Les actions des centres sociaux
Nom | Département | Année |
---|---|---|
Braderie solidaire | Paris | 2016 |
Soirée décryptage des médias | Paris | 2019 |
parcours santé | Paris | 2016 |
On n'est pas des moutons | Paris | 2016 |
Bien dans ma VIE bien dans mon ASSIETTE | Paris | 2017 |
Objectif citoyen | Paris | 2016 |
Séjour auto géré | Paris | 2016 |
Ateliers Parents d'enfants/parents d'élèves | Paris | 2017 |
70 ans de la sécurité sociale | Paris | 2017 |
Le Café Citoyen | Paris | 2017 |
Action : Echanges de savoirs artistiques, sportifs et culturels | Paris | 2019 |
village numerique | Paris | 2019 |
Université Populaire de Parents | Paris | 2019 |
Passerelle + | Paris | 2019 |
"Végétalisation" | Paris | 2019 |
"Végétalisation" | Paris | 2019 |
Troc en Frip | Paris | 2019 |
Vidéado, des jeux vidéo pas idiots | Paris | 2019 |
Les rues aux enfants | Paris | 2019 |
Vidéado, des jeux vidéo pas idiots | Paris | 2019 |
POINT D'INFORMATION JEUNESSE | Paris | 2019 |
Assemblées des Présents | Paris | 2019 |
La Pause Parents. Atelier de relaxation pour les femmes en situation de vulnérabilité sociale | Paris | 2020 |
Projet CLAS 2019-2020 | Paris | 2020 |
MOSAIQUE GEANTE | Paris | 2021 |
Actions
Braderie solidaire
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL CERISE - Paris
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Précarité
- Mixité sociale
- Résumé
La braderie solidaire fonctionne une fois par semaine au minimum. L'objectif est de récolter auprès des habaitants du centre de Paris des vêtements en bon état, pour adultes, enfants et bébés. Ces vêtements sont triés puis revendus à des tarifs très bas dans le hall du centre. Les recettes permettent de financer divers projets. Nous avonb par ailleurs développé un partenarait avec les services sociaux municipaux des arrondissements 2 et 3. Nous avons pu venir en aide matériellement à 16 familles en grande précarité, par le biais de dons de vêtements, poussettes, objets divers de puériculture. Les besoins en matériel spécifiques (lits d'enfants; baignoire etc.) sont relayés via les réseaux sociaux et généralement rapidement suivis de dons.
Une tentative de braderie de type "vestiaire" a été faite en direction des SDF du quartier, pendant un trimestre, pour répondre à la fin de la trêve hivernale et aux besoins de cette population démunie. la complexité à gérer de type de public sans y être formé nous a incité à mettre fin à cette proposition. Nous avons néanmoins poursuivi cette forme de solidarité en établissant avec des associations de maraude des partenariats de dons de vêtements, dont elles assuraient la distribution.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Au départ, cette action répondait au besoin des habitants de se "débarrasser" de leurs vieux vêtements, tout en leur donnant une seconde vie, "utile".
Nous avons rapidement constaté que la braderie était très appréciée d'un grand nombre de nos usagers réguliers ou ponctuels, puis qu'elle attirait des habitants qui n'auraient pas franchi le seuil de CERISE sinon.
Enfin dans un troisième temps, nous avons été sollicités par les servicdes sociaux pour venir en aide à des futurs mamans ou à des familles en très grande précarité.
Cette action de "braderie solidaire" répond en tout point à notre objectif de mixité sociale, puisque tous les publics du quartier peuvent y participer soit en donnant, soit en achetant, soit en recevant gratuitement. Les personnes qui déposent vêtements et objets de puériculture savent que leur don sera directement utile.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Au départ en interne, avec des bénévoles d'accueil.
Dans un deuxième temps nous avons rencontré les partenaires locaux intéressés au projet : DASES, CCAS, résidence sociale, mairie, associations spécialisées.
L'action a démarré en 2013.
Aucune ressource financière extérieure n'a été mobilisée sur ce projet.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Une dizaine dont 1 salariée et 9 bénévoles.
- Résultat sur le territoire
Réponse directe à des familles sans ressources (souvent hébergées en hôtel).
Lien social sur le quartier.
- Résultat pour le centre social
Nouveaux usagers (familles, individus etc.).
Recettes propres : 4336€ de recettes via la braderie en 2014.
Certains habitants ont découvert le centre grâce à la Braderie.
- Résultat pour les habitants
Triple impact :
- pour ceux qui donnent les vêtements : c'est près de chez eux, c'est pratique et utile; certains de ceux qui donnent viennent aussi chiner;
- pour ceux qui achètent : le coût des vêtements est minime (2,3,5€ sauf pour des pièces exceptionnelles);
- pour ceux qui recoivent gratuitement : c'est une aide directe et importante (notamment pour la puériculture, dont le matériel est souvent très cher à l'achat).
- Suite de l'action : Limites
Activité extrêmement chronophage pour la salariée qui est en charge et qui nécessite beaucoup d'espace.
Difficulté à gérer le flux des dons, incessants à certains moments de l'année.
- Suite de l'action : Perspectives
Poursuivre et développer le maximum de relais auprès des assoications qui pourraient orienter un public en précarité financière.
A terme, travailler avec la Mairie du 2ème arrondissement, sur un projet de vestiaire.
Actions
Soirée décryptage des médias
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL 13 POUR TOUS - Paris
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- éducation / scolarité
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Les informations que l’on recueille sur internet sont illimitées. Il était ’important pour les habitants d’obtenir les clés pour apprendre à faire le tri, cette demande a, pour la première fois été formulée après les attentats contre Charlie Hebdo! Durant cette période nous avions en effet offert une "place commune" de discussion avec des spécialistes aux habitants.
Balla Fofana, journaliste à Libération intervient deux fois par mois , une fois auprès des ados, une fois auprès d’un public intergénérationnel afin de nous initier à une compréhension globale du fonctionnement des médias. Les sujets sont choisis en amont en fonction de l’actualité hebdomadaire, parfois le soir même par les participants. Le journaliste prépare ses séances en s’appuyant sur différents supports qui permettront à chacun de s’exprimer, d’étayer son analyse, d’apporter un regard critique sur des informations, d’identifier d’où celles-ci proviennent etc. Certains participants découvriront le sujet, d’autres pourront l’approfondir et confronter leur point de vue à ceux des autres. Le fonctionnement des réseaux sociaux, blog, journaux papiers, journaux numériques est mis en lumière grâce à différents supports présentant des points de vue divergents.
Nous visons également la déconstruction de la théorie du complot auprès des jeunes et des moins jeunes et la vérification de l’information en elle-même.« La demande est faite par des familles qui voulaient reprendre le pouvoir sur la société de l’information qui les tenait souvent à distance. Besoin urgent de s’approprier le flux continu de l’information On travaille sur un sujet d’actualité et les enjeux de société que pose ce sujet , ça peut ête l’économie des médias, ça permet aussi de voir qui produit l’info et comment il la produit. Beaucoup de sujets abordés vont nous pousser à réfléchir aux inégalités, de genre, de classe sociale, de race ou autre. Une fois ces enjeux posés, les femmes prennent la parole, analysent les faits, donnent des arguments et débattent entre elles. Ce débat se fait dans le respect de chacunes et des idées, et ça leur donne un goût pour l’information, une sensation de dompter enfin celle-ci, ça les aide à penser la société, à penser leur place dans la société et leur rôle et c’est en cela que c’est émancipateur pour elles. Reprendre le contenu de l’information c’est prendre une certaine assurance, c’est se sentir moins éloigné des sujets qui animent la société au quotidien »
Balla Fofana, journaliste à Libération"Les soirées décryptage des médias
A 13 pour tous, depuis 2018, des soirées décryptage des médias ont lieu pour les ados et les adultes. A l'aide de documentaires, de films, de textes et avec des intervenants qualifiés (journaliste, sociologue, anthropologue, etc.).
C'est un beau défi qui relève autant de l'éducation populaire que de la citoyenneté active.
Apprendre à décoder avec un sens critique les différents aspects des médias.
Analyser l'actualité récente en réfléchissant aux choix faits par les journalistes et les diverses raisons qui les guident.
Il est très facile de manipuler le sens des images et de plus en plus difficile semble-t-il de faire la différence entre le vrai et le faux. Avec les mêmes images il est possible de raconter plusieurs histoires.
Le poids des mots ! Les journalistes disent-ils tous la même chose ? L'information est-elle orientée ? Que nous donne-t-on à voir ? A entendre ? A lire ? Comment nous formate-t-on ?
Le décryptage des médias c'est aussi lutter contre la propagation d'idées nauséabondes (islamophobie, antisémitisme, propos haineux contre les migrants, démonter la ligue du LOL, la théorie du complot, etc.).
Trop d'informations tue l'information. Nous finissons par être désinformés.
Ces soirées animées à 13 pour Tous donnent lieu à des débats fructueux et remportent un vif succès auprès de nos publics. Dans le cadre du pouvoir d'agir (DPA) cette activité y répond pleinement, car elle permet à toutes et à tous de ne pas subir passivement les discours des médias, mais de pouvoir déceler et analyser les mécanismes qui nous aliénent et nous désinforment.
Monique "
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
demande des habitants (voir plus haut)
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
deux séances par mois
avec garde d'enfants afin de libérer les parents qui n'auraient pu participer sinon
- Ressources financières mobilisées pour cette action
300 € par séance
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 salariés
1 intervenant
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
mobilisation des habitants (scolarité)
valorisation du patrimoine culturel etc
- Résultat pour les habitants
meilleure compréhension
sentiment d'une plus grande liberté
envie de se mobiliser
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
nous poursuivons
Actions
parcours santé
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL LE PICOULET - Paris
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Santé
- Résumé
Mise en place de 2 ateliers d'informations collectives sur la prévention et le dépistage du cancer, puis la mise en place d'un atelier sur le corps de la femme et de l'homme au cours des étapes de la vie. L'objectif était d'aborder les questions d'accès aux droits et aux soins pour un public ne maitrisant pas suffisamment le français.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place suite à un groupe de travail avec l'atelier santé ville du 11ième, avec l'objectif de faire mieux connaitre l'évolution physiologique des humains afin de diminuer l'inégalité de l'accès aux soins et de prévenir les risques de santé.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Un groupe de travail avec l'atelier santé ville et la participation de l'ADECA 75 et d'une conseillère conjugale et familiale a abouti à ces trois séances d'informations.
Le travail de ces ateliers a été relayé par les ateliers socio-linguistiques.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
4 professionnels et 10 bénévoles.
- Résultat sur le territoire
60 personnes ont assistés à un ou plusieurs de ces 3 ateliers.
L'impact est difficile à mesurer
- Résultat pour le centre social
Ces ateliers ont permis d'impulser une dynamique d'actions collectives autour de la santé.
- Résultat pour les habitants
Satisfaction du public, nous avons pu observer un intérêt manifeste pour les thèmes soulevés.
- Suite de l'action : Limites
Les retombées sont difficilement quantifiables.
- Suite de l'action : Perspectives
Poursuivre les actions de sensibilisation et de prévention santé, notamment en les inscrivant dans un projet plus global et annuel.
Actions
On n'est pas des moutons
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL DES EPINETTES - Paris
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Résumé
Une fois par mois en s'appuyant sur le support d'un jeu, d'un film, d'un spectacle... les jeunes sont invités à participer à un petit débat sur des questions citoyennes.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les jeunes (11-15 ans) qui fréquentent le centre sont confrontés à de nombreuses questions relatives à la citoyenneté ( les discriminations, les relations de genre, la Laïcité, la mixité culturelle...) et sont souvent perdus. Ils reproduisent généralement des discours entendus ici ou là sans en mesurer la portée. "On n'est pas des moutons" part du principe que ces jeunes peuvent et doivent construire leurs propres opinions, en construisant une réflexion sur ces différentes questions et pouvoir ensuite les assumer en argumentant.
Les attentats de 2015, ont renforcé le diagnostic du besoin qui avait été préalablement identifié.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
L'action a été tentée sur l'année scolaire 2014-2015 mais a échoué. Elle n'a pu réellement débuter qu'au mois de décembre. Les sujets relatifs à la citoyenneté ont été préalablement abordé mais l'approche pédagogique était trop frontale.
Les jeunes qui fréquentent le centre (essentiellement les 11-13 ans) n'ont pas tous la maturité pour avoir envie d'aborder ces questions. Il a donc été nécessaire de revoir l'approche pédagogique afin d'utiliser des outils attractifs (jeux, films, création de vidéo...).
- Ressources financières mobilisées pour cette action
3500€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 personnes permanentes, le coordinateur et l'animatrice + une personne en service civique en appui technique sur la réalisation d'une vidéo.
- Résultat sur le territoire
Changement de l'image des jeunes
- Résultat pour le centre social
Evolution de la relation aux jeunes qui s'impliquent plus dans le projet du centre.
Evolution de la place des jeunes, moins infantilisés
- Résultat pour les habitants
La conscientisation des jeunes habitants du territoire.
L'implication de jeunes comme bénévoles et acteurs du quartier.
- Suite de l'action : Limites
La citoyenneté des jeunes est un axe fort de notre projet social, nous poursuivrons et développerons nos actions. Nous espérons que les jeunes suivront et continueront à porter de l'intérêt à cette démarche, spontanément ils sont surtout demandeurs d'activité de loisir pur.
- Suite de l'action : Perspectives
Poursuivre les débats, et impliquer les jeunes dans des actions concrètes de solidarité. A terme nous souhaiterions accompagner sur la durée ces jeunes, et pourquoi pas les intégrer comme bénévoles du centre social.
Actions
Bien dans ma VIE bien dans mon ASSIETTE
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL CHARENTON - Paris
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
SEMAINE DE L'ALIMENTATION
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Résumé
Mardi 12 avril : Projection- d’un film débat et quizz sur le sucre
Mercredi 12 avril : comment équilibrer son goûter ?
Jeudi 14 avril :
- de 9h30 à 12h30 : l’alimentation du jeune enfant (0 à 3ans)
- de 14h à 16h30 : comment déchiffrer les étiquettes ?Du lundi au vendredi :
exposition « Plaisirs et vitamines »
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Précision ( si autre )
Paris Santé Nutrition
Association CPN
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pour sensibiliser les familles au manger équilibré et faire prendre conscience que cela ne coûte pas plus cher que d'acheter des plats cuisinés riches en sucre et saturés et corps gras
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Sur une semaine (voir programme ci-dessus)
- Ressources financières mobilisées pour cette action
500 euros pour l'achat des aliments
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
8 professionnels et envioron 120 personnes ont participé à cette semaine de mobilisation
- Résultat sur le territoire
Très positif et notamment quand il s'agit d'organiser des temps festifs autour de l'alimentation les personnes sont ressources auprès d'autres familles (lors des repas partagés par exemple ou des fêtes de quartier où nous avons prévu de l'alimentation)
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
En 2016
Nous avons organisé des disco-soupes et des disco-salades
Nous avons construit un garde mangé soliadiare
Ces deux actions ferons l'objet d'une fiche
Actions
Objectif citoyen
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL DANUBE SOCIAL ET CULTUREL - Paris
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Démocratie & citoyenneté
- Intégration
- Résumé
Mise en place d'une bourse pour des jeunes du quartier en échange de 50 heures de travail sur des actions d'animation globale du territoire. Les jeunes mettent également en place leur propre action. En 2014, une battle de danse inter quartier a été organisée par leurs soins. 4 heures de service à la personne sont également effectuées en maison de retraite sur le 19ème. Depuis, nous avons rajouté une deuxième partie au projet initial puis une troisième. A ce jour, nous inscrivons également des jeunes aux BAFA en échange d'heures d'animation sur l'ALSH du centre. Nous faisons aussi passer le PSC1 aux jeunes le souhaitant. Enfin d'autres jeunes nous aident sur l'aspect manutention de la fête de quartier en échange d'une bourse collective pour une aide au départ en séjour.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Précision ( si autre )
Nous travaillons avec le club de prévention de L'AJAM sur le repérage et l'accompagnement éducatif des jeunes.
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le CSCDanube accueillait très peu de jeunes de plus de 12 ans. De plus, nous souhaitions agir sur la citoyenneté avec les jeunes. Ce projet existe depuis 3 ans et grâce à celui-ci plus de 60 jeunes fréquentent le CSCD.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Commune
- DDCS
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Repérage des jeunes, rencontre avec les jeunes pour expliquer la démarche et le projet, rencontre tous les deux mois pour le suivi des jeunes et travail collectif sur les animations à venir.
Le projet démarre chaque début d'année civile et se termine le 31 décembre.
Les jeunes sont encadrés par le coordinateur enfance jeunesse du CSCD et par deux éducateurs de l'AJAM.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Le coordinateur enfance jeunesse
- Résultat sur le territoire
Connaissance des associations du quartier par les jeunes
Lien social / Lien intergénérationnel
Formation professionnelle : l'action répond au besoin d'un public jeune de s'inscrire dans un processus de formation
Implication et participation: l'action répond à un besoin du jeune de s'impliquer en tant qu'acteur dans la vie de son quartier.......
- Résultat pour le centre social
Les jeunes du territoire connaissent le CSCD. Le bouche à oreille permet la venue de nouveaux jeunes.
Cette action permet également de répondre aux objectifs du projet social concernant le jeunesse.
- Résultat pour les habitants
Une cohabitation jeunes / adultes beaucoup plus fluide et rassurante pour les séniors du territoire.
- Suite de l'action : Limites
Les jeunes doivent toujours être accompagnés et encadrés car leur rapport au temps est différent du nôtre.
- Suite de l'action : Perspectives
Nous souhaitons que ces jeunes se mobilisent autour d'une nouvelle action "bar citoyen".
Par ailleurs, nous continuons ce projet.
Actions
Séjour auto géré
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL LA CLAIRIERE - Paris
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Il s'agit d'un accompagnement d'un collectif vers un séjour de vacances en été.
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- vacances / loisirs
- Résumé
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action vise à donner accès à tous aux vacnces en famille. Il s'agit de renforcer les liens parents enfants durant un séjour.
Il s'agit aussi de valoriser les familles en leur permettant d'organiser elle même un séjour. Cela leur montre que c'est possible et que elles aussi ont droits aux vacances.
Les familles sont actrices de leurs vacances. Les séjours mélangent les mondes, favorisent le décloisonnement et la solidarité, renforcent le lien familial, suscite la fierté d’être parti, valorise les découvertes et le repos. Par ce biais, les familles se retrouvent en dehors de leur contexte quotidien
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ANCV
- Association locale
- Caf
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
une première réunion d'infos et d'échanges sur les séjours possibles début 2014. A l'issue de cette rencontre, les familles font le choix d'un départ collectif sans accompagnement sur place
une dixaine de familles étaient concernées
7 réunions de préparation de mars à juillet
3 actions d'autofinancement : un repas, vente de gateaux et boissons lors de la fête de quartier, stand sur un vide grenier
Outre ces actions, un système d'épargne a été mis en place
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 professionnelle
1 partenaire Vacances et Familles
- Résultat sur le territoire
Les moments vécus ont contribués au renforcement des liens familiaux et sociaux « … bien que je le la côtoie quotidiennement, j’ai appris là-bas à m’ouvrir à elle, mon regard sur elle a changé… » dit Mme F. à propos d’une autre maman.
- Résultat pour le centre social
Ce séjour a renforcé l'engagement de certaines familles sur le centre social.
Réaliser ce projet les incite à s'impliquer plus dans la vie du centre, sur des évènements festifs par exemple.
- Résultat pour les habitants
Valorisation, estime de soi (une réelle satisfaction lors des actions d’autofinancement, et l’apport de leurs savoirs faire, en amenant les enfants en vacances, les parents se sentent valorisés aux yeux de leurs enfants à travers le bonheur qu’ils leurs procurent mais aussi par la satisfaction de leurs attentes.
Sur le plan individuel, les effets se situent dans la fierté d’être parti, d’expérimenter ses acquis. Mais surtout pour chacune d’avoir organisé et réussi son séjour sans accompagnement.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Les perspectives sont de poursuivre cette démarche d'accès au vacances et au séjour pour tous.
Le projet sera reconduit, la forme (accompagnée ou non) dépendra de l'envie et des besoins des familles.
Actions
Ateliers Parents d'enfants/parents d'élèves
- Structure organisatrice
- ACCUEIL GOUTTE D'OR - Paris
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- alphabétisation & apprentissage du français
- Résumé
Un atelier bi hebdomaddaire en partenariat avec une école maternelle du quartier. Il concerne une dizaine de parents d'élèves allophones, ne connaissant pas le système scolaire français (soit parce qu'ils n'ont jamais été scolarisé, soit parce qu'ils ont été scolarisés à l'étranger dans un autre système).
L'objectif est de découvrir le système scolaire,l'école de leurs enfants et ses acteurs, par une imersion dans l'école une demie-journée par semaine.
L'autre demie journée se déroule dans le centre et a pour but de découvrir et maîtriser les outils de communication avec l'école, d'améliorer les compétences linguistiques, de réfléchir et d'échanger sur ce que l'école attend de leurs enfants et d'eux mêmes, sur les relations parents/enfants et sur toutes questions liées à l'éducation et à l'environnement de leurs enfants.
A partir de fin 2016, un autre atelier du même type a été ouvert mais avec un collège, ce qui permet aussi de travailler sur les problématiques de l'adolescence.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Autre
- Précision ( si autre )
Ecoles
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pour faciliter les relations parents/écoles en favorisant l'entrée dans l'école de parents très éloignés, en faisant tomber des représentations mutuelles pour favoriser les échanges.
Pour créer une communauté de parents qui permettent à chaque parent de se sentir soutenu.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Année scolaire, les mardi matin dans les établissements scolaires et les mercredis matin dans le centre. Animés par deux professionnelles. Pédagogie active grâce aux rencontres avec les différents acteurs de l'école, par l'observation de différents moments de la vie de l'école, par la participation à des événements proposés par l'école aux parents. Pédagogie collective par l'échange, le respect et le soutien mutuel.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
10 986 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 salariées, 1 bénévole
- Résultat sur le territoire
Impact sur la valorisation des parents.
facilitation des relations parents/écoles
- Résultat pour le centre social
Partenariat renforcé avec des établissements scolaires.
Engagements de nouvelles familles dans le centre
- Résultat pour les habitants
Confiance en eux. Ils acquièrent les moyens de dépasser leur sentiments d'infériorité dans leurs relations avec l'école
Amélioration des relations parebnts/enfants car des parents, pour lesquels l'univers de l'école de leurs enfants était un grand inconnu, le découvrent et peuvent échanger avec leurs enfants à ce sujet.
- Suite de l'action : Limites
Développement de l'action car fin 2016, nous avons créé un nouvel atelier avec un collège tout en poursuivant celui mené avec une école maternelle.
- Suite de l'action : Perspectives
Pour le moment, poursuivre ces deux ateliers.
Actions
70 ans de la sécurité sociale
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL CHARENTON - Paris
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Le temps d'un anniversaire -70 ans de la Sécurité sociale-
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Résumé
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Précision ( si autre )
La Caf de Paris
- Territoire concerné
- Autre
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pour faire prendre conscience de l'importance de cette Institution qui a été créée par le CNR et cette initiative s'inscrit dans le domaine de la solidarité -que chacun puisse cotiser selon ses moyens et qu'il puisse l'utiliser selon ses besoins-
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Territoire concerné
- Autre
- Description générale
PROJET LES 70 ANS DE LA SECURITE SOCIALE
Elle a été pilotée par un comité composé de représentants de toutes les branches de la sécurité sociale -Maladie, Vieillesse, Urssaf et Familles- et a très vite associé les habitants à la fois dans la conception des supports que dans les contenus des débats.
Nous avons proposé 7 panneaus et 7 débats
- Une exposition avec 7 panneaux
-HISTOIRE DE LA SECURITE SOCIALE
-CNAF
-CNAM
-CNAV
-URSSAF
-SOLIDARITE ET PARTENARIAT
-EVOLUTIONS ET PERSPECTIVES
- 7 Débats (1 par centre social et le dernier à Finlay)
Projet du centre social Charenton
Travail avec les usagers du centre social (jeunes, enfants, adultes et familles) sous forme d’ateliers d’art plastiques afin de faire les des panneaux.
Réalisation des panneaux sous forme de portraits ou d’image en s’inspirant des « calligrammes»
Calligramme : calligraphie et idéogramme, texte le plus souvent poétique dont les mots sont disposés de manière à représenter un objet qui constitue le thème du message du poème.
Présentation : mise en forme de texte sur une image
-Phase 1 Découverte de calligrammes et projet d’écriture (documentation, recherche et tri des informations, choix des textes)
-Phase 2 Etablir une relation entre les dessins et les textes
-Phase 3 Préparer une forme sur le papier et préparer le texte des calligrammes
-Phase 4 Création des calligrammes
- Ressources financières mobilisées pour cette action
10 000 Euros
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
12 salariés et une centaine d'habitants bénévoles
- Résultat sur le territoire
Meilleure connaissance de l'Institution sécurité sociale ; échanges et rencontre des habitants avec des acteurs de cette institution lors des débats
- Résultat pour le centre social
Mobilisation des actuers (bénévoles, habitants et partenaires associatif) sur une dynamique de projet pouvantt à la fois réunir des jeunes et des adultes
- Résultat pour les habitants
Meilleure connaissances et compréhension de son fonctionnement -220 participants à travers les 7 débats-
- Suite de l'action : Limites
L'exposition à été prêtée à d'autres centres et collectivités
- Suite de l'action : Perspectives
Lancement de débats d'idée et de rencontres avec les habitants et des professionnels.
Actions
Le Café Citoyen
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL CERISE - Paris
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Démocratie & citoyenneté
- Mixité sociale
- Résumé
Débattre, parler, échanger. Libérer la parole. Tel est sans doute le tout premier impératif. Ne pas craindre de mettre des mots sur ce que nous ressentons et les proposer, humblement, à ceux qui veulent bien prendre la peine d'être à l'écoute les uns des autres au cours de cette petite réunion citoyenne du Centre Cerise. Ce travail de parole peut paraître bien restreint, bien modeste face au défi qui nous est lancé. Pourtant c'est le meilleur rempart contre, la dépression, la peur, la haine et la division.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Né des évènements de janvier 2015, ce café a lieu chaque premier vendredi du mois de 18h30 à 20h30 et réunit en moyenne une soixantaine de personnes, venues pour échanger, discuter et débattre ensemble de sujets qui nous concernent tous. Cet espace de parole est géré par deux modérateurs qui au début de chaque édition posent le cadre et le fonctionnement du café pour les nouveaux venus. Certains thèmes ont accueilli des experts. Le café se termine toujours par un temps d'échange convivial autour d'un verre. 9 éditions ont eu lieu en 2015.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Depuis maintenant un an, cette initiative, née au lendemain de l'attentat de Charlie Hebdo a réuni, mois après mois, des personnes de toutes conditions, confessions, religions – ou pas – qui n'avaient que deux points communs : habiter le quartier, ne pas se résigner. Chaque Café accueilli de 50 à 80 personnes.
Chaque café citoyen est préparé en amont par une petite équipe réunissant des professionnels (Cerise, La Clairière), des bénévoles et des habitants qui suivent le projet depuis le début ou l'ont rejoint en cours de route.
Selon le thème choisi collectivement (parfois au cours du café citoyen précédent), des partenaires "techniques" peuvent être associés en amont et le jour J.
Les thèmes choisis suivent l'actualité locale, parisienne ou nationale.
Une séance de "debriefing" est également organisée quelques jours après la rencontre.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Café associatif mis gracieusement à disposition par le centre social CERISE pour le café citoyen.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
4 à 8 professionnels
5 à 10 bénévoles/habitants
- Résultat sur le territoire
Les habitants du quartier, venus spontanément échanger à Cerise, sont bien plus divers qu'on ne l'imagine. Il y avait là des jeunes et des moins jeunes, des personnes plutôt sensibles à l'ordre et d'autres à la justice, des « blancs » et des « basanés », des protestants, des catholiques, des incroyants, des musulmans, des riches et des moins riches, des français et des étrangers, des intellos et des concrets, bref une vraie arche de Noé humaine. Ce que toutes ces personnes aussi diverses avaient en commun ? Un souci de comprendre, de dialoguer, d'aider, mais surtout de partager, au-delà de toutes les frontières de races, de classes ou de religions. Bref de ne pas se résigner à laisser le monde flotter au gré des violences et de leur retentissement émotionnel et médiatique. Les premiers cafés-citoyens ont vu des affrontements verbaux parfois vifs mais qui se sont toujours terminés par des échanges positifs. Au bout de quelques mois la question s'est posée : mais que devons-nous faire ? Comment pouvons-nous agir ? Comment cette action va-t-elle se prolonger ? En septembre et octobre c'est sur la question des migrants que les participants ont débattu et se sont échangés des impressions, des analyses, des témoignages mais aussi des adresses, des manières de faire, des numéros de téléphone.
- Résultat pour le centre social
Nous avons accueilli des publics qui ne se connaissaient pas, ne se parlaient pas, pour des débats inédits. Des personnes qui n'étaient jamais rentrés dans CERISE ont découvert le lieu et y reviennent depuis régulièrement.
Au niveau de l'équipe et du CA de l'association cela a créé une nouvelle dynamique, également avec le centre social La Clairière.
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
On continue en 2016 en essayant d'élargir le thèmes et d'accueillir de plus en plus d'habitants du centre de Paris.
Actions
Action : Echanges de savoirs artistiques, sportifs et culturels
- Structure organisatrice
- VILLIOT - Paris
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Culture
- Mixité sociale
- Résumé
Cette action consistait à encourager la participation des habitants/tes. Cet encouragement passait par plusieurs étapes. En tout premeir lieu à partir de rendez-vous informels il a été constitué un premier noyau de femmes. Il a été suivi par une animatrice qui était à leur disposition pour faire éclore des micros projets. Des échanges ont lieu qui ont permis de construire comme effet petit à petit à l'iinitiative de ce noyeau ainsi que d'autres femmes de la résidence Villiot-Râpée et de l'ilot Bercy une fête de quartier, des ateliers et des sorties culturelles.. Par ailleurs il est apparu qu'il ressortait de ces réunions un manque de lieux.mais surtout un local. Il leur permettrait de se retrouver entre elles en journée et departager des moments culturel, artitstique et sportif. Ces activités, outre le fait de la découverte auront aussi comme objectif de les inciter à sortir de leur environnement.
Les 5 activités d’échange de savoirs créatifs, cités ci-après, prennent en compte l’expression des demandes et initiatives des habitants pour créer un lieu de rencontres et d’échange entre les générations.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Ouvrir un espace de paroles pour les femmes
Répondre à la demande de pratiquer des activités à leur rythme
Proposer des moments conviviaux au pied de leurs immeubles.
La plupart de femmes n'exerçant pas d'emploi sont tributaires des horaires scolaires. Ce qui impose des horaires d'activités adaptés à leurs contraintes. Elles pourront peut-être ainsi dégager du temps pour des souhaits personnelles.... Nous avons constaté que des femmes issues de ce groupe viennent plus régulièrement dans l'équipement. Elles se familisarisent ainsi au fonctionnement de celui-ci et s'inscrivent à des activités pour elles et leurs enfants. Elles participent aussi à la fête du quartier où elles n'avaient pas eu l'occasion d'y prendre part.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Bailleur social
- Caf
- Commune
- Autre
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
L’objectif principal de notre projet est d’instaurer des temps conviviaux propices aux échanges. L'action a débuté en mars 2018 à la suite de trois réunions habitants qui ont regroupé plus de vingt femmes.
C’est pourquoi après ces réunions de concertation et des échanges informels à l'accueil avec les habitants nous avons mis en place 3 ateliers hebdomadaires : un café tricot les lundis après-midi de 14h30 à 16h, l’atelier « détente du corps et de l’esprit » le mardi matin de 10h à 11h et l’atelier « silhouettes toniques » le jeudi matin de 10h à 11h. Un atelier mensuel deux autres ateliers ont vu le jour: l'atelier "fabrication de cosmétiques maison et naturels" et un sortie culturelle adultes le vendredi après-midi. Tous ces ateliers sont chapotés par des bénévoles. Le café tricot fonctionne sous forme d'échanges de savoirs créatifs entre les femmes.
La direction et l'animatrice référente actions collectives familles étaient à la création de cette action. Par la suite les bénévoles et les habitants ont pris le relais sur quelques activités, qui sont toujours suivies par l'équipe du centre social.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
500€ en matériel pédagogique. Il n'est pas compté de temps de préparation, d'écoute et de mise ne place de l'équipe d'animation
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 professionels, 5 bénévoles
- Résultat sur le territoire
les actions sont encore trop récentes pour en mesurer les impacts. En revanche nous constatons que les femmes viennent plus souvent au centre.
- Résultat pour le centre social
Participation des femmes au projet et à la vie du centre.
Cela permet à l'équipe d'animateurs de nouer des relations plus facilement avec les familles autour d'autres activités proposées: CLAS, projet DEMOS, parentalité, citoyenneté dans le quartier, séjours ainsi que la proposition des activités courantes du centre d'animation (par exemple: karaté, guitare...).
- Résultat pour les habitants
Les femmes sont relais auprès d'autres habitants et les invitent à venir participer aux activités. Les habitants commencent à prendre l'habitude de venir échanger et de discuter à l’accueil dans de temps informels. Les femmes osent sortir plus de leur résidence et de l'arrondissement, Elles sont de plus en plus force de propositions de sorties culturelles et voyage en France entre familles.
Reconnaissance du centre social par les partenaires (bailleur, amicales de locataires, ...) en tant que catalyser des initiatives portées pour et par les habitants.
- Suite de l'action : Limites
Le redémarrage de l’activité en octobre 2018 a enregistré pluis de la moitié des inscrits de l'an passé. Il est à noter que de nombreuses femme ne sont pas disponibles les après-midi car elles ont des enfants en bas âge. De plus elles n'envisagentpas de mettre leur enfant dans équipement collectif. Cette attitude peut-être un frein à leur autonomie.
Cependant grâce à différents éléments ( partenariat avec le conseil des seniors du 12eme ; nouvelle visibilité sur les réseaux sociaux ; des supports de communication) des habitants tels les seniors participent davantage à nos actions. cet ensemble favorise la mixité et les échanges intergénérationnels et culturels entre participants.
- Suite de l'action : Perspectives
Recherche de nouveaux partenaires sur le territoire de façon à sensibiliser des nouveaux habitants. Se faire connaitre auprès des habitants du quartier, rencontrer ses voisins et partage sur une passion commune. Convivialité et partage lors des activités proposées. Mobilisation des publics pour mettre en place une fête de quartier ou d'autres actions citoyennes.
Renforcement des liens entre les habitants d’un même quartier, solidarité et entre aide (exemple: repair'cafés et repair kids). Lutte contre l’isolement des habitants, remobilisation et entre aide pour découvrir d’autres lieux sur Paris et en dehors (exemple: sorties culturelles via la Mission Vivre Ensemble).
Nous favoriserons l’évolution de ce groupe vers des échanges de savoirs culinaires. Non seulement il y aura des échanges de recettes (manger mieux et gaspiller moins), de plats et de conseils d’approvisionnement (les circuits-courts), sur l’hygiène alimentaire, l’équilibre des repas mais aussi des ateliers de cuisine froide (sans cuisson) et interculturelle. Pendant les vacances scolaires les femmes réaliseront des recettes de cuisine qu’elles dégusteront au centre.
Actions
village numerique
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIOCULTUREL ETINCELLES - Paris
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- Intégration
- Résumé
Au regard des différents constats partagés par l’ensemble des acteurs locaux et institutionnels liés à la fracture numérique et au manque d’accessibilité aux nouvelles technologies sur le territoire, le Centre Social Etincelles et le Service de prévention des Réglisses souhaitent mettre en place une action hors les murs autour de ces thématiques.
Constats :
- Peu d’information concernant l’accès et l’utilisation de l’outil numérique
- Manque de visibilité d’espaces d’apprentissage sur le territoire
- Manque d’information sur les différentes opportunités professionnelles liées aux nouvelles technologies
- Méconnaissance des parents et des jeunes des dangers liés aux réseaux sociaux (cyber-harcèlement, maîtrise de son image, causes de rixes…), mais aussi des points positifs que cela peut apporter.
L’action se déroulera hors les murs car ce projet se veut :
Conviviale et ludique
Pédagogique
Accessible à tous
Interactif
Publics :
Les familles, et les jeunes.
Cette action se veut intergénérationnelle tout en portant une attention particulière aux jeunes pour qu’ils puissent se saisir des nouvelles opportunités liées au numérique (métier en tension, application de recherche d’emploi, maitrise de l’outil informatique et des réseaux sociaux, décodage de l’information et de l’image…)
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les objectifs sont les suivants
- Faire découvrir et sensibiliser les habitants aux nouvelles technologies, et l’usage des outils numériques
- Développer le partenariat et favoriser l’information sur les lieux et les professionnels ressources.
- Favoriser les opportunités professionnelles ou formatives liées aux nouvelles technologies ou au numérique
- Sensibiliser les familles et les jeunes sur les avantages et les risques des réseaux sociaux (rixes-fakenews-harcellement)
- Prévenir sur l’utilisation abusive des écrans (Netflix, télé, tablette, smartphone…) : problème de sommeil, décrochage scolaire, rythme de vie décalé, repli sur soi…)
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Association locale
- Entreprise privée
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
cette action c'est deroulée durant la semaine du numerique.
Apres differentes reunion avec les partenaires, nous avons choisis ensemble les jours, l'horaire et les modalites
Ateliers
Un aspect ludique, créatif et convivial de présentation des nouvelles technologies (jeux vidéo, imprimante 3D, film d’animation...)
Stand avec chaque intervenant sur une robotisation- ludique et conviviale
Stands : Création de jeux vidéo, codage, concours de robotisation, imprimante 3D, ateliers flocage, dessinateur industriel
Table ronde
Une sensibilisation sur les sujets liés aux dangers des réseaux sociaux (Cyber-harcèlement, causes de rixes, non maitrise de ses informations et de son image, prolifération des fake news…)
échanges entre parents sur la question des risques (le collège Henri Matisse)Organisation d’un quizz : Création d’un quizz afin de favoriser l’interaction avec les intervenants (tirage au sort, lots à gagner…)
4 porteur de paroles / Questionnement des publics (notamment des jeunes) sur la violence en lien avec les réseaux (en cours de définition
- Ressources financières mobilisées pour cette action
8750 eu
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
25 personnes
9 partenaires
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
renforcement de la renforcement du centre social.
Rayonnement des actions du centre en ce qui concerne le visibilité
Reconnaissance par les financeurs de la capacité à mobiliser et federer du centre
- Résultat pour les habitants
meilleure connaissance des acteurs
Meilleure appréhension de l'outils numérique
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Université Populaire de Parents
- Structure organisatrice
- Centre social Espace 19 Ourcq - Paris
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Résumé
L' Université Populaires de Parents est un groupe de parents qui, avec l’aide d’un animateur et avec le soutien méthodologique d’un universitaire, mène une recherche sur un thème qu’ils choisissent en lien avec la parentalité. Ils mettent alors leur travail en débat avec d’autres acteurs : des professionnels, des institutions, des politiques, pour croiser les points de vue et construire du dialogue afin de construire ensemble des actions citoyennes.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Historique du projet
L’idée de l’UPP a germée lors du congrès national des centres sociaux en 2013. C’est lors de ce congrès avec des familles de notre centre social Espace 19 Ourcq que nous avons découvert l’existence de cette forme de participation des parents. L’UPP de Paris est née 2 ans plus tard en 2015, avec l’envie de faire évoluer le groupe de parole de parents déjà constitué. Les parents se réunissaient alors régulièrement pour échanger sur des thèmes tels que la réussite des enfants, la scolarité ou les codes de l’Ecole. Ils ont participé également au colloque de restitution des UPP de Troisième génération le 30 mai 2016.
Ce projet répond au besoin des parents de passer de « la parole aux actes » avec l’envie de mettre en place des actions concrètes suite aux nombreux échanges qui avaient émergés.
Les principaux résultats
Les participantes de l’UPP ont progressé sur les questions suivantes :
- Autonomie dans la résolution des problématiques rencontrées : Les parents mettent en place spontanément des outils éducatifs qu’ils ont pu découvrir lors des conférences et formations qu’ils ont suivies sur les thèmes de l’éducation et de la scolarité.
- Meilleure connaissance de fonctionnement des institutions : Depuis leur participation à l’UPP, 2 parents ont adhéré à la rentrée de septembre 2017 à la FCPE (Fédération Nationale des Conseils de Parents d’Elèves) de l’école de leurs enfants.
- Pouvoir d’agir individuel : Deux mères ont décidé de continuer leur formation depuis leur intégration à l’UPP.
- Ateliers croisement de savoir : La participation à un atelier de croisement des savoirs, organisé avec ATD Quart monde, a permis aux parents de mieux comprendre le point de vue des institutions sur les parents et aussi de se former à des techniques d’animation à utiliser par la suite, dans leur méthodologie de recherche.
- Des professionnels qui associent plus régulièrement les parents aux décisions qui les concernent : Les parents souhaitent ainsi être considérés comme des acteurs à part entière des politiques de parentalité.
- Participation à une instance Parisienne de consultation des parents : Le groupe UPP a participé à plusieurs réunions du FAMLAB. Il s’agit d’un « Laboratoire pour les familles » mis en place par la mairie de Paris afin de faire participer des parents et des enfants parisiens pour « définir les orientations prioritaires de la politique parisienne en direction des familles ».
- Un regard moins « descendant » des professionnels sur les parents et un regard décomplexé des parents sur les professionnels : A plusieurs reprises, les parents et des professionnels ont pu assister ensemble à des formations sur des thèmes comme l’orientation des jeunes ou la relation parents-enfants ainsi que la mise en place d’un projet commun avec l’école de quartier.
- Des parents sont en capacité d’exprimer un point de vue en public : un exemple, plusieurs parents de l’UPP ont été invités en novembre 2018 par l’ANSA (Agence Nouvelles pour les Solidarités Actives) pour participer à une réflexion sur la participation des familles aux politiques et services qui les concernent.
- Des propositions concrètes émises par les parents, et reprises par les institutions : un exemple, les parents ont participé aux réunions du FAMLAB de la mairie de Paris au cours desquelles ils ont pu proposer des actions concrètes, notamment sur des thématiques de parentalité à Paris.
- Théâtre forum : plusieurs parents ont participé à un théâtre forum organisé par un centre social du 18ème sur la question des relations familles écoles, afin de se familiariser avec cette technique d’animation et dans le but de pouvoir en mettre en place dans le quartier en 2019.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Association nationale
- Caf
- Conseil départemental
- Conseil régional
- Fondations
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Ce projet comprend 2 grands types d'actions : la recherche et des actions citoyennes.
Les Mamans du groupe se réunissent 3 à 4 fois par mois, pour mener le projet, élaborer la recherche et monter des actions citoyennes. Le projet a été monté en 2016 et il devrait aboutir à la restitution de la recherche en 2020. C'est un long processus qui a nécessité la mobilisation d'un groupe, de la fédérer et de garder la mobilisation tout au long de la recherche. L'action est coordonnée par une animatrice à mi-temps.
La recherche
La question de recherche
Thème : « épanouissement, bienêtre et réussite des enfants à l’école »
Question de départ :
« Comment l’éducation familiale et l’école peuvent favoriser la réussite et l’épanouissement de l’enfant ? »
Les hypothèses
Hypothèse 1 : prise en compte des émotions dans la famille et à l’école
Hypothèse 2 : gestion du stress
Hypothèse 3 : contact/lien/relations entre l’école et la famille
Hypothèse 3 : les opportunités d’ouverture sont des moyens de favoriser l’épanouissement
La méthodologie de recherche
Les parents utilisent l’entretien semi-directif à partir d’un questionnaire souple qui permet de recueillir des réponses libres. Le chercheur est libre dans la manière dont il pose les questions et il n’est pas obligé d’utiliser toutes les questions prévues. Les thématiques sont prédéfinies mais les questions peuvent être ajoutées au cours de l’entretien.
Les actions citoyennes :
Les parents ont participé à différentes instances partenariales : Comité de Pilotage Régional des UPP d'ile de France, Fam Lab (instance de concertation mis en place par la mairie de Paris afin de faire participer des parents et des enfants parisiens pour « définir les orientations prioritaires de la politique parisienne en direction des familles »); ils sont en lien avec l'équipe de développement local, ils participent à des formation et co-animent des actions dans une école du quartier. Ils ont également participé à un Forum sur la parentalité organisé par la Mairie d'arrondissement..
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Ce projet dont la durée est de 4 ans a nécessité la recherche de financement notamment pour financer un mi-temps de travail de la coordinatrice.
Les principaux financeurs sont :
- La DFPE
- La CAF (REAAP)
- La Fondation de France
- Le Conseil Régional
La principale difficulté sera pour la dernière année du projet 2019-2020 où les financement ne sont pas suffisants, certains financeurs ayant baissé le budget ou l'ayant limité à 3 ans.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
15 parents dans le groupe + 20 parents interrogés
5 professionnels
1 chercheuse
20 partenaires
Lors de l'année de restitution, nous estimons qu'une centaine d'habitants seront "touché" par le projet.
- Résultat sur le territoire
l'UPP est reconnu par les partenaires du quartier, et les parents sont donc associés à différentes instance de concertation dans le quartier (FOrum de la Parentalité). Le regard des insitutions sur les parents changent.
Les parents de l'UPP sont fréquemment sollicités pour témoigner de leur engagement et de leur réflexion sur la parentalité.
- Résultat pour le centre social
La méthodologie participative de l'UPP encourage l'ensemble des membres de l'équipe à associer d'avantage les adhérents à l'organisation des activités.
Les parents de l'UPP sont devenus des acteurs importants au sein de l'association, ils ont proposé de témoigner à l'AG de l'association et s'interessent également aux questions et choix budgétaires du projet.
- Résultat pour les habitants
pour les membres du groupe, les impacts sont très importants : monter en compétences, prise de parole en public, changement des pratiques éducatives, changement dans les relations de couples, quelques parents ont repris une formation.
pour les autres habitants, ce projet est inspirant, d'autres parents souhaitent rejoindre le groupe. L'impact sera également fort au moment de la restitution de la recherche qui s'accompagnera d'animation et de débat au sein du quartier.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
L’aboutissement de ce projet sera la fin de la recherche, la rédaction de l’ouvrage et le colloque de restitution des résultats du travail effectué en juin 2020. Ensuite, les parents décideront de l’avenir du groupe UPP et de ses suites, ils nous ont déjà sollicité pour les former sur le budget de projet et ont pris conscience que ce projet peut se poursuivre sous forme d’association s’ils le souhaitent, à l’image de certains UPP des générations précédentes.
Actions
Passerelle +
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL DANUBE SOCIAL ET CULTUREL - Paris
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Résumé
Le projet Passerelle + offre une possibilité aux jeunes volontaires de s’inscrire dans un parcours d’insertion au sein duquel ils se verront proposées différentes actions définies suivant une analyse de sa situation.
Le projet Passerelle + s’articule en trois parties :
. Le soutien scolaire
Tous les vendredis soirs de 18h30 à 20h le Centre Social et Culturel Danube ouvre ses portes aux collégiens, lycéens et étudiants et leur propose un programme de soutien scolaire. Ce temps est encadré par une équipe composée d’anciens professeurs (maths, langues, français) et autres bénévoles compétents dans ces matières.
Sur ce temps, l’espace du centre social est réparti suivant les niveaux d’études et les matières. De fait, chaque jeune bénéficie d’un soutien rapproché.
Des temps de révision peuvent être proposés en dehors du vendredi soir, en fonction du besoin recensé (et à la demande des jeunes).
Des stages intensifs de remise à niveau seront également proposés lors des périodes de vacances scolaires et seront assurés par des professeurs ou des organismes prestataires.
Afin que l’offre soit accessible au plus grand nombre dans le quartier, le centre social ne demande aux jeunes aucune participation financière, aucune obligation d’être adhérent à l’association et aucune régularité dans sa participation.
La seule modalité prise en compte par les équipes, bénévoles et salariées, est que le jeune soit dans une démarche de volontariat et d’adhésion au projet.
. L’accompagnement personnalisé
Beaucoup d’adolescents ont tendance à se rapprocher du centre social dans les périodes de recherche de stage, d’emploi ou d’orientation scolaire.
Nous les accueillons et leur proposons un accompagnement personnalisé. Cela passe par une aide à la rédaction de CV et de lettres de motivation, le développement d’une méthode dans la recherche, mais également par la construction d’un réseau de professionnels vers qui orienter ces jeunes en recherche. L’objectif étant de réduire la distance entre le monde du travail et les jeunes que nous accompagnons.
Cet accompagnement personnalisé représente un outil facilitant la construction d’un projet professionnel en permettant aux jeunes de découvrir des filières de métiers et des formations, à travers un parcours construit ensemble.
En facilitant la capacité des jeunes à « aller vers » le monde professionnel ou les formations qui les intéressent, nous entendons contribuer à renforcer la confiance de ces jeunes en leur valeur sur le marché de l’emploi (ou à l’école) et en leurs perspectives d’avenir.
Par ailleurs, nous sommes également susceptibles d’accompagner les jeunes dans la construction de chacun de leurs projets qui ne concerneraient pas directement l’orientation ou l’insertion professionnelle.
. L’accueil des exclus
En 2018, le Centre Social et Culturel Danube a construit et mis en place une cellule d’accueil des élèves temporairement exclus d’un établissement scolaire partenaire (Georges Rouault, REP+).
Dès lors qu’il est orienté par son établissement, l’élève exclu pourra intégrer ce dispositif et être accueilli au centre social, sur le temps de son exclusion (1 à 3 jours).
En proposant un tel accompagnement, le CSCD aura pour objectif de permettre au jeune de se réapproprier ce temps, afin de retourner la négativité de la sanction en une occasion de faire quelque chose de positif pour lui et la suite de sa scolarité. Cela pourra également participer à un apaisement des relations que l'élève entretient au sein de l'établissement et/ou l'aider à intégrer les normes et les règles scolaires, en se les appropriant dans le cadre d'objectifs qui lui sont propres.
Suite à un premier entretien avec les parents, le jeune et sa famille s’engagent à participer à ce dispositif et l’accueil peut démarrer.
Au cours de sa présence au centre, le jeune se verra proposé un parcours adapté en fonction de son âge, ses préoccupations et l’acte commis.
Pour les plus jeunes, l’accent est mis sur la maîtrise des codes de la vie collective à l’école, ainsi que sur la gestion des émotions et les modes de communication.
Pour les plus âgés, l’accent est mis sur la construction (ou approfondissement) de leur projet d’orientation, dans un objectif de redéfinition ou précision du sens donné à leur scolarité.
Pour tous, cet accompagnement quasi individualisé permettra d’adresser des problématiques plus globales de la vie de ce jeune ou de sa famille qui pourraient émerger.
Nous leur proposerons également des parcours de découverte de structures ou de professionnels du quartier, afin de développer leur autonomie, leur capacité à « aller vers », ainsi que leur connaissance de leur territoire (et aisance).
En fin d’accueil, un temps de bilan individuel est prévu avec le jeune, ainsi qu’un retour à l’établissement afin de faire le lien et de prévenir la rupture scolaire.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Lors du renouvellement du projet social (2018/2022), les équipes du Centre Social et Culturel Danube sont allées à la rencontre des habitants du quartier Danube-Solidarité-Marseillaise afin d’identifier quels étaient pour eux les besoins et les axes d’effort sur lesquels le centre social pourrait agir ces prochaines années.
La jeunesse du territoire s’est montrée très participative et très préoccupée par les questions liées à la scolarité, à l’orientation, à la professionnalisation…
Le projet Passerelle + est pensé suivant un des axes principaux du nouveau projet social : « Accompagner l’insertion sociale comme préambule à l’insertion économique et professionnelle ».
Après une première année dédiée à la mise en place ou à la consolidation des actions de ce projet, cette nouvelle échéance sera l’occasion de renforcer les axes déjà existant, en s’efforçant de toucher un maximum de jeunes du quartier.
Nous accordons également beaucoup d’importance au long-terme dans le suivi de ces jeunes. L’objectif étant de les accompagner sur plusieurs années, et dans plusieurs challenges de leur vie d’adulte en construction.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Association locale
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Le volet accueil des exclus du projet Passerelle + a été construit avec le collège Georges Rouault. Six groupes de travail ont été organisés avec la présence de l'équipe de développement local et la coordinatrice du réseau REP +.
Les premiers accueils d'élèves exclus ont débuté en avril 2018.
Un tronc commun composé de :
-Un temps d'accueil et de présentation du centre et de la ou des journée(s) que le jeune va passer
- Un atelier découverte "enquête sur le centre social" à partir du rapport d'activités
- Un bilan écrit et oral en individuel
Selon le jeune, son âge, sa classe, la sanction et la durée de l'exclusion
- Un atelier "blason" ou connaissance de soi et loisirs créatifs
- Un atelier "enquête sur le centre social" à partir du rapport d'activités
- Rendez-vous et visite au CIO (questionnaire d'intérêts et débriefing)
- Recherches individuelles ou travail scolaire en fonction des besoins
- Atelier lecture et maîtrise du langage
- Ressources financières mobilisées pour cette action
L'action représente un budget prévisionnel de 14350 € :
- 1450 € (achat matières et fournitures)
- 550 € (documentation et assurance)
- 3850 € (autres services extérieurs... Remunération intermédiaires, publicité...)
- 8500 € (charges de personnels)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
La coordinatrice des actions éducatives et de loisirs est mobilisée sur le projet. Si nécessaire, elle s'appuie sur d'autres coordinateurs du centre social.
Deux bénévoles sont présents sur les temps d'accueil et un réseau de partenaires est également mobilisé.
- Résultat sur le territoire
En proposant un tel accompagnement, le centre social a pour objectif de permettre au jeune de se réapproprier ce temps, afin de retourner la négativité de la sanction en une occasion de faire quelque chose de positif pour lui et la suite de sa scolarité. Cette action permet aussi d’adresser des problématiques plus globales de la vie de ce jeune ou de sa famille, en fonction de ce qui émerge à chaque accueil.
- Résultat pour le centre social
Depuis le lancement du projet "Passerelle +", d'autres établissements scolaires ont pris contact avec le centre social. Au travers de ce projet, le centre social travaille plus facilement avec les établissements scolaire du territoire.
- Résultat pour les habitants
Au cours de sa présence au centre, le jeune se voit proposé un parcours adapté en fonction de son âge, ses préoccupations et l’acte commis.
De plus, il peut accéder au soutien scolaire des ados. Ce projet permet de travailler, avec notament la formation BAFA, avec les jeunes du territoire sur différents axes et de pouvoir leur proposer un accompagnement sur du long terme.
- Suite de l'action : Limites
Il existe une forte demande sur le territoire, le centre social et culturel Danube ne pourra pas être en capacité de répondre aux sollicitations de l'ensemble des établissements scolaire du térritoire.
- Suite de l'action : Perspectives
L'action concerne un accueil des collégiens, nous pensons à un accueil des lycéens.
Actions
"Végétalisation"
- Structure organisatrice
- MOM'ARTRE 18 - Paris
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Environnement
- Résumé
Création de bacs de végétalisation dans les rues adjacentes du local de l'association. Les usagers, parents, enfants, habitants du quartier et commerçant ont participé à la création, la pantation, la décoration et l'entretien de ces mini-jardins. Cela a donné lieu à des activités de sensibilisation à l'environement et à la découerte de lieux ressources sur le territoire (lombricompost, récupération de plantes). D'autres habitants ont par la suite sollicités l'association pour la mise en place de nouveau bac devant chez eux. Ils sont maintenant totalement autonomes dans leurs entretien. De nouveaux projet sont en constructions!
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Précision ( si autre )
Enfants accueillis en periscolaire, parents, habitants, commerçants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le quartier comporte très peu d'espaces vert, les usagers ont donc peu de contact avec la nature. Les trottoires sont occupés par des vehicules deux roues qui se garent sans autorisation, des dépots d'ordures sauvages encombrents les recoins. Il s'agit donc d'améliorer le cadre de vie des habitants du quartier en se réappropriant collectivement l'espace public, d'apprendre des techniques de bricolage et de jardinage et d'être sensibiliser à l'importance de l'environement.
- Public
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Dans un premier temps, dès 2017 l'association a sollicité les commerçants du quartiers et les usagers de l'associations pour construire et décorer quatres grands bacs de végétalisation, à partir de matériaux de récupération, aux abords du local de l'association. Les habitants ont par la suite planter et entretenus de nombreux végétaux, plantes vivaces, arbustes, fleurs, arbres etc... Les enfants ont créer des hotels à inscetes et des panneaux d'informations. Des ateliers de découvertes et sensibilisation à l'environement ont également été menés avec les usagers. Par la suite une habitante est venue solliciter l'association pour céer d'autres bacs au pied de son immeuble. Elle est à présent totalement autonome sur l'entretien.Durant toute l'année 2018, des temps d'ateliers d'entretien, plantation et sensibilisaion ont eu lieu autour de ces bacs . Un partenariat avec le cimetière permet de récupérer des plantes jetés mais en bon état et nous avons accès à un lombricomposte. .
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
50 personnes dont 29 enfants et 21 adultes
- Résultat sur le territoire
Amélioration du cadre de vie
- Résultat pour le centre social
Cette action a été mobilisante pour les usagers et les habitants et a succité des envies d'actions colletives
- Résultat pour les habitants
Le cadre de vie est plus agréable, l'action a perms le renforcement des rélations avec les commerçants et d'autres habitants du quartier. Les parents et les enfants ont pu mener une activité régulière ensemble dans le cadre d'un projet collectif.
- Suite de l'action : Limites
Les habitants n'entretiennent pas tous les bacs de façon autonome et les animateurs doivent continuer à impulser des temps d'entretients collectfs pour certains des mini-jardins.
Les bacs sont régulièrement endommagés, utilisés comme poubelles et certaines plantes arrachées ce qui est un peu décourageant.
- Suite de l'action : Perspectives
Nous devons accomapgnées de nouveaux projets de végétalisation, 3 nouveaux devraient voir le jour en 2019.
Actions
"Végétalisation"
- Structure organisatrice
- MOM'ARTRE 18 - Paris
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Environnement
- Résumé
Création de bacs de végétalisation dans les rues adjacentes du local de l'association. Les usagers, parents, enfants, habitants du quartier et commerçant ont participé à la création, la pantation, la décoration et l'entretien de ces mini-jardins. Cela a donné lieu à des activités de sensibilisation à l'environement et à la découerte de lieux ressources sur le territoire (lombricompost, récupération de plantes). D'autres habitants ont par la suite sollicités l'association pour la mise en place de nouveau bac devant chez eux. Ils sont maintenant totalement autonomes dans leurs entretien. De nouveaux projet sont en constructions!
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Précision ( si autre )
Enfants accueillis en periscolaire, parents, habitants, commerçants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le quartier comporte très peu d'espaces vert, les usagers ont donc peu de contact avec la nature. Les trottoires sont occupés par des vehicules deux roues qui se garent sans autorisation, des dépots d'ordures sauvages encombrents les recoins. Il s'agit donc d'améliorer le cadre de vie des habitants du quartier en se réappropriant collectivement l'espace public, d'apprendre des techniques de bricolage et de jardinage et d'être sensibiliser à l'importance de l'environement.
- Public
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Dans un premier temps, dès 2017 l'association a sollicité les commerçants du quartiers et les usagers de l'associations pour construire et décorer quatres grands bacs de végétalisation, à partir de matériaux de récupération, aux abords du local de l'association. Les habitants ont par la suite planter et entretenus de nombreux végétaux, plantes vivaces, arbustes, fleurs, arbres etc... Les enfants ont créer des hotels à inscetes et des panneaux d'informations. Des ateliers de découvertes et sensibilisation à l'environement ont également été menés avec les usagers. Par la suite une habitante est venue solliciter l'association pour céer d'autres bacs au pied de son immeuble. Elle est à présent totalement autonome sur l'entretien.Durant toute l'année 2018, des temps d'ateliers d'entretien, plantation et sensibilisaion ont eu lieu autour de ces bacs . Un partenariat avec le cimetière permet de récupérer des plantes jetés mais en bon état et nous avons accès à un lombricomposte. .
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
50 personnes dont 29 enfants et 21 adultes
- Résultat sur le territoire
Amélioration du cadre de vie
- Résultat pour le centre social
Cette action a été mobilisante pour les usagers et les habitants et a succité des envies d'actions colletives
- Résultat pour les habitants
Le cadre de vie est plus agréable, l'action a perms le renforcement des rélations avec les commerçants et d'autres habitants du quartier. Les parents et les enfants ont pu mener une activité régulière ensemble dans le cadre d'un projet collectif.
- Suite de l'action : Limites
Les habitants n'entretiennent pas tous les bacs de façon autonome et les animateurs doivent continuer à impulser des temps d'entretients collectfs pour certains des mini-jardins.
Les bacs sont régulièrement endommagés, utilisés comme poubelles et certaines plantes arrachées ce qui est un peu décourageant.
- Suite de l'action : Perspectives
Nous devons accomapgnées de nouveaux projets de végétalisation, 3 nouveaux devraient voir le jour en 2019.
Actions
Troc en Frip
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL LA CLAIRIERE - Paris
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Santé
- Mixité sociale
- Résumé
Cette action est portée par le centre social et un club thérapeutique mélant soignés et soignants du champs de la santé mentale.
Chaque vendredi nous nous retrouvons dans le cadre d'un café/couture.Il s'agit d'un temps de rencontre ouvert à tous lespublics des 2 associations.
Il vise à favoriser les échanges entre ces publics et à permettre l'échange de compétences autour de la couture. On peut venir créer un objet ou apprendre à réparer ses habits.
Chaque 1er vendredi du mois nous organisons la Troc Party qui permet d'échanger librement les vêtements dont on ne se sert plus pour d'autres à notre goût. Le stock de vêtement disponible est collecté toute l'année puis trié et réparé dans le cadre de l'atelier du vendredi.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L'action est mise en place pour favoriser l'accès à un lieu tout public pour un public habitué au structure de soin.
Pour le centre social il s'agit d'accueillir tous les publics du territoire et de favoriser la mixité sociale.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Elle est portée par la référente famille et 3 professionnels de l'hopital de jour.
Elle est animée par ces personnes et par certaines personnes des publics qui veulent s'y impliquer. Les choix sont participatifs et l'animation de lajournée Troc repose sur les volontaires du groupe
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
5 professionnels
1 bénévole
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Vidéado, des jeux vidéo pas idiots
- Structure organisatrice
- FLORIMONT - Paris
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- éducation / scolarité
- Résumé
Il s'agit d'un lieu dédié aux jeux vidéo pour les adolescents du quartier.
Une sélection de jeux de qualité dans une vidéothèque constituée par l'association de 650 jeux dans un but éducatif et ludique.
Un service de conseil à l'achat de jeux pour les paents et les jeunes permet de découvrir la richesse de ce media.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
A partir de 12 ans, i est difficle de retenir les enfants en ludothèque car ils sont sollicités par ailleurs; la création de Vidéado a permis d'élargir la fréquentation des adolescents et de les amener à différentes formes de jeux: éducatifs, coppératifs etc...
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Les loaux de florimont étaient à dispoitiion, la compétence jeux vidéo était disponible dans les salariés de Florimont, la demande avait été identifiée chez les jeunes et dans nos partenaires assocatifs jeunesse.
Il a suffi d'acheter lematériel (6 ordinateurs, manettes et casques) et de constituer patiemment une vidéothèque de jeux gratuits ou à bas prix
et le publixc a immédiatementt suivi.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
20 000 Euros
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 salarié et 1 service civique
- Résultat sur le territoire
Forte notoriété chez les jjeunes (1900 accueils dans l'année)
Intervention en plus au collège, dans d'autres tructures (Centres sociaux)
Actions pendant les vccances dns le cadre des VVV
- Résultat pour le centre social
A permis de diversifier les publics en accueillant une population (les adolescents) difficile à mobiliser
- Résultat pour les habitants
Une activité supplémentaire en périscolaire et pendant les vacances
Des contacts avec les parents pour démystifier le jeu vidéo et pour leur conseiller des achats pertinents
- Suite de l'action : Limites
il nous parait nécessiare d'attirer des + de 15 ans alors que le publis actuel est plu^toconstitué de 12 -14 ans
La limite (pas infranchissable) est d' arriver à inculquer des valeurs (coopération, réflexion/concentration, prise d'initiative) applicales par les utilisateurs
- Suite de l'action : Perspectives
L'action continue de se développer avec des perspectives intéressantes de diversification des publics (filles et peut être parents/jeunes)
Actions
Les rues aux enfants
- Structure organisatrice
- CAFEZOIDE - Paris
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- Mixité sociale
- Résumé
La « Rue aux enfants » est une prise en compte de la place de l’enfant et des jeunes et leur légitimité d’être et de jouer dans l’espace public, espace de socialisation et du vivre ensemble. La Rue aux enfants, se base sur la pédagogie sociale qui favorise la rencontre et les projets collectifs dans un environnement propice à remplir l’objectif d’épanouissement et le développement des enfants (jusqu’à 18 ans), à travers la création et l’animation sociales et culturelles, dans un esprit de convivialité, de partage et de tolérance.
Pour faire vivre cette action, le Cafézoïde met en place des jeux et des ateliers d’extérieurs, gratuitement mis à la disposition des enfants, avec un encadrement d’animateurs. Les enfants, les jeunes, les familles deviennent petit à petit les acteurs principaux de la rue.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Autre
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
"Dans le passé, l’enfant appartenait tout naturellement à l’espace urbain, avec ou sans ses parents. Dans un monde de petits métiers, et de petites aventures, il était une figure familière de la rue. Pas de rue sans enfants de tous âges et de toutes conditions. Ensuite, un long mouvement de privatisation l’a retiré peu à peu de l’espace urbain qui cessait dès lors d’être un espace de vie épaisse, où le privé et le public ne se distinguaient pas, pour devenir un lieu de passage, réglé par les espaces de vie épaisse, où le privé et le public ne se distinguaient pas, pour devenir un lieu de passage, réglé par les logiques transparentes de la circulation et de la sécurité" Philippe Aries
La rue aux enfants, c'est un cri du coeur que l'équipage (bénévoles et professionnels) a poussé en réaction à la demande de vider la rue, des enfants et des ados qui y jouaient non accompagnés.
A quels besoins répond-il ?
1- Le besoin fondamental pour de nombreux enfants d’être écoutés et de pouvoir exprimer leur point de vue et leur regard sur le monde, et d’être ainsi reconnus.
2 - Répondre au manque de proposition à destination des enfants dans l’espace public, occupé dans la majorité par la voirie automobile.
3 - Le besoin de mixité sociale et de compréhension mutuelle, dans un arrondissement «politique de la Ville», et plus précisement dans un quartier dit «sensible» ou en «difficulté».
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Caf
- Commune
- Fondations
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
L’équipe travaille dans un esprit participatif : le projet associe les enfants, les adolescents et les parents dans la co construction de chaque évènement. Par l’implication des enfants et la liberté de choix, chacun ayant une place dans le projet, il s’agit de les aider à développer une sensibilité personnelle et à acquérir des modes d’expression, qui leur permettront de mieux comprendre, imaginer, créer, proposer et agir dans le monde de demain. En rompant l’isolement, en participant à un projet collectif et en réalisant une œuvre commune, qui se nourrit de la singularité créative de chacun, cette action permet aux enfants de trouver leur place et de mûrir, grâce aux interactions et aux interrelations nécessaires pour assurer la réussite du projet.
Activités
Avec les Rues aux Enfants, des jeux et des ateliers, en libre disposition et gratuits, sont proposés aux jeunes et à leurs familles, de 11h à 18h, tous les dimanches après midi, devant le Cafézoïde, tout au long de l'année, en profitant de la fermeture aux voitures du Quai de Loire. Une "grande" Rue aux Enfants a lieu une fois par an, le dernier dimanche de mai, et s'étend alors sur les espaces le long du Bassin de La Villette (côté Quai de Loire).
De multiples activités sont prévues : un espace cirque et sports de rue, un espace artisanal, des jeux en bois géants, jeux de plateau, jeux coopératifs, un « camion des petits débrouillards », un studio mobile radio (la « Radiozoïde »), des ateliers films et cinéma, des ateliers divers, un espace restaurant des enfants, un ring, etc. Des spectacles (marionnettes, par exemple) sont également proposés.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le budget annuel de l’opération est évalué à 39 000 €. Il comprend les dépenses pour les petites rues aux enfants, mises en place tous les dimanches, ainsi que le budget de la Grande Rue aux enfants (festival d'une journée tous les derniers dimanches du mois de mai).
Les rémunérations des animateurs du Cafézoïde et des intervenants extérieurs (musiciens, par exemple) représentent, logiquement, une forte proportion des dépenses (48%). Un tiers du budget est consacré aux achats (matériel, jeux, etc.), à l’entretien et aux réparations. Le reste concerne principalement des dépenses liées à la communication.
La CAF, la Mairie de Paris et celle du 19e, sont les soutiens traditionnels des Rues aux Enfants, procurant 40% des recettes. L’Etat (DDCS) est également sollicité. Des recettes liées à l’activité, ainsi que des fonds propres, complètent le plan de financement, à hauteur de 18 %.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Une soixantaine de bénévoles et une dizaine de personnes rémunérées sont mobilisées. Les adhérents (plus de 500 en 2018) sont invités à participer aux activités.
Des assemblées d’enfants, auxquelles se joignent des parents, sont encadrés par l’équipe du Cafézoïde avec pour objectif de favoriser l’expression libre des jeunes, dans une ambiance de liberté et de partage. Il est demandé aux présents de participer aux projets en étant eux même organisateurs et forces de propositions. Les activités sont peu à peu prises en charge par les plus grands, leur conférant ainsi une responsabilité valorisante.
Enfin, le Cafézoïde se situe au cœur du réseau associatif et institutionnel de l’arrondissement et monte les projets locaux, notamment, « les Rues aux Enfants », avec une trentaine d’associations, écoles et institutions. Il s’appuie donc sur un large partenariat : habitants, écoles, artistes, associations, entreprises, commerces, institutions, etc.
- Résultat sur le territoire
En mettant à disposition des jeux et en animant ces lieux dans l’espace public, avec des animateurs qui jouent et font jouer, la « Rue aux enfants » du Cafézoïde participe au “mieux vivre ensemble” dans le quartier.
- Résultat pour le centre social
Rencontre avec le quartier, un lien direct avec les habitants qui permet le développement d'une action cohérente de l'association.
Une dynamique relancée à chaque Rue aux Enfant par un projet collectif : une énergie nouvelle et rafaichissante.
Un renforcement des liens partenarials autour d'actions concrètes, régulières ou ponctuelles.
- Résultat pour les habitants
La rencontre et la découverte d'un autre monde, en bas de chez soi ! Par l'implication des ressources de chacun avec la mise en avant des compétences, arts et envies des enfants.
Un lieu de vie mouvant, ouvert et intégrant pour les personnes isolées, pour les familles qui ne partent pas en vacances...
Une reprise en main de l'espace commun par les habitants : le développement des projets individuels et collectifs par et pour tous.
- Suite de l'action : Limites
Il y a une vrai problématique sur la circulation voiture/vélo/pietons : un danger à réguler sur chaque Rue aux Enfants.
Afin de proposer du materiel de qualité, varié et adapté, le Cafézoïde est obligé de stocker dans son local de nombreuses choses... l'association est limitée en terme d'espace de stockage, et cela empêche le développement de certains projets (ring de boxe, materiel de sport, kart et voitures à pédales, déco de rue...).
- Suite de l'action : Perspectives
Développement des Rues aux Enfants et des espaces de jeux à l’exterieur pour lutter contre les inégalités éducatives : la Rue aux Enfant devient un espace d'accès aux droits (protection, expression....). Avec différents acteurs comme un avocat spécialisé en droits des enfants, un facteur des enfants et un médiateur/psychologue des familles.
Actions
Vidéado, des jeux vidéo pas idiots
- Structure organisatrice
- FLORIMONT - Paris
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- éducation / scolarité
- Résumé
Il s'agit d'un lieu dédié aux jeux vidéo pour les adolescents du quartier.
Une sélection de jeux de qualité dans une vidéothèque constituée par l'association de 650 jeux dans un but éducatif et ludique.
Un service de conseil à l'achat de jeux pour les paents et les jeunes permet de découvrir la richesse de ce media.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
A partir de 12 ans, i est difficle de retenir les enfants en ludothèque car ils sont sollicités par ailleurs; la création de Vidéado a permis d'élargir la fréquentation des adolescents et de les amener à différentes formes de jeux: éducatifs, coppératifs etc...
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Les loaux de florimont étaient à dispoitiion, la compétence jeux vidéo était disponible dans les salariés de Florimont, la demande avait été identifiée chez les jeunes et dans nos partenaires assocatifs jeunesse.
Il a suffi d'acheter lematériel (6 ordinateurs, manettes et casques) et de constituer patiemment une vidéothèque de jeux gratuits ou à bas prix
et le publixc a immédiatementt suivi.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
20 000 Euros
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 salarié et 1 service civique
- Résultat sur le territoire
Forte notoriété chez les jjeunes (1900 accueils dans l'année)
Intervention en plus au collège, dans d'autres tructures (Centres sociaux)
Actions pendant les vccances dns le cadre des VVV
- Résultat pour le centre social
A permis de diversifier les publics en accueillant une population (les adolescents) difficile à mobiliser
- Résultat pour les habitants
Une activité supplémentaire en périscolaire et pendant les vacances
Des contacts avec les parents pour démystifier le jeu vidéo et pour leur conseiller des achats pertinents
- Suite de l'action : Limites
il nous parait nécessiare d'attirer des + de 15 ans alors que le publis actuel est plu^toconstitué de 12 -14 ans
La limite (pas infranchissable) est d' arriver à inculquer des valeurs (coopération, réflexion/concentration, prise d'initiative) applicales par les utilisateurs
- Suite de l'action : Perspectives
L'action continue de se développer avec des perspectives intéressantes de diversification des publics (filles et peut être parents/jeunes)
Actions
POINT D'INFORMATION JEUNESSE
- Structure organisatrice
- CRL10 - Centre Château-Landon - Paris
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Démocratie & citoyenneté
- Emploi, économie
- Logement
- Précarité
- Intégration
- mobilité / transport
- vacances / loisirs
- Résumé
MISE EN ŒUVRE DU PIJ : Accueil des jeunes du mardi au samedi de 17h à 19h et le samedi de 14h à 19h. Démarrage des actions et de l’accompagnement, accent sur l’orientation, les projets et la diffusion de l’information. Le centre devient Relais des dispositifs jeunesse de la ville : Paris Jeune Vacances, Quartiers libres, BAFA citoyen.MISE EN ŒUVRE DU PIJ : Accueil des jeunes du mardi au samedi de 17h à 19h et le samedi de 14h à 19h. Démarrage des actions et de l’accompagnement, accent sur l’orientation, les projets et la diffusion de l’information. Le centre devient Relais des dispositifs jeunesse de la ville : Paris Jeune Vacances, Quartiers libres, BAFA citoyen.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
- Réalisation des travaux pour la bonne visibilité du PIJ dès le RDC
- Accueil des jeunes du mardi au samedi de 17h à 19h et le samedi de 14h à 19h
- RV confidentiels le matin selon les besoins
- Itinérance du PIJ (délocalisation Lycée Colbert - 1 séance + Info Jeunesse / rencontre collégiens Paris Anim’ Mercoeur Paris 11ème)
- Le centre devient Relais des dispositifs jeunesse de la ville : Paris Jeune Vacances, Quartiers libres, ...
- BAFA citoyen : premiers accompagnements en cours de réalisation
- Démarrage actif des relais infos emploi, insertion, projets pro et socio-culturels (Ex. Jeunes d’Afrique Conseils)
- MISSION LOCALE : mise en place de l’accueil de la MLP pour un sas Garantie Jeunes, immersion de l’Informateur Jeunesse du centre au sein de la MLP
- Engagement au sein de différents évènements dédiés à la jeunesse (Diffusion Tremplin Lycéen, concert 10ème Chambre)
- Participation à la matinée d’échange sur la discrimination faite aux femmes
- Coordination de l’action inter-collèges “Le Bal des Collégiens” pour les 3èmes du
- Collège Valmy et “Action Collégiens”.
- Participation à la réunion sur la Remobilisation des jeunes par le numérique aux Canaux
- Participation aux réunions du réseau IJ
- Zone étendue : animations au local associatif Les Petits Poètes et aux fêtes de quartier (Rue aux Enfants, Village Zéro Déchets). Co-construction conférence Familles sur les écrans avec le Collège Grange aux Belles
- Déjeuner Débat , les jeunes et les produits psycho actifs avec la MMPCR (11 déc. 2018)
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Développer un lieu de vie et un espace de services de proximité
- Développer l’information en direction de la population du territoire, et en particulier la jeunesse
- Favoriser l’intégration et le lien social
- Résultat pour le centre social
- Nous avons MOBILISÉ LES RÉSEAUX ET ORGANISÉ DES TEMPS FESTIFS : Block Party1, Tremplin musical, Bal des Collégiens, Humour à Château, Paroles du 10ème, Live musicaux...
- Nous avons RÉORGANISÉ LA DIFFUSION DE L’INFORMATION dans les accueils des différents centre Paris Anim du Xe pour la rendre plus visible (aménagement des accueils)
- Nous avons programmé des ateliers RAP/SLAM écriture avec des jeunes
- Résultat pour les habitants
a permis de rencontrer plus de jeunes, les orienter plus efficacement, les soutenir dans leur démarche, et de nouer de nouveaux partenariats avec les différents acteurs locaux spécialisés (Mission Locale, Arc 75, EPI Minimes, Mission jeunesse de la Ville, Le carillon, La mission locale, Action collégien, Lycée Colbert, Collège Valmy, l’Équipe de Développement Local…). Une nouvelle dynamique est à l’oeuvre, un nouvel élan sur le territoire auprès des jeunes, des habitants et des partenaires.
De nouveaux partenaires de l’insertion vont permettre au centre d’être un véritable relai vers les structures expertes, en approfondissant sa connaissance des publics et le lien de confiance : Mission locale, Maison de l’Emploi, CIDJ , Ets Scolaires, entreprises privées en relation avec la Mission Locale…
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Assemblées des Présents
- Structure organisatrice
- CAFEZOIDE - Paris
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Démocratie & citoyenneté
- Mixité sociale
- Résumé
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
La Pause Parents. Atelier de relaxation pour les femmes en situation de vulnérabilité sociale
- Structure organisatrice
- Espace Chateau d'eau - Paris
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Santé
- Résumé
Axes Pluriels est un espace de vie sociale agrée par la CAF situé dans le 10ème arrondissement. Nous recevons dans le cadre des actions de soutien à la parentalité de nombreuses femmes habitants les hôtels sociaux de notre quartier.
Le présent projet, concerne la question du répit parental par le biais de la gymnastique douce.
Cette idée est venue d’un groupe de jeunes femmes âgées de 16 à 35 ans à la suite d’un débat sur le rapport à leur corps. Certaines femmes se trouvaient trop fortes, d’autres se sentaient toujours fatiguées et d’autres estimaient qu’elles manquaient de temps et de lieu pour faire du sport.
Il faut dire que ces femmes ont pour la plupart toute la charge parentale de la famille ce qui accroit les tensions mentales.
Les divers problèmes familiaux, économiques et sociaux mettent en péril la santé mentale de ces femmes. En effet, certaines d’entre elles présentent des symptômes dépressifs majeurs (burnout). Cela impacte négativement leurs compétences parentales. Créer une bulle pour elles en mettant en place de cet atelier. Enfin c’est aussi un désir de couper avec leur environnement parental et s’approprier un lieu bien à elles.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les divers problèmes familiaux, économiques et sociaux mettent en péril la santé mentale des femmes fréquentant l'espace de vie sociale. En effet, certaines d’entre elles présentent des symptômes dépressifs majeurs (burnout). Cela impacte négativement leurs compétences parentales. Créer une bulle pour elles en mettant en place de cet atelier. Enfin c’est aussi un désir de couper avec leur environnement parental et s’approprier un lieu bien à elles.
Resultats attendus
Créer un espace de répit pour les parents.
Renforcer les compétences parentales à travers un atelier de relaxation.
Développement de la pratique sportive comme développement et appropriation de soi
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
L’idée de ce projet est née des discussions pendant les activités menées à l’association avec les femmes et les jeunes filles vulnérables migrantes, habitant pour la plupart des hôtels sociaux du quartier . Le défi était de répondre de manière efficace à leur demande, mais aussi de pérenniser les solutions proposées.
Le projet a débuté en janvier 2020 par des groupes de paroles au sein de l'association. L'activité de gymnastique douce en février 2020.
L'association a bénéficié de l'expertise de l' Atelier Santé Ville de l'arrondissement , qui animait des groupes de paroles intitulé CAFE SANTE. Ainsi que d'un groupe de medecins de l'INSERM , Hopital Lariboisière dans le 10ème arrondissement qui animait des thématiques autour d'une alimentation équilibrée .
LA CAF a mis a disposition une salle polyvalente "Espace Parents "pour les activités gymnastiques douces.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
10 000 EUROS ;Incluant valorisation de la salle mise a disposition par la CAF et salaires des intervenants;Professeuer de gymnastique douce et infirmière.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 personnes
1 Coordinatrice de projet
1 professeur de gymnastique douce
1 Psychologue
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
Le projet renforce la confiance des usagers envers le centre social . Ils sentent que nous répondons a leur demande. IL y a une grande implication dans d'autres activités du centre.
- Résultat pour les habitants
Les participantes au projets sont ravies et très demandeuses. Nous avons une tres forte assiduité .
- Suite de l'action : Limites
Nous ne pouvons pas encore repondre a cette question.
- Suite de l'action : Perspectives
Le projet va continuer car il répond a une demande. Nous avons d'autres partenaires qui sont intéresés par cette demarche innovante.
Actions
Projet CLAS 2019-2020
- Structure organisatrice
- ENSEMBLE AUX FRERES VOISIN - Paris
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Résumé
participer au renforcement de la coordination entre tous les acteurs opérationnels autour de la scolarité, sur le quartier des Frères Voisin
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
améliorer encore ce qui a été dèjà conduit la première année
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
initiée en nov 2019, à partir d'un accompagnement effectif depuis la rentrée à la scolarité des collégiens / lycéens du quartier "Frères Voisin"
- Ressources financières mobilisées pour cette action
1854,10€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 bénévole + 1 salariée
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
la période scolaire 2019-2020 a été largement hypothéquée par la crise Covid : arrêt des activités en direction des juniors depuis la mi-mars 2020
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
MOSAIQUE GEANTE
- Structure organisatrice
- LES COULEURS DE PONT DE FLANDRE - Paris
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Résumé
Réaliser UNE MOSAIQUE GÉANTE de 156m correspond au premier axe du projet social de notre EVS : la valorisation de l’image du quartier par l’embellissement de l’espace public, tout en tissant des liens intergénérationnels, dans une démarche inclusive. Valoriser les entrées du quartier pour inviter à y entrer avec une œuvre pérenne résistant aux intempéries ,inspirant le même respect que l'œuvre collective mural mosaïque réalisée en 2018. Poursuivre le travail participatif en allant à la rencontre des habitants, en récoltant au travers d'une enquête les avis et envies de 200 personnes du quartier. Puis s'engager dans un procesus de co-construction à partie du thème dégagé de l'enquête : "Le retour de la naure en ville ". A partir de ce thème,des ateliers d'écriture intergénérationnels ont permis de retracer l'histoire du quartier, par des poèmes, traduits ensuite en dessins, puis en mosaïque. Tous ces ateliers se sont déroulés dans une joyeuse ambiance, favorisant l'inclusion et le partage de moments conviviaux pour des personnes isolées.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
27 500€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
700
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives