2020, l'ensemble du groupe rencontrera d'autres personnes : collégiens, habitants etc... pour échanger avec eux du projet qu'elles sont vécu, ce qui a été bousculé dans leur réprésentation etc... Il est important de maintenir la dynamique collective et faire avancer les choses par les habitants pour les habitants. 

• Le centre social
• Un ou plusieurs partenaire(s)

La plupart des parents rencontrés, monoparentaux ou en couple, soulignent fréquemment l’importance de renforcer un réseau : familial, éducatif et amical autour des enfants pour leur offrir d’autres ressources éducatives.

Or, en dehors des parents des enfants de l’ALSH, très peu de parents fréquentent le CCSBM, très peu de parents s’investissent dans les manifestations organisées par les écoles.

L’accès aux loisirs est un levier important de la relation intrafamiliale, propice à l’apaisement des tensions et à la socialisation.

Partager des moments complices avec son enfant, découvrir ensemble, permet une reconnexion de l’adulte avec l’enfant.

Lors d’une animation hors murs nous avons fait le constat suivant : nous avons proposé une activité manuelle aux enfants : dans un premier temps les parents sont restés spectateurs puis petit à petit  se sont rapprochés et ont participé, ont accompagné leur enfant dans leur création

L’idée est de proposer aux familles des temps d’échanges réservés aux parents afin d’aborder des sujets qui les préoccupent mais aussi de leur proposer des temps plus ludiques, de création et qu’ils pourront reproduire à la maison  en famille avec leurs enfants.

Nous souhaitons également développer des ateliers parents/enfants afin de favoriser des moments de partage, des moments durant lesquels le parent se met au même niveau que l’enfant et fait avec. Cela passe par des sorties au Théâtre Granit par exemple, à la bibliothèque, au Centre Culturel et Social des Barres et du Mont (découverte des activités : sculpture, trictots) et/ou la fabrication d’un sous-main personnalisé par exemple comme ce que les enfants utilisent déjà à l’école.

Partenaires d'action:

• Préfecture

Les salariées du CCSBM ont encouragé les initiatives des habitants et enclenché une dynamique participative des parents et des grands parents en organisant des actions communes (animations hors les murs, bourses aux jouets et puériculture, sorties familiales…)

Les parents se sont impliqués dès la consultation pour le choix des activités à mettre en œuvre dans l’action globale du projet.

Les parents ont participé co-construction en proposant des thématiques et des activités.

Les parents impliqués sont des relais d’information auprès d’autres parents, d’autres familles.

Professionnels : 4

Bénévoles : 3

Partenaires et /ou Intervenants extérieurs: 4

Parents ayant participé à l'élaboration et au suivi du projet : 2

Les parents s’impliquent à tous les niveaux du projet c’est-à-dire lors de la préparation, l’élaboration et l’évaluation du projet.Par la mobilisation des référents et des ressources de proximité.(Bibliothèque

Une complémentarité avec les autres dispositifs de soutien à la parentalité par la mobilisation du groupe de parents et par le travail sur les questionnements individuels pour construire une question de recherche collective avec les partenaires identifiés.

​

Appropriation du lieu par les parents qui ne fréquentent pas le centre social et dont les enfants ne sont pas accueillis ni en ALSH ni au CLAS.

Valorisation  des compétences parentales : les missions des pères au sein de la famille et les mères qui veillent sur leur famille.

Fidélisation des publics dans la continuité.  Travail sur l’articulation des interventions et des thématiques

Projet pas assez visible et connu de la population du quartier dans sa globalité ► Faire comprendre aux familles que l’important n’est pas tant l’activité proposée ou l’atelier mené que le lien dont l’activité s’inscrit dans un projet d’ensemble. Il nous paraît essentiel de poursuivre les collaborations existantes et d’en développer de nouvelles ►Leprojet "Pères : missions et mères : veilleuses" est également créateur de liens entre professionnels et doit continuer en ce sens.

Nous pouvons faire évoluer l’action en clarifiant les différentes phases d’intervention et de spécificité dans le cadre de cafés des parents avec les écoles. Par exemple : l’action se décline sur 4 phases à raison d’une phase par trimestre.

La première phase vise à informer le maximum des parents des enfants de l’école maternelle et de l’école élémentaire des Barres au moyen des temps conviviaux hors les murs.

La deuxième phase, consiste en la mise en place d’une ou deux courtes séances de consultation à l’intention des parents ayant une inquiétude particulière quant au comportement ou au développement de leur enfant.

La troisième phase comprend trois interventions sur des compétences parentales complémentaires les unes les autres c’est à dire que les parents peuvent participer à un atelier à la fois (sans nécessairement participer à plus d’un atelier) ou faire partie d’une série intégrée dans laquelle les parents participent aux trois interventions sur une période.

• Un groupe d'habitants

Bien que ne relevant pas des quartiers prioritaire de la polititique de la ville, le quartier de la Pépinière doit faire face, depuis plusieurs décennies, à des problématiques relevant de l'intégration sociale des populations. Le public jeunes est fortement représnté sur la quartier. Est également présent une population vieillissante avec des niveaux de dépendance et d'isolement de plus en plus marqués. Les familles monoparentales sont également fortement représentées. L’augmentation de la longévité nous amène à réfléchir à comment mieux vieillir.  La « contrepartie » de cette espérance et d’amélioration des conditions de vie nous conduit à imaginer des relations sociales ou les personnes âgées ont et trouve une place. En effet, le cercle des amis disparait et la famille se rétrécis. Certains habitants du quartier vivants seuls semblent souffrir du manque de relations de solidarité entre voisins, ce qui accentue leur sentiment de solitude. Le phénomène de repli sur soi est visible dans tout le quartier et plus particulièrement dans le secteur « pépinière 1 », partie sud du quartier.  Une forte demande de relations sociales est exprimée à travers notre démarche d’enquête auprès des personnes âgées du quartier. 

Face à la paupérisation sociale culturelle qui touche de nombreux habitants du quartier de la Pépinière, le Centre Social s'est fxé comme objectif de mener des actions de solidarité destinées aux publics les plus fragiles et développer des actions visnat la mixité sociale.

Partenaires d'action:

• Association locale

Le travail réalisé cette année est double.

1- Accompagner les personnes ayant déjà vécues une première expérience dans le collectif d'organisation.

2- Élargir la connaissance des publics en situation d'isolement, de précarité et permettre l'orientation efficace vers les partenaires compétents.

Pour permettre aux personnes d'intégrer le groupe d'organisation, l'approche consiste, avec les professionnels du CCSP, les partenaires sociaux, les bénévoles, à accompagner les personnes de la place de consommateur à celle d’acteur du projet, par un travail de médiation sociale.  L’information est relayée par notre commission de travail « fêtes et manifestations » du CCSP chargée de diffuser et d’accompagner le public du quartier vers le CCSP.  Un support est distribué sur l’ensemble du quartier et une information est dispensée auprès de nos adhérents par l’intermédiaire de ce groupe en charge de la communication des événements du CCSP. Ce collectif joue un rôle important dans le travail d’information.

Le comité jeunes du CCSP est chargé de la préparation des décorations des salles et du rangement de ce réveillon solidaire (salle de sieste pout les petits, vestiaire).

L’évaluation se fait de façon collégiale avec les habitants, les bénévoles, les salariés. L’ensemble des organisateurs de la soirée récoltent l’expression des habitants accueillis pour  constituer une évaluation. Les participants sont surpris de la tarification modique et de la prestation fournie. Des remarques et des interrogations nous sont posées sur l’équilibre du Budget.  L’organisation, le contenu de la soirée sont très appréciées par l’ensemble des participants.

Le covoiturage fonctionn pour le retour à la suite de la soirée, service très apprécié.

mcv

Au regard de la fréquentation les l'années passées  la grande majorité des personnes ayant participées à notre action sont seules, retraités, allocataires et bénéficiant de minimas sociaux (RAS, AAH). Cette tendance se confirme pour 2017 et 2018. En effet, environ 70% des personnes trouvent l’occasion de rompre leur situation d’isolement à cette occasion. Nous observons également que ces situations d’isolement se cumulent  avec des problématiques sociales (allocataires, RAS et minimas sociaux). La fréquentation correspond au constat établit par le diagnostic de notre Contrat de Projet 2016/2019 concernant le vieillissement de la population  et le nombre important de familles monoparentales présentes sur le quartier.

Cette action répond de manière concrête aux objectifs initiaux :

Sortir de l'isolement les personnes âgées, les personnes en situation de précarité de vulnérabilité

Encourager les échanges et les renconres entre tous les habitants du quartier 

Favoriser les rencontres intergénérationnelles

Créer une dynamique de groupe pour oeuvrer vers davantage de mixité sociale 

Le centre social par ce type d'aniamtion est clairement identifié par les habitants et les familles comme lieu de socialisation.

Cette action répond de manière concrête aux objectifs initiaux :

Sortir de l'isolement les personnes âgées, les personnes en situation de précarité de vulnérabilité

Encourager les échanges et les renconres entre tous les habitants du quartier 

Favoriser les rencontres intergénérationnelles

Créer une dynamique de groupe pour oeuvrer vers davantage de mixité sociale 

Cette action est transferable à d'autres temsp d'accueil. Par exemple les bénévoles de la section "danse de salon" propose sur le même modèle d'organisation que le réveillon, un repas dansant deux fois par an.  Ces animations sont en totale cohérence avec les objectifs de lutte contre l'isolement et rencontre un vif succès auprès des habitants du quartier. 

Cette action est maintenue.

Ce type d'animation sera organisé trois fois an selon un calendrier annuel. 

• Le centre social

L'un des constats observé lors de l'évaluation du contrat de projet est que les familles prises dans le quotidien, dans leurs différentes problématiques (sociales, économiques, éducatives, n'ont plus de temps vraiment dédié aux loisirs en familles. Demandeuses d'ateliers qui permettent aux familles de se découvrir, de se redécouvrir des coméptences, connaissance, des temps  qui favorisent la relation parents-enfants etc... Tous ces éléments sont très importants pour travailler la notion de parentalité au sein de la familles. D'où la mise en place d'ateliers parents enfants tout au long de l'année.

Les résultats attendus sont les suivants : 

* Créer une relation intra familiale bienveillante favorisée par ce contexte

* Passer ensemble un moment convivial

* Poursuivre les échanges entre les familles des Résidences

* Maintenir le collectif famille et continuer à l’ouvrir aux autres

* La volonté pour l’année 2019 a été de pouvoir enrichir les familles de connaissance: culturelles, sportives, de prévention en favorisant les échanges au sein du groupe.

La Maison de Quartier a pu observer une vrai cohésion et solidarité de groupe entre les familles. Chaque année, la référente familles intègrent de nouvelles familles au collectif ce qui permet d’élargir le groupe et apporte une nouvelle dynamique chaque année. Grâce aux différents ateliers proposées, les familles ont pu verbaliser leurs besoins et attentes pour l’année prochaine notamment en intégrant plus de culturel dans les actions ainsi que des ateliers sportifs dans la nature (randonnée, vélo, raquettes, etc…). Une bonne fréquentation des familles a pu être observée lors des ateliers mis en place. Une solidarité de groupe et une confiance se sont développées au sein du collectif. 

Partenaires d'action:

• Éducation Nationale
• Association locale

La référente famille propose des activités riches et variées tout au long de l’année répondant aux objectifs du contrat de projet de la structure. A chaque période de vacances scolaires un programme différent est proposé ainsi que les mercredis et samedis après-midi en fonction des projets développés. Les programmes d’activités ne sont pas figés et sont amenés à évoluer en fonction des besoins et attentes du collectif famille dans un souci de cohérence et de mises en avant des compétences et savoir du public.

Afin de pérenniser les liens sociaux construits en 2017, tous les ateliers ont été réalisés en groupe du début à la fin. La référente familles tient à ces temps, très importants, qui permettent d’amener les parents à avoir un autre regard sur leur enfant et vice versa. Le fait de faire les choses en commun, a permis à chacun de pouvoir échanger, apprendre les uns les autres et de mettre en avant les différents savoirs de chacun. La référente famille a veillé à communiquer de façon bienveillante et non jugeante. Chacun des participants à un rôle, personne n’est oublié, chacun réalise quelque chose en fonction de ses capacités, ses envies et ses attentes.

Grâce aux différents ateliers de l’année 2017, nous avons pu voir émerger des connaissances et compétences maitrisées par les participantes. Ceci a permis à la référente familles d’alimenter son diagnostic et de voir les points qui nécessitent d’être valorisé, ceux à développer. Les différents échanges naissant dans ces ateliers parents-enfants ont pu faire émerger des besoins et des attentes du public. Ce qui permet à la référente famille de proposer des actions et projets en cohérence avec les besoins identifiés sur le territoire.

4 salairés de la MQJB

Meilleur ancrage de la maison de quartier sur le territoire

Meilleure visibilité des actions développées

Identifié par l'ensemble des acteurs locaux 

La maison de quartier est devenu un acteur incontournable dans le développement social local. 

Transversalité entre les secteurs d'activités de la maison de quartier 

Développement de nouveaux partenariats

Actions menées avec les familles /  seniors et familles / alsh etc...

Mobilisation d'un nouveau public

Développement de liens sociaux entre les habitants

Solidarité au sein du groupe

Création de plusieurs amitiés 

Participation des adhérents à la vie associative de la maison de quartier

Implciation dans le conseil de centre de la maison de quartier 

Etre vigilant à ne pas fermer le groupe. La référente familles est vigilante a toujours intégrer de nouvelles familles. 

Maintenir la dynamique et poursuivre les actions transversales avec les autres secteurs d’activités de la MQJB (Alsh, seniors)

• Le centre social

La Maison de Quartier des Glacis a initié, en 2015, un cycle de conférences sur des thématiques liées à la parentalité (la scolarité, l’éducation et la prévention des conduites à risques) avec l’intervention de professionnels. Ce projet a découlé d’un diagnostic parentalité réalisé en 2014 auprès des familles du quartier et des acteurs locaux. Le contenu de la thématique scolarité avait été défini en concertation avec Claire Haehnel, coordinatrice des écoles (réseau Vauban). Ce travail avait permis de dégager une problématique d’implication des parents notamment au sein des écoles élémentaires, et de communication entre ces derniers. Plusieurs raisons ont été identifiées à ce constat lors de la conférence :

• difficultés constatées par les professeurs des écoles élémentaires à créer des liens avec les parents, notamment liées au fait que beaucoup d’enfants viennent et repartent seuls. Le constat n’est pas le même sur les classes de maternelles où les parents ont l’obligation d’accompagner les enfants.
• plusieurs rencontres collectives et individuelles sont proposées aux parents sur l’année. Or, on note peu de participation.
• des difficultés importantes à trouver des parents élus pour la participation au conseil d’école.
• des parents qui sont parfois très éloignés de l’école : certains parents ne connaissent pas les activités extra scolaires pratiquées par les enfants (journal de l’école…), ne signent pas les cahiers. Certains parents n’osent pas aborder les professeurs, d’autres ont une confiance aveugle en l’école. Cet éloignement a une réelle influence sur le comportement ou les résultats scolaires des enfants.

Partenaires d'action:

• Éducation Nationale

Favoriser la réussite scolaire des enfants et l’accompagnement des parents :

Un partenariat a été engagé entre la Maison de Quartier et les différentes écoles du quartier autour du projet « café des parents », mis en place à la rentrée scolaire 2016-2017. Cet espace au sein des écoles, ouvert aux parents, leur permet de pouvoir échanger sur la scolarité de leurs enfants et d'obtenir des informations sur le fonctionnement des écoles. Les enseignants mais également d’autres acteurs de, peuvent y participer afin de consolider leurs liens avec les parents.

Proposer des actions d’accompagnement à la parentalité ciblées :

La MQGC fait intervenir, une fois par mois, des professionnels sur des thématiques définies en amont avec les parents et les directeurs d’écoles et le coordinateur REP. En 2018 : une psychologue sur la thématique du « cadre, l’autorité parentale », une professionnelle de l’OCCE (Office Central de la Coopération à l’Ecole) pour une formation à la communication bienveillante « les messages clairs » et une intervenante « bien-être » pour une initiation aux massages et mandalas.

Pour mobiliser  davantage  les parents dans leur rôle de parents d'élèves, la référente familles et le coordinateur des écoles les accompagnent dans la mise en œuvre d'actions de financement pour les écoles. En 2018, des ateliers de fabrication d'objets printaniers ont été réalisé par les parents, qui ont abouti sur une vente au marché des fleurs « Belflorissimo ». Afin de développer les compétences artistiques des parents et de réaliser des objets qui auraient leur place sur un stand de vente, un accompagnement par un professionnel pendant les séances de bricolage a été mis en place.

188€ d'achats de matières et fournitures, 1505€ pour les intervenants professionnels, 1043€ financement Etat sur l'appel à projet politique de la ville, 1800€ de subvention REAAP

7 intervenants

Rencontre et tissage de lien avec certaines familles éloignées de l'école ou de la Maison de quartier

L’action peut être reconduite car presque l’ensemble des objectifs fixés a été atteint. Le « café des parents » est devenu un lieu de rendez-vous attendu par certains parents. De plus, un vrai travail de partenariat a été développé entre les écoles et la Maison de quartier, ce qui a favorisé la cohérence des actions proposées aux parents sur le quartier.

• Le centre social

Rompre l'isolement des personnes en situtation de fragilité sociale. L'action est un veritable succès, tous les ans elle est attendue avec impatience par les habitants. Cela crée de l'émulation et de l'animation dans le quartier.

Partenaires d'action:

• Etat

par un groupe de bénévoles adhérents du centre.

1500 euros

80

30 bénévoles prennent en charge l'orgnisation de l'évenement pour 50 habitants.

Meilleur integration sociale et meilleur attractivité des publics

Bien être et valorosation

aucune

reconduction tous les ans à al demande des bénévoles et des habitants

• Le centre social
• Un ou plusieurs partenaire(s)

Action majeure de prévention contre l'endoctrinement et la radicalisation. L'objectif étant de vulgariser un certain nombre de concepts, de présenter au plus grand nombre les mécanismes et autres stratégies mises en oeuvre par des entités ou groupuscules fondamentalistes.

Partenaires d'action:

• Éducation Nationale
• ACSE
• Caf
• Conseil départemental
• Conseil régional
• Préfecture

Un groupe de travail a été mis en place, il comportait des membres de l'équipe éducative et d'animation de la CLE d'Offemont, ainsi que des membres du conseil citoyen d'Offemont.

Plusieurs demandes de subventions ont été adressées aux partenaires : Préfecture du Territoire de Belfort, CAF du Territoire de Belfort, Conseil Départemental et Conseil Régional.

L'ensemble de l'équipe éducative et d'animation, des membres du conseil citoyen, des adhérents et autres membres des secteurs jeunes et pré-ados de la CLE d'Offemont.

Cette action est une déclinaison locale d'une politique de prévention nationale, elle vise a dénoncer un certain nombre de clichés et autres représentations.

Elle ambitionne également de lutter contre la théorie du complot et du grand remplacement.

La journée citoyenne et républicaine met en exergue la politique éducative, de prévention et d'accompagnement vers une citoyenneté conscientisée et apaisée du centre social.

Ces temps d'échanges, de réflexion, de débats et autres conférences ambitionne l'aculturation, la vulgarisation d'un certain nombre de concepts et autres connaissances qui au final permettent aux habitants, bénéficiaires de porter un regard critique et objectif sur les bouleversements majeurs que ces idéologies ont amenés au cours de la dernière décennie.

La journée citoyenne et républicaine n'est pas une fin en soi, elle ambitionne d'être reconduite chaque année afin d'apporter un regard, un éclairage singulier sur la lutte et autres mobilisations contre l'endoctrinement et la radicalisation.

Le concept de la journée citoyenne et républicaine commence à faire des émules sur le territoire national, à savoir concentrer sur une journée plusieurs temps de réflexion, d'échanges, de débats, un volet conférence de sorte à toucher toutes les franges de la populations.

• Un ou plusieurs partenaire(s)
• Un groupe d'habitants

Lutter contre les phénomènes d’isolement des seniors.

Proposer des animations favorisant la convivialité.

Proposer des ateliers de prévention et de bien-être (diététique, gymnastique d’entretien, randonnée, marche nordique).

Proposer des sorties à caractère culturel.

Partenaires d'action:

• ACSE
• ARS
• Caf
• Comité d'entreprise
• Commune
• Conseil départemental
• CPAM
• Etat
• FONJEP

Les éléments révélés par les différents diagnostics sont alarmants et reflètent, notamment dans le secteur « Pépinière 2 », une paupérisation économique, mais aussi une grande fragilité sociale et culturelle. Ces chiffres soulignent la fragilité du sous-quartier, avec des problématiques très nombreuses : vieillissement, dépendance économique et sociale, isolement et difficultés en matière d’emploi, de formation et d’accès aux droits et à la santé. Bien qu’implanté dans un territoire ne relevant pas des Quartiers prioritaires de la Politique de la Ville, le CCSP doit faire face aux mêmes problématiques que les équipements situés en zone sensible. L’adéquation des ressources de la structure avec le contexte contraint le projet de développement d’éducation populaire visant la lutte contre les inégalités sociales. La permanence de ce contexte a pour effet induit une orientation de l’approche généraliste vers la « fonction d’accueil ». 

Mise en place d’une coordination entre les centres culturels et sociaux et maisons de quartier de l’association OÏKOS

Organisation de réunions de concertation et partage d’un programme d’action entre les centres OÏKOS prenant par à ce projet.

Usagers, équipes et bénévoles des stuctures partageant le projet d'inclusion des publics seniors. 

Cela concerne pour l'anialtion de l'action au CCSP les membres de la commission thématique "vieillissement" soit 12 personnes. 

Intervention transversale en concertation avec les partenaires.

Initiation d’une réflexion sur la thématique d’inclusion des publics « âgés »

La mission du centre socieal tient compte des publics particuliers et du contexte territorial (Pépinière 2). Le nombre de personnes en situation de fragilité et handicap et/ou d’isolement dans le quartier de la Pépinière justifie la considération de ses problématiques dans la fonction d’accueil de proximité de notre centre social. « Travailler à mettre en œuvre l’inclusion, c’est investir pour une société plus juste pour un mieux vivre ensemble. » 

Chaque personne ne sera pas accueillie en tant qu’usager ou client d’un service proposé, mais comme habitant du quartier ou du territoire et partenaire potentiel du projet du centre social. L’accueil du centre est aussi un observatoire nous permettant d’identifier les ressources propres des habitants.

Aniamtion necessitant des connaissances médico-sociales. 

Perenité et développment de l'action visant l'accueil et l'inclusion des personnes en situation d'isolement.

• Le centre social

Il a été placé sous le signe de la mixité sociale et du lien intergénérationnel et répond aux objectifs suivants :

• Favoriser l'engagement des habitants dans une démarche participative et citoyenne
• Favoriser le "bien vivre ensemble", encourager la mixité sociale, intergénérationnelle et culturelle
• Impulser une dynamique partenariale dans le quartier
• Dynamiser et positionner la Maison de quartier Jean Jaurès  comme un levier culturel dans le quartier

Partenaires d'action:

• Association locale

Pensée, conduite et réalisée collectivement avec tous les acteurs (bénévoles et association hébergées) cette action a été menée avec la volonté d'impliquer tous les acteurs de la Maison de Quartier valorisant leurs actions et permettant leurs promotion pour de nouveaux participants (2 réunions de préparation et 1 réunion de bilan).

Au travers de réunion de pilotage dans une démarche de coconstruction.

20 bénévoles, 5 professionnels
 

L’Apéro de Jaurès est une nouvelle manière de présenter les activités de la Maison de Quartier, et s’inscrit dans les traditionnelles «Portes Ouvertes», avec un concept revisité pour répondre aux envies et besoins de usagers, bénévoles et habitants du quartier.

Il a été placé sous le signe de la mixité sociale et du lien intergénérationnel.

Cette action a eu pour effet de redynamiser le centre social et de participer au rayonnement de ce dernier sur son territoire.
 

L’Apéro de Jaurès est une nouvelle manière de présenter les activités de la Maison de Quartier, et s’inscrit dans les traditionnelles «Portes Ouvertes», avec un concept revisité pour répondre aux envies et besoins de usagers, bénévoles et habitants du quartier.

Il a été placé sous le signe de la mixité sociale et du lien intergénérationnel.

Nous n'avez pas assez touché les habitants nouveaux du quartier ne fréquentant pas la structure.
 

Cette action sera reconduite en 2018, afin de fédérer les publics en début de chaque année scolaire autour du projet social et des activités proposées au sein de la Maison de quartier Jean Jaurès.

• Le centre social

Cette action a été mise en place pour développer la confiance en soi  chez l'enfant et chez le parent. Pour le parent, il s'agit de valoriser son image dans son rôle d'éducateur et pour l'enfant de partager des temps en famille, en douceur et dans le respect de chacun.

Partenaires d'action:

• Caf

Cette action a été construite avec les familles et les professionnels pour pouvoir apporter les réponses les plus adaptées.

L'action a débute de mars 2018 jusqu'à novembre 2018.

1924 €

49  personnes ont participé aux diférentes activités soit 10 parents et 39 enfants.

Les objectifs de l'action correspondent aux attendus du Schéma Départemental aux Services aux Familles et  au PEDT du territoire de Belfort et au CVUG .
 

Meilleure connaissance du CCSRB par les familles du quartier.

Cette action est un espace  privilégié dans lequel le professionnel peut travailller une relation de confiance avec les familles.

Les parents ont souligné l'impact sur le comportement de leurs enfants à la maison à l'issue des différentes séances.

Cette action a permis de mobiliser facilement les parents et les enfants.

Il faut veiller à diversifier les publics.

Cette action pourra être reconduite en développant d'autres activités de bien être et des ateliers autour de la santé. Il s'agit aujourd'hui de permettre aux parents et aux enfants de jouer un rôle plus important dans la conception des projets.

• Le centre social

La stratégie du secteur est de mobiliser les jeunes tout au long de l’année afin de travailler sur des problématiques identifiées. Les projets séjours sont les moyens les plus efficaces pour atteindre cet objectif pour plusieurs raisons :

• Le projet séjour se travail sur le long terme (1an de travail)
• Il responsabilise et valorise le jeune : Au travers des différentes missions qui leurs sont confiés les jeunes se sentent valorisés et apprennent à se responsabiliser.
• Méthodologie : La méthodologie utilisée permet aux jeunes d’acquérir des compétences et des outils qui leur seront utiles dans leurs avenirs au niveau personnel comme professionnel. 

Tous ces aspects permettent la fidélisation des jeunes et leur investissement sur d’autres projets ou actions portées par le CCSBN.

Partenaires d'action:

• ANCV

Avant le séjour :

Depuis plusieurs années, le Centre Culturel et Social Belfort Nord, et plus particulièrement son secteur jeunes, s’inscrit dans une démarche de projet avec les usagers. Chaque année, les jeunes ont la possibilité de construire un projet de voyage. Depuis 4 ans, le secteur jeunes du centre a choisi la thématique de l’Europe. Elle permet de sensibiliser les jeunes à la construction européenne.

Avant le séjour, les jeunes ont effectué en binôme des recherches d’informations sur le pays où ils ont séjourné à l’aide de différents outils (internet, livres…). Chaque binôme s’est intéressé à un thématique spécifique, puis les informations collectées ont été mises en commun. Cette méthode a conduit tous les jeunes du groupe à êtres acteurs du projet et à travailler en équipe. Cette expérience leur sera également utile pour le restant de leur vie (pour leurs études, leur carrière professionnelle et dans leur vie personnelle).

De plus, plusieurs actions d’auto-financement ont été mises en place dans l’objectif d’impliquer pleinement les jeunes en tant qu’acteurs du projet et de valoriser leur capacité d’initiative :

- Stand barbecue durant la fête de quartier en Septembre 2018

- Triathlon du Samedi 25 au dimanche 26 Mai 2019

- Stand barbecue durant le vide grenier du dimanche 29 Septembre 2019

Pendant le séjour :

Départ le 21 Juillet 2019 à 20h00 et retour le 1er Aout 2019 à 03h00.

Les lieux Visités (Barcelone, Salou) : Découverte de la Cathédrale St Croix Barcelone, Parc naturel de Sant Liorenç del Munit i l’obac, chemin cotier salou, Château tamarit.    

Les activités proposées : Visite du stade de Barcelone (camp nou), Baignade en mer, activités aquatiques.

Le voyage était la finalité du projet et la récompense du travail accompli par les jeunes en amont. Il leur a apporté une ouverture sur différents plans :

- La langue : voyager permet aux jeunes de découvrir une nouvelle langue et peut leur donner l’envie de l’apprendre.

- La culture : voyager permet aux jeunes de découvrir de nouvelles cultures, d’apprendre de l’autre, et surtout de se rendre compte qu’au-delà des différences nous partageons tous les mêmes valeurs fondamentales et les mêmes aspirations.

- Une expérience initiatrice : voyager permet aux jeunes de découvrir de nouveaux paysages, de nouvelles personnes et de nouveaux modes de vie.

3 animateurs lors du séjour ainsi que le directeur du centre de loisirs sur l'année pour les temps de prféparation du projet. 

Nus avons entamé un travail d’ouverture et de découverte sur la thématique « séjour en Europe », l’objectif étant de sensibiliser les jeunes à leur environnement :

• Au niveau local dans un premier temps, au travers des actions d’autofinancement qui permettent aux jeunes de devenir des acteurs dynamiques de leur ville et de leur quartier, ainsi que de récolter des fonds pour soutenir leur projet
• International dans un second temps, car les jeunes sont des citoyens français, mais également européens. Pour la plupart, cette information ne représente aucun intérêt et le travail que nous menons a pour objectif de leur montrer que l’accessibilité aux différents pays européens peut être, à l’âge adulte, une opportunité dans le cadre d’études supérieures, d’emploi, ou tout simplement en tant que lieux connus où ils pourront séjourner librement.

Nous souhaitons investir d’avantage et de manière plus régulière, les parents des jeunes sur les actions portées par le secteur, et ce tout au long de l’année.

L’action doit être reconduite sous la même forme car ce format répond pleinement aux différents objectifs du projet pédagogique du secteur jeunes, en lien avec le projet éducatif du centre. C’est un formidable moyen d’accès à la culture, facilitant la responsabilisation et l’autonomie des jeunes ainsi que leur ouverture d’esprit. Ce type de projet facilite également la création de liens au sein du groupe jeunes et avec les animateurs du secteur. Il permet de plus, une meilleure mobilisation et implication des parents.

• Le centre social
• Un ou plusieurs partenaire(s)

L'action est mise en place pour sensibiliser les publics que nous n'accueillons pas forcément dans nos murs et d'être à leur écoute là où ils sont.

Elle vise à faire connaître le centre social et à amener des nouveaux usagers à le fréquenter tout en renforçant l'image d'un centre social et culturel ouvert à tous.

Partenaires d'action:

• Éducation Nationale
• Association locale
• Caf
• Commune
• Conseil départemental
• Préfecture

Nous élaborons des animations hors les murs dans différents lieux du quartier : au pied des immeubles, à la sortie des écoles, au sein des écoles.  Les animations proposées permettent la participation active des publics à travers divers ateliers autour de l'art plastique, la découverte de l'art floral, de pratique culturelle et numérique, des sorties aux Musées et au théâtre...

L'équipe professionnelle travaille étroitement avec les bénévoles sur la programmation des animations hors les murs, la rédaction de la lettre d'info. Les publics concernés expriment leurs ressentis sur les animations expérimentées.

Nous transmettons les informations dans la lettre d'info mensuelle publiée en version numérique et en version papier.

6 bénévoles 

3 professionnels

5 intervenants

Accompagnement des habitants dans des lieux par le biais de partenaires.

Plus de lisibilité et de visibilité des actions menées.

Echanges informels avec les habitants sur le quotidien du centre social, les missions et les activités possibles. Venue des habitants que nous ne verrons pas par ailleurs.

Une action transversale fondée sur un travail intersectoriel qui rend visible et accessible un lieu socioculturel.

Communication fluide entre les différents secteurs d'activité et les associations hébergées.

L'habitant existe au sein d'un groupe à travers l'expérience collective des ateliers hors les murs.

L'habitant se saisit des thématiques des animations hors les murs pour appréhender le centre social et culturel dans la diversité de ses missions socio-culturelles et éducatives.

Certains publics potentiels demeurent toutefois à l’écart et toujours éloignés par leur représentation d'un centre social (ne se sentent pas concernés par le social).

Les publics ne sortent pas forcément de leurs propres murs.

La programmation des animations hors les murs se fait généralement durant les beaux temps.

Développer des animations plus attrayantes par la recherche de collaborations avec les structures culturelles.

Etablir des relations suivies avec les familles et les publics touchés lors des animations hors les murs en se déplaçant dans tous les lieux de vie (habitations, locaux à usages collectifs, espaces extérieurs...) pour qu'ils puissent avoir la lettre d'infos.

Travailler avec l’ensemble des partenaires et acteurs locaux sur la compélmentarité et la transversalité des actions menées pour que chaque "je" ait sa place au sein du collectif et que le collectif  soit porté par chaque "je". 

• Le centre social
• Autre

L'éducation Nationale. Les directrices des deux écoles maternelles. 

Chaque année, l'école maternelle Martin Luther King et Louis Pergaud accueillent entre 20-25 enfants âgés de 2 ans. La Maison de Quartier Jacques Brel Coordonnant un réseau d'acteurs de la parentalité dans le quartier des Résidences La Douce, est considérée comme légitime pour participer à la conception et la mise en oeuvre de ce projet « Scolarisation maternelle précoce en lien avec les parents »

Partenaires d'action:

• Éducation Nationale

Le projet ayant débuté en 2018, deux temps de travail ont été fait avec l'inspectrice d'academie pour formaliser la convention avant signature avec le DASEN. Les modalités interventions ainsi que les objectifs n'ayant pas changé, il a été convenu de reconduire la convention comme elle a été formalisée en 2018. 

Deux rencontres ont été mises en place pour faire une évaluation à mis-parcours, afin d'ajuster nos pratiques, les objectifs. Ce temps a permis de bien montrer la plus-value de la collaboration entre les écoles et la MQJB.

Puis en fin juin 2019, un temps d'évaluation a été mis en place avec les directrices des deux écoles maternelles, la directrice de la maison de quartier, les deux professeures des écoles et les deux animatrices de la MQJB. Ce temps de travail a permis de bien évaluer les objectifs pour chaque professionnelle et surtout de d'échanger sur les perspectives 2020-2021 et bien poser le cadre d'intervention et les objectifs a atteindre. 

Le coût de l'action pour la maison de quartier est les charges de personnel des deux animatrices. 

Tous les achats liées aux ateliers sont pris en charge par l'éducation nationale.

Deux professeurs des écoles 

Deux animatrices de la Maison de Quartier Jacques Brel 

Cohérence éducative

Dynamique partenariale

Une meilleure connaissance par les familles des action que propose la MQJB ( Acm, secteur familles, Clas pour les autres enfants de la famille)

L'objectif est de travailler en étroité collaboration pour accompagner au mieux les parents dans leur rôle d'éducateur et de travailler conjointement la réussite éducative. 

Outiller le parent sur leurs différents questionnements : la séparation, l'alimentation, l'hygiène, la propreté... Mise en place d'action collective pour mieux répondre aux besoins des familles

Accompagnement des familles dans la scolarité de leur enfant

Poursuite du projet en 2020-2021. 

Maintenir la dynamique engagée

• Le centre social

Les participants sont force de proposition et prennent par de façon active à la vie de la structure.

Cette stratégie permet l’application d’une démarche participative pour les différents publics et types d’accueil du CCSP.

Cette action a pour but d’informer et de renforcer les liens entre usagers et habitants.

Accueil et accompagnement (Mise en place d’un charte des bénévoles et d’un contrat d’engagement bénévole par l’équipe du centre).

Animation des collectifs par l’équipe du centre.

Organisation d’un travail d’information sur les activités du centre.

Les bénévoles veillent à promouvoir le projet de la structure

Partenaires d'action:

• Association locale
• FONJEP
• Autre

Depuis 2011, les instances de gestion du CCSP (Conseil d’Administration puis Conseil de Centre), s’appuient sur différents groupes de travail thématiques. Organisées par thématiques, ces « commissions » proposent et organisent les activités. Durant la période du contrat 2016–2019, ces commissions nous permettent d’organiser de manière concrète la participation des habitants au projet social du CCSP. En 2011, elles étaient au nombre de 3, aujourd’hui nous en dénombrons 5 :

• Commission « fêtes et manifestations, programme de diffusion culturelle »
• Commission « familles »
• Commission « accueil »
• Commission « jeunes »

Commission « vieillissement » (création en janvier 2019)    

45 personnes se sont moblisés dans le cadre de ces commissions de travail thématiques durant l'année d'évaluation 2019 de notre contrat de projet CAF

Renforcement des liens habitants / centre social

Encouragement des usagers du centre à davantage communiquer sur les actions et le projet de structure

Identification d’un chargé d’animation (salarié) par commission de travail, accompagné d’un bénévole

Mise en place d’un canal d’information entre les commissions  et l’instance de décision le conseil de centre.

Interventions transversales entre les commissions de travail du CCSP (familles, jeunes, fêtes et manifestations et vieillissement)

Partage du projet global partenaires associés, bénévoles, CCAS de Belfort, Amicale mutuelle de la Pépinière.

Encouragement à l’implication dans la démarche participative, dans un esprit d’ouverture.

Renforcer l'animation, la communication et l'accompanement des groupoes thématiques. 

Preniser l'action et appliquer de façon concrête la particiaption des usagers au projet du centre social en lien ave les instances de décision, le conseil de centre et le conseil d'adminstration de l'association. 

• Le centre social
• Un ou plusieurs partenaire(s)
• Un groupe d'habitants

Action majeure de prévention contre l'endoctrinement et la radicalisation. L'objectif étant de vulgariser un certain nombre de concepts, de présenter au plus grand nombre les mécanismes et autres stratégies mises en oeuvre par des entités ou groupuscules fondamentalistes.

Partenaires d'action:

• Éducation Nationale
• ACSE
• Conseil départemental
• Conseil régional
• Préfecture

Un groupe de travail a été mis en place, il comportait des membres de l'équipe éducative et d'animation de la CLE d'Offemont, ainsi que des membres du conseil citoyen d'Offemont.

Plusieurs demandes de subventions ont été adressées aux partenaires financiers et institutionnels : Préfecture du Territoire de Belfort, CAF du Territoire de Belfort, Conseil Départemental et Conseil Régional.

L'ensemble de l'équipe éducative et d'animation, des membres du conseil citoyen, des adhérents et autres membres des secteurs jeunes et pré-ados de la CLE d'Offemont. L'équipe enseignante de l'IUT Belfort - Montbéliard filière carrières sociales et les Volontaires Service Civique.

Cette action est une déclinaison locale d'une politique de prévention nationale, elle vise a dénoncer un certain nombre de clichés et autres représentations.

Elle ambitionne également de lutter contre la théorie du complot et du grand remplacement.

La journée Citoyenne et Républicaine met en exergue la politique éducative, de prévention et d'accompagnement vers une citoyenneté conscientisée et apaisée du centre social. Elle s'inscrit dans la continuité d'actions, de projets visant à promouvoir les valeurs républicaines, les principes de démocratie.

Ces temps d'échanges, de réflexion, de débats et autres conférences ambitionnent l'aculturation, la vulgarisation d'un certain nombre de concepts et autres connaissances qui au final permettent aux habitants, bénéficiaires de porter un regard critique et objectif sur les bouleversements majeurs que ces idéologies ont amenés au cours de la dernière décennie.

La journée Citoyenne et Républicaine n'est pas une fin en soi, elle ambitionne d'être reconduite chaque année afin d'apporter un regard, un éclairage singulier sur la lutte et autres mobilisations contre l'endoctrinement et la radicalisation. La multiplication des approches, analyses, présentations, compréhensions de cette problématique permet de démystifier toute une série de cliches, représentations, visions surannées...

Le concept de la journée Citoyenne et Républicaine commence à faire des émules sur le territoire national, à savoir concentrer sur une journée plusieurs temps de réflexion, d'échanges, de débats, un volet conférence de sorte à toucher toutes les franges de la populations. Un ambition challenge que celui de vulgariser autant que faire se peut ce champ complexe de l'endoctrinement et des processus de radicalisation.

• Un ou plusieurs partenaire(s)

Pour nourrir le lien avec la nature, le quartier des Glacis du Château à Belfort dispose, depuis 2017, d'un jardin partagé. D'abord peu investi par la population du quartier, il a connu des dégradations qui ont découragé les habitants mobilisés. Aujourd'hui, les acteurs du quartier, fédérés au sein d'un collectif, s'y investissent de manière coordonnée, chacun avec son public et ses compétences, pour en faire un véritable outil pédagogique de développement social. Des ateliers éducatifs pour découvrir la biodiversité sont proposés. Ces animations portent sur la permaculture, le compostage, le jardinage et la protection de l'environnement. 

Partenaires d'action:

• Éducation Nationale
• Association locale
• Commune
• Conseil départemental
• Conseil régional

Le Jardin partagé des Glacis du Château a été mis en place au printemps 2017. Aujourd'hui, il est cultivé et animé par de nombreux acteurs du quartier : la Régie des quartiers, l'ADAPEI 90, les écoles maternelles, le multi-accueil municipal, l'Accueil Collectif de Mineurs porté par la Ville de Belfort, l'EPIDE et par les habitants. La coordination de ce collectif est assurée par la Ville de Belfort et OÏKOS-Maison de Quartier des Glacis du Château.

Le budget de l'action était de 8 205 euros en 2019 hors charges supplétives et ces dernières s'élevaient à 3 380 euros.

En 2019, les principaux financeurs du projet étaient la Région Bourgogne-Franche-Comté et l'Agence de Services et de Paiement. 

Environ 200 personnes en 2019 (enfants, adolescents, adultes et seniors).

Aujourd'hui, les habitants du quartier des Glacis du Château se sont appropriés le jardin et il est un lieu de rencontre et de partage pour ceux-ci et pour les structures intervenant aux Glacis et leurs usagers.

Le projet "jardin partagé" a permis à la Maison de Quartier des Glacis du Château de renforcer ses partenariats avec les autres structures situées dans le quartier (établissements d'accueil du jeune enfant, établissements scolaires, structures sociales...). De plus, le jardin partagé est un lieu particulièrement adapté pour réaliser des animations de sensibilisation au développement durable.

Le jardin partagé est devenu un lieu de rencontre et de co-réalisation pour les habitants du quartier des Glacis du Château.

A partir de 2020, le projet éco-citoyenneté va encore se développer. En effet, OÏKOS-Maison de Quartier des Glacis du Château proposera des sorties nature (balades familiales thématiques, en partenariat avec le CCAS de Belfort), des ateliers de cuisine "zéro déchet", des animations "bien manger" et des ateliers "Do it yourself". De plus, un groupe de travail "prévention des déchets" se réunira à partir de septembre 2020 pour réfléchir de manière coordonnée aux actions à mettre en place pour lutter contre le gaspillage et les dépôts sauvages dans le quartier. 

• Le centre social

Impliquer les enfants  dans la protection de l’environnement

Sensibiliser les parents au développement durable  par l’intermédiaire de leurs enfants.

Développer des attitudes éco- responsables en famille (apprendre les bons gestes)

Partenaires d'action:

• Commune

3 rencontres en 2019 et 2 rencontres de janvier à mars  2020 ont été necessaires pour identifier les partenariats et  mobiliser des familles et des bénévoles, le projet se concrétisera en septembre 2020

15 professionnels et 4 bénévoles

Valorisation des publics

Respect de son environnement, de son  quartier 

Renforcement de la place  et du rôle du centre social pour améliorer l'environnement des habitants en les associant

Sensibilisation au dévéloppement durable et aux gestes éco- responsables 

Ce projet devra être reconduit sur plusieurs années pour atteindre ses finalités : un quartier préservé pour et par ses habitants

• Le centre social

Les objectifs de l’action sont les suivants :

- Mobiliser, fédérer les jeunes autour du projet social,

- Favoriser l’expression créative individuelle et collective des jeunes,

- Favoriser la participation citoyenne,

- Valoriser les jeunes au travers de la musique.

Partenaires d'action:

• Association locale
• Commune

L'action a débuté par le tremplin pour sélectionner les jeunes du projet avec un jury composé de bénévoles pratiquant la musique et une personne de la Ville de Belfort.

Le tremplin a été un succès : nous avons écouter environ 15 jeunes (pratique instrumentale et chant).

La résidence artistique c'est déroulée pendant les vacances d'Avril 2019 avec l'accompagnement des coachs réalisé par notre partenaire MAD'MUSIQUE.

La valorisation a pu être réalisée à différents rendez-vous : Fëte de l'Enfance et de la Famille et la Fête de" Quartier Square en Fête".

Le budget global a été de 4795 euros environ de l'action.

1 professionnel, 5 bénévoles, 2 prestataires et 12 jeunes participants.

L'impacts sur le territoire :

- On a pu noté une mobilisation des jeunes qui a su se maintenir pendant toute la durée du projet

- Leur implication dans le centre social par leur participation aux évènements d'animation globale

- Certains ont poursuit leurs présence dans le centre social (composition, mise à disposition des instruments...ect).

Le centre social les effets ont été double :

- Le centre social renoue avec l'accueil des jeunes et a pu permettre l'expression musicale des jeunes accueillis avec succés.

- La valorisation dans le cadre d'actions d'animation globale permettre la valorisation du travail des jeunes et permettre de réencrer les liens intergénérationnels.

Pour les habitants les effets sont multiples :

- L'action met en valeur leur territoire et permet de redorer leur image du quartier

- La découverte de l'expression musicale est appréciée par les habitants.

L'expresssion des jeunes ne se cantonne pas à la musique et donc cela a peut-être mis de côté les autres formes d'expressions artistiques (danse, éloquence,arts plastiques, théâtre...)

Pour le rendez-vous suivant il faudrait élargir les modes d'expression des jeunes afin d'accueillir davantage de jeunes.

• Le centre social

Ce repair'café a été demandé par les habitants, lors de l'élaboration du dernier contrat de projet.

Le constat : de nombreux petits électroménagers, des objets du quotidien ou de décoration, des vêtements, du matériel informatique, des vélos, des paniers, des montres... deviennent inutilisables et sont jetés chaque année, alors qu'une simple réparation est possible pour leur donner une seconde vie, éviter d'encombrer les poubelles déjà saturées, faire des économies et sensibiliser chacun à la protection de la planète. 

Partenaires d'action:

• Autre

Action : des bénévoles du centre social ont été volontaires pour participer à une journée de réparation de ces objets, si possible avec leurs propriétaires. C'était le samedi 23 novembre 2019. En parallèle, une bénévole a proposé un atelier de fabrication de produits d'entretien avec des produits naturels et un atelier de fabrication de lavettes réutilisables (alternative durable au jetable). Parallèlement, l'atelier cuisine et un groupe de 10 ados, ont cuisiné le repas du midi  pour tous les bénévoles ainsi que des tartes et des gâteaux pour le goûter,  avec des fruits et des légumes, en passe d'être jetés et donnés par le supermarché tout proche. 

480 €

13 répar'acteurs bénévoles + 2 bénévoles de l'atelier cuisine + 7 ados pour préparation du repas et du goûter +  4 professionnels (directrice, animatrice famille, animateur jeunes, animatrice du SMICTOM) soit 26 personnes

Une demande de tous les répar'acteurs et les habitants pour recommencer en 2020 et d'y associer d'autres actions environnementales ; l'idée de  créer un atelier de réparation "permanent". 

Connaissance du centre social par des habitants hors Giromagny (plusieurs personnes sont venues de villages éloignés) et valorisation des actions liées à l'environnement.  Démonstration que l'on peut animer une journée avec un budget très limité. 

Bilan : 80 objets ont pu être réparés durant toute la journée et une forte demande pour reconduire cette action.

La demande d'un atelier permanent est à étudier. Mais attention, il faudra trouver les bénévoles qui pourront s'impliquer sur la durée et surtout ne pas transformer cet atelier en "magasin de réparation", mais un lieu convivial où l'on vient "faire avec", demander des conseils, apprendre ensemble (éducation populaire).

Reconduire cette action chaque année, en améliorant.

• Le centre social
• Un ou plusieurs partenaire(s)

Le Conseiller Principal d'Education du collège  a fait appel aux animateurs du  centre socioculturel afin d'accueillir les nouveaux délégués de classe, élus au mois d'octobre 2019 pour deux journées de découvertes et de rencontres avec différents acteurs du Territoire. Le résultat attendu : une connaissance du fonctionnement du collège, de l'environnement proche, des institutions, des associations locales. Le changement attendu : une prise de conscience du rôle de délégué de classe. 

Partenaires d'action:

• Éducation Nationale
• Commune

Sur les deux journées (19 et 22 novembre 2020), le CPE du collège et les animateurs du centre socioculturel ont organisé différents ateliers : jeux de rôle d'un conseil de classe, interventions de deux maires de la communauté de communes pour expliquer leurs rôles et leurs missions d'élus, découverte du Point Information Jeunesse sous la forme d'un quizz, découverte d'un centre social et des activités que l'on peut y pratiquer et grand jeu de l'oie par équipes l'après-midi. Les collègiens et les animateurs ont déjeuné tous ensemble. 

La présence de 4 animateurs du centre socioculturel soit 1 000 €, sur les deux journées + la préparation.

4 salariés du centre socioculturel, le CPE du collége Val de Rosemont, 2 élus soit 7 personnes. 

Une découverte et / ou une  meilleure connaissance des actions et missions du centre social. Certains collègiens n'étaient jamais venus dans les nouveaux locaux. 

Cette action sera reconduite chaque année. Une convention pluriannuelle entre le centre socioculturel et le collège Val de Rosemont a été signée en février 2020.

Partenaires d'action:

Partenaires d'action:

• Le centre social

Partenaires d'action:

• Autre