Il  est constaté sur le territoire de notre ville une tres forte consommation d'écrans par les enfants, avec l'aval des parents. Ce constat a été re-confirmé dans le cadre d'un " état des lieux" multipartenarial  à l'occasion du diagnostic Politique de la Ville., notamment par les partenaires des sphères sociales, éducatives et de la santé ( institutionnelles, associatives, individuelles )

Cette surconsommation d'écrans par les enfants, souvent dès l'age de la maternelle, génère un ensemble de conséquences, une liste d"effets néfastes sur la santé (phénomènes d'obésité,  sommeil,  ), le rythme et l'hygène de vie ( horaires de coucher, de réveil...), les résultats scolaires, les capacités cognitives ( difficultés de concentration ), la sociabilité (irritation, violences verbales et physiques...), l'absence de relations familiales,

Effets attendus et constatés par ailleurs dans d'autres streuctures ayant organisé le Défi::

> une réduction de la violence physique et/ou verbale,une réduction de l'obésité, une amélioration de l’alimentation, de la santé et du bien-être, une diminution de la sédentarité, une diminution du temps passé devant la télé au profit des échanges avec la famille, les amis...

> un apprentissage du regard sur la télévision, l’ordinateur et les jeux vidéo.

Par ailleurs, et sur la base de l'expérience d'ECO-Conseil, les défis ... jours pour voir autrement constituent :

• des projets à finalité sociale, ouverts à l’ensemble des parties prenantes d'une école (enfants, parents et enseignants) mais aussi aux structures intervenant sur le quartier ou la ville et aux personnes habitant à proximité,

• des projets à vocation familiale et pluri-générationnelle, permettant échanges et rencontres et favorisant le développement des liens sociaux et familiaux,

• des projets qui favorisent le développement de la vie associative en permettant aux associations de se faire (mieux) connaîttre lors de leur participation aux défis,

• des projets aux effets positifs sur la vie des gens et du quartier qui vont bien au delà des 8 jours du défi

La plus-value : Le projet permet de créer une dynamique entre les membres du groupe (soutien, entraide, cohésion de groupe) et sur le territoire (lien entre les partenaires).
Chaque participant est valorisé au sein du collectif.

Depuis plusieurs années, le Centre Social et Culturel du Naucellois s'attache a mener des projets culturels  en associant la population locale autour de résidence d'artiste. Des temps individuels, artisite - habitant et des temps collectifs nous permettent de favioriser les rencotnres, les échanges et la mixité sociale autour d'évenements sur l'ensemble de l'intercommunalité. Nous appréhendons  la culture comme un véritable vecteur de lien social, synonime d'ouverture sur le monde et sur les autres;

Plusieurs familles confrontées aux troubles Dys pour leurs enfants ont  manifesté le souhait de mener un projet pour mieux informer et  partager leur expérience sur cette problèmatique. Leur souhait était que les familles ne soient pas isolées face à ces troubles et qu'elles est à leur connaissance tout les organinisme qui peuvent intervenir dans la prise en charge de l'enfant.

Ce projet répond à un besoin de l’enfant d’être aidé et accompagné dans sa scolarité.

Il s’agit également de répondre à un besoin des parents d’être soutenus dans l’exercice de leur fonction parentale et plus particulièrement dans la scolarité de leurs enfants.

Des ateliers parents/enfants sont proposés depuis plusieurs années par le Centre Social et ce type d'action est fortement demandé par les participants ; ainsi, les membres de la commission "familles" ont proposé de mettre en place une animation familiale sur une demi-journée.

Cette action a été mise en place pour animer les quartiers de la ville, faire connaitre les centres sociaux et leur territoire d'i,ntervention et valoriser leurs actions avec et auprès des habitants. L'objectif était d'organiser une manifestation qui attire toute la population millavoise, bien au delà des familles adhérentes à l'association ou résidant sur les 5 quartiers et générer ainsi une manifestation ayant une forte mixité sociale, culturelle, intergénérationnelle... et ainsi attirer de nouvelles familles

Cette idée d'adolescents a été proposée suite à la participation de jeunes aux ravitaillements d'un Trail du Festival des Templiers et lors de la Course du Viaduc de Millau. 

Ce projet a permis de valoriser l'implication des jeunes dans un projet collectif et également de faire connaître les Centres Sociaux de Millau.

Action mise en place pour permettre aux habitants du territoire de se rencontrer, aux associations locales et aux habitants de mettre en place un projet commun

Tout au long de l'année, les Centres Sociaux de Millau ménent des actions auprés des jeunes, des adultes et des familles sur le thème de MANGER-BOUGER.

L'idée de cette journée "Petits et grands, mangeons, bougeons ensemble" est venue des équipes qui ont souhaité clôturer ces projets de prévention Santé menés tout au lond de l'année par une grande journée commune.

Le CSCN porte un volet d’animation culturelle au service de ses missions premières de lien social et d’animation du territoire. Soutenue par la collectivité dans sa démarche et repéré par les services de la DRAC pour la pertinence de ses actions, il bénéficie depuis 2013 d’un dispositif d’immersion d’artistes sur son territoire. Favorisant des périodes de présence longues d’artistes, ce dispositif a également été l’occasion de s’ouvrir vers de nouvelles disciplines artistiques.

Les premiers objectifs de cette résidence sont la mise en place de rencontres entre artistes et habitants ainsi que l’animation par des équipes professionnelles d’ateliers de pratiques artistiques.

Ces résidences longues sont également l’occasion d’inviter des artistes à venir poser leurs regards sensibles sur le territoire.

En termes de résultats attendus,

• toucher de nouveaux publics

• favoriser la mixité sociale autour d’évènements ou de pratiques culturelles.

• Ancrer la pratique culturelle comme un facteur de lien social et de développement d’un territoire

• Découvrir des champs artistiques diversifiés

pour répondre aux questions des nouveaux habitants. Créer des liens entre les nouveaux habitants et les associations (vecteur de lien social ).

pour également faire connaître les actions existantes et les services de façon plus formelle (via des brochures éditées par le centre social mais aussi par la mairie pour les services tels que l'éta civil, la bibliothèque, la décheterie...

Les écrans ont envahi nos vies avec une utilité qui n'est plus à démontrer. Cependant force est de constater que les enfants passent de plus en plus de temps devant ces derniers. Les émissions télévisées, les réseaux sociaux, les jeux vidéo, la communication « sms » sont de plus en plus consommés par les jeunes.

Les besoins ciblés par ce projet émanent des professionnels en lien avec les enfants et leurs familles, à savoir les enseignants des écoles élémentaires, les associations du dispositif de réussite éducative, le centre social Caf, la maison de santé, la médiathèque, des artistes ayant menés une action auprès des enfants (projet culture et lien social) ainsi que des associations de parents d’élèves. Ceratins parents expriment quant à eux la difficulté à réguler le temps passé par leurs enfants devant les écrans. Ceci génère des conflits au sein des familles.

Objectifs :

• Amener les enfants comme les adultes à considérer le temps réel passé devant les écrans.
• Favoriser une réflexion sur ce temps passé et sur les autres activités possibles en remplacement.
• Informer sur les risques liés à la consommation d'écrans.

Contexte général : La question  de l’interculturalité et de la différence est essentielle dans notre société.

L'actualité politique et sociale nous rappelle régulièrement que notre histoire a construit des représentations de l'autre, des stéréotypes qui restent encore actifs au sein de notre société et qui témoignent d'un malaise à se regarder et à se penser comme une société plurielle.

Contexte Local : On peut observer que les familles/habitants ont besoin de reconnaissance dans leurs spécificités culturelles, tout en témoignant un besoin de « vivre ensemble » notamment avec son environnement proche. Il apparait que ces personnes souhaitent être acteur, c’est-à-dire impliqués et concernés, dans cette démarche de lien social et de respect mutuel.

Selon l’histoire personnelle et l’origine culturelle, il peut exister des décalages sur les modèles familiaux qui génèrent parfois des incompréhensions et/ou des conflits de légitimité. Pour autant, il existe peu d’espaces où ils peuvent partagés et valorisés leurs us et coutumes, leurs compétences ou tout simplement s’exprimer. De par ses missions le CS accueille des familles d’origines culturelles diverses. Pour certaines leur parcours migratoire et histoire familiale les placent en situation de vulnérabilités, d’isolement social voire de précarité. Ces trajectoires familiales ne sont pas sans conséquence pour les enfants qui se heurtent à des repères différents, voire antagonistes. La situation sociale, économique ou professionnelle, de ces familles ne leurs offrent pas un accès facilité à des activités source de lien social, d’inter culturalité et de créativité, où ils peuvent échanger entre pairs, confronter leur modèle éducatif, partager leurs questionnements.

Lors de nos échanges avec ces familles nous avons constaté une forte demande, de leur part, d’un lieu ou d’un atelier où ils puissent s’exprimer entre parents sans être forcément stigmatisé ou jugé, soit un espace neutre. Il semblerait que ce besoin se soit amplifié avec le contexte de la crise sanitaire car les demandes sont de plus en plus importantes.

Les effets attendus s'articulent autour de la déconstruction des préjugés, travailler sur l'altérité, et permettre à chacun de s'exprimer sans frein ou honte sur ses pratiques pour tendre vers une reconnaissance sociale et de leurs compétences parentales quelles que soit leur origine sociale ou culturelle. A plus court terme, les objectifs de l'accès aux loisirs, à la culture et rompre l'isolement social/familial sont visés.

cette action a été mise en place après concertation et échanges du développeur territorial avec un public jeune souhaitant s'installer sur le secteur.

Le service INfo Jeunesse a alors mis en oeuvre une action multi partenariale (EEF, ComCom et ADIE) d'information autour de la création d'entreprise avec pour objectif d'offrir une information de premier niveau sur la création, sur les possibles aides financières et sur l'accompagnement au montage du projet.

L'action a 2 niveaux: 1 action ponctuelle avec un atelier

1 action sur le long terme avec un accueil au service INfo Jeunesse tout au long de l'année et des rv possibles mis en place avec l'ADIE et le développeur territorial de la commnauté de communes.

le service Info Jeunesse souhaite par ce partenariat renforcé aider l'implantion économique des jeunes sur le secteur mais aussi éviter leur errance sur le chemin de la création d'entreprise.

• Le quartier de saint Eloi/Ramadier est un quartier de veille Politique de la Ville. Il souffre d’une image dégradée auprès des habitants hors quartier mais est apprécié par ceux qui y vivent.
• Une partie importante de sa population est en difficulté sociale, économique et/ou professionnelle. Ce statut social dévalorisé et dévalorisant est un frein pour accéder à des activités culturelles, à « aller vers ».

• Certains habitants se retrouvent en situation d’isolement social
•  Ils ne se sentent pas légitimes d’aller sur des animations proposées sur la ville, à sortir de leur quartier et peuvent rester replier sur-mêmes.
• On constate que lorsque des animations festives sont proposées sur le quartier ou organisées par les structures locales, elles sont largement investies. Pour autant, certains parents s’en détournent quand même et laissent les enfants venir seuls à ces animations.
• Parallèlement, il apparait qu’il existe une méconnaissance des associations et activités proposées en proximité. Les habitants et parents s’en saisissent peu, que ce soit pour eux-mêmes ou pour leurs enfants malgré des participations financières très accessibles. Les enfants peuvent alors se retrouver à jouer en autonomie sur les espaces extérieurs. D’ailleurs sur les dernières éditions des portes ouvertes, la fréquentation était en chute.
• Les associations ne se connaissent pas et on note une faible implication dans la vie du quartier.
• les habitants de la commune, qui logent hors quartier, se saissisent très peu des activités proposées par les associations, structures et ont une image très négative voire craintive du quartier.

Résultats attendus et changement attendu :

• Pour les habitants du quartier : valoriser son quartier, le sentiment d'appartenance au quartier, accéder à un évènement culturel, partager un temps
• Pour les habitants hors quartier : qu'ils viennent sur le quartier, découvrir le quartier et ses habitants, bénéficier d'un évènement culturel
• Pour les associations : valoriser (faire connaitre les actions)
• Pour tous : se rencontrer, fédérer, modifier l'image du quartier, faire tomber certains préjugés

La politique de dématérialisation développée ces dernières année, par les institutions de droit commun, marginalise fortement les personnes vulnérables, de plus en plus de démarches administratives s’effectuant en ligne.

Certaines personnes accueillies par le centre social ne possèdent pas d’équipement informatique et / ou d’accès à internet, ne savent pas l’utiliser ou expriment des difficultés de compréhension. Le manque d’autonomie de ces personnes vis-à-vis de l’utilisation du numérique est qualifié d’illectronisme et constitue un facteur d’exclusion.

La question de l’inégalité d’accès et d’usage du numérique a des conséquences sur les inégalités sociales, économiques et d’inclusion des populations les plus touchées.

Face à ce constat le Centre Social Narbonne Razimbaud a mis en place des ateliers numériques visant à accompagner les personnes qui le souhaitent vers l’accès au numérique.

Cette action a été conçue pour lutter contre l’isolement des familles.

Elle a vocation de créer un espace d’écoute, de parole, et de ressource dans la perspective de favoriser, conforter et soutenir la relation parent enfants.

Favoriser les échanges entre parents et professionnels,

Permettre l’expression des inquiétudes, des questionnements des réussites partager et surtout valoriser les compétences des participants.

Un accent tout particulier est mis sur le renforcement et l’implication des parents dans la scolarité afin qu’ils s’inscrivent dans la continuité de l’école.

Les résultats attendus se résument à une implication constructive et dynamique des participants (es) qui pourra amener les usagers vers une prise de conscience et un changement des comportements et des habitudes de vie. A terme une meilleure implication dans l’environnement social est attendue.

Depuis plusieurs années, les deux structures partenaires membres du REAAP, ont co-animé sur le territoire un atelier couture en vue de mobiliser différents publics et créer des temps de mixité.

Cette action s’est depuis étoffée, les ateliers couture ont progressivement évolué vers des ateliers créatifs et temps d’échange.

Ces ateliers ont pour objet d’impulser des dynamiques de solidarités interfamiliales et intergénérationnelles, de développer le lien social entre habitants lézignanais et de valoriser les compétences familiales :

• Favoriser les dynamiques de solidarité et d’entraide
• Favoriser les rencontres intergénérationnelles et interculturelles
• Valoriser les compétences de chacun
• Soutenir les initiatives des participants

Les diagnostics du territoire font ressortir qu’une part importante des familles lézignanaises sont en grande fragilité sociale et économique, et s’éloignent des dispositifs d’accompagnement proposés ou les refusent. Elles sont particulièrement touchées par les problématiques d’assiduité scolaire, des situations de décrochage, de fragilité dans les apprentissages du français, les incivilités au sein des établissements scolaires…

La mutualisation des moyens et des compétences par le centre social AMI et l’association PEP’S AUDE, nous permet d’élargir l’offre d’accompagnement CLAS à l’ensemble des enfants lézignanais et notamment en direction des enfants résidents en quartier prioritaire politique de la ville.

Nous pouvons ainsi renforcer les activités culturelles qui permettent de façon détournée de renforcer les acquis scolaires, de travailler sur les attitudes des enfants vis-à-vis des apprentissages, de les sensibiliser aux valeurs de la république, à la tolérance et au vivre ensemble. Les parents, sont invités à suivre l'implication et l'évolution de leur enfant dans son parcours de découverte culturelle.

La mutualisation des moyens nous permet également de renforcer le lien avec l’éducation nationale, d'harmoniser nos pratiques et interventions auprès ce partenaire clé: nous recherchons ensemble le dispositif adapté à la situation de chaque enfant, au regard des possibilités d'accompagnement proposés par l'éducation nationale et le CLAS mutualisé.

Le diagnostic scolaire élaboré par les enseignants en fin de vacances de la Toussaint, est un appui nécessaire pour adapter l’accompagnement proposé au plus proche des besoins de chaque enfant et parents.

La mutualisation des moyens nous permet d’harmoniser les modalités d’appui proposées aux parents et de renforcer leur implication auprès des enseignants.

- Réhabiliter les espaces publics comme lieux de vie et de citoyenneté; valoriser l'espace public (environnement) dans sa fonction d'accueil et de partage entre les habitants, de lien et d'échanges inter-générations ;

- Accéder à la connaissance et à la culture par le livre et le conte (support de relation avec les habitants) ;

- Développer un espace d'écoute et d'expression, du faire et du vivre ensemble (lutter contre le repli sur soi).

• Favoriser les dynamiques de solidarité et d’entraide.
• Favoriser les rencontres intergénérationnelles et interculturelles.
• Valoriser les compétences de chacun.
• Soutenir les initiatives des participants.

Suite aux conséquences de la crise économique sans précédent, engendrées par la première période de confinement, il nous est apparu évident d’agir pour :

• Contribuer à une rétribution juste du travail des producteurs ;
• Participer à la mise en place de circuit court qui valorise les producteurs locaux, et rappelle leur rôle et place dans l’économique locale
• Proposer aux familles éprouvant des difficultés budgétaires, la possibilité de se nourrir de façon équilibrée avec des produits issue du territoire en « circuit court ».
• Réduire les charges alimentaires aux seins des familles en situation de précarité économique
• Sensibiliser les familles aux questions de l’équilibre alimentaire, de l’importance de l’alimentation pour la santé de tous les membres de la famille,
• Sensibiliser les familles au plaisir de cuisiner en famille et à son rôle dans l’éducation des enfants
• Valoriser et rendre visibles nos producteurs locaux auprès des habitants de quartier, qui peuvent être éloignés dans leur quotidien de la façon dont sont produits les fruits et légumes
• Mobiliser et faire vivre la solidarité locale en impliquant des bénévoles/ habitants du quartier, sur cette action portée par le Centre Social.

Pour diminuer les déchets,permettre aux habitants d'acquérir des compétences, développer la solidarité

Les femmes du quartier éprouvent un réel besoin de tisser des liens entre elles, pour rompre l’isolement et partager des moments de convivialité. La précarité économique à laquelle elles sont confrontées, exacerbée par un quotidien surchargé de nombreuses contraintes familiales, les empêche de s’accorder des instants à elles et de prendre soin d’elles.

Non entendues, non comprises et non soutenues, l’estime qu’elles ont d’elles-mêmes, est alors bien souvent impactée, entrainant une perte de confiance en soi et d’image de soi...

Dans le cadre de ce projet, il s’agit de proposer un travail éducatif qui s’appuie sur des temps d’expression mais aussi sur des soins esthétiques et des soins portés sur l’apparence, par le biais d’ateliers socio esthétiques :

• Par le partage d’expérience, il s’agit d’amener les participantes à identifier ce qui les uni afin de tisser des liens et encourager petit à petit la prise de confiance et la libération de la parole. Différents supports à la communication sont utilisés (jeux dessins photos).
• Ensemble les participantes avancent vers le « j’existe, je suis, je peux » au travers d’ateliers socio esthétiques, permettant d’amener les participantes à repérer leurs potentialités, à développer leurs capacités… cheminant petit à petit vers une revalorisation de l’image de soi et expérimentant les bienfaits de prendre soin de soi pour aller mieux.
• Le collectif permet de travailler la confiance en soi en s’exposant au regard des autres et favorise le lien social par le partage d’expériences vécues durant ces ateliers

La dernière séance donnera lieu à une exposition avec invitations d’habitants du quartier, et des personnalités du monde associatif local, sur les productions réalisées

(Dessins, photos, …). Ce temps parachèvera par la reconnaissance de leurs créations, la valorisation personnelle de chacune