Les actions des centres sociaux
Actions
Local jeunes 16/25 ans : un lieu de sociabilité pour tous les jeunes adultes
- Structure organisatrice
- MAISON POUR TOUS MONPLAISIR - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Démocratie & citoyenneté
- Intégration
- Résumé
Le local jeunes est un espace implanté en dehors de toute institution pour accueillir les jeunes adultes de 16 à 25 ans dans un quartier populaire où un tiers de la population vit sous le seuil de pauvreté. Il est ouvert du mardi au samedi en périodes scolaires et du lundi au vendredi en périodes de vacances scolaires de 17h00 à 22h00. Le local jeunes est un espace aménagé pour bien accueillir les jeunes (bar, canapé, baby-foot, jeux de société) qui s'adapte au temps des jeunes (ouverture encore plus tardive en fonction des demandes).
L'équipe d'animation composée de trois professionnels met en place un service d’aide : documentation, mise en relation avec des institutions et des partenaires, aide à la recherche d’emploi, de stage, de formation, ou d’orientation.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Autre
- Précision ( si autre )
Suite à des demandes récurrentes de jeunes qui lui étaient formulées en vue de bénéficier d’un lieu dédié dans le quartier de Monplaisir, la Ville d’Angers s’est engagée à créer un espace pour les 16/25 ans dans ce quartier en 2008.
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le projet du Local jeunes s'inscrit dans un projet de développement local, complémentaire et cohérent avec l’offre existante :
- Favoriser la mixité entre jeunes (sociale et de genre)
- Promouvoir la participation des jeunes
- Capter des publics « NEET »/«hors-circuit » dans le but de les inscrire dans des parcours d’insertion sociale et professionnelle en lien avec les différents acteurs jeunesse
La commande de la Ville exprime, dans le cahier des charges, cet objectif d’accueil en lui attribuant trois modalités opérationnelles :
- « Être ouvert aux différentes jeunesses du quartier.
- Leur permettre de se rencontrer de façon informelle.
- Être adapté aux temps des jeunes. L’accueil doit être souple, sans inscription obligatoire, il doit être organisé en fonction des besoins et réalités locales. »
A ces trois modalités de mise en œuvre du local jeunes, s’ajoute la recherche de visibilité dans la mesure où il s’agit aussi de remettre les jeunes au cœur du quartier. Le Local jeunes a ainsi été implanté le long d'une artère de communication importante. Le lieu a vocation à accueillir tous les jeunes du quartier, sans exception, dans une optique d’« espace de sociabilité ».
- Public
- Jeunes adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Suite à des demandes récurrentes de jeunes qui lui étaient formulées en vue de bénéficier d’un lieu dédié dans le quartier de Monplaisir, la Ville d’Angers s’est engagée à créer un espace pour les 16/25 ans dans ce quartier en 2008.
A l’été 2009, un appel à projet dans le cadre d’un marché public à procédure adapté (MAPA) a été lancé par la Municipalité en vue d’en confier la gestion et l’animation à un opérateur. La Maison pour tous de Monplaisir (MPTM) a répondu à l'appel à projet et s’est vue confier la gestion et l’animation de ce nouveau lieu.
Le local jeunes a officiellement ouvert ses portes en novembre 2010 pour une expérimentation d’un an. Il a ensuite été reconduit dans sa phase expérimentale. En 2016, à la fin de la phase expérimentale, la gestion du local jeunes a été intégré à la Covention Pluriannuelle d'Objectifs de la Maison pour tous.
Le local jeunes est doté de deux instances de gouvernance : l’une chargé du pilotage du projet et l’autre du suivi de sa mise en œuvre. Le comité de pilotage réunit les élus de la Ville et de la Maison pour tous. Il a pour a pour objectif de faire le bilan de l’activité du local, prendre des décisions quant à ses orientations et son financement et opérer, le cas échéant, des arbitrages. Le comité technique représente l’instance opérationnelle de la mise en œuvre du projet du local jeunes. Il a pour objectif le suivi et la régulation des activités qui y sont menées. Le comité technique réunit les acteurs suivants : Maison pour tous, Direction jeunesse de la Ville, Association pour la Sauvegarde de l’enfance et l’Adolescence (ASEA), le chef de projet du pôle de territoire de la Ville, la Mission Locale Angevine (MLA). Dans cette instance, les animateurs proposent un retour de leur activité et de leur expérience, présentent ce qui pose question ou problème et le mettent en débat.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
100.200 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 professionnels (Conseiller ESF, Moniteur-éducateur, animateur socio-culturel)
- Résultat sur le territoire
Les 180 jeunes qui fréquentent le local durant l'année sont majoritairement des garçons âgés de 16 à 22 ans. Près d'un tiers de ces jeunes sont des jeunes "hors-circuit". Les filles sont très marginales. Nombreux sont les témoignages recueillies au niveau de l’évaluation pour faire part de la baisse des tensions dans les espaces publics, aujourd’hui plus apaisé grâce au local jeunes.
- Résultat pour le centre social
Le local jeunes a permi à la Maison pour tous d'élargir son offre et de retisser du lien avec un public de jeunes adultes. Elle peut désormais intégrer des jeunes adultes aux activités intergénérationnelles qu'elle mène sur le territoire.
- Résultat pour les habitants
Les jeunes qui le fréquentent l’apprécient avant tout en tant que lieu de sociabilité avec différents « services » : café, baby foot, télé, presse. La présence des animateurs leur offre un repère et donne parfois du sens à leur présence :
« C’est comme un petit café où on est posé. On peut discuter, s’amuser, c’est une zone de rencontre. Ici, ce qu’il y a de plus, c’est le dialogue avec les animateurs, on peut même échanger entre nous, on fait des débats. Ici, on a l’esprit ouvert : on discute, on échange des idées. » (Jeune de 22 ans).
Les jeunes utilisent également l'appui des animateurs pour un soutien dans leurs parcours scolaires ou professionnels.
- Suite de l'action : Limites
Depuis plusieurs années, aux côtés des formes traditionnelles d’accueil (dans le cadre d’actions programmées), on constate une montée en charge progressive de nouveaux modes d’accueil : non formels, informels. Aujourd'hui, le non formel est quasi intégré comme un mode d'intervention au cœur des pratiques du Local jeunes mais le projet éducatif dans lequel il s'inscrit est encore à faire évoluer.
- Suite de l'action : Perspectives
La configuration des locaux pose quelques problèmes et ne facilite pas toujours la tâche des animateurs au quotidien. Dans cette perspective, et en s'appuyant sur l'expertise d'usage de la Maison pour tous, un nouveau lieu d'accueil est envisagé dans le cadre de la rénovation urbaine du quartier.
Actions
Permanence d'aide administrative
- Structure organisatrice
- MAISON POUR TOUS MONPLAISIR - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Précarité
- Résumé
Une permanence d'accueil ouverte à tous, permet l'écoute et la compréhension des actes à réaliser pour faciliter une réponse pratique à des problématiques diverses (ex :demande de logement social, demande d'aide juridictionnelle, demande d'allocation, courrier avocat, orientation des structures spécialisées, obtention d'un rendez-vous auprès d'un travailleur social, information sur des dispositifs d'aide...).
Cette permanence accueille les habitants sans rendez-vous sur plusieurs quartiers de la Ville d'Angers. Elle est encadrée par un agent de formation juridique avec de l'expérience. En 2014, 1342 entretiens ont été réalisés.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La ville d'Angers accueillant de nombreuses personnes issues de l'immigration, logées dans des quartiers de logement sociaux (quartiers en Politique de la Ville notamment) très touchés par la crise, économique et sociale, il est devenu nécessaire d'accompagner les habitants à travers un service d'accueil de proximité.
Cette action permet de soutenir les services institutionnels en proposant aux usagers de ces services un déchiffrage des formulaires ou des démarches nécessaire pour leur permettre d'accéder à leurs droits et apporter des réponses pratiques à leurs problématiques personnelles afin de faciliter leur intégration sociale.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
L'action a été mise en oeuvre en 2011 suite à la réflexion des partenaires institutionnels (CAF, Conseil Départemental, Préfecture, Commune, Centre Social). Ces partenaires se retrouvent deux fois par an au sein d'un Comité de Pilotage de l'action pour accompagner sont développement et sa pérennisation.
La réussite de l'action a été possible par le profil et l'expérience du titulaire du poste et par la qualité des relations avec les partenaires.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le coût des permanences d'aide administrative est principalement le coût du salarié en charge des permanences soit 33.000 € dont 25.000 € financés par la Politique de la Ville (Commune, CAF, Conseil Départemental).
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 professionnel
- Résultat sur le territoire
Dimension de facilitateur inter-services auprès des partenaires, rôle de médiation en plus des activités de production d’écrits, informations et orientations. Souplesse de la saisine des permanences grâce à leur situation géographique et à l’accès sans rendez-vous qui permet une auto-régulation et un report le cas échéant sur les autres sites.
- Résultat pour le centre social
Reconnaissance par les habitants de la qualité du service apporté.
Intérêt de la mutualisation de compétences au sein des Maisons de quartier au profit des habitants conformément à leurs missions en particulier pour celles qii sont agrées « Centre social ».
- Résultat pour les habitants
Les permanences ont permis de répondre aux besoins exprimés et aux personnes de trouver une réponse a leurs préoccupations: déblocage de situations administratives et de la vie courante, obtention de droits suite à la constitution de dossier et l'exercice de recours. Renforcement de l'autonomie du public. Amélioration de la compréhension des situations : 75% des habitants qui fréquentent les permanences ont une autonomie faible ou très faible. Beaucoup cumul des difficultés subies : insuffisante maîtrise de la langue (écrit, lecture), compréhension insuffisante des situations personnelles, difficultés financières sévères.
Les permanences participent à une meilleuire cohésion sociale sur le quartier.
- Suite de l'action : Limites
Cette action est financée uniquement sur les subventions de la Politique de la Ville.
- Suite de l'action : Perspectives
Recherche de financement pour la péreniisation de la l'action.
Actions
Prévenir l'implication des plus jeunes dans les trafics
- Structure organisatrice
- MAISON POUR TOUS MONPLAISIR - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
Une recherche-action a été réalisée à la demande du groupe Jeunesse du quartier de Monplaisir d’Angers constitué depuis 2007 à l’initiative de la Maison pour tous (MPT) et de l’Association pour la sauvegarde de l’enfance et de l’adolescence (ASEA). Une demande qui relaie les questionnements des professionnels qui interviennent auprès de jeunes impliqués dans le trafic de drogues : comment établir un climat de confiance avec eux sans que cela soit perçue comme une forme d’acceptation du trafic ? Quelle part peut prendre la prévention ? Cette recherche-action a produit une lecture plus fine du trafic de drogues et a permis de construire un cadre éthique d’intervention qui permette aux professionnels de la proximité d’être mieux aidants vis-à-vis de ces jeunes, et de leur proposer des alternatives fortes et crédibles. Elle s’inscrit dans le cadre d’une sociologie clinique du travail qui repose sur le principe de la coopération entre chercheurs et professionnels sur le terrain même de la production des connaissances afin de gagner en puissance d’agir individuelle et collective. Les participants inscrivent leur activité professionnelle dans des champs divers (EN, TS, animation, insertion, médiation, justice), travaillent dans des cadres institutionnels divers (ASEA, SAEMO, MPT, MDS, Ville, régie de quartier, école élémentaire, collèges, lycées, Mission locale et PJJ), rencontrent les jeunes à différents moments de leur parcours dans le trafic. Ils ont en commun d’être déstabilisés dans leur pratique par l’irruption de ce trafic et surtout un positionnement éthique, le fait de ne pas s’en accommoder. Chacun a pu s’autoriser à poser une parole authentique parce qu’il savait que les autres partageaient des difficultés semblables aux siennes mais aussi parce qu’il était conscient de ce qu’il pouvait apprendre en échangeant avec eux sur les pratiques et les positionnements.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
La démarche ici proposée s’inscrit dans le cadre d’une sociologie clinique du travail qui repose sur le principe de la co-construction des savoirs, de la coopération entre chercheurs et professionnels sur le terrain même de la production des connaissances ; cela, afin de gagner en puissance d’agir individuelle et collective.
L’entretien collectif répété avec retour a constitué l’outil privilégié. Le fait de répéter les rencontres permet de créer la confiance nécessaire à la mise en oeuvre d’une démarche reposant d’abord sur la prise de parole. Le fait de faire retour entre deux séances de travail aux participants de ce qu’ils ont dit et des mises en perspectives et analyses des chercheurs favorise leurs postures réflexives.Le volontariat et l’engagement de ne pas sortir du groupe ce qui s’y dit sans l’accord de tous ont constitué ses principales règles. Leur respect a conditionné sa poursuite.
Enfin, la composition du groupe est décisive. Les participants inscrivent en effet leur activité professionnelle dans des champs divers comme ceux de l’Education nationale, du travail social,de l’animation, de l’insertion, de la médiation, de la justice… Ils appartiennent à des culturesprofessionnelles différentes et notamment à des cultures éducatives différentes (Education nationale, Education spécialisée, Education populaire…). Ils travaillent dans des cadres
institutionnels divers : l’Association de sauvegarde de l’enfance (ASEA49) ; Maison pour tous (MPT) de Monplaisir ; Maison départementale des solidarités (MDS) ; Ville ; régie de quartier ;école élémentaire Voltaire ; collège Jean Lurçat ; lycée (Henri Dunant, Emmanuel Mounier), Mission locale et PJJ… Ils rencontrent les jeunes à différents moments de leur parcours dans le trafic. Certains les rencontrent alors même qu’ils n’y sont pas engagés mais courent le risque de l’être ; d’autres dès leurs premiers pas en tant que guetteurs ; d’autres, encore, alors qu’ils y sont installés en tant que revendeurs, parfois même enkystés ; d’autres, enfin, alors qu’ils sont sous main de justice. Certains sont plutôt dans la prévention de l’implication dans le trafic ; d’autres
dans la réduction des risques ; d’autres, enfin, dans la prévention de la récidive. Mais ils ont tous en commun d’être déstabilisés dans leur pratique par l’irruption du trafic et surtout un positionnement éthique, le fait de ne pas s’en accommoder. Chaque professionnel, dans ce groupe, a pu s’autoriser à poser une parole toujours plus authentique parce qu’il savait que les autres partageaient des difficultés semblables aux siennes et exprimaient, comme lui, un fort désir de les surmonter mais aussi parce qu’il était conscient de tout ce qu’il pouvait découvrir et apprendre en échangeant avec eux sur les pratiques et les
positionnements. Le sens a ainsi cheminé au travers de tout ce qui, dans les paroles des uns et des autres, se faisait écho, entrait en résonnance, avait pouvoir d’évocation, donnait lieu à association d’idées.
La coordination de la recherche action a été assurée par la MPT Monplaisir et l’ASEA 49.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
MSAP - Accompagnement accès au droit
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIO-CULTUREL RIVES DE LOIRE - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Mise en place d'une Maison de Service Au Public au sein du centre socioculturel afin de développer l'accès au droit des habitants avec le développement de permanences de partenaires (CAF, CPAM, Mission Locale, CAP Emploi, conciliateur de justice, Stemo, MDS: assistante sociale et puériculturice, et autres partenaires); accompagnement des habitants dans les démarches administratives dématérialisées (cartes grises, permis de conduire etc...) mise en place d'initiation au numérique pour lutter contre la fracture numérique.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Maintenir la présence de partenaires sur le territoire, favoriser l'arrivée de nouveaux partenaires permettant de proposer une offre globale d'accès au droit pour les habitants du territoire
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Prise de contact avec tous les partenaires possibles pour déterminer avec eux les formes de partenariats et d'interventions possibles.
Etude avec la Préfecture de l'éligibilité du territoire à la création d'une MSAP.
Présentation au conseil municipa du projet
Demande de reconnaissance de MSAP effectuée auprès de la Préfecture.
Formation des salariées du centre par les partenaires
- Ressources financières mobilisées pour cette action
43700 euros
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 salariées du centre ont été formées par les parenaires pour donner un premier niveau de réponses aux habitants
- Résultat sur le territoire
Maintient et développement de nouvelles permanences de partenaires sur le territoire dans les locaux du centre. Cela permet une offre globale de services pour les habitants
- Résultat pour le centre social
Augmentation forte de la fréquentation du centre. Accueil d'un nouveau public qui ne serait pas forcément venu au centre autrement.
- Résultat pour les habitants
Un ensemble de services accessibles aux habitants regroupés dans un lieu unique.
- Suite de l'action : Limites
le nombre de services proposés, les compétences à acquérir par les salariés dans des domaines très divers (de la carte grise au dossier d'inscription en Ehpad); des inconnus sur la pérennité et le montant des financements de l'Etat;
- Suite de l'action : Perspectives
Proposer des permanences sur rdv de la MSAP dans les différentes communes du territoire pour accompagner les habitants
Actions
Terrain d'aventure
- Structure organisatrice
- CENTRE JACQUES TATI - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- développement durable
- Mixité sociale
- Résumé
Le Terrain d'Aventure est un lieu d'accueil libre, ce qui signifie sans inscription et qui donne la liberté à
l'enfant de venir idéalement lorsqu'il le souhaite. A travers des activités telles que la construction, la
réalisation d'un jardin potager, la création dans des ateliers divers (bois, récupération, terre), l'enfant
développera des notions de respect à l'environnement, de socialisation, de citoyenneté, de solidarité et
d'autonomie.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Ce projet est né en 2018, avec une première réflexion et expérimentation, à partir de plusieurs constats
sur le quartier. Une première phase de test de 5 jours a été programmée fin juillet 2018. Durant tout le
mois de juillet, des salariés de différents secteurs du Centre Jacques Tati et des CEMEA ont préparé
cette semaine d’expérimentation. Le projet a véritablement vu le jour en 2019 avec l'accueil du terrain
d'aventure sur une durée d'un mois et demi, avec plus de 1000 fréquentations du lieu. Le projet a été très
bien accueilli par les habitants et les objectifs pédagogiques ont été remplis. Ces constats positifs ont
amené à une volonté de poursuivre le projet en 2020.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
55000
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
5 professionnels, 10 bénévoles
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Tiers lieu numérique
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL HORIZON - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- Intégration
- Mixité sociale
- Résumé
La finalité du projet consiste en la création d’un « tiers lieu » dédié au numérique de type « Fablab ». Celui-ci s’étalera sur l’ensemble du projet social 2021/2024.
Un « tiers lieu » est un espace convivial où les habitants peuvent se rencontrer, se réunir, échanger de façon informelle. Il permet l’expression de la solidarité, le partage libre de ressources, de compétences et de savoirs et est source d’innovations sociales. Celui que nous souhaitons mettre en place sera essentiellement tourné vers le numérique.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Le numérique prend aujourd’hui une place de plus en plus centrale dans l’organisation et la transformation de la société. Cette « transition numérique » est perçue comme une opportunité de développer de nouveaux outils au service de tous. Cependant le numérique peut-être facteur d’exclusion s’il y a une absence d’accompagnement dans les usages. On évalue en France que 13 millions de personnes rencontrent des difficultés avec le numérique.
- Cette « transition du numérique » est accélérée par l’ambition gouvernementale d’une dématérialisation à 100% des démarches administratives à l’horizon 2022. Cette échéance donne un coup d’accélération à la nécessité d’une médiation numérique pour accompagner tous les individus dans ce nouveau modèle de société.
- La fracture numérique se mesure tant d’un point de vue de l’outil, que de l’usage. Il ne suffit pas de pouvoir se payer un ordinateur et une connexion internet, mais aussi d’être capable de s’en servir.
- L’utilisation d’Internet révolutionne notre mode de fonctionnement quotidien, les moyens de communiquer, les liens sociaux. Il en découle des questions de prévention : quelles sont limites, comment utiliser les applications Internet de façon lucide, à partir de quand passe-t-on trop de temps devant les écrans… ? Ces questions se posent principalement pour le jeune public.
- La fracture numérique entraine l’exclusion sociale. Faire ses démarches administratives, inscrire ses enfants à des activités sportives, payer la cantine scolaire…avec la multiplication des démarches en ligne et la dématérialisation des services publics, avoir accès à internet est indispensable. Pourtant les freins sont nombreux et pour beaucoup de personnes, la barrière de la langue pour les personnes d’origine étrangère, l’âge, la situation économique, sont autant de facteurs discriminants.
- Le confinement que nous venons de vivre récemment, démontre l’importance du numérique dans la communication avec nos proches, mais également avec les institutions.
- Nous avons régulièrement des demandes d’habitants pour leurs démarches administratives, faire un CV, imprimer des documents reçus depuis leur smartphone.
- Les seniors qui fréquentent le Centre Social sont très demandeurs pour apprendre à utiliser leur ordinateur. Comment envoyer des mails, comment envoyer ou lire les photos envoyées par la famille, comment naviguer sur le net… ? Ils ont également certaines appréhensions avec l’outil numérique, peur de se faire pirater, peur de ne pas savoir l’utiliser correctement.
- Les enfants que nous accueillons dans le cadre du CLAS notamment ne sont pas tous équipés d’ordinateurs à la maison. Cela creuse les inégalités et l’accès à l’apprentissage.
- Les familles qui fréquentent le Centre Social exprime ne pas être à l’aise avec l’informatique. Les causes les plus souvent exprimées :
La méconnaissance de l’informatique, la complexité des sites : les sites qui se ressemblent (j’ai des difficultés à trouver le bon site), les mots de passe pour chaque compte, le blocage des comptes, la difficulté des tâches numériques, peur de perdre le réseau, ne pas avoir le bon matériel numérique, ne pas avoir un outil informatique, ne pas maîtriser la longue française, le langage administratif est difficile.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Dans un premier temps, nous allons mettre en place une quinzaine autour du numérique pour sensibiliser nos différents publics (enfants, jeunes familles, seniors) à l’usage numérique. Celle-ci est programmée en avril 2021 soit une semaine avant les vacances scolaires de printemps et la première des vacances. Cela dans le but de pouvoir travailler en amont avec les écoles et pour donner envie aux familles de venir sur la deuxième semaine.
Tout au long de ces deux semaines, nous allons proposer différents ateliers de découverte des soirées débats, des conférences, dont les contenus sont encore en cours d’élaboration. Ce projet est travaillé conjointement avec les Centres Sociaux Pasteur et le Verger de Cholet.
Quelques exemples toutefois d’ateliers que nous pourrions proposer :
-
- Accès aux droits et démarches administratives
- Découverte de l’outil numérique
- Découverte des logiciels libres
- Découverte des métiers liés au numérique
- Modélisation 3D
- Imprimante 3D
- Casques de réalité virtuelle
- Robotique
- Logiciels libres
- Brodeuse numérique
- Découpe laser
- Visite culturelle virtuelle
- Jeux vidéo
- Vidéo/audiovisuel
- Effets spéciaux
- Codage
- Liseuses numériques
- Conférences/débats…
-
- Ressources financières mobilisées pour cette action
en cours
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 salarié médiateur numérique
Une commission numérique composée de 5 bénévoles
- Résultat sur le territoire
Réduction de la fracture numérique
Développement des liens sociaux sur le quartier
- Résultat pour le centre social
Placer le Centre Social comme un acteur incontournable dans l'accompagnment des publics vers le numérique
- Résultat pour les habitants
Avoir un lieu ressources pour les démarches adminstratives et l'accès au numérique
- Suite de l'action : Limites
Pérennité des financments pour le poste du salarié
- Suite de l'action : Perspectives
Inscrire l'action dans la durée
Actions
DEMOS
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL JEAN VILAR ANGERS - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Culture
- Mixité sociale
- Résumé
DEMOS est un projet de démocratisation culturelle centrée sur la pratique musicale en orchestre
Le projet s’adresse à des enfants de 7 à 12 ans habitant en QPV
Chaque enfant se voit confier durant 3 ans un instrument de musique
-Encadré par des professionnels de la musique (Conservatoire à Rayonnement Régionnal) et du champ social, (Réferente famille et animateur.rice famille du Centre Jean Vilar) il suit 3 à 4 heures de cours par semaine en moyenne
et retrouve une fois par mois les autres enfants du même territoire pour une répétition en orchestre (« tutti »)
-Un grand concert est organisé en fin d’année dans un lieu emblématique du territoire.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Autre
- Précision ( si autre )
Philharmonie de Paris
Caisse d'allocation familiale du Maine et Loire
Les familles
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les impacts sociaux et familiaux
Le développement personnel de l’enfant:
Evolution de la relation des enfants aux apprentissages (capacité d’attention, concentration, goût de l’effort, rigueur et assiduité)
Confiance en soi (regards positifs portés par les familles, encadrement éducatif, valorisation des enfants)
Respect de l’autre (empathie au travers du vécu partagé, socialisation)
Le soutien à la parentalité et à la famille:
Les parents sont de véritables acteurs du projet > introduction de l’instrument à la maison
Approche sensible en permettant aux parents de venir à des ateliers
L'accompagnement de l'équipe famille du CJV
Repérer les enfants sans le filtre de la réussite scolaire mais plus en quoi cette dynamique d’ouverture culturelle peut prendre sens pour l’enfant et sa famille, aider l’enfant dans son parcours de vie, son inscription dans un groupe, partager une identité quartier avec les autres quartiers de la ville au titre d’un projet commun
-Faire le lien entre ce qui se passe dans les ateliers et la famille
- Faire de Démos un soutien à la fonction parentale
- Public
- Enfance
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
Equipements majeurs du territoire, le Centre Social Jean Vilar est:
-par le pacte de coopération, les maisons de quartier/ La Ville/ La CAF reconnaissent:
Etre un acteur éducatif en complémentarité avec les autres acteurs de l’éducation et au premier rang desquels la famille
- en accompagnant les familles dans la fonction de parent, à travers les loisirs, l’action culturelle, en soutien à la parentalité,
- en faisant vivre l’éducation populaire dans sa dimension d’émancipation, en donnant les moyens à tous, tout au long de la vie, de s’épanouir et de vivre pleinement sa citoyenneté
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
conseil citoyens
- Structure organisatrice
- Maison de quartier de Saint Nicolas - Mayenne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Mise en place d'un conseil citoyens piloté par la centre social ,en corrélation avec les directives de la nouvelle politique de la ville (processus validation des actions du contrat de ville).
Au total 25 habitants participent au sein du collège habitants et 3 associations de quartier+ le bailleur et 2 institutions locales dans le collège institution.
les actions; mise en place d'une charte + réglement et des commissions cadre de vie, communication pour mieux appréhender le lien social et le relation avec les habitants sur le quartier de st nicolas.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Démarrage en septembre 2017
- Ressources financières mobilisées pour cette action
5000€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
25 habitants + 3 associations + 3 institutions locales
- Résultat sur le territoire
pilotage participatif de la politique de la ville sur le territoire pour une meilleure prise en compte des attentes et besoins des habitants dans l'élaboration des programmes actions du contrat de ville et de la rénovation urbaine
- Résultat pour le centre social
une nouvelle dynamique de mobilisation et de participation effective des habitrants et notamment de nouvelles personnes qui ne gravitaient pas au niveau du centre social
- Résultat pour les habitants
sentiments du meilleure prise en compte de leurs attentes et besoins et fort sentiment de reconnaissance à travers cette instance (relation avec les services du préfet)
- Suite de l'action : Limites
calendrier des réalisations opérationnelles un peu ou trop long pour les habitants
adéquation et équilibre entre les attentes des habitants et celles des institutions (Etat et contrat de ville en particulier)
- Suite de l'action : Perspectives
Inscrire cette particpation habitante dans la durée et la faire "grandir" et valoriser auprès des autres habitants du territoire
Actions
Chantier d'insertion :" T'Lien3"
- Structure organisatrice
- Centre Social "VILLE PLURIELLE" Place Neruda Allende - Meurthe-et-Moselle
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- Résumé
Le chantier d'insertion T'Lien 3 propose 3 pôles surpports (Pôle autour du linge, Pôle entretien en collectivité et Pôle épicerie sociale) pour permettre à un public rencontrant des difficultés socioprofessionnelles, mais motivé dans sa volonté d'aller vers l'emploi de dépasser ses freins et d'acquérir une palette de compétences transférables sur un projet professionnel validé. Un accompagnement technique et socio professionnel adaptés autour qu'un réseau de partenaires permettent de traiter les problématiques globalement. Il accueille 12 salariés en insertion
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le Centre Social Ville Plurielle s’inscrit depuis de nombreuses années dans une politique d’insertion sociale. A l’écoute du public féminin dans le cadre des ateliers « Point Femmes » (fonctionnant depuis octobre 1995), nous avons très vite été sensibilisés aux difficultés d’accès à l’emploi liées au marché du travail sur le secteur pour une part, mais aussi aux nombreux obstacles personnels qui tiennent les intéressées très éloignées de la réalité du travail.
Plusieurs réflexions poussées et différentes propositions innovantes s’appuyant sur un partenariat d’acteurs locaux n’ont pas aboutit. Cependant l’association à continué de se développer : l’évolution du vestiaire social avec l’acquisition de nouveaux locaux, l’ouverture en juin 2013 d’une « boutique sociale », la mise en place d’un Dispositif Local d’Accompagnement autour de la création d’une épicerie sociale et solidaire nous ont amené à la proposition d’un nouveau projet ACI.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Validé par la DIRECCTE (Direction Régionale des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l'Emploi), le projet a démarré au 1er octobre 2015, avec le recrutement d’un accompagnateur socioprofessionnel et la mise en place de l’Atelier Chantier d’Insertion (ACI) T’Lien3 qui a pour support d'apprentissage 3 pôles :
Un pôle autour du linge (récupération, tri, entretien et vente.
Un pôle autour de l’entretien (en collectivité, petites réparations),
Un pôle autour d’une épicerie sociale (récupération de marchandise, gestion de stocks, mise en rayons, vente). Les salariés en insertion découvrent ces différents terrains d'apprentissages et développent des savoir-faire et savoir-être indispensables pour envisager l'accès à l'emploi.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget global : 372100€
Subventions : 214650€ (Villes : 37250€ / Conseil départemental : 26200€ / Etat :136200 / CAF : 10000 / ANDES : 5000)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Pour 12 salariés en Insertion
Secrétariat : 0,06 ETP
Compta : 0,09 ETP
Directeur : 0,06 ETP
Chef de Service : 0,18 ETP
Encadrement technique 3 personnes : Linge/Epicerie : 0,6 ETP /Entretien en collectivité : 0,5/ Epicerie : 0,3
Accompagnement socio professionnel 1 personne : 0,42
Bénévolat : 4 personnes : 0,40 ETP
- Résultat sur le territoire
Dynamique locale
Développement de l'emploi
Développement d'un partenariat avec les entreprises et les collectivités
Echanges de pratiques et mutualisation de formations entre SIAE
- Résultat pour le centre social
Développement de l'emploi
Evolution dans l'organisation du service
Développement des compétences
- Résultat pour les habitants
Lien social,
Accès à tous à la boutique des Solidarités (vêtements vendus entre 1,2 et 3,2 euros)
+Possibilité de s'impliquer dans une action solidaire (en faisant don des vêtements ne servant plus),ce qui permet le fonctionnement des postes autour du linge et donc la formation et l'accompagnement des personnes en insertion.
+ Impact sur l'environnement : Limitation des déchets grâce au recyclage et la valorisation des déchets (confection de chiffon)
- Suite de l'action : Limites
Les résultats de l'action en matière de travail dépendent beaucoup de l'offre d'emploi et des employeurs prêts à s'investir. Certain public bien que motivé est parfois très éloigné et ne parvient pas malgré l'accompagnement dispensé à développer toutes les compétences nécessaires pour décrocher la formation ou l' emploi espéré, cependant, nous faisons le choix d'accueillir aussi ces personnes pour qui le chantier peut apporter du lien social et une valorisation précieuse.
- Suite de l'action : Perspectives
Le chantier d'insertion est encore jeune, nous souhaitons bien sûr maintenir et développer les activités autour des différents pôles, élargir le réseau de partenaires, mais aussi affiner son fonctionnement global et les compétences de chacun afin de répondre toujours plus efficacement au besoin du public.
Actions
Espace Numérique d'Accueil
- Structure organisatrice
- Centre Social "VILLE PLURIELLE" Place Neruda Allende - Meurthe-et-Moselle
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Précarité
- Résumé
Développer et doter l’accueil du Centre Social d’un outil numérique encadré.
Objectifs opérationnels : Permettre un accès numérique aux droits au plus grand nombre et notamment aux usagers qui en sont le plus éloignés en établissant un planning d'accueil "ouvert" au quotidien et sur rendez-vous. Accompagner les usagers dans leurs démarches administratives numériques de façon individuelle mais aussi collective.. Leur permettre d’être rapidement autonomes dans leurs démarches. développer le réseau des partenairessources d'accès aux droits pour tous et notamment les plus éloignés du droit commun et de la dématérialisation administrative.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L'action a été mise ne oeuvre suite aux fermetures successives des permanences "sociales" hébdomadaires organisée dans les locaux du centre par les partenaires tels que la CAF, le Conseil Départemental, CCAS,... puis de la borne CAF.
En effet, le fait que la population, depuis des années, puisse rencontrer un travailleur social une fois par semaine, la paupérisation de la population, la dématérialisation et la territorialisation ont d'abord créer des habitudes puis fait exploser le besoin d'accès aux droits.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
L'accueil numérique d'accueil s'organise comme suit : un accueil "ouvert" au secrétariat au quotidien pour des contacts courts - trois demi-journées (3 à 4 heures) de permanences les mardis et mercredis après-midis et les vendredis matins pour des contacts plus longs et sur rendez-vous. A cela s'ajoute 3 permanences de 2 heures les mardis et jeudis après-midis et le vendredi matin sur le site de l'épicerie sociale et enfin, des rencontres, selon les besoins, pour les salariés du chantier d'insertion. Une borne informatique avec une imprimante est à la disposition du public dans l'entrée du Centre social. Un espace équipé de portables et d'une imprimante est par ailleurs dédié aux interventions pour les collectifs. L'information a été communiquée aux partenaires. Des Flyers et des affiches sont disponibles chez les partenaires et dans le Centre Social. 3 à 4 professionnelles accueillent les usagers; Nos deux secrétaires, une CESF et accompagnatrice socio pro du chantier d'insertion. A noter également la mise en oeuvre d'une permanence hebdomadaire au CIAS de Jarny depuis décembre 2019
L'action a débuté en juin 2018.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
27860 Euros, financés à 42% par la CAF, 12 % par la municipalité, le solde en autofinancement.
Les contributions volontaires sont évaluéesà 3000€ (MàD de locaux)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
4 salariées sur un peu plus de 18h hebdomadaires.
- Résultat sur le territoire
Un maillage d'accès aux droits qui tend à toujours davantage de proximité.
Dynamisme partenarial.
Animation de réseau et passage d'information.
- Résultat pour le centre social
Elargissement du réseau de partenaires.
Un outil supplémentaire au service des populations.
Un moyen "d'accroche" et/ou de réponses pour les usagers les plus fragiles.
Elément de lecture et de décryptage des problématiques des usagers.
- Résultat pour les habitants
La préservation, voire le développement du contact humain et personnalisé à l'instar de la matérialisation systématique des démarches administratives et d'accès aux droits.
Une plus grande proximité.
Des réponses personnalisées
- Suite de l'action : Limites
La difficulté à ce que chacun des partenaires engagés sur des action ssimilaires respecte les prérogatives et les savoir-faire des autres.
L'accès à l'autonomie des publics.
permettre un développement d'actions pour des collectifs d'usagers.
- Suite de l'action : Perspectives
Au regard du vécu de ce projet, nous convenons qu’il y a dorénavant lieu de nous appuyer sur la dynamique enclenchée auprès des usagers et leurs habitudes dorénavant prises pour nous solliciter. Nous devons par conséquent faire en sorte de « développer le maillage partenarial de territoire et y devenir un lieu ressource que les partenaires pourront à la fois identifier et en faire la promotion ». Ce développement devra prendre en compte les spécificités des autres partenaires et autres lieux existants tels que le PIMS à Joeuf ou encore le RAID, par exemple. Nous défendrons l’idée de complémentarité et de relais auprès des autres partenaires selon les cas et les demandes.
Actions
"Accès aux droits et lutte contre la fracture numérique"
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL CAF LA CLAIRIERE - Meurthe-et-Moselle
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- discriminations
- Résumé
A. Une réponse individuelle et bienveillante:
La vigilance particulière du Centre Social à la qualité de l'accueil permet une première étape indispensable pour identifier les besoins spécifiques de chaque personne et y apporter une réponse adaptée de premier niveau.
- Un accueil de premier niveau
Le Centre Social est un lieu ouvert assurant un accueil individuel et bienveillant pour permettre au plus grand nombre de pouvoir réaliser des démarches administratives en étant accompagnés. Créer un tel lieu d'accueil permet aux personnes de trouver une écoute et une ouverture qui peut être une première entrée pour certains publics vers une démarche accompagnée pour l'accès aux droits.
La présence de jeunes volontaires en mission de service civique missionnés par la CAF 54 permet de recevoir les personnes et de leur apporter une réponse immédiate une aide concrète dans la réalisation de démarches en ligne. Un accompagnement à l'utilisation de la borne Caf est également proposé pour les personnes qui le souhaitent (plus de 100 personnes passent chaque mois pour imprimer une attestation)
Des permanences hors des murs de notre structure sont également assurées avec d’autres volontaires services civiques du territoire pour aller vers les publics qui ne viennent pas au Centre Social:
- expliquer un courrier
- donner des informations sur les différentes prestations
- aider les personnes à remplir des formulaires (demande de logement social, demande de CMUC…).
Démarche :
- Pédagogie rendant la personne actrice (faire avec et non pas faire à la place) .
- Ecoute et décryptage du besoin.
- Explication simple et claire avec un vocabulaire accessible à tous.
- Vérification de la bonne compréhension par la personne des explications données ou des démarches réalisées ou à réaliser.
2) A la suite de ce premier accueil individualisé, orientation possible vers :
- Un accès accompagné sur les outils informatiques du centre social (télé-déclarations, création ou accès à sa messagerie, inscription à pôle emploi, recherche internet.)
- Un accompagnement approfondi en cas de difficultés d’accès aux droits par le travailleur social référent de l’action, qui aura une vigilance particulière sur les situations complexes et la recherche de solutions.
- Une réorientation et une mise en lien avec les partenaires adéquats en fonction de la problématique identifiée.
B. Des actions collectives pour impulser un parcours et acquérir une plus grande autonomie :
Une meilleure connaissance de ses droits:
- Mise en place de temps d'informations réguliers sur des démarches de droits plus élargies en réactivité à l'actualité, intervention de partenaires extérieurs, en lien avec les personnes participants à d'autres activités du Centre Social et avec les partenaires territoriaux.
- Création et diffusion d'outils récapitulatifs simples permettant une compréhension par nos publics des différents types de démarches administratives auxquelles ils pourraient être confrontés.
La facilitation numérique:
- Mise en œuvre de deux modules de formation à l’outil informatique. Le premier s’adresse à des personnes qui n’ont aucune connaissance en informatique, le second à des personnes ayant déjà quelques notions. Les groupes sont constitués en fonction du niveau de compétences nécessaire des personnes présentes et des pré-requis indispensables (langue, écrit, vocabulaire.).
L’objectif de ces ateliers est d’acquérir les principes de base de l’outil informatique et de l’accès à Internet pour pouvoir réaliser des démarches en ligne en autonomie.
Au niveau du contenu, il y a une présentation théorique minime qui aborde l’essentiel de la séance (construit après recueil des besoins des participants) avec des mots simples, une mise en pratique, un outil récapitulatif à emmener chez soi. Les ateliers informatiques sont animés par un volontaire en service civique, la Conseillère en ESF référente et /ou un bénévole pour pouvoir accompagner les personnes de manière plus personnalisée lors de la pratique.
- Pour faciliter la réappropriation des savoirs acquis pendant la formation, les participants ont la possibilité de s’exercer sur les ordinateurs du Centre Social de manière individuelle.
C. Travail de partenariat :
Contribution avec les partenaires territoriaux de l'expérimentation « Accès aux droits du Plateau de Haye », pour continuer à:
- Travailler en collaboration et faciliter la résolution des situations complexes grâce notamment à la nomination de « Référents accès aux droit » dans les différentes institutions.
- Communiquer, mieux informer pour permettre une visibilité des différentes actions proposées sur le territoire afin de faciliter l'accès aux droits du plus grand nombre d’habitants du territoire.
- « Aller vers » un public qui ne fait pas appel aux institutions :
Sortir de la structure, mobiliser éventuellement d'autres services civiques du territoire ayant des missions similaires, mutualiser ou diversifier nos actions pour permettre d'aller à la rencontre des habitants. Temps de présence hebdomadaire des services civiques à l'extérieur de Centre Social à la mairie de quartier pour aller au-devant d'habitants, compléter et soutenir les accueils existants.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L’aide à l’accès ou au maintien des droits et l’usage de l’outil numérique sont devenus indissociables dans un contexte de développement accéléré de la simplification des démarches administratives.
Les formalités de la vie quotidienne sont de plus en plus marquées par l’obligation d’avoir une adresse email et de faire des démarches sur un compte personnel en ligne. Que ce soit pour suivre le versement de ses prestations, ses remboursements de santé, son compte en banque, ses factures d’énergie ou de téléphone, pour rechercher un emploi ou encore passer son permis de conduire, il devient indispensable d’avoir accès à un outil numérique et de savoir l’utiliser.
Si pour 80% de personnes, il s’agit réellement d’une simplification, une minorité en situation de précarité risque de se trouver dans l’impossibilité d’accéder à ses droits voire même d’avoir une existence sociale.
Il s’agit, d’une manière générale, d’accompagner un public qui rencontre des difficultés, perdu dans les méandres administratifs de par leur non compréhension ou de par leur négligence.
En tout état de cause, quel que soit leur problématique, ce qui les motive à franchir la porte du centre social c’est d’abord pour recevoir une écoute, avoir la possibilité de se sentir épaulés pour enfin être rassuré en faisant seul.
La mise en confiance est primordiale comme la capacité à savoir renseigner sans prendre la place des gens ni faire à leur place ou répondre à la pression.
Ces temps de rencontredoivent permettre aussi de pouvoir approcher les inquiétudes, calmer le jeu, être en position de tiers. L’accueil demeurant avant tout : une affaire d’équipe.
Outre des réponses à des questionnements individuels des publics qui ont interpellé l’équipe, la mise en œuvre de cette action permet d’apporter des éléments d’analyse sur les besoins des habitants et sur les modalités d’action à proposer sur la thématique de l’accès aux droits.
Les problématiques relevées dans ce domaine sont :
- Une évolution du contexte administratif : La modification des modalités d’accueils physiques et téléphoniques des institutions et une réorientation quasi systématique sur des sites internet dédiés.
- Une précarité accentuée des publics accueillis qui entraîne une certaine instabilité des situations sociales, familiales et professionnelles, ce qui multiplie le nombre de démarches à effectuer à chaque changement de situation administrative.
- Un accès limité à l’outil informatique du fait d’un manque d’équipement (seuls 24% des publics reçus dans le cadre de l’accès aux droits déclarent avoir accès à un ordinateur à domicile pour réaliser des démarches en ligne), une acquisition de nouvelles connaissances ou savoir-faire rendue difficile par une impossibilité de pratiquer, mais aussi une utilisation limitée en raison d’une méconnaissance de l’outil informatique et un manque de confiance en soi dans la réalisation des démarches numériques.
- Une méconnaissance des droits, une difficulté à trouver les renseignements et à réaliser des démarches administratives, une difficulté de compréhension de la logique administrative française pour des personnes arrivant de l’étranger notamment.
Pour certaines personnes des facteurs aggravants s’ajoutent :
- La non-maîtrise de la langue française (incompréhension face à des courriers administratifs aux termes techniques et parfois peu explicites de la part des administrations françaises)
- Des problématiques de santés entrainant des difficultés à l’utilisation des outils numériques : problème de vue, handicap moteur, difficulté de mémorisation, difficultés cognitives…
A noter : Dans le cadre du Plan pluriannuel contre la pauvreté et pour l’inclusion sociale, le Centre Social est engagé avec les institutions et d’autres partenaires de terrain du quartier politique de la ville Plateau de Haye dans une expérimentation sur le chantier « Accès aux droits ».
Dans le cadre des échanges partenariaux de cette expérimentation, nous pressentons le non-recours aux droits d’un nombre certain de personnes éloignées des structures.
S’il est difficile d’en évaluer la quantité, nous souhaitons trouver ensemble des solutions pour aller vers ses personnes et leur donner la possibilité d’avoir toutes les informations et l’accompagnement nécessaires à l’ouverture de leurs droits.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Cette action est conduite de manière transversale en s'appuyant sur l'ensemble des secteurs du centre social.
Notre action permet surtout d’offrir un accueil et une écoute bienveillante à de personnes ayant besoin d’être accompagnées et épaulées dans leurs démarches administratives.
Afin d’accompagner au mieux les habitants, deux jeunes volontaires en Service Civique et un bénévole, avec le soutien de la Conseillère en Economie Sociale et Familiale, mettent en place des temps d’accueil individuel pour répondre aux besoins immédiats et des ateliers participatifs permettent aux habitants de s’investir et de progresser dans la réalisation de leurs démarches administratives et ainsi concourir à l’amélioration de leur situation quotidienne :
- Apprendre à se repérer dans la vie citoyenne : droits et devoirs,
- Connaître les différentes institutions (Mairie, CAF, CPAM…)
- Se familiariser avec les formulaires, avec les démarches en ligne
- Se familiariser avec l’outil informatique
L’accueil réalisé par ces différents intervenants permet aux personnes d’être écoutées et de verbaliser leur demande, mais aussi de les rassurer, d’expliquer, de clarifier, de donner les bonnes informations et réponses, de mettre en lien avec d’autres interlocuteurs si besoin.
Le contact humain et la disponibilité sont des éléments indispensables à une bonne compréhension des problématiques de personnes reçues et donc à une meilleure résolution de leurs difficultés.
L’approche pédagogique est de favoriser une démarche participative des personnes, de ne pas faire à leur place mais de leur permettre d’apprendre de manière active et d’accéder ainsi à une plus grande autonomie.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
5000 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Le public bénéficiaire des différents accompagnements proposés par le centre social est très diversifié.
Au total 428 personnes en 2017 ont pu être accompagnés.
- 25% des personnes reçues sont en situation de monoparentalité
- 20% des personnes accueillies sont en difficulté avec la langue française
- Seulement 24% des personnes affirment disposer d’un accès à un ordinateur pour pouvoir faire des démarches en lignes
Âge
Homme
Femme
Total
18-25 ans
3
11
14
26-64 ans
146
240
386
65 ans et +
21
7
28
Total
170
258
428
- Résultat sur le territoire
Dans le cadre de l’action mise en œuvre cette année, l’intervention d’un travailleur social en soutien des services civiques a permis de prendre en charge ce risque et d’apporter des réponses adaptées :
- réaliser une médiation entre la personne et l’institution
- réorienter vers les services sociaux ou administratifs lorsque la demande était trop complexe pour être traitée sur place et sans connaissance du dossier de la personne.
Concernant la résolution des situations complexes une réflexion approfondie et une mise en œuvre sont en cours afin de faciliter la connexion entre institutions pour faire face aux urgences. Des démarches ont été réalisées dans ce sens dans le cadre du l’expérimentation Accès au Droit du plateau de Haye courant de l’année 2017, avec la nomination de réfèrent « accès au droit » dans les institutions.
Nous avons ainsi pu accélérer le déblocage de plusieurs situations complexes en recourant à l’intervention de ces référents.
- Résultat pour le centre social
Le Centre Social du fait de sa grande amplitude d’ouverture et de son accueil est un réel repère vers lequel les personnes se tournent lorsque les autres structures du quartier sont fermées.
L’activité réalisée par les services civiques mis à disposition par la CAF a permis de renforcer les moyens humains pour garder une accessibilité minimum des publics à l’institution.
Lorsqu’il s’est agi d’une demande simple (demande d’information, aide pour une démarche en ligne, explication d’un courrier, prise de rendez-vous…) le service civique a pu apporter une réponse immédiate en veillant à la compréhension de la démarche par la personne accueillie.
Les services civiques ont été facilitateurs pour ces publics fragilisés en proposant des actions. Au-delà de l’aide concrète apportée, les permanences ont également permis aux personnes les plus éloignées du système administratif de trouver un soutien et une écoute face à leurs difficultés.
En faisant connaître leur démarche auprès des acteurs locaux et notamment de la Mairie de quartier, des relais d’information ont pu être mobilisés et ont permis d’aller au contact des publics plus éloignés du centre social et d’élargir la communication autour de la mise en place de séances d’information collectives.
Au-delà, la réflexion porte aussi vers les publics dits “invisibles”. Comment atteindre les personnes qui ne franchissent pas le seuil du Centre Social mais dont les besoins en termes de mise en place, de maintien ou de renouvellement de droits sont bien présents.
Cette notion d’”aller vers” également étudiée dans le cadre du plan de lutte contre la précarité et la pauvreté avec les partenaires du territoire du Plateau de Haye nous semble un aspect qu’il faut continuer à développer dans notre action.
Force est de constater aussi que beaucoup de structures et institutions présentes sur le quartier partagent les mêmes constats quant aux problématiques d’accès aux droits, certaines réponses sont proposées selon les moyens disponibles ou les spécificités de chacune d’elles. Connaître les actions des uns et des autres et partager une analyse des situations rencontrées est aussi un axe à travailler au sein de l’action pour apporter de la cohérence aux réponses.
- Résultat pour les habitants
Sur l’année 2017 :
- 88 journées d’accueil au sein du Centre Social
- 31 temps d’accueil en mairie de quartier ont été réalisées par les volontaires en mission de service civique,
- 23 temps d’accueil ont été réalisé par un bénévole.
Si pour la plupart des personnes, un entretien aura suffi à expliquer, aider à la réalisation d’une démarche ou à orienter la personne vers le bon interlocuteur, un accompagnement a pu être proposé à des personnes dont la situation était plus complexe ou pour permettre d’acquérir des savoirs et savoir-faire en matière de droits et d’utilisation des outils numérique en vue d’une plus grande autonomie dans la réalisation des démarches administratives en ligne.
Plus de 400 entretiens individuels ont ainsi été réalisés avec une demande de soutien par rapport à une démarche administrative.
74 % d’entre elles concernaient des démarches vis-à-vis de la CAF :
- 32 % pour des déclarations de ressources (dont 60% pour le RSA,10% pour la prime d’activité et 27 % de déclarations annuelles)
- 11% pour des simulations pour l’ouverture de droit (dont APL :40%, RSA :30% et prime d’activité :20%)
- 41% pour autres démarches sur le compte Caf : changement de situation, changement de mot de passe, impression d’attestation, demande de justificatif…
- 16 % autres démarches : explication de courrier, aide à la constitution des pièces d’un dossier, appel téléphonique à la Caf….
Dans la plupart des cas, à l’occasion des séances d’accueils, la demande a pu être traitée sur place, via l’outil informatique :
Les personnes sont particulièrement à la recherche d’un accompagnement dans leurs démarches en ligne (APL, Changement de situation, Déclaration trimestrielle…) : pour certains allocataires l’intervention de l’équipe a permis de se repérer dans des démarches simples qu’ils font seuls maintenant.
15% des demandes ont aussi concernées des démarches en ligne sur d’autres sites que la CAF comme celui de la sécurité sociale (Améli), ou le site de Pôle Emploi.
11% ont été des demandes de renseignements sur des prestations, des explications de courrier, de l’aide à remplir des formulaires administratifs papier... et à des temps d’accompagnements plus lourd pour certaines personnes.
- Suite de l'action : Limites
La présence de moyens humains dans cet accompagnement est sans conteste un atout permettant un accompagnement individuel plus adapté aux besoins spécifiques des personnes.
Mais concernant les publics plus éloignés des outils numériques, l’accès à l’autonomie ne peut se faire que dans un cadre pédagogique plus construit :
- Pour compléter des connaissances liées aux logiques administratives et au fonctionnement institutionnel
- Pour compléter des compétences dans l’utilisation des outils informatiques, dans l’organisation des démarches familiales
- Pour favoriser la prise de confiance en soi
C'est pourquoi, le Centre Social s'est appuyé sur des paretenaires comme la fondation Orange pour mener une expérimentation spécifique vers les publis en difficulté avec la maîtrise de la langue française.
- Mise en œuvre d’une réflexion portant sur une démarche pédagogique partagée avec les différents acteurs de l’action d’apprentissage de la langue française, afin de construire un mode d’action adapté aux besoins du public et permettant sa familiarisation avec les outils numériques.
- La proposition est de travailler en premier lieu sur la thématique de l’accès aux droits qui requiert de fait l’utilisation des outils numériques et qui est au cœur des préoccupations des apprenants.
- L’Association Orange Solidarité pourra être un appui complémentaire pour soutenir la réalisation des outils pédagogiques qui constitueront une base documentaire à partager avec d’autres acteurs du centre social ou d’autres structures engagées dans un projet similaire.
Ainsi avec avec l’intervention des salariés de l’Association Orange Solidarité, le centre social a pu mettre l'accent sur la formation des encadrants bénévoles et salariés du Centre social Caf « La Clairière » pour
- Se familiariser avec l’utilisation de l’équipement mis en place.
- Se former à l’outil numérique pour soi afin de s’assurer dans son utilisation et fixer des compétences souvent acquises de manière empirique.
- Et pour être en capacité de construire des outils pédagogiques adaptés au public mêlant le numérique et l’apprentissage de la langue française.
- Suite de l'action : Perspectives
- Reconduction l'action
- Reconnaissance par la CAf 54: Point e-numérique
- Reconnaissance par la Fondation Orange: Maison digitale ( en cours)
Actions
MAISON DE SERVICES AU PUBLIC : offrir un accueil de proximité et de qualité à l'attention de tous les publics
- Structure organisatrice
- Centre socioculturel d'Etain et sa Région - Meuse
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Démocratie & citoyenneté
- Emploi, économie
- Résumé
Depuis de nombreuses années, le Centre socioculturel accueille et oriente le public dans des démarches administratives. Suite à la dématérialisation et à l'arrêt des permanences de certains partenaires sur notre territoire, les habitants se sont sentis en difficulté. Afin d'étoffer nos services, nous avons obtenu la labellisation MSAP (maison de services au public) en novembre 2018. Notre animatrice a ainsi été formée auprès des partenaires pour aider les usagers dans leurs démarches et les accompagner face à la numérisation des services.
A terme, d'autres parternariats seront développés pour aider au mieux la population et le Centre s'est doté d'une caravane afin de multiplier ses interventions et d'aller à la rencontre des populations rurales peu mobiles.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La maison de services au public ouverte au Centre socioculturel répond à un besoin grandissant d'accompagnement des usagers, face à la fermeture des services et la numérisation des relations.
Elle a principalement pour mission :
- L'accueil, l'information et l'orientation du public
- L'accompagnement des usagers à l'utilisation des services en ligne des opérateurs partenaires (facilitation numérique)
- L'accompagnement des usagers dans leurs démarches administratives
- La mise en relation des usagers avec les opérateurs partenaires
- L'identification des situations individuelles qui nécessitent un porter à connaissance des opérateurs partenaires
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Le besoin d'établir une MSAP sur notre territoire ayant été soulevé, nous avons réfléchi à un projet. Nous avons contacté les partenaires qui nous semblaient pertinents sur le territoire afin de nous renseigner sur le champs de compétence de la MSAP, dans le respect de l'existant. Nous avons assisté à une rencontre nationale des MSAP.
Enfin, nous avons déposé notre projet à la préfecture, qui a accordée la labellisation en novembre 2018.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
En 2018, les charges relatives à la MSAP représentaient 36400€.
Nous avons bénéficié des subventions suivantes :
- 8000€ du département, sur le volet insertion
- 4000€ de notre communauté de commune
- 4000€ de la commune de BOULIGNY, sur le volet insertion
- 2200€ de la CAF (fonctionnement global)
- 9100€ / 9100€ du FNADT et du fonds interopérateur MSAP (fonds non reçus en juin 2019)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Les chargées d'accueil, le Directeur et l'animatrice
- Résultat sur le territoire
169 personnes accompagnées, pour un total de 578 passages.
Une phase test de déploiement dans des villages cibles a été lancée en février 2019 pour développer un service MSAP itinérant.
Un succès qui a été médiatisé lors d'un passage de FRANCE 3 REGION : http://accueil.cscetain.org/videos
- Résultat pour le centre social
Une connaissance accrue de notre structure et la possibilité de faire entrer au Centre des personnes qui ne fréquentaient pas nos services auparavant.
- Résultat pour les habitants
Le maintien de l'accès à des services de proximité ainsi qu'un accompagnement dans les démarches numériques.
- Suite de l'action : Limites
La mission de la MSAP se limite à l'accompagnement et à l'accueil. Toute question spécifique reste de la compétence des services partenaires.
- Suite de l'action : Perspectives
Rendre le service encore plus proche des populations, grâce à une caravane circulant régulièrement sur tout le territoire.
Poursuivre les efforts de communication afin de faire connaître la MSAP.
Actions
PROJET CITOYENNETE ET MEDIATION DE PROXIMITE
- Structure organisatrice
- UASF CITÉ SOCIALE, FAMECK - Moselle
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Au cœur d’un quartier qui vit des moments difficiles dans son histoire (explosion du chômage, forte précarité des familles, ZSP, QPV…) et dans un contexte national tendu, nous sommes face à un enjeu éducatif central auquel nous devons répondre dans le long terme.
A la suite des terribles attentats perpétrés en 2015, les jeunes sont plus que jamais confrontés aux propos et réactions des adultes qui les entourent et de leurs pairs, à de multiples images, informations et rumeurs. Dans les mois et années à venir, il sera nécessaire de permettre aux jeunes de pouvoir s’exprimer sans pour autant renoncer à certains principes. L’objectif à terme est que ce travail d’expression, d’échange, de compréhension au sein du local de jeunes se poursuive au local de jeunes et ceci, en lien avec les autres espaces éducatifs (famille, école…).
Le Local de jeunes est enraciné depuis près de 20 ans et se prête aujourd'hui au développement d'une politique cohérente d'animation urbaine sur la ville de Fameck Nous avons plus d'une centaine d'adhérents âgés de 11 à 25 ans pour un passage quotidien de 40 jeunes. Il est un formidable outil au service des jeunes fameckois à un moment de notre histoire il nous faut resserrer les liens entre les citoyens et notamment les jeunes.
Le rôle du local de jeunes sera d'ouvrir le dialogue dans un espace neutre, sans enjeux, d'amener chacun à réfléchir sur ce qu'il fait, ce qu'il vit, ce qu'il veut.
Fameck est depuis août 2013 classée en Z.S.P (Zone de Sécurité Prioritaire), dû aux nombreux problèmes existant sur la ville : drogue, incivilité, délinquance... Le local de jeunes est situé en plein cœur du quartier et de la ville, et essaie au mieux d'atténuer ces problèmes. Toute l'année, l'accueil des jeunes au quotidien et le soir permettra de prévenir les troubles à la tranquillité, d’animer des débats sur les questions des jeunes qui squattent immeubles, cages d'escalier et parkings. Car, à force de rester entre eux, dans les mêmes lieux, dans le même quartier, certains jeunes ne connaissent souvent que cet environnement et ne s'ouvrent pas aux autres, à d'autres cultures.
Ces jeunes connaissent des problèmes scolaires englobés dans des soucis de compréhension générale et accentués par des difficultés familiales. Certains d’entre eux sont même identifiés comme ayant des troubles psychologiques et nécessitant donc un suivi spécialisé.
La mise en place d'actions de prévention de la délinquance par le biais d'un accompagnement personnalisé de jeunes en situation de décrochage scolaire, culturel et social, ainsi que l’implication d’une grande partie (115 adhérents) de ces jeunes (11 à 17 ans) dans une véritable démarche participative (atelier projet), nous permettront d’encourager la citoyenneté et de favoriser le mieux vivre au sein du quartier de Rémelange. Véritable outil au service du vivre ensemble, ouvert 6 jours sur 7, le local de jeunes se voudra un lieu d’échange, d’écoute qui permettra aux adolescents d’exprimer leur point de vue.
En 2016, l’équipe d’animation proposera des activités, débats et sorties aussi diverses que possible. Le projet d'activité sera élaboré en fonction des initiatives, des idées exprimées par les jeunes au cours de l'année, des opportunités du territoire et de l’actualité du moment. Les jeunes participeront à la création des programmes. Priorités seront données au vivre-ensemble, à favoriser le lien social, la mixité et à la participation des jeunes aux actions citoyennes et de solidarité.
Les principaux objectifs de 2016 seront :
- De rendre les jeunes acteurs sur la ville et non plus de simples consommateurs d'activités, avec la mise en place d'actions autour de la culture, de la citoyenneté et du vivre-ensemble.
- De travailler avec des groupes mixtes.
- De travailler avec les partenaires associatifs de la ville (Club de prévention spécialisée, Foyer de l'Enfance FAJO, Centre Jean Morette...) sur les actions de soutien aux adolescents en difficulté ou en situation de décrochage scolaire, social.
- D'impliquer les parents dans les projets menés avec leurs enfants.
Les principales activités seront :
- Du lundi au samedi, de 14h à 23h (pendant les vacances scolaires) et de 16h à 21h (hors vacances scolaires), de janvier à décembre (excepté au mois d'août), accueil et animation d'un lieu d'échanges et de discussions en direction des adolescents (11 - 21 ans) au cœur de la ZSP.
- Une journée portes ouvertes sera organisée afin de présenter aux partenaires, aux familles et aux jeunes le programme d’activités pour l’année à venir.
- Programmation de manifestations culturelles (club ciné, spectacles, théâtre Le Nest) sportives (futsal) et artistiques (ateliers sculpture, calligraphie...).
- Mise à disposition de 2 éducateurs spécialisées par l’AISF (Association d’Insertion Sociale de la Fensch) une à deux soirées par semaine afin d’échanger sur les problématiques des jeunes.
- Atelier WEBCOM (animation d’une web TV créé par les jeunes : projet IRELIS).
- Moselle macadam jeunesse, fête des voisins, Ados Vac (animation en partenariat avec le centre Jean Morette)
- Contrats locaux d’accompagnement à la scolarité subventionnés par la CAF (accompagnement personnalisé à la scolarité de jeunes repérés en difficulté sociale, culturelle et scolaire en partenariat avec l’association de prévention spécialisée 2 cycles 6ème et 5ème mardis et jeudis)
- Manifestations solidaires initiées par les ados (tournoi en faveur du Téléthon, Battle hip-hop, campagnes de collectes en faveur des restos du cœur...).
- Séjour éco-citoyen : une fois par mois, nous organiserons des activités à caractère citoyen en effectuant des échanges avec la maison de retraite "le Clos fleuri" (atelier culinaire) ou en nettoyant les cours d'eau et rivière de la ville. Les jeunes effectueront également des collectes au profit des "restos du cœur". Point d'orgue de cette action, les jeunes participeront à un séjour en bord de mer où ils effectueront une journée de sensibilisation organisée par la fondation Surfrider sur les menaces de la pollution et des déchets sur notre écosystème. A cette occasion, un nettoyage du littoral sera programmé.
- Des activités autour du Festival du Film Arabe: Jury jeunes, atelier "graff", courts métrages, atelier programmation cinéma...
Nous consacrerons également de nombreux temps d'écoute, d'échanges, de débats autour de sujets d'actualité tels que la laïcité, la mixité, le respect de la liberté d’expression sous toutes ses formes. A la suite des attentats perpétrés en janvier et en novembre 2015, les jeunes ont repris la route de l’école, des accueils périscolaires et extrascolaires où le sujet ne peut pas être éludé. Tout l’enjeu des animateurs est de réussir à aborder sereinement le sujet avec eux et de le faire de manière concertée avec les parents, les enseignants et les partenaires du territoire.
Notre rôle est d'écouter les jeunes, mais aussi de créer ou de renforcer le lien par le biais d'actions autour de la citoyenneté, du sport, de la culture, de la santé... Ces actions s'adresseront aux jeunes, les plus exposés aux risques de délinquance. Elles nous permettrons d'accompagner les jeunes qui sont en situation de décrochage scolaire, familial, social.
Animations jeunesse particulières prévues aussi pour 2016:
- Projet vidéo qui consistera à mobiliser les jeunes autour de la pratique audiovisuel, avec dans un premier temps la création d’un court-métrage sur le genre fantastique. Et, dans un second temps la découverte du festival international de Gérardmer. Leur création sera projetée au Festival et nous demanderons aux jeunes d'accompagner leurs films et de rencontrer le public. Ce sera aussi l'occasion pour eux de découvrir des films inédits mais également les actions en parallèle; conférences avec les réalisateurs, les espaces d'expo et de librairie.
- Participation aux évènements de la ville de Fameck : Cavalcade, Fête de la musique, semaine de la Paix…
- Nombreuses sorties culturelles, sportives et festives (théâtre Le Nest…)
- Tournoi futsal et courses des jeunes au profit du Téléthon,
- Moselle macadam jeunesse,
- Ados vac (animations durant les vacances en partenariat avec le CJM)
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Depuis près de vingt ans, le local de jeunes travaille à l’insertion des jeunes en difficulté, en utilisant ce lieu, son programme d’activités comme outils d’intégration. L'absence de lieu de socialisation, d'échanes pour les juenes dans le début des années 90 au sein d'un quartier populaire est à l'origine de la création du lieu. Son animation repose sur les épaules d’animateurs, bénévoles ou professionnels qui travaillent tous les jours à réduire la fracture sociale. Il porte d’une part des valeurs indispensables à la cohésion sociale, le respect des règles et de l’autre, la solidarité et l’entraide ou encore la mixité sociale. L’équipe s’attache à être réactive afin de répondre aux attentes et aux interrogations des jeunes du QPV. Son expérience et sa connaissance du territoire leurs permettent d’élaborer un programme d’actions concertée et renouvelé afin d’être à la hauteur de nos enjeux. Il ne peut pas résoudre à lui tout seuls tous les problèmes du quartier dit prioritaire, mais il peut faire beaucoup, à condition qu’il y ait un réel travail de partenariat entre les différents acteurs de terrain.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
5 professionnels et 9 bénévoles
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Le Centre Social Audaces's de Folschviller - Hors Les Murs !
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL AUDACES'S FOLSCHVILLER - Moselle
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L’association Audaces’s a su tisser de la cohésion sociale sur le territoire. Au travers de cette animation innovante, la promotion des habitants de notre territoire a été reconnue par la Fédération des Centres Sociaux de France « Hors les Murs » et d’autres instances. Avec nos différents partenaires comme les Bailleurs, le Conseil Citoyen, le Département de la Moselle et les villes de Folschviller Valmont et d’autres cette action tisse un maillage au cœur du quartier QPV et de la ZUS.
Face à une augmentation de la précarité, notre action permet aux habitants de sortir de chez eux et de se côtoyer.
Il s’agira de poursuivre notre soutien à la population et au plus démunis au travers d’une action de proximité de collecter la parole des habitants, des jeunes, les familles et les acteurs locaux. Pour ce faire l’association mettre un plan citoyen de proximité avec comme support :
L’Arène Citoyenne, le triporteur citoyen, la cabane des mots, hors les murs, action réaction « citoyen », le rdv du triporteur citoyen à la sortie des écoles, des actions de découvertes culturelles et Citoyennes.
Les objectifs :
Utiliser un panel d’outils pour alimenter le débat participatif dans le quartier de FURST au côté du Conseil Citoyen et des Habitants.
Faire en sorte que les habitants se côtoient et vivent ensemble.
Créer de la cohésion sociale sur le territoire
Développer le Pourvoir d'Agir des Habitants
Créer des actions à visée émancipatrice
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Le projet a fonctionné de manière différente en tenant compte des saisons. L'équipe en collaboration avec les jeunes et les familles du quartier ont œuvré sur une stagtégie d'action adpaté aux usagers, aux habitants : Une animation "Hors Les Murs" avec des animations débat citoyen avec le triporteur et la cabane des mots 3 fois par semaine aux abords des écoles : Collecte de la parole des habitants/des Jeunes sur le vouloir des jeunes.
Débats participatifs et Citoyen aux quatre coins de la ville avec une fréquentation moyenne de 60 familles et 35 jeunes.
Un débat associatif avec les associations locales et la place des jeunes dans la vie locale, lors du forum des associations locales avec une moyenne de 25 associations et les jeunes des clubs. Dès juin, une animation Hors les Murs dans le quartier avec du théâtre enfant, création de vidéo jeunes, une soirée plein air cinéquartier. De plus lors des vacances, le centre social a œuvré dans les rues avec les animateurs afin de proposer des activités complémentaires aux actions du centre social : jeux plein air, bibliothèque de rue qui fut un grand succès. Le triporteur citoyen aura été la locomotive de cette action innovante sera l'outil mobile qui pourra mettre en œuvre une animation au plus proche des jeunes : plaides et couvertures pour de la lecture, pour la création de conte, découvrir des jeux de société, des activités au cœur des citys stades, musiques et liberté créative, slam…
Une Arène citoyenne qui a comme vocation la communication et la participation citoyenne (des débats participatifs, foot-citoyen, fair-play, culture citoyenne, danse urbaine, mini-spectacle, soirées jeunes, les valeurs de la République, C'est quoi être citoyen engagé, C'est quoi un conseil Citoyen Jeunes. Cette installation mobile et rapide pourra aller au devant de la jeunesse en situation d'érrance et/ou de fragilité. Faire connaitre les acteurs de la ville et l'équipe du centre social.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
/
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Les salariés du centre social
Des intervants (intermitants, vacataires, bénévoles)
- Résultat sur le territoire
Les partenaires reconnaissent cette action et souhaitent y participer périodiquement.
Il se trouve que hors les murs est un lieu neutre pour désamorcer des situations en présence d'un salarié du centre social.
Cette action a permis aux habitants de prendre conscience de leur pourvoir d'agir.
- Résultat pour le centre social
Cette action permet au centre social Audaces's d'avoir une meilleur action avec les habitants dans le quartier. Elle est complémentaire aux actions des ACM. Car depuis la baisse des jours ATL, les centres de loisirs subissent une baisse de la frénquentation par souci financier pour nos ahbaitants les plus en difficultés. Pour autant, il n'y a pas plus de départ en colonie de vacance ! Une familles sans ressources ou avec peu de ressource ne partira pas et ne fera pas partir leur enfant. Il reste quoi alors comme alternative ?
Donc, face à cette injustice, Hors Les Murs devient pour le quartier un espace citoyen et solidaire pour les habitants !
- Résultat pour les habitants
Cette action permet au centre social Audaces's d'avoir une meilleur action avec les habitants dans le quartier. Elle est complémentaire aux actions des ACM. Car depuis la baisse des jours ATL, les centres de loisirs subissent une baisse de la frénquentation par souci financier pour nos ahbaitants les plus en difficultés. Pour autant, il n'y a pas plus de départ en colonie de vacance ! Une familles sans ressources ou avec peu de ressource ne partira pas et ne fera pas partir leur enfant. Il reste quoi alors comme alternative ?
Donc, face à cette injustice, Hors Les Murs devient pour le quartier un espace citoyen et solidaire pour les habitants !
- Suite de l'action : Limites
Poursuivre cette action innovante et reconnu par plusieurs acteurs sociaux de la France !
- Suite de l'action : Perspectives
Action en cours pour 2017 à 2021 !
Actions
Faciliter l'accès au droit et à l'information
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL MAROC, CREUTZWALD - Moselle
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Précarité
- Résumé
Accompagnement des habitants dans le domaine des démarches administratives et de l’information avec l’organisation de permanences écrivains publics et un partenariat avec des associations dont le principal champ de compétences est l’accès aux droits.
Une des spécificités de notre action, réside dans le travail du développement d'un réseau partenarial réactif et efficace.
Les permanences sont ouvertes au public sur rendez-vous auprès du secrétariat du Centre Social. Lors de l’accueil, il est fréquent que la personne formule plusieurs demandes. Ces dernières nécessitent ensuite plusieurs démarches et conduisent parfois à un suivi.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
N’étant pas à l’aise avec la langue française, effrayé à la vue des papiers administratifs, une mauvaise connaissance des services publics … sont autant de raisons qui ont amené certaines personnes à ignorer les demandes administratives qui leur sont adressées et faire le choix de s’inscrire dans une spirale de difficultés. Les permanences administratives, combinées à une organisation de relais vers d’autres organismes et/ou institutions, s’est avérées être une réponse à cette problématique.
Les actions dans le cadre de la coordination de l’accueil ont été mises en œuvre selon les deux axes de travail fixés par le projet social :
- Faciliter l'accès au droit et à l'information
- Développer l'aide et l'accompagnement aux démarches administratives quotidiennes
- Répondre aux besoins de la population ciblée
- Mobiliser les partenariats adaptés
- Permettre de donner une suite individuelle aux problèmes abordés parfois collectivement dans l'atelier PRF (Point Rencontre Femmes).
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
cette action s'inscrit dans le réseau local d'accès aux droits et à l'information
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Une personne est mobilisée, à raison de 10 heures/semaine, ainsi que de nombreux professionnel du champ social
- Résultat sur le territoire
Par cette action, le centre social s'inscrit pleinement dans un service de proximité recconnu dans le réseau d'aide aux droits et à l'information, sur le territoire.
- Résultat pour le centre social
Permettre de donner une suite individuelle aux problèmes abordés parfois collectivement dans d'autres ateliers, activités menés par le centre social. Ainsi nous passons d'une action collective à une aide personnalisé.
- Résultat pour les habitants
La mission des permanences administratives relève principalement de la médiation sociale et de l’aide aux démarches administratives. Plus qu’une demande, c’est un besoin pour la population qui est souvent confrontée aux tracas administratifs et à la complexité des formulaires et procédures.
L'accompagnement social est également recherché, attendu par certains et en particulier les séniors isolés issus de l'immigration et les familles monoparentales.
L'animatrice accompagne les habitants dans l’accession à certains droits fondamentaux : - accès aux soins, au logement, aux papiers ...
Elle fait bénéficier les usagers de ses nombreuses compétences et de sa bonne connaissance du système administratif, ainsi que de son réseau de partenaires. L’écoute et le climat de confiance qui s’est installé ont permit de recenser d’autres problèmes, plus personnels, qui n’auraient jamais pu être évoqués en-dehors de ces permanences.
- Suite de l'action : Limites
Certains dossiers présentent une telle complexité qu'ils ne peuvent être traités par le personnel du centre social. Le relai est donné au sein du réseau.
- Suite de l'action : Perspectives
Continuer de développer des liens avec les associations et partenaires de l’accès aux droits,
Diffuser l'information et la communication quant à ce service de proximité développé par le Centre Social
Actions
MAISON DE SERVICES AU PUBLIC
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL DE FOURCHAMBAULT - Nièvre
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- Démocratie & citoyenneté
- Viellissement
- Emploi, économie
- Santé
- Logement
- Mixité sociale
- Résumé
La Maisoon de services au public permet de mettre en relation l'usager les partenaires suivants :
- Assistante sociale du Conseil départemental
- CAF
- RSI
- Services de l'Etat
- MSA
- CPAM
- Pole-emploi
Elle permet une mise à disposition et éventuellment un accompagnement dans l'utilisation d'équipements bureautiques
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Autre
- Précision ( si autre )
Les services de la préfecture
- Territoire concerné
- Autre
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pour offrir aux habitants des services de proximité et réduire les inégalités.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Autre
- Description générale
Action débutée en 2015 en lien étroit avec la Préfecture de la Nièvre dans la démarche de labellisation. Inauguration par le Préfet et le Président du Conseil Départemental.
Début de la mise en oeuvre de la MSAP 1er janvier 2016.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Financements FNADT et fonds inter-opérateurs
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 professionnels, 2 bénévoles : écrivain public et intervenante CLCV.
- Résultat sur le territoire
Accèder aux droits.
Répondre à la problèmatique de la mobilité.
Favoriser la proximité.
- Résultat pour le centre social
Un service utile et nécessaire qui répond aux besoins des habitants.
- Résultat pour les habitants
Services de proximité et accès aux droits.
- Suite de l'action : Limites
L'intervention financière de l'Etat doit perdurer pour que l'action demeure
- Suite de l'action : Perspectives
La Maison de Services au Public devrait perdurer au regard de l'augmentation des demandes
Actions
Laïcité, l'Art du bien vivre ensemble
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL MEDIO BANLAY - Nièvre
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Intégration
- discriminations
- Résumé
Nous avons souhaité développer ce projet sur le thème de la laïcité autour de 3 axes stratégiques:
1/ Organisation de 3 CONFERENCES/ DEBATS sur la laïcité qui devra permettre à nos publics de libérer la parole sur des sujets du quotidien difficiles, liés à la pratique ou à la non pratique d'une religion et ce dans le respect et la promotion des valeurs de la république. Il devra également nous permettre de questionner notre identité, nos ressemblances afin de construire une vision commune de l’avenir. A cet effet, nous utiliserons trois supports de travail différents mais complémentaires: le Débat théâtral ("égal à égal") la Réalisation d'un documentaire sur le thème de la laïcité et la Présentation de la charte de la laïcité de la branche famille CAF ainsi que sur la pratique des différentes religions. Le point commun de ces supports de travail sera l'échange et le débat encadré par des animateurs avertis. 2/ FORMATION de nos équipes d'animation. Le but est de leur donner les connaissances et éléments de compréhension nécessaires au positionnement qu’implique la pratique de leur métier sur ce thème. 3/ OBSERVATOIRE: Mobilisation d'un réseau de partenaires autour d'un Collectif laïcité. Ce dernier axe a pour objet de réfléchir, d'analyser les pratiques, de créer des outils d'observation et d'évaluation. Il nous permettra également d'exporter et
d'enrichir les données nationales très peu développées à ce jour, sur le principe de la Laïcité.Ces actions ont débuté en Avril et se sont déroulées sur l’ensemble de l’année jusqu’à fin décembre. Les principaux lieux ont été: Espace Martin LUTHER KING, Espace Stéphane HESSEL, Mairie de Nevers, Préfecture 58, Conseil Départemental 58, Paris.
- 10/04 /17 au 31/12/17, Réalisation Exposition et Documentaire Vidéo
- 15/06/17, le 5/10/17, le 14/12/17, Rencontres Collectif Laïcité.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Précision ( si autre )
- L’enjeu global de ces actions s'articule autour de la finalité du projet social 2016-2019 du Centre Social:
"Développer l'apprentissage du vivre ensemble pour un quotidien solidaire et citoyen". Ce projet développe trois axes essentiels à une meilleure qualité de vie des habitants à Nevers:
- Questionner nos ressemblances, ce qui fait sens pour tous, afin de construire une vision commune de
l'avenir, dans le respect et la promotion des valeurs de la République.
- Favoriser l'inclusion sociale et la socialisation des habitants.
- Renforcer la participation des habitants.- Le Centre Social Médio-Banlay souhaite impulser ce projet sur le principe de Laïcité auprès des jeunes âgés de 14 à 25 ans et des équipes éducatives à l'échelle de la Ville de Nevers. L’objectif est de permettre la rencontre, l'échange, le questionnement, la connaissance et la reconnaissance de chacun autour de ce principe essentiel à la cohésion sociale au sein de notre République.
- Très peu de données, enquêtes, études nous permettent à ce jour d'avoir une représentation significative de la manière dont est vécue la Laïcité en France.
- L’objectif est de permettre la rencontre, l'échange, le questionnement, la connaissance et la
reconnaissance de chacun autour de ce principe essentiel à la cohésion sociale au sein de notre République.
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Après les attentats de 2015, nous avons constaté un repli communautaire des populations et des tensions sous-jacentes entre Français liées à de nombreux amalgames. Le mot laïcité n'a jamais été autant utilisé, sans pour autant qu'il soit maîtrisé par ceux qui l'emploient. Nous observons une forte crise identitaire des adolescents français d’origines étrangères qui se manifeste souvent par le rejet des valeurs Républicaines.
Conduite d'entretiens individuels auprès de 100 jeunes du Banlay qui ont révélé que 78% d'entre eux ont le sentiment d’être stigmatisés par leurs origines culturelles. Réalisation d'une enquête auprès de 80 jeunes des Centres Sociaux de Nevers qui révèle qu'ils ont une méconnaissance importante du principe de laïcité.
1/ Acquérir les repères historiques et juridiques nécessaires à une maîtrise approfondie du principe de laïcité. 2/ Travailler avec les équipes professionnelles sur des cas pratiques répondant aux problématiques du quotidien. 3/ Libérer la parole sur des sujets difficiles. 4/ Associer jeunes et parents dans une démarche participative. 5/ Accompagner les jeunes et leurs parents afin de construire sereinement leur identité de citoyens Français. 6/ Développer les échanges entre acteurs, créer des outils de veille commun sur la laïcité
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
- Organisation de 2 CONFERENCES/ DEBATS: le 6/12/17, Rencontre des Aumôniers Militaires et le 16/12/17, Débat théâtral "égal à égal" par la Compagnie Entrée de jeux. Réalisation d'un DOCUMENTAIRE VIDEO, libérant la parole des citoyens et élus de la République. Réalisation d'une EXPOSITION définissant le principe de Laïcité et diffusion. Création et pilotage d'un COLLECTIF Laïcité/ 10 partenaires/ 3 rencontres.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
23335€ de charges.
Subventions:
-CIEC/ Contrat de Ville: 2522€;
- Nevers Agglomération/ Contrat de Ville: 2000€;
- CAF/ Fonfs Publics et Territoire: 7 996€;
- Conseil Départemental de la Nièvre: 450€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- 112 jeunes, soit 44 garçons et 68 filles, âgés de 11 à 25 ans, dont :
- 65 Adolescents âgés de 11 à 17 ans,
- 47 Jeunes âgés de 18 à 25 ans,
- 90% sont issus du Banlay ou d'autres Quartiers Prioritaires Politique de la Ville.
- 10 Partenaires: CAF, Ville de Nevers, C. Départemental 58, FOL, FDCS 58, PEEP...
- Résultat sur le territoire
- Libération de la Parole sur un sujet sensible, facilitation des échanges et plus grand degré de tolérance de la part de l'ensemble des participants.
- Résultat pour le centre social
- Reconnaissance/ Réseau partenarial sur la thématique Laïcité
- Résultat pour les habitants
- ATTEINTS: Acquérir les repères historiques et juridiques. Libérer la parole sur des sujets difficiles. Associer les jeunes dans une démarche participative. Accompagner les jeunes afin de construire sereinement leur identité de citoyens Français. Développer les échanges entre acteurs
- EN COURS DE TRAVAIL: Travailler avec les équipes professionnelles sur des cas pratiques répondant aux problématiques du quotidien.
- Suite de l'action : Limites
- Soutien financiers des partenaires sollicités sur ce projet en 2018 (CAF/ Fonds Publics et Territoire; Contrat de Ville/ CGET & Nevers Agglomération)
- Suite de l'action : Perspectives
En 2018, nous développerons ce projet autour de 4 axes stratégiques: 1/ Organisation de 4 CONFERENCES/ DEBATS sur la laïcité qui devra permettre à nos publics de libérer la parole sur des sujets du quotidien difficiles, liés à la pratique ou à la non pratique d'une religion et ce dans le respect et la promotion des valeurs de la république. A cet effet, nous utiliserons plusieurs supports de travail complémentaires: le Débat théâtral (Parents), la diffusion d'un documentaire vidéo sur la laïcité réalisé en 2017 par des jeunes du Banlay (Jeunes et Parents), une soirée débat intitulée "la laïcité dans l'assiette" (Elus, Cultes, Parents, Jeunes) et enfin la présentation d'une pièce de théâtre intitulée "Chocolat et Laïcité" (Jeunes et parents). 2/ Réalisation d'un LIVRE/ PHOTOS TEMOIGNAGES (Jeunes et Parents) 3/ FORMATION de nos équipes d'animation. Le but est de leur donner les connaissances et éléments de compréhension nécessaires au positionnement qu’implique la pratique de leur métier sur ce thème. 4/ Pilotage et animation du COLLECTIF LAÏCITE créé en 2017 et rassemblant 12 partenaires issus des institutions, structures d'éducation populaire et représentations cultuelles du département. Ce dernier axe a pour objet d'analyser et questionner les pratiques, d'impulser et de mutualiser des projets, de créer des outils de veille. Enfin, plusieurs temps forts de ce projet seront organisés dans le cadre de la semaine de la Laïcité, en Décembre 2018.
Actions
En route vers l'emploi
- Structure organisatrice
- CS HENRI MARTEL DECHY - Nord
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- Résumé
Associer des acteurs locaux : Pôle Emploi, la Mission Locale, la D.T.E.P.F., la C.A.D., l'équipe du C.U.C.S., les Services de l'Etat et l'équipe du Centre Social
Organiser sur une journée la collecte d'offres directement auprès d'employeurs pour 15 à 20 personnes.
Pour remobiliser un groupe de personnes dynamiques, au profil de recherche d'emploi clair;
Avec des ateliers CV, lettres de motivation, visites d'entreprises, rencontre de chefs d'entreprises, d'entrainement à l'entretien avec un groupe de comédiens, de simulation d'entretiens.
Sur une durée de six mopi.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Remobiliser des jeunes sans emploi et loin de l'emploi,
Aide à la définition d'un projet personnel professionnel,
Lever les freins à l'emplyabilité
- Public
- Jeunes adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
En partenariat avec Pôle Emploi, la Mission Locale, la D.T.E.F.P., l'équipe du C.U.C.S., la C.A.D., l'équipe du Centre Social, les Services de l'Etat.
Début de l'action : janvier 2014
Fin de l'action : juin 2014
- Ressources financières mobilisées pour cette action
3500€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
20
- Résultat sur le territoire
Crédibilité de l'équipe du Centre Social auprès des Partenaires institutionnels et du monde l'entreprise.
- Résultat pour le centre social
Valorisation de du travail de l'équipe du Centre Social auprès des usagers et du public en insertion.
- Résultat pour les habitants
Découcerte par les usagers et les habitants de nouveaux services apportés par l'équipe du Centre Social
- Suite de l'action : Limites
Essouflement des participants sur la durée et arrêt pour certains
- Suite de l'action : Perspectives
En cours de réflexion...Non renouvelée pour l'instant.
Actions
Autonomie sociale
- Structure organisatrice
- Centre Social et Culturel Bourgogne - Nord
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Emploi, économie
- Mixité sociale
- Résumé
Le projet consiste en la mise en place d’un accompagnement personnalisé de personnes rencontrant des difficultés freinant leur mobilité sociale, ou culturelle, et par extension leur insertion professionnelle.
Pour ce faire, le projet consiste à capter, recevoir le public cible en entretien individuel, dans un premier temps, afin de faire le point sur la situation et dégager les problématiques rencontrées, puis de constituer un parcours adapté à la situation, dans un second temps, en passant par la participation active à des réunions de type « coaching de groupe » tous les jeudis après-midi (hors vacances scolaire).
Le but du travail en collectif étant de faire émerger et traiter plus efficacement les problématiques communes dans les domaines de :
- La parentalité,
- Le chômage,
- L’éducation des enfants,
- L’accès à la culture,
- La gestion des budgets,
- La découverte de l’environnement social et économique, loisirs.
- La lutte contre la violence
- …
La notion collective du projet repose sur le fait qu’une personne partageant des problématiques communes à d’autres personnes se sente moins isolée et dépourvue, et est en meilleure capacité de solliciter ses propres ressources.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L'action a été mise en place pour :
- Favoriser l’autonomie sociale via une action qui intègre la participation à la vie économique, à la vie sociale (personnelle et relationnelle)
- Contribuer à l’insertion par le logement en formant les personnes à la gestion en matière de consommation et à la maîtrise de leur cadre de vie.
En termes d'impacts, nous visons à davantage d’autonomie sociale, de mobilité culturelle, de capacité d’insertion professionnelle
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
L'action est menée sous la forme d'accompagnement individuel et d'animation de modules collectifs dans lesquels interviennent différents partenaires ou salariés selon les thématiques.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
environ 30 000 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 professionnels (1 coordinateur, 1 référent, 1 animateur)
15 à 20 partenaires selon thématiques abordés
- Résultat sur le territoire
l'action vise à améliorer la situation des allocataires qui rencontrent les difficultés sociales (logement/santé/emploi/endettement important/aides facultatives diverse ...)
Nos référents proposent en accord avec l'allocataire, les actions d'accompagnement adaptées en mobilisant à cet effet l'offre d'insertion territoriale disponible ou les dispositifs de droit commun permettant de lutter contre les exclusions sociales
- Résultat pour le centre social
légimitité vis à vis des habitants en termes d'accompagnement social
mobilisation des personnes rencontrant des difficultés sociales dans nos modules et réorientation vers d'autres activités du centre social.
- Résultat pour les habitants
meilleure autonomie dans la vie quotidienne, développement de la confiance en soi, de la connaissance des institutions, de l'environnement économique, de l'accès aux droits...
- Suite de l'action : Limites
le nombre de personnes accompagnés
l'enveloppe financière
l'engagement des participants sur la durée...
- Suite de l'action : Perspectives
maintenir l'action
Actions
COOP MONS
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL IMAGINE - Nord
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- Résumé
Des jeunes du quartier de 16 à 25 ans se rassemblent en coopérative pour proposer des services aux habitants et instituions: buffets, déménagement, gardes d'animaux, formaion numérique etc. Ils sont accompagnés par des animateurs du centre social (parrain éducatif) et par une entreprise de portage salariae (CAE, parrain économique) qui fait de l'éducation à l'entrepreunatiat coopératif (apprendre à faire un devis, une facture, payer ses cotisations sociales etc.).
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L'entrepreunarait coopératif est enn plein essort. Les jeuens entrepreuneurs peuvent ainsi développer des activités qui leurs plaisent dans un environnement qui protège (lutte contre l'uberisation sauvage) et un réseau intégrant des valeurs comme la coopération, la mise en commun de ressources etc.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Par le recrutement d'animateurs et de jeunses coopérants sous forme de réunions d'informations collectives
- Ressources financières mobilisées pour cette action
37669 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
4
- Résultat sur le territoire
Impact sur l'économie des familles concernées - amélioration de l'image des jeunes
- Résultat pour le centre social
Un reconnaissance des partenaires au delà de la ville
- Résultat pour les habitants
Possibilité de bénéficier de services
- Suite de l'action : Limites
ouverture de la coopérative aux adultes, notamment demaneurs d'emploi et bénéficiaires du RSA
- Suite de l'action : Perspectives
Intégrationd e la coopérative à un tiers leiu en construction à Mons en Baroeul.
Actions
Objectif citoyen
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL DANUBE SOCIAL ET CULTUREL - Paris
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Démocratie & citoyenneté
- Intégration
- Résumé
Mise en place d'une bourse pour des jeunes du quartier en échange de 50 heures de travail sur des actions d'animation globale du territoire. Les jeunes mettent également en place leur propre action. En 2014, une battle de danse inter quartier a été organisée par leurs soins. 4 heures de service à la personne sont également effectuées en maison de retraite sur le 19ème. Depuis, nous avons rajouté une deuxième partie au projet initial puis une troisième. A ce jour, nous inscrivons également des jeunes aux BAFA en échange d'heures d'animation sur l'ALSH du centre. Nous faisons aussi passer le PSC1 aux jeunes le souhaitant. Enfin d'autres jeunes nous aident sur l'aspect manutention de la fête de quartier en échange d'une bourse collective pour une aide au départ en séjour.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Précision ( si autre )
Nous travaillons avec le club de prévention de L'AJAM sur le repérage et l'accompagnement éducatif des jeunes.
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le CSCDanube accueillait très peu de jeunes de plus de 12 ans. De plus, nous souhaitions agir sur la citoyenneté avec les jeunes. Ce projet existe depuis 3 ans et grâce à celui-ci plus de 60 jeunes fréquentent le CSCD.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Repérage des jeunes, rencontre avec les jeunes pour expliquer la démarche et le projet, rencontre tous les deux mois pour le suivi des jeunes et travail collectif sur les animations à venir.
Le projet démarre chaque début d'année civile et se termine le 31 décembre.
Les jeunes sont encadrés par le coordinateur enfance jeunesse du CSCD et par deux éducateurs de l'AJAM.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Le coordinateur enfance jeunesse
- Résultat sur le territoire
Connaissance des associations du quartier par les jeunes
Lien social / Lien intergénérationnel
Formation professionnelle : l'action répond au besoin d'un public jeune de s'inscrire dans un processus de formation
Implication et participation: l'action répond à un besoin du jeune de s'impliquer en tant qu'acteur dans la vie de son quartier.......
- Résultat pour le centre social
Les jeunes du territoire connaissent le CSCD. Le bouche à oreille permet la venue de nouveaux jeunes.
Cette action permet également de répondre aux objectifs du projet social concernant le jeunesse.
- Résultat pour les habitants
Une cohabitation jeunes / adultes beaucoup plus fluide et rassurante pour les séniors du territoire.
- Suite de l'action : Limites
Les jeunes doivent toujours être accompagnés et encadrés car leur rapport au temps est différent du nôtre.
- Suite de l'action : Perspectives
Nous souhaitons que ces jeunes se mobilisent autour d'une nouvelle action "bar citoyen".
Par ailleurs, nous continuons ce projet.
Actions
Relais info-service
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIOCULTUREL - Pas-de-Calais
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- Résumé
« Le relais info service » est un lieu d’information et de mobilisation des publics attenants. Il est le support prioritaire à l’intervention jeunesse et de l’insertion sociale sur le territoire. Ainsi, un lieu d’accueil, d’écoute, de rencontre, d’animation, d’orientation et d’échanges avec les différentes institutions afin de mener des actions de repérage, de suivi individualisé et d’actions collectives.
« Le relais info service » est implanté au cœur du quartier des 4 AS, place de Rouen à Achicourt, dans l’annexe du centre social à l’agora pour tous. Ainsi, dans la deuxième annexe à l’animathèque rue d’Agny, des permanences des médiateurs sociaux sont assurées tous les jours. Les deux lieux sont désormais identifiés.
La politique de prévention du centre socioculturel doit remplir un objectif d’efficacité qui passe par le renforcement des échanges d’information entre les différents acteurs qui entourent les jeunes : les parents, le corps enseignant, les éducateurs, les élus locaux…
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Grâce au travail fait au quotidien auprès des habitants, nous avons pu observer que de plus en plus de jeunes veulent arrêter l’école ou d’autres sortent de l’école sans diplôme. On a pu relever que les habitants au centre socioculturel avaient un manque d’information concernant les services proposés. Il y a un grand nombre de personnes marginalisées socialement, elles font partie des personnes qui ne bénéficient pas des aides et des dispositifs de droit commun.
Il y a un grand nombre de personnes marginalisées socialement, elles font partie des personnes qui ne bénéficient pas des aides et des dispositifs de droit commun. « Trop de famille, de travailleurs pauvres ou de personnes en situation d’exclusion méconnaissent leurs droits ». Ce constat est relié dans la stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté. *Dossier de presse- stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté, sept. 2018, p16.
Aujourd’hui, nous sommes confrontés à plusieurs types de publics et chacun avec ses propres préoccupations.
Nous avons tout d’abord les personnes non identifiées par les différents partenaires institutionnels. C’est souvent un public difficile à motiver et à mobiliser dans une phase directe d’accompagnement vers l’emploi.
On sera de préférence dans la prise de conscience qu’il est temps de penser à son avenir professionnel ! En revanche, le discours moralisateur n’a aucun effet sur eux, au contraire il renforcera la culpabilité de leur situation d’échec. Par conséquent, nous utilisons des activités pédagogiques afin d’établir une relation de confiance, une phase d’écoute.
Ce public reste prioritaire, « comment agir à tous les niveaux, évoque Sébastien Jallet* l’enjeu de faire société également avec les invisibles, illégitimes qui sont en difficulté pour agir sur leur environnement » l’utilisation de la médiation de rue est indispensable pour ces habitants, il faut les rencontrer individuellement dans leur cocon familial.
*Sébastient Jallet directeur de la Ville et de la Cohésion urbaine du Commissariat général à l’égalité des territoires- « être un centre social dans un quartier prioritaire » 8 nov. 2017-p, 6
Ensuite, nous avons une deuxième catégorie de public souvent démotivé. Pour la grande majorité des personnes, ils ont déjà bénéficié de plusieurs propositions d’accompagnements de la part du SPE (service public de l’emploi), soit ils ne souhaitent pas de formation, de remise à niveau... ceci les renvoie à leurs échecs scolaires.
Donc ils tâtonnent, ils ne savent pas quoi faire. Ces publics fréquentent les actions collectives du centre social, mais l’orientation directe vers un partenaire du SPE restera difficile.
La troisième classification du public est un public avisé qui n’hésite pas à franchir les portes du centre social et des partenaires du SPE. Notre intervention se limitera à l’information, conseils et à l’orientation vers les dispositifs de droit commun.
La quatrième classification qu’on voit apparaitre de plus en plus : des personnes autonomes dans leurs recherches, mais qui ont besoin d’outils : ordinateur, internet, téléphone et un cadre au calme afin d’effectuer leur démarche.
Ainsi, l’accompagnement social reste la principale activité de nos missions (repérages, mobilisations, accompagnements), les habitants ont repéré les acteurs du centre social et les lieux de permanences en accès libre, nous avons pu constater qu’il y avait une forte demande de leur part à tous les niveaux.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
L’accompagnement social (médiation vers l’insertion à l’emploi) dans la structure est relayé par « Le relais info service ». Il est destiné à aider les personnes désaffiliées de toutes structures à constituer un C.V, une lettre de motivation et le cas échéant à les initier à l’outil informatique (inscription au Pôle emploi, candidature spontanée sur internet…). La population a l’opportunité de rencontrer les deux médiateurs sociaux, sur deux lieux de permanence ouverts avec une amplitude horaire assez large 9 h 12 h à 13 h 30 19 h (animathèque/ Agora pour tous).
Cet accompagnement social est destiné à aider les personnes désaffiliées ou éloignées à constituer un dossier et de les informer et conseiller sur des formalités nécessaires (cv, une lettre de motivation, sécurité sociale) pour rentrer dans la vie active, ainsi qu’une aide aux démarches administratives peuvent être apportée. Nous avons observé que pour certains la difficulté de l’utilisation de l’outil informatique devenait compliquée ou d’autres n’ont pas le matériel nécessaire. C’est pour cela que le centre socioculturel met à disposition des ordinateurs ou la mise en place d’ateliers pour leur apporter des connaissances informatiques.
Notre travail consiste à répondre à chaque demande des habitants, de trouver une solution la plus adaptée possible et les accompagner si nécessaire suivant la situation ou les difficultés rencontrées (début dans la vie professionnelle, première démarche, mobilité, difficulté de langage et d’écriture) ou les habitants peuvent aussi bien venir pour une simple photocopie ou un renseignement. Cela nous permet d’avoir des approches différentes et un public diversifié. Nous pouvons observer le public du relais infos services diversifié (familles monoparentales, jeunes 16/25, personnes âgées, personnes en situation d’illettrisme, l’âge, filles, garçons).
- Ressources financières mobilisées pour cette action
52 800 euros
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 ETP
- Résultat sur le territoire
Il est important de préciser que le but de nos actions de prévention n’est pas de créer de nouveaux dispositifs qui viendraient se surajouter à ceux déjà existants. Il s’agit plutôt de mieux exploiter les structures existantes en les faisant travailler en cohérence avec les besoins du territoire.
- Résultat pour le centre social
Certains habitants ont rencontré auparavant des échecs dans leur parcours de vie, de fait ce travail est pour nous important, afin que la personne arrive confiante, dans des dispositions adaptées.
Nous avons pu observer grâce à notre implantation au coeur des 4 AS et notre travail quotidien de proximité avec les habitants leurs besoins et attentes :
- Avoir un lieu de repère
- Une aide administrative
- Une écoute, un conseil, un échange
- Un accompagnement dans certaines démarches (emploi, formation, santé, logement, création d’entreprise)
- Informer ou être orienter vers les partenaires
- Des activités diverses-Suivi individualisé et renforcé
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Secteur Adulte / MSAP
- Structure organisatrice
- LE SAVOIR PARTAGE - Pyrénées-Atlantiques
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Démocratie & citoyenneté
- Viellissement
- Emploi, économie
- Santé
- Environnement
- Logement
- Précarité
- Intégration
- mobilité / transport
- discriminations
- alphabétisation & apprentissage du français
- Mixité sociale
- Résumé
Dans le cadre du Secteur Adulte, nous mettons en place plusieurs type d'accompagnement et animation :
* Loisirs : atelier dessin, scrabble, ateliers créaticité parlotte
*Apprentissages : Atelier informatique, Cours d'Anglais, cours d'espagnol, cours de prtugais, FLE
* Accompagnements MSAP : Aide aux démarches administratives, aide à la réalisation de CV et lettre de motivation, point internet
*Formations professionnelles
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
* Mise en place d'atelier Bien être - confiance en soi
*Mise en place des Sorties Culturelles des parents
Actions
accès à l'habitat de familles des gens du voyage
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ITINERANT LA VERDINE - Rhône
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Logement
- Précarité
- discriminations
- Résumé
action de relocalisation de l'habitatd'une viongtaine de menages actuellement sur un terrain provisoire dégradé pour acceder a un habitat aux normes sur des communes de la communauté de communes co porteuse du projet
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Autre
- Précision ( si autre )
le centre socialLa verdine, la communaut de communes
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
situation de bidonville
travail sur les représentations de l'habitat
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
comité de pilotage qui suit les travaux du groupe d'animaltion operationnelle
- Ressources financières mobilisées pour cette action
14000 eros
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
une dizaine de pofessionnels et les habitants cncernés
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
peu d'impact le centre social est un centre social itinerant
- Résultat pour les habitants
relogement
- Suite de l'action : Limites
inclusion sociale sur le territoire si resolution des effets des regards discriminants
- Suite de l'action : Perspectives
definition des projets par commune
demarrage du prmeier projet pour un menage et cinq enfants.
Actions
PLATEFORME JEUNESSE
- Structure organisatrice
- CENTRE D'ANIMATION SAINT JEAN - Rhône
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Action "Plateforme Jeunesse"
Cette action ne sera pas reconduite en 2023/24, en raison du non financement de la subvention sollicitée.
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- Intégration
- Mixité sociale
- Résumé
la plateforme jeunesse est un outil collaboratif permettant la mise en lien des jeunes en situation de non emploi avec les intsitutions ad'hoc (Mission locale, AFPA, PEF permanence emploi formation de notre centre social...).
Il s'agit d'orienter le jeune vers les structures adaptées pour mieux cibler les problématiques (Emploi et formation) et trouver des réponses adaptées.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Mise en place de cette plateforme pour répondre à la problématique récurrente des jeunes sans emploi, ni formation. Cibler les difficultés du jeunes mais également ces potentiels pour l'orienter plus facielement vers un dispositif.
- Public
- Jeunes adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Durant l'année, des réunions sont organisées entre le coordinateur jeunesse enfance, la PEF, la mission locale, et les autres partenaires (BOOSTER, EMERJEAN, ACOLEA Prévention spécialisée...) pour abordre les problatique rencontrées par les jeunes les plus éloignés des dispositifs. Il s'agit de réintéroger les potentiels et les motivations des jeunes à trouver un emploi ou une formation adaptée et désirée. Une fois par semaine, un point est réalisé entre la PEF et le coordinateur. Une réunion mensuelle est mise en place avec les autres partenaires et les jeunes ciblés.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Un coordinateur "jeunesse enfance",
Une coordinatrice PEF,
Une Conseillère en Insertion Professionnelle,
Une éducatrice de la prévention spécialisée,
un conseiller mission locale.
- Résultat sur le territoire
Meilleur ancrage territorial (entre les partenaires)
Prise en charge plus adaptée des jeunes en situation de rupture face à l'emploi ou à la formation.
- Résultat pour le centre social
Meilleur ancrage territorial (entre les partenaires)
Synergie des compétences locales au profit du jeune.
- Résultat pour les habitants
Réponse plus adaptée et individualisée.
- Suite de l'action : Limites
Financement non pérenne. Actions tributaires des financements attribués.
- Suite de l'action : Perspectives
Action gelée par le non financement de la politique de la ville.