Les actions des centres sociaux
Actions
quand les habitants retroussent leur manche !
- Structure organisatrice
- Centre Social des Perrières - Ardèche
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Démocratie & citoyenneté
- Viellissement
- Emploi, économie
- Environnement
- Précarité
- Intégration
- développement durable
- Mixité sociale
- Résumé
Projet collectif sur la création d'un jardin partagé sur 1800m2 de terrain.
25 personnes concernées, en cours d'écriture du réglement de fonctionnement pour débuter en février 2016
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
la demande émane des habitants lors d'une enquête conscientisante, pour l'écriture de notre projet social.
l'idée est d'avoir de la verdure dans ce quartier prioritaire et permettre également aux habitants d'avoir un espace à eux, pour cultiver des produits bio, sain.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Bailleur social
- Commune
- Conseil régional
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
en lien avec la ville et accompagner par l'association "Le Mat" de valence
groupe d'habitants (25) se réunissant sur 5 réunions pour réfléchir sur le terrain, le réglement intérieur, le fonctionnement, l'eau.....
- Ressources financières mobilisées pour cette action
47 000 € environ sur la première année (gros oeuvre...)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
5 professionnelles et 25 habitants
- Résultat sur le territoire
- mixité sociale : tout public confondu (personnes agées, jeunes, rsa, employé....)
- ouverture du quartier vers l'extérieur : mélange entre les habitants du quartier et des quartiers alentours
- économie : gain sur le porte monnaie des habitants
-écologie et cadre de vie : jardin bio et visibilité sur le quartier
- Résultat pour le centre social
accompagnement de projet : souhait d'autonomie du groupe vers la création d'une association
- Résultat pour les habitants
autonomie des habitants et être acteur et auteur de leur projet et de leur vie
- Suite de l'action : Limites
prévision échéancier : 5 ans,
les limites resteront les moyens financiers
- Suite de l'action : Perspectives
Accompagnemenet du projet jusqu'à la création d'une association de gestion des jardins
Actions
journée santé bien être
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIOCULTUREL DE TOURNON - Ardèche
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Santé
- Résumé
Mise en place d'un réseau de thérapeutes quasi bénévole en médecines alternatives (c-à-d non remboursé par la sécu) pour des personnes en priorité empêchées pour des raisons financières.
Tarif selon quotient familial.
Ex de soins: osthéopate, sophro, massage etc...
Ex de tarif: pour une personne au RSA: 5€
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un habitant
- Précision ( si autre )
Evoqué par un habitant puis proposé par le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La question de l'accès au soin est largement partagée par les personnes qui fréquentent notre lieu ressource pour les personnes à très bas revenu.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Autre
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
1- réalisation d'une journée bien-être (mars 2015) avec 10 thérapeutes dans une grande salle. journée gratuite - A permis de faire connaître le projet, de fédérer; de donner un point de référence.
2- mise en place des journées du bien être 2 mardi/mois en septembre.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- temps de travail de l'animatrice adulte et 600€ d'investissement (table de massage etc..)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
17 thérapeutes mobilisés à ce jour.
- Résultat sur le territoire
faire savoir que l'accès aux soins est un problème pour une partie de la population.
en faire écho à la com com qui établit sa politique sociale.
- Résultat pour le centre social
Nous faire identifier comme un lieu des possibles tant auprès des habitants que des partenaires
- Résultat pour les habitants
des habitants qui traînent des sciatiques (où autres) et ne peuvent jamais avoir ce type de soins améliorent leur santé, leur bien être
- Suite de l'action : Limites
dépend du bon vouloir des thérapeutes. D'où l'importance d'en avoir un grand nombre, cela permet de pas trop les mobiliser et de les conserver dans le temps
- Suite de l'action : Perspectives
Reste à se poser l'accès à la médecine de ville avec les médéciens récalcitrants à la CMU par exemple.
Actions
Cafés Blabla et Blabla Mobile
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIO-CULTUREL LE PALABRE - Ardèche
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- Mixité sociale
- Résumé
Organisations de 3 espaces de rencontres dont 1 au centre socio-culturel et deux dans des écoles une fois par semaine.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action à été mise en place pour répondre à la problématique de la mixité sociale sur le territoire et principalement dans les écoles élémentaires. Dans le but d'amener les habitants à proposer des solutions et des initiatives à l'interieur de ces espaces d'échanges et d'écoutes.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Commune
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Il y'a eu deux groupes de travail, la mairie et le conseil général.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le budget de l'action s'élevait à 9000€.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 salariés, 2 bénévoles.
- Résultat sur le territoire
De nombreuses personnes sur le projet, ainsi qu'une volonté croissante de proposer des solutions avec comme objectif le développement du lien social sur le territoire.
- Résultat pour le centre social
Des habitants qui fréquentent le centre socio-culturel se sont investit plus profondemment dans le centre et font maintenant partie du conseil d'administrations.
- Résultat pour les habitants
Une nette amélioration de la cohésion sociale entre les habitants, les parents d'éleves ...
- Suite de l'action : Limites
L'action à plus fait évoluer le lien social entre les habitants et n'a pas créé une véritable dynamique collective.
- Suite de l'action : Perspectives
Une volonté de faire évoluer le projet avec la création d'un Blabla Truck se déplaçant sur l'ensemble de l'intercommunalité (39 communes) avec le soutien d'un financement intercommunal.
Actions
Broc et Troc ton savoir
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIO-CULTUREL JOSY ET JEAN-MARC DOREL - Ardèche
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Démocratie & citoyenneté
- Mixité sociale
- Résumé
A l'initiative des jeunes dans le cadre d'un projet autour de la citoyenneté "aux actes citoyens", un collectif de jeunes et de seniors ont organisé une journée festive autour de l’échange de savoirs et de compétences.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place dans le cadre d'un projet globale autour de l'engagement des jeunes sur le territoire.
Cette action nous permet de mixer les publics et accompagner un collectif de jeune dans l'organisation d'un temps fort
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Association locale
- Commune
- Conseil départemental
- FONJEP
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Un groupe de jeunes est à l'initiative de l'action.
Un collectif d'habitants (jeunes et seniors) a construit ensemble cette journée. (2 réunions de préparation)
Une partie de l'équipe salariés et certains bénévoles ont aidé ce collectif à organiser cette journée (soutien matériel et manuel le jour J)
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Charges Produits Achats matériel 383.00 € CD 07 1178 .00 € Réalisation documents 87.00 € DDCSPP 1000.00 € Frais de déplacement 50.00 € Mairie 342.00 € Intervenants 262.00 € FONJEP 235.00 € Charge de personnel 2003.00 € TOTAL CHARGES 2785.00 € TOTAL PRODUITS 2785.00
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
6 jeunes
25 scolaires primaires
2 enseignants
20 séniors
6 bénévoles
4 salariés
- Résultat sur le territoire
Des partenariats inédits
Une volonté de continuer des actions intergénérationnelles et interculturelles
- Résultat pour le centre social
Une action conviviale et festive
Une image intergenerationnelle du centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
Attention à la redondance d'une année sur l'autre
Une adhésion des publics différents qui n'ont pas les mêmes objectifs et méthodes.
- Suite de l'action : Perspectives
Nouvelle édition sur 2018 avec l'ensemble des secteurs du centre social (de la petite enfance jusqu'au seniors)
Actions
Ateliers sociaux linguistiques
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL L'ODYSSEE DE SAINT AGRÈVE - Ardèche
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Création d'ateliers animés par des bénévoles (14), à raison d'environ 10 ateliers par semaine d'une durée moyenne d'une heure. Avec l'installation d'un CADA sur la commune de Saint-Agrève, il était intéressant de proposer aux demandeurs d'asile mais aussi aux primo-arrivants sur la commune, des ateliers sociaux-linguistiques, qui permettent de favoriser l'intégration des personnes au sein de la collectivité. Ce sont des habitants déjà impliqués dans l'accompagnement des demandeurs d'asile, qui sont venus solliciter le centre socioculturel qui bénéficie de locaux fonctionnels et rénovés, du matériel nécessaire (paperboard, vidéo projection, photocopieuse, salles, internet) ainsi que des ressources humaines pour la coordination des activités (planning, réunions des bénévoles etc...)
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pour intégrer au mieux les nouveaux arrivants sur la commune, l'apprentissage de la langue étant primordiale. Le nombre de cours/ateliers est très important, avec une fréquentation moyenne de 6 personnes par ateliers. Il faut noter qu'il ne s"agit pas de proposer ces ateliers aux seuls demandeurs d'asile présents sur la commune, mais aussi aux primo-arrivants qui sont en moyenne 3 à 4 par an. Les personnes bénéficiant (gratuité) de ces ateliers s'intégrent mieux au sein du village en participant aux activités du centre, de la municipalité (téléthon, ardéchoise). Le fait que les ateliers se déroulent au centre socioculturel est un plus, la bâtiment est au coeur du village et est très fréquenté pour les diverses activités et services qui y sont proposés. Les demandeurs d'asile qui obtiennent leurs papiers, peuvent ainsi s'insérer plus facilement avec ce genre d'ateliers.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Commune
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
L'action a débuté en septembre 2017, 10 ateliers par semaine (1h/atelier), les bénévoles se soutiennent entre eux (parrainage et doublon pour démarrer avec un/e "ancien). Le centre socioculturel assure la coordination de l'activité, son animation et son suivi. Des réunions régulières sont organisées avec les bénévoles et les partenaires. Des temps de bilan/échanges sont prévus également avec les bénéficiaires des ateliers. Chaque bénévole est responsable de la "pédagogie" qu'il emploie et qu'il peut partager lors des réunions régulières avec ses pairs (une tous les deux mois). Des formations sont prévues également à moyen-terme pour les bénévoles (actuels et futurs)
- Ressources financières mobilisées pour cette action
C'est un budget relativement modeste, environ 3500€ /an, soutenu par le departement de l'ardèche (1500€). Les charges de personnel représente environ 70% du total, le matériel (photocopies, achat de livres) et la communication complétent le budget.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 salariés (directeur pour le pilotage, agent de développement pour la coordination et animation), ainsi que 14 bénévoles
- Résultat sur le territoire
Une activité de plus pour notre commune, une mobilisation importante de bénévoles, moteur et force de proposition. Surtout un outil d'intégration pour un nouveau public souvent désemparé en arrivant en France (demandeurs d'asile). Le retour du public (bénéficiaires et habitants) est plutôt largement positif.
- Résultat pour le centre social
Une fréquentation accrue dans les salles du centre, encore plus de passage et de la vie dans les salles du centre, ce qui est vraiment positif. Une reconnaissance aussi pour le centre dans son rôle de vecteur de développement de l'animation locale, un centre-ressource et un appui pour le développement de nouvelles activités et services et le soutien aux initiatives d'habitants comme c'est le cas ici
- Résultat pour les habitants
Une intégration facilitée pour les bénéficiaires qui en "maîtrisant" mieux la langue française; peuvent évidemment prévoir une installation durable sur la commune ou même ailleurs. Le ressenti de la population locale semble positif, de même que celui des partenaires du centre (commune, département, associations locales)
- Suite de l'action : Limites
Les ateliers se poursuivent, il y a cependant des demandeurs d'asile (quelques hommes surtout) qui refusent pour le moment de participer aux ateliers, nous en cherchons actuellement les raisons. De même, le délais de traitement des dossiers de demande d'asile, qui se raccourcient, font que quelque fois même avec les réponses favorables, le temps de participation aux ateliers est trop court pour un apprentissage efficace.
- Suite de l'action : Perspectives
Les bénévoles sont très motivés et les demandes pour participer aux ateliers (bénévoles ou bénéficiaires) se poursuivent. Le soutien du département même pour un montant relativement modeste, reste primordial pour assurer la suite de l'activité qui est relativement chronophage pour l'agent de développement. Avec le turn-over important au sein du CADA mais aussi avec de nouveaux primo-arrivants sur le territoire, l'action devrait perdurer dans les années futures. Le partenariat au niveau local (commune/ccas/cada/associations d'entraide) est aussi très important pour la réussite de l'action actuellement mais aussi pour sa poursuite.
Actions
Ateliers socio-linguistiques
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL L'ODYSSEE DE SAINT AGRÈVE - Ardèche
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Intégration
- alphabétisation & apprentissage du français
- Résumé
Des ateliers socio-linguistiques à raison de 10 par semaine, concernant 35 personnes. Ces ateliers sont ouverts aux primo-arrivants et aux résidents du centre d'accueil de demandeurs d'asile (CADA) présent à Saint-Agrève depuis 2013. Une dizaine de bénévoles, souvent d'anciens instituteurs, animent ces ateliers, ils sont coordonnées par un animateur du centre socioculturel.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La présence d'un CADA sur notre territoire a provoqué une mobilisation de partenaires sociaux pour assurer le meilleur accueil possible de cette nouvelle population. L'intégration au sein d'une société se fait nécessairement par l'apprentissage de la langue. De nombreux demandeurs d'asile ne connaissent que très peu la langue française et quelque fois pas l'anglais non plus. La difficuté est accentuée par le fait que certains relèvent également de l'illetrisme dans leur langue maternelle. La présence régulière aux ateliers est significative, les résultats sont très bons d'autant plus que l'assuidité est importante. Certaines familles sont restées sur la commune de Saint-Agrève après leur passage au CADA, et ils se débrouillent très bien pour la grande majorité en français.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Association locale
- Commune
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
l'action a démarré en septembre 2017. Pilotée par le centre socioculturel avec le partenariat du CADA (public et communication) et de la bibliothèque (logistique). Un comité technique se réunit régulièrement consituté des bénévoles qui interviennent dans les ateliers. un comité de pilotage existe aussi avec des partenaires institutionnels (département, commune) et des partenaires locaux (cada, bibliothèque)
- Ressources financières mobilisées pour cette action
le budget prévisionnel de l'action est de 4500€ par an
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 salariées du centre socioculturel, le directeur et l'animateur coordinateur, les 12 bénévoles à l'année, animateur des ateliers
- Résultat sur le territoire
facilite l'intégration et le maintien sur le territoire des primoarrivants et des demandeurs d'asile
- Résultat pour le centre social
un partenariat s'est engagé avec le Cada au-delà de la diffusion des programmes d'activités, le cada devrait prochainement intégrer le CA du centre. Les ateliers établissent une certaine reconnaissance du centre sur le territoire
- Résultat pour les habitants
les demandeurs d'asile fréquentent assîdument le centre socioculturel pour y trouver des services ou des activités. c'est un lieu central sur la commune, cela facilite leur intégration. Les habitants de la commune "s'habituent" à ce nouveau public, les deux se rencontrant naturellement au sein de l'association
- Suite de l'action : Limites
pour l'instant, le centre bénéficie d'un soutien financier du département, permettant de financer l'achat de matériel (livres, fournitures administratives tableaux...). Il n'est pas toujours évident de gérer des bénéficiaires souvent différents de par leur culture. Les bénévoles sont très motivés, leur nombre est important (une dizaine chaque année), leur "gestion" demande de la diplomatie
- Suite de l'action : Perspectives
l'action devrait se poursuivre en 2020 notamment si le financement continue... Le cada ne devant pas fermer ses portes et l'existence d'un fort "turnover" des demandeurs d'asile, entraînent forcément des besoins toujours plus importants.
Actions
Un espace accueil pour une meilleure cohabitation des actions et une dynamique participative
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Animer un espace d’accueil pour une meilleure cohabitation des actions et une dynamique participative.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence au diagnostic :
De nombreuses activités s’y côtoient aujourd’hui, entrainant parfois des difficultés de cohabitations et de lisibilité auprès du public. Un travail de réflexion sur les espaces est donc nécessaire afin d’améliorer encore l’accueil, source de lien social et de convivialité.
Impossibilité d’empêcher des familles de séjourner dans le hall d’accueil malgré l’instauration d’un dialogue permanent.
Source :
(Extraits du diagnostic du bilan contrat de projet 2010-2014).
Objectif stratégique :
Développer et valoriser la fonction d’animation sociale, source de cohésion sociale à l’échelle du territoire.
Objectifs opérationnels :
Améliorer l’accueil des personnes, des familles, des associations
- Améliorer l’accueil des groupes informels, des partenaires…
- Modifier l’aménagement et l’organisation de l’espace accueil.
- Encourager les initiatives des habitants et enclencher une dynamique participative.
- Rompre l’isolement des habitants, prévenir et réduire les exclusions, renforcer les solidarités entre les personnes en les « intégrant » dans des projets collectifs leur permettant d’être acteurs et d’assumer un rôle social au sein d’un collectif ou sur le territoire.
- Installation de mobiliers et cloisons…
Résultats attendus de l’action :
- Mise en œuvre d’une démarche transversale avec l’ensemble des professionnels du centre social permettant d’organiser une fonction d’accueil et d’écoute des habitants, usagers, des familles et des groupes informels ou des associations.
- Amélioration de l’accueil des personnes, des familles et des associations.
- Appréciations des visiteurs de l’animation dans le hall d’accueil (expositions, ateliers, …) pour présenter le centre social.
- Favoriser une attente confortable, détendue, harmonieuse.
- Réaliser un hall d'accueil en vecteur d'images fortes du centre social.
- Communiquer d'emblée un message fort sur l'identité du centre social.
- Capitaliser l’expérience de cette action afin d’optimiser l’utilisation du nouveau hall d’accueil de la future maison de quartier.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
2015 à 2018.
Déroulement :
L’accueil, basé sur une écoute attentive, s’étendra à la capacité à proposer une offre globale d’information et d’orientation. Il sera surtout organisé de manière à recueillir les besoins des habitants et leurs idées de projets collectifs.
Il sera assuré, à titre principal, par un agent d’accueil qualifié, mais sera appréhendé comme une fonction portée collectivement par l’ensemble de l’équipe d’animation du centre social. Cette fonction devra être reconnue, repérée sur le territoire d’intervention et sera considérée comme une action à part entière.
L’équipe de professionnels du centre social assurera une attention particulière aux familles et aux publics fragilisés et, le cas échéant, leur proposera un accompagnement adapté.
Créer les conditions de l’accueil et de la participation :
Un cahier des charges sera élaboré sur le schéma d'agencement avec les dirigeants, les salariés, les adhérents. Il permettra d’améliorer l’accueil, source de lien social et de convivialité.
Le recensement des besoins se révèle une étape incontournable. Il convient, tout d'abord, de détailler les contraintes techniques auxquelles le centre social est confronté. « C'est ce qui va permettre d'organiser une continuité et une cohérence entre ce qui existe et ce qui va être créé pendant la durée du projet social et imaginé dans la future maison de quartier ».
À l'issue de cette phase d'audit, le cahier des charges pourra être soumis à un architecte d'intérieur qui sera en mesure de travailler sur le schéma d’agencement.
Il faudra ensuite s'interroger sur la qualité et la typologie des personnes qui transiteront par cet espace (adhérents, usagers, fournisseurs, salariés…) et sur les temps d'attente de chacun, afin de mieux définir les flux de circulation. Les questions de sécurité - gestion des accès et filtrage - doivent être examinées avec attention.
Les questions acoustiques ne sont pas à négliger. Dans un espace où transitent plusieurs dizaines de personnes chaque jour, le niveau sonore ambiant peut se révéler rapidement élevé et gênant, rendant difficiles les conversations. Il faudra utiliser des outils logiciels de simulation des phénomènes acoustiques permettant d'optimiser les traitements nécessaires.
En termes d’information :
Pérenniser le travail en lien avec les services de la Ville de Sedan, de la Caisse d’Allocations Familiales, du Conseil Général, les associations, des services publics (Pôle Emploi, Mission Locale…), les organismes HLM, afin d’être identifié comme un lieu de diffusion et d’information.
C'est un lieu où les visiteurs vont pouvoir s'informer sur le centre social, d'où l'intérêt d'y installer des outils communicants comme des moyens audiovisuels (écran géant, vidéo projecteur, tablettes numériques, ordinateurs portables…), pour améliorer l’information, la communication.
Les dirigeants du centre social pourront investir dans un logiciel destiné à planifier et automatiser la diffusion de nos contenus multimédia sur un ou plusieurs écrans informatiques ou télévisuels. L’agent d’accueil animera l’espace d’attente en diffusant, sur un ou plusieurs écrans, différentes informations issues de différents fichiers (MS PowerPoint converti en vidéo, flash, films, images. Musiques...) pour faire patienter les visiteurs.
En termes spatiaux :
L’installation de petits salons de type “lounge” pourra être envisagée afin de créer une ambiance plus conviviale et cosy que celle d'une salle de réunion. « Il s'agit de zones « d'attente active » où le visiteur peut se connecter à internet, travailler ou faire une rapide présentation à son interlocuteur ».
Il sera aussi possible d'opter pour la création de petits box où sont accueillis, par exemple, les parents, de façon plus confidentielle, sans avoir à les faire pénétrer dans les bureaux du centre social.
Ces espaces pourront être équipés d'un point café qui pourra être géré par des bénévoles, d'un canapé “lounge”, de petites tables basses ou, au contraire, de tables de type « bar » et de tabourets assis debout.
Des prises électriques et une connexion Wi-Fi peuvent être installées afin de permettre au visiteur de travailler.
Sur un plan pratique, l'éclairage est une composante importante qui concourt à l'ambiance du hall d'accueil. Aussi, un soin tout particulier devra y être apporté, surtout si l'installation d'écrans ou des bornes interactives est prévue.
Il faudra réorganiser la signalétique, l’affichage, l’implantation de plantes vertes, d’un kiosque à journaux et magazines…
En termes d’animation :
Quelques rares animations ont été proposées dans le hall d’accueil. Il s’agira de les augmenter tout en tenant compte de la promiscuité de l’espace. Il faudra faire tourner des expositions de peintures, de sculptures, du théâtre “interactif de poche” pour attirer des visiteurs qui ne viennent pas habituellement au centre social.
Le poste de travail :
L'ergonomie des postes de travail doit aussi être impérativement prise en compte. D'où l'importance d'avoir préalablement défini, avec précision, les missions du personnel d'accueil. Ainsi, lorsque le salarié est chargé du standard, son espace doit être conçu de manière à préserver la confidentialité des communications. S’il est amené à se lever pour proposer un ordinateur ou une tablette aux visiteurs, il doit pouvoir circuler facilement. « La qualité de vie au travail du personnel en poste a un impact immédiat sur la qualité de l'accueil et, par conséquent, sur l'image que renvoie le centre social”.
Ce travail s’inscrira aussi dans la perspective de l’aménagement de l’accueil dans la nouvelle maison de quartier.
Les moyens mis en œuvre :
* Humains :
Un agent d’accueil qui interviendra à raison de trente-cinq heures par semaine, en transversalité avec l’ensemble des dirigeants, bénévoles et du personnel.
* Amplitude d’ouverture :
Assurer des créneaux d’ouverture maximum, 70 heures par semaine, 6 jours sur 7, 10 mois sur 12.
* Moyens matériels :
Moyens audiovisuels (écran géant, vidéo projecteur, tablettes numériques, ordinateurs portables…).
Acquisition de mobiliers et de cloisons…
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Il n'existe pas de budget spécifique pour cette fiche action. Chaque bénévole, chaque salarié est totalement partie prenante de la mise en oeuvre opérationnelle de la fiche action. Un salarié chargé d'accueil et un contrat aidé assurent une plage horaire d'ouverture de 60 heures hebdomadaires. L'espace d'accueil est aussi animé pendant les périodes de fermeture par des bénévoles. Ces éléments ne permettent pas de formaliser un budget précis.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
25 salariés - 80 bénévoles -
- Résultat sur le territoire
Améliorer l’accueil des groupes informels, des partenaires,
Encourager les initiatives des habitants et enclencher une dynamique participative,
Rompre l’isolement des habitants, prévenir et réduire les exclusions.
- Résultat pour le centre social
Créer les conditions de l'accueil et de la participation.
- Résultat pour les habitants
Rompre l’isolement des habitants, prévenir et réduire les exclusions,
Encourager les initiatives des habitants.
- Suite de l'action : Limites
Le centre social Le Lac vient d'emménager dans la nouvelle maison de quartier et n'a pas pu mesurer les limites de son action.
- Suite de l'action : Perspectives
Evaluer la mise en oeuvre de la fiche action afin de définir des perspectives.
Actions
Manchest'Art
- Structure organisatrice
- Centre social Manchester - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Action ponctuelle dans le cadre de la Nuit des Musées
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- Mixité sociale
- Résumé
Dans le souci d’associer les jeunes dès l’élaboration du projet, une première phase de sensibilisation aux pratiques artistiques et culturelles a été prévue : rencontres avec des artistes divers (sculpteurs, peintres, dessinateurs, musiciens…), autour d’ateliers de créations artistiques, visites d’expositions, de musées.
Au fur et à mesure des rencontres, des réunions et des échanges,nous avons impliqué les jeunes au coup par coup en fonction de leurs envies : certains ont préférés s'impliquer dans la mise en place de sorties, d'autres sur la mise en place des ateliers artistiques, et d'autres pour l'installation de la manifestation.
- La conception de plaquettes d’information, d’affiches en direction des habitants
- L’organisation de sorties, de spectacles et d’un temps fort en direction de tous les habitants du quartier.
- L’élaboration d’une exposition « vivante et interactive » dans le quartier (Art éphémère, visite guidée).
- La Participation à « La nuit des musées ».
Les jeunes ont été encadrés et/ou accompagnés par des adultes référents, qui ont joué un rôle prépondérant dans la mobilisation des publics en créant des conditions favorables à leur implication et à leur participation active dans la mise en œuvre du projet
- Un animateur a été chargé de l’encadrement des jeunes tout au long du projet. Il s’agit d’une personne déjà en poste sur la structure qui a assuré le lien et la coordination du projet et a été là en soutien de toutes les démarches et initiatives des jeunes. De manière plus globale, la responsable du secteur jeune a eu un rôle de coordination du secteur et de toutes les actions s’y référent.
- Un réseau de partenaires a été constitué et associé au projet (Club de Prévention, collège, Service culturel de la ville, Musée de l'Ardenne...) et tout autre partenaire agissant dans les domaines culturels ou en milieu artistique et qui ont souhaité accompagner les jeunes dans ce projet).
- Les habitants et associations de quartier qui sont souhaité être associés à l’organisation des actions culturelles et à l’animation globale du quartier.
Ce projet aussi issu d’une volonté de recréer une dynamique partenariale sur le quartier et développer une politique commune en faveur de la jeunesse. Ont été associés les partenaires de l’insertion (Mission Locale, CIO…), les partenaires culturels (un représentant du Service culturel de la ville de Charleville-Mézières, un représentant de l’ORCCA, le directeur du musée de l’Ardenne…), les associations d’habitants (qui organisent aussi des manifestations culturelles et/ou festives sur le quartier), l’ACEPA, le collège Scamaroni…
Des liens permanents ont été établis au sein du Centre Social entre les différents secteurs (qui organisent aussi, chacun à leur niveau, des actions d’éveil artistique et de promotion de la culture).
En partant d’un projet de jeunes, c’est le développement social et l’animation globale du quartier qui ont été principaux objectifs à travers cette action.
C’est aussi une manière de mettre en valeur leurs compétences artistiques et de mettre en avant leurs aspirations culturelles, autant d’entrées permettant la mise en évidence de compétences et la valorisation des jeunes du quartier.
C’est durant l’Organisation du temps fort que l’implication des habitants du quartier a été la plus forte. Ils se sont mobilisés dans toutes les étapes de mise en place de cette manifestation sur leur lieu de vie.
Date : le 17 mai 2014(Nuit des musées)
De 18h00 à 24h00
Lieu : Quartier de Manchester
Présentation de l’évènement :
- Une structure posée sur la place de Manchester
- expositions interactives des œuvres réalisées dans le cadre des ateliers artistiques (depuis septembre 2010)
- visites guidées du musée et ateliers artistiques participatifs avec les habitants du quartier
- présence d’artistes et expositions d’artistes locaux (ORCCA…)
- Une animation musicale (groupe) en soirée
- Un espace restauration et buvette
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La loi de lutte contre les exclusions du 29 juillet 1998 stipule que "L'égal accès de tous, tout au long de la vie, à la culture, à la pratique sportive, aux vacances et aux loisirs constitue un objectif national. Il permet de garantir l'exercice effectif de la citoyenneté". L'accès à la culture placé au même titre que l'accès aux droits fondamentaux que sont le travail, le logement ou encore la santé ne doit pas rester une déclaration d'intention, et l'accès à la culture des populations les plus en difficulté pourrait être une priorité.
Le centre social veut participer à susciter dans ce sens l'intérêt de la société et des pouvoirs publics en oeuvrant pour l'accès et la pratique d'activités culturelles comme un moyen de lutter contre les exclusions. Non pas seulement dans le sens d'une appropriation de la culture classique mais d'abord pour offrir aux personnes en difficulté la possibilité d'exister autrement dans le regard des autres. Ce dont les personnes exclues souffrent le plus, ce n'est pas du manque de ressources, même si elles en parlent souvent en premier, c'est le manque de relations amicales avec d'autres et l'occasion de montrer qui elles sont réellement. Ce qu'elles pensent et ce qu'elles savent faire. En outre il faut du courage pour sortir d'un environnement que l'on maîtrise pour aller vers quelque chose dont on ne connaît pas les codes.
La dimension culturelle est une réelle amorce pour sortir de l'exclusion, se remobiliser et se projeter dans la vie. Par exemple, le simple fait d'aller au musée, permet de sortir de son entre soi, et de son environnement familier.
Loisirs et culture ne doivent pas être un luxe. Il s'agit de les faire entrer dans les quartiers populaires puis leur permettre d'intégrer des expressions nouvelles. La culture doit aussi être considéré comme un plus dans la vie (dans les relations avec les autres, dans un métier, dans un entretien d'embauche).
Les pratiques artistiques ( constituent les formes d'expression qui prennent appui sur un art, théâtre, danse, arts plastiques, écriture...et font appel à la créativité individuelle ou collective))et culturelles (ensemble des formes de diffusion, de mise en circulation, d'échange et de partage autour des biens culturels : fréquentation des musées, cinéma, monuments, écoute de la musique...) des jeunes sont un maillons essentiels de l'accès à l'autonomie, à la socialisation et à la responsabilité.
C'est à travers les activités artistiques et culturelles pratiquées dans des périodes clés d'apprentissage que sont l'adolescence et la jeunesse que chaque génération peut réinterpréter le monde, inscrire sa marque et apporter sa contribution au dialogue entre toutes les cultures: savantes, populaires et de toutes origines.
Seuls ces échanges et confrontations avec toutes les cultures dans l'espace public, permettent la reconnaissance des cultures des jeunes par les autres, autant que la reconnaissance des cultures des autres par les jeunes.
Même si les jeunes voyagent à travers la Webplanète, chambre close, ils ne grandissent pas seuls mais en harmonie avec leur entourage humain. Les adultes doivent les aider à activer un esprit critique, leur apprendre à argumenter, étayer et réfléchir pour que cela deviennent constructif et non plus négatif. Nous devons créer la rencontre Adolescents-Culture pour provoquer la protestation, ou tout du moins la réaction.
Tant que les jeunes protesteront contre "la musique de leurs parents" il y aura de l'espoir.
C'est pour cela que Manchest'art existe.
Les objectifs :
- Susciter les initiatives de jeunes du quartier en favorisant leur prise de responsabilités
- Favoriser leur autonomie en les associant à l’élaboration d’actions culturelles
- Sensibiliser les jeunes du quartier à différentes pratiques artistiques et/ou culturelles, et au-delà à la vie locale et à l’animation du quartier
- Participer à l’éveil artistique des jeunes tout en privilégiant les moments de partage intergénérationnel et de convivialité familiale.
- Aménager des espaces culturels et élaborer des moments de rencontres autour des pratiques artistiques.
- Travailler à la mise en réseau des acteurs du quartier (Centre social, Acepa, collège...)
- Inscrire le projet à l’échelle du quartier et en direction de tous les habitants
- Favoriser l’apprentissage de la vie sociale et la responsabilisation
- Permettre aux jeunes de découvrir le processus de création en privilégiant les rencontres conviviales avec les équipes artistiques et techniques
- organiser un temps fort autour des créations réalisées.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- ACSE
- Association locale
- Caf
- Commune
- Conseil départemental
- Conseil régional
- Etat
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Par l'implication des jeunes dans le cadre de ce projet, nous avons recherché un réel investissement des jeunes mais également des habitants du quartier sur tous les évènements festifs qui se sont organisés durant l’année sur le quartier.
Les jeunes ont engagés toutes les démarches nécessaires à l’organisation des ateliers artistiques et culturels, à l’information, à la planification des moments forts. Les habitants ont été conviés à participer à la mise en place de ces temps forts (Nuit des musées).
L'action a débuté en janvier 2014 mais des éléments ont été construits en amont précédemment. Des rencontres conviviales ont été organisées entre les équipes artistiques et techniques.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
56428 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Intervenants - en interne (équipe mobilisée)
coordinateur secteur adultes et familles
coordinatrice secteur jeunesse
animatrice secteur jeunesse
coordinatrice secteur enfance
responsable halte garderie
responsable insertion
responsable multimédia
Nombre d’intervenants participant à l’action :
1 artiste en résidence, 10 artistes (plasticien, peintre, sculpteur, graveur..) et 1 plasticien pour la mise en espace du musée
un technicien, groupe de musique...
- Résultat sur le territoire
Loisirs et culture ne doivent pas être un luxe. Il s'agit de les faire entrer dans les quartiers populaires puis leur permettre d'intégrer des expressions nouvelles. La culture doit aussi être considéré comme un plus dans la vie (dans les relations avec les autres, dans un métier, dans un entretien d'embauche).
- Résultat pour le centre social
Le centre social veut participer à susciter dans ce sens l'intérêt de la société et des pouvoirs publics en oeuvrant pour l'accès et la pratique d'activités culturelles comme un moyen de lutter contre les exclusions. Non pas seulement dans le sens d'une appropriation de la culture classique mais d'abord pour offrir aux personnes en difficulté la possibilité d'exister autrement dans le regard des autres.
- Résultat pour les habitants
C'est à travers les activités artistiques et culturelles pratiquées dans des périodes clés d'apprentissage que sont l'adolescence et la jeunesse que chaque génération peut réinterpréter le monde, inscrire sa marque et apporter sa contribution au dialogue entre toutes les cultures: savantes, populaires et de toutes origines.
Seuls ces échanges et confrontations avec toutes les cultures dans l'espace public, permettent la reconnaissance des cultures des jeunes par les autres, autant que la reconnaissance des cultures des autres par les jeunes.
Même si les jeunes voyagent à travers la Webplanète, chambre close, ils ne grandissent pas seuls mais en harmonie avec leur entourage humain. Les adultes doivent les aider à activer un esprit critique, leur apprendre à argumenter, étayer et réfléchir pour que cela deviennent constructif et non plus négatif. Nous devons créer la rencontre Adolescents-Culture pour provoquer la protestation, ou tout du moins la réaction.
- Suite de l'action : Limites
Pas de difficultés rencontrées
Tous les partenaires ont donné le meilleur d'eux même pour que le projet réussisse.
Chacun a trouvé sa place et a participé activement.
Les jeunes se sont impliqués de la conception a la réalisation du projet.
Les habitants se sont mobilisés dans les divers ateliers en amont mais également le jour de la manifestation.
Des habitants sont venus nous aider au montage ainsi qu'au démontage. D'autres étaient parfois guides ou surveillants du Musée
L'ensemble des habitants ont une réelle envie de faire des sorties culturelles et ils nous l'ont montrer lors des sorties, ils sont déjà mobilisé dans les différents ateliers. Une forte implication de leur part lors du temps fort du 17 mai 2014. Ils sont déjà venu nous demander si il y aurait une autre édition.
A ce jour, Manchest'art et la manifestation de la Nuit des Musées est toujours dans toutes les têtes.
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
VET'YVOIS boutique solidaire
- Structure organisatrice
- Centre social Escal en Yvois - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Résumé
ESCAL en YVOIS accompagne une equipe de bénévoles
pour faire vivre un espace ouvert deux fois par semaines
ou des vêtements à tarif solidaires sont proposés à la vente du public.
Le stock ( de la petite enfance à l'adulte (habits chaussons accessoires) est alimenté par des dons ( matériel en bel état et propre).
L'équipe tri , lave , répare repasse et met en valeur les affaires au "magasin solidaire".
La fierté de servir combiné à l'utilité sociale (lutte contre la paupérisation) visible et immédiate nous a permis de regrouper et de finaliser ce beau projet entièrement piloter par une équipe de six bénévoles.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
lutter contre la paupérisation
être solidiare et participer au recyclage
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Autre
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
groupes de travail.
réunion municipale pour accord de travaux et autorisation d'action.
Réalisation de travaux d'aménagement.
com et ouverture.
partenariat pour le déstockage
- Ressources financières mobilisées pour cette action
4000 € annuels
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
huit
- Résultat sur le territoire
nouveau service à la pomulation locale
- Résultat pour le centre social
reconnaissance de la capacité à agir
et à concêtiser une action au service d'un besoin identifié
- Résultat pour les habitants
nouveau service utile solidaire
- Suite de l'action : Limites
impossible à l'heure actuelle de développer( espace totalement utilisé)
- Suite de l'action : Perspectives
réflexion pour un projet d'épicerie sociale
Actions
Accompagnement des parents dans leur mission éducative
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
Accompagner les parents dans leur mission éducative.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence au diagnostic :
Après de très nombreuses tentatives afin de mobiliser des partenaires (Ville de Sedan, établissements scolaires…), les dirigeants du Centre Social Le Lac, en accord avec la responsable de l’animation collective familles, ont dû se résigner à organiser « sans réseau », diverses actions. Cependant, la responsable de l’animation collective familles a pu s’appuyer sur une représentante de la Caisse d’Allocations Familiales ainsi que sur l’équipe de salariés et de bénévoles du Centre Social Le Lac
Source :
(Extrait du diagnostic du bilan contrat de projet 2010-2014).
Objectif stratégique :
Développer et valoriser la fonction d’animation sociale, source de cohésion sociale à l’échelle du territoire.
Objectif opérationnel :
Améliorer l’accueil des personnes, des familles, des associations.
- Encourager les initiatives des habitants.
- Enclencher une dynamique participative.
- Soutenir les parents dans leur rôle éducatif en utilisant le dispositif « REAAP », contrôlé et animé par la Caisse d’Allocations Familiales, afin d’améliorer l’accueil des personnes, des familles, en particulier les plus vulnérables, car leur engagement dans une activité sociale est souvent difficile.
Résultats attendus de l’action :
Participation d’acteurs divers pour accompagner plusieurs groupes de parents dans la perspective de relever des besoins, des attentes sur des questions de parentalité et leur donner les moyens de se structurer.
Participation de parents à des ateliers parents/enfants.
Développement de relations durables et construction de projets communs avec les associations de parents d’élèves du quartier du Lac.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
2015 à 2018.
Déroulement :
Mobiliser un réseau d’acteurs divers travaillant déjà sur ce sujet et dont les domaines d’intervention varient : des associations, des partenaires institutionnels (Caisse d’Allocations Familiales, Centre Communal d’Action Sociale…), des professionnels, les établissements scolaires, les parents d’élèves…
Le réseau pourra mettre à la disposition des parents des services et des moyens :
- Rencontres et échanges entre parents.
- Accompagnement de projets familiaux.
- Soutien psychologique.
- Actions culturelles.
- Sorties familiales.
- Conférence.
- Débat avec différentes méthodologies participatives.
- Accompagnement de plusieurs groupes de parents dans la perspective de relever des besoins, des attentes sur des questions de parentalité et leur donner les moyens de se structurer.
- Créer des ateliers parents/enfants.
- Développer des relations avec les associations de parents d’élèves du quartier du Lac pour collaborer sur certains projets, leur apporter un soutien technique, mutualiser des compétences, proposer des formations…
Les moyens mis en œuvre :
Une animatrice socioculturelle animera une démarche de transversalité avec l’ensemble des dirigeants, bénévoles et du personnel.
Résultats attendus de l’action :
Participation d’acteurs divers pour accompagner plusieurs groupes de parents dans la perspective de relever des besoins, des attentes sur des questions de parentalité et leur donner les moyens de se structurer.
Participation de parents à des ateliers parents/enfants.
Développement de relations durables et construction de projets communs avec les associations de parents d’élèves du quartier du Lac.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget du Réseau d'Ecoute, d'Appui et d'Accompagnement des Parents.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 salariés - 50 bénévoles -
- Résultat sur le territoire
Participation d’acteurs divers pour accompagner plusieurs groupes de parents dans la perspective de relever des besoins, des attentes sur des questions de parentalité et leur donner les moyens de se structurer.
- Résultat pour le centre social
Participation de parents à des ateliers parents/enfants.
- Résultat pour les habitants
Développement de relations durables et construction de projets communs avec les associations de parents d’élèves du quartier du Lac.
- Suite de l'action : Limites
Importantes difficultés à mobiliser les habitants dans la durée.
Indisponibilté des enseignants pour participer à la coconstruction des projets.
- Suite de l'action : Perspectives
Améliorer la structuration de la Fête de l'Enfance qui servira d'outil de mobilisation et de participation pour accompagner les parents dans leur mission éducative.
Actions
Implication des adhérents, des responsables d'activités, des bénévoles, des Elus dans les instances de décision du centre social
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Démocratie & citoyenneté
- Mixité sociale
- Résumé
Impliquer les adhérents, les responsables d’activités, les bénévoles, les élus du conseil d’administration dans une dynamique participative.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence au diagnostic :
Depuis les origines de la politique de la ville, la nécessité de la participation des habitants est reconnue par tous. Bien que les dispositifs participatifs se soient développés et diversifiés, ceux-ci relèvent plus souvent de l’information et de la consultation que d’une véritable possibilité de se faire entendre et d’intervenir dans l’action publique.
Tout en gardant à l’esprit les limites pouvant y être liées, de nombreux conseils considèrent aujourd’hui qu’il faudrait améliorer la qualité du débat public et associer davantage les citoyens aux décisions (Conseil d’État, Conseil National des Villes ou Conseil National des Politiques de Lutte contre la Pauvreté et l’Exclusion Sociale). Des attentes de renouveau démocratique semblent, en effet, émerger dans un contexte marqué par la crise de la représentation traditionnelle, le développement des réseaux sociaux et l’évolution de la répartition des compétences entre l’Union Européenne, l’État et les collectivités locales.
Dès lors, comment partager le pouvoir d’expertise et de décision avec les habitants ? Comment mieux articuler participation et représentation ? Quelle ambition pour la politique de la ville ? Pour éclairer l’action publique française, cette note analyse les dynamiques étrangères les plus prometteuses en dégageant trois axes : partager le pouvoir décisionnel avec les habitants au travers de « budgets participatifs de quartiers » ; garantir la qualité du débat public ; permettre aux habitants de développer leur pouvoir d’agir.
Source :
La participation des habitants : trois pistes pour rénover la politique de la ville [Note d'analyse 278 — septembre 2012].
Marion Carrel : maître de conférences en sociologie à l'université Lille 3.
Noémie Houard : département Questions sociales du Centre d'Analyse stratégique.
Une des conclusions du questionnaire :
On remarque une volonté de s’engager dans une démarche d’intérêt général par le biais des candidatures au conseil d’administration. On peut noter de nombreuses propositions concernant la mise en œuvre d’activités nouvelles.
Source :
[Extrait du diagnostic du bilan contrat de projet 2010-2014] – une des conclusions du questionnaire.
Objectif stratégique :
Développer et valoriser la fonction d’animation sociale, source de cohésion sociale à l’échelle du territoire.
Objectif opérationnel :
Promouvoir et accompagner le bénévolat.
- Améliorer la capacité des bénévoles anciens et nouveaux à encadrer et à animer les activités de l'association, notamment dans les actions socioculturelles ou sportives.
- Faire acquérir aux bénévoles participants de manière régulière aux organes de direction [conseil d’administration, bureau], des connaissances pour administrer rationnellement et efficacement le centre social dans le cadre d'un exercice de responsabilité non professionnelle.
Résultats attendus de l’action :
- Encourager les initiatives des habitants et une dynamique participative.
- Mobilisation des adhérents dans la participation aux formations.
- Utilisation des nouvelles compétences au sein du conseil d’administration et des bureaux.
- Augmentation des candidatures pour le conseil d’administration.
- Amélioration dans la gestion des activités gérées par les bénévoles.
- Création de nouvelles activités et une dynamique de mobilisation des habitants.
- L’engagement bénévole aura pour conséquence leur développement personnel, le développement de leurs compétences, la recherche de sens à leur vie, le plaisir, le besoin de développement du lien social…
- Valorisation des talents.
- Prise de responsabilité et développement d’une citoyenneté de proximité.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Commune
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Déroulement :
Le centre social organisera des formations, une fois par trimestre, à l’intention des bénévoles ou leur donnera accès à des formations conçues ou promues par des structures mandatées, à cet effet, par les directions régionales de la jeunesse, des sports et de la cohésion sociale. La formation comportera, la plupart du temps, une partie théorique et une partie pratique.
Elle permettra d’acquérir :
- Une culture générale sur la spécificité du fait associatif et de l’agrément d’un centre social par la Caisse d’Allocations Familiales des Ardennes, son évolution, son environnement, des connaissances pour prendre des responsabilités, conduire et développer le contrat de projet.
- Des données sur la définition du concept d’animation globale.
- Une formation pratique.
Ils recevront, à l’issue de cette formation, un livret de formation à la gestion associative. Il permettra aux bénévoles suivant ou ayant suivi un parcours de formation à la gestion associative reconnu par les autorités, de garder une trace du contenu de la formation. De plus, il comportera des appréciations portées sur ses compétences, par les responsables de formation.
Un contrat d’engagement pour suivre ces formations sera proposé aux bénévoles et aux adhérents élus au conseil d’administration
Les moyens mis en œuvre :
Le directeur et la comptable animeront une démarche de transversalité avec l’ensemble des dirigeants, bénévoles et du personnel.
Structures mandatées par les Directions Régionales de la Jeunesse, des Sports et de la Cohésion Sociale…
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Prestation de Service centre social.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
5 salariés - 20 bénévoles -
- Résultat sur le territoire
Développer et valoriser la fonction d’animation sociale, source de cohésion sociale à l’échelle du territoire.
- Résultat pour le centre social
Améliorer la capacité des bénévoles anciens et nouveaux à encadrer et à animer les activités de l'association, notamment dans les actions socioculturelles ou sportives.
Faire acquérir aux bénévoles participants de manière régulière aux organes de direction [conseil d’administration, bureau], des connaissances pour administrer rationnellement et efficacement le centre social dans le cadre d'un exercice de responsabilité non professionnelle.
- Résultat pour les habitants
- Des données sur la définition du concept d’animation globale.
- Une formation pratique.
- Suite de l'action : Limites
Difficultés à lutter contre le fatalisme et à inscrire les participants dans la durée.
- Suite de l'action : Perspectives
Amélioration dans la gestion des activités gérées par les bénévoles
Création de nouvelles activités
Mobilisation des habitants des différents quartiers.
Actions
Atelier d'éducation artistique et culturelle
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- Culture
- Résumé
- Mise en place d’ateliers d'éducation artistique et culturelle qui ont pour ambition de viser un égal accès de tous les jeunes à l'art et à la culture, dans le respect de la liberté et des initiatives de l'ensemble des acteurs concernés.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence :
En 2012 et 2013, des ateliers d'éducation artistique et culturelle ont été mis en œuvre par le centre social Torcy Cités, le Secteur Jeune de la Ville de Sedan et le Centre Social Le Lac, dans le cadre du FACEJ ZUS, aux bénéfices des habitants des différents quartiers des ZUS de la ville de Sedan.
Les partenaires se sont associés afin de créer une dynamique partenariale. L’objectif était de favoriser le brassage des habitants, la coopération des animateurs, la mutualisation des moyens, humains, pédagogiques, des différents quartiers des ZUS et de la ville de Sedan.
Les différents ateliers d'éducation artistique et culturelle mis en œuvre ont permis de créer une chorale intergénérationnelle, une troupe déambulatoire, des groupes de percussions et de danses (zumba, danse africaine)… avec les habitants des différents quartiers des ZUS et de la ville de Sedan.
À partir des ateliers artistiques, en 2013, des œuvres collectives ont été présentées tout au long de l’année : fête de la musique, festival médiéval de la ville de Sedan, carnaval de Sedan, fête de Donchery, festival de la marionnette de Charleville-Mézières, spectacles présentés dans les différentes structures…
Lors des multiples bilans de fin d’année, les administrateurs, les directeurs, les animateurs du centre social Torcy Cités et le Lac, le Service Jeunesse de la Ville de Sedan, les familles (adultes, jeunes, enfants) ont souhaité, unanimement, l’utilisation d’ateliers d'éducation artistique et culturelle afin de poursuivre un projet collectif.
Le témoignage des acteurs socioéducatifs, MJC Calonne, centre social Torcy Cités, Secteur Jeune de la Ville de Sedan, Centre Social Le Lac, dans le cadre des bilans collectifs CUCS et FACEJ ZUS organisés par la Ville de Sedan.
Le témoignage de certaines institutions (Caisse d’Allocations Familiales, travailleurs sociaux, Pôle Sénior, CCAS…) a permis d’identifier ce besoin.
L’équipe de permanents du Centre Social Le Lac (le Directeur, les Responsables du Secteur Familles, de l’Accueil collectif de Mineurs, de l’Accueil jeunes, des Contrats locaux d’Accompagnement à la Scolarité, de la Ludothèque, les adultes relais, l’agent d’accueil, les animateurs…) a, dans sa relation permanente avec les usagers, recueilli de très nombreux témoignages qui ont pu être analysés.
Les usagers de tous les secteurs, les membres du conseil d’administration, ont témoigné quotidiennement des difficultés qu’ils ont rencontrées dans leurs pratiques.
Les jeunes et les familles qui habitent la ZUS du Lac, de Torcy, et du centre ancien fréquentent très peu ou pas les structures culturelles (MJC Calonne, école de musique, médiathèque…) en dehors du temps scolaire.
Cette fracture artistique et culturelle est inégale d'un jeune à l'autre pour des raisons diverses (socioculturelles, géographiques, etc...) et en fonction des écoles ou établissements fréquentés.
Les initiatives des opérateurs sont quelquefois anarchiques voir incohérentes avec peu d’évaluations qualitatives et quantitatives.
Leur mise en œuvre résulte d’un manque de concertation entre les différents acteurs du territoire.
Cette démarche à destination des jeunes ne conduit-elle pas à une simple juxtaposition d'actions dans tous les domaines des arts et de la culture ?
Ces propositions produisent des attitudes consuméristes qui ne facilitent pas la démarche de projet et le partenariat.
Il n’existe pas d’instance de pilotage et de suivi à l’échelon territorial afin d’assurer la mise en cohérence et la continuité des actions et de veiller au rééquilibrage sur le territoire.
Existe-t-il un projet politique permettant de mettre en œuvre les grands axes stratégiques de développement de l'éducation artistique et culturelle, sur la base de diagnostics et de bilans locaux, en portant une attention particulière aux territoires ZUS ?
L’absence de dynamique partenariale ne permet pas un égal accès de tous les jeunes aux arts et à la culture. Les actions et les budgets ne sont pas en synergie et ne peuvent donc pas initier des expérimentations et des actions innovantes.
Ce projet Co construit par les acteurs socioéducatifs, centre social Torcy Cités, Secteur Jeune de la Ville de Sedan et porté par le Centre Social Le Lac, pourrait contribuer pleinement à la réussite et à l'épanouissement de chaque jeune par la découverte de l'expérience esthétique et du plaisir qu'elle procure, par l'appropriation de savoirs, de compétences, de valeurs, et par le développement de sa créativité. Il concourrait aussi à tisser un lien social fondé sur une culture commune.
Source :
Diagnostic commun Service Jeunesse Ville, Centre social Torcy Cités et Centre Social Le Lac.
Objectif stratégique :
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire.
Objectifs généraux :
- Mise en place d’ateliers d'éducation artistique et culturelle qui ont pour ambition de viser un égal accès de tous les jeunes à l'art et à la culture, dans le respect de la liberté et des initiatives de l'ensemble des acteurs concernés.
- Impliquer les parents dans les projets artistiques et culturels de leurs enfants.
- Mise en place d’un parcours d'éducation artistique et culturelle qui a pour objectif de mettre en cohérence enseignements et actions éducatives, de les relier aux expériences personnelles, de les enrichir et de les diversifier.
- Mettre en valeur les actions menées, en leur donnant une continuité.
- Permettre aux jeunes, par l'expérience des pratiques, par la rencontre des œuvres et des artistes, par les investigations, de fonder une culture artistique personnelle, de s'initier aux différents langages de l'art et de diversifier et développer ces moyens d'expression.
- Le parcours d'éducation artistique et culturelle conjuguera l'ensemble des connaissances acquises, des pratiques expérimentées et des rencontres organisées dans les domaines des arts et de la culture, dans une complémentarité entre les temps scolaires, périscolaires et extrascolaires.
- Ce parcours contribuera pleinement à la réussite et à l'épanouissement de chaque jeune par la découverte de l'expérience esthétique et du plaisir qu'elle procure, par l'appropriation de savoirs, de compétences, de valeurs et par le développement de sa créativité. Il concourt aussi à tisser un lien social fondé sur une culture commune.
- Sa mise en œuvre résulte de la concertation entre les différents acteurs d'un territoire afin de construire une offre éducative cohérente à destination des jeunes qui aille au-delà de la simple juxtaposition d'actions, dans tous les domaines des arts et de la culture.
- Favoriser la continuité du parcours d'éducation artistique et culturelle entre les différents temps éducatifs de l'enfant.
- Compléter le parcours d'éducation artistique et culturelle mis en œuvre par l’Éducation Nationale en s’appuyant sur la circulaire n° 2013-073 du 3-5-2013 qui formalise, dans une démarche partenariale associant structures ou acteurs culturels et milieux socioéducatifs, notamment ceux de l'éducation populaire (MJC Calonne, Centre social Torcy Cités, Secteur Jeune de la Ville de Sedan).
- Proposer un parcours d'éducation artistique et culturelle en lien avec les politiques éducatives territoriales et les politiques de développement culturel que mènent les collectivités territoriales.
- Ces actions s'inscriront dans une démarche de projet avec les acteurs socioéducatifs (MJC Calonne, Centre social Torcy Cités, Secteur Jeune de la Ville de Sedan). Leurs contenus rechercheront la complémentarité des trois piliers de l'éducation artistique et culturelle.
- Elles prendront la forme d’ateliers artistiques dans les domaines de la musique (percussions), de la danse (africaine), ou du théâtre, etc…
- Mettre en œuvre un projet Co construit dans une logique de territoire éducatif.
- S'impliquer dans un projet artistique d'envergure ne pouvant se développer que dans le cadre de mutualisations formalisées.
- Participer au renforcement du lien entre les activités menées sur le temps scolaire et les expériences personnelles menées sur le temps extrascolaire, en particulier si le territoire prévoit la mise en place d’un Projet Educatif Territorial (PEDT).
Objectif opérationnel :
Adapter et renforcer les services existants.
Utiliser des ateliers d'éducation artistique et culturelle dans les domaines de la musique (percussions), de la danse (africaine) ou du théâtre, etc… au bénéfice des enfants et de leurs parents qui habitent la ZUS du Lac, de Torcy, du centre ancien, pour créer une œuvre collective (spectacle…).
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Commune
- Etat
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Déroulement :
Le parcours d'éducation artistique et culturelle conjuguera l'ensemble des connaissances acquises, des pratiques expérimentées et des rencontres organisées dans les domaines des arts et de la culture, dans une complémentarité entre les temps scolaires, périscolaires et extrascolaires.
Le projet des ateliers d'éducation artistique et culturelle sera donc présenté aux enseignants, aux animateurs qui accueillent les enfants dans les différents temps. Une rencontre sera organisée avec la conseillère pédagogique de l’Éducation Nationale afin qu’elle présente le parcours d'éducation artistique et culturelle mis en œuvre dans les écoles, par les enseignants.
Cet échange consolidera la complémentarité entre les différents temps et devrait permettre de futures coopérations dans une démarche de coéducation.
Il s’organisera aussi autour de créations sur plusieurs territoires qui, progressivement, n’en deviendra plus qu’un.
Des transversalités seront aussi élaborées en direction du projet « un artiste dans la ville » mis en œuvre par la MJC Calonne et la médiathèque de Sedan.
Des rassemblements seront organisés tout au long de l’année avec les publics du Centre social Torcy, le Secteur Jeune de la Ville de Sedan et le Centre Social Le Lac afin d’élaborer un spectacle commun. Il sera présenté aux habitants de la ville de Sedan, à la fin de l’année 2014.
Des ateliers communs (parents, enfants, parents/enfants) seront organisés avec les enfants et les jeunes des différentes structures.
Au-delà des ateliers, l’animateur spécialisé dans les activités d'éducation artistique et culturelle accompagnera, tout au long de l’année 2014, des groupes (parents, enfants, parents/enfants), des différentes structures, aux spectacles, expositions… organisées par la MJC Calonne et la médiathèque de Sedan…
Un animateur spécialisé dans les activités d'éducation artistique et culturelle sera recruté par le Centre Social Le Lac, sur la base de 35 heures. Il animera différents ateliers au Centre social Torcy Cités, Secteur Jeune de la Ville de Sedan et Centre Social Le Lac.
Pour la première fois dans l’histoire de ces structures, une mutualisation d’un salarié permettra d’atténuer les phénomènes quelquefois négatifs d’appartenance territoriale de certains habitants et particulièrement des jeunes.
Pour la première fois dans l’histoire de ces structures, une mutualisation du matériel pédagogique sera mise en œuvre quotidiennement.
Pour la première fois dans l’histoire de ces structures, une convergence sera mise en œuvre en transversalité avec d’autres projets financés conjointement par le CUCS et le FACEJ ZUS dans le cadre d’un projet intitulé « un artiste dans la ville ».
L’intervention d’un animateur spécialisé dans les activités d’éducation artistique et culturelle favorisera les initiatives de terrain et fera de chaque animateur, quelle que soit la structure dans laquelle il est salarié, un acteur de ce projet avec son propre public.
Chaque projet artistique et culturel sera unique, mais transversal, car sera le fruit du partenariat entre chaque animateur, quelle que soit la structure dans laquelle il est salarié et le même animateur spécialisé dans les activités d’éducation artistique et culturelle. Ensemble, ils feront appel à l’initiative des familles.
On peut comparer cette initiative à une résidence d’artistes, sur plusieurs mois.
En effet, le projet s’organisera aussi autour de créations sur plusieurs territoires qui, progressivement, n’en deviendra plus qu’un.
De ce fait, le projet répondra aussi à la devise du maire de Sedan « la ville est une et indivisible ».
Il aura plusieurs missions : de création, de diffusion et de sensibilisation. La rencontre avec une œuvre par la découverte d’un processus de création, la pratique culturelle à travers la mise en relation avec les différents champs du savoir et la construction d’un jugement esthétique.
Les ateliers artistiques seront :
- Des lieux d’une pratique critique effective, approfondie, créative et réflexive.
- Des lieux de rencontres essentiels entre le monde de l’animation et celui de la création, entre les animateurs et les professionnels de l’art, entre l’enseignement artistique et l’action culturelle.
- Des éléments essentiels du développement et de la diversification des activités artistiques.
- Des espaces d’innovation pédagogique et d’engagement artistique.
- Des voies de rencontre entre des acteurs socioéducatifs, MJC Calonne, centre social Torcy Cités, Secteur Jeune de la Ville de Sedan, Centre Social Le Lac et leur environnement artistique et culturel.
Les ateliers artistiques auront les caractéristiques suivantes :
- Être centrés sur la pratique.
- Être ouverts sur l’environnement culturel.
- Intégrer les nouvelles technologies.
- Être installés dans des locaux adaptés et équipés spécifiquement.
Les moyens mis en œuvre :
Un animateur spécialisé dans les activités d'éducation artistique et culturelle sera recruté par le Centre Le Lac sur la base de 35 heures. Il animera différents ateliers au Centre social Torcy Cités, Secteur Jeune de la Ville de Sedan et Centre Social Le Lac.
Salle spécifique dans chaque structure (Centre social Torcy Cités et du Lac, Secteur Jeune de la Ville de Sedan).
Matériel pédagogique (percussions, échasses, cirque…) des trois structures.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
5 salariés - 100 bénévoles -
- Résultat sur le territoire
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire.
- Résultat pour le centre social
Utiliser des ateliers d'éducation artistique et culturelle dans les domaines de la musique (percussions), de la danse (africaine) ou du théâtre, etc… au bénéfice des enfants et de leurs parents qui habitent la ZUS du Lac, de Torcy, du centre ancien, pour créer une œuvre collective (spectacle…).
- Résultat pour les habitants
- Des lieux d’une pratique critique effective, approfondie, créative et réflexive.
- Des lieux de rencontres essentiels entre le monde de l’animation et celui de la création, entre les animateurs et les professionnels de l’art, entre l’enseignement artistique et l’action culturelle.
- Des éléments essentiels du développement et de la diversification des activités artistiques.
- Suite de l'action : Limites
Importantes difficultés à mobiliser les habitants dans la durée.
- Suite de l'action : Perspectives
L’implication des différents publics, des animateurs, de l’animateur spécialisé dans les activités d'éducation artistique et culturelle, dans les différents ateliers, ainsi que les productions et œuvres créées dans le cadre de ces ateliers, seront mises en valeur par le biais d’expositions et de présentations publiques.
Actions
Logithèque
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- éducation / scolarité
- Emploi, économie
- Résumé
Lutter contre la fracture numérique qui peut fragiliser la société qui n’a plus le temps de faire de l’innovation technologique un apprentissage social.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence :
Avec une proportion de non diplômés et de ménages non imposés, deux fois supérieure dans la ZUS du Lac, le quartier présente des risques élevés d’une forte fracture numérique.
Le niveau d’équipements à domicile (ordinateurs et abonnement) est inférieur dans la ZUS du Lac.
Les freins économiques à l’acquisition de l’équipement demeurent une des raisons majeures.
Les habitants interrogés à ce sujet expliquent qu’il s’agit avant tout d’un problème de coût.
Les pratiques et usages numériques marquent une nette fracture et sont générateurs d’exclusion.
Plus que sur les réseaux et les équipements, ce sont dans les usages que nos équipes de salariés ont observé une fracture numérique importante par rapport au reste de la population.
Certaines évolutions sociales, communes à de nombreux territoires, interrogent et/ou ont un impact sur la notion de « vivre ensemble ».
Le développement des nouvelles technologies modifie également les formes du lien social et réinterroge les notions de proximité et de voisinage. Plus globalement, l'accélération du changement technologique peut fragiliser la société qui n'a plus le temps de faire de cette innovation technologique un apprentissage social.
Source :
(Extrait du diagnostic du bilan contrat de projet 2010-2014).
(Extrait de la circulaire relative à l’animation de la vie sociale 2012).
Objectif stratégique :
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
Objectifs généraux :
Lutter contre la fracture numérique qui peut fragiliser la société qui n’a plus le temps de faire de l’innovation technologique un apprentissage social.
Objectifs opérationnels :
Adapter et renforcer les services existants.
- Organiser des ateliers d’initiation et de formation aux nouvelles technologies au bénéfice des familles, en particulier les plus vulnérables, car leur engagement dans une activité sociale est souvent difficile.
- Accès et initiation.
- Apprentissage, initiation à internet.
- Utiliser des CD-Rom éducatifs pour une remédiation de la lecture et de l'écriture.
- Apporter à chaque participant la compréhension des mécanismes de fonctionnement d'internet.
- Découvrir les principaux outils de connexion et de recherche d'informations.
- Utiliser la messagerie électronique.
- Etre capable d'assurer la saisie, la mise en forme, l’impression et l'archivage de documents dans le pack office de Microsoft ou de Libre Office.
Résultats attendus de l’action :
- Réduction du nombre d’adhérents de notre territoire d’intervention n’utilisant pas internet.
- Sensibilisation du plus grand nombre aux bonnes pratiques, en référence aux finalités du Centre Social Le Lac.
- Amélioration des usages pour améliorer les conditions de vie, le développement de l’éducation et de l’expression culturelle, la prévention et la réduction des exclusions…
- Utilisation des nouvelles technologies dans le cadre d’un apprentissage social.
- Participation à une activité collective des habitants de différentes générations.
- Réponse aux besoins des habitants.
- Insertion sociale d’un maximum de familles dans l’environnement des nouvelles technologies pour favoriser les liens sociaux et la cohésion sociale, en référence aux finalités du centre social.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- Etat
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Déroulement :
La logithèque, le cyberbase, Informatique pour tous.
Création de multiples actions dédiées à la micro-informatique, internet et aux multimédias au bénéfice de familles défavorisées de la ville du territoire d’intervention. Elles s'adresseront à des publics qui sont à l'écart du développement de la société, de l'information et de la communication. Deux espaces ont été créés : la logithèque et le cyberbase.
Afin d'éviter la reproduction de pratique d'exclusion sociale, les structures seront ouvertes à un large public sans limite, en termes d'âge, de catégories socioprofessionnelles, d'origine culturelle. Elles viseront ainsi à favoriser la mixité sociale, la rencontre, l'éco- apprentissage.
Le recours à l'outil informatique se présente comme un plus dans le cadre des missions du Centre Social Le Lac pour servir l'accompagnement des publics défavorisés : soutien à l'alphabétisation, accompagnement scolaire, recherche d'emploi, apprentissage d'initiation à l'usage d'internet, communication (mails, chats, etc...).
La nouvelle maison de quartier :
Un cahier des charges sera élaboré sur le schéma d'agencement avec les dirigeants, les salariés, les adhérents. Il permettra d’améliorer l’accueil, source de lien social et de convivialité.
Le recensement des besoins se révèle une étape incontournable. Il conviendra, tout d'abord, de détailler les contraintes techniques auxquelles le centre social est confronté. C'est ce qui va permettre d'organiser une continuité et une cohérence entre ce qui existe et ce qui va être créé pendant la durée du projet social et imaginé dans la future maison de quartier.
À l'issue de cette phase d'audit, le cahier des charges pourra être soumis à un architecte d'intérieur qui sera en mesure de travailler sur le schéma d’agencement de la logithèque.
Les moyens mis en œuvre :
Deux animateurs socioculturels et des animateurs bénévoles organiseront des animations, des cours, des formations…
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 salariés - 5 bénévoles -
- Résultat sur le territoire
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
- Résultat pour le centre social
Lutter contre la fracture numérique qui peut fragiliser la société qui n’a plus le temps de faire de l’innovation technologique un apprentissage social.
- Résultat pour les habitants
- Organiser des ateliers d’initiation et de formation aux nouvelles technologies au bénéfice des familles, en particulier les plus vulnérables, car leur engagement dans une activité sociale est souvent difficile.
- Suite de l'action : Limites
Cette action est principalement financée par les collectivités et le contrat de ville qui apporte un financement essentiel complémentaire.
Cependant, la précarité du dispositif remet en question régulièrement la pérennité des postes de salariés.
- Suite de l'action : Perspectives
Développer le bénévolat afin d'étendre les créneaux et accueillir plus d'habitants.
Actions
Accueil de Loisirs Sans Hébergement
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- vacances / loisirs
- Résumé
Soutenir la fonction parentale et faciliter les relations parents-enfants en utilisant le principe de la coéducation dans une structure contrôlé par les services de la D.D.C.S.P.P.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence :
Les familles monoparentales représentent une très forte proportion d’allocataires de la ZUP.
Cette situation suppose de nouvelles façons d'exercer l'autorité parentale.
Source :
(Extrait du diagnostic du bilan contrat de projet 2010-2014).
Objectif stratégique :
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
Objectifs opérationnels :
Adapter et renforcer les services existants.
- Mettre en œuvre le projet éducatif et pédagogique (horaires de fonctionnement, tranches d’âge, aménagement, accueil d’enfants à partir de deux ans, dans le futur « Pôle enfance » du Pôle enfance…) et en s’appuyant sur des activités à finalité éducative, culturelles ou de loisirs.
- Associer les parents à l’évolution et à la transformation du projet éducatif et pédagogique.
- Public
- Enfance
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Déroulement :
Les dirigeants du centre social ont souhaité que la directrice de l’ACM soit aussi la référente famille.
Cette double fonction permettra de renforcer de manière efficiente le soutien à la fonction parentale à travers de nombreuses actions. En effet, une cinquante de famille bénéficie de cette action qui s’inscrit une démarche de soutien à la parentalité.
L’ALSH dans le pôle enfance :
Un cahier des charges sera élaboré sur le schéma d'agencement avec les dirigeants, les salariés, les adhérents, la Ville de sedan, le Conseil Général, la Caisse d’Allocations Familiales… Il permettra d’améliorer l’accueil, source de lien social et de convivialité
Le recensement des besoins se révèle une étape incontournable. Il conviendra, tout d'abord, de détailler les contraintes techniques auxquelles le centre social est confronté. « C'est ce qui va permettre d'organiser une continuité et une cohérence entre ce qui existe et ce qui va être créé pendant la durée du projet social et imaginé dans le futur Pôle Enfance ».
À l'issue de cette phase d'audit, le cahier des charges pourra être soumis à un architecte d'intérieur qui sera en mesure de travailler sur le schéma d’agencement de l’ALSH.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
20 salariés - 5 personnes -
- Résultat sur le territoire
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
- Résultat pour le centre social
Adapter et renforcer les services existants.
- Mettre en œuvre le projet éducatif et pédagogique (horaires de fonctionnement, tranches d’âge, aménagement, accueil d’enfants à partir de deux ans, dans le futur « Pôle enfance » du Pôle enfance…) et en s’appuyant sur des activités à finalité éducative, culturelles ou de loisirs.
- Résultat pour les habitants
- Associer les parents à l’évolution et à la transformation du projet éducatif et pédagogique.
- Suite de l'action : Limites
Importantes difficultés à mobiliser les parents dans la durée.
- Suite de l'action : Perspectives
- Associer les parents à l’évolution et à la transformation du projet éducatif et pédagogique.
Actions
Contrats Locaux d'Accompagnement à la Scolarité
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Résumé
- Accompagner les familles dans leurs responsabilités éducatives et valoriser leurs compétences parentales dans le dispositif Contrats Locaux d’Accompagnement à la Scolarité contrôlé par l’ACSE et la Caisse d’Allocations Familiales des Ardennes.
- Renforcer le lien entre familles et école
- Faciliter l’accès au savoir des jeunes par des approches différentes de l’école et fournir un appui qu’ils ne trouvent pas toujours dans leur environnement familial et social
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence :
Les élèves résidant en ZUS sont nettement plus souvent issus de catégories sociales défavorisées que les autres élèves résidant dans leur unité urbaine. L’inactivité professionnelle (notamment féminine) des parents, y est aussi plus importante. Ces phénomènes peuvent expliquer le moindre recours à la demi-pension. En termes d’orientation, les élèves résidant en ZUS sont deux fois moins nombreux en 1ère générale et s’orientent majoritairement vers les filières professionnelles. Résider en ZUS atténue les différences d’orientation observées par âge ou PCS, mais renforce celles liées au sexe. Le retard scolaire est au collège plus fréquent pour les élèves résidant en ZUS que pour les collégiens résidant en unités urbaines englobantes. Enfin, les établissements ayant une plus forte part d’élèves de ZUS enregistrent des résultats, en moyenne, plus faibles aux examens, et ce, même en prenant en compte les spécificités liées à l’environnement social des établissements (à l’exception notable des filières S et ES).
Source :
(Rapport ONZUS 2013)
Le collège Le Lac bénéficie, en 2014, d’un Réseau d’Education Prioritaire Renforcé.
Source :
Journal l’Union
Le ministère chargé de l’Education Nationale a, à cette fin, construit un indice social permettant de mesurer les difficultés rencontrées par les élèves et leurs parents, et leurs conséquences sur les apprentissages. Cet indice prend en compte la part d’élèves dont les parents appartiennent aux catégories socioprofessionnelles défavorisées, la part d’élèves boursiers, la part d’élèves résidant en zones urbaines sensibles et la part d’élèves arrivant en sixième avec au moins un an de retard.
Source :
(Ministère de l’Education Nationale)
Objectifs stratégiques :
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
Objectifs opérationnels :
Adapter et renforcer les services existants.
Par des stratégies diversifiées et une pédagogie du détour, l’accompagnement à la scolarité visera à :
Soutient à la fonction parentale
- Aider les jeunes par l’acquisition des méthodes et approches susceptibles de faciliter la réalisation de leur travail scolaire.
- L’acquisition des savoirs (savoir-être, savoir-faire).
- Élargir les centres d’intérêt des enfants et adolescents, promouvoir leur apprentissage de la citoyenneté par une ouverture sur les ressources culturelles, sociales et économiques de la ville ou l’environnement proche.
- Valoriser leurs acquis afin de renforcer leur autonomie personnelle et leur capacité de vie collective, notamment par la pratique de l’entraide et de l’encouragement du tutorat entre les jeunes.
Résultats attendus de l’action :
- Prise de conscience des familles de leurs responsabilités éducatives.
- Valorisation de leurs compétences parentales.
- Validation de la définition de la parentalité avec l’ensemble des Co éducateurs, à savoir « un ensemble de savoir-être et de savoir-faire qui se déclinent au fil des situations quotidiennes en différentes postures, paroles, actes et plaisirs, en reconnaissance de l’enfant, mais aussi en autorité, en exigence et en continuité ».
- Amélioration des résultats scolaires.
- Regard positif des enfants et des parents sur le système scolaire.
- Coopération entre tous les Co éducateurs (parents, enseignants, salariés du centre social…).
- Public
- Enfance
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Caf
- Commune
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Le projet Clas vise à fournir aux enfants et aux jeunes des méthodes et des approches susceptibles de faciliter l’acquisition des savoirs et de développer leur autonomie :
Par un appui et une aide méthodologique
Par une aide au travail personnel
Par un accompagnement à l’usage du numérique
Par des activités scientifiques et techniques
Par des jeux éducatifs
Le projet Clas vise à élargir les centres d’intérêt des jeunes et promouvoir leur apprentissage de la citoyenneté par une ouverture sur les ressources culturelles sociales et économiques de la ville et de son environnement :
En créant des contextes de recherche, d’informations, débats
En développant des capacités de vie collective
En mobilisant la pédagogie de « détour » par des activités ludiques, artistiques, culturelles ou sportives
En proposant des sorties et visites (accompagner vers des centres ressources en vue d’une ouverture sur les ressources culturelles, sociales de la ville ou de l’environnement proche
Le projet Clas vise à mettre en valeur les compétences et acquis des enfants et des jeunes :
Par la présentation des actions conduites par les enfants
Par l’organisation et l’encouragement de l’entraide au sein du groupe
Par l’organisation d’activités liées à la citoyenneté
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
20 salariés - 5 bénévoles -
- Résultat sur le territoire
- Prise de conscience des familles de leurs responsabilités éducatives.
- Valorisation de leurs compétences parentales.
- Validation de la définition de la parentalité avec l’ensemble des Co éducateurs, à savoir « un ensemble de savoir-être et de savoir-faire qui se déclinent au fil des situations quotidiennes en différentes postures, paroles, actes et plaisirs, en reconnaissance de l’enfant, mais aussi en autorité, en exigence et en continuité ».
- Résultat pour le centre social
- Coopération entre tous les Co éducateurs (parents, enseignants, salariés du centre social…).
- Résultat pour les habitants
- Amélioration des résultats scolaires.
- Regard positif des enfants et des parents sur le système scolaire.
- Suite de l'action : Limites
Malgré un excellent partenariat avec les enseignants et l'Education Nationale en général, il est pratiquement impossible d'organiser des réunions de travail communes permettant la coconstruction du projet et des actions éducatives.
- Suite de l'action : Perspectives
Renforcer la formation des animateurs afin qu'ils bénéficient d'un CQP.
Actions
Ludothèque
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Résumé
La ludothèque se définit comme un espace culturel, une institution socio-éducative, un lieu d’animation autour du jeu et du jouet.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence au diagnostic précédent :
Les familles monoparentales représentent une très forte proportion d’allocataires de la ZUP.
Cette situation suppose de nouvelles façons d'exercer l'autorité parentale.
Source :
Extrait du diagnostic « familles monoparentales ».
Statistiques Caisse d’Allocations Familiales
Objectifs stratégiques :
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
Objectifs généraux :
Favoriser le lien parents/enfants.
Revaloriser les parents dans leur fonction parentale
Favoriser la solidarité entre parents et les échanges d’expériences
La Ludothèque favorisera l’expérimentation, la socialisation, l’éducation, l’intégration, l’appropriation de la culture.
Elle se définit comme un espace culturel, une institution socio-éducative, un lieu d’animation autour du jeu et du jouet.
Objectifs opérationnels
Adapter et renforcer les services existants.
Cet espace dédié aux jeux et aux jouets permettra le prêt et le jeu sur place.
Résultats attendus de l’action :
- Avoir du personnel salarié diplômé. Avoir du personnel en nombre suffisant en fonction du projet et des activités. Avoir du personnel qualifié dans les domaines d’activités exercées.
- Avoir le jeu et le jouet au centre de tout projet et de toute action entreprise en Ludothèque. Promouvoir l’activité ludique et faire partager le plaisir de jouer. Favoriser et promouvoir le jeu libre (libre choix du matériel, de son utilisation et de ses partenaires de jeu), Valoriser le patrimoine ludique en possédant des jeux de différentes époques et de différentes cultures. Permettre aux adhérents d’expérimenter une grande diversité de jeux pour favoriser l’esprit critique. Préserver le jeu des récupérations pédagogiques, thérapeutiques, commerciales, idéologiques… Etre vigilant à maintenir la neutralité du lieu ludothèque. S’informer sur les conditions de fabrication des jeux et jouets.
- Avoir un règlement intérieur. Avoir des jours et heures d’ouverture réguliers adaptés aux publics visés et aux projets. Etablir un emploi du temps : ouverture aux publics, accueil de l’ALSH et du CLAS du Centre Social Le Lac, interventions extérieures, manifestations, rangement, entretien…
- Avoir des tarifs (adhésion, prêt) accessibles à tous. Avoir des temps spécifiques et suffisants pour la sélection, la découverte, l’apprentissage, la préparation et la gestion du matériel ludique, l’aménagement des lieux… Avoir une gestion rigoureuse et statistique de la fréquentation des publics, des prêts, des adhésions… Avoir une adéquation entre projets et budgets et réaliser un rapport annuel d’activités.
- Avoir une bonne connaissance matérielle, technique, psychologique, pédagogique, historique, culturelle des jeux et jouets et actualiser ses connaissances. Avoir du matériel ludique diversifié, en quantité suffisante en fonction des projets, des activités et des publics accueillis. Proposer du matériel ludique conforme aux normes de sécurité. Avoir des jeux et jouets en bon état, complets, bien conditionnés et propres.
- Préparer la mise en service des jeux et jouets : protection, cotation, inventaire, enregistrement, marquage, apprentissage… Utiliser une classification commune aux ludothèques pour analyser le matériel ludique. Utiliser une méthode de rangement des jeux et jouets adaptée aux publics (repérage simple et accessibilité). Gérer le stock de jeux et jouets de l’achat à la mise hors service (connaissance de l’état du stock, renouvellement régulier…). Faire connaître, promouvoir et valoriser tous les éléments du fond de jeux/jouets. Connaître les différents réseaux de fabrication, d’édition, de distribution du matériel ludique et les auteurs de jeux
- Savoir présenter la Ludothèque et son fonctionnement. Diffuser une plaquette de présentation de la Ludothèque et de son fonctionnement. Avoir une bonne signalisation permettant de localiser la Ludothèque. Afficher diverses informations sur le fonctionnement à l’entrée et à l’intérieur de la Ludothèque et du Centre Social Le Lac. Figurer dans les répertoires accessibles au public sous la dénomination Ludothèque et dans les répertoires professionnels. Organiser des manifestations ouvertes à tous et participer aux événements de la vie locale dans le but de promouvoir la Ludothèque.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Déroulement :
Les deux salariés de la Ludothèque proposeront quatre types de service :
- Le jeu sur place libre ou animé ;
- Le prêt des jeux ou jouets gratuits et payants ;
- L’organisation de manifestations, création d’animations thématiques autour du jeu et du jouet.
- Du conseil et de l’information sur les jeux, les jouets et la mise en jeu.
Les deux salariés de la Ludothèque organiseront des ateliers de fabrication et de création de jeux, des formations sur le jeu, le jouet et l’activité ludique. Mise en œuvre de services itinérants dans d’autres quartiers de la Ville de Sedan.
Les deux salariés de la Ludothèque interviendront dans les nouvelles activités périscolaires. Par ce biais, le Centre Social Le Lac s’impliquera dans la réforme des temps éducatifs et pédagogiques des établissements maternels et élémentaires. Il accompagnera cette réforme dans le respect de ses objectifs propres. Les dirigeants du Centre Social Le Lac sont heureux d’aider à la concordance globale des enjeux autour de la réforme des rythmes éducatifs et au développement d’activités périscolaires de qualité.
La Ludothèque dans le pôle enfance :
- Les dirigeants et les salariés proposeront des locaux réservés uniquement à la Ludothèque qui disposeront d’un espace extérieur de jeu.
- Les dirigeants et les salariés proposeront une superficie suffisante en fonction des activités et des publics accueillis.
- Les dirigeants et les salariés proposeront les types de locaux nécessaires pour le fonctionnement de la structure (locaux pour l’accueil du public, locaux techniques, administratifs, sanitaires…).
Les dirigeants et les salariés faciliteront l’accès de la Ludothèque aux publics : proximité des lieux d’habitation, transports en commun, parking…
- Les dirigeants et les salariés proposeront des locaux accessibles à tous (fauteuils roulants, landaus, etc…).
- Les dirigeants et les salariés proposeront des locaux clairs, insonorisés, isolés, aérés…
- Les dirigeants, les salariés, les usagers respecteront les règles de sécurité et d’hygiène.
- Les dirigeants et les salariés aménageront les espaces ouverts au public en fonction des âges, des types d’activités et des services offerts.
- Les dirigeants et les salariés proposeront du mobilier modulable et fonctionnel, adapté aux différents publics, aux jeux, aux activités.
- Les dirigeants, les salariés, les usagers proposeront des locaux attrayants (couleurs, éléments décoratifs, esthétique du mobilier, propres, rangés …).
Un cahier des charges sera élaboré sur le schéma d'agencement avec les dirigeants, les salariés, les adhérents, la Ville de Sedan, le Conseil Général, la Caisse d’Allocations Familiales… Il permettra d’améliorer l’accueil, source de lien social et de convivialité.
Le recensement des besoins se révèle une étape incontournable. Il conviendra, tout d'abord, de détailler les contraintes techniques auxquelles le centre social est confronté. C'est ce qui va permettre d'organiser une continuité et une cohérence entre ce qui existe et ce qui va être créé pendant la durée du projet social et imaginé dans le futur Pôle Enfance.
À l'issue de cette phase d'audit, le cahier des charges pourra être soumis à un architecte d'intérieur qui sera en mesure de travailler sur le schéma d’agencement de la Ludothèque.
Moyens mis en œuvre :
- Les deux salariés de la Ludothèque accueilleront les différents publics sans discrimination d’âges, de cultures, de handicaps…
- Ils favoriseront les rencontres et les échanges entre ces publics.
- Ils seront à l’écoute des attentes des différents publics et sauront s’adapter à leurs demandes.
- Ils auront des connaissances sur le développement de l’enfant, la psychologie de la personne, les particularités des publics spécifiques.
- Ils respecteront le rythme et les compétences des publics dans leur appropriation du jeu.
- Ils responsabiliseront le public dans l’utilisation du jeu et du lieu.
- Ils permettront aux joueurs le partage des connaissances et des savoir-faire concernant les jeux.
- Ils favoriseront la relation parents/enfants par la pratique du jeu.
- Ils iront à la rencontre de nouveaux publics.
- Ils favoriseront l’implication des adhérents dans la vie de la Ludothèque (établissement d’un règlement intérieur, achats de nouveaux jeux…).
- Les deux salariés de la ludothèque seront disponibles et auront une attitude accueillante.
- Ils présenteront les règles de vie et le fonctionnement de la Ludothèque.
- Ils auront une bonne connaissance du public pour personnaliser l’accueil.
- Ils aménageront l’espace, sélectionneront et prépareront les jeux en fonction des publics attendus.
- Ils seront attentifs à ce qui se passe, observeront et créeront les conditions permettant à chacun de trouver sa place dans le respect des autres.
- Ils feront preuve de souplesse en s’adaptant au cas par cas tout en faisant respecter le règlement intérieur.
- Ils sauront écouter sans jugement et rester discret.
- Ils auront le souci de rester dans leur rôle de ludothécaire et, en fonction des demandes, orienteront vers d’autres professionnels.
- Ils sauront être non interventionnistes, respecteront le jeu et le non-jeu.
- Ils sauront jouer avec les jeux, les présenter, transmettre les règles et les adapter aux différents publics (âges, handicaps…) et aux différentes situations.
Ils seront garants des règles des jeux, de la règle du lieu et seront vigilants sur le respect entre joueurs.
Le directeur définira les rôles, les tâches et les responsabilités de chacun. Il favorisera la complémentarité des compétences et la mixité. Il créera une dynamique d’équipe et motivera le personnel. Les deux salariés de la Ludothèque participeront à des actions de formation continue dans les domaines du jeu, du jouet et des ludothèques. Ils assisteront à des réunions d’équipe régulières avec le directeur du Centre Social Le Lac. Le Directeur favorisera la stabilité de l’équipe.
Les dirigeants du Centre Social Le Lac affirmeront son identité Ludothèque vis à vis des partenaires. Ils participeront activement au réseau des ludothèques, développeront les échanges et mettront en place des actions communes.
Ils seront affiliés au réseau national des ludothèques. Ils identifieront les partenaires (institutionnels et associatifs) potentiels sur le secteur géographique d’implantation, connaîtront leur fonctionnement et leurs missions.
Ils se feront connaître auprès de ces partenaires potentiels en entrant en relation avec les diverses institutions et structures de l’environnement de la Ludothèque. Ils identifieront les différents financeurs possibles, leurs domaines d’intervention et leurs exigences.
Ils auront connaissance des orientations et des choix politiques des collectivités territoriales (communes, départements, régions). Ils connaîtront l’environnement socioculturel et éducatif et se situeront dans la complémentarité.
Ils développeront des partenariats avec d’autres structures en construisant des projets communs ou en participant à des activités qu’ils mettront en place. Ils établiront des liens, voire des partenariats, avec les professionnels du jeu et du jouet (créateurs, distributeurs, fabricants…).
Ils définiront la place et les actions de chacun dans le partenariat.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 salariés - 3 bénévoles -
- Résultat sur le territoire
La Ludothèque favorisera l’expérimentation, la socialisation, l’éducation, l’intégration, l’appropriation de la culture.
- Résultat pour le centre social
Favoriser les rencontres et les échanges entre différents publics sans discrimination d'âge, de culture, de handicap...
- Résultat pour les habitants
Favoriser le lien parents/enfants.
Revaloriser les parents dans leur fonction parentale
Favoriser la solidarité entre parents et les échanges d’expériences
- Suite de l'action : Limites
Importantes difficultés à mobiliser les parents dans la durée afin qu'ils s'impliquent dans le fonctionnement de la ludothèque. Ils viennent pour l'instant, consommer un service.
- Suite de l'action : Perspectives
Favoriser une implication beaucoup plus importante dans la participation des parents afin de les sortir d'une démarche purement consumériste et les amener à s'impliquer concrètement dans la gestion (règlement intérieur, projet pédagogique...).
Actions
Médiation sociale et culturelle de proximité
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
- Aider et accompagner les personnes dans leurs démarches, être une interface entre les individus et les institutions, entre les institutions elles-mêmes.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence au diagnostic :
Ainsi, une majorité de français (60%) interrogés sur les valeurs républicaines, 5 indiquent qu’en France, il y a de moins en moins de fraternité et l’expliquent par les conditions de vie difficiles qui amènent les gens à se replier sur eux-mêmes (47%), par la crise économique qui rend les gens moins solidaires et plus individualistes (46%).
De même, l’enquête « Conditions de vie et aspirations des français » menée par le Credoc met en évidence, de manière régulière, l’attente en termes d’équipements et de services en matière de politique familiale : une forte majorité de la population (67% en 2010) continue à considérer préférable, pour mieux aider les familles, de leur distribuer des aides sous forme d’équipements et de services plutôt que des prestations monétaires. Depuis 1998, cette préconisation reste largement majoritaire dans la population et fluctue entre 62 et 70%.
C’est pourquoi l’animation de la vie sociale constitue une réponse pertinente et adaptée car son action se fonde sur une démarche globale pour répondre aux problématiques sociales collectives d’un territoire, aux besoins des habitants et aux difficultés de la vie quotidienne des familles.
Source :
(Extrait de la circulaire 2012 CAF).
Objectif stratégique :
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
Objectifs généraux
- Créer, développer ou favoriser le lien social.
- Prévenir et réguler des conflits en facilitant la mise en lien entre les personnes et les institutions et services publics.
Objectifs opérationnels :
Adapter et renforcer les services existants.
- Accueillir, écouter, orienter, faciliter le dialogue et la communication.
- Aider et accompagner les personnes dans leurs démarches, être une interface entre les individus et les institutions, entre les institutions elles-mêmes.
- Réguler les tensions, les conflits entre individus, entre individus et institutions et contribuer à améliorer ou à préserver le cadre de vie.
- Susciter des projets, organiser et prendre en charge des activités permettant de créer du lien social.
- Animer et contribuer à renforcer la vie sociale et associative de proximité et s’inscrire dans des partenariats sur un territoire.
Résultats attendus de l’action :
- Une contribution active à la cohésion sociale et à la tranquillité publique.
- Le renforcement de l'implication des autres professionnels de proximité pour une coopération.
- L’augmentation de la fréquentation des équipements ou des services dans la ville de Sedan.
- La réduction des délais d'intervention ou de prise en charge de certains problèmes.
- Le signalement et la prise en compte de personnes en difficulté, avec une régularisation de droits.
- La réduction du nombre de réclamations des usagers et la baisse des plaintes ou procédures contentieuses.
- La diminution des conflits enseignants-parents d’élèves et la réduction de l’absentéisme scolaire.
- L’amélioration du cadre de vie, la responsabilisation accrue des usagers.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Déroulement :
Les médiateurs culturels viseront à développer l’autonomie des personnes par une fonction d’interface entre les populations et les institutions, autour d’un objectif principal concernant l’accès aux droits et leur reconnaissance, pour des populations en difficulté d’insertion sociale et culturelle.
Ils amélioreront le dialogue et participeront au renforcement des liens entre l’institution scolaire, les élèves et leur famille. Ils réguleront les conflits, préviendront l’absentéisme et contribueront à améliorer la réussite éducative. Ils fluidifieront une démarche d’information et de prévention, de médiation entre les personnes et les praticiens de la santé, visant à améliorer l’accès aux soins des personnes en difficulté d’insertion sociale et culturelle.
Les médiateurs culturels, en rapport avec les services publics par une démarche d’écoute, d’information et d’accompagnement, viseront à faciliter l’accès aux services publics des personnes éprouvant des difficultés à bien les utiliser pour des raisons liées un niveau modeste d’instruction, à une mauvaise maîtrise de la langue française ou à des difficultés économiques et sociales.
Ils seront conduits à travailler avec de nombreux partenaires, que cela soit en amont ou en aval de leurs interventions, ce qui témoignera, à la fois, de leur reconnaissance par les différents métiers de l’humain et de l’importance des passages de relais pour une prise en charge adaptée des publics et des situations.
Dans le quartier du lac, les travailleurs sociaux (assistants de service social, mais également éducateurs spécialisés, voire conseillers en économie sociale et familiale) constitueront les principaux partenaires des médiateurs sociaux, suivis des personnels de l’Education Nationale, des services municipaux, des bailleurs sociaux, des éducateurs spécialisés, des coordonnateurs de conseil local de sécurité et de prévention de la délinquance, des services sanitaires ou encore d’associations locales.
Moyens mis en œuvre :
Trois animateurs socioculturels interviendront sur le territoire d’intervention du Centre Social Le Lac à raison de trente-cinq heures par semaine. Ils auront un statut d’adulte-relais.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 adultes relais -
- Résultat sur le territoire
- Susciter des projets, organiser et prendre en charge des activités permettant de créer du lien social.
- Animer et contribuer à renforcer la vie sociale et associative de proximité et s’inscrire dans des partenariats sur un territoire.
- Résultat pour le centre social
- Accueillir, écouter, orienter, faciliter le dialogue et la communication.
- Aider et accompagner les personnes dans leurs démarches, être une interface entre les individus et les institutions, entre les institutions elles-mêmes.
- Résultat pour les habitants
- Réguler les tensions, les conflits entre individus, entre individus et institutions et contribuer à améliorer ou à préserver le cadre de vie.
- Suite de l'action : Limites
En raison des conditions de vie difficiles les habitants auraient tendance à se replier sur eux-mêmes et les conduire à plus d'individualisme. Il est extrêmement difficile de les mobiliser pour des actions d'intérêt général et collectives.
- Suite de l'action : Perspectives
Renforcer l'implication des professionnels de l'action sociale pour une plus grande coopération.
Actions
A la conquête du monde des adonaissants
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Résumé
- Accompagner les jeunes dans une démarche de projet, les aider à entreprendre. Renforcer le lien social entre les jeunes, les familles, les associations pour plus de mixité sociale et intergénérationnelle.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence au diagnostic :
De nombreux jeunes n’ont pu être accueillis, tout au long de l’année, en raison de l’insuffisance de salariés sur ce secteur.
La fermeture de l’Accueil jeune au mois d’août laisse les jeunes du quartier désœuvrés.
La réalité du terrain « urgence des situations », absence de personnel médico-social ou difficulté à les joindre, nous a amenés, souvent, à nous substituer aux autres professionnels.
Afin de répondre à toutes les sollicitations, il serait souhaitable de créer des postes supplémentaires pour accompagner l’animateur de l’Accueil Jeune dans son action.
Des moyens financiers supplémentaires permettraient l’intervention d’intervenants spécialisés dans divers domaines (santé, prévention, délinquance…).
Une équipe plus étoffée permettrait l’organisation de séjours collectifs qui sont des outils pédagogiques essentiels pour développer la vie en collectivité, le respect de l’autre, la coopération autour d’un projet commun.
Le retard scolaire est, au collège, plus fréquent pour les élèves résidant en ZUS que pour les collégiens résidant en unités urbaines englobantes. Enfin, les établissements ayant une plus forte part d’élèves de ZUS enregistrent des résultats, en moyenne, plus faibles aux examens, et ce, même en prenant en compte les spécificités liées à l’environnement social des établissements (à l’exception notable des filières S et ES).
Source :
(Rapport ONZUS 2013)
Le collège le lac bénéficie, en 2014, d’un Réseau d’Education Prioritaire Renforcé.
Source :
Site de l’Education Nationale,
Objectif stratégique :
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
Objectifs généraux :
- Encourager l’apprentissage et l’exercice de la citoyenneté chez les jeunes.
- Favoriser l’égalité entre les filles et les garçons.
- Accompagner les jeunes dans une démarche de projet, les aider à entreprendre. Renforcer le lien social entre les jeunes, les familles, les associations pour plus de mixité sociale et intergénérationnelle.
- Définir un programme d’éducation à la santé et à la citoyenneté : éducation nutritionnelle, éducation à la sexualité, prévention des conduites addictives…
Objectifs opérationnels :
Adapter et renforcer les services existants.
- Élaborer, avec les jeunes, des projets culturels, sportifs, des projets de départ en vacances, de loisirs.
- Aider les jeunes par l’acquisition des méthodes et approches susceptibles de faciliter la réalisation de leur travail scolaire, dans le cadre des CLAS.
- Apporter un soutien aux parents de jeunes en difficulté.
- Suivre la santé des adolescents.
- Organiser des actions de prévention (bilan de santé…).
- Faire la promotion de l'activité physique pour lutter contre la sédentarité.
- Leur faire acquérir des connaissances et développer leur esprit critique.
- Les rendre capables de faire des choix responsables et d’être autonomes.
Résultats attendus de l’action :
- Créer une junior association.
- Acquisition d’une culture de l’égalité entre les sexes, du respect et de l’égalité entre les filles et les garçons.
- Imaginer des dérivatifs pédagogiques pour sortir des activités de consommation.
- Utiliser les activités de consommation dans le cadre d’une pédagogie du détournement pour favoriser l’engagement citoyen et l’intérêt général.
- Inciter les parents à jouer leur rôle d’éducateurs, relais de l’éducation citoyenne.
- Prise de conscience des familles de leurs responsabilités éducatives.
- Valorisation de leurs compétences parentales.
- Promouvoir la participation et inciter les jeunes à participer aux débats parents/jeunes.
- Implication encore plus importante des jeunes dans l’organisation de leurs activités.
- Validation de la définition de la parentalité avec l’ensemble des Co-éducateurs, à savoir « un ensemble de savoir-être et de savoir-faire qui se décline au fil des situations quotidiennes, en différentes postures, paroles, actes et plaisirs, en reconnaissance des adolescents, mais aussi en autorité, en exigence et en continuité ».
- Amélioration des résultats scolaires.
- Regard positif des adolescents et des parents sur le système scolaire.
- Coopération entre tous les Co-éducateurs (parents, enseignants, salariés du centre social…).
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Déroulement :
Créer un lieu de vie, de référence et de repère, de rencontres, de convivialité, de convergence et de rayonnement de l’information, un lieu d’apprentissage, de confrontations, de reconnaissance et de valorisation.
Assurer un rôle de référent, de lien en permanence, pendant les activités, dans leur préparation, sur les trajets, en dehors du temps scolaire, ouvrir les portes de la citoyenneté en permanence.
Au-delà de la visée occupationnelle, l’ensemble des activités mises en place par les animateurs référents « jeunes » visera à construire l’identité de jeunes de 11 à 17 ans. Par cette action qui s’inscrit sur le long terme, ils ne chercheront pas à imposer, mais favoriser l’éducation à la citoyenneté et amener les jeunes du quartier à vivre l’adolescence afin de faciliter le processus d’intégration et d’insertion. La mission « accueil orientation » fera des animateurs permanents, dans les locaux du Centre Social Le Lac, un lien de référence et de repères, un lieu de vie, de rencontres, de convivialité, de convergences et de rayonnement de l’information.
Les activités éducatives qu’ils mettront en œuvre favoriseront les relations jeunes et adultes. Elles seront pensées et conçues comme une fonction d’animation qui consiste à recevoir les jeunes et à les associer à la vie du centre, à la vie sociale, pour devenir un espace d’initiative et de soutien aux initiatives.
Les activités serviront de support à l’action éducative. Les projets seront lisibles et explicites et particulièrement sur les intentions éducatives et pas uniquement sur les moyens. Les activités seront l’occasion, dans leur menée, d’un dialogue, d’une négociation entre les publics et les animateurs, sur des bases adaptées aux pratiques et compétences des publics.
La nouvelle maison de quartier :
- Avoir des locaux réservés uniquement à l’Accueil Jeune.
- Avoir une superficie suffisante en fonction des activités et des publics accueillis. Avoir les types de locaux nécessaires pour le fonctionnement de la structure (locaux pour l’accueil du public, locaux techniques, administratifs, sanitaires…).
- Avoir des locaux clairs, insonorisés, isolés, aérés…
- Respecter les règles de sécurité et d’hygiène.
- Aménager les espaces ouverts au public en fonction des âges, des types d’activités et des services offerts.
- Avoir du mobilier modulable et fonctionnel, adapté aux différents publics, aux jeux, aux activités.
- Avoir des locaux attrayants (couleurs, éléments décoratifs, esthétique du mobilier, propre, rangé…).
Un cahier des charges sera élaboré sur le schéma d'agencement avec les dirigeants, les salariés, les parents, les jeunes. Il permettra d’améliorer l’accueil, source de lien social et de convivialité.
Le recensement des besoins se révèle une étape incontournable. Il conviendra, tout d'abord, de détailler les contraintes techniques auxquelles le centre social est confronté. C'est ce qui va permettre d'organiser une continuité et une cohérence entre ce qui existe et ce qui va être créé pendant la durée du projet social et imaginé dans la future maison de quartier.
À l'issue de cette phase d'audit, le cahier des charges pourra être soumis à un architecte d'intérieur qui sera en mesure de travailler sur le schéma d’agencement de l’Accueil Jeune.
Les moyens mis en œuvre :
Trois animateurs socioculturels mettront en œuvre le projet pédagogique agréé par la DDCSPP, chaque année, après évaluation. Leurs stratégies professionnelles seront basées sur le dialogue, l’écoute, le respect, la valorisation du public. Ils œuvreront pour le bien de tous, en donnant à chacun les armes d’une autonomie et d’une liberté future.
Ils seront garants des activités, facilitateurs, régulateurs. Au niveau des contenus, ils annonceront les objectifs, structureront les activités, inciteront à l’engagement.
Ils seront la mémoire du groupe et ceux qui synthétisent. En termes de procédure, ils faciliteront les échanges, cadreront et réguleront les interventions.
Ils rappelleront les contrats de fonctionnement et organiseront matériellement les moments de rencontres (temps, espace, matériel).
Enfin, ils réguleront les tensions, favoriseront les relations.
Ils travailleront en étroite collaboration avec le coordinateur des Contrats Locaux d’Accompagnement à la Scolarité, la responsable de l’Animation Collective Famille.
Ils participeront à des formations, très régulièrement, organisées en interne ou par des organismes extérieurs, sur les thématiques suivantes :
- Comment réagir face aux comportements à risque, aux transgressions de l’interdit ?
- Quelles activités proposer aux adolescents ?
- La légitimité de l’animateur.
- Les adolescents et la sexualité.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
4 salariés - 10 bénévoles -
- Résultat sur le territoire
- Encourager l’apprentissage et l’exercice de la citoyenneté chez les jeunes.
- Résultat pour le centre social
Mettre en place des projets éucatifs pour les adolescents en prenant en compte une démarche de coéducation où les parents seront de véritables partenaires.
- Résultat pour les habitants
Créer un lieu de vie, de référence et de repère, de rencontres, de convivialité, de convergence et de rayonnement de l’information, un lieu d’apprentissage, de confrontations, de reconnaissance et de valorisation.
- Suite de l'action : Limites
Difficultés à sortir les jeunes d'une démarche consumériste. Difficultés à impliquer les parents dans une démarche éducative complémentaire de celle mise en oeuvre par les animateurs de l'Accueil de Jeunes.
- Suite de l'action : Perspectives
Améliorer les taux de fréquentation de l'Accueil de Jeunes dans toutes les tranches d'âge.
Actions
Accès à la santé
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Santé
- Résumé
- Élaborer des programmes de santé adaptés au niveau local avec la participation des habitants.
- Réduire les inégalités sociales et territoriales en matière de santé en s’appuyant sur une dynamique partenariale.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence :
Ce sont souvent les mêmes populations, les moins favorisées (faibles revenus, peu diplômés) qui cumulent les expositions aux différents facteurs de risque pour la santé, que ce soit dans l’environnement professionnel (exposition au travail physiquement pénible, au travail de nuit, aux produits toxiques, etc...) ou dans l’environnement familial (pollutions affectant le logement comme le bruit, la mauvaise qualité de l’air ou de l’eau, etc...). Ce sont elles aussi qui ont le plus souvent les comportements défavorables à la santé (notamment en matière de nutrition, d’activité physique, de prévention, etc...). Les inégalités s’inscrivent dès le plus jeune âge : les enfants d’ouvriers, de même que les enfants scolarisés en Zone d’Education Prioritaire (ZEP)
Sources :
En termes de mortalité prématurée, la situation de la France n’est pas bonne (décès liés à tabac, alcool, accidents, suicides)
Livre des plans de santé publique (www.santé.gouv.fr)
Objectif stratégique :
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
Objectifs généraux :
- Élaborer des programmes de santé adaptés au niveau local avec la participation des habitants.
- Réduire les inégalités sociales et territoriales en matière de santé en s’appuyant sur une dynamique partenariale.
Objectifs opérationnels :
Adapter et renforcer les services existants.
- Éviter la survenue des maladies en diminuant les facteurs de risque.
- Améliorer le pronostic vital et fonctionnel en dépistant et en traitant précocement les maladies.
- Eviter les rechutes, complications ou séquelles liées à la maladie.
- Améliorer les comportements alimentaires, l’activité physique, l’hygiène de vie.
- Prévenir le surpoids et l’obésité.
- Lutter contre les addictions (tabac, alcool, drogues, jeux vidéo, association de médicaments).
- Prévention et sensibilisation aux accidents de la vie courante.
- Former un groupe de jeunes et d’adultes à la création d’outils d’informations pour sensibiliser un large public à la prévention des conduites addictives.
- Mise en place d’accompagnants santé chargés d’orienter et d’accompagner les publics précaires au bilan de santé.
- Organisation de conférences, de séances d’informations sur la santé et les dépistages, avec des professionnels de santé, pour les habitants de Sedan.
- Animer des ateliers pratiques pour découvrir une alimentation équilibrée et favoriser la consommation de fruits et légumes.
- Permettre aux participants de découvrir différentes pratiques sportives et d’avoir une activité de bien-être permanente.
- Apporter des méthodes pour la gestion d’un budget.
- Créer des outils de comparaison, rapport qualité et prix pour les achats alimentaires.
- Créer des outils avec les parents d’élèves des écoles du quartier du Lac pour diffuser des messages de prévention et d’information sur le sommeil et l’hygiène de vie des enfants.
- Former des adolescents et des habitants aux messages de prévention autour des conduites addictives.
- En transversalité avec l’équipe du secteur adolescent du Centre Social Le Lac, les jeunes, mis en situation d’acteurs, réaliseront un clip vidéo. Cet outil aura un impact supplémentaire, tout en valorisant les jeunes.
- Permettre au public accueilli de visualiser concrètement les dangers domestiques vécus par les jeunes enfants, pour mieux les prévenir.
- Permettre aux jeunes enfants, au travers d’un outil ludique, interactif et adapté à leur âge, de prendre conscience des dangers de la maison de façon concrète.
- Renforcement de la politique de dépistage des cancers du sein et du côlon.
- Faire connaitre les structures de dépistage auprès des publics en difficulté.
- Développer une politique d’information, via les Ateliers Santé Ville, pour associer les partenaires sociaux, médicaux et de l’éducation.
- Développer le dépistage organisé (du sein et du colon) en termes de taux de participation : pour le dépistage du cancer du sein, passer de 60 à 70 % de participantes et pour le dépistage du cancer du côlon, de 50 à 60 % pour les personnes de plus de 50 ans.
- Créer des outils pour diffuser l’information à un large public.
- Organiser des conférences avec la Société Ardennaise de Cancérologie pour sensibiliser et inciter les jeunes à diffuser l’information auprès de leur entourage, pour les inciter à une bonne hygiène de vie pour réduire les risques de la maladie et pour leur donner les moyens de mieux comprendre et mieux gérer la maladie de leurs proches.
- Organiser des débats interactifs pour la population concernée et ainsi permettre de mieux comprendre les enjeux, la démarche et briser les tabous.
Adapter les discours en fonction des thématiques, des cultures, des demandes, des besoins et ainsi parler de la maladie librement et sans a priori.
Résultats attendus de l’action :
- Un diagnostic local de l’état de santé portant sur les publics en difficulté ou en situation de précarité.
- Une programmation locale de santé qui doit permettre une organisation cohérente d’actions, autour d’objectifs définis pour une période donnée.
- Création d’un comité de pilotage, comité technique, groupes de travail, interfaces entre partenaires et projets.
- Création d’une procédure précise d’évaluation comportant un volet qualitatif et quantitatif.
- Une prise de conscience des dangers domestiques de la part des adultes qui leur permettra de prévenir des dangers et de réaménager leur intérieur.
- Une réponse aux questionnements des parents sur l’attitude de leurs enfants.
- Une prise de conscience des enfants pour limiter leurs gestes dans la prise de risques et la compréhension des conséquences de leurs actes.
- Au travers d’une mobilisation avec nos partenaires, permettre une information de connaissance des structures de dépistage, de la maladie et des modalités d’accès aux soins, pour un large public.
- Permettre une prise de conscience des publics et une augmentation des dépistages organisés.
- Tout au long des quatre années de l’action, les partenaires évalueront, rectifieront et adapteront. Selon ces différentes analyses, un bilan commun sera réalisé dans l’objectif de continuer cette campagne au long cours.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Association locale
- Association nationale
- Caf
- CARSAT
- Commune
- Conseil départemental
- CPAM
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Moyens mis en œuvre :
- L’ensemble des salariés du centre social travaillera en transversalité sur cette thématique.
- Relancer les Ateliers Santé Ville pour permettre une organisation cohérente d’actions au bénéfice des publics en difficulté et en situation de précarité.
- Identifier, au niveau local, les besoins spécifiques des publics en difficulté et le déterminant de l’état de santé liés aux conditions de vie.
- Mobilisation de différents intervenants internes et externes par la relance et le soutien à des réseaux médico-sociaux.
- Diversifier les moyens d’intervention en fonction de l’analyse des besoins.
- Rendre effectif l’accès aux services publics sanitaires et sociaux de droit commun.
- Développer la participation de la population à toutes les phases des programmes (diagnostic, définition des priorités, des programmations, mise en œuvre et évaluation).
- Développer la concertation avec les professionnels et les différentes institutions du secteur sanitaire et social concernées par ces programmes.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
5 salariés - 20 bénévoles -
- Résultat sur le territoire
- Améliorer les comportements alimentaires, l’activité physique, l’hygiène de vie.
- Prévenir le surpoids et l’obésité.
- Lutter contre les addictions (tabac, alcool, drogues, jeux vidéo, association de médicaments).
- Développer une politique d’information, pour associer les partenaires sociaux, médicaux et de l’éducation.
- Résultat pour le centre social
- Relancer les Ateliers Santé Ville pour permettre une organisation cohérente d’actions au bénéfice des publics en difficulté et en situation de précarité.
- Mobilisation de différents intervenants internes et externes par la relance et le soutien à des réseaux médico-sociaux.
- Développer la concertation avec les professionnels et les différentes institutions du secteur sanitaire et social concernées par ces programmes.
- Résultat pour les habitants
- Améliorer le pronostic vital et fonctionnel en dépistant et en traitant précocement les maladies.
- Suite de l'action : Limites
Difficultés à mobiliser l'ensemble des partenaires dans le cadre du dispositif Ateliers Santé Ville
- Suite de l'action : Perspectives
Créer une dynamique autour des problématiques de la santé à travers la mise en oeuvre d'actions collectives (Forum santé...)
Actions
Mobiliser contre l'isolement social des personnes âgées
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Viellissement
- Résumé
- Promouvoir des « équipes citoyennes » qui agissent au plus près des personnes isolées.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence :
En 2013, un Français sur quatre de plus de 18 ans se trouve dans une situation le rendant potentiellement exposé, en cas de rupture, à l’isolement social. 5 millions de personnes de plus de 18 ans sont effectivement seules, soit 12 % des personnes, plaçant la France parmi les trois pays d’Europe les plus touchés par l’isolement relationnel. Cette précarité relationnelle est fortement ressentie. Deux tiers des Français considèrent que l’isolement et la solitude se sont aggravés et 7 Français sur 10 reprochent à la puissance publique de ne pas être suffisamment mobilisés sur cette question et considèrent que seules les associations et fondations sont mobilisées contre l’isolement. Pour les Français, ce qui contribue à améliorer la cohésion sociale est autant de l’ordre de l’engagement des citoyens que de la solidarité nationale.
La population des personnes en situation d’isolement relationnel est composée pour un quart (23 %) de personnes âgées de plus de 75 ans, soit environ 1,2 million de personnes. La part de personnes âgées isolées augmente de façon aiguë.
Sources :
(Extrait du rapport de Synthèse du rapport Monalisa).
(INSEE, statistiques Caisse d’Allocations Familiales des Ardennes).
Objectif stratégique :
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
Objectifs généraux :
- Mieux « vivre et faire société ensemble », entre les générations.
- Mobiliser contre l’isolement social des personnes âgées.
- Encourager la participation des citoyens et des acteurs locaux volontaires pour développer la création de lien social avec les personnes fragilisées.
- Appeler à la solidarité entre citoyens contre l’isolement des âgés.
- Constituer un catalyseur permettant de renouer les liens de voisinage et de proximité, indispensable à la cohésion sociale.
Objectifs opérationnels :
Expérimentation de nouveaux services.
- Promouvoir des « équipes citoyennes » qui agissent au plus près des personnes isolées.
- Faire cause commune avec le pôle sénior de la Ville de Sedan pour mener un programme d’émergence et de déploiement d’« équipes citoyennes » à la hauteur des enjeux.
- Contribuer au signalement et à l’orientation des personnes en situation d’isolement, au soutien des situations complexes
Résultats attendus de l’action :
- Construire une vision partagée des besoins, des moyens disponibles, des actions prioritaires à entreprendre, des résultats des actions entreprises et des correctives à envisager.
- Partager un diagnostic territorial, des besoins et des potentiels en veillant à consolider le lien partenarial.
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- CARSAT
- Commune
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Points de référence :
En 2013, un Français sur quatre de plus de 18 ans se trouve dans une situation le rendant potentiellement exposé, en cas de rupture, à l’isolement social. 5 millions de personnes de plus de 18 ans sont effectivement seules, soit 12 % des personnes, plaçant la France parmi les trois pays d’Europe les plus touchés par l’isolement relationnel. Cette précarité relationnelle est fortement ressentie. Deux tiers des Français considèrent que l’isolement et la solitude se sont aggravés et 7 Français sur 10 reprochent à la puissance publique de ne pas être suffisamment mobilisés sur cette question et considèrent que seules les associations et fondations sont mobilisées contre l’isolement. Pour les Français, ce qui contribue à améliorer la cohésion sociale est autant de l’ordre de l’engagement des citoyens que de la solidarité nationale.
La population des personnes en situation d’isolement relationnel est composée pour un quart (23 %) de personnes âgées de plus de 75 ans, soit environ 1,2 million de personnes. La part de personnes âgées isolées augmente de façon aiguë.
Sources :
(Extrait du rapport de Synthèse du rapport Monalisa).
(INSEE, statistiques Caisse d’Allocations Familiales des Ardennes).
Objectif stratégique :
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
Objectifs généraux :
- Mieux « vivre et faire société ensemble », entre les générations.
- Mobiliser contre l’isolement social des personnes âgées.
- Encourager la participation des citoyens et des acteurs locaux volontaires pour développer la création de lien social avec les personnes fragilisées.
- Appeler à la solidarité entre citoyens contre l’isolement des âgés.
- Constituer un catalyseur permettant de renouer les liens de voisinage et de proximité, indispensable à la cohésion sociale.
Objectifs opérationnels :
Expérimentation de nouveaux services.
- Promouvoir des « équipes citoyennes » qui agissent au plus près des personnes isolées.
- Faire cause commune avec le pôle sénior de la Ville de Sedan pour mener un programme d’émergence et de déploiement d’« équipes citoyennes » à la hauteur des enjeux.
- Contribuer au signalement et à l’orientation des personnes en situation d’isolement, au soutien des situations complexes
Résultats attendus de l’action :
- Construire une vision partagée des besoins, des moyens disponibles, des actions prioritaires à entreprendre, des résultats des actions entreprises et des correctives à envisager.
- Partager un diagnostic territorial, des besoins et des potentiels en veillant à consolider le lien partenarial.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 salarié - 3 bénévoles -
- Résultat sur le territoire
- Faire cause commune avec le pôle sénior de la Ville de Sedan pour mener un programme d’émergence et de déploiement d’« équipes citoyennes » à la hauteur des enjeux.
- Résultat pour le centre social
- Contribuer au signalement et à l’orientation des personnes en situation d’isolement, au soutien des situations complexes
- Résultat pour les habitants
Le centre social deviendra un lieu de rencontres et de lien social. Il pourra devenir un café social. Des animations pourront y être organisées (accès à la culture, sortie, fête, repas, chorale intergénérationnelle,…)
- Suite de l'action : Limites
Cette action est actuellement mise en oeuvre essentiellement par le Directeur. Elle nécessitera des moyens budgétaires supplémentaires afin de recruter un salarié (service civique qui animerait des équipes de bénévoles).
- Suite de l'action : Perspectives
Renforcer le partenariat avec le pôle sénior de la Ville et les services du Département.
Actions
Lieu d'accueil parents/enfants
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
Créer un lieu d’accueil enfants-parents pour conforter la relation parents-enfants en valorisant le rôle et les compétences des parents.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence au diagnostic :
Il n’existe pas, sur le quartier du Lac, de structure qui accueille des enfants de 0 à 3 ans. La crèche municipale accueille exclusivement des enfants dont les représentants légaux habitent Sedan ou les alentours et qui ont une activité professionnelle. Le manque de structure, l’absence de lieu de rencontres et d’échanges engendrent un isolement, au quotidien, des parents ou grands-parents gardant les enfants et des professionnels de la petite enfance.
Sources :
(Extrait du diagnostic contrat de projet 2010-2014)
(Statistiques Caisse d’Allocations Familiales).
Objectifs stratégiques :
Répondre aux besoins des individus, des familles, des associations du territoire
Objectifs généraux :
Soutenir les parents dans leur rôle éducatif en utilisant le dispositif « REAAP », contrôlé et animé par la Caisse d’Allocations Familiales, afin d’améliorer l’accueil des personnes, des familles, en particulier les plus vulnérables, car leur engagement dans une activité sociale est souvent difficile.
Créer un lieu d’accueil enfants-parents pour conforter la relation parents-enfants en valorisant le rôle et les compétences des parents.
- Il prendra en compte la diversité des structures familiales, les formes d’exercice de la fonction parentale et la reconnaissance de la place de chacun des parents en tant qu’éducateur de son enfant.
- Il favorisera le développement et l’autonomie de l’enfant en permettant la mise en évidence de ses compétences. L’enfant pourra, en sécurité, y faire l’expérience de la séparation et se confronter aux règles et aux limites, se préparant ainsi à l’entrée dans la vie sociale.
- Lieu « tiers intermédiaire » permettant aux enfants une socialisation et le passage d’un monde encore familial, à un monde déjà social. Il constituera, à travers rencontres et séparations, une expérience fondamentale pour les enfants et leurs parents.
- Il sera un lieu de prévention de l’isolement social et d’élaboration de nouvelles solidarités.
- Il sera un lieu de prévention précoce des troubles de la relation enfants-parents.
- Il contribuera à prévenir des situations de négligence ou de violence, en dehors de toute visée thérapeutique ou injonction éducative.
Objectifs opérationnels :
Expérimentation de nouveaux services.
- Accueillir des enfants de moins de 6 ans accompagnés d’un parent ou d’un adulte responsable, dans un lieu adapté.
- Accepter la participation des adultes, basée sur le volontariat et le respect de l’anonymat ou, au minimum, la confidentialité.
- Mettre en avant l’absence de visée thérapeutique, tant à l’égard des enfants que des familles.
- Garantir la présence, à chaque séance, d’au moins deux accueillants, formés à l’écoute et supervisés régulièrement par un professionnel compétent.
Un lieu d’accueil enfants-parents dans le Pôle Enfance :
- Les dirigeants et les salariés proposeront des locaux réservés uniquement au Lieu d’Accueil Enfants/Parents qui disposeront d’un espace extérieur de jeu.
- Les dirigeants et les salariés proposeront une superficie suffisante en fonction des activités et des publics accueillis.
- Les dirigeants et les salariés proposeront les types de locaux nécessaires pour le fonctionnement de la structure (locaux pour l’accueil du public, locaux techniques, administratifs, sanitaires…).
Les dirigeants et les salariés faciliteront l’accès du Lieu d’Accueil Parents/Enfants aux publics : proximité des lieux d’habitation, transports en commun, parking…
- Les dirigeants et les salariés proposeront des locaux accessibles à tous (fauteuils roulants, landaus, etc…).
- Les dirigeants et les salariés proposeront des locaux clairs, insonorisés, isolés, aérés…
- Les dirigeants, les salariés, les usagers respecteront les règles de sécurité et d’hygiène.
- Les dirigeants et les salariés aménageront les espaces ouverts au public en fonction des âges, des types d’activités et des services offerts.
- Les dirigeants et les salariés proposeront du mobilier modulable et fonctionnel, adapté aux différents publics, aux jeux, aux activités.
- Les dirigeants, les salariés, les usagers proposeront des locaux attrayants (couleurs, éléments décoratifs, esthétique du mobilier, propres, rangés …).
Un cahier des charges sera élaboré sur le schéma d'agencement avec les dirigeants, les salariés, les adhérents, la Ville de Sedan, le Conseil Général, la Caisse d’Allocations Familiales… Il permettra d’améliorer l’accueil, source de lien social et de convivialité.
Le recensement des besoins se révèle une étape incontournable. Il conviendra, tout d'abord, de détailler les contraintes techniques auxquelles le centre social est confronté. C'est ce qui va permettre d'organiser une continuité et une cohérence entre ce qui existe et ce qui va être créé pendant la durée du projet social et imaginé dans le futur Pôle Enfance.
À l'issue de cette phase d'audit, le cahier des charges pourra être soumis à un architecte d'intérieur qui sera en mesure de travailler sur le schéma d’agencement du Lieu d’Accueil Parents/Enfants.
Résultats attendus de l’action :
- Prise en compte du besoin des familles.
- Mobiliser des acteurs autour d’un projet de la petite enfance.
- Établir un projet partenarial durable.
- Inscription du LAEP dans le cadre du contrat enfance.
Public ciblé :
Enfants de moins de 6 ans accompagnés d’un parent ou d’un adulte responsable.
Le public de parents accueillis ne sera pas un public spécifique : tous les parents seront invités à participer au Lieu d’Accueil Parents/Enfants. La question de l’accueil de parents ne résidant pas sur le territoire d’implantation du Lieu d’Accueil Parents/Enfants pourra se poser. Cette question devra être débattue au sein du comité de pilotage afin de définir une position sur la priorité des publics accueillis. La question de l’âge limite des enfants accueillis sera à aborder également : 3 ans, 4 ans ou 6 ans. La présence des futurs parents, des grands-parents, assistantes maternelles dans le Lieu d’Accueil Parents/Enfants devra être également précisée.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Commune
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Déroulement :
La construction d’un projet et sa formalisation demande un temps de maturation. Il sera primordial d’inscrire le projet dans la réalité du territoire. Son élaboration devra être effectuée en partenariat avec les acteurs locaux, et par étapes.
Le diagnostic devra s’inscrire dans un travail avec les acteurs locaux issus de fonctions et d’institutions différentes : enseignants des écoles maternelles, équipements petite enfance, accueils de loisirs, élus, professionnels de santé et libéraux (médecins, sages-femmes), associations, conseillers de territoire (Caisse d’Allocations Familiales), responsables des Maisons départementales de la Solidarité …
La supervision sera indispensable, elle sera obligatoire dans le cadre d’un projet Lieu d’Accueil Parents/Enfants. Il s’agira, pour l’équipe d’accueillants, avec l’aide d’une personne extérieure, d’exprimer sa pratique, ses ressentis, afin de trouver la bonne distance vis-à-vis des accueillis et des autres accueillants. Elle facilitera la mise en parole des situations d’accueil et permettra de donner sens aux attitudes d’accueil.
La supervision sera assurée par un professionnel extérieur à l’équipe ayant une formation à la psychologie ou à la psychanalyse. Une attention devra être apportée à la qualification et l’expérience lors du choix.
Les accueillants veilleront, au préalable, à préciser leurs attentes. La supervision n’aura pas de visée thérapeutique et il ne s’agira pas de faire des études de cas. Elle favorisera la cohésion de l’équipe d’accueillants.
La bonne adéquation relationnelle entre le superviseur et les accueillants sera nécessaire pour que puisse s’installer un véritable climat de confiance.
L’équipe fera proposition du cadre et des modalités de mise en œuvre de la supervision à un comité de pilotage, pour validation.
Un comité de pilotage sera créé afin d’établir la rédaction d’un règlement de fonctionnement spécifique, l’élaboration d’une charte des accueillants. Une convention de partenariat sera proposée aux partenaires (Ville de Sedan, Caisse d’Allocations Familiales, Conseil Général…).
Le choix des jours et horaires d’ouverture sera important. Ces choix pourront avoir une incidence non négligeable sur la fréquentation et la mixité des publics accueillis. Le choix devra tenir compte des besoins exprimés par les parents, de la complémentarité avec d’autres structures d’accueil du territoire et de la disponibilité des accueillants et du lieu.
Dans la philosophie des Lieu d’Accueil Parents/Enfants, une contribution minime pourra être demandée aux familles, mais elle ne sera pas obligatoire. Le montant demandé devra rester raisonnable et ne pas être un critère d’empêchement. Cette question devra être débattue par le comité de pilotage.
Les modalités de fonctionnement du lieu devront être exprimées aux familles (sensibilisation des adultes accompagnants sur leur responsabilité pendant le temps d’accueil, respect des conditions d’accès au lieu, respect des règles de vie). Pour ces raisons, un règlement intérieur sera élaboré avec l’accueillante et communiqué à toute nouvelle famille fréquentant le Lieu d’Accueil Parents/Enfants.
Les activités proposées seront des supports à la rencontre, à l’échange, à l’apprentissage et au plaisir partagé, entre les enfants et les parents.
Les enfants et leurs parents partageront un temps autour des jeux proposés ou des activités motrices.
Les lieux d’accueil parents-enfants prévoient des espaces dédiés à une activité permettant l’apprentissage des règles.
Moyens mis en œuvre :
Deux salariés qualifiés seront chargés d’animer un espace de socialisation qui accueillera, de manière libre et sans inscription, des jeunes enfants de moins de 6 ans, accompagnés d’un parent ou d’un adulte responsable (mère, père, grands-parents…). Ils seront garants des règles de vie spécifiques à ce lieu. Ils mettront en valeur les compétences parentales lors de la conduite du projet qui sera un espace d’écoute, d’échange parents/enfants/accueillants, avant d’être un espace d’activités
Les accueillants seront des professionnels formés à la situation d’accueil des familles. Pour chaque accueil, deux accueillants seront présents à chaque séance et seront garants du respect du règlement de fonctionnement et des modalités organisationnelles définies dans le projet.
Les accueillants feront preuve des capacités suivantes : connaissance de l’enfant et de son développement et des enjeux relationnels parents-enfants, capacité de communication avec les familles (empathie) et travail en équipe.
Une charte de l’accueillant définira les savoir-faire et les savoir-être attendus, les conditions de recrutement, la formation et la supervision.
Une formation pour l’ensemble des accueillants sera obligatoire avant leur prise de fonction.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 salarié - 10 bénévoles -
- Résultat sur le territoire
- Accueillir des enfants de moins de 6 ans accompagnés d’un parent ou d’un adulte responsable, dans un lieu adapté.
- Résultat pour le centre social
Soutenir les parents dans leur rôle éducatif en utilisant le dispositif « REAAP », contrôlé et animé par la Caisse d’Allocations Familiales, afin d’améliorer l’accueil des personnes, des familles, en particulier les plus vulnérables, car leur engagement dans une activité sociale est souvent difficile.
- Résultat pour les habitants
- Il sera un lieu de prévention de l’isolement social et d’élaboration de nouvelles solidarités.
- Suite de l'action : Limites
Difficulté de mobiliser les parents autour d'un projet de la petite enfance.
Difficulté à établir un projet partenarial durable.
- Suite de l'action : Perspectives
Renforcer le partenariat avec la PMI, le Conseil Départemental et le CCAS.
Actions
Repas solidaires
- Structure organisatrice
- Centre social Manchester - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Précarité
- Intégration
- discriminations
- Résumé
Chaque jeudi matin, le centre social propose des ateliers cuisine à visé solidaire.
A partir de 10h, des habitants bénévoles se retrouvent afin de cuisiner, ensemble, des plats qu'ils iront ensuite distribuer aux personnes sans abris du quartier et sur des points stratégiques de la ville.
Les associations locales participent via le don de vétements chauds qui sont distribués lors de la période hivernale.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place afin de changer les habitudes de consommation des activités du centre social par les habitatns du quartier et de développer les solidarités.
Les habitants ne cuisinent plus simplement pour cuisiner et consommer mais dans une perspective d'entre-aide de solidarité.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
20
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
Développer les solidarités, lutter contre l'isolement et lutter contre les discriminations
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Des outils de communication au service du projet social
- Structure organisatrice
- Centre social Le Lac - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Résumé
Améliorer la communication externe en direction des habitants, des partenaires et des collectivités locales.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Points de référence aux nouveaux diagnostics :
Réponses aux questionnaires.
Adhérents : les 4 doléances les plus souvent citées : des moyens financiers plus importants pour le pédagogique, des animations de qualité, des animateurs supplémentaires, des outils de communication plus efficaces.
On peut s’étonner de la réponse relative à la communication. En effet, le Centre Social Le Lac dispose d’un site internet, d’une lettre d’information qui touche 500 abonnés. La presse écrite, radiophonique, télévisée présente régulièrement des reportages sur le Centre Social Le Lac. Par ailleurs, des brochures papier et des affiches sont régulièrement distribuées sur le quartier.
Nous sommes interrogatifs concernant la méconnaissance de 33 adhérents qui disent ne pas connaître de salarié du centre social alors que la majorité de l’équipe travaille sur le quartier depuis plus de 20 ans.
En majorité, les non-adhérents ont entendu parler du Centre Social Le Lac et trouvent son implantation accessible. Cependant, ils considèrent que les activités sont principalement axées en direction des enfants.
Source :
Réponses aux questionnaires du bilan du contrat de projet 2011-2014.
Objectif stratégique :
Améliorer la communication externe en direction des habitants, des partenaires et des collectivités locales.
Objectif général :
Créer des outils de communication au service du projet social.
Objectif opérationnel :
Élaborer un plan de communication à l’échelle de l’agrément.
Résultats attendus de l’action :
Mettre en œuvre une communication efficiente au service des usagers.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Autre
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Déroulement :
Le centre social renouvellera son plan de communication après avoir évalué finement l’efficacité des outils utilisés.
Il est important de maintenir une communication claire et globale sur les missions et le projet auprès des habitants, des élus et des partenaires institutionnels.
Cette réflexion portera donc sur : les éléments à communiquer, les stratégies à mettre en œuvre, l’utilisation de supports existants (site internet, brochures…), l’utilisation des supports de la Communauté d’Agglomération Charleville/Sedan.
Moyen mis en œuvre :
L’ensemble des dirigeants, des salariés, des adhérents sera amené à réfléchir et a apporter des contributions pour la création d’un nouveau plan de communication.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 salariés -
- Résultat sur le territoire
Mettre en œuvre une communication efficiente au service des usagers.
- Résultat pour le centre social
Maintenir une communication claire et globale sur les missions et le projet auprès des habitants, des élus et des partenaires institutionnels.
- Résultat pour les habitants
Meilleure compréhension sur les missions et le projet du centre social.
- Suite de l'action : Limites
En raison de l'importante diversité des actions développées par le centre social, la mise en oeuvre du plan de communication est très chronophage.
- Suite de l'action : Perspectives
Développer la participation collective des usagers et des salariés sur l'ensemble des supports de communication du centre social (site internet, Facebook...).
Actions
Par ici les Sorties
- Structure organisatrice
- OFFICE ANIMATION DES CRETES PREARDENNAISES - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- mobilité / transport
- Résumé
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Territoire concerné
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Restaurant éphémère en faveur de l'emploi
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL OUEST AVENUE - Ardennes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- Résumé
Le Centre Social Ouest Avenue est situé en Quartier Prioritaire de la Ville. Un nombre important de la population est en situation de recherche d'emploi, et ne parvient pas à obtenir un entretien d'embauche avec des employeurs. Un groupe de travail constitué des partenaires du service public de l'emploi et des partenaires en contact direct avec le public a été constitué. Le principe est de repérer les personnes en recherche d'emploi issus des quartiers, de contacter des employeurs intéressés par la démarche et de mettre en application les apprentissages appris pendant l'atelier cuisine du Centre Social en proposant l'outil en faveur de rencontres entres employeurs et demandeurs d'emploi sous forme de "Restaurant épéhémère". Les partenaires du SPE et ceux en contact avec les habitants en recherche d'emploi les informe des entreprises présentes, les orientent vers l'action et les accompagnent le jour de l'évènement pour faciliter les échanges avec les entreprises. Le jour de l'action, la salle polyvalente est transformée en Restaurant avec une table ronde pouvant accueillir 8 personnes (important car plus convivial que table carrée ou rectangle). Chaque table représente un secteur d'activité sur laquelle sera installée un employeur, un partenaire, et 6 personnes en recherche d'emploi maximum. A chaque table, les personnes se présentent mutuellement, expliquent leur parcours, ... L'employeur échange avec les personnes sur le secteur d'activité de l'entreprise, les besoins en main d'oeuvre, le mode de recrutement, le savoir être, le savoir faire et la motivation. Suite à quoi chaque personne entretient un échange avec l'employeur pour se faire connaître. Pendant ces échanges, le repas préparé par l'atelier cuisine est servi sur assiette à table. A la fin du repas, une pochette est remise à chaque entreprise avec les profils. Chaque candidat sera ensuite recontacté pour de plus amples informations par l'entreprise. Le premier échange aura permis une première approche, et de se rendre au prochain entretien de manière plus détendue.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pour réduire les inégalités et permettre aux habitants des QPV de rencontrer des employeurs, réduire ainsi le taux de chômage en QPV.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives