Les actions des centres sociaux
Actions
Juillet Ensemble - Quartier Animé
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIO-CULTUREL DE SAINT- LOUIS - Haut-Rhin
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
L'action à eu lieu en juillet 2018. Pour l'année en cours l'action est donc terminée, mais elle sera reconduite en juiller 2019.
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- vacances / loisirs
- Mixité sociale
- Résumé
Durant le mois de juillet, les animateurs du secteur enfance et jeunesse proposent des animations tous publics aux habitants du quartier de la gare et de la cité du Rail. Les animations passent du cahier de vacances aux bricolages, maquillages, initiations ou animations sportives, initiations aux percussions africaines, jeux d’eau, …
De plus, les lundis après-midis de 15h à 17h l’équipe d’animation est renforcée par une accueillante du LAEP qui propose des animations destinées aux enfants de 0 à 4 ans et à leurs parents avec des conseils et une oreille attentive aux problématiques liées à la parentalité.
Lors des interventions, un goûter collectif est proposé à 16h30, moment convivial où chacun peut amener ses spécialités et découvrir celles de ses voisins. De plus, l’intervention d’une diététicienne permet d’avoir gratuitement des conseils pour préparer de bons goûters équilibrés à chaque âge.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L’animation de quartier qui a eu lieu dans le quartier de la gare (QPV) en juillet 2017 a été accueillie avec un grand succès, permettant aux enfants et parents de participer à des activités gratuites. Les animateurs n’étant pas des professionnels de la petite Enfance, il manquait des animations destinées au moins de 3 ans. De plus le LAEP Fami’Lys souhaite être plus visible au niveau du quartier de la gare pour ensuite orienter les familles dans le locaux du LAEP. Le quartier de la gare étant désigné comme quartier prioritaire de la ville, de nombreux habitants sont en situation précaire et n’ont pas accès aux loisirs ou ne peuvent pas partir en vacances par manque de moyens, il est donc important de proposer des animations aux enfants pendant les vacances scolaires estivales.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Tout le mois de juillet les lundis et mardis après-midi ainsi que les mercredis en journée complète, les animateurs et partenaires culturels sont intervenus dans le quartier prioritaire de la Gare en proposant des activités sur diverses thématiques : art, sport, nature, sciences.
En amont, la responsable Enfance/Jeunesse (REJ), la coordinatrice jeunesse (CJ), les animateurs jeunesse, les accueillantes LAEP, la responsable du secteur famille, les bénévoles se sont rencontrés à différentes reprises afin de préparer les animations et communiquer aux partenaires les informations. 3 séances de travail collectives ont eu lieu et plusieurs rencontres entre les partenaires, la REJ et la CJ.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 REJ
1CJ
2 accueillantes LAEP
1 animatrice jeunesse
- Résultat sur le territoire
Partir à la rencontre des habitants du quartier de la gare
Créer du lien, favoriser les échanges et partager des temps conviviaux
- Résultat pour le centre social
Renforcer le lien avec les habitants du quartier prioritaire, développer la visibilité du CSC et attirer de nouveaux bénévoles/adhérents au secteur jeunesse, faire connaitre les actions du secteur famille et du LAEP
- Résultat pour les habitants
Proposer des temps de loisirs à ceux qui n’ont pas les moyens de partir en vacances
Proposer des animations au coeur du quartier prioritaire
Faire découvrir les actions du CSC (LAEP, animation enfance, jeunesse) et attirer de nouveaux usagers ou bénévoles
- Suite de l'action : Limites
Manque de matériel et de moyens logistiques (accès à l'eau, abbris en cas de forte chaleur ou de pluie), difficulté de cuisiner les repas collectifs dans le quartier (pas de point pour cuire)
- Suite de l'action : Perspectives
Pérennisation de l'action en développant les partenariats et les moyens
Actions
"Accès aux droits et lutte contre la fracture numérique"
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL CAF LA CLAIRIERE - Meurthe-et-Moselle
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- discriminations
- Résumé
A. Une réponse individuelle et bienveillante:
La vigilance particulière du Centre Social à la qualité de l'accueil permet une première étape indispensable pour identifier les besoins spécifiques de chaque personne et y apporter une réponse adaptée de premier niveau.
- Un accueil de premier niveau
Le Centre Social est un lieu ouvert assurant un accueil individuel et bienveillant pour permettre au plus grand nombre de pouvoir réaliser des démarches administratives en étant accompagnés. Créer un tel lieu d'accueil permet aux personnes de trouver une écoute et une ouverture qui peut être une première entrée pour certains publics vers une démarche accompagnée pour l'accès aux droits.
La présence de jeunes volontaires en mission de service civique missionnés par la CAF 54 permet de recevoir les personnes et de leur apporter une réponse immédiate une aide concrète dans la réalisation de démarches en ligne. Un accompagnement à l'utilisation de la borne Caf est également proposé pour les personnes qui le souhaitent (plus de 100 personnes passent chaque mois pour imprimer une attestation)
Des permanences hors des murs de notre structure sont également assurées avec d’autres volontaires services civiques du territoire pour aller vers les publics qui ne viennent pas au Centre Social:
- expliquer un courrier
- donner des informations sur les différentes prestations
- aider les personnes à remplir des formulaires (demande de logement social, demande de CMUC…).
Démarche :
- Pédagogie rendant la personne actrice (faire avec et non pas faire à la place) .
- Ecoute et décryptage du besoin.
- Explication simple et claire avec un vocabulaire accessible à tous.
- Vérification de la bonne compréhension par la personne des explications données ou des démarches réalisées ou à réaliser.
2) A la suite de ce premier accueil individualisé, orientation possible vers :
- Un accès accompagné sur les outils informatiques du centre social (télé-déclarations, création ou accès à sa messagerie, inscription à pôle emploi, recherche internet.)
- Un accompagnement approfondi en cas de difficultés d’accès aux droits par le travailleur social référent de l’action, qui aura une vigilance particulière sur les situations complexes et la recherche de solutions.
- Une réorientation et une mise en lien avec les partenaires adéquats en fonction de la problématique identifiée.
B. Des actions collectives pour impulser un parcours et acquérir une plus grande autonomie :
Une meilleure connaissance de ses droits:
- Mise en place de temps d'informations réguliers sur des démarches de droits plus élargies en réactivité à l'actualité, intervention de partenaires extérieurs, en lien avec les personnes participants à d'autres activités du Centre Social et avec les partenaires territoriaux.
- Création et diffusion d'outils récapitulatifs simples permettant une compréhension par nos publics des différents types de démarches administratives auxquelles ils pourraient être confrontés.
La facilitation numérique:
- Mise en œuvre de deux modules de formation à l’outil informatique. Le premier s’adresse à des personnes qui n’ont aucune connaissance en informatique, le second à des personnes ayant déjà quelques notions. Les groupes sont constitués en fonction du niveau de compétences nécessaire des personnes présentes et des pré-requis indispensables (langue, écrit, vocabulaire.).
L’objectif de ces ateliers est d’acquérir les principes de base de l’outil informatique et de l’accès à Internet pour pouvoir réaliser des démarches en ligne en autonomie.
Au niveau du contenu, il y a une présentation théorique minime qui aborde l’essentiel de la séance (construit après recueil des besoins des participants) avec des mots simples, une mise en pratique, un outil récapitulatif à emmener chez soi. Les ateliers informatiques sont animés par un volontaire en service civique, la Conseillère en ESF référente et /ou un bénévole pour pouvoir accompagner les personnes de manière plus personnalisée lors de la pratique.
- Pour faciliter la réappropriation des savoirs acquis pendant la formation, les participants ont la possibilité de s’exercer sur les ordinateurs du Centre Social de manière individuelle.
C. Travail de partenariat :
Contribution avec les partenaires territoriaux de l'expérimentation « Accès aux droits du Plateau de Haye », pour continuer à:
- Travailler en collaboration et faciliter la résolution des situations complexes grâce notamment à la nomination de « Référents accès aux droit » dans les différentes institutions.
- Communiquer, mieux informer pour permettre une visibilité des différentes actions proposées sur le territoire afin de faciliter l'accès aux droits du plus grand nombre d’habitants du territoire.
- « Aller vers » un public qui ne fait pas appel aux institutions :
Sortir de la structure, mobiliser éventuellement d'autres services civiques du territoire ayant des missions similaires, mutualiser ou diversifier nos actions pour permettre d'aller à la rencontre des habitants. Temps de présence hebdomadaire des services civiques à l'extérieur de Centre Social à la mairie de quartier pour aller au-devant d'habitants, compléter et soutenir les accueils existants.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L’aide à l’accès ou au maintien des droits et l’usage de l’outil numérique sont devenus indissociables dans un contexte de développement accéléré de la simplification des démarches administratives.
Les formalités de la vie quotidienne sont de plus en plus marquées par l’obligation d’avoir une adresse email et de faire des démarches sur un compte personnel en ligne. Que ce soit pour suivre le versement de ses prestations, ses remboursements de santé, son compte en banque, ses factures d’énergie ou de téléphone, pour rechercher un emploi ou encore passer son permis de conduire, il devient indispensable d’avoir accès à un outil numérique et de savoir l’utiliser.
Si pour 80% de personnes, il s’agit réellement d’une simplification, une minorité en situation de précarité risque de se trouver dans l’impossibilité d’accéder à ses droits voire même d’avoir une existence sociale.
Il s’agit, d’une manière générale, d’accompagner un public qui rencontre des difficultés, perdu dans les méandres administratifs de par leur non compréhension ou de par leur négligence.
En tout état de cause, quel que soit leur problématique, ce qui les motive à franchir la porte du centre social c’est d’abord pour recevoir une écoute, avoir la possibilité de se sentir épaulés pour enfin être rassuré en faisant seul.
La mise en confiance est primordiale comme la capacité à savoir renseigner sans prendre la place des gens ni faire à leur place ou répondre à la pression.
Ces temps de rencontredoivent permettre aussi de pouvoir approcher les inquiétudes, calmer le jeu, être en position de tiers. L’accueil demeurant avant tout : une affaire d’équipe.
Outre des réponses à des questionnements individuels des publics qui ont interpellé l’équipe, la mise en œuvre de cette action permet d’apporter des éléments d’analyse sur les besoins des habitants et sur les modalités d’action à proposer sur la thématique de l’accès aux droits.
Les problématiques relevées dans ce domaine sont :
- Une évolution du contexte administratif : La modification des modalités d’accueils physiques et téléphoniques des institutions et une réorientation quasi systématique sur des sites internet dédiés.
- Une précarité accentuée des publics accueillis qui entraîne une certaine instabilité des situations sociales, familiales et professionnelles, ce qui multiplie le nombre de démarches à effectuer à chaque changement de situation administrative.
- Un accès limité à l’outil informatique du fait d’un manque d’équipement (seuls 24% des publics reçus dans le cadre de l’accès aux droits déclarent avoir accès à un ordinateur à domicile pour réaliser des démarches en ligne), une acquisition de nouvelles connaissances ou savoir-faire rendue difficile par une impossibilité de pratiquer, mais aussi une utilisation limitée en raison d’une méconnaissance de l’outil informatique et un manque de confiance en soi dans la réalisation des démarches numériques.
- Une méconnaissance des droits, une difficulté à trouver les renseignements et à réaliser des démarches administratives, une difficulté de compréhension de la logique administrative française pour des personnes arrivant de l’étranger notamment.
Pour certaines personnes des facteurs aggravants s’ajoutent :
- La non-maîtrise de la langue française (incompréhension face à des courriers administratifs aux termes techniques et parfois peu explicites de la part des administrations françaises)
- Des problématiques de santés entrainant des difficultés à l’utilisation des outils numériques : problème de vue, handicap moteur, difficulté de mémorisation, difficultés cognitives…
A noter : Dans le cadre du Plan pluriannuel contre la pauvreté et pour l’inclusion sociale, le Centre Social est engagé avec les institutions et d’autres partenaires de terrain du quartier politique de la ville Plateau de Haye dans une expérimentation sur le chantier « Accès aux droits ».
Dans le cadre des échanges partenariaux de cette expérimentation, nous pressentons le non-recours aux droits d’un nombre certain de personnes éloignées des structures.
S’il est difficile d’en évaluer la quantité, nous souhaitons trouver ensemble des solutions pour aller vers ses personnes et leur donner la possibilité d’avoir toutes les informations et l’accompagnement nécessaires à l’ouverture de leurs droits.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Cette action est conduite de manière transversale en s'appuyant sur l'ensemble des secteurs du centre social.
Notre action permet surtout d’offrir un accueil et une écoute bienveillante à de personnes ayant besoin d’être accompagnées et épaulées dans leurs démarches administratives.
Afin d’accompagner au mieux les habitants, deux jeunes volontaires en Service Civique et un bénévole, avec le soutien de la Conseillère en Economie Sociale et Familiale, mettent en place des temps d’accueil individuel pour répondre aux besoins immédiats et des ateliers participatifs permettent aux habitants de s’investir et de progresser dans la réalisation de leurs démarches administratives et ainsi concourir à l’amélioration de leur situation quotidienne :
- Apprendre à se repérer dans la vie citoyenne : droits et devoirs,
- Connaître les différentes institutions (Mairie, CAF, CPAM…)
- Se familiariser avec les formulaires, avec les démarches en ligne
- Se familiariser avec l’outil informatique
L’accueil réalisé par ces différents intervenants permet aux personnes d’être écoutées et de verbaliser leur demande, mais aussi de les rassurer, d’expliquer, de clarifier, de donner les bonnes informations et réponses, de mettre en lien avec d’autres interlocuteurs si besoin.
Le contact humain et la disponibilité sont des éléments indispensables à une bonne compréhension des problématiques de personnes reçues et donc à une meilleure résolution de leurs difficultés.
L’approche pédagogique est de favoriser une démarche participative des personnes, de ne pas faire à leur place mais de leur permettre d’apprendre de manière active et d’accéder ainsi à une plus grande autonomie.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
5000 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Le public bénéficiaire des différents accompagnements proposés par le centre social est très diversifié.
Au total 428 personnes en 2017 ont pu être accompagnés.
- 25% des personnes reçues sont en situation de monoparentalité
- 20% des personnes accueillies sont en difficulté avec la langue française
- Seulement 24% des personnes affirment disposer d’un accès à un ordinateur pour pouvoir faire des démarches en lignes
Âge
Homme
Femme
Total
18-25 ans
3
11
14
26-64 ans
146
240
386
65 ans et +
21
7
28
Total
170
258
428
- Résultat sur le territoire
Dans le cadre de l’action mise en œuvre cette année, l’intervention d’un travailleur social en soutien des services civiques a permis de prendre en charge ce risque et d’apporter des réponses adaptées :
- réaliser une médiation entre la personne et l’institution
- réorienter vers les services sociaux ou administratifs lorsque la demande était trop complexe pour être traitée sur place et sans connaissance du dossier de la personne.
Concernant la résolution des situations complexes une réflexion approfondie et une mise en œuvre sont en cours afin de faciliter la connexion entre institutions pour faire face aux urgences. Des démarches ont été réalisées dans ce sens dans le cadre du l’expérimentation Accès au Droit du plateau de Haye courant de l’année 2017, avec la nomination de réfèrent « accès au droit » dans les institutions.
Nous avons ainsi pu accélérer le déblocage de plusieurs situations complexes en recourant à l’intervention de ces référents.
- Résultat pour le centre social
Le Centre Social du fait de sa grande amplitude d’ouverture et de son accueil est un réel repère vers lequel les personnes se tournent lorsque les autres structures du quartier sont fermées.
L’activité réalisée par les services civiques mis à disposition par la CAF a permis de renforcer les moyens humains pour garder une accessibilité minimum des publics à l’institution.
Lorsqu’il s’est agi d’une demande simple (demande d’information, aide pour une démarche en ligne, explication d’un courrier, prise de rendez-vous…) le service civique a pu apporter une réponse immédiate en veillant à la compréhension de la démarche par la personne accueillie.
Les services civiques ont été facilitateurs pour ces publics fragilisés en proposant des actions. Au-delà de l’aide concrète apportée, les permanences ont également permis aux personnes les plus éloignées du système administratif de trouver un soutien et une écoute face à leurs difficultés.
En faisant connaître leur démarche auprès des acteurs locaux et notamment de la Mairie de quartier, des relais d’information ont pu être mobilisés et ont permis d’aller au contact des publics plus éloignés du centre social et d’élargir la communication autour de la mise en place de séances d’information collectives.
Au-delà, la réflexion porte aussi vers les publics dits “invisibles”. Comment atteindre les personnes qui ne franchissent pas le seuil du Centre Social mais dont les besoins en termes de mise en place, de maintien ou de renouvellement de droits sont bien présents.
Cette notion d’”aller vers” également étudiée dans le cadre du plan de lutte contre la précarité et la pauvreté avec les partenaires du territoire du Plateau de Haye nous semble un aspect qu’il faut continuer à développer dans notre action.
Force est de constater aussi que beaucoup de structures et institutions présentes sur le quartier partagent les mêmes constats quant aux problématiques d’accès aux droits, certaines réponses sont proposées selon les moyens disponibles ou les spécificités de chacune d’elles. Connaître les actions des uns et des autres et partager une analyse des situations rencontrées est aussi un axe à travailler au sein de l’action pour apporter de la cohérence aux réponses.
- Résultat pour les habitants
Sur l’année 2017 :
- 88 journées d’accueil au sein du Centre Social
- 31 temps d’accueil en mairie de quartier ont été réalisées par les volontaires en mission de service civique,
- 23 temps d’accueil ont été réalisé par un bénévole.
Si pour la plupart des personnes, un entretien aura suffi à expliquer, aider à la réalisation d’une démarche ou à orienter la personne vers le bon interlocuteur, un accompagnement a pu être proposé à des personnes dont la situation était plus complexe ou pour permettre d’acquérir des savoirs et savoir-faire en matière de droits et d’utilisation des outils numérique en vue d’une plus grande autonomie dans la réalisation des démarches administratives en ligne.
Plus de 400 entretiens individuels ont ainsi été réalisés avec une demande de soutien par rapport à une démarche administrative.
74 % d’entre elles concernaient des démarches vis-à-vis de la CAF :
- 32 % pour des déclarations de ressources (dont 60% pour le RSA,10% pour la prime d’activité et 27 % de déclarations annuelles)
- 11% pour des simulations pour l’ouverture de droit (dont APL :40%, RSA :30% et prime d’activité :20%)
- 41% pour autres démarches sur le compte Caf : changement de situation, changement de mot de passe, impression d’attestation, demande de justificatif…
- 16 % autres démarches : explication de courrier, aide à la constitution des pièces d’un dossier, appel téléphonique à la Caf….
Dans la plupart des cas, à l’occasion des séances d’accueils, la demande a pu être traitée sur place, via l’outil informatique :
Les personnes sont particulièrement à la recherche d’un accompagnement dans leurs démarches en ligne (APL, Changement de situation, Déclaration trimestrielle…) : pour certains allocataires l’intervention de l’équipe a permis de se repérer dans des démarches simples qu’ils font seuls maintenant.
15% des demandes ont aussi concernées des démarches en ligne sur d’autres sites que la CAF comme celui de la sécurité sociale (Améli), ou le site de Pôle Emploi.
11% ont été des demandes de renseignements sur des prestations, des explications de courrier, de l’aide à remplir des formulaires administratifs papier... et à des temps d’accompagnements plus lourd pour certaines personnes.
- Suite de l'action : Limites
La présence de moyens humains dans cet accompagnement est sans conteste un atout permettant un accompagnement individuel plus adapté aux besoins spécifiques des personnes.
Mais concernant les publics plus éloignés des outils numériques, l’accès à l’autonomie ne peut se faire que dans un cadre pédagogique plus construit :
- Pour compléter des connaissances liées aux logiques administratives et au fonctionnement institutionnel
- Pour compléter des compétences dans l’utilisation des outils informatiques, dans l’organisation des démarches familiales
- Pour favoriser la prise de confiance en soi
C'est pourquoi, le Centre Social s'est appuyé sur des paretenaires comme la fondation Orange pour mener une expérimentation spécifique vers les publis en difficulté avec la maîtrise de la langue française.
- Mise en œuvre d’une réflexion portant sur une démarche pédagogique partagée avec les différents acteurs de l’action d’apprentissage de la langue française, afin de construire un mode d’action adapté aux besoins du public et permettant sa familiarisation avec les outils numériques.
- La proposition est de travailler en premier lieu sur la thématique de l’accès aux droits qui requiert de fait l’utilisation des outils numériques et qui est au cœur des préoccupations des apprenants.
- L’Association Orange Solidarité pourra être un appui complémentaire pour soutenir la réalisation des outils pédagogiques qui constitueront une base documentaire à partager avec d’autres acteurs du centre social ou d’autres structures engagées dans un projet similaire.
Ainsi avec avec l’intervention des salariés de l’Association Orange Solidarité, le centre social a pu mettre l'accent sur la formation des encadrants bénévoles et salariés du Centre social Caf « La Clairière » pour
- Se familiariser avec l’utilisation de l’équipement mis en place.
- Se former à l’outil numérique pour soi afin de s’assurer dans son utilisation et fixer des compétences souvent acquises de manière empirique.
- Et pour être en capacité de construire des outils pédagogiques adaptés au public mêlant le numérique et l’apprentissage de la langue française.
- Suite de l'action : Perspectives
- Reconduction l'action
- Reconnaissance par la CAf 54: Point e-numérique
- Reconnaissance par la Fondation Orange: Maison digitale ( en cours)
Actions
Projet street art
- Structure organisatrice
- Centre socio-culturel Kennedy 94000 Créteil - Val-de-Marne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Action menée de Décembre 2017 à Juillet 2017 concrétisation du projet effective.
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- Résumé
Il s'agissait de valoriser par une création artistique (création fresque street art) un quartier. Création d'ateliers en co partenariat d'un autre centre social sur un même territoire, mêlant publics : enfants, jeunes, de zones quartiers différentes. Création artistique accompagnée par deux streets artistes lors des ateliers. Valorisation de la réalisation par l'organisation d'un vernissage ecterieur associant tous les partenaires de l'action : bailleurs sociaux, commune, etc...Projet ayant été inscrit dan sla dynamique Urban Focus.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Projet s'inscrivant dans l'accompagnement à l'accès culturel et aux pratiques artistiques. Le résultat obtenu est la réalisation d'une fresque murale sur la commune valorisant le quartier, les habitants et l'environnement.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Pour notre centre, alliance des coordinateurs enfance, référents jeunesse et animateurs dans la préaparation en amont du projet. Intégration de l'action dans le cadre d'Urban Focus, dynamique artistique liée au street art. Coordination de l'action générale par la direction de la culture de la ville, coordination des ateliers pour chaque centre selon son calendrier de focntionnement et copartenariat dans la mise en place des ateliers et leurs participation. Action menée sur les tems de vancances scolaires et juillet notamment dans la réalisation concrète
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
14 jeunes (filles garçons) 6 enfants (filles, garçons) pour notre centre Plus de personnes les deux centres confondus
- Résultat sur le territoire
Réalisation concrète d'une grande fresque artistique sur le vivre ensemble. Valorisation du patrimoine urbain pour les habitants, le quartier, la commune. Mise en avant des artistes (articles presse), des participants au du projet pour les CS (article presse)
- Résultat pour le centre social
Plus value de l'image structurelle. Meilleureimplication des jeunes, valorisation du public.
- Résultat pour les habitants
Valorisation de l'image de leur quartier et donc d'aux mêmes dan sleur quotidien
- Suite de l'action : Limites
Actions éphémères et ponctuelles. Temps imparti court pas de poursuites possibles dan sle temps
- Suite de l'action : Perspectives
Réitération de ce type de projets. Meilleure implication des publics par la visualisation du concret en émanant.
Actions
Animation du Conseil Citoyen des Collettes
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ET CULTUREL DE DRAGUIGNAN - Var
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Le Centre Social et Culturel de Draguignan est chargé d'animer le Conseil Citoyen des Collettes;
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Mise en place des Conseils Citoyens dans le cadre du Contrat de Ville avec comme objectifs :
- Valoriser les quartiers dans une approche d'ensemble de développement social et urbain et d'intervention
de proximité
- Faire des habitants des quartiers des acteurs de leur vie de quartier et de l'environnement de leur zone
d'habitat
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Portage et animation du conseil citoyen des Collettes
Organisation et animation des réunions (10 réunions par an)
Suivi administratif et lien avec les partenaires
Formation
Organisation d'événement (Fonds de Participation des Habitants)
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Nous pouvons déplorer un manque de budget sur cette action (1 500€).
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
18
- Résultat sur le territoire
Implication progressive des habitants dans le Contrat de Ville
- Résultat pour le centre social
Répond à son objectif d'être un espace de vie citoyenne et démocratique.
- Résultat pour les habitants
Meilleure implication dans le contrat de ville
Force de proposition
- Suite de l'action : Limites
Manque de budget
Organisation des in stances du Contrat de Ville encore trop institutionnelle
- Suite de l'action : Perspectives
Poursuite de l'action
Structuration progressive des échanges avec les institutions
Actions
conseil citoyens
- Structure organisatrice
- Maison de quartier de Saint Nicolas - Mayenne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Mise en place d'un conseil citoyens piloté par la centre social ,en corrélation avec les directives de la nouvelle politique de la ville (processus validation des actions du contrat de ville).
Au total 25 habitants participent au sein du collège habitants et 3 associations de quartier+ le bailleur et 2 institutions locales dans le collège institution.
les actions; mise en place d'une charte + réglement et des commissions cadre de vie, communication pour mieux appréhender le lien social et le relation avec les habitants sur le quartier de st nicolas.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Démarrage en septembre 2017
- Ressources financières mobilisées pour cette action
5000€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
25 habitants + 3 associations + 3 institutions locales
- Résultat sur le territoire
pilotage participatif de la politique de la ville sur le territoire pour une meilleure prise en compte des attentes et besoins des habitants dans l'élaboration des programmes actions du contrat de ville et de la rénovation urbaine
- Résultat pour le centre social
une nouvelle dynamique de mobilisation et de participation effective des habitrants et notamment de nouvelles personnes qui ne gravitaient pas au niveau du centre social
- Résultat pour les habitants
sentiments du meilleure prise en compte de leurs attentes et besoins et fort sentiment de reconnaissance à travers cette instance (relation avec les services du préfet)
- Suite de l'action : Limites
calendrier des réalisations opérationnelles un peu ou trop long pour les habitants
adéquation et équilibre entre les attentes des habitants et celles des institutions (Etat et contrat de ville en particulier)
- Suite de l'action : Perspectives
Inscrire cette particpation habitante dans la durée et la faire "grandir" et valoriser auprès des autres habitants du territoire
Actions
Groupe de travail MOBILITE
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ET CULTUREL Robert Doisneau - Lot
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- mobilité / transport
- Résumé
Le comité des usagers a réfléchi toute l'année 2017 autour de la thématique de la mobilité. Cette thématique est apparue comme une évidence au groupe et une envie de faire "bouger les choses" dans ce domaine a conduit 5 habitants à se mobiliser.
Une exposition sur les transports anciens, un questionnaire en direction des usagers du centre social, la participation aux assises départementales de la mobilité, la rencontre d'associations de co-voiturage ont conduit le groupe à l'élaboration d'une synthèse de réflexion qui a été présentée aux élus de la communauté de communes ainsiqu'à la participation à l'hackcélérathon Mobilité organisé par la Préfecture du Lot.
Le groupe travaille actuellement sur l'élaboration de solutions en lien avec la synthèse.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le travail mené a pour objectif de pouvoir être force de propositions et d'apporter aux élus une expertise de terrain sur cette problématique de la mobilité
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Echanges
Elaboration d'un questionnaire
Rédaction d'une synthèse
Travaux de recherche
Rencontre de partenaires
Participation à des rencontres d'intelligence collective
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
5 habitants
Directrice du centre social
- Résultat sur le territoire
Prise de conscience de la problématique par les élus
Valorisation du travail des habitants par les institutions (Préfecture,..)
- Résultat pour le centre social
Reconnaissance du travail de mobilisation des habitants et d'expertise du centre social
- Résultat pour les habitants
Valorisation des compétences et des savoir-faire
- Suite de l'action : Limites
Risque que les habitants ne puissent pas faire aboutir leurs propositions, qu'ils ne soient pas entendus et impliqués dans les décisions
- Suite de l'action : Perspectives
Mise en oeuvre de propositions
Actions
Scop Ados "Les p'tits chefs"
- Structure organisatrice
- ACCOORD Centre socioculturel de la Boissière - Loire-Atlantique
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- Entrepreneuriat social
- Résumé
Le projet "Scop ados" permet à un groupe de jeunes agés de 11 à 15 ans de s'engager dans un projet calqué sur le mode de fonctionnement des Scop (sociétés coopératives ouvrières de production).
Las "scop ados" n'a pas de forme juridique particulière mais le fonctionnement du groupe permet aux jeunes de s'initier à l'économie sociale et solidaire et à envisager une autre façon d'entreprendre :
- Le groupe s'inscrit dans une démarche de "production de services" qui doit être le résultat d'une réflexion économique. En l'occurence, les "P'tits chefs" propose des prestations de repas collectifs à destination des associations du quartier lors de moments festifs (fête de quartier, spectacles, repas à thèmes...),
- L'excédent résultant de ces actions est réparti entre autofinancement individuel, investissement dans le développement de l'activité et financement de projets d'intérêt collectif.
- Dans la conduite du projet, chacun a voix au chapitre (un homme / une voix) que l'on soit jeune ou animateur. Les décisions sont donc collectives.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Autre
- Précision ( si autre )
Le concept des "scops ados", inspiré d'une initiative toulousaine, est porté par l'association Accoord et décliné sur plusieurs territoires.
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Deux finalités à cette action :
- Faire découvrir aux ados l'entreprenariat dans le champ de l'économie sociale et solidaire,
- Développer des activités solidaires portées par les ados et destinées aux habitants du quartier.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Les animateurs ont fait le choix dans un premier temps de mobiliser les ados autour d'une activité "cuisine" en les invitant à participer à des moments festifs.
Lorsque le groupe a été constitué, les animateurs ont présenté le projet de scop comme un développement possible.
L'idée était, comme pour toute entreprise, de d'abord se centrer sur le projet pour ensuite réfléchir à la façon de le développer.
Une fois la "scop ados" formalisée, le groupe a commencé à s'approprier l'environnement de l'ESS et à développer son activité.
Dans une logique de "services", la scoop développe peu à peu de nouvelles activités (chantier peinture par exemple)
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Un investissement de 2000 € a permis d'acquérir le matériel nécessaire (four, matériel de cuisine...)
Ensuite chaque "chantier" constitue l'économie du projet en générant un excédent, étant entendu que les salaires des animateurs ne sont pas pris en compte.
En 2017, 5 chantiers ont générés 1500 € de dépenses pour 2800 € de recettes.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 animateurs
12 jeunes
- Résultat sur le territoire
A travers l'activités "cuisine", les ados ont participé à des temps collectifs réunissant les habitants et à des évènement culturels.
Ainsi en 2017, ils ont réalisé : 2 repas à destination d'une association de retraités, 1 repas "en famille", 1 catering lors d'un évènement culturel et 1 stand lors d'une fête de quartier.
Cette activité a ainsi créé du lien intergénérationnel, une sensibilisation à l'organisation d'un évènement culturel, une participation au "mieux vivre ensemble".
De par leur rôle bien identifié, le sérieux avec lequel ils agissent, le groupe contribue à valoriser l'image des ados et leur capacité à s'engager.
- Résultat pour le centre social
Cette action portée par des adolescents apermis de renforcer la place des ados dans le centre social par une action transversale et valorisante.
L'éducation à l'économie sociale et solidaire commence à être observée par l'ensemble des secteurs et pourra constituer un lien.
- Résultat pour les habitants
Pour le moment , limpact reste limité aux habitants ayant rencontré les ados en activité. La sensibilisation à l'ESS et l'image positive renvoyée par les ados se fera sur du plus long terme, lorsque la "Scop ados" sera plus développée et plus visible.
- Suite de l'action : Limites
L'action doit, pour répondre à son objectif "d'objet expérimental éducatif" s'inscrire dans le long terme.
Le renforcement du fonctionnement démocratique et ouvert à tous est une condition importante pour que le groupe, qui est amené à se renouveler, trouve suffisament de motivation.
Il ne s'agit pas de s'appuyer sue un "petit groupe" motivé qui, lorsqu'il partira un jour, mettra en péril l'activité.
- Suite de l'action : Perspectives
Il s'agit aujourd'hui :
- D'asseoir l'activité en stabilisant le mode de fonctionnement (stratégie collective de développement),
- de faire connaître le projet pour trouver de nouveaux "chantiers".
Actions
Lutte contre toute forme de radicalisation à travers la pratique artistique
- Structure organisatrice
- MJC Centre Social Petite-Hollande - Doubs
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Précision ( si autre )
En partenariat avec les Centres Sociaux et les Municipalités du Pays de Montbéliard
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Bilan projet Inter-quartier 2016/2017
Il est tout d'abord nécessaire de préciser que le projet a démarré réellement, compte tenu des réponses de subventions, en novembre 2016. Il se déroule jusqu'en juin 2017. Ce projet a la particularité d'avoir une dimension territoriale importante, car il concerne cinq villes et plus précisément cinq quartiers du Pays de Montbéliard. Nous avons Sochaux, Etupes, Audincourt, Valentigney et Montbéliard.
La première étape a permis d’aborder le diagnostic, le projet, ses finalités, ses objectifs, son déroulement avec les structures et les équipes éducatives de chaque ville. Il fallait pour entamer l’action, l’adhésion de tous. Non seulement des équipes qui agissent directement sur le terrain auprès d’un public adolescents et jeunes adultes, mais aussi de leur hiérarchie. Il fallait aussi tenir compte du contexte local de chacun, des moyens humains de chacun et des idées nouvelles qui apparaissaient lors de l’explication du projet.
Cette condition, qui est la compréhension et l’adhésion de tous à ce projet était une démarche fondamentale et indispensable avant de démarrer les ateliers et donc concrètement le projet avec le public 15/25 ans.Trois rencontres avec l’ensemble de ces partenaires, mais aussi les partenaires financiers, pour l’une d’entre elles ont été indispensables avant le démarrage des ateliers.
C’est ainsi, dans les meilleures conditions possibles car chacun s’est approprié le projet et a communiqué avec son public respectif, que nous avons démarré les ateliers artistiques avec les jeunes.
Le premier RV a donc eu lieu sur un week-end entier, et plus exactement sur 10 heures, le week end du 28 et 29 janvier 2017.
Ces deux journées ont été pour nous l’occasion de faire connaissance, d’expliquer, d’entendre les envies et les besoins des jeunes. Il a été ensuite l’occasion de renter dans le vif du sujet en sensibilisant tous les jeunes aux disciplines artistiques que sont, le théâtre, la vidéo, l’écriture et la musique.
Chacun des participants a suivi une initiation à ces pratiques lors d’ateliers de découvertes animés par des intervenants artistiques locaux.
21 jeunes de 15 à 25 ans été présents durant le week-end dont :
9 filles et 12 garçons.
Les 15/17 ans étaient au nombre de 11.
Les 18/25 ans au nombre de 10.
Nous constatons aussi que les profils et le parcours des jeunes n’est pas homogène et permet des échanges d’expériences dans la pratique artistique mais aussi dans les parcours de vies respectives, forts intéressants.
La difficulté fût de s’adresser à des jeunes d’horizons et dans des réalités sociales différentes (collégiens, lyciens, étudiants ou au chômage). Pour se faire, nous avons dû travailler ensemble sur la notion de projet afin en amenant tout un chacun a réfléchir sur le projet collectif et sur leur projet individuel (formation, professionnel ou artistique)
Ce stage de deux jours a permis un échange fructueux et a établi une confiance entre les jeunes, entre les jeunes et les encadrants qu’ils soient artistiques ou éducatifs. Ce moment d’écoute de la parole des jeunes et le fait de tenir à la fois compte de leur besoin individuel et de tenter de l’inscrire dans une démarche collective a permis d’établir une confiance dés le démarrage du projet et cela a permis le développement du projet dans des conditions sereines.
Il est a noté que pour le rassemblement du 10 mars 2017, nous demandions à chacun des jeunes de ramener dans le projet, une personne de leur entourage.
Suite à ce premier stage, les jeunes ont choisi une discipline artistique qu’ils pratiqueront jusqu’au terme du projet, c’est à dire la création d’un spectacle commun associant chacune des pratiques artistiques citées ci dessus.
Entre le 10 Mars et fin Juin 2017, les jeunes se sont retrouvés trois heures par semaines les vendredis soirs (soit un environ 40 heures). Mais aussi sur un stage intensif (3 fois 6 heures) durant les vacances de printemps et deux fois durant des week-end de juin.
Plusieurs constats :
-
Tous les jeunes présents lors du premier rassemblement sont présents encore aujourd’hui. Il n’y a donc aucune défection :
Il y a même durant le deuxième rassemblement du 10 mars 2017, douze nouveaux participants en plus. Ceci nous ramène donc à 33 jeunes de 15 à 25 ans qui participent de manière régulière à ce projet. Il est important de noter qu’autour de ces jeunes 11 autres jeunes se sont greffés à la démarche. Ils participent de manière moins régulière car ils ont des rôle différents mais complémentaires à la création du spectacle. En effet, certains travaillent sur la création musicale du spectacle, d’autres sur la création vidéo et d’autres encore sur l’aspect technique (sonorisation, lumière, etc…).
Ce projet a pris une dimension inter-quartiers ceci grâce à la participation intense de chacun des interlocuteurs de terrain, avec le jeunes. « Le bouche à oreille » a ensuite très bien fonctionné et nous connaissons tout au long de ce projet un enthousiasme important de la part des participants. Le suivi des animateurs de chacune des villes est un élément fondamental. Il permet de rappeler les horaires et lieux de répétition. Il permet aussi d’écouter et de faire remonter le sentiment et les besoins des jeunes. Ces derniers se sentent ainsi complètement partie prenante du projet, non seulement sur l’aspect artistique et la création d’un spectacle, mais aussi, sur tout ce qui tourne autour du projet. C’est à dire la participation à l’organisation des rassemblements, la participation à des manifestations qui se déroulent sur les quartiers (fêtes de quartier, spectacles, rassemblements) ou encore la communication avec les parents et les autres jeunes des quartiers. Cette dimension participative est un marqueur important de l’action.
A noter la présence d’une animatrice Sonia …. Qui de part son investissement et sa présence assure la mixité de l’équipe pédagogique ainsi qu’une meilleure intégration des publics féminins.
La réalité sociale des jeunes nous a poussé à choisir les vendredis soirs et les week –end pour nous rassembler. En effet, ce fût l’une des difficultés d’un tel projet car afin de réunir l’ensemble des publics (étudiants, salariés etc.), il nous a fallut nous adapter.
-
Il existe une motivation perceptible :
L’indicateur de cette motivation est d’abord, l’assiduité. On aurait pu craindre avec le nombre important de jeunes adultes qui ont parfois du mal à se projeter même à court terme, un manque de discipline par rapport à l’assiduité aux séances de répétition. Cela n’a pas été le cas. Comme nous l’indiquons ci dessus, l’assiduité aux répétitions et aux rassemblements ainsi que le travail qui avait à fournir entre les répétitions, a globalement été respecté. L’autre indicateur qui celui-ci est encore plus important est la participation à toutes les phases de la création du spectacle (improvisations, prise de parole critique, écriture, mise en scène, mise en musique etc.). L’équipe éducative et les intervenants artistiques ont défini une pédagogie où les jeunes sont au centre du projet de création. Nous les accompagnons, nous les guidons, nous les conseillons et nous les motivons. Mais à aucun moment nous faisons à leurs places. Ils sont les instigateurs, les inspirateurs mais aussi les créateurs et les acteurs d’une création collective. La motivation que l’on perçoit objectivement de manière nette et remarquable est du au fait que nous avons réussi à ce que ce projet devienne leur projet.
Il faut aussi souligner le fait que les jeunes se retrouvent aussi en dehors des ateliers. En effet, bien qu’issue de villes différentes, ils se retrouvent pour travailler ensemble ou partager un moment de vie. Ces rencontres ont permis à leurs amis et à leur entourage de se rencontrer. Beaucoup ont invités des proches à assister aux ateliers.
-
La création du spectacle se met en chemin :
La démarche a été la suivante.
Tout d’abord, le groupe a dû définir une direction artistique et d’un personnage central. Ils ont choisi une cabine téléphonique.
Ensuite, par petit groupe, ils ont créé des improvisations autour de cette cabine. Une sélection a permis de garder les meilleures propositions et de passer à la phase d’écriture. Enfin, il a fallut attribuer les rôles à chacun et aborder les personnages de façon plus précise.
A ce jour, le groupe a créer un spectacle composée de 5 pièces et aborde la question de la mise en scène. Nous allons désormais y intégrer de la musique, de la danse et une partie vidéo projetée.
Un groupe de pilotage s’est constitué afin d’assurer d’une part la promotion et la diffusion de leur spectacle intitulé : LA CABINE. (2 jeunes étudiantes en communication issues du groupe assurent ce travail) et d’autre part la communication en interne du groupe via un groupe facebook et instagram sur les réseaux sociaux.
-
L’accompagnement, par les professionnels, des projets individuels des jeunes. :
Il faut souligner l’implication de l’équipe pédagogique dans l’orientation et l’accompagnement des jeunes dans leur projet individuel. En effet, 3 participants (dont une fille) ont trouvé un emploi grâce au « réseautage » et à la motivation maintenu par la dynamique de groupe.
De plus, deux jeunes ont entrepris les démarches auprès de la mission locale afin d’intégrer une école de théâtre à la rentrée 2017, le théâtre « du fil » à Paris. Ils ont été accompagnés financièrement pour leur premier entretien qu’ils ont réussis avec succès.
Un jeune déscolarisé a décidé de reprendre ses études en septembre 2017.
-
La participation de parents :
Il nous faut souligner la participation des parents. En effet, certains jeunes venaient avec leurs parents qui les déposaient. Nous avions prévu un moment d’accueil autour d’un café de 18 h à 19 h chaque vendredi en début d’atelier. Ce moment a permis à des parents d’assister aux séances. Ils ont ensuite participés en apportant des gâteaux ou en prenant des photos qu’ils nous ont envoyées. Cette ouverture aux parents a été bénéfique pour le groupe car elle a permis de rassurer et d’apaiser un groupe dynamique et nombreux.
-
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
CF Bilan ci dessus
- Ressources financières mobilisées pour cette action
ompte rendu Financier Projet 15/25 Projet Inter quartier 2016/2017
Charges
Prévisionnel
Réalisé au 15/03/2017
Prévisions dépenses jusqu’au 30/06/2017
Produits
Prévisionnel
Obtenu
-Achat matériel
et fourniture :
(Achat de matériel
pour les ateliers)
- rémunération intermédiaire et honoraire
- Déplacements missions
- Rémunération du personnel
- Assurances
2 000
8 775
500
14 000
225
800
3 510
200
5 600
90
1200
5265
300
8400
135
- Ministère de la Jeunesse
Et des Sports
- Communes
- CAF du Doubs
- Part. MJC petite Hollande
10 000
14 000
2000
8 000
14 000
2 000
Totaux
26 000
10 400
15 600
Totaux
26 000
26 000
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
Cf Bilan ci dessus
- Résultat pour le centre social
Travail en réseau avec d'autres structures associatives et institutionnelles.
Affirmation de la notoriété de la MJC (tête de réseau).
- Résultat pour les habitants
- Mixité des jeunes issus de chaque quartier
- Suite de l'action : Limites
Contrainte financière
- Suite de l'action : Perspectives
- Nouvelle création artistique
- le 1er spectacle qui tourne dans l'ensemble de l'agglomération et ensuite dans le département
- Echange Européen
Actions
Chantier d'insertion :" T'Lien3"
- Structure organisatrice
- Centre Social "VILLE PLURIELLE" Place Neruda Allende - Meurthe-et-Moselle
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- Résumé
Le chantier d'insertion T'Lien 3 propose 3 pôles surpports (Pôle autour du linge, Pôle entretien en collectivité et Pôle épicerie sociale) pour permettre à un public rencontrant des difficultés socioprofessionnelles, mais motivé dans sa volonté d'aller vers l'emploi de dépasser ses freins et d'acquérir une palette de compétences transférables sur un projet professionnel validé. Un accompagnement technique et socio professionnel adaptés autour qu'un réseau de partenaires permettent de traiter les problématiques globalement. Il accueille 12 salariés en insertion
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le Centre Social Ville Plurielle s’inscrit depuis de nombreuses années dans une politique d’insertion sociale. A l’écoute du public féminin dans le cadre des ateliers « Point Femmes » (fonctionnant depuis octobre 1995), nous avons très vite été sensibilisés aux difficultés d’accès à l’emploi liées au marché du travail sur le secteur pour une part, mais aussi aux nombreux obstacles personnels qui tiennent les intéressées très éloignées de la réalité du travail.
Plusieurs réflexions poussées et différentes propositions innovantes s’appuyant sur un partenariat d’acteurs locaux n’ont pas aboutit. Cependant l’association à continué de se développer : l’évolution du vestiaire social avec l’acquisition de nouveaux locaux, l’ouverture en juin 2013 d’une « boutique sociale », la mise en place d’un Dispositif Local d’Accompagnement autour de la création d’une épicerie sociale et solidaire nous ont amené à la proposition d’un nouveau projet ACI.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Validé par la DIRECCTE (Direction Régionale des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l'Emploi), le projet a démarré au 1er octobre 2015, avec le recrutement d’un accompagnateur socioprofessionnel et la mise en place de l’Atelier Chantier d’Insertion (ACI) T’Lien3 qui a pour support d'apprentissage 3 pôles :
Un pôle autour du linge (récupération, tri, entretien et vente.
Un pôle autour de l’entretien (en collectivité, petites réparations),
Un pôle autour d’une épicerie sociale (récupération de marchandise, gestion de stocks, mise en rayons, vente). Les salariés en insertion découvrent ces différents terrains d'apprentissages et développent des savoir-faire et savoir-être indispensables pour envisager l'accès à l'emploi.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget global : 372100€
Subventions : 214650€ (Villes : 37250€ / Conseil départemental : 26200€ / Etat :136200 / CAF : 10000 / ANDES : 5000)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Pour 12 salariés en Insertion
Secrétariat : 0,06 ETP
Compta : 0,09 ETP
Directeur : 0,06 ETP
Chef de Service : 0,18 ETP
Encadrement technique 3 personnes : Linge/Epicerie : 0,6 ETP /Entretien en collectivité : 0,5/ Epicerie : 0,3
Accompagnement socio professionnel 1 personne : 0,42
Bénévolat : 4 personnes : 0,40 ETP
- Résultat sur le territoire
Dynamique locale
Développement de l'emploi
Développement d'un partenariat avec les entreprises et les collectivités
Echanges de pratiques et mutualisation de formations entre SIAE
- Résultat pour le centre social
Développement de l'emploi
Evolution dans l'organisation du service
Développement des compétences
- Résultat pour les habitants
Lien social,
Accès à tous à la boutique des Solidarités (vêtements vendus entre 1,2 et 3,2 euros)
+Possibilité de s'impliquer dans une action solidaire (en faisant don des vêtements ne servant plus),ce qui permet le fonctionnement des postes autour du linge et donc la formation et l'accompagnement des personnes en insertion.
+ Impact sur l'environnement : Limitation des déchets grâce au recyclage et la valorisation des déchets (confection de chiffon)
- Suite de l'action : Limites
Les résultats de l'action en matière de travail dépendent beaucoup de l'offre d'emploi et des employeurs prêts à s'investir. Certain public bien que motivé est parfois très éloigné et ne parvient pas malgré l'accompagnement dispensé à développer toutes les compétences nécessaires pour décrocher la formation ou l' emploi espéré, cependant, nous faisons le choix d'accueillir aussi ces personnes pour qui le chantier peut apporter du lien social et une valorisation précieuse.
- Suite de l'action : Perspectives
Le chantier d'insertion est encore jeune, nous souhaitons bien sûr maintenir et développer les activités autour des différents pôles, élargir le réseau de partenaires, mais aussi affiner son fonctionnement global et les compétences de chacun afin de répondre toujours plus efficacement au besoin du public.
Actions
Ecrivain public
- Structure organisatrice
- PARTAGE 31 - Haute-Garonne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Emploi, économie
- Santé
- Résumé
Cet adulte relais inscrit son travail de médiation dans les différents espaces pouvant accueillir des permanences de l’écrivain public (Mairie annexe de Bagatelle, Partage Bordelongue, la chapelle mexicaine de Tabar,…) afin d’être au plus près des habitants du territoire
- Elle informe les publics accueillis sur les dispositifs existants en matière de formation, de santé, de logement, d’accès à l’emploi, de culture, de sports et oriente vers les différentes structures associatives ou institutionnelles du territoire
- Elle informe et accompagne les habitants dans leurs démarches d’accès aux droits et facilite le dialogue entre services publics et usagers.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Précision ( si autre )
La Sous-Préfecture à la ville, la Mairie de Toulouse
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Depuis 2015, le territoire ne disposait plus d'écrivain public. Le besoin s'est fait ressentir dans nos accueils par un aflux de plus en plus grand de personnes recherchant une aide pour la rédaction de courriers, administratifs etc...
Les résultats attendus sont d'apporter une réponse aux besoins des habitants concernant leurs difficultés, notamment au niveau des courriers administratifs, et plus généralement sur la question de l'accès au droit des habitants
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Cette action a été mené en concertation avec les différentes institutions financant le projet, à savoir, la Mairie de Toulouse, la CAF de la Haute Garonne et la Sous-Préfecture de la Haute Garonne ( Celle-ci ne le finance pas directement mais nous a octroyé un agrément pour un poste en contrat aidé Adulte Relais). Il y eu globalement 4 réunions de travail.
En concertation également avec des structures partenaires du territoire, en l'occurence le Centre Social CAF-Mairie de Bagatelle afin de mettre en place les différents lieux de permanences de l'écrivain public pour être au plus près des habitants. ( Deux réunions de travail ont été organisées)
L'action a débuté effectivement le 05 avril 2017.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le budget de l'action est de 31 600 €.
Mairie de Toulouse: 6 000 €
CAF Haute Garonne: 4 500 €
ASP:: 18 300 €
Conseil Régional ( Adulte Relais): 2 800 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 Ecrivain public à Temps plein: 1 ETP
- Résultat sur le territoire
Une amélioration de l'offre de proximité en terme d'accès au droit sur le territoire
- Résultat pour le centre social
Possibilité d'amener des réponses plus larges aux différents adhérents de Partage
- Résultat pour les habitants
Disponibilité de proximité par rapport à leurs besoins
- Suite de l'action : Limites
L'action est en continuité du fonctionnement du Centre social. Elle est relative néanmoins aux différentes garantis de subvention couvrant les charges de ce poste, mais aussi à la possibilité d'avoir une permanisation de ce poste (hors contrat aidé) conditionnée par des financements le permettant
- Suite de l'action : Perspectives
Nous projetons de continuer cette action du fait de la forte demande existante sur le quartier
Actions
Prévenir l'implication des plus jeunes dans les trafics
- Structure organisatrice
- MAISON POUR TOUS MONPLAISIR - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
Une recherche-action a été réalisée à la demande du groupe Jeunesse du quartier de Monplaisir d’Angers constitué depuis 2007 à l’initiative de la Maison pour tous (MPT) et de l’Association pour la sauvegarde de l’enfance et de l’adolescence (ASEA). Une demande qui relaie les questionnements des professionnels qui interviennent auprès de jeunes impliqués dans le trafic de drogues : comment établir un climat de confiance avec eux sans que cela soit perçue comme une forme d’acceptation du trafic ? Quelle part peut prendre la prévention ? Cette recherche-action a produit une lecture plus fine du trafic de drogues et a permis de construire un cadre éthique d’intervention qui permette aux professionnels de la proximité d’être mieux aidants vis-à-vis de ces jeunes, et de leur proposer des alternatives fortes et crédibles. Elle s’inscrit dans le cadre d’une sociologie clinique du travail qui repose sur le principe de la coopération entre chercheurs et professionnels sur le terrain même de la production des connaissances afin de gagner en puissance d’agir individuelle et collective. Les participants inscrivent leur activité professionnelle dans des champs divers (EN, TS, animation, insertion, médiation, justice), travaillent dans des cadres institutionnels divers (ASEA, SAEMO, MPT, MDS, Ville, régie de quartier, école élémentaire, collèges, lycées, Mission locale et PJJ), rencontrent les jeunes à différents moments de leur parcours dans le trafic. Ils ont en commun d’être déstabilisés dans leur pratique par l’irruption de ce trafic et surtout un positionnement éthique, le fait de ne pas s’en accommoder. Chacun a pu s’autoriser à poser une parole authentique parce qu’il savait que les autres partageaient des difficultés semblables aux siennes mais aussi parce qu’il était conscient de ce qu’il pouvait apprendre en échangeant avec eux sur les pratiques et les positionnements.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
La démarche ici proposée s’inscrit dans le cadre d’une sociologie clinique du travail qui repose sur le principe de la co-construction des savoirs, de la coopération entre chercheurs et professionnels sur le terrain même de la production des connaissances ; cela, afin de gagner en puissance d’agir individuelle et collective.
L’entretien collectif répété avec retour a constitué l’outil privilégié. Le fait de répéter les rencontres permet de créer la confiance nécessaire à la mise en oeuvre d’une démarche reposant d’abord sur la prise de parole. Le fait de faire retour entre deux séances de travail aux participants de ce qu’ils ont dit et des mises en perspectives et analyses des chercheurs favorise leurs postures réflexives.Le volontariat et l’engagement de ne pas sortir du groupe ce qui s’y dit sans l’accord de tous ont constitué ses principales règles. Leur respect a conditionné sa poursuite.
Enfin, la composition du groupe est décisive. Les participants inscrivent en effet leur activité professionnelle dans des champs divers comme ceux de l’Education nationale, du travail social,de l’animation, de l’insertion, de la médiation, de la justice… Ils appartiennent à des culturesprofessionnelles différentes et notamment à des cultures éducatives différentes (Education nationale, Education spécialisée, Education populaire…). Ils travaillent dans des cadres
institutionnels divers : l’Association de sauvegarde de l’enfance (ASEA49) ; Maison pour tous (MPT) de Monplaisir ; Maison départementale des solidarités (MDS) ; Ville ; régie de quartier ;école élémentaire Voltaire ; collège Jean Lurçat ; lycée (Henri Dunant, Emmanuel Mounier), Mission locale et PJJ… Ils rencontrent les jeunes à différents moments de leur parcours dans le trafic. Certains les rencontrent alors même qu’ils n’y sont pas engagés mais courent le risque de l’être ; d’autres dès leurs premiers pas en tant que guetteurs ; d’autres, encore, alors qu’ils y sont installés en tant que revendeurs, parfois même enkystés ; d’autres, enfin, alors qu’ils sont sous main de justice. Certains sont plutôt dans la prévention de l’implication dans le trafic ; d’autres
dans la réduction des risques ; d’autres, enfin, dans la prévention de la récidive. Mais ils ont tous en commun d’être déstabilisés dans leur pratique par l’irruption du trafic et surtout un positionnement éthique, le fait de ne pas s’en accommoder. Chaque professionnel, dans ce groupe, a pu s’autoriser à poser une parole toujours plus authentique parce qu’il savait que les autres partageaient des difficultés semblables aux siennes et exprimaient, comme lui, un fort désir de les surmonter mais aussi parce qu’il était conscient de tout ce qu’il pouvait découvrir et apprendre en échangeant avec eux sur les pratiques et les
positionnements. Le sens a ainsi cheminé au travers de tout ce qui, dans les paroles des uns et des autres, se faisait écho, entrait en résonnance, avait pouvoir d’évocation, donnait lieu à association d’idées.
La coordination de la recherche action a été assurée par la MPT Monplaisir et l’ASEA 49.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
accès à l'habitat de familles des gens du voyage
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ITINERANT LA VERDINE - Rhône
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Logement
- Précarité
- discriminations
- Résumé
action de relocalisation de l'habitatd'une viongtaine de menages actuellement sur un terrain provisoire dégradé pour acceder a un habitat aux normes sur des communes de la communauté de communes co porteuse du projet
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Autre
- Précision ( si autre )
le centre socialLa verdine, la communaut de communes
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
situation de bidonville
travail sur les représentations de l'habitat
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
comité de pilotage qui suit les travaux du groupe d'animaltion operationnelle
- Ressources financières mobilisées pour cette action
14000 eros
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
une dizaine de pofessionnels et les habitants cncernés
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
peu d'impact le centre social est un centre social itinerant
- Résultat pour les habitants
relogement
- Suite de l'action : Limites
inclusion sociale sur le territoire si resolution des effets des regards discriminants
- Suite de l'action : Perspectives
definition des projets par commune
demarrage du prmeier projet pour un menage et cinq enfants.
Actions
Actions dans le cadre de la journée internationale des femmes (mois de mars) et dans le cadre de la lutte contre l'élimination des violences à l'égard des femmes (novembre)
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL BELLEFONTAINE - LAFOURGUETTE - Haute-Garonne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- discriminations
- Résumé
Coordination des actions territoriales de Bellefontaine / Lafourguette par le centre social de Bellefontaine / Lafourguette
Au mois de mars et de novembre : élaboration d'un programme commun avec des temps forts sur l'espace public et temps d'échanges sur une thématique, à l'intérieur
Formation sur les violences faites aux femmes, animée par le planning familial 31 et Occitanie
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Plusieurs partenaires associatifs ou institutionnels menaient des actions, sans coordination, sur le même territoire. Le centre social a été sollicité pour coordonner ces actions et permettre une lisibilité des actions.
Résultats attendus :
* amélioration de la communication
* travail en commun, partage de l'informations et des ressources
* création d'un réseau
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
L'action a démarré en janvier 2017
Coordination par le centre social : invitations aux réunions, animation des réunions, rédactions des comptes-rendus. Travail de transversalité : liens avec les services de Toulouse Métropole, les associations hors quartiers, les services de l'Etat.
Elaboration d'outils de communication.
Analyse des besoins et développement d'actions pour y répondre
Mise en réseaux, création d'un maillage territorial et d'un maillage communal
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Les salariés du structures, des institutions et des services
Financement de la formation par la Préfecture
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
20 professionnels associatifs ou institutionnels
- Résultat sur le territoire
Permettre la discussion, l'échange sur des sujets sensibles, difficiles
Rompre l'isolement des personnes concernées par ces questions. Outiller les habitants qui pourraient venir en aide
Former les professionnels pour mieux comprendre le cycle de la violence, mieux repérer les signes, mieux accompagner les victimes
- Résultat pour le centre social
Centre social repéré comme pilote sur cette question.
Connaissance et identification des structures ressources
- Résultat pour les habitants
Repérage des partenaires grâce à l'élaboration d'outils de communication.
Meilleure écoute des professionnels
- Suite de l'action : Limites
Comment toucher les personnes victimes de violences et isolées?
Comment améliorer l'accueil des personnes victimes de violences lorsqu'elles vont déposer plainte?
- Suite de l'action : Perspectives
Développement d'actions inter-quartiers avec le quartier de Reynerie :
* formation sur les violences faites aux femmes en commun
* actions en direction des habitants en commun
Actions
Laïcité, l'Art du bien vivre ensemble
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL MEDIO BANLAY - Nièvre
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Intégration
- discriminations
- Résumé
Nous avons souhaité développer ce projet sur le thème de la laïcité autour de 3 axes stratégiques:
1/ Organisation de 3 CONFERENCES/ DEBATS sur la laïcité qui devra permettre à nos publics de libérer la parole sur des sujets du quotidien difficiles, liés à la pratique ou à la non pratique d'une religion et ce dans le respect et la promotion des valeurs de la république. Il devra également nous permettre de questionner notre identité, nos ressemblances afin de construire une vision commune de l’avenir. A cet effet, nous utiliserons trois supports de travail différents mais complémentaires: le Débat théâtral ("égal à égal") la Réalisation d'un documentaire sur le thème de la laïcité et la Présentation de la charte de la laïcité de la branche famille CAF ainsi que sur la pratique des différentes religions. Le point commun de ces supports de travail sera l'échange et le débat encadré par des animateurs avertis. 2/ FORMATION de nos équipes d'animation. Le but est de leur donner les connaissances et éléments de compréhension nécessaires au positionnement qu’implique la pratique de leur métier sur ce thème. 3/ OBSERVATOIRE: Mobilisation d'un réseau de partenaires autour d'un Collectif laïcité. Ce dernier axe a pour objet de réfléchir, d'analyser les pratiques, de créer des outils d'observation et d'évaluation. Il nous permettra également d'exporter et
d'enrichir les données nationales très peu développées à ce jour, sur le principe de la Laïcité.Ces actions ont débuté en Avril et se sont déroulées sur l’ensemble de l’année jusqu’à fin décembre. Les principaux lieux ont été: Espace Martin LUTHER KING, Espace Stéphane HESSEL, Mairie de Nevers, Préfecture 58, Conseil Départemental 58, Paris.
- 10/04 /17 au 31/12/17, Réalisation Exposition et Documentaire Vidéo
- 15/06/17, le 5/10/17, le 14/12/17, Rencontres Collectif Laïcité.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Précision ( si autre )
- L’enjeu global de ces actions s'articule autour de la finalité du projet social 2016-2019 du Centre Social:
"Développer l'apprentissage du vivre ensemble pour un quotidien solidaire et citoyen". Ce projet développe trois axes essentiels à une meilleure qualité de vie des habitants à Nevers:
- Questionner nos ressemblances, ce qui fait sens pour tous, afin de construire une vision commune de
l'avenir, dans le respect et la promotion des valeurs de la République.
- Favoriser l'inclusion sociale et la socialisation des habitants.
- Renforcer la participation des habitants.- Le Centre Social Médio-Banlay souhaite impulser ce projet sur le principe de Laïcité auprès des jeunes âgés de 14 à 25 ans et des équipes éducatives à l'échelle de la Ville de Nevers. L’objectif est de permettre la rencontre, l'échange, le questionnement, la connaissance et la reconnaissance de chacun autour de ce principe essentiel à la cohésion sociale au sein de notre République.
- Très peu de données, enquêtes, études nous permettent à ce jour d'avoir une représentation significative de la manière dont est vécue la Laïcité en France.
- L’objectif est de permettre la rencontre, l'échange, le questionnement, la connaissance et la
reconnaissance de chacun autour de ce principe essentiel à la cohésion sociale au sein de notre République.
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Après les attentats de 2015, nous avons constaté un repli communautaire des populations et des tensions sous-jacentes entre Français liées à de nombreux amalgames. Le mot laïcité n'a jamais été autant utilisé, sans pour autant qu'il soit maîtrisé par ceux qui l'emploient. Nous observons une forte crise identitaire des adolescents français d’origines étrangères qui se manifeste souvent par le rejet des valeurs Républicaines.
Conduite d'entretiens individuels auprès de 100 jeunes du Banlay qui ont révélé que 78% d'entre eux ont le sentiment d’être stigmatisés par leurs origines culturelles. Réalisation d'une enquête auprès de 80 jeunes des Centres Sociaux de Nevers qui révèle qu'ils ont une méconnaissance importante du principe de laïcité.
1/ Acquérir les repères historiques et juridiques nécessaires à une maîtrise approfondie du principe de laïcité. 2/ Travailler avec les équipes professionnelles sur des cas pratiques répondant aux problématiques du quotidien. 3/ Libérer la parole sur des sujets difficiles. 4/ Associer jeunes et parents dans une démarche participative. 5/ Accompagner les jeunes et leurs parents afin de construire sereinement leur identité de citoyens Français. 6/ Développer les échanges entre acteurs, créer des outils de veille commun sur la laïcité
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
- Organisation de 2 CONFERENCES/ DEBATS: le 6/12/17, Rencontre des Aumôniers Militaires et le 16/12/17, Débat théâtral "égal à égal" par la Compagnie Entrée de jeux. Réalisation d'un DOCUMENTAIRE VIDEO, libérant la parole des citoyens et élus de la République. Réalisation d'une EXPOSITION définissant le principe de Laïcité et diffusion. Création et pilotage d'un COLLECTIF Laïcité/ 10 partenaires/ 3 rencontres.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
23335€ de charges.
Subventions:
-CIEC/ Contrat de Ville: 2522€;
- Nevers Agglomération/ Contrat de Ville: 2000€;
- CAF/ Fonfs Publics et Territoire: 7 996€;
- Conseil Départemental de la Nièvre: 450€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- 112 jeunes, soit 44 garçons et 68 filles, âgés de 11 à 25 ans, dont :
- 65 Adolescents âgés de 11 à 17 ans,
- 47 Jeunes âgés de 18 à 25 ans,
- 90% sont issus du Banlay ou d'autres Quartiers Prioritaires Politique de la Ville.
- 10 Partenaires: CAF, Ville de Nevers, C. Départemental 58, FOL, FDCS 58, PEEP...
- Résultat sur le territoire
- Libération de la Parole sur un sujet sensible, facilitation des échanges et plus grand degré de tolérance de la part de l'ensemble des participants.
- Résultat pour le centre social
- Reconnaissance/ Réseau partenarial sur la thématique Laïcité
- Résultat pour les habitants
- ATTEINTS: Acquérir les repères historiques et juridiques. Libérer la parole sur des sujets difficiles. Associer les jeunes dans une démarche participative. Accompagner les jeunes afin de construire sereinement leur identité de citoyens Français. Développer les échanges entre acteurs
- EN COURS DE TRAVAIL: Travailler avec les équipes professionnelles sur des cas pratiques répondant aux problématiques du quotidien.
- Suite de l'action : Limites
- Soutien financiers des partenaires sollicités sur ce projet en 2018 (CAF/ Fonds Publics et Territoire; Contrat de Ville/ CGET & Nevers Agglomération)
- Suite de l'action : Perspectives
En 2018, nous développerons ce projet autour de 4 axes stratégiques: 1/ Organisation de 4 CONFERENCES/ DEBATS sur la laïcité qui devra permettre à nos publics de libérer la parole sur des sujets du quotidien difficiles, liés à la pratique ou à la non pratique d'une religion et ce dans le respect et la promotion des valeurs de la république. A cet effet, nous utiliserons plusieurs supports de travail complémentaires: le Débat théâtral (Parents), la diffusion d'un documentaire vidéo sur la laïcité réalisé en 2017 par des jeunes du Banlay (Jeunes et Parents), une soirée débat intitulée "la laïcité dans l'assiette" (Elus, Cultes, Parents, Jeunes) et enfin la présentation d'une pièce de théâtre intitulée "Chocolat et Laïcité" (Jeunes et parents). 2/ Réalisation d'un LIVRE/ PHOTOS TEMOIGNAGES (Jeunes et Parents) 3/ FORMATION de nos équipes d'animation. Le but est de leur donner les connaissances et éléments de compréhension nécessaires au positionnement qu’implique la pratique de leur métier sur ce thème. 4/ Pilotage et animation du COLLECTIF LAÏCITE créé en 2017 et rassemblant 12 partenaires issus des institutions, structures d'éducation populaire et représentations cultuelles du département. Ce dernier axe a pour objet d'analyser et questionner les pratiques, d'impulser et de mutualiser des projets, de créer des outils de veille. Enfin, plusieurs temps forts de ce projet seront organisés dans le cadre de la semaine de la Laïcité, en Décembre 2018.
Actions
L'été à La Vache
- Structure organisatrice
- ALLIANCES ET CULTURES NORD - Haute-Garonne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Evènement de quartier sur le mois de juillet 2017
- Dimension
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- vacances / loisirs
- Résumé
Le Centre Social Alliances et Cultures Nord mène des actions visant à animer le quartier La Vache et à développer le lien social et intergénérationnel par des actions à la fois régulières et ponctuelles. L'été 2017 a été marqué par la fermeture du Centre Social pour travaux. En accord avec les partenaires du quartier et les habitants, cette fermeture a été l'occasion, pour l'équipe du Centre Social de s'installer au sein de la Maison de Quartier La Vache, non utilisée sur juillet-août. L'idée étant que, au-delà d'une simple délocalisation du Centre social, un projet multi-partenarial voit le jour sur le mois de Juillet 2017. Ainsi, le Centre Social a coordonné un projet d'animation, en lien avec le gestionnaire de la Maison de Quartier (Centre d'Animation Lalande), associant les habitants et une trentaine d'associations du territoire. Un financement exceptionnel de 2000 euros a été attribué par la DSCS au centre Social pour la mise en oeuvre de ce projet. Ce projet, très apprécié de tous a touché sur le mois de juillet près de 2000 personnes. Ce projet, qui reste un projet exceptionnel permis par la fermeture du Centre Social a cependant permis d'insuffler une dynamique qui se poursuit désormais sur chaque période de vacances scolaires...
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le quartier La Vache est un quartier peu animé, et un sentiment d'insécurité est ressenti par les habitants autour de la place principale. Une maison de quartier y est implantée et des associations l'occupent durant les périodes scolaires pour des activités peu ouvertes aux habitants du quartier... Le reste du temps cette Maison de quartier est fermée. En parrallèle, le Centre Social Alliances et Cultures Nord, dont l'implantation est située en périphérie du quartier mais qui animait déjà des actions sur la Maison de Quartier, avait en prévision une période de travaux de 4 mois, rendant le Centre Social inaccessible aux usagers.
Les objectifs de la mise en place d'un évènement sur le Quartier La Vache durant le mois de Juillet 2017 étaient donc:
- D'occuper la Maison de Quartier, afin d'animer le quartier La Vache et de le rendre moins "insécurisant"
- De réunir des partenaires autour d'un projet commun, afin d'impulser une dynamique de territoire
- De trouver un lieu d'implantation du Centre Social et de sa ludothèque durant la période de travaux, afin d'éviter la fermeture du Centre Social durant le mois de juillet.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Après la validation de la Mairie pour la réservation de la Maison de Quartier et l'occupation de l'espace public sur l'ensemble du mois de juillet, l''action a débuté au mois de Mars 2017 par la mise en place de réunions partenaires afin de plannifier les actions qui seraient proposées sur Juillet, soit par le Centre Social/ludothèque, soit par les partenaires. Chaque membre de l'équipe était référent d'un ou plusieurs partenaires et en charge de suivre la mise en place et le déroulé des activités proposées. Le Centre d'Animation Lalande, qui gère la Maison de Quartier, a été un partenaire privilégié dans la réalisation de ce projet. Il a notamment permis de faire le lien avec les associations fréquentant la Maison de Quartier durant l'année scolaire.
Le Centre Social a fermé ses portes 1 semaine avant et 1 semaine après afin de permettre le déménagement du Centre social et de sa ludothèque du Centre Social à la Maison de Quartier.
Un bilan a été fait sur la rentrée d'Octobre 2017... Au vu du succès de l'évènement il a été décidé que des associations pourraient désormais proposer des actions durant les vacances scolaires. A la Toussaint, le festival "génération pixels", porté par l'association l'Ecole Citoyenne, a d'ailleurs eu lieu.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
2000 euros finacé par la DSCS pour animer le quartier durant le mois de Juillet
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- L'ensemble de l'équipe du Centre Social et de la lutdothèque, soit 12 personnes qui se relayaient afin de garder l'espace ouvert sur l'ensemble de la journée... même entre 12h et 14h
- Une trentaine de partenaires, soit qui proposaient habituellement des activités sur la Maison de Quartier, soit des partenaires de quartier qui travaillaient déjà avec le Centre social
- Une dizaine d'adhérent/bénévoles, plus implioqués dans le projet
- Résultat sur le territoire
- Un territoire Animé durant tout le mois de juillet, réduisant le sentiment d'insécurité et parfois d'abandon des habitants.
- Des rencontres intergénrationnelles et interculturelles, avec des personnes touchées qui ne fréquentent pas habituellement le Centre Social.
- Une dynamique de territoire, avec un lien renforcé entre les partenaires.
- La poursuite, de moindre ampleur, de cette dynamique une fois l'évènement fini.
- Résultat pour le centre social
- Un Centre Social plus visible
- Un Centre social qui "touche" des habitants généralement plus difficiles à capter
- Un Centre Social reconnu comme animateur de territoire
- Résultat pour les habitants
- Des habitants heureux d'avoir un quartier qui vit
- Des rencontres entre habitants
- La connaissances de ce qui se fait sur leur quartier en dehors de cet évènement (actions des partenaires et du Centre social)
- Suite de l'action : Limites
- Action non reconductible en l'état car pemis grâce à la fermture totale du Centre Social
- Suite de l'action : Perspectives
- Des actions moins chronophages et plus ponctuelles sont désormais prévues sur chaque vacances et pour cet été
Actions
Animation du Conseil Citoyen
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIO CULTUREL DE LA BLAISERIE - Vienne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
les objectifs de l’action ?
-
Accompagner les habitants Conseillers Citoyens à participer aux instances relatives au Contrat de Ville.
-
Animer un espace de démocratie de proximité centré sur les préoccupations des habitants.
-
Accompagner des initiatives d’habitants visant la recherche de solutions adaptées à leurs préoccupations.
-
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Soutien au développement du pouvoir d'agir d'un quartier populaire.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Plan d’action depuis le 01/01/2017 :
-
Mobilisation des habitants.
-
Identification des préoccupations collectives des habitants.
-
Information/formation des habitants et mise en relation avec les acteurs locaux et institutionnels.
-
Démarche de projet pour contribuer au changement des situations repérées comme difficiles par les habitants.
-
Structuration de la dynamique.
-
- Ressources financières mobilisées pour cette action
25 000€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
40 personnes
- Résultat sur le territoire
Emergence et résolution de préoccupations collectives locales par les habitants.
- Résultat pour le centre social
Développement d'une posture de "compagnonage" des habitants sur leurs préoccupations.
- Résultat pour les habitants
Capacité d'agir sur leurs préoccupations en bénéficiant des ressources du centre (réseau, stratégie, animation, moyens).
- Suite de l'action : Limites
Besoin de développer le temps d'animation, un 1/3 temps oblige à prioriser avec les habitants les chantiers sur lesquels travailler.
Nécessité pour les institutions d'apprendre à composer avec ce nouvel organe de démocratie participative.
- Suite de l'action : Perspectives
Inscription de l'animation du conseil citoyen et de ses financements publics dans une convention pluriannuelle d'objectif entre le centre et la prefecture.
Actions
Numérisation des Ateliers Sociolinguistiques
- Structure organisatrice
- ESPACE LOUISE-MICHEL - Seine-et-Marne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
En conformité avec les récentes évolutions dans les dispositifs d’accueil des étrangers Primo-arrivants en situation régulière et en parcours d'intégration et des publics adultes migrants en France, il nous a paru nécessaire de concevoir à la mise en place d’une organisation plus adaptée des Atelier Sociolinguistiques de nos Centres Sociaux par la dispense d’un apprentissage plus conforme.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pour permettre aux publics des Ateliers Sociolinguistiques des Centres Sociaux Municipaux de se
- Familiariser avec l’outil informatique pour un accès au numérique en autonomie,
-
Favoriser l’accompagnement à la navigation sur Internet, à la réalisation des démarches en ligne et à l’utilisation de bornes automatiques,
Cette action d’envergure majeure s’inscrit dans le pilier n°4 du Contrat de Ville de Meaux - Valeurs de la République et citoyenneté - en référence à l’une des grandes orientations "Favoriser l’intégration sociale des populations immigrées".
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
La subvention allouée, par les services de l'Etat, pour l’achat de tablettes pour chaque Centre Social des Quartiers Politique Ville, nous a permis la mise en place d’un atelier consacré à l’accès au numérique pour favoriser l’accompagnement à la navigation sur Internet, à la réalisation des démarches en ligne et à l’utilisation de bornes automatiques.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le Budget de l'Action est de : 148316 € dont 30000€ consacrés à la Numérisation des Ateliers Sociolinguistiques des 3 Centres Sociaux Municipaux.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Un groupe de 10 personnes a été mobilisé pour cette action.
- Résultat sur le territoire
Sur le plan pédagogique :
- Permettre l’acquisition de la lecture et de l’écriture basique de la langue française pour faciliter l’autonomie dans la vie quotidienne sur le plan social en favorisant l’insertion sociale et professionnelle des habitants maîtrisant peu la langue française.
- Mettre en place divers ateliers sociolinguistiques numérisésen fonction des difficultés rencontrées par les habitants pour maîtriser convenablement la langue orale et écrite avec un accés à des sites de services publics.
- Apprendre la langue et les codes langagiers et favoriser la connaissance des codes de la société française afin de tendre vers une meilleure insertion dans la société française qui passe notamment par la connaissance des espaces socioéducatifs, culturels et administratifs,
- Résultat pour le centre social
Sur le plan Social :
- Favoriser l’insertion sociale et professionnelle des habitants des quartiers maîtrisant peu ou pas la langue française par l'inclusion numérique,
- Encadrer des sorties pédagogiques ayant pour objectifs de tisser des liens avec l’ensemble des participants et les intervenants des ateliers sociolinguistiques et de confirmer le caractère de pédagogie active des cours dispensés au cours de l’année,
- Permettre aux apprenants de se mouvoir dans la société en toute autonomie avec un accompagnement d'utilisation de l'outil numérique (Tablettes),
- Résultat pour les habitants
Sur le plan Social :
- Favoriser l’insertion sociale et professionnelle des habitants des quartiers maîtrisant peu ou pas la langue française par l'inclusion numérique,
- Encadrer des sorties pédagogiques ayant pour objectifs de tisser des liens avec l’ensemble des participants et les intervenants des ateliers sociolinguistiques et de confirmer le caractère de pédagogie active des cours dispensés au cours de l’année,
- Permettre aux apprenants de se mouvoir dans la société en toute autonomie avec un accompagnement d'utilisation de l'outil numérique (Tablettes),
- Suite de l'action : Limites
L'action s'adresse à des publics ciblés : Les dispositifs d’accueil des étrangers Primo-arrivants en situation régulière et en parcours d'intégration et des publics adultes migrants en France.
- Suite de l'action : Perspectives
Dans la continuité de ce dispositif de Numérisation, l’évolution de cette action est de permettre aux apprenants de ces Ateliers Sociolinguistiques de bénéficier d’un programme de préparation aux examens du Diplôme d'études en langue française (DELF) et du Diplôme Approfondi de Langue Française (DALF).
La préparation de ces examens reposent sur des savoirs, des savoir-faire, des savoir être et des savoir apprendre, présents dans la compétence à communiquer langagièrement sur les plans linguistique, sociolinguistique et pragmatique.
La réussite à ces examens est la reconnaissance de la maitrise de la langue française en vue d’un accès à l'autonomie, par la découverte et l’appropriation de l'environnement social et des règles de vie en France. Enfin d’autres actions complètent ce riche programme, à savoir : Le Maintien de la dynamique de groupe de l’élaboration du Journal « Carnet des ASL » dont l’objectif vise à l’échange de connaissances des uns et des autres, à l’expression et l’acquisition de la confiance en soi,
Le Développement du partenariat avec le Musée de la Grande Guerre en appui sur la Convention qui définit le cadre pour développer des projets culturels et pédagogiques permettant aux publics concernés par les actions de la Direction de l’Action Sociale dont ceux des Centres Sociaux, de découvrir le Musée et sa programmation culturelle.
Ce partenariat vise, également, à sensibiliser les publics concernés à la thématique du premier conflit mondial par la découverte des collections du Musée de la Grande Guerre et grâce à des actions de médiation culturelle sous forme d’animations pédagogiques, culturelles et artistiques,
Le Développement du partenariat avec l’Association « WIMOOV » pour une meilleure connaissance et maitrise de la Mobilité - Déplacements dans les transports en commun dans la Ville de Meaux et en Ile de France, par les apprenants des Ateliers Sociolinguistiques et les usagers du Centre Social,
Actions
L'étoffe des héros - défilé des petites coutures
- Structure organisatrice
- OMAC Office Municipal d'Animation de la Cité - Seine-et-Marne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Action déterminée dans le temps qui s'est déroulée de décembre 2016 à septembre 2017.
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- Résumé
De janvier à mai 2017, la Ferme du Buisson (scène nationale), le Château de Champs-sur-Marne (centre des monuments nationaux) et l'OMAC ont invité les habitants (domiciliés en ZSP de Torcy) et la compagnie Cirkatomik à créer des costumes uniques et originaux à partir d'objets de tous les jours et de matériaux recyclés. Le samedi 20 mai 2017 à la Ferme du Buisson, s'est déroulé le spectacle "Le plus grand défilé des Petites Coutures". L'occasion pour une vingtaine de volontaires, adultes ou adolescent et un enfant, de vivre une expérience de mannequinat exceptionnelle ou d'assister les artistes et comédiens dans les coulisses du spectacle pour l'habillage, le maquillage ou l'ouverture des rideaux. Du 16 septembre au 8 octobre une exposition de de toutes les réalisations a eu lieu au château , le vernissage s'est déroulé le vendredi 15 septembre 2017. Une sortie a été organisée le 25 juin 2017 à Moulin (Allier03) au Centre National du costume pour une visite guidée de l'exposition "Modes ! A la ville A la scène".
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Dans le cadre de la mise en place d'une nouvelle ZSP sur la ville de Torcy, un jumelage a été mis en place entre le château de Champs, la Ferme du Buisson (scène nationale), la ville de Torcy/OMAC afin d'inventer des actions spécifiques pour les habitants de ces quartiers et de les rendre autant que faire se peut acteurs des processus culturels.
Le projet porte sur la prise de conscience de la transformation de la silhouette à travers les différentes époques et des modes, sensibilisation au développement durable par le biais des ateliers de fabrication de costumes.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Mise en place d'un comité de pilotage des partenaires impliqués : septembre 2016.
Décembre 2016 1ère réunion de présentation aux habitant du projet participatif : "Avis aux torcéens - L'étoffe des héros".
De février à avril 2017 : Mise en place des ateliers de collectes de matériaux, fabrication des costumes, accompagnées par la Compagnie Cirkatomik.
De février à juin : Ateliers de confection d'accessoires au Château de Champs-sur-Marne (Centre des Monuments Nationaux).
20 Mai 2017 : Spectacle "Le plus grand défilé des Petites Coutures". Se spectacle a associé des habitants et des comédiens de la troupe Cirkatomik
Juin 2017 Visite avec des habitants du Centre National du costume à Moulins.
Du 16 au 8 octobre 2017 : Exposition au Château de Champs de toutes les costumes et accessoires faient par les habitants.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
L'OMAC était uniquement partenaire au niveau de la mobilisation de habitants, mise à disposition du matériel et des locaux.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
6 professionnels et 65 habitants.
- Résultat sur le territoire
Consolider la relation de proximité existant entre les habitants de ces quartiers et les 2 structures culturelles (La Ferme du Buisson et le Château de Champs-sur-Marne)
- Résultat pour le centre social
Consolider la relation de proximité, valoriser les productions des habitants
- Résultat pour les habitants
Sensibilisation au développement durable par le biais des ateliers de fabrication de costumes avec des matériaux de récupération.
- Suite de l'action : Limites
Il a été difficile de mobiliser un nombre d'habitants plus important au regard des objectifs initiaux.
- Suite de l'action : Perspectives
Continuité de l'action avec ces 2 partenaires (La Ferme du Buisson et Château de Champs) pour 2018 et 2019 et mise en place d'un projet artistique avec la Compagnie XTNT. Compagnie travaillant plus particulièrement sur des interventions dans l'espace public.
Actions
familles et reseaux sociaux
- Structure organisatrice
- Le point commun centre social - Haute-Marne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- Résumé
le centre social en partenarait avec différents acteurs associatifs du territoire a mis en place une action pour sensibiliser les familles aux risqus d'internet.
Le groupe partenarail a choisi d'aborder cette question avec comme support un spectacle humoutistique avec la comédinne Esta Webster.
Le spectacle a permis d'aborder diffférents points/
-la place de l'enfant et les relations avec le sparents, l'ttitude de sparents face au consumérisme
-le choc de sgénérations
-l'usage d'internet positif et négatif
les stéréotypes divulgués, les humiliations pouvant être subis , les risques encourus
le spectacle a réuni parents et adolescents, à la fin du spectacle un mini débat a été organisé avec la présence d'un juriste et d'une éducatrice d'associations partenaires. Le juriste a apporté des points de vigilance et des apports par rapport à la loi.
L'éducatrice a sennsibilisé les parents et les adolescents sur les risques de jeux dangereux sur internet.
-les humiuli
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place pour sensibiliser les familles à la nécéssité d'accompagner leurs enfants dan sleurs pratiques quotidiennes du numérique, pour soutenir les parents dans leur rôle éducatif et prévenir des dangers d'internet.
Les résultats attendus : permettre aux parents de s'interroger sur leur rôle d'accompagnateur et d'éducateur face aux dangers d'internet
permettre de faciliter les échanges entre parents et adolescents sur les risques d'nternet
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Cetta action a été menée en partenarait avec de nombreux acteurs du territoire. En amont du projet, ont été organisées des réunions pour la mise en place de l'action avec identification des difficultés des parents, de problématiques du territoire.
Après repérage des problématiques, le groupe a organisé collectivement l'action en apportant de idées et leurs connaissances.
La proposition du spectacle a été initiée par un acteur associatif du CIDFF qui connaisit la comédienne.
Le choix de ce support de comédie humouristique permet d'aborder des sujets de parentalité d'une manière plus ludique.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
charges: 8651 €
produits : Reeap 3000 €
contrat de ville: Agglomération de Chaumont :1000 € et CGET : 1000 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
14 parents
2 enfants
13 adolescents
10 professionnels
- Résultat sur le territoire
action favorisant la venue d'un public mixte car organisé dans les locaux de Canopé
- Résultat pour le centre social
ancrage du rôle fédérateur du centre socail car action menbée dans un cadre partenarial
réponse aux besoins des familles et sujet prégnant dans la société
- Résultat pour les habitants
renforcement des capacités éducatives des parents
education aux riques d'internet pour les familes (adolescents et parents)
facilitation des échanges entre parents et enfants
- Suite de l'action : Limites
dificultés à mobiliser de nombreux parents
- Suite de l'action : Perspectives
le centre social poursuit des actions parentmalité mais n'a pas souhaité conduire une action en 2018 sur cette thématique
Actions
LES MARCHES EXPLORATOIRES
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ET SOCIO CULTUREL DU PUCHOT - Seine-Maritime
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Environnement
- Intégration
- Mixité sociale
- Résumé
Propositions de moments de rencontres avec ces femmes
Organisations de marches exploratoires à l’intérieur du quartier
Mise en place d’espace d’expression pour ces femmes
Implication des acteurs locaux
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Dans un quartier dit "sensible", dévellopper un modèle participatif en prenant en compte la parole des femmes en matière d'aménagement urbain et de sécurité publique.
Les femmes s'expriment sur leur quartier : (aménagement, éclairage, entretien, luminosité, ) afin qu'elles puissent circuler plus facilement , plus aisément dans celui ci, s'y sentent mieux, l'apprécie.
Leurs constats sont relatés auprès des différents décideurs ( ville, bailleurs... ) avec propositions d'actions à plus ou moins long terme.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
38 rencontres par an
10 marches dont 3 marches réalisées dans le cadre de la GUP (Gestion Urbaine de Proximité ) à différents moments de la journée
18 séances consacrées à a préparations et installations des décorations dans les halls d'immeubles
3 séances d'informations : Droits et devoirs des locataires.Présentation des agents de voisinage .Intervention sur le rôle de la maison de la justice et du droit.
1 séance "fleurissement des balcons".
1 rencontre avec bailleurs et élus
- Ressources financières mobilisées pour cette action
12 000 euros
Ville
FIPD
PREFECTURE
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
22 femmes ont participés à cette action dont 11 sont venues régulièrement.
2 professionnels
- Résultat sur le territoire
Amélioration du cadre de vie, des espaces et de la sécurité de tous.
Ex : quartier néttoyé plus régulièrement,réparations de certains éclairages défectueux, installations de table pinique-nique
- Résultat pour le centre social
Reconnaissance du centre social comme équipement de proximité.
Valorisation des habitantes
Lieu d'initiatives
Lieu de concertations entre les acteurs locaux et les habitants
- Résultat pour les habitants
Mobilisation des femmes.
Très bonne cohésion de groupe.
Les femmes sont plus dans l'image positive de leur quartier et expriment plus aisément leurs observations.
Initiatives de décorer leurs halls d'immeuble en fin d'année avec un investissement important.
Beaucoup de dialogues avec les élus, les services municipaux et les bailleurs.Les réunions d'info ont permis d’éclaircir les droits et devoirs du locataire.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Accueillir davantage de nouvelles femmes.
Actions
Le Centre Social Audaces's de Folschviller - Hors Les Murs !
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL AUDACES'S FOLSCHVILLER - Moselle
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L’association Audaces’s a su tisser de la cohésion sociale sur le territoire. Au travers de cette animation innovante, la promotion des habitants de notre territoire a été reconnue par la Fédération des Centres Sociaux de France « Hors les Murs » et d’autres instances. Avec nos différents partenaires comme les Bailleurs, le Conseil Citoyen, le Département de la Moselle et les villes de Folschviller Valmont et d’autres cette action tisse un maillage au cœur du quartier QPV et de la ZUS.
Face à une augmentation de la précarité, notre action permet aux habitants de sortir de chez eux et de se côtoyer.
Il s’agira de poursuivre notre soutien à la population et au plus démunis au travers d’une action de proximité de collecter la parole des habitants, des jeunes, les familles et les acteurs locaux. Pour ce faire l’association mettre un plan citoyen de proximité avec comme support :
L’Arène Citoyenne, le triporteur citoyen, la cabane des mots, hors les murs, action réaction « citoyen », le rdv du triporteur citoyen à la sortie des écoles, des actions de découvertes culturelles et Citoyennes.
Les objectifs :
Utiliser un panel d’outils pour alimenter le débat participatif dans le quartier de FURST au côté du Conseil Citoyen et des Habitants.
Faire en sorte que les habitants se côtoient et vivent ensemble.
Créer de la cohésion sociale sur le territoire
Développer le Pourvoir d'Agir des Habitants
Créer des actions à visée émancipatrice
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Le projet a fonctionné de manière différente en tenant compte des saisons. L'équipe en collaboration avec les jeunes et les familles du quartier ont œuvré sur une stagtégie d'action adpaté aux usagers, aux habitants : Une animation "Hors Les Murs" avec des animations débat citoyen avec le triporteur et la cabane des mots 3 fois par semaine aux abords des écoles : Collecte de la parole des habitants/des Jeunes sur le vouloir des jeunes.
Débats participatifs et Citoyen aux quatre coins de la ville avec une fréquentation moyenne de 60 familles et 35 jeunes.
Un débat associatif avec les associations locales et la place des jeunes dans la vie locale, lors du forum des associations locales avec une moyenne de 25 associations et les jeunes des clubs. Dès juin, une animation Hors les Murs dans le quartier avec du théâtre enfant, création de vidéo jeunes, une soirée plein air cinéquartier. De plus lors des vacances, le centre social a œuvré dans les rues avec les animateurs afin de proposer des activités complémentaires aux actions du centre social : jeux plein air, bibliothèque de rue qui fut un grand succès. Le triporteur citoyen aura été la locomotive de cette action innovante sera l'outil mobile qui pourra mettre en œuvre une animation au plus proche des jeunes : plaides et couvertures pour de la lecture, pour la création de conte, découvrir des jeux de société, des activités au cœur des citys stades, musiques et liberté créative, slam…
Une Arène citoyenne qui a comme vocation la communication et la participation citoyenne (des débats participatifs, foot-citoyen, fair-play, culture citoyenne, danse urbaine, mini-spectacle, soirées jeunes, les valeurs de la République, C'est quoi être citoyen engagé, C'est quoi un conseil Citoyen Jeunes. Cette installation mobile et rapide pourra aller au devant de la jeunesse en situation d'érrance et/ou de fragilité. Faire connaitre les acteurs de la ville et l'équipe du centre social.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
/
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Les salariés du centre social
Des intervants (intermitants, vacataires, bénévoles)
- Résultat sur le territoire
Les partenaires reconnaissent cette action et souhaitent y participer périodiquement.
Il se trouve que hors les murs est un lieu neutre pour désamorcer des situations en présence d'un salarié du centre social.
Cette action a permis aux habitants de prendre conscience de leur pourvoir d'agir.
- Résultat pour le centre social
Cette action permet au centre social Audaces's d'avoir une meilleur action avec les habitants dans le quartier. Elle est complémentaire aux actions des ACM. Car depuis la baisse des jours ATL, les centres de loisirs subissent une baisse de la frénquentation par souci financier pour nos ahbaitants les plus en difficultés. Pour autant, il n'y a pas plus de départ en colonie de vacance ! Une familles sans ressources ou avec peu de ressource ne partira pas et ne fera pas partir leur enfant. Il reste quoi alors comme alternative ?
Donc, face à cette injustice, Hors Les Murs devient pour le quartier un espace citoyen et solidaire pour les habitants !
- Résultat pour les habitants
Cette action permet au centre social Audaces's d'avoir une meilleur action avec les habitants dans le quartier. Elle est complémentaire aux actions des ACM. Car depuis la baisse des jours ATL, les centres de loisirs subissent une baisse de la frénquentation par souci financier pour nos ahbaitants les plus en difficultés. Pour autant, il n'y a pas plus de départ en colonie de vacance ! Une familles sans ressources ou avec peu de ressource ne partira pas et ne fera pas partir leur enfant. Il reste quoi alors comme alternative ?
Donc, face à cette injustice, Hors Les Murs devient pour le quartier un espace citoyen et solidaire pour les habitants !
- Suite de l'action : Limites
Poursuivre cette action innovante et reconnu par plusieurs acteurs sociaux de la France !
- Suite de l'action : Perspectives
Action en cours pour 2017 à 2021 !
Actions
Sud Yvelines, terre d'égalité
- Structure organisatrice
- MJC-CENTRE SOCIAL DE RAMBOUILLET- L'Usine à Chapeaux - Yvelines
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- discriminations
- Résumé
Valoriser rôle et actions des femmes sur le territoire de l'arrondissement de Rambouillet:Egalité Homme/Femme, réseau partenarial, dynamique territoriale.
Sur un an, série de manifestations publiques, sensibiliser les publics à l'égalité H/F, identifier les ressources du territoire, fédérer les partenaires sur 4 volets: Education/Culture, Sport, Emploi/Insertion professionnelle, Santé/prévention.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Fédérer les partenaires du territoire sur thème Egalité; créer un réseau professionnel, susciter prévention violences faites aux femmes en milieu rural, interactions entre différents champs, agir en proximité avec les élus locaux.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
série de manifestations de mai 2015 à juin 2016
Volet Santé/prévention Octobre rose, Mars bleu, Forum santé (ados, jeunes adultes)au CS, débat santé au CS, Café sympa avec centre de planification.
Volet Emploi/Devt économique: Forum aprrentissage (Mission locale et CS), Rencontre intersyndicale
Volet sport: Expo sport et filles, recontre Equipe féminine foot (Clairefontaine), Chromes et Roses (harley davidson - femmes et moto)
Volet Culture/education: Exposition arts plastiques "Femmes en mouvement", Chanso'tone: rencontre avec la chanteuse "L", Expo Rosa Bonheur (Port Royal),Atelier écriture/photo Segpa du Racinay, Expo photo "Reflets de femmes"
Colloque prévention violences intra familiales
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Subvention DDCS 5000€ sur budget 2015 et 5000€ budget 2016
Plus participation CS sur budget actions culturelles
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
MJC/CS Usine à chapeaux: Direction, référent famille, informatrice jeunesse, personnel et bénévoles Musiques actuelles, un service civique, adhérents des ateliers arts/sculpture , adolescents Foyer, adolescents fréquentant les Forums, les rencontres et débats proposés
25 professionels, 40 bénévoles
- Résultat sur le territoire
a renforcé l'interconnaissance et réseau partenarial professionnel, mise en réseau professionnel de proximité
vraiment lancé la réflexxion pour une prévention des violences faites aux femmes en milieu rural
- Résultat pour le centre social
interactions entre différents champs, agir en proximité avec les élus locaux
- Résultat pour les habitants
sensibilisation égalité H/F, prévention violences faites aux femmes
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
entretenir cette dynamique territoriale de réseau
poursuivre travail prévention violences faites aux femmes
Actions
les Ateliers Sociolinguistiques
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ALBERT SCHWEITZER - Yvelines
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Intégration
- alphabétisation & apprentissage du français
- Résumé
La commune de Magny les hameaux (9236 habitants), ses services, œuvrent au quotidien pour accompagner l’ensemble des habitants, notamment les plus éloignés de la langue française, et primo arrivants sur le territoire. Ceux-ci résident en majorité au sein du quartier du Buisson (en veille active depuis 2015).
Le centre social municipal a pour mission de les accueillir en prenant en compte les caractéristiques de chacun (culture, statuts sociaux, motivations) dans l’objectif de rompre leur isolement et de concourir à leur quête d’autonomie.
C’est par le biais d’ateliers socio linguistiques que la commune permet aux apprenants d'acquérir en plus des compétences linguistiques, un statut social pour agir de manière plus autonome en termes de déplacements, d'accès aux services, aux soins, aux lieux culturels, aux droits. L'action constitue aussi un soutien pour l'élaboration d'un parcours d'insertion professionnelle. Les apprenants, vont au fil de l’année se socialiser, apprendre les codes culturels, sociaux du pays.
Ces ateliers ont lieu les lundis et jeudis de 14h à 16h. Ces séances d'apprentissage sont également ponctuées par des animations pédagogiques, culturelles et citoyennes.
Lors de l'inscription, chaque apprenant est évalué dans le but de déterminer les objectifs spécifiques qu'il souhaite atteindre personnellement.
Cela permet aussi à l'équipe d'encadrants de constituer des groupes de niveaux (3 en général): 1 groupe de débutants, 1 groupe sachant s'exprimer en français, 1 groupe d'apprenants ayant été scolarisés dans leur pays d'origine et ayant un niveau supérieur d'études.
Chaque groupe peut ainsi travailler en fonction de son niveau, à son rythme par le biais de mises en situation à l'oral, de renforcements des acquis à l'écrit et par la lecture.
Diverses thématiques abordées permettent aux apprenants d'être soutenus dans leur vie quotidienne en termes de mobilité, d'achats, de démarches administratives, santé, d'accompagnement à la scolarité des enfants, d'insertion professionnelle.
Objectifs dans le projet social:
Lutter contre l'isolement, favoriser l'accès aux droits des personnes immigrées primo arrivantes ou âgées
- Acquérir des compétences linguistiques afin de mieux s'insérer dans la vie sociale et professionnelle.
- Favoriser la mobilité des participants, et encourager leur accès à la vie culturelle.
- Favoriser l'appropriation des valeurs républicaines et citoyennes, renforcer l'estime de soi
Les bénéficiaires :
Les ateliers sociolinguistiques sont à disposition de tous, avec une mixité des apprenants de par leur pays d'origine mais aussi des sexes. Il n'y a aucune discrimination, les apprenants sont tous accompagnés et soutenus de la même manière avec pour chacun, la prise en compte de leurs compétences et de leurs désirs.
- adultes d'origine non francophone peu ou pas autonome, hors CA, à partir de 18 ans si elle n'est pas accompagnée par la Mission Locale ou d'autres APP (Ateliers Pédagogiques Personnalisés).
-Prioritairement des habitants de la commune, notamment du quartier du Buisson, et/ou primo-arrivants, femmes ou hommes en difficultés ou pas, ayant un projet d'autonomie.
40 apprenants en 2016, dont 29 primo arrivants
Moyens mobilisés :
Humains : Une coordonnatrice, une référente vacataire, 8 bénévoles
Matériels : ordinateurs, ouvrages pédagogiques, documents administratifs, supports écrit
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Autre
- Précision ( si autre )
La commune et plus particulièrement les professionnels de la structure suite à un diagnostic de territoire préalable.
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La mise en œuvre de ce projet permet aux populations primo arrivantes sur le territoire ou non de bénéficier d’un accompagnement de qualité afin qu’il acquière une autonomie quant à leur intégration sociale, mais aussi leur réinsertion professionnelle.
Pour le territoire, il s’agira d’offrir aux habitants quel que soit leur statut social, une offre de services leur permettant d’accéder au statut de citoyen intégré, informé et soutenu et de mieux vivre leurs différents statuts sociaux (parent d’élève, salarié, consommateur, usagers des transports publics…).
Les objectifs de ce projet sont les suivants :
Lutter contre l'isolement et favoriser l'accès aux droit des personnes immigrées primo arrivantes ou âgées
- Acquérir des compétences linguistiques afin de mieux s'insérer dans la vie sociale et professionnelle.
- Favoriser la mobilité des participants, et encourager leur accès à la vie culturelle.
- Favoriser l'appropriation des valeurs républicaines et citoyennes, renforcer l'estime de soi.
Cette action a permis de favoriser la mobilité des apprenants en situation réelle et encourage l'accès à la vie culturelle lors de déplacements sur la ville. Les apprenants se sentent plus à l'aise, confiants, dans les relations aux autres et en milieux institutionnels. Ils affirment leurs choix et valeurs. Les participants via des temps d'informations divers ont accès et sont accompagnés dans certaines démarches (accès au droit insertion professionnelle...), leur permettant ainsi de s’organiser dans leur vie sociale. Ils s’investissent également d’avantage dans la vie du centre social en s’impliquant lors d’événements et participent avec leur familles à diverses actions tel que les sorties familles, temps parents enfants, Parvis en fête…
Les usagers de ces ateliers acquièrent une meilleure autonomie sociale et / ou professionnelle, poursuivant un projet personnel d’insertion.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
L'action a débuté en 1996, suite à la mise en oeuvre du premier projet social de la structure.
Chaque année:
Inscription des apprenants en septembre.
Chaque futur apprenant répond à un test d’évaluation permettant à l’équipe de déterminer avec lui ses besoins personnels et professionnels, ainsi que son niveau.
Le niveau de chaque apprenant détermine son appartenance à un groupe.
3 groupes sont constitués, et abordent certaines thématiques par le biais de mises en pratique, travail sur certains supports réels du quotidien avec selon leur niveau des approches différentes.
L’année est ponctuée par la participation des apprenants aux événements « Femmes du monde », porté par le centre social et à la semaine de citoyenneté, porté par la commune.
Leur participation pourra se faire sous la forme de l’élaboration d’une pièce de théâtre pout le premier événement ou la visite d’institutions pour le second.
La coordinatrice CIDFF du service emploi intervient durant différents temps d’échange, abordant le sexisme, les violences faites aux femmes.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget total : 14 105 €, dont 12585 € en frais de personnels, financement DDCS de 6500 € en 2016
Contributions volontaires: 9902 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
8 bénévoles et 2 professionnels, 40 apprenants en 2016, dont 29 primo arrivants
- Résultat sur le territoire
La mise en œuvre de ce projet permet aux populations primo arrivantes sur le territoire ou non de bénéficier d’un accompagnement de qualité afin qu’il acquière une autonomie quant à leur intégration sociale, mais aussi leur réinsertion professionnelle.
Pour le territoire, il s’agira d’offrir aux habitants quel que soit leur statut social, une offre de services leur permettant d’accéder au statut de citoyen intégré, informé et soutenu et de mieux vivre leurs différents statuts sociaux (parent d’élève, salarié, consommateur, usagers des transports publics…).
- Résultat pour le centre social
La mise en pace de cette action permet au centre social d'agir pour et vers le public cible. Plus généralement de lutter contre l'isolement de certains habitants, de favoriser les liens sociaux, et la mixité sociale.
- Résultat pour les habitants
Cette action a permis de favoriser la mobilité des apprenants en situation réelle et encourage l'accès à la vie culturelle lors de déplacements sur la ville. Les apprenants se sentent plus à l'aise, confiants, dans les relations aux autres et en milieux institutionnels. Ils affirment leurs choix et valeurs. Les participants via des temps d'informations divers ont accès et sont accompagnés dans certaines démarches (accès au droit insertion professionnelle...), leur permettant ainsi de s’organiser dans leur vie sociale.
- Suite de l'action : Limites
La barrière de la langue, le manque de mode de garde pour les mères, le manque d'investissement de certains apprenants dans la vie du centre social hors de la mise en oeuvre de cette action.
- Suite de l'action : Perspectives
Encourager et développer d'avantage la transversalité entre les ASL et les différentes actions et projets de la structure
Actions
Inclustion sociale des personnes disposant d'une domiciliation administrative au Centre Social
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL DU PONT BORDEAU - Loiret
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Logement
- Précarité
- vacances / loisirs
- Résumé
Depuis fin 2015, optimisation de l'accueil et du suivi des personnes domiciliées pour favoriser leur inclusion sociale.
Entretien pour mieux identifier la situation de la personne, de la famille. Accompagnement et orientation dans la recherche de logement, d'aides d'urgence, d'aides sociales, l'accès aux services de soins...
Temps de convivialité et d'écoute d'active.
Lien avec le dispositif "Cultures du Coeur" pour favoriser l'accès à des sorties, des spectacles, des événements sportifs.
Valorisation des compétences, des savoir-faire des personnes pour les impliquer dans des projets du Centre Social ou d'autres habitants.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Mieux prendre en compte à l'accueil du Centre Social les personnes domiciliées. Développement d'un accompagnement social global des personnes.
Impacts attendus :
- renforcement du lien entre les personnes et le Centre Social ;
- bien-être des personnes ;
- inclusion sociale des personnes.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
18142 € (montant total des moyens humains).
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Les chargés d'accueil. Environ 0,4 ETP.
- Résultat sur le territoire
Développement ou émergence de projets sur le Centre Social (ou le quartier) à l'initiative des personnes domiciliées (ex : perspective de mise en place d'une sorte de repair café, implication sur un projet de jardin partagé...).
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
Inclusion sociale.
Développement de l'estime de soi.
Valorisation des compétences (savoir-faire, savoir-être).
- Suite de l'action : Limites
Difficulté de créer du lien avec des personnes en grande précarité sur une longue durée.
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
MSAP
- Structure organisatrice
- ESPACE CONDORCET CENTRE SOCIAL - Eure
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Emploi, économie
- Intégration
- Résumé
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pour faire face à la dématérialisation des procédures d’inscription ou de suivi des dossiers il a fallu nous adapter pour permettre à nos citoyens d’avoir accès à des outils numériques et internet. De plus pour assurer la qualité des services offerts nous avons formé quatre agents pour l’accueil, l’information, l’orientation et l’accompagnement des publics. Etant donné qu’il est devenu plus qu’essentiel d’assurer l’accessibilité et la proximité pour les publics dits “ fragiles ” nous avons mutualisé avec plusieurs opérateurs afin d’élargir l’offre de service.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
En 2014 nous avons effectué un diagnostic dans le cadre de notre renouvellement d’agrément centre social. Celui-ci nous a permis de définir trois axes stratégiques de développement dont l’un est la fonction d’accueil.
Développer notre service d’accueil à l’ensemble des habitants de notre territoire nous a semblé primordial au regard de l’évolution de l’organisation des services publics.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
L’Etat, via le FNADT et le fonds inter-opérateurs
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
4 professionnels et 15 partenaires opérateurs
- Résultat sur le territoire
Le partenariat avec les acteurs et opérateurs du territoire est formalisé. Le temps d’attente et de traitement des dossiers est amélioré. Des droits sont ouverts pour la population fragilisée (RSA, mutuelles, retraite complémentaire…). Les services offerts à la population sont de qualité et accessible par tous.
- Résultat pour le centre social
Les missions et les rôles de chaque partenaire et opérateurs sont connus par nos agents, le centre social est valorisé par l'action.
- Résultat pour les habitants
Services de proximité accessible à tous
- Suite de l'action : Limites
L'action pourra se pérenniser qu'avec une aide financiere de l'Etat.
- Suite de l'action : Perspectives
Développer les services avec les différents opérateurs pour que chaque citoyen puisse avoir accès à l'ouverture de leur droit