Les actions des centres sociaux
Actions
Numérisation des Ateliers Sociolinguistiques
- Structure organisatrice
- ESPACE LOUISE-MICHEL - Seine-et-Marne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
En conformité avec les récentes évolutions dans les dispositifs d’accueil des étrangers Primo-arrivants en situation régulière et en parcours d'intégration et des publics adultes migrants en France, il nous a paru nécessaire de concevoir à la mise en place d’une organisation plus adaptée des Atelier Sociolinguistiques de nos Centres Sociaux par la dispense d’un apprentissage plus conforme.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pour permettre aux publics des Ateliers Sociolinguistiques des Centres Sociaux Municipaux de se
- Familiariser avec l’outil informatique pour un accès au numérique en autonomie,
-
Favoriser l’accompagnement à la navigation sur Internet, à la réalisation des démarches en ligne et à l’utilisation de bornes automatiques,
Cette action d’envergure majeure s’inscrit dans le pilier n°4 du Contrat de Ville de Meaux - Valeurs de la République et citoyenneté - en référence à l’une des grandes orientations "Favoriser l’intégration sociale des populations immigrées".
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
La subvention allouée, par les services de l'Etat, pour l’achat de tablettes pour chaque Centre Social des Quartiers Politique Ville, nous a permis la mise en place d’un atelier consacré à l’accès au numérique pour favoriser l’accompagnement à la navigation sur Internet, à la réalisation des démarches en ligne et à l’utilisation de bornes automatiques.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le Budget de l'Action est de : 148316 € dont 30000€ consacrés à la Numérisation des Ateliers Sociolinguistiques des 3 Centres Sociaux Municipaux.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Un groupe de 10 personnes a été mobilisé pour cette action.
- Résultat sur le territoire
Sur le plan pédagogique :
- Permettre l’acquisition de la lecture et de l’écriture basique de la langue française pour faciliter l’autonomie dans la vie quotidienne sur le plan social en favorisant l’insertion sociale et professionnelle des habitants maîtrisant peu la langue française.
- Mettre en place divers ateliers sociolinguistiques numérisésen fonction des difficultés rencontrées par les habitants pour maîtriser convenablement la langue orale et écrite avec un accés à des sites de services publics.
- Apprendre la langue et les codes langagiers et favoriser la connaissance des codes de la société française afin de tendre vers une meilleure insertion dans la société française qui passe notamment par la connaissance des espaces socioéducatifs, culturels et administratifs,
- Résultat pour le centre social
Sur le plan Social :
- Favoriser l’insertion sociale et professionnelle des habitants des quartiers maîtrisant peu ou pas la langue française par l'inclusion numérique,
- Encadrer des sorties pédagogiques ayant pour objectifs de tisser des liens avec l’ensemble des participants et les intervenants des ateliers sociolinguistiques et de confirmer le caractère de pédagogie active des cours dispensés au cours de l’année,
- Permettre aux apprenants de se mouvoir dans la société en toute autonomie avec un accompagnement d'utilisation de l'outil numérique (Tablettes),
- Résultat pour les habitants
Sur le plan Social :
- Favoriser l’insertion sociale et professionnelle des habitants des quartiers maîtrisant peu ou pas la langue française par l'inclusion numérique,
- Encadrer des sorties pédagogiques ayant pour objectifs de tisser des liens avec l’ensemble des participants et les intervenants des ateliers sociolinguistiques et de confirmer le caractère de pédagogie active des cours dispensés au cours de l’année,
- Permettre aux apprenants de se mouvoir dans la société en toute autonomie avec un accompagnement d'utilisation de l'outil numérique (Tablettes),
- Suite de l'action : Limites
L'action s'adresse à des publics ciblés : Les dispositifs d’accueil des étrangers Primo-arrivants en situation régulière et en parcours d'intégration et des publics adultes migrants en France.
- Suite de l'action : Perspectives
Dans la continuité de ce dispositif de Numérisation, l’évolution de cette action est de permettre aux apprenants de ces Ateliers Sociolinguistiques de bénéficier d’un programme de préparation aux examens du Diplôme d'études en langue française (DELF) et du Diplôme Approfondi de Langue Française (DALF).
La préparation de ces examens reposent sur des savoirs, des savoir-faire, des savoir être et des savoir apprendre, présents dans la compétence à communiquer langagièrement sur les plans linguistique, sociolinguistique et pragmatique.
La réussite à ces examens est la reconnaissance de la maitrise de la langue française en vue d’un accès à l'autonomie, par la découverte et l’appropriation de l'environnement social et des règles de vie en France. Enfin d’autres actions complètent ce riche programme, à savoir : Le Maintien de la dynamique de groupe de l’élaboration du Journal « Carnet des ASL » dont l’objectif vise à l’échange de connaissances des uns et des autres, à l’expression et l’acquisition de la confiance en soi,
Le Développement du partenariat avec le Musée de la Grande Guerre en appui sur la Convention qui définit le cadre pour développer des projets culturels et pédagogiques permettant aux publics concernés par les actions de la Direction de l’Action Sociale dont ceux des Centres Sociaux, de découvrir le Musée et sa programmation culturelle.
Ce partenariat vise, également, à sensibiliser les publics concernés à la thématique du premier conflit mondial par la découverte des collections du Musée de la Grande Guerre et grâce à des actions de médiation culturelle sous forme d’animations pédagogiques, culturelles et artistiques,
Le Développement du partenariat avec l’Association « WIMOOV » pour une meilleure connaissance et maitrise de la Mobilité - Déplacements dans les transports en commun dans la Ville de Meaux et en Ile de France, par les apprenants des Ateliers Sociolinguistiques et les usagers du Centre Social,
Actions
Nos différences : c'est notre point commun ?
- Structure organisatrice
- Centre Socioculturel La Partageraie - Savoie
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
L'action s'est déroulée en 2014 avec :
- deux voyages d'études en Roumanie et en France
- un mois sur "les différences" du 4 novembre au 4 décembre 2014
La préparation a démarré en 2012.
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- discriminations
- Europe et International
- Résumé
Nos différences : c'est notre point commun ?, c'est :
- 1854 passages de jeunes et moins jeunes,
- 4 spectacles, 6 conférences, 3 ateliers, 7 films organisés en Cœur de Savoie
- Une Journée « Différences » à St Pierre d’Albigny : 244 passages dans la journée + 200 repas le soir, cuisinés et servis par les participants et les bénévoles des ateliers « langages » et les membres des commissions de l’ACA de la Combe de Savoie + 8 stands d’information, 3 expositions, 1 atelier d’écriture, 2 grands jeux, 1 table ronde, 2 ateliers animés.
- Création d’une bande dessinée, de 2 poèmes, de 5 films et 2 chansons dont une avec un clip, par des jeunes âgés de 12 à 17 ans et accompagnés par les équipes d’animation « jeunesse » de la CCC de Savoie et de l’ACA de la Combe de Savoie.
- Création d’un film par les jeunes du Centre Scolaire et Educatif « La Plantaz ».
Mais aussi :
- Entre février et mars 2013 : 250 jeunes du Collège « Les Frontailles » à St Pierre d’Albigny, 125 jeunes du Collège « Val Gelon » à La Rochette, 140 jeunes de l’école N°1 de Pitesti (Roumanie) consultés sur leur représentation de « La différence ».
- 2 voyages d’études en Argès (Roumanie) du 19 au 23 mai 2014 et en Savoie (France) du 17 au 22 novembre 2014, organisés par la CCCdeS et l’ACACS avec l’appui de Pays de Savoie Solidaire ; la participation de la Sauvegarde de l’Enfance et de l’Adolescence de Savoie, du Centre Scolaire et Educatif de « La Plantaz », du Service Enfance/Jeunesse/Famille du Conseil Départemental, de l’Association Nationale de Prévention en Alcoologie et Addictologie de Savoie et l’éclairage de Daniel Marcelli (Professeur de Psychiatrie de l’Enfant et de l’Adolescent), d’Abdessalem Yahaoui (Enseignant Chercheur à l’Université de Savoie en Psychologie Clinique Interculturelle) et Maria Constantinescu (Directrice du Département Assistance Sociale de l’Université de Pitesti)
- A Pitesti, des jeunes de l’Ecole N°1 et de l’association Argès Solidaire ont réalisé :1 pièce de théâtre, 1 exposition de photos et de dessins, 2 films d’animation et 4 courts-métrages
- Des ateliers « théâtre d’impro » pour 25 jeunes et 1 spectacle pour les classes de 5ème et une séance en famille au Collège « Val Gelon » accompagné par l’équipe d’animation de la CC de Cœur de Savoie.
Un film réalisé par les étudiants de licence pro "Métiers de l'audiovisuel" du Bourget du Lac permet de présenter rapidement les actions de sensibilisation du mois de novembre 2014.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Autre
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
En 2012, le diagnostic des professionnels jeunesse du territoire (animation, prévention, éducation) a mis en évidence, des constats quotidiens nous alertant sur des attitudes, des réactions, des faits autour de la perception de la différence au sens large, tout d'abord de la part du public jeunes.
Nous avons ensuite engagé un travail de consultation auprès des jeunes du Collège de St Pierre d'Albigny et de l'école N°1 de Pitesti, pour vérifier l'intérêt des jeunes sur ce sujet et surtout leur envie d'en parler.
Le centre social a souhaité que les actions de sensibilisation s'adresse aux jeunes mais aussi à toutes les générations et que certaines actions soient organisées par des habitants de tous âges, simplement il devait en avoir envie.
Résultat/changement :
Un impact très positif sur la perception du centre social par la nouvelle intercommunalité et des communes qui ne bénéficiait pas de notre intervention.
Des structures partenaires ont conservé "la différence" comme thématique de travail et poursuivre des projets avec les jeunes qu'ils accompagnent (ex : Sauvegarde de l'enfance, avec un groupe de jeunes en séjour en Roumanie, MECS locale : la différence, le thème de l'année).
Des habitants de toutes générations ont participé à toutes les manifestations, l'effet "boule de neige" a marché.
Les temps de formation de professionnels ont été perçu comme très pertinente pour le quotidien des acteurs.
Les films sur la différence réalisé par des groupes de jeunes ont permis de vrai échanges sur les thèmes abordés.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Autre
- Description générale
L'action s'est déroulée en mai 2014 (1er voyage d'étude en Roumanie, délégation française), du 4 novembre au 4 décembre en France, en Coeur de Savoie, avec le second voyage d'étude (délégation roumaine).
un groupe de travail sur 3 ans, avec une méthode partenariale, qui donne la place à tous mais qui doit aussi permettre la prise de décision. l'appui de Pays de Savoie Solidaires pour l'organisation des voyages d'études.
le groupe de travai associait les partenaires de Pitesti, utilisation de Skype.
une volonté de croiser les spécialités (psychologue, pédopsychiatre, ethnologue...), les arts (théâtre, cinéma...), de rassembler toutes les bonnes volontés bénévoles et professionnels
avec un site internet : http://www.nosdifferences.aca-combedesavoie.fr/ qui a permis de communiquer de manière dynamique sur la programmation
avec la participation active de Daniel Marcelli et Abdessalem Yahyoui qui nous ont accompagné dans les 2 voyages d'études en Roumanie à Pitesti et en France à St Pierre d'Albigny, apportant leurs éclairages, leurs connaissances et leur bienveillance.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
85 625.00€ dont 37K€ Fonds territoires CAF
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
30 professionnels, 50 bénévoles des deux pays
- Résultat sur le territoire
voir changement attendu plus haut
+ une vrai dynamique partenariale entre
les différents professionnels ce qui apporte ensuite au quotidient une façon de travailler ensemble très différente
les bénévoles et les professionnels avec un vécu comment, sur un moment comme la journée du samedi 22/11, il n'existe plus de différence professionnel et bénévoles, seuls les points communs subsistent :)
la capacité du territoire à organiser des actions que l'on croyait réserver aux grandes agglomérations et à travailler avec des intervenants reconnus nationalement
l'ouverture à un autre pays européens : la communauté de communes a retenu dans ses statuts, qu'elle pouvait participer à des initiatives de coopération internationale
- Résultat pour le centre social
une dynamique d'équipe renforcée avec une implication des bénévoles, des salariés, qui a dépassé le droit du travail :), mais tellement renforcé le projet
la dynamique intergénérationnelle : son impact a été ressenti par touts, la rencontre des générations, c'est essentiel et paraît souvent comme du blabla, quel dommange !
une montée en savoir faire de tous, une telle expérience renforce les compétences de tous, de manière ultra-rapide
la question de l'engagement : un sujet qui est apparu dans l'année, avec le rencontre entre des personnes qui s'engage dans plusieurs pays
- Résultat pour les habitants
une reconnaissance de leur territoire, avec la possiblité de découvrir des spectacles, des intervenants que beaucoup croient réservé à "la ville" et oui mon bon monsieur !!! :)
des discussions nombreuses dans nos communes sur les sujets abordés, des ventes de livres à la librairie du coin, du bouche à oreille, des sourires, de l'envie de recommencer !!!
- Suite de l'action : Limites
il est difficile de porter régulièrement une action comme celle-ci dans un centre social comme le nôtre, avec les autres actions au quotidient à mener en parallèle
notre convention collective n'est pas celle du Syndeac
les moyens financiers à trouver
- Suite de l'action : Perspectives
Chacun des partenaires a pu utiliser dans ses actions propres le thème de "la différence" soit en même temps soit dans la foulée.
Nous avons appronfondi un des sujets en 2015 dans le cadre de nos "Mardis de la Parentalité"
La coopération internationale est devenu une envie pour toute l'équipe, il faut trouver le bon prolongement dans notre futur projet 2017/2020.
Actions
MSAP - Accompagnement accès au droit
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIO-CULTUREL RIVES DE LOIRE - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Mise en place d'une Maison de Service Au Public au sein du centre socioculturel afin de développer l'accès au droit des habitants avec le développement de permanences de partenaires (CAF, CPAM, Mission Locale, CAP Emploi, conciliateur de justice, Stemo, MDS: assistante sociale et puériculturice, et autres partenaires); accompagnement des habitants dans les démarches administratives dématérialisées (cartes grises, permis de conduire etc...) mise en place d'initiation au numérique pour lutter contre la fracture numérique.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Maintenir la présence de partenaires sur le territoire, favoriser l'arrivée de nouveaux partenaires permettant de proposer une offre globale d'accès au droit pour les habitants du territoire
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Prise de contact avec tous les partenaires possibles pour déterminer avec eux les formes de partenariats et d'interventions possibles.
Etude avec la Préfecture de l'éligibilité du territoire à la création d'une MSAP.
Présentation au conseil municipa du projet
Demande de reconnaissance de MSAP effectuée auprès de la Préfecture.
Formation des salariées du centre par les partenaires
- Ressources financières mobilisées pour cette action
43700 euros
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 salariées du centre ont été formées par les parenaires pour donner un premier niveau de réponses aux habitants
- Résultat sur le territoire
Maintient et développement de nouvelles permanences de partenaires sur le territoire dans les locaux du centre. Cela permet une offre globale de services pour les habitants
- Résultat pour le centre social
Augmentation forte de la fréquentation du centre. Accueil d'un nouveau public qui ne serait pas forcément venu au centre autrement.
- Résultat pour les habitants
Un ensemble de services accessibles aux habitants regroupés dans un lieu unique.
- Suite de l'action : Limites
le nombre de services proposés, les compétences à acquérir par les salariés dans des domaines très divers (de la carte grise au dossier d'inscription en Ehpad); des inconnus sur la pérennité et le montant des financements de l'Etat;
- Suite de l'action : Perspectives
Proposer des permanences sur rdv de la MSAP dans les différentes communes du territoire pour accompagner les habitants
Actions
MSAP
- Structure organisatrice
- ESPACE CONDORCET CENTRE SOCIAL - Eure
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Emploi, économie
- Intégration
- Résumé
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pour faire face à la dématérialisation des procédures d’inscription ou de suivi des dossiers il a fallu nous adapter pour permettre à nos citoyens d’avoir accès à des outils numériques et internet. De plus pour assurer la qualité des services offerts nous avons formé quatre agents pour l’accueil, l’information, l’orientation et l’accompagnement des publics. Etant donné qu’il est devenu plus qu’essentiel d’assurer l’accessibilité et la proximité pour les publics dits “ fragiles ” nous avons mutualisé avec plusieurs opérateurs afin d’élargir l’offre de service.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
En 2014 nous avons effectué un diagnostic dans le cadre de notre renouvellement d’agrément centre social. Celui-ci nous a permis de définir trois axes stratégiques de développement dont l’un est la fonction d’accueil.
Développer notre service d’accueil à l’ensemble des habitants de notre territoire nous a semblé primordial au regard de l’évolution de l’organisation des services publics.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
L’Etat, via le FNADT et le fonds inter-opérateurs
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
4 professionnels et 15 partenaires opérateurs
- Résultat sur le territoire
Le partenariat avec les acteurs et opérateurs du territoire est formalisé. Le temps d’attente et de traitement des dossiers est amélioré. Des droits sont ouverts pour la population fragilisée (RSA, mutuelles, retraite complémentaire…). Les services offerts à la population sont de qualité et accessible par tous.
- Résultat pour le centre social
Les missions et les rôles de chaque partenaire et opérateurs sont connus par nos agents, le centre social est valorisé par l'action.
- Résultat pour les habitants
Services de proximité accessible à tous
- Suite de l'action : Limites
L'action pourra se pérenniser qu'avec une aide financiere de l'Etat.
- Suite de l'action : Perspectives
Développer les services avec les différents opérateurs pour que chaque citoyen puisse avoir accès à l'ouverture de leur droit
Actions
Mobicité 86
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIO CULTUREL DE LA BLAISERIE - Vienne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- mobilité / transport
- Résumé
Favoriser l’insertion sociale et professionnelle des jeunes et des adultes par la mise à disposition sous forme locative de scooters, mobylettes ou vélos électriques pour toute personne qui rencontre un problème de mobilité dans le cadre d’une insertion socioprofessionnelle.
* Favoriser la mobilité pour éviter la perte d’emploi
* Apprendre à entretenir un deux-roues et savoir en diagnostiquer les dysfonctionnements.
* Sensibiliser les jeunes et les adultes à la sécurité routière en favorisant une prise de conscience :
- Des risques venant de soi et des autres
- De l’importance et du rôle de la réglementation routière
- De la nécessité d’un entretien régulier de son véhiculeFavoriser l’insertion sociale et professionnelle des jeunes et des adultes par la mise à disposition sous forme locative de scooters, mobylettes ou vélos électriques pour toute personne qui rencontre un problème de mobilité dans le cadre d’une insertion socioprofessionnelle.
* Favoriser la mobilité pour éviter la perte d’emploi
* Apprendre à entretenir un deux-roues et savoir en diagnostiquer les dysfonctionnements.
* Sensibiliser les jeunes et les adultes à la sécurité routière en favorisant une prise de conscience :
- Des risques venant de soi et des autres
- De l’importance et du rôle de la réglementation routière
- De la nécessité d’un entretien régulier de son véhiculeFavoriser l’insertion sociale et professionnelle des jeunes et des adultes par la mise à disposition sous forme locative de scooters, mobylettes ou vélos électriques pour toute personne qui rencontre un problème de mobilité dans le cadre d’une insertion socioprofessionnelle.
* Favoriser la mobilité pour éviter la perte d’emploi
* Apprendre à entretenir un deux-roues et savoir en diagnostiquer les dysfonctionnements.
* Sensibiliser les jeunes et les adultes à la sécurité routière en favorisant une prise de conscience :
- Des risques venant de soi et des autres
- De l’importance et du rôle de la réglementation routière
- De la nécessité d’un entretien régulier de son véhiculeFavoriser l’insertion sociale et professionnelle des jeunes et des adultes par la mise à disposition sous forme locative de scooters, mobylettes ou vélos électriques pour toute personne qui rencontre un problème de mobilité dans le cadre d’une insertion socioprofessionnelle.
* Favoriser la mobilité pour éviter la perte d’emploi
* Apprendre à entretenir un deux-roues et savoir en diagnostiquer les dysfonctionnements.
* Sensibiliser les jeunes et les adultes à la sécurité routière en favorisant une prise de conscience :
- Des risques venant de soi et des autres
- De l’importance et du rôle de la réglementation routière
- De la nécessité d’un entretien régulier de son véhiculeFavoriser l’insertion sociale et professionnelle des jeunes et des adultes par la mise à disposition sous forme locative de scooters, mobylettes ou vélos électriques pour toute personne qui rencontre un problème de mobilité dans le cadre d’une insertion socioprofessionnelle.
* Favoriser la mobilité pour éviter la perte d’emploi
* Apprendre à entretenir un deux-roues et savoir en diagnostiquer les dysfonctionnements.
* Sensibiliser les jeunes et les adultes à la sécurité routière en favorisant une prise de conscience :
- Des risques venant de soi et des autres
- De l’importance et du rôle de la réglementation routière
- De la nécessité d’un entretien régulier de son véhiculeFavoriser l’insertion sociale et professionnelle des jeunes et des adultes par la mise à disposition sous forme locative de scooters, mobylettes ou vélos électriques pour toute personne qui rencontre un problème de mobilité dans le cadre d’une insertion socioprofessionnelle.
* Favoriser la mobilité pour éviter la perte d’emploi
* Apprendre à entretenir un deux-roues et savoir en diagnostiquer les dysfonctionnements.
* Sensibiliser les jeunes et les adultes à la sécurité routière en favorisant une prise de conscience :
- Des risques venant de soi et des autres
- De l’importance et du rôle de la réglementation routière
- De la nécessité d’un entretien régulier de son véhiculeFavoriser l’insertion sociale et professionnelle des jeunes et des adultes par la mise à disposition sous forme locative de scooters, mobylettes ou vélos électriques pour toute personne qui rencontre un problème de mobilité dans le cadre d’une insertion socioprofessionnelle.
* Favoriser la mobilité pour éviter la perte d’emploi
* Apprendre à entretenir un deux-roues et savoir en diagnostiquer les dysfonctionnements.
* Sensibiliser les jeunes et les adultes à la sécurité routière en favorisant une prise de conscience :
- Des risques venant de soi et des autres
- De l’importance et du rôle de la réglementation routière
- De la nécessité d’un entretien régulier de son véhiculeFavoriser l’insertion sociale et professionnelle des jeunes et des adultes par la mise à disposition sous forme locative de scooters, mobylettes ou vélos électriques pour toute personne qui rencontre un problème de mobilité dans le cadre d’une insertion socioprofessionnelle.
* Favoriser la mobilité pour éviter la perte d’emploi
* Apprendre à entretenir un deux-roues et savoir en diagnostiquer les dysfonctionnements.
* Sensibiliser les jeunes et les adultes à la sécurité routière en favorisant une prise de conscience :
- Des risques venant de soi et des autres
- De l’importance et du rôle de la réglementation routière
- De la nécessité d’un entretien régulier de son véhiculeFavoriser l’insertion sociale et professionnelle des jeunes et des adultes par la mise à disposition sous forme locative de scooters, mobylettes ou vélos électriques pour toute personne qui rencontre un problème de mobilité dans le cadre d’une insertion socioprofessionnelle.
* Favoriser la mobilité pour éviter la perte d’emploi
* Apprendre à entretenir un deux-roues et savoir en diagnostiquer les dysfonctionnements.
* Sensibiliser les jeunes et les adultes à la sécurité routière en favorisant une prise de conscience :
- Des risques venant de soi et des autres
- De l’importance et du rôle de la réglementation routière
- De la nécessité d’un entretien régulier de son véhiculeFavoriser l’insertion sociale et professionnelle des jeunes et des adultes par la mise à disposition sous forme locative de scooters, mobylettes ou vélos électriques pour toute personne qui rencontre un problème de mobilité dans le cadre d’une insertion socioprofessionnelle.
* Favoriser la mobilité pour éviter la perte d’emploi
* Apprendre à entretenir un deux-roues et savoir en diagnostiquer les dysfonctionnements.
* Sensibiliser les jeunes et les adultes à la sécurité routière en favorisant une prise de conscience :
- Des risques venant de soi et des autres
- De l’importance et du rôle de la réglementation routière
- De la nécessité d’un entretien régulier de son véhiculeFavoriser l’insertion sociale et professionnelle des jeunes et des adultes par la mise à disposition sous forme locative de scooters, mobylettes ou vélos électriques pour toute personne qui rencontre un problème de mobilité dans le cadre d’une insertion socioprofessionnelle.
* Favoriser la mobilité pour éviter la perte d’emploi
* Apprendre à entretenir un deux-roues et savoir en diagnostiquer les dysfonctionnements.
* Sensibiliser les jeunes et les adultes à la sécurité routière en favorisant une prise de conscience :
- Des risques venant de soi et des autres
- De l’importance et du rôle de la réglementation routière
- De la nécessité d’un entretien régulier de son véhiculeFavoriser l’insertion sociale et professionnelle des jeunes et des adultes par la mise à disposition sous forme locative de scooters, mobylettes ou vélos électriques pour toute personne qui rencontre un problème de mobilité dans le cadre d’une insertion socioprofessionnelle.
* Favoriser la mobilité pour éviter la perte d’emploi
* Apprendre à entretenir un deux-roues et savoir en diagnostiquer les dysfonctionnements.
* Sensibiliser les jeunes et les adultes à la sécurité routière en favorisant une prise de conscience :
- Des risques venant de soi et des autres
- De l’importance et du rôle de la réglementation routière
- De la nécessité d’un entretien régulier de son véhiculeFavoriser l’insertion sociale et professionnelle des jeunes et des adultes par la mise à disposition sous forme locative de scooters, mobylettes ou vélos électriques pour toute personne qui rencontre un problème de mobilité dans le cadre d’une insertion socioprofessionnelle.
* Favoriser la mobilité pour éviter la perte d’emploi
* Apprendre à entretenir un deux-roues et savoir en diagnostiquer les dysfonctionnements.
* Sensibiliser les jeunes et les adultes à la sécurité routière en favorisant une prise de conscience :
- Des risques venant de soi et des autres
- De l’importance et du rôle de la réglementation routière
- De la nécessité d’un entretien régulier de son véhiculeFavoriser l’insertion sociale et professionnelle des jeunes et des adultes par la mise à disposition sous forme locative de scooters, mobylettes ou vélos électriques pour toute personne qui rencontre un problème de mobilité dans le cadre d’une insertion socioprofessionnelle.
* Favoriser la mobilité pour éviter la perte d’emploi
* Apprendre à entretenir un deux-roues et savoir en diagnostiquer les dysfonctionnements.
* Sensibiliser les jeunes et les adultes à la sécurité routière en favorisant une prise de conscience :
- Des risques venant de soi et des autres
- De l’importance et du rôle de la réglementation routière
- De la nécessité d’un entretien régulier de son véhiculeFavoriser l’insertion sociale et professionnelle des jeunes et des adultes par la mise à disposition sous forme locative de scooters, mobylettes ou vélos électriques pour toute personne qui rencontre un problème de mobilité dans le cadre d’une insertion socioprofessionnelle.
* Favoriser la mobilité pour éviter la perte d’emploi
* Apprendre à entretenir un deux-roues et savoir en diagnostiquer les dysfonctionnements.
* Sensibiliser les jeunes et les adultes à la sécurité routière en favorisant une prise de conscience :
- Des risques venant de soi et des autres
- De l’importance et du rôle de la réglementation routière
- De la nécessité d’un entretien régulier de son véhiculeFavoriser l’insertion sociale et professionnelle des jeunes et des adultes par la mise à disposition sous forme locative de scooters, mobylettes ou vélos électriques pour toute personne qui rencontre un problème de mobilité dans le cadre d’une insertion socioprofessionnelle.
* Favoriser la mobilité pour éviter la perte d’emploi
* Apprendre à entretenir un deux-roues et savoir en diagnostiquer les dysfonctionnements.
* Sensibiliser les jeunes et les adultes à la sécurité routière en favorisant une prise de conscience :
- Des risques venant de soi et des autres
- De l’importance et du rôle de la réglementation routière
- De la nécessité d’un entretien régulier de son véhicule
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Mobilité insertion.
Les demandeurs d’emploi du territoire ne bénéficient pas toujours d’un service public de transport qui corresponde à leurs horaires de travail ou bien à leur destination.
Lorsqu’ils ne disposent pas d’un moyen de déplacement personnel, le frein à l’insertion professionnelle et à l’entrée en formation est très important.
- Public
- Jeunes adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Mobilité insertion.
Les demandeurs d’emploi du territoire ne bénéficient pas toujours d’un service public de transport qui corresponde à leurs horaires de travail ou bien à leur destination.
Lorsqu’ils ne disposent pas d’un moyen de déplacement personnel, le frein à l’insertion professionnelle et à l’entrée en formation est très important.
Toute personne souhaitant louer un scooter doit passer, dans la mesure du possible, par un référent, qui remplit alors une fiche de prescription. Le contrat de location est rempli à Mobicité 86. Le locataire s’acquitte de 50% du montant de la location en espèces et d’une caution de 260€. Il doit revenir chaque mois pour la révision du véhicule et s’acquitter de ses factures.
Les locataires ont dorénavant la possibilité de souscrire un contrat de location-vente pour faire l’acquisition d’un scooter.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
le budget de l'action est de 148668€ Ressources propres sur la location et services rendus est de 52000€ Etat 14500€ Département 36500€ Europe 8000€ Intercommunalité 21400€ Autres produits 9568€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 personnes une secrétaire et 2 mécaniciens
- Résultat sur le territoire
Personnes ayant besoin d’être mobiles pour accéder à un emploi et/ou le conserver
Salariés en parcours d’insertion
Jeunes inscrits dans un parcours d’insertion (formation, stage, contrat d’apprentissage…) et suivis par des référents Mission Locale, Pôle Emploi, CCAS, Equipe de prévention, équipements de quartiers.
Jeunes et adultes, bénéficiaires du RSA, issus en priorité des quartiers Politique de la Ville.
- Résultat pour le centre social
le centre social inscrit cette action dans une démarche globale autour de la mobilité pouisqu'elle gère également une auto-école associative(permis B ; permis AM). Ce projet impact le centre dans la mesure ou les bénéficiaires sont dirigés par des référents sociaux sur du quartier. Ces actions permettent une continuité dans le suivi d'un parcours d'insertion sociale et professionnel des habitants du quartier mais également des habitants des territoires en politique de la ville
- Résultat pour les habitants
L'impcct est de permettre aux habitants d'être autonome dans leur déplacement, et gagner en autonomie c'est gagner en liberté dans ses mouvements
- Suite de l'action : Limites
Cela fait + de 20 ans que cela dur et nous avons de cesse d'améliorer le disposif et de le développer car il répond a un réel besoin et il est prouvé que l'immobilité coûte + cher que la mobilité
- Suite de l'action : Perspectives
Développer l'auto école, travailler sur une plateforme mobilité animé par un conseiller en mobilité pour offrir un panel varié et surtout efficace aux besoins exprimés en mobilité
Actions
MAISON DE SERVICES AU PUBLIC : offrir un accueil de proximité et de qualité à l'attention de tous les publics
- Structure organisatrice
- Centre socioculturel d'Etain et sa Région - Meuse
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Démocratie & citoyenneté
- Emploi, économie
- Résumé
Depuis de nombreuses années, le Centre socioculturel accueille et oriente le public dans des démarches administratives. Suite à la dématérialisation et à l'arrêt des permanences de certains partenaires sur notre territoire, les habitants se sont sentis en difficulté. Afin d'étoffer nos services, nous avons obtenu la labellisation MSAP (maison de services au public) en novembre 2018. Notre animatrice a ainsi été formée auprès des partenaires pour aider les usagers dans leurs démarches et les accompagner face à la numérisation des services.
A terme, d'autres parternariats seront développés pour aider au mieux la population et le Centre s'est doté d'une caravane afin de multiplier ses interventions et d'aller à la rencontre des populations rurales peu mobiles.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La maison de services au public ouverte au Centre socioculturel répond à un besoin grandissant d'accompagnement des usagers, face à la fermeture des services et la numérisation des relations.
Elle a principalement pour mission :
- L'accueil, l'information et l'orientation du public
- L'accompagnement des usagers à l'utilisation des services en ligne des opérateurs partenaires (facilitation numérique)
- L'accompagnement des usagers dans leurs démarches administratives
- La mise en relation des usagers avec les opérateurs partenaires
- L'identification des situations individuelles qui nécessitent un porter à connaissance des opérateurs partenaires
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Le besoin d'établir une MSAP sur notre territoire ayant été soulevé, nous avons réfléchi à un projet. Nous avons contacté les partenaires qui nous semblaient pertinents sur le territoire afin de nous renseigner sur le champs de compétence de la MSAP, dans le respect de l'existant. Nous avons assisté à une rencontre nationale des MSAP.
Enfin, nous avons déposé notre projet à la préfecture, qui a accordée la labellisation en novembre 2018.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
En 2018, les charges relatives à la MSAP représentaient 36400€.
Nous avons bénéficié des subventions suivantes :
- 8000€ du département, sur le volet insertion
- 4000€ de notre communauté de commune
- 4000€ de la commune de BOULIGNY, sur le volet insertion
- 2200€ de la CAF (fonctionnement global)
- 9100€ / 9100€ du FNADT et du fonds interopérateur MSAP (fonds non reçus en juin 2019)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Les chargées d'accueil, le Directeur et l'animatrice
- Résultat sur le territoire
169 personnes accompagnées, pour un total de 578 passages.
Une phase test de déploiement dans des villages cibles a été lancée en février 2019 pour développer un service MSAP itinérant.
Un succès qui a été médiatisé lors d'un passage de FRANCE 3 REGION : http://accueil.cscetain.org/videos
- Résultat pour le centre social
Une connaissance accrue de notre structure et la possibilité de faire entrer au Centre des personnes qui ne fréquentaient pas nos services auparavant.
- Résultat pour les habitants
Le maintien de l'accès à des services de proximité ainsi qu'un accompagnement dans les démarches numériques.
- Suite de l'action : Limites
La mission de la MSAP se limite à l'accompagnement et à l'accueil. Toute question spécifique reste de la compétence des services partenaires.
- Suite de l'action : Perspectives
Rendre le service encore plus proche des populations, grâce à une caravane circulant régulièrement sur tout le territoire.
Poursuivre les efforts de communication afin de faire connaître la MSAP.
Actions
MAISON DE SERVICES AU PUBLIC
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL DE FOURCHAMBAULT - Nièvre
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- Démocratie & citoyenneté
- Viellissement
- Emploi, économie
- Santé
- Logement
- Mixité sociale
- Résumé
La Maisoon de services au public permet de mettre en relation l'usager les partenaires suivants :
- Assistante sociale du Conseil départemental
- CAF
- RSI
- Services de l'Etat
- MSA
- CPAM
- Pole-emploi
Elle permet une mise à disposition et éventuellment un accompagnement dans l'utilisation d'équipements bureautiques
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Autre
- Précision ( si autre )
Les services de la préfecture
- Territoire concerné
- Autre
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pour offrir aux habitants des services de proximité et réduire les inégalités.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Autre
- Description générale
Action débutée en 2015 en lien étroit avec la Préfecture de la Nièvre dans la démarche de labellisation. Inauguration par le Préfet et le Président du Conseil Départemental.
Début de la mise en oeuvre de la MSAP 1er janvier 2016.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Financements FNADT et fonds inter-opérateurs
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 professionnels, 2 bénévoles : écrivain public et intervenante CLCV.
- Résultat sur le territoire
Accèder aux droits.
Répondre à la problèmatique de la mobilité.
Favoriser la proximité.
- Résultat pour le centre social
Un service utile et nécessaire qui répond aux besoins des habitants.
- Résultat pour les habitants
Services de proximité et accès aux droits.
- Suite de l'action : Limites
L'intervention financière de l'Etat doit perdurer pour que l'action demeure
- Suite de l'action : Perspectives
La Maison de Services au Public devrait perdurer au regard de l'augmentation des demandes
Actions
Lutte contre toute forme de radicalisation à travers la pratique artistique
- Structure organisatrice
- MJC Centre Social Petite-Hollande - Doubs
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Précision ( si autre )
En partenariat avec les Centres Sociaux et les Municipalités du Pays de Montbéliard
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Bilan projet Inter-quartier 2016/2017
Il est tout d'abord nécessaire de préciser que le projet a démarré réellement, compte tenu des réponses de subventions, en novembre 2016. Il se déroule jusqu'en juin 2017. Ce projet a la particularité d'avoir une dimension territoriale importante, car il concerne cinq villes et plus précisément cinq quartiers du Pays de Montbéliard. Nous avons Sochaux, Etupes, Audincourt, Valentigney et Montbéliard.
La première étape a permis d’aborder le diagnostic, le projet, ses finalités, ses objectifs, son déroulement avec les structures et les équipes éducatives de chaque ville. Il fallait pour entamer l’action, l’adhésion de tous. Non seulement des équipes qui agissent directement sur le terrain auprès d’un public adolescents et jeunes adultes, mais aussi de leur hiérarchie. Il fallait aussi tenir compte du contexte local de chacun, des moyens humains de chacun et des idées nouvelles qui apparaissaient lors de l’explication du projet.
Cette condition, qui est la compréhension et l’adhésion de tous à ce projet était une démarche fondamentale et indispensable avant de démarrer les ateliers et donc concrètement le projet avec le public 15/25 ans.Trois rencontres avec l’ensemble de ces partenaires, mais aussi les partenaires financiers, pour l’une d’entre elles ont été indispensables avant le démarrage des ateliers.
C’est ainsi, dans les meilleures conditions possibles car chacun s’est approprié le projet et a communiqué avec son public respectif, que nous avons démarré les ateliers artistiques avec les jeunes.
Le premier RV a donc eu lieu sur un week-end entier, et plus exactement sur 10 heures, le week end du 28 et 29 janvier 2017.
Ces deux journées ont été pour nous l’occasion de faire connaissance, d’expliquer, d’entendre les envies et les besoins des jeunes. Il a été ensuite l’occasion de renter dans le vif du sujet en sensibilisant tous les jeunes aux disciplines artistiques que sont, le théâtre, la vidéo, l’écriture et la musique.
Chacun des participants a suivi une initiation à ces pratiques lors d’ateliers de découvertes animés par des intervenants artistiques locaux.
21 jeunes de 15 à 25 ans été présents durant le week-end dont :
9 filles et 12 garçons.
Les 15/17 ans étaient au nombre de 11.
Les 18/25 ans au nombre de 10.
Nous constatons aussi que les profils et le parcours des jeunes n’est pas homogène et permet des échanges d’expériences dans la pratique artistique mais aussi dans les parcours de vies respectives, forts intéressants.
La difficulté fût de s’adresser à des jeunes d’horizons et dans des réalités sociales différentes (collégiens, lyciens, étudiants ou au chômage). Pour se faire, nous avons dû travailler ensemble sur la notion de projet afin en amenant tout un chacun a réfléchir sur le projet collectif et sur leur projet individuel (formation, professionnel ou artistique)
Ce stage de deux jours a permis un échange fructueux et a établi une confiance entre les jeunes, entre les jeunes et les encadrants qu’ils soient artistiques ou éducatifs. Ce moment d’écoute de la parole des jeunes et le fait de tenir à la fois compte de leur besoin individuel et de tenter de l’inscrire dans une démarche collective a permis d’établir une confiance dés le démarrage du projet et cela a permis le développement du projet dans des conditions sereines.
Il est a noté que pour le rassemblement du 10 mars 2017, nous demandions à chacun des jeunes de ramener dans le projet, une personne de leur entourage.
Suite à ce premier stage, les jeunes ont choisi une discipline artistique qu’ils pratiqueront jusqu’au terme du projet, c’est à dire la création d’un spectacle commun associant chacune des pratiques artistiques citées ci dessus.
Entre le 10 Mars et fin Juin 2017, les jeunes se sont retrouvés trois heures par semaines les vendredis soirs (soit un environ 40 heures). Mais aussi sur un stage intensif (3 fois 6 heures) durant les vacances de printemps et deux fois durant des week-end de juin.
Plusieurs constats :
-
Tous les jeunes présents lors du premier rassemblement sont présents encore aujourd’hui. Il n’y a donc aucune défection :
Il y a même durant le deuxième rassemblement du 10 mars 2017, douze nouveaux participants en plus. Ceci nous ramène donc à 33 jeunes de 15 à 25 ans qui participent de manière régulière à ce projet. Il est important de noter qu’autour de ces jeunes 11 autres jeunes se sont greffés à la démarche. Ils participent de manière moins régulière car ils ont des rôle différents mais complémentaires à la création du spectacle. En effet, certains travaillent sur la création musicale du spectacle, d’autres sur la création vidéo et d’autres encore sur l’aspect technique (sonorisation, lumière, etc…).
Ce projet a pris une dimension inter-quartiers ceci grâce à la participation intense de chacun des interlocuteurs de terrain, avec le jeunes. « Le bouche à oreille » a ensuite très bien fonctionné et nous connaissons tout au long de ce projet un enthousiasme important de la part des participants. Le suivi des animateurs de chacune des villes est un élément fondamental. Il permet de rappeler les horaires et lieux de répétition. Il permet aussi d’écouter et de faire remonter le sentiment et les besoins des jeunes. Ces derniers se sentent ainsi complètement partie prenante du projet, non seulement sur l’aspect artistique et la création d’un spectacle, mais aussi, sur tout ce qui tourne autour du projet. C’est à dire la participation à l’organisation des rassemblements, la participation à des manifestations qui se déroulent sur les quartiers (fêtes de quartier, spectacles, rassemblements) ou encore la communication avec les parents et les autres jeunes des quartiers. Cette dimension participative est un marqueur important de l’action.
A noter la présence d’une animatrice Sonia …. Qui de part son investissement et sa présence assure la mixité de l’équipe pédagogique ainsi qu’une meilleure intégration des publics féminins.
La réalité sociale des jeunes nous a poussé à choisir les vendredis soirs et les week –end pour nous rassembler. En effet, ce fût l’une des difficultés d’un tel projet car afin de réunir l’ensemble des publics (étudiants, salariés etc.), il nous a fallut nous adapter.
-
Il existe une motivation perceptible :
L’indicateur de cette motivation est d’abord, l’assiduité. On aurait pu craindre avec le nombre important de jeunes adultes qui ont parfois du mal à se projeter même à court terme, un manque de discipline par rapport à l’assiduité aux séances de répétition. Cela n’a pas été le cas. Comme nous l’indiquons ci dessus, l’assiduité aux répétitions et aux rassemblements ainsi que le travail qui avait à fournir entre les répétitions, a globalement été respecté. L’autre indicateur qui celui-ci est encore plus important est la participation à toutes les phases de la création du spectacle (improvisations, prise de parole critique, écriture, mise en scène, mise en musique etc.). L’équipe éducative et les intervenants artistiques ont défini une pédagogie où les jeunes sont au centre du projet de création. Nous les accompagnons, nous les guidons, nous les conseillons et nous les motivons. Mais à aucun moment nous faisons à leurs places. Ils sont les instigateurs, les inspirateurs mais aussi les créateurs et les acteurs d’une création collective. La motivation que l’on perçoit objectivement de manière nette et remarquable est du au fait que nous avons réussi à ce que ce projet devienne leur projet.
Il faut aussi souligner le fait que les jeunes se retrouvent aussi en dehors des ateliers. En effet, bien qu’issue de villes différentes, ils se retrouvent pour travailler ensemble ou partager un moment de vie. Ces rencontres ont permis à leurs amis et à leur entourage de se rencontrer. Beaucoup ont invités des proches à assister aux ateliers.
-
La création du spectacle se met en chemin :
La démarche a été la suivante.
Tout d’abord, le groupe a dû définir une direction artistique et d’un personnage central. Ils ont choisi une cabine téléphonique.
Ensuite, par petit groupe, ils ont créé des improvisations autour de cette cabine. Une sélection a permis de garder les meilleures propositions et de passer à la phase d’écriture. Enfin, il a fallut attribuer les rôles à chacun et aborder les personnages de façon plus précise.
A ce jour, le groupe a créer un spectacle composée de 5 pièces et aborde la question de la mise en scène. Nous allons désormais y intégrer de la musique, de la danse et une partie vidéo projetée.
Un groupe de pilotage s’est constitué afin d’assurer d’une part la promotion et la diffusion de leur spectacle intitulé : LA CABINE. (2 jeunes étudiantes en communication issues du groupe assurent ce travail) et d’autre part la communication en interne du groupe via un groupe facebook et instagram sur les réseaux sociaux.
-
L’accompagnement, par les professionnels, des projets individuels des jeunes. :
Il faut souligner l’implication de l’équipe pédagogique dans l’orientation et l’accompagnement des jeunes dans leur projet individuel. En effet, 3 participants (dont une fille) ont trouvé un emploi grâce au « réseautage » et à la motivation maintenu par la dynamique de groupe.
De plus, deux jeunes ont entrepris les démarches auprès de la mission locale afin d’intégrer une école de théâtre à la rentrée 2017, le théâtre « du fil » à Paris. Ils ont été accompagnés financièrement pour leur premier entretien qu’ils ont réussis avec succès.
Un jeune déscolarisé a décidé de reprendre ses études en septembre 2017.
-
La participation de parents :
Il nous faut souligner la participation des parents. En effet, certains jeunes venaient avec leurs parents qui les déposaient. Nous avions prévu un moment d’accueil autour d’un café de 18 h à 19 h chaque vendredi en début d’atelier. Ce moment a permis à des parents d’assister aux séances. Ils ont ensuite participés en apportant des gâteaux ou en prenant des photos qu’ils nous ont envoyées. Cette ouverture aux parents a été bénéfique pour le groupe car elle a permis de rassurer et d’apaiser un groupe dynamique et nombreux.
-
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
CF Bilan ci dessus
- Ressources financières mobilisées pour cette action
ompte rendu Financier Projet 15/25 Projet Inter quartier 2016/2017
Charges
Prévisionnel
Réalisé au 15/03/2017
Prévisions dépenses jusqu’au 30/06/2017
Produits
Prévisionnel
Obtenu
-Achat matériel
et fourniture :
(Achat de matériel
pour les ateliers)
- rémunération intermédiaire et honoraire
- Déplacements missions
- Rémunération du personnel
- Assurances
2 000
8 775
500
14 000
225
800
3 510
200
5 600
90
1200
5265
300
8400
135
- Ministère de la Jeunesse
Et des Sports
- Communes
- CAF du Doubs
- Part. MJC petite Hollande
10 000
14 000
2000
8 000
14 000
2 000
Totaux
26 000
10 400
15 600
Totaux
26 000
26 000
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
Cf Bilan ci dessus
- Résultat pour le centre social
Travail en réseau avec d'autres structures associatives et institutionnelles.
Affirmation de la notoriété de la MJC (tête de réseau).
- Résultat pour les habitants
- Mixité des jeunes issus de chaque quartier
- Suite de l'action : Limites
Contrainte financière
- Suite de l'action : Perspectives
- Nouvelle création artistique
- le 1er spectacle qui tourne dans l'ensemble de l'agglomération et ensuite dans le département
- Echange Européen
Actions
Local jeunes 16/25 ans : un lieu de sociabilité pour tous les jeunes adultes
- Structure organisatrice
- MAISON POUR TOUS MONPLAISIR - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Démocratie & citoyenneté
- Intégration
- Résumé
Le local jeunes est un espace implanté en dehors de toute institution pour accueillir les jeunes adultes de 16 à 25 ans dans un quartier populaire où un tiers de la population vit sous le seuil de pauvreté. Il est ouvert du mardi au samedi en périodes scolaires et du lundi au vendredi en périodes de vacances scolaires de 17h00 à 22h00. Le local jeunes est un espace aménagé pour bien accueillir les jeunes (bar, canapé, baby-foot, jeux de société) qui s'adapte au temps des jeunes (ouverture encore plus tardive en fonction des demandes).
L'équipe d'animation composée de trois professionnels met en place un service d’aide : documentation, mise en relation avec des institutions et des partenaires, aide à la recherche d’emploi, de stage, de formation, ou d’orientation.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Autre
- Précision ( si autre )
Suite à des demandes récurrentes de jeunes qui lui étaient formulées en vue de bénéficier d’un lieu dédié dans le quartier de Monplaisir, la Ville d’Angers s’est engagée à créer un espace pour les 16/25 ans dans ce quartier en 2008.
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le projet du Local jeunes s'inscrit dans un projet de développement local, complémentaire et cohérent avec l’offre existante :
- Favoriser la mixité entre jeunes (sociale et de genre)
- Promouvoir la participation des jeunes
- Capter des publics « NEET »/«hors-circuit » dans le but de les inscrire dans des parcours d’insertion sociale et professionnelle en lien avec les différents acteurs jeunesse
La commande de la Ville exprime, dans le cahier des charges, cet objectif d’accueil en lui attribuant trois modalités opérationnelles :
- « Être ouvert aux différentes jeunesses du quartier.
- Leur permettre de se rencontrer de façon informelle.
- Être adapté aux temps des jeunes. L’accueil doit être souple, sans inscription obligatoire, il doit être organisé en fonction des besoins et réalités locales. »
A ces trois modalités de mise en œuvre du local jeunes, s’ajoute la recherche de visibilité dans la mesure où il s’agit aussi de remettre les jeunes au cœur du quartier. Le Local jeunes a ainsi été implanté le long d'une artère de communication importante. Le lieu a vocation à accueillir tous les jeunes du quartier, sans exception, dans une optique d’« espace de sociabilité ».
- Public
- Jeunes adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Suite à des demandes récurrentes de jeunes qui lui étaient formulées en vue de bénéficier d’un lieu dédié dans le quartier de Monplaisir, la Ville d’Angers s’est engagée à créer un espace pour les 16/25 ans dans ce quartier en 2008.
A l’été 2009, un appel à projet dans le cadre d’un marché public à procédure adapté (MAPA) a été lancé par la Municipalité en vue d’en confier la gestion et l’animation à un opérateur. La Maison pour tous de Monplaisir (MPTM) a répondu à l'appel à projet et s’est vue confier la gestion et l’animation de ce nouveau lieu.
Le local jeunes a officiellement ouvert ses portes en novembre 2010 pour une expérimentation d’un an. Il a ensuite été reconduit dans sa phase expérimentale. En 2016, à la fin de la phase expérimentale, la gestion du local jeunes a été intégré à la Covention Pluriannuelle d'Objectifs de la Maison pour tous.
Le local jeunes est doté de deux instances de gouvernance : l’une chargé du pilotage du projet et l’autre du suivi de sa mise en œuvre. Le comité de pilotage réunit les élus de la Ville et de la Maison pour tous. Il a pour a pour objectif de faire le bilan de l’activité du local, prendre des décisions quant à ses orientations et son financement et opérer, le cas échéant, des arbitrages. Le comité technique représente l’instance opérationnelle de la mise en œuvre du projet du local jeunes. Il a pour objectif le suivi et la régulation des activités qui y sont menées. Le comité technique réunit les acteurs suivants : Maison pour tous, Direction jeunesse de la Ville, Association pour la Sauvegarde de l’enfance et l’Adolescence (ASEA), le chef de projet du pôle de territoire de la Ville, la Mission Locale Angevine (MLA). Dans cette instance, les animateurs proposent un retour de leur activité et de leur expérience, présentent ce qui pose question ou problème et le mettent en débat.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
100.200 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 professionnels (Conseiller ESF, Moniteur-éducateur, animateur socio-culturel)
- Résultat sur le territoire
Les 180 jeunes qui fréquentent le local durant l'année sont majoritairement des garçons âgés de 16 à 22 ans. Près d'un tiers de ces jeunes sont des jeunes "hors-circuit". Les filles sont très marginales. Nombreux sont les témoignages recueillies au niveau de l’évaluation pour faire part de la baisse des tensions dans les espaces publics, aujourd’hui plus apaisé grâce au local jeunes.
- Résultat pour le centre social
Le local jeunes a permi à la Maison pour tous d'élargir son offre et de retisser du lien avec un public de jeunes adultes. Elle peut désormais intégrer des jeunes adultes aux activités intergénérationnelles qu'elle mène sur le territoire.
- Résultat pour les habitants
Les jeunes qui le fréquentent l’apprécient avant tout en tant que lieu de sociabilité avec différents « services » : café, baby foot, télé, presse. La présence des animateurs leur offre un repère et donne parfois du sens à leur présence :
« C’est comme un petit café où on est posé. On peut discuter, s’amuser, c’est une zone de rencontre. Ici, ce qu’il y a de plus, c’est le dialogue avec les animateurs, on peut même échanger entre nous, on fait des débats. Ici, on a l’esprit ouvert : on discute, on échange des idées. » (Jeune de 22 ans).
Les jeunes utilisent également l'appui des animateurs pour un soutien dans leurs parcours scolaires ou professionnels.
- Suite de l'action : Limites
Depuis plusieurs années, aux côtés des formes traditionnelles d’accueil (dans le cadre d’actions programmées), on constate une montée en charge progressive de nouveaux modes d’accueil : non formels, informels. Aujourd'hui, le non formel est quasi intégré comme un mode d'intervention au cœur des pratiques du Local jeunes mais le projet éducatif dans lequel il s'inscrit est encore à faire évoluer.
- Suite de l'action : Perspectives
La configuration des locaux pose quelques problèmes et ne facilite pas toujours la tâche des animateurs au quotidien. Dans cette perspective, et en s'appuyant sur l'expertise d'usage de la Maison pour tous, un nouveau lieu d'accueil est envisagé dans le cadre de la rénovation urbaine du quartier.
Actions
LES MARCHES EXPLORATOIRES
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL et SOCIO CULTUREL DU PUCHOT - Seine-Maritime
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Environnement
- Intégration
- Mixité sociale
- Résumé
Propositions de moments de rencontres avec ces femmes
Organisations de marches exploratoires à l’intérieur du quartier
Mise en place d’espace d’expression pour ces femmes
Implication des acteurs locaux
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Dans un quartier dit "sensible", dévellopper un modèle participatif en prenant en compte la parole des femmes en matière d'aménagement urbain et de sécurité publique.
Les femmes s'expriment sur leur quartier : (aménagement, éclairage, entretien, luminosité, ) afin qu'elles puissent circuler plus facilement , plus aisément dans celui ci, s'y sentent mieux, l'apprécie.
Leurs constats sont relatés auprès des différents décideurs ( ville, bailleurs... ) avec propositions d'actions à plus ou moins long terme.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
38 rencontres par an
10 marches dont 3 marches réalisées dans le cadre de la GUP (Gestion Urbaine de Proximité ) à différents moments de la journée
18 séances consacrées à a préparations et installations des décorations dans les halls d'immeubles
3 séances d'informations : Droits et devoirs des locataires.Présentation des agents de voisinage .Intervention sur le rôle de la maison de la justice et du droit.
1 séance "fleurissement des balcons".
1 rencontre avec bailleurs et élus
- Ressources financières mobilisées pour cette action
12 000 euros
Ville
FIPD
PREFECTURE
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
22 femmes ont participés à cette action dont 11 sont venues régulièrement.
2 professionnels
- Résultat sur le territoire
Amélioration du cadre de vie, des espaces et de la sécurité de tous.
Ex : quartier néttoyé plus régulièrement,réparations de certains éclairages défectueux, installations de table pinique-nique
- Résultat pour le centre social
Reconnaissance du centre social comme équipement de proximité.
Valorisation des habitantes
Lieu d'initiatives
Lieu de concertations entre les acteurs locaux et les habitants
- Résultat pour les habitants
Mobilisation des femmes.
Très bonne cohésion de groupe.
Les femmes sont plus dans l'image positive de leur quartier et expriment plus aisément leurs observations.
Initiatives de décorer leurs halls d'immeuble en fin d'année avec un investissement important.
Beaucoup de dialogues avec les élus, les services municipaux et les bailleurs.Les réunions d'info ont permis d’éclaircir les droits et devoirs du locataire.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Accueillir davantage de nouvelles femmes.
Actions
Les Jardins participatifs et collectifs des Peupliers, un lieu ou nous récoltons bien plus que ce que l'on sème.
- Structure organisatrice
- L'Escale. Centre Social et Culturel de Pradines - Lot
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Cette action est terminée en tant que projet accompagné par le Centre Social et Culturel. Elle se poursuit maintenant sous la forme d'une association.
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Démocratie & citoyenneté
- Environnement
- Mixité sociale
- Résumé
C'est le parcours remarquable d'habitants déterminés à voir naître des jardins participatifs sur leur commune. Convaincus des bienfaits du travail de la terre, de ce qu'il est porteur de lien au delà du rapport alimentaire d'une production respectueuse de l'environnement.
Cette expérience va mener une dizaine d'habitants à apprendre à construire un collectif, puis à rélaiser des actions dont le fruit sera la naissance d'une association, Les Jardins des peupliers.
C'est aujourd'hui un lieu de partage au bord des rives du Lot, qui invite au jardinage et la culture des lien humains.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le contexte:
Depuis le premier confinement, la commune de Pradines par l’action de son centre social et culturel l’Escale s’est positionnée pour poursuivre sa mission d’intérêt collectif tout en s’adaptant aux contraintes sanitaires. Dans un premier temps, ses actions se sont tournées en priorité vers les publics les plus fragiles et isolés. Le centre social et culturel a assuré la distribution du pain, l’acheminement des courses, le soutien à la parentalité, la médiation avec les jeunes… Au fil du temps, les restrictions et l’isolement social qu’elles ont mis en exergue un besoin impérieux de se retrouver à l’extérieur.
Le projet qui suit trouve son origine derrière la mairie où se situent sept petites parcelles potagères « des P’tits cabanons colorés » de Pradines, crées en 2007. Ces dernières ont fait l’objet d’un engouement des jardiniers et ont suscité une recrudescence de sollicitations d’habitants, intéressés pour disposer à leur tour d’une parcelle. Le contexte sanitaire a révélé un point commun chez bon nombre d’habitants de différentes origines sociales et culturelles, celui de renouer avec l’extérieur et ce qu’il offre comme possibilités de rencontre. De surcroît, pour des personnes ne disposant pas d’extérieurs, un besoin s’est vite imposé à savoir l’accès à un jardin, tout en y intégrant une dimension jusqu’alors peut investies, le désir d’y cultiver en plus des légumes et autres fruits, des interactions sociales tout aussi nourrissantes.
Face à ce constat, nous avons réfléchi à accélérer le développement d’un projet de création de nouvelles parcelles sur un terrain municipal aux abords du Lot, tout en étant à proximité des lieux d’habitations. L’intention est d’être dans le prolongement de l’esprit de convivialité des précédents jardins en mettant l’accent sur une dimension qui nous tient à cœur, celle de la participation collaborative à la réalisation de ces futurs jardins, faire ensemble pour vivre ensemble chaque étape de leur réalisation, entre les services techniques de la Mairie, l’équipe des jardiniers et celle du centre social. Les jardins participatifs et collectifs de Pradines sont nés.
Ce lancement de jardins collectifs et participatifs a aussitôt créé un intérêt de la part de la population. Nous avons démarré la première phase des jardins avec 8 parcelles en février 2021. Ces huit parcelles ont été opérationnelles à compter du 13 mai 2021 avec la participation de 12 jardiniers.
La première phase du projet à peine terminée, les premiers échos des Pradinois vont dans le sens d’une demande croissante de pouvoir y participer. Grace au soutien du dispositif France Relance nous avons lancé l’extension des jardins participatifs dès l’été 2021.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Début de l'action:
- Fin septembre 2020.
Objectifs du projet:
- Valoriser les valeurs de vivre et faire ensemble par des dynamiques collectives et d’entraide.
- Favoriser l’amélioration et la diversification d’une alimentation saine avec un budget abordable.
- Sensibilisation à la protection de l’environnement et au développement durable (biodiversité).
- Développer l’implication et a terme la participation autonome des habitants.
- Proposer des parcelles potagères supplémentaires pour répondre aux besoins repérés par la population.
Pilotage du projet
Dans le cadre d’un partenariat au service de la population pradinoise, la commune de Pradines, propriétaire d’un terrain aux abords du Lot, a porté le projet temporairement par l’intervention du coordonnateur de la vie locale. Celui- ci a travaillé en étroite collaboration avec le Centre social et Culturel de Pradines et tout particulièrement avec l’éducateur spécialisé afin d’être au plus proche de la population notamment les personnes en difficultés.
Depuis Mars 2021, le coordonnateur a mobilisé les futurs jardiniers afin qu’ils soient impliqués dès la création des jardins avec une dimension participative.
Ainsi le collectif appelé « Le Conseil des Jardiniers » est né. Quatre commissions ont été créé à savoir secrétariat, communication, aménagement et une commission travaux.
Les commissions se sont réunies régulièrement en toute autonomie. Le coordonnateur en présence de l’éducateur ont assisté aux premières rencontres de chaque commission afin de donner l’impulsion.
Une rencontre avec l’ensemble des jardiniers a été proposé une fois par mois afin d’assurer une bonne circulation de l’information et une bonne cohésion.
L’association des Jardins des Peupliers a été créée le vendredi 10 décembre 2021 avec la validation des statuts de l’association et de son règlement intérieur. Un Conseil d’administration a été mise en place avec la participation de 11 personnes.
L’association prendra le pilotage des jardins participatifs dès la nouvelle saison 2022 à partir du mois de janvier 2022.
Les ambitions du projet des jardins collectifs et participatif
La démarche participative a permis une dynamique d’appropriation de la part des jardiniers actuels qui font la promotion de leur projet auprès de la population.
Sur l’ensemble des étapes, la dimension participative a été « le ciment » de nos actions.
Une des premières actions collectives a été la construction des cabanons. Cette construction est pilotée par l’animatrice paysagiste et l’éducateur spécialisé du centre social de Pradines. Cette action a permis de créer une dynamique au sein du collectif des jardiniers et permis d’obtenir un résultat très valorisant pour tous.
Calendrier de réalisation
A partir du mois de juin, avec l’attribution du programme Plan de France Relance, nous avons ouverts 27 jardins soit 18 parcelles supplémentaires. Ces jardins supplémentaires ont été cultivés durant tout l’été et l’automne 2021.
Pour la nouvelle saison 2022, la future association disposera d’une quarantaine de parcelles allant de 20 m2 (micro jardin) à 100 m2 soit 18 nouveaux jardins supplémentaires. Ce résultat dépasse l’objectif initial d’agrandissement des parcelles. Ce résultat a été rendu possible grâce à la participation et l’imagination active de tous les acteurs.
Les étapes opérationnelles de l’agrandissement seront :
- L’extension des réseaux (eau et électricité) pour alimenter l’ensemble des jardins
- La réalisation de 4 cabanons avec les jardiniers
- La réalisation et stabilisation des chemins avec de la castine
- La végétalisation des jardins et parties communes (arbres et arbustes)
- La mise en place d’un récupérateur d’eau de pluie et du composteur collectif.
- L’aménagement d’espaces conviviaux.
La progression des jardins a pris du retard par rapport au calendrier initial du fait d’une pénurie des matériaux et équipements suite à la crise sanitaire ainsi qu’une augmentation des prix des matières premières comme le bois, autres consommables. Les jardiniers ont dû faire des choix sans compromettre le développement du projet. Le nombre de cabanons est réduit à 4. Néanmoins, ces cabanons sont plus spacieux pouvant ainsi accueillir davantage de jardiniers.
Le public visé
Pour cette première saison, nous avons eu un public mixte qui provenait essentiellement de la commune de Pradines et quelques personnes de Cahors. Le centre social de Pradines a aussi utilisé une parcelle pour le public jeunes et adolescents.
Préservation du pouvoir d’achat
La préservation du pouvoir d’achat est un axe majeur des jardins collectifs et participatifs. La parcelle est louée à raison d’1€ le m2 par an. Cette cotisation revient indirectement aux jardiniers via la future association qui devrait officiellemnt être créer début 2022.
L’association proposera des facilitées de paiement.
A ce jour, nous avons parmi les jardiniers des familles aux revenus modestes qui arrivent à produire très correctement des fruits et légumes sains à très faible coût. Les jardins participatifs facilitent les échanges entre les jardiniers et ainsi les échanges et dons de plants. Une maman vivant seule avec ses 3 enfants nous disait « vous savez pour moi, c’est comme si j’avais gagné au loto, on est en famille et on remplit notre frigo ».
Les jardiniers ont aussi la volonté de partager une partie de leurs récoltes avec des personnes dans le besoin notamment pour compléter les colis alimentaires distribuées par le centre social.
Respect de l’environnement
Avec le Syded Des composteurs collectifs ont été posés pour sensibiliser les jardiniers à la bonne pratique et les encourager au compostage de leurs déchets alimentaires.
Plusieurs actions sont menées avec un intervenant membre du projet participatif et pédagogique pour aller vers l'autonomie alimentaire L'Agora d'Agriculture Urbaine. Elles visaient entre autre à sensibiliser les jardiniers sur le respect de la terre en banissant l'utilisation de produits phytosanitaires.
Les agriculteurs « voisins » nous ont aussi permis de faciliter la préparation de la terre et nous ont donné de précieux conseils.
Un partenariat a été mise en place avec le club hippique de Pradines afin de récupérer le fumier pour enrichir la terre et les services techniques pour récupérer les copeaux de bois (BRF) pour limiter l’arrosage.
Partenariat étroit
Ce projet a été rendu possible grâce à une très belle coopération des services de la commune et tout particulièrement les services techniques qui ont été présents depuis la création des jardins jusqu’à son extension.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
France Relance: 10000€
CAF: 13000€ + 8000€
Centre Social: 5000€
Mairie: 20000€ (à travers la contribution des matériaux et la valorisation de la mise à disposition des agents techniques)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Personnes mobilisées régulièrement:
Jardiniers 12 Bureau
CSC 12
CAF 1
Mairie 7
Autres acteurs bénévoles:
4 maçons, 1 conseiller en irrigation, 1 paysan,1 intervenant pour les conseils en agriculture, 1 animatrice paysagiste.
- Résultat sur le territoire
L'effet majeur est, à l'issue de la crise sanitaire, celui de renouer avec une cohésion sociale entre des habitants à travers la dynamique collective, la mixité sociale, dans une dimension intergénérationnelle.
- Résultat pour le centre social
Illustration concrête de l'utilité du Centre Social sur l'accompagnement d'un projet dont les besoins repérés par les habitants
Illustration du pouvoir d'agir dans la forme de pilotage du projet.
Partenariats futurs entre l'association et le Centre Social.
- Résultat pour les habitants
Disposer d'un espace extérieur.
S'initier à la création collective.
Expérimenter la dimension participative et l'implication bénévole.
Comprendre et expérimenter les enjeux de la démarche participative à travers la crétaion d'une association.
Accéder et s'initier à des techniques de jardinage et accéder à une alimentation saine.
La sensibilisation aux enjeux des ressources naturelles.
L'acquistion collective et individuelle de compétences et connaissances en terme de développement de projet. Ce qui pour certains jardiniers pouvait être un frein par méconnaissance de l'univers associatif qu'ils ne connaissaient pas.
- Suite de l'action : Limites
Les principales limites se trouvent dans l'animation de la vie du collectif associatif et la gestion d'une jeune association. Le centre social reste dans ce cadre en appui pour du conseil et au besoin de la médiation.
- Suite de l'action : Perspectives
L'intégration de l'association dans le tissu associatif local.
La création de partenariats avec les acteurs locaux comme les écoles, les structures à vocation sociale (Maison relais, GEM autisme, EHPAD, ...).
Le développement de ressources financières autres que les adhésions (constitution d'une trésorerie).
Actions
les jardins partagés
- Structure organisatrice
- CS/MPT LA SOLIDARITE - Bouches-du-Rhône
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Résumé
le centre social dans le cadre de ses missions, se doit d'accompagner les habitants dans la transformation urbaine et doit permettre de développer le sens de la participation pour l'amélioration du cadre de vie et la responsabilisation. les jardins partagés permettent de rassembler autour d'un bien commun, des familles de toutes générations et catégories sociales confondues. un jardin partagé est un jardin sui se conçoit, se construit et se cultive ensemble. il offre à chacun la possibilité de travailler à une réalisation commune. il suppose une concertation et une coopération entre les jardiniers, les habitants, le logeur et les partenaires éventuels et ceci dans la durée. c'est jardins partagés dient " les jardins des possibles" sont mis à disposition des enfants, des habitants de la zone de vie sociale pour mettre des temps pédagogiques autour de la dimension (compost, agriculture, biodiversité et l'éducation au développement durable).
les objectifs de l'action: former les habitants à l'activité jardin- former et sensibiliser au respect de l'environnement, créer des temps conviviaux et festifs sur les jardins pour favoriser l'entraide et la mixité- favoriser la construction de projets collectifs.
ces parcelles sont mise à disposition par l'animateur jardin et reste ouvert toute la semaine weekend compris. les jardiniers signent une charte d'engagement sur le respect de l'environnement et de ne pas utiliser des polluants (pesticides..). l'action prévoit de mettre à dispostion une parcelle pour les écoles et notre centre de loisirs intégrant une approche sensorielle et ludique. ainsi ce jardins permet d'accueillir tous les publics tous les jours afin d'observer les évolutions de la nature et durant toutes les saisons.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
le centre social est situé au coeur d'une cité qui fait l'objet d'une lourde transformation urbaine. le projet consiste à accompagner les habitant face à cette pression urbaine et au bétonnage, à l'effritement du lien social et des valeurs. nos jardins partagés souligne la volonté d'améliorer le cadre de vie, de se réapproprier les nouveaux espaces pour y intégrer d'avantage de nature dans le quotidien et de bien être psychologique.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
cette démarche est innovante. Elle consiste à accompagner un groupe de participants volontaires (habitants, acteurs, bénévoles) au cours de réunions de travail. Les habitantss bénéficient ainsi d’un cadre qui les invite à comprendre les enjeux, à échanger et proposer une liste d’actions en faveur de la biodiversité. L’accompagnement fait émerger de nouvelles formes de gouvernance car la démarche préconisée incite, non seulement les habitants à imaginer les actions, mais aussi à les mettre en place eux-mêmes.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
4850€ du logeur et et 4000 du cget
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 animateur jardin - 1 médiatrice et un bénévole
- Résultat sur le territoire
amélioration du cadre de vie- développer la participation des habitants et soutenir les initiatives locales.
- Résultat pour le centre social
capter un nouveau public, l'émergence de nouvelles actions
- Résultat pour les habitants
amélioration du quotidien des habitants-meilleur appropriation des espaces de vie dans le quartier- e^tre à l'initiative d'une activité favorisant la rencontre le partage et l'échange avec une dimension intergénérationnelle.
- Suite de l'action : Limites
agrandir cet espace et demander au logeur une extension du terrain mis à disposition.
- Suite de l'action : Perspectives
agrandissement de la parcelle
Actions
les Ateliers Sociolinguistiques
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ALBERT SCHWEITZER - Yvelines
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Intégration
- alphabétisation & apprentissage du français
- Résumé
La commune de Magny les hameaux (9236 habitants), ses services, œuvrent au quotidien pour accompagner l’ensemble des habitants, notamment les plus éloignés de la langue française, et primo arrivants sur le territoire. Ceux-ci résident en majorité au sein du quartier du Buisson (en veille active depuis 2015).
Le centre social municipal a pour mission de les accueillir en prenant en compte les caractéristiques de chacun (culture, statuts sociaux, motivations) dans l’objectif de rompre leur isolement et de concourir à leur quête d’autonomie.
C’est par le biais d’ateliers socio linguistiques que la commune permet aux apprenants d'acquérir en plus des compétences linguistiques, un statut social pour agir de manière plus autonome en termes de déplacements, d'accès aux services, aux soins, aux lieux culturels, aux droits. L'action constitue aussi un soutien pour l'élaboration d'un parcours d'insertion professionnelle. Les apprenants, vont au fil de l’année se socialiser, apprendre les codes culturels, sociaux du pays.
Ces ateliers ont lieu les lundis et jeudis de 14h à 16h. Ces séances d'apprentissage sont également ponctuées par des animations pédagogiques, culturelles et citoyennes.
Lors de l'inscription, chaque apprenant est évalué dans le but de déterminer les objectifs spécifiques qu'il souhaite atteindre personnellement.
Cela permet aussi à l'équipe d'encadrants de constituer des groupes de niveaux (3 en général): 1 groupe de débutants, 1 groupe sachant s'exprimer en français, 1 groupe d'apprenants ayant été scolarisés dans leur pays d'origine et ayant un niveau supérieur d'études.
Chaque groupe peut ainsi travailler en fonction de son niveau, à son rythme par le biais de mises en situation à l'oral, de renforcements des acquis à l'écrit et par la lecture.
Diverses thématiques abordées permettent aux apprenants d'être soutenus dans leur vie quotidienne en termes de mobilité, d'achats, de démarches administratives, santé, d'accompagnement à la scolarité des enfants, d'insertion professionnelle.
Objectifs dans le projet social:
Lutter contre l'isolement, favoriser l'accès aux droits des personnes immigrées primo arrivantes ou âgées
- Acquérir des compétences linguistiques afin de mieux s'insérer dans la vie sociale et professionnelle.
- Favoriser la mobilité des participants, et encourager leur accès à la vie culturelle.
- Favoriser l'appropriation des valeurs républicaines et citoyennes, renforcer l'estime de soi
Les bénéficiaires :
Les ateliers sociolinguistiques sont à disposition de tous, avec une mixité des apprenants de par leur pays d'origine mais aussi des sexes. Il n'y a aucune discrimination, les apprenants sont tous accompagnés et soutenus de la même manière avec pour chacun, la prise en compte de leurs compétences et de leurs désirs.
- adultes d'origine non francophone peu ou pas autonome, hors CA, à partir de 18 ans si elle n'est pas accompagnée par la Mission Locale ou d'autres APP (Ateliers Pédagogiques Personnalisés).
-Prioritairement des habitants de la commune, notamment du quartier du Buisson, et/ou primo-arrivants, femmes ou hommes en difficultés ou pas, ayant un projet d'autonomie.
40 apprenants en 2016, dont 29 primo arrivants
Moyens mobilisés :
Humains : Une coordonnatrice, une référente vacataire, 8 bénévoles
Matériels : ordinateurs, ouvrages pédagogiques, documents administratifs, supports écrit
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Autre
- Précision ( si autre )
La commune et plus particulièrement les professionnels de la structure suite à un diagnostic de territoire préalable.
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La mise en œuvre de ce projet permet aux populations primo arrivantes sur le territoire ou non de bénéficier d’un accompagnement de qualité afin qu’il acquière une autonomie quant à leur intégration sociale, mais aussi leur réinsertion professionnelle.
Pour le territoire, il s’agira d’offrir aux habitants quel que soit leur statut social, une offre de services leur permettant d’accéder au statut de citoyen intégré, informé et soutenu et de mieux vivre leurs différents statuts sociaux (parent d’élève, salarié, consommateur, usagers des transports publics…).
Les objectifs de ce projet sont les suivants :
Lutter contre l'isolement et favoriser l'accès aux droit des personnes immigrées primo arrivantes ou âgées
- Acquérir des compétences linguistiques afin de mieux s'insérer dans la vie sociale et professionnelle.
- Favoriser la mobilité des participants, et encourager leur accès à la vie culturelle.
- Favoriser l'appropriation des valeurs républicaines et citoyennes, renforcer l'estime de soi.
Cette action a permis de favoriser la mobilité des apprenants en situation réelle et encourage l'accès à la vie culturelle lors de déplacements sur la ville. Les apprenants se sentent plus à l'aise, confiants, dans les relations aux autres et en milieux institutionnels. Ils affirment leurs choix et valeurs. Les participants via des temps d'informations divers ont accès et sont accompagnés dans certaines démarches (accès au droit insertion professionnelle...), leur permettant ainsi de s’organiser dans leur vie sociale. Ils s’investissent également d’avantage dans la vie du centre social en s’impliquant lors d’événements et participent avec leur familles à diverses actions tel que les sorties familles, temps parents enfants, Parvis en fête…
Les usagers de ces ateliers acquièrent une meilleure autonomie sociale et / ou professionnelle, poursuivant un projet personnel d’insertion.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
L'action a débuté en 1996, suite à la mise en oeuvre du premier projet social de la structure.
Chaque année:
Inscription des apprenants en septembre.
Chaque futur apprenant répond à un test d’évaluation permettant à l’équipe de déterminer avec lui ses besoins personnels et professionnels, ainsi que son niveau.
Le niveau de chaque apprenant détermine son appartenance à un groupe.
3 groupes sont constitués, et abordent certaines thématiques par le biais de mises en pratique, travail sur certains supports réels du quotidien avec selon leur niveau des approches différentes.
L’année est ponctuée par la participation des apprenants aux événements « Femmes du monde », porté par le centre social et à la semaine de citoyenneté, porté par la commune.
Leur participation pourra se faire sous la forme de l’élaboration d’une pièce de théâtre pout le premier événement ou la visite d’institutions pour le second.
La coordinatrice CIDFF du service emploi intervient durant différents temps d’échange, abordant le sexisme, les violences faites aux femmes.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget total : 14 105 €, dont 12585 € en frais de personnels, financement DDCS de 6500 € en 2016
Contributions volontaires: 9902 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
8 bénévoles et 2 professionnels, 40 apprenants en 2016, dont 29 primo arrivants
- Résultat sur le territoire
La mise en œuvre de ce projet permet aux populations primo arrivantes sur le territoire ou non de bénéficier d’un accompagnement de qualité afin qu’il acquière une autonomie quant à leur intégration sociale, mais aussi leur réinsertion professionnelle.
Pour le territoire, il s’agira d’offrir aux habitants quel que soit leur statut social, une offre de services leur permettant d’accéder au statut de citoyen intégré, informé et soutenu et de mieux vivre leurs différents statuts sociaux (parent d’élève, salarié, consommateur, usagers des transports publics…).
- Résultat pour le centre social
La mise en pace de cette action permet au centre social d'agir pour et vers le public cible. Plus généralement de lutter contre l'isolement de certains habitants, de favoriser les liens sociaux, et la mixité sociale.
- Résultat pour les habitants
Cette action a permis de favoriser la mobilité des apprenants en situation réelle et encourage l'accès à la vie culturelle lors de déplacements sur la ville. Les apprenants se sentent plus à l'aise, confiants, dans les relations aux autres et en milieux institutionnels. Ils affirment leurs choix et valeurs. Les participants via des temps d'informations divers ont accès et sont accompagnés dans certaines démarches (accès au droit insertion professionnelle...), leur permettant ainsi de s’organiser dans leur vie sociale.
- Suite de l'action : Limites
La barrière de la langue, le manque de mode de garde pour les mères, le manque d'investissement de certains apprenants dans la vie du centre social hors de la mise en oeuvre de cette action.
- Suite de l'action : Perspectives
Encourager et développer d'avantage la transversalité entre les ASL et les différentes actions et projets de la structure
Actions
Les "expos habitants" au Centre Culturel et Social de Belfort Nord - OIKOS
- Structure organisatrice
- OÏKOS - CENTRE CULTUREL ET SOCIAL BELFORT NORD - Territoire de Belfort
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Mixité sociale
- Résumé
Mister B, un habitant du quartier Belfort Nord depuis 30 ans passe la porte du CCSBN (Centre Culturel et Social Belfort Nord) fin 2022. Son idée : exposer ses oeuvres cachées depuis une dizaine d'années chez lui. Il a passé le cap du dessin à 49 ans et veut prouver à tous et toutes : que l'art est accessible à tous quelque que soit l'âge. En tant que structure de proximité, le CCSBN répond à l'essence même de son existence en accompagnant un habitant du quartier à réaliser son premier vernissage. Les adhérents, les enfants du centre de loisirs, et les habitants curieux ont pu découvrir l'Exposition l'Enfance de l'Art en janvier 2023. 70 personnes ont assisté au Vernissage.
Dans la continuité de ce projet : un habitant du quartier est venu exposé ses clichés (photographies) dans le cadre du mois de la photo organisé par la Ville de Belfort. Dans la même dynamique : une exposition collective se co-construit avec 4 autres habitants du quartier pour la nouvelle année 2024 : l'Exposition "les Talents de Belfort Nord" est prévue du 27 janvier au 12 février.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un habitant
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
En effet boule de neige, les habitants comprennent que le centre est là POUR eux et que les projets s'impulsent PAR eux. C'est dans cette logique vertueuse que de nouvelles personnes passent la porte, que la rencontre intergénérationnelle se créée, que l'image du centre social s'améliore : chacun comprend que ce centre est la Maison de tous les habitants.
Par ailleurs, l'accès à l'art et à la culture se manifeste souvent par un accompagnement vers l'extérieur des quartiers (institutions culturelles, musées); dans ce projet, il est promordial de démontrer que l'art est accessible par tous et que le centre peut lui même devenir un support.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
En co-construction avec les habitants porteurs du projet.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
4000€ Contrat Ville Unique et Global Grand Belfort - Préfecture Territoire de Belfort
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 professionnels, 10 bénévoles
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
LE P'TIT B.FR
- Structure organisatrice
- CENTRE D ANIMATION DE BEAULIEU - Vienne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Précarité
- Intégration
- Résumé
La démarche d'accompagnement et de médiation numérique intitulée le P'tit B.fr développée dans un local place des Templiers une journée et demie par semaine a permis de rencontrer 3 publics différents : - Un public en grande difficulté devant les démarches dématérialisées, pouvant avoir des ruptures de droit, avec des demandes à traiter rapidement, avec peu de capacité d'autonomie - Un public en difficulté avec les démarches dématérialisées mais en recherche d'autonomie, capable de progression et pouvant participer à des ateliers collectifs - Un public qui a besoin de réassurance, d'être dans un espace pour faire eux mêmes où il y a une personne ressource en cas de besoin, de problème notamment pour de nouvelles démarches. Pour chaque public, les outils pédagogiques, les matériels sont adaptés pour répondre aux attentes.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L'absence de lieu d'accès numérique sur le quartier de Beaulieu
Répondre aux besoins des personnes et des familles qui n'ont pas (plus) d'outil informatique, qui n'ont pas ou qui n'ont plus d'accès internet pour réaliser les démarches administratives dématérialisées, aux besoins des parents d'utiliser des outils numériques pour le suivi de la scolarité des enfants, impliquer des personnes dans des projets collectifs nécessitant une certaine maîtrise des outils numériquesNous sommes sollicités par les habitants, les usagers pour répondre à leur besoin d'accompagnement dans différentes démarches en e-administration (caf.fr, Préfecture, Ameli.fr,...), par les responsables d'établissements scolaires sur les accès numériques "Pronote" et l'orientation en troisième par les parents..., par des habitants sur l'utilisation des réseaux sociaux, l'utilisation des logiciels de bureautiques, d'une messagerie...
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
La mise en place de points d'accès numériques avec la mise à disposition de matériels et de connexions internet pour faciliter l'accès des personnes "autonomes". Un point d'accès dans le hall du Centre d'Animation de Beaulieu avec un poste du lundi au vendredi de 10h à 12h30 et de 14h à 18h30, un point d'accès au P'tit B avec 4 postes le lundi de 14h à 18h et le mardi de 9h à 12h30 et de 14h à 18h. Un accompagnement simple pourra être proposé aux personnes.
La mise en place d'une démarche de médiation numérique pouvant se traduire par des entretiens personnels avec un accompagnement individuel, des accueils collectifs et enfin des ateliers collectifs thématiques. Cette action se déroulera au P'tit B 59 place des Templiers à Poitiers le lundi de 14h à 18h et le mardi de 9h à 12h30 et certains samedis matins selon les demandes. Elle s'intitule "le P'tit B.fr".
Des outils comme des tablettes et des ordinateurs portables seront aussi utilisés pour accompagner les personnes selon leur aisance avec ces types d'appareils.De l'accompagnement individuel pour de la complétude de dossiers administratifs, de compréhension des informations demandées, du caractère confidentiel et sécurisé des données transmises, à une meilleure maîtrise des outils numériques en passant par des apprentissages plus collectifs "dans le faire" et le "faire ensemble", sont les différentes modalités pédagogiques que nous souhaitons mettre en œuvre.
Pour cette première année de fonctionnement, nous rechercherons à faire connaître l'action auprès des acteurs du quartier, des habitants du quartier.
Nous recherchons également un local places des Templiers-Capétiens-Philippe le Bel pour avoir un espace dédié permanent à cette action, ce que nous ne pouvons pas avoir actuellement dans l'espace du P'tit B qui est aussi un espace d'animation sociale avec des installations et mobiliers différents.
Pour mener certains ateliers collectifs, nous ferons appel à d'autres partenaires plus spécialisés.
Enfin, nous souhaitons rechercher des bénévoles qui auraient envie de participer et de collaborer à cette action.
Dans ce nouveau local, nous pourrions accueillir des permanences du Conseil Citoyens de Beaulieu et d'associations.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
9304 euros
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
93 personnes
- Résultat sur le territoire
Le P'tit.fr est situé au coeur de la partie du quartier en politique de la ville, c'est espace contribue à animer une zone de commerces en perte d'attractivité.
Il est aussi repéré par les habitants comme un espace de vie sociale.
- Résultat pour le centre social
Cette action permet au centre social de rentrer en relation avec des personnes qui ne le connaissent pas.
L'espace où se déroule l'action nous permet d'être présent au coeur du quartier en politique de la ville.
Cette action a fait naître une réflexion pour le centre social sur la nécessité de développer une action sur l'apprentissage de la langue française et de rechercher des partenaires pour la réaliser avec nous.
- Résultat pour les habitants
Pour certains habitants l'action a permis d'éviter des ruptures de droit, pour d'autres d'accélérer des démarches administratives...
Les habitants partagent des problématiques communes entre eux.
On observe du partage de savoirs-faire.
- Suite de l'action : Limites
La limite des moyens humains (aujourd'hui un tiers temps)
Les difficultés de compréhension avec un public non ou mal francophone
- Suite de l'action : Perspectives
1- Augmenter les ressources humaines pour pouvoir augmenter le temps d'ouverture de l'espace.
2 - Développer plus d'ateliers collectifs
3- Rechercher des partenariats pour la mise en oeuvre d'ateliers socio linguistiques et d'apprentisssage de la langue française
Actions
Le mois de la parentalité "Être parent(s) aujourd'hui"
- Structure organisatrice
- MAISON POUR TOUS JARDIN DES SOURCES - Seine-Saint-Denis
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Solidarité
- discriminations
- Mixité sociale
- Résumé
- Un mois de la parentalité destiné à informer et sensibiliser les familles à une problématique choisie. Durant ce mois divers actions sont proposé par un réseau de partenaires institutionnels, associatif et bénévoles.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Action mise en place pour accompagner et soutenir les parents dans leur rôle éducatif. Les résultats attendus sont améliorer la relation au sein de la cellule familiale, donner ou redonner aux parents les outils pour accompagner leurs enfants dans leur évolution.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
- Un groupe de pilotage constitué de la référente famille du centre social et d'acteurs associatif et institutionnels (CAF, Département). 5 Réunions plénières de Janvier à Octobre avec l'ensemble des acteurs intervenant dans le champs du soutien à la parentalité afin de définir les actions et élaborer une programmation variée sur le mois. Des financement Politique de la ville, REAAP et département sont sollicités.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- 23 000 euros
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- 80 professionnels et 20 bénévoles
- Résultat sur le territoire
- Création et consolidation d'un réseau de partenaires. Le public s'informe sur les différentes ressources du territoire. Des liens se crées entre les différents partenaires et un suivi des situations des familles est rendu plus facile.
- Résultat pour le centre social
- Identification de la structure par un public nouveau. Émergence de nouveaux projets.
- Résultat pour les habitants
- Création de lien de solidarité entre habitants qui partagent une même expérience. Dédramatisation et déculpabilisation de parents qui découvrent ne pas être les seul en difficulté.
- Suite de l'action : Limites
- Les impacts sont difficilement mesurable à court terme. Difficulté à innover dans le choix des thèmes. Difficultés à maintenir une synergie d'acteurs aux objectifs différents.
- Suite de l'action : Perspectives
- Intégrer de plus en plus d'habitants dans la phase de réflexion mais également dans la phase de réalisation. Multiplier les échanges de pratiques.
Actions
Le Centre Social Audaces's de Folschviller - Hors Les Murs !
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL AUDACES'S FOLSCHVILLER - Moselle
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L’association Audaces’s a su tisser de la cohésion sociale sur le territoire. Au travers de cette animation innovante, la promotion des habitants de notre territoire a été reconnue par la Fédération des Centres Sociaux de France « Hors les Murs » et d’autres instances. Avec nos différents partenaires comme les Bailleurs, le Conseil Citoyen, le Département de la Moselle et les villes de Folschviller Valmont et d’autres cette action tisse un maillage au cœur du quartier QPV et de la ZUS.
Face à une augmentation de la précarité, notre action permet aux habitants de sortir de chez eux et de se côtoyer.
Il s’agira de poursuivre notre soutien à la population et au plus démunis au travers d’une action de proximité de collecter la parole des habitants, des jeunes, les familles et les acteurs locaux. Pour ce faire l’association mettre un plan citoyen de proximité avec comme support :
L’Arène Citoyenne, le triporteur citoyen, la cabane des mots, hors les murs, action réaction « citoyen », le rdv du triporteur citoyen à la sortie des écoles, des actions de découvertes culturelles et Citoyennes.
Les objectifs :
Utiliser un panel d’outils pour alimenter le débat participatif dans le quartier de FURST au côté du Conseil Citoyen et des Habitants.
Faire en sorte que les habitants se côtoient et vivent ensemble.
Créer de la cohésion sociale sur le territoire
Développer le Pourvoir d'Agir des Habitants
Créer des actions à visée émancipatrice
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Le projet a fonctionné de manière différente en tenant compte des saisons. L'équipe en collaboration avec les jeunes et les familles du quartier ont œuvré sur une stagtégie d'action adpaté aux usagers, aux habitants : Une animation "Hors Les Murs" avec des animations débat citoyen avec le triporteur et la cabane des mots 3 fois par semaine aux abords des écoles : Collecte de la parole des habitants/des Jeunes sur le vouloir des jeunes.
Débats participatifs et Citoyen aux quatre coins de la ville avec une fréquentation moyenne de 60 familles et 35 jeunes.
Un débat associatif avec les associations locales et la place des jeunes dans la vie locale, lors du forum des associations locales avec une moyenne de 25 associations et les jeunes des clubs. Dès juin, une animation Hors les Murs dans le quartier avec du théâtre enfant, création de vidéo jeunes, une soirée plein air cinéquartier. De plus lors des vacances, le centre social a œuvré dans les rues avec les animateurs afin de proposer des activités complémentaires aux actions du centre social : jeux plein air, bibliothèque de rue qui fut un grand succès. Le triporteur citoyen aura été la locomotive de cette action innovante sera l'outil mobile qui pourra mettre en œuvre une animation au plus proche des jeunes : plaides et couvertures pour de la lecture, pour la création de conte, découvrir des jeux de société, des activités au cœur des citys stades, musiques et liberté créative, slam…
Une Arène citoyenne qui a comme vocation la communication et la participation citoyenne (des débats participatifs, foot-citoyen, fair-play, culture citoyenne, danse urbaine, mini-spectacle, soirées jeunes, les valeurs de la République, C'est quoi être citoyen engagé, C'est quoi un conseil Citoyen Jeunes. Cette installation mobile et rapide pourra aller au devant de la jeunesse en situation d'érrance et/ou de fragilité. Faire connaitre les acteurs de la ville et l'équipe du centre social.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
/
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Les salariés du centre social
Des intervants (intermitants, vacataires, bénévoles)
- Résultat sur le territoire
Les partenaires reconnaissent cette action et souhaitent y participer périodiquement.
Il se trouve que hors les murs est un lieu neutre pour désamorcer des situations en présence d'un salarié du centre social.
Cette action a permis aux habitants de prendre conscience de leur pourvoir d'agir.
- Résultat pour le centre social
Cette action permet au centre social Audaces's d'avoir une meilleur action avec les habitants dans le quartier. Elle est complémentaire aux actions des ACM. Car depuis la baisse des jours ATL, les centres de loisirs subissent une baisse de la frénquentation par souci financier pour nos ahbaitants les plus en difficultés. Pour autant, il n'y a pas plus de départ en colonie de vacance ! Une familles sans ressources ou avec peu de ressource ne partira pas et ne fera pas partir leur enfant. Il reste quoi alors comme alternative ?
Donc, face à cette injustice, Hors Les Murs devient pour le quartier un espace citoyen et solidaire pour les habitants !
- Résultat pour les habitants
Cette action permet au centre social Audaces's d'avoir une meilleur action avec les habitants dans le quartier. Elle est complémentaire aux actions des ACM. Car depuis la baisse des jours ATL, les centres de loisirs subissent une baisse de la frénquentation par souci financier pour nos ahbaitants les plus en difficultés. Pour autant, il n'y a pas plus de départ en colonie de vacance ! Une familles sans ressources ou avec peu de ressource ne partira pas et ne fera pas partir leur enfant. Il reste quoi alors comme alternative ?
Donc, face à cette injustice, Hors Les Murs devient pour le quartier un espace citoyen et solidaire pour les habitants !
- Suite de l'action : Limites
Poursuivre cette action innovante et reconnu par plusieurs acteurs sociaux de la France !
- Suite de l'action : Perspectives
Action en cours pour 2017 à 2021 !
Actions
Laïcité, l'Art du bien vivre ensemble
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL MEDIO BANLAY - Nièvre
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Intégration
- discriminations
- Résumé
Nous avons souhaité développer ce projet sur le thème de la laïcité autour de 3 axes stratégiques:
1/ Organisation de 3 CONFERENCES/ DEBATS sur la laïcité qui devra permettre à nos publics de libérer la parole sur des sujets du quotidien difficiles, liés à la pratique ou à la non pratique d'une religion et ce dans le respect et la promotion des valeurs de la république. Il devra également nous permettre de questionner notre identité, nos ressemblances afin de construire une vision commune de l’avenir. A cet effet, nous utiliserons trois supports de travail différents mais complémentaires: le Débat théâtral ("égal à égal") la Réalisation d'un documentaire sur le thème de la laïcité et la Présentation de la charte de la laïcité de la branche famille CAF ainsi que sur la pratique des différentes religions. Le point commun de ces supports de travail sera l'échange et le débat encadré par des animateurs avertis. 2/ FORMATION de nos équipes d'animation. Le but est de leur donner les connaissances et éléments de compréhension nécessaires au positionnement qu’implique la pratique de leur métier sur ce thème. 3/ OBSERVATOIRE: Mobilisation d'un réseau de partenaires autour d'un Collectif laïcité. Ce dernier axe a pour objet de réfléchir, d'analyser les pratiques, de créer des outils d'observation et d'évaluation. Il nous permettra également d'exporter et
d'enrichir les données nationales très peu développées à ce jour, sur le principe de la Laïcité.Ces actions ont débuté en Avril et se sont déroulées sur l’ensemble de l’année jusqu’à fin décembre. Les principaux lieux ont été: Espace Martin LUTHER KING, Espace Stéphane HESSEL, Mairie de Nevers, Préfecture 58, Conseil Départemental 58, Paris.
- 10/04 /17 au 31/12/17, Réalisation Exposition et Documentaire Vidéo
- 15/06/17, le 5/10/17, le 14/12/17, Rencontres Collectif Laïcité.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Précision ( si autre )
- L’enjeu global de ces actions s'articule autour de la finalité du projet social 2016-2019 du Centre Social:
"Développer l'apprentissage du vivre ensemble pour un quotidien solidaire et citoyen". Ce projet développe trois axes essentiels à une meilleure qualité de vie des habitants à Nevers:
- Questionner nos ressemblances, ce qui fait sens pour tous, afin de construire une vision commune de
l'avenir, dans le respect et la promotion des valeurs de la République.
- Favoriser l'inclusion sociale et la socialisation des habitants.
- Renforcer la participation des habitants.- Le Centre Social Médio-Banlay souhaite impulser ce projet sur le principe de Laïcité auprès des jeunes âgés de 14 à 25 ans et des équipes éducatives à l'échelle de la Ville de Nevers. L’objectif est de permettre la rencontre, l'échange, le questionnement, la connaissance et la reconnaissance de chacun autour de ce principe essentiel à la cohésion sociale au sein de notre République.
- Très peu de données, enquêtes, études nous permettent à ce jour d'avoir une représentation significative de la manière dont est vécue la Laïcité en France.
- L’objectif est de permettre la rencontre, l'échange, le questionnement, la connaissance et la
reconnaissance de chacun autour de ce principe essentiel à la cohésion sociale au sein de notre République.
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Après les attentats de 2015, nous avons constaté un repli communautaire des populations et des tensions sous-jacentes entre Français liées à de nombreux amalgames. Le mot laïcité n'a jamais été autant utilisé, sans pour autant qu'il soit maîtrisé par ceux qui l'emploient. Nous observons une forte crise identitaire des adolescents français d’origines étrangères qui se manifeste souvent par le rejet des valeurs Républicaines.
Conduite d'entretiens individuels auprès de 100 jeunes du Banlay qui ont révélé que 78% d'entre eux ont le sentiment d’être stigmatisés par leurs origines culturelles. Réalisation d'une enquête auprès de 80 jeunes des Centres Sociaux de Nevers qui révèle qu'ils ont une méconnaissance importante du principe de laïcité.
1/ Acquérir les repères historiques et juridiques nécessaires à une maîtrise approfondie du principe de laïcité. 2/ Travailler avec les équipes professionnelles sur des cas pratiques répondant aux problématiques du quotidien. 3/ Libérer la parole sur des sujets difficiles. 4/ Associer jeunes et parents dans une démarche participative. 5/ Accompagner les jeunes et leurs parents afin de construire sereinement leur identité de citoyens Français. 6/ Développer les échanges entre acteurs, créer des outils de veille commun sur la laïcité
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
- Organisation de 2 CONFERENCES/ DEBATS: le 6/12/17, Rencontre des Aumôniers Militaires et le 16/12/17, Débat théâtral "égal à égal" par la Compagnie Entrée de jeux. Réalisation d'un DOCUMENTAIRE VIDEO, libérant la parole des citoyens et élus de la République. Réalisation d'une EXPOSITION définissant le principe de Laïcité et diffusion. Création et pilotage d'un COLLECTIF Laïcité/ 10 partenaires/ 3 rencontres.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
23335€ de charges.
Subventions:
-CIEC/ Contrat de Ville: 2522€;
- Nevers Agglomération/ Contrat de Ville: 2000€;
- CAF/ Fonfs Publics et Territoire: 7 996€;
- Conseil Départemental de la Nièvre: 450€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- 112 jeunes, soit 44 garçons et 68 filles, âgés de 11 à 25 ans, dont :
- 65 Adolescents âgés de 11 à 17 ans,
- 47 Jeunes âgés de 18 à 25 ans,
- 90% sont issus du Banlay ou d'autres Quartiers Prioritaires Politique de la Ville.
- 10 Partenaires: CAF, Ville de Nevers, C. Départemental 58, FOL, FDCS 58, PEEP...
- Résultat sur le territoire
- Libération de la Parole sur un sujet sensible, facilitation des échanges et plus grand degré de tolérance de la part de l'ensemble des participants.
- Résultat pour le centre social
- Reconnaissance/ Réseau partenarial sur la thématique Laïcité
- Résultat pour les habitants
- ATTEINTS: Acquérir les repères historiques et juridiques. Libérer la parole sur des sujets difficiles. Associer les jeunes dans une démarche participative. Accompagner les jeunes afin de construire sereinement leur identité de citoyens Français. Développer les échanges entre acteurs
- EN COURS DE TRAVAIL: Travailler avec les équipes professionnelles sur des cas pratiques répondant aux problématiques du quotidien.
- Suite de l'action : Limites
- Soutien financiers des partenaires sollicités sur ce projet en 2018 (CAF/ Fonds Publics et Territoire; Contrat de Ville/ CGET & Nevers Agglomération)
- Suite de l'action : Perspectives
En 2018, nous développerons ce projet autour de 4 axes stratégiques: 1/ Organisation de 4 CONFERENCES/ DEBATS sur la laïcité qui devra permettre à nos publics de libérer la parole sur des sujets du quotidien difficiles, liés à la pratique ou à la non pratique d'une religion et ce dans le respect et la promotion des valeurs de la république. A cet effet, nous utiliserons plusieurs supports de travail complémentaires: le Débat théâtral (Parents), la diffusion d'un documentaire vidéo sur la laïcité réalisé en 2017 par des jeunes du Banlay (Jeunes et Parents), une soirée débat intitulée "la laïcité dans l'assiette" (Elus, Cultes, Parents, Jeunes) et enfin la présentation d'une pièce de théâtre intitulée "Chocolat et Laïcité" (Jeunes et parents). 2/ Réalisation d'un LIVRE/ PHOTOS TEMOIGNAGES (Jeunes et Parents) 3/ FORMATION de nos équipes d'animation. Le but est de leur donner les connaissances et éléments de compréhension nécessaires au positionnement qu’implique la pratique de leur métier sur ce thème. 4/ Pilotage et animation du COLLECTIF LAÏCITE créé en 2017 et rassemblant 12 partenaires issus des institutions, structures d'éducation populaire et représentations cultuelles du département. Ce dernier axe a pour objet d'analyser et questionner les pratiques, d'impulser et de mutualiser des projets, de créer des outils de veille. Enfin, plusieurs temps forts de ce projet seront organisés dans le cadre de la semaine de la Laïcité, en Décembre 2018.
Actions
la plage "les pieds dans la Fontaine": animation de rue et lien social
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIOCULTUREL DE LA FONTAINE - Loire-Atlantique
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Intégration
- vacances / loisirs
- Résumé
Aménagement chaque été d'une plage artificielle au coeur du quartier pour ses habitants avec présence de professionnels et d'habitants bénévoles, afin de proposer des loisirs, des initiations sportives et culturelles, une alternative aux vacances , un espace de rencontres et de partages pour toutes les générations, une intervention éducative et préventives en direction des enfants et des jeunes.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Occuper un espace public fréquenté par des jeunes en recherche d'occupation, troublant la tranquilité des habitants.
Impliquer les jeunes dans des projets de territoire au profit de tous les habitants pour les valoriser au regard des générations plus agées et améliorer les relations.
Offrir un environnement et une ambiance de vacances estivale pour les familles qui ne quitent pas le quartier.
Offrir aux enfants et aux jeunes des activités sportives et culturelles dans une logique de médiation.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Action qui a débuté en 2011 et qui est reconduite chaque été.
Elle a pris naissance à partir de difficultés constatées par les professionnels du centre, entre jeunes et habitants plus agés du territoire (incivilité, nuisances nocturnes, sentiment d'insécurité...)
Réflexion menée par les professionnels avec les jeunes qui aboutit à la mise en place de la plage le premier été. Plage fortement fréquentée par les jeunes qui nuit malheureusement à la tranquilité des riverains.
Après l'été, les riverains sont invités à exprimer les gênes que procure la plage et à s'associer aux jeunes pour ajuster l'action.
L'action est revue afin de répondre aux exigences des uns et des autres et depuis 4 ans elle ne cesse d'évoluer pour prendre en compte l'expression de chacun et s'adapter aux différents usagers.
Aujourd'hui la plage est organisée et animée par un collectif d'habitants ouvert à de nouveaux participants.
Les associations et clubs sportifs locaux, l'école de musique et la médiathèque de la ville sont sollicités pour proposer des animations sur la plage. Ces découvertes pour une partie des enfants et des jeunes favorisent et génèrent des envies nouvelles qui se traduisent par des inscriptions annuelles auprès des partenaires locaux.
Chaque été la soirée de clôture de la plage est un moment privilégié pour valoriser les autres actions estivales et les initiatives de jeunes.
Tous les animateurs du centre interviennent aujourd'hui sur la plage pour un travail concerté et intergénérationnel, favorisant le lien social et le vivre ensemble.
Au regard de la fréquentation et de l'implication des habitants qui évoluent au fil du temps, nous sollicitons le soutien financier de partenaires divers.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
un budget total de 10100€ sur deux mois de fonctionnement, subventionné en 2014 par le FiPD et la commune
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
5 animateurs permanents du CSC
2 animateurs saisonniers
La coordinatrice du CSC
16 habitants bénévoles (jeunes, adultes et plus de 6 ans)
personnel de la ville (les techniques pour l'aménagement de la plage, un salarié de l'école de muique, un salarié de la médiathèque)
12 bénévoles et salariés d'associations ou de clubs sportifs
deux groupes locaux de musiciens bénévoles pour animer la clôture
3 prestataires d'activités
- Résultat sur le territoire
Tranquilité sociale sur la quartier en période estivale.
Un lieu sûre proposé aux enfants du quartier : les enfants rencontrés dans la rue durant l'année fréquentent la plage l'été,
Un pôle attractif pour un quartier stigmatisé
Après la découverte d'activités sportives ou culturelles, certains enfants et jeunes s'inscrivent dans les associations, clubs sportifs, ou équipements de la ville, sur l'année.
- Résultat pour le centre social
Rencontre de publics nouveaux : information, communication et invitation à fréquenter le centre.
La plage est un lieu d'observation des pratiques des habitants, un lieu de recueil de paroles et un lieu d'émergence de nouveaux projets.
- Résultat pour les habitants
Meilleure cohabitation des générations: reconnaissance et respect mutuels, sentiment d'insécurité qui s'estompe.
Image de l'autre qui se modifie: les jeunes sont valorisés et les anciens écoutés par les jeunes.
- Suite de l'action : Limites
Sa durée limitée à deux mois par an.
le risque d'appropriation de l'espace par un groupe d'ages
la difficulté d'entrer en relation avec certains parents d'enfants qui fréquentent seuls la plage.
- Suite de l'action : Perspectives
Reconduire l'action chaque année tant que les habitants la réclament et qu'elle apporte des réponses aux problématiques sociales locales.
Etre vigilent sur la fréquentation intergénérationnelle et multiculturell de la plage
Maintenir la participation de tous les animateurs du centre pour assoir les relations avec les habitants sur le reste de l'année.
Actions
La MJC sous les balcons
- Structure organisatrice
- MJC CENTRE SOCIAL VICTOR HUGO - Haute-Savoie
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Résumé
La MJC Centre Social emmène la culture directement en bas de chez vous!!
Tout au long de l'année différentes déambulations sont organisées dans le but de proposer de l'action culturelle directement sur les lieux de vie des habitants (musique, cirque, théâtre etc...).
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pendant plus d'un an et demi sans pouvoir accueillir du public dans notre salle de spectacle, nous avons décidé de continuer nos actions culturelles de façon différente en proposant des démbulations.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
L'action a débuté le 19 juin 2020.
Nous voulions lancer l'été et la réouverture de la structure par quelque chose de festif et culturelle.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
1200€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 professionnels et 3 bénévoles
- Résultat sur le territoire
De la culture dans des lieux ou d'habitude il n'y en a pas.
- Résultat pour le centre social
Un projet nouveau qui permet de faire rayonner les actions culturelles sur l'ensemble de la commune.
Développer des nouvelles formes de mobilisation des habitants sur divers champs d’actions.
Asseoir notre présence sur l’ensemble du territoire
Proposer des actions favorisant la mixité sociale, la rencontre des publics intergénérationnels à travers l’action collective
- Résultat pour les habitants
Rendre les habitants acteur du centre social.
Rencontrer et connaître ses voisins.
- Suite de l'action : Limites
Le coût de certaines prestations.
- Suite de l'action : Perspectives
Créer des groupes de travail composés de professionnels et d'habitants pour réfléchir aux choix des déambulations et aux différents lieux.
Impliquer les différents secteurs dans la création de déambulations.
Actions
L'étoffe des héros - défilé des petites coutures
- Structure organisatrice
- OMAC Office Municipal d'Animation de la Cité - Seine-et-Marne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Action déterminée dans le temps qui s'est déroulée de décembre 2016 à septembre 2017.
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- Résumé
De janvier à mai 2017, la Ferme du Buisson (scène nationale), le Château de Champs-sur-Marne (centre des monuments nationaux) et l'OMAC ont invité les habitants (domiciliés en ZSP de Torcy) et la compagnie Cirkatomik à créer des costumes uniques et originaux à partir d'objets de tous les jours et de matériaux recyclés. Le samedi 20 mai 2017 à la Ferme du Buisson, s'est déroulé le spectacle "Le plus grand défilé des Petites Coutures". L'occasion pour une vingtaine de volontaires, adultes ou adolescent et un enfant, de vivre une expérience de mannequinat exceptionnelle ou d'assister les artistes et comédiens dans les coulisses du spectacle pour l'habillage, le maquillage ou l'ouverture des rideaux. Du 16 septembre au 8 octobre une exposition de de toutes les réalisations a eu lieu au château , le vernissage s'est déroulé le vendredi 15 septembre 2017. Une sortie a été organisée le 25 juin 2017 à Moulin (Allier03) au Centre National du costume pour une visite guidée de l'exposition "Modes ! A la ville A la scène".
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Dans le cadre de la mise en place d'une nouvelle ZSP sur la ville de Torcy, un jumelage a été mis en place entre le château de Champs, la Ferme du Buisson (scène nationale), la ville de Torcy/OMAC afin d'inventer des actions spécifiques pour les habitants de ces quartiers et de les rendre autant que faire se peut acteurs des processus culturels.
Le projet porte sur la prise de conscience de la transformation de la silhouette à travers les différentes époques et des modes, sensibilisation au développement durable par le biais des ateliers de fabrication de costumes.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Mise en place d'un comité de pilotage des partenaires impliqués : septembre 2016.
Décembre 2016 1ère réunion de présentation aux habitant du projet participatif : "Avis aux torcéens - L'étoffe des héros".
De février à avril 2017 : Mise en place des ateliers de collectes de matériaux, fabrication des costumes, accompagnées par la Compagnie Cirkatomik.
De février à juin : Ateliers de confection d'accessoires au Château de Champs-sur-Marne (Centre des Monuments Nationaux).
20 Mai 2017 : Spectacle "Le plus grand défilé des Petites Coutures". Se spectacle a associé des habitants et des comédiens de la troupe Cirkatomik
Juin 2017 Visite avec des habitants du Centre National du costume à Moulins.
Du 16 au 8 octobre 2017 : Exposition au Château de Champs de toutes les costumes et accessoires faient par les habitants.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
L'OMAC était uniquement partenaire au niveau de la mobilisation de habitants, mise à disposition du matériel et des locaux.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
6 professionnels et 65 habitants.
- Résultat sur le territoire
Consolider la relation de proximité existant entre les habitants de ces quartiers et les 2 structures culturelles (La Ferme du Buisson et le Château de Champs-sur-Marne)
- Résultat pour le centre social
Consolider la relation de proximité, valoriser les productions des habitants
- Résultat pour les habitants
Sensibilisation au développement durable par le biais des ateliers de fabrication de costumes avec des matériaux de récupération.
- Suite de l'action : Limites
Il a été difficile de mobiliser un nombre d'habitants plus important au regard des objectifs initiaux.
- Suite de l'action : Perspectives
Continuité de l'action avec ces 2 partenaires (La Ferme du Buisson et Château de Champs) pour 2018 et 2019 et mise en place d'un projet artistique avec la Compagnie XTNT. Compagnie travaillant plus particulièrement sur des interventions dans l'espace public.
Actions
L'été à La Vache
- Structure organisatrice
- ALLIANCES ET CULTURES NORD - Haute-Garonne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Evènement de quartier sur le mois de juillet 2017
- Dimension
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- vacances / loisirs
- Résumé
Le Centre Social Alliances et Cultures Nord mène des actions visant à animer le quartier La Vache et à développer le lien social et intergénérationnel par des actions à la fois régulières et ponctuelles. L'été 2017 a été marqué par la fermeture du Centre Social pour travaux. En accord avec les partenaires du quartier et les habitants, cette fermeture a été l'occasion, pour l'équipe du Centre Social de s'installer au sein de la Maison de Quartier La Vache, non utilisée sur juillet-août. L'idée étant que, au-delà d'une simple délocalisation du Centre social, un projet multi-partenarial voit le jour sur le mois de Juillet 2017. Ainsi, le Centre Social a coordonné un projet d'animation, en lien avec le gestionnaire de la Maison de Quartier (Centre d'Animation Lalande), associant les habitants et une trentaine d'associations du territoire. Un financement exceptionnel de 2000 euros a été attribué par la DSCS au centre Social pour la mise en oeuvre de ce projet. Ce projet, très apprécié de tous a touché sur le mois de juillet près de 2000 personnes. Ce projet, qui reste un projet exceptionnel permis par la fermeture du Centre Social a cependant permis d'insuffler une dynamique qui se poursuit désormais sur chaque période de vacances scolaires...
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le quartier La Vache est un quartier peu animé, et un sentiment d'insécurité est ressenti par les habitants autour de la place principale. Une maison de quartier y est implantée et des associations l'occupent durant les périodes scolaires pour des activités peu ouvertes aux habitants du quartier... Le reste du temps cette Maison de quartier est fermée. En parrallèle, le Centre Social Alliances et Cultures Nord, dont l'implantation est située en périphérie du quartier mais qui animait déjà des actions sur la Maison de Quartier, avait en prévision une période de travaux de 4 mois, rendant le Centre Social inaccessible aux usagers.
Les objectifs de la mise en place d'un évènement sur le Quartier La Vache durant le mois de Juillet 2017 étaient donc:
- D'occuper la Maison de Quartier, afin d'animer le quartier La Vache et de le rendre moins "insécurisant"
- De réunir des partenaires autour d'un projet commun, afin d'impulser une dynamique de territoire
- De trouver un lieu d'implantation du Centre Social et de sa ludothèque durant la période de travaux, afin d'éviter la fermeture du Centre Social durant le mois de juillet.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Après la validation de la Mairie pour la réservation de la Maison de Quartier et l'occupation de l'espace public sur l'ensemble du mois de juillet, l''action a débuté au mois de Mars 2017 par la mise en place de réunions partenaires afin de plannifier les actions qui seraient proposées sur Juillet, soit par le Centre Social/ludothèque, soit par les partenaires. Chaque membre de l'équipe était référent d'un ou plusieurs partenaires et en charge de suivre la mise en place et le déroulé des activités proposées. Le Centre d'Animation Lalande, qui gère la Maison de Quartier, a été un partenaire privilégié dans la réalisation de ce projet. Il a notamment permis de faire le lien avec les associations fréquentant la Maison de Quartier durant l'année scolaire.
Le Centre Social a fermé ses portes 1 semaine avant et 1 semaine après afin de permettre le déménagement du Centre social et de sa ludothèque du Centre Social à la Maison de Quartier.
Un bilan a été fait sur la rentrée d'Octobre 2017... Au vu du succès de l'évènement il a été décidé que des associations pourraient désormais proposer des actions durant les vacances scolaires. A la Toussaint, le festival "génération pixels", porté par l'association l'Ecole Citoyenne, a d'ailleurs eu lieu.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
2000 euros finacé par la DSCS pour animer le quartier durant le mois de Juillet
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- L'ensemble de l'équipe du Centre Social et de la lutdothèque, soit 12 personnes qui se relayaient afin de garder l'espace ouvert sur l'ensemble de la journée... même entre 12h et 14h
- Une trentaine de partenaires, soit qui proposaient habituellement des activités sur la Maison de Quartier, soit des partenaires de quartier qui travaillaient déjà avec le Centre social
- Une dizaine d'adhérent/bénévoles, plus implioqués dans le projet
- Résultat sur le territoire
- Un territoire Animé durant tout le mois de juillet, réduisant le sentiment d'insécurité et parfois d'abandon des habitants.
- Des rencontres intergénrationnelles et interculturelles, avec des personnes touchées qui ne fréquentent pas habituellement le Centre Social.
- Une dynamique de territoire, avec un lien renforcé entre les partenaires.
- La poursuite, de moindre ampleur, de cette dynamique une fois l'évènement fini.
- Résultat pour le centre social
- Un Centre Social plus visible
- Un Centre social qui "touche" des habitants généralement plus difficiles à capter
- Un Centre Social reconnu comme animateur de territoire
- Résultat pour les habitants
- Des habitants heureux d'avoir un quartier qui vit
- Des rencontres entre habitants
- La connaissances de ce qui se fait sur leur quartier en dehors de cet évènement (actions des partenaires et du Centre social)
- Suite de l'action : Limites
- Action non reconductible en l'état car pemis grâce à la fermture totale du Centre Social
- Suite de l'action : Perspectives
- Des actions moins chronophages et plus ponctuelles sont désormais prévues sur chaque vacances et pour cet été
Actions
L'ACCES AUX DROITS, UN PREALABLE A LA CITOYENNETE
- Structure organisatrice
- ESPACE SOCIAL ET CITOYEN DE TERRE ROUGE / VIEUX CAHORS - Lot
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Précarité
- Résumé
Faire de l'accès aux droits une priorité à travers un maillage tant territorial que de compétences au plus près des quartiers populaires (et prioritaires) à travers plusieurs actions :
1 - Proposer une première réponse de proximité, sécurisée et diversifiée à tous les publics en s'appuyant sur les centres sociaux positionnés dans chacun des quartiers populaires de Cahors. Cette première réponse reste généraliste et globale, elle permet un premier contact rassurant, dans un lieu sécure et repéré par les habitants. Elle permet à la personne de se sentir pris en compte et favorise la lutte contre le non recours aux droits par une première écoute bienveillante et active. Elle est possible au quotidien sur les heures d'ouverture des centres sociaux
2- Développer des permanences hebdomadaires du Bus France Services en proximité immédiate des centres sociaux pour apporter un niveau de réponse plus spécifique et plus pointue. Ces permanences ont lieu sur une demi-journée régulière qui facilite le repérage pour les habitants qui sont accueillis de manière libre par les deux conseillères France Services. Accompagnement et lien avec les opérateurs ou partenaires prennent une dimension plus importante. Les situations les plus complexes qui nécessitent un travailleur social sont accompagnés par les professionnelles.
3- Faciliter le lien avec les opérateurs mais également les travailleurs sociaux du Département par des rencontres régulières, des informations collectives sur site, des permanences régulières ou ponctuelles selon les besoins.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pour les professionnels des centres sociaux ou des France Services, avoir accès à ses droits est un préalable à l'exercice de la citoyenneté et souvent à la participation au sein de nos structures. Lutter contre le non recours aux droits ou les situations complexes favorisent la confiance des habitants, le sentiment de vivre le centre social comme un lieu ressource et bienveillant.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Les France Services (anciennement MSAP) sont des structures nouvelles qui essaie de se réinventer régulièrement. Nous nous sommes appuyés sur le renouvellement des permanences du Bus France Services qui a lieu tous les deux ans et qui s'appuie sur une consultation des élus du territoire, de la Préfecture pour donner à voir les besoins en zone urbaine en termes d'accès aux droits dès 2019. Le contrat de projet des centres sociaux de la ville de Cahors ont été également l'occasion de faire remonter des besoins sur cette thématique (enquête habitants, retour des partenaires) et de croiser avec le travail de réflexion pour les France Services, facilité car sous la même direction adjointe.
Depuis 2019, où nous avons commencé l'expérimentation, le dernier renouvellement en 2023 permet d'atteindre un équilibre très intéressant pour le territoire et d'y engager de nombreux partenaires. Ce qu'il y a 4 ans posait question est aujourd'hui reconnu comme une organisation complète et pertinente pour les habitants et pour les professionnels.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
L'action n'a pas demandé de budget supplémentaire si ce n'est pour la communication. C'est dans la concertation, la coopération et la construction de liens qui ont impliqué les professionnels des différentse structures que ce projet a pu voir le jour. Il est le fruit d'un travail de partenariat et d'une recherche de cohérence sur le territoire et au regard des missions communes ou croisées.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Les chargées d'accueil des centres sociaux de la Ville de Cahors (4) + les conseillères France Services du BFS (2)
La direction adjointe DSS + les élus du Grand Cahors + les partenaires de l'Etat + les opérateurs
L'enquête auprès des habitants des quartiers sur les besoins (400 réponses sur l'ensemble des 4 structures)
- Résultat sur le territoire
Moins de non recours aux droits ( à partager avec les partenaires)
Présence des services publics et des opérateurs au coeur du quartier pour des informations collectives
- Résultat pour le centre social
Diversification du public au sein des centres sociaux favorisant la mixité sociale, générationnelle et culturelle
Identification du centre social par de nouveaux publics qui en l'auraient pas connu sans cette entrée "accès aux droits"
Structures vécues par les partenaires comme des lieux ressource et reconnues dans leurs compétences
Montée en compétences des chargées d'accueil et partenariat fort
- Résultat pour les habitants
Sentiment d'une prise en considération par les habitants des quartiers sur la question des droits
Services de proximité plus diversifié
Plus de facilité à aller vers les opérateurs car réassurance après cet accompagnement
- Suite de l'action : Limites
Nous entamons en septembre 2023 un nouveau roulement qui intègre le quartier des Badernes, très fragile. Nous serons très vigilants à rester à notre place et sur nos missions et ne pas faire empiéter sur les missions des opérateurs.
Les limites que nous risquons de rencontrer très rapidement concerne la fréquentation qui est de plus en plus importante dans les quartiers de Cahors et qui devra être analyser pour y apporter les réponses adaptées selon le niveau de compétences de chacun et ses missions.
- Suite de l'action : Perspectives
Renforcement des liens entre chargées d'accueil des centres sociaux et conseillères France Services, notamment avec les nouvelles professionnelles.
Actions
KILTI A LA SOURCE
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL LA SOURCE - Guadeloupe
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- éducation / scolarité
- Solidarité
- Culture
- Intégration
- vacances / loisirs
- Mixité sociale
- Résumé
Ouvrir la culture à tous. <<La culture près de chez toi>> « “KILTI DOUVAN POT AW “. L’idée est de vulgariser la culture, de la rendre accessible à tous et partout. Nous sommes une terre de culture donc cela devrait être à la portée de tous. Favoriser des rencontres et échanges. Nous allons faire un travail avec nos partenaires pour que la participation financière aux différentes activités ne soit plus un frein ainsi que la mobilité. En cela, les conventions de partenariat avec les services de la DAC, Ministère de la Culture, le Conseil régional, le Conseil Départemental, la Caisse d’Allocation Familiale, la Commune /CCAS de Petit-Canal, seront à renforcer. De plus, le Nord Grande Terre vu sa position géographique est loin de toutes les grandes agglomérations. Petit-Canal ville d’histoire.
Des actions sont d’ores et déjà proposées dans le cadre de la promotion de la culture de proximité et nécessitent d’être renforcées dans leur mise en œuvre.
Il s’agit d’organiser des animations avec autant que possible la participation des habitants et des associations de quartier. Rencontres avec des artistes, Expositions, conférences, danses…
Aussi, de manière littéraire avec le développement de la lecture culturelle (livres, poésie,)
- Qui est à l'initiative de l'action ?
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- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Rendre accessible les évènements culturels et historiques (théâtres, danse, spectacles, musées, visites, Art etc…) PASS CULTUREL.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
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Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Projet social-
: Décembre 2020 à décembre 2021. Une fois par mois minimum en après-midi ou en soirée une manifestation culturelle sera organisée en collaboration avec des acteurs associatifs dans un quartier, lieux culturels, local associatif, bénévoles…En faisant attention à alterner entre les types d’actions (Théâtre – Concert – visite guidée – lecture – poésie- etc…).
1 ou 2 professionnels – 2 salariés – 2 bénévoles – 1 Service Civique
- Ressources financières mobilisées pour cette action
47 201 euros (sur l’année entre les actions pour dispenser des cours de théâtre – faire profiter des spectacles, concerts, représentations à moindre coût pour les publics cibles – achat, aménagement de la salle et de la scène).
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 ou 2 professionnels – 2 salariés – 2 bénévoles – 1 Service Civique
- Résultat sur le territoire
Lutte contre l’isolement – attractivité – intergénérationnelle –
- Résultat pour le centre social
Satisfaction de contribuer à l’épanouissement de la population – répondre à la demande – réunir tous les âges dans une même action
- Résultat pour les habitants
Autonomie des personnes âgées participantes. Lien social. Epanouissement, divertissement, rencontres et échanges. Participation à d'autres activités.
- Suite de l'action : Limites
Le coût des prestations – Manque de partenaires.
- Suite de l'action : Perspectives
Permettre de monter une scène otantik ou nous allons trouver la population acteur de l’action au-devant de la scène. Libération de la parole, expression en public, assurance de prise de parole…. Proposer des représentations dans les sections et communes.
Actions
Juillet Ensemble - Quartier Animé
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIO-CULTUREL DE SAINT- LOUIS - Haut-Rhin
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
L'action à eu lieu en juillet 2018. Pour l'année en cours l'action est donc terminée, mais elle sera reconduite en juiller 2019.
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- vacances / loisirs
- Mixité sociale
- Résumé
Durant le mois de juillet, les animateurs du secteur enfance et jeunesse proposent des animations tous publics aux habitants du quartier de la gare et de la cité du Rail. Les animations passent du cahier de vacances aux bricolages, maquillages, initiations ou animations sportives, initiations aux percussions africaines, jeux d’eau, …
De plus, les lundis après-midis de 15h à 17h l’équipe d’animation est renforcée par une accueillante du LAEP qui propose des animations destinées aux enfants de 0 à 4 ans et à leurs parents avec des conseils et une oreille attentive aux problématiques liées à la parentalité.
Lors des interventions, un goûter collectif est proposé à 16h30, moment convivial où chacun peut amener ses spécialités et découvrir celles de ses voisins. De plus, l’intervention d’une diététicienne permet d’avoir gratuitement des conseils pour préparer de bons goûters équilibrés à chaque âge.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L’animation de quartier qui a eu lieu dans le quartier de la gare (QPV) en juillet 2017 a été accueillie avec un grand succès, permettant aux enfants et parents de participer à des activités gratuites. Les animateurs n’étant pas des professionnels de la petite Enfance, il manquait des animations destinées au moins de 3 ans. De plus le LAEP Fami’Lys souhaite être plus visible au niveau du quartier de la gare pour ensuite orienter les familles dans le locaux du LAEP. Le quartier de la gare étant désigné comme quartier prioritaire de la ville, de nombreux habitants sont en situation précaire et n’ont pas accès aux loisirs ou ne peuvent pas partir en vacances par manque de moyens, il est donc important de proposer des animations aux enfants pendant les vacances scolaires estivales.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
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Partenaires d'action:
- Préfecture
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Tout le mois de juillet les lundis et mardis après-midi ainsi que les mercredis en journée complète, les animateurs et partenaires culturels sont intervenus dans le quartier prioritaire de la Gare en proposant des activités sur diverses thématiques : art, sport, nature, sciences.
En amont, la responsable Enfance/Jeunesse (REJ), la coordinatrice jeunesse (CJ), les animateurs jeunesse, les accueillantes LAEP, la responsable du secteur famille, les bénévoles se sont rencontrés à différentes reprises afin de préparer les animations et communiquer aux partenaires les informations. 3 séances de travail collectives ont eu lieu et plusieurs rencontres entre les partenaires, la REJ et la CJ.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 REJ
1CJ
2 accueillantes LAEP
1 animatrice jeunesse
- Résultat sur le territoire
Partir à la rencontre des habitants du quartier de la gare
Créer du lien, favoriser les échanges et partager des temps conviviaux
- Résultat pour le centre social
Renforcer le lien avec les habitants du quartier prioritaire, développer la visibilité du CSC et attirer de nouveaux bénévoles/adhérents au secteur jeunesse, faire connaitre les actions du secteur famille et du LAEP
- Résultat pour les habitants
Proposer des temps de loisirs à ceux qui n’ont pas les moyens de partir en vacances
Proposer des animations au coeur du quartier prioritaire
Faire découvrir les actions du CSC (LAEP, animation enfance, jeunesse) et attirer de nouveaux usagers ou bénévoles
- Suite de l'action : Limites
Manque de matériel et de moyens logistiques (accès à l'eau, abbris en cas de forte chaleur ou de pluie), difficulté de cuisiner les repas collectifs dans le quartier (pas de point pour cuire)
- Suite de l'action : Perspectives
Pérennisation de l'action en développant les partenariats et les moyens