Le centre socioculturel propose 12 ateliers tant sportifs que culturels et concerne une centaine d'adhérents. 

Le projet "Aux bois" a été élaboré en partenariat avec le théâtre de l'Agora et le centre social. La DRAC a soutenu financièrement ce projet et une compagnie d'artistes a été également associée à l'élaboration du projet afin d'impliquer des habitants dans un travail création artistique.

Le projet consistait inteviewer des habitants (d'âges divers, d'orgigines différentes) en individuel (lors d'entretiens) à partir d'un plat qui leur évoquait quelque chose. Ils ont ainsi raconté des tranches de vie et des histoires personnelles.

Des portraits ont été réalisés par une photographe professionnelle.

Des temps collectifs ont été organisés avec l'objectif d'aboutir à un banquet spectacle où les participants "joueraient" leurs propre rôle et raconteraient des tranches de vies, des souvenirs, etc.

Un livre restitue les recettes, les portraits photographiques et des narrations pour chaque participant.

Le banquet spectacle a permis de valoriser et clotûrer le projet lors d'un temps fort réunissant plus de 70 personnes. 

Il y a quelques années un collectif jeunes a été crée sur la structure . Les jeunes ont grandis. Ils sont lycéens aujourd’hui mais ils toujours été intéressés par les activités de MQ et participent régulièrement à des actions solidaires. Dans la continuité de ce qui existait nous avons donc décidé de créer un collectif junior.

L’idée est d’accompagner les jeunes 15/17 ans à développer des projets et être acteur de leur devenir.

Un projet en trois phases : des ateliers découvertes-initiations sur des sujets liés aux enjeux du développement durable ; écriture et représentation d'une pièce de théâtre ; séjour intergénérationnel " du champ à l'assiette ". Ce projet regroupe des jeunes du centre social, des séniors d'une résidence de personnes âgées et des étudiants en master géographie.

Il 's'agit de mobiliser les habitants du Parc aux Lièvres autour de la mémoire du quartier au regard du projet de démolition et de réhabilitation du secteur Evry-Sud. Cette action se traduit par la mise en place de différentes actions autour de la photo du reccueil de témoignages par la vidéo, et des activités manuelles. L'objectif est de valoriser l'ensemble des actions dont le point d'orgue sera la journée festive du 6 juillet 2019.

Interventions auprès des enfants du voyage, sur les aires d'accueil, avec un enseignant de la mission Enfants du voyage de la DSDEN, autour du livre, avec le centre social mobile.

Il s'agit de faire venir la bibliothèque sur les aires d’accueil : séance de choix de livres pour le prêt (15 jours) et une séance de lecture, chaque mercredi.

Il s'agit en collaboration avec une librairie stéphanoise, les écoles du territoire, et une association de lecteur  d'exposer des livres en rapport à un thème choisi. En 2018 ce thème était le "histoire de mots". Durant une semaine les classes participent à un ateliers et assistent à des lectures. Les enfants ont la possibilité de choisir des livres pour les consulter et les lire. Les parents étaient invités à se rendre à cette exposition avec leurs enfants le soir après l'école.

Etude sociologique réalisée sur une durée de 6 mois par une étudiante en Master de sociologie. la question de recherche : comment les parents pensent et exercent l'éducation à la santé de leurs enfants. Recherche menée à partir de la théorie de la représentation et de la pratique social de l'objet santé. Méthodologie : réalisation d'entretiens semi-directifs avec des familles ( parents ). Pour la mise en place, de préconisations, de possibilités d'interventions, mises en place d'actions. 

Le chantier participatif mené à Souché vise à remonter des murs en pierres sèches sur le "chemin des brouettes".

Au coeur du vieux bourg de Souché, les chemin des brouettes est un lieu de promenade et de randonnée.

Le chantier vise à rempnter ces murs tels qu'ils existaient autrefois. il vise aussi à former des habitants sur cette technique et ainsi, pour qu'ils puissent à leur tour remonter leurs propres murs chez eux.

Il s'agit aussi de restaurer un patrimoine local.

Vendredi 30 novembre 2018

Journée Citoyenne et Républicaine

Mobilisation contre l'endoctrinement et la radicalisation

de 9h à 23h, et davantage...

Salle de spectacle de la Pépinière

13, Rue Georges Danton - 90000 BELFORT

Dans le cadre de la Journée Citoyenne et Républicaine édition 2018, l’Association Culture Loisirs Education d’Offemont (CLE) a organisé à l'échelle du Territoire de Belfort, une manifestation majeure portée sur la formation, la mobilisation contre les dérives sectaires, l’endoctrinement et les risques de radicalisation.

 Cette action était soutenue par les pouvoirs publics, les différents coopérateurs institutionnels dont la Préfecture du Territoire de Belfort, la CAF du Territoire de Belfort, la Région Bourgogne – Franche Comté, le Conseil Départemental du Territoire de Belfort, Le Grand Belfort, la commune d'Offemont.

Cette journée citoyenne a été l'occasion d'un grand rassemblement inter disciplinaire, au cours duquel tous les professionnels intéressés et interpelés au quotidien dans leur pratique ont eu un temps d'écoute, de formation, d'échanges, de réflexion, d'émotion et de partage.

Cette journée s’est déroulée : Vendredi 30 Novembre 2018 à la salle de spectacle de la Pépinière ainsi qu’au LP Diderot de BAVILLIERS.

Cette journée a été co animée par Marion STALENS, réalisatrice et Assad MOKHENACHE, Directeur de la CLE d’Offemont.                                                                                                 

Marion STALENS, photographe et réalisatrice de renom, auteure de nombreux documentaires explorant de façon singulière des sujets de société prégnants, tels que la condition des femmes, l’immigration, le handicap, l’Afrique, la liberté d’expression.                                                                                   

Le documentaire « Revenantes » de Marion STALENS déjà diffusé sur France Télévision donne la parole à des femmes qui ont réussi à prendre suffisamment de recul pour raconter leur bascule dans la radicalisation qui a menée certaines d’entre elles au cœur de l’enfer de Daech en Syrie. Les questions qui traversent tout le documentaire : Comment plusieurs femmes ont pu adhérer à l’idéologie jihadiste ? Quels sont les ressorts qui les ont poussés à s’en sortir ?

Cette journée citoyenne et républicaine a comporté 3 temps forts (ateliers) :

1.      Temps de formation, échange – débats autour notamment du travail d'enquête, d'investigation et de réalisation du documentaire "Revenantes" de 9h à 12h avec les professionnels intéressés par la problématique notamment de l’endoctrinement et de la radicalisation. 

2.      Rencontre et échanges avec des lycéens du LP DIDEROT à Bavilliers : Echange – débat à partir du documentaire les « Revenantes ».

Afin de poursuivre le travail de prévention, d’information et de lutte contre l’embrigadement, nous avons mis à disposition des équipes éducatives toute une série de modules pédagogiques : Récits de femmes, paroles d'experts, certains thèmes s’appuyant sur les témoignages de « revenantes » et le décryptage d’experts. Ce support pédagogique a fait l'objet d'un travail inter disciplinaire par les équipes éducatives du Lycée Professionnel Diderot.

L’échange s’est organisée cette année sous la forme de deux débats de 45 minutes, 1h avec à chaque session, près d’une centaine d’élèves.

Au final, les deux sessions ont été très riches, de nombreuses questions ont été posées, cela traduisait bien les interrogations et autres réflexions qui demeurent celles de ces adolescents, adolescentes. Ce nouveau format a été grandement apprécié par l’ensemble des partis investis et impliqués dans la démarche de dénonciation de l’endoctrinement et des processus de radicalisation.

3.      Diffusion du reportage les « Revenantes » à partir de 20h à la Salle de spectacle de la Pépinière à BELFORT.

La diffusion du documentaire a été suivie d’un échange – débat entre Mme STALENS, M. MOKHENACHE et les nombreux spectateurs présents. Nous avons pu compter la présence de nombreuses personnalités, Mme ELIZEON Sophie Préfète du Territoire de Belfort aurait dû être présente, empêchée à la dernière minute par des évènements liés aux « gilets jaunes », plusieurs adjoints de la mairie d’Offemont, des représentants du Conseil Régional, de l’Université, de l’éducation nationale, des différents services de l’Etat.

Publics bénéficiaires ou cibles :

Pré-adolescents, adolescents, jeunes adultes et parents issus des QPV : près de 550 personnes dans le cadre de la Journée Citoyenne et Républicaine, édition 2019 : conférence-débat, échange avec du public étudiant, visionnage du court métrage "Tu iras au Paradis" suivi d'un débat avec le public.

Grand public et autres professionnels de l'animation, de l'éducation et de la prévention de la délinquance intéressés et sensibilisés par ces questions : 160 personnes.

L'ensemble des actions, projets développés et mis en œuvre au cours de l'année 2018 a touché près de 700 personnes. Cette journée citoyenne et républicaine a fait l’objet d’une interview croisée de Marion STALENS et d’Assad MOKHENACHE par une équipe de france 3 Bourggone Frnache Comté. La journée Citoyenne et Républiciane édition 2018 a fait l'objet d'un reportage diffusé lors de l'édition du journal d'information de 19h.

Indicateurs – évaluation :

Présence, régularité, investissement du public dans sa diversité, des jeunes particulièrement,

- La qualité des échanges et des débats suscités lors et à l'issue des séances et autres débats avec des intervenants, des spécialistes, des professionnels.

- La motivation lors de la conférence, diffusion du documentaire « Revenantes ».

- Une meilleure compréhension du concept du vivre ensemble, de la tolérance, de l'égale dignité humaine.

- L'acquisition d'un répertoire de connaissances et de références aux valeurs républicaines et citoyennes, humanistes et universelles.

- La prise de conscience de la dangerosité et de la haine de l'humanité que ces groupuscules djihadistes véhiculent de par leurs canaux de communication, de vulgarisation du principe de "théorie du complot".

Finalités recherchées :

Le projet visait également à susciter la réflexion, le questionnement, à lutter contre certains clichés, stéréotypes et autres représentations et à inviter au dialogue dans des conditions sereines et empreintes de sérénité, valeurs républicaines.

 Il s'agissait de fait de permettre, faciliter une meilleure ou plus juste appréhension du monde par nos publics pré adolescents et adolescents en dénonçant notamment les injustices, la théorie du complot véhiculée sur la toile, contribuant par la même à faire évoluer les mentalités dans un esprit, espace citoyen pour tendre vers une compréhension du monde, des contextes géopolitiques qui ne soit pas biaisée, altérée par de la frustration, de la démagogie, de l'ignorance.

Le défi pour le groupe projet fût d’organiser un évènement festif autour de la notion de solidarité. Le programme a été co-construit par l’ensemble des secteurs de la Maison de Quartier. Il comprenait :

- Une Bourse aux jouets

- Une Bourse aux Vêtements d’hiver et Layettes

- Des jeux pour les enfants préparés par l’équipe d’animation

- La présence du Père Noël en la personne du représentant des bénévoles de la structure

- Ateliers d’activités « version Noël » encadrés par les bénévoles

- Un stand restauration

- Une animation musicale pilotée par un jeune du Local Ados

- Représentation musicale des enfants et de l’équipe périscolaire

- espace conte autour de Noël

L’action est structurée autour de deux axes :

• La création et la mise en œuvre de la plateforme d’apprentissage de la langue française :

Cette plateforme sera l’interlocuteur unique pour l’orientation des habitants des quartiers prioritaires vers les actions d’apprentissage de la langue française du Contrat de Ville.

Une prise en charge individuelle sera proposée à chaque apprenant :

-          Après un entretien personnalisé de positionnement, la référente famille (en partenariat avec la Passerelle pour les habitants du territoire 1) et l'intervenante spécialisée oriente la personne vers les ateliers où les actions qui sont les plus en adéquation avec son niveau de maîtrise de la langue et de son projet personnel.

-          Pour les personnes possédant une maitrise de base de la langue et dont le projet personnel est la recherche d’un emploi, une orientation sera faite vers l’action de l’ADREP.

-          Le droit commun sera mobilisé prioritairement pour l’orientation des apprenants vers les dispositifs existants.

Afin de favoriser la coordination avec les prescripteurs et les dispositifs existants, le groupe de travail sur les actions d’apprentissage de la langue française sera maintenu. Il sera l’instance de pilotage et de suivi de la plateforme.

Une évaluation de la progression des bénéficiaires permettra d’assurer le suivi des parcours et la remontée d’informations vers les participants du groupe de travail (retour suite à une prescription, éléments de bilan, etc…).

La mise en place d’ateliers sociolinguistiques ou FLE sur les territoires QPV  1 et 2:

La Bastide animera des ateliers sociolinguistiques et/ou FLE sur les quartiers prioritaires 1 et 2 (maintien des actions existantes sur le territoire 2 et développement d’actions similaires sur le territoire 1). Ces ateliers permettront aux participants:

-        D’acquérir les savoirs de base ou de mieux maitriser la langue française ;

-        De s’approprier l’environnement cavaillonnais ;

-        De favoriser l’insertion sociale par l’autonomie et la mobilité ;

-        De respecter un cadre d’apprentissage.

Assiduité et participation à d’autres actions confortant l’apprentissage de la langue française : L’apprenant devra s’engager à participer régulièrement aux ateliers (règlement intérieur, feuille d’émargement). Un lien fort avec les actions portées par les centres sociaux favorisera une démarche globale vers l’autonomie et l’insertion sociale.

Le multi accueil de Burnhaupt le Haut a proposé au courant de l’année un projet aux familles inscrites dans la structure. Les parents et enfants étaient accueillis plusieurs fin d’après-midi et soirées dans l’année autour d’ateliers parents enfants.

Février 2018 :

Fabrication de marionnettes et comptines.

Les enfants ont fabriqué une marionnette avec leurs parents ; l’idée était de partager des techniques de bricolage à petit budget et réalisable à la maison. Dans un second temps, les marionnettes ont été utilisées pour mettre en scène des comptines.

 Ce thème a permis d’aborder avec les familles les bénéfices de la musique et des comptines pour l’enfant (notion du rythme de la parole), mais aussi le passage du réel à l’imaginaire.

Avril 2018 :

Le jardinage : atelier plantations

Le multi-accueil possède un coin potager dans le jardin des sens. Lors de cet atelier l’idée était de permettre aux familles d’investir cet espace et proposer un atelier plantations. 

Il a été aussi abordé, à travers le jardinage la  notion de respect de l’environnement, de bien manger.

Juin 2018 :

Conte-moi dans le jardin

Dans la continuité de l’action précédente, il a été proposé une lecture de conte, mis en scène et en musique dans le jardin des sens (avec la participation de parents musiciens).

Les bénéfices de la littérature enfantine ont été présentés : comment lire des histoires aux enfants ?  Comment réussir à capter l’attention des enfants et à les faire entrer dans un monde imaginaire ?

Octobre 2018 :

La motricité :

Dans un premier temps une psychomotricienne a proposé une séance de motricité ; puis, des échanges ont eu lieu avec les parents autour du développement de l’enfant, de ses capacités motrices et ses besoins en fonction de son âge. 

Décembre 2018 :

Cuisiner avec son enfant :

La dernière séance était un atelier cuisine. Une recette a été réalisée par les enfants et leurs parents.

Cette séance a permis d’aborder la question de comment cuisinier avec son enfant de 2/3 ans (que faut-il préparer avant ? comment s’organiser ?)

Accueil social individualisé pour les nouveaux adhérents du Centre social.

Le principe de ces dispositifs est d’établir que les « besoins » et les « moyens » circulent de manière permanente et aléatoire d’une personne à l’autre dans le système d’échange de services, et ce dans un mécanisme qui s’articule autour d’objectifs communs tels que : le lien social, l’intergénérationnel, la lutte contre l’isolement, le partage des connaissances, l’accès à des produits locaux saisonniers de qualité, l’hygiène alimentaire, la solidarité, etc. …

- LE JARDINAGE À LA MAISON : Mettre en relation des habitants en attente de parcelles libres dans les jardins partagés gérés par la ville, avec des habitants qui souhaiteraient avoir sur leur terrain un espace potager et/ou fleuri.

- LES CUEILLETTES À DOMICILE : Proposer à des habitants propriétaires d’arbres fruitiers dont la production des arbres est souvent plus importante que leur capacité à la consommer entièrement, d’accueillir une équipe de « cueilleurs ».

Il y a moyen de réengager une véritable découverte des fruits et légumes produits localement et proprement !

La Ferme du Saut du Loup se propose d’être la charnière qui met en relation le jardinier ou le cueilleur postulant avec l’habitant qui propose son espace.

La récolte est ensuite partagée, et tout le monde s’y retrouve !!

Dans le cadre du projet famille et du printemps du PEDT de la Ville de Toulouse, le Centre social a piloté un projet partenarial autour des Ecrans.

Une journée a été proposée aux familles du territoire autour stand tenue par des professionnels sensibilisé à la bonne utlisation des écrans. Stands Ludothèque, bibliothèque,les petits débrouillards.... ont proposé des stande favoriser la créativité des enfants accompagnés de leurs parents.

De plus un théâtre Forum "Papa Forum" a été animé par l'Association l'Ecole Citoyenne.

Discussions autour d'un café entre parents, de manière libérée, sans préjugés, paroles ouvertes avec la référente familles mais aussi ponctuellement la venue d'un professionnel compétent, permettant d'aborder des questions en lien avec la parentalité, l'éducation des enfants, à raison d'une mois par mois.

L'action a permis les échanges entre parents qui ne s'étaient, pour certains, jamais adressé la parole,bien qu'habitant le même quartier et s'étant déjà croisés.

Par le biais de vidéos, clips, ou jeux prêtés par le Département, la prise de parole des parents s'est déliée pour aborder des thématiques autour de la parentalité : conflits famliaux, séparation, familles nombreuses ou mamans solo, problèmes financiers, modes de garde, scolarité, etc...

Les thématiques ont été choisies par les parents en fonction de leurs besoins.

Depuis Juin 2018, nous avons mis en place un projet expérimental avec le Département de la Seine Maritime pour accompagner les jeunes 16-25 en rupture socio professionnelle ou familiale dans leurs démarches d'insertion.

Une grande partie des jeunes adultes de l’Ancrage fréquentent notre structure depuis plusieurs années. Ils sont informé des différents dispositifs de financement des projets jeunes.

Le projet se présente sous forme d'un jeu de parcours d'environ 10 kms dans la ville du Tréport et la ville d’Eu avec plusieurs étapes.

Des équipes de 3 jeunes minimum seront réparties sur des parcours de couleur. Chaque parcours comporte les mêmes étapes dans un ordre différent pour fluidifier le jeu. A chaque étape un intervenant sera présent pour donner des informations et poser une question afin de passer à l'étape suivante, pour allier sport et connaissances des missions et des aides proposées par les différentes institutions.

Le collectif d’habitans a proposé une activité Cinéma de proximité. 

Le groupe a défini des critères pour sélectionner le film (familial, ludique et suscitant des échanges possibles dans la salle).

Les spectateurs sont accueillis par le groupe porteur de projet.

Le groupe reproduit une ambiance de cinéma des années 70-80 avec le panier « ouvreuse de cinéma ». Une personne porte une manne en osier et présente des confiseries.

A l’issue de la séance, les habitants peuvent prendre une boisson et discuter du film et entrevoir la prochaine programmation.

La représentation de soi par rapport aux autres, un sujet délicat à aborder

L’estime de soi comme vecteur de bien être et donc de bonne santé

L’autoportrait comme moyen de se représenter, de parler de soi, de se montrer à un moment donné, de questionner son identité et de transmettre un message

S'approprier l'espace public et s'y afficher

Développer l’itinérance en 2019 sur le territoire intercommunal
Rencontrer environ 400 personnes lors des 15 déplacements dans les communes ci-dessous pressenties :

• 2 déplacements dans celles où le centre itinérant est déjà venu en 2018 : St Vincent de Barrès, Alba la romaine, Cruas, Saint-Martin-sur-Lavezon
• 2 fois dans celles où le centre itinérant n’est pas venu : Meysse, St Lager Bressac, St Symphorien sous Chomérac

Développer les cafés des écoles et l’itinérance du CSC en 2019 dans les quartiers politique de la ville

• 15 déplacements au Teil
  • 12 dans les QPV : 3 fois à la Violette + 3 à Frayol + 3 Cœur de ville + 3 Teillaret
  • 3 dans le quartier Sablière (non QPV)
• 36 Cafés des écoles, soit 6 cafés aux abords de chacune des 6 écoles :
  • 6 cafés aux abords des 5 écoles en QPV : Ecoles élémentaires Teil Centre, Frayol, maternelle La Violette, Bas-Frayol Astier
  • 6 autres cafés à l’école Mélas (non QPV)

Communiquer et valoriser la parole des habitants

• Embauche d’une chargée de communication (1/3 ETP - CDD 2019) :
  • Création d’un logo pour le centre itinérant, dévoilé le 29/04/19, communication avec les communes, afin d’informer les habitants en amont des déplacements, réseaux sociaux…
  • La création graphique et mise en page (cf. valorisation paroles des habitants) seront assurées par la chargée de communication.
• Rendre compte aux partenaires : 3 réunions/an permettant de partager les problématiques les plus saillantes
• Valoriser la parole des habitants :
  • des agendas 2020 personnalisés (phrases en exergue, propositions pour le territoire, le vivre ensemble…)
  • des beaux livres (donnés aux nouveaux habitants, à l’occasion de cérémonies républicaines) :
    paroles et portraits d’habitants + photos et textes issus d’ateliers d’écriture
  • un livre géant, surdimensionné, à installer ponctuellement dans l’espace public (réalisation interne)
  • exposer la parole d’habitants dans l’espace public :
    • Des calicots ou bâches imprimés exposés pendant 3 à 6 mois
    • Alternative : impressions d’autocollant sur vitrines de magasins fermés

Cette action vise à favoriser la participation active des familles à l’élaboration de projets collectifs.
Nous visons les familles souhaitant organiser et proposer une activité collective en famille à faible coût (culturelle, sportive, familiale…), financièrement raisonnable sans être accompagné, le jour de l’action d’un professionnel.  Les familles porteuses de projet seront accompagnées du référent famille pour la partie méthodologie de projet.
Les projets, sont à soumettre à un jury composé de partenaires financiers (chargée territoriale de la CAF), du directeur de la structure et de membres du comité d’usagers du centre social Marlborough.
Cette bourse est régie par un règlement réalisé avec les membres du jury. Un dossier type est à rendre au minimum 2 semaines avant la date de l’action.
Suite aux dépôts du dossier, les familles sont invitées à présenter oralement leur projet. Le jury, selon les critères définis dans le règlement, accepte ou pas l’obtention de la bourse au projet familles.
Afin d’évaluer cette action, les familles ayant réalisées le projet doivent, en contrepartie, rendre un bilan écrit de l’action (pouvant être accompagné par le référent familles) sur un document type réalisé par le comité de pilotage.
Afin de faire la promotion de cette action, le référent familles organise une présentation des projets en comité d’usagers,

Des modifications importantes ont été faites dans l'habitat (destruction et rénovation). Le bailleur n'avait communiqué que par courrier et nombre d' habitants sont venu nous solliciter pour une explication du texte... Nous leur avons donc proposé de se réunir au centre social avec notre partenaire "Au fil de la Rivière" (lui aussi sollicité). Un état des lieux des interrogations, craintes et peurs de ces habitants ont été recencées. Les habitants ont réalisées un écrit. Nous avons sollicité le bailleur pour l'organisation de rencontre. Deux rencontres ont été organisées et les représentants du bailleurs ont apporté des réponses aux questions identifiées.

Dans l’accompagnement à la scolarité, il n’est pas question d’enseigner (ce qui est un « geste » de professionnel), mais d’aider un enfant à se construire un savoir-faire et à maîtriser les outils qui lui permettront de mener à bien son « métier » d’élève. On l’aidera notamment à « faire ses devoirs », utiliser son emploi du temps, lire son cahier de texte, préparer son cartable, apprendre ses leçons, lire les consignes des exercices donnés en fonction de la discipline à laquelle elles s’appliquent, etc.

L’accompagnement à la scolarité se déroule sur deux séances hebdomadaires pour chaque enfant inscrit, en dehors des vacances scolaires de 16h30 à 18H30 :

• Le Lundi et Jeudi pour 7 enfants au centre social Joseph Chetaille (La Plaine).
• Le mardi et vendredi pour 7 enfants au centre social Thomassin.

L’inscription des enfants se fait, soit par une orientation de l’école, soit par une volonté des parents.

 Un contrat engageant les parents, l’enfant et les centres sociaux est conclu lors de l’inscription pour bien définir le cadre de l’accompagnement. Les séances se déroulent en deux temps :

- un premier temps est consacré au travail scolaire (apports méthodologiques).

- un second temps est consacré à la découverte par le biais d'activités donnant un sens à l'apprentissage et une ouverture sur le monde (arts plastiques, jeux de société, atelier d’écriture, théâtre, atelier scientifique, cuisine…).

Une part importante est réservée à l’implication des parents dans le suivi de leur enfant et aux relations avec les écoles. Le projet des écoles concernées servira de base de travail pour garder une cohérence. Des temps conviviaux, d’échanges seront également organisés avec et pour les parents.

L’encadrement est assuré par l’animateur social accompagné d’une équipe de bénévoles

L’action Français Vie Quotidienne (FVQ) s’adresse aux personnes qui souhaitent acquérir ou approfondir leurs connaissances en français. Il répond au désir des personnes de s’intégrer et d’avoir davantage d’autonomie lors d’échanges dans les situations de la vie quotidienne y compris en lien avec l’emploi. Une meilleure intégration et socialisation de ces personnes est donc une autre composante de notre atelier à visée sociolinguistique. En effet, le lien social et relationnel se crée grâce aux échanges et à la dynamique de groupe lors des séances de français.

Quatre cours de deux heures en après-midi et en soirée sont proposés par les centres sociaux, ils sont répartis entre le centre social Thomassin et le centre social Joseph Chetaille (La Plaine). Une formatrice Français Langue Etrangère (FLE) assure la préparation et l’animation des cours pendant lesquels quatre bénévoles (une par séance) lui viennent en aide. Cela permet de constituer à chaque fois deux groupes de travail respectant au mieux les niveaux des personnes en français.

Les personnes qui s’inscrivent à cet atelier « FVQ » peuvent avoir au minimum 2h et jusqu’à 8h de cours de français hebdomadaires. L’organisation de nos cours prend effectivement en compte l’emploi du temps et les changements, qu’ils soient ponctuels ou durables, de vie et de parcours des personnes. Les cours de l’après-midi s’adressent surtout aux personnes sans emploi, tandis que les cours du soir réunissent principalement ceux qui travaillent ou suivent une formation.