Les actions des centres sociaux
Actions
MAISON DE SERVICES AU PUBLIC
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL DE FOURCHAMBAULT - Nièvre
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- Démocratie & citoyenneté
- Viellissement
- Emploi, économie
- Santé
- Logement
- Mixité sociale
- Résumé
La Maisoon de services au public permet de mettre en relation l'usager les partenaires suivants :
- Assistante sociale du Conseil départemental
- CAF
- RSI
- Services de l'Etat
- MSA
- CPAM
- Pole-emploi
Elle permet une mise à disposition et éventuellment un accompagnement dans l'utilisation d'équipements bureautiques
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Autre
- Précision ( si autre )
Les services de la préfecture
- Territoire concerné
- Autre
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pour offrir aux habitants des services de proximité et réduire les inégalités.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Autre
- Description générale
Action débutée en 2015 en lien étroit avec la Préfecture de la Nièvre dans la démarche de labellisation. Inauguration par le Préfet et le Président du Conseil Départemental.
Début de la mise en oeuvre de la MSAP 1er janvier 2016.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Financements FNADT et fonds inter-opérateurs
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 professionnels, 2 bénévoles : écrivain public et intervenante CLCV.
- Résultat sur le territoire
Accèder aux droits.
Répondre à la problèmatique de la mobilité.
Favoriser la proximité.
- Résultat pour le centre social
Un service utile et nécessaire qui répond aux besoins des habitants.
- Résultat pour les habitants
Services de proximité et accès aux droits.
- Suite de l'action : Limites
L'intervention financière de l'Etat doit perdurer pour que l'action demeure
- Suite de l'action : Perspectives
La Maison de Services au Public devrait perdurer au regard de l'augmentation des demandes
Actions
Alphabétisation-Insertion-Citoyenneté
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL Harpèges- Les accords solidaires - Alpes-Maritimes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Intégration
- alphabétisation & apprentissage du français
- Résumé
L'action « d'alphabétisation-insertion-citoyenneté » vise à renforcer avec les bénéficiaires les bases d'un parcours d'insertion sociale et/ou professionnelle. Elle a pour objectif d'accompagner le public vers une plus grande autonomie en leur donnant quelques repères, à partir le plus souvent, de situations de la vie quotidienne, comme prendre un rendez-vous chez le médecin, téléphoner, répondre au téléphone…
Il est important de souligner que l’alphabétisation ne doit pas se limiter à l’apprentissage linguistique, c’est un outil d’autonomisation personnelle et un facteur de développement social et humain, permettant aux apprenants d’enrichir leur esprit critique.
Ces ateliers répondent donc à trois objectifs principaux :
- Progresser dans l’apprentissage de la langue française (orale ou écrite).
- Mieux connaître l’organisation de la société (démarches, emploi, culture, etc.) et développer sa capacité d’y agir de manière autonome. Les ateliers collectifs « citoyens » proposés aux bénéficiaires se construisent à partir des besoins repérés ou exposés par ce public, de ses centres d’intérêts pour favoriser une plus grande adhésion. Ces ateliers offrent aussi un espace de découverte des institutions et des espaces culturels et une meilleure connaissance des valeurs de la République, des fondements de la laïcité et des codes sociaux.
- Créer du lien social : pour nombre de personnes, des femmes le plus souvent, les ateliers sociolinguistiques permettent de partager, de faire des rencontres et de sortir de l’isolement.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Diverses demandes préalablement diagnostiquées servent de point d'ancrage à ce projet.
Ces demandes émanent :
-
des mères de famille, d’origine étrangère, désireuses de s’investir dans l’éducation de leurs enfants et acquérir globalement une plus grande autonomie,
-
des populations immigrées, installées en France depuis plus de 4 années,domiciliées prioritairement sur le Grand Centre de la ville de Grasse, pour lesquelles la barrière de la langue constitue encore un obstacle à leur insertion et à leur intégration,
-
des personnes d’origine française, notamment des jeunes,souffrant d’illettrisme et souhaitant améliorer leur compétence à l’écrit.
-
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Dans sa mise en œuvre opérationnelle, le projet d’alphabétisation-insertion-citoyenneté s’articule autour de 2 axes complémentaires : Des cours d'alphabétisation constitués par groupe de niveau et des actions collectives s’appuyant sur des thématiques spécifiques.
A l’issue, d’une phase d’évaluation, 4 groupes sont organisés en fonction du niveau de compétence des apprenants : grand débutant, débutant, intermédiaire et avancé. Chaque groupe est composé de 5 à 8 apprenants.
Les cours sont assurés par des bénévoles qui interviennent, chaque fois que possible, en binôme permettant ainsi un accompagnement parfois individualisé voire personnalisé.
Les cours ont lieu dans les locaux de l'association à raison de 2 séances par semaine. Chaque cours dure 2 heures.
Les « apprenants » bénéficient donc d'un minimum de 4 heures d'apprentissage hebdomadaire. Certains parmi eux ont opté pour plusieurs groupes de niveaux semblables, ce qui peut représenter 6 à 8 heures de participation par semaine.
La coordination de l'action est assurée par la responsable du centre social en lien avec une salariée référente, chargée de faire passer les tests de niveau, avec l’aide d’un groupe de bénévoles.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Contrat de ville :
Etat: 15 000€
Région : 6 000€
Commune: 12 000€
ASP (Agence de Service et de Paiement) : 7 589€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
17 bénévoles intervenants parfois en binôme
1 médiatrice sociale
- Résultat sur le territoire
Cette action de proximité, conjuguée avec les autres activités de médiation sociale, a contribué, encore cette année, par le nombre de personnes accompagnées sur le secteur prioritaire de la politique de la ville (79 % en 2015), à prévenir l’isolement. Elle a permis de faciliter l’intégration des populations migrantes dans la vie locale mais aussi celles, nées en France, illettrées qui ont eu besoin de consolider leurs connaissances de bases à gagner encore un peu plus en autonomie.
Les ateliers sociolinguistiques ont apportés une ouverture sur les espaces sociaux et/ou culturels. Les actions citoyennes transversales aux différents ateliers ont permis de les sensibiliser aux codes sociaux, et à l’exercice des responsabilités sociales.
- Résultat pour le centre social
Les bénéficiaires des ateliers d’alphabétisation-insertion-citoyenneté ont été nombreux à s’investir sur les autres actions du centre social, démultipliant ainsi les espaces de socialisation et d’apprentissage.
Fédérateur, vecteur de bien être, d’ouverture, de partage l’ensemble des actions organisées avec les usagers des ateliers socio-linguistiques leur offrent des occasions de rencontres interculturelles et intergénérationnelles qui contribuent au mieux vivre ensemble.
- Résultat pour les habitants
D’un point de vue général, cette action a conduit une majorité de personnes à se familiariser avec la langue française et en acquérir les bases, permettant ainsi aux apprenants de communiquer plus facilement et de faire face aux situations de la vie quotidienne. Les ateliers d’alphabétisation-insertion-citoyenneté ont permis à un grand nombre de personnes d’origine étrangère, ou souffrant d’illettrisme, de capitaliser des savoirs et savoirs-faire, des compétences sociales transférables à d’autres situations de la vie personnelle et/ou professionnelles. Les ateliers citoyens ont aidé les bénéficiaires à mieux décrypter les règles et valeurs de la société française. Durant l’année, dans chaque groupe d’apprenants, au moins une sortie s’est organisée en Mairie, CPAM, … ou dans d’autres institutions, afin de les aider à mieux repérer les services publics de proximité.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
-Continuer de faire évoluer les pratiques et intégrer dans cette dynamique les nouveaux bénévoles arrivés au cours de l’année.
-Poursuivre la formation des bénévoles en ciblant la formation sur des thématiques qui les interrogent. - Mettre en place, au sein de la structure, des espaces d’échange de pratiques et de mutualisation.
-Renforcer la participation des apprenants sur l’ensemble des actions collectives portées par le centre social.
- Lutter contre l’illectronisme. Développer des actions d’initiation à l’outil informatique et de sensibilisation à l’utilisation des technologies de l’information et de la communication, à l’utilisation des réseaux sociaux et plus généralement à l’utilisation d’internet.
Actions
Accompagnbement Social et Médiation- Permanence d'écrivain public
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL Harpèges- Les accords solidaires - Alpes-Maritimes
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Démocratie & citoyenneté
- Précarité
- Résumé
La médiation sociale est une action transversale qui permet de mobiliser les compétences internes de l’association au service des usagers accueillis.
L’action consiste à assurer un accompagnement individualisé dans tous les domaines de la vie quotidienne (santé, logement, famille, emploi, éducation…) en étant à l’interface des institutions pour s’adapter aux problématiques rencontrées.
Les permanences d’écrivain public proposées, trois demi-journées par semaine, se retrouvent étroitement liée à la médiation sociale. Les personnes ayant besoin de faire un courrier, sans nécessité de suivi spécifique par les services sociaux, MSD ou CCAS, sont automatiquement orientées sur cette permanence, tenues par trois bénévoles aguerris aux pratiques sociales et de gestion dont ceux sont d’anciens directeurs de ressources humaines, la troisième ayant une longue expérience en la matière acquise dans les centres sociaux des Bouches-du-Rhône. Ces permanences, totalement complémentaires, ont été élargies par une permanence supplémentaire (d’une demi-journée par semaine) axée sur les litiges civils.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Une partie de la population (située notamment dans le centre ancien de Grasse) ne peut réaliser de démarches administratives seule. Ces difficultés sont liées à diverses problématiques : pas de maîtrise suffisante de la langue française, difficultés sévères à l’écrit (sans être nécessairement dans une situation d’illettrisme), illectronisme, ou fracture numérique, véritable frein à des démarches s’effectuant le plus souvent soit par courrier, soit par site internet.
Les retards et les absences de réalisation dans ces démarches peuvent aggraver certaines situations déjà fragiles avec ruptures de droits, etc..
Ces difficultés touchent diverses thématiques :
- Accès aux droits,
- Rédaction de courriers,
- Préparation de dossiers sociaux d’emploi, maladie, pensions, retraite,
- Etablissement de demandes de surendettement,
- Recherche de logements etc…
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Fréquence :
-
Les permanences de médiation sociale sont quotidiennes. Elles s’organisent sur rendez-vous de 9h à 13h00 et de 14h00 à 18h (sauf le vendredi où le public est accueilli jusqu’à 17h).
-
Les permanences d’écrivain public ont lieu les mardi et vendredi après-midi.
-
La permanence axée sur les litiges civils a lieu tous les mercredis matin.
Echéancier de l’action :
Les permanences d’accueil individuel se font sur rendez-vous. Un bilan de la situation globale de la personne accueillie est réalisé. Le plan d’action est élaboré avec l’usager et vise à promouvoir son autonomie en favorisant ses ressources et potentialités, en l’impliquant activement dans les démarches à effectuer. En fonction des problématiques, un suivi se met en place ou une orientation est proposée. Dans une grande majorité des situations, un travail en transversalité avec d’autres secteurs d’Harjès est proposé : cours d’alphabétisation, suivi dans le cadre de l’aide aux victimes, orientation pour les parents vers les accueils de loisirs enfants-adolescents, etc..
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- Ressources financières mobilisées pour cette action
Contrat de ville :
- Etat : 13 500€
- Région : 13 000€
- Commune : 24 500€
ASP ( Agence de Service et de Paiement) : 27 529 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Equipe mixte:
- 2 médiatrices sociales
- 3 bénévoles
- Résultat sur le territoire
L’action d’accompagnement et de médiation sociale a permis l’accueil et le suivi d’un grand nombre de publics fragilisés, éloignés des dispositifs sociaux, sanitaires, de droit commun.
Cette action, très utilisées par les habitants, démontrent par le nombre d’usagers recensés le besoin existant d’accompagnement dans les difficultés et démarches de la vie quotidienne. Destiné à un public d’adultes, cet accompagnement fait l’objet d’une attention particulière en direction des personnes isolées et vieillissantes, des familles monoparentales, toutes en grand nombre sur ce territoire.
Dans un contexte économique et social particulièrement tendu ces dernières années, le service d’accompagnement et de médiation sociale occupe une place prépondérante au sein du quartier et rempli, autant que peut se faire, un rôle de « régulateur social ».
- Résultat pour le centre social
Du 1er janvier au 31 décembre 2016, 1126 personnes ont bénéficié des services de la médiation sociale.
Le nombre de bénéficiaires de l’action d’accompagnement social et de médiation est en constante augmentation depuis 2013. Ils étaient 682 en 2013, 1106 en 2014, 1423 en 2015 à la même période. (Le pic de 2015 s’explique par la fermeture de l’agence Caf de Grasse et la création du point-info CAF au centre social). L’augmentation des fréquentations des permanences de médiation démontre combien il est important de maintenir et développer ce service de proximité dans le secteur du Grand Centre et plus précisément sur le Centre Historique où les situations, d’une partie des habitants, sont particulièrement fragiles.
Destiné à un public d’adultes, cet accompagnement fait l’objet d’une attention particulière en direction des personnes isolées et vieillissantes, des familles monoparentales, toutes en grand nombre sur ce territoire.
- Résultat pour les habitants
Investis dans un partenariat riche et dynamique, les médiateurs sociaux proposent aux bénéficiaires, une prise en charge et un accompagnement social global. Ils prennent en compte, dans leur diagnostic les ressources, les potentialités, l’environnement familial et social de l’usager.
L’équipe tente, aussi souvent que possible, d’influer sur la capacité d’agir de la personne, sur son implication et sa responsabilisation dans toutes les démarches entreprises. L’objectif visé étant l’acquisition d’une plus grande autonomie.
L’accueil de partenaires, au sein du centre social, pour la tenue de leurs permanences (administrateurs Ad Hoc Actes Pelican, référent PLIE, travailleurs sociaux de la Maison des solidarités de Grasse Nord, travailleurs sociaux CAF du volet allocataires Pôle d’Interventions Sociales de Cannes.. ), permet d’offrir aux habitants d'autres prises en compte de proximité de leurs difficultés.
- Suite de l'action : Limites
Lutter contre l’illectronisme :
Les difficultés renforcées, chez certaines personnes (personnes âgées et/ou des personnes peu qualifiées en recherche d’emploi) engendrées par l’utilisation des technologies de l’information et de la communication représentent un enjeu majeur aujourd’hui avec lequel doit conjuguer le centre social.
Le problème qui se pose pour ces publics, ne se situe pas seulement par l’exclusion d’internet, mais plus fondamentalement au plan de l’information.
De plus en plus de démarches administratives passent par une plate-forme numérique (déclaration de ressources, constitution de dossier, ouverture de droits, inscription à l’Espace Activité Emploi, la plupart des annonces d’emploi sont aujourd’hui diffusées par internet…).
Afin de prévenir et limiter ces inégalités face à l’accès au savoir et aux démarches de la vie courante, il apparaît important de travailler avec le public sur l’acquisition des connaissances clés nécessaires à l’utilisation des ressources électroniques.
Aussi, si l’Espace Régional Internet Citoyen (ERIC) « hébergé » au sein même du centre social apporte déjà une plus-value aux activités de médiation sociale (près de 598 personnes reçues sur le premier semestre au sein de l’ERIC dont 90 % résident au Centre Ancien). Ce partenariat se renforcera et proposera des actions ciblées pour lutter contre cette fracture numérique (utilisation de l’environnement informatique, création d’adresse Email,..)
- Suite de l'action : Perspectives
Développement des ressources internes afin d'accompagner les demandes croissantes des usagers.
Actions
"LA MAISON DES PARENTS"
- Structure organisatrice
- LES PASSERELLES SUR CEZE - Gard
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
La MDP est un lieu de soutien à la parentalité, ouvert à tous. Lieu chaleureux où chacun peut se sentir accueilli, dans toutes ses différences, dans la confiance et la convivialité. Lieu d'échanges, d'information, de questionnements et d'écoute, d'accompagnement et de soutien aux initiatives répondant aussi aux besoins des partenaires institutionnels; Espace d'animation, de coopération ; gratuit, confidentiel et libre d'accès.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- accueillir les parents, sans préjugés et sans jugements, et les accompagner dans toute demande d'aide, d'écoute et de soutien en rapport avec la parentalité.
- Favoriser la réflexion et les questionnements sur la relation parents/enfants.
- Conforter les compétences parentales.
- Favoriser la rencontre, la solidarité et les échanges d'expériences entre parents.
- Créer un lieu ressources pour les parents et les professionnels autour de la parentalité.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
L'idée de la création de la Maison des Parents est née de discussions avec des parents adhérents de l'association en 1997. Très vite, cette idée a été présentée à de nombreux partenaires locaux intervenant dans le champ de la parentalité. Dès juillet 1997 s'est mis en place un groupe de travail constitué de parents, d'animateurs de l'association, et de partenaires. La Maison des Parents a ouvert ses portes en ...2010 : longue gestation partenariale qui a permit à cette action de perdurer et qui ne cesse de se développer tant la demande des parents est forte et le partenariat solide.
Une équipe d'accueillante a été constituée (parents et professionnels) et formée à la communication bienveillante pour répondre aux objectifs et à la volonté de tous de déterminer une posture commune d'accueillante. Les professionnels sont des travailleurs sociaux mis à disposition par la commune de Bagnols sur Cèze, la Caf du Gard, le Conseil Départemental, l'ADMR, et des animtrices de l'association. Un groupe de travail partenarial se réunit 4 à 5 fois par an pour suivre l'évolution de l'action, croiser les regards sur la parentilté...
L'évolution des actions développées au sein de la Maison des Parents se fait en fonction des demandes, interrogations, propositions des parents.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget 66 800 €
Charges : 60 / Achats : 5000 €
61 / Services extérieurs : 700 €
62 / Autres services Ex. : 7500
63+64 : Charges de personnel : 53600
Produits : Subventions d'exploitation : 64000 (état : 18100 ; Conseil départemental : 7200 ; Commune : 2000 ; Valorisation salaires associatifs :36700)
Autres produits de gestion courante : 2800
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
25 professionnels et 10 bénévoles
- Résultat sur le territoire
Création d'un nouveau lieu d'accueil innovant concernant la parentalité
Partenariat renforcé ; meilleure connaissance des uns et des autres ;
- Résultat pour le centre social
Développement de son activité autour de la parentalité ; meilleure inscription sur le territoire ; contribution renforcée à l'animation du terroitoire dans le champ de la parentalité ;
Réflexion renouvellée autour de la parentalité .
- Résultat pour les habitants
Nouvelle réponse à une demande forte des parents : lieu de rencontre, de convivialité, de soutien, de réflexion, d'échange de savoirs faire, de socialisation, d'informations, d'orientation ...
Possibilités accrues pour les parents de voir leurs initiatives soutenues
- Suite de l'action : Limites
En 2015 les limites à l'action n'ont pas été atteintes car encore en plein développement
- Suite de l'action : Perspectives
Développer les actions autour de la thématique de l'adolescence
Développer la participation des parents à la vie de la Maison des Parents
Actions
Appuyer la naissance du Conseil Citoyen et sa bonne gouvernance.
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL JOLIMONT-SOUPETARD - Haute-Garonne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Conseil citoyen autonome.
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Le Centre Social Jolimont-Soupetard a, dans un premier temps, appuyé les habitants du quartier prioritaire de Soupetard -La Gloire lors de leur réflexion collective pour leur diagnostic du territoire et la première définition de priorités.
Dans la continuité, le Centre Social a appuyé la mobilisation des habitants du quartier prioritaire pour la constitution du Conseil Citoyen.
Le Centre social Jolimont-Soupetard a accueilli la première réunion de Conseil Citoyen de la Métropole.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La nouvelle politique prioritaire marque l'engagement de la Ville à constituer des instances autonomes consultatives et participatives à la vie citoyenne locale dans chaque quartier prioritaire : les Conseils Citoyens.
De part sa fonction d'établissement d'animation sociale globale et de force d'appui au développement de la citoyenneté des habitants et de la gouvernance, le centre social a souhaité être un acteur de la réussite de cette initiative, en appui à la DDS.
L'objectif était d'appuyer la constitution du Conseil Citoyen sur le Quartier prioritaire de Soupetard La Gloire et de contribuer à l'émergence d'une bonne gouvernance de cette instance locale d'habitants.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
1/ Un diagnostic partagé des enjeux prioritaires sur le territoire de Soupertard-La Gloire
Lors du passage en nouveau territoire de la Politique Prioritaire de la Ville, des ateliers de concertation ont été engagés. Ils visaient à recueillir, auprès des habitants et des acteurs publics et associatifs du territoire, des éléments de diagnostic et d'analyse et permettre ainsi d'identifier des problématiques et enjeux majeurs pour le quartier.
De son côté le Centre social Jolimont-Soupetard achevait son propre diagnostic social de territoire (préalable au Contrat-Projet). Les divers diagnostics ont été partagés et enrichis.
Le centre social a participé aux trois ateliers de partage du diagnostic et de mobilisation des habitants. Le Centre social a également accompagné la participation active de plusieurs habitants isolés, et inexpérimentés en travaux collectifs, pour qu'ils participent aux différents ateliers et puissent s'exprimer.
Au total, 36 structures différentes ont participé à ces travaux collectifs sur le territoire : associations, établissements et institutions publiques. Les commercants, des habitants et des collectifs d'habitants étaient également de la partie.
2/ Appui à la constitution du Conseil Citoyen de Soupetard-La Gloire
En appui à la DDS, le Centre social s'est positionné comme relais pour la constitution du Conseil Citoyen. Le Centre social a appuyé la communication auprès des habitants du quartier et leur mobilisation. L'antenne de Soupetard s'est transformée en "bureau de vote" pour l'élection d'habitants membres du Conseil Citoyen.
Enfin, l'antenne Soupetard du Centre social a accueilli la première réunion du Conseil Citoyen Soupetard La Gloire (première réunion d'un Conseil Citoyen pour la Métropole).
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Mise à disposition gratuite par le Centre social de locaux et d'agents de développement social.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Au total 36 structures associatives et publiques (soit environ 100 personnes, professionnels et bénévoles, directement impliquées) + Les habitants consultés et mobilisés.
- Résultat sur le territoire
- Création du premier Conseil Citoyen de la Métropole.
- Etablissement d'un diagnostic partagé du territoire prioritaire Soupetard-La Gloire.
- Mobilisation d'habitants et développement citoyen.
- Ancrage partenarial du centre social pour les thématiques de citoyenneté et de gouvernance locale.
- Relais vers le dispositif ADMQ et implication des membres du Conseil Citoyen dans les projets proposés au dispositif ADMQ.
- Résultat pour le centre social
- Reconnaissance du centre social par les acteurs de la citoyenneté sur le territoire.
- Connaissance/reconnaissance du centre social dans le paysage partenarial associatif et les collectifs habitants (l'antenne de Soupetard venant d'ouvrir ses portes).
- Contribution à l'axe prioritaire du Contrat-Projet : "Développement de la Gouvernance"
- Connissance/reconnaissance de la place du centre social pour les habitants et augmentation des adhésions.
- Résultat pour les habitants
- Participation active à l'élaboration d'un diagnostic social de territoire.
- Participation active à l'établissement des régles de gouvernance et à la constitution d'un Conseil Citoyen "pour tous et ouvert à tous"
- Suite de l'action : Limites
Le risque est que le Conseil Citoyen s'essouffle (perte de membres, non renouvellement...).
Le chef de projet DCVRU continue son appui au Conseil Citoyen et veille aux respect des règles de fonctionnement par une présence ponctuelle encore parfois nécessaire.
- Suite de l'action : Perspectives
Le Conseil Citoyen Soupetard-La Gloire est désormais autonome et fonctionne sur des régles de gouvernance bien définies et qui lui sont propres.
Le Conseil Citoyen est membre de plusieurs instances du territoire (à titre consultatif) : Commission de quartier ; Comité technique de la Politique de la Ville : Comité de gestion ADMQ....
Le Conseil Citoyen est une instance identifiée et représentative sur le territoire de Soupetard-La Glorie, il est l'expression d'une démocratie locale participative active. Ses membres sont conviés à la large majorité des réunions de coordination thématique du territoire (coordination parentalité par exemple).
Le Conseil Citoyen a développé des commissions de travail dont certaines assurent des permanences et des réunions dans les locaux du centre social (antenne de Soupetard).
Actions
Local jeunes 16/25 ans : un lieu de sociabilité pour tous les jeunes adultes
- Structure organisatrice
- MAISON POUR TOUS MONPLAISIR - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Démocratie & citoyenneté
- Intégration
- Résumé
Le local jeunes est un espace implanté en dehors de toute institution pour accueillir les jeunes adultes de 16 à 25 ans dans un quartier populaire où un tiers de la population vit sous le seuil de pauvreté. Il est ouvert du mardi au samedi en périodes scolaires et du lundi au vendredi en périodes de vacances scolaires de 17h00 à 22h00. Le local jeunes est un espace aménagé pour bien accueillir les jeunes (bar, canapé, baby-foot, jeux de société) qui s'adapte au temps des jeunes (ouverture encore plus tardive en fonction des demandes).
L'équipe d'animation composée de trois professionnels met en place un service d’aide : documentation, mise en relation avec des institutions et des partenaires, aide à la recherche d’emploi, de stage, de formation, ou d’orientation.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Autre
- Précision ( si autre )
Suite à des demandes récurrentes de jeunes qui lui étaient formulées en vue de bénéficier d’un lieu dédié dans le quartier de Monplaisir, la Ville d’Angers s’est engagée à créer un espace pour les 16/25 ans dans ce quartier en 2008.
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le projet du Local jeunes s'inscrit dans un projet de développement local, complémentaire et cohérent avec l’offre existante :
- Favoriser la mixité entre jeunes (sociale et de genre)
- Promouvoir la participation des jeunes
- Capter des publics « NEET »/«hors-circuit » dans le but de les inscrire dans des parcours d’insertion sociale et professionnelle en lien avec les différents acteurs jeunesse
La commande de la Ville exprime, dans le cahier des charges, cet objectif d’accueil en lui attribuant trois modalités opérationnelles :
- « Être ouvert aux différentes jeunesses du quartier.
- Leur permettre de se rencontrer de façon informelle.
- Être adapté aux temps des jeunes. L’accueil doit être souple, sans inscription obligatoire, il doit être organisé en fonction des besoins et réalités locales. »
A ces trois modalités de mise en œuvre du local jeunes, s’ajoute la recherche de visibilité dans la mesure où il s’agit aussi de remettre les jeunes au cœur du quartier. Le Local jeunes a ainsi été implanté le long d'une artère de communication importante. Le lieu a vocation à accueillir tous les jeunes du quartier, sans exception, dans une optique d’« espace de sociabilité ».
- Public
- Jeunes adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Suite à des demandes récurrentes de jeunes qui lui étaient formulées en vue de bénéficier d’un lieu dédié dans le quartier de Monplaisir, la Ville d’Angers s’est engagée à créer un espace pour les 16/25 ans dans ce quartier en 2008.
A l’été 2009, un appel à projet dans le cadre d’un marché public à procédure adapté (MAPA) a été lancé par la Municipalité en vue d’en confier la gestion et l’animation à un opérateur. La Maison pour tous de Monplaisir (MPTM) a répondu à l'appel à projet et s’est vue confier la gestion et l’animation de ce nouveau lieu.
Le local jeunes a officiellement ouvert ses portes en novembre 2010 pour une expérimentation d’un an. Il a ensuite été reconduit dans sa phase expérimentale. En 2016, à la fin de la phase expérimentale, la gestion du local jeunes a été intégré à la Covention Pluriannuelle d'Objectifs de la Maison pour tous.
Le local jeunes est doté de deux instances de gouvernance : l’une chargé du pilotage du projet et l’autre du suivi de sa mise en œuvre. Le comité de pilotage réunit les élus de la Ville et de la Maison pour tous. Il a pour a pour objectif de faire le bilan de l’activité du local, prendre des décisions quant à ses orientations et son financement et opérer, le cas échéant, des arbitrages. Le comité technique représente l’instance opérationnelle de la mise en œuvre du projet du local jeunes. Il a pour objectif le suivi et la régulation des activités qui y sont menées. Le comité technique réunit les acteurs suivants : Maison pour tous, Direction jeunesse de la Ville, Association pour la Sauvegarde de l’enfance et l’Adolescence (ASEA), le chef de projet du pôle de territoire de la Ville, la Mission Locale Angevine (MLA). Dans cette instance, les animateurs proposent un retour de leur activité et de leur expérience, présentent ce qui pose question ou problème et le mettent en débat.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
100.200 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 professionnels (Conseiller ESF, Moniteur-éducateur, animateur socio-culturel)
- Résultat sur le territoire
Les 180 jeunes qui fréquentent le local durant l'année sont majoritairement des garçons âgés de 16 à 22 ans. Près d'un tiers de ces jeunes sont des jeunes "hors-circuit". Les filles sont très marginales. Nombreux sont les témoignages recueillies au niveau de l’évaluation pour faire part de la baisse des tensions dans les espaces publics, aujourd’hui plus apaisé grâce au local jeunes.
- Résultat pour le centre social
Le local jeunes a permi à la Maison pour tous d'élargir son offre et de retisser du lien avec un public de jeunes adultes. Elle peut désormais intégrer des jeunes adultes aux activités intergénérationnelles qu'elle mène sur le territoire.
- Résultat pour les habitants
Les jeunes qui le fréquentent l’apprécient avant tout en tant que lieu de sociabilité avec différents « services » : café, baby foot, télé, presse. La présence des animateurs leur offre un repère et donne parfois du sens à leur présence :
« C’est comme un petit café où on est posé. On peut discuter, s’amuser, c’est une zone de rencontre. Ici, ce qu’il y a de plus, c’est le dialogue avec les animateurs, on peut même échanger entre nous, on fait des débats. Ici, on a l’esprit ouvert : on discute, on échange des idées. » (Jeune de 22 ans).
Les jeunes utilisent également l'appui des animateurs pour un soutien dans leurs parcours scolaires ou professionnels.
- Suite de l'action : Limites
Depuis plusieurs années, aux côtés des formes traditionnelles d’accueil (dans le cadre d’actions programmées), on constate une montée en charge progressive de nouveaux modes d’accueil : non formels, informels. Aujourd'hui, le non formel est quasi intégré comme un mode d'intervention au cœur des pratiques du Local jeunes mais le projet éducatif dans lequel il s'inscrit est encore à faire évoluer.
- Suite de l'action : Perspectives
La configuration des locaux pose quelques problèmes et ne facilite pas toujours la tâche des animateurs au quotidien. Dans cette perspective, et en s'appuyant sur l'expertise d'usage de la Maison pour tous, un nouveau lieu d'accueil est envisagé dans le cadre de la rénovation urbaine du quartier.
Actions
A LA RENCONTRE DES AUTRES
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL TSIGANE - U.D.A.F. 23 - Creuse
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- discriminations
- Mixité sociale
- Résumé
Le Centre Social Tsigane a accompagné les jeunes dans la réalisation d'un travail de recherche sur l'histoire, les origines et la culture tsigane. Ces recherches ont abouti à la réalisation de l'exposition "Ketenes Ni Creusa" qui a été mise en valeur lors du 1er festival culturel des familles Tsiganes en Creuse en octobre 2015. Elle se compose actuellement de 22 panneaux qui brossent globalement 1000 ans d'histoire tsigane. Cette exposition a ensuite été présentée dans deux établissements scolaires (collège). Deux rencontres ont été organisées afin que les jeunes tsiganes et les élèves échangent autour de cette exposition et plus largement autour des éléments qu'elle contient. Nous souhaitons poursuivre cette action qui contribue à la lutte contre le racisme, à l'engagement citoyen et au bien-vivre ensemble. La diffusion et la présentation de l'action suivies d'un débat pourra se mettre en œuvre avec des établissements scolaires ou des associations ou structures qui accueillent un public jeune. Il est souhaitable qu'au moins un événement se passe pendant la semaine d'éducation et d'action contre le racisme et l'antisémitisme. Des contacts avec un établissement sont d'ores et déjà amorcés. Nous prévoyons de réaliser 4 interventions sur l'année 2017. Il est envisagé de réaliser un document que les jeunes non-tsiganes pourront garder reprenant les éléments phares de l'exposition.
Le Centre Social se donne pour ambition de développer l'exposition par des "extensions" sur des thèmes précis: exemple: les tsiganes en Creuse en 39-45, etc...
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Précision ( si autre )
Les attentes des jeunes ont été identifiées par le Centre Social Tsigane lors des ateliers jeunes et font suite au travail de recherches, notamment aux archives départementales de la Creuse, engagés pour réaliser l'exposition "Ketenes Ni Creusa".
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Encourager les jeunes dans l'échange et la connaissance de l'autre afin de lutter contre le racisme, l'intolérance et la discrimination. Présenter le travail réalisé par les jeunes tsiganes à travers l'exposition Ketenes ni Creusa. Faire découvrir aux autres jeunes la culture tsigane. Répondre aux questionnements des jeunes tsiganes sur leur passé, leur histoire, leurs origines mais également, répondre aux questionnements des jeunes de toutes origines
Les jeunes tsiganes se plaignent régulièrement de l'image négative qu'ont leurs camarades de classe quant au mode de vie tsigane. Ils ont le souhait de faire découvrir leur culture, leurs origines afin de casser les stéréotypes dont ils se disent victimes. Ils souhaitent continuer à présenter "leur" exposition et à s'appuyer sur celle-ci pour créer des échanges. Ces échanges sont toujours encadrés par des enseignants et l'animatrice du Centre Social.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Le projet va se dérouler sur toute l'année 2017 avec une intervention par trimestre et plus particulièrement lors de la semaine d'éducation et d'action contre le racisme.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Charges de personnels
Transport
Achat de matériel
Publicité, publication
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
La coordinatrice du Centre Social Tsigane et l'animatrice référent famille sont les organisatrices de ce projet. Le Centre Social va utiliser les moyens mis à disposition par l'UDAF et les partenaires.
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Autonomie sociale
- Structure organisatrice
- Centre Social et Culturel Bourgogne - Nord
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Emploi, économie
- Mixité sociale
- Résumé
Le projet consiste en la mise en place d’un accompagnement personnalisé de personnes rencontrant des difficultés freinant leur mobilité sociale, ou culturelle, et par extension leur insertion professionnelle.
Pour ce faire, le projet consiste à capter, recevoir le public cible en entretien individuel, dans un premier temps, afin de faire le point sur la situation et dégager les problématiques rencontrées, puis de constituer un parcours adapté à la situation, dans un second temps, en passant par la participation active à des réunions de type « coaching de groupe » tous les jeudis après-midi (hors vacances scolaire).
Le but du travail en collectif étant de faire émerger et traiter plus efficacement les problématiques communes dans les domaines de :
- La parentalité,
- Le chômage,
- L’éducation des enfants,
- L’accès à la culture,
- La gestion des budgets,
- La découverte de l’environnement social et économique, loisirs.
- La lutte contre la violence
- …
La notion collective du projet repose sur le fait qu’une personne partageant des problématiques communes à d’autres personnes se sente moins isolée et dépourvue, et est en meilleure capacité de solliciter ses propres ressources.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L'action a été mise en place pour :
- Favoriser l’autonomie sociale via une action qui intègre la participation à la vie économique, à la vie sociale (personnelle et relationnelle)
- Contribuer à l’insertion par le logement en formant les personnes à la gestion en matière de consommation et à la maîtrise de leur cadre de vie.
En termes d'impacts, nous visons à davantage d’autonomie sociale, de mobilité culturelle, de capacité d’insertion professionnelle
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
L'action est menée sous la forme d'accompagnement individuel et d'animation de modules collectifs dans lesquels interviennent différents partenaires ou salariés selon les thématiques.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
environ 30 000 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 professionnels (1 coordinateur, 1 référent, 1 animateur)
15 à 20 partenaires selon thématiques abordés
- Résultat sur le territoire
l'action vise à améliorer la situation des allocataires qui rencontrent les difficultés sociales (logement/santé/emploi/endettement important/aides facultatives diverse ...)
Nos référents proposent en accord avec l'allocataire, les actions d'accompagnement adaptées en mobilisant à cet effet l'offre d'insertion territoriale disponible ou les dispositifs de droit commun permettant de lutter contre les exclusions sociales
- Résultat pour le centre social
légimitité vis à vis des habitants en termes d'accompagnement social
mobilisation des personnes rencontrant des difficultés sociales dans nos modules et réorientation vers d'autres activités du centre social.
- Résultat pour les habitants
meilleure autonomie dans la vie quotidienne, développement de la confiance en soi, de la connaissance des institutions, de l'environnement économique, de l'accès aux droits...
- Suite de l'action : Limites
le nombre de personnes accompagnés
l'enveloppe financière
l'engagement des participants sur la durée...
- Suite de l'action : Perspectives
maintenir l'action
Actions
Spectacle N°187
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIO CULTUREL JEAN PAUL COSTE - Bouches-du-Rhône
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- discriminations
- Résumé
Notre centre socio-culturel a décidé de créer un "objet Culturel citoyen", spectacle vivant réflexif visant un double objectif éducatif :
- éclairer le passé
- réfléchir sur le présent
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Autre
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Nous nous sommes rendus compte que les publics enfants et jeunes qui fréquentaient nos accueils (de loisirs et jeunesse) ne connaissaient pas l'Histoire du camp des Milles et la symbolique du "Wagon du souvenir" présent pour ne pas oublier ce qui a conduit à un génocide durant la seconde guerre mondiale. Le site Mémorial du camp des Milles est alors devenu un partenaire privilégié de notre centre. Nous avons nouer des liens et réfléchis ensemble sur la co-construction de modules éducatifs qui nous permettent de proposer un éclairage du passé pour mieux comprendre les rouages qui ont pu mener à cet épisode dramatique de notre Histoire.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Autre
- Description générale
Une rencontre entre la directrice du centre socio-culturel Jean-Paul Coste (Béatrice Lay) et le directeur artistique de la Compagnie Mémoires Vives (Yan Gilg) en 2011 a été le point de départ.
2011 : première rencontre avec la Compagnie Mémoires Vives / décision de co-produire une œuvre
2012 - 2013 : rapprochement avec la fondation du camp des Milles. Ecriture du Projet partenarial et recherche des moyens pour la production de la création de l'oeuvre et des recherches associées (laboratoire de recherches artistiques)
2013 - 2014 : résidences artistiques et création de la pièce N° 187 (sur le mode "participatif")
2014 - 2015 : partenariat avec la camp des Milles sur la partie "contenu" de la pièce et première représentation au camp des Milles2015 : suspension du projet faute de financement
2016 : reprise du "contenu" en fonction des retours de cette première représentation et passage du modèle "participatif" au modèle "professionnel" avec 15 artistes associés au plateau. 3 représentations à guichets fermés au camp des Milles2017 : recherche de programmateurs et/ou de financement pour permettre la diffusion du spectacle
- Ressources financières mobilisées pour cette action
BP 2017 : 51 000 € de charges (pour 15 acteurs au plateau, 2 techniciens, 1 directeur artistique et 1 metteurs en scène) :
Pour 5 jours (2 jours de montage/filage + 3 jours de représentation soit 6 représentations.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Equipe artistique : 15 acteurs au plateau, 2 techniciens, 1 directeur artistique et 1 metteurs en scène :
Equipe technique : 1 régisseur général + 1 régisseur son/vidéo
Equipe de Production : co-production CSC JP Coste et Cie mémoires Vives
- Résultat sur le territoire
Environ 750 personnes ont vu cette pièce en 2016 et sont venus au camp des Milles.
10 Centre sociaux (87 jeunes et 20 animateurs) ; 5 Addap ( 35 jeunes et 10 animateurs) ; 2 MECS (24 jeunes et 4 animateurs) ; 2 Lycées (33 jeunes et 4 accompagnateurs) ; 1 Epide (36 jeunes et 6 animateurs) ; Autres publics (491 personnes).
- Résultat pour le centre social
Suite à ce spectacle des structures ont sollicité des médiations culturelles sur la thématique "lutter contre les discriminations" (ADAPP et Lycée).
D'autres nous ont contacté car souhaitent venir voir le spectacle et visiter le camp des Milles (nous avons fait seulement 3 représentations à guichets fermés en 2016 ; certains n'ont donc pas pu venir en 2016).
- Résultat pour les habitants
Les artistes créateurs (acteurs) sont au nombre de 15.
- Ils sont également bénéficiaires car à travers le processus de création il y a pour eux aussi de la transformation et production de connaissances.
Les publics bénéficiaires (spectateurs) ont été 750 en 2016
- à partir de 12 ans / élèves de classe de 3ème (Collège) et Lycéens.
- et le tout public (adultes).
- Suite de l'action : Limites
Limite du modèle économique. Ce spectacle est produit exclusivement grâce aux subventions. Ces dernières sont à la baisse ou carrément non reconduites de 2016 à 2017.
Si des programmateurs ne nous achètent pas le spectacle (par contrat de cession par exemple) ce projet ne pourra plus être diffusé.
De plus, sans calendrier prévisionnel du planning à venir il y a un risque fort de perdre les artistes qui s'engageront sur d'autres projets et il nous faudra repasser par un temps de reprise avec de nouveau acteurs...
- Suite de l'action : Perspectives
Tout dépend de l'engagement et du soutien du camp des Milles à qui nous avons demandé officiellement de prévoir d'acheter le spectacle en 2017 (pour 6 représentations). Depuis 2014 nous jouons grâce aux subventions... Il est temps de concrétiser un vrai partenariat économique avec le Camp des Milles pour pérenniser ce projet culturel et citoyen et de ne plus dépendre des subventions.
Actions
Présence active de proximité "soirs et week-ends"
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL D'OREL - Vaucluse
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Précarité
- Intégration
- Résumé
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Enjeu de tranquilité publique et d'intégration , l'action répond globalement au besoin d'informations, d'accompagnement d'un public en rupture et isolé. L'action permet notamment d'accentuer l'offre d'activités et de services les soirs et week-ends. Elle s'appuie sur un diagnostic partagé faisant apparaitre les besoins du "public cible" (malgré leur situation d'exclusion - volontaire et/ou subie) : avoir accès à des espaces de loisirs, d'échange et d'aide sans pour autant s'engager, à priori, dans le temps.
- Public
- Jeunes adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
depuis le mois d'octobre 2016, le référent insertion/prévention du Centre social se positionne trois soirs de la semaine (créneaux de trois heures) à divers endroits identifiés de regroupement du "public cible". Il est accompagné le plus souvent possible du médiateur CLSPD de référence et d'un Educateur spécialisé.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
COMMISSION: INSERTION JEUNES
- Structure organisatrice
- LES MAISONS POUR TOUS - Sarthe
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Emploi, économie
- Intégration
- Résumé
Depuis plus de 5 ans, une commission insertion/emploi fonctionne sur la ville de Coulaines. Le centre social y participe activement avec plusieurs partenaires intervenant auprès de la jeunesse sur le territoire. La mairie joue le rôle de coordinateur. La préfecture, la mission locale, deux services de la sauvegarde de l’enfance 72/53 (la prévention spécialisée et le Foyer Pourquoi Pas) et le secteur jeunesse du centre social des Maisons Pour Tous y participent.
Elle propose des solutions d’insertion aux jeunes de plus de 16 ans déscolarisés en situation de rupture sociale ou en voie de l’être.
Chaque structure propose des situations de jeunes préoccupantes nécessitant un accompagnement individuel. Le jeune doit donner son accord pour intégrer cette commission. Il est informé des personnes présentes et des échanges éducatifs le concernant. L’idée étant de partir de là où s’adresse le jeune et de lui proposer un accompagnement commun et cohérent entre les différentes structures.
A l’Espace Jeunes des MPT, des jeunes étaient en demande d’accompagnement. Les animateurs jeunesse les informaient des dispositives et les structure existantes. Mais cela ne répondait que partiellement à leur demande.
Aujourd’hui un animateur jeunesse du centre social est référent pour les accompagner individuellement dans les 1ères démarches pour que d’autres relations de confiance se créent avec d’autres acteurs du territoire.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L’objectif étant de prendre en considération des jeunes en rupture sociale ou en voie de l’être.
Des jeunes ayant participé à des activités collectives du secteur jeunesse, s’adressaient aux animateurs pour un accompagnement sur des situations individuelles. Ils étaient systématiquement orientés vers un partenaire spécifique à leur demande. Il y a été constaté que ces jeunes pouvaient avoir des difficultés à faire ces démarches seuls et se retrouvaient sans solution alternative.
Le centre social s’est inscrit dans cette démarche compte tenu de sa connaissance et de sa relation avec certains jeunes. En effet ces jeunes ne relevant plus de l’accueil de loisirs du fait de l’âge et/ou des actions proposées par le secteur jeunesse qui n’étaient pas ou plus adaptées à leurs préoccupation d’insertion. Ces jeunes avaient par moment des comportements qui pouvaient fragiliser la dynamique collective. Leur présence en groupe sur l’espace public, provoquait par moment un sentiment d’insécurité auprès des habitants.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
-
1ere rencontre avec le jeune et l’animateur:
-
Echange sur le fonctionnement de cette commission.
-
Le jeune doit donner son accord avant que le professionnel (animateur, éducateur, conseiller mission locale…) propose la situation à cette commission.
-
Validation en commission de l’intégration du jeune.
-
Les échanges ont lieu entre professionnels dans le respect de l’adhésion et le respect de l’anonymat ; principes de la prévention spécialisée. Les élus n’ont pas connaissance de l’identité des jeunes accompagnés.
-
Une commission a lieu tous les deux mois.
-
Description de la situation par la structure qui la propose.
-
Echange et proposition de la commission d’un projet d’insertion.
-
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Contrat de Ville.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Une dizaine de jeunes par an.
Un équipe pluridisciplinaire, 7 à 8 professionnels.
- Résultat sur le territoire
Prise en compte des jeunes en rupture et en voie de l’être.
Relation avec les différents acteurs du territoire facilité.
Diminution des regroupements des jeunes.
- Résultat pour le centre social
Dynamique et cadre éducatif collectif maintenu.
La distinction entre l’accueil de loisirs et l’accompagnement individuel permet à chaque jeune de trouver une place dans les actions jeunesse proposées par le centre social.
- Résultat pour les habitants
Diminution du sentiment d’insécurité.
- Suite de l'action : Limites
L’accompagnement individuel ne doit pas être au détriment des actions collectives.
- Suite de l'action : Perspectives
Maintien de cette commission sur le long terme pour évaluer l'impact auprés des jeunes et sur le territoire.
Actions
PROJET CITOYENNETE ET MEDIATION DE PROXIMITE
- Structure organisatrice
- UASF CITÉ SOCIALE, FAMECK - Moselle
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Au cœur d’un quartier qui vit des moments difficiles dans son histoire (explosion du chômage, forte précarité des familles, ZSP, QPV…) et dans un contexte national tendu, nous sommes face à un enjeu éducatif central auquel nous devons répondre dans le long terme.
A la suite des terribles attentats perpétrés en 2015, les jeunes sont plus que jamais confrontés aux propos et réactions des adultes qui les entourent et de leurs pairs, à de multiples images, informations et rumeurs. Dans les mois et années à venir, il sera nécessaire de permettre aux jeunes de pouvoir s’exprimer sans pour autant renoncer à certains principes. L’objectif à terme est que ce travail d’expression, d’échange, de compréhension au sein du local de jeunes se poursuive au local de jeunes et ceci, en lien avec les autres espaces éducatifs (famille, école…).
Le Local de jeunes est enraciné depuis près de 20 ans et se prête aujourd'hui au développement d'une politique cohérente d'animation urbaine sur la ville de Fameck Nous avons plus d'une centaine d'adhérents âgés de 11 à 25 ans pour un passage quotidien de 40 jeunes. Il est un formidable outil au service des jeunes fameckois à un moment de notre histoire il nous faut resserrer les liens entre les citoyens et notamment les jeunes.
Le rôle du local de jeunes sera d'ouvrir le dialogue dans un espace neutre, sans enjeux, d'amener chacun à réfléchir sur ce qu'il fait, ce qu'il vit, ce qu'il veut.
Fameck est depuis août 2013 classée en Z.S.P (Zone de Sécurité Prioritaire), dû aux nombreux problèmes existant sur la ville : drogue, incivilité, délinquance... Le local de jeunes est situé en plein cœur du quartier et de la ville, et essaie au mieux d'atténuer ces problèmes. Toute l'année, l'accueil des jeunes au quotidien et le soir permettra de prévenir les troubles à la tranquillité, d’animer des débats sur les questions des jeunes qui squattent immeubles, cages d'escalier et parkings. Car, à force de rester entre eux, dans les mêmes lieux, dans le même quartier, certains jeunes ne connaissent souvent que cet environnement et ne s'ouvrent pas aux autres, à d'autres cultures.
Ces jeunes connaissent des problèmes scolaires englobés dans des soucis de compréhension générale et accentués par des difficultés familiales. Certains d’entre eux sont même identifiés comme ayant des troubles psychologiques et nécessitant donc un suivi spécialisé.
La mise en place d'actions de prévention de la délinquance par le biais d'un accompagnement personnalisé de jeunes en situation de décrochage scolaire, culturel et social, ainsi que l’implication d’une grande partie (115 adhérents) de ces jeunes (11 à 17 ans) dans une véritable démarche participative (atelier projet), nous permettront d’encourager la citoyenneté et de favoriser le mieux vivre au sein du quartier de Rémelange. Véritable outil au service du vivre ensemble, ouvert 6 jours sur 7, le local de jeunes se voudra un lieu d’échange, d’écoute qui permettra aux adolescents d’exprimer leur point de vue.
En 2016, l’équipe d’animation proposera des activités, débats et sorties aussi diverses que possible. Le projet d'activité sera élaboré en fonction des initiatives, des idées exprimées par les jeunes au cours de l'année, des opportunités du territoire et de l’actualité du moment. Les jeunes participeront à la création des programmes. Priorités seront données au vivre-ensemble, à favoriser le lien social, la mixité et à la participation des jeunes aux actions citoyennes et de solidarité.
Les principaux objectifs de 2016 seront :
- De rendre les jeunes acteurs sur la ville et non plus de simples consommateurs d'activités, avec la mise en place d'actions autour de la culture, de la citoyenneté et du vivre-ensemble.
- De travailler avec des groupes mixtes.
- De travailler avec les partenaires associatifs de la ville (Club de prévention spécialisée, Foyer de l'Enfance FAJO, Centre Jean Morette...) sur les actions de soutien aux adolescents en difficulté ou en situation de décrochage scolaire, social.
- D'impliquer les parents dans les projets menés avec leurs enfants.
Les principales activités seront :
- Du lundi au samedi, de 14h à 23h (pendant les vacances scolaires) et de 16h à 21h (hors vacances scolaires), de janvier à décembre (excepté au mois d'août), accueil et animation d'un lieu d'échanges et de discussions en direction des adolescents (11 - 21 ans) au cœur de la ZSP.
- Une journée portes ouvertes sera organisée afin de présenter aux partenaires, aux familles et aux jeunes le programme d’activités pour l’année à venir.
- Programmation de manifestations culturelles (club ciné, spectacles, théâtre Le Nest) sportives (futsal) et artistiques (ateliers sculpture, calligraphie...).
- Mise à disposition de 2 éducateurs spécialisées par l’AISF (Association d’Insertion Sociale de la Fensch) une à deux soirées par semaine afin d’échanger sur les problématiques des jeunes.
- Atelier WEBCOM (animation d’une web TV créé par les jeunes : projet IRELIS).
- Moselle macadam jeunesse, fête des voisins, Ados Vac (animation en partenariat avec le centre Jean Morette)
- Contrats locaux d’accompagnement à la scolarité subventionnés par la CAF (accompagnement personnalisé à la scolarité de jeunes repérés en difficulté sociale, culturelle et scolaire en partenariat avec l’association de prévention spécialisée 2 cycles 6ème et 5ème mardis et jeudis)
- Manifestations solidaires initiées par les ados (tournoi en faveur du Téléthon, Battle hip-hop, campagnes de collectes en faveur des restos du cœur...).
- Séjour éco-citoyen : une fois par mois, nous organiserons des activités à caractère citoyen en effectuant des échanges avec la maison de retraite "le Clos fleuri" (atelier culinaire) ou en nettoyant les cours d'eau et rivière de la ville. Les jeunes effectueront également des collectes au profit des "restos du cœur". Point d'orgue de cette action, les jeunes participeront à un séjour en bord de mer où ils effectueront une journée de sensibilisation organisée par la fondation Surfrider sur les menaces de la pollution et des déchets sur notre écosystème. A cette occasion, un nettoyage du littoral sera programmé.
- Des activités autour du Festival du Film Arabe: Jury jeunes, atelier "graff", courts métrages, atelier programmation cinéma...
Nous consacrerons également de nombreux temps d'écoute, d'échanges, de débats autour de sujets d'actualité tels que la laïcité, la mixité, le respect de la liberté d’expression sous toutes ses formes. A la suite des attentats perpétrés en janvier et en novembre 2015, les jeunes ont repris la route de l’école, des accueils périscolaires et extrascolaires où le sujet ne peut pas être éludé. Tout l’enjeu des animateurs est de réussir à aborder sereinement le sujet avec eux et de le faire de manière concertée avec les parents, les enseignants et les partenaires du territoire.
Notre rôle est d'écouter les jeunes, mais aussi de créer ou de renforcer le lien par le biais d'actions autour de la citoyenneté, du sport, de la culture, de la santé... Ces actions s'adresseront aux jeunes, les plus exposés aux risques de délinquance. Elles nous permettrons d'accompagner les jeunes qui sont en situation de décrochage scolaire, familial, social.
Animations jeunesse particulières prévues aussi pour 2016:
- Projet vidéo qui consistera à mobiliser les jeunes autour de la pratique audiovisuel, avec dans un premier temps la création d’un court-métrage sur le genre fantastique. Et, dans un second temps la découverte du festival international de Gérardmer. Leur création sera projetée au Festival et nous demanderons aux jeunes d'accompagner leurs films et de rencontrer le public. Ce sera aussi l'occasion pour eux de découvrir des films inédits mais également les actions en parallèle; conférences avec les réalisateurs, les espaces d'expo et de librairie.
- Participation aux évènements de la ville de Fameck : Cavalcade, Fête de la musique, semaine de la Paix…
- Nombreuses sorties culturelles, sportives et festives (théâtre Le Nest…)
- Tournoi futsal et courses des jeunes au profit du Téléthon,
- Moselle macadam jeunesse,
- Ados vac (animations durant les vacances en partenariat avec le CJM)
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Depuis près de vingt ans, le local de jeunes travaille à l’insertion des jeunes en difficulté, en utilisant ce lieu, son programme d’activités comme outils d’intégration. L'absence de lieu de socialisation, d'échanes pour les juenes dans le début des années 90 au sein d'un quartier populaire est à l'origine de la création du lieu. Son animation repose sur les épaules d’animateurs, bénévoles ou professionnels qui travaillent tous les jours à réduire la fracture sociale. Il porte d’une part des valeurs indispensables à la cohésion sociale, le respect des règles et de l’autre, la solidarité et l’entraide ou encore la mixité sociale. L’équipe s’attache à être réactive afin de répondre aux attentes et aux interrogations des jeunes du QPV. Son expérience et sa connaissance du territoire leurs permettent d’élaborer un programme d’actions concertée et renouvelé afin d’être à la hauteur de nos enjeux. Il ne peut pas résoudre à lui tout seuls tous les problèmes du quartier dit prioritaire, mais il peut faire beaucoup, à condition qu’il y ait un réel travail de partenariat entre les différents acteurs de terrain.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
5 professionnels et 9 bénévoles
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Plateforme accès à l’emploi
- Structure organisatrice
- MAISON DES QUARTIERS - Seine-et-Marne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- Résumé
La plateforme s’inscrit dans le projet global de la Maison des quartiers. Elle consiste à aider les usagers éloignés de l’insertion professionnelle et sociale en vue de renouer avec leurs compétences, leurs savoir-faire et le monde du travail.
Chaque séance d’atelier fait l’objet d’une fiche d’évaluation remplie à la fois par l’animateur, pour assurer une continuité efficaceDeux types d’ateliers sont proposés :
1)• Un atelier collectif en lien avec le pôle emploi et sur rendez vous
- Stratégie de recherche d'emploi.
- Travail collectif et collaboratif pour acquérir des méthodologies de recherche d'emploi et délimiter des objectifs de mise en œuvre de recherche autonome dans la salle informatique.
- Un bilan des démarches effectuées depuis le dernier atelier
- Études des offres d’emploi adaptées au public du quartier.
2)• Atelier individuel de recherche emploi
Temps de mise en pratiquer des démarches de recherche d'emploi. L'animateur intervient de façon individuelle auprès de chaque demandeur sur des questions particulières.
- Recherche d’offres d’emploi adaptées et création d’espace personnel Pôle Emploi
- Faire des réponses adaptées aux offres d’emploi et les envoyer
- Mettre en œuvre les ajustements de stratégie de recherche (modification cv, recherche entreprises, événements, réseaux professionnels)
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Permettre aux demandeurs d'emploi d'aborder au mieux leur recherche d'emploi au travers d'une méthodologie, de techniques et d'outils mis à leur disposition.
• Accompagner méthodologiquement les demandeurs d’emploi dans la mise en œuvre de leurs démarches vers l’emploi, à l’aide des Technologies d’Information et de Communication.
• Permettre aux demandeurs d’accéder rapidement à un espace d’information et d’orientation
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Cette permanence permet de faire le lien entre les services de l’emploi et de la formation (Pole Emploi, mission locale) et le quartier de Champbenoist excentré du reste de la ville.
En effet c’est un outil pour toucher des personnes non-inscrites dans des dispositifs de recherche d’emploi.
Elle correspond à un besoin car l’animateur en charge de la plateforme informatique s’en sert accueillir pour les personnes du quartier.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
495 personnes ont utilisé la plateforme dont 125 concernées directement par la recherche d’emploi et 188 par les travaux d’impression. 56 personnes ont la majorité à entre 16 et 30 ans et 69 ont de plus de 40 ans.
14 jeunes de 18-25 ans, décrocheurs scolaire ont était suivies régulièrement à savoir une rendez-vous par semaine.
- Résultat sur le territoire
Ce dispositif vient en complément de celui du Pôle emploi. Elle constitue à un besoin important d’aide à la rédaction de Cv. et lettres de motivation sur le quartier.
Elle permet aussi de répondre à des offres d’emploi ou de créer des espaces personnels sur le site Pôle emploi.fr.
- Résultat pour le centre social
Faire connaitre le centre social et ses activités
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
le projet est limité aux publics QPV
- Suite de l'action : Perspectives
Elargissement de l'action vers les autres quartiers
Actions
« Le passé composé à la Bottière »
- Structure organisatrice
- ACCOORD BOTTIERE - Loire-Atlantique
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Intégration
- alphabétisation & apprentissage du français
- Résumé
Chaque lundi matin et chaque jeudi après-midi ont lieu à la Maison de Quartier de la Bottière les ateliers de « Français au Quotidien » (niveau alphabétisation-perfectionnement).
Destinés à un public étranger, ces ateliers ont pour objectif l’apprentissage de la langue : lecture, écriture, communication orale.
La connaissance et la compréhension de l’environnement dans lequel les stagiaires vivent tous les jours font également partie intégrante des séances.
Ainsi, des sorties sont parfois organisées : elles permettent de (re)découvrir Nantes ; elles peuvent donner ensuite l’occasion de travailler les compétences linguistiques : « le passé-composé » étant au programme depuis le mois de janvier, les stagiaires ont été amenés à raconter, par écrit, le récit de leur après-midi du jeudi 19 mars.
Voici le résultat :
Un joli après-midi à Nantes sous le soleil mais avec du vent !
Jeudi après-midi, nous avons eu rendez-vous à l’arrêt Souillarderie. Nous avons pris le tram et sommes descendus à Médiathèque. Nous avons traversé pour la première fois « la passerelle du tribunal », nous y avons pris des photos. Nous avons longé la Loire et nous sommes arrivés à notre sortie du jour : l’Ecole d’Architecture. Nous n’avons pas visité l’école, nous sommes montés (pour la première fois) sur son toit (c’est ouvert au public gratuitement) pour voir Nantes « en hauteur ». Arrivés là-haut à pied (cela grimpe un tout petit peu), nous avons vu un beau panorama sur la ville et nous avons encore fait des photos !
Nous sommes ensuite redescendus et avons continué notre balade. La Loire étant basse, nous sommes passés (pour la première fois encore) sous le Pont Anne de Bretagne pour rejoindre l’Eléphant et le Carrousel. Nous avons eu aussi l’occasion de voir le Belem.
Nous avons décidé de rentrer vers 16h00 mais avant nous avons fait une pause le long de la Loire : surprise Melouka a préparé un goûter : du jus d’orange et de délicieux gâteaux à la noix de coco.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
budget de fonctionnement de l'atelier soit 150€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
11 personnes
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
plus grande visibilité de l'atelier d'alphabétisation. lien créé entre les apprenants et l'équipe du CSC.
- Résultat pour les habitants
valorisation du travail effectué par les usagers
- Suite de l'action : Limites
l'atelier de français continue avec cette volonté d'ouverture et d'inclusion des publics dans le droit commun.
- Suite de l'action : Perspectives
Des temps de rencontres réguliers et la présence dur la rencontre annuelle des usagers.
Actions
"Allez les filles"
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIO-CULTUREL JEAN WAGNER - Haut-Rhin
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
L'action, comportant 3 phases, s'est déroulée de septembre 2015 à juillet 2016.
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- vacances / loisirs
- discriminations
- Mixité sociale
- Résumé
Un temps d'accueil spécifique en direction des jeunes filles de 12 à 17ans pour leur permettre de se développer et de s'émanciper.
L'action se déroule en 3 phases :
1 - activité piscine
2 - pratique du canoé-kayak
3 - séjour été : pratique d'activités aquatiques
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Autre
- Précision ( si autre )
Un groupe de filles a émis le souhait de bénéficier d'activités sportives adaptées : pratique d'un sport individuel sans compétition, sans violence ni contact.
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les loisirs sportifs proposés par le CSC aux jeunes de 11 à 17 ans n'accueillent qu'exceptionnellement des filles. On constate aussi que peu d'associations sportives interviennent sur notre territoire. La réticence des parents à laisser sa ou ses filles sortir le soir pour y participer est aussi un frein. A cela se rajoute la question de la mixité. D'où l'idée de proposer des actions qui leurs soient spécialement adressées, et ceci sur des créneaux adaptés.
Ce projet entend répondre à :
- l'égalité d'accès aux activités sportives,
- au développement et l'émancipation de ces jeunes filles.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Phase 1 : une fois par semaine, le mercredi après-midi, une activité piscine qui permet de travailler 4 principes : la flottabilité, l'équilibre, la respiration et la propulsion. Une fois par mois, une pratique de vélo aquatique durant 30 mn.
Phase 2 : suite aux séances de piscine , pratique du canoë-kayak en partenariat avec l'association de canoë-kayak. Ces séances nécessitent les compétences acquises en piscine et s'appuyent sur 4 axes :
- la motricité : évolution dans un milieu en mouvement sur une embarcation instable.
- le déplacement : travail sur l'orientation et la navigation.
- la découverte du milieu : sensibilisation au milieu et aux espèces aquatiques.
- l'aspect ludique : organisation de différents jeux (kayak-polo, baignade, échange d'embarcation sur l'eau…).
Phase 3 : Organisation d'un séjour durant l'été 2016 en lien avec les activités aquatiques. Ce séjour finalise l'action, tout en travaillant sur la cohésion sociale et de groupe.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
voir document annexe.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
éducateur spécialisé : 1
animatrice : 1
moniteur fédéral canoé-kayak : 1
animateur culturel : 1
référente famille : 1
équipe éducative du collège Wolf
pôle sports et jeunesse de la Ville de Mulhouse
- Résultat sur le territoire
Le CSC est reconnu sur son territoire pour ses activités de loisirs en direction des enfants et des adultes. A la suite de ce projet, il
souhaite être reconnu comme lieu ressource pour ce public précis.
Notre souhait est d'encourager les filles à s’inscrire dans cette démarche émancipatrice.
- Résultat pour le centre social
Inscrire l'activité sportive régulière dans l'offre proposée par le centre social.
- Résultat pour les habitants
Lever les réticences des familles sur la pratique sportive concernant les filles.
- Suite de l'action : Limites
Les réticences des familles.
- Suite de l'action : Perspectives
Reproduire ce type d'action sur une autre pratique sportvie.
Actions
Coordination et animation des Temps d'Activités Périscolaires
- Structure organisatrice
- CAVL CLÉ DE CONTACTS - Creuse
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Démocratie & citoyenneté
- Mixité sociale
- Résumé
Le centre social, grâce à son équipe d'animateurs, assure la coordination et l'animation des temps activités périscolaires (TAP) pour une majorité des écoles primaires de la ComCom Creuse Grand Sud (CCCGS). Cette mission fait suite à l'application de la réforme des rythmes scolaires depuis la rentrée de septembre 2013.
Les objectifs principaux sont : l'élaboration des plannings d'animations, l'organisation du cadre administratif et réglementaire, la gestion des équipes d'animateurs et intervenants extérieurs (bénévoles et prestataires), le suivi et le relationnel avec les élus des communes et les différentes parties prenantes, l'animation quotidienne sur le terrain, etc.
Ces objectifs se regroupent dans un projet éducatif de territoire (PEDT) que le CS s'est chargé de rédiger en collaboration avec l'ensemble des parties prenantes (élus, instituteurs, représentants de parents d'élèves, animateurs, associations du territoire et bénévoles).
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Précision ( si autre )
Suite à la nécessité d'appliquer la réforme des rythmes scolaires, la CCCGS a procédé à une délégation de cette mission au CS Clé de Contacts avec conventionnement.
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action répond d'abord à une demande institutionnelle puisqu'elle fait suite à une délégation de mission.
Par la suite, c'est un excellent moyen pour le CS d'aller à la rencontre d'une partie de son public (enfant et pré-ados, de 3 à 11 ans) sur un autre temps de la journée que la garderie où les vacances scolaires.
Cette action répond également à une demande des familles qui s'inquiétaient de voir leurs enfants innocupés pendant ce temps libéré.
Les résultats attendus de la réforme sont en correlation avec ceux du CS. C'est-à-dire de favoriser le développement personnel de l'enfant, son développement physique et intellectuel, son épanouissement, l'amener à avoir une implication dans la vie de la collectivité, etc.
De manière plus particulière, les TAP ont pour objectifs de faire découvrir l'offre culturelle, sportive et artistique locale, faire découvrir de nouvelles activités et les approndir, accompagner la prise d'autonomie de l'enfant, respecter les choix et rythmes de l'enfant.
- Public
- Enfance
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
L'action à débuté en mars 2013 par des temps de concertation avec les parents d'élèves, les élus, les associations du territoire ainsi que les autres accueils de loisirs (Felletin et Gentioux-Pigerolles).
En septembre 2013, les nouveaux rythmes scolaires sont instaurés dans les 2 écoles d'Aubusson et font office de pilotes pour une extension aux écoles de la CCCGS à partir de septembre 2014. Chaque période (de vacances à vacances) est concernée par une évaluation.
A l'été 2015, les élus de la CCCGS s'entendent pour mutualiser les moyens (humains, matériels, financiers) et faciliter l'instauration des TAP. La CCCGS assure également le recrutement de 9 animateurs et le financement d'un poste de coordinateur.
En septembre 2014, toutes les écoles de la CCCGS instaurent ce rythme et proposent les TAP.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Professionnels de l'animation salariés du CS : 12 personnes
Professionnels de l'animation salariés de la CCCGS : 9 personnes
Professionnels de l'animation salariés d'associations locales : 10 personnes
Personnels communaux : 6 personnes
Bénévoles d'associations : 12 personnes
Prestataires (auto-entrepreneurs, etc.) : 2 personnes
- Résultat sur le territoire
Promotion de l'offre associative locale par la participation de diverses associations volontaires aux TAP.
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
Promotion du CS et des services proposés auprès d'un plus large public
- Suite de l'action : Limites
Capacité à financer les postes d'animateurs à la fin des contrats aidés.
- Suite de l'action : Perspectives
Associer plus encore les enseignants, les parents d'élèves et les élus aux projets d'animations.
Pérenniser dans leurs emplois les animateurs récemment formés.
Actions
Accès aux droits
- Structure organisatrice
- SOLIDARITE FORMATION MEDIATION S.F.M. CLICHY - Hauts-de-Seine
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Viellissement
- Précarité
- Résumé
Il s'agit de favoriser l’accès aux droits sociaux à travers les actions individuelles et collectives du Relais d’Accès au Droit (RAD). Les actions sont les suivantes:
- accueil information, orientation de façon transversale aux activités : quotidien
- permanences écrivain public : 9 par semaine de 2h30
- accompagnement des dossiers DALO sur rendez-vous
- médiation individualisée : accueil sur rendez-vous proposé aux personnes dont la(es) situation(s) administrative(s) est complexe(s) et nécessite de nombreuses mises en relation avec l’institution concernée.
- réunions collectives d’informations, d’échanges et d’accès aux droits
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L’association SFM a mis en place ces actions constatant la demande importante d’accompagnement dans mes démarches administratives du public qui fréquentait les cours d’alphabétisation. L’action s’est adaptée d’année en années en fonction des problématiques liées à l’accès aux droits qu’il nous semblait important de traiter, de façon individuelle ou collective.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Partenariat:
- Services Sociaux (Conseil Départemental et Municipalité, CAF)
- Accueil de la Mairie de Clichy,
- Maison du droit, (ville de Clichy)
- Maison de l’habitat, (ville de Clichy)
- Service retraité (ville de Clichy)
- Mission handicap (ville de Clichy)
- Pôle emploi,
- Maison de l’emploi : PLIE, Mission Locale… (ville de Clichy)
- Associations intervenant dans le domaine du logement: ADIL, Fondation Abbé Pierre, Secours Catholique
- Associations liées au droit des étrangers : APRIM, GISTI,
- Association de Consommateurs : Léo Lagrange…
- DIRRECTE service de la consommation et de la répression des fraudes
- CAF : CAF Gennevilliers et permanence d’action sociale à Clichy
- Caisses de retraite & retraites complémentaires
- Association accompagnant les retraités : ADIPR
- Banque de France
- CPAM
- Association 92 Média
Moyens matériels :un local Ecrivain public et une salle d’attente, une salle de réunion pour les réunions collectives, salles pour les rendez-vous individuels
Matériel : accès Internet, ordinateurs, photocopieurs, matériel de rétro et vidéo projection
- Ressources financières mobilisées pour cette action
120423€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Moyens humains : Salariés : 3 animatrices médiatrices, Bénévoles : une quinzaine
- Résultat sur le territoire
4600 visite par an
1600 personnes / an
- Résultat pour le centre social
label Relais d'Accès au Droit (TGI Nanterre)
- Résultat pour les habitants
objet des visites: logement, allocations familiales, droits sociaux, couverture maladie, taxes, pôle emploi, scolarité, ...
- Suite de l'action : Limites
nos possibilités d'accueil
le fait d'être intermédiaire rend parfois long le traitement
informatisation des démarches administratives, facteur d'exclusion du public
- Suite de l'action : Perspectives
partenariat à construire ou poursuivre sur les problématiques concernées
Actions
Mobicité 86
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIO CULTUREL DE LA BLAISERIE - Vienne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- mobilité / transport
- Résumé
Favoriser l’insertion sociale et professionnelle des jeunes et des adultes par la mise à disposition sous forme locative de scooters, mobylettes ou vélos électriques pour toute personne qui rencontre un problème de mobilité dans le cadre d’une insertion socioprofessionnelle.
* Favoriser la mobilité pour éviter la perte d’emploi
* Apprendre à entretenir un deux-roues et savoir en diagnostiquer les dysfonctionnements.
* Sensibiliser les jeunes et les adultes à la sécurité routière en favorisant une prise de conscience :
- Des risques venant de soi et des autres
- De l’importance et du rôle de la réglementation routière
- De la nécessité d’un entretien régulier de son véhiculeFavoriser l’insertion sociale et professionnelle des jeunes et des adultes par la mise à disposition sous forme locative de scooters, mobylettes ou vélos électriques pour toute personne qui rencontre un problème de mobilité dans le cadre d’une insertion socioprofessionnelle.
* Favoriser la mobilité pour éviter la perte d’emploi
* Apprendre à entretenir un deux-roues et savoir en diagnostiquer les dysfonctionnements.
* Sensibiliser les jeunes et les adultes à la sécurité routière en favorisant une prise de conscience :
- Des risques venant de soi et des autres
- De l’importance et du rôle de la réglementation routière
- De la nécessité d’un entretien régulier de son véhiculeFavoriser l’insertion sociale et professionnelle des jeunes et des adultes par la mise à disposition sous forme locative de scooters, mobylettes ou vélos électriques pour toute personne qui rencontre un problème de mobilité dans le cadre d’une insertion socioprofessionnelle.
* Favoriser la mobilité pour éviter la perte d’emploi
* Apprendre à entretenir un deux-roues et savoir en diagnostiquer les dysfonctionnements.
* Sensibiliser les jeunes et les adultes à la sécurité routière en favorisant une prise de conscience :
- Des risques venant de soi et des autres
- De l’importance et du rôle de la réglementation routière
- De la nécessité d’un entretien régulier de son véhiculeFavoriser l’insertion sociale et professionnelle des jeunes et des adultes par la mise à disposition sous forme locative de scooters, mobylettes ou vélos électriques pour toute personne qui rencontre un problème de mobilité dans le cadre d’une insertion socioprofessionnelle.
* Favoriser la mobilité pour éviter la perte d’emploi
* Apprendre à entretenir un deux-roues et savoir en diagnostiquer les dysfonctionnements.
* Sensibiliser les jeunes et les adultes à la sécurité routière en favorisant une prise de conscience :
- Des risques venant de soi et des autres
- De l’importance et du rôle de la réglementation routière
- De la nécessité d’un entretien régulier de son véhiculeFavoriser l’insertion sociale et professionnelle des jeunes et des adultes par la mise à disposition sous forme locative de scooters, mobylettes ou vélos électriques pour toute personne qui rencontre un problème de mobilité dans le cadre d’une insertion socioprofessionnelle.
* Favoriser la mobilité pour éviter la perte d’emploi
* Apprendre à entretenir un deux-roues et savoir en diagnostiquer les dysfonctionnements.
* Sensibiliser les jeunes et les adultes à la sécurité routière en favorisant une prise de conscience :
- Des risques venant de soi et des autres
- De l’importance et du rôle de la réglementation routière
- De la nécessité d’un entretien régulier de son véhiculeFavoriser l’insertion sociale et professionnelle des jeunes et des adultes par la mise à disposition sous forme locative de scooters, mobylettes ou vélos électriques pour toute personne qui rencontre un problème de mobilité dans le cadre d’une insertion socioprofessionnelle.
* Favoriser la mobilité pour éviter la perte d’emploi
* Apprendre à entretenir un deux-roues et savoir en diagnostiquer les dysfonctionnements.
* Sensibiliser les jeunes et les adultes à la sécurité routière en favorisant une prise de conscience :
- Des risques venant de soi et des autres
- De l’importance et du rôle de la réglementation routière
- De la nécessité d’un entretien régulier de son véhiculeFavoriser l’insertion sociale et professionnelle des jeunes et des adultes par la mise à disposition sous forme locative de scooters, mobylettes ou vélos électriques pour toute personne qui rencontre un problème de mobilité dans le cadre d’une insertion socioprofessionnelle.
* Favoriser la mobilité pour éviter la perte d’emploi
* Apprendre à entretenir un deux-roues et savoir en diagnostiquer les dysfonctionnements.
* Sensibiliser les jeunes et les adultes à la sécurité routière en favorisant une prise de conscience :
- Des risques venant de soi et des autres
- De l’importance et du rôle de la réglementation routière
- De la nécessité d’un entretien régulier de son véhiculeFavoriser l’insertion sociale et professionnelle des jeunes et des adultes par la mise à disposition sous forme locative de scooters, mobylettes ou vélos électriques pour toute personne qui rencontre un problème de mobilité dans le cadre d’une insertion socioprofessionnelle.
* Favoriser la mobilité pour éviter la perte d’emploi
* Apprendre à entretenir un deux-roues et savoir en diagnostiquer les dysfonctionnements.
* Sensibiliser les jeunes et les adultes à la sécurité routière en favorisant une prise de conscience :
- Des risques venant de soi et des autres
- De l’importance et du rôle de la réglementation routière
- De la nécessité d’un entretien régulier de son véhiculeFavoriser l’insertion sociale et professionnelle des jeunes et des adultes par la mise à disposition sous forme locative de scooters, mobylettes ou vélos électriques pour toute personne qui rencontre un problème de mobilité dans le cadre d’une insertion socioprofessionnelle.
* Favoriser la mobilité pour éviter la perte d’emploi
* Apprendre à entretenir un deux-roues et savoir en diagnostiquer les dysfonctionnements.
* Sensibiliser les jeunes et les adultes à la sécurité routière en favorisant une prise de conscience :
- Des risques venant de soi et des autres
- De l’importance et du rôle de la réglementation routière
- De la nécessité d’un entretien régulier de son véhiculeFavoriser l’insertion sociale et professionnelle des jeunes et des adultes par la mise à disposition sous forme locative de scooters, mobylettes ou vélos électriques pour toute personne qui rencontre un problème de mobilité dans le cadre d’une insertion socioprofessionnelle.
* Favoriser la mobilité pour éviter la perte d’emploi
* Apprendre à entretenir un deux-roues et savoir en diagnostiquer les dysfonctionnements.
* Sensibiliser les jeunes et les adultes à la sécurité routière en favorisant une prise de conscience :
- Des risques venant de soi et des autres
- De l’importance et du rôle de la réglementation routière
- De la nécessité d’un entretien régulier de son véhiculeFavoriser l’insertion sociale et professionnelle des jeunes et des adultes par la mise à disposition sous forme locative de scooters, mobylettes ou vélos électriques pour toute personne qui rencontre un problème de mobilité dans le cadre d’une insertion socioprofessionnelle.
* Favoriser la mobilité pour éviter la perte d’emploi
* Apprendre à entretenir un deux-roues et savoir en diagnostiquer les dysfonctionnements.
* Sensibiliser les jeunes et les adultes à la sécurité routière en favorisant une prise de conscience :
- Des risques venant de soi et des autres
- De l’importance et du rôle de la réglementation routière
- De la nécessité d’un entretien régulier de son véhiculeFavoriser l’insertion sociale et professionnelle des jeunes et des adultes par la mise à disposition sous forme locative de scooters, mobylettes ou vélos électriques pour toute personne qui rencontre un problème de mobilité dans le cadre d’une insertion socioprofessionnelle.
* Favoriser la mobilité pour éviter la perte d’emploi
* Apprendre à entretenir un deux-roues et savoir en diagnostiquer les dysfonctionnements.
* Sensibiliser les jeunes et les adultes à la sécurité routière en favorisant une prise de conscience :
- Des risques venant de soi et des autres
- De l’importance et du rôle de la réglementation routière
- De la nécessité d’un entretien régulier de son véhiculeFavoriser l’insertion sociale et professionnelle des jeunes et des adultes par la mise à disposition sous forme locative de scooters, mobylettes ou vélos électriques pour toute personne qui rencontre un problème de mobilité dans le cadre d’une insertion socioprofessionnelle.
* Favoriser la mobilité pour éviter la perte d’emploi
* Apprendre à entretenir un deux-roues et savoir en diagnostiquer les dysfonctionnements.
* Sensibiliser les jeunes et les adultes à la sécurité routière en favorisant une prise de conscience :
- Des risques venant de soi et des autres
- De l’importance et du rôle de la réglementation routière
- De la nécessité d’un entretien régulier de son véhiculeFavoriser l’insertion sociale et professionnelle des jeunes et des adultes par la mise à disposition sous forme locative de scooters, mobylettes ou vélos électriques pour toute personne qui rencontre un problème de mobilité dans le cadre d’une insertion socioprofessionnelle.
* Favoriser la mobilité pour éviter la perte d’emploi
* Apprendre à entretenir un deux-roues et savoir en diagnostiquer les dysfonctionnements.
* Sensibiliser les jeunes et les adultes à la sécurité routière en favorisant une prise de conscience :
- Des risques venant de soi et des autres
- De l’importance et du rôle de la réglementation routière
- De la nécessité d’un entretien régulier de son véhiculeFavoriser l’insertion sociale et professionnelle des jeunes et des adultes par la mise à disposition sous forme locative de scooters, mobylettes ou vélos électriques pour toute personne qui rencontre un problème de mobilité dans le cadre d’une insertion socioprofessionnelle.
* Favoriser la mobilité pour éviter la perte d’emploi
* Apprendre à entretenir un deux-roues et savoir en diagnostiquer les dysfonctionnements.
* Sensibiliser les jeunes et les adultes à la sécurité routière en favorisant une prise de conscience :
- Des risques venant de soi et des autres
- De l’importance et du rôle de la réglementation routière
- De la nécessité d’un entretien régulier de son véhiculeFavoriser l’insertion sociale et professionnelle des jeunes et des adultes par la mise à disposition sous forme locative de scooters, mobylettes ou vélos électriques pour toute personne qui rencontre un problème de mobilité dans le cadre d’une insertion socioprofessionnelle.
* Favoriser la mobilité pour éviter la perte d’emploi
* Apprendre à entretenir un deux-roues et savoir en diagnostiquer les dysfonctionnements.
* Sensibiliser les jeunes et les adultes à la sécurité routière en favorisant une prise de conscience :
- Des risques venant de soi et des autres
- De l’importance et du rôle de la réglementation routière
- De la nécessité d’un entretien régulier de son véhicule
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Mobilité insertion.
Les demandeurs d’emploi du territoire ne bénéficient pas toujours d’un service public de transport qui corresponde à leurs horaires de travail ou bien à leur destination.
Lorsqu’ils ne disposent pas d’un moyen de déplacement personnel, le frein à l’insertion professionnelle et à l’entrée en formation est très important.
- Public
- Jeunes adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Mobilité insertion.
Les demandeurs d’emploi du territoire ne bénéficient pas toujours d’un service public de transport qui corresponde à leurs horaires de travail ou bien à leur destination.
Lorsqu’ils ne disposent pas d’un moyen de déplacement personnel, le frein à l’insertion professionnelle et à l’entrée en formation est très important.
Toute personne souhaitant louer un scooter doit passer, dans la mesure du possible, par un référent, qui remplit alors une fiche de prescription. Le contrat de location est rempli à Mobicité 86. Le locataire s’acquitte de 50% du montant de la location en espèces et d’une caution de 260€. Il doit revenir chaque mois pour la révision du véhicule et s’acquitter de ses factures.
Les locataires ont dorénavant la possibilité de souscrire un contrat de location-vente pour faire l’acquisition d’un scooter.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
le budget de l'action est de 148668€ Ressources propres sur la location et services rendus est de 52000€ Etat 14500€ Département 36500€ Europe 8000€ Intercommunalité 21400€ Autres produits 9568€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 personnes une secrétaire et 2 mécaniciens
- Résultat sur le territoire
Personnes ayant besoin d’être mobiles pour accéder à un emploi et/ou le conserver
Salariés en parcours d’insertion
Jeunes inscrits dans un parcours d’insertion (formation, stage, contrat d’apprentissage…) et suivis par des référents Mission Locale, Pôle Emploi, CCAS, Equipe de prévention, équipements de quartiers.
Jeunes et adultes, bénéficiaires du RSA, issus en priorité des quartiers Politique de la Ville.
- Résultat pour le centre social
le centre social inscrit cette action dans une démarche globale autour de la mobilité pouisqu'elle gère également une auto-école associative(permis B ; permis AM). Ce projet impact le centre dans la mesure ou les bénéficiaires sont dirigés par des référents sociaux sur du quartier. Ces actions permettent une continuité dans le suivi d'un parcours d'insertion sociale et professionnel des habitants du quartier mais également des habitants des territoires en politique de la ville
- Résultat pour les habitants
L'impcct est de permettre aux habitants d'être autonome dans leur déplacement, et gagner en autonomie c'est gagner en liberté dans ses mouvements
- Suite de l'action : Limites
Cela fait + de 20 ans que cela dur et nous avons de cesse d'améliorer le disposif et de le développer car il répond a un réel besoin et il est prouvé que l'immobilité coûte + cher que la mobilité
- Suite de l'action : Perspectives
Développer l'auto école, travailler sur une plateforme mobilité animé par un conseiller en mobilité pour offrir un panel varié et surtout efficace aux besoins exprimés en mobilité
Actions
Crèche parentale à vocation insertion
- Structure organisatrice
- Centre Social Val Plan Bégudes - Bouches-du-Rhône
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Emploi, économie
- Précarité
- Résumé
Projet spécifique à destination des personnes aux RSA voulant reprendre une activité professionnelle et ne pouvant bénéficier d'une place en crèche.
Mode de garde parental dans lequel les parents sont impliqués dans le fonctionnement et assurent un co-encadrement avec un accompagnement à la fonction parentale.
Parallèlement, un travail de coatching emploi personnalisé permet d'accélérer une entrée en formation ou un retour à l'emploi.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Suite à une démarche de projet social et un diagnostic partagé, des habitants relevaient que les dispositifs existants ne permettaient pas un retour à l'emploi et les freins de garde d'enfants bloquaient les situations.
- Public
- Petite enfance
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
début des réflexions 2017 - partenariat 2018 - ouverture crèche octobre 2009
Démarche partenariale pour partager les compétences à mettre en oeuvre pour la réalisation du projet
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Financement dans le cadre du Contrat Enfance Jeunesse
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
7 professionnels
- Résultat sur le territoire
Amélioration du lien social
Garde d'enfant adapté
Accompagnement parentalité
Insertion profesionnelle réussie
- Résultat pour le centre social
Meilleure transversalité des secteurs
Meilleure prise en charge de la question de la petite enfance
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
Capacité limité à 20 enfants
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Santé-Bien être à Coulaines
- Structure organisatrice
- LES MAISONS POUR TOUS - Sarthe
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Santé
- Résumé
Depuis 2009, le réseau santé de Coulaines constitué d'une cinquantaine de partenaires et coordonné par le centre social Les Maisons Pour Tous proposent des actions en direction du public et des professionnels en lien avec les orientations définies par l’enquéte « Coulaines ville bien-être » qui a permis de connaître les attentes et besoins des habitants mais également dans le carde du Contrat Local de Santé signé avec l'ARS en 2013 et dont la ville a délégué la coordination au centre social.
les actions proposées concernent les thématiques suivantes:
- la coordination du Réseau
- le logement
- la nutrition
- la vie affective et relationnelle
- la parentalité
les conduites addictives
- la santé mentale/ les compétences psychosociales/ le bien vieillir
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Coulaines est une ville limitrophe au Mans dont les logements sociaux représentent 52% de l'habitat. Une partie de la ville est en quartiers prioritaires de la ville et en Zone de Sécurité Prioritaire. Du fait d'une grande précarité d'une partie de la population, des problématiques spécifiques ont été repérées lors de l'enquête "Coulaines ville bien être" réalisée en2009 à savoir:
l'isolement social/ la santé mentale; l'alimentation, les conduites addictives et l'hygiène de vie.....
Les partenaires locaux habitués à travailler ensemble ont souhaité se former et se mobiliser autour du centre social pour mener des actions de prévention et de sensibilisation dans le temps autour de la santé et du bien-être. ces actions s'inscrivent pleinement dans le projet social des Maisons Pour Tous qui coordonnent le reseau santé-parentalité depuis 2006 mais également le Contrat Local de Santé de la Ville depuis 2013.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
le Réseau santé de Coulaines constitué des partenaires locaux et institutionnels est coordonné par le centre social Les Maisons Pour Tous. Il se réunit 2 à 3 fois par an pour décider desorientations, informer les partenaires des actions en cours et assurer le bilan global.
Des commissions de travail thématiques ont été mises en place en fonction des orientations définies.Elles organisent les actions en direction du public ciblé. Elles sont constituées de professionnelles et de bénévoles.
Exemples:
- commission nutrition (éducation nationale, diététicienne de la Commune, épicerie sociale, infirmiere du collége, CPAM, JSC...) :" matin malin": petit dejeuner, rencontres avec une diététicienne et séances sur l'alimentation et activités physiques. Actions de sensibilisation auprés des enfants scolarisés dans les écoles du quartier. Aetliers cuisine et repas pris en commun par les familles de l'épicerie sociale et du centre social...
- commission logement (bailleurs sociaux, CSF, CNL, menuisier, CCAS, ADGESTI, CAF, aide à domicile,...) maintien dans le logement, ateliers bricolage, don de mobilier,...
- commission addictions (MFPF, collége,résaad, association de parents d'éléves... ) journée sans tabac, cyber sexualité et éducation au virtuel....
- commission parentalité (écoles, structures petite enfance, CCAS, conseil general de secteur, bailleurs sociaux, service de prévention sauvegarde....) réalisation d'un diagnostic, interventions auprés des parents des enfants et collégiens sur l'autorité....
etc...
- Ressources financières mobilisées pour cette action
budget global 55700€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
centre social: 3 professionnels dont 1 coordinatrice du reseau santé parentalité, 1 animatrice social, 1 animatrice coordinatrice jeunesse
autres partenaires medico-sociaux: 25 professionnels
bénévoles d'association: 20
- Résultat sur le territoire
l'action est menée sur l'ensemble du territoire depuis plusieurs années par le reseau santé. Les effets positives apparaissent maintenant plus clairement:
-changement de comportements de la population (exemple: nutrition..)
- partenariat renforcé qui permettent dans action dans d'autres domaines que la santé
- reconnaissance de l'action par les politiques et les institutionnels
- Résultat pour le centre social
Reconnaissance du centre social comme coordinateur du Réseau santé et du Contrat Local de santé par les institutionnels, les associations et les Elus politiques
liens avec des habitants et des partenaires nouveaux
- Résultat pour les habitants
les habitants deviennent acteurs de leur santé:
- modification de leur comportement (exemple nutrition),
- participation et implication dans lescommissions de travail et les actions proposées
- Suite de l'action : Limites
La dynamique engagée par le Réseau santé fait apparaitre de nouvelles actions à développer avec les habitants et les partenaires médico-sociaux dans le domaine de la prévention santé mais cela nécessite de la part du centre social du temps de coordination et d'évaluation supplémentaire.
- Suite de l'action : Perspectives
Poursuivre les actions engagées afin de pouvoir avoir un réel effet à long terme sur le bien être de la population.
Associer la population à l'ouverture d'un appartement pédagogique dans un quartier prioritaire de la politique de la Ville pour favoriser le maintien dans le logement.
Actions
Objectif citoyen
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL DANUBE SOCIAL ET CULTUREL - Paris
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Démocratie & citoyenneté
- Intégration
- Résumé
Mise en place d'une bourse pour des jeunes du quartier en échange de 50 heures de travail sur des actions d'animation globale du territoire. Les jeunes mettent également en place leur propre action. En 2014, une battle de danse inter quartier a été organisée par leurs soins. 4 heures de service à la personne sont également effectuées en maison de retraite sur le 19ème. Depuis, nous avons rajouté une deuxième partie au projet initial puis une troisième. A ce jour, nous inscrivons également des jeunes aux BAFA en échange d'heures d'animation sur l'ALSH du centre. Nous faisons aussi passer le PSC1 aux jeunes le souhaitant. Enfin d'autres jeunes nous aident sur l'aspect manutention de la fête de quartier en échange d'une bourse collective pour une aide au départ en séjour.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Précision ( si autre )
Nous travaillons avec le club de prévention de L'AJAM sur le repérage et l'accompagnement éducatif des jeunes.
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le CSCDanube accueillait très peu de jeunes de plus de 12 ans. De plus, nous souhaitions agir sur la citoyenneté avec les jeunes. Ce projet existe depuis 3 ans et grâce à celui-ci plus de 60 jeunes fréquentent le CSCD.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Repérage des jeunes, rencontre avec les jeunes pour expliquer la démarche et le projet, rencontre tous les deux mois pour le suivi des jeunes et travail collectif sur les animations à venir.
Le projet démarre chaque début d'année civile et se termine le 31 décembre.
Les jeunes sont encadrés par le coordinateur enfance jeunesse du CSCD et par deux éducateurs de l'AJAM.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Le coordinateur enfance jeunesse
- Résultat sur le territoire
Connaissance des associations du quartier par les jeunes
Lien social / Lien intergénérationnel
Formation professionnelle : l'action répond au besoin d'un public jeune de s'inscrire dans un processus de formation
Implication et participation: l'action répond à un besoin du jeune de s'impliquer en tant qu'acteur dans la vie de son quartier.......
- Résultat pour le centre social
Les jeunes du territoire connaissent le CSCD. Le bouche à oreille permet la venue de nouveaux jeunes.
Cette action permet également de répondre aux objectifs du projet social concernant le jeunesse.
- Résultat pour les habitants
Une cohabitation jeunes / adultes beaucoup plus fluide et rassurante pour les séniors du territoire.
- Suite de l'action : Limites
Les jeunes doivent toujours être accompagnés et encadrés car leur rapport au temps est différent du nôtre.
- Suite de l'action : Perspectives
Nous souhaitons que ces jeunes se mobilisent autour d'une nouvelle action "bar citoyen".
Par ailleurs, nous continuons ce projet.
Actions
Nos différences : c'est notre point commun ?
- Structure organisatrice
- Centre Socioculturel La Partageraie - Savoie
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
L'action s'est déroulée en 2014 avec :
- deux voyages d'études en Roumanie et en France
- un mois sur "les différences" du 4 novembre au 4 décembre 2014
La préparation a démarré en 2012.
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- discriminations
- Europe et International
- Résumé
Nos différences : c'est notre point commun ?, c'est :
- 1854 passages de jeunes et moins jeunes,
- 4 spectacles, 6 conférences, 3 ateliers, 7 films organisés en Cœur de Savoie
- Une Journée « Différences » à St Pierre d’Albigny : 244 passages dans la journée + 200 repas le soir, cuisinés et servis par les participants et les bénévoles des ateliers « langages » et les membres des commissions de l’ACA de la Combe de Savoie + 8 stands d’information, 3 expositions, 1 atelier d’écriture, 2 grands jeux, 1 table ronde, 2 ateliers animés.
- Création d’une bande dessinée, de 2 poèmes, de 5 films et 2 chansons dont une avec un clip, par des jeunes âgés de 12 à 17 ans et accompagnés par les équipes d’animation « jeunesse » de la CCC de Savoie et de l’ACA de la Combe de Savoie.
- Création d’un film par les jeunes du Centre Scolaire et Educatif « La Plantaz ».
Mais aussi :
- Entre février et mars 2013 : 250 jeunes du Collège « Les Frontailles » à St Pierre d’Albigny, 125 jeunes du Collège « Val Gelon » à La Rochette, 140 jeunes de l’école N°1 de Pitesti (Roumanie) consultés sur leur représentation de « La différence ».
- 2 voyages d’études en Argès (Roumanie) du 19 au 23 mai 2014 et en Savoie (France) du 17 au 22 novembre 2014, organisés par la CCCdeS et l’ACACS avec l’appui de Pays de Savoie Solidaire ; la participation de la Sauvegarde de l’Enfance et de l’Adolescence de Savoie, du Centre Scolaire et Educatif de « La Plantaz », du Service Enfance/Jeunesse/Famille du Conseil Départemental, de l’Association Nationale de Prévention en Alcoologie et Addictologie de Savoie et l’éclairage de Daniel Marcelli (Professeur de Psychiatrie de l’Enfant et de l’Adolescent), d’Abdessalem Yahaoui (Enseignant Chercheur à l’Université de Savoie en Psychologie Clinique Interculturelle) et Maria Constantinescu (Directrice du Département Assistance Sociale de l’Université de Pitesti)
- A Pitesti, des jeunes de l’Ecole N°1 et de l’association Argès Solidaire ont réalisé :1 pièce de théâtre, 1 exposition de photos et de dessins, 2 films d’animation et 4 courts-métrages
- Des ateliers « théâtre d’impro » pour 25 jeunes et 1 spectacle pour les classes de 5ème et une séance en famille au Collège « Val Gelon » accompagné par l’équipe d’animation de la CC de Cœur de Savoie.
Un film réalisé par les étudiants de licence pro "Métiers de l'audiovisuel" du Bourget du Lac permet de présenter rapidement les actions de sensibilisation du mois de novembre 2014.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Autre
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
En 2012, le diagnostic des professionnels jeunesse du territoire (animation, prévention, éducation) a mis en évidence, des constats quotidiens nous alertant sur des attitudes, des réactions, des faits autour de la perception de la différence au sens large, tout d'abord de la part du public jeunes.
Nous avons ensuite engagé un travail de consultation auprès des jeunes du Collège de St Pierre d'Albigny et de l'école N°1 de Pitesti, pour vérifier l'intérêt des jeunes sur ce sujet et surtout leur envie d'en parler.
Le centre social a souhaité que les actions de sensibilisation s'adresse aux jeunes mais aussi à toutes les générations et que certaines actions soient organisées par des habitants de tous âges, simplement il devait en avoir envie.
Résultat/changement :
Un impact très positif sur la perception du centre social par la nouvelle intercommunalité et des communes qui ne bénéficiait pas de notre intervention.
Des structures partenaires ont conservé "la différence" comme thématique de travail et poursuivre des projets avec les jeunes qu'ils accompagnent (ex : Sauvegarde de l'enfance, avec un groupe de jeunes en séjour en Roumanie, MECS locale : la différence, le thème de l'année).
Des habitants de toutes générations ont participé à toutes les manifestations, l'effet "boule de neige" a marché.
Les temps de formation de professionnels ont été perçu comme très pertinente pour le quotidien des acteurs.
Les films sur la différence réalisé par des groupes de jeunes ont permis de vrai échanges sur les thèmes abordés.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Autre
- Description générale
L'action s'est déroulée en mai 2014 (1er voyage d'étude en Roumanie, délégation française), du 4 novembre au 4 décembre en France, en Coeur de Savoie, avec le second voyage d'étude (délégation roumaine).
un groupe de travail sur 3 ans, avec une méthode partenariale, qui donne la place à tous mais qui doit aussi permettre la prise de décision. l'appui de Pays de Savoie Solidaires pour l'organisation des voyages d'études.
le groupe de travai associait les partenaires de Pitesti, utilisation de Skype.
une volonté de croiser les spécialités (psychologue, pédopsychiatre, ethnologue...), les arts (théâtre, cinéma...), de rassembler toutes les bonnes volontés bénévoles et professionnels
avec un site internet : http://www.nosdifferences.aca-combedesavoie.fr/ qui a permis de communiquer de manière dynamique sur la programmation
avec la participation active de Daniel Marcelli et Abdessalem Yahyoui qui nous ont accompagné dans les 2 voyages d'études en Roumanie à Pitesti et en France à St Pierre d'Albigny, apportant leurs éclairages, leurs connaissances et leur bienveillance.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
85 625.00€ dont 37K€ Fonds territoires CAF
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
30 professionnels, 50 bénévoles des deux pays
- Résultat sur le territoire
voir changement attendu plus haut
+ une vrai dynamique partenariale entre
les différents professionnels ce qui apporte ensuite au quotidient une façon de travailler ensemble très différente
les bénévoles et les professionnels avec un vécu comment, sur un moment comme la journée du samedi 22/11, il n'existe plus de différence professionnel et bénévoles, seuls les points communs subsistent :)
la capacité du territoire à organiser des actions que l'on croyait réserver aux grandes agglomérations et à travailler avec des intervenants reconnus nationalement
l'ouverture à un autre pays européens : la communauté de communes a retenu dans ses statuts, qu'elle pouvait participer à des initiatives de coopération internationale
- Résultat pour le centre social
une dynamique d'équipe renforcée avec une implication des bénévoles, des salariés, qui a dépassé le droit du travail :), mais tellement renforcé le projet
la dynamique intergénérationnelle : son impact a été ressenti par touts, la rencontre des générations, c'est essentiel et paraît souvent comme du blabla, quel dommange !
une montée en savoir faire de tous, une telle expérience renforce les compétences de tous, de manière ultra-rapide
la question de l'engagement : un sujet qui est apparu dans l'année, avec le rencontre entre des personnes qui s'engage dans plusieurs pays
- Résultat pour les habitants
une reconnaissance de leur territoire, avec la possiblité de découvrir des spectacles, des intervenants que beaucoup croient réservé à "la ville" et oui mon bon monsieur !!! :)
des discussions nombreuses dans nos communes sur les sujets abordés, des ventes de livres à la librairie du coin, du bouche à oreille, des sourires, de l'envie de recommencer !!!
- Suite de l'action : Limites
il est difficile de porter régulièrement une action comme celle-ci dans un centre social comme le nôtre, avec les autres actions au quotidient à mener en parallèle
notre convention collective n'est pas celle du Syndeac
les moyens financiers à trouver
- Suite de l'action : Perspectives
Chacun des partenaires a pu utiliser dans ses actions propres le thème de "la différence" soit en même temps soit dans la foulée.
Nous avons appronfondi un des sujets en 2015 dans le cadre de nos "Mardis de la Parentalité"
La coopération internationale est devenu une envie pour toute l'équipe, il faut trouver le bon prolongement dans notre futur projet 2017/2020.
Actions
Bien vivre dans son logement, s'ouvrir vers l'extérieur
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL GISELE HALIMI ALLONNES - Sarthe
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Démocratie & citoyenneté
- développement durable
- Résumé
Ce projet émane d'un groupe de travail "partenaires" sur la question du logement. Il a pour objectifs d'accompagner les habitants dans l'aménagement, l'embellissement et la prise en compte de leurs responsbilités locatives.
L'entraide, la valorisation des compétences techniques et la rupture de l'isolement social sont également visées à travers ce projet.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Des besoins de soutien aux habitants avaient été repérés par les travailleurs sociaux : petit bricolage, aide au déménagement, prêts de matériel électroménager et de bricolage,...
Plusieurs actions sont mises en place à travers ce projet :
- l'ouverture d'un repair café
- la mise en place d'ateliers de bricolage
- des actions de sensibilisation au développement durable
- du pret de matériel de bricolage et électroménager
- une mise à disposition d'un lave-linge..
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
2013 /2014 : Dans un premier temps, une réflexion a été menée dans le cadre d'un groupe de travail "partenaires".
Depuis fin 2014 : lors de la mise en oeuvre des actions , un groupe d'habitants relais a été constitué et se retoruve régulièrement avec les acteurs sociaux dans la réflexion et la mise en oeuvre des actions.
En parallèle, un groupe de pilotage a été constitué avec les financeurs.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Buget global 2014 : 30500 € incluant un poste d'animateur en emploi avenir, l'achat du matériel pour les préts et l'aménagement du Repair Café.
N'est pas pris en compte le temps de travail de coordination et pilotage.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 personnes sont mobilisées sur ce projet :
- 1 animatrice coordinatrice à 30%
- 1 animatrice Logement à 100 %
- 1 directrice à 10 %
- Résultat sur le territoire
- Ouverture du repair café, nouveau lieu ressource sur le territoire
- Apport de réponses individuelles à des problèmatiques logement pour les habitants
- Développement de compétences à travers les différents ateliers
- Lien social, intergénérationnel et mixité sociale, culturelle
- Projet qui touche un public masculin
- Dynamique partenariale positive
- Résultat pour le centre social
- Développement d 'un des axes du projet social, à savoir le soutien aux habitants dans leur vie quotidienne et le développement de potentialités
- Nouveau public non connu du centre social à travers la féquentation du Repair Café
- Promotion du centre social à travers différents articles et reportage sur le Repair Café
- Dynamique partenariale positive
- Résultat pour les habitants
- Mise en place de nouveaux services, d'un nouveau lieu ressource investi par les hommes contrairement aux autres actions plutôt investies par des femmes.
- Valorisation de compétences techniques,
- Lien social, développement de réseaux sociaux sur le territoire
- Suite de l'action : Limites
La pérénnisation du projet qui a été développé en partie grâce au recrutement d'une animatrice en emploi d'avenir
- Suite de l'action : Perspectives
Réflexion sur les suites à envisager en termes de portage du projet.
Renforcement de l'implicationet du pouvoir d'agir des habitants
Actions
Permanence d'aide administrative
- Structure organisatrice
- MAISON POUR TOUS MONPLAISIR - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Précarité
- Résumé
Une permanence d'accueil ouverte à tous, permet l'écoute et la compréhension des actes à réaliser pour faciliter une réponse pratique à des problématiques diverses (ex :demande de logement social, demande d'aide juridictionnelle, demande d'allocation, courrier avocat, orientation des structures spécialisées, obtention d'un rendez-vous auprès d'un travailleur social, information sur des dispositifs d'aide...).
Cette permanence accueille les habitants sans rendez-vous sur plusieurs quartiers de la Ville d'Angers. Elle est encadrée par un agent de formation juridique avec de l'expérience. En 2014, 1342 entretiens ont été réalisés.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La ville d'Angers accueillant de nombreuses personnes issues de l'immigration, logées dans des quartiers de logement sociaux (quartiers en Politique de la Ville notamment) très touchés par la crise, économique et sociale, il est devenu nécessaire d'accompagner les habitants à travers un service d'accueil de proximité.
Cette action permet de soutenir les services institutionnels en proposant aux usagers de ces services un déchiffrage des formulaires ou des démarches nécessaire pour leur permettre d'accéder à leurs droits et apporter des réponses pratiques à leurs problématiques personnelles afin de faciliter leur intégration sociale.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
L'action a été mise en oeuvre en 2011 suite à la réflexion des partenaires institutionnels (CAF, Conseil Départemental, Préfecture, Commune, Centre Social). Ces partenaires se retrouvent deux fois par an au sein d'un Comité de Pilotage de l'action pour accompagner sont développement et sa pérennisation.
La réussite de l'action a été possible par le profil et l'expérience du titulaire du poste et par la qualité des relations avec les partenaires.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le coût des permanences d'aide administrative est principalement le coût du salarié en charge des permanences soit 33.000 € dont 25.000 € financés par la Politique de la Ville (Commune, CAF, Conseil Départemental).
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 professionnel
- Résultat sur le territoire
Dimension de facilitateur inter-services auprès des partenaires, rôle de médiation en plus des activités de production d’écrits, informations et orientations. Souplesse de la saisine des permanences grâce à leur situation géographique et à l’accès sans rendez-vous qui permet une auto-régulation et un report le cas échéant sur les autres sites.
- Résultat pour le centre social
Reconnaissance par les habitants de la qualité du service apporté.
Intérêt de la mutualisation de compétences au sein des Maisons de quartier au profit des habitants conformément à leurs missions en particulier pour celles qii sont agrées « Centre social ».
- Résultat pour les habitants
Les permanences ont permis de répondre aux besoins exprimés et aux personnes de trouver une réponse a leurs préoccupations: déblocage de situations administratives et de la vie courante, obtention de droits suite à la constitution de dossier et l'exercice de recours. Renforcement de l'autonomie du public. Amélioration de la compréhension des situations : 75% des habitants qui fréquentent les permanences ont une autonomie faible ou très faible. Beaucoup cumul des difficultés subies : insuffisante maîtrise de la langue (écrit, lecture), compréhension insuffisante des situations personnelles, difficultés financières sévères.
Les permanences participent à une meilleuire cohésion sociale sur le quartier.
- Suite de l'action : Limites
Cette action est financée uniquement sur les subventions de la Politique de la Ville.
- Suite de l'action : Perspectives
Recherche de financement pour la péreniisation de la l'action.
Actions
Fête de quartier de Chennevières
- Structure organisatrice
- MAISON DE QUARTIER CHENNEVIERES - Val-d'Oise
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Manifestation qui s'est déroulée le 20 juin 2015.
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- Solidarité
- Culture
- mobilité / transport
- Mixité sociale
- Résumé
Le samedi 20 Juin 2015 s’est déroulée la fête de quartier de Chennevières. Le thème « Le sport en fête» a été retenu comme fil conducteur. Il est fédérateur pour l’animation et la participation de l’ensemble des partenaires avec le souci de faire participer le public.
Cette fête est un temps fort de la Maison de Quartier, car il regroupe de nombreux partenaires (institutionnels et associatifs) autour d’une journée festive pour tout le public du quartier. Le contenu de la fête est décidé au sein du comité des fêtes (instance regroupant les acteurs locaux), réuni 5 fois de Janvier à juin.
Environ 500 personnes ont participé à la fête de quartier. Le public était majoritairement issu du quartier de Chennevières et aussi d'autres quartiers. L'ensemble des associations de quartier était présent. La préparation de cette journée a sollicité la mobilisation de beaucoup de moyens humains.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place afin de renforcer le lien social entre les habitants du quartier de Chennevières et des autres quartiers de la zone d'influence du centre social. De valoriser le travail associatif mené tout le long de l'année dans les quartiers. De créer un espace de convivialité, d'échange afin de favoriser la mixité du public.
Nous pouvons dire que les objectifs ont été atteints. La participation a été bien au-delà des 500 personnes attendues.
L'ouverture de la fête par des danses latines, les structures gonflables et les stands des associations ont été très bien accueillies jusqu'au pied du podium où ils ont su entraîner le public aux rythmes des musiques du monde.
Le repas, temps fort de cette manifestation, a réellement permis aux habitants de discuter de manière détendue, pour certains de faire connaissance, pour d’autres d’approfondir une relation.
Les jeunes du quartier ont spontanément prêté main forte aux bénévoles pour la logistique et ont contribué par leur spectacle de danse, à donner une image plus positive et valorisante des quartiers.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Un comité de fête comprenant l’ensemble des partenaires (13 associations, 1 bailleur et 1 compagnie de transport) se sont réunies 5 fois (de janvier à juin) au centre social afin de préparer l’évènement. Lors des rencontres, les acteurs ont définit la forme de la manifestation et son contenu (La préparation de la logistique, le repas, l’ouverture de la fête, l’animation sur la place et le podium, la sécurité, la sonorisation, la tombola et le rangement).
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Dépenses : 8538€
Recettes : 8806.06
Excédent : 263.83€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
99 personnes : 30 professionnels et 69 bénévoles.
- Résultat sur le territoire
Valorisation des partenaires institutionnels et associatifs qui mènent des actions toute l’année.
- Résultat pour le centre social
Ce type de manifestation apporte une visibilité des actions menées, un rapprochement en direction des personnes qui ne venaient plus et celles qui ne connaisaient pas le centre social..
- Résultat pour les habitants
Manifestation très apprécié par les habitants. Cette action ponctuelle permet de bénéficier d’animation diverses et de rencontrer les élus et acteurs locaux.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Maintenir la dynamique associative tout en impliquant les habitants qui ne font pas parti du tissu associatif.