Les actions des centres sociaux
Actions
Fun'en Bulles : manifestation intercommunale tout public
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL INDIGO - Maine-et-Loire
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- vacances / loisirs
- Résumé
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Territoire concerné
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
ACCOMPAGNEMENT A LA SCOLARITE
- Structure organisatrice
- Centre Socioculturel du Douessin - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Résumé
L'accompagnement à la scolarité coordonné par le Centre socioculturel est un appui aux enfants et à leur famille :
- pour leur permettre de démystifier les apprentissages, l'institution scolaire
- pour les appuyer dans la réalisation de leurs devoirs ou l'organisation nécessaire.
1 à 2 soirs par semaine, sur 30 semaines, des bénévoles formés, via des dispositifs spécifiques, et accompagnés par la référente famille du Centre Socioculturel, vont à la rencontre d'enfants de primaire et de collège réunis sur des sites sur les communes de Doué la Fontaine et St Georges sur Layon. Seul l'accompagnement à la scolarité des enfants de 6ème se réalise dans le collège.
En Primaire : 19 élèves et 30 bénévoles.
Au Collège Lucien Millet : 21 élèves et 11 bénévoles.
En 2014 ont été proposés : Goûter, Aide aux leçons, Jeux, Chants-Contes, Sortie pour les élèves du Collège.
Un contrat d'engagement est signé, en présence de l'enfant concerné, entre les familles, les bénévoles, les enseignants et le CSC.
Cette action entre dans le cadre du soutien à la parentalité et est financée par la CAF et la Communauté de Communes.
C'est une action qui permet aux familles et aux bénévoles de découvrir le CSC autrement : pas seulement l’aide aux devoirs, pas seulement l’accueil de loisirs, pas seulement les difficultés, mais aussi une ouverture sur les « Ateliers Communication Respectueuse », les « Cafés parents Ados », « la Journée Mer » grâce au covoiturage et au train, « les Jardins familiaux », « les ateliers du lundis », « les activités Jeunesse », le PIJ, sur les TAPS, sur le spectacle de Noël, l’accès aux bibliothèques et bien d’autres activités.
L’accompagnement scolaire : une porte d’entrée au CSC parmi d’autres pour avancer vers plus de citoyenneté.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Objectifs : • Favoriser le lien social pour une prise en charge inter générationnelle de l’éducation des enfants
• Permettre une meilleure intégration des enfants dans le système scolaire.
• Favoriser leur ouverture culturelle, pour leur ouvrir "l'appétit" d'apprendre, de partager et d'avoir une image positive de soi
• Associer les parents à l'évolution scolaire de leurs enfants
• Sensibiliser, former et impliquer des adultes dans cet accompagnement en associant, sensibilisant et responsabilisant les parents dans leurs rôles de 1ers éducateurs
• Assurer une formation pour les bénévoles et leur permettre de prendre en charge la mise en œuvre et le développement de l’action (4 demie journées suivies par 7 bénévoles)
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
L'action a débuté il y a une dizaine d'années, à l'initiative d'habitants concernés par des problèmes de scolarité pour leurs propres enfants ou chez d'autres familles.
Au départ, l'accompagnement était exclusivement conduit sous la forme d'un soutien scolaire. Progressivement, l'approche de l'enfant s'est modifiée dans le sens d'une démarche plus globale, avec une idée d'adulte bénévole référent, d'ouverture culturelles et aux apprentissages. Et ce, avec une dimension conviviale, l'accompagnement commençant par un goûter.
Des formations, appuyés par la CAF, sont venues renforcer cette démarche.
Les bénévoles se retrouvent régulièrement en échanges de pratiques. Enseignants, familles et bénévoles se retrouvent aussi à différents moments de l'année réguliers auxquels s'ajoutent, à la demande, des rendez-vous ponctuels en fonction des besoins des différents signataires du contrat.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
30 bénévoles
et 1 référente famille (0.27 %Etp)
- Résultat sur le territoire
C'est une action qui permet aux familles et aux bénévoles de découvrir le CSC autrement : pas seulement l’aide aux devoirs, pas seulement l’accueil de loisirs, pas seulement les difficultés, mais aussi une ouverture sur les « Ateliers Communication Respectueuse », les « Cafés parents Ados », « la Journée Mer » grâce au covoiturage et au train, « les Jardins familiaux », « les ateliers du lundis », « les activités Jeunesse », le PIJ, sur les TAPS, sur le spectacle de Noël, l’accès aux bibliothèques et bien d’autres activités.
L’accompagnement scolaire : une porte d’entrée au CSC parmi d’autres pour avancer vers plus de citoyenneté.
- Résultat pour le centre social
L'accompagnement à la scolarité est une activité qui renforcent les passerelles entre Alsh enfance et Jeunesse, c'est un espace de rencontre de parents qui leur permet de s'impliquer.
En interface famille-école, le CLAS apporte de la légitimité localement.
- Résultat pour les habitants
L'accompagnement à la scolaritéest un espace de rencontre de parents qui leur permet
- de repérer que d'autres parents aussi peuvent rencontrer des difficultés et donc de démystifier leurs problématiques à eux, vers une reprise de confiance
- pour certains d'intégrer ou de participer à la mise en place d'actions autres à destination des parents.
- Suite de l'action : Limites
La première limite est liée à la difficulté de gérer des actions sur différents sites à des moments clés et identiques pour tous sur l'année.
La deuxième à la difficulté de renouveler les bénévoles, de les former pour que leurs pratiques soient en relation avec le projet, tout en leur laissant une part d'autonomie pour qu'ils puissent aussi apporter leur originalité.
Une autre problématique se situe dans les questions de mobilité : l'accompagnement de l'école au site.
- Suite de l'action : Perspectives
Ouverture à l'autre collège
Actions
Permanence d'aide administrative
- Structure organisatrice
- MAISON POUR TOUS MONPLAISIR - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Précarité
- Résumé
Une permanence d'accueil ouverte à tous, permet l'écoute et la compréhension des actes à réaliser pour faciliter une réponse pratique à des problématiques diverses (ex :demande de logement social, demande d'aide juridictionnelle, demande d'allocation, courrier avocat, orientation des structures spécialisées, obtention d'un rendez-vous auprès d'un travailleur social, information sur des dispositifs d'aide...).
Cette permanence accueille les habitants sans rendez-vous sur plusieurs quartiers de la Ville d'Angers. Elle est encadrée par un agent de formation juridique avec de l'expérience. En 2014, 1342 entretiens ont été réalisés.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La ville d'Angers accueillant de nombreuses personnes issues de l'immigration, logées dans des quartiers de logement sociaux (quartiers en Politique de la Ville notamment) très touchés par la crise, économique et sociale, il est devenu nécessaire d'accompagner les habitants à travers un service d'accueil de proximité.
Cette action permet de soutenir les services institutionnels en proposant aux usagers de ces services un déchiffrage des formulaires ou des démarches nécessaire pour leur permettre d'accéder à leurs droits et apporter des réponses pratiques à leurs problématiques personnelles afin de faciliter leur intégration sociale.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Commune
- Conseil départemental
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
L'action a été mise en oeuvre en 2011 suite à la réflexion des partenaires institutionnels (CAF, Conseil Départemental, Préfecture, Commune, Centre Social). Ces partenaires se retrouvent deux fois par an au sein d'un Comité de Pilotage de l'action pour accompagner sont développement et sa pérennisation.
La réussite de l'action a été possible par le profil et l'expérience du titulaire du poste et par la qualité des relations avec les partenaires.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le coût des permanences d'aide administrative est principalement le coût du salarié en charge des permanences soit 33.000 € dont 25.000 € financés par la Politique de la Ville (Commune, CAF, Conseil Départemental).
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 professionnel
- Résultat sur le territoire
Dimension de facilitateur inter-services auprès des partenaires, rôle de médiation en plus des activités de production d’écrits, informations et orientations. Souplesse de la saisine des permanences grâce à leur situation géographique et à l’accès sans rendez-vous qui permet une auto-régulation et un report le cas échéant sur les autres sites.
- Résultat pour le centre social
Reconnaissance par les habitants de la qualité du service apporté.
Intérêt de la mutualisation de compétences au sein des Maisons de quartier au profit des habitants conformément à leurs missions en particulier pour celles qii sont agrées « Centre social ».
- Résultat pour les habitants
Les permanences ont permis de répondre aux besoins exprimés et aux personnes de trouver une réponse a leurs préoccupations: déblocage de situations administratives et de la vie courante, obtention de droits suite à la constitution de dossier et l'exercice de recours. Renforcement de l'autonomie du public. Amélioration de la compréhension des situations : 75% des habitants qui fréquentent les permanences ont une autonomie faible ou très faible. Beaucoup cumul des difficultés subies : insuffisante maîtrise de la langue (écrit, lecture), compréhension insuffisante des situations personnelles, difficultés financières sévères.
Les permanences participent à une meilleuire cohésion sociale sur le quartier.
- Suite de l'action : Limites
Cette action est financée uniquement sur les subventions de la Politique de la Ville.
- Suite de l'action : Perspectives
Recherche de financement pour la péreniisation de la l'action.
Actions
Rassemblement des Juniors Associations de SÈVREMOINE
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL INDIGO - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Un rassemblement des 9 Juniors Associations localisées sur la Commune Nouvelle Sèvremoine a lieu tous les ans lors des vacances d'octobre à l'initiative du Centre Social Indigo.
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
9 Juniors Associations du territoire se sont rassemblées pendant 2 jours (en internat) pour faire le bilan des actions de leur association, leur fonctionnement et prévoir les perspectives de l'année à venir. L'objectif de ce rassemblement : permettre la rencontre des J.A. de la commune nouvelle, mutualiser les actions, que les jeunes échangent sur leurs projets, qu'ils se rencontrent dans une perspective d'animation de la vie locale. Pour le Centre Social, l'objectif est de permettre à l'équipe permanente "jeunesse" du Centre Social de faire un temps de formation ensemble (permettre d'ajuster leur pratique, de créer et tester des nouveaux outils d'animation).
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Autre
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L'objectif de ce rassemblement : permettre la rencontre des J.A. de la commune nouvelle, mutualiser les actions, que les jeunes échangent sur leurs projets, qu'ils se rencontrent dans une perspective d'animation de la vie locale. Pour le Centre Social, l'objectif est de permettre à l'équipe permanente "jeunesse" du Centre Social de faire un temps de formation ensemble (permettre d'ajuster leur pratique, de créer et tester des nouveaux outils d'animation). A l'issue de ces deux jours, un autre objectif est que les dossiers de réhabilitation des J.A. soient réalisés par les jeunes.
Une des particularités du secteur jeunesse du Centre Social Indigo est qu'il contribue à la création de Juniors Associations sur son territoire. C'est un outil utilisé pour répondre à un des objectifs du Projet Social : "Faire valoir la participation des habitants". A travers ces J.A. les animateurs travail sur la pédagogie de l'autonomie des jeunes, la citoyenneté. Les animateurs, via ces J.A., permettent aux jeunes de devenir acteur sur leur territoire.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Autre
- Territoire concerné
- Autre
- Description générale
Les animateurs ont en ligne de mire ce rassemblement tout au long de l'année. C'est un temps fort pour les jeunes et les animateurs. Chaque J.A. désigne 2 ou 3 représentants de leur J.A. pour participer à ce rassemblement. Un temps de préparation a lieu en amont avec les jeunes. Un temps de restitution en direction des jeunes des J.A. a lieu après. Pendant le rassemblement (2 jours) des temps de travail individuel entre J.A. et collectif entre les J.A. ont lieu. A la fin de ces 2 jours de travail, un temps de valorisation est effectué en présence des parents, d'élus et des membres du Conseil d'Administration du Centre Social. Ce temps de valorisation est une étape importante du projet.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
CHARGES : 750€ alimentation ; 150€ transport (car) ; 520€ hébergement ; 1 600€ (rémunérations) ; 100€ matériels pédagogiques = 3 120€
PRODUITS : 400€ PSO ; 2 720€ Centre Social
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 coordinatrice "jeunesse" + 4 animateurs permanents de l'équipe jeunesse + 40 jeunes
- Résultat sur le territoire
Reconnaissance des J.A. sur la commune nouvelle ;
Mutualisation d'actions et projets communs entre J.A. ;
Création d'animations sur les communes déléguées ;
Développement de la vie locale
- Résultat pour le centre social
Reconnaissance du travail fait en direction des jeunes sur le territoire par les parents et les élus ;
Améliorer la cohésion de l'équipe
- Résultat pour les habitants
Les jeunes apprennent à ce connaitre d'une J.A. à une autre (donc d'une commune déléguée à une autre) ;
Permet de développer la création de J.A. sur le territoire
- Suite de l'action : Limites
Le temps que cela demande et le coût financier (encadremement - coût demandé aux J.A. faible... c'est le Centre Social qui finance une grande partie)
- Suite de l'action : Perspectives
Mise en oeuvre de ce rassemblement tous les ans à la même période (vacances d'octobre pour préparer l'année scolaire à venir)
Actions
CHANTIER JEUNES : RESTAURATION DU LAVOIR DE LOURESSE-ROCHEMENIER
- Structure organisatrice
- Centre Socioculturel du Douessin - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Le chantier jeunes est terminé
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- éducation / scolarité
- Culture
- Résumé
Des jeunes, accompagnés de professionnels, ont restauré un élément du patrimoine Douessin : un ancien lavoir.
Cela a consisté à la réfection d'un mur de 6 m de long sur 1m80 de haut.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les animateurs jeunesse ont sollicité les communes pour établir un partenariat pour l'accueil d'un chantier jeunes et une commune a répondu favorablement.
Objectifs :
- dynamiser des territoires ruraux
- changer la représentation sur les jeunes en leur permettant de s'impliquer dans leur commune
- faire découvrir des savoir-faire aux jeunes pouvant contribuer à leur orientation professionnelle
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- DDCS
- Entreprise privée
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
1. Concertation autour du projet avec les différents partenaires pour étudier la mise en oeuvre : plan, matériel, organisation, accompagnement, rôle de chaque partenaire, moyens financiers et humains, calendrier, place des parents
2. Mobilisation des jeunes
3. Apprentissage par la pratique : les jeunes ont coulé les fondations, monté les murs avec parpaing et ciment, taillé des pierres de grison pour habiller les murs.
4. Inauguration avec élus, partenaires, jeunes et familles.
L'action a débuté en été 2014 et l'inauguration a eu lieu en octobre 2015
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Pour le Centre Socioculturel : temps passé par les animateurs
Entreprise privée : temps passé et fournitures
Commune : mise à disposition d'un employé communal pour participer au chantier et frais d'inauguration
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Entreprise : 2
Salarié mis à disposition par la commune : 1
Salarié du CSC : 1 principalement, 1 en appui ponctuel
Parents bénévoles : 4
- Résultat sur le territoire
Réfection du patrimoine
- Résultat pour le centre social
Valorisation, reconnaissance de notre capacité à conduire un projet et à le mener jusqu'au bout
- Résultat pour les habitants
Valorisation des jeunes filles et garçons au sein de leur famille, des élus et habitants de la commune
Interrogation des habitants et partenaires sur les stéréotypes liés aux genres
- Suite de l'action : Limites
Le chantier était très important pour la capacité physique des jeunes et leur rythme, les adultes ont dû assurer des temps de réalisation supplémentaires sans les jeunes.
Les jeunes auraient pu être impliqués dès le début lors de la première concertation.
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Local jeunes 16/25 ans : un lieu de sociabilité pour tous les jeunes adultes
- Structure organisatrice
- MAISON POUR TOUS MONPLAISIR - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Démocratie & citoyenneté
- Intégration
- Résumé
Le local jeunes est un espace implanté en dehors de toute institution pour accueillir les jeunes adultes de 16 à 25 ans dans un quartier populaire où un tiers de la population vit sous le seuil de pauvreté. Il est ouvert du mardi au samedi en périodes scolaires et du lundi au vendredi en périodes de vacances scolaires de 17h00 à 22h00. Le local jeunes est un espace aménagé pour bien accueillir les jeunes (bar, canapé, baby-foot, jeux de société) qui s'adapte au temps des jeunes (ouverture encore plus tardive en fonction des demandes).
L'équipe d'animation composée de trois professionnels met en place un service d’aide : documentation, mise en relation avec des institutions et des partenaires, aide à la recherche d’emploi, de stage, de formation, ou d’orientation.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Autre
- Précision ( si autre )
Suite à des demandes récurrentes de jeunes qui lui étaient formulées en vue de bénéficier d’un lieu dédié dans le quartier de Monplaisir, la Ville d’Angers s’est engagée à créer un espace pour les 16/25 ans dans ce quartier en 2008.
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le projet du Local jeunes s'inscrit dans un projet de développement local, complémentaire et cohérent avec l’offre existante :
- Favoriser la mixité entre jeunes (sociale et de genre)
- Promouvoir la participation des jeunes
- Capter des publics « NEET »/«hors-circuit » dans le but de les inscrire dans des parcours d’insertion sociale et professionnelle en lien avec les différents acteurs jeunesse
La commande de la Ville exprime, dans le cahier des charges, cet objectif d’accueil en lui attribuant trois modalités opérationnelles :
- « Être ouvert aux différentes jeunesses du quartier.
- Leur permettre de se rencontrer de façon informelle.
- Être adapté aux temps des jeunes. L’accueil doit être souple, sans inscription obligatoire, il doit être organisé en fonction des besoins et réalités locales. »
A ces trois modalités de mise en œuvre du local jeunes, s’ajoute la recherche de visibilité dans la mesure où il s’agit aussi de remettre les jeunes au cœur du quartier. Le Local jeunes a ainsi été implanté le long d'une artère de communication importante. Le lieu a vocation à accueillir tous les jeunes du quartier, sans exception, dans une optique d’« espace de sociabilité ».
- Public
- Jeunes adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ACSE
- Association locale
- Caf
- Commune
- Conseil départemental
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Suite à des demandes récurrentes de jeunes qui lui étaient formulées en vue de bénéficier d’un lieu dédié dans le quartier de Monplaisir, la Ville d’Angers s’est engagée à créer un espace pour les 16/25 ans dans ce quartier en 2008.
A l’été 2009, un appel à projet dans le cadre d’un marché public à procédure adapté (MAPA) a été lancé par la Municipalité en vue d’en confier la gestion et l’animation à un opérateur. La Maison pour tous de Monplaisir (MPTM) a répondu à l'appel à projet et s’est vue confier la gestion et l’animation de ce nouveau lieu.
Le local jeunes a officiellement ouvert ses portes en novembre 2010 pour une expérimentation d’un an. Il a ensuite été reconduit dans sa phase expérimentale. En 2016, à la fin de la phase expérimentale, la gestion du local jeunes a été intégré à la Covention Pluriannuelle d'Objectifs de la Maison pour tous.
Le local jeunes est doté de deux instances de gouvernance : l’une chargé du pilotage du projet et l’autre du suivi de sa mise en œuvre. Le comité de pilotage réunit les élus de la Ville et de la Maison pour tous. Il a pour a pour objectif de faire le bilan de l’activité du local, prendre des décisions quant à ses orientations et son financement et opérer, le cas échéant, des arbitrages. Le comité technique représente l’instance opérationnelle de la mise en œuvre du projet du local jeunes. Il a pour objectif le suivi et la régulation des activités qui y sont menées. Le comité technique réunit les acteurs suivants : Maison pour tous, Direction jeunesse de la Ville, Association pour la Sauvegarde de l’enfance et l’Adolescence (ASEA), le chef de projet du pôle de territoire de la Ville, la Mission Locale Angevine (MLA). Dans cette instance, les animateurs proposent un retour de leur activité et de leur expérience, présentent ce qui pose question ou problème et le mettent en débat.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
100.200 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 professionnels (Conseiller ESF, Moniteur-éducateur, animateur socio-culturel)
- Résultat sur le territoire
Les 180 jeunes qui fréquentent le local durant l'année sont majoritairement des garçons âgés de 16 à 22 ans. Près d'un tiers de ces jeunes sont des jeunes "hors-circuit". Les filles sont très marginales. Nombreux sont les témoignages recueillies au niveau de l’évaluation pour faire part de la baisse des tensions dans les espaces publics, aujourd’hui plus apaisé grâce au local jeunes.
- Résultat pour le centre social
Le local jeunes a permi à la Maison pour tous d'élargir son offre et de retisser du lien avec un public de jeunes adultes. Elle peut désormais intégrer des jeunes adultes aux activités intergénérationnelles qu'elle mène sur le territoire.
- Résultat pour les habitants
Les jeunes qui le fréquentent l’apprécient avant tout en tant que lieu de sociabilité avec différents « services » : café, baby foot, télé, presse. La présence des animateurs leur offre un repère et donne parfois du sens à leur présence :
« C’est comme un petit café où on est posé. On peut discuter, s’amuser, c’est une zone de rencontre. Ici, ce qu’il y a de plus, c’est le dialogue avec les animateurs, on peut même échanger entre nous, on fait des débats. Ici, on a l’esprit ouvert : on discute, on échange des idées. » (Jeune de 22 ans).
Les jeunes utilisent également l'appui des animateurs pour un soutien dans leurs parcours scolaires ou professionnels.
- Suite de l'action : Limites
Depuis plusieurs années, aux côtés des formes traditionnelles d’accueil (dans le cadre d’actions programmées), on constate une montée en charge progressive de nouveaux modes d’accueil : non formels, informels. Aujourd'hui, le non formel est quasi intégré comme un mode d'intervention au cœur des pratiques du Local jeunes mais le projet éducatif dans lequel il s'inscrit est encore à faire évoluer.
- Suite de l'action : Perspectives
La configuration des locaux pose quelques problèmes et ne facilite pas toujours la tâche des animateurs au quotidien. Dans cette perspective, et en s'appuyant sur l'expertise d'usage de la Maison pour tous, un nouveau lieu d'accueil est envisagé dans le cadre de la rénovation urbaine du quartier.
Actions
Minecraft et opération de rénovation urbaine
- Structure organisatrice
- CENTRE JACQUES TATI - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Environnement
- développement durable
- Résumé
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Description générale
- Un usage important des outils numériques
100 % des 12 – 17 ans sont internautes (CREDOC 2013) !! Cette statistique démontre l'omniprésence des outils numériques dans la vie quotidienne des jeunes. Les usages sont multiples et variés : communiquer, jouer, s'informer, regarder des vidéos ou encore écouter de la musique. Les postures des jeunes vont du simple consommateur à producteurs de contenus (vidéos, audios, écrits, photos ou tout à la fois ce qu'on appelle le transmedia). Chaque jeune développe son propre rapport aux outils numériques qu'il convient de repérer, alimenter, nourrir.
- Des usages différents et porteurs de sens
Tous les jeunes ont des rapports différents aux outils numériques et médiatiques que ce soit en terme de temps passé, de postures (consommateur, consommateur-critique, producteurs), d'outils utilisés. Ainsi se sont des cultures numériques qui se construisent et se recomposent dans un temps très restreint.
Ceci vient questionner tous les éléments de la vie des jeunes. Tout d'abord le rapport des jeunes au monde extérieur : comment on se représente le monde ? Quels modes de relations sociales ? Ces outils viennent aussi dire des choses sur ce que sont les jeunes : Quelles identités sont incarnées (un moi commercial, un moi affectifs pour exemples) ? Qu'est ce que les jeunes disent d'eux sur l'espace numérique ? Les jeunes sont ainsi acteurs de leur image.
- Des usages circonscrits
Beaucoup de jeunes utilisent les outils numériques de manière très restreintes. Ce sont surtout quelques sites internet qui sont utilisés (Youtube, Google, Facebook) avec des connaissances très techniques mais peu critiques. De la même manière les outils numériques ont un potentiel énorme de création et de valorisation de nouvelles pratiques qui sont peu utilisées par les jeunes.
Le rôle des médiateurs numériques est donc double : apporter une culture numérique critique qui permette la compréhension des enjeux des outils numériques et accompagner ces pratiques numériques pour que les jeunes soient acteurs de l'espace numérique et qu'ils deviennent des citoyens 2.0.
- Une dynamique autour des jeux vidéo
Les jeunes du quartier utilisent la salle informatique pour jouer. Il s'agit du jeu Minedraft qui est beaucoup utilisé. En 2015, nous avons installé un serveur Minecraft pour que les jeunes aient leurs propres cartes (map) pour y construire ce qu'ils souhaitent.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Public
Rappel des public(s) cible(s) à l’origine de l’action :
Quelle est l’origine géographique du public bénéficiaire (quartiers CUCS et hors CUCS)
Si significatifs expliquez les écarts entre public(s) cible(s) et public(s) bénéficiaire(s)
Au total, 17 jeunes ont participé à la réalisation de cette carte virtuelle du quartier. 15 jeunes faisaient partis du territoire CUCS.
- Résultat sur le territoire
Objectifs :
1) Permettre aux jeunes de développer leur créativité à travers les jeux vidéo
2) Valoriser cette créativité en leur proposant de reconstruire leur quartier en jeux vidéo
3) Sensibiliser les jeunes aux règles dans un espace public numérique
Les objectifs ont-ils été atteints?
Les jeunes ont créé une première zone du quartier en jeux vidéos. Celle-ci correspond à la zone autour du centre Jacques Tati (le premier défi proposé étant la construction du centre Jacques Tati). Petit à petit les rues Eugénie Mansion, Henri Hamelin, la place Dauversière, la rue Boisramé ont été construit soit lors des ateliers à Tati soit chez eux. Pour réaliser nous avons pris des photos du quartier, nous avons utilisé aussi Earth pour avoir des plans. Pour prendre des décisions, nous faisions des points réguliers pour revenir sur les constructions faîtes et celle à faire. Ces réunions servaient aux jeunes à se répartir les constructions. C’est donc à travers une dynamique collective que nous avons avancé sur ce projet.
Les jeunes ont souhaité avoir des retours des habitants rapidement. Dans ce cadre, nous l’avons valorisé auprès de 3 publics :
- Les habitants du quartier (Faîtes l’Hiver 2015)
- Les jeunes d’autres quartiers (Jidéogames 1 avril 2016)
- La maison du projet (février 2016)
Les premiers retours étaient positifs sur la possibilité de refaire son quartier comme on a envie. Ceci a poussé les jeunes, avec mon soutien, à proposer cet outil à la maison des projets. Nous l’avons fait devant le directeur du pôle territorial Belle-Beille et l’urbaniste en charge de la rénovation du quartier. Les retours ont été positifs. En revanche les changements de direction de la Maison du Projet a freiné sa valorisation dans la mesure ou les référents changeaient. Une rencontre aura lieu prochainement pour envisager un stand « Minecraft » dans la maison du projet.
- Résultat pour le centre social
Objectifs :
1) Permettre aux jeunes de développer leur créativité à travers les jeux vidéo
2) Valoriser cette créativité en leur proposant de reconstruire leur quartier en jeux vidéo
3) Sensibiliser les jeunes aux règles dans un espace public numérique
Les objectifs ont-ils été atteints?
Les jeunes ont créé une première zone du quartier en jeux vidéos. Celle-ci correspond à la zone autour du centre Jacques Tati (le premier défi proposé étant la construction du centre Jacques Tati). Petit à petit les rues Eugénie Mansion, Henri Hamelin, la place Dauversière, la rue Boisramé ont été construit soit lors des ateliers à Tati soit chez eux. Pour réaliser nous avons pris des photos du quartier, nous avons utilisé aussi Earth pour avoir des plans. Pour prendre des décisions, nous faisions des points réguliers pour revenir sur les constructions faîtes et celle à faire. Ces réunions servaient aux jeunes à se répartir les constructions. C’est donc à travers une dynamique collective que nous avons avancé sur ce projet.
Les jeunes ont souhaité avoir des retours des habitants rapidement. Dans ce cadre, nous l’avons valorisé auprès de 3 publics :
- Les habitants du quartier (Faîtes l’Hiver 2015)
- Les jeunes d’autres quartiers (Jidéogames 1 avril 2016)
- La maison du projet (février 2016)
Les premiers retours étaient positifs sur la possibilité de refaire son quartier comme on a envie. Ceci a poussé les jeunes, avec mon soutien, à proposer cet outil à la maison des projets. Nous l’avons fait devant le directeur du pôle territorial Belle-Beille et l’urbaniste en charge de la rénovation du quartier. Les retours ont été positifs. En revanche les changements de direction de la Maison du Projet a freiné sa valorisation dans la mesure ou les référents changeaient. Une rencontre aura lieu prochainement pour envisager un stand « Minecraft » dans la maison du projet.
- Résultat pour les habitants
Objectifs :
1) Permettre aux jeunes de développer leur créativité à travers les jeux vidéo
2) Valoriser cette créativité en leur proposant de reconstruire leur quartier en jeux vidéo
3) Sensibiliser les jeunes aux règles dans un espace public numérique
Les objectifs ont-ils été atteints?
Les jeunes ont créé une première zone du quartier en jeux vidéos. Celle-ci correspond à la zone autour du centre Jacques Tati (le premier défi proposé étant la construction du centre Jacques Tati). Petit à petit les rues Eugénie Mansion, Henri Hamelin, la place Dauversière, la rue Boisramé ont été construit soit lors des ateliers à Tati soit chez eux. Pour réaliser nous avons pris des photos du quartier, nous avons utilisé aussi Earth pour avoir des plans. Pour prendre des décisions, nous faisions des points réguliers pour revenir sur les constructions faîtes et celle à faire. Ces réunions servaient aux jeunes à se répartir les constructions. C’est donc à travers une dynamique collective que nous avons avancé sur ce projet.
Les jeunes ont souhaité avoir des retours des habitants rapidement. Dans ce cadre, nous l’avons valorisé auprès de 3 publics :
- Les habitants du quartier (Faîtes l’Hiver 2015)
- Les jeunes d’autres quartiers (Jidéogames 1 avril 2016)
- La maison du projet (février 2016)
Les premiers retours étaient positifs sur la possibilité de refaire son quartier comme on a envie. Ceci a poussé les jeunes, avec mon soutien, à proposer cet outil à la maison des projets. Nous l’avons fait devant le directeur du pôle territorial Belle-Beille et l’urbaniste en charge de la rénovation du quartier. Les retours ont été positifs. En revanche les changements de direction de la Maison du Projet a freiné sa valorisation dans la mesure ou les référents changeaient. Une rencontre aura lieu prochainement pour envisager un stand « Minecraft » dans la maison du projet.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
"Resto FMR" : une des actions d'autofinancement pour un projet repas préparé par les jeunes
- Structure organisatrice
- Centre Socioculturel du Douessin - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
L'action est terminée car elle avait une durée de 12 mois, en réponse à un objectif premier d'autofinancement pour une action conduite avec les jeunes.
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
Des jeunes se mobilisent pour organiser un séjour en été 2016.
Parmi les actions d'autofinancement réalisées, une action phare a été conduite : les restos FMR. Le temps d'une soirée, des jeunes accompagnés par leurs animateurs, interviennent dans une commune rurale de la Communauté de communes. Le temps d'une soirée, ils proposent aux habitants un restaurant éphémère dont ils sont les organisateurs : choix des menus, achats, confection, décors, communication, mobilisation, logistique.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
MOTIFS :
- rechercher un financement
- créer du lien entre les habitants d'un même territoire
- casser les préjugés sur les jeunes en les valorisant
- permettre aux jeunes de développer des compétences
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- MSA
- Autre
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Eté 2015 : écoute de jeunes suggérant un projet d'autofinancement autour de la restauration.
Septembre 2015 : 1ère réunion avec 21 jeunes présents pour étudier les contours du projet -
Courrier construit avec les jeunes à l'attention des communes peu connues par le secteur jeunesse - Echanges sur le projet avec les communes
Construction de la soirée avec les jeunes : phase d'imagination sur les menus les décors les tenues vestimentaires des jeunes et les critères de choix du public invité, choix avec eux, prises de décisions après avoir mesuré avantages et inconvénients
Travail sur un fly et sa diffusion, vente de places, répartition des tâches
30 octobre 2015 1ère mise en place de la soirée : achats, préparation du repas, décoration de la salle et des tables, accueil, service, rangement.
19.février 2016 : 2ème restaurant FMR - même schéma d'organisation
15 avril 2016 : 3ème restaurant FMR - choix d'intervention d'un prestataire pour la confection de fouées, spécialité locale à valoriser et à connaître des jeunes - mobilisation des jeunes sur toutes les autres tâches.
En parallèle, les jeunes ont aussi contruit leur projet de départ : "partir en vacances ensemble"
Juillet 2016 : départ de 14 jeunes à St-Raphaël, sur la côte méditérranéenne.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
BUDGET DES RESTOS FMR Dépenses Recettes Alimentation 900.00 Autofinancement précédent 913.61 Décoration 200.00 Ventes de places 600.00 Assurances 100.00 Subvention MSA 836.39 Carburant 100.00 Imprimerie 400.00 TOTAL 1700 TOTAL 2350 Excédent 650
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
18 jeunes
3 animateurs jeunesse
12 parents
- Résultat sur le territoire
Animation sociale et intergénérationnelle le temps d'une soirée, sur une commune
Un regard plus positif porté sur les jeunes - Retours de propos comme "courageux", "tenaces", "investis", "soignés"...
- Résultat pour le centre social
Valorisation de l'action jeunesse et de la qualité du projet
Valorisation d'une animation déployée sur les communes rurales
Mise en évidence des valeurs du centre socioculturel et de ses façons d'agir
- Résultat pour les habitants
Lien social : renforcement des liens entre les habitants d'une même famille, d'une même commune et entre habitants qui ne se connaissaient pas, des parents sont devenus amis
Mobilisation des habitants à soutenir les jeunes dans leur démarche "ça a réveillé notre envie d'être là avec eux, pour leur projet"
Renforcement de projets professionnels pour des jeunes qui envisageaient la restauration
Compréhension, par les jeunes, de leur capacité à mettre en oeuvre tout projet si l'on s'en donne les moyens
- Suite de l'action : Limites
Le niveau d'exigence des participants était à la hauteur de leur participation financière d'où une pression pour les jeunes et l'équipe d'animation
Les 10 communes rurales n'ont pu bénéficier du projet
Risque financier pour le Centre Socioculturel qui nécessite une bonne estimation de la mobilisation des habitants possible
Vigilance à la réglementation en terme d'hygiène alimentaire : prise de risque car non conformité totale aux règles HACCP
Temps de travail des salariés hors cadre habituel
- Suite de l'action : Perspectives
Depuis ce projet là, les jeunes organisent plus facilement des actions d'autofinancement pour mettre en oeuvre leurs projets
L'animation cuisine fait partie intégrante des plannings d'activité jeunesse avec une vigilance accrue sur l'équilibre alimentaire et la santé
Actions
Prévenir l'implication des plus jeunes dans les trafics
- Structure organisatrice
- MAISON POUR TOUS MONPLAISIR - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
Une recherche-action a été réalisée à la demande du groupe Jeunesse du quartier de Monplaisir d’Angers constitué depuis 2007 à l’initiative de la Maison pour tous (MPT) et de l’Association pour la sauvegarde de l’enfance et de l’adolescence (ASEA). Une demande qui relaie les questionnements des professionnels qui interviennent auprès de jeunes impliqués dans le trafic de drogues : comment établir un climat de confiance avec eux sans que cela soit perçue comme une forme d’acceptation du trafic ? Quelle part peut prendre la prévention ? Cette recherche-action a produit une lecture plus fine du trafic de drogues et a permis de construire un cadre éthique d’intervention qui permette aux professionnels de la proximité d’être mieux aidants vis-à-vis de ces jeunes, et de leur proposer des alternatives fortes et crédibles. Elle s’inscrit dans le cadre d’une sociologie clinique du travail qui repose sur le principe de la coopération entre chercheurs et professionnels sur le terrain même de la production des connaissances afin de gagner en puissance d’agir individuelle et collective. Les participants inscrivent leur activité professionnelle dans des champs divers (EN, TS, animation, insertion, médiation, justice), travaillent dans des cadres institutionnels divers (ASEA, SAEMO, MPT, MDS, Ville, régie de quartier, école élémentaire, collèges, lycées, Mission locale et PJJ), rencontrent les jeunes à différents moments de leur parcours dans le trafic. Ils ont en commun d’être déstabilisés dans leur pratique par l’irruption de ce trafic et surtout un positionnement éthique, le fait de ne pas s’en accommoder. Chacun a pu s’autoriser à poser une parole authentique parce qu’il savait que les autres partageaient des difficultés semblables aux siennes mais aussi parce qu’il était conscient de ce qu’il pouvait apprendre en échangeant avec eux sur les pratiques et les positionnements.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Association locale
- Bailleur social
- Caf
- Commune
- Etat
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
La démarche ici proposée s’inscrit dans le cadre d’une sociologie clinique du travail qui repose sur le principe de la co-construction des savoirs, de la coopération entre chercheurs et professionnels sur le terrain même de la production des connaissances ; cela, afin de gagner en puissance d’agir individuelle et collective.
L’entretien collectif répété avec retour a constitué l’outil privilégié. Le fait de répéter les rencontres permet de créer la confiance nécessaire à la mise en oeuvre d’une démarche reposant d’abord sur la prise de parole. Le fait de faire retour entre deux séances de travail aux participants de ce qu’ils ont dit et des mises en perspectives et analyses des chercheurs favorise leurs postures réflexives.Le volontariat et l’engagement de ne pas sortir du groupe ce qui s’y dit sans l’accord de tous ont constitué ses principales règles. Leur respect a conditionné sa poursuite.
Enfin, la composition du groupe est décisive. Les participants inscrivent en effet leur activité professionnelle dans des champs divers comme ceux de l’Education nationale, du travail social,de l’animation, de l’insertion, de la médiation, de la justice… Ils appartiennent à des culturesprofessionnelles différentes et notamment à des cultures éducatives différentes (Education nationale, Education spécialisée, Education populaire…). Ils travaillent dans des cadres
institutionnels divers : l’Association de sauvegarde de l’enfance (ASEA49) ; Maison pour tous (MPT) de Monplaisir ; Maison départementale des solidarités (MDS) ; Ville ; régie de quartier ;école élémentaire Voltaire ; collège Jean Lurçat ; lycée (Henri Dunant, Emmanuel Mounier), Mission locale et PJJ… Ils rencontrent les jeunes à différents moments de leur parcours dans le trafic. Certains les rencontrent alors même qu’ils n’y sont pas engagés mais courent le risque de l’être ; d’autres dès leurs premiers pas en tant que guetteurs ; d’autres, encore, alors qu’ils y sont installés en tant que revendeurs, parfois même enkystés ; d’autres, enfin, alors qu’ils sont sous main de justice. Certains sont plutôt dans la prévention de l’implication dans le trafic ; d’autres
dans la réduction des risques ; d’autres, enfin, dans la prévention de la récidive. Mais ils ont tous en commun d’être déstabilisés dans leur pratique par l’irruption du trafic et surtout un positionnement éthique, le fait de ne pas s’en accommoder. Chaque professionnel, dans ce groupe, a pu s’autoriser à poser une parole toujours plus authentique parce qu’il savait que les autres partageaient des difficultés semblables aux siennes et exprimaient, comme lui, un fort désir de les surmonter mais aussi parce qu’il était conscient de tout ce qu’il pouvait découvrir et apprendre en échangeant avec eux sur les pratiques et les
positionnements. Le sens a ainsi cheminé au travers de tout ce qui, dans les paroles des uns et des autres, se faisait écho, entrait en résonnance, avait pouvoir d’évocation, donnait lieu à association d’idées.
La coordination de la recherche action a été assurée par la MPT Monplaisir et l’ASEA 49.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Mon voisin l'artiste
- Structure organisatrice
- CENTRE JACQUES TATI - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- Mixité sociale
- Résumé
Permettre aux habitants du quartier de créer un événement culturel en exposant des oeuvres artistiques
Sensibiliser les habitants à l'approche artistique et valoriser différents supports artistiques
Faire découvrir différentes formes d'art
Permettre à des artistes amateurs et professionnels de se rencontrer
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pour permettre à des habitants de s'emanciper par la culture
Valoriser la culture de chacun dans toutes les diversité
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Association locale
- Commune
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
mobilisation d'un groupe d'ahbitant de 60 personnes sur toutes les étapes de cet événement ( la communication - la préparation - l'organisation de l'exposition et le bilan
- Ressources financières mobilisées pour cette action
4000 euros
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
60 dans le groupe de préparation
différents élèves des classes du quartier
900 visiteurs
- Résultat sur le territoire
evenement fort sur le quartier
- Résultat pour le centre social
renforce l'axe culturel du projet social
mise en relation avec les autres maisons de quartiers de la ville
- Résultat pour les habitants
très bonne image de l'événement
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
renouvellement dans l'année
Actions
Espace Partagé Petite Enfance Famille
- Structure organisatrice
- MAISON POUR TOUS MONPLAISIR - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Culture
- Résumé
L'association Ludothèque Angevine ayant quitté les locaux sur le site de la Maison Pour Tous Monplaisir, une salle est disponible depuis juillet 2017. Différentes actions à destination de la petite enfance ont lieu sur le quartier. Il est apparu opportun pour plusieurs acteurs de se regrouper en un même lieu pour une meilleure accessibilité, une mutualisation des moyens et un partage de pratiques professionnelles.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Précision ( si autre )
Un travail partenarial avec quatre acteurs (Lieu d'accueil enfants-parents La Courte échelle, association Toile d'éveil, Relais assistants maternels, actions familles de la Maison pour Tous) a permis de définir des orientations, objectifs et actions.
Les 4 partenaires impliqués dans ce projet travaillent ensemble sur le quartier dans le cadre de la commission petite enfance autour d'actions telles que les promenades poussettes et petits pieds, le printemps petite enfance, l'accès aux modes d'accueil et à l'emploi, les passerelles entre les différentes structures, et sur d'autres temps forts du quartier (forum « mon quartier et moi », par exemple).
Partager un espace commun est un nouveau projet nourri des échanges au sein de ces instances.
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
1. Un espace dédié aux jeunes enfants : proposer un espace d'éveil et de socialisation
2. Un espace à destination des jeunes enfants et de leurs familles, identifié par celles-ci : accompagner les parents dans leurs fonctions parentales, soutenir les liens, ...
3. Un espace petite enfance pluri-partenarial : renforcer la dynamique partenariale, mutualiser l'information, ...
4. Un espace de professionnalisation : favoriser les passerelles, mutualiser les pratiques professionnelles, coopération, cohérence des actions, ...
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Caf
- Commune
- Conseil départemental
- Fondations
- MSA
- Autre
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
L'objectif de rapprocher le lieu d'accueil enfants parents (LAEP) dans un lieu plus accessible et mieux repéré par les familles existait depuis plusieurs années.
Le démarrage du projet d'espace partagé a débuté avec l'annonce du départ de la ludothèque, en juin 2017, ce qui permettait d'avoir une grande salle pour une nouvelle activité. Aussi, l'équipe du LAEP a construit ce projet en lien étroit avec la ville d'Angers et plusieurs acteurs impliqués dans des propositions destinées aux jeunes enfants et aux familles dans le quartier et dans le centre social.
6 rencontres avec les 4 équipes impliquées ont permis de construire ensemble les orientations et de répondre à un appel à projet de la Fondation Vinci. Ce financement a facilité la mise en place d'une journée d'accompagnement des équipes sur l'aménagement de l'espace avec l'association Pikler Loczy de France et permettra des achats de mobilier et matériel pédagogique adaptés.
La ville d'Angers a participé en effectuant des travaux d'aménagement de la salle (sols, peintures, éclairages, plan de change et sanitaires pour les jeunes enfants, grands placards muraux, ...)
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Financement de la Fondation VINCI pour la Cité
4300 €
Objet du financement
Journée de formation pédagogique : 1400 euros
Matériel (tapis et kit motricité, table à langer, porte-manteaux, petit matériel) : 2900 euros
Estimation salariale du temps de travail pour la coordination du projet : 1306 euros, pris en charge par la Maison Pour Tous Monplaisir
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Equipe MPT : 2 professionnels + 2 bénévoles + 2 intervenants
Equipe Toile d'éveil : 2 professionnelles + 2 intervenants
Equipe LAEP : 6 accueillants + comité de pilotage
Equipe RAM : 1 animatrice de RAM + 1 coordinatrice
- Résultat sur le territoire
Depuis l'ouverture du lieu, les fréquentations sont en augmentation.
La proximité de cet espace en centralité du quartier, plus proche de la Maison des Solidarités notamment, permet à des professionnels d'accompagner les familles plus facilement vers le lieu.
Le bureau de permanence Caf ainsi que la permanence d'aide et de médiation administrative se trouvent juste en face de l'entrée de la salle. Ceci permet à des familles qui viennent pour des démarches administratives d'avoir une visibilité sur l'existence de ce lieu et sur les différentes actions parents enfants qui y sont proposées tout au long de la semaine.
- Résultat pour le centre social
Nouvelle dynamique autour de l'accueil des familles et des jeunes enfants.
Interconnaissance des publics et des professionnels.
Circulation des informations.
- Résultat pour les habitants
Les familles ont bien repéré le lieu, elles le trouvent agréable et plus facilement accessible pour la plupart d'entre elles.
De nouvelles familles sont présentes et s'inscrivent dans la continuité en fréquentant régulièrement l'espace et les différentes propositions parents enfants, ainsi que d'autres activités du centre social.
L'aménagement de l'espace en lui-même permet des interactions facilitées entre les jeunes enfants, les parents et les professionnels.
- Suite de l'action : Limites
Coordination du fonctionnement du lieu en adéquation avec les activités de chacun des intervenants : régularité des réunions et ajustements si nécessaire.
Demande des familles concernant l'accueil de jeunes enfants sur des temps ponctuels. Cet espace n'est pas un établissement d'accueil de jeunes enfants (EAJE).
- Suite de l'action : Perspectives
Participation des partenaires du quartier aux temps d'ouverture du mercredi matin sur les temps d'information aux familles.
Poursuite du travail de partenariat et de réseau, développement de temps d'échanges pour les professionnels.
Installation des ateliers pour les assistant.e.s maternel.le.s le mardi matin à compter d'octobre 2019.
Actions
La Coopérative Jeunesse de services, une autre manière d'accompagner les jeunes vers l'autonomie.
- Structure organisatrice
- CSI Ocsigène - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Emploi, économie
- Entrepreneuriat social
- Résumé
La CJS en quelques mots
C’est d’abord la création d’une entreprise coopérative éphémère (2 mois) réelle destinée à produire des services répondant aux besoins recensés de la population d’un territoire (exemples : entretiens jardins, tractage, travaux de peinture, garde d'enfants, courses à domicile etc...).
Mais, c’est avant tout un projet pour et par les jeunes (à partir de 16 ans) : les jeunes coopérants décident collectivement et sont responsables de l'orientation et du fonctionnement de leur entreprise.
C'est aussi un territoire mobilisé. Des acteurs d'un territoire se rassemblent au sein d'un comité local (chefs d'entreprise, artisans retraités ou actifs, responsables d'associations, professionnels de la communication, gestionnaires de coopératives...) afin de mettre en place les conditions d'implantation de la CJS et, offrent ainsi un soutien aux jeunes. D’autres acteurs (là encore artisans, parents, professionnels de différents secteurs d'activités) se mobilisent au sein d’un comité technique pour former les jeunes aux différents savoir-faire nécessaires aux missions qu'ils choisissent de développer.
C'est enfin une pédagogie active et coopérative : les jeunes apprennent en faisant. La CJS est une entreprise réelle et met les jeunes en situation de création d'activité. Les animateurs sont formés et disposent d'outils spécifiques.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La CJS, un terrain d'apprentissage…
Par l'expérimentation concrète de la gestion d'une entreprise coopérative, les jeunes se responsabilisent et développent, rigueur, autonomie et esprit d'initiative. Ils apprennent à travailler ensemble, à prendre des décisions, à s'exprimer en public ou au téléphone. Ils acquièrent des compétences (gestion, comptabilité, ressources humaines...).
La CJS, une création de liens et de mixité sociale…
Les jeunes d'horizons différents se côtoient et apprennent à travailler ensemble. Ils se constituent un réseau avec les acteurs du comité local et leurs clients. Les acteurs du comité local qui ont peu l'habitude de se croiser (éducation populaire et économie par exemple) se mobilisent autour d'un projet commun.
La CJS, c'est aussi un changement de regards des jeunes sur le monde de l'entreprise et du travail, des adultes sur la jeunesse, des jeunes entre eux et des jeunes sur eux-mêmes.
Par cette CJS, ce sera aussi l'occasion pour le Centre social de se rapprocher du monde économique sur son territoire.
Les objectifs globaux de la démarche :
- promouvoir auprès des jeunes l'intérêt du collectif, le faire ensemble, de s'associer, de coopérer
- permettre aux jeunes de prendre conscience de ce qui les entoure (découverte du monde du travail...)
- fédérer divers acteurs du territoire autour de cette création de coopérative éphémère
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Bailleur social
- Caf
- Commune
- Etat
- Regroupement de communes
- Autre
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Différentes phases pour la mise en place :
- 1ère phase de mobilisation de partenaires avec communication sur le projet : mobilisation de partenaires pour la particpation à un comité local assurant le suivi de la mise en place du projet sur le territoire (Mission locale, Bailleur social, chambre des métiers, Jeune chambre économique, Cdp 49...) et mobilisation de partenaires financiers via des subventions (collectivités) et mécénat (entreprises locales)
- 2ème phase de mise en place opérationnelle de la CJS avec la mobilisation et constitution du groupe de jeunes (informations, rencontres, entretien). C'est aussi le recrutement des 2 animateurs pour 3 mois (juin, juillet, août) qui encadreront les jeunes dans le cadre d ela CJS. Ces animateurs partent aussi en formation spécifique CJS durant cette phase
- 3ème phase : mise en place durant l'été de la CJS (prospection, chantiers, devis, facturation...) sur les 2 mois et accompagnement des jeunes autour de la prise de conscience des compétences acquises à travers cette expérience. Un accompagnement est aussi réalisé en lien avec la Mission Locale pour valoriser concrètement celles-ci dans un CV
- Ressources financières mobilisées pour cette action
CHARGES
PRODUITS
Matériel et fournitures d’activité
400.00
Subventions publiques
13 700.00
Autres fournitures
400.00
Fonds Privés (mécénat)
3 900.00
ACHATS
800.00
SUBVENTIONS
17 6000.00
Locations mobilières
2 000.00
SERVICES EXTERIEURS
2 000.00
Intervention compétences clés
Adhésion réseau
240.00
Formation des animateurs
1 400.00
Rémunération d’intermédiaires
6 800.00
AUTRES SERVICES EXTERIEURS
8 440.00
Rémunération du personnel
13 000.00
Fonds propres centre social
6 640.00
CHARGES DE PERSONNEL
13 000.00
AUTRES PRODUITS D’EXPLOITATION
6 640.00
TOTAL
24 240.00
TOTAL
24 240.00
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
15 jeunes
Une diversité de partenaires (entreprises, collectivités...)
5 bénévoles pour le comité technique
4 professionnels (2 vacataires, la référente jeunesse et le directeur pour la phase partenariale)
- Résultat sur le territoire
Un partenariat entre des acteurs différents qui n'ont pas l'habitude de travailler ensemble : rencontre des 2 mondes (social et économique)
Un accompagnement de la jeunesse par autre chose que du loisir (camps, activités...)
- Résultat pour le centre social
Une autre manière d'accompagner les + de 16 ans vers l'autonomie
Une autre manière de communiquer sur le rôle du centre social sur un territoire
- Résultat pour les habitants
Une valorisation des jeunes sur le territoire
- Suite de l'action : Limites
La difficulté reste la mobilisation de financements pour permettre l'encadrement de la CJS
Cette démarche demande le développement du réseau dans le monde économique : cela nécessite du temps à consacrer à la rencontre des différents partenaires.
Comment pérenniser cette démarche sur plusieurs années ?
- Suite de l'action : Perspectives
Travailler sur une pérennisation de ce mode d'intervention sur plusieurs années.
Actions
" Bonjour Voisin"
- Structure organisatrice
- Centre Socioculturel du Douessin - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- Intégration
- Résumé
L'idée du projet "bonjour voisin" était d'organiser un repérage des personnes isolées , d'aller à leur rencontre, de les écouter pour pouvoir construire avec elles ce qui pourraient correspondre à leur besoin. Des liens sont créés avec un bénévole en particulier et un rythme de "visite" prenant différentes formes est mis en place. Il s'agit aussi de pouvoir transmettre et accompagner l'information de ce qui existe sur le territoire et qui pourrait les intéresser, aider, concerner. Pour mener à bien ce projet, il s'agissait aussi de repérer des relais communaux, de mobiliser des bénévoles volontaires pour ce rôle de "voisins". Pour chaque commune un système de quadrillage est mis en place. les partenaires locaux de proximité sont mobilisés pour inviter des habitants relais afin de réaliser un repérage précis.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le centre socioculturel se situe sur un territoire rural composé aujourd'hui de 3 communes dont une commune nouvelle, elle-même composée de 8 communes déléguées. Lors du diagnostic effectué en 2015 la question de l'isolement à tous les âges de la vie a été posé. Le territoire concentre un contexte d’emploi fragilisé avec un chômage qui touche les + de 50 ans, et les jeunes , des chômeurs de longue durée de plus en plus nombreux, le nombre d'allocataires du RSA et le nombre de familles allocataires CAF sous le seuil de pauvreté sont en augmentation. Les causes de l'isolement sont multiples: la précarité, la santé, les ruptures familiales, les accidents de la vie, les problèmes de mobilité et les difficultés relationnelles. Il existe de nombreuses propositions sur le territoire mais les partenaires s'accordent pour constater la difficulté à entrer en contact avec les personnes les plus isolées. Les enquêtes auprès des habitants confirment cette problématique de l'isolement et nomment la difficulté à aller vers les personnes concernées qui peuvent avoir du mal à s’accepter comme ayant besoin d’aide et/ou risquer d’être stigmatisé « public en difficultés ». Les personnes isolées n'ont pas forcément accès à l’information sur l'existant.
Les résultats attendus, pour l'impact, il s'agit au sens large de lutter contre l'isolement sur le terriroire. De façon plus pragmatique, le résultat c'est la mise en place de l'action, la mobilisation d' habitants bénévoles pour les voisineurs, réaliser une charte des visites, mettre en place un relais communal sur chacune des communes, y réaliser un quadrillage, repérer les personnes isolées.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Caf
- Commune
- Fondations
- MSA
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Janvier et février 2017, Visites d’expériences proches, recherches Solidarité paysans :
Trois bénévoles du centre et la référente famille sont les référents de ce projet. Un comité d epilotage est mis en place , des réunions de tous les bénévoles sont organisées deux fois par an, ainsi que des réunions de suivi sur les communes L'action expérimentale bénéficie d'un financement Fondation de France..
10 et 30 mars 2017 : Définition de pré-requis attendus des volontaires
Choix du nom "bonjour voisin"
Juillet 2017 Repérage et mobilisation d’habitants volontaires pour être relais communaux, voisineurs, visiteurs. Cette action se fait en continu depuis.
depuis juillet 2017 Quadrillage du territoire toujours en cours :
Enrichissement du répertoire d’acteurs existants :
-Les bénévoles sont allés rencontrer des responsables : De la Mission locale, Choix de vie, ASPFA, Tact, Secours Catholique et des structures engagées initialement : MSA, CAF, MDS, CCAS
-acteurs locaux : le quadrillage donne lieu à la mobilisation de nouveaux acteurs :
Concourson : élus municipaux, responsables comité des fêtes, association de parents d’élèves, ADMR, club de marche et des personnes ressources
Louresse : festival petites cheminées, club 3ième âge, théâtre, comité des fêtes, paroisse, parents d’élèves et des élus, CCAS, groupe de marche.
Denezé : comité des fêtes, ADMR, amicale de l’école, club du 3ième âge, des élus municipaux et personnes ressources
- Définition de missions avec charte et règlement intérieur , création d'un classeur informations sur l'existant.
- Elaboration d’un programme de formation : A ce jour, les voisins visiteurs investis n’ont pas accroché à notre proposition de bénéficier d’une formation telle que prévue dans le projet initial.Il nous est difficile à ce jour de savoir si ce qui nous apparaît encore comme un besoin pour la majorité d’entre eux se transformera en demande dans un futur proche. Nous ne disposons pas de leviers pour les y contraindre, d’ailleurs, l’exercice d’une contrainte serait contre-productif et pourrait faire que leur investissement s’arrête.
Néanmoins, des pas ont été faits! deux d’entre eux ont participé à une formation de quatre jours sur le risque suicidaire, organisée par la MSA, deux autres ont bénéficié d’une formation à l’écoute organisée par le Secours Catholique, et deux derniers ont suivi quatre séances animées par une psychologue sur la communication bienveillante . Ces démarches ont été «réinvesties dans le groupe des bénévoles» Est-ce suffisant? Nous ne le pensons toujours pas et restons en veille sur cette question.
Repérage d’habitants concernés par la problématique de l’isolement: quadrillage progressif du territoire. Selon les communes, notre intitaitve est plus ou moins bien accueillie. dans certains lieux on constate que les soidarités de voisinage se crée spontanément et que des veilles existent mais spécifiquement envers les personnes âgées voire très agées.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
L'action est financée pendant 3 ans dans le cadre des "initiatives pétillantes" de la Fondation de France (4000€/an) ainsi que par les communes dans le cadre de l'axe Solidarité de notre projet ( environ 2000€/an sur l'action ). les coûts sont essentiellement ceux concernant les charges salariales de la référente familles qui coordonne l'action sur l'isolement. Autres charge: intervenants service extérieurs pour les formations ou l'accompagnement ainsi que d'autres faris de déplacement, mise à dispoition de nos minibus ;
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Professionnelles: essentiellement la référente famille mais aussi la directrice dans la réflexion
Bénévoles référents: 3 membres de notre C.A.P. (Cercle d'Animation du Projet) , le président et deux membres.
bénévoles volontaires voisineurs et relais communaux: 9 + 13 habitants de Dénezé, Louresse qui visitaient spontanément mais cela a permis de structurer et revivifier.
- Résultat sur le territoire
Dans les communes où les contacts ont pu déboucher sur une réunion de quadrillage cela a créé une réelle dynamique et une prise de conscience de l'existant et des besoins. Les personnes conviées s'investissent dans la réflexion et témoignent que cela crée une attention et une vigilance particulière. La réflexion collective permet d'organiser une vérification systématique, quartier par quartier ou hameau par hameau. Des questionnements émergent sur tel ou tel habitant, maison, réseaux se créent pour se renseigner. Cela met parfois en valeur ou en évidence des solidarités naturelles et permet de les entretenir ou de les consolider.
On constate aussi pour certains des réticences à se poser ces questions.
- Résultat pour le centre social
Evolution de l'ancrage territorial. reconnaissance.
Nous n’avions pas expérimenté le quadrillage dans les communes : une démarche systématique qui s’appuie sur la connaissance fine des habitants. Cela est rendu possible par le croisement des connaissances des habitants. C’est pour nous une nouvelle méthode
- Résultat pour les habitants
Les voisins entrés dans la démarche apprécient ce lien régulier. Reconnaissance des personnes, renforcement des liens
- Suite de l'action : Limites
L’action n’a pas atteint l’objectif initial de toucher « tout public », hormis les personnes âgées, la rencontre avec d’autres habitants passe sans doute par une approche spécifique que nous n’avons pu engager.
Dans la construction du projet , les outils de suivi imaginés n'ont pas parus appropriés à l'épreuve de la mise en oeuvre et de la réalité, jugés "trop administratifs ou contrôle" (carnet de visite, fiches synthètique trimestrielle, liste des typologies) . Les personnes visitées parlent plus de besoin d erencontres que d'aides.
Une réflexion et confrontation en interne sur le sens d'un tel projet pour le centre social, l'accompagnement individuel ou collectif, comment partir de l'individuel pour aller vers le collectif? la construction même du projet , la place du pouvoir d'agir et du centre.
- Suite de l'action : Perspectives
Nous avons le sentiment de ne pas avoir abouti et avons souhaité lors d’un comité de pilotage nous doter de moyens supplémentaires pour
- Maintenir des liens quand un quadrillage dans une commune mobilise ses habitants
- Renforcer ou recréer des liens avec les travailleurs sociaux, les associations locales, afin de co-construire avec eux des solutions adaptées pour aller vers les publics plus jeunes et isolés. Si cela aboutit, alors une mobilisation de nouveaux habitants « visiteurs » est à imaginer. Ainsi, lors d’une réunion partenariale « le groupe rencontre », des travailleurs sociaux de la MDS, de la CAF et du CCAS ont indiqué que des personnes expriment leur isolement et leurs besoins de rencontre. Ils se sont portés partenaires pour chercher comment faire des passerelles vers les actions existantes.
- L’idée retenue dans un premier temps serait d’accueillir un stagiaire en travail social qui viendrait en complément de l’action de la coordinatrice, action que nous souhaitons poursuivre sur les fonds qui restent et que nous n’avons pas mobilisés. Faire le point avec la fondation de France .
- faire du lien avec l'action des" ateliers du lundi" mise en place au centre elle-même en évolution.
- envisager une action différente pour le public plus jeune, la visite à domicile, ne semble pas être adaptée.
Actions
"Les zébrés" : Intervention sur le Haut Potentiel Intellectuel des enfants
- Structure organisatrice
- CSI Ocsigène - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Résumé
Un groupe de parents s'est mobilisé pour échanger autour du haut potentiel intellectuel des enfants. Nous avons pu faire émerger ensemble leurs besoins et attentes. Ainsi, ils ont pu exprimer leur volonté de confronter les situations, d'exposer leur vécu leur permettant de se soutenir et de leur apporter du "réconfort". Ils ont envie de faire connaître le haut potentiel intellectuel, de casser les représentations, les préjugés et de permettre à l'entourage proche de l'enfant d'avoir un même niveau de connaissance. Ils ont besoin de se rencontrer, de se retrouver entre pairs ayant les mêmes problématiques. Cela leur permet d'avoir le sentiment de parler le même langage, d'être compris, d'avoir un vécu similaire et ainsi rompre un sentiment d'isolement. En effet, aujourd'hui ils se sentent plus à l'aise pour en parler à leur entourage et, donc indirectement plus à l'aise pour accompagner leurs enfants. Ces parents se rencontrent tous les mois pour échanger entre eux et, ponctuellement mettent en place des actions de sensibilisation sur le HPE et, des actions pour le bien-être de leurs enfants.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
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- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Trois parents éprouvaient des difficultés avec leurs enfants diagnostiqués haut potentiel intellectuel. Ils se sont rencontrés au centre social pour en échanger, puis ont décidé d'ouvrir leurs échanges à d'auters parents concernés. L'idée dans un premier temps, était de pouvoir échanger entre pairs, se connaître, se soutenir avec le sentiment de se comprendre. Le groupe, dans un second temps, s'est centré sur ses attentes et besoins : ainsi les personnes du groupe ont appris à se connaître. Le groupe s'est ensuite fermé pour faciliter un échange en confiance. Les objectifs ont alors été définis :
- susciter le questionnement des parents,
- permettre de confronter leurs expériences,
- valoriser les rôles et compétences des parents et travailler sur la confiance en soi,
- avoir des apports théoriques de professionnel pour mieux comprendre les comportements des enfants à haut potentiel,
- faire découvrir le haut potentiel intellectuel, localement à un large public
Ce groupe permet réellement aux parents de se soutenir, de prendre confiance en eux..
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
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Partenaires d'action:
- Association nationale
- Caf
- Commune
- MSA
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Cette action est menée par les parents. Ils décident pour eux même des rencontres, des intervenants, des sujets traités. Le centre sococulturel accompagne le groupe sur la dynamique, les règles, le soutien logistique et, propose un appui technique et financier.
Cette action a débuté début 2017.A ce jour il y a 9 parents participants. Les parents souhaitent continuer leurs échanges et, ont la volonté de pouvoir étendre le groupe à d'autres parents.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Les charges sont liées aux intervenants extérieurs auquel le groupe fait appel, ce qui représente selon les années entre 1000 et 2000 €.
Les produits sont surtout les appels à projet REAAP pour la moitié donc entre 500 et 1000 € et les entrées payantes des conférences et des ateliers.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
9 parents sont depuis le début dans le groupe, et une animatrice famille.
- Résultat sur le territoire
Les parents sont proches du territoire du centre socioculturel
Les participants aux différentes actions (conférences...) sont aussi proche du territoire.
Le souhait des parents est d'avoir une action en proximité, afin de sensibiliser l'environnement proche des familles, des enfants : cette dynamique est une réussite en ce sens.
- Résultat pour le centre social
Pour le centre social, nous accompagnons de nouvelles familles dans leur parentalité.
Sur le territoire, cela nous permet d'être en lien avec différents partenaires (écoles, mairies...).
C'est une autre façon de faire connaître notre action de soutien à la parentalité.
- Résultat pour les habitants
Les habitants peuvent découvrir et approfondir ce qu'est le haut potentiel intellectuel.
- Suite de l'action : Limites
Le groupe souhaite s'ouvrir à d'autres parents car ils se rendent compte de l'importance de pouvoir échanger entre pairs.
- Suite de l'action : Perspectives
Les parents souhaiteraient créer un groupe d'échanges plus large, voir une antenne de l'AFEP (association française des enfants précoces) sur le Choletais.
Actions
Fête de la Fabrik
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIOCULTUREL COIN DE LA RUE - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Résumé
Afin de communiquer et vulgariser notre nouveau projet social, nous avons organisé avec une trentaine d'habitants, une fête de lancement du projet social.
Au delà des animations pour tout public et de la valorisation des compétences des bénévoles dans les activités, nous avons présenté notre projet social avec différents supports :
- une synthèse papier (A4 RV) des 4 défis de notre projet, avec la découverte du visuel créé spécialement pour l'occasion
- une fusée, symbole de notre projet : la caravane d'animation a été transformée en fusée par les habitants
- 4 personnages ont déambulé toute la journée pour rendre visible les 4 défis, en lançant des "défis" aux habitants pour raconter et rendre le projet accessible aux habitants.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
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- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Communication et vulgarisation du projet social
Temps festif inter-générationnel
Découverte culturelle
Ouverte tout public du centre social (autres habitants que les "habitués")
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Autre
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
4 rencontres de préparation, animée sous forme de word café.
Tous les choix ont été fait par les habitants, qui ont mobilisé leur réseau.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
6670€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
70 bénévoles et 14 salariés
- Résultat sur le territoire
Plus de 500 participants à la journée, toutes les générations présentes, une mixité sociale.
Un autre moyen de faire découvrir le centre social
- Résultat pour le centre social
Valorisation de l'image
Energie très positive suite à cette réussite
Plus de participations depuis la fête
- Résultat pour les habitants
Satisfaction de la réussite
Valorisation des idées des habitants mise en lumière le jour J
- Suite de l'action : Limites
Nous souhaitons un accès gratuit aux habitants pour permettre la particiaption du plus grand nombre. Financièrement, nous devons donc dégager une enveloppe sur nos charges de pilotage.
- Suite de l'action : Perspectives
Renvouvellement de la fête, comme étape annuelle de notre projet et support de mobilisation des habitants
Actions
Séjour InterG
- Structure organisatrice
- LEO LAGRANGE OUEST – Jean Gueguen TRELAZE - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- vacances / loisirs
- Résumé
Cette action s'est déroulée du Vendredi 30 Août au soir au dimanche 1er septembre au soir. Le groupe était composé de personnes isolées âgées et de jeunes âgés de 16 à 25 ans. Cette action, coordonnée par le centre Jean Gueguen, a permis de réunir le centre Ginette Leroux et le terminal J autour d'un projet commun. Ainsi chacun a accompagné 4-5 personnes pour composer un groupe de 13 personnes (de 17 à 73 ans). Un groupe à taille humaine pour favoriser les échanges et le lien social. La destination choisie s'est portée sur "Saumur et ses alentours" afin de limiter le coût du transport, Faire découvrir une destination de proximité tout aussi dépaysante ! (Destination riche en activités de loisirs et originales : balade à bord de Van Wolswagen...), de réduire le transport sur un week-end. Ainsi, le choix de la destination est facilement transposable pour les habitants, cela leur permet de renouveler l'expérience en autonomie, moins de freins.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Dans le cadre de la démarche d’élaboration des nouveaux projets des Centres sociaux JG et GL, des enjeux ont été identifiés, en direction des personnes en situation d’isolement et des difficultés qui en découlent (notamment sur les difficultés à sortir et partir en vacances).
Une des priorités du Centre Social Jean Gueguen:
- Renforcer les liens Intergénérationnels et favoriser l’autonomie des publics Fragiles.
Pour cela, il convient de lutter contre l’isolement en favorisant les rencontres Intergénérationnelles.
Une des actions à mettre en place : un séjour Intergénérationnel. Ainsi les objectifs étaient:
Renforcer les liens intergénérationnels en partageant des activités communes.
Favoriser l'échange et la rencontre.
Découvrir une destination de proximité.
Lutter contre l'isolement en développant le lien social et favoriser le vivre ensemble
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
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Partenaires d'action:
- ANCV
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Réunions de préparation : 3 réunions
Première rencontre avec le groupe, présentation au mois de mai
Déterminer les activités, les repas, la répartition dans les chambres, les actions d’autofinancement en juin et juillet.
Actions d’autofinancement : actions d’autofinancement dans le cadre de la journée sport santé (vente d'eau aromatisée) et pesée du panier garni lors du Barbecue de Ginette Leroux.
Valorisation/ Bilan : Réunion de bilan et de valorisation au retour du séjour en septembre autour d'un diaporama photos et apéritif convivial
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Cf Pièce jointe N°1
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
NOMBRE DE PERSONNES BENEFICIAIRES : 13
NOMBRE DE PERSONNES ENCADRANTES: 3 (une personne par structure: centre social Jean Gueguen, Ginette Leroux et Terminal J): Les habitants partent plus facilement avec une personne de confiance.
- Résultat sur le territoire
Suite au séjour, renforcement des liens sociaux et des liens intergénérationnel en dehors des espaces du Centre social et a permis l'engagement citoyen sur des actions du territoire (octobre rose, sport santé...)
- Résultat pour le centre social
Des souvenirs communs, du lien social (entre habitants), renforcement du lien de confiance et de proximité et une mobilisation des personnes (jeunes et adultes) sur les actions du centre social.
- Résultat pour les habitants
Lien social entre les générations : une jeune et un adulte sont restés en contact après le séjour
Détente et convivialité
Découverte d’autres personnes, d’autres lieux, activités, de nouvelles relations = ouverture sur l’extérieur
« Ne jamais se fier à sa 1ère impression aussi bien sur les personnes âgées que sur les jeunes » (retour bilan avec les habitants)
Investissement/ engagement citoyen sur d’autres évènements (bénévolat)
Bien-être psychologique
Echanges d’expériences entre jeunes et adultes
- Suite de l'action : Limites
La mobilisation des habitants jusqu'au départ et la question du financement (APCV: 4 nuitées, or les habitants pour une première n'étaient pas prêt à partir si longtemps).
- Suite de l'action : Perspectives
Poursuivre ce type d'action : même format
Actions
Terrain d'aventure
- Structure organisatrice
- CENTRE JACQUES TATI - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- développement durable
- Mixité sociale
- Résumé
Le Terrain d'Aventure est un lieu d'accueil libre, ce qui signifie sans inscription et qui donne la liberté à
l'enfant de venir idéalement lorsqu'il le souhaite. A travers des activités telles que la construction, la
réalisation d'un jardin potager, la création dans des ateliers divers (bois, récupération, terre), l'enfant
développera des notions de respect à l'environnement, de socialisation, de citoyenneté, de solidarité et
d'autonomie.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Ce projet est né en 2018, avec une première réflexion et expérimentation, à partir de plusieurs constats
sur le quartier. Une première phase de test de 5 jours a été programmée fin juillet 2018. Durant tout le
mois de juillet, des salariés de différents secteurs du Centre Jacques Tati et des CEMEA ont préparé
cette semaine d’expérimentation. Le projet a véritablement vu le jour en 2019 avec l'accueil du terrain
d'aventure sur une durée d'un mois et demi, avec plus de 1000 fréquentations du lieu. Le projet a été très
bien accueilli par les habitants et les objectifs pédagogiques ont été remplis. Ces constats positifs ont
amené à une volonté de poursuivre le projet en 2020.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Bailleur social
- Caf
- Commune
- Etat
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
55000
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
5 professionnels, 10 bénévoles
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Lab'Rique, « Un LABoratoire numéRIQUE, où chacun peut construire son parcours numérique, brique par brique ! »
- Structure organisatrice
- CSI Ocsigène - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Intégration
- Résumé
- Les ateliers collectifs et parrainage
Pour maitriser la technicité, il nous paraît important de poursuivre les ateliers collectifs animés par les bénévoles du centre qui consistent à une sensibilisation à la pratique des outils informatiques pour les débutants et/ou grands débutants (ordinateur, tablette, smartphone). En complémentarité de ces ateliers, sont aussi animées des rencontres collectives (Café informatique et foire aux questions) qui permettent une réponse thématique où à la demande des habitants.
Suite aux cours informatiques débutants et grands débutants, nous observons que les habitants ont parfois besoin de réponses rapides à leurs problématiques. Les sessions étant espacées dans le temps, notre réactivité peut être limitée. Pour répondre à cette demande, nous envisageons de mettre en place un système de parrainage dans lequel un bénévole pourrait être contacté par un habitant pour une question technique. Sur cette action, tout reste à étudier et à construire.
D’autre part, certains ateliers permettent aussi d’utiliser le numérique comme « un terrain de jeu » pour accéder à la culture, aux loisirs (création d’albums photos, atelier robotique/informatique, jeux en ligne…)
- Aidants Connect : une démarche innovante d’aller vers les habitants.
Pour accéder à ses droits et à l’information, il nous paraît important bien entendu de poursuivre l’information collective déjà présente à travers les cafés informatiques thématiques mais aussi à travers notre information au quotidien auprès des différents publics via Promeneurs du Net pour les jeunes, Pajemploi pour les parents et assistants maternels…
Toutefois, nous souhaitons aller au-delà des ateliers déjà mis en place et ainsi, innover dans notre démarche d’aller vers les habitants, en prenant en compte les besoins des habitants sur les questions d’accès aux droits numériques.
Comme abordé précédemment, notre territoire reste atypique en ce sens où il reste trop proche de la ville et trop loin de la ruralité pour bénéficier de dispositifs d’accompagnement numérique de proximité. De ce fait, nous souhaitons déployer le dispositif Aidants Connect qui permet à des aidants professionnels habilités de réaliser des démarches administratives en ligne de manière légale et sécurisée (mise en place de mandats) pour le compte de personnes en difficulté avec les outils numériques. Toutefois, nous resterons vigilants à ce que notre démarche reste dans l’accompagnement vers un numérique « capacitant ».
Par ce « prétexte du numérique », nous souhaitons développer ainsi notre accueil en multipliant les occasions de rencontrer des habitants pour :
- les écouter et les informer
- les orienter en fonction des problématiques et questionnements abordés.
- les accompagner dans des démarches dématérialisées
Cette approche permettra aussi à la structure de rayonner en proximité avec une présence communale.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
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- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La période Covid a mis en avant et renforcée les disparités d’accessibilité au numérique. Nous faisons face à une dématérialisation qui s’accélère, et parallèlement des difficultés de certains habitants dans l’utilisation du numérique pour réaliser ses démarches administratives, rester en lien avec leurs proches...
Rendre le numérique « capacitant », c’est en ce sens que le Centre Socioculturel travaillera à partir de 2021. Des actions sont déjà menées pour permettre au plus grand nombre d’accéder au numérique, de mieux le comprendre, le prendre en mains et ainsi limiter les disparités et gommer les fragilités. Le CSI souhaite donner une autre envergure à ce projet. Aujourd’hui, l’ensemble de nos actions sont « les unes à côté des autres ». Il nous permettra de regarder le numérique d’une façon globale, transversale et d’ouvrir le champ des possibles, trouver de nouveaux partenaires, s’associer aux acteurs locaux…
Nous souhaitons donc clairement afficher et développer cet accompagnement au numérique en direction des habitants. Nous développerons donc une approche collective et individuelle (nouveauté), afin de répondre aux demandes des habitants.
Le numérique est aussi un espace d’accueil, un prétexte à pousser la porte du centre. Nous tenterons d’intervenir en proximité avec le territoire, en prenant en compte l’espace communal. Pour ce faire, nous attacherons une grande importance à maîtriser et être en veille sur ce qui est déjà organisé afin d’informer et orienter aux mieux les habitants sur cette question du numérique.
Les activités collectives mises en place sont organisées par des bénévoles accompagnés par un professionnel du centre : ces habitants restent très actifs dans « le faire » mais aussi dans la réflexion pédagogique et donc dans la manière d’accompagner les habitants concernés par cette problématique. Ce projet d’accessibilité numérique donne donc du sens à leur investissement tout en prenant en compte la création de liens, entres eux, mais aussi, avec les participants des cours (la question de l’utilité sociale des bénévoles est, à ce niveau, importante). D’autre part le lien avec les collectivités (communes), est à développer sur cette approche de proximité de soutien aux pratiques numériques.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
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Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Cette action est en cours de déploiement. A ce jour voici les pricipales étapes déjà mises en place :
- une phase d'écoute et de recensements des besoins concerant le numérique à travers les diféfrents lieux de rencontres des habitants
- une phase de conception puis d'animation d'ateliers collectifs par des habitants pour des habitants
- une phase de concertation avec les collectivités sur l'intérêt d'un tel projet (accompagnement indivisualisé et une autre manière de rencontrer les habitants sur le terrtoire) et les modalités de déploiement possible
- une phase de positionnement de la strcuture sur le dispositif conseiller numérique
- une phase de concertation des différents partenaires (Caf, collectivités, MDS, SLH...) pour travailler la veille et les liens possibles vis à vis des accompagnements à réaliser
- lancement opérationnel du projet : dernier semestre 2021
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Adaptation du matériel informatique (projet global de la strcuture pour connexion externe)
- Salaire du conseiller numérique pris en charge par une aide d'Etat sur un smic à temps plein pendant 18 mois voire 24 mois en fonction du type de contrat possible
- déplacements du personnel pour agir en proximité sur les espaces communaux.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Au niveau professionnel, un binôme : animatrice chargée de l'accueil des habitants et conseiller nulmmérique
Lien avec une équipe de 11 bénévoles pour l'approche collectives (ateliers)
- Résultat sur le territoire
Limiter l'isolement des personnes éloignées du numérique
Agir par accompagnement capacitant
- Résultat pour le centre social
Développement de la proximité (visibilité, lisibilité) de la strcuture par le biais de l'accompagnement numérique
Démarche pour renforcer le aller vers les habitants.
- Résultat pour les habitants
- Faciliter l'accès à l’information et à ses droits pour les habitants éloignés du numérique
- Développer une maîtrise "autonome" de la technicité de l’outil informatique ("un accompagnement capacitant")
- Utiliser le numérique comme « terrain de jeu » pour accéder à la culture, aux loisirs.
- Accompagner, valoriser l'utilité sociale des bénévoles impliqués dans cette dynamique
- Suite de l'action : Limites
Visibilité à court terme (18 mois)
Il reste à travailler en fonction de cette expérimentation la pérennisation ou non de cet accompagement (notamment individualisé)
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Réseau d'entraide
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIOCULTUREL COIN DE LA RUE - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
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- Solidarité
- Démocratie & citoyenneté
- Mixité sociale
- Résumé
Réseau d'entraide pour les personnes isolées physiquement ou socialement, pour les besoins de premières nécessités et rester en lien.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
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- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pour répondre aux besoins des personnes isolées (géographiquement et socialement) par la crise sanitaire.
Pour rassurer, être en lien, se sentir relier.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
En mars 2020, le Centre Socioculturel a été sollicité par un groupe d'habitants qui souhaitaient être présents pour les personnes isolées.
Nous avons pris contact avec les communes du territoire qui ont souhaité être partenaire de cette action. Pour certaines, elles avaient entamé une action dans le même sens. Nous avons mutualisé nos moyens d'agir.
Nous avons mobilisé des bénévoles et repéré des personnes pouvant être en difficulté pendant cette période pour des démarches de premières nécessités (courses, pharmacie, rdv médicaux, aide informatique pour rester en contact avec la famille, discuter pour rester en lien...).
Nous avons ensuite pensé avec les habitants volontaires et les communes un règlement de fonctionnement et mis en relation les bénévoles et personnes ayant besoin.
Nous sommes également venus avec les bénévoles en soutien des associations qui gèrent l'aide alimentaire et dont les bénévoles ne pouvaient plus assurer leur permanence.
Nous avons poursuivi début 2021 avec l'organisation des transports et des prises de rendez-vous pour la vaccination.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
6690
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
50 personnes aidées et 39 bénévoles
- Résultat sur le territoire
Reconnaissance du Centre Socioculturel par les habitants et les partenaires comme un lieu ressources pour les actions de solidarité.
Création d'un élan de solidarité
- Résultat pour le centre social
Reconnaissance du Centre Socioculturel : les communes sont venues chercher le Centre Socioculturel pour organiser et coordonner l'aide à la vaccination
Mobilisation de nouveaux bénévoles
- Résultat pour les habitants
Réponses aux besoins prioritaires des habitants : courses, rendez-vous médicaux, lien social
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Poursuite de la mobilisation des bénévoles pour développer un réseau de visiteurs à domicile auprès des personnes isolées.
En parallèle, nous engageons un partenariat avec les bibliothèques pour proposer un portage de livres en même temps que les visites à domicile.
Actions
Les p'tites lettres solidaires
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL VAL’ MAUGES - Maine-et-Loire
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Action pendant confinement sanitaire
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Résumé
Soutien à l'nititaive d'une habitante :
"Bonjour à toutes et à tous,
Je m'appelle Ophélie et j’habite Saint Laurent du Mottay. Cette année je lance une initiative citoyenne appelée "Les P'tites Lettres Solidaires", en partenariat avec le Centre Social Val'Mauges.
Avec un contexte particulier qui se profile pour les fêtes de fin d'année (annulation des événements, confinement, etc.), en ce moment plus que jamais, nous devons garder le contact !
Cette initiative nous permet à tous d'envoyer gratuitement un courrier surprise (lettres, photos, dessins, cartes, peintures...) à des habitants de Mauges-Sur-Loire seuls ou isolés. Les fêtes de fin d'année sont des moments importants pour beaucoup d'entre nous, alors pensons à nous et envoyons de la bienveillance !"
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un habitant
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Objectifs:
- rompre l’isolement des personnes seules en cette période de confinement
- garder ou créer des liens entre les habitants de Mauges-sur-Loire
- à l’heure du «tout numérique», remettre la pratique épistolaire au goût du jour
- permettre des échanges intergénérationnels
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
L'initiative s'esyt dérouler du lundi 23 novembre 2020au samedi 23 janvier 2021.
le mode d’emploi en 3 étapes !
- Contactez-nous par mail ou téléphone pour nous faire savoir que vous participez à cette action ou remplissez le questionnaire en ligne ici.Indiquez-nous le nom d’une personne à qui vous souhaitez adresser une lettre ou sinon, nous vous donnerons le prénom d’un habitant de Mauges/Loire que nous aurons choisi pour vous !
- Bien tranquillement chez vous, prenez le temps d’écrire une jolie lettre (si vous le souhaitez, du papier, des cartes et des enveloppes sont à disposition à l’accueil de vos mairies déléguées)
Voici des exemples / des idées pour rédiger votre lettre :
- Présentez-vous (votre nom, votre âge, votre commune, vos activités...)
- Parlez de ce qui vous anime dans la vie, de vos passions
- Imaginez la suite de cette période de confinement de manière positive
- Laissez libre court à votre imagination : partager une recette de cuisine, un poème, une musique que vous aimez écouter en ce moment...
- Invitez la personne à vous répondre si elle le souhaite (en lui indiquant vos coordonnées)
- Vous pouvez y ajouter des photos (de votre famille, de vos animaux, de vos voyages…)
- Si vous avez des talents artistiques, n’hésitez pas à orner votre courrier de dessins, peintures ou utilisez les méthodes de scrapbooking !
Afin que nous identifions votre courrier, n’oubliez pas d’écrire «Les p’tites lettre solidaires» sur l’enveloppeainsi que le prénom du destinataire et vos coordonnées à l’arrière.
- Enfin, déposez votre lettre (sans timbre) dans la boite aux lettres de votre mairie déléguée ou du Centre Social.
Avec des salariés et bénévoles du Centre Social, nous nous chargeons de récupérer l’ensemble des «p’tites lettres» et de les distribuer aux personnes concernées (nous en profiterons pour leur faire un petit coucou et leur expliquer la démarche). La personne pourra ensuite vous répondre ou adresser une lettre à un autre destinataire en suivant la même procédure.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Pas de budget dédié. Apui sur le bénévolat, le CCAS et les airies déléguées.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
294 lettres ont été écrites par une centairne d'habitants et des écoliers.
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
Le soutien d'une initiative d'habitantes à caractère fortement solidaire et partenarial avec les mairies déléguées
- Résultat pour les habitants
l'article de presse ci-dessous réponds pleinement à cette question :
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
world clean up day
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL VAL’ MAUGES - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Résumé
Le World Clean Up Dayest la journée mondiale de rammassage des déchets. (les 18 septembre)
Déclinée au niveau communal, cette journée permets de sensibiliser et d'associer les habitants au problème de la gestion des déchets
Cette 1ère édition à connu un vif succès et sera reconduite en 2022
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Depuis une douzaine d'années nous accompagnons un groupe d'habitants écocitoyen qui aiment à mettre en pratique leurs idées et ainsi sensiblilser la population à l'intérêt de cette préoccupation en terme d'environnement.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- Conseil départemental
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Notre commune est dite nouvelle. Depuis 2015 elle réunie onze communes dites déléguées.
L'action se passe à l'échelle de chaque commune déléguée ... il y donc onze groupes d'habitants mobilisés.
Dans chaque commune un habitant est nommé "référent" et à en charge l'organisation matérielle locale. La réflexion et la communication se mènent avec l'ensemble des référents.
L'animatrice fait le lien avec la commune, Mauges Communauté et les services du Département pour récupérer du matériel (pince, gants ...) organiser la sécurité des usagers pendant le ramassage des déchets en bord de route (signailsation ...) et organiser l'évacuation des déchets récoltés.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Les dépenses sont minimes outre le temps passée par l'animatrice pour le soutien à l'organisation (temps estimé à une trentaine d'heure sur 3 mois)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
188 personnes mobilisées dont 92 adultes et 80 enfants et ados
1 animatrice
les maires délégués (informés et souvent présents le jour j pour féliciter l'initiative voire pour certains ramasser les déchets auprès avec les citoyens)
- Résultat sur le territoire
un nettoyage bienvenu des coeur de bourg et bords de route : 261 kg de déchets récolté dont 3 de mégots de cigarettes et 70 de "tout venant"
une interrogation des habitants qui ont vu des personnes se mobilisés et une sensibilisation des élus
11 animations visibles en simultanée
- Résultat pour le centre social
un biais pour interpeller les élus sur l'entretien "citoyen" des espaces publics et sur les suites à donner
à l'issue de ce temps da'nimation la Présidente du Centre Socail et l'animatrice ont été invité à un bureau municipal pour présenter le bilaln et les suites à donner (suites imaginées par le groupe d'habitants écocitoyens :
Récupération et traitement des déchets
- Installer plus de poubelles dans les endroits stratégiques et faire en sorte qu’elles soient vidées régulièrement.
- Installer des containers enterrés pour les déchets recyclables dans les bourgs.
- Installer des contenant pour la récupération des capsules et couvercles métalliques à côté des containers à verres.
- Installer des cendriers ludiques de collectes de mégots de cigarettes dans les lieux stratégiques repérés (lieux de fêtes, abris-bus, devant les écoles et périscolaires...)
- Tenter de récupérer des cendriers de poches pour les proposer aux fumeurs dans les magasins de tabac.
- Voir avec le service déchets de Mauges Communauté pour que les déchets soient ramassés dans les fossés des routes menant aux déchetteries.
Sensibilisation auprès des habitants
- Installer des photos de ce qui a été ramassé dans chaque commune à des endroits stratégiques
- Proposer la visite d’un centre de tri et de retraitement des déchets aux habitants et aux écoles.
- Gros travail de fond sur l’éducation des enfants / Intervenir sur ces sujets pendant les temps d’éducation civique.
- Mettre en place des opérations de sensibilisation autour des emballages dans les supermarchés.
- Installer des affiches de sensibilisation et/ou des panneaux pédagogiques dans les endroits stratégiques (ex: parking de stationnement des poids lourds et camping-car...)
Des idées pour l’organisation nationale
- Alerter les pouvoir public pour mettre en place une journée de solidarité où l’ensemble des employés auraient une journée pour agir pour la planète (sur leur temps de travail)
- Résultat pour les habitants
Une sensibilisation à l'intérêt deurecyclage des déchets
et "faire voir "un engagement à portée de tous
- Suite de l'action : Limites
le nombre de déchets ramassés est conséquent mais de nombreux endroits n'ont pas été investis (faute d'un nombre suffisant de personnes mobilisées)
éviter, à terme, le traitement "curatif", l'idéal serait qu'il n'y ai plus de déchets à ramasser !
- Suite de l'action : Perspectives
Faire de cette journée un évènement local :
. Reconduction en 2022 en essayant de multiplier le nombre d'habitants mobilisés (partenariat avec les Etablissement scolaires pour sensibiliser les enfants et les jeunes)
. Développer les partenariats avec les assocaitions et entreprises locales
. Renforcer le partenariat avec la commune
. Continuer à agir tout au long de l'année
Actions
HULC (Habitants Unis = Localité Choyée)
- Structure organisatrice
- CSI Ocsigène - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Résumé
Mise en place d'un réseau d'habitants souhaitant ramasser les déchets sur leur lieu de vie. Pour ce faire un collectif s'organise pour que régulièrement (le 8 de chaque mois) une collecte soit organisé à tour de rôle sur les communes d'intervention du centre socioculturel. ce collectif communique à travers le CSI sur les lieux de RDV et tout habitant peut se joindre à la démarche. Pour rendre lisible la démarche, les habitants qui partcicipent prennent un chasuble jaune à l'éfigie du logo HULC (tête de bonhomme vert).
Les habitants à l'initiative de cette démarche, avait au départ une démarche plutôt individuelle pour ramasser. L'idée a été de développer le collectif autour de cette problématique sur les communes. Certaines communes avaient aussi ponctuellement des actions de ramassage : l'idée était d'inscrire cette démarche dans le temps mais surtout dans la régularité.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Autre
- Précision ( si autre )
Des élus d'une commune qui étaent sensibles à cette problématique des déchets sur l'espace public
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Initiative d'habitants sensibles à la nature et à la transition écologique : un certaine incompréhension, voire colère vis à vis de l'importance des déchets aux bords des route, sur l'espace public.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Travail au départ avec les habitants sensibles et mobilisés.
Lien avec les municpalités
Dynamique maintenue en centralisant la communication au CSI
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Très peu de budget sinon l'achat au départ des chasubles (fonds propres du CSI) puis mis à disposition de matériel par le département et achats de pinces de ramassage par une entreprise privée (mécénat)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
20 à 30 personnes mais ce groupe est très fluctuant en fonction de l'entrée et la sortie permanente des habitants dans ce groupe. Initialement le groupe était composé d'une dizaine de personnes.
- Résultat sur le territoire
Moins de déchets,
Sensibiliser à la réduction des déchets
- Résultat pour le centre social
Rencontrer des personnes qui ne seraient probablement pas venues sur la strcuture
Créer du collectif
Créer um moment d'échanges et de lien social
- Résultat pour les habitants
Agir concrètement et localement
Etre citoyen.ne
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Poursuivre et maintenir la dynmaique sur le territoire avec une sensibilisation permanente à la réduction des déchets sur l'espace public.
Actions
Des familles en action de A à Z pour un séjour à la neige
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL VAL’ MAUGES - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Initialement ce projet était prévu en février 2021 et à finalement eu lieu en févreir 2022, en raison de la crise sanitaire COVID.
Ce projet ambitieux demande beaucoup d'investissement des familles et de l'animatrcie référente famille : il ne sera donc pas reconduit tous les ans et le sera, si et seulement si, des familles se mobilisent dans la conception et dans le déroulement du séjour.
- Dimension
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- Résumé
Des habitants se sont collectivement organisés pour créer un séjour neige en famille
Pour limiter les coûts ces familles ont orgnaisées des actions d'autofinancement.
Dans le même esprit de limitation des coûts le séjour était jouxté à un séjour organisé par notre secteur jeunesse (même jours, même lieu) ; ceci a permis de mutualiser les coûts principaux (transports, hébergement ...) et à engendrer une découverte intergnérationnelle.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Au-delà de l’aspect loisirs de cette semaine ce sont les liens familiaux qui sont en jeu. Ce projet pensé avec le secteur jeunesse est né du constat du manque de communication et des relations complexes entre parents et adolescents. Depuis 2018, plusieurs familles investissent le groupe « sorties et vacances » rattaché à la commission famille du centre Social. De ce groupe est né une envie « emmener les enfants à la neige ». un séjour à la montagne est pour beaucoup un rêve inaccessible. Ce projet est né en janvier 2020
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Autre
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Ce projet s’inscrit dans la volonté du centre social d’accompagner les familles les plus fragilisées dans la consolidation de liens familiaux et d’une parentalité active.
Sur les 2 ans de conduite du projet, l'animatrice a fait le lien entre les familles, organisé les temps de rencontres entre les familles, entre les familles et les jeunes inscrits individuellement et ceci régulièrement pour "maintenir les énergeis".
Elle s'est aussi investie dans les actions d'autonfinancement (mise en bouteilles et vente de jus de pomme, organisation d'un tournoi du jeu "Tak Tik" ...)
Enfin, elle a participé au séjour ski avec les familles.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le cout total représente 28.990 €,
Les principales sources de financement sont
- la participation des familles : 13.000 €
- Les actions d’auto-financement : 8.958 €
- Subvention communale : 3000 €
- La subvention de la MSA : 2.000 €
- Prestation de service CAF : 1166 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Public : 7 familles (23 personnes) et 27 jeunes inscrits via le secteru jeunesse.
Professionnels : animatrice référente famille + 1 animaateru permanent chargé de la direction du séjour + des naimateurs vacataires pour l'encadrement des jeunes.
Bénévoles : un "cuistot" + les paretns et leurs enfants pour la gestion de la vie quotidienne et les taches ménagères.
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
Ce double séjour "familles/jeunes" a permis de faire partir un nombre suffiasant de personnes pour être financièrement accessible à tous (cf. 1 car rempli, un hébergement vaste en autogestion ...). Cette spécificité a donc permis a donc permis de répondre à la demande des familles non habituées à partir à la neige et aux moyens financiers limités ET aussi de faire partir des jeunes pour une découverte du ski, la plupart pour la 1ère fois.
Certaines familles en difficulté (isolement ou parentalité compliquées), ont trouvé un vrai souffle à travers ce séjour. Répit, réalisation d’un séjour inédit. Certains poursuivent des liens amicaux entre eux, voire de solidarité. Plus difficile à évaluer, le sentiment de « fierté » d’avoir pu réaliser et être acteur d’un projet très investi pendant les 2 années de préparation (notamment sur l’auto-financement).
Pour certains, c’est aussi une perspective de repartir avec moins d’appréhénsion en vacances, sans le soutien d’une structure.
- Résultat pour les habitants
Points positifs exprimés
- l’expérience collective, la vie de groupe
- l’aboutissement d’un projet très investi des participants
- des relations plus soudées dans les familles à la suite du séjour
- la réalisation de vacances inoubliables
- les activités neige variées
- l’articulation d’un séjour jeunesse et famille (les familles étaient pour la plupart des familles avec des ados)
Points négatifs exprimés
- Fatiguant
- Les aléas de la vie de groupe et l’implication inégale des familles dans les taches partagées
- Le manque de liberté individuelle dans un séjour collectif
- L’hébergement, l’accès malaisé, la logistique « ski »
- Suite de l'action : Limites
La plus grande limite : une énergie importante à déployer en terme de temps de travail professionnel(conception, appui aux familles et présence sur le séjour) et de mobilisation des familles.
- Suite de l'action : Perspectives
5 familles sur les 7 souhaitent organiser en autonomie un deuxième séjour ensemble. Certaines vont rejoindre la commission « Sorties et vacances » du centre social.
Une expérience à reproduire, si et seulement si, les familles s'investissent de la conception à la fin du projet.
Actions
Séjour Adultes
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIOCULTUREL COIN DE LA RUE - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Accompagnement de projet d'un groupe pour un séjour.
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- vacances / loisirs
- Résumé
Un groupe d'adultes (seuls ou en couple) ont exprimé le souhait de partir en vacances. Pour certains, ils n'étaient pas partis depuis des années, une personne n'était jamais allée à la mer. Partir seul c'est difficile, organiser les vacances c'est compliqué, le transport est aussi un frein, financièrement les vacances peuvent être impossibles.
Pour toutes ces raisons, le groupe s'est tourné vers le Centre Socioculturel. Les participants ont imaginé une action d'auto-financement, en fabriquant des jeux en bois et en les vendant. Certains ont jardiné pour récolter des légumes. Ils ont ensuite cuisiné et mis en bocaux les légumes pour les emmener en vacances et ainsi réduire le coût (tout en apprenant pour certains la technique de conservation).
Le choix du lieu et de l'organisation de la semaine a été pensé avec le groupe.
Après plusieurs reports liés à la crise sanitaire, les 11 adultes sont partis avec 2 accompagnatrices pendant 5 jours en septembre 2021, à Noirmoutier.
Chacun a été acteur à la hauteur de ses possibilités (préparation des repas, vie collective...).
Les personnes ont pu visiter Noirmoutier, l'aquarium, le port, les plages, le passage du Gois.
Dans le budget, nous avons pu prévoir un repas au restaurant, ce qui était un moment privilégié pour certains, qui n'y vont jamais.
A la suite du séjour, le groupe a tissé des liens, un album photos souvenirs a été fait pour chacun.
Cette première exprience d'accompagnement de séjour adultes a donné envie à d'autres habitants de partir dans le même état d'esprit. En plus des personnes parties en 2021, d'autres rejoignent le projet, ainsi 2 séjours sont organisés pour 2022.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pour répondre aux besoins de partir en vacances mais aussi de lien social.
Le groupe était mixte dans les âges, les histoires de vie, les parcours. Cette mixité a mis un réel équilibre pendant la semaine, une bienveillance, une place donnée à chacun.
L'intérêt de partir en vacances, la fierté de raconter sa semaine, d'être comme "tout le monde", de se sentir valoriser, d'apprendre à connaître de nouvelles personnes... sont autant de bénéfices pour chacun des participants.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- CARSAT
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
L'action a débuté début 2020 pour un départ initiale en septembre 2020. Des temps de préparation ont régulièrement été organisés pour choisir le lieu, les activités, établir les menus et définir le budget.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Dépenses :
Hébergement : 1376€
Tranport : 113.10€
Alimentation : 266.60€
Loisirs : 678.10€
Temps de travail : 1800€
Autres : 23.15€
Total : 4256.95€
Recettes :
ANCV : 1200€
Auto-financement : 1120€
CARSAT : 286.95€
Participation des habitants : 1650€
Total : 4256.95€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
11 adultes
1 animatrice
1 bénévole
- Résultat sur le territoire
Les habitants étaient originaires de différentes communes du territoire, ils ont pu parlé de l'action et ainsi de l'accompagnement du Centre Socioculturel.
- Résultat pour le centre social
Une vision supplémentaire de l'accompagnement des projets d'habitants, un premier séjour adultes.
- Résultat pour les habitants
La possibilité de partir en vacances, la valorisation de chacun qui a contribué avec ses possibilités à l'organisation et aux tâches communes de la semaine. La rencontre entre des personnes qui ne se connaissaient pas.
- Suite de l'action : Limites
Le nombre de personnes pour un départ est limité pour que la cohésion du groupe se fasse et que la gestion des repas notamment soit possible par les personnes.
- Suite de l'action : Perspectives
De nouveaux départs entre adultes, 2 séjours sont organisés pour 2022.
Actions
BRoyeurs Tour
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIOCULTUREL COIN DE LA RUE - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- développement durable
- Résumé
Des habitants se sont mobilisés pour mettre en place un broyeur Tour sur le territoire rural du Centre Socioculturel. L'objectif est de favoriser et valoriser le broyage des végétaux chez les particuliers.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pour répondre aux besoins des habitants et éviter que les personnes brulent les déchets verts.
Encourager l'utilisation du broyat pour économiser l'eau.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Des habitants louent un broyeur à végétaux et organisent la tournée. Ils forment également à l'utilisation de la machine et conseillent pour l'utilisation du broyat.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
1686€
Charges
Location broyeur : 490€
Carburant et déplacements : 164€
Frais de fonctionnement : 232€
Valorisation du bénévolat : 800€
Produits :
Participation des habitants : 342€
Subvention de l'Agglomération : 500€
Fonds propres : 44€
Bénévolat : 800€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
15
- Résultat sur le territoire
Moins de déchets brulés et une communication pour la prévention de l'environnement.
- Résultat pour le centre social
Une mise en lumière du rôle d'accompagnement des projets d'habitants à finalité collective
- Résultat pour les habitants
Une réponse à leur besoin
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
L'agglomération a acheté un broyeur qu'elle va loué au Centre Socioculturel à l'année. Un groupe de bénévoles va assurer la gestion.