Organisation durant l'année 2018, de plusieurs temps d'échanges autour des questions de laïcité, des faits religieux, des préjugés et des discriminations. Avec 2 étapes principales :

1ère étape : animation avec différents publics (adultes, jeunes) du jeu  l'Arbre à défis conçu par l'Association "Enquête". Cet outil ludo-éducatif, en partant de questions traitant du quotidien, tout en incluant tant le cadre laïque que les préjugés et stéréotypes, articule l’éducation à la laïcité à l’enseignement des faits religieux. Il a permis une première découverte des faits religieux en éveillant au respect, sous un angle laïque et non confessionnel.

2ème étape : organisation d'une journée interculturelle autour d'une rencontre-échange avec Eric Vinçon de l'Association "Enquête" et d'un repas partagé avec les spécialités culinaires apportées par chacun. Cette rencontre  a réuni plus d'une quarantaine de personnes, de cultures, de confessions et de milieux sociaux différents, a été riche d'enseignement et d'échanges. Plusieurs grands sujets ont été abordés : la considération de la langue dans chaque religion ; l’imbrication entre politique et religieux ; l'identité culturelle de la France construite sur plusieurs siècles et la transformation du pays en profondeur depuis peu… Un élément primordial a été mentionné : l’importance du regard porté sur ces questions. Il y a une immense variété d’opinions, de façons de croire très différentes d’un individu à l’autre. La laïcité, bien sûr, n'a pas été exlue du débat. Ses visées ont été rappelées : elle est là pour protéger les croyants et les incroyants. Elle permet la liberté de conscience, de religion et de culte. Pour conclure, il a été précisé que la connaissance peut aider à la tolérance et qu’il est important d’identifier les causes qui nous amènent au rejet. « Les religions sont humaines, elles ont toute une histoire. On a plus en commun que de choses qui nous séparent. Il faut rechercher ensemble une sagesse commune. Il ne faut pas traiter les complexités par des idées trop simples ou se cantonner au silence. Il faut aujourd’hui accepter de regarder la complexité en face. » L'intervenant est resté échanger avec les adhérents sur le temps du repas.

En parallèle, différents repas ont été programmés avec l'implication des adhérents dans une logique de découverte et de partage.

3 friperies qui proposent :

Un lieu convivial de proximité, où échanger infos et bons plans, autour d'un café.

Des vêtements femme, homme et enfant, du linge de maison, des chaussures et des accessoires de mode, sélectionnés avec soin, à tout petits prix (de 0,20 à 5 euros).

Une démarche de développement durable de consommation recyclée en circuit court.

Une activité génératrice d'emploi sur le territoire.

La friperie fonctionne grâce aux dons effectués par les habitants et à l'engagement des bénévoles qui donnent de leur temps pour trier, mettre en rayon et accueillir chaleureusement le public. Chacun peut trouver sa place dans les friperies : bénévoles occasionnels ou bénévoles assidus, expérimentés en vente textile ou débutants, francophones ou anglophones… le seul point incontournable est l'envie de rencontre.

​

Ecouter les parents dans leurs difficultés.
Les actions ont pour but de valoriser les capacités parentales de maintenir et parfois rétablir le lien parent/enfant. De créer des rencontres et encourager les échanges entre parents, partager les difficultés, les expériences et favoriser l’entraide entre les familles, susciter des réflexions communes autour de la parentalité.
 

Grâce aux outils de la danse, du théâtre et de la pleine conscience, la FabrIC en collaboration avec Louise et Sébastien propose des stages pour permettre à tous, de manière ludique et structurée, d'oser.. s'exprimer, se faire entendre, être soi-même, communiquer, etc...

Ce projet est né en croisant les initiatives de deux acteurs locaux.

Ateliers d’initiation au code de la route destinés aux personnes rencontrant des difficultés d’insertion et/ou d’accès aux savoirs de base

Un temps de rencontre et d'échanges a été organisé dans le cadre de la journée internationales des droits des femmes, sur l'égalité professionnelle femmes - hommes.

Plusieurs structures invitées (Cap'Emploi 36, Association En tous genres 36, la Mission Locale, l'Adie, le Pôle Emploi, la BGE et, la DIRECCTE) ont pu échanger avec les participantes sur la place de la femme dans le milieu professionnel.

Plusieurs thématiques ont été évoqués : l'exercice d'un métier dit traditionnellement masculin, les choix d'orientation, l'égalité salariale, etc...

Nous allons à la rencontre des habitants du quartier Saint - Jean Saint - Jacques de Châteauroux dans l'espace public pour échanger sur des thématiques qui animent le territoire : la place des jeunes, l’égalité femmes-hommes, les transformations du quartier et l’interculturalité, par le biais de porteurs de paroles. Nous pouvons également aborder l’actualité du quartier ou de la ville. Ceux qui le souhaitent peuvent également partager leurs informations.

Nous proposons aux personnes de goûter et d'échanger informellement. 

Nous inviterons les personnes à venir nous revoir aux prochains endroits et moments où nous serons.

Lors du renouvellement de notre projet socioculturel en 2018, nous avons souhaité repensé la gouvernance de notre association. Cette volonté s’appuie de l’expérience menée depuis quelques années sur l’accompagnement du « pouvoir d’agir des habitants ».

Notre organisation a donc évolué et se pose ainsi aujourd’hui :

Un Comité de Vie Associative (anciennement Conseil d’administration) – nous pensons que les mots ont leur importance et par conséquent ce qui relève des appellations institutionnelles rend parfois l’accès aux instances, difficile pour certaines personnes.

Lequel regroupe les membres permanents des deux Comités (élus, membres cooptés, représentant de la municipalité et professionnels)

Ce Comité de Vie Associative a un rôle éventuel d’arbitre entre ses deux Comités ; il doit surtout permettre la meilleure articulation, la meilleure porosité entre les membres de ses deux Comités, entre ses propres membres élus et cooptés.

En 2019, durant l’expérimentation, il se réunira tous les deux mois (fréquence statutaire minimale).

Un Comité de Projets

- L’idée est bien de favoriser la mise en œuvre du Projet Social, l’accompagnement des initiatives des habitants, d’accroître la proximité avec ces derniers…

- Ce Comité des projets comme celui des ressources sont des émanations de l’ex-Conseil d’Administration, devenu Conseil de Vie Associative, lui-même responsable devant l’Assemblée Générale.

- Ouverture du Comité à tous les dépositaires d’un projet ; tous les administrateurs volontaires (élus et cooptés) sont membres de ce Comité ; chaque administrateur est en principe investi dans au moins une activité, un projet du CSC…

- Chaque réunion du Comité pourra prendre connaissance de plusieurs projets ;

- Les habitants, les collectifs, les associations, des partenaires, … qui ont des projets rentrent dans le cercle de compétences du Comité ;

- Le Comité devra se poser la question de la cohérence des projets avec les orientations de notre Projet social ; il s’agit bien de favoriser le pouvoir des habitants à transformer réellement leur vie individuelle et collective… Cette notion de transformation sociale sur la durée est importante… Certains craignent que des habitants profitent de notre ASEC et de notre CSC pour mener des actions bénéfiques pour eux mais sans progrès collectifs durables …

- Le Comité de projets devra sélectionner les projets sur lesquels il souhaite de l’information, les initiatives qu’il souhaite accompagner, car les projets sont très nombreux … Par exemple, tous les « temps forts » mériteraient déjà d’être regardés avec les habitants … Toutefois, l’idée n’est pas de créer une « machine » lourde voulant tout contrôler avec le risque de décourager habitants, bénévoles et professionnels… Il faudra, en particulier, veiller à laisser un espace de liberté suffisant à chacun de nos animateurs (enveloppe budgétaire, …).

- A un moment donné, pour un projet précis, le Comité des Projets est susceptible de se rapprocher du Comité desRessources pour les questions financières (financement, demande éventuelle de subvention, …) ; le Comité de Gestion (tout ou partiellement) s’efforcera d’être rapidement disponible.

- Si à un moment donné, un arbitrage était nécessaire, celui-ci serait demandé au Conseil de Vie Associative (ex CA) qui reste le responsable de l’action de l’association devant notre Assemblée Générale.

- Il semble que chaque projet doive être suivi par le Comité et accompagné par un professionnel. Il pourrait même y avoir un duo (administrateur référent – professionnel) pour plusieurs d’entre eux, comme cela s’est déjà pratiqué parfois dans le passé.

Un Comité des Ressources

Le Comité est responsable :

* de l’animation globale de l’association,

* de ses ressources : les finances, les ressources humaines dont la formation des salariés et des bénévoles, l’information des adhérents, …

* de ses relations externes dont la Ville, la CAF, les autres partenaires, les autres ASEC herblinoises, le réseau des centres sociaux, …

Concernant les deux réseaux (herblinois et 44) de Centres Sociaux, le Comité souhaite donner envie aux administrateurs et aux bénévoles d’y participer car c’est très formateur, très riche.

Le Comité de gestion se positionne comme une ressource au service des projets d’habitants, au service du Projet social de l’ASEC.

En ce qui concerne ses réunions, le Comité de gestion évoque deux temporalités :

• Celle qui est liée à la gestion (Budgets, Recrutements, …) et aux relations (Comités de Suivi semestriels Ville/CAF/ASEC, rencontres du Collectif des ASEC, événements sur le réseau des Centres Sociaux, …) ;

• Celle qui sera imposée par l’avancée des différents projets (travail avec le Comité des Projets).

A priori, ce sont des membres du Comité de Gestion qui représenteront notre ASEC à l’extérieur (essentiellement, le pouvoir de signature). Une autre idée est d’associer pour cela, un membre du Comité de Gestion et un membre du Comité de Projets (à débattre).

         La Maison Montesquieu, agrée centre social, est ouverte à tous les habitants d’Agen sans distinction d’âge ou de revenu. Dans le cadre de son activité, elle incite les habitants à mettre en place les projets qui leur tiennent à cœur, et les accompagne dans leurs démarches.

Suite à la fête du Pin organisée en septembre 2018, un groupe d’habitants, bénévoles à la Maison Montesquieu : Annie, Marie et Patrice, ont souhaité mettre en place un projet photo pour mettre en valeur le quartier prioritaire du Pin et donne rune image positive du quartier.

Des habitantes se sont réunies autour de leur envie partagée de prendre la parole dans l'espace public, de ne pas attendre qu'on les interroge pour débattre de leurs conditions de vie et de leur quotidien. Elles ont décidé de créer un journal, La voie des Femmes.qui met à l'honneur des habitant-e-s du quartier, des initiatives, mais qui interrogent aussi le fonctionnement des institutions, et qui ouvrent au débat. Pour écrire, elles mettent en place des "porteurs de parole" dans la rue, des débats publics et retranscrivent ce qui s'exprime pour donner à voir la diversité et la richesse des points de vue. Le 6ème journal sera publié à la fin du mois de juin 2019. 

Animation ludothéque parents/enfants. Rompre de l'isolement des parents de jeunes enfants confrontés à des problématiques éducatives

Création d'un réseau partenaire autour du soutien à la parentalité pour aboutir à un projet commun, co-construit "la semaine de la parentalité".

Cette semaine permet :

- de valoriser différentes actions mises en place dans les structures (centres sociaux, PMI, crèches, association, centre culturel)

- de finaliser par une journée festive et conviviale.

Ce projet est l'initiative d'une habitante du territoire souffrant de la maladie Fribomyalgie et de son envie de se retrouver avec des personnes porteuses elles aussi de cette affection mais pas seulement. L'objectif était de sortir de l'isolement et de pouvoir se retrouver pour échanger des bons conseils en étant en dehors de cadre médical.

Cette envie est parti du principe que l'on est chacun son propre expert et du ras le bol de subir des diagnostics médicaux en ayant le sentiment de ne pas avoir été entendu. 

Objectifs du projet : Dans un premier temps l'idée est de simplement se rencontrer et afin de trouver un espace de discussion bienveillant et ressource par rapport à des problèmatiques mais aussi des réussites du quotidien de personnes souffrant d'affections invalidantes. Par la suite le groupe pourra évoluer au gré des envies et sera soutenu pour monter des projets s'il le souhaite.

Depuis septembre 2018 le groupe se réunit à une fois par mois autour d'un gouter avec en moyenne 4 à 6 personnes 

Nous renouvelons l’action suite à une première expérience lors de l’année 2018 avec des conférences, réunions et débats. Cette action permet d’aborder la question de la parentalité avec des parents qui, pris dans leurs difficultés sociales , ne viennent pas aux propositions de rencontres qui sont proposées dans l’année pour tout parent. Elle permet donc de toucher cette « tranche de population » pour les informer des actions et ressources sur le territoire et de les sensibiliser à l’approche bienveillante dans l’éducation et l’accueil des émotions quand on est parent.

réunis autour des 4 centres sociaux de la ville , associations et bénévoles travaillent 9 mois durant pour organiser une fête des quartiersaux dimensions de la ville . Plusieurs commissions thématiques réunissant les différents acteurs oeuvrent à la réalisation de cet événement .

Les Maisons de quartier - centres sociaux de la Ville d'Evry Courcouronnes et le service jeunesse, la Fabrik ont mis en place une formation au BAFA pour 20 jeunes de 18 à 30 ans du territoire. Cette formation est assurée par des référents jeunesse des centres sociaux, l'IFA et une personne du service jeunesse.

Il s'agit de l'aboutissement de l'engagement bénévole de jeunes au sein des centres sociaux à travers cette formation. il s'agit aussi de pouvoir constituer un vivier d'animateurs formés spécifiquement sur l'animation en quartiers prioritaires.

Le jeune paie 80€ pour son BAFA complet et s'engage à effectuer 15h de bénévolat sur les manifestations des centres sociaux.

Projet partenarial visant à travailler le partenariat autrement. Cette action consiste à proposer à l'ensemble des partenaires d'actions de réaliser une oeuvre collective (entre collègues, avec les publics) exposée au centre social en fin (sur une semaine) et clôturée par une journée festive.

Cette oeuvre doit représenter un sapin quelque que soit sa forme, ses matériaux.

Les partenaires visés sont : écoles, IME, Sessad, crèches, CCAS, maisons de retraite ou Ephad, foyers ados, centre de loisirs, collèges, maison des solidarités (CD), bibliothèque muncipale,...

Cette action vise à favoriser la participation des familles aux manifestations locales, d'impliquer bénévoles, usagers, salariés au développement social local et de les inscrire et leur faire connaître les associations douvraises.
 

le projet consiste à sensibiliser le public sénior comme le public jeune sur la sécurité routière

en effet l'âge peut parfois occasionner et faire que l'on devient un danger public

comme l'attitude des jeunes parfois provocatuer peuvent engendrer des acccidents

le projet a consisté à la création d'une vidéo expliquant plusieurs situations vécues. celles-ci permettent d'entamer le débat  et de rappeler les régles du code de la route

le projet va se poursuivre à la demande des participants sur "les séniors accompagnent les jeunes au passage du code"

en effet sur notre territoire plusieurs jeunes roulent sans permis et les séniors non plus les mêmes reflexes et le code de la route a évolué

c'est pourquoi le projet permettra d'échanger sur les façons de faire et par parrainage de "trouver un équilibre  

La Coordination Territoriale de Soutien à la Parentalité (CTSP) sur le Plateau de Haye, coordonnée par le Centre social Caf la Clairière, s’inscrit dans une démarche de renforcement du maillage, de la complémentarité et de la cohérence des actions entre les acteurs, en favorisant la coproduction d’actions concrètes à destination des familles, en lien avec les actions de soutien à la Parentalité développées dans le cadre des REAAP/CLAS sur le territoi

La Coordination en 2018 :

• 32 acteurs identifiés
• Un collectif de 16 parents
• 11 comités techniques
• 3 sous-groupes de travail thématiques représentant une dizaine de rencontres

Implication de jeunes de 13 à 25 ans dans des actions d'intérêt général, sous forme de missions.

Le cumul de missions permet d'acquérir des bons d'achat ou des billets pour des parcs d'attraction.

Activités variées parents enfants mais aussi grands parents enfants ou assistantes maternelles, auxiliaires parentales.

Peinture, activités scientifiques, autour du livre, motricité, autant d'occaison de faire ensemble, de partager un bon moment, à son rythme.

Le projet "Aux bois" a été élaboré en partenariat avec le théâtre de l'Agora et le centre social. La DRAC a soutenu financièrement ce projet et une compagnie d'artistes a été également associée à l'élaboration du projet afin d'impliquer des habitants dans un travail création artistique.

Le projet consistait inteviewer des habitants (d'âges divers, d'orgigines différentes) en individuel (lors d'entretiens) à partir d'un plat qui leur évoquait quelque chose. Ils ont ainsi raconté des tranches de vie et des histoires personnelles.

Des portraits ont été réalisés par une photographe professionnelle.

Des temps collectifs ont été organisés avec l'objectif d'aboutir à un banquet spectacle où les participants "joueraient" leurs propre rôle et raconteraient des tranches de vies, des souvenirs, etc.

Un livre restitue les recettes, les portraits photographiques et des narrations pour chaque participant.

Le banquet spectacle a permis de valoriser et clotûrer le projet lors d'un temps fort réunissant plus de 70 personnes.