animation de quartier developpement de pratiques solidaires en travaillant sur des thematiques ecocitoyenne

Mise en place d'un temps festif particpatif pour celébrer le 40 ième anniversaire de la MAison de quartier.

Réalisation d'une exposition photo à partir d'archives

Réalisation d'un support vidéo retraçant l'histoire de la Maison de quartier à travers des images d'archives et des temoignages d'habitants, de professionnels

Réalisation d'une expostion de portraits d'habitants

Débat sur le rôle des Maisons de quartier

Ateliers d'animation

Le projet consiste à impulser une dynamique d’actions sur les thématiques Parentalité et Education en s’appuyant sur l’implication de parents.

Dans un premier temps, il s’agira de créer la mobilisation d’un groupe de parents.

Pour cela, nous nous appuierons sur plusieurs contacts déjà activés. En effet, au cours de plusieurs actions menées en 2014, des parents ont manifesté des attentes, des envies, voire une volonté de s’impliquer (confer supra « Eléments de diagnostic/ Contexte »).

Le contact sera repris d’abord de façon individuelle, pour réactiver les discussions et s’assurer que chacun a toujours le désir et la disponibilité nécessaire pour s’investir.

Un temps collectif (ou plusieurs) sera ensuite proposé, rassemblant ces différentes personnes. L’animation de cette séance devra être soigneusement préparée, de façon à exposer clairement le cadre, le contexte et l’objectif de la réunion, à mettre les personnes en confiance, puis à faire émerger la parole. L’objectif sera que chacun puisse faire part de ses idées, et que des liens puissent se faire entre les personnes, et entre leurs attentes, pour créer les bases d’une dynamique collective.

Comme pour toute action de la Maison de quartier, la dimension conviviale de cette séance sera particulièrement soignée : un accueil chaleureux et convivial facilite la création de liens et permettra ainsi plus aisément à chacun de sortir de son individualité pour se mettre dans une posture d’échange et d’ouverture au collectif. De même, en fonction de la dynamique du projet, une action permettant de favoriser la cohésion du groupe pourra par la suite être organisée, telle une sortie collective pour aller découvrir un espace, visiter une exposition ou assister à un spectacle lié à la thématique du groupe.

Cette phase de rencontre(s) devra permettre d’échanger les points de vue et d’amorcer une réflexion sur les idées partagées et ainsi définir collectivement une ou plusieurs pistes d’actions.

Celles-ci, pour être pertinentes et pérennes, devront partir des attentes et envies des habitants-parents eux-mêmes. La Maison de quartier se situera ici dans un rôle d’écoute et d’accompagnement, comme facilitateur de la dynamique collective. Son rôle sera crucial pour créer et entretenir celle-ci.

Il conviendra tout d’abord, de bien expliquer le contexte de ces rencontres, et leurs objectifs. Nous pourrons, à ce titre, exposer les actions menées par l’équipement sur les thématiques Parentalité et Education (LAEP, CLAS, Café Parent, ateliers quatre mains), en partageant les objectifs et le bilan avec le groupe. Cela permettra de voir dans quel paysage ce projet-ci s’inscrit et quelles actions existent déjà sur le quartier, afin de mieux imaginer ensemble quelles autres actions peuvent être menées pour prolonger ou compléter ces interventions.

De la même façon, notre rôle sera aussi de remettre en perspective les idées émises et problématiques soulevées par les personnes présentes, par rapport aux objectifs du projet bien sûr mais aussi à la réalité du quartier, aux partenaires agissant sur ces problématiques et d’éclairer les possibilités de déclinaison en actions (faisabilité de la mise en œuvre, lien entre problématique et action, existence d’un partenaire-ressource, etc).

Enfin, si le besoin se fait sentir de nourrir les échanges pour alimenter la réflexion, nous pourrons aussi rappeler les avis recueillis à travers les questionnaires diffusés lors des Café-parents (cf supra), ou soumettre des suggestions d’actions qui nous sembleraient intéressantes.

Enfin, la Maison de quartier aura ensuite pour rôle d’accompagner les habitants-parents dans les actions sur lesquelles ils décideront de s’investir. Le champ des possibles concernant ces actions est grand ouvert :

• mise en place d’actions diverses visant à la découverte d’outils, d’expériences ou de pensée éducative nouvelle, actions à construire quant à la forme et aux thèmes (exemples : rencontre avec des professionnels, sortie sur des lieux susceptibles de permettre la découverte ou la réflexion sur les questions Parentalité ou Education, formation sur des méthodes ou approches éducatives nouvelles, etc).
• organisation d’un événement sur un thème lié à la parentalité ou l’éducation (conférence, débat, etc)
• implication dans le projet du Café-parent qui, s’il se poursuit, devra être retravaillé dans son format (actuellement, soirée d’échanges participatifs parents/professionnel) et sa programmation
• mise en place d’un groupe de parents, souhaitant se rencontrer régulièrement pour échanger et avancer ensemble dans une réflexion sur le statut parental et/ou les approches éducatives

Les deux dénominateurs communs de ces actions potentiellement entreprises devront être d’une part, la thématique de soutien à la parentalité et d’autre part, le passage d’intérêts pluriels à une logique d’échange collectif, voire d’intérêt général, en soutien aux problématiques de parentalité sur le quartier du Val Notre Dame.

Selon le format du groupe constitué et la nature des actions organisées, le nombre d’habitants « bénéficiaires » concernés sera variable.

D’autres habitants-parents pourront bien sûr rejoindre le groupe initial, au fur et à mesure du projet. Pour cela, les agents de la Maison de quartier seront vecteurs d’information en direction du public croisé au quotidien dans l’équipement, de façon à faire connaître la dynamique d’actions à d’autres parents.

La Maison de quartier sera un acteur-pivot et acteur-support pour travailler à la mise en place de ces actions avec les habitants-parents, mettant à disposition de ceux-ci les moyens nécessaires et disponibles:

• Moyens humains (accompagnement du groupe par l’équipe de la Maison de quartier)
• Moyens matériels (salle de réunion, ordinateurs)
• Moyens financiers, dans la mesure du possible (sortie, venue d’un intervenant)

Nous agirons aussi pour créer des liens entre les habitants-parents mobilisés et les professionnels du territoire agissant autour des questions de parentalité et d’éducation, selon les thématiques et problématiques abordées par les habitants-parents : travailleurs sociaux de la CAF, infirmières puéricultrices de la PMI, coordinateur du réseau d’éducation prioritaire, mais aussi interlocuteurs de l’Atelier Santé Ville, etc.

La création d’une dynamique d’actions sur la parentalité et l’éducation passera par deux préalables :

• La création d’un collectif s’engageant dans une démarche d’implication volontaire. Sans réalité du collectif, pas de solidarité entre les membres. Et sans implication motrice du groupe, la Maison de quartier restera porteuse d’une démarche qu’elle ne pourra pas, seule, porter à bout de bras.
• Le croisement avec la dynamique partenariale déjà à l’œuvre sur le quartier rassemblant les différents professionnels mobilisés sur les questions de parentalité ou d’éducation. Sans ce croisement, la dynamique habitante risquerait de ne pas s’inscrire en cohérence et complémentarité avec ce qui existe déjà sur le territoire et de se priver de contacts et d’échanges avec les professionnels (et du même coup, de priver ceux-ci du même enrichissement mutuel).

Cuisiner soi-même est un atout de meilleure qualité pour la santé, car les plats « prêts à consommer » préparés avec des produits industriels (vinaigrettes, pizzas, viande en sauces, gâteaux) ont une valeur nutritionnelle souvent médiocre car trop salés, trop sucrés, trop gras et comportant beaucoup d'additifs. C'est pourquoi l'intervention d'une diététicienne est nécessaire afin d'apprendre ou d'affiner nos connaissances sur l'équilibre alimentaire. Des ateliers seront mis en place afin d'aborder l'équilibre à donner à son alimentation par rapport à ses efforts physiques.

Une éducatrice sportive est intervenue aussi pour aborder cette notion d'activité physique journalière.

A travers l'étude de cas spécifiques vécus par les familles, il a été proposé une journée « santé-bien-être » avec des activités physiques et l'organisation d'un repas équilibré.

Des sorties ont planifiées telles que des balades, randonnées, utilisation des « body boomers » disponibles dans le parc des Larris...

Interventions :

• Diététicienne avec animation de discussions

• Prestataires pour ateliers ludiques ou spectacle sur la connaissance du corps et ses besoins.

• Animations sportives avec le service des sports

Finalités :

• Préparation par les adultes d'un grand pique-nique équilibré avec activités physiques

• Préparation par les enfants d'un grand goûter équilibré où leurs parents seront invités.

• Parcours de motricité en famille

Partenaires de l'action :

• CODES 95 pour tous les supports visuels mis à disposition

• Service des sports pour interventions d'éducateur sportif et prêts de matériels

Niveau d'implication des habitants ou bénéficiaires dans la définition de l'action, sa mise en œuvre, le suivi et l'évaluation de l'action :

• Bénéficient de l'action

• Participent à l'élaboration

• Participent à la réalisation

• Participent au bilan de l'action

Le samedi 20 Juin 2015 s’est déroulée la fête de quartier de Chennevières. Le thème « Le sport en fête» a été retenu comme fil conducteur. Il est fédérateur pour l’animation et la participation de l’ensemble des partenaires avec le souci de faire participer le public.

Cette fête est un temps fort de la Maison de Quartier, car il regroupe de nombreux partenaires (institutionnels et associatifs) autour d’une journée festive pour tout le public du quartier. Le contenu de la fête est décidé au sein du comité des fêtes (instance regroupant les acteurs locaux),  réuni 5 fois de Janvier à juin.

Environ 500 personnes ont participé à la fête de quartier. Le public était majoritairement issu du quartier de Chennevières et aussi d'autres quartiers. L'ensemble des associations de quartier était présent. La préparation de cette journée a sollicité la mobilisation de beaucoup de moyens humains.

accompagner des jeunes autour de l'expression corporelleet leur eprmettre de se produire su scene face à leur famille

Le Centre social en lien avec les partenaires locaux (habitants, associations) et les services de laville pilote la mise en place de la fête de quartier qui se déroule au mois de juin

Les habitants se retrouvent autour d'une soirée festive (repas, spectacle, DJ, jeux...).

Le droit d'entrée à cette soirée est un jouet par famille. Ces jouets sont reversés à une association qui les distribuent à des enfants qui n'ont pas la possibilité d'avoir de cadeaux.

Lors du renouvellement du  projet social 2013-2017, les usagers et les habitants nous ont fait  part de leur souhait d’être aidés dans leurs démarches auprès des institutions afin de faciliter les accès à leurs droits et devoirs.

Tout ceci s'est accentué suite à la fermeture du bureau de poste de proximité, ce qui a provoqué une hausse des demandes d’instruction des dossiers et des demandes de copies de documents.

Aujourd’hui ce besoin s'accentue dans tous les domaines de la vie courante puisque l’accès à la culture, au tourisme, à la santé, au sport, à l’emploi et aux administrations françaises passe de plus en plus par le biais des services en ligne.

Face à ce besoin accru, le personnel du centre social se doit de soutenir et d’accompagner toutes les personnes dont la situation est difficile en les orientant vers nos partenaires et vers les institutions plus spécialisées.

organisation de sorties familiales autour des arts du cirque et de  journées cirque en famille encadrées par des animateurs de notre école de cirque avec le soutien de la référente familles du centre.

un groupe de jeunes à débuté en 2015 une exposition composé de 10 panneaux et d'un cours métrage de 12 minutes intitulé "Du côté des jeunes d'Argenteuil"

Ces jeunes ont échangés avec 10 adultes et anciens, acteurs du quartier Val Sud sur leurs parcourts, leurs visions des jeunes, du quartier et de la ville.

Pour faire suite au programme DIABET’ACTION organisé avec la fédération sport pour tous au sein de la Maison de Quartier du Val Notre Dame en partenariat avec l’atelier santé ville, nous proposons une continuité de l’action sous forme de 12 séances de 02 heures du programme APAPA.

L’activité proposée est la marche nordique à rythme adapté SLOW NORDIC. C’est une activité qui ne nécessite pas un gros budget puisqu’elle se déroule en extérieur et n’occasionne donc pas de frais de location de salle. Le parc des Cerisiers, semble tout indiqué pour pratiquer cette activité, il a déjà été testé par les participants, qui l’ont tout de suite plébiscité, car facile d’accès, et plus proche de chez eux que la Maison de Quartier. Le parc est suffisamment spacieux pour ne pas s’ennuyer pendant 12séances, de plus, il offre des dénivelés et des plats qui permettent de pratiquer différentes techniques de propulsion.

Contenu des séances

- Lundi 01 : Présentation des bienfaits de la pratique de la marche nordique sur la santé. Retour sur l’utilisation des podomètres. Initiation à la technique demarche nordique.

 - Lundi 02 : Planter du bâton. Notion d’action/réaction. Video de chacun des participants marchant au pas avec les bâtons.

- Lundi 03 : Les pentes. Comment aborder une descente, une montée ? Les différents rythmes cardio-respiratoires (rappels des niveaux de l’échelle de Borg).

Lundi 04 : L’endurance. Pratique sans pause pendant 60mn à rythme adapté.

- Lundi 05 : Sortie en forêt de Saint-Germain-en-Laye autour de l’étang du Corra ou en forêt de Montmorency (choix du lieu à confirmer)

- Lundi 06 : Evaluation des techniques de marche et des rythmes des participants (après 2 mois d’été)

- Lundi 07 : Démonstration des techniques de marche rapide, trot et galop. Démarrage de l’apprentissage sous la forme d’interval training adapté à la condition de chacun (des petits groupes seront constitués en fonction des capacités cardio et de l’état de santé des articulations des bras et des jambes des participants).Accent sur la coopération, et l’entraide pendant les exercices

- Lundi 08 : Progresser dans la durée de l’effort et la gestion de différents rythmes. Comment bien récupérer après une accélération, la montée d’une pente.

- Lundi 09 : Devenir autonome pour s’échauffer et renforcer ses muscles.

- Lundi 10 : Choisir des exercices adaptés à sa condition physique pour améliorer sa souplesse et renforcer son équilibre.

- Lundi 11 : En route vers l’autonomie. Nouvelle année, nouveaux challenges. Inciter les participants à se retrouver pour marcher ensemble.

- Lundi 12 : Bilan de l’après-programme. Video de chacun des participants marchant au pas avec les bâtons, et à d’autres allures.

MISE EN PLACE DE PLUSIEURS ATELIERS EN LIENS AVEC LE PRIF DE FACON A MIEUX INFORMER ET ACCOMPAGNER LES SENIORS FACE AU VIEILLISEMENT ET AU RISQUE DE DEPENDANCE :

-UN ATELIER D MARCHE

-UN ATELIER BIEN CHEZ SOI

-UN ATELIER MEMOIRE

-UN ATELIER SECURITE ROUTIERE.

Le projet ludothèque a débuté en septembre 2016 avec pour objectif de rendre accessible les jeux de société et jouets pour tous. Le public ciblé sont les parents et enfants qui peuvent venir partager un moment ludique accompagnés par des professionnels. La ludothèque accueille aussi occasionellement les enfants qui participent aux ateliers en pieds d'immeuble afin de les initier aux jeux de société. Un centre de loisirs de la commune vient régulièrement fréquenter le lieu permettant ainsi aux publics de se croiser. Les objectifs pour les mois à venir sont d'associer les écoles et d'avantages de familles les mercredi après midi et pendant les vacances scolaires. Le jeu est pour nous un vecteur de valeurs mais aussi un outils éducatif précieux qui est utilisé sur les 3 centres sociaux de la commune. Un autre objectif à moyen terme est d'associer des bénévoles à la gestion et l'animation de ce lieu et d'étendre également aux personnes âgées. 

 La cuisine étant un important vecteur de convivialité et de lien social, cette activité est apparue comme étant au coeur du projet de la structure. Elle souhaite donc pouvoir offrir un lieu ouvert à tous, où chacun puisse participer en fonction de ses envies et ses disponibilités et surtout proposant une petite restauration à base de fruits et légumes invendus afin de sensibiliser le plus grand nombre au gaspillage alimentaire.

En 2018, avec l'association La Pastèque qui souhaite tester son activité de «frichti antigaspi» comme imaginé initialement aux prémices du projet de l'association, nous souhaitons installer mensuellement une activité régulière autour du gaspillage alimentaire.

Concrètement, l'idée est de pouvoir offrir une activité de restauration, accessibles à tous, grâce à une tarification à prix libre. Un samedi par mois, la maison de quartier sera transformée en un «restaurant» offrant un buffet concocté à base de fruits et légumes invendus et récupérés auprès de commerçants locaux.La matinée sera dédiée à la récupération des denrées et l'après-midi à la confection du buffet.

La participation financière modique des personnes permet de valoriser le travail réalisé par les bénévoles de l’association mais surtout de redonner une placed’acteur-consommateur aux personnes rencontrées plutôt qu’une place de «bénéficiaire» d’un service rendu par une association. La tarification en prix libre présente l’avantage que chacun puisse participer en fonction de ses moyens et de ses envies.

Un spectacle complet est proposé chaque année.

Initialement basé sur la prestation de groupes professionnels, un projet fou a émergé en 2010 : faire monter les Menucourtois sur scène.

Talent connu ou pas, ils sont plus de cent à avoir franchi le pas en 9 ans.

Il est conçu, organisé, préparé et joué uniquement par des habitants et bénévoles de la ville devant 200 personnes chaque année.

Ce projet est la plus belle réussite de partage, d’entraide, d’abnégation, de combat face à ses craintes, sa timidité, mais aussi du respect et de l’intégration.

Au-delà du travail des bénévoles en coulisses, sur scène, en cuisine ; jeunes et moins jeunes partagent des temps de scène, de répétitions.

Depuis 3 ans, une personne victime d’un AVC et fortement handicapée par cet accident de vie, monte sur scène.

En 2018, du fait de travaux dans la salle de spectacle, il a laissé la place à un café-théâtre, sur le même principe, mais réunissant « seulement » 110 Menucourtois dans le public.

« La Pause » a lieu dans les locaux de la MQVND la participation est libre sans inscription préalable (sauf activité spécifique), gratuite, hebdomadaire.

Les familles sont accueillies le lundi de 14h00 à 16h00. Un accueil convivial est prévu jusqu’à 14h30 puis l’intervention commence. De même à 16h si les familles souhaitent poursuivre leurs échanges la salle leur est mise à disposition jusqu’à 16h30 afin de pouvoir favoriser la création de lien et de solidarité.

Chaque semaine un thème est proposé aux familles en fonction des problématiques identifiées par les professionnels ou exprimées par les familles.

Un premier programme est travaillé  d’octobre à janvier (pour éviter la déperdition du public après les vacances de Noel) puis un second de février à début juillet (ajusté en fonction du bilan intermédiaire et nourrit par les demandes exprimées et identifiées).

L’action s’adresse aux  parents d’enfants de tous âges.

Les séances sont menées par un professionnel (prestataire, partenaires, équipe accueillante) qui se positionne comme « la parole de l’expert ». Ce principe permet à l’équipe accueillante de se positionner en tant que  profane ou en tant que parents aux cotés des familles et ainsi, de pouvoir relancer le débat par le questionnement.

Cette posture et ce positionnement permettent également une plus grande proximité avec le public mais aussi l’instauration d’une relation de confiance propice aux échanges, à la libération de la parole.

Etre au plus proche de l’accompagnement c'est-à-dire « à-côté » du parent.

L’idée étant d’avoir des sujets sérieux sans se prendre au sérieux. Les familles doivent pouvoir se décharger, se questionner, s’informer, dédramatiser, se soutenir dans une ambiance détendue, chaleureuse et accueillante.

La présence d’un « expert » de profession différente chaque semaine ainsi qu’institutions différentes, favorise une connaissance plus large par les familles, des différents relais et prise en charge qui s’offrent à elles.

Un travail partenarial sera mené à deux niveaux :

-informer les partenaires sur l’action afin qu’ils puissent être relais de l’information auprès de leurs public,

- proposer aux partenaires d’intervenir  sur l’action.

Le renforcement du réseau des acteurs locaux permettra la mise en place du maillage autour des familles comme évoqué précédemment.

Le Repas intergénérationnel et solidaire du Samedi 17 mars 2018 à la maison des Dix arpents se voulait être une démarche menée avec les habitants avec l’idée de pouvoir aborder les différences et point commun entre les générations et créer des liens entre elles. Plusieurs réunions ont été organisées afin de réfléchir à une façon originale de pouvoir travailler autour de la thématique.

De nouveaux publics ont fréquenté la maison de quartier et un partenariat avec la résidence de personnes âgées Yvonne Colas a permis au senior de la découvrir et de partager des moments chaleureux avec les enfants lors de journée ludiques et thématiques. Cependant, il reste difficile de toucher les personnes âgées isolées du quartier qui malgré nos efforts constants ne répondent pas à nos sollicitations

Ce projet est né d'un constat suite notamment à la journée de la Femme organisée en Mars 2014.

Les personnes présentes avaient exprimé lors d'un échange leurs souhaits d'avoir plus de moments conviviaux à partager sans les enfants. De plus la référente famille constate souvent que les parents ne disposent pas de temps pour eux, le temps consacré aux enfants et l'organisation que cela nécessite ne leur permet pas d'avoir de moments pour eux.

L'idée etait de leur proposer de se mobiliser autour d'un projet qui leur permette de s'évader l'espace de quelques heures, de souffler un peu et donc de pouvoir appréhender leur rôle de parent avec plus de sérénité.

Pour certains il s'agit également de les encourager à participer à cette action, de les amener à s'épanouir personnellement sans culpabiliser de confier son enfant. Parallèlement il s'agissait d'investir des jeunes, en lien avec l'association de Prévention spécialisée ESPOIR, dans la garde des enfants pendant les sorties, en financant en échange une partie d'un projet d'insertion professionelle (BAFA, Permis...)

Ce projet s'inscrit dans la continuité du projet on sort ce soir initié en 2014. De nombreux adultes ont exprimé leurs satisfactions de pouvoir s'évader l'espace de quelques heures. Pour différentes raisons, certains parents sortaient pour la première fois sans leurs enfants. Le projet de 2015/2016 doit nous permettre de donner une dimension encore plus pertinente à ce projet.

Nous souhaitons que les personnes investies puissent avoir accès à un espace de loisirs au-delà de l'offre collective de la MPT. Il s'agit de leur offrir un cadre leur permettant d'être autonome.

De plus ce projet doit nous permettre également d'accompagner des jeunes dans une pratique structurante et socialisante, en répondant à une problématique du territoire.

Ainsi nous souhaitons nous appuyer sur les jeunes ayant participé en 2014 en leur proposant un processus de formation (1 à 3 séances) leur permettant d'être autonomes. Ces jeunes formés nous permettront de disposer d'une base de « baby sitter » qui seront en lien avec les familles.

Contexte : Résumé en quelques lignes le contexte dans lequel démarre l’action

L'installation récente d'une Maison de quartier, ce au moment où la population va déménager, nécessite qu'on renforce et légitime son rôle fédérateur sur le territoire afin qu'elle contribue à l'épanouissement et au développement du lien social local et à la cohésion sociale.

La Maison de quartier Centre-ville Gagarine souhaite construire son projet social et compte sur l'investissement et l'appropriation par les habitants de cet équipement dans le but de fédérer les familles et d'atteindre celles qui ne fréquentent pas ou peu le lieu.

Objectif général : Axe du projet social dans lequel s’inscrit l’action

Axe du projet social « Accès aux savoirs, savoir-faire et savoirs-être »

CONTRAT DE VILLE : LIEN SOCIAL, CITOYENNETE, ACCES AUX DROITS ET AUX SERVICES PUBLICS EGALITE HOMMES/FEMME ...

Enjeu stratégique n°15 : Favoriser les dynamiques locales et le développement endogène des quartiers prioritaires

Fiche opérationnelle n°15-1 : Valoriser les ressources des quartiers et les compétences de leurs habitants notamment à travers un échange de savoirs

Objectif(s) de l’action : un ou deux max. qui sont en lien direct avec le ou les impact(s) que l’on souhaite avoir auprès du public, donc les critères d’évaluation que l’on va déterminer

Valoriser les contributions des habitants, membres ou non des associations locales, à travers la théâtralisation de leurs parcours de vie, en mettant en exergue leur savoir être et leur savoir-faire.

Transmettre la mémoire collective contribuant à réduire les préjugés induisant les stigmatisations d'un quartier et donc de ses habitants.

Descriptif et calendrier de l’action :

Mise en place d'ateliers rencontres avec les habitants, pour échanger autour de leur vie dans le quartier.

Construction et réalisation d'interviewes ciblées sur leurs interventions/actions dans les associations et/ou cercles d’habitants informels (amical, voisinage, …). Puis collecte, enregistrement et retranscription écrite des récits de vie.

Ecriture (mise en texte) et mise en situation théâtrale de ces histoires de vie (la parole devenant texte de théâtre).

Construction conjointe (sous forme d’ateliers de théâtre ou de répétitions) avec des comédiens professionnels et des habitants si ces derniers le désirent d'une forme théâtrale retraçant leurs parcours et représentations / restitutions de ces ateliers devant les habitants du quartier dans un premier temps et dans un 2ème temps dans d’autres Maisons de Quartiers (Monmousseau, Ivry Port, Petit Ivry).

Nous prévoyons plusieurs séances avec les participants à confirmer :

• Atelier de récolte de paroles les vendredis 23 septembre et 7, 14, 21 octobre et 2, 9, 16 décembre entre 16h30 et 18h30
• Les répétitions avec les pros (5 jrs à définir)
• Les restitutions seraient prévues le 21 décembre, premier mercredi des vacances de noël

Lieu(x) :  

Les lieux de récolte de la parole des habitants seront les cités Gagarine-Truillot-Spinoza et Guignois

Le lieu de réalisation des permanences, sera en priorité une des salles de la Maison de quartier Centre-ville Gagarine et/ou espaces extérieurs (domicile, parc, rue)

Les lieux envisagés de restitution du projet seront les Maisons de quartier et/ou autre équipement municipal ouvert à l’accueil de ce travail.

Public(s) destinataire(s) : caractéristiques (nombre de pers. Visées, âge(s), intérêts de travailler avec ce public/problématiques spécifiques à laquelle on souhaite répondre)

Public adulte usager de la Maison de quartier Gagarine-Truillot

Intervenants (Structure+Nom): Néant

Moyens Humains : Qui suit/participe à l’action ?          

Equipe artistique de Kokoya : 3 comédiens dont 1 metteur en scène, dont 1 chef de projet socioculturel - coordonnateur

Interviewes et retranscriptions : 1 personne

Ateliers Théâtre : 3 comédiens intervenants

Restitution publique (2) : 3 comédiens dont 1 metteur en scène

Une personne de la Maison de quartier Centre-ville Gagarine

Moyens Matériels :

Une salle dédiée mise à disposition par la Maison de quartier Centre-ville Gagarine pour les permanences, répétitions et restitution. Impressions des outils de communication offerts par la Maison de quartier.

Matériel d’enregistrement, de retranscription et décorations pour la/les représentations en possession de la compagnie de Théâtre.

Budget : 6340 euros

Mise en place d'un atelier partgé avec un partenaire, ouvert sur le quartier, les écoles pour s'initier aux nouvelles technologies numeriques. le public peut concevoir des objets qu'ils peuvent trealiser à l'aide des outils mis à dispositions: fraise numerique, impressions 3D, decoupeuses laser,  ordinateurs PAO, et un encadrement technique adapté.