Les actions des centres sociaux
Actions
Soutien à la souffrance psychosociale "hors les murs"
- Structure organisatrice
- PARTAGE FAOURETTE - Haute-Garonne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Santé
- Résumé
Des temps de permanences psychologiques "hors les murs":
- De proximité dans des lieux non-stigmatisants et déjà connus des personnes en situation de précarité (places publiques, parc publiques, lieux de passages,...) ;
- Mobiles, flexibles dont des modalités d’évaluation, de soutien, de prévention, d’orientation vers le droit commun ou association en fonction de la situation ;
- Adaptées aux situations d’urgence, de crise ou d’instabilité ;
- Favorisant une meilleure continuité dans les accompagnements psychosociaux ;
- Prenant en compte les déterminants contextuels des situations individuelles (situationnels, socioculturels, économiques et politiques) au-delà des déterminants subjectifs (relationnels, intrapsychiques, existentiels).
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le dispositif du « Psy qui traîne Hors les murs » a été créé suite au confinement du printemps 2020 où de nombreuses personnes ne s’autorisaient plus à fréquenter des lieux habituels (accueil de l’association, certains espaces publics,…). Certaines personnes éprouvaient le besoin de prendre soin d’elle-même sur un plan psychique mais craignaient de fréquenter à nouveau des lieux clos.
Proposer une rencontre avec un psychologue dans un cadre différent du cadre classique, moins intimidant, plus abordable ; permettant ainsi d'accueillir et d'informer les personnes sur le rôle et la fonction des psychologues et où le rencontrer dans le droit commun. Ce cadre permet en outre aux personnes de parler et d'être entendues sans pour autant être considérées comme patient, malade ou fou. Parmi ces interventions ont lieu des temps de « déambulations » en binôme avec un éducateur du Club de prévention de La Faourette
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Commune
- Autre
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Ce nouveau dispositif s'articule autour d'interventions cliniques psychosociales de proximité dans des lieux non-stigmatisants et déjà connus des personnes en situation de précarité (parc des Merlettes, place centrale à Tabar, Chapelle Mexicaine à Tabar, parc de La Faourette, accueil de l’association Solidarité Jeunesse Internationale).
- Ressources financières mobilisées pour cette action
8234 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 Psychologue clinicien salarié de Partage Faourette
1 éducateur spécialisé du club de prévention de la Faourette (en binôme)
1 Adulte Relais de Solidarité Jeunesse Internationale
- Résultat sur le territoire
- Sensibiliser au rôle et à la fonction du psychologue dans un souci de complémentarité des savoirs et compétences et un travail au niveau des représentations du psychologue (en expliquant son rôle et sa fonction, en le rendant plus abordable, moins effrayant, plus proche de la personne et de ses préoccupations, de son milieu).
- Favorisant une meilleure continuité dans les accompagnements psychosociaux ; prenant en compte les déterminants contextuels des situations individuelles (situationnels, socioculturels, économiques et politiques) au-delà des déterminants subjectifs (relationnels, intrapsychiques, existentiels).
- Résultat pour le centre social
Meilleur maillage territorial de la visibilité des actions du centre social notamment des personnes éloignées du droit commun
- Résultat pour les habitants
De temps de soins de proximité dans des lieux non-stigmatisants et déjà connus des personnes en situation de précarité (places publiques, parc publiques, lieux de passages
- Suite de l'action : Limites
-
- Suite de l'action : Perspectives
Possibilités de poursuivre l'action en variant les formes d'intervention, les partenaires du territoire de façon à intégrer un maximum dedes populations habitantes dans le dispositif
Actions
la coulée de l'histoire
- Structure organisatrice
- LES BRAS OUVERTS - Guadeloupe
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- Mixité sociale
- Résumé
La coulée de l'histoire est un atelier de peinture animé par un Maitre plasticien pour réaliser des fresques revalorisant un lieu abandonné , réhabilté en aire de promenade et espace d'appropriation sociale et culturelle.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La coulée de l'histoire deviendra un lieu privilégié de transmission et d'échange dans un espace de verdure ouvert et animé par les résidents.
A terme, des activités de l'économie sociale et solidaire devraient y prendre place et se développer...des entrepreneurs sociaux devraient naitre dans les secteurs de guides historiques culturelles et touristiques
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Un projet collaboratif animé par les résidents et des artistes
Début de l'action juillet 2020
Réunions régulières
Une programmation
Des évaluations
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Mise aux normes et Sécurisation :
Achat de matériel
Prestations et honoraires divers
COUT TOTAL 15 000 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
9 professionnels
37 bénévoles
- Résultat sur le territoire
le lieu est devenu un site artistique culturel historique et touristique
les ecoles et la ville entendent se joindre au projet dans le cadre du développement des arts de rue
- Résultat pour le centre social
Ce projet renforce la visibilité du Centre et conforte son utlité sociale
- Résultat pour les habitants
La coulée de l'histoire valorise l'espace et favorise l'écocitoyenneté
- Suite de l'action : Limites
Les partenariats dynamiques sont encore possibles pour élargir l'impact du projet et sevir de modèle à d'autres initiatives.
- Suite de l'action : Perspectives
L'action exige de l'entretien pour se péréniser ainsi que des formations pour professionnaliser les activités lliées à la coulée de l'histoire
Actions
la coulée de l'histoire
- Structure organisatrice
- LES BRAS OUVERTS - Guadeloupe
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- Mixité sociale
- Résumé
La coulée de l'histoire est un atelier de peinture animé par un Maitre plasticien pour réaliser des fresques revalorisant un lieu abandonné , réhabilté en aire de promenade et espace d'appropriation sociale et culturelle.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La coulée de l'histoire deviendra un lieu privilégié de transmission et d'échange dans un espace de verdure ouvert et animé par les résidents.
A terme, des activités de l'économie sociale et solidaire devraient y prendre place et se développer...des entrepreneurs sociaux devraient naitre dans les secteurs de guides historiques culturelles et touristiques
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Un projet collaboratif animé par les résidents et des artistes
Début de l'action juillet 2020
Réunions régulières
Une programmation
Des évaluations
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Mise aux normes et Sécurisation :
Achat de matériel
Prestations et honoraires divers
COUT TOTAL 15 000 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
9 professionnels
37 bénévoles
- Résultat sur le territoire
le lieu est devenu un site artistique culturel historique et touristique
les ecoles et la ville entendent se joindre au projet dans le cadre du développement des arts de rue
- Résultat pour le centre social
Ce projet renforce la visibilité du Centre et conforte son utlité sociale
- Résultat pour les habitants
La coulée de l'histoire valorise l'espace et favorise l'écocitoyenneté
- Suite de l'action : Limites
Les partenariats dynamiques sont encore possibles pour élargir l'impact du projet et sevir de modèle à d'autres initiatives.
- Suite de l'action : Perspectives
L'action exige de l'entretien pour se péréniser ainsi que des formations pour professionnaliser les activités lliées à la coulée de l'histoire
Actions
la coulée de l'histoire
- Structure organisatrice
- LES BRAS OUVERTS - Guadeloupe
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- Mixité sociale
- Résumé
La coulée de l'histoire est un atelier de peinture animé par un Maitre plasticien pour réaliser des fresques revalorisant un lieu abandonné , réhabilté en aire de promenade et espace d'appropriation sociale et culturelle.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La coulée de l'histoire deviendra un lieu privilégié de transmission et d'échange dans un espace de verdure ouvert et animé par les résidents.
A terme, des activités de l'économie sociale et solidaire devraient y prendre place et se développer...des entrepreneurs sociaux devraient naitre dans les secteurs de guides historiques culturelles et touristiques
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Un projet collaboratif animé par les résidents et des artistes
Début de l'action juillet 2020
Réunions régulières
Une programmation
Des évaluations
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Mise aux normes et Sécurisation :
Achat de matériel
Prestations et honoraires divers
COUT TOTAL 15 000 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
9 professionnels
37 bénévoles
- Résultat sur le territoire
le lieu est devenu un site artistique culturel historique et touristique
les ecoles et la ville entendent se joindre au projet dans le cadre du développement des arts de rue
- Résultat pour le centre social
Ce projet renforce la visibilité du Centre et conforte son utlité sociale
- Résultat pour les habitants
La coulée de l'histoire valorise l'espace et favorise l'écocitoyenneté
- Suite de l'action : Limites
Les partenariats dynamiques sont encore possibles pour élargir l'impact du projet et sevir de modèle à d'autres initiatives.
- Suite de l'action : Perspectives
L'action exige de l'entretien pour se péréniser ainsi que des formations pour professionnaliser les activités lliées à la coulée de l'histoire
Actions
la coulée de l'histoire
- Structure organisatrice
- LES BRAS OUVERTS - Guadeloupe
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- Mixité sociale
- Résumé
La coulée de l'histoire est un atelier de peinture animé par un Maitre plasticien pour réaliser des fresques revalorisant un lieu abandonné , réhabilté en aire de promenade et espace d'appropriation sociale et culturelle.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La coulée de l'histoire deviendra un lieu privilégié de transmission et d'échange dans un espace de verdure ouvert et animé par les résidents.
A terme, des activités de l'économie sociale et solidaire devraient y prendre place et se développer...des entrepreneurs sociaux devraient naitre dans les secteurs de guides historiques culturelles et touristiques
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Un projet collaboratif animé par les résidents et des artistes
Début de l'action juillet 2020
Réunions régulières
Une programmation
Des évaluations
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Mise aux normes et Sécurisation :
Achat de matériel
Prestations et honoraires divers
COUT TOTAL 15 000 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
9 professionnels
37 bénévoles
- Résultat sur le territoire
le lieu est devenu un site artistique culturel historique et touristique
les ecoles et la ville entendent se joindre au projet dans le cadre du développement des arts de rue
- Résultat pour le centre social
Ce projet renforce la visibilité du Centre et conforte son utlité sociale
- Résultat pour les habitants
La coulée de l'histoire valorise l'espace et favorise l'écocitoyenneté
- Suite de l'action : Limites
Les partenariats dynamiques sont encore possibles pour élargir l'impact du projet et sevir de modèle à d'autres initiatives.
- Suite de l'action : Perspectives
L'action exige de l'entretien pour se péréniser ainsi que des formations pour professionnaliser les activités lliées à la coulée de l'histoire
Actions
Chantier participatif d'un jardin aromatique en pierres séches
- Structure organisatrice
- LE LÉO LAGRANGE DE FOIX - Ariège
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Santé
- Environnement
- développement durable
- Résumé
En novembre 2020, création collective d'un jardin aromatique en pierres séches sur une place du centre ville de Foix avec la technique du jardin nourricier dit "en trou de serrure" en utilisant la technique de la lasagne avec des couches de matériaux organiques divers. Ce chantier a duré 5 jours autour d'un we et a mobilisé une équipe de 12 bâtisseurs citoyens.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La démarche vise à créer un nouvel art de vivre en redynamisant les échanges locaux par le partage de comestibles cultivés par les habitants et offerts librement à tous. Elle entre dans une volonté de revégétalisation du centre-ville minéral.
En reconnectant les gens entre eux et à la terre nourricière, et en attirant très concrètement l’attention sur l’enjeu du manger sain et local, ces actions dynamisent les échanges locaux et les circuits cours, et agissent ainsi sur l'offre alimentaire locale. Ces actions permettent d’enclencher des dynamiques qui visent à mettre les territoires en marche vers l’auto-suffisance alimentaire.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Commune
- Autre
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
L'animatrice compostage partagé du SMECTOM du Plantaure est à l'initiative de cette action pour un avenir comestible en ville. Un groupe de travail a été connstitué avec des représentants du Léo de Foix, la Ressourcerie de Foix, l'association ariégeoise Montagnes et Patrimoine et Écorce, le jardinier botaniste de la préfecture, des membres du conseil citoyen et des usagers composteurs pour la préparation en amont. Le projet a été co-financé par la mairie de Foix et le Smectom du Plantaurel.
- Réunions préparatoires pour définir le type de jardin "en trou de serrure" pour son côté innovant et expérimental, déterminer le type de plantes à installer, le planning de réalisation, réfléchir à des supports pédagogiques et de communication.
- Participation au bâtissage en pierres sèches gratuite et sur inscription
- recrutement des participants par e-mailing, voies de presse, newsletter, affichage, distribution de flyers
- chantier sur le wkd du 17/18/19 octobre + 2 jours en semaine avec :
- un stand de L’association Montagne & Patrimoine avec exposition pour échanger autour du patrimoine pierres sèches
- une permanence de L’association la Ressourcerie de Foix pour parler compostage et distribuer des bioseaux aux passants qui souhaitent se lancer.
- la présence du du Smectom et du Léo de Foix pour parler du projet, de l’avenir comestibles et de toutes questions liées au jardinage, déchets verts et compost
- remplissage du jardin le 20 octobre avec des couches de matériaux organiques divers
- Achat et plantation par les participants et organisateurs 1 semaine plus tard
- reprise en main du jardin et nettoyage au printemps après le confinement
- le 05 mai balade botanique avec le jardinier de la préfecture sur les hauteurs de Foix pour une visite guidée de reconnaissance des plantes comestibles
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- 15 animateurs / bénévoles / salariés des associations partenaires
- 1 groupe de 12 bâtisseurs citoyens
- 1 bâtisseur encadrant
- Résultat sur le territoire
L'animatrice à l'intiative du projet a été sollicitée pour lancer un chantier dans un autre quartier de la ville et dans d'autres communes d'Ariège. La publication de reportage-photos sur les réseaux sociaux a suscité l'intérêt du public et d'associations sur cette technique de construction extérieures au département.
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
Le chantier et l'animation qui en a résulté ont permis des échanges entre les bâtisseurs, organisateurs, les passants et habitants du quartier. Certains se sont spontanément proposés pour aider, d'autres souhaitaient des renseignements sur l'usage des plantes.
- Suite de l'action : Limites
L'entretien régulier du jardin est problématique. Les confinements et couvre-feu ont coupé la dynamique créée autour de sa construction. Il est difficile de remobiliser les personnes.
- Suite de l'action : Perspectives
- ateliers culinaires
- plantation
- entretien
Actions
" Mes Légumes A Partager" JARDIN COLLECTIF association MLAP
- Structure organisatrice
- MAITRISE DE LA LANGUE ET AIDE PERSONNALISEE (MLAP) - Corrèze
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Environnement
- développement durable
- Résumé
A la demande de familles, un jardin partagé a vu le jour en mai 2016. Le choix des habitants était d'avoir des parcelles individuelles. L'année suivante, le jardin est devenu collectif car certaines des personnes étaient âgées ou vulnérables, donc tout a été basé sur l'entraide générationnelle. la transmission par les plus aguerris et les actions par les plus jeunes. Une charte et un règlement ont été élaborés et chaque participant doit les signer.
Aujourd'hui, en plus du jardinage, de l'aménagement et l'entretien, des choix de plantes et légumes, des temps de repos et autres rêveries, des activités sont proposées au public. Des chantiers participatifs aux constructions en osier vivant, de la création de buttes à de l'installation de deux serres, de création de mosaïques à la plantation d'un verger, de la récolte de semences anciennes à la fabrication de soupes solidaires, c'est autant de moments éducatifs et conviviaux qui font les temps forts de cet espace.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action répondait au besoin d'habitants. Aujourd'hui elle favorise la transmission des connaissances, les rencontres et a permis de garder des liens sociaux vitaux durant cette crise sanitaire car les activités se déroulent en plein air.
Les résultats sont plus de convivialité, de liens integénérationnels et un questionnement sur la transition écologique.
Les changements attendus concernent la qualité des relations sociales, la prise en compte de la crise climatique et le bon fonctionnement d'une gestion collective.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Caf
- Commune
- DDCS
- FONJEP
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Début: mai 2016
Action qui se réalise avec des améliorations chaque année. Le groupe " jardin " se réunit tous les mois et fait le point sur les activités réalisées et celles à venir. Les tâches sont réparties en fonction de la disponibilité de chacun et inscrites sur un tableau.
L'action nécessite une coordination, personnel salarié, et des financements pour les achats et les prestations de services lors d'interventions de spécialistes. Il y a aussi nécessité de communication et de suivi avec les partenaires financiers et techniques.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
10 000€ répartis par 70% CAF, 10% mairie et comcom, 10% FONJEP, 10% DDCSPP
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Ressources financières: 10 000€
Nombre de professionnels: 1 (0, 1ETP)
Nombres de bénévoles: 10
- Résultat sur le territoire
Maintien du lien social autour de l'alimantation et la santé
Solidarité avec les personnes vulnérables et convivialité
Espace ressource pour appréhender la transition écologique
- Résultat pour le centre social
Mixité des publics
Création d'une grainothèque
Formation du professionnel et des bénévoles
- Résultat pour les habitants
Education à l'environnement pour les plus jeunes
Transmissions des connaissances de jardinage par les rencontres intergénérationnelles
Formations et informations
- Suite de l'action : Limites
Limites: périmètre, nombre de jardiniers, budget.
- Suite de l'action : Perspectives
L'action se poursuit avec la participation d'acteurs spécialisés sur la quête et la réserve de l'eau.
Actions
Cours de français pour adultes
- Structure organisatrice
- CS ROUGEMONT - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Cours de français pour adultes - viens de terminer car durée septembre/juin
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Résumé
Objectifs pour les ELF de manière générale :
· Promouvoir l'autonomie des apprenants par une meilleure connaissance des espaces sociaux et culturels du quartier, de la commune et de la Région en commençant par la structure au sein de la quelle ils sont inscrits pour les ateliers ELF. La démarche des ateliers d'expression en langue française (ELF) part, de manière systémique, de l’espace social,et détermine les actes de langage environnants.
·Favoriser l'appropriation de la langue française orale et écrite, ainsi que les codes sociaux en lien avec la vie quotidienne et professionnelle. Le travail menant à l'autonomisation met en situation concrète l'apprenant, au sein d'un espace social qu'il va apprendre à découvrir, à explorer et à s'approprier, via des capacités nouvelles de communication. On tend donc à amener les stagiaires à s'approprier leurs besoins linguistiques de façon contextualisée, sans toutefois négliger les éléments syntaxiques, grammaticaux, phonétiques, qui leur permettront d'exploiter ces connaissances nouvelles. Ce dispositif tient donc compte des réalités et spécificités locales.
· Accompagner l’équipe de formateurs bénévoles grâce à la mise en commun de ressources pédagogiques (manuels et ressources numériques, formation en interne et par des partenaires comme la fédération des centres sociaux de Seine Saint Denis, les relais culturels de la Mission « vivre ensemble » dont, par exemple, le musée du Louvre, le centre Pompidou, le château de Versailles, etc…, l’association Radya) et d’outils de coordination pour suivre l’assiduité et la progression des apprenants.
· Consolider les partenariats avec les autres acteurs sociaux afin de favoriser l’accès aux droits (y compris le droit à l’accès à la formation linguistique), l’insertion professionnelle des apprenants (d’abord par l’accès à la formation) et leur implication dans le tissu social. Il s’agit de concevoir et d’animer le dispositif d’accompagnement et de formation en s’appuyant sur l’ensemble des ressources locales et des personnes qui interviennent dans les différents domaines du service public, tels que les bibliothèques municipales, les théâtres de la Poudrerie à Sevran et celui de la ferme Godier à Villepinte, l’atelier santé-ville, le PEIF, le CCAS, les PMI, mais aussi les associations de prévention santé et les structures culturelles ed la Région Île-de-France.
Objectifs primordiaux en ces temps de crise sanitaire, sociale et économique :
·Renforcer les interactions des personnes marginalisées du fait de leur isolement linguistique : offrir un cadre d’apprentissage convivial et bienveillant permettant la rencontre avec les autres (formateurs et co-apprenants), l’émulation par les pairs et l’ouverture sur l’environnement social et professionnel.
Sept ateliers ELF (contant 8 à 9 participant·es en raison des mesures prises contre l’expansion de la Covid) se dérouleront au cours de l’année 2020. Animés par une équipe de constituée d’une coordinatrice et formatrice salariée ainsi que d’une dizaine de formateur·rices bénévoles, ils se déploient du lundi au vendredi, à la fois en journée (9h-11h ; 13h30-15h30) et en soirée (18h30-20h30).
Les horaires et les jours d’ateliers tiennent compte des contraintes des apprenants : entrée et sorties d’école, pas de cours le mercredi à cause de présence des enfants à la maison, cours en soirée pour les travailleurs et les mères faisant garder leurs enfants par leur conjoint.
A noter : la Maison de quartier Rougemont dispose d’une Halte-jeu destinée à accueillir en priorité les enfants de 3 mois à 3 ans dont les parents sont inscrits aux ateliers ELF. Le planning des séances d’ateliers (2heures) est ainsi couplé à des créneaux de garde Halte-jeu (3heures), dans la limite de 10 enfants par créneau et à raison de 4 demi-journées par semaine.
Voici le détail des différents groupes ELF :
-
Groupe 1, A1/A2 (niveaux du CECRL, cadre commun de références pour les langues) à l’oral et à l’écrit, le matin ;
-
Groupe 2, ayant une aisance à l’oral (vers le B1) ou francophones et débutants à l’écrit (A1.1 à A1), le matin ;
-
Groupe 3, débutants à l’oral et à l’écrit (infra A1.1 à A1), le mardi après-midi ainsi que le jeudi et vendredi matin ;
-
Groupe 4, vers le A2 à l’oral et à l’écrit, l’après-midi ;
-
Groupe 5, vers le B1, l’après-midi et le soir ;
-
Groupe 6, A1/A2 à l’écrit, B1 à l’oral, le soir ;
-
Groupe 7, ayant une aisance à l’oral (vers le B1) ou francophones débutants à l’écrit (infra A1.1 à A1) ;
-
Projection-débat : séances sur différentes thématiques telles que l’emploi des femmes, l’école, la confiance en soi, l’appartenance multiculturelle, à la médiathèque L’@telier.
Visites d’exposition : préparation des visites en amont et médiation adaptée au niveau linguistique pendant la visite. Choix des musées en accord avec les apprenant·e·s dans le cadre de la mission «Vivre ensemble».
Atelier informatique : 4 à 6 séances de 2 heures pour trois groupes, animées par l’animateur informatique de la médiathèque L’@telier. Cet atelier vise à faire acquérir les compétences de bases en traitement de texte et utilisation d’Internet (recherche, démarches en ligne,apprentissage des langues via QIOZ). Pour les plus avancés, un atelier d’écriture collaborative autour du projet
auxquels s’ajouteront éventuellement deux à quatre ateliers supplémentaires à partir de janvier grâce un partenariat que nous espérons établir avec l'association SOS Solidarités ASFAM. En effet nous ne réussissons jamais (et cette année c'est encore plus affligeant de devoir refuser un aussi grand nombre de personnes) à répondre aux nombreuses demandes des habitants . Ce public hétérogène de primo-arrivants, de résidents ne maîtrisant pas la langue Française à l’écrit et/ou à l’oral sont identifiés comme prioritaires dans tous les ateliers participatifs, les conseil de usagers et donc dans les objectifs de travail de la MdQ . La langue et les supports utilisées par les services et les différentes administrations pour communiquer n’en facilite pas toujours l’accès. Les courriers ou supports de communication informant les publics de leurs droits ne sont pas toujours accessibles. Ces populations connaissent des difficultés spécifiques, la non maîtrise de la langue constitue un frein important en matière d’accès aux droits, d’exercice de la parentalité, et d’insertion socio professionnelle. Certains se découragent et finissent par renoncer à une démarche, une requête, un droit.
Nous essayons de faire au mieux et chaque groupe est présent entre 4 et 6 heures hebdomadaires, ce qui représente un total de 32 heures hebdomadaires d’ateliers au sein de la structure. Ces heures sont réparties entre des temps en classe et des temps découverte des différents espaces sociaux (PMI, Poste, médiathèque, Mairie, pharmacie, transports urbains, lieux culturels, Pôle emploi et plate-forme emploi, etc). Un calendrier est établi pour toutes les actions « hors les murs » s’inscrivant dans l’apprentissage du français et des espaces sociaux/professionnels.
En réponse aux besoins exprimés par les apprenant·e·s, les ateliers ELF ont aussi pour objectif de préparer les groupes aux diplômes du DILF, du DELF ou du TCF correspondant à leur niveau (obligatoires pour le renouvellement des titres de séjour). Plusieurs ateliers ou temps de partage seront aussi proposés en collaboration avec nos partenaires:
-
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les Maisons de quartier de Sevran font face à une très forte demande concernant l'accompagnement sociolinguistique (qui reste en grande partie insatisfaite du fait du manque de moyens humains et matériels alloués à l'action). Les habitants en demande de formation sociolinguistique nous sollicitent directement à l'accueil des MdQ et peuvent être orientés par les établissements scolaires, les services sociaux (service RSA), le Pôle Emploi, les clubs de prévention et les différentes structures du territoire. Les tests de positionnement permettent dans un second temps de définir plus finement les attentes des bénéficiaires. Dans le cadre des ateliers, les stagiaires sont ensuite invités à exprimer leurs attentes quant aux contenus de l'accompagnement sociolinguistique. Celui-ci doit donc être développé en constante adéquation avec les besoins primordiaux exprimés. Les ateliers sont volontairement mixtes en genre, culturellement divers, socialement inclusifs et sans discrimination aucune. Nous travaillons sur une dynamique de groupe qui favorise un climat de bienveillance et d'entraide parmi les stagiaires.
Ces ateliers se donnent pour vocation, entre autres, de transmettre les valeurs fondatrices de la République, mais aussi la laïcité, la démocratie, la solidarité, le respect des cultures. Les ateliers sont ouverts à tous les adultes, hommes et femmes habitants de la ville de Sevran. Ceux-ci s'engagent à respecter une charte rappelant les valeurs de la république, de la laïcité, spécifiant que les les ateliers sont mixtes et à respecter les locaux et les personnes franchissant le seuil de la maison de quartier.
La démarche pédagogique que nous adoptons, pensée en direction des adultes, est fondée sur les principes suivants :
·Prendre en compte les centres d’intérêts des apprenants pour définir les contenus des apprentissages.
·Solliciter les connaissances et l’expérience de chacun.
·Repérer et prendre en compte le profil d’apprentissage de chaque apprenant en prêtant attention à ce raisonnement mis en oeuvre et à la sensibilité propre à chacun qui pourrait favoriser ou gêner la démarche
formative.
·Solliciter l’interactivité entre les apprenants pour susciter l’activité de tous, l’entraide et l’émulation au sein
du groupe.
·Favoriser un processus d’auto-évaluation progressif.
·Proposer des animations de travail en situation de communication réelle (démarche actionnelle).
L'apprentissage de la langue est alors un moyen et non le but unique des ateliers. La finalité, à la suite
d'un processus dynamique, aboutira à l'autonomie complète de la personne.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
L'appropriation des contenus s'effectue dans un va-et-vient continu entre « ateliers complémentaires au sein de la structure » et « visites des espaces sociaux et culturels de proximité ». Tout apprenant inscrit aux ateliers ELF participe au préalable à un test de positionnement qui détermine ses acquis linguistiques et ses capacités d'autonomie dans la vie quotidienne. Il en ressort que les besoins principaux des stagiaires s'articulent autour : - de la nécessité de communiquer dans la sphère sociale et d'être autonome dans ses démarches quotidiennes (administratives, scolaires, professionnelles)
- de la maîtrise des réalités socioculturelles du pays d'accueil - de l'affermissement, de l'estime de soi, et de la confiance en ses capacités de communication et d'insertion.
L'appropriation des contenus s'effectue dans un va-et-vient continu entre « ateliers complémentaires au sein de la structure » et « visites des espaces sociaux et culturels de proximité ». Tout apprenant inscrit aux ateliers ELF participe au préalable à un test de positionnement qui détermine ses acquis linguistiques et ses capacités d'autonomie dans la vie quotidienne. Il en ressort que les besoins principaux des stagiaires s'articulent autour : - de la nécessité de communiquer dans la sphère sociale et d'être autonome dans ses démarches quotidiennes (administratives, scolaires, professionnelles)
- de la maîtrise des réalités socioculturelles du pays d'accueil - de l'affermissement, de l'estime de soi, et de la confiance en ses capacités de communication et d'insertion.
L'appropriation des contenus s'effectue dans un va-et-vient continu entre « ateliers complémentaires au sein de la structure » et « visites des espaces sociaux et culturels de proximité ». Tout apprenant inscrit aux ateliers ELF participe au préalable à un test de positionnement qui détermine ses acquis linguistiques et ses capacités d'autonomie dans la vie quotidienne. Il en ressort que les besoins principaux des stagiaires s'articulent autour : - de la nécessité de communiquer dans la sphère sociale et d'être autonome dans ses démarches quotidiennes (administratives, scolaires, professionnelles)
- de la maîtrise des réalités socioculturelles du pays d'accueil - de l'affermissement, de l'estime de soi, et de la confiance en ses capacités de communication et d'insertion.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
10.000
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 Coordinatrice ASl
20 benevoles (13 actifs pendant le confinement)
- Résultat sur le territoire
La crise sanitaire a complètement bouleversé la vie de millions de personnes en cette dernière année. 2020 a été une année hors normes. L'épidémie de coronavirus a changé nos vies et bouleversé la vie économique du pays.
Le 17 mars 2020, tout bascule : l'économie s'arrête, et depuis les français découvrent le télétravail.
Dans ce contexte les Maisons de quartier de Sevran ont toujours maintenu le lien avec les habitants. Elles ont porté soutien et accompagnement, elles ont continués les activités là où elles étaient possible avec tous les moyens qui leurs étaient données.
Le CLAS et les ELF ont continué pendant le confinement et après, les jeunes et surtout les apprenants ont eu la possibilité de s'exprimer et d’être accompagnés.
Tout ne s'est, certes, pas passé comme on l'avait prevu et dans ce contexte il est difficile de faire appel aux indicateurs qui étaient prévus. Il est difficile d’évaluer la qualité des cours dispensés via Zoom ou sur un banc du canal de l'Ourq …
Au vu de la situation, ce qu'il paraît à l'humble rédacteur de ce bilan c'est que les objectifs ont été largement atteints parce que malgré toute les difficultés l’apprentissage s'est fait, le lien et le care ont continué à exister, l'envie d'apprendre et d’évoluer ou de s’intégrer ont trouver un objet pour les satisfaire
.
Comment faire face aux difficultés engendrés par l’épidémie et concevoir un nouveau futur c'est le défis qui nous relevons pour 2021 et les années à venir.
- Résultat pour le centre social
Les ateliers se sont déployés du lundi au vendredi, en journée (9h-11h ; 13h30-15h30) et en soirée (18h30-20h30). À noter : la Maison de quartier Rougemont dispose d’une Halte-jeu destinée à accueillir en priorité les enfants de 3 mois à 3 ans dont les parents sont inscrits aux ateliers ELF.
Chaque groupe a été présent entre 4 et 6 heures hebdomadaires, ce qui représentait un total de 32 heures hebdomadaires d’ateliers au sein de la structure. Ces heures ont été réparties entre des temps en classe et des temps de découverte des différents espaces sociaux (PMI, Poste, médiathèque, Mairie, pharmacie, transports urbains, lieux culturels, Pôle emploi et plate-forme emploi, etc.).
Ils ont étés portés par une coordinatrice formatrice et 15 bénévoles.
Concernant l’accompagnement des formateurs, l’équipe bénévole a participé à plusieurs sessions de formation organisées par la Fédération des centres sociaux, le Radya, l’Assfam, d'abord en présentiel et puis en ligne pendant toute l'année.
167 apprenants
16 groupes au total ainsi repartis :
ELF A2 : 3 groupes
ELF Alpha : 2 groupes
ELF A1 : 5 groupes
ELF B1 : 2 groupes
ALF A2/B1 : 2 groupes
ELF A1/Alpha : 2 groupes
Quatre niveaux ont été définis selon le degré d’autonomie et de maîtrise de la langue des apprenant·e·s : un niveau pour les profils « alpha » (A1.1 du CECRL), un niveau débutant où l’autonomie des apprenants est en phase de construction à l’oral comme à l’écrit (A.1), un niveau intermédiaire correspondant à une phase de consolidation (A2) et un niveau d’acquisition plus avancée (B1). Les effectifs étaient compris entre une dizaine et une vingtaine de stagiaires par groupe. Deux groupes mêlent les niveaux alpha et A1.
En réponse aux besoins exprimés par les apprenant·e·s, les ateliers ELF ont aussi eu pour objectif de préparer les groupes aux diplômes du DILF, du DELF ou du TCF qui sont obligatoires pour le renouvellement des titres de séjour. En période de vacances scolaires puis pendant une semaine avant la session de juin 2019, des stages de préparation ont été organisés pour les apprenants inscrits aux examens.
Les ateliers se sont déployés du lundi au vendredi, en journée (9h-11h ; 13h30-15h30) et en soirée (18h30-20h30). À noter : la Maison de quartier Rougemont dispose d’une Halte-jeu destinée à accueillir en priorité les enfants de 3 mois à 3 ans dont les parents sont inscrits aux ateliers ELF.
Chaque groupe a été présent entre 4 et 6 heures hebdomadaires, ce qui représentait un total de 32 heures hebdomadaires d’ateliers au sein de la structure. Ces heures ont été réparties entre des temps en classe et des temps de découverte des différents espaces sociaux (PMI, Poste, médiathèque, Mairie, pharmacie, transports urbains, lieux culturels, Pôle emploi et plate-forme emploi, etc.).
Ils ont étés portés par une coordinatrice formatrice et 15 bénévoles.
Concernant l’accompagnement des formateurs, l’équipe bénévole a participé à plusieurs sessions de formation organisées par la Fédération des centres sociaux, le Radya, l’Assfam, d'abord en présentiel et puis en ligne pendant toute l'année.
167 apprenants
16 groupes au total ainsi repartis :
ELF A2 : 3 groupes
ELF Alpha : 2 groupes
ELF A1 : 5 groupes
ELF B1 : 2 groupes
ALF A2/B1 : 2 groupes
ELF A1/Alpha : 2 groupes
Quatre niveaux ont été définis selon le degré d’autonomie et de maîtrise de la langue des apprenant·e·s : un niveau pour les profils « alpha » (A1.1 du CECRL), un niveau débutant où l’autonomie des apprenants est en phase de construction à l’oral comme à l’écrit (A.1), un niveau intermédiaire correspondant à une phase de consolidation (A2) et un niveau d’acquisition plus avancée (B1). Les effectifs étaient compris entre une dizaine et une vingtaine de stagiaires par groupe. Deux groupes mêlent les niveaux alpha et A1.
En réponse aux besoins exprimés par les apprenant·e·s, les ateliers ELF ont aussi eu pour objectif de préparer les groupes aux diplômes du DILF, du DELF ou du TCF qui sont obligatoires pour le renouvellement des titres de séjour. En période de vacances scolaires puis pendant une semaine avant la session de juin 2019, des stages de préparation ont été organisés pour les apprenants inscrits aux examens.
Les ateliers se sont déployés du lundi au vendredi, en journée (9h-11h ; 13h30-15h30) et en soirée (18h30-20h30). À noter : la Maison de quartier Rougemont dispose d’une Halte-jeu destinée à accueillir en priorité les enfants de 3 mois à 3 ans dont les parents sont inscrits aux ateliers ELF.
Chaque groupe a été présent entre 4 et 6 heures hebdomadaires, ce qui représentait un total de 32 heures hebdomadaires d’ateliers au sein de la structure. Ces heures ont été réparties entre des temps en classe et des temps de découverte des différents espaces sociaux (PMI, Poste, médiathèque, Mairie, pharmacie, transports urbains, lieux culturels, Pôle emploi et plate-forme emploi, etc.).
Ils ont étés portés par une coordinatrice formatrice et 15 bénévoles.
Concernant l’accompagnement des formateurs, l’équipe bénévole a participé à plusieurs sessions de formation organisées par la Fédération des centres sociaux, le Radya, l’Assfam, d'abord en présentiel et puis en ligne pendant toute l'année.
167 apprenants
16 groupes au total ainsi repartis :
ELF A2 : 3 groupes
ELF Alpha : 2 groupes
ELF A1 : 5 groupes
ELF B1 : 2 groupes
ALF A2/B1 : 2 groupes
ELF A1/Alpha : 2 groupes
Quatre niveaux ont été définis selon le degré d’autonomie et de maîtrise de la langue des apprenant·e·s : un niveau pour les profils « alpha » (A1.1 du CECRL), un niveau débutant où l’autonomie des apprenants est en phase de construction à l’oral comme à l’écrit (A.1), un niveau intermédiaire correspondant à une phase de consolidation (A2) et un niveau d’acquisition plus avancée (B1). Les effectifs étaient compris entre une dizaine et une vingtaine de stagiaires par groupe. Deux groupes mêlent les niveaux alpha et A1.
En réponse aux besoins exprimés par les apprenant·e·s, les ateliers ELF ont aussi eu pour objectif de préparer les groupes aux diplômes du DILF, du DELF ou du TCF qui sont obligatoires pour le renouvellement des titres de séjour. En période de vacances scolaires puis pendant une semaine avant la session de juin 2019, des stages de préparation ont été organisés pour les apprenants inscrits aux examens.
Les ateliers se sont déployés du lundi au vendredi, en journée (9h-11h ; 13h30-15h30) et en soirée (18h30-20h30). À noter : la Maison de quartier Rougemont dispose d’une Halte-jeu destinée à accueillir en priorité les enfants de 3 mois à 3 ans dont les parents sont inscrits aux ateliers ELF.
Chaque groupe a été présent entre 4 et 6 heures hebdomadaires, ce qui représentait un total de 32 heures hebdomadaires d’ateliers au sein de la structure. Ces heures ont été réparties entre des temps en classe et des temps de découverte des différents espaces sociaux (PMI, Poste, médiathèque, Mairie, pharmacie, transports urbains, lieux culturels, Pôle emploi et plate-forme emploi, etc.).
Ils ont étés portés par une coordinatrice formatrice et 15 bénévoles.
Concernant l’accompagnement des formateurs, l’équipe bénévole a participé à plusieurs sessions de formation organisées par la Fédération des centres sociaux, le Radya, l’Assfam, d'abord en présentiel et puis en ligne pendant toute l'année.
167 apprenants
16 groupes au total ainsi repartis :
ELF A2 : 3 groupes
ELF Alpha : 2 groupes
ELF A1 : 5 groupes
ELF B1 : 2 groupes
ALF A2/B1 : 2 groupes
ELF A1/Alpha : 2 groupes
Quatre niveaux ont été définis selon le degré d’autonomie et de maîtrise de la langue des apprenant·e·s : un niveau pour les profils « alpha » (A1.1 du CECRL), un niveau débutant où l’autonomie des apprenants est en phase de construction à l’oral comme à l’écrit (A.1), un niveau intermédiaire correspondant à une phase de consolidation (A2) et un niveau d’acquisition plus avancée (B1). Les effectifs étaient compris entre une dizaine et une vingtaine de stagiaires par groupe. Deux groupes mêlent les niveaux alpha et A1.
En réponse aux besoins exprimés par les apprenant·e·s, les ateliers ELF ont aussi eu pour objectif de préparer les groupes aux diplômes du DILF, du DELF ou du TCF qui sont obligatoires pour le renouvellement des titres de séjour. En période de vacances scolaires puis pendant une semaine avant la session de juin 2019, des stages de préparation ont été organisés pour les apprenants inscrits aux examens.
Grâce à l’étonnante capacité d'anticipation de l’équipe composé par la coordinatrice/formatrice et par les bénévoles nous avons étés capables de reprendre des cours en ligne depuis le mardi 17 mars.
Le groupe de formateurs avait prevu l’éventualité d'un confinement et il s'y était préparé.
Ainsi des groupes What's app ont étés crées pour les apprenants qui n’étaient pas positionnés sur aucun (il faut dire que les bénévoles ont l'habitude d'envoyer des compléments de cours via le groupes – une classe = un groupe Wapp)
Une bénévole était référente pour l'installation des logiciels (Wapp et Zoom, House party etc) elle fournissait assistance en ce domaine.
3 cours en moyenne, voir 4 selon la disponibilité des bénévoles ont eu lieu pendant toute la période du confinement et dès que possible des cours en plein air ont eu lieu sur les berges du canal et sur la terrasse de la MdQ quand celle ci a rouvert au public et pendant toute l'été. (cela évidemment dans le respect des règles de distanciation)
Depuis juin 5 groupes groupes ont fonctionné pendant ce période, avec une présence totale plutôt aléatoire de 35/40 personnes.
La MdQ Rougemont accueille parmi ses adhérents et cela depuis sa création les résidents des trois résidences sociales avoisinantes, pendant la période confiné l’équipe s'est fait relais de leurs besoins en terme de colis alimentaires et aussi des masques, car beaucoup parmi les résidents ont continué le travail mais sans en être équipés. Ils ont étés destinataires du premier lot produit par la MdQ.
De septembre à décembre :
Les ateliers se déroulent du lundi au vendredi, en journée (9h-11h ; 13h30-15h30) et en soirée (18h00-19h30). Nombre de cours (séances) par semaine : 21.
Il se déroulent dans le plus stricte respect des normes de sécurité et sont portés par une Coordinatrice formatrice et 10 bénévoles. 10 stagiaires max par groupe. Un certains nombre de bénévoles avec des profiles à risque a mis en stand by son engagement pour le moment. Par contre l’équipe de bénévoles du Secours catholique avec lequel on collaborait nous a rejoint pour donner main forte sur les cours.
Nombre d’apprenants : 96
11 groupes au total ainsi repartis :
1 groupe débutant A1.1
2 groupes ateliers écritures du quotidien/ prépa A1
1 groupe A1
1 groupe ASL, depuis octobre Courses alimentaires et Santé (en lien avec la PMI et en association avec Ethnologues en herbe)
2 groupes A2, prépa DELF A2
1 groupe A2, renforcement écrit, prépa DELF A2
1 groupe A2/ B1, prépa DELF B1 ou A2 + atelier avec Ethnologues en herbe « Récits de vie et portraits des femmes du quartier »
1 groupe B1, prépa DELF B1, préparation démarche de naturalisation
1 groupe B1, renforcement écrit et prépa DELF B1A ce propos nous décomptons :
29 inscrits au DELF depuis septembre 2020 :
20 admis
2 non admis
2 reportés
5 en attente de résultatsAteliers ASSFAM : ASL emplois d’octobre à janvier,
ASL Accès aux droits (3 sessions, 1e de février à mars) 10 personnes max
- Résultat pour les habitants
Malgré la période une liste d’attente est ouverte qui donne la possibilité à toute personne désirant s’inscrire à une formation linguistique d’être reçue lors d’une permanence (à raison de deux mercredis par mois) avec la coordinatrice-formatrice. Après un test de positionnement, ces personnes intègrent les groupes déjà constitués (quand il y a de places) ou sont orientées vers des structures partenaires dans la mesure des capacités d’accueil de ces dernières, mais ce n'est pas malheureusement le cas actuellement.
- Suite de l'action : Limites
Impossibilité de faire face aux nombre des demandes. Cette action est très demandée elle represente un enjeu dans la vie des apprenants :
un travail ou un meilleur travail, un permis de sejour, la naturalisation sont en jeu.
- Suite de l'action : Perspectives
La formation linguistique des adultes est un processus d’adaptation et d’élargissement identitaire, empathie et discernement sont à développer côté enseignants et côté
apprenants. Il y va du vivre ensemble et de la compréhension de soi et de l’autre. Nous nous retrouvons en présence des publics de plus en plus hétéroclites, au quotidien cela veut dire une diversification des répertoires langagiers et des niveaux scolaires. Nous devons donc nous attacher à déterminer les éléments langagiers manquants à leur répertoire afin de favoriser la communication dans toutes les situations qu’ils rencontrent. Les besoins langagiers des adultes migrants sont difficiles à déterminer car il existe autant de besoins qu’il existe de sujets.
Ceci oblige à une réflexion renouvelée sur les besoins des personnes, les manuels et matériels utilisés en situation de formation, l'appréhension des compétences orales et écrites et leur évaluation. De plus, de nouveaux usages liés au numérique viennent bouleverser les pratiques de formation. La formation et l'accompagnement que nous proposons sont aussi une écoute de l’autre dans son originalité et dans toutes ses dimensions. C’est une manière d’accompagner autrui dans son processus de croissance, vers plus de maturité et de liberté intérieure.
C'est en conséquence un grand cycle d'accompagnement des adultes et des enfants qui se préfigure, les paroles des habitants et des professionnels ainsi que les observations directes incitent la Maison de quartier vers un accroissement dans l'implication du travail éducatif. Au sein de cette démarche se déligne un pôle important concernant communication et linguistique. Ce type d’apprentissage a une portée directe sur la vie quotidienne, les apprenants ont un projet et un objectif précis puisqu’il s’agit pour eux de s’intégrer dans la société d'accueil. Quand un apprenant s’engage, c'est une démarche consciente, volontaire et observable et qui a pour but l’appropriation de la langue et de outils communicationnels du pays d’accueil pour évoluer dans sa société de façon durable, souvent définitive.
Actions
Défi Mode"
- Structure organisatrice
- EspaceJacques Percereau - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Il s'agissait d'une première expérience, qui sera étoffée l'an prochain!
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Environnement
- développement durable
- Résumé
Depuis 2018, le centre social est engagée dans une démarchée liée au développement durable. En 2020, pour accentuer notre démarche et sensibiliser au réemploi, l'quipe du centre social a proposé auxpartenaires du territoire de réaliser des vêtements et accesoires à partir de matériaux destinés au recyclage.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action fait suite aux différentes initiatives portées par le centre social autour de la réduction et du réemploi des "déchets".
L'objectif principal était de sensibiliser autour du réemploi , autour d'une activité fédératrice et créative. Il s'agissait également de trouver un challenge collectif avec les structures du territoire.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- Autre
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Au regard du contexte saniataire, chaque équipe mobilisée (7 au total) s'est retrouvée en petits comités pour récupérer des matériaux destinés à être jetés et pour créer des tenues et accesoires de mode.
En parallèle, des clichés des créations sont venus compléter les créations. Toutes ces oeuvres ont fait l'objet d'une exposition durant 3 jours au Théâtre de Saumur
- Ressources financières mobilisées pour cette action
2700 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 agents du centre social
Une vingtaine de participants au défi
620 visiteurs :-)
- Résultat sur le territoire
Une meilleure communication des actions portées par le centre social, une reconnaissance des possibilités des habitants, et peut-être une prise de conscience sur le réemploi.
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
Le contexte sanitaire a limité les rencontres pour réaliser les pièces, mais chaque équipe a su faire preuve de créativité
- Suite de l'action : Perspectives
Une exposition et la réalisation d'un défilé de mode!
Actions
Médiation culturelle
- Structure organisatrice
- MAISON POUR TOUS MONPLAISIR - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- éducation / scolarité
- Culture
- Résumé
Mise en place d'une programmation culturelle à destination du très jeune et jeune public. Les disciplines artisitiques prposées dans le cadre de la saison culturelle sont diversifées. Un espace culturel pour apprendre à devenir spectateur mais aussi découvrir des univers artisitiques variés avec l'école et en famille hors temps scolaires.
Chaque séance "Jeune Public" est accompagnée d'une médiation qui peut prendre différentes formes : Séance dédiée aux scolaires, thématique en lien avec le rpogramme scolaire, le projet d'école. Atelier d'initiation à la discipline ou autour du spectacle présenté à l'école ou à la MPT, invitation à découvrir une étape de travail artistique dans le cadre des résidences accueillies à la MPT, Bords de scène: échanges et rtencontres avec les artistes à l'issu du spectacle.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Précision ( si autre )
Le projet a été mis en place dans le cadre d'un groupe de travail de la Cité éducative.
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Accès à la culture et à des spectacles de qualité. Encourager la réflexion, les échanges, l'analyse critique.
Favoriser l'accesibilité des familles du quartier aux spectacles.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Autre
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Cette action a vue le jour dans le cadre d'un groupe de travail de la Cité Educative. Les propositions faites à la MPt ont pu par ce biais être étoffées et développées ainsi que proposoer aux scolaires. Ce projet se décline en lien avec le secteur famille.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
59000 euros
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
15 personnes professionels MPT, personnels de l'éducation nationale, artistes
- Résultat sur le territoire
Implication des écoles dans le projet. Investissement des élèves en amont de la représentation en lien avec le programme scolaire
- Résultat pour le centre social
Lien renforcé avec les éablissement scolaires. Diversification du public. Programmation Jeune Public en développement
- Résultat pour les habitants
Accès à une salle de spectacle de proximité.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Associer Enseignants, acteurs enfance jeunesse, et famille au choix des spectacles Jeune Public.
Actions
Jardin partagé
- Structure organisatrice
- LES LEZARDS DE LEZINNES - Yonne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Environnement
- Mixité sociale
- Résumé
Le jardin partagé est ouvert à tous.
Des rencontres sont organisées pour le choix des cultures, le type de cultures (transition vers la permaculture).
le travail du jardin est également un moment de convivialité.
La situation du terrain, au bord d'une rue empruntée par les promeneurs, permet d'agréables moment d'échanges.
La production est partagée entre les jardiniers mais aussi offerte aux personnes de passage qui prennent le temps de venir discuter et s'interressent à cette expérience.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pour répondre à la demande de quelques habitants.
Pour créer un lieu de partage de savoirs.
Réflexion sur l'environnemt : gestion de l'eau.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Des rencontres ont été organisées pour définir les besoins.
Ensuite, recherche d'un terrain puis une longue période de confinement. Le démarrage (préparation du terrain) s'est fait en retard à la fin du confinememt en mai.
De nombreux habitants nous ont offerts des plants et les outils ont également été prêtés par les jardiniers.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
95 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
12 bénévoles
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
Nouvelle action positive.
- Résultat pour les habitants
Echanges fructueux.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Poursuite de l'action et éventuel agrandissement de l'espace jardinage.
Actions
Créer des moments de partage pour la famille
- Structure organisatrice
- LA MAISON HIRONDELLE - Yonne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- Culture
- Résumé
Propositions d'animations de qualité grâce aux différents acteurs : festival "Tombé du nid", ateliers.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Demande recueillie lors du diagnostic de territoire en 2020, afin de créer une animation locale et conviviale impliquant les habitants.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Commune
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Pour le festival "Tombé du Nid" : depuis 2016, les étapes : présentation aux partenaires, réunions de préparation ouverte à tous, mise en oeuvre, bilans. Mise en place de commissions regoupant les membres de l'association, les bénévoles, les partenaires. Environ 4 réunions/an, depuis la programmation jusqu'au bilan. Festival annulé en 2020 et 2021 pour cause de covid 19.
Pour les ateliers : réunions mensuelles de concertations, coordination des intervenants.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Fetival : environ 5 600 € de dépenses (rémunérations des intermédiaires, droits de cession, déplacements, approvisionnement buvette et repas). Les ressources d'environ 800 € proviennent des recettes de la buvette, de subvention de la Communauté de Communes.
Ateliers : les dépenses concernent la rémunération des intervants (55 €/séances), les recettes proviennent des entrées (5 €/séances, ou 3 € pour les bénéficiaires de minimas sociaux, familles nombreuses. Jusqu'à environ 10 dates/an. Impossiblité en 2020 pour cause de covid.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Festival : environ 30 bénévoles.
Ateliers : salarié présent lors de l'évènement, intervenants d'ateliers, 2 bénévoles (coordination).
- Résultat sur le territoire
- Ces actions ont permis un soutien à la parentalité, une cohésion intergénérationnelle, une mise en valeur du bénévolat. Elles permettent aussi une structuration du territoire par le partenariat. Elles offrent des opportunités d'expression aux intervenants.
- Résultat pour le centre social
Création d'une image de marque par des rendez-vous réguliers, maintien du lien social au travers du bénévolat, création d'emploi salarié.
- Résultat pour les habitants
Opportunité d'animation locale de qualité pour toute les familles et classes sociales confondues.
- Suite de l'action : Limites
Parfois des ateliers peuvent ne pas rencontrer de public (problème de communication ?)
Renouvellement de la programmation.
Re-mobiliser les bénévoles après la période covid.
- Suite de l'action : Perspectives
Après la période estivale 2021, alimenter les échanges sur la politique culturelle de l'association, pour continuer à se renouveler tout en gardant les axes principaux.
Actions
Les terrasses / Les maraudes : à la rencontre des habitants hors les murs en temps de crise sanitaire
- Structure organisatrice
- CENTRE CULTUREL ET SOCIAL ASCO - Gironde
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- Solidarité
- Résumé
Les terrasses : à la rencontre des habitants autour d'un café en temps de crise sanitaire....
Du fait de la situation sanitaire esceptionnelle, l'ASCO à développer des terrasses extérieures sur l'espace public avec des animations, en proposant du thé et du café.
Cette action a permis de prendre en compte les ressentis des habitants en temps de crise. En effet, nous ne pouvions pas accueillir dans nos locaux, c'est pourquoi nous nous sommes délocalisés dans les quartiers.
Ainsi nous avons pu relayer aux différentes instances de veille sociale l'évolution de l'état psychologique des habitants du quartier.
De plus, quand les restrictions sanitaires étaient aux plus fortes, nous sommes allés en maraudes dans les quartiers, par binôme pour parler avec les habitants en distribuant des supports de communication spécifiques (marque page).
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pour aller à la rencontre des habitants confinés, en temps de crise.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Commune
- Autre
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
EN partenariat avec médiateurs de la ville.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Toute l'équipe salariée
- Résultat sur le territoire
Habitants avaient besoin de parler de la situation.
Ecoute active très appréciée
- Résultat pour le centre social
Communication sur la fonction sociale du centre social
- Résultat pour les habitants
demande d'accompagnement social individuel
demande d'accompagnement numérique
demande d'accompagnement à la scolarité
- Suite de l'action : Limites
certaines personnes ne se sentaient pas concernées
- Suite de l'action : Perspectives
Nous allons continuer les terrasses et les maraudes,
Nous envisageons d'investir dans un minibus pour simplifier les déplacements et la logistique.
Nous pensons intervenir dans des résidences de bailleurs sociaux.
Actions
Repare cafe
- Structure organisatrice
- ASSOCIATION SYNDICALE DES FAMILLES DU LAURAGAIS - Aude
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- développement durable
- Résumé
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pour diminuer les déchets,permettre aux habitants d'acquérir des compétences, développer la solidarité
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Action a débuté à l'initiative de plusieurs bricoleurs de 2 associations à l'occasion de la semaine de la réduction des déchets en 2017. depuis un groupe s'est constitué qui anime 10 ateliesr par an et se réunit 2 fois par an pour évaluer son action
- Ressources financières mobilisées pour cette action
100€
en auto financement par une boite à dons.Seuls les consommables sont achetés
Les locaux sont mis à disposition ainsi que le matériel.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
12 personnes bénévoles
- Résultat sur le territoire
création d'autres repare café ponctuels dans plusieurs communes de la Communauté de communes et une communauté de comune voisine
- Résultat pour le centre social
Meilleure connaiossance de l'EVS
propostion de création d'ateliers "récup" réguliers
Nouveaux usagers et bénévoles
- Résultat pour les habitants
Augmentation des compétences
réutilisation
amélioration budget
liens intergénérationnels
- Suite de l'action : Limites
cette année difficultés d'accueil liéesaux jauges
- Suite de l'action : Perspectives
Formation de groupes de bricoleurs pour essaimage
Actions
1000 heures pour 1000 surblouses
- Structure organisatrice
- SOUS LES TILLEULS - Haute-Garonne
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Action réalisée lors du premier confinement de 2020.
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Résumé
Pour pallier le manque de surblouses dans les hôpitaux et auprès des infirmièr.e.s et medecins, notamment en Aveyron, une habitante de Paulhac a proposer de faire appel à l'atelier couture de l'EVS et autres personnes volontaires, d'autres villages, pour coudre des surblouses à partir de voiles d'hivernage.
Elle a coordonné l'action, rassemblé des partenaires pour des dons (banque d'assurance, jardinerie...) et fédéré le groupe de couturières. Femmes et hommes ont aussi participé au pliage et distribution de ces 800 surblouses ainsi confectionnées !
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un habitant
- Territoire concerné
- Autre
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La soeur de l'habitante en question vit à Rodez et a constaté le manque problématique de surblouses de protection dans son lieu de travail. Elle a fait appel à sa soeur qui en a référé à l'EVS. Nous avons donc décidé d'accompagner cette idée de fabrication sur place de surblouses puis de distribution sur la l'Aveyron et la Haute-Garonne.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Entreprise privée
- Territoire concerné
- Autre
- Description générale
L'action a débuté en mars 2020.
L'habitante de Paulhac, sollicitée par sa soeur qui vit en Aveyron, a demandé à l'EVS la possibilité de se mettre en lien avec l'atelier couture. Elle a cherché avec quelle matière ces surblouses pouvaient être confectionnées et a su que le voile d'hivernage convenait. Elle s'est attachée à trouver les partenaires financiers pour l'achat de matière première, ou dons directs. L'atelier de confection et liaison s'est monté à l'EVS. L'animatrice (bénévole) de l'atelier couture s'est associée à l'action pour les communications avec son groupe et pour la coordination de l'action.
Il y a eu de ce fait pas mal de va et vient à l'EVS, pour récupérer la matière première et amener les blouses réalisées, et du coup beaucoup d'échanges, de rencontres, de sorties d'isolement durant cette période difficile pour toutes et tous. Les établissements médicaux et personnels soignants ont été très reconnaissants de cette action.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
313€ (achat de voiles d'hivernages)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
11 personnes (coordinatrices, couturières, pliage et distribution)
- Résultat sur le territoire
Apport de matériel indispensable pour la protection des personnels soignants et maldes. Au moment ou le gouvernement nageait dans la semoule à ce niveau... Retours très nets à ce sujet de la part des personneles soignants (avec photos !)
- Résultat pour le centre social
Connaissance du lieu, connaissance du projet social du lieu, mission de lutte contre l'isolement et d'accompagnement d'initiatives d'habitants et de projets solidaires accomplies !
- Résultat pour les habitants
Valorisation de leur esprit de solidarité, sentiment de rassemblement autour d'une belle cause, utilité. Renforcement du lien social.
- Suite de l'action : Limites
Action éphémère car très ciblée. Il n'y a plus de visibilité des populations vulnérables à ce jour.
- Suite de l'action : Perspectives
Prévoir d'autres action à caractère solidaire pour des publics vulnérables, moins identifiés maintenant, en sortie de crise.
Actions
Co-éduquer sans violence
- Structure organisatrice
- MAG ASP - Guadeloupe
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
Mise en place d'atelier parentalité afin de soutenir chaque parent dans sa fonction parentale, de proposer des outils simples, concrets et réalisables au quoitidien pour une meilleure relation parent/enfant.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action découle d'une rencontre avec 1 professeur des écoles de Très Petite Section (TPS) et une professionnel sage-femme formée aux ateliers d'Isabelle Filliozat "Parentalité consciente et respectueuse". Nous observions un manque de communication, d'incompréhension et des parents parfois dépassés, stressés, ce qui se répercutent sur les relations avec leur enfant, et entre les enfants au sein de l'école.
L'idée de ces ateliers parentalité est de proposer des alternatives aux violences éducatives, d'informer et de former sur des "pratiques bienveillantes".
la 1ère action a été mise en place en 2017 et se poursuit jusqu'à maintenant.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Autre
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Cette action est menée sous 2 formes:
1ère forme: 1 matinée par trimestre accueil classe TPS + les parents au sein du LAEP
2ème forme : "Kafé" des parents, temps de rencontres et d'échanges de 2h tous les 2 mois, au sein de l'école
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 salariés de l'association, 1 bénévole, 2 intervenants extérieurs.
- Résultat sur le territoire
d'autres écoles seraient intéressées par le projet
- Résultat pour le centre social
De nouvelles familles fréquentent la structure notamment le LAEP
L'association est reconnue comment structure ressource petite enfance et est d'ailleurs labellisée Maison de la Parentalité
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Vacances en Famille 7éme Edition 2020
- Structure organisatrice
- FAIR + - Guadeloupe
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
L'action se déroule chaque année à la même époque, au mois de juillet. Ainsi, à l'heure où nous rédigeons sur cette plateforme, la 8ème édition est en cours. Nous allons donc vous faire un compte rendu de l'édition de l'année précédente, en 2020.
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Culture
- vacances / loisirs
- Résumé
Description de l’action
Depuis sa création en 2004 FAIR+ s’engage à aider les habitants du quartier et des environs à travers de multiples actions, telles que l’insertion des jeunes, des activités culturelles qui permettent aux familles de se rencontrer et de vivre des moments d’échanges et de partage.
A chaque action « Vacances en Famille » tout est mis en oeuvre pour permettre aux enfants d'exprimer leur créativité dans les différents ateliers proposés, d'enrichir leur connaissance du territoire dans lequel ils se trouvent et surtout de renforcer les liens intra familiaux mais aussi inter quartier ; d'une manière plus large, cette action a pour ambition d'améliorer le "mieux vivre ensemble". Cette année cette ambition a été quelque peu revue en raison de la pandémie.
Dates : du Lundi 06 au Vendredi 31 Juillet 2020 inclus.
Nombre d’enfants : le nombre d’enfants accueilli a été limité à 30 en raison de la crise du COVID 19.
Nous avons fait en sorte que chacun reste dans son groupe avec son animateur. Il est vrai que cela n'était pas évident
ACCUEIL : L’accueil s'est fait du lundi au vendredi à 9h00 à l’école Christy CAMPBELL de Boissard (QPV) ; école mise à disposition par la ville de Les Abymes. Un animateur s'est tenu au portail d'entrée de l'école, procédait à la prise de température frontale, les arrivants étaient ensuite dirigés vers leur groupe ; chaque animateur a veillé au bon lavage des mains ; lavage des mains qui s'est fait régulièrement tout au long de la journée.
Les parents non participants récupéraient leurs enfants à 16 h au plus tard au portail de l’école.
ACTIVITES : Des ateliers en plein air dans la grande cours de récréation ont été proposés tout au long du mois : dessins, coloriage, fabrications manuelles (cerf volant, bijoux, origami, découpage etc...), peinture, moulage, jeux de société.
REPAS : Le repas s'est pris également par groupe ; une distance suffisante entre chaque personne a été imposée.
Chaque personne était munie tous les jours d'un masque, d'un gel hydro alcoolique, d’un tapis pour la pause méridienne, d’une bouteille d’eau, d'une chaise pliante, d'un tapis et de son déjeuner.
Chaque matin, tout le monde avait ces accessoires, personne n'y a failli.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place il y a 8 ans afin de permettre aux enfants en fin d'année scolaire, de se relâcher tout en maintenant un esprit de créativité et de découverte de leur territoire ; l'île de la Guadeloupe.
Cela permet aussi aux familles à revenu modeste ou en situation de précarité de se retrouver dans d'autres lieux et circonstances differents de leur quotidien.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Commune
- Etat
- Regroupement de communes
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Une fois tout le monde arrivé, nous avons fait une ronde de la parole ; les présents se sont présentés puis à tour de rôle ils ont donné leur sentiment sur cette crise sanitaire. Les animateurs ont pris la parole, se sont présentés à leur tour et ont expliqué ce qu'est le COVID 19 en rappelant le caractère obigatoire de respecter les mesures de distanciation physique ( lavage des mains, posture lors d'éternuement etc..)
Chaque matin, une ronde en chanson.
Chaque matin un atelier débutait avec des intervenants extérieurs :
Peinture sur une toile en gite,
Création de bijoux
Création de tableaux
Fabrication de scoubidou
Fabrication de cerfs volants
Jeux de société
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le Budget est de 18775€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
6 encadrants et 2 bénévoles
- Résultat sur le territoire
Lutter contre l'oisiveté
Resserer les liens familiaux
Se découvrir des compétences, des passions manuelles
- Résultat pour le centre social
Augmenter le nombre d'adhérents
Se rapprocher de la population du secteur
Faciliter les échanges
- Résultat pour les habitants
Aider les habitants à se sentir valoriser et à s'ouvrir au reste du territoire
Elargir la connaissance de leur ile, (culturelle, culinaire, géographique)
Developper leur savoir vivre ensemble
- Suite de l'action : Limites
Pour cette année de crise sanitaire nous n'avons effectué aucune sortie en zone fermée. De plus tout musée et structure étaient également portes closes. Malgré tout plage et rivière en plein air étaient au programme.
Enfin le peu de connaissance sur ce virus a limité les inscriptions.
Les parents sont encore trop peu à partager ces moments de loisirs/découvertes avec leurs enfants. Néanmoins nous commencons à avoir un public d'habitués
- Suite de l'action : Perspectives
Nous continuons à élaborer des programmes chaque année pour attirer le public adultes afin de les sensibiliser pour qu'il soient plus engagés dans cette action parents/enfants
Actions
La rando mollo : reprendre goût ensemble à la pratique sportive
- Structure organisatrice
- Centre Social et Cuturel le Rionet - Lot
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Viellissement
- Santé
- Résumé
Il s'agit de proposer chaque semaine à un public retraité et/ou en situation de fragilité physique (sortie d'hospitalisation, problème de santé) une sortie nature accompagnée par un guide de moyenne montagne. Nous souhaitons leur proposer une activité douce avec un regard particulier sur la nature qui permettra de prendre le temps de s'arrêter et d'échanger autour d'une fleur, ou d'une trace d'animal. Chaque sortie sera suivi d'un gouter.
L'objectif est que chacun reprenne confiance dans ses capacités tout en maintenant un lien social avec un groupe solidaire.
A l'issue du projet une fois que le groupe sera constitué nous espérons le rendre autonome avec la prise en main par un bénévole de l'équipe citoyenne monalisa ou d'un membre du groupe.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
un groupe de randonneurs (environ une quarantaine), la plupart à la retraite part en sortie chaque vendredi sous la houlette d'un bénévole très motivé et motivant. Ce groupe qui part du parking du centre social fonctionne très bien, mais certains membres ont du renoncer pour des raisons de santé et ne peuvent plus réintégrer le groupe car ils ont été fragilisés; d'autres tentent chaque année d'intégrer le groupe et plusieurs renoncent car ils n'arrivent pas à suivre pour différentes raisons (fatigue, santé, manque d'entrainement...). Ils sont déçus et perdent confiance en leur capacité.
Nous sommes chaque année sollicités pour savoir où les orienter pour trouver une activié adaptée.
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- ARS
- CARSAT
- Conseil départemental
- CPAM
- MSA
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
L'activité comprenant 10 séances s'inscrit au programme des activités de loisirs de l'association et a démarré fin septembre. L'animateur prévoit une première sortie simple avec le groupe pour évaluer le niveau de chacun et faire connaissance. Le programme des autres sorties leur est communiqué dans un second tremps. Le projet imlplique une participation assidue afin de valoriser les progrès obtenuse et de favoriser les rencontres de qualité au sein du groupe.
Moyens matériels : - 1 bus de l'association (pour véhiculer les personnes depuis leur domicile jusqu'au lieu de RV)
- les outils de secrétariat
- 1 salle mise à disposition par la mairie du Vignon pour un repli en cas de pluie pour le gouter
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Postes Montant Financements Montant Achat (fournitures bureau, photocopies…) 100,00 € Subvention demandée à la CFPPA 1 404,08 € Honoraires (intervenant) 1 300,00 € Autres à préciser ci-dessous 1 300,00 € Déplacement (transport) 175,00 € M2P 1 300,00 € Réception (collations) 200,00 € Rémunérations (salaires bruts) 738,04 € Rémunérations (charges sociales) 191,04 € Participation des bénéficiaires Auto-financement Total dépenses de l'exercice 2 704,08 € Total recettes 2 704,08 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Moyens humains : - 1 intervenant extérieur : éducateur sportif diplomé et animateur nature 10 séances d'1h30
- 1 salarié du Rionet pour la communication, les inscriptions, l'accueil, et la prise en charge au domicile 25h
- 1 salarié du Rionet pour la mise en œuvre le suivi et le bilan du projet 20h
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
le centre social a répondu à une demande de certains de ses usagers.
- Résultat pour les habitants
les habitants bénéficient d'une activité complémentaire, prise en charge par les partenaires et adapté à leur situation physique.
- Suite de l'action : Limites
les personnes dont la situation physique ne leur a pas permis de progresser ne pourront ni intégrer le groupe des "dynamo rando" mais ne pourront pas non se réinscrire à la prochaine session de "rando mollo", car s'agissant d'un appel à projet, il ne pourr apas être pérennisé sans l'aide d'un autre financeur.
- Suite de l'action : Perspectives
un groupe s'est créé et nous envisageons de les accompagner dans une prise en charge autonome de leur groupe. Sinon, nous chercherons un bénévole qui pourra prendre le relais de l'intervenant spécialisé.
Actions
Latilyé Numérique
- Structure organisatrice
- MAG ASP - Guadeloupe
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Précarité
- Intégration
- Résumé
Lutter contre l'illectronisme et faciliter l'accès aux démarches des services numériques par la mise en place d'ateliers collectifs.
Favoriser l'intégration des publics fragilisés en apportant un accompagnement social et professionnel
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Autre
- Précision ( si autre )
des adhérents de l'Espace de Vie Sociale.
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les démarches administratives sont de plus en plus réalisées de manières dématérialisées, beaucoup de nos usagers ne parlent pas bien le français et ne savent pas se servir de l'outil informatique.
Plusieurs adhérents nous ont fait part de leur envie d'apprendre à utiliser un ordinateur .Ces ateliers leurs permettent d'être plus autonomes dans leurs démarches.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Début de l'action fin 2020, suites aux mesures sanitaires, les ateliers sont individuels
Les ateliers collectifs débuteront en septembre 2021.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 personnes salariés dont un conseiller numérique
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Le p'tit confiné : journal partagé
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ET DE PRÉVENTION DE FIGEAC - Lot
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Fin de confiment et fin de participation progressive des habitants
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- Mixité sociale
- Résumé
Mars 2021, la crise sanitaire oblige le CSP à se réorganiser et a fermer ses portes aux différentes associations et aux animations collectives. Nous avons pris l'initiative d'envoyer un mail à de nombreux usagers des actions collectives pour prendre de leurs nouvelles. La suprise a été que quasiment tous ont répondu et ont envoyé leurs ressentis et leurs occupations suite au confinement (photos, infos pratiques, recettes, lectures, activités créatives...). Un journal dans lequel ce sont insérés au mois de septembre les défis du week end du centre social (défis recettes, défis déco de noel, défis dessins...)
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place pour maintenir le lien avec les usagers du centre social dans le contexte sanitaire, pour partager leurs expériences, leurs vécus afin de créer de la solidarité et limiter l'isolement.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Journal mensuel (à partir d'avril 2020 jusqu'en mars 2021)
Le choix du titre a été participatif (sur propositions des habitants)
Reception des informations des habitans par mail, mise en forme et mise en page du journal par le centre social et renvoi de celui-ci par mail pour partage avec les participants. Une version papier était disponible sur demande pour les personnes n'ayant pas accès à internet et visible sur le site de la mairie de la commune.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Action ne nécessitant pas de budget spécifique
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Entre 25 habitants et une professionnelle référente au début de l'action et environ 6 participants actifs à la fin.
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
Maintient du lien avec les habitants
- Résultat pour les habitants
Le p'tit journal a eu un impact positif sur les lecteurs qui ont exprimé de l'intéret, de la satisfaction, de la créativité
- Suite de l'action : Limites
Essouflement des participants et reprise d'une vie "normale"
- Suite de l'action : Perspectives
Idée de reprendre la formule d'un journal pour partager la vie du centre social et annoncer les activités proposées.
Actions
DEMOS
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL JEAN VILAR ANGERS - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Culture
- Mixité sociale
- Résumé
DEMOS est un projet de démocratisation culturelle centrée sur la pratique musicale en orchestre
Le projet s’adresse à des enfants de 7 à 12 ans habitant en QPV
Chaque enfant se voit confier durant 3 ans un instrument de musique
-Encadré par des professionnels de la musique (Conservatoire à Rayonnement Régionnal) et du champ social, (Réferente famille et animateur.rice famille du Centre Jean Vilar) il suit 3 à 4 heures de cours par semaine en moyenne
et retrouve une fois par mois les autres enfants du même territoire pour une répétition en orchestre (« tutti »)
-Un grand concert est organisé en fin d’année dans un lieu emblématique du territoire.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Autre
- Précision ( si autre )
Philharmonie de Paris
Caisse d'allocation familiale du Maine et Loire
Les familles
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les impacts sociaux et familiaux
Le développement personnel de l’enfant:
Evolution de la relation des enfants aux apprentissages (capacité d’attention, concentration, goût de l’effort, rigueur et assiduité)
Confiance en soi (regards positifs portés par les familles, encadrement éducatif, valorisation des enfants)
Respect de l’autre (empathie au travers du vécu partagé, socialisation)
Le soutien à la parentalité et à la famille:
Les parents sont de véritables acteurs du projet > introduction de l’instrument à la maison
Approche sensible en permettant aux parents de venir à des ateliers
L'accompagnement de l'équipe famille du CJV
Repérer les enfants sans le filtre de la réussite scolaire mais plus en quoi cette dynamique d’ouverture culturelle peut prendre sens pour l’enfant et sa famille, aider l’enfant dans son parcours de vie, son inscription dans un groupe, partager une identité quartier avec les autres quartiers de la ville au titre d’un projet commun
-Faire le lien entre ce qui se passe dans les ateliers et la famille
- Faire de Démos un soutien à la fonction parentale
- Public
- Enfance
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Commune
- Conseil départemental
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
Equipements majeurs du territoire, le Centre Social Jean Vilar est:
-par le pacte de coopération, les maisons de quartier/ La Ville/ La CAF reconnaissent:
Etre un acteur éducatif en complémentarité avec les autres acteurs de l’éducation et au premier rang desquels la famille
- en accompagnant les familles dans la fonction de parent, à travers les loisirs, l’action culturelle, en soutien à la parentalité,
- en faisant vivre l’éducation populaire dans sa dimension d’émancipation, en donnant les moyens à tous, tout au long de la vie, de s’épanouir et de vivre pleinement sa citoyenneté
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Animateur numérique
- Structure organisatrice
- Centre Social Intercommunal L'Atelier - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Viellissement
- Résumé
Nous avons obtenu un financement de la CARSAT pour accompagner les séniors dans leur communication à distance. Pendant la période sanitaire difficile les sénior était particulièrement en manque de communication avec leur enfants petits enfants et même leur voisin.
L'action à consister, en lien avec les CCAS de repérer les personnes isolées, d'écouter leur besoin, puis de proposer la solution la mieux adapter pour communiquer avec leurs enfants et petits enfants.
Nous avons également équipé les bénévoles d'activité d'une visio pour continuer les activités à distance.
Nous avons proposé un accompagnement aux assoxiations et à leurs adhérents de continuer leur activité à distance
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le 1er confinement à montré l'isolement des personnes agées, leur besoin de communiquer et leur peur de sortir de chez eux
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- CARSAT
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Nous avons embauché une personne en CDD sur 9 mois.
Nous avons travailler en lien avec la commission sénior et les CCAS
- Ressources financières mobilisées pour cette action
20 000€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 professionnels, 10 élus, 10 bénévoles, 11 associations
- Résultat sur le territoire
Très bon investissement de CCAS pour s'approprier le projet et proposer aux habitants de leur commune
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
Les habitants rencontré étaient très satisfaits
Le multisport adulte à pu continuer en visio
les ateliers mémoire aussi.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Notre animatrice numérique va devenir conseillère numérique en septembre et étendre ses activités à tous les publics pendant 2 ans
Actions
"Sans ses oreilles", parentalité et handicap auditif
- Structure organisatrice
- ASSOCIATION SEGALA LIMARGUE CENTRE SOCIAL LATRONQUIERE SOUSCEYRAC - Lot
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Solidarité
- discriminations
- Résumé
L’association "Sans ses oreilles" a été créée fin 2018 à l’initiative d’un groupe de parents, concernés directement ou en soutien, par la problématique de surdité de leur enfant.
Basée sur le secteur de Sousceyrac-En-Quercy, cette jeune association est forte aujourd’hui d’une trentaine d’adhérents, dont une dizaine de bénévoles particulièrement actifs ; ainsi que d’une quarantaine de sympathisants supplémentaires. Elle est en lien avec la Fédération nationale des Sourds de France. Le centre social accompagne cette association dans le cadre du soutien à la parentalité.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Objectifs :
- Soutenir et prendre en compte la parentalité avec la spécificité d’un contexte de handicap.
- Répondre à une demande d’un groupe de parents confrontés - en direct ou en proximité - à une situation de handicap lié à la surdité.
- Permettre l’initiation et l’apprentissage de la LSF Langue des Signes Française, à la fois pour des parents concernés directement par ce handicap, pour leurs proches et pour tout autre parent ou personne intéressés par cette problématique et souhaitant s’investir auprès d’enfants sourds.
- Sensibiliser le tout public au handicap, et plus spécifiquement au handicap auditif, et ainsi favoriser l’acceptation de cette différence et permettre une meilleure intégration des enfants en milieu scolaire ordinaire.
- En milieu rural, promouvoir et faire connaitre la LSF au tout public, en tant que pilier de l’identité et de la culture sourde, favorisant ainsi l’ouverture d’esprit, la tolérance face à la différence et au handicap, une meilleure compréhension / communication / relation entre parents / entre familles confrontées à des problématiques différentes, dont le handicap.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association nationale
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Mise en œuvre :
- Année expérimentale 2019 / 2020 : mise en place d’un groupe de travail / réflexion autour de la problématique du handicap auditif :
- Scolarisation en milieu ordinaire d’une fillette sourde maternelle / primaire.
- Accueil en milieu spécialisé / projet de vie.
- Communication / relationnel entre parents / adultes entendants et enfants malentendants / sourds.
- A partir de 2020 / 2021 :
- Mise en œuvre de sessions d’initiation à la LSF Langue des Signes Française à destination de parents concernés directement par cette situation de handicap pour leur enfant, de leurs proches, d’accompagnants, de parents sensibilisés par la problématique du handicap auditif. Initiation dispensée par une professeure agréée LSF.
- Lancement d’un café signes, ouvert plus largement aux parents et aux habitants.
Organisation de soirées projection documentaire handicap surdité / débats encadrés animés par un professionnel de la question - à destination du tout public - envisagés dans le cadre de la semaine mondiale de la surdité.
Cette initiative est innovante dans la mesure où il n’y a aucun projet similaire sur le Nord du Département du Lot, ni a priori en d’autres endroits du département. Peu ou pas d’autre enseignant agréé LSF sur le département.
Les Centres Sociaux et l’association "Sans ses oreilles" sont partenaires dans la mise en œuvre de cette dynamique de soutien au handicap sur le Nord Est du département du Lot et se répartissent les fonctions suivant leurs compétences respectives.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Action intégrée dans l’Animation Collective Familles
- Financement CAF dans le cadre du REAAP 46
- Intervenante enseignante agréée Langue des Signes Française
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- 1 Conseillère ESF dans le cadre de l'ACF
- le directeur de l'ASL
- la coordinatrice de projets
- 1 intervenante enseignante agréée Langue des Signes Française
- les bénévoles de l'association "Sans ses oreilles"
- Résultat sur le territoire
En tant que centre social, l’ASL dans le cadre de cette opération apporte une contribution fédérative entre des familles confrontées à une situation de handicap et les autres familles.
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Accueil de "populations spécifiques"
- Structure organisatrice
- ASSOCIATION SEGALA LIMARGUE CENTRE SOCIAL LEYME-LACAPELLE MARIVAL - Lot
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Intégration
- Résumé
- Accueil en Ségala-Limargue depuis Février 2018 de familles réfugiées d’origine Syrienne dans le cadre du dispositif FAMI "Fonds Asile Migration et Intégration". Prise en charge de l’accompagnement global de ces familles sur une durée de 1 an par l’Association AURORE. Entrée en France, accueil et accès au logement / installation, inscription scolaire, FLE (Français Langue Etrangères) enfants, ouverture des droits sociaux / santé, signature CIR (Contrat d’Intégration Républicaine) et formations civiques, FLI (Français, Langue d’Intégration) adultes, accès aux soins santé et suivi médical, inscription Pôle Emploi, etc,…
- Progressivement courant 2019, comme convenu dans la convention établie FAMI, l’association AURORE s’est retirée de l’accompagnement des familles avec passation de relais, avec les services sociaux de droit commun et les centres sociaux Ségala-Limargue.
- Demande d’avenant "Animation Collective Familles" 2019 / 2020 auprès de la CAF 46 avec pour objet la structuration durable d’un accompagnement de proximité et d’une médiation sociale et familiale pour ces familles réinstallées, et plus largement pour potentiellement de nouvelles familles arrivantes sur le territoire, d’origines diverses.
- L’accueil des familles originaires de Syrie en Ségala Limargue a eu pour effet de doper certaines formes de bénévolat et de développer au sein même de la communauté locale des liens sociaux entre habitants qui se sont mobilisés pour une même cause.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Objectifs:
- Accueillir de nouvelles populations en Ségala-Limargue, territoire fragilisé par une faible densité de population, par le vieillissement, par des soldes naturels et migratoires négatifs.
- Cette demande d’avenant au projet ACF initial est une déclinaison des orientations générales, et qui a pour enjeu de porter une attention ciblée et spécifique à des familles fragilisées de par, leur histoire et par leur situation de réfugiées, ayant fui leurs pays d’origine en guerre, la Syrie. Après avoir passé plusieurs années dans des camps de réfugiés en Turquie ou au Liban, elles ont été accueillies, en situation régulière, sur le Nord-Est du département du Lot. La demande a été de dégager des moyens supplémentaires à l’action ACF existante.
- Contribuer à une intégration réussie et dans la durée de ces familles sur le territoire, en suscitant à la fois une participation active des personnes accueillies, et en soutenant les habitants et les équipes bénévoles dans leur implication à leurs côtés.
- Mission de vieille sociale et de détection de potentiels conflits ou tensions au sein de la communauté locale.
- Favoriser la mixité sociale, multiplier les occasions de rencontre et d’échanges entre les diverses composantes de la population locale (autochtones, habitants non originaires du territoire, nouveaux arrivants, réfugiés,…) afin de s’approprier, de mieux connaître, se reconnaître également, s’accepter, s’enrichir et bien vivre ensemble dans le respect des différences.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Caf
- Commune
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Mise en œuvre :
En articulation et en complémentarité avec les autres acteurs du territoire (élus, associations, équipes bénévoles) et les institutions sociales (DDCSPP, DSD / Conseil Départemental, CAF, MSA,…), une salariée ASL conseillère en économie sociale familiale est chargée de soutenir ces familles, et ce, dans un souci constant d’accès progressif vers une plus grande autonomie et une meilleure maitrise de l’environnement domestique et de vie.
Il s’agit en 2020 / 2022 de poursuivre cet accompagnement pour permettre à ces familles de vivre dans de bonnes conditions sur le sol français, et plus particulièrement dans les communes rurales du Lot, de s’intégrer progressivement à la communauté locale, de se familiariser avec le fonctionnement culturel et administratif de la société occidentale, d’accéder à plus d’autonomie et se prendre en charge, d’accéder à une formation ou un emploi, d’accéder au permis de conduire français dans la mesure où les permis syriens n’ont pas pu finalement être retranscrits en permis français (pas d’accord entre la France et la Syrie).
Ce frein à la mobilité fragilise et précarise le maintien de ces familles sur le territoire.
Multiples démarches engagées dès Juillet 2019 auprès de la Préfecture du Lot pour la mise en place d’une action collective de préparation au code de la route en langue arabe et en proximité géographique.
A ce jour, la situation est toujours bloquée malgré l’engagement affirmé par la Préfecture. Les raisons à ce blocage ne sont pas indiquées.
- Facilitation des actes de la vie quotidienne et soutien des préoccupations familiales.
- Facilitation et aide à la réalisation de démarches administratives papier ou dématérialisées / accès aux droits, en lien avec l’Espace France Services et le point numérique CAF.
- Médiation sociale : production de lien social au sein de la communauté locale. Accompagner les familles / les enfants vers des activités inter-familiales et de lien social (sorties familles, soirées jeux, sorties culturelles, clubs sportifs, bibliothèque,…).
- Mettre en place les conditions pour permettre aux adultes de contribuer à la vie locale, par exemple par l’organisation d’ateliers cuisine de découverte culinaire de Syrie et partage des habitudes alimentaires locales.
- Faire du lien entre ces familles et les structures petite enfance / RAM / centres de loisirs / accueil ados.
- Médiation culturelle : la place de la femme. Il s’agit d’accompagner petit à petit une approche différente du rôle et de la place de la femme dans le foyer et dans la société. Certaines femmes parlent de l’envie de sortir du foyer familial pour exercer une activité professionnelle.
- Un autre regard culturel, l’apprentissage du français et l’accès au permis de conduire sont des conditions essentielles pour avancer dans cette perspective.
- Alimenter la chaine d’acteurs complémentaires pour optimiser la réussite de l’installation durable de ces familles.
- Soutenir l’engagement bénévole local.
- Faciliter connexions et transversalité avec d’autres actions des centres sociaux (confer ACF Petite Enfance, Partageons Nos Saveurs, etc,…).
Cette démarche d’accueil et d’accompagnement est transférable, le cas échéant, à d’autres "populations spécifiques".
- Ressources financières mobilisées pour cette action
S'inscrit dans la mission d'Animation Collective Familles du Centre Social
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- 1 personne Conseillère ESF / 0.5 ETP dans le cadre de l'ACF
- la direction ASL
- la coordinatrice de projet ASL
- des bénévoles sur les communes concernées
- Résultat sur le territoire
- Installation de nouvelles familles, avec de jeunes enfants et des enfants scolarisés
- Une dynamique collective, globalement fédératrice
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Epicerie solidaire ephémère
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL EVRE ET MAUGES - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Précarité
- Résumé
Lors de la période de confinement, le centre social a mis en oeuvre une distribution de colis alimentaire pour les familles qui en ressentait le besoin. Ensuite, l'édition du "festisol 2020" (temps fort organisé par le Centre Social avec les partenaires agisant dans le champs de la solidarité) n’a pas pu se tenir en raison de la crise sanitaire. Les bénévoles, qui ont participés à la distributions de colis solidaire et investis initialement à la Disco Soupe du festisol, ont proposé de transformée l'action en un temps fort : "Epicerie Solidaire éphémère". Une première édition s’est déroulée le vendredi 4 décembre, salle des Comités à la Mairie de Beaupréau. Une quinzaine de bénévoles et d’élus se sont mobilisés pour pouvoir accueillir une soixantaine de familles. Des denrées ont été récupérées chez des producteurs, ou revendeurs, ou même chez des particuliers, pour pouvoir les vendre (à des prix très réduits) aux bénéficiaires de l’épicerie. L’invitation a été transmise via les assistantes sociales de la Maison des Solidarité (MDS 49), le Centre Communal d’Action Sociale (CCAS) de Beaupréau en Mauges, le groupe Accueil Migrants et le réseau du Petit Panier des Mauges. D’autres partenaires, comme le Secours Catholique, le Centre Thérapeutique à Temps Partiel (CATTP) et la Halte du Cœur se sont mobilisés pour la réussite de cette première ouverture de l’épicerie Solidaire, éphémère ; qui en appellera d’autres. Ce qui a été le cas, puisque 2 autres temps forts ont été réalisés en 2021...
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Autre
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La crise saniatire a mis en évidence des réalités cachées pour les familles vivant dans la précarité. La première action, une distribution de colis alimentaires, réalisé en Avril 2020, a mis en évidence la problématique de la précarité alimentaire due à la précarité éconique. Fort de cette expérience, le Centre Social a permis la mise en synergie des acteurs autour de cette problématique.
Avec le souhait de s'investir dans une démarche DPA, nous avons profité de ces temps forts pour solliciter les bénéficiaires pour savoir s'ils souhaitaient participer à la définition d'un futur projet d'épicerie solidaire.
Ce projet s'inscrit dans l'axe prioritaire "Justice Sociale et solidarité" du projet social 2021-2024.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Association locale
- Commune
- Conseil départemental
- Entreprise privée
- Regroupement de communes
- Autre
- Territoire concerné
- Autre
- Description générale
Un comité de pilotage a été constitué avec les partenaires principaux pour envisager une épicerie solidaire régulière (mais avec la covid, celui-ci s'est plutôt focalisé sur les temps forts "épicerie solidaire éphémère", afin de ne pas perdre le lien avec les familles.
Ressources mobilisées : 1 salarié du CS pour assurer la coordination du projet et sa mise en oeuvre - une 30 taines de bénévoles de plusieurs associations dont le CS - 10 à 15 entreprises locales de distribution alimentaire ou producteurs (donnateur de denrée) -
- Ressources financières mobilisées pour cette action
En ne comptant pas le temps de travail, "l'épicerie solidaire éphémère" a un budget de 300 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
4 salariés ( 2 Centre Social - 1 MDS - 1 CCAS) + une trentaine de bénévoles
- Résultat sur le territoire
2 acteurs du territoire ont indiqué être interressé par la mise en oeuvre d'une épicerie solidaire pérenne... Une association qui s'appelle le petit panier des mauges (qui maintenant s'est réuni avec le GRAS (groupe de reflexion pour une Alimentation Solidaire) et la collectivité. le centre social s'est proposé pour être dans la mise en oeuvre d'un processus de développement du Pouvoir d'Agir avec les usagers et les acteurs associatif du Gras et la municipalité. Lors de la dernière rencontre, il a été décidé par la collectivité d'être le principale pilote du projet et d'y associer les partenaires citées ci-dessus. (processus de négociation en cours)
l'épicerie social ephémère a permis de rencontrer de nouvelles familles et de répondre à un réel besoin du territoire. le projet à également permis de visualiser pour les élus, que leur liste de personnes bénéficiaires des colis alimentaires devaient évoluer car son cadre semble trop restrictif.
- Résultat pour le centre social
Il y a eu des interractions avec de nouveaux partenaires : les commercants et producteurs du territoire.
des discusions internes à partir de situation réelle autour de : "partenariat ou coopération... La relation avec la ville" - "La prise en compte du processus DPA" -
rencontre de nouvelles familles et communication sur les autres possibles avec le Centre Social - mobilisation de nouveaux bénévoles
- Résultat pour les habitants
Pour les habitants qui ont bénéficiés de l'épicerie sociale éphémère :
Une reconnaissance de leur pouvoir de consommateur (achat avec le pouvoir de choisir) et non plus d'assistée (dont de colis alimentaires).
Une prise en compte de la situation, et pour certains, une envie de changement et de participer à ce changement...
- Suite de l'action : Limites
Aucune limite sur l'épicerie sociale ephémère
Le modèle économique et structurel pour une épicerie sociale régulière.
- Suite de l'action : Perspectives
La création d'une épicerie sociale solidaire est en perspective pour l'année 2022-2023.