Les actions des centres sociaux
Actions
Printemps des familles : handicap invisible
- Structure organisatrice
- "ESPACE QUINIERE ROSA PARKS" - Loir-et-Cher
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Intégration
- Résumé
Le centre socioculturel Quinière est un lieu d'accueil, de soutien et
d'accompagnement pour les familles. Celles-ci échangent régulièrement avec
tous les professionnels de la structure sur les questions autour de la parentalité.
Les conversations sur la vie au quotidien des familles dont l'un des membres est
porteur de handicap invisible sont à l'origine de ce projet :
Handicap: visible ou invisible
Les difficultés rencontrées :
- accéder aux biens essentiels que sont la santé, le sport, le logement, les loisirs
ainsi qu'à l'emploi avec un parcours scolaire parfois compliqué
- à se faire reconnaître par les autres comme handicapées dans leur quotidien
Constat
Le handicap change profondément la vie de toute la famille.
Le handicap invisible touche près de 80% des personnes en situation de
handicap et pourtant, il est rarement abordé car c'est un sujet souvent tabou.Par
méconnaissance le handicap invisible est souvent considéré comme étant un
trait de caractère ou un défaut: l'impulsivité, la paresse, la nonchalance...
Ainsi, les personnes handicapées et leurs familles peuvent parfois se sentir
exclues de la société.
Objectifs
1. Sensibiliser au handicap dès le plus jeune âge
2. Favoriser le vivre ensemble et lutter contre les stéréotypes
3. Lutter contre l'isolement de la personne porteuse de handicap et de sa famille
4. Informer et orienter les familles dans le domaine des associations, des
structures d'accueil, d'éducation, de thérapie et de travail
Moyens
- Lecture d'albums jeunesse, spectacle jeune public sur le thème de la différence
et jeux collectifs adaptés à différents handicaps
- Présence d'associations/ institutions/ collectivités
- Exposition de témoignages
- Projection d'un film autour de l'autisme suivi d'un échange avec un professionnel
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Association locale
- Caf
- Commune
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Action qui se déroulera le samedi 2 juin 2018
En amont, plusieurs réunions ont été mises en place avec les familles, bénévoles puis avec l'ensemble des partenaires
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Entre 1000 à 1500 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Professionnels du Centre : 6
Partenaires : 10
- Résultat sur le territoire
1. Sensibiliser au handicap dès le plus jeune âge
2. Favoriser le vivre ensemble et lutter contre les stéréotypes
- Résultat pour le centre social
Informer et orienter les familles (associations, des structures d'accueil, d'éducation, de thérapie et de travail)
Lutter contre l'isolement de la personne porteuse de handicap et de sa famille
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
Action à ce jour non réalisée
- Suite de l'action : Perspectives
Action à ce jour non réalisée
Actions
Printemps des familles : handicap invisible
- Structure organisatrice
- "ESPACE QUINIERE ROSA PARKS" - Loir-et-Cher
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Intégration
- Résumé
Le centre socioculturel Quinière est un lieu d'accueil, de soutien et
d'accompagnement pour les familles. Celles-ci échangent régulièrement avec
tous les professionnels de la structure sur les questions autour de la parentalité.
Les conversations sur la vie au quotidien des familles dont l'un des membres est
porteur de handicap invisible sont à l'origine de ce projet :
Handicap: visible ou invisible
Les difficultés rencontrées :
- accéder aux biens essentiels que sont la santé, le sport, le logement, les loisirs
ainsi qu'à l'emploi avec un parcours scolaire parfois compliqué
- à se faire reconnaître par les autres comme handicapées dans leur quotidien
Constat
Le handicap change profondément la vie de toute la famille.
Le handicap invisible touche près de 80% des personnes en situation de
handicap et pourtant, il est rarement abordé car c'est un sujet souvent tabou.Par
méconnaissance le handicap invisible est souvent considéré comme étant un
trait de caractère ou un défaut: l'impulsivité, la paresse, la nonchalance...
Ainsi, les personnes handicapées et leurs familles peuvent parfois se sentir
exclues de la société.
Objectifs
1. Sensibiliser au handicap dès le plus jeune âge
2. Favoriser le vivre ensemble et lutter contre les stéréotypes
3. Lutter contre l'isolement de la personne porteuse de handicap et de sa famille
4. Informer et orienter les familles dans le domaine des associations, des
structures d'accueil, d'éducation, de thérapie et de travail
Moyens
- Lecture d'albums jeunesse, spectacle jeune public sur le thème de la différence
et jeux collectifs adaptés à différents handicaps
- Présence d'associations/ institutions/ collectivités
- Exposition de témoignages
- Projection d'un film autour de l'autisme suivi d'un échange avec un professionnel
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Association locale
- Caf
- Commune
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Action qui se déroulera le samedi 2 juin 2018
En amont, plusieurs réunions ont été mises en place avec les familles, bénévoles puis avec l'ensemble des partenaires
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Entre 1000 à 1500 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Professionnels du Centre : 6
Partenaires : 10
- Résultat sur le territoire
1. Sensibiliser au handicap dès le plus jeune âge
2. Favoriser le vivre ensemble et lutter contre les stéréotypes
- Résultat pour le centre social
Informer et orienter les familles (associations, des structures d'accueil, d'éducation, de thérapie et de travail)
Lutter contre l'isolement de la personne porteuse de handicap et de sa famille
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
Action à ce jour non réalisée
- Suite de l'action : Perspectives
Action à ce jour non réalisée
Actions
Printemps des familles : handicap invisible
- Structure organisatrice
- "ESPACE QUINIERE ROSA PARKS" - Loir-et-Cher
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Intégration
- Résumé
Le centre socioculturel Quinière est un lieu d'accueil, de soutien et
d'accompagnement pour les familles. Celles-ci échangent régulièrement avec
tous les professionnels de la structure sur les questions autour de la parentalité.
Les conversations sur la vie au quotidien des familles dont l'un des membres est
porteur de handicap invisible sont à l'origine de ce projet :
Handicap: visible ou invisible
Les difficultés rencontrées :
- accéder aux biens essentiels que sont la santé, le sport, le logement, les loisirs
ainsi qu'à l'emploi avec un parcours scolaire parfois compliqué
- à se faire reconnaître par les autres comme handicapées dans leur quotidien
Constat
Le handicap change profondément la vie de toute la famille.
Le handicap invisible touche près de 80% des personnes en situation de
handicap et pourtant, il est rarement abordé car c'est un sujet souvent tabou.Par
méconnaissance le handicap invisible est souvent considéré comme étant un
trait de caractère ou un défaut: l'impulsivité, la paresse, la nonchalance...
Ainsi, les personnes handicapées et leurs familles peuvent parfois se sentir
exclues de la société.
Objectifs
1. Sensibiliser au handicap dès le plus jeune âge
2. Favoriser le vivre ensemble et lutter contre les stéréotypes
3. Lutter contre l'isolement de la personne porteuse de handicap et de sa famille
4. Informer et orienter les familles dans le domaine des associations, des
structures d'accueil, d'éducation, de thérapie et de travail
Moyens
- Lecture d'albums jeunesse, spectacle jeune public sur le thème de la différence
et jeux collectifs adaptés à différents handicaps
- Présence d'associations/ institutions/ collectivités
- Exposition de témoignages
- Projection d'un film autour de l'autisme suivi d'un échange avec un professionnel
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Association locale
- Caf
- Commune
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Action qui se déroulera le samedi 2 juin 2018
En amont, plusieurs réunions ont été mises en place avec les familles, bénévoles puis avec l'ensemble des partenaires
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Entre 1000 à 1500 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Professionnels du Centre : 6
Partenaires : 10
- Résultat sur le territoire
1. Sensibiliser au handicap dès le plus jeune âge
2. Favoriser le vivre ensemble et lutter contre les stéréotypes
- Résultat pour le centre social
Informer et orienter les familles (associations, des structures d'accueil, d'éducation, de thérapie et de travail)
Lutter contre l'isolement de la personne porteuse de handicap et de sa famille
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
Action à ce jour non réalisée
- Suite de l'action : Perspectives
Action à ce jour non réalisée
Actions
Printemps des familles : handicap invisible
- Structure organisatrice
- "ESPACE QUINIERE ROSA PARKS" - Loir-et-Cher
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Intégration
- Résumé
Le centre socioculturel Quinière est un lieu d'accueil, de soutien et
d'accompagnement pour les familles. Celles-ci échangent régulièrement avec
tous les professionnels de la structure sur les questions autour de la parentalité.
Les conversations sur la vie au quotidien des familles dont l'un des membres est
porteur de handicap invisible sont à l'origine de ce projet :
Handicap: visible ou invisible
Les difficultés rencontrées :
- accéder aux biens essentiels que sont la santé, le sport, le logement, les loisirs
ainsi qu'à l'emploi avec un parcours scolaire parfois compliqué
- à se faire reconnaître par les autres comme handicapées dans leur quotidien
Constat
Le handicap change profondément la vie de toute la famille.
Le handicap invisible touche près de 80% des personnes en situation de
handicap et pourtant, il est rarement abordé car c'est un sujet souvent tabou.Par
méconnaissance le handicap invisible est souvent considéré comme étant un
trait de caractère ou un défaut: l'impulsivité, la paresse, la nonchalance...
Ainsi, les personnes handicapées et leurs familles peuvent parfois se sentir
exclues de la société.
Objectifs
1. Sensibiliser au handicap dès le plus jeune âge
2. Favoriser le vivre ensemble et lutter contre les stéréotypes
3. Lutter contre l'isolement de la personne porteuse de handicap et de sa famille
4. Informer et orienter les familles dans le domaine des associations, des
structures d'accueil, d'éducation, de thérapie et de travail
Moyens
- Lecture d'albums jeunesse, spectacle jeune public sur le thème de la différence
et jeux collectifs adaptés à différents handicaps
- Présence d'associations/ institutions/ collectivités
- Exposition de témoignages
- Projection d'un film autour de l'autisme suivi d'un échange avec un professionnel
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Association locale
- Caf
- Commune
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Action qui se déroulera le samedi 2 juin 2018
En amont, plusieurs réunions ont été mises en place avec les familles, bénévoles puis avec l'ensemble des partenaires
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Entre 1000 à 1500 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Professionnels du Centre : 6
Partenaires : 10
- Résultat sur le territoire
1. Sensibiliser au handicap dès le plus jeune âge
2. Favoriser le vivre ensemble et lutter contre les stéréotypes
- Résultat pour le centre social
Informer et orienter les familles (associations, des structures d'accueil, d'éducation, de thérapie et de travail)
Lutter contre l'isolement de la personne porteuse de handicap et de sa famille
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
Action à ce jour non réalisée
- Suite de l'action : Perspectives
Action à ce jour non réalisée
Actions
Printemps des familles : handicap invisible
- Structure organisatrice
- "ESPACE QUINIERE ROSA PARKS" - Loir-et-Cher
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Intégration
- Résumé
Le centre socioculturel Quinière est un lieu d'accueil, de soutien et
d'accompagnement pour les familles. Celles-ci échangent régulièrement avec
tous les professionnels de la structure sur les questions autour de la parentalité.
Les conversations sur la vie au quotidien des familles dont l'un des membres est
porteur de handicap invisible sont à l'origine de ce projet :
Handicap: visible ou invisible
Les difficultés rencontrées :
- accéder aux biens essentiels que sont la santé, le sport, le logement, les loisirs
ainsi qu'à l'emploi avec un parcours scolaire parfois compliqué
- à se faire reconnaître par les autres comme handicapées dans leur quotidien
Constat
Le handicap change profondément la vie de toute la famille.
Le handicap invisible touche près de 80% des personnes en situation de
handicap et pourtant, il est rarement abordé car c'est un sujet souvent tabou.Par
méconnaissance le handicap invisible est souvent considéré comme étant un
trait de caractère ou un défaut: l'impulsivité, la paresse, la nonchalance...
Ainsi, les personnes handicapées et leurs familles peuvent parfois se sentir
exclues de la société.
Objectifs
1. Sensibiliser au handicap dès le plus jeune âge
2. Favoriser le vivre ensemble et lutter contre les stéréotypes
3. Lutter contre l'isolement de la personne porteuse de handicap et de sa famille
4. Informer et orienter les familles dans le domaine des associations, des
structures d'accueil, d'éducation, de thérapie et de travail
Moyens
- Lecture d'albums jeunesse, spectacle jeune public sur le thème de la différence
et jeux collectifs adaptés à différents handicaps
- Présence d'associations/ institutions/ collectivités
- Exposition de témoignages
- Projection d'un film autour de l'autisme suivi d'un échange avec un professionnel
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Association locale
- Caf
- Commune
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Action qui se déroulera le samedi 2 juin 2018
En amont, plusieurs réunions ont été mises en place avec les familles, bénévoles puis avec l'ensemble des partenaires
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Entre 1000 à 1500 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Professionnels du Centre : 6
Partenaires : 10
- Résultat sur le territoire
1. Sensibiliser au handicap dès le plus jeune âge
2. Favoriser le vivre ensemble et lutter contre les stéréotypes
- Résultat pour le centre social
Informer et orienter les familles (associations, des structures d'accueil, d'éducation, de thérapie et de travail)
Lutter contre l'isolement de la personne porteuse de handicap et de sa famille
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
Action à ce jour non réalisée
- Suite de l'action : Perspectives
Action à ce jour non réalisée
Actions
Printemps des familles : handicap invisible
- Structure organisatrice
- "ESPACE QUINIERE ROSA PARKS" - Loir-et-Cher
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Intégration
- Résumé
Le centre socioculturel Quinière est un lieu d'accueil, de soutien et
d'accompagnement pour les familles. Celles-ci échangent régulièrement avec
tous les professionnels de la structure sur les questions autour de la parentalité.
Les conversations sur la vie au quotidien des familles dont l'un des membres est
porteur de handicap invisible sont à l'origine de ce projet :
Handicap: visible ou invisible
Les difficultés rencontrées :
- accéder aux biens essentiels que sont la santé, le sport, le logement, les loisirs
ainsi qu'à l'emploi avec un parcours scolaire parfois compliqué
- à se faire reconnaître par les autres comme handicapées dans leur quotidien
Constat
Le handicap change profondément la vie de toute la famille.
Le handicap invisible touche près de 80% des personnes en situation de
handicap et pourtant, il est rarement abordé car c'est un sujet souvent tabou.Par
méconnaissance le handicap invisible est souvent considéré comme étant un
trait de caractère ou un défaut: l'impulsivité, la paresse, la nonchalance...
Ainsi, les personnes handicapées et leurs familles peuvent parfois se sentir
exclues de la société.
Objectifs
1. Sensibiliser au handicap dès le plus jeune âge
2. Favoriser le vivre ensemble et lutter contre les stéréotypes
3. Lutter contre l'isolement de la personne porteuse de handicap et de sa famille
4. Informer et orienter les familles dans le domaine des associations, des
structures d'accueil, d'éducation, de thérapie et de travail
Moyens
- Lecture d'albums jeunesse, spectacle jeune public sur le thème de la différence
et jeux collectifs adaptés à différents handicaps
- Présence d'associations/ institutions/ collectivités
- Exposition de témoignages
- Projection d'un film autour de l'autisme suivi d'un échange avec un professionnel
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Association locale
- Caf
- Commune
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Action qui se déroulera le samedi 2 juin 2018
En amont, plusieurs réunions ont été mises en place avec les familles, bénévoles puis avec l'ensemble des partenaires
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Entre 1000 à 1500 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Professionnels du Centre : 6
Partenaires : 10
- Résultat sur le territoire
1. Sensibiliser au handicap dès le plus jeune âge
2. Favoriser le vivre ensemble et lutter contre les stéréotypes
- Résultat pour le centre social
Informer et orienter les familles (associations, des structures d'accueil, d'éducation, de thérapie et de travail)
Lutter contre l'isolement de la personne porteuse de handicap et de sa famille
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
Action à ce jour non réalisée
- Suite de l'action : Perspectives
Action à ce jour non réalisée
Actions
Printemps de la Parentalité
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL CHARLES BÉRAUDIER - Isère
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
Un mois didié à la parentalité , avec des ateliers, des conférences, des échanges, des réunions et des sorties.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pour accompagner les parents et grands parents
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Autre
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
2550€ ( intervention, communication, animation)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
L'équipe du centre social (9)
Les partenaires (13)
Service communication de la ville (3)
- Résultat sur le territoire
Rencontre avec de nouvelles familles.
Colaboration entre l'équipe du centre social et les partenaires.
Meilleure visibilité et communication du centre social.
- Résultat pour le centre social
Rencontre avec de nouvelles familles.
Colaboration entre l'équipe du centre social et les partenaires.
Meilleure visibilité et communication du centre social.
- Résultat pour les habitants
Rencontre avec de nouvelles familles
Colaboration entre l'équipe du centre social et les partenaires.
Meilleure visibilité et communication du centre social
- Suite de l'action : Limites
Financiere
et situation innatendue ( CODIV-19)
- Suite de l'action : Perspectives
Nouvelle action en 2021
Actions
Prévention, parlons-en !!!
- Structure organisatrice
- MAISON POUR TOUS RIVERY - CENTRE SOCIAL - Somme
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Manifestation annuelle sur 5 journées
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Résumé
5 journées consacrées à sensibiliser les habitants à la prévention des accidents de la vie quotidienne, à l'incivilité et les dangers d'internet.
Les animations étaient destinées aux enfants, aux parents et aux séniors, autour de 3 axes:
1/ la prévention des accidents domestiques et initiation au secourisme,
2/ la prévention routière,
3/ Danger sur internet,
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Enfants et personnes agées sont les premières victimes des accidents de la vie courante,
Focus sur la 3ème cause de mortalité en France
1ère cause de décés chez les enfants de 1 à 14 ans
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
L'organisation des journées ont été conçues en collaboration avec la commune, la police municipale, la Maif prévention, le REAAP, le SDIS, l'amicale des secouristes de Rivery, les CEMEA,
3 réunions de coordination pour élaborer le programme : d'expositions, de projection de films, d'ateliers et de jeux,
Un bilan a été également réalisé conjointement
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
10 professionnels, 7 bénévoles
- Résultat sur le territoire
Il s'agissait d'accompagner les habitants à exercer son libre arbitre, et à faire des choix intégrant la dimension "risque" dans le cadre de sa vie quotidienne.
- Résultat pour le centre social
- Développer la dynamique du secteur parentalité, accompagner les parents dans l'organisation du quotidien des enfants,
- Résultat pour les habitants
- Une plus grande connaissance par les habitants des actions du centre social en tant que lieu de proximité à vocation globale, familiale et intergénérationnelle.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
prévention numérique
- Structure organisatrice
- TANDEM - CENTRE D'ANIMATION Beaulieu Maladrerie - Calvados
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Résumé
Prévention sous la forme d'atelier et de jeux auprès d'adolescent et sous la forme d'une table ronde pour les adultes encadrants ( parents, enseignants, éducateurs...)
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action apporte une réflexion et des solutions de protections en réponse aux risques liès à l'usage des outils numérique. Elle intervient à l'heure du tout numérique source d'inquiétude et de dangers réels ( cyber-harcélement, piratage,...)
Ces temps ont pour vocation d'apporter des réponses quant aux risques, aux moyens de protections, aux outils mais aussi d'établir des échanges entre adulte et jeunes.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Caf
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Dans un premier temps la référente famille et l'animateur multimédia du centre social rencontrent un groupe de jeune. Lors de cette séance, ceux ci sont invités à participer à un atelier de pratique numérique ( protéger son compte, information de profil, paramètre de confidentialité) et un atelier autour du jeu de plateau @social afin de réflechir aux enjeux des réseaux sociaux.
Dans un second temps, les adultes encadrants sont reçu dans le cadre d'une table ronde autour d'un repas partagé, afin de revenir de manière anonyme sur la séance vécu avec les jeunes, mais aussi de les informer des risques liées aux pratiques d'internet. Cette séance apporte des outils aux familles et aux enseignants quant à la gestion des écrans mais dans le cadre de cyber-harcélement.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Cette action fait intervenir 2 professionnels du centre social.
- Résultat sur le territoire
Ces ateliers permettent d'ouvrir une porte sur l'échange entre adultes et jeunes face aux dangers d'internet.
- Résultat pour le centre social
les rencontres avec les jeunes du teritoire permettent d'envisager des ateliers de pratiques numériques au centre social sous la forme de stage vidéo ou de réalisation au fab'lab.
- Résultat pour les habitants
Cette action renforce l'image de lieu ressource du centre social auprès des habitants.
- Suite de l'action : Limites
Certaines familles restent relativement éloignées des outils numériques et de la gestion des parramétres de sécurité.
- Suite de l'action : Perspectives
Le centre social envisage d'étendre cette action à l'ensemble des partenaires éducatif et de créer de nouveaux outils supports de prévention ( livret ressource en direction des jeunes et des adultes)
Actions
PRÉVENTION FORME +: LA SANTÉ PASSE PAR L'ASSIETTE
- Structure organisatrice
- ASSOCIATION DE QUARTIER LA CHAUMIERE 974 - La Réunion
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Cette action est terminée. Elle a été mise en place conformément à un appel à projet de la Politique de la Ville. L'impératif était qu'elle démarrer en 2021 et soit terminée avant juin 2022.
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Santé
- Résumé
Réalisation d'ateliers culinaires et d'ateliers de conférence santé afin d'expliquer au mieux les conséquences que peuvent avoir les aliments sur le corps humains et l'importance de manger sainement.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place pour sensibiliser les habitants du quartier à l'imortance d'une bonne alimentation par des explications d'une nutritionniste professionnelle. Le but étant de leur donner toutes les clés à un changement durable de leurs habitudes pour s'orienter peu à peu vers un équilibre santé.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Autre
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Différents ateliers culinaires et des conférences santé ont été menés avec un groupe de 10 femmes (mères de familles) habitant le quartier La Chaumière:
- 4 ateliers culinaires le 22 décembre 2021 ; le 19 janvier 2022 ; le 02 février 2022 et le 16 février 2022 ;
- 2 conférences santé le 05 mars 2022 et le 30 avril 2022
Lien vers le bilan de l'action
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- + 2000 € de subvention obtenus auprès de la Politique de la Ville
- - 2000 € décaissé pour régler la facture de prestation du cabinet Ylang Diététique
- Le temps bénévole dédié à l'organisation des rencontres côté ADQLC 974 a été de 60 heures soit 1200 €
- Des achats ont été réalisés à la demande du cabinet pour la bonne marche des ateliers culinaires au titre de l'Espace de Vie Sociale de la CAF : bouilloire, cuiseur à riz, ustensiles de cuisine, assietes, couverts, etc.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Du côté du cabinet : 2 diététiciennes, 1 enseignante en activité physique et 1 stagiaire.
- Du côté de l'ADQLC 974 : 2 bénévoles, 3 stagiaires.
- Résultat sur le territoire
- Des discussion autour des macro-nutriments qui circulent dans le quartier (les femmes parlent beaucoup entre elles et tant mieux)
- Des goûters plus sains dans les sacs des enfants
- Une meilleure notion du rapport effort physique / alimentation / santé
- Une perte de poids observée chez les participantes
- L'ogranisation de dépostage du diabète avec d'autres partenaires
- Une belle implication des parents à laisser les enfants réaliser une sortie à Expodia sur la thématique du diabète
Lien vers le bilan de l'action
- Résultat pour le centre social
- Une forte demande à réitérer l'action et à l'étendre à l'ensemble des habitants
- Une demande de mise en place d'action sportive pour les habitants du quartier au sein même du quartier
- Plus d'échanges entre les membres de l'association, entre et avec les bénévoles
- Résultat pour les habitants
- Investissement du public à participer à chacun des ateliers
- Bonne entente entre les participantes et l'équipe du cabinet extérieur, ouverture sur les autres pour les habitantes à tendance de repli communautaire
- Meilleure connaissance des informations à regarder lors des achats alimentaire
- Suite de l'action : Limites
- Un couplage avec une activité physique adpatée aurait donné une dimension encore plus intéressante à l'action mais le budget octroyé ne l'a pas permis
- Manque de budget pour réaliser l'action et régler les prestataires extérieurs
- Suite de l'action : Perspectives
- La présence d'une traductrice en mohorais est indispensable
- Le contenu pédagogique est à adpater à un public allophone et analphabète
- Une inclusion de séance de sport doux à ajouter
Actions
Prévention et régulation des incivilités et violences infantiles
- Structure organisatrice
- LE DIAPASON - Dordogne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- Santé
- Intégration
- discriminations
- Mixité sociale
- Résumé
* mise en oeuvre un diagnostic partagé et participatif; * interrogation de la place tutélaire des adultes; * construction d'un programme d'actions pour améliorer les relations sociales entre la diversité des acteurs; * Initiation et/ou renforcement d'une démarche de coéducation au sein de l'école élémentaire pour fabriquer de la cohérence éducative dans les réponses proposées par la diversité des acteurs présents; * travail sur la continuité éducative entre les différentes institutions d'accueil des éléves et des enfants sur le territoire;
3 phases: Phases 1: entretiens collectifs pour diagnostiquer les problématiques d'incivilité et de violence; Phase 2: Une conférence participative "contextualisée" et une assemblée éducative pour sélectionner les enjeux éducatifs prioritaires; Phase 3: deux assemblées éducatives pour co-construire un protocole d'action;
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place dans le cadre du comité de pilotage PEDT au sein duquel des formes de violences infantiles ont été identifiées par les partenaires, représentants des parents, services municipaux, élus et centre social.
résultat ou changement attendu: réduire les incibviltés et violences infantiles; créer davantage de lien et de cohésion entre les différents services éducatifs;
- Public
- Enfance
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Association locale
- Caf
- Commune
- DDCS
- Etat
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Le centre social, à travers son animation collective, a fait appel au sociologue Jean-Philippe Guillemet afin de définir et mettre en oeuvre le processus décrit ci-dessus. Un dossier REAAP a permis d'obtenir un co-financement appuyé par celui de la municipalité. La FCPE locale a également participé financièrement.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
7 650€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
165 élèves / enfants ; 11 enseignants; 12 animateurs; 8 parents; 2 bénévoles; 3 élus; 3 partenaires;
TOTAL: 204 personnes
- Résultat sur le territoire
renforcement des liens entre les partenaires éducatifs
favorise l'expression des enfants
production d'un "livret de bonne conduite" partagé
médiatisation de l'action à travers le bulletin municipal trimestriel
- Résultat pour le centre social
favorise le rôle d'animateur de la question de co-éducation sur le territoire;
le centre social a été légitimé, dans le cadre du PEDT, pour coordonner un comité technique (parents, structures éducativesà) afin de poursuivre le projet par la mise en place d'actions concrètes;
rapprochement avec les acteurs éducatifs, les parents, les enfants;
- Résultat pour les habitants
favorise la réflexion et la participation dans le cadre de la question de coéducation;
favorise le rapprochement entre les familles;
- Suite de l'action : Limites
Diificulté d'associer, en profondeur et dans la continuité, l'école élémentaire... Le cadre du PEDT, avec la présence de l'inspectrice, a obligé la directrice d'école à faire l'effort de participer aux trois phases.
- Suite de l'action : Perspectives
Mise en place d'actions intergénérationnelles (ex: repas partagés entre élèves / enfants et adultes / personnes âgées...);
Mise en place du comité technique qui décline des actions (ex: actions culturelles avec la maternelle, crèche, parents; ex: actions loisirs sur des sorties parents / enfants...);
Révision du positionnement de la commune dans le cadre des rythmes scolaires, à travers le comité de pilotage PEDT.
Actions
PRÉVENTION DU SURPOIDS
- Structure organisatrice
- CAP'GRAY - Haute-Saône
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Santé
- discriminations
- Résumé
Tout au long de l'année, nous avons mis en place divers ateliers afin de répondre au mieux aux objectifs que nous nous étions fixés. Plusieurs fois nous réalisons des ateliers cuisine et pâtisserie afin de faire prendre conscience aux enfants la valeur calorique des aliments.
Une fois par semaine un atelier sur l'équilibre alimentaire est mis en place avec un groupe d'enfants régulier. Ils évoquent les catégories d'aliments, le nom des fruits et légumes (et leur bienfait), des discutions autour d'un photo-langage...
Un espace de jeu sur le thème du marché à été installé pour permettre aux enfants d'être acteur d'une confection d repas.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
* Pour que les enfants prennent conscience de la ''bonne nourriture''
* Pour qu'ils puissent reconnaitre un repas équilibré
* Pour parler de la discrimination pour les enfants qui sont en surpoids...
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Commune
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Pour atteindre ces objectifs:
* Promouvoir des comportements alimentaires correspondanht à un mode de vie équilibré
* Mettre en évidence la relation entre l'équilibre alimentaire et santé
* Découvrir les bienfaits du ''fait maison''
- Ressources financières mobilisées pour cette action
3051.00€ pour l'année 2017
1000.00€ de subvention par la politique de la ville
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
* Un groupe de 20 enfants
* 2 animateurs du centre social
- Résultat sur le territoire
* Des goûters équilibré chaque jour
* Une connaissance des aliments
- Résultat pour le centre social
* Une reconnaissance pour la santé de chacun
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
Action à poursuivre avec éventuellement un parainage pour que tous les enfants puissent bénéficier de l'action
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Prévention des risques liés aux déplacements sur la voie publique des plus de 60 ans
- Structure organisatrice
- ASSOC. MONTARGOISE D'ANIMATION - Loiret
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
L'action répond à un objectif d'information et de prévention qui a pu entièrement être réalisé sur l'année 2019.
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Viellissement
- mobilité / transport
- Résumé
Objectifs
- Sensibiliser aux risques encourus sur la voie publique en tant que piétons, cyclistes, automobilistes
- Remettre à jour ses connaissances concernant le code de la route et la signalisation routière
- Donner les moyens au public d’évaluer ses aptitudes à conduire en toute sécurité
Le projet se décline en 3 temps forts :
- Une information – sensibilisation sur 1 séance portant sur la prévention des risques liés aux déplacements sur la voie publique. A partir d’un power point, le public pourra échanger autour de différentes situations abordant notamment le partage des voies entre piétons, cyclistes et automobilistes. A la suite, le public devra également trouver 10 erreurs placées dans une voiture, cet exercice permettra d’aborder, entre autre, le gilet jaune, le triangle, l’éthylotest, le téléphone, les médicaments,…Cette information sera assurée par l’Association de Prévention Routière.
Ce premier temps permettra de mobiliser sur les 2 actions suivantes :
- Un enseignement théorique sur 3 séances portant sur « la règlementation du code de la route et la signalisation routière » dispensé par une auto-école. Des tests psychotechniques pourront être utilisés pour aider le public à se positionner par rapport à ses connaissances et certaines aptitudes et ainsi préciser le contenu des interventions suivantes.
- Un enseignement pratique dans un véhicule par groupe de 3 personnes réalisé par l’auto-école.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L’AMA est un centre social implanté sur un quartier Politique de la Ville mais qui s’adresse à l’ensemble des habitants de l’Agglomération Montargoise voire du milieu rural proche. Une partie important de notre public est composée de personnes de plus de 60 ans. Afin d’informer notre public mais également pour écouter les besoins, nous organisons plusieurs rencontres dans l’année autour d’un petit déjeuner. Ces temps conviviaux sont l’occasion d’échanger et de réfléchir à de nouvelles actions. Des seniors nous ont ainsi exprimé le besoin d’avoir une remise à jour de leur code de la route. En effet, ayant passé leur permis de conduire il y a plus de 40 ans pour certains, la règlementation du code de la route et la signalisation routière ont évolué sans que ceux-ci aient eu obligation de se former. Ils se sont donc adaptés mais aimeraient se mettre à jour et éviter des erreurs qui, jusque-là, n’ont pas eu d’incidences.
De plus, nous pouvons être confrontés à accueillir des personnes qui présentent potentiellement un danger lorsqu’elles prennent leur véhicule. Pour exemple, en 2018, une bénévole d’un atelier de loisirs créatifs nous a sollicité pour trouver une solution face à une adhérente qui prenait sa voiture mais qui semblait ne plus avoir les aptitudes pour conduire en toute sécurité.
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Autre
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
2358 € prenant en compte les 2 prestataires (Comité Départementale de Prévention Routière et l'auto-école de Montargis)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
L'information a circulée par le biais des salariés et bénévoles responsables d'activité ainsi que par le biais des réseaux (associations, Conseils Citoyens,...) et réseaux sociaux.
2 salariés ont été mobilisés par l'action ainsi que 2 personnes pour la Prévention Routère et 2 pour l'auto-école.
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
L’information réalisée par l’AMA a mobilisé de nombreux seniors au sein de ses différentes activités (ateliers de loisirs créatifs par exemple,…) mais aussi en dehors grâce à une bonne communication (media et réseaux notamment).
40 personnes ont participés à tout ou partie des 4 interventions.
La plupart des personnes qui ont répondus au questionnaire final ont témoigné que l’action leur avait permis de prendre conscience de plusieurs éléments (risques sur la voie publique, vitesse, alcool,…), d’avoir un rappel de la signalisation routière et des règles de conduite complété par les nouveaux panneaux et dispositifs routiers récents (intersections 4 stops,…). Ils ont indiqué vouloir mettre en pratique un certain nombre d'informations: avoir un bon comportement face aux feux, dans les sens giratoires, dans les intersections, pour adapter la conduite en fonction des indications apportées par les panneaux.
9 personnes ont apprécié de se confronter à la réalité en prenant le volant avec les conseils d’un moniteur auto-école permettant de réajuster sa pratique et les éléments abordés lors des différentes interventions.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Action ponctuelle répondant à une demande du public senior.
Actions
PREVENTION DES ADDICTIONS
- Structure organisatrice
- CAP'GRAY - Haute-Saône
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Résumé
Tout au long de l’année nous organisons en collaboration avec l’ANPAA et la DDCSPP, des actions autour des addictions. Nous mettons en place différents ateliers comme : des théâtres forum, de la photo-expression, des inters-centres, des grands jeux…
Afin de sensibiliser un maximum de personnes qui participent à l’aide d’outils pédagogiques et ludiques.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Informer le public sur les addictions
- Être un lieu de confiance et d’écoute
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association nationale
- Caf
- Conseil départemental
- FONJEP
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
L’action se déroule tout au long de l’année. Avec une semaine dédiée à ce thème chaque trimestre.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Enfants, adolescents, adultes
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Prévention des accidents domestiques
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL RURAL DE LUCÉ - Sarthe
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
financements sur projet.
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Santé
- Résumé
* Mise à disposition de ressources pédagogiques auprès des établissements scolaires intéressés d’octobre 2013 à juin 2014 (1 exposition « prudent contre les accidents + 1 DVD « grandir sans risque » + 1 cédérom éducatif « la Maison de Tête en Bois » + 1 jeu « Lapinou, le lapin malin ».
* Mise en place d'actions auprès des enfants, des parents
- Installation et animation du dispositif "cuisine géante" dans la salle polyvalente du Gd-Lucé le mercredi 11 juin 2014.- expositions des réalisations des élèves des écoles engagées dans le projet.
- Animations complémentaires adaptées aux différents âges.- interventions des Pompiers.
* Représentations du spectacle « Bobo Doudou » dans la salle polyvalente du Grand-Lucé le vendredi 13 juin 2014
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Chaque année, 18 600 morts en France sont dues aux accidents domestiques, soit 2 fois plus que celles dues aux accidents de la route (Insee). Les risques d'accidents domestiques sont présents dans tous les foyers, cependant ils sont plus nombreux dans les logements insalubres. Les travailleurs sociaux et les enseignants des écoles sont particulièrement intéressés par cette problématique : à l’attention des EAJE, des établissements scolaires, mais aussi en direction des assistantes maternelles, des grands-parents, des parents et des familles en général.
En sensibilisant les habitants de la CDC de Lucé aux dangers domestiques, la volonté était de :
- Permettre aux enfants de prendre conscience des dangers domestiques
- Permettre aux parents de prévenir les situations à risque.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Caf
- MSA
- Autre
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Un groupe de travail a été constitué en septembre 2013, composé de salariés du Centre Social, de travailleurs sociaux, enseignants et de l'association MAIF Prévention. 4 rencontres ont permis la réflexion, la préparation, le suivi, la réalisation et l'évaluation du projet. Des outils interactifs et pédagogiques (Cuisine géante, exposition, guide pratique …) ont été collectés, confectionnés et mis à disposition. Des partenaires ressources ont été mobilisés (pompiers, éducatrice canin...). L'action s'est déroulée sur 10 mois, de septembre 2013 à juin 2014.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
2200€
charges : dont 1900€ de prestations extérieures (intervention de Calyxis "Maison Géante").
produits : 1000€ MSA / 300€ CAF (Réaap) / 300€ Crédit Agricole / 300€ Groupama / 300€ CDC
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
9 professionnels et 4 bénévoles.
73 adultes (enseignants, parents, assistantes maternelles, grands parents) ont accompagné et encadré les 609 enfants qui ont assisté au spectacle "Bobo Doudou".
- Résultat sur le territoire
mise en mouvement des établissements autour d'un projet commun à l'échelle de la Communuaté de Communes.
réappropriation par les équipes enseignantes des supports et contenus pour continuer à traiter le sujet au-delà de l'action.
- Résultat pour le centre social
démonstration de la capacité à mobiliser, fédérer et coordonner les partenaires.
identification du CS comme structure ressource.
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
la mobilisation des financements nécessaires.
- Suite de l'action : Perspectives
Pérenniser les actions partenariales de sensibilisation, d'information et de prévention en portant une attention particulière aux publics les plus exposés.
Actions
prevention délinquance en direction des jeunes
- Structure organisatrice
- Maison de quartier EDMOND MICHELET - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Collectif jeunesse :
La création du collectif jeunesse relève de l'initiative des services sociaux du Conseil Général (DPAS de Sevran) et de celle de la Ville de Sevran. La Mission prévention des conduites à risques du Conseil Général (qui depuis a fusionné avec la Mission Drogues de PARIS) a alors été missionnée,plus particulièrement Betty Azocar, pour réaliser un diagnostic de la situation. En avril 2012, une restitution a été proposée aux professionnels.
Du côté des publics, plusieurs problématiques ont été identifiées : apporter des informations en particulier sur l'alcool et le cannabis, prendre en compte les différents publics (jeunes scolarisés, jeunes consommateurs, environnement familial), travailler autour de l'engagement des jeunes dans le trafic, la déscolarisation (absentéisme, décrochage, exclusions), l'insertion professionnelle (renforcer l'insertion des jeunes dans les activités structurantes), la question du genre (rapports filles/garçons, sexualité à risque, grossesses précoces, violences), les souffrances psycho-sociales (estime de soi, construction identitaire, santé mentale, besoin d'écoute, d'espace de paroles et d'expression). Du côté des professionnels, plusieurs problématiques ont émergé : un manque de visibilité de la politique jeunesse, des questions liées à l'organisation (un défaut d'articulation et de coordination des acteurs, un défaut de connaissances des missions de chacun), le besoin d'un travail autour des postures et pratiques, développer des actions concrètes et communes.
Plusieurs objets de travail ont été cités : consommation de produits, trafic et économie de la rue, déscolarisation, insertion socio-professionnelle, question de genre et souffrances psycho-sociales
Des modalités de travail ont été proposées : formations, groupes de travail , actions et évaluation.
Lors du Comité de pilotage d'avril 2013 présidé par l'élu à la jeunesse, et afin de relancer la dynamique engagée par la formation prévention lancé en 2012 par la Mission du Conseil Général, il est décidé de recruter un coordinateur. Au cours de ce comité, des axes de travail sont également identifiés : autonomiser le réseau de professionnels, la mise en place d'un groupe de travail sur la prévention du trafic et l'organisation de deux séances de formations en direction des cadres et pour les professionnels de terrain n'ayant pas pu bénéficier des sessions précédentes. En juin 2013, un coordinateur est donc nommé, chargé d'assurer le pilotage du collectif en lien avec la Mission Métropolitaine de Prévention des Conduites (Paris/ Seine Saint Denis).
Quatre groupes de travail thématiques sont constitués par les professionnels à l'issue des formations prévention : estime de soi, prévention en milieu scolaire, le réseau inter-professionnel, la prévention du trafic.
La question de l'addiction est retenue; c'est un choix cohérent avec le contenu des formations proposées par la Mission Métropolitaine des conduites à risques.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place pour répondre au besoin de la prévention de la délinquance et dans le cadre de prevention des addictions
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Conseil départemental
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Collectif jeunesse :
Le bilan qui est proposé s'est donc effectué à partir du travail réalisé dans ces quatre groupes qui se sont réunis en ateliers de septembre 2013 à juin 2014. Ces quatre groupes sont composées par des professionnels issus du secteur du social, de l'animation, de l'insertion, de l'éducation nationale, du médical, même si ce secteur demanderait à être davantage représenté.
2 agents participent à 2 groupes, un dans le groupe « estime de soi » et le second dans le groupe de « prévention de l'engagement dans les trafics »
L'estime de soi est un concept qui a été beaucoup développé en Amérique du Nord, notamment par les canadiens (Québec). Il renvoie au concept d'emporwement (le pouvoir d'agir de l'individu) la capacité de l'individu à développer et à s'appuyer sur son propre potentiel.
L'estime de soi s'attache donc à travailler autour de la notion de renforcement des compétences psycho-sociales de la personne. Pierre Arwindson décrit le développement de ces programmes en 3 étapes : la première étape a été le constat de l'échec des programmes de prévention primaire des toxicomanies qui reposaient sur la peur, dans les années 70'. C'est à partir de ce constat que les professionnels ont fait appel à la psychologie sociale et aux pratiques cognitivistes qui s'appuient sur l'étude du comportement humain et sur l'apprentissage. Ces techniques sont spécialisées sur les formes conscientes du psychisme. La deuxième étape a consisté à élaborer des programmes où les promoteurs cherchaient à renforcer les compétences des adolescents pour les aider à faire face à la pression sociale, à l'échec, au stress sans avoir recours aux psychotropes. Ces nouveaux programmes étaient limités dans le temps et dans leurs objectifs mais ils ont semblé efficaces par rapport aux consommations des jeunes qui ont baissé . La troisième étape a vu la généralisation de cette approche dans les années 85-90'. Ils proposent des activités éducatives destinées à promouvoir la santé, en particulier mentales des élèves et des étudiants. Cette nouvelle approche s'inscrit dans les textes de l'Organisation Mondiale de la Santé qui propose en 1993 une définition :
« les compétences psychosociales sont la capacité d'une personne à répondre avec efficacité aux exigences et aux épreuves de la vie quotidienne. C'est l'aptitude d'une personne à maintenir un état de bien-être mental en adaptant un comportement approprié et positif à l'occasion de relations entretenues avec les autres, sa propre culture et son environnement. » Une liste de dix compétences psychosociales (ou aptitudes essentielles) a été établie : savoir résoudre le problèmes / savoir prendre les décisions / se calmer-réfléchir avant d'agir / exprimer le problème et ce qui et ressenti / choisir un but positif/ imaginer toutes le solutions possibles / évaluer les conséquences/ essayer le premier plan / avoir une pensée créatrice / avoir une pensée critique.
Le groupe Estime de soi du collectif s'est réuni à plusieurs reprises cette année (5 rencontres) dans de lieux différents (CS Marcel Paul, Collège Painlevé, PEIF,) avec une visite à la Mission Métropolitaine à Pantin. Une quinzaine de professionnels a participé de manière active à ce groupe. L'essentiel des échanges aura porté sur la présentation d'outils qui permettent de travailler autour de l'estime de soi avec les publics; la présentation de ces outils s'est faite par des collègues qui en ont une bonne pratique comme M.-T. Gaudier de la Mission Métropolitaine ou G. Desricourt de la Mission Locale et les collègues du service RSA . Il existe ainsi pléthore d'outils, souvent ludiques qui permettent de travailler, de mettre en valeur les compétences des personnes.
Groupe prévention en milieu scolaire :
L'école est un lieu important pour travailler cette question de consommation de produits avec les adolescents . Le groupe s'est réuni à 4 reprises, groupe composé des professionnels de l' Education Nationale et des éducateurs de l'association de prévention spécialisée Arrimage.
Ces différentes rencontres auront permis d'élaborer un projet d'intervention que nous avons présentés aux différents établissements scolaires de Sevran. Le coordonateur du collectif s'est également rapproché du CRIPS -Ile de France. Au cours de cette année, à l'initiative de notre collègue Sonia Marossa, assistante sociale au collège Painlevé à Rougemont, une matinée d'échanges autour de la prévention, consommation de cannabis, tabac a été organisée, animée par le Docteur H. Touitou. Cette rencontre a réuni une dizaine de personnes du collège.
Ce projet pour 2014-2015 a pour objectif global de proposer un travail visant à développer les compétences de chaque élève à faire des choix et à se positionner de manière favorable pour sa santé .
Au niveau du déroulé , 3 temps seront proposés :
-
1er temps: informations, échanges avec les élèves autour de leurs connaissances des produits , de leurs représentations, de leurs environnement (rapport avec les pairs)
-
2ème temps: :réflexions sur la question des comportements de consommation et eds conduites à risques au travers d'interventions théâtrales. Le théatre Forum peit-être un outil pertinent dans la mesure où il propose au public d'être acteur dans des situations de conduites à risques (mise en scène) Possibilité de disposer de l'espace F. Mauriac.
-
3ème temps: création de messages de prévention par les élèves ( concours d'images et de scénaris en utilisant des supports numériques)
Ce projet pourrait concerner 2 à 4 classes par établissement, en ciblant à priori les élèves les plus âgés.
Groupe prévention de l'engagement dans les trafics :
Cette démarche est expérimentale, peu de villes l'ont initiée en France. Cinq rencontres ont eu lieu sur ce thème dans notre groupe. La rencontre avec les collègues de Marseille (ADDAP 13) aura été importante. A-M Tagawa et L Choulak nous ont fait part de leur expérience dans ce domaine. L'idée est d'arriver à prévenir l'entrée des jeunes dans cette économie de la débrouille et de faciliter la sortie de certains de ces jeunes pris dans l'engrenage ds trafics.
Leur groupe de travail est issu du CLSPD (conseil prévention de la délinquance). Elles ont constitué un groupe de 15 personnes, se réunissant tous les mois. Ce groupe est accompagné par un tiers, sociologue. L'objectif est de réfléchir et de mettre en place des actions sur le territoire, en abordant également la question de la méthodologie. Trois axes sont retenus : les trajectoires familiales, le contexte des quartiers et le travail social communautaire. Ils ont aussi constitué un groupe habitants qui se réunit une fois par mois et qui n'est pas en lien direct avec les professionnels.
Le groupe des professionnels a réfléchi sur leurs modalités de fonctionnement et des critères ont été établis : régularité ds rencontres (1 fois par mois), cooptation pour l'entrée dans le groupe, constitution d'un groupe pour une année (une personne absente ne se fait pas remplacer par un autre collègue du service), restitution du travail effectué sachant que le comptes-rendus ne sont diffusés qu'aux membres du groupe.
De nombreux thèmes ont été abordés par ce groupe de Marseille intitulé « questions de réseaux » : les postures professionnelles, connaissances du problèmes et du public, le statut des participants, le soutien aux parents et aux adultes encadrants, les facteurs de compréhension de la situation de ces jeunes et de ces familles, l'expertise des habitants et des jeunes concernés, les allers et retour dans le trafic, la sortie de ces trafics, les rapports avec la Police, l'intervention en milieu carcéral, l'accès aux droits pour ces jeunes et leurs familles .
A Sevran, nous allons pouvoir nous appuyer également sur l'expérience de l'équipe de la Mission Métropolitaine des Conduites Risques et plus particulièrement celle de Catherine Jouaux qui à lancé ce type de travail dans un quartiers du Nord de Paris .
Concernant le collectif, nous sommes entrain de mettre en place un groupe d'une quinzaine de personnes en nous inspirant des modalités décrites par nos collègues de Marseille. Le groupe devrait être définitivement constitué fin juin 2014. Nous avons aussi retenu des critères de fréquence des rencontres, de confidentialité, de stabilisation du groupe afin que les personnes se sentent en confiance par rapport à un sujet très délicat. Dans un premier temps, nous allons travailler sur un état des lieux de ce qui se passe sur le territoire de Sevran. Cette première étape nous semble nécessaire afin de savoir de ce que l'on parle et de sortir des fantasmes. Mieux connaître la situation doit permettre d'envisager des actions collectives et s'outiller soi-même pour les suivis individuels. Ceci devrait nous permettre de mieux appréhender l'impact de ces trafics sur la vie des quartiers (espace public, délitement du lien social). D'autres axes pourront être ensuite proposer à la réflexion : la question du partenariat à mobiliser (justice, bailleurs sociaux, accès aux droits pour les familles ), la question de l'apport théorique pour mieux comprendre les facteurs de vulnérabilité sociaux et psychologiques qui interviennent dans les « décrochages » de ces jeunes, la compréhension des réponses pénales face aux actes posés par ces jeunes, la place des habitants et des acteurs associatifs dans ce travail préventif qui vise à prévenir l'entrée des jeunes et faciliter leurs sorties des trafics. Ce travail de réflexion, d'échanges et de rencontres, s'avère nécessaire avant d'aborder la phase opérationnelle , en direction du public.
Groupe réseau inter-professionnel :
Un double objectif a participé au travail de ce groupe:
- d'une part, identifier les différents acteurs du territoire intervenants dans le secteur de l'addictologie ;
- d'autre part, créer du lien entre les membres du collectif et ces structures qui peuvent être des points d'appui en termes de conseils, d'orientation pour le public suivi par les professionnels du collectif
Trois rencontres ont donc été organisées cette année avec le CSAPA GAINVILLE (consultation jeunes), le CAARUD Aurore (ex FIRST) et le secteur addictologie de l'hôpital R. Muret. Une vingtaine de personnes du collectif a participé régulièrement à nos rencontres.
Le groupe a noué un partenariat avec la Commission Addiction du CHSCT de la Ville de Sevran. animée par Sami Melliti. En effet, le coordinateur du collectif a été invité à participer aux différente réunions de cette commission. Ainsi , nous avons été partenaires dans l'organisation de la manifestation autour de la prévention des addictions qui s'est déroulée le 3, 4 et 5 juin 2014 à l'Espace F Mauriac.
Par ailleurs, cette commission a organisé une journée de formation sur la consommation de produits animée par Alcool Assistances qui a réunit une trentaine d'agents de la Ville. Un travail de coordination sera, à termes, sans doute nécessaire dans le cadre de formations proposées en direction des agents de la ville.
-
- Ressources financières mobilisées pour cette action
3500€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
200 jeunes
45 professionnels
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Prévention de la Jeunesse
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ARMAND LANOUX - Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Résumé
L'action se décline en plusieurs axes de travail (insertion dans le monde du travail, insertion des collégiens mis à pied, proposer un accueil jeunes notamment en allant vers ceux qui sont en voie de marginalisaion, un accompagnement des projets des jeunes et favoriser les liens intergénérationels) : Il s'agit de permettre aux jeunes ciblés par la prévention de la délinquance, d'investir la structure centre social dans sa globalité (lieu de loisirs, soutien administratif, aide à la recherche d'emploi, lieu d'écoute, de rencontre et d'échanges...). L'intervention des animateurs du centre social est aussi au quotidien de jouer un rôle de médiation entre les jeunes, les institutions, les familles, la loi. Nous mettons en place un travail éducatif dont le projet est la clé de voute afin d'impliquer les jeunes dans des expériences valorisantes et utiles à leur construction identitaire. Enfin, nous intervenons lors de situations tendues et récurrentes qui exacerbent les relations de voisinages. "Squattage, tapage nocturne, urinage dans les parties publiques, agressions verbales".
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Amener les jeunes les plus marginalisés à s'inscrire dans une démarche de projet d'insertion sociale. Permettre aux jeunes ne fréquantant pas les structures associatives (13/15 et 16/25 ans) d'identifier le centre social comme lieu ressource, de formation et de soutien. Favoriser l'accès à l'autonomie dans les projets d'insertion professionnelle, sociale et/ou de loisirs. Favoriser l'expression des jeunes les plus éloigné des spheres de socialisation. Permettre les rencontres intergénérationnelles. Prévenir les comportements à risque et réduire les actes d'incivilité au sein du quartier. Lutter efficacement contre l'oisiveté des jeunes par le partage de projets socialisant.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Bailleur social
- Commune
- Conseil régional
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Les animateurs ont mis en place des permanences pour accueillir les jeunes, des sorties, des accompagnements individualisés. Les animateurs interviennent sur les situations tendues ou violente.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 professionnels, 2 bénévoles
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
Identifier le centre social comme lieu de ressource de formation et de soutien.
- Résultat pour les habitants
Réduire les actes d'incivilités au sein du quartier. Résolution des conflits avec les habitants.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
prévention canicule
- Structure organisatrice
- Espace Socioculturel - Pyrénées-Orientales
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Santé
- Résumé
une lettre est envoyée à toutes les personnes de la comune agées de plus de 75 ans. ces personnes sont invitées à s'inscrire au centre social sur une liste "prévention canicule" qui poura être transmise à la préfecture en cas de déclenchement du plan canicule. l' équipe du centre social appelle ces personnes tous les 2 jours pour prendre de leur nouvelles et renouveler les consigne en cas de forte chaleur
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Autre
- Précision ( si autre )
demande de la préfecture pour la tenue de la liste
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
cette action a été mise en place à la demande de la préfecture.
afin de rompre l'isolement des personnes inscrites le centre social maintien le lien en les appelant tous les 2 jours
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
une réunion d'information est faite avec les associations de personnes âgées afin qu'elles sensiblisent leur public. ces associations font partie des partenaires contactés en cas de non réponse de la personne âgée
un partenariat est mis en place avec les médecins et les associations
des bénévoles apportent leur aide à l'équipe pour mettre le courrier sous enveloppe. cela représente 900 lettres
qui sont envoyées à la fin du mois de mai
la communication est faite aussi par voie de presse. les inscriptions se font par téléphone ou en accueil physique
- Ressources financières mobilisées pour cette action
1417 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 bénévoles et 2 salariées
- Résultat sur le territoire
information communiquées sur les risquesd de la canicule
- Résultat pour le centre social
faire connaitre le centre social aux personnes âgées isolées
- Résultat pour les habitants
developper une prévention santé et rompre l'isolement
- Suite de l'action : Limites
l'action est à poursuivre
- Suite de l'action : Perspectives
donner du sens à ces contacts
pouvoir proposer à ces personnes des actions adaptées à leur situation de santé, d'isolement
Actions
Prévenir l'implication des plus jeunes dans les trafics
- Structure organisatrice
- MAISON POUR TOUS MONPLAISIR - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
Une recherche-action a été réalisée à la demande du groupe Jeunesse du quartier de Monplaisir d’Angers constitué depuis 2007 à l’initiative de la Maison pour tous (MPT) et de l’Association pour la sauvegarde de l’enfance et de l’adolescence (ASEA). Une demande qui relaie les questionnements des professionnels qui interviennent auprès de jeunes impliqués dans le trafic de drogues : comment établir un climat de confiance avec eux sans que cela soit perçue comme une forme d’acceptation du trafic ? Quelle part peut prendre la prévention ? Cette recherche-action a produit une lecture plus fine du trafic de drogues et a permis de construire un cadre éthique d’intervention qui permette aux professionnels de la proximité d’être mieux aidants vis-à-vis de ces jeunes, et de leur proposer des alternatives fortes et crédibles. Elle s’inscrit dans le cadre d’une sociologie clinique du travail qui repose sur le principe de la coopération entre chercheurs et professionnels sur le terrain même de la production des connaissances afin de gagner en puissance d’agir individuelle et collective. Les participants inscrivent leur activité professionnelle dans des champs divers (EN, TS, animation, insertion, médiation, justice), travaillent dans des cadres institutionnels divers (ASEA, SAEMO, MPT, MDS, Ville, régie de quartier, école élémentaire, collèges, lycées, Mission locale et PJJ), rencontrent les jeunes à différents moments de leur parcours dans le trafic. Ils ont en commun d’être déstabilisés dans leur pratique par l’irruption de ce trafic et surtout un positionnement éthique, le fait de ne pas s’en accommoder. Chacun a pu s’autoriser à poser une parole authentique parce qu’il savait que les autres partageaient des difficultés semblables aux siennes mais aussi parce qu’il était conscient de ce qu’il pouvait apprendre en échangeant avec eux sur les pratiques et les positionnements.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Association locale
- Bailleur social
- Caf
- Commune
- Etat
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
La démarche ici proposée s’inscrit dans le cadre d’une sociologie clinique du travail qui repose sur le principe de la co-construction des savoirs, de la coopération entre chercheurs et professionnels sur le terrain même de la production des connaissances ; cela, afin de gagner en puissance d’agir individuelle et collective.
L’entretien collectif répété avec retour a constitué l’outil privilégié. Le fait de répéter les rencontres permet de créer la confiance nécessaire à la mise en oeuvre d’une démarche reposant d’abord sur la prise de parole. Le fait de faire retour entre deux séances de travail aux participants de ce qu’ils ont dit et des mises en perspectives et analyses des chercheurs favorise leurs postures réflexives.Le volontariat et l’engagement de ne pas sortir du groupe ce qui s’y dit sans l’accord de tous ont constitué ses principales règles. Leur respect a conditionné sa poursuite.
Enfin, la composition du groupe est décisive. Les participants inscrivent en effet leur activité professionnelle dans des champs divers comme ceux de l’Education nationale, du travail social,de l’animation, de l’insertion, de la médiation, de la justice… Ils appartiennent à des culturesprofessionnelles différentes et notamment à des cultures éducatives différentes (Education nationale, Education spécialisée, Education populaire…). Ils travaillent dans des cadres
institutionnels divers : l’Association de sauvegarde de l’enfance (ASEA49) ; Maison pour tous (MPT) de Monplaisir ; Maison départementale des solidarités (MDS) ; Ville ; régie de quartier ;école élémentaire Voltaire ; collège Jean Lurçat ; lycée (Henri Dunant, Emmanuel Mounier), Mission locale et PJJ… Ils rencontrent les jeunes à différents moments de leur parcours dans le trafic. Certains les rencontrent alors même qu’ils n’y sont pas engagés mais courent le risque de l’être ; d’autres dès leurs premiers pas en tant que guetteurs ; d’autres, encore, alors qu’ils y sont installés en tant que revendeurs, parfois même enkystés ; d’autres, enfin, alors qu’ils sont sous main de justice. Certains sont plutôt dans la prévention de l’implication dans le trafic ; d’autres
dans la réduction des risques ; d’autres, enfin, dans la prévention de la récidive. Mais ils ont tous en commun d’être déstabilisés dans leur pratique par l’irruption du trafic et surtout un positionnement éthique, le fait de ne pas s’en accommoder. Chaque professionnel, dans ce groupe, a pu s’autoriser à poser une parole toujours plus authentique parce qu’il savait que les autres partageaient des difficultés semblables aux siennes et exprimaient, comme lui, un fort désir de les surmonter mais aussi parce qu’il était conscient de tout ce qu’il pouvait découvrir et apprendre en échangeant avec eux sur les pratiques et les
positionnements. Le sens a ainsi cheminé au travers de tout ce qui, dans les paroles des uns et des autres, se faisait écho, entrait en résonnance, avait pouvoir d’évocation, donnait lieu à association d’idées.
La coordination de la recherche action a été assurée par la MPT Monplaisir et l’ASEA 49.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
prévenir de l'usage des écrans
- Structure organisatrice
- ACCOORD BOTTIERE - Loire-Atlantique
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Santé
- Résumé
face à une génération d'enfants qui passent beaucoup de temps devant les écrans, "outils faciles" pour occuper les enfants et obtenir une certaine tranquilité pour les parents, un animateur de l'accueil de loisirs a décidé de mettre en oeuvre une action sur le temps d'accueil soir pour :
- amener les parents à se rendre compte du bienfait des activités manuelles
- ancrer les parents dans la vie de l'ALSH
- montrer les capacités motrices développées par leurs enfants
- temps partagé enfant-parent autour de l'actrivité et de sa présentation par l'enfant
La démarche consiste à mener un atelier un mercredi par mois en fin d'après midi avec les enfants qui le souhaitent. Cette activité est continuée pendant l'accueil soir de l'accueil de loisirs jusqu'à l'arrivée du parent. A son arrivée, l'actrivité est présentée par l'enfant à son parents et continuée ensemble.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La technicité expliquée par l'enfant permet au parent d'acquérir une compétence nouvelle qu'il pourra reproduire au sein du foyer.
Ce temps bénéficie également à l'échange entre l'équipe d'animation et les parents et de sensibiliser à l'usage des écrans. Les compétences acquises par les parents sont des clés pour les parents pour réduire le temps d'usage des écrans par leur enfant.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
sur l'accueil d loisirs les mercredis une fois par mois avec l'animateur porteur du projet, sur le tremps d'accueil du soir de l'accueil de loisirs
- Ressources financières mobilisées pour cette action
budget de fonctionnement de l'accueil de loisirs pour l'achat du matériel nécessaire à l'activité manuelle
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
environ 20 familles ont été concernées jusqu'à lors par cette action
- Résultat sur le territoire
des familles ont demandé du matériel à l'animateur pour refaire l'activité chez eux. D'autres ont demandé où il était possible de trouver le matériel pour les activités. Les enfants ont exprimé leur fierté de pouvoir expliquer à leur parents comment réaliser l'activité manuelle
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
la disponibilité des parents sur l'accueil du soir
- Suite de l'action : Perspectives
l'action se déroule toujours cette année avec l'envie de mobiliser d'autres parents et de pouvoir l'appliquer à d'autres groupes de tranches d'âge de l'alsh
Actions
Prev'Action: Tout Sex'Plique (Comédie Musicale)
- Structure organisatrice
- Centre Social de Villars - Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Le Projet de Sensibilisation et de Prévention auprès des jeunes n'est pas terminé, mais cette phase oui.
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Santé
- discriminations
- Résumé
Nous allons répondre à cette problématique par le biais de différents domaines artistiques : Le chant et la danse principalement grâce a un partenariat avec la compagnie de chorégraphe « Dipsik » et d'un professeur de théâtre avec qui nous avons l'habitude de travailler au Centre Social. Les jeunes pourront alors s'exprimer librement sur certains sujets qu'ils ne maîtrisent pas forcément mais qui les accompagnent au quotidien. La création d'un spectacle de type comédie musicale permettra de faire passer le message des jeunes au Centre Social et de les valoriser face à ce sujet. Nous avons également l'ambition de faire des représentations à l'occasion de certains événements stéphanois (festival musical, fête du livre,...) et même de créer des partenariats avec d'autres structures accueillant des jeunes.
Déroulement :
- Première partie : En partenariat le planning familial de Saint Étienne, elle a pour but de faire prendre conscience aux jeunes des risques liés à la sexualité grâce à des discutions à l'aide de supports comme le film déjà réalisé.
- Deuxième partie : elle est dédiée à la réalisation du spectacle avec nos partenaires.
- Troisième partie: Représentations du spectacle à Villars et ailleurs...
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les jeunes âgés de 14 à 17 ans sont de plus en plus exposés, dans les médias et sur internet, à une image néfaste de la sexualité et on un comportement parfois inapproprié face à leur sexualité. Après avoir déjà réagi sur ce sujet lors d'un premier projet de prévention à la sexualité avec un petit groupe de jeunes qui ont réalisé un film, nous souhaitons renouveler ce projet car nous avons pu voir les jeunes évoluer et repenser leur façon de voir la sexualité à leur âge. Le projet déjà réalisé à aussi permis aux jeunes d'être valorisé face à ce sujet auprès du Centre Social, de leur famille et de Villars.
Public visé : 8 jeunes de 14 à 17 ans habitués du Centre Social.
Objectifs généraux
Objectifs opérationnels
Moyens
Critères d'évaluations
Valoriser les jeunes grâce à des représentations organisées devant d'autres jeunes ou à l'occasion d’événements urbains afin de faire passer le message
- Prévoir la réalisation du spectacle au Centre Social mais aussi à l’occasion des différents événements de Villars
- S'informer des différents événements stéphanois
- Créer un partenariat avec d'autres structures d'accueil de mineurs
- Un animateur BPJEPS
- Une intervenante artistique
- Un professeur de théâtre
- Des déplacements et l'alimentation
- Les jeunes se sentent ils valorisés lors des représentations ?
- Le message des jeunes passe t-il à travers le spectacle ?
- Combien de représentations ont été réalisée ?
- Les jeunes arrivent ils à parler de leur projet leur des débats ?
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Cette action a été menée par l'animatrice jeunesse. les jeunes ont été associés au projet et acteurs à part entière (crétaion scénario, chorégraphie...) Pour les aspects techniques, des intervenants qualifiés étaient présents.
Un échéancier donnait le rythme à suivre depuis l'idée jusqu'à la représentation finale.
Les jeunes ont du faire preuve de motivation, engagament, régularité et rigueur. mais le résultat obtenu dépassait toutes leurs attentes.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Projet Tout sex'plique Centre Social Villars 2015 DEPENSES RECETTES Frais de personnel Centre Social 2 535 € Subventions reçues 6 500 € Frais administratifs 600 € CAF Loire sub exceptionnelle 3 500 € Conseil Général « Plan Jeunes » 3 000 € Intervenants techniques 4 239 € Autres recettes 1 879 € Déplacements 309 € Aides à l'emploi 72 € Matériel 38 € FONJEP 250 € Communication 20 € CAF Loire 750 € Alimentation 20 € Participation familles 567 € Sortie animations 519 € Mairie de Villars prestations services 140 € Centre Social Villars Bénévolat 100 € Bénévolat 100 € Total dépenses 8 379 € Total financements 8 379 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 animatrice jeunesse
2 intervenants techniques: pour la chorégraphie et pour le théatre
8 jeunes
les structures jeunesses et familles présentent pour la représentation finale
- Résultat sur le territoire
un groupe jeune renforcé
leur image a changé et leur comportement également
ils ont su etre des "représentants" pour un sujet de prévention
le rapport aux autres et aux adultes a évolué
necssité d'avoir un animateur jeune qualifié et permanent
- Résultat pour le centre social
un secteur jeune qui se développe et trouve sa place au sein de la structure
necssité d'avoir un aniimateur jeune qualifié et permanent
intégartion du groupe jeune et de ses projets à la démarche associative
- Résultat pour les habitants
les jeunes sont capables de faire des projets et de les menés
le Centre Social est un appui pour la jeunesse
- Suite de l'action : Limites
Un aniametur jeune qualifié et permanent necessite des fonds!
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Prêts de jeux/ludothèque
- Structure organisatrice
- MDH le Patio (CS arlequin) - Isère
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Précarité
- vacances / loisirs
- Résumé
Développement du volet prêt de jeux de la ludothèque, en particulier pendant les périodes de confinement.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le centre social/Maison des habitant.es a fermé une partie de l'année et en particulier la ludothèque, et même quand elle était ouverte, elle l'était avec une jauge réduite. Constat d'un besoin des familles "d'occuper" leurs enfants, de partager un moment agréable, obligatoirement en intérieur (confinement), sans avoir forcément le matériel adapté à la maison, ni les moyens d'acheter des jeux.
Cette proposition a été couplée avec des livres et donc en partenariat avec la bibliothèque pendant le confinement : prêt de livres et jeux.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Éducation Nationale
- Commune
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Les enseignants ont ciblé/orienté des familles qui avait particulièrement besoin de cette proposition, de même que l'ensemble des référentes familles du territoire 6 et la coordinatrice accompagnement à la scolarité. Cette proposition a été couplée avec des livres et donc en partenariat avec la bibliothèque pendant le confinement : prêt de livres et jeux.
Pendant le confinement, les livres et jeux ont été livrés aux familles, et sur les autres périodes, les familles pouvaient venir sans rdv à la ludothèque sur des créneaux dédiés ou en prenant rdv avec l'animatrice de la ludothèque (gratuitement).
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget de fonctionnement de la ludothèque habituel avec un renforcement de l'achat de jeux permis par la bonification CAF (400 €).
Gratuité pour les familles qui empruntent.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
9 professionnelles (maisons des habitant.es du secteur 6 + bibliothèque)
- Résultat sur le territoire
Meilleure connaissance de la ludothèque.
Développement du partenariat écoles/ludothèque/bibliothèque
- Résultat pour le centre social
Meilleure connaissance de la ludothèque et donc de la Maison des habitant.es
Développement du partenariat écoles/ludothèque/bibliothèque.
Liens développés avec certaines familles non connues par les professionnelles et maintien du lien avec les familles à travers des outils ludiques, dans une période très difficile.
- Résultat pour les habitants
Meilleure connaissance de la ludothèque et donc de la Maison des habitant.es.
Liens développés ou renforcés avec les professionelles de la Maison des habitant.es à travers des outils ludiques dans une période difficile. Possibilité par cette proposition d'accompagner plus globalement d'autres questionnements autour de la parentalité.
- Suite de l'action : Limites
Cela demande beaucoup de temps pour préparer les jeux, vérifier qu'ils sont complets, organiser la quarantaine (pendant COVID), rappeler les familles si besoin etc.
Certains parents n'osent pas emprunter de peur d'abîmer les jeux.
- Suite de l'action : Perspectives
Volonté de continuer à développer ce prêt de jeux car c'est un bon complément au jeu sur place à la ludothèque et l'outil jeu permet de travailler en douceur de nombreuses problématiques liées à l'éducation, à la parentalité.
Actions
Prêt de livres à domicile et Réseau de bénévoles
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL DU PAYS D'ARNAY - Côte-d'Or
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- vacances / loisirs
- Résumé
Public ciblé: Ce service est proposé à toute personne dans l’impossibilité permanente ou provisoire de se déplacer et résidant sur la communauté de communes du pays d’Arnay (21230).
C’est un projet qui répond à un besoin local : beaucoup de personnes isolées et ou âgées, C’est une activité une occupation qui permet d’entretenir la mémoire, les capacités intellectuelles pour les personnes âgées et qui permet de créer ou de maintenir les liens sociaux, de rompre l’isolement. il permet aussi de restaurer des liens et du bénévolat de proximité.
Un réseau de bénévoles s'est constitué pour apporter une selection de documents de la médiathèque auprès de personnes agées ou dépendante. convivialité, initiation aux nouvelles technologies (tablettes), petits jeux de mémoire et papotte font la réussite de cette actions.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les enjeux identifiés par rapport au territoire et cette action sont : Une population vieillissante et isolée, une difficultés pour passer la frontière d'Arnay le dôme. Cette action répond à deux des trois orientations du projet social à savoir : le Centre social déploie une action qui prend en compte l’ensemble de la population du canton dans une visée de lien social, de solidarité et de « vivre ensemble », le Centre social est un animateur de la vie sociale en proximité avec les habitants des communes du Pays d’Arnay,
Ainsi les objectifs généraux qui répondent à cette action : PERMETTRE que les activités et les actions du Centre Social soient accessibles au plus grand nombre; SOUTENIR des projets solidaires, PERMETTRE à des personnes en situation de vulnérabilité d’être acteur de la vie sociale pour éviter le repli sur soi. « Agir et Faire », DEVENIR générateur de lien social dans les différentes actions séniors, FAVORISER l’ouverture au monde.
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Mise en place d'un groupe projet avec les habitants et bénévoles intéressées pour mettre en place cette action, sous forme d'animation participative, pour construire les objectifs et le déroulement des projets. les professionnels sont intervneus en soutien de l'action.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 salariés dont une de la médiathèque, les deux autres salariées, étaient présentes pour animer le groupe projet et 8 bénévoles habitants
- Résultat sur le territoire
Des liens de proximité renforcés, avec des visites de courtoisie en dehors du prêt de livres du territoire.
- Résultat pour le centre social
Valorise l'action hors les murs du centre socialet permet de mailler le territoire étendu.
- Résultat pour les habitants
Ce projet renforce le sentiment d'utilité pour les bénévoles habitants, la confiance en soi pour certain dnas la construction d'un projet. Il permet à la fois pour les bénévoles et les personnes âgées de découvrir des auteurs, des revues, et de s'ouvrir sur le monde, mais aussi de confronter les points de vue entre générations, et enfin de sensibiliser aux usages du numérique.
- Suite de l'action : Limites
Le sprincipales limites sont :
- la dimension géographique du projet et de son déploiment sur les 20 communes
- et d'introduire une dimension collective, dans des visites à domicile, qui favorise les relations interpersonnelles.
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Prêt de jeux et de livres
- Structure organisatrice
- Maison de quartier d’Hilard - Mayenne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
Lors de la crise sanitaire le centre social a développé des prêts de livres et de jeux pour les familles et les habitants afin que chacun puisse s'occuper à la maison et développer les liens.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
PRESENCE SOCIALE
- Structure organisatrice
- ASSOCIATION D'HABITANTS ET D'ANIMATION AVALIX QUARTIERS NORD - Loire-Atlantique
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Confronté a la crise sanitaire , le centre social Avalix Quartiers Nord a bousculé ses pratiques et c'est adapté à la situation .
En effet les presences sociales ont pu voir le jour suite a la fermeture de l'équipement et à l'obligation de rencontrer les habitants la ou ils sont ; dans la rue , sous leurs balcons....afin de maintenir un lien avec le public
Cette presence sociale s'organise en binome avec collegues de l'association ESCALADO et (ou) ADPS ( prevention specialisée) à raison de 2 fois par semaine .
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
A travers cette action il s'agit bien de maintenir un lien aux habitants pendant la pandemie ,mais au dela de la crise sanitaire cette approche "d'aller vers" dans cette grande proximité est tres interessante afin de
se rapprocher de ceux que l'ont ne voit pas dans le centre social et qui ont pourtant des envies et des besoins.
Certaines caracteristiques de notre territoire d'implantation nous montre que la precarité et l'isolement sont le lot de nombreuses personnes .
Il s'agit a partir de cette presence de tisser un lien de confiance avec les habitants qui sont les plus eloignés du centre social .
Cette action permet aussi d'optimiser notre role de "veille sociale "sur le territoire.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
A raison de deux fois par semaine nous nous deplacons en binome .
Le territoire d'intervention est decliné en deux parties.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Il n'y a pas de budget a proprement parlé sur cette action , mise a part le temps passé par les salariés lors de ces presences.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 personnes par interventions
- Résultat sur le territoire
-Durant la pandemie cette action a permis de maintenir un lien avec les habitants et ainsi de rompre la solitude momentanement.
Nous poursuivrons cette action hors crise sanitaire afin de garder un lien et une relation de confiance avec le public et ainsi de permettre a "ceux que l'on ne voit pas" de retisser du lien .
- Résultat pour le centre social
A travers cette action il s'agit bien de maintenir un lien aux habitants pendant la pandemie ,mais au dela de la crise sanitaire cette approche "d'aller vers" dans cette grande proximité est tres interessante afin de
se rapprocher de ceux que l'ont ne voit pas dans le centre social et qui ont pourtant des envies et des besoins.
- Résultat pour les habitants
- rompre l'isolement
- engager une relation de confiance avec les animateurs et peut etre permettre a ces habitants d'exprimer des besoins et des envies auquelles nous pourrions repondre.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Poursuivre cette demarche sur du long terme car, ce n'est que sur du long terme que les relations avec les habitants ont une chance de s'installer.