Les actions des centres sociaux
Actions
A LA RENCONTRE DES AUTRES
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL TSIGANE - U.D.A.F. 23 - Creuse
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- discriminations
- Mixité sociale
- Résumé
Le Centre Social Tsigane a accompagné les jeunes dans la réalisation d'un travail de recherche sur l'histoire, les origines et la culture tsigane. Ces recherches ont abouti à la réalisation de l'exposition "Ketenes Ni Creusa" qui a été mise en valeur lors du 1er festival culturel des familles Tsiganes en Creuse en octobre 2015. Elle se compose actuellement de 22 panneaux qui brossent globalement 1000 ans d'histoire tsigane. Cette exposition a ensuite été présentée dans deux établissements scolaires (collège). Deux rencontres ont été organisées afin que les jeunes tsiganes et les élèves échangent autour de cette exposition et plus largement autour des éléments qu'elle contient. Nous souhaitons poursuivre cette action qui contribue à la lutte contre le racisme, à l'engagement citoyen et au bien-vivre ensemble. La diffusion et la présentation de l'action suivies d'un débat pourra se mettre en œuvre avec des établissements scolaires ou des associations ou structures qui accueillent un public jeune. Il est souhaitable qu'au moins un événement se passe pendant la semaine d'éducation et d'action contre le racisme et l'antisémitisme. Des contacts avec un établissement sont d'ores et déjà amorcés. Nous prévoyons de réaliser 4 interventions sur l'année 2017. Il est envisagé de réaliser un document que les jeunes non-tsiganes pourront garder reprenant les éléments phares de l'exposition.
Le Centre Social se donne pour ambition de développer l'exposition par des "extensions" sur des thèmes précis: exemple: les tsiganes en Creuse en 39-45, etc...
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Précision ( si autre )
Les attentes des jeunes ont été identifiées par le Centre Social Tsigane lors des ateliers jeunes et font suite au travail de recherches, notamment aux archives départementales de la Creuse, engagés pour réaliser l'exposition "Ketenes Ni Creusa".
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Encourager les jeunes dans l'échange et la connaissance de l'autre afin de lutter contre le racisme, l'intolérance et la discrimination. Présenter le travail réalisé par les jeunes tsiganes à travers l'exposition Ketenes ni Creusa. Faire découvrir aux autres jeunes la culture tsigane. Répondre aux questionnements des jeunes tsiganes sur leur passé, leur histoire, leurs origines mais également, répondre aux questionnements des jeunes de toutes origines
Les jeunes tsiganes se plaignent régulièrement de l'image négative qu'ont leurs camarades de classe quant au mode de vie tsigane. Ils ont le souhait de faire découvrir leur culture, leurs origines afin de casser les stéréotypes dont ils se disent victimes. Ils souhaitent continuer à présenter "leur" exposition et à s'appuyer sur celle-ci pour créer des échanges. Ces échanges sont toujours encadrés par des enseignants et l'animatrice du Centre Social.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Le projet va se dérouler sur toute l'année 2017 avec une intervention par trimestre et plus particulièrement lors de la semaine d'éducation et d'action contre le racisme.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Charges de personnels
Transport
Achat de matériel
Publicité, publication
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
La coordinatrice du Centre Social Tsigane et l'animatrice référent famille sont les organisatrices de ce projet. Le Centre Social va utiliser les moyens mis à disposition par l'UDAF et les partenaires.
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Local jeunes 16/25 ans : un lieu de sociabilité pour tous les jeunes adultes
- Structure organisatrice
- MAISON POUR TOUS MONPLAISIR - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Démocratie & citoyenneté
- Intégration
- Résumé
Le local jeunes est un espace implanté en dehors de toute institution pour accueillir les jeunes adultes de 16 à 25 ans dans un quartier populaire où un tiers de la population vit sous le seuil de pauvreté. Il est ouvert du mardi au samedi en périodes scolaires et du lundi au vendredi en périodes de vacances scolaires de 17h00 à 22h00. Le local jeunes est un espace aménagé pour bien accueillir les jeunes (bar, canapé, baby-foot, jeux de société) qui s'adapte au temps des jeunes (ouverture encore plus tardive en fonction des demandes).
L'équipe d'animation composée de trois professionnels met en place un service d’aide : documentation, mise en relation avec des institutions et des partenaires, aide à la recherche d’emploi, de stage, de formation, ou d’orientation.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Autre
- Précision ( si autre )
Suite à des demandes récurrentes de jeunes qui lui étaient formulées en vue de bénéficier d’un lieu dédié dans le quartier de Monplaisir, la Ville d’Angers s’est engagée à créer un espace pour les 16/25 ans dans ce quartier en 2008.
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le projet du Local jeunes s'inscrit dans un projet de développement local, complémentaire et cohérent avec l’offre existante :
- Favoriser la mixité entre jeunes (sociale et de genre)
- Promouvoir la participation des jeunes
- Capter des publics « NEET »/«hors-circuit » dans le but de les inscrire dans des parcours d’insertion sociale et professionnelle en lien avec les différents acteurs jeunesse
La commande de la Ville exprime, dans le cahier des charges, cet objectif d’accueil en lui attribuant trois modalités opérationnelles :
- « Être ouvert aux différentes jeunesses du quartier.
- Leur permettre de se rencontrer de façon informelle.
- Être adapté aux temps des jeunes. L’accueil doit être souple, sans inscription obligatoire, il doit être organisé en fonction des besoins et réalités locales. »
A ces trois modalités de mise en œuvre du local jeunes, s’ajoute la recherche de visibilité dans la mesure où il s’agit aussi de remettre les jeunes au cœur du quartier. Le Local jeunes a ainsi été implanté le long d'une artère de communication importante. Le lieu a vocation à accueillir tous les jeunes du quartier, sans exception, dans une optique d’« espace de sociabilité ».
- Public
- Jeunes adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Suite à des demandes récurrentes de jeunes qui lui étaient formulées en vue de bénéficier d’un lieu dédié dans le quartier de Monplaisir, la Ville d’Angers s’est engagée à créer un espace pour les 16/25 ans dans ce quartier en 2008.
A l’été 2009, un appel à projet dans le cadre d’un marché public à procédure adapté (MAPA) a été lancé par la Municipalité en vue d’en confier la gestion et l’animation à un opérateur. La Maison pour tous de Monplaisir (MPTM) a répondu à l'appel à projet et s’est vue confier la gestion et l’animation de ce nouveau lieu.
Le local jeunes a officiellement ouvert ses portes en novembre 2010 pour une expérimentation d’un an. Il a ensuite été reconduit dans sa phase expérimentale. En 2016, à la fin de la phase expérimentale, la gestion du local jeunes a été intégré à la Covention Pluriannuelle d'Objectifs de la Maison pour tous.
Le local jeunes est doté de deux instances de gouvernance : l’une chargé du pilotage du projet et l’autre du suivi de sa mise en œuvre. Le comité de pilotage réunit les élus de la Ville et de la Maison pour tous. Il a pour a pour objectif de faire le bilan de l’activité du local, prendre des décisions quant à ses orientations et son financement et opérer, le cas échéant, des arbitrages. Le comité technique représente l’instance opérationnelle de la mise en œuvre du projet du local jeunes. Il a pour objectif le suivi et la régulation des activités qui y sont menées. Le comité technique réunit les acteurs suivants : Maison pour tous, Direction jeunesse de la Ville, Association pour la Sauvegarde de l’enfance et l’Adolescence (ASEA), le chef de projet du pôle de territoire de la Ville, la Mission Locale Angevine (MLA). Dans cette instance, les animateurs proposent un retour de leur activité et de leur expérience, présentent ce qui pose question ou problème et le mettent en débat.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
100.200 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 professionnels (Conseiller ESF, Moniteur-éducateur, animateur socio-culturel)
- Résultat sur le territoire
Les 180 jeunes qui fréquentent le local durant l'année sont majoritairement des garçons âgés de 16 à 22 ans. Près d'un tiers de ces jeunes sont des jeunes "hors-circuit". Les filles sont très marginales. Nombreux sont les témoignages recueillies au niveau de l’évaluation pour faire part de la baisse des tensions dans les espaces publics, aujourd’hui plus apaisé grâce au local jeunes.
- Résultat pour le centre social
Le local jeunes a permi à la Maison pour tous d'élargir son offre et de retisser du lien avec un public de jeunes adultes. Elle peut désormais intégrer des jeunes adultes aux activités intergénérationnelles qu'elle mène sur le territoire.
- Résultat pour les habitants
Les jeunes qui le fréquentent l’apprécient avant tout en tant que lieu de sociabilité avec différents « services » : café, baby foot, télé, presse. La présence des animateurs leur offre un repère et donne parfois du sens à leur présence :
« C’est comme un petit café où on est posé. On peut discuter, s’amuser, c’est une zone de rencontre. Ici, ce qu’il y a de plus, c’est le dialogue avec les animateurs, on peut même échanger entre nous, on fait des débats. Ici, on a l’esprit ouvert : on discute, on échange des idées. » (Jeune de 22 ans).
Les jeunes utilisent également l'appui des animateurs pour un soutien dans leurs parcours scolaires ou professionnels.
- Suite de l'action : Limites
Depuis plusieurs années, aux côtés des formes traditionnelles d’accueil (dans le cadre d’actions programmées), on constate une montée en charge progressive de nouveaux modes d’accueil : non formels, informels. Aujourd'hui, le non formel est quasi intégré comme un mode d'intervention au cœur des pratiques du Local jeunes mais le projet éducatif dans lequel il s'inscrit est encore à faire évoluer.
- Suite de l'action : Perspectives
La configuration des locaux pose quelques problèmes et ne facilite pas toujours la tâche des animateurs au quotidien. Dans cette perspective, et en s'appuyant sur l'expertise d'usage de la Maison pour tous, un nouveau lieu d'accueil est envisagé dans le cadre de la rénovation urbaine du quartier.
Actions
Appuyer la naissance du Conseil Citoyen et sa bonne gouvernance.
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL JOLIMONT-SOUPETARD - Haute-Garonne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Conseil citoyen autonome.
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Le Centre Social Jolimont-Soupetard a, dans un premier temps, appuyé les habitants du quartier prioritaire de Soupetard -La Gloire lors de leur réflexion collective pour leur diagnostic du territoire et la première définition de priorités.
Dans la continuité, le Centre Social a appuyé la mobilisation des habitants du quartier prioritaire pour la constitution du Conseil Citoyen.
Le Centre social Jolimont-Soupetard a accueilli la première réunion de Conseil Citoyen de la Métropole.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La nouvelle politique prioritaire marque l'engagement de la Ville à constituer des instances autonomes consultatives et participatives à la vie citoyenne locale dans chaque quartier prioritaire : les Conseils Citoyens.
De part sa fonction d'établissement d'animation sociale globale et de force d'appui au développement de la citoyenneté des habitants et de la gouvernance, le centre social a souhaité être un acteur de la réussite de cette initiative, en appui à la DDS.
L'objectif était d'appuyer la constitution du Conseil Citoyen sur le Quartier prioritaire de Soupetard La Gloire et de contribuer à l'émergence d'une bonne gouvernance de cette instance locale d'habitants.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
1/ Un diagnostic partagé des enjeux prioritaires sur le territoire de Soupertard-La Gloire
Lors du passage en nouveau territoire de la Politique Prioritaire de la Ville, des ateliers de concertation ont été engagés. Ils visaient à recueillir, auprès des habitants et des acteurs publics et associatifs du territoire, des éléments de diagnostic et d'analyse et permettre ainsi d'identifier des problématiques et enjeux majeurs pour le quartier.
De son côté le Centre social Jolimont-Soupetard achevait son propre diagnostic social de territoire (préalable au Contrat-Projet). Les divers diagnostics ont été partagés et enrichis.
Le centre social a participé aux trois ateliers de partage du diagnostic et de mobilisation des habitants. Le Centre social a également accompagné la participation active de plusieurs habitants isolés, et inexpérimentés en travaux collectifs, pour qu'ils participent aux différents ateliers et puissent s'exprimer.
Au total, 36 structures différentes ont participé à ces travaux collectifs sur le territoire : associations, établissements et institutions publiques. Les commercants, des habitants et des collectifs d'habitants étaient également de la partie.
2/ Appui à la constitution du Conseil Citoyen de Soupetard-La Gloire
En appui à la DDS, le Centre social s'est positionné comme relais pour la constitution du Conseil Citoyen. Le Centre social a appuyé la communication auprès des habitants du quartier et leur mobilisation. L'antenne de Soupetard s'est transformée en "bureau de vote" pour l'élection d'habitants membres du Conseil Citoyen.
Enfin, l'antenne Soupetard du Centre social a accueilli la première réunion du Conseil Citoyen Soupetard La Gloire (première réunion d'un Conseil Citoyen pour la Métropole).
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Mise à disposition gratuite par le Centre social de locaux et d'agents de développement social.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Au total 36 structures associatives et publiques (soit environ 100 personnes, professionnels et bénévoles, directement impliquées) + Les habitants consultés et mobilisés.
- Résultat sur le territoire
- Création du premier Conseil Citoyen de la Métropole.
- Etablissement d'un diagnostic partagé du territoire prioritaire Soupetard-La Gloire.
- Mobilisation d'habitants et développement citoyen.
- Ancrage partenarial du centre social pour les thématiques de citoyenneté et de gouvernance locale.
- Relais vers le dispositif ADMQ et implication des membres du Conseil Citoyen dans les projets proposés au dispositif ADMQ.
- Résultat pour le centre social
- Reconnaissance du centre social par les acteurs de la citoyenneté sur le territoire.
- Connaissance/reconnaissance du centre social dans le paysage partenarial associatif et les collectifs habitants (l'antenne de Soupetard venant d'ouvrir ses portes).
- Contribution à l'axe prioritaire du Contrat-Projet : "Développement de la Gouvernance"
- Connissance/reconnaissance de la place du centre social pour les habitants et augmentation des adhésions.
- Résultat pour les habitants
- Participation active à l'élaboration d'un diagnostic social de territoire.
- Participation active à l'établissement des régles de gouvernance et à la constitution d'un Conseil Citoyen "pour tous et ouvert à tous"
- Suite de l'action : Limites
Le risque est que le Conseil Citoyen s'essouffle (perte de membres, non renouvellement...).
Le chef de projet DCVRU continue son appui au Conseil Citoyen et veille aux respect des règles de fonctionnement par une présence ponctuelle encore parfois nécessaire.
- Suite de l'action : Perspectives
Le Conseil Citoyen Soupetard-La Gloire est désormais autonome et fonctionne sur des régles de gouvernance bien définies et qui lui sont propres.
Le Conseil Citoyen est membre de plusieurs instances du territoire (à titre consultatif) : Commission de quartier ; Comité technique de la Politique de la Ville : Comité de gestion ADMQ....
Le Conseil Citoyen est une instance identifiée et représentative sur le territoire de Soupetard-La Glorie, il est l'expression d'une démocratie locale participative active. Ses membres sont conviés à la large majorité des réunions de coordination thématique du territoire (coordination parentalité par exemple).
Le Conseil Citoyen a développé des commissions de travail dont certaines assurent des permanences et des réunions dans les locaux du centre social (antenne de Soupetard).
Actions
"LA MAISON DES PARENTS"
- Structure organisatrice
- LES PASSERELLES SUR CEZE - Gard
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
La MDP est un lieu de soutien à la parentalité, ouvert à tous. Lieu chaleureux où chacun peut se sentir accueilli, dans toutes ses différences, dans la confiance et la convivialité. Lieu d'échanges, d'information, de questionnements et d'écoute, d'accompagnement et de soutien aux initiatives répondant aussi aux besoins des partenaires institutionnels; Espace d'animation, de coopération ; gratuit, confidentiel et libre d'accès.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- accueillir les parents, sans préjugés et sans jugements, et les accompagner dans toute demande d'aide, d'écoute et de soutien en rapport avec la parentalité.
- Favoriser la réflexion et les questionnements sur la relation parents/enfants.
- Conforter les compétences parentales.
- Favoriser la rencontre, la solidarité et les échanges d'expériences entre parents.
- Créer un lieu ressources pour les parents et les professionnels autour de la parentalité.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
L'idée de la création de la Maison des Parents est née de discussions avec des parents adhérents de l'association en 1997. Très vite, cette idée a été présentée à de nombreux partenaires locaux intervenant dans le champ de la parentalité. Dès juillet 1997 s'est mis en place un groupe de travail constitué de parents, d'animateurs de l'association, et de partenaires. La Maison des Parents a ouvert ses portes en ...2010 : longue gestation partenariale qui a permit à cette action de perdurer et qui ne cesse de se développer tant la demande des parents est forte et le partenariat solide.
Une équipe d'accueillante a été constituée (parents et professionnels) et formée à la communication bienveillante pour répondre aux objectifs et à la volonté de tous de déterminer une posture commune d'accueillante. Les professionnels sont des travailleurs sociaux mis à disposition par la commune de Bagnols sur Cèze, la Caf du Gard, le Conseil Départemental, l'ADMR, et des animtrices de l'association. Un groupe de travail partenarial se réunit 4 à 5 fois par an pour suivre l'évolution de l'action, croiser les regards sur la parentilté...
L'évolution des actions développées au sein de la Maison des Parents se fait en fonction des demandes, interrogations, propositions des parents.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget 66 800 €
Charges : 60 / Achats : 5000 €
61 / Services extérieurs : 700 €
62 / Autres services Ex. : 7500
63+64 : Charges de personnel : 53600
Produits : Subventions d'exploitation : 64000 (état : 18100 ; Conseil départemental : 7200 ; Commune : 2000 ; Valorisation salaires associatifs :36700)
Autres produits de gestion courante : 2800
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
25 professionnels et 10 bénévoles
- Résultat sur le territoire
Création d'un nouveau lieu d'accueil innovant concernant la parentalité
Partenariat renforcé ; meilleure connaissance des uns et des autres ;
- Résultat pour le centre social
Développement de son activité autour de la parentalité ; meilleure inscription sur le territoire ; contribution renforcée à l'animation du terroitoire dans le champ de la parentalité ;
Réflexion renouvellée autour de la parentalité .
- Résultat pour les habitants
Nouvelle réponse à une demande forte des parents : lieu de rencontre, de convivialité, de soutien, de réflexion, d'échange de savoirs faire, de socialisation, d'informations, d'orientation ...
Possibilités accrues pour les parents de voir leurs initiatives soutenues
- Suite de l'action : Limites
En 2015 les limites à l'action n'ont pas été atteintes car encore en plein développement
- Suite de l'action : Perspectives
Développer les actions autour de la thématique de l'adolescence
Développer la participation des parents à la vie de la Maison des Parents
Actions
Accompagnbement Social et Médiation- Permanence d'écrivain public
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL Harpèges- Les accords solidaires - Alpes-Maritimes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Démocratie & citoyenneté
- Précarité
- Résumé
La médiation sociale est une action transversale qui permet de mobiliser les compétences internes de l’association au service des usagers accueillis.
L’action consiste à assurer un accompagnement individualisé dans tous les domaines de la vie quotidienne (santé, logement, famille, emploi, éducation…) en étant à l’interface des institutions pour s’adapter aux problématiques rencontrées.
Les permanences d’écrivain public proposées, trois demi-journées par semaine, se retrouvent étroitement liée à la médiation sociale. Les personnes ayant besoin de faire un courrier, sans nécessité de suivi spécifique par les services sociaux, MSD ou CCAS, sont automatiquement orientées sur cette permanence, tenues par trois bénévoles aguerris aux pratiques sociales et de gestion dont ceux sont d’anciens directeurs de ressources humaines, la troisième ayant une longue expérience en la matière acquise dans les centres sociaux des Bouches-du-Rhône. Ces permanences, totalement complémentaires, ont été élargies par une permanence supplémentaire (d’une demi-journée par semaine) axée sur les litiges civils.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Une partie de la population (située notamment dans le centre ancien de Grasse) ne peut réaliser de démarches administratives seule. Ces difficultés sont liées à diverses problématiques : pas de maîtrise suffisante de la langue française, difficultés sévères à l’écrit (sans être nécessairement dans une situation d’illettrisme), illectronisme, ou fracture numérique, véritable frein à des démarches s’effectuant le plus souvent soit par courrier, soit par site internet.
Les retards et les absences de réalisation dans ces démarches peuvent aggraver certaines situations déjà fragiles avec ruptures de droits, etc..
Ces difficultés touchent diverses thématiques :
- Accès aux droits,
- Rédaction de courriers,
- Préparation de dossiers sociaux d’emploi, maladie, pensions, retraite,
- Etablissement de demandes de surendettement,
- Recherche de logements etc…
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Fréquence :
-
Les permanences de médiation sociale sont quotidiennes. Elles s’organisent sur rendez-vous de 9h à 13h00 et de 14h00 à 18h (sauf le vendredi où le public est accueilli jusqu’à 17h).
-
Les permanences d’écrivain public ont lieu les mardi et vendredi après-midi.
-
La permanence axée sur les litiges civils a lieu tous les mercredis matin.
Echéancier de l’action :
Les permanences d’accueil individuel se font sur rendez-vous. Un bilan de la situation globale de la personne accueillie est réalisé. Le plan d’action est élaboré avec l’usager et vise à promouvoir son autonomie en favorisant ses ressources et potentialités, en l’impliquant activement dans les démarches à effectuer. En fonction des problématiques, un suivi se met en place ou une orientation est proposée. Dans une grande majorité des situations, un travail en transversalité avec d’autres secteurs d’Harjès est proposé : cours d’alphabétisation, suivi dans le cadre de l’aide aux victimes, orientation pour les parents vers les accueils de loisirs enfants-adolescents, etc..
-
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Contrat de ville :
- Etat : 13 500€
- Région : 13 000€
- Commune : 24 500€
ASP ( Agence de Service et de Paiement) : 27 529 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Equipe mixte:
- 2 médiatrices sociales
- 3 bénévoles
- Résultat sur le territoire
L’action d’accompagnement et de médiation sociale a permis l’accueil et le suivi d’un grand nombre de publics fragilisés, éloignés des dispositifs sociaux, sanitaires, de droit commun.
Cette action, très utilisées par les habitants, démontrent par le nombre d’usagers recensés le besoin existant d’accompagnement dans les difficultés et démarches de la vie quotidienne. Destiné à un public d’adultes, cet accompagnement fait l’objet d’une attention particulière en direction des personnes isolées et vieillissantes, des familles monoparentales, toutes en grand nombre sur ce territoire.
Dans un contexte économique et social particulièrement tendu ces dernières années, le service d’accompagnement et de médiation sociale occupe une place prépondérante au sein du quartier et rempli, autant que peut se faire, un rôle de « régulateur social ».
- Résultat pour le centre social
Du 1er janvier au 31 décembre 2016, 1126 personnes ont bénéficié des services de la médiation sociale.
Le nombre de bénéficiaires de l’action d’accompagnement social et de médiation est en constante augmentation depuis 2013. Ils étaient 682 en 2013, 1106 en 2014, 1423 en 2015 à la même période. (Le pic de 2015 s’explique par la fermeture de l’agence Caf de Grasse et la création du point-info CAF au centre social). L’augmentation des fréquentations des permanences de médiation démontre combien il est important de maintenir et développer ce service de proximité dans le secteur du Grand Centre et plus précisément sur le Centre Historique où les situations, d’une partie des habitants, sont particulièrement fragiles.
Destiné à un public d’adultes, cet accompagnement fait l’objet d’une attention particulière en direction des personnes isolées et vieillissantes, des familles monoparentales, toutes en grand nombre sur ce territoire.
- Résultat pour les habitants
Investis dans un partenariat riche et dynamique, les médiateurs sociaux proposent aux bénéficiaires, une prise en charge et un accompagnement social global. Ils prennent en compte, dans leur diagnostic les ressources, les potentialités, l’environnement familial et social de l’usager.
L’équipe tente, aussi souvent que possible, d’influer sur la capacité d’agir de la personne, sur son implication et sa responsabilisation dans toutes les démarches entreprises. L’objectif visé étant l’acquisition d’une plus grande autonomie.
L’accueil de partenaires, au sein du centre social, pour la tenue de leurs permanences (administrateurs Ad Hoc Actes Pelican, référent PLIE, travailleurs sociaux de la Maison des solidarités de Grasse Nord, travailleurs sociaux CAF du volet allocataires Pôle d’Interventions Sociales de Cannes.. ), permet d’offrir aux habitants d'autres prises en compte de proximité de leurs difficultés.
- Suite de l'action : Limites
Lutter contre l’illectronisme :
Les difficultés renforcées, chez certaines personnes (personnes âgées et/ou des personnes peu qualifiées en recherche d’emploi) engendrées par l’utilisation des technologies de l’information et de la communication représentent un enjeu majeur aujourd’hui avec lequel doit conjuguer le centre social.
Le problème qui se pose pour ces publics, ne se situe pas seulement par l’exclusion d’internet, mais plus fondamentalement au plan de l’information.
De plus en plus de démarches administratives passent par une plate-forme numérique (déclaration de ressources, constitution de dossier, ouverture de droits, inscription à l’Espace Activité Emploi, la plupart des annonces d’emploi sont aujourd’hui diffusées par internet…).
Afin de prévenir et limiter ces inégalités face à l’accès au savoir et aux démarches de la vie courante, il apparaît important de travailler avec le public sur l’acquisition des connaissances clés nécessaires à l’utilisation des ressources électroniques.
Aussi, si l’Espace Régional Internet Citoyen (ERIC) « hébergé » au sein même du centre social apporte déjà une plus-value aux activités de médiation sociale (près de 598 personnes reçues sur le premier semestre au sein de l’ERIC dont 90 % résident au Centre Ancien). Ce partenariat se renforcera et proposera des actions ciblées pour lutter contre cette fracture numérique (utilisation de l’environnement informatique, création d’adresse Email,..)
- Suite de l'action : Perspectives
Développement des ressources internes afin d'accompagner les demandes croissantes des usagers.
Actions
Alphabétisation-Insertion-Citoyenneté
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL Harpèges- Les accords solidaires - Alpes-Maritimes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Intégration
- alphabétisation & apprentissage du français
- Résumé
L'action « d'alphabétisation-insertion-citoyenneté » vise à renforcer avec les bénéficiaires les bases d'un parcours d'insertion sociale et/ou professionnelle. Elle a pour objectif d'accompagner le public vers une plus grande autonomie en leur donnant quelques repères, à partir le plus souvent, de situations de la vie quotidienne, comme prendre un rendez-vous chez le médecin, téléphoner, répondre au téléphone…
Il est important de souligner que l’alphabétisation ne doit pas se limiter à l’apprentissage linguistique, c’est un outil d’autonomisation personnelle et un facteur de développement social et humain, permettant aux apprenants d’enrichir leur esprit critique.
Ces ateliers répondent donc à trois objectifs principaux :
- Progresser dans l’apprentissage de la langue française (orale ou écrite).
- Mieux connaître l’organisation de la société (démarches, emploi, culture, etc.) et développer sa capacité d’y agir de manière autonome. Les ateliers collectifs « citoyens » proposés aux bénéficiaires se construisent à partir des besoins repérés ou exposés par ce public, de ses centres d’intérêts pour favoriser une plus grande adhésion. Ces ateliers offrent aussi un espace de découverte des institutions et des espaces culturels et une meilleure connaissance des valeurs de la République, des fondements de la laïcité et des codes sociaux.
- Créer du lien social : pour nombre de personnes, des femmes le plus souvent, les ateliers sociolinguistiques permettent de partager, de faire des rencontres et de sortir de l’isolement.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Diverses demandes préalablement diagnostiquées servent de point d'ancrage à ce projet.
Ces demandes émanent :
-
des mères de famille, d’origine étrangère, désireuses de s’investir dans l’éducation de leurs enfants et acquérir globalement une plus grande autonomie,
-
des populations immigrées, installées en France depuis plus de 4 années,domiciliées prioritairement sur le Grand Centre de la ville de Grasse, pour lesquelles la barrière de la langue constitue encore un obstacle à leur insertion et à leur intégration,
-
des personnes d’origine française, notamment des jeunes,souffrant d’illettrisme et souhaitant améliorer leur compétence à l’écrit.
-
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Dans sa mise en œuvre opérationnelle, le projet d’alphabétisation-insertion-citoyenneté s’articule autour de 2 axes complémentaires : Des cours d'alphabétisation constitués par groupe de niveau et des actions collectives s’appuyant sur des thématiques spécifiques.
A l’issue, d’une phase d’évaluation, 4 groupes sont organisés en fonction du niveau de compétence des apprenants : grand débutant, débutant, intermédiaire et avancé. Chaque groupe est composé de 5 à 8 apprenants.
Les cours sont assurés par des bénévoles qui interviennent, chaque fois que possible, en binôme permettant ainsi un accompagnement parfois individualisé voire personnalisé.
Les cours ont lieu dans les locaux de l'association à raison de 2 séances par semaine. Chaque cours dure 2 heures.
Les « apprenants » bénéficient donc d'un minimum de 4 heures d'apprentissage hebdomadaire. Certains parmi eux ont opté pour plusieurs groupes de niveaux semblables, ce qui peut représenter 6 à 8 heures de participation par semaine.
La coordination de l'action est assurée par la responsable du centre social en lien avec une salariée référente, chargée de faire passer les tests de niveau, avec l’aide d’un groupe de bénévoles.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Contrat de ville :
Etat: 15 000€
Région : 6 000€
Commune: 12 000€
ASP (Agence de Service et de Paiement) : 7 589€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
17 bénévoles intervenants parfois en binôme
1 médiatrice sociale
- Résultat sur le territoire
Cette action de proximité, conjuguée avec les autres activités de médiation sociale, a contribué, encore cette année, par le nombre de personnes accompagnées sur le secteur prioritaire de la politique de la ville (79 % en 2015), à prévenir l’isolement. Elle a permis de faciliter l’intégration des populations migrantes dans la vie locale mais aussi celles, nées en France, illettrées qui ont eu besoin de consolider leurs connaissances de bases à gagner encore un peu plus en autonomie.
Les ateliers sociolinguistiques ont apportés une ouverture sur les espaces sociaux et/ou culturels. Les actions citoyennes transversales aux différents ateliers ont permis de les sensibiliser aux codes sociaux, et à l’exercice des responsabilités sociales.
- Résultat pour le centre social
Les bénéficiaires des ateliers d’alphabétisation-insertion-citoyenneté ont été nombreux à s’investir sur les autres actions du centre social, démultipliant ainsi les espaces de socialisation et d’apprentissage.
Fédérateur, vecteur de bien être, d’ouverture, de partage l’ensemble des actions organisées avec les usagers des ateliers socio-linguistiques leur offrent des occasions de rencontres interculturelles et intergénérationnelles qui contribuent au mieux vivre ensemble.
- Résultat pour les habitants
D’un point de vue général, cette action a conduit une majorité de personnes à se familiariser avec la langue française et en acquérir les bases, permettant ainsi aux apprenants de communiquer plus facilement et de faire face aux situations de la vie quotidienne. Les ateliers d’alphabétisation-insertion-citoyenneté ont permis à un grand nombre de personnes d’origine étrangère, ou souffrant d’illettrisme, de capitaliser des savoirs et savoirs-faire, des compétences sociales transférables à d’autres situations de la vie personnelle et/ou professionnelles. Les ateliers citoyens ont aidé les bénéficiaires à mieux décrypter les règles et valeurs de la société française. Durant l’année, dans chaque groupe d’apprenants, au moins une sortie s’est organisée en Mairie, CPAM, … ou dans d’autres institutions, afin de les aider à mieux repérer les services publics de proximité.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
-Continuer de faire évoluer les pratiques et intégrer dans cette dynamique les nouveaux bénévoles arrivés au cours de l’année.
-Poursuivre la formation des bénévoles en ciblant la formation sur des thématiques qui les interrogent. - Mettre en place, au sein de la structure, des espaces d’échange de pratiques et de mutualisation.
-Renforcer la participation des apprenants sur l’ensemble des actions collectives portées par le centre social.
- Lutter contre l’illectronisme. Développer des actions d’initiation à l’outil informatique et de sensibilisation à l’utilisation des technologies de l’information et de la communication, à l’utilisation des réseaux sociaux et plus généralement à l’utilisation d’internet.
Actions
MAISON DE SERVICES AU PUBLIC
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL DE FOURCHAMBAULT - Nièvre
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- Démocratie & citoyenneté
- Viellissement
- Emploi, économie
- Santé
- Logement
- Mixité sociale
- Résumé
La Maisoon de services au public permet de mettre en relation l'usager les partenaires suivants :
- Assistante sociale du Conseil départemental
- CAF
- RSI
- Services de l'Etat
- MSA
- CPAM
- Pole-emploi
Elle permet une mise à disposition et éventuellment un accompagnement dans l'utilisation d'équipements bureautiques
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Autre
- Précision ( si autre )
Les services de la préfecture
- Territoire concerné
- Autre
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pour offrir aux habitants des services de proximité et réduire les inégalités.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Autre
- Description générale
Action débutée en 2015 en lien étroit avec la Préfecture de la Nièvre dans la démarche de labellisation. Inauguration par le Préfet et le Président du Conseil Départemental.
Début de la mise en oeuvre de la MSAP 1er janvier 2016.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Financements FNADT et fonds inter-opérateurs
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 professionnels, 2 bénévoles : écrivain public et intervenante CLCV.
- Résultat sur le territoire
Accèder aux droits.
Répondre à la problèmatique de la mobilité.
Favoriser la proximité.
- Résultat pour le centre social
Un service utile et nécessaire qui répond aux besoins des habitants.
- Résultat pour les habitants
Services de proximité et accès aux droits.
- Suite de l'action : Limites
L'intervention financière de l'Etat doit perdurer pour que l'action demeure
- Suite de l'action : Perspectives
La Maison de Services au Public devrait perdurer au regard de l'augmentation des demandes
Actions
MSAP
- Structure organisatrice
- ESPACE CONDORCET CENTRE SOCIAL - Eure
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Emploi, économie
- Intégration
- Résumé
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pour faire face à la dématérialisation des procédures d’inscription ou de suivi des dossiers il a fallu nous adapter pour permettre à nos citoyens d’avoir accès à des outils numériques et internet. De plus pour assurer la qualité des services offerts nous avons formé quatre agents pour l’accueil, l’information, l’orientation et l’accompagnement des publics. Etant donné qu’il est devenu plus qu’essentiel d’assurer l’accessibilité et la proximité pour les publics dits “ fragiles ” nous avons mutualisé avec plusieurs opérateurs afin d’élargir l’offre de service.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
En 2014 nous avons effectué un diagnostic dans le cadre de notre renouvellement d’agrément centre social. Celui-ci nous a permis de définir trois axes stratégiques de développement dont l’un est la fonction d’accueil.
Développer notre service d’accueil à l’ensemble des habitants de notre territoire nous a semblé primordial au regard de l’évolution de l’organisation des services publics.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
L’Etat, via le FNADT et le fonds inter-opérateurs
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
4 professionnels et 15 partenaires opérateurs
- Résultat sur le territoire
Le partenariat avec les acteurs et opérateurs du territoire est formalisé. Le temps d’attente et de traitement des dossiers est amélioré. Des droits sont ouverts pour la population fragilisée (RSA, mutuelles, retraite complémentaire…). Les services offerts à la population sont de qualité et accessible par tous.
- Résultat pour le centre social
Les missions et les rôles de chaque partenaire et opérateurs sont connus par nos agents, le centre social est valorisé par l'action.
- Résultat pour les habitants
Services de proximité accessible à tous
- Suite de l'action : Limites
L'action pourra se pérenniser qu'avec une aide financiere de l'Etat.
- Suite de l'action : Perspectives
Développer les services avec les différents opérateurs pour que chaque citoyen puisse avoir accès à l'ouverture de leur droit
Actions
Inclustion sociale des personnes disposant d'une domiciliation administrative au Centre Social
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL DU PONT BORDEAU - Loiret
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Logement
- Précarité
- vacances / loisirs
- Résumé
Depuis fin 2015, optimisation de l'accueil et du suivi des personnes domiciliées pour favoriser leur inclusion sociale.
Entretien pour mieux identifier la situation de la personne, de la famille. Accompagnement et orientation dans la recherche de logement, d'aides d'urgence, d'aides sociales, l'accès aux services de soins...
Temps de convivialité et d'écoute d'active.
Lien avec le dispositif "Cultures du Coeur" pour favoriser l'accès à des sorties, des spectacles, des événements sportifs.
Valorisation des compétences, des savoir-faire des personnes pour les impliquer dans des projets du Centre Social ou d'autres habitants.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Mieux prendre en compte à l'accueil du Centre Social les personnes domiciliées. Développement d'un accompagnement social global des personnes.
Impacts attendus :
- renforcement du lien entre les personnes et le Centre Social ;
- bien-être des personnes ;
- inclusion sociale des personnes.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
18142 € (montant total des moyens humains).
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Les chargés d'accueil. Environ 0,4 ETP.
- Résultat sur le territoire
Développement ou émergence de projets sur le Centre Social (ou le quartier) à l'initiative des personnes domiciliées (ex : perspective de mise en place d'une sorte de repair café, implication sur un projet de jardin partagé...).
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
Inclusion sociale.
Développement de l'estime de soi.
Valorisation des compétences (savoir-faire, savoir-être).
- Suite de l'action : Limites
Difficulté de créer du lien avec des personnes en grande précarité sur une longue durée.
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
les Ateliers Sociolinguistiques
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ALBERT SCHWEITZER - Yvelines
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Intégration
- alphabétisation & apprentissage du français
- Résumé
La commune de Magny les hameaux (9236 habitants), ses services, œuvrent au quotidien pour accompagner l’ensemble des habitants, notamment les plus éloignés de la langue française, et primo arrivants sur le territoire. Ceux-ci résident en majorité au sein du quartier du Buisson (en veille active depuis 2015).
Le centre social municipal a pour mission de les accueillir en prenant en compte les caractéristiques de chacun (culture, statuts sociaux, motivations) dans l’objectif de rompre leur isolement et de concourir à leur quête d’autonomie.
C’est par le biais d’ateliers socio linguistiques que la commune permet aux apprenants d'acquérir en plus des compétences linguistiques, un statut social pour agir de manière plus autonome en termes de déplacements, d'accès aux services, aux soins, aux lieux culturels, aux droits. L'action constitue aussi un soutien pour l'élaboration d'un parcours d'insertion professionnelle. Les apprenants, vont au fil de l’année se socialiser, apprendre les codes culturels, sociaux du pays.
Ces ateliers ont lieu les lundis et jeudis de 14h à 16h. Ces séances d'apprentissage sont également ponctuées par des animations pédagogiques, culturelles et citoyennes.
Lors de l'inscription, chaque apprenant est évalué dans le but de déterminer les objectifs spécifiques qu'il souhaite atteindre personnellement.
Cela permet aussi à l'équipe d'encadrants de constituer des groupes de niveaux (3 en général): 1 groupe de débutants, 1 groupe sachant s'exprimer en français, 1 groupe d'apprenants ayant été scolarisés dans leur pays d'origine et ayant un niveau supérieur d'études.
Chaque groupe peut ainsi travailler en fonction de son niveau, à son rythme par le biais de mises en situation à l'oral, de renforcements des acquis à l'écrit et par la lecture.
Diverses thématiques abordées permettent aux apprenants d'être soutenus dans leur vie quotidienne en termes de mobilité, d'achats, de démarches administratives, santé, d'accompagnement à la scolarité des enfants, d'insertion professionnelle.
Objectifs dans le projet social:
Lutter contre l'isolement, favoriser l'accès aux droits des personnes immigrées primo arrivantes ou âgées
- Acquérir des compétences linguistiques afin de mieux s'insérer dans la vie sociale et professionnelle.
- Favoriser la mobilité des participants, et encourager leur accès à la vie culturelle.
- Favoriser l'appropriation des valeurs républicaines et citoyennes, renforcer l'estime de soi
Les bénéficiaires :
Les ateliers sociolinguistiques sont à disposition de tous, avec une mixité des apprenants de par leur pays d'origine mais aussi des sexes. Il n'y a aucune discrimination, les apprenants sont tous accompagnés et soutenus de la même manière avec pour chacun, la prise en compte de leurs compétences et de leurs désirs.
- adultes d'origine non francophone peu ou pas autonome, hors CA, à partir de 18 ans si elle n'est pas accompagnée par la Mission Locale ou d'autres APP (Ateliers Pédagogiques Personnalisés).
-Prioritairement des habitants de la commune, notamment du quartier du Buisson, et/ou primo-arrivants, femmes ou hommes en difficultés ou pas, ayant un projet d'autonomie.
40 apprenants en 2016, dont 29 primo arrivants
Moyens mobilisés :
Humains : Une coordonnatrice, une référente vacataire, 8 bénévoles
Matériels : ordinateurs, ouvrages pédagogiques, documents administratifs, supports écrit
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Autre
- Précision ( si autre )
La commune et plus particulièrement les professionnels de la structure suite à un diagnostic de territoire préalable.
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La mise en œuvre de ce projet permet aux populations primo arrivantes sur le territoire ou non de bénéficier d’un accompagnement de qualité afin qu’il acquière une autonomie quant à leur intégration sociale, mais aussi leur réinsertion professionnelle.
Pour le territoire, il s’agira d’offrir aux habitants quel que soit leur statut social, une offre de services leur permettant d’accéder au statut de citoyen intégré, informé et soutenu et de mieux vivre leurs différents statuts sociaux (parent d’élève, salarié, consommateur, usagers des transports publics…).
Les objectifs de ce projet sont les suivants :
Lutter contre l'isolement et favoriser l'accès aux droit des personnes immigrées primo arrivantes ou âgées
- Acquérir des compétences linguistiques afin de mieux s'insérer dans la vie sociale et professionnelle.
- Favoriser la mobilité des participants, et encourager leur accès à la vie culturelle.
- Favoriser l'appropriation des valeurs républicaines et citoyennes, renforcer l'estime de soi.
Cette action a permis de favoriser la mobilité des apprenants en situation réelle et encourage l'accès à la vie culturelle lors de déplacements sur la ville. Les apprenants se sentent plus à l'aise, confiants, dans les relations aux autres et en milieux institutionnels. Ils affirment leurs choix et valeurs. Les participants via des temps d'informations divers ont accès et sont accompagnés dans certaines démarches (accès au droit insertion professionnelle...), leur permettant ainsi de s’organiser dans leur vie sociale. Ils s’investissent également d’avantage dans la vie du centre social en s’impliquant lors d’événements et participent avec leur familles à diverses actions tel que les sorties familles, temps parents enfants, Parvis en fête…
Les usagers de ces ateliers acquièrent une meilleure autonomie sociale et / ou professionnelle, poursuivant un projet personnel d’insertion.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
L'action a débuté en 1996, suite à la mise en oeuvre du premier projet social de la structure.
Chaque année:
Inscription des apprenants en septembre.
Chaque futur apprenant répond à un test d’évaluation permettant à l’équipe de déterminer avec lui ses besoins personnels et professionnels, ainsi que son niveau.
Le niveau de chaque apprenant détermine son appartenance à un groupe.
3 groupes sont constitués, et abordent certaines thématiques par le biais de mises en pratique, travail sur certains supports réels du quotidien avec selon leur niveau des approches différentes.
L’année est ponctuée par la participation des apprenants aux événements « Femmes du monde », porté par le centre social et à la semaine de citoyenneté, porté par la commune.
Leur participation pourra se faire sous la forme de l’élaboration d’une pièce de théâtre pout le premier événement ou la visite d’institutions pour le second.
La coordinatrice CIDFF du service emploi intervient durant différents temps d’échange, abordant le sexisme, les violences faites aux femmes.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget total : 14 105 €, dont 12585 € en frais de personnels, financement DDCS de 6500 € en 2016
Contributions volontaires: 9902 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
8 bénévoles et 2 professionnels, 40 apprenants en 2016, dont 29 primo arrivants
- Résultat sur le territoire
La mise en œuvre de ce projet permet aux populations primo arrivantes sur le territoire ou non de bénéficier d’un accompagnement de qualité afin qu’il acquière une autonomie quant à leur intégration sociale, mais aussi leur réinsertion professionnelle.
Pour le territoire, il s’agira d’offrir aux habitants quel que soit leur statut social, une offre de services leur permettant d’accéder au statut de citoyen intégré, informé et soutenu et de mieux vivre leurs différents statuts sociaux (parent d’élève, salarié, consommateur, usagers des transports publics…).
- Résultat pour le centre social
La mise en pace de cette action permet au centre social d'agir pour et vers le public cible. Plus généralement de lutter contre l'isolement de certains habitants, de favoriser les liens sociaux, et la mixité sociale.
- Résultat pour les habitants
Cette action a permis de favoriser la mobilité des apprenants en situation réelle et encourage l'accès à la vie culturelle lors de déplacements sur la ville. Les apprenants se sentent plus à l'aise, confiants, dans les relations aux autres et en milieux institutionnels. Ils affirment leurs choix et valeurs. Les participants via des temps d'informations divers ont accès et sont accompagnés dans certaines démarches (accès au droit insertion professionnelle...), leur permettant ainsi de s’organiser dans leur vie sociale.
- Suite de l'action : Limites
La barrière de la langue, le manque de mode de garde pour les mères, le manque d'investissement de certains apprenants dans la vie du centre social hors de la mise en oeuvre de cette action.
- Suite de l'action : Perspectives
Encourager et développer d'avantage la transversalité entre les ASL et les différentes actions et projets de la structure
Actions
Sud Yvelines, terre d'égalité
- Structure organisatrice
- MJC-CENTRE SOCIAL DE RAMBOUILLET- L'Usine à Chapeaux - Yvelines
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- discriminations
- Résumé
Valoriser rôle et actions des femmes sur le territoire de l'arrondissement de Rambouillet:Egalité Homme/Femme, réseau partenarial, dynamique territoriale.
Sur un an, série de manifestations publiques, sensibiliser les publics à l'égalité H/F, identifier les ressources du territoire, fédérer les partenaires sur 4 volets: Education/Culture, Sport, Emploi/Insertion professionnelle, Santé/prévention.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Fédérer les partenaires du territoire sur thème Egalité; créer un réseau professionnel, susciter prévention violences faites aux femmes en milieu rural, interactions entre différents champs, agir en proximité avec les élus locaux.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
série de manifestations de mai 2015 à juin 2016
Volet Santé/prévention Octobre rose, Mars bleu, Forum santé (ados, jeunes adultes)au CS, débat santé au CS, Café sympa avec centre de planification.
Volet Emploi/Devt économique: Forum aprrentissage (Mission locale et CS), Rencontre intersyndicale
Volet sport: Expo sport et filles, recontre Equipe féminine foot (Clairefontaine), Chromes et Roses (harley davidson - femmes et moto)
Volet Culture/education: Exposition arts plastiques "Femmes en mouvement", Chanso'tone: rencontre avec la chanteuse "L", Expo Rosa Bonheur (Port Royal),Atelier écriture/photo Segpa du Racinay, Expo photo "Reflets de femmes"
Colloque prévention violences intra familiales
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Subvention DDCS 5000€ sur budget 2015 et 5000€ budget 2016
Plus participation CS sur budget actions culturelles
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
MJC/CS Usine à chapeaux: Direction, référent famille, informatrice jeunesse, personnel et bénévoles Musiques actuelles, un service civique, adhérents des ateliers arts/sculpture , adolescents Foyer, adolescents fréquentant les Forums, les rencontres et débats proposés
25 professionels, 40 bénévoles
- Résultat sur le territoire
a renforcé l'interconnaissance et réseau partenarial professionnel, mise en réseau professionnel de proximité
vraiment lancé la réflexxion pour une prévention des violences faites aux femmes en milieu rural
- Résultat pour le centre social
interactions entre différents champs, agir en proximité avec les élus locaux
- Résultat pour les habitants
sensibilisation égalité H/F, prévention violences faites aux femmes
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
entretenir cette dynamique territoriale de réseau
poursuivre travail prévention violences faites aux femmes
Actions
Le Centre Social Audaces's de Folschviller - Hors Les Murs !
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL AUDACES'S FOLSCHVILLER - Moselle
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L’association Audaces’s a su tisser de la cohésion sociale sur le territoire. Au travers de cette animation innovante, la promotion des habitants de notre territoire a été reconnue par la Fédération des Centres Sociaux de France « Hors les Murs » et d’autres instances. Avec nos différents partenaires comme les Bailleurs, le Conseil Citoyen, le Département de la Moselle et les villes de Folschviller Valmont et d’autres cette action tisse un maillage au cœur du quartier QPV et de la ZUS.
Face à une augmentation de la précarité, notre action permet aux habitants de sortir de chez eux et de se côtoyer.
Il s’agira de poursuivre notre soutien à la population et au plus démunis au travers d’une action de proximité de collecter la parole des habitants, des jeunes, les familles et les acteurs locaux. Pour ce faire l’association mettre un plan citoyen de proximité avec comme support :
L’Arène Citoyenne, le triporteur citoyen, la cabane des mots, hors les murs, action réaction « citoyen », le rdv du triporteur citoyen à la sortie des écoles, des actions de découvertes culturelles et Citoyennes.
Les objectifs :
Utiliser un panel d’outils pour alimenter le débat participatif dans le quartier de FURST au côté du Conseil Citoyen et des Habitants.
Faire en sorte que les habitants se côtoient et vivent ensemble.
Créer de la cohésion sociale sur le territoire
Développer le Pourvoir d'Agir des Habitants
Créer des actions à visée émancipatrice
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Le projet a fonctionné de manière différente en tenant compte des saisons. L'équipe en collaboration avec les jeunes et les familles du quartier ont œuvré sur une stagtégie d'action adpaté aux usagers, aux habitants : Une animation "Hors Les Murs" avec des animations débat citoyen avec le triporteur et la cabane des mots 3 fois par semaine aux abords des écoles : Collecte de la parole des habitants/des Jeunes sur le vouloir des jeunes.
Débats participatifs et Citoyen aux quatre coins de la ville avec une fréquentation moyenne de 60 familles et 35 jeunes.
Un débat associatif avec les associations locales et la place des jeunes dans la vie locale, lors du forum des associations locales avec une moyenne de 25 associations et les jeunes des clubs. Dès juin, une animation Hors les Murs dans le quartier avec du théâtre enfant, création de vidéo jeunes, une soirée plein air cinéquartier. De plus lors des vacances, le centre social a œuvré dans les rues avec les animateurs afin de proposer des activités complémentaires aux actions du centre social : jeux plein air, bibliothèque de rue qui fut un grand succès. Le triporteur citoyen aura été la locomotive de cette action innovante sera l'outil mobile qui pourra mettre en œuvre une animation au plus proche des jeunes : plaides et couvertures pour de la lecture, pour la création de conte, découvrir des jeux de société, des activités au cœur des citys stades, musiques et liberté créative, slam…
Une Arène citoyenne qui a comme vocation la communication et la participation citoyenne (des débats participatifs, foot-citoyen, fair-play, culture citoyenne, danse urbaine, mini-spectacle, soirées jeunes, les valeurs de la République, C'est quoi être citoyen engagé, C'est quoi un conseil Citoyen Jeunes. Cette installation mobile et rapide pourra aller au devant de la jeunesse en situation d'érrance et/ou de fragilité. Faire connaitre les acteurs de la ville et l'équipe du centre social.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
/
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Les salariés du centre social
Des intervants (intermitants, vacataires, bénévoles)
- Résultat sur le territoire
Les partenaires reconnaissent cette action et souhaitent y participer périodiquement.
Il se trouve que hors les murs est un lieu neutre pour désamorcer des situations en présence d'un salarié du centre social.
Cette action a permis aux habitants de prendre conscience de leur pourvoir d'agir.
- Résultat pour le centre social
Cette action permet au centre social Audaces's d'avoir une meilleur action avec les habitants dans le quartier. Elle est complémentaire aux actions des ACM. Car depuis la baisse des jours ATL, les centres de loisirs subissent une baisse de la frénquentation par souci financier pour nos ahbaitants les plus en difficultés. Pour autant, il n'y a pas plus de départ en colonie de vacance ! Une familles sans ressources ou avec peu de ressource ne partira pas et ne fera pas partir leur enfant. Il reste quoi alors comme alternative ?
Donc, face à cette injustice, Hors Les Murs devient pour le quartier un espace citoyen et solidaire pour les habitants !
- Résultat pour les habitants
Cette action permet au centre social Audaces's d'avoir une meilleur action avec les habitants dans le quartier. Elle est complémentaire aux actions des ACM. Car depuis la baisse des jours ATL, les centres de loisirs subissent une baisse de la frénquentation par souci financier pour nos ahbaitants les plus en difficultés. Pour autant, il n'y a pas plus de départ en colonie de vacance ! Une familles sans ressources ou avec peu de ressource ne partira pas et ne fera pas partir leur enfant. Il reste quoi alors comme alternative ?
Donc, face à cette injustice, Hors Les Murs devient pour le quartier un espace citoyen et solidaire pour les habitants !
- Suite de l'action : Limites
Poursuivre cette action innovante et reconnu par plusieurs acteurs sociaux de la France !
- Suite de l'action : Perspectives
Action en cours pour 2017 à 2021 !
Actions
LES MARCHES EXPLORATOIRES
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ET SOCIO CULTUREL DU PUCHOT - Seine-Maritime
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Environnement
- Intégration
- Mixité sociale
- Résumé
Propositions de moments de rencontres avec ces femmes
Organisations de marches exploratoires à l’intérieur du quartier
Mise en place d’espace d’expression pour ces femmes
Implication des acteurs locaux
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Dans un quartier dit "sensible", dévellopper un modèle participatif en prenant en compte la parole des femmes en matière d'aménagement urbain et de sécurité publique.
Les femmes s'expriment sur leur quartier : (aménagement, éclairage, entretien, luminosité, ) afin qu'elles puissent circuler plus facilement , plus aisément dans celui ci, s'y sentent mieux, l'apprécie.
Leurs constats sont relatés auprès des différents décideurs ( ville, bailleurs... ) avec propositions d'actions à plus ou moins long terme.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
38 rencontres par an
10 marches dont 3 marches réalisées dans le cadre de la GUP (Gestion Urbaine de Proximité ) à différents moments de la journée
18 séances consacrées à a préparations et installations des décorations dans les halls d'immeubles
3 séances d'informations : Droits et devoirs des locataires.Présentation des agents de voisinage .Intervention sur le rôle de la maison de la justice et du droit.
1 séance "fleurissement des balcons".
1 rencontre avec bailleurs et élus
- Ressources financières mobilisées pour cette action
12 000 euros
Ville
FIPD
PREFECTURE
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
22 femmes ont participés à cette action dont 11 sont venues régulièrement.
2 professionnels
- Résultat sur le territoire
Amélioration du cadre de vie, des espaces et de la sécurité de tous.
Ex : quartier néttoyé plus régulièrement,réparations de certains éclairages défectueux, installations de table pinique-nique
- Résultat pour le centre social
Reconnaissance du centre social comme équipement de proximité.
Valorisation des habitantes
Lieu d'initiatives
Lieu de concertations entre les acteurs locaux et les habitants
- Résultat pour les habitants
Mobilisation des femmes.
Très bonne cohésion de groupe.
Les femmes sont plus dans l'image positive de leur quartier et expriment plus aisément leurs observations.
Initiatives de décorer leurs halls d'immeuble en fin d'année avec un investissement important.
Beaucoup de dialogues avec les élus, les services municipaux et les bailleurs.Les réunions d'info ont permis d’éclaircir les droits et devoirs du locataire.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Accueillir davantage de nouvelles femmes.
Actions
familles et reseaux sociaux
- Structure organisatrice
- Le point commun centre social - Haute-Marne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- Résumé
le centre social en partenarait avec différents acteurs associatifs du territoire a mis en place une action pour sensibiliser les familles aux risqus d'internet.
Le groupe partenarail a choisi d'aborder cette question avec comme support un spectacle humoutistique avec la comédinne Esta Webster.
Le spectacle a permis d'aborder diffférents points/
-la place de l'enfant et les relations avec le sparents, l'ttitude de sparents face au consumérisme
-le choc de sgénérations
-l'usage d'internet positif et négatif
les stéréotypes divulgués, les humiliations pouvant être subis , les risques encourus
le spectacle a réuni parents et adolescents, à la fin du spectacle un mini débat a été organisé avec la présence d'un juriste et d'une éducatrice d'associations partenaires. Le juriste a apporté des points de vigilance et des apports par rapport à la loi.
L'éducatrice a sennsibilisé les parents et les adolescents sur les risques de jeux dangereux sur internet.
-les humiuli
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place pour sensibiliser les familles à la nécéssité d'accompagner leurs enfants dan sleurs pratiques quotidiennes du numérique, pour soutenir les parents dans leur rôle éducatif et prévenir des dangers d'internet.
Les résultats attendus : permettre aux parents de s'interroger sur leur rôle d'accompagnateur et d'éducateur face aux dangers d'internet
permettre de faciliter les échanges entre parents et adolescents sur les risques d'nternet
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Cetta action a été menée en partenarait avec de nombreux acteurs du territoire. En amont du projet, ont été organisées des réunions pour la mise en place de l'action avec identification des difficultés des parents, de problématiques du territoire.
Après repérage des problématiques, le groupe a organisé collectivement l'action en apportant de idées et leurs connaissances.
La proposition du spectacle a été initiée par un acteur associatif du CIDFF qui connaisit la comédienne.
Le choix de ce support de comédie humouristique permet d'aborder des sujets de parentalité d'une manière plus ludique.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
charges: 8651 €
produits : Reeap 3000 €
contrat de ville: Agglomération de Chaumont :1000 € et CGET : 1000 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
14 parents
2 enfants
13 adolescents
10 professionnels
- Résultat sur le territoire
action favorisant la venue d'un public mixte car organisé dans les locaux de Canopé
- Résultat pour le centre social
ancrage du rôle fédérateur du centre socail car action menbée dans un cadre partenarial
réponse aux besoins des familles et sujet prégnant dans la société
- Résultat pour les habitants
renforcement des capacités éducatives des parents
education aux riques d'internet pour les familes (adolescents et parents)
facilitation des échanges entre parents et enfants
- Suite de l'action : Limites
dificultés à mobiliser de nombreux parents
- Suite de l'action : Perspectives
le centre social poursuit des actions parentmalité mais n'a pas souhaité conduire une action en 2018 sur cette thématique
Actions
L'étoffe des héros - défilé des petites coutures
- Structure organisatrice
- OMAC Office Municipal d'Animation de la Cité - Seine-et-Marne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Action déterminée dans le temps qui s'est déroulée de décembre 2016 à septembre 2017.
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- Résumé
De janvier à mai 2017, la Ferme du Buisson (scène nationale), le Château de Champs-sur-Marne (centre des monuments nationaux) et l'OMAC ont invité les habitants (domiciliés en ZSP de Torcy) et la compagnie Cirkatomik à créer des costumes uniques et originaux à partir d'objets de tous les jours et de matériaux recyclés. Le samedi 20 mai 2017 à la Ferme du Buisson, s'est déroulé le spectacle "Le plus grand défilé des Petites Coutures". L'occasion pour une vingtaine de volontaires, adultes ou adolescent et un enfant, de vivre une expérience de mannequinat exceptionnelle ou d'assister les artistes et comédiens dans les coulisses du spectacle pour l'habillage, le maquillage ou l'ouverture des rideaux. Du 16 septembre au 8 octobre une exposition de de toutes les réalisations a eu lieu au château , le vernissage s'est déroulé le vendredi 15 septembre 2017. Une sortie a été organisée le 25 juin 2017 à Moulin (Allier03) au Centre National du costume pour une visite guidée de l'exposition "Modes ! A la ville A la scène".
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Dans le cadre de la mise en place d'une nouvelle ZSP sur la ville de Torcy, un jumelage a été mis en place entre le château de Champs, la Ferme du Buisson (scène nationale), la ville de Torcy/OMAC afin d'inventer des actions spécifiques pour les habitants de ces quartiers et de les rendre autant que faire se peut acteurs des processus culturels.
Le projet porte sur la prise de conscience de la transformation de la silhouette à travers les différentes époques et des modes, sensibilisation au développement durable par le biais des ateliers de fabrication de costumes.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Mise en place d'un comité de pilotage des partenaires impliqués : septembre 2016.
Décembre 2016 1ère réunion de présentation aux habitant du projet participatif : "Avis aux torcéens - L'étoffe des héros".
De février à avril 2017 : Mise en place des ateliers de collectes de matériaux, fabrication des costumes, accompagnées par la Compagnie Cirkatomik.
De février à juin : Ateliers de confection d'accessoires au Château de Champs-sur-Marne (Centre des Monuments Nationaux).
20 Mai 2017 : Spectacle "Le plus grand défilé des Petites Coutures". Se spectacle a associé des habitants et des comédiens de la troupe Cirkatomik
Juin 2017 Visite avec des habitants du Centre National du costume à Moulins.
Du 16 au 8 octobre 2017 : Exposition au Château de Champs de toutes les costumes et accessoires faient par les habitants.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
L'OMAC était uniquement partenaire au niveau de la mobilisation de habitants, mise à disposition du matériel et des locaux.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
6 professionnels et 65 habitants.
- Résultat sur le territoire
Consolider la relation de proximité existant entre les habitants de ces quartiers et les 2 structures culturelles (La Ferme du Buisson et le Château de Champs-sur-Marne)
- Résultat pour le centre social
Consolider la relation de proximité, valoriser les productions des habitants
- Résultat pour les habitants
Sensibilisation au développement durable par le biais des ateliers de fabrication de costumes avec des matériaux de récupération.
- Suite de l'action : Limites
Il a été difficile de mobiliser un nombre d'habitants plus important au regard des objectifs initiaux.
- Suite de l'action : Perspectives
Continuité de l'action avec ces 2 partenaires (La Ferme du Buisson et Château de Champs) pour 2018 et 2019 et mise en place d'un projet artistique avec la Compagnie XTNT. Compagnie travaillant plus particulièrement sur des interventions dans l'espace public.
Actions
Numérisation des Ateliers Sociolinguistiques
- Structure organisatrice
- ESPACE LOUISE-MICHEL - Seine-et-Marne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
En conformité avec les récentes évolutions dans les dispositifs d’accueil des étrangers Primo-arrivants en situation régulière et en parcours d'intégration et des publics adultes migrants en France, il nous a paru nécessaire de concevoir à la mise en place d’une organisation plus adaptée des Atelier Sociolinguistiques de nos Centres Sociaux par la dispense d’un apprentissage plus conforme.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pour permettre aux publics des Ateliers Sociolinguistiques des Centres Sociaux Municipaux de se
- Familiariser avec l’outil informatique pour un accès au numérique en autonomie,
-
Favoriser l’accompagnement à la navigation sur Internet, à la réalisation des démarches en ligne et à l’utilisation de bornes automatiques,
Cette action d’envergure majeure s’inscrit dans le pilier n°4 du Contrat de Ville de Meaux - Valeurs de la République et citoyenneté - en référence à l’une des grandes orientations "Favoriser l’intégration sociale des populations immigrées".
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
La subvention allouée, par les services de l'Etat, pour l’achat de tablettes pour chaque Centre Social des Quartiers Politique Ville, nous a permis la mise en place d’un atelier consacré à l’accès au numérique pour favoriser l’accompagnement à la navigation sur Internet, à la réalisation des démarches en ligne et à l’utilisation de bornes automatiques.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le Budget de l'Action est de : 148316 € dont 30000€ consacrés à la Numérisation des Ateliers Sociolinguistiques des 3 Centres Sociaux Municipaux.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Un groupe de 10 personnes a été mobilisé pour cette action.
- Résultat sur le territoire
Sur le plan pédagogique :
- Permettre l’acquisition de la lecture et de l’écriture basique de la langue française pour faciliter l’autonomie dans la vie quotidienne sur le plan social en favorisant l’insertion sociale et professionnelle des habitants maîtrisant peu la langue française.
- Mettre en place divers ateliers sociolinguistiques numérisésen fonction des difficultés rencontrées par les habitants pour maîtriser convenablement la langue orale et écrite avec un accés à des sites de services publics.
- Apprendre la langue et les codes langagiers et favoriser la connaissance des codes de la société française afin de tendre vers une meilleure insertion dans la société française qui passe notamment par la connaissance des espaces socioéducatifs, culturels et administratifs,
- Résultat pour le centre social
Sur le plan Social :
- Favoriser l’insertion sociale et professionnelle des habitants des quartiers maîtrisant peu ou pas la langue française par l'inclusion numérique,
- Encadrer des sorties pédagogiques ayant pour objectifs de tisser des liens avec l’ensemble des participants et les intervenants des ateliers sociolinguistiques et de confirmer le caractère de pédagogie active des cours dispensés au cours de l’année,
- Permettre aux apprenants de se mouvoir dans la société en toute autonomie avec un accompagnement d'utilisation de l'outil numérique (Tablettes),
- Résultat pour les habitants
Sur le plan Social :
- Favoriser l’insertion sociale et professionnelle des habitants des quartiers maîtrisant peu ou pas la langue française par l'inclusion numérique,
- Encadrer des sorties pédagogiques ayant pour objectifs de tisser des liens avec l’ensemble des participants et les intervenants des ateliers sociolinguistiques et de confirmer le caractère de pédagogie active des cours dispensés au cours de l’année,
- Permettre aux apprenants de se mouvoir dans la société en toute autonomie avec un accompagnement d'utilisation de l'outil numérique (Tablettes),
- Suite de l'action : Limites
L'action s'adresse à des publics ciblés : Les dispositifs d’accueil des étrangers Primo-arrivants en situation régulière et en parcours d'intégration et des publics adultes migrants en France.
- Suite de l'action : Perspectives
Dans la continuité de ce dispositif de Numérisation, l’évolution de cette action est de permettre aux apprenants de ces Ateliers Sociolinguistiques de bénéficier d’un programme de préparation aux examens du Diplôme d'études en langue française (DELF) et du Diplôme Approfondi de Langue Française (DALF).
La préparation de ces examens reposent sur des savoirs, des savoir-faire, des savoir être et des savoir apprendre, présents dans la compétence à communiquer langagièrement sur les plans linguistique, sociolinguistique et pragmatique.
La réussite à ces examens est la reconnaissance de la maitrise de la langue française en vue d’un accès à l'autonomie, par la découverte et l’appropriation de l'environnement social et des règles de vie en France. Enfin d’autres actions complètent ce riche programme, à savoir : Le Maintien de la dynamique de groupe de l’élaboration du Journal « Carnet des ASL » dont l’objectif vise à l’échange de connaissances des uns et des autres, à l’expression et l’acquisition de la confiance en soi,
Le Développement du partenariat avec le Musée de la Grande Guerre en appui sur la Convention qui définit le cadre pour développer des projets culturels et pédagogiques permettant aux publics concernés par les actions de la Direction de l’Action Sociale dont ceux des Centres Sociaux, de découvrir le Musée et sa programmation culturelle.
Ce partenariat vise, également, à sensibiliser les publics concernés à la thématique du premier conflit mondial par la découverte des collections du Musée de la Grande Guerre et grâce à des actions de médiation culturelle sous forme d’animations pédagogiques, culturelles et artistiques,
Le Développement du partenariat avec l’Association « WIMOOV » pour une meilleure connaissance et maitrise de la Mobilité - Déplacements dans les transports en commun dans la Ville de Meaux et en Ile de France, par les apprenants des Ateliers Sociolinguistiques et les usagers du Centre Social,
Actions
Animation du Conseil Citoyen
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIO CULTUREL DE LA BLAISERIE - Vienne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
les objectifs de l’action ?
-
Accompagner les habitants Conseillers Citoyens à participer aux instances relatives au Contrat de Ville.
-
Animer un espace de démocratie de proximité centré sur les préoccupations des habitants.
-
Accompagner des initiatives d’habitants visant la recherche de solutions adaptées à leurs préoccupations.
-
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Soutien au développement du pouvoir d'agir d'un quartier populaire.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Plan d’action depuis le 01/01/2017 :
-
Mobilisation des habitants.
-
Identification des préoccupations collectives des habitants.
-
Information/formation des habitants et mise en relation avec les acteurs locaux et institutionnels.
-
Démarche de projet pour contribuer au changement des situations repérées comme difficiles par les habitants.
-
Structuration de la dynamique.
-
- Ressources financières mobilisées pour cette action
25 000€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
40 personnes
- Résultat sur le territoire
Emergence et résolution de préoccupations collectives locales par les habitants.
- Résultat pour le centre social
Développement d'une posture de "compagnonage" des habitants sur leurs préoccupations.
- Résultat pour les habitants
Capacité d'agir sur leurs préoccupations en bénéficiant des ressources du centre (réseau, stratégie, animation, moyens).
- Suite de l'action : Limites
Besoin de développer le temps d'animation, un 1/3 temps oblige à prioriser avec les habitants les chantiers sur lesquels travailler.
Nécessité pour les institutions d'apprendre à composer avec ce nouvel organe de démocratie participative.
- Suite de l'action : Perspectives
Inscription de l'animation du conseil citoyen et de ses financements publics dans une convention pluriannuelle d'objectif entre le centre et la prefecture.
Actions
L'été à La Vache
- Structure organisatrice
- ALLIANCES ET CULTURES NORD - Haute-Garonne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Evènement de quartier sur le mois de juillet 2017
- Dimension
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- vacances / loisirs
- Résumé
Le Centre Social Alliances et Cultures Nord mène des actions visant à animer le quartier La Vache et à développer le lien social et intergénérationnel par des actions à la fois régulières et ponctuelles. L'été 2017 a été marqué par la fermeture du Centre Social pour travaux. En accord avec les partenaires du quartier et les habitants, cette fermeture a été l'occasion, pour l'équipe du Centre Social de s'installer au sein de la Maison de Quartier La Vache, non utilisée sur juillet-août. L'idée étant que, au-delà d'une simple délocalisation du Centre social, un projet multi-partenarial voit le jour sur le mois de Juillet 2017. Ainsi, le Centre Social a coordonné un projet d'animation, en lien avec le gestionnaire de la Maison de Quartier (Centre d'Animation Lalande), associant les habitants et une trentaine d'associations du territoire. Un financement exceptionnel de 2000 euros a été attribué par la DSCS au centre Social pour la mise en oeuvre de ce projet. Ce projet, très apprécié de tous a touché sur le mois de juillet près de 2000 personnes. Ce projet, qui reste un projet exceptionnel permis par la fermeture du Centre Social a cependant permis d'insuffler une dynamique qui se poursuit désormais sur chaque période de vacances scolaires...
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le quartier La Vache est un quartier peu animé, et un sentiment d'insécurité est ressenti par les habitants autour de la place principale. Une maison de quartier y est implantée et des associations l'occupent durant les périodes scolaires pour des activités peu ouvertes aux habitants du quartier... Le reste du temps cette Maison de quartier est fermée. En parrallèle, le Centre Social Alliances et Cultures Nord, dont l'implantation est située en périphérie du quartier mais qui animait déjà des actions sur la Maison de Quartier, avait en prévision une période de travaux de 4 mois, rendant le Centre Social inaccessible aux usagers.
Les objectifs de la mise en place d'un évènement sur le Quartier La Vache durant le mois de Juillet 2017 étaient donc:
- D'occuper la Maison de Quartier, afin d'animer le quartier La Vache et de le rendre moins "insécurisant"
- De réunir des partenaires autour d'un projet commun, afin d'impulser une dynamique de territoire
- De trouver un lieu d'implantation du Centre Social et de sa ludothèque durant la période de travaux, afin d'éviter la fermeture du Centre Social durant le mois de juillet.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Après la validation de la Mairie pour la réservation de la Maison de Quartier et l'occupation de l'espace public sur l'ensemble du mois de juillet, l''action a débuté au mois de Mars 2017 par la mise en place de réunions partenaires afin de plannifier les actions qui seraient proposées sur Juillet, soit par le Centre Social/ludothèque, soit par les partenaires. Chaque membre de l'équipe était référent d'un ou plusieurs partenaires et en charge de suivre la mise en place et le déroulé des activités proposées. Le Centre d'Animation Lalande, qui gère la Maison de Quartier, a été un partenaire privilégié dans la réalisation de ce projet. Il a notamment permis de faire le lien avec les associations fréquentant la Maison de Quartier durant l'année scolaire.
Le Centre Social a fermé ses portes 1 semaine avant et 1 semaine après afin de permettre le déménagement du Centre social et de sa ludothèque du Centre Social à la Maison de Quartier.
Un bilan a été fait sur la rentrée d'Octobre 2017... Au vu du succès de l'évènement il a été décidé que des associations pourraient désormais proposer des actions durant les vacances scolaires. A la Toussaint, le festival "génération pixels", porté par l'association l'Ecole Citoyenne, a d'ailleurs eu lieu.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
2000 euros finacé par la DSCS pour animer le quartier durant le mois de Juillet
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- L'ensemble de l'équipe du Centre Social et de la lutdothèque, soit 12 personnes qui se relayaient afin de garder l'espace ouvert sur l'ensemble de la journée... même entre 12h et 14h
- Une trentaine de partenaires, soit qui proposaient habituellement des activités sur la Maison de Quartier, soit des partenaires de quartier qui travaillaient déjà avec le Centre social
- Une dizaine d'adhérent/bénévoles, plus implioqués dans le projet
- Résultat sur le territoire
- Un territoire Animé durant tout le mois de juillet, réduisant le sentiment d'insécurité et parfois d'abandon des habitants.
- Des rencontres intergénrationnelles et interculturelles, avec des personnes touchées qui ne fréquentent pas habituellement le Centre Social.
- Une dynamique de territoire, avec un lien renforcé entre les partenaires.
- La poursuite, de moindre ampleur, de cette dynamique une fois l'évènement fini.
- Résultat pour le centre social
- Un Centre Social plus visible
- Un Centre social qui "touche" des habitants généralement plus difficiles à capter
- Un Centre Social reconnu comme animateur de territoire
- Résultat pour les habitants
- Des habitants heureux d'avoir un quartier qui vit
- Des rencontres entre habitants
- La connaissances de ce qui se fait sur leur quartier en dehors de cet évènement (actions des partenaires et du Centre social)
- Suite de l'action : Limites
- Action non reconductible en l'état car pemis grâce à la fermture totale du Centre Social
- Suite de l'action : Perspectives
- Des actions moins chronophages et plus ponctuelles sont désormais prévues sur chaque vacances et pour cet été
Actions
Laïcité, l'Art du bien vivre ensemble
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL MEDIO BANLAY - Nièvre
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Intégration
- discriminations
- Résumé
Nous avons souhaité développer ce projet sur le thème de la laïcité autour de 3 axes stratégiques:
1/ Organisation de 3 CONFERENCES/ DEBATS sur la laïcité qui devra permettre à nos publics de libérer la parole sur des sujets du quotidien difficiles, liés à la pratique ou à la non pratique d'une religion et ce dans le respect et la promotion des valeurs de la république. Il devra également nous permettre de questionner notre identité, nos ressemblances afin de construire une vision commune de l’avenir. A cet effet, nous utiliserons trois supports de travail différents mais complémentaires: le Débat théâtral ("égal à égal") la Réalisation d'un documentaire sur le thème de la laïcité et la Présentation de la charte de la laïcité de la branche famille CAF ainsi que sur la pratique des différentes religions. Le point commun de ces supports de travail sera l'échange et le débat encadré par des animateurs avertis. 2/ FORMATION de nos équipes d'animation. Le but est de leur donner les connaissances et éléments de compréhension nécessaires au positionnement qu’implique la pratique de leur métier sur ce thème. 3/ OBSERVATOIRE: Mobilisation d'un réseau de partenaires autour d'un Collectif laïcité. Ce dernier axe a pour objet de réfléchir, d'analyser les pratiques, de créer des outils d'observation et d'évaluation. Il nous permettra également d'exporter et
d'enrichir les données nationales très peu développées à ce jour, sur le principe de la Laïcité.Ces actions ont débuté en Avril et se sont déroulées sur l’ensemble de l’année jusqu’à fin décembre. Les principaux lieux ont été: Espace Martin LUTHER KING, Espace Stéphane HESSEL, Mairie de Nevers, Préfecture 58, Conseil Départemental 58, Paris.
- 10/04 /17 au 31/12/17, Réalisation Exposition et Documentaire Vidéo
- 15/06/17, le 5/10/17, le 14/12/17, Rencontres Collectif Laïcité.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Précision ( si autre )
- L’enjeu global de ces actions s'articule autour de la finalité du projet social 2016-2019 du Centre Social:
"Développer l'apprentissage du vivre ensemble pour un quotidien solidaire et citoyen". Ce projet développe trois axes essentiels à une meilleure qualité de vie des habitants à Nevers:
- Questionner nos ressemblances, ce qui fait sens pour tous, afin de construire une vision commune de
l'avenir, dans le respect et la promotion des valeurs de la République.
- Favoriser l'inclusion sociale et la socialisation des habitants.
- Renforcer la participation des habitants.- Le Centre Social Médio-Banlay souhaite impulser ce projet sur le principe de Laïcité auprès des jeunes âgés de 14 à 25 ans et des équipes éducatives à l'échelle de la Ville de Nevers. L’objectif est de permettre la rencontre, l'échange, le questionnement, la connaissance et la reconnaissance de chacun autour de ce principe essentiel à la cohésion sociale au sein de notre République.
- Très peu de données, enquêtes, études nous permettent à ce jour d'avoir une représentation significative de la manière dont est vécue la Laïcité en France.
- L’objectif est de permettre la rencontre, l'échange, le questionnement, la connaissance et la
reconnaissance de chacun autour de ce principe essentiel à la cohésion sociale au sein de notre République.
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Après les attentats de 2015, nous avons constaté un repli communautaire des populations et des tensions sous-jacentes entre Français liées à de nombreux amalgames. Le mot laïcité n'a jamais été autant utilisé, sans pour autant qu'il soit maîtrisé par ceux qui l'emploient. Nous observons une forte crise identitaire des adolescents français d’origines étrangères qui se manifeste souvent par le rejet des valeurs Républicaines.
Conduite d'entretiens individuels auprès de 100 jeunes du Banlay qui ont révélé que 78% d'entre eux ont le sentiment d’être stigmatisés par leurs origines culturelles. Réalisation d'une enquête auprès de 80 jeunes des Centres Sociaux de Nevers qui révèle qu'ils ont une méconnaissance importante du principe de laïcité.
1/ Acquérir les repères historiques et juridiques nécessaires à une maîtrise approfondie du principe de laïcité. 2/ Travailler avec les équipes professionnelles sur des cas pratiques répondant aux problématiques du quotidien. 3/ Libérer la parole sur des sujets difficiles. 4/ Associer jeunes et parents dans une démarche participative. 5/ Accompagner les jeunes et leurs parents afin de construire sereinement leur identité de citoyens Français. 6/ Développer les échanges entre acteurs, créer des outils de veille commun sur la laïcité
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
- Organisation de 2 CONFERENCES/ DEBATS: le 6/12/17, Rencontre des Aumôniers Militaires et le 16/12/17, Débat théâtral "égal à égal" par la Compagnie Entrée de jeux. Réalisation d'un DOCUMENTAIRE VIDEO, libérant la parole des citoyens et élus de la République. Réalisation d'une EXPOSITION définissant le principe de Laïcité et diffusion. Création et pilotage d'un COLLECTIF Laïcité/ 10 partenaires/ 3 rencontres.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
23335€ de charges.
Subventions:
-CIEC/ Contrat de Ville: 2522€;
- Nevers Agglomération/ Contrat de Ville: 2000€;
- CAF/ Fonfs Publics et Territoire: 7 996€;
- Conseil Départemental de la Nièvre: 450€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- 112 jeunes, soit 44 garçons et 68 filles, âgés de 11 à 25 ans, dont :
- 65 Adolescents âgés de 11 à 17 ans,
- 47 Jeunes âgés de 18 à 25 ans,
- 90% sont issus du Banlay ou d'autres Quartiers Prioritaires Politique de la Ville.
- 10 Partenaires: CAF, Ville de Nevers, C. Départemental 58, FOL, FDCS 58, PEEP...
- Résultat sur le territoire
- Libération de la Parole sur un sujet sensible, facilitation des échanges et plus grand degré de tolérance de la part de l'ensemble des participants.
- Résultat pour le centre social
- Reconnaissance/ Réseau partenarial sur la thématique Laïcité
- Résultat pour les habitants
- ATTEINTS: Acquérir les repères historiques et juridiques. Libérer la parole sur des sujets difficiles. Associer les jeunes dans une démarche participative. Accompagner les jeunes afin de construire sereinement leur identité de citoyens Français. Développer les échanges entre acteurs
- EN COURS DE TRAVAIL: Travailler avec les équipes professionnelles sur des cas pratiques répondant aux problématiques du quotidien.
- Suite de l'action : Limites
- Soutien financiers des partenaires sollicités sur ce projet en 2018 (CAF/ Fonds Publics et Territoire; Contrat de Ville/ CGET & Nevers Agglomération)
- Suite de l'action : Perspectives
En 2018, nous développerons ce projet autour de 4 axes stratégiques: 1/ Organisation de 4 CONFERENCES/ DEBATS sur la laïcité qui devra permettre à nos publics de libérer la parole sur des sujets du quotidien difficiles, liés à la pratique ou à la non pratique d'une religion et ce dans le respect et la promotion des valeurs de la république. A cet effet, nous utiliserons plusieurs supports de travail complémentaires: le Débat théâtral (Parents), la diffusion d'un documentaire vidéo sur la laïcité réalisé en 2017 par des jeunes du Banlay (Jeunes et Parents), une soirée débat intitulée "la laïcité dans l'assiette" (Elus, Cultes, Parents, Jeunes) et enfin la présentation d'une pièce de théâtre intitulée "Chocolat et Laïcité" (Jeunes et parents). 2/ Réalisation d'un LIVRE/ PHOTOS TEMOIGNAGES (Jeunes et Parents) 3/ FORMATION de nos équipes d'animation. Le but est de leur donner les connaissances et éléments de compréhension nécessaires au positionnement qu’implique la pratique de leur métier sur ce thème. 4/ Pilotage et animation du COLLECTIF LAÏCITE créé en 2017 et rassemblant 12 partenaires issus des institutions, structures d'éducation populaire et représentations cultuelles du département. Ce dernier axe a pour objet d'analyser et questionner les pratiques, d'impulser et de mutualiser des projets, de créer des outils de veille. Enfin, plusieurs temps forts de ce projet seront organisés dans le cadre de la semaine de la Laïcité, en Décembre 2018.
Actions
Actions dans le cadre de la journée internationale des femmes (mois de mars) et dans le cadre de la lutte contre l'élimination des violences à l'égard des femmes (novembre)
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL BELLEFONTAINE - LAFOURGUETTE - Haute-Garonne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- discriminations
- Résumé
Coordination des actions territoriales de Bellefontaine / Lafourguette par le centre social de Bellefontaine / Lafourguette
Au mois de mars et de novembre : élaboration d'un programme commun avec des temps forts sur l'espace public et temps d'échanges sur une thématique, à l'intérieur
Formation sur les violences faites aux femmes, animée par le planning familial 31 et Occitanie
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Plusieurs partenaires associatifs ou institutionnels menaient des actions, sans coordination, sur le même territoire. Le centre social a été sollicité pour coordonner ces actions et permettre une lisibilité des actions.
Résultats attendus :
* amélioration de la communication
* travail en commun, partage de l'informations et des ressources
* création d'un réseau
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
L'action a démarré en janvier 2017
Coordination par le centre social : invitations aux réunions, animation des réunions, rédactions des comptes-rendus. Travail de transversalité : liens avec les services de Toulouse Métropole, les associations hors quartiers, les services de l'Etat.
Elaboration d'outils de communication.
Analyse des besoins et développement d'actions pour y répondre
Mise en réseaux, création d'un maillage territorial et d'un maillage communal
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Les salariés du structures, des institutions et des services
Financement de la formation par la Préfecture
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
20 professionnels associatifs ou institutionnels
- Résultat sur le territoire
Permettre la discussion, l'échange sur des sujets sensibles, difficiles
Rompre l'isolement des personnes concernées par ces questions. Outiller les habitants qui pourraient venir en aide
Former les professionnels pour mieux comprendre le cycle de la violence, mieux repérer les signes, mieux accompagner les victimes
- Résultat pour le centre social
Centre social repéré comme pilote sur cette question.
Connaissance et identification des structures ressources
- Résultat pour les habitants
Repérage des partenaires grâce à l'élaboration d'outils de communication.
Meilleure écoute des professionnels
- Suite de l'action : Limites
Comment toucher les personnes victimes de violences et isolées?
Comment améliorer l'accueil des personnes victimes de violences lorsqu'elles vont déposer plainte?
- Suite de l'action : Perspectives
Développement d'actions inter-quartiers avec le quartier de Reynerie :
* formation sur les violences faites aux femmes en commun
* actions en direction des habitants en commun
Actions
accès à l'habitat de familles des gens du voyage
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ITINERANT LA VERDINE - Rhône
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Logement
- Précarité
- discriminations
- Résumé
action de relocalisation de l'habitatd'une viongtaine de menages actuellement sur un terrain provisoire dégradé pour acceder a un habitat aux normes sur des communes de la communauté de communes co porteuse du projet
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Autre
- Précision ( si autre )
le centre socialLa verdine, la communaut de communes
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
situation de bidonville
travail sur les représentations de l'habitat
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
comité de pilotage qui suit les travaux du groupe d'animaltion operationnelle
- Ressources financières mobilisées pour cette action
14000 eros
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
une dizaine de pofessionnels et les habitants cncernés
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
peu d'impact le centre social est un centre social itinerant
- Résultat pour les habitants
relogement
- Suite de l'action : Limites
inclusion sociale sur le territoire si resolution des effets des regards discriminants
- Suite de l'action : Perspectives
definition des projets par commune
demarrage du prmeier projet pour un menage et cinq enfants.
Actions
Prévenir l'implication des plus jeunes dans les trafics
- Structure organisatrice
- MAISON POUR TOUS MONPLAISIR - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
Une recherche-action a été réalisée à la demande du groupe Jeunesse du quartier de Monplaisir d’Angers constitué depuis 2007 à l’initiative de la Maison pour tous (MPT) et de l’Association pour la sauvegarde de l’enfance et de l’adolescence (ASEA). Une demande qui relaie les questionnements des professionnels qui interviennent auprès de jeunes impliqués dans le trafic de drogues : comment établir un climat de confiance avec eux sans que cela soit perçue comme une forme d’acceptation du trafic ? Quelle part peut prendre la prévention ? Cette recherche-action a produit une lecture plus fine du trafic de drogues et a permis de construire un cadre éthique d’intervention qui permette aux professionnels de la proximité d’être mieux aidants vis-à-vis de ces jeunes, et de leur proposer des alternatives fortes et crédibles. Elle s’inscrit dans le cadre d’une sociologie clinique du travail qui repose sur le principe de la coopération entre chercheurs et professionnels sur le terrain même de la production des connaissances afin de gagner en puissance d’agir individuelle et collective. Les participants inscrivent leur activité professionnelle dans des champs divers (EN, TS, animation, insertion, médiation, justice), travaillent dans des cadres institutionnels divers (ASEA, SAEMO, MPT, MDS, Ville, régie de quartier, école élémentaire, collèges, lycées, Mission locale et PJJ), rencontrent les jeunes à différents moments de leur parcours dans le trafic. Ils ont en commun d’être déstabilisés dans leur pratique par l’irruption de ce trafic et surtout un positionnement éthique, le fait de ne pas s’en accommoder. Chacun a pu s’autoriser à poser une parole authentique parce qu’il savait que les autres partageaient des difficultés semblables aux siennes mais aussi parce qu’il était conscient de ce qu’il pouvait apprendre en échangeant avec eux sur les pratiques et les positionnements.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
La démarche ici proposée s’inscrit dans le cadre d’une sociologie clinique du travail qui repose sur le principe de la co-construction des savoirs, de la coopération entre chercheurs et professionnels sur le terrain même de la production des connaissances ; cela, afin de gagner en puissance d’agir individuelle et collective.
L’entretien collectif répété avec retour a constitué l’outil privilégié. Le fait de répéter les rencontres permet de créer la confiance nécessaire à la mise en oeuvre d’une démarche reposant d’abord sur la prise de parole. Le fait de faire retour entre deux séances de travail aux participants de ce qu’ils ont dit et des mises en perspectives et analyses des chercheurs favorise leurs postures réflexives.Le volontariat et l’engagement de ne pas sortir du groupe ce qui s’y dit sans l’accord de tous ont constitué ses principales règles. Leur respect a conditionné sa poursuite.
Enfin, la composition du groupe est décisive. Les participants inscrivent en effet leur activité professionnelle dans des champs divers comme ceux de l’Education nationale, du travail social,de l’animation, de l’insertion, de la médiation, de la justice… Ils appartiennent à des culturesprofessionnelles différentes et notamment à des cultures éducatives différentes (Education nationale, Education spécialisée, Education populaire…). Ils travaillent dans des cadres
institutionnels divers : l’Association de sauvegarde de l’enfance (ASEA49) ; Maison pour tous (MPT) de Monplaisir ; Maison départementale des solidarités (MDS) ; Ville ; régie de quartier ;école élémentaire Voltaire ; collège Jean Lurçat ; lycée (Henri Dunant, Emmanuel Mounier), Mission locale et PJJ… Ils rencontrent les jeunes à différents moments de leur parcours dans le trafic. Certains les rencontrent alors même qu’ils n’y sont pas engagés mais courent le risque de l’être ; d’autres dès leurs premiers pas en tant que guetteurs ; d’autres, encore, alors qu’ils y sont installés en tant que revendeurs, parfois même enkystés ; d’autres, enfin, alors qu’ils sont sous main de justice. Certains sont plutôt dans la prévention de l’implication dans le trafic ; d’autres
dans la réduction des risques ; d’autres, enfin, dans la prévention de la récidive. Mais ils ont tous en commun d’être déstabilisés dans leur pratique par l’irruption du trafic et surtout un positionnement éthique, le fait de ne pas s’en accommoder. Chaque professionnel, dans ce groupe, a pu s’autoriser à poser une parole toujours plus authentique parce qu’il savait que les autres partageaient des difficultés semblables aux siennes et exprimaient, comme lui, un fort désir de les surmonter mais aussi parce qu’il était conscient de tout ce qu’il pouvait découvrir et apprendre en échangeant avec eux sur les pratiques et les
positionnements. Le sens a ainsi cheminé au travers de tout ce qui, dans les paroles des uns et des autres, se faisait écho, entrait en résonnance, avait pouvoir d’évocation, donnait lieu à association d’idées.
La coordination de la recherche action a été assurée par la MPT Monplaisir et l’ASEA 49.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Ecrivain public
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL PARTAGE FAOURETTE - Haute-Garonne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Emploi, économie
- Santé
- Résumé
Cet adulte relais inscrit son travail de médiation dans les différents espaces pouvant accueillir des permanences de l’écrivain public (Mairie annexe de Bagatelle, Partage Bordelongue, la chapelle mexicaine de Tabar,…) afin d’être au plus près des habitants du territoire
- Elle informe les publics accueillis sur les dispositifs existants en matière de formation, de santé, de logement, d’accès à l’emploi, de culture, de sports et oriente vers les différentes structures associatives ou institutionnelles du territoire
- Elle informe et accompagne les habitants dans leurs démarches d’accès aux droits et facilite le dialogue entre services publics et usagers.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Précision ( si autre )
La Sous-Préfecture à la ville, la Mairie de Toulouse
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Depuis 2015, le territoire ne disposait plus d'écrivain public. Le besoin s'est fait ressentir dans nos accueils par un aflux de plus en plus grand de personnes recherchant une aide pour la rédaction de courriers, administratifs etc...
Les résultats attendus sont d'apporter une réponse aux besoins des habitants concernant leurs difficultés, notamment au niveau des courriers administratifs, et plus généralement sur la question de l'accès au droit des habitants
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Cette action a été mené en concertation avec les différentes institutions financant le projet, à savoir, la Mairie de Toulouse, la CAF de la Haute Garonne et la Sous-Préfecture de la Haute Garonne ( Celle-ci ne le finance pas directement mais nous a octroyé un agrément pour un poste en contrat aidé Adulte Relais). Il y eu globalement 4 réunions de travail.
En concertation également avec des structures partenaires du territoire, en l'occurence le Centre Social CAF-Mairie de Bagatelle afin de mettre en place les différents lieux de permanences de l'écrivain public pour être au plus près des habitants. ( Deux réunions de travail ont été organisées)
L'action a débuté effectivement le 05 avril 2017.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le budget de l'action est de 31 600 €.
Mairie de Toulouse: 6 000 €
CAF Haute Garonne: 4 500 €
ASP:: 18 300 €
Conseil Régional ( Adulte Relais): 2 800 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 Ecrivain public à Temps plein: 1 ETP
- Résultat sur le territoire
Une amélioration de l'offre de proximité en terme d'accès au droit sur le territoire
- Résultat pour le centre social
Possibilité d'amener des réponses plus larges aux différents adhérents de Partage
- Résultat pour les habitants
Disponibilité de proximité par rapport à leurs besoins
- Suite de l'action : Limites
L'action est en continuité du fonctionnement du Centre social. Elle est relative néanmoins aux différentes garantis de subvention couvrant les charges de ce poste, mais aussi à la possibilité d'avoir une permanisation de ce poste (hors contrat aidé) conditionnée par des financements le permettant
- Suite de l'action : Perspectives
Nous projetons de continuer cette action du fait de la forte demande existante sur le quartier
Actions
Chantier d'insertion :" T'Lien3"
- Structure organisatrice
- Centre Social "VILLE PLURIELLE" Place Neruda Allende - Meurthe-et-Moselle
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- Résumé
Le chantier d'insertion T'Lien 3 propose 3 pôles surpports (Pôle autour du linge, Pôle entretien en collectivité et Pôle épicerie sociale) pour permettre à un public rencontrant des difficultés socioprofessionnelles, mais motivé dans sa volonté d'aller vers l'emploi de dépasser ses freins et d'acquérir une palette de compétences transférables sur un projet professionnel validé. Un accompagnement technique et socio professionnel adaptés autour qu'un réseau de partenaires permettent de traiter les problématiques globalement. Il accueille 12 salariés en insertion
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le Centre Social Ville Plurielle s’inscrit depuis de nombreuses années dans une politique d’insertion sociale. A l’écoute du public féminin dans le cadre des ateliers « Point Femmes » (fonctionnant depuis octobre 1995), nous avons très vite été sensibilisés aux difficultés d’accès à l’emploi liées au marché du travail sur le secteur pour une part, mais aussi aux nombreux obstacles personnels qui tiennent les intéressées très éloignées de la réalité du travail.
Plusieurs réflexions poussées et différentes propositions innovantes s’appuyant sur un partenariat d’acteurs locaux n’ont pas aboutit. Cependant l’association à continué de se développer : l’évolution du vestiaire social avec l’acquisition de nouveaux locaux, l’ouverture en juin 2013 d’une « boutique sociale », la mise en place d’un Dispositif Local d’Accompagnement autour de la création d’une épicerie sociale et solidaire nous ont amené à la proposition d’un nouveau projet ACI.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Validé par la DIRECCTE (Direction Régionale des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l'Emploi), le projet a démarré au 1er octobre 2015, avec le recrutement d’un accompagnateur socioprofessionnel et la mise en place de l’Atelier Chantier d’Insertion (ACI) T’Lien3 qui a pour support d'apprentissage 3 pôles :
Un pôle autour du linge (récupération, tri, entretien et vente.
Un pôle autour de l’entretien (en collectivité, petites réparations),
Un pôle autour d’une épicerie sociale (récupération de marchandise, gestion de stocks, mise en rayons, vente). Les salariés en insertion découvrent ces différents terrains d'apprentissages et développent des savoir-faire et savoir-être indispensables pour envisager l'accès à l'emploi.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget global : 372100€
Subventions : 214650€ (Villes : 37250€ / Conseil départemental : 26200€ / Etat :136200 / CAF : 10000 / ANDES : 5000)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Pour 12 salariés en Insertion
Secrétariat : 0,06 ETP
Compta : 0,09 ETP
Directeur : 0,06 ETP
Chef de Service : 0,18 ETP
Encadrement technique 3 personnes : Linge/Epicerie : 0,6 ETP /Entretien en collectivité : 0,5/ Epicerie : 0,3
Accompagnement socio professionnel 1 personne : 0,42
Bénévolat : 4 personnes : 0,40 ETP
- Résultat sur le territoire
Dynamique locale
Développement de l'emploi
Développement d'un partenariat avec les entreprises et les collectivités
Echanges de pratiques et mutualisation de formations entre SIAE
- Résultat pour le centre social
Développement de l'emploi
Evolution dans l'organisation du service
Développement des compétences
- Résultat pour les habitants
Lien social,
Accès à tous à la boutique des Solidarités (vêtements vendus entre 1,2 et 3,2 euros)
+Possibilité de s'impliquer dans une action solidaire (en faisant don des vêtements ne servant plus),ce qui permet le fonctionnement des postes autour du linge et donc la formation et l'accompagnement des personnes en insertion.
+ Impact sur l'environnement : Limitation des déchets grâce au recyclage et la valorisation des déchets (confection de chiffon)
- Suite de l'action : Limites
Les résultats de l'action en matière de travail dépendent beaucoup de l'offre d'emploi et des employeurs prêts à s'investir. Certain public bien que motivé est parfois très éloigné et ne parvient pas malgré l'accompagnement dispensé à développer toutes les compétences nécessaires pour décrocher la formation ou l' emploi espéré, cependant, nous faisons le choix d'accueillir aussi ces personnes pour qui le chantier peut apporter du lien social et une valorisation précieuse.
- Suite de l'action : Perspectives
Le chantier d'insertion est encore jeune, nous souhaitons bien sûr maintenir et développer les activités autour des différents pôles, élargir le réseau de partenaires, mais aussi affiner son fonctionnement global et les compétences de chacun afin de répondre toujours plus efficacement au besoin du public.
Actions
Lutte contre toute forme de radicalisation à travers la pratique artistique
- Structure organisatrice
- MJC Centre Social Petite-Hollande - Doubs
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Précision ( si autre )
En partenariat avec les Centres Sociaux et les Municipalités du Pays de Montbéliard
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Bilan projet Inter-quartier 2016/2017
Il est tout d'abord nécessaire de préciser que le projet a démarré réellement, compte tenu des réponses de subventions, en novembre 2016. Il se déroule jusqu'en juin 2017. Ce projet a la particularité d'avoir une dimension territoriale importante, car il concerne cinq villes et plus précisément cinq quartiers du Pays de Montbéliard. Nous avons Sochaux, Etupes, Audincourt, Valentigney et Montbéliard.
La première étape a permis d’aborder le diagnostic, le projet, ses finalités, ses objectifs, son déroulement avec les structures et les équipes éducatives de chaque ville. Il fallait pour entamer l’action, l’adhésion de tous. Non seulement des équipes qui agissent directement sur le terrain auprès d’un public adolescents et jeunes adultes, mais aussi de leur hiérarchie. Il fallait aussi tenir compte du contexte local de chacun, des moyens humains de chacun et des idées nouvelles qui apparaissaient lors de l’explication du projet.
Cette condition, qui est la compréhension et l’adhésion de tous à ce projet était une démarche fondamentale et indispensable avant de démarrer les ateliers et donc concrètement le projet avec le public 15/25 ans.Trois rencontres avec l’ensemble de ces partenaires, mais aussi les partenaires financiers, pour l’une d’entre elles ont été indispensables avant le démarrage des ateliers.
C’est ainsi, dans les meilleures conditions possibles car chacun s’est approprié le projet et a communiqué avec son public respectif, que nous avons démarré les ateliers artistiques avec les jeunes.
Le premier RV a donc eu lieu sur un week-end entier, et plus exactement sur 10 heures, le week end du 28 et 29 janvier 2017.
Ces deux journées ont été pour nous l’occasion de faire connaissance, d’expliquer, d’entendre les envies et les besoins des jeunes. Il a été ensuite l’occasion de renter dans le vif du sujet en sensibilisant tous les jeunes aux disciplines artistiques que sont, le théâtre, la vidéo, l’écriture et la musique.
Chacun des participants a suivi une initiation à ces pratiques lors d’ateliers de découvertes animés par des intervenants artistiques locaux.
21 jeunes de 15 à 25 ans été présents durant le week-end dont :
9 filles et 12 garçons.
Les 15/17 ans étaient au nombre de 11.
Les 18/25 ans au nombre de 10.
Nous constatons aussi que les profils et le parcours des jeunes n’est pas homogène et permet des échanges d’expériences dans la pratique artistique mais aussi dans les parcours de vies respectives, forts intéressants.
La difficulté fût de s’adresser à des jeunes d’horizons et dans des réalités sociales différentes (collégiens, lyciens, étudiants ou au chômage). Pour se faire, nous avons dû travailler ensemble sur la notion de projet afin en amenant tout un chacun a réfléchir sur le projet collectif et sur leur projet individuel (formation, professionnel ou artistique)
Ce stage de deux jours a permis un échange fructueux et a établi une confiance entre les jeunes, entre les jeunes et les encadrants qu’ils soient artistiques ou éducatifs. Ce moment d’écoute de la parole des jeunes et le fait de tenir à la fois compte de leur besoin individuel et de tenter de l’inscrire dans une démarche collective a permis d’établir une confiance dés le démarrage du projet et cela a permis le développement du projet dans des conditions sereines.
Il est a noté que pour le rassemblement du 10 mars 2017, nous demandions à chacun des jeunes de ramener dans le projet, une personne de leur entourage.
Suite à ce premier stage, les jeunes ont choisi une discipline artistique qu’ils pratiqueront jusqu’au terme du projet, c’est à dire la création d’un spectacle commun associant chacune des pratiques artistiques citées ci dessus.
Entre le 10 Mars et fin Juin 2017, les jeunes se sont retrouvés trois heures par semaines les vendredis soirs (soit un environ 40 heures). Mais aussi sur un stage intensif (3 fois 6 heures) durant les vacances de printemps et deux fois durant des week-end de juin.
Plusieurs constats :
-
Tous les jeunes présents lors du premier rassemblement sont présents encore aujourd’hui. Il n’y a donc aucune défection :
Il y a même durant le deuxième rassemblement du 10 mars 2017, douze nouveaux participants en plus. Ceci nous ramène donc à 33 jeunes de 15 à 25 ans qui participent de manière régulière à ce projet. Il est important de noter qu’autour de ces jeunes 11 autres jeunes se sont greffés à la démarche. Ils participent de manière moins régulière car ils ont des rôle différents mais complémentaires à la création du spectacle. En effet, certains travaillent sur la création musicale du spectacle, d’autres sur la création vidéo et d’autres encore sur l’aspect technique (sonorisation, lumière, etc…).
Ce projet a pris une dimension inter-quartiers ceci grâce à la participation intense de chacun des interlocuteurs de terrain, avec le jeunes. « Le bouche à oreille » a ensuite très bien fonctionné et nous connaissons tout au long de ce projet un enthousiasme important de la part des participants. Le suivi des animateurs de chacune des villes est un élément fondamental. Il permet de rappeler les horaires et lieux de répétition. Il permet aussi d’écouter et de faire remonter le sentiment et les besoins des jeunes. Ces derniers se sentent ainsi complètement partie prenante du projet, non seulement sur l’aspect artistique et la création d’un spectacle, mais aussi, sur tout ce qui tourne autour du projet. C’est à dire la participation à l’organisation des rassemblements, la participation à des manifestations qui se déroulent sur les quartiers (fêtes de quartier, spectacles, rassemblements) ou encore la communication avec les parents et les autres jeunes des quartiers. Cette dimension participative est un marqueur important de l’action.
A noter la présence d’une animatrice Sonia …. Qui de part son investissement et sa présence assure la mixité de l’équipe pédagogique ainsi qu’une meilleure intégration des publics féminins.
La réalité sociale des jeunes nous a poussé à choisir les vendredis soirs et les week –end pour nous rassembler. En effet, ce fût l’une des difficultés d’un tel projet car afin de réunir l’ensemble des publics (étudiants, salariés etc.), il nous a fallut nous adapter.
-
Il existe une motivation perceptible :
L’indicateur de cette motivation est d’abord, l’assiduité. On aurait pu craindre avec le nombre important de jeunes adultes qui ont parfois du mal à se projeter même à court terme, un manque de discipline par rapport à l’assiduité aux séances de répétition. Cela n’a pas été le cas. Comme nous l’indiquons ci dessus, l’assiduité aux répétitions et aux rassemblements ainsi que le travail qui avait à fournir entre les répétitions, a globalement été respecté. L’autre indicateur qui celui-ci est encore plus important est la participation à toutes les phases de la création du spectacle (improvisations, prise de parole critique, écriture, mise en scène, mise en musique etc.). L’équipe éducative et les intervenants artistiques ont défini une pédagogie où les jeunes sont au centre du projet de création. Nous les accompagnons, nous les guidons, nous les conseillons et nous les motivons. Mais à aucun moment nous faisons à leurs places. Ils sont les instigateurs, les inspirateurs mais aussi les créateurs et les acteurs d’une création collective. La motivation que l’on perçoit objectivement de manière nette et remarquable est du au fait que nous avons réussi à ce que ce projet devienne leur projet.
Il faut aussi souligner le fait que les jeunes se retrouvent aussi en dehors des ateliers. En effet, bien qu’issue de villes différentes, ils se retrouvent pour travailler ensemble ou partager un moment de vie. Ces rencontres ont permis à leurs amis et à leur entourage de se rencontrer. Beaucoup ont invités des proches à assister aux ateliers.
-
La création du spectacle se met en chemin :
La démarche a été la suivante.
Tout d’abord, le groupe a dû définir une direction artistique et d’un personnage central. Ils ont choisi une cabine téléphonique.
Ensuite, par petit groupe, ils ont créé des improvisations autour de cette cabine. Une sélection a permis de garder les meilleures propositions et de passer à la phase d’écriture. Enfin, il a fallut attribuer les rôles à chacun et aborder les personnages de façon plus précise.
A ce jour, le groupe a créer un spectacle composée de 5 pièces et aborde la question de la mise en scène. Nous allons désormais y intégrer de la musique, de la danse et une partie vidéo projetée.
Un groupe de pilotage s’est constitué afin d’assurer d’une part la promotion et la diffusion de leur spectacle intitulé : LA CABINE. (2 jeunes étudiantes en communication issues du groupe assurent ce travail) et d’autre part la communication en interne du groupe via un groupe facebook et instagram sur les réseaux sociaux.
-
L’accompagnement, par les professionnels, des projets individuels des jeunes. :
Il faut souligner l’implication de l’équipe pédagogique dans l’orientation et l’accompagnement des jeunes dans leur projet individuel. En effet, 3 participants (dont une fille) ont trouvé un emploi grâce au « réseautage » et à la motivation maintenu par la dynamique de groupe.
De plus, deux jeunes ont entrepris les démarches auprès de la mission locale afin d’intégrer une école de théâtre à la rentrée 2017, le théâtre « du fil » à Paris. Ils ont été accompagnés financièrement pour leur premier entretien qu’ils ont réussis avec succès.
Un jeune déscolarisé a décidé de reprendre ses études en septembre 2017.
-
La participation de parents :
Il nous faut souligner la participation des parents. En effet, certains jeunes venaient avec leurs parents qui les déposaient. Nous avions prévu un moment d’accueil autour d’un café de 18 h à 19 h chaque vendredi en début d’atelier. Ce moment a permis à des parents d’assister aux séances. Ils ont ensuite participés en apportant des gâteaux ou en prenant des photos qu’ils nous ont envoyées. Cette ouverture aux parents a été bénéfique pour le groupe car elle a permis de rassurer et d’apaiser un groupe dynamique et nombreux.
-
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
CF Bilan ci dessus
- Ressources financières mobilisées pour cette action
ompte rendu Financier Projet 15/25 Projet Inter quartier 2016/2017
Charges
Prévisionnel
Réalisé au 15/03/2017
Prévisions dépenses jusqu’au 30/06/2017
Produits
Prévisionnel
Obtenu
-Achat matériel
et fourniture :
(Achat de matériel
pour les ateliers)
- rémunération intermédiaire et honoraire
- Déplacements missions
- Rémunération du personnel
- Assurances
2 000
8 775
500
14 000
225
800
3 510
200
5 600
90
1200
5265
300
8400
135
- Ministère de la Jeunesse
Et des Sports
- Communes
- CAF du Doubs
- Part. MJC petite Hollande
10 000
14 000
2000
8 000
14 000
2 000
Totaux
26 000
10 400
15 600
Totaux
26 000
26 000
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
Cf Bilan ci dessus
- Résultat pour le centre social
Travail en réseau avec d'autres structures associatives et institutionnelles.
Affirmation de la notoriété de la MJC (tête de réseau).
- Résultat pour les habitants
- Mixité des jeunes issus de chaque quartier
- Suite de l'action : Limites
Contrainte financière
- Suite de l'action : Perspectives
- Nouvelle création artistique
- le 1er spectacle qui tourne dans l'ensemble de l'agglomération et ensuite dans le département
- Echange Européen