Le Festival a eu lieu le 8 mars 2014 à l'occasion de la Journée Internationale des Femmes. La Femme a été mise à l'honneur par la présentation de danses variées, en cherchant à répondre à une demande multigénérationnelle et pluriethnique.

Afin d'accueillir un nombre d'habitants de plus en plus nombreux, nous avons installé, en partenariat avec la Cie des mélangeurs, un dôme géodésique sur l’espace vert situé en face du centre social. Le dôme étant installé la semaine précédant le festival  (semaine de vacances scolaires), plusieurs activités en lien avec la thématique ont été proposées toute la semaine.

Trois réunions de préparation ont été organisées afin d'associer les habitants au choix des danses et des animations proposées dans la semaine :

Lundi 3 mars : « Il était une fois l’égalité homme-femme », jeux ludiques autour du droit de la femme, en partenariat avec le CCFD-Terre solidaire pour les adolescents.

Mercredi 5 Mars : Feu d’artifice et lâché de lanterne

Jeudi 6 mars : « Ciné débat » ; diffusion du film « Joue-la comme Beckham » suivie d’un débat animé par une sociologue anthropologue, en partenariat avec la Ligue de L’Enseignement, Ciné Village et CLEF pour tous.

Samedi 8 mars : festival danses du monde : La soirée a été animée par deux jeunes adultes issus du quartier (un garçon et une fille). Entre chaque passage d'artiste, les deux bénévoles ont assuré le show : sketchs, démo de danse, imitations, interactions avec le public...

Un groupe de jeunes filles du quartier, qui a participé aux ateliers danses de la Cie Munay, a ouvert la soirée. Les danses proposées : Cie Munay (Modern Jazz), indienne, Evol’urbaine (Hip Hop), Vanille des îles (Antillaise), Misky Tusuy (péruvienne, bolivienne), japonaise, Gv castelle (Madison portugais), Kahina dance (chants et danses tsiganes, égyptien) et Racine (Afro contemporaine).

Cette soirée a été l’occasion de mettre en avant des associations locales (Evol’urbaine, Vanille des Îles, Gv Castelle) qui fréquentent le centre social.

En 2014, le Festival a été placé sous le signe de la solidarité puisque les bénéfices de la buvette, tenue par l’association Sur Les Pas de Syrine Leila , ont financés les soins de la  jeune Siryne atteinte d'une maladie rare. 460 € de bénéfices

La médiation sociale est une action transversale qui permet de mobiliser les compétences internes de l’association au service des usagers accueillis.

L’action consiste à assurer un accompagnement individualisé dans tous les domaines de la vie quotidienne (santé, logement, famille, emploi, éducation…) en étant à l’interface des institutions pour s’adapter aux problématiques rencontrées.

Les permanences d’écrivain public proposées, trois demi-journées par semaine, se retrouvent étroitement liée à la médiation sociale. Les personnes ayant besoin de faire un courrier, sans nécessité de suivi spécifique par les services sociaux, MSD ou CCAS, sont automatiquement orientées sur cette permanence, tenues par trois bénévoles aguerris aux pratiques sociales et de gestion dont ceux sont d’anciens directeurs de ressources humaines, la troisième ayant une longue expérience en la matière acquise dans les centres sociaux des Bouches-du-Rhône. Ces permanences, totalement complémentaires, ont été élargies par une permanence supplémentaire (d’une demi-journée par semaine) axée sur les litiges civils.

Les actions collectives familles et notamment les ateliers cuisine Parents-Enfants s’adressent principalement aux Familles issues des quartiers prioritaires de la Politiques de la ville même si ces dernières restent ouvertes à d’autres familles de la commune. L’idée étant de veiller à une mixité du public.

Les familles monoparentales restent, au regard du taux relativement important sur le territoire prioritaire du Grand Centre de Grasse (27%) un public à prioriser.
 

Descriptions détaillée:

Les ateliers Cuisine Parents- Enfants sont organisés une fois par mois dans les locaux du centre social, dans l’espace dédié à cet effet.

Ils se déroulent le mercredi de 14h à 17h.

15 participants (enfants-parents) peuvent bénéficier de ces ateliers. Les enfants devront être âgés au minimum de 3 ans.

L’implication des parents et des enfants dans l’organisation de ces ateliers est essentielle. Aussi, ces derniers sont invités, au travers de trois réunions, à faire part de leurs suggestions pour améliorer l’organisation des ateliers et/ou définir les prochaines thématiques à explorer. Afin de mieux connaître les familles fréquentant ces ateliers, un questionnaire est distribué lors du premier atelier afin de connaître les habitudes alimentaires (repas maison, repas surgelé, achat de sodas ou de produits transformés, achat de produits brut…) et l’organisation mis en place autour des repas.

La co-animation des ateliers est systématiquement encouragée en proposant, à chaque parent de devenir le « chef du jour ». Ce dernier est accompagné par la référente famille dans les taches suivantes : réflexion sur la composition du menu, élaboration de la liste des ingrédients nécessaire à la préparation du repas, démarche pour faire les courses dans les magasins de proximité en respectant un budget limité à 75 € par atelier.

L’atelier est consacré à la préparation d’un repas pour tous les participants comprenant une entrée, un plat et un dessert. Ces menus sont préparés avec des produits de saisons, locaux quand cela est possible, et un aliment, à minima, doit être issu de l’agriculture biologique.

Afin de respecter les saisons, des thèmes sont prédéfinis avec l’ensemble des participants.  Le « chef du jour » a  la liberté d’établir son menu en respectant notamment les thèmes suivants : « Festoyons entre reines et rois », « Le carnaval dans l’assiette », « Le réveil des papilles », « Repas tout chocolat », « Du soleil dans nos assiettes », « Halloween et ses affreux délices », « L’automne s’invite à table », « Quand Sylvestre passe à table ».

L’équipe veille, notamment, à utiliser des techniques de cuisine simples, facilement adaptables et reproductibles à la maison. Durant l’atelier, chacun (parents et enfants) est invité à mettre « la main à la pâte ». Cuisiner c’est avant tout une expérience sensorielle : l’ensemble des sens sont donc mobilisés (le gout et l’odorat, le toucher, la vue avec les gestes, et l’ouïe dans la cuisson ou la reconnaissance des textures…)

La dimension conviviale, l’esprit de solidarité notamment dans la répartition des tâches avec l’ensemble des participants (enfants et parents) sont privilégiés.

A l’issue de la séquence, le partage du repas avec le groupe, doit permettre de favoriser les échanges, promouvoir les compétences parentales et celles des enfants.

Les supports ludiques et interactifs (quizz…), viennent dynamiser les échanges avec les différents protagonistes et transmettre des messages pédagogiques notamment sur « Comment consommer responsable », sur l’intérêt nutritionnel de certains aliments. Ce temps est aussi l’occasion de partager des astuces, des conseils entre participants pour limiter le gaspillage alimentaire, réutiliser les restes, optimiser ses courses et faire des économies, cuisiner malin…

La valorisation finale de l’action s’organise autour d’un « Rallye culinaire » avec toutes les familles, sur le thème « Le goûter d’Alice ». Durant ce parcours culinaire, les familles doivent réussir un certains nombres d’épreuves faisant appel à leurs cinq sens.

Face à un jury, ces dernières doivent concourir en présentant leurs plats « sucrés » ou « salés ». Trois critères sont retenus pour départager les lauréats : « le plat le plus beau, le plus bon, et le plus malin ».  Le plat doit être constitué avec des produits de saison, d’origine locale.  Une partie de la note est attribuée par le jury lors de la dégustation. La seconde partie de la note est attribuée en prenant en compte la moyenne obtenue au « Rallye culinaire ». Tous les participants sont récompensés. Les trois premiers Lauréats sont valorisés par la remise d’un lot spécifique. Cette après-midi conviviale se clôture par la dégustation d’un café gourmand avec l’ensemble des participants et des partenaires associés- membres du jury.

A noter : Ponctuellement, des activités complémentaires peuvent être proposées aux familles, comme par exemple, l’organisation de rencontres avec des artisans des métiers de bouche, une visite à la ferme, dans une AMAP, aux jardins partagés du quartier.

• Élaborer des programmes de santé adaptés au niveau local avec la participation des habitants.
• Réduire les inégalités sociales et territoriales en matière de santé en s’appuyant sur une dynamique partenariale. 

Une heure 15 par semaine est proposée une activité physique adaptée aux capacités, aux besoins, aux envies des habitants. Activité se déroulant au sein du centre social ou en extérieur.

mise en place d'un partenariat avec l'ADIE autour de la création d'entreprise par les jeunes.
Projet mis en oeuvre dans le cadre du service Info Jeunesse, en partenariat avec l'Espace Emploi Formation du secteur, la communauté de communes (service développeur territorial) et l'ADIE

L'ADIE est l'Association pour le Droit à l'Initiative Economique . C'est une association française reconnue d'utilité publique depuis 2005, dont le but est de permettre à des personnes qui n'ont pas accès au système bancaire traditionnel de créer leur propre entreprise, grâce au microcrédit accompagné.

journée de sensibilisation à la séurité routière à destination du public séniros en partenariat avec FACE et Sécurité Routière

Mis en place en septembre 2013, les débats-thé sont des espaces d'échanges et de discussions destiné à des parents d'enfants atypiques, qu'ils soient précoces, TDA/H, avec fonctionnement dys (dyslexie, dyspraxie...). Lors des échanges, certaines mamans ont fait part de leur mal-être et d'un sentiment d'isolement. A partir de ce groupe d'échange, en septembre 2014, un comité de pilotage composé de 4 parents et de la référente famille du centre, s'est constitué pour élaborer un livret d'accompagnement pour les parents d'enfants atypiques. L'objectif du livret est de compiler tout ce que les parents ont pu mettre en place pour aider au quotidien les enfants, tel un recueil de bonnes pratiques. Des réunions régulières ont été mises en place pour l'élaboration du contenu. La sortie du livret est prévue pour 2016. Par la suite de nouvelles réfléxions sont engagés, notamment pour adapter des ateliers pour ces enfants au sein du centre, mais aussi sur la mise en place de journée d'information, colloque......Ce groupe réunit près de 25 parents. 

le collectif des habitants de la Rose a été créé en 2013 suite aux évènements dramatiques qui se sont déroulés sur la cité du CLOS ; il s'agit de faire en sorte que les habitants se réapproprient leur lieux de vie par la mise en place d'actions visibles et festives dans le quartier.

Veiller à « l’égalité des chances » en maintenant les actions d’accompagnement en direction des publics les plus défavorisés
Mettre en place des actions favorisant l'intégration des publics et leur réussite sociale
Organiser la réalisation d’ateliers informatiques

Proposer des ateliers de français ALPHA/FLE

Developper l'autonomie par l'insertion linguistique.Participer à l'élaboration de projets d'insertion sociale, professionnelle et culturelle. Permettre , en outre , à ce public de mieux connaitre le territoire sur lequel ils évoluent , mais aussi le territoire situé en dehors de leur quartier et notamment ce qu'offre la ville de Marseille. Poursuivre les ateliers sociolinguistiques informatique par l'initiation et l'utilisation des nouvelles technologies. 

Constat :

• 1 animateur avec une compétence spécifique en vidéo

• Une demande des jeunes suite à la victoire des jeunes (de l’AEJ) aux 24h de la réalisation pour travailler sur l’outil vidéo.

Moyens d'actions :

Participation à des évènements comme les 24h de la réalisation, filme ton quartier …

Mise en place d’ateliers pendant les vacances scolaires pour le public captif et des ateliers spécifiques pour les jeunes moins captifs.

Réflexion sur des temps informels de mise à disposition d’un ordinateur pour appréhender l’outil et se servir des compétences de l’animateur pour les conseils techniques.

Moyens humains :

1 animateur avec les compétences nécessaire à l’outil numérique

Evaluation :

Nombre de jeunes participants, productions réalisées, impact sur les jeunes et sur leur volonté de s’exprimer par l’image et la vidéo.

Deuxi représentants du Conseil de Familles ont rencontré la Députée de notre circonscription afin de demander l'abrogation de la loi de janvier 69 (imposant les titres de circulation. discrimination légale à l'oeuvre depuis plus d'un siècle à l'égard des voyageurs).

A l'issue de cette rencontre, ces deux personnes ont demandé à rencontrer le rapporteur du projet de loi visant cette abrogation. La rencontre a eu lieu à l'Assemblée Nationale en préparation de la séance à laquelle les voyageurs présents ont souhaité assister.

Mme Pinville les a donc conviés à cette séance de débat parlementaire.

Pendant un an et demi, des tandems composés d'un·e bénévole et d'un·e salarié·e ont interrogé un ou une Voyageur usager du centre social, autour des thèmes de l'ancrage territorial et du voyage, des activités économiques des Voyageurs, de leurs souvenirs de la scolarité, de l'internement pendant la seconde guerre mondiale, les habitudes alimentaires et de santé, ainsi que la citoyenneté (droit de vote) et la mixité socilae (un micro-trottoir a été fait avec des Gadjé pour recueillir leur perception des Voyageurs. 26 entretiens ont été réalisés, le plus souvent avec la participation spontanée du cercle familial et des échanges assez rares entre les générations sur la transmission, les racines, etc.

Ensuite, un recueil a été publié, agrémenté de photos des familles. le receuil est vendu 3 euros, donné à celles et ceux qui ont directement participés.

Plusieurs associations de parents d’élèves du collège Fromentin ont sollicité le centre social et culturel Christiane Faure et le principal du collège Fromentin afin d’échanger sur leur rôle de parent, les problématiques qu’ils rencontrent pour accompagner leur jeune dans ses années collèges, les relations parfois difficiles avec l’équipe enseignante.

Pouvoir s’exprimer en tant que parent, disposer d’un espace de parole et construire ensemble un projet qui puisse permettre à tous de vivre ensemble, dans l’intérêt du jeune, voici l’origine du projet que nous allons vous présenter ci-dessous.

Dans l’ensemble du processus, le centre social et culturel et le collège Fromentin ne sont que des supports pour permettre aux familles de s’exprimer et de s’investir dans un projet autour de la fonction parentale.

Suite aux échanges lors des réunions avec les parents d’élèves, il a été décidé de construire ce projet autour d’une démarche innovante et favorisant l’implication et l’expression de tous.

Nous avons donc procédé à un état des lieux sur le territoire des associations pouvant nous accompagner sur ce projet et y apporter une plus-value technique et pédagogique.

L’association « Arc en Ciel théâtre » a été retenue pour ses compétences dans l’animation de rencontres parentalités en privilégiant les méthodes d’animation participative.

Après plusieurs temps d’échanges autour de la problématique que nous souhaitons travailler, il a été convenu d’intervenir sur un cycle comme suit :

1. Séance publique, Conférence populaire :

Sur cette séance, l’objectif est de travailler sur les représentations de chacun ; réfléchir sur la place de chacun dans la vie du jeune et notamment sur le temps scolaire.

1. Séances interne, ateliers de construction :

Avoir 1-2 rencontre(s) sous forme d’atelier où nous pourrons, en fonction du contenu recueilli lors de la conférence, travailler sur des jeux, des situations pour avoir des propositions concrètes, des solutions. Préparation du théâtre forum.

1. Séance publique, théâtre forum :

Jouer les situations et faire un relevé de propositions concrètes qui seront issues de ces temps de partages.

1. Séance interne, exploitation :

Travailler sur les modalités concrètes d’exploitation du relevé pour définir le plan d’actions pour les mois et années à venir… « Qu’est-ce que l’on en fait concrètement ? »

Ce qui est très important ici c’est de donner une réponse à toutes les propositions ! Oui, non, peut-être et surtout justifier les choix ! Si nous partons sur une participation active des parents, si nous donnons la main pour qu’ils soient acteurs, alors il faut aller au bout de la démarche.

Le Frigo Solidaire est un frigo installé dans une rue à proximité du centre social. Des bénévoles du Tempo, référents de cette action, le sortent et le rentrent chaque jour et en font la promotion aurpès des habitants. Aussi, ces bénévoles préparent dans l'esprit des restaurants solidaires, chaque lundi matin, des plats végétariens, mis sous vide et étiquetés, qu'ils déposent ensuite dans le frigo. Libre à chacun de venir se servir. Des collectes de fruits et de légumes sont organisées auprès des propriétaires des jardins avoisinants afin de les débarasser du surplus des productions. Des soupes, purées et compotes sont ainsi réalisées et disposées dans le frigo.

Groupe de personnes d'origines différentes, de niveau de maîtrise de la langue française différent, de sexe différent, d'âge et de culture différents. Des salariées et de bénévoles aident les personnes à devenir plus autonome dans les actes de la vie quotidienne grâce à la maitrise du français oral et écrit.

L’UPP du Pays de Montbéliard … une première expérience en Bourgogne Franche-Comté

La parentalité est l’objet de toutes les attentions, mais force de constater que l’on ne donne pas d’occasion aux parents de s’exprimer, de remonter leurs difficultés, leurs besoins et leur donner la possibilité d’être acteurs, d’où l’intérêt des universités populaires de parents.

A l’initiative des Centres Sociaux de Bavans et « L’Envol » Léo Lagrange de Montbéliard, un projet d’Universités Populaires de Parents prend vie en 2017, avec les soutiens de la Caisse d’Allocations Familiales du Doubs et de Pays Montbéliard Agglomération. A travers ce projet inscrit sur 3 années, les structures s’engagent à accompagner des familles pour améliorer le mieux-être et le mieux vivre dans leur rôle de parent.

Avec la coordination de l’ACEPP[1], la 5ème « génération » d’UPP recense une quinzaine de projets dans toute la France depuis le début de l’année 2017

Cette première expérimentation, dans le grand Est, a bien l’intention de donner des idées à d’autres groupes et d’autres structures dans le Département du Doubs. C’est également dans les projets de la CAF du Doubs qui l’a inscrit dans son Schéma Départemental des Services aux Familles 2017/2020.

D’autres partenariats avec des collectivités et des institutions se construisent pour garantir sa mise en œuvre.

L’UPP du Pays de Montbéliard … c’est qui, c’est quoi ?

C’est une sorte d’auberge espagnole de dix parents qui se retrouvent deux fois par mois, les lundi soir de 18h15 à 20h, pour échanger sur des questions liées à la parentalité, partager leurs attentes et leurs expériences ainsi que des questionnements selon le vécu de chacun.

Organisé par l’ACEPP, un séminaire national a d'ores et déjà réuni l’ensemble des générations d’UPP les 15, 16, 17 et 18 Mars à Marck-en-Calaisis pour un moment d’apprentissage et de convivialité fait de rencontre, d’échanges, de diversité.

Une grande richesse pour l’UPP du Doubs qui y a participé.

En septembre 2018, ils envisagent de recruter un universitaire afin que celui-ci leur apporte un soutien méthodologique pour construire une question de recherche collective, à partir de leurs interrogations et préoccupations, et une méthode pour l’approfondir.

Pour mener à bien ces travaux de recherche, le groupe a prévu d’aller à la rencontre d’acteurs locaux et d’autres familles pour mettre leur réflexion en débat l’objet de leur recherche pour en dégager des hypothèses. En vue de faire reconnaître leur place et leur rôle, évoluer le regard des institutions sur les compétences et les ressources des parents, différentes actions citoyennes sont programmées en 2018.  

Un projet ouvert à tous

Le groupe constitué est en quête de mobiliser d’autres parents qui auraient envie de se lancer dans l’aventure en fonction des possibilités et du rythme de chacun.

Devenir Parents Acteurs, Chercheurs et Citoyens

[1] ACEPP Association Collectif Enfants Parents Professionnels

L'épicerie Solidaire est une Action Collective d'Insertion : les Actions Collectives d'Insertion sont conçues pour permettre aux bénéficiaires du RSA, précarisés et isolés, de nouer des liens sociaux et de leur donner la possibilité de se projeter dans l'avenir en établissant un projet d'insertion correspondant à leurs besoins et potentialités et visant, à terme, leur insertion sociale et/ou professionnelle.

Accompagnement individuel et collectif utilisant différentes activités liées à la vie d'une épicerie sociale et solidaire : approvisionnement, jardin, rangement, collecte, cuisine...

Les participants se réunissent une matinée tous les quinze jours dans une salle de la mairie de Viella, en amenant ce qu’ils souhaitent coudre. Les assistantes sociales présentes favorisent les échanges et l’apprentissage mutuel dans un cadre bienveillant, valorisant les compétences de chacun.

Des soirées à destination des familles, sur des thématiques en lien avec la parentalité (les troubles de l'apprenstissage, le handicap, les relations enfants-parents-grands parents, les écrans...).

Chaque thématique est animée par un professionnel extérieurs compétent dans les domaines spécifiques (psy, président(e) d'association, CCT...).

Accompagnement d'une bénévole pour la création de l'association "Les Jardins Cuisiniers" + accompagnement au montage de projet, recherche de financements, pilotage du projet, réseautage et partenariat : mécénat méthodologique + mise à disposition de locaux (cuisine, salles, ... )

Objectifs de l'association : Amener un public "fragilisé" à "Planter ce que l'on mange et manger ce que l'on plante". Accompagner des publics en difficulté à être acteur de leur ressources alimentaires en cultivant collectivement des parcelles de jardins collectifs et en reprenant goût à cuisiner les légumes récoltés.

Organisation d'une soirée débat avec invitation au quartier et communication plus large (commune).

Recherche d'intervenants pertinents

Recherche d'un aménagement convivial de la salle d'accueil

Accompagnement soutenu et médiation forte auprès de notre public

Implication fortes des bénévoles et salariés.

Vigilence au respect de toutes les expressions.

Il s’agit d’une rue fermée temporairement aux circulations motorisées. Les adultes se rencontrent, les enfants et jeunes jouent en toute sécurité et les associations locales participent au projet. Des artistes choisis par les habitants déambulent dans la rue. Le projet « Rue aux enfants, Rue pour tous » a pour principe d’intervention de permettre une gratuité complète pour le public. La rue n’est pas uniquement un lieu où circulent et stationnent les véhicules, mais c’est également un espace de rencontres entre voisins, quelque soit leur provenance, leur origine ou leur âge. Il est essentiel que l’espace public soit partagé par plusieurs générations.

Cinq espaces d'animations seront identifiés :

1- espace jeux, avec des jeux en bois, sur-dimensionnés, et libres comme la boîte à jouer (objets de récupération pour laisser l’imagination des plus jeunes construire des cabanes géantes avec des tonneaux, tuyaux PVC, rouleaux, tissus). Cet espace comprend également des initiations sportives, des découvertes et des grand-jeux.

2 - espace initiatives d’habitants, un espace couture sera porté par des habitants afin de créer avec toutes les générations des tapis d’éveil ou autres créations collectives. Une zone de gratuité est proposée par les habitants pour récupérer des objets, livres et vêtements et permettre un lieu d’échanges et de dons.

3 - espace événementiel, des spectacles animeront la rue pour ouvrir l'accès à la culture pour tous.

4 - espace détente, un bar à sirops mis en place, proche d'une zone petite enfance (bac à sable, pataugeoire)

5 - espace expression, la création  d’une œuvre artistique commune avec l’accompagnement d’un artiste professionnel.

Objectifs et Descriptif : Offrir un bouquet de service, aides aux démarches, information, orientation, à la population, recherche d’autonomie administrative et numérique.

Objectifs opérationnels :  Permettre un accès numérique aux droits au plus grand nombre et notamment aux usagers qui en sont le plus éloignés en établissant un planning d'accueil "ouvert" au quotidien et sur rendez-vous pour des ateliers ou des demandes particulières.

Accompagner les usagers dans leurs démarches administratives numériques de façon individuelle mais aussi collective. Leur permettre d’être rapidement autonomes dans leurs démarches. Développer le réseau des partenaires sources d'accès aux droits pour tous et notamment les plus éloignés du droit commun et de la dématérialisation administrative.

L'action a été pensée pour donner suite aux fermetures successives des permanences "sociales" hebdomadaires organisée dans les locaux du centre par les partenaires tels que la CAF, le Conseil Départemental, Impôts, CGSS, Etat, Pole emploi, ...  Puis de la borne CAF mais aussi le projet du gouvernement de recentrer toutes leurs administrations.

En effet, le fait que la population, depuis des années, puisse rencontrer un travailleur social une fois par semaine minimum, la paupérisation de la population, la dématérialisation et la territorialisation ont d'abord créer des habitudes puis fait exploser le besoin d'accès aux droits.

L'accueil numérique s'organise comme suit :   un accueil "ouvert" au secrétariat et aux démarches administratives du quotidien pour des contacts courts - tous les matins et les après-midis en permanence ou sur rendez-vous pour des contacts plus longs. Une borne informatique avec une imprimante est à la disposition du public sera dans l'entrée du Centre social. Un espace équipé d’ordinateurs et d'une imprimante est par ailleurs dédié aux interventions pour les collectifs. Une série d’actions de communication sera mis en œuvre pour communiquer aux partenaires et population de cet aménagement et possibilité. Des Flyers et des affiches sont disponibles chez les partenaires et dans le Centre Social.

Mise en œuvre : Souhait pour débuter l’action au 1er Décembre 2020.

Les cahiers des charges France Services :

France Services

 • Un bouquet de services obligatoire : Formation, retraite, emploi, justice, santé, impôts, état civil, logement, mobilité, conflits, informations, etc. = Conventions avec des opérateurs ; • 2 agents permanents minimum dont 1 Etp permanent en accueil du public ;

• Des formations obligatoires par le CNFPT (Centre nationale de la Fonction Publique Territoriale) des salariés ;

• Une signalétique ;

• Une remontée statistique trimestrielle « unitaire » ;

• Un accès numérique public ;

• Une ouverture 24h/semaine minimum ;

• Un espace pour les visioconférences et/ou entretien privé.

Objectifs et Descriptif : Offrir un bouquet de service, aides aux démarches, information, orientation, à la population, recherche d’autonomie administrative et numérique.

Objectifs opérationnels :  Permettre un accès numérique aux droits au plus grand nombre et notamment aux usagers qui en sont le plus éloignés en établissant un planning d'accueil "ouvert" au quotidien et sur rendez-vous pour des ateliers ou des demandes particulières.

Accompagner les usagers dans leurs démarches administratives numériques de façon individuelle mais aussi collective. Leur permettre d’être rapidement autonomes dans leurs démarches. Développer le réseau des partenaires sources d'accès aux droits pour tous et notamment les plus éloignés du droit commun et de la dématérialisation administrative.

L'action a été pensée pour donner suite aux fermetures successives des permanences "sociales" hebdomadaires organisée dans les locaux du centre par les partenaires tels que la CAF, le Conseil Départemental, Impôts, CGSS, Etat, Pole emploi, ...  Puis de la borne CAF mais aussi le projet du gouvernement de recentrer toutes leurs administrations.

En effet, le fait que la population, depuis des années, puisse rencontrer un travailleur social une fois par semaine minimum, la paupérisation de la population, la dématérialisation et la territorialisation ont d'abord créer des habitudes puis fait exploser le besoin d'accès aux droits.

L'accueil numérique s'organise comme suit :   un accueil "ouvert" au secrétariat et aux démarches administratives du quotidien pour des contacts courts - tous les matins et les après-midis en permanence ou sur rendez-vous pour des contacts plus longs. Une borne informatique avec une imprimante est à la disposition du public sera dans l'entrée du Centre social. Un espace équipé d’ordinateurs et d'une imprimante est par ailleurs dédié aux interventions pour les collectifs. Une série d’actions de communication sera mis en œuvre pour communiquer aux partenaires et population de cet aménagement et possibilité. Des Flyers et des affiches sont disponibles chez les partenaires et dans le Centre Social.

Mise en œuvre : Souhait pour débuter l’action au 1er Décembre 2020.

Les cahiers des charges France Services :

France Services

 • Un bouquet de services obligatoire : Formation, retraite, emploi, justice, santé, impôts, état civil, logement, mobilité, conflits, informations, etc. = Conventions avec des opérateurs ; • 2 agents permanents minimum dont 1 Etp permanent en accueil du public ;

• Des formations obligatoires par le CNFPT (Centre nationale de la Fonction Publique Territoriale) des salariés ;

• Une signalétique ;

• Une remontée statistique trimestrielle « unitaire » ;

• Un accès numérique public ;

• Une ouverture 24h/semaine minimum ;

• Un espace pour les visioconférences et/ou entretien privé.