Les actions des centres sociaux
Actions
L'alphabétisation : un moyen d'insertion
- Structure organisatrice
- CS ACOLJAQ - CHRISTIAN JANSSENS - Nord
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Le projet a été mis en place sur une année avec un financement sur un seul exercice.
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Emploi, économie
- Intégration
- alphabétisation & apprentissage du français
- Mixité sociale
- Résumé
L’association propose des ateliers d’alphabétisation en direction du public adulte. Les séances se déroulaient principalement en individuel. Nous avons voulu apporter une dynamique collective à ces ateliers tout en rendant les adultes, qui ne maîtrisent pas ou peu la langue française, acteurs de leur insertion aussi bien sociale que professionnelle.
Pour cela, nous avons choisi d’utiliser différents moyens afin de permettre à chacun d’apprendre le français tout en s’insérant socialement et professionnellement. Ce projet s’est décliné en 3 actions phare :
- La création d’un livre de recettes
- La création d’un code de la circulation
- La mise en place de la semaine de l’emploi
Les thématiques « cuisine », « mobilité – sécurité routière » et « emploi » ont été dans ce projet, utilisées uniquement comme moyens et supports pour apprendre la langue française (fil rouge du projet) tout en répondant aux demandes des adhérents en terme d’insertion sociale et/ou professionnelle.
Chaque action était composée de plusieurs activités qui répondaient aux objectifs généraux suivants :
Description du projet : Une des bénévoles des ateliers d’alphabétisation accompagne spontanément ses apprenants dans leur insertion professionnelle (recherche d’offre, de formation, écriture de la lettre de motivation etc…). Les sollicitations ont été de plus en plus nombreuses. C’est pourquoi, nous avons mis en oeuvre ce projet afin de créer une dynamique collective autour de l’apprentissage du français et de l’insertion.
Les « Ateliers informatiques » : cette action a permis de créer du lien entre les apprenants. Pour les valoriser et les fédérer autour de cette action, nous avons choisi une thématique commune, celle de la cuisine. L’idée est d’apprendre le français et de s’initier à l’outil informatique en réalisant un livre de recettes du monde, recettes des pays d'origine des participantsPour cela, chaque participant a du écrire une recette typique de son pays d’origine. Les séances se sont déroulé sur ordinateur afin de sensibiliser les apprenants à l’outil informatique (écriture, mise en page). Toutes les recettes ont été centralisées dans un livre de « recettes du monde ».
Les « Ateliers cuisine » : Ces ateliers ont réuni tous les participants des « ateliers informatiques » ayant proposé une recette. Ils ont été co-animés par des bénévoles (ceux de l’alphabétisation ou d’autres volontaires repérés) et par la responsable du secteur « Adultes et Familles », toujours dans l’optique de créer et renforcer les liens entre les participants, apprendre le français de manière ludique et s’insérer professionnellement.
Les participants ont préparé un menu complet, à partir des recettes proposées dans leur livre. Le temps de préparation a été l’occasion de travailler le français : lecture de la recette, vocabulaire lié à la cuisine et aux ingrédients, conversation de groupe… Ces réalisations ont été dégustées, lors des repas thématiques, appelés « les repas écoute-infos
Les « Repas écoute-infos » : Ces repas ont été les temps forts des actions présentées ci-dessus. C’est un moyen de valoriser les participants et leur investissement dans les différentes actions. Les menus ont été issus du livre et préparé par les participants. Le repas a été partagé avec ces derniers, les bénévoles et les partenaires. Au cours de ces repas, un ou plusieurs partenaires, professionnels de l’insertion professionnelle ont été conviés pour informer et répondre aux questions des participants. Par exemple : un agent de pôle emploi, un directeur des ressources humaines, etc.…
Le « code de la circulation » : Cette action a été organisée en direction de toutes les personnes souhaitant se sensibiliser au code de la route et rencontrant des difficultés de compréhension dues à la non-maîtrise de la langue française. Cet atelier s’est traduit par des séances de tournage ou séances photos sur des situations routières rencontrées au sein du quartier.Les participants ont pu appréhender le code de la route de façon ludique. Ces derniers ont été sensibilisés au code de la route, ont écrit et filmé des saynètes sur des situations de circulation dans le but de créer un quizz dont ils ont rédigé les questions et les réponses. L’ensemble a été monté sur un support vidéo qui se présente sous la forme d’un « code de la route classique ». Une manière de travailler le français écrit et oral et de les sensibiliser au code de la route et au système de l’examen.
La semaine de l’emploi en plusieurs étapes :
Les Ateliers recherches d’emploi : Ces ateliers seront proposés en priorité aux personnes ayant participé à la semaine de l’emploi. Ils seront également ouverts à tous ceux qui recherchent un emploi et/ou d’une formation. Ils seront animés par l’animatrice « multimédia » de notre association et pérennisés après le projet. Lors de ces ateliers les participants pourront apprendre à rédiger un CV et une lettre de motivation, créer son compte pôle emploi, créer sa boîte mail, apprendre à envoyer ses CV et ses lettres de motivation en ligne et mener ses recherches sur internet… L’animatrice adaptera son programme en fonction des attentes des participants et des besoins repérés lors de la semaine de l’emploi.
Pour valoriser le travail mené sur cette action, un livret de l’emploi a été créé. Ce livret synthétise de manière simple et adaptée (vocabulaire accessible) toutes les informations vues lors de ces ateliers. Il a été construit au fur et à mesure des séances.
Les « Ateliers de développement personnel » : Lors de ces ateliers les participants ont appris à mieux se connaitre, à travailler l’estime de soi et la confiance en soi, à contrôler leur stress et à se préparer pour un entretien
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Apprendre à lire, écrire et parler le français
- Acquérir son autonomie
- S’insérer socialement et professionnellement
- Découvrir la culture française
- S’émanciper socialement, civiquement et intellectuellement
- Développer la confiance en soi et l’estime de soi
- Partager des moments conviviaux
- Rencontrer des nouvelles personnes
- S’ouvrir à son environnement
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
L'action a été réalisée en 2017 pour s'achever en 2018.
Le projet a été porté par la responsable du secteur « Adultes et Familles » et l’animatrice « multimédia » appuyées par plusieurs bénévoles des ateliers en alphabétisation.
Les ressources humaines externes (intervenants, partenaires)
Association « DMDS » (Wambrechies) : coordination, la mobilisation du réseau de professionnels et l’animation de certaines actions.
Association « INSIGHT et MOI » (Mouvaux) : accompagnement collectif lors des ateliers de développement personnel.
UTPAS : Diffuse l’information et oriente les publics
CCAS (suivi des personnes au RSA) : Diffuse l’information et oriente les publics
FCP (Club de prévention) : Diffuse l’information et oriente les publics.
PIJ (Point Information Jeunesse) : Diffuse et oriente les publics notamment (18-25 ans)
Autres partenaires des différentes actions : pôle emploi, Directeurs de service, Directeurs des ressources humaines etc…).l’association EVASION qui en charge de la mobilisation des partenaires professionnels de l’insertion professionnelle et du recrutement.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget global : 22738 €
Une subvention spécifique de la fondation orange de 16600 € (fonctionnement et investissement)
La Ville de La Madeleine : Prêt des locaux - 70% des salaires des permanents
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Les salariés de l'association : 2
les partenaires : 6
les bénévoles des ateliers : 5
les bénéficiaires du projet : entre 20 et 30 personnes
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
"Génération 60"
- Structure organisatrice
- CS FLERS SART - Nord
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Viellissement
- Résumé
Objet de l’action : "Vieillissement de la population"
Dans le cadre de la préservation de l’autonomie et du maintien du lien social ,mettre en place des actions d’accompagnement et d’animation collectives en faveur des retraités Villeneuvois , vivant à domicile , en situation de fragilités sociales ; psychologique ; et (ou) économique
.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Précision ( si autre )
La CARSAT soutien ce projet depuis 2008.
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Finalité :
Depuis 2008, le centre Culturel et social Flers Sart a orienté et renforcé ses missions en faveur d’un nouveau public communément appelé les seniors pour agir et répondre aux enjeux liés au vieillissement de la population. Ces missions s’inscrivent dans le projet Social …
Objectifs généraux partagés :
Développement de nouvelles dynamiques territoriales autour de la prévention du vieillissement.
Emergence d’une culture de la prévention autour du vieillissement.
Meilleure connaissance des besoins du public retraité autonome et fragile.
Articulation entre les acteurs et les dispositifs institutionnels concernant la prévention.Objectifs opérationnels partagés :
Développer une mission d’animation globale et collective spécifique au vieillissement dans les centres sociaux du Nord – Pas de Calais.
Réaliser un diagnostic partagé à partir des observations et des analyses territoriales.
Mettre en place des actions collectives et partenariales pour prévenir les risques liés au vieillissement.Les orientations visées par l’association:
Accompagner les personnes âgées dans cette transition de vie difficile qu’est le passage à la retraite.
Encourager l’expression de la parole des retraités
Favoriser la mixité sociale, Culturelle, intergénérationnelle
Lutter contre l’isolement des seniorsRésultats :
Moins d'isolement
Maintien du lien social/Tisser du lien social
Préserver l'autonomie des personnes âgées
Prévention santé
Développer des partenariats
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
En 2004, nous avons mis en place un atelier informatique. Cet atelier attire en majorité des seniors qui au fil des années ont souhaités mener d'autres actions au centre social.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
15000 € par an
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 animateur référent
30 bénévoles
- Résultat sur le territoire
Moins de personnes seules/plus d'animations de services en adéquation avec les besoins et les attentes des jeunes retraités.
- Résultat pour le centre social
Les seniors un public exigeant mais reconnaissant qui nous a ammener à faire évoluer notre accueil/nos pratiques professionnelles/développement du partenariat... Aujoud'hui : Plus d'animations/de services ; plus d'engagements, de bénévoles ; plus de projets ; plus de gestion adminisitratives
- Résultat pour les habitants
Des habitants qui ont la possibilité de construire un projet personnel, collectif, bien vivre dans leur quartier, ne pas se sentir seule.
Des animations et des services supplémentaires
Maintien du lien social/vivre ensemble (mixité/intergénaration...)
Citoyenneté : Des habitants s'engagent plus dans leur quartier alors que la tendance est au repli...
- Suite de l'action : Limites
L'axe seniors en plein essor qui demande plus de financements, de personnels, de compétences, de formations...
- Suite de l'action : Perspectives
Développer/renforcer le partenariat.
lutter contre l'isolement.
Prévention santé
Actions
DEFILE SOLIDAIRE
- Structure organisatrice
- CS DULCIE SEPTEMBER - Nord
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Résumé
Un défilé est organisé chaque année un soir en septembre depuis 2010 dans la salle des fêtes mise à la disposition du centre socioculturel par la ville gracieusement. Une soirée sous le signe de la convivialité avec une scène ouverte à tous les habitants. Adhérents du centre, habitants en situation de handicap ou non, enfants jeunes ou séniors peuvent se faire plaisir et devenir mannequin d'un soir ou chanteur, joueur de djembé, artiste débutant... De nombreuses associations accueillant des personnes en situation de handicap adhèrent au projet car elles sont rarement sollicitées pour de tels évènements. En ressortent de belles rencontres grâce à l'investissement de tous... 200 personnes défilent sur scène, 400 viennent en spectateurs...
Des ateliers sont créés pour préparer le défilé
Un partenariat est développé entre la ville et le centre socioculturel ainsi qu'avec les associations volontaires.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L'hôtesse d'accueil du centre socioculturel, investie dans le projet du centre, a proposé de monter ce projet suite à la rencontre au quotidien des habitants, à la récolte de leurs paroles, et au repérage des besoins de changement de regard sur la différence et sur le handicap.
L'action a donc pris du sens pour que le bien vivre ensemble se concrétise autour d'un évènement pensé et construit en amont pendant quelques mois avec la visée d'un changement de regard des uns envers les autres, d'une meilleure connaissance de l'autre pour s'ouvrir, se rencontrer, faire grandir son estime de soi, prendre plaisir, échanger des savoir faires... Et être surpris et émerveillé ...
Il aboutit aujourd'hui au projet de développement d'un partenariat plus poussé avec une structure d'accueil de jeunes en situation de handicap sur la commune et à un système d'échanges entre les 2 structures.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
2695 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
5 professionnels
10 bénévoles
- Résultat sur le territoire
reconnaissance des institutions, évènement attendu, changement de regard qui s'amorce
- Résultat pour le centre social
reconnaissance du centre social comme plateforme de projets, comme facilitateur d'actions
- Résultat pour les habitants
amélioration du changement de regard, de l'acceptation de la différence
- Suite de l'action : Limites
sans financement il est difficile d'en faire un évènement "magique" chaque année avec de nouveaux intervenants
- Suite de l'action : Perspectives
Développement du partenariat avec les institutions spécialisées pour des actions pérennes à l'année: atelier théâtre à l'espace jeunes, atelier peinture en co-production, expositions communes entre le centre socioculturel et le service CLIP (culture/loisirs/insertion professionnelle) des papillons blancs.
Actions
Education à l'environnement
- Structure organisatrice
- CSC RAIL ATAC LOUVROIL - Nord
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- développement durable
- Résumé
Action collective des centres sociaux de Sambre-Avesnois, contractualisée avecle Parc Naturel Régional de l'Avesnois, sur plusieurs thèmatiques :
- éducation à l'environnement
- formation des intervenants
- défi familles à énergie positive
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Précision ( si autre )
les centres sociaux de sambre-avesnois et le Parc Naturel Régional
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Sensibiliser les population aux enjeux de l'environnement, les préparer aux changements sociétaux et au développement durable, apporter des réponses aux enjeux du logement en liant l'économique et l'environnement.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Construction d'un plan d'action partagé entre les centre sociaux et le Parc Naturel Régional, alliant la formation des intervenants et des actino concrètes misent eu oeuvre en commun : défi familles, auto-réhabilitation accompagnée de logements..
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Action transversal à tous les secteurs d'activités, le budget globale est difficile à évaluer précisément car il est compris dans les budgets des différentes actions.
L'action spécifique d'auto-réhabilitation accompagnée a un budget de 29 000€, qui évoluera en 2017.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- 14 salariés et 4 animateurs occasionnels
- 6 bénévoles
- Résultat sur le territoire
- Implication des habitants des quartiers populaires dans les enjeux liés à l'environnement
- Réhabilitation d'une mare pédagogique (en cours)
- Amélioration de l'habitat des propriétaires-occupants et des locataires du parc public et privé.
- Résultat pour le centre social
- dynamique d'équipe innovante
- amélioration de l'image du centre social
- dynamique innovante avec les usagers, arrivée de nouveaux bénévoles
- Résultat pour les habitants
- meilleurs prise en compte de l'environnement immédiat
- amélioration du logement
- développement de solidarités nouvelles
- Suite de l'action : Limites
- Action pensée et mise en oeuvre dans la durée
- Les différents axes de cette action globale seront plus ou moins développés en fonction des financements obtenus
- Le portage collectif est le garant de la durée de cette action, car il renforce mutuellement les acteurs impliqués.
- Suite de l'action : Perspectives
Action en développement, plusieurs pistes sont à l'étude.
Actions
Rosaliebus, aller à l'école autrement
- Structure organisatrice
- MAISON DU MÉRIDIEN - Nord
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Emploi, économie
- mobilité / transport
- Résumé
Mise en place d'un service de transport scolaire collectif, doux , animé par un emploi nouveau créé grace à un financement de la fondation du dunkerquois tous solidaires.
Ce mode de transport Rosaliebus poursuit é objectifs:
-celui de créer un emploi nouveau pérenne et à temps complet
- inciter les enfants et leurs familles à des modes de déplacements doux, alternatifs à la voiture individuelle et au bus.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
3 objectifs:
- créeer une emploi d'utilité social, inexistant jusqu'alors(répondant au critère de l'innovation.
-Répondre à des enjeux environnementaux et sociaux de mobilité douce.
- rendre les déplacements alternatifs au moteur plus attractif pour les enfants
-Promouvoir ce type de mobilité" partagé" auprès de la population.
- Public
- Enfance
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Achat du matériel ( 2 rosaliebus par la ville de Dunkerque) après une étude de faisabilité faite par la direction de l'éducation de la Ville de Dunkerque auprès de 3 écoles.
Partenariat avec une école et des parents d'éleves d'une école de Malo les Bains. Gestion du service par l'Aduges qui obtient le financement d'un poste d'animateur pilote de Rosaliebus aouprès de la fondation du Dunkerquois soilidaire et embauche un 2eme pilote à temps partiel pour la gestion d'un 2émé trajet. Partenariat avec les services techniques et la direction de l'éducation de la Ville de Dunkerque;
- Ressources financières mobilisées pour cette action
10 477 euros en 2018 (excédent de 1767 euros) + investissement de 16 000 euros pour 2 Rosaliebus.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
7 salariés ( dont 3 partenaires ) + l'animateur pilote à temps plein ( création d'emploi)+ Directrice d'école.
- Résultat sur le territoire
Impact relativement satisfaisant sur l'utilisation du service ( 30 enfants inscrits à ce jour).
Image sympathique du dispositif vis à vis de la population; attractivité de l'école concerné
création d'un emploi et d'une nouvelle activité devant etre développée sur le plan d'une utilisation plus ludique et /ou utilitaire or créneaux de rammassage scolaire.
evolution de l'état des esprits des enfants ( aller à l'école devient plus agréable) et des familles (transport doux, collectif, ..et sécurisé), gratuit et accessible.
Impact sur l'environnement.
- Résultat pour le centre social
Rosaliebus comme outil de connaissance de la Maison de quartier (aller vers..) les habitants d'un quartier.
Développement de nouvelles adhésions . Les utilisateurs devant etre adhérents à la Maison de quartier.
Recrutement d'un nouveau public du fait du caractère innovant du service.
- Résultat pour les habitants
Rapport au déplacement différent.
Prise de conscience des enjeux environnementaux, sociaux et educatifs de ce genre d'expérimentations.
- Suite de l'action : Limites
2 machines seulement.Effet quantitatif liumité
Nécessité de dévélopper l'activité sur d'autres créneaux pour pérenniser l'emploi.t
- Suite de l'action : Perspectives
Développement sur le champ de l'évenementiel, de la manifestation de quartier, du tourisme de proximité.
Formation du pilote animateur (maintenance, permis de conduire, etc..)
Evaluation à faire pour la prochaine rentrée scolaire.
Actions
Education aux medias et à l'information
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIO-CULTUREL LA MAISON NOUVELLE - Nord
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Solidarité
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
-Mobiliser et développer les capacités des 11/15 ans à comprendre l’environnement numérique et à se l’approprier pour pouvoir à leur tour être producteur de contenus, de médias
-Construire une expression citoyenne critique, distanciée et partagée en développant le regard sur les médias et le monde : décrypter différentes sources d’informations afin de se forger une opinion critique et construire une expression collective argumentée (article, interviews reportage, témoignage émission radio, slogan…)
-Développer une méthodologie qui vise à accompagner et à construire l’exercice de cette expression
-Accompagner l’inclusion numérique des ados en proposant des parcours expérimentaux permettant aux jeunes engagés dans la démarche de rencontrer des professionnels du numérique, de visiter des lieux dédiés au numérique et de pratiquer/expérimenter
-Proposer par la médiation de l’image (photos, vidéos) et du son et donc l’utilisation de TIC un espace d’éducation aux médias par la réalisation de créations numériques
-Participer à des évènements locaux qui valorisent les jeunes et les inscrivent dans une dynamique de projet collectif (court métrage/vidéo mapping/story board-cinéma d’animation..)
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Précision ( si autre )
Un groupe de parents associé au colectif Quand Les Parents S'en Mêlent que nous animons à l'échelle du territoire
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Notre projet d’accompagnement jeunesse est guidée par des finalités éducatives, qui visent l’inclusion sociale et culturelle dans une démarche de concertation et de coopération avec les parents, les enseignants, les associations culturelles et sportives, les partenaires socio-éducatifs du territoire. Il s’agit à la fois de proposer et d'animer des espaces d'expression et de légitimisation, ouverts à l’autre, à l’ailleurs, adaptés à leurs besoins d’expression, d’engagement et d’autonomie, pour construire en même temps avec eux les conditions d’épanouissement de cette citoyenneté.
L'e-inclusion est un enjeu social qui traverse aujourd'hui de nombreux champs et l'éducation aux médias et à l'information est essentielle dans ce sens où elle doit permettre aux enfants et aux jeunes de se saisir des clés du monde numérique afin de comprendre et de participer en pleine conscience de leurs choix et de leurs évolutions et s'en servir de façon intuitive, comme outil éducatif par exemple plutôt que de le subir en se contentant de consommer ce qui est fait et décidé ailleurs.
Les jeunes de nos quartiers baignent dans un environnement numérique à travers les réseaux sociaux notamment mais ils n'appréhendent pas toujours cet univers comme un espace régi pas des règles, celles de la société non virtuelle. Les géants du Net visent à développer des comportements de consommation et peuvent représenter un réel danger quand les rapports entre les jeunes utilsateurs (mais pas que) ne sont ni accompagnés, ni encadrés. Etre en capacité de décryper l'information, de discerner les sources fiables des fake news, de protéger son identité numérique, d'adopter un comportement citoyen… ça s'apprend. C'est un frein qui devient un défi qu'il faut relever afin que les jeunes puissent se servir de façon intuitive de ce monde de l'information, comme outil éducatif par exemple plutôt que de le subir en se contentant de consommer ce qui leur est proposé sans discernement ou "mode d'emploi".
Mais si cet univers est semé de chemins à risque, il présente également d'infinies possibilités d'apprentissages et d'acquisitions de compétences. La technologie et les réseaux sociaux sont devenus indispensables à notre quotidien.
Les nouvelles générations très captives sont vulnérables mais elles développent également un potentiel numérique créatif et cette appétence naturelle est un vrai levier pour avancer sur un parcours d'éducation au numérique, avec la communauté éducative qui entoure l'enfant et le jeune, le parent occupant bien entendu une place centrale dans cet accompagnement.
Nous nous sommes saisis de cet enjeu depuis plusieurs années: labellisation Cyber centre par la Région dès 2000, élaboration d'un extranet collaboratif avec des structures d'éducation et d'insertion du Versant Nord Est, habilitation sur le dispositif timp@ss, ateliers d'initiation, de création numérique, parentalité, projet de sensiblisation au Lycée et au collège sur l'identité numérique, animation de TAP Medi@TIC, projet tous connectés jeunes-seniors retenu par le FDI (fonds d'innovation), ateliers d'insertion E-compétences, labelisation centres sociaux connectés….Nous avons ainsi développé des compétences internes et constitué un réseau solide de partenaires associés avec lesquels nous travaillons dans une dynamique de recherche/action et de développement. Issus du monde de la recherche, de l'enseignement, de la formation, des TIC, des médi@s, de l'associatif, de la culture, de la communication et des pédagogies innovantes, les professionnels et les organisations avec lesquels nous cheminons sont issus d'horizons divers et nous travaillons en regards et pratiques croisés à la mise en œuvre de l'inclusion numérique par:
- L'EMI: Education aux médias et à l'information
- La culture numérique: temps d'information et d'échanges thématiques
- L'accès aux droits et à l'information: dématérailisation des démarches administratives
- L'identité numérique: prévention et sensibilisation à la protection des données
- L'initiation aux outils: ateliers d'usage des TIC
- La pratique créative et artistique: Arts numériques et visuels (story board, MAO, Vidéo..)
- La communication: pour rendre visible et audible la parole et les initiatives des habitants (journal, blog, enregistrements radio..)
- La valorisation des parcours et des compétences: serious game, folio, quizz, tests…
- La pratique "makers": cooding, repairs cafés numériques
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
L'action a débuté en 2018. Elle est menée au sein de l'association et d'un collège.
Ce projet a été initié par le Collectif parentalité "Quand Les parents S'en Mêlent" regroupant à l'originedes partenaires institutionnels (Département du Nord,Service jeunesse municipal, des établissements scolaires, des parents, un CMP Adolescents, la clinique des adolescents. De là, des groupes de réflexion action ont été constitués: Résidence parentalité, PIA numérique, PIA jeunesse qui nous ont permis de travailler notamment avec la MEL, des centres sociaux connectés, la Fédération des centres sociaux, centres sociaux connectés, un laboratoire de recherche de l'Université de Lille 1.
Ainsi tout au long de l'année, ces groupes de concertation échangent, analysent, co-construisent, se forment pour mettre en oeuvre des projets d 'EMI dans une dynamique d'évaluation permanente pour rester au plus près des évolutions et des pratiques numériques pour accompagner des jeunes avec des outils éducatifs adaptés (rencontres mensuelles).
- Ressources financières mobilisées pour cette action
16000€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Si on ne tient compte que de l'animation de l'action:
12 professionels
4 bénévoles
12 parents
Mais cet enjeu mobilise plus largement à travers les réseaux décrtits plus haut dont nous sommes membres actifs et qui fédérent des initiatives sur le territoire de la MEL
- Résultat sur le territoire
Comme décrit ci-dessus, le travail en réseau a donné naissance depuis 2 ans à de nombreuses initiatives portées par des acteurs éducatifs jeunesse sur tout le territoire de la MEL
- Résultat pour le centre social
EMI (Education aux Médias et à l'Information) est un enjeu crutial en matière d'éducation et de parentalité. Ces actions nous permettent de développer de nombreux partenariats et d'accompagner ainsi de concert des jeunes et des parents.
- Résultat pour les habitants
L'e-inclusion dans une démarche d'appropriation citoyenne par la coopération, le sens et le maill'âges.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Contribuer à une recherche universitaire et transfrontallière à partir des travaux menés avec les jeunes.
Actions
M@m@ns digitales
- Structure organisatrice
- Maison de Quartier Centre-Ville de Valenciennes - Nord
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Une action terminée : annuelle et... reconductible
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Culture
- Intégration
- Résumé
M@m@ns digitales : un parcours collectif pour une montée en compétence numérique, soutenue par la Fondation Orange, avec certification du parcours de 10 mois à raison de 2h / semaine. L'employabilité, l'entraide et l'estime de soi sont les objectifs de cette action. S'y rajoute une dimension de parentalité numérique, pour apprendre à rester en veille sur les parcours des enfants.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Autre
- Précision ( si autre )
Fondation Orange
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
M@m@ns digitales : un parcours collectif pour une montée en compétence numérique, soutenue par la Fondation Orange, avec certification du parcours de 10 mois à raison de 2h / semaine. L'employabilité, l'entraide et l'estime de soi sont les objectifs de cette action. S'y rajoute une dimension de parentalité numérique, pour apprendre à rester en veille sur les parcours des enfants.
Bel exemple d'un atelier créant petit à petit l'interconnaissance, la création de liens, l'entraide, en même temps que l'obtention de compétences entrant dans l'univers numérique.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Action annuelle octobre 2020 / juin 2021, elle prend la forme d'un atelier hebdomadaire pour appréhender les outils numériques (tablettes / pc) et savoir, outre leur utilisation, acquérir les savoirs de base pour améliorer l'employabilité et la parentalité, obtenir une certification attestant de la montée en compétences sur les 3 phases de progression. Entre les ateliers, l'intervention d'un arthérapeute permet de retravailler la confiance et l'estime de soi.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
6 000 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
la médiatrice numérique
la référente familles
les bénévoles de la Fondation Orange Solidarité
- Résultat sur le territoire
L'atelier est limité à 8 personnes pour l'accès aux postes, mais cette action sera reconduite, ce sont donc 8 mamans chaque année qui ont, la plupart pour la 1ère fois, découvert et appris à utiliser les outils numériques, au profit de leur recherche d'emploi, de leur parentalité, de leurs liens familiaux.
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Les Paumes Vertes, un réseau d'habitants éco-responsables
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIO-CULTUREL LA MAISON NOUVELLE - Nord
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- développement durable
- Mixité sociale
- Résumé
Les Paumes Vertes est un réseau solidaire éco-citoyen au sein duquel chacunE peut réaliser sa part en terme de démarche éco-responsable en fonctions de ses envies, ses aspirations et de ses disponibilités: organiser la distribution de paniers de légumes (point relai), participer aux activités liées au jardin comestible (pépinière de semis, transmission auprès des plus jeunes, plantations, entretien), préparer et animer des apéros potager, participer aux samedis Repair Café, permettre le développement des actions zéro déchet (sensibilisation, animation et entretien du compost collectif, co-animer les ateliers cuisine Biocabas et Jardin de Cocagne), organiser la fête des initiatives vertes (rencontre printannières des initiatives vertes locales animée par La Maison Nouvelle et ses partenaires DD associés), et toute autre initiative participant au développant de l'eco-attitude.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Fin 2019, un groupe de travail composé d'habitants, de bénévoles et de professionnels s'est interrogé sur l'engagement citoyen et son expression. En 2020, durant le confinement, un questionnaire est soumis en ligne auprès d'un large public (de 18 à 80 ans). Plus de 200 réponses et une orientation qui s'en dégage: l'écocitoyenneté et la solidarité sont des leviers porteurs de l'envie d'agir ensemble. Pour autant, ces envies d'engagement sont corrélées à de nouvelles formes de disponibilités qui s'inscrivent dans une temporalité différente chez les 18-45 ans. Il nous faut tenir compte des nouveaux modes de vie et aspirations mais aussi du temps disponible de chacunE qui se situe dans la flexibilité et non dans la régularité. Un capital temps qui demande à se mettre au service d'une action collective, citoyenne et solidaire mais à condition de pouvoir l'offrir librement.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Action qui a pris naissance en 2018 quand des habitants au sein de La Maison Nouvelle ont fait sortir de terre un jardin potager pédagogique pour tous, qui s'est développé avec l'émanation du collectif les Initiatives vertes (groupe de formation-action à l'origine) composé d'habitants, d'associations locales oeuvrant sur le champ du DD (Les Anges Gardins, les Bio en Haut de France), d'établissements scolaires (école et collège de proximité), du service jeunesse de la ville et qui a pris son envol en 2020.
Plus de 80 personnes sont aujourd'hui mobilisées sur ces actions de solidarité éco-citoyennes qui représentent près de 90 temps d'accueil sur l'année.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Habitants: 47
Partenaires associés: 9 structures soit 15 membres
Bénévoles de l'association: 12
Salariés: 6
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
SOLID'ÂGES : Solitaire ou Solidaire
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL DE FOURCHAMBAULT - Nièvre
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- Viellissement
- Résumé
Mise en place d'un réseau de visite à domicile pour les personnes âgées isolées et d'un réseau de veilleurs citoyens lequel quadrille la ville. Ce sont des bénévoles formés qui assurent cette mission.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le taux d'isolement des personnes âgées est très au dessus de la moyenne départementale et nationale. Il s'agit de reconstruire les liens de voisinage qui s'étaient estompés.
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Recrutement des bénévoles
Formation par un intervenant extérieur
Création d'un CoPil
Expérimentation
Mise en oeuvre d'un dispositif d'animation
Cette action a débuté en 2014.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Interventions financières de :
La Fondation de France (12000 €)
La CPAM (1000 €)
CARSAT (7000 €)
Pays Nevers Sud Nivernais (2000 €)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Environ 50 bénévoles et 3 professionnels
- Résultat sur le territoire
Reconstitution du lien social et de la démarche de voisinage.
- Résultat pour le centre social
Reconnaissance de la structure comme un acteur du vieillessement réussi.
- Résultat pour les habitants
Isolement rompu, liens sociaux reconstitués.
- Suite de l'action : Limites
Le choix des bénévoles, les financements ne servent que d'aide au démarrage.
- Suite de l'action : Perspectives
La continuité.
Actions
Visites de convivialité auprès des personnes âgées isolées
- Structure organisatrice
- CENTRE "LE LIERRE", THIONVILLE - Moselle
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Viellissement
- Résumé
En lien avec une équipe de bénévoles formée et supervisée et notre réseau partenarial, organiser des visites de convivialité au domicile des personnes âgées isolées de plus de 65 ans (hors soins et services de prestation à domicile) dans une finalité de rupture de l’isolement social.
Objectifs spécifiques :
- Lutter contre l’isolement social des personnes âgées en leur proposant des visites de convivialité
- Accompagner les personnes afin qu’elles participent à la vie sociale et culturelle de leur quartier, de leur ville
- Permettre un accès à la Culture et aux pratiques numériques
- Accompagner les transitions pour prévenir les ruptures notamment dès le démarrage de la retraite à travers la promotion du bénévolat
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Diagnostic de territoire
Sources : contrat de projet 2013/2017, Centre « Le Lierre » (agrément de Centre Social, CAF de Moselle/Ville de Thionville), Analyse des Besoins Sociaux, CCAS de Thionville (2011), ORSAS, INSEE, les mutations sociales (2002), données de la CAF et du Conseil Départemental, rapport sur la solitude des personnes âgées (Fondation de France, juillet 2014)
Territoire du projet : Quartier-Est de Thionville élargi (13 000 habitants environ) et autres quartiers prioritaires dans le cadre de la politique de la ville concentrant la majeure partie des ménages précarisés et personnes isolées (Bel air, Saint-Pierre/la Milliaire, Côte des Roses), quartiers non pourvus d’une action similaire.
Comme la plupart des autres communes françaises, Thionville va connaître une évolution importante du nombre de personnes âgées dans les années à venir.
En 2007, environ 8,4% des habitants sont âgés de plus de 75 ans et plus contre un peu plus de 6% en 1999.
Cette évolution du nombre de personnes âgées touchera plus particulièrement sur la commune les personnes de plus de 80 ans. Elles représentent 4,8% à Thionville contre 3,9% en Moselle et devraient passer de 760 personnes en 2007 à 1800 personnes en 2020.
Cette dynamique du vieillissement de la population se traduit, d’une part, par la décroissance continue du solde naturel depuis 1962 et, d’autre part, par une partie des familles avec enfants qui quittent la commune.
Ces flux migratoires sont à mettre en rapport avec les prix de l’immobilier et la quasi-saturation de l’habitat.
Le Quartier-Est élargi de Thionville représente environ 13 000 habitants soit 31% des habitants de la ville.
Plus précisément, en 2015 (source : Conseil Départemental), la proportion des personnes âgées de plus de 65 ans est de 18.3% sur notre territoire d’intervention contre 17.4% sur l’ensemble de la Ville de Thionville.
Les études sur le vieillissement mettent en avant d’une part l’augmentation de l’espérance de vie et, d’autre part, que ce rallongement de la vie s’accompagne de solitude. En 2020, une personne âgée de plus de 75 ans sur deux vivra seule (ORSAS et INSEE, les mutations sociales, 2002).
A Thionville, près de 40% des habitants âgés de 75 ans et plus sont seuls dans leur logement. Concernant les personnes âgées isolées, cela a pu être engendré par un veuvage, la retraite ou encore la distance des enfants et des petits-enfants.
Selon les données de la CAF de 2012, 45,50% des personnes résidant sur le territoire d’intervention vivent seules ou sans enfant. On pourrait supposer que, parmi cette population, se trouvent des personnes âgées isolées d’où la nécessité de mettre en œuvre des actions décloisonnées et intergénérationnelles. Même si la solitude n’induit pas toujours l’isolement, le vieillissement doit être l’objet d’une attention particulière. Cette catégorie de personnes est la plus touchée par l’isolement, relationnel. Une personne âgée sur quatre est en situation d’isolement relationnel (rapport sur la solitude des personnes âgées, Fondation de France, juillet 2014).
Les associations de soutien à domicile sont parfois les seuls interlocuteurs de la personne âgée dans la semaine.
Dans le cadre de notre Contrat de Projet 2013/2017 comprenant un diagnostic de perception auprès des habitants résidant sur notre territoire d’intervention, plusieurs points ont été relevés qui nous ont permis d’identifier des besoins et de les traduire en objectifs d’action :
- augmentation de 8% depuis l’année 2000 de la population de plus de 60 ans
- disparité de l’offre de soins sur le territoire d’intervention (médecins généralistes, chirurgiens-dentistes)
- relations intergénérationnelles et de voisinage individualisées, parfois tendues et insuffisantes
- sentiment d’insécurité et de manque de confiance en soi pour entreprendre des démarches vers les organismes et/ou associations
- faible taux de rotation des logements ce qui signifie que les personnes âgées restent dans leur logement. Ceci entraîne un vieillissement de la population avec les besoins afférents en termes de dépendance et de lien social.
- une pénurie de places au sein des EHPAD et des accueils de jour hospitaliers
- peu d’activités occupationnelles et de loisirs mis à part l’Espace Saint-Nicolas sous l’égide du CCAS de la Ville de Thionville, mais toutes les personnes âgées ne sont pas connues de ce service (manque d’informations, peur de sortir par crainte d’une chute, désorientation et affects dépressifs, repli sur soi, ne pas oser faire la démarche) d’où un besoin encore non couvert sur la rupture de l’isolement des personnes âgées.
- la population des aidants va moins vite augmenter que celle des personnes de 85 ans ou plus ce qui signifie une mobilisation plus accrue de l’aide extérieure à l’entourage de la personne âgée.
- difficultés de mobilité physique liée à un état de dépendance s’installant peu à peu
- difficultés d’information et financières dans l’accès aux soins de santé
Dès lors, une réflexion partenariale, à notre initiative, a été mise en place avec le CCAS de la Ville de Thionville, le Conseil Départemental via les assistantes sociales de secteur, les travailleurs sociaux du service de l’aide légale et facultative du CCAS, l’association Gerontonord et les services du CLIC.
Nous sommes également en partenariat avec l’association des petits frères des pauvres qui nous soutiennent dans l’axe accompagnement à la mise en œuvre des visites de convivialité, repérage des bénévoles sur le territoire de Thionville, adhésion de notre Centre à la charte citoyenne MONALISA, aide à la formation des bénévoles, supervision méthodologique.
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Les visites sont hebdomadaires et n’excédent pas deux heures. Un binôme de bénévoles est mobilisé auprès de la personne âgée par visites alternatives afin de ne pas rentrer dans une relation trop exclusive avec la personne âgée. Notre approche et notre méthodologie sont accompagnées par l’association des Petits Frères des Pauvres qui œuvrent dans ce même champ sur le Grand-Est (hors territoire de Thionville). Un rétro planning mensuel est établi par les bénévoles en concertation avec chaque personne âgée en fonction de ses besoins, ses envies et de ses limites
Lors de la première visite, le bénévole fait connaissance avec la personne âgée dans le respect de sa dignité, de ses besoins, de ses envies, de son état de disponibilité psychique à l’autre, de sa santé physique, de ses croyances et de sa spiritualité. Cette prise de contact facilite la définition du contenu de chaque visite. Le bénévole tient à jour un cahier de bord servant de cahier de liaison aux autres membres bénévoles dans lequel figurent des éléments d’appréciation de chaque visite (contenu, acceptation de ce contenu par la personne âgée, changement d’humeur, visite d’un proche…). Sans se substituer à d’autres intervenants sociaux, médico-sociaux et sanitaires, ce cahier de bord permet à chaque bénévole de se recentrer sur sa mission, de maintenir la relation d’aide à la personne âgée, d’observer ses besoins, d’observer des changements de comportement ou d’humeur pouvant influencer l’état de santé. Des réunions régulières sont organisées avec la coordinatrice de l’action, référent familles du Centre « Le Lierre ».
Des outils méthodologiques et de suivi de l’action ont été créés en étroite collaboration avec notre comité de pilotage (fiche d’inscription et de suivi de la personne âgée, fiche navette orientation par les partenaires, charte citoyenne MONALISA Mobilisation Nationale contre l’Isolement des personnes âgées), charte du bénévolat, enquête sur les besoins et attentes des personnes âgées, calendrier des comités de pilotage, calendrier des formations des bénévoles).
Durant l’année de fonctionnement :
Réunions de supervision des pratiques avec une psychologue clinicienne (2h00 par trimestre)
Programme de formations des bénévoles par l’association des petits frères des pauvres
Réunions de coordination coordinatrice/bénévoles
Sorties conviviales et intergénérationnelles
Lutte contre la fracture numérique : valorisation de l’expérience acquise plateforme numérique collaborative www.wikithionville.fr
En amont de l’action (préparation et rencontre avec les élus de la Ville de Thionville et l’association des Petits Frères des Pauvres)
6 août 2015 : prise de contact avec l’association des Petits Frères des Pauvres, présentation, modalités d’organisation et de fonctionnement des visites de convivialité, expérience et expertise de leurs activités sur le Grand-Est
09/09/15, 28/10/2015, 06/01/2016, 04/05/2016 : réunions organisationnelles, de données de diagnostic partagé, de repérage du public et de stratégie de communication avec les élus de la Ville de Thionville (Adjoint au Maire détaché aux séniors, adjointe à la cohésion sociale), la Directrice du CCAS de Thionville
Autre action d’information complémentaire : conférence « Bien-être à la retraite », association Brain Up et CARSAT le 08/01/2016, hôpital Le Kem, Thionville
Réseau partenarial, comité de pilotage :
Durant l’année 2015, année de réflexion et de recueil des données diagnostiques sur le territoire, nous avons rencontré toutes les structures et équipements œuvrant pour la qualité de vie des personnes âgées à Thionville.
Dans un premier temps, nous les avons consultés pour obtenir davantage d’informations sur leur fonctionnement et leurs activités. Puis, nous leur avons proposé une coopération dans la mise en œuvre des visites de convivialité sachant que notre constat commun est de proposer une action commune de lutte contre l’isolement social des personnes âgées, dispositif inexistant jusqu’à présent sur la ville de Thionville.
Nous avons mis au point nos constats respectifs et élaboré ensemble des outils communs de suivi et d’orientation lors d’un comité de pilotage datant du 4 décembre 2015.
Les partenaires opérationnels sur cette action sont :
- Ville de Thionville- CCAS de la Ville de Thionville (service solidarité)
- Conseil Départemental – CLIC Centres Locaux d’Information et de Coordination
- Association Gerontonord- Thionville
- AFAD de Moselle, service d’aide à domicile pour tous les âges de la vie
- Association Theras Santé- Thionville
Campagne de communication
Les supports de communication ont été réalisés avec le comité de pilotage ainsi que les modalités d’adhésion à la charte citoyenne MONALISA « Mobilisation NAtionale contre l’ISolement des Agés ».
L’acceptation de notre adhésion a été actée par le Conseil d’Administration de MONALISA le 13 avril 2016. Les bénévoles ont signé la charte citoyenne durant une réunion exceptionnelle le 12 mai 2016.
La presse locale a été invitée le 7 mars 2016 afin de publier un article sur l’action (article joint à ce document).
En novembre 2016, nous avons fait paraître un article sur la Gazette Santé Social (mensuel, novembre 2016, n°134). Cette revue est à destination des acteurs sanitaires et médico-sociaux (article joint à de document).
L’appel à bénévoles a été mis en place les 30/11/2015, 10/06/2016, 27/07/2016 et le 3/11/2016 auprès de la presse locale (républicain lorrain). De même, l’appel à recrutement de bénévoles est visible sur les sites Internet du CCAS de la Ville de Thionville et du Centre « Le Lierre ».
100 affiches et 400 tracts ont été édités et consultables auprès de plus de 50 structures sociales, médico-sociales et sanitaires dont la diffusion s’est réalisée durant l’ensemble des commissions de réseau UTOPIA (Union Territoriale Pour une Optimisation des Pratiques Inter-Associatives) dont la commission santé/vie quotidienne pilotée par le Centre « Le Lierre » (référent : Stéphanie Bucci).
Afin de valoriser l’action et de lutter contre la fracture numérique participant ainsi à la cohésion sociale des personnes âgées, un portrait numérique est en cours de réalisation et a débuté le 2 août 2016. Ce portrait numérique d’une personne âgée sera consultable sur la plateforme numérique www.wikithionville.fr (dame âgée qui tient à jour des carnets de voyage car elle a fait trois fois le tour du monde dans sa vie). Cette plateforme citoyenne permet de valoriser et de compiler des articles valorisant des actions emblématiques des habitants en termes d’entraide, de solidarités et aussi de savoir-faire et de passions à partager. L’originalité de cette plateforme est que chacun peut contribuer à son fonctionnement dans une démarche démocratique et citoyenne ce qui facilite la mise en réseau et l’élargissement des expériences partagées par chacun contribuant ainsi au lien social.
Démarrage des visites
Les visites ont débuté le 17 décembre 2015.
Au 31/12/2016, 227 visites ont eu lieu et ont concerné 17 personnes âgées de 65 à 99 ans. Tout au long de l’année 2016, 10 bénévoles ont été impliqués dans la mise en œuvre des visites. Ces bénévoles ont contacté le Centre « Le Lierre » soit par voie de presse soit par le biais de l’association des Petits Frères des Pauvres soit par réseau informel (en consultant les affiches et tracts sur la Ville de Thionville).
Ils sont âgés de 28 à 70 ans, 9 femmes et 1 homme.
4 personnes âgées sont en attente d’intégrer l’action pour le début d’année 2017 (une orientation Conseil Départemental, une orientation AFAD de Moselle, 2 par réseau informel, une orientation par l’association tutélaire de Moselle).
Caractéristiques des personnes âgées :
- Toutes les personnes âgées bénéficiant de visites de convivialité vivent seules dans leur domicile
- Existence de conflits familiaux, éloignement géographique de la famille
- Besoin d’une présence bienveillante à domicile (oublier la maladie, le handicap, sortir à l’extérieur avec une aide)
- La plupart vit en appartement (bailleurs sociaux), une personne âgée est propriétaire de son logement
- Présence d’handicaps sensoriels (cécité progressive, DMLA Dégénérescence Maculaire Liée à l’Age, prothèse, coxarthrose, maladies chroniques et cardiaques)
- Sentiment de multiples pertes (corps qui vieillit, diminution de certaines fonctions, humeur dépressive, anxieuse, plaintes morales, signes somatiques, perte progressive de l’élan vital)
Caractéristiques des bénévoles :
- Utilité sociale, lutte contre la solitude des personnes âgées
- Désir d’intégrer une équipe de bénévoles
- Apporter une meilleure qualité de vie
- Ont été aidants par le passé pour certains
- Besoin d’intégrer un cadre structurant porté par le Centre « Le Lierre »
- Ont été consultés en rapport à leurs besoins en formation
- Typologie : 4 retraités, 1 actif, 1 étudiant en travail social, 2 demandeurs d’emploi, 2 bénéficiaires de minima sociaux
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
A l’interne :
- un chef de projet : Directrice-Adjointe, psychologue (chargée de la constitution du réseau partenarial, de l’organisation des comités de pilotage, de la valorisation de l’action, des liens d’évaluation avec la coordinatrice de l’action, de la validation des outils d’évaluation et de suivi de l’action)
- une coordinatrice d’action : Conseillère en Economie Sociale et Familiale (repérage des personnes âgées non connues des services sociaux par des liens de proximité sur le quartier et par sa présence sociale lors d’activités, coordination de l’action dans son ensemble, organisation des visites, temps de regroupements en présence de l’association des Petits Frères des Pauvres, évaluation de la satisfaction des publics ciblés)
- un animateur socioculturel (mise en œuvre des activités culturelles et multimédias, responsable de communication)
Moyens en bénévolat (bénévoles formés et supervisés tout au long de l’action)
Une équipe de 10 bénévoles s’est constituée tout au long de l’action. Ils ont intégré l’action par plusieurs canaux de communication dont la presse locale (appel à recrutement des bénévoles), le réseau informel, notre Conseil d’administration, les équipes de l’action sociale de la Ville de Thionville.
Moyens en personnel sous-traitant
Une psychologue clinicienne exerçant en libéral en charge des groupes de supervision et de soutien aux équipes de bénévoles
L’association des Petits Frères des Pauvres chargée de la formation des bénévoles à la mise en œuvre des visites de convivialité, du soutien organisationnel et méthodologique à la coordinatrice, facilitateur lors des temps de regroupements avec l’équipe de bénévoles.
- Résultat sur le territoire
La rencontre bénévoles, personnes âgées implique un engagement dans le temps et une présence régulière pour favoriser la création de lien avec les personnes accompagnées. Chacun peut apporter sa « touche personnelle » en faisant partager ses passions, changer son regard sur le vieillissement, s’engager et apprendre de l’autre. Les habitants bénévoles mettent un point d’honneur et de fierté à tisser de nouvelles formes de lien social aux personnes âgées.
Les bénévoles visitent les personnes qu’ils accompagnent là où elles vivent. Ils deviennent hôtes, invités de ceux qu’ils aident, et facilitent ainsi la naissance d’une relation personnelle durable.
Paroles de bénévoles :
« Cette action demande juste un peu de temps et apporte beaucoup dans le quotidien des personnes âgées isolées »
« C’est l’occasion de créer des contacts et d’aller plus loin dans nos engagements respectifs car nous sommes tous animés par les mêmes valeurs notamment de solidarités, de dignité »
« Le but, c’est de pouvoir sortir de son petit confort personnel pour apporter du réconfort et voir un visage qui s’illumine par une présence, un mot, un geste »
« Le but est d’animer le quotidien des personnes âgées, et non pas de créer un service d'aide à domicile de plus »
« Ces visites permettent d'informer des personnes qui, sans ce type de relais, n'auraient pas connu l’existence de certains services, comme l’espace Saint-Nicolas, les associations locales »
- Résultat pour le centre social
Ce projet a fait évoluer notre projet social et associatif et ceci, pour plusieurs raisons :
- une meilleure connaissance des besoins des personnes âgées sur notre territoire d’intervention
- outil d’animation de la vie sociale et culturelle au service des séniors isolés
- l’amélioration de l’offre de services en direction des personnes âgées isolées
- une synergie de gouvernance d’action par le bénévolat
- évolution des pratiques des bénévoles par la formation et par la mise en commun d’outils d’évaluation de l’action
- renforcer les réseaux de voisinage et de solidarité de proximité par l’action sociale innovante sur le territoire
- animation et développement des partenariats sur notre territoire d’intervention
- décloisonnement des pratiques sociales, médico-sociales et sanitaires par la mutualisation des ressources partenariales
- Résultat pour les habitants
Le projet a permis de mieux :
- Lutter contre l’isolement des personnes âgées et maintenir le lien social
- Développer la citoyenneté, l’utilité sociale
- Développer les relations et les solidarités entre les générations
- Créer des coopérations territoriales décloisonnées entre publics concernés (personnes âgées usagers et bénévoles engagées du centre social) et acteurs sociaux (Conseil Départemental, CCAS, consultations mémoire, café des aidants…)
- Valoriser les seniors et les personnes âgées dans la vie sociale locale en leur réservant une place active dans l’organisation d’animations et d’activités solidaires faisant appel au bénévolat
- Favoriser la prise de conscience des acteurs locaux quant à la place réservée aux seniors et aux personnes âgées dans l’organisation de la vie communautaire
- Améliorer la qualité de vie par le renforcement du lien social
Exemples d’actions :
- les visites de convivialité au domicile des personnes pour échanger, lire, jouer à des jeux de société, maintenir le lien social, partager des passions, des expériences, entretenir la mémoire individuelle et collective d’une personne, d’un quartier
- les sorties et événements culturels de la vie associative locale (festivals, expositions, goûters, atelier en socio-esthétique)
- portrait numérique interactif d’une personne âgée présentant ses carnets de voyage
- Suite de l'action : Limites
Péreniser l'action en besoin de financement
Péreniser l'implication des bénévoles (appel à recrutement), faire correspondre la demande en fonction des disponibilités en termes de bénévolat.
- Suite de l'action : Perspectives
Pour l’année 2017, nous allons élaborer un rapprochement partenarial avec l’association CAMEL (Collectif pour l’amélioration énergétique du logement) située sur le territoire de Nancy. L’association intervient dans les domaines de la rénovation énergétique, du maintien à domicile et de la lutte contre l’habitat indigne. L’objectif serait de mutualiser nos ressources d’intervention au domicile des personnes âgées isolées permettant une action collective de prévention auprès des personnes âgées facilitant ainsi le repérage des personnes.
Actions
"Accès aux droits et lutte contre la fracture numérique"
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL CAF LA CLAIRIERE - Meurthe-et-Moselle
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- discriminations
- Résumé
A. Une réponse individuelle et bienveillante:
La vigilance particulière du Centre Social à la qualité de l'accueil permet une première étape indispensable pour identifier les besoins spécifiques de chaque personne et y apporter une réponse adaptée de premier niveau.
- Un accueil de premier niveau
Le Centre Social est un lieu ouvert assurant un accueil individuel et bienveillant pour permettre au plus grand nombre de pouvoir réaliser des démarches administratives en étant accompagnés. Créer un tel lieu d'accueil permet aux personnes de trouver une écoute et une ouverture qui peut être une première entrée pour certains publics vers une démarche accompagnée pour l'accès aux droits.
La présence de jeunes volontaires en mission de service civique missionnés par la CAF 54 permet de recevoir les personnes et de leur apporter une réponse immédiate une aide concrète dans la réalisation de démarches en ligne. Un accompagnement à l'utilisation de la borne Caf est également proposé pour les personnes qui le souhaitent (plus de 100 personnes passent chaque mois pour imprimer une attestation)
Des permanences hors des murs de notre structure sont également assurées avec d’autres volontaires services civiques du territoire pour aller vers les publics qui ne viennent pas au Centre Social:
- expliquer un courrier
- donner des informations sur les différentes prestations
- aider les personnes à remplir des formulaires (demande de logement social, demande de CMUC…).
Démarche :
- Pédagogie rendant la personne actrice (faire avec et non pas faire à la place) .
- Ecoute et décryptage du besoin.
- Explication simple et claire avec un vocabulaire accessible à tous.
- Vérification de la bonne compréhension par la personne des explications données ou des démarches réalisées ou à réaliser.
2) A la suite de ce premier accueil individualisé, orientation possible vers :
- Un accès accompagné sur les outils informatiques du centre social (télé-déclarations, création ou accès à sa messagerie, inscription à pôle emploi, recherche internet.)
- Un accompagnement approfondi en cas de difficultés d’accès aux droits par le travailleur social référent de l’action, qui aura une vigilance particulière sur les situations complexes et la recherche de solutions.
- Une réorientation et une mise en lien avec les partenaires adéquats en fonction de la problématique identifiée.
B. Des actions collectives pour impulser un parcours et acquérir une plus grande autonomie :
Une meilleure connaissance de ses droits:
- Mise en place de temps d'informations réguliers sur des démarches de droits plus élargies en réactivité à l'actualité, intervention de partenaires extérieurs, en lien avec les personnes participants à d'autres activités du Centre Social et avec les partenaires territoriaux.
- Création et diffusion d'outils récapitulatifs simples permettant une compréhension par nos publics des différents types de démarches administratives auxquelles ils pourraient être confrontés.
La facilitation numérique:
- Mise en œuvre de deux modules de formation à l’outil informatique. Le premier s’adresse à des personnes qui n’ont aucune connaissance en informatique, le second à des personnes ayant déjà quelques notions. Les groupes sont constitués en fonction du niveau de compétences nécessaire des personnes présentes et des pré-requis indispensables (langue, écrit, vocabulaire.).
L’objectif de ces ateliers est d’acquérir les principes de base de l’outil informatique et de l’accès à Internet pour pouvoir réaliser des démarches en ligne en autonomie.
Au niveau du contenu, il y a une présentation théorique minime qui aborde l’essentiel de la séance (construit après recueil des besoins des participants) avec des mots simples, une mise en pratique, un outil récapitulatif à emmener chez soi. Les ateliers informatiques sont animés par un volontaire en service civique, la Conseillère en ESF référente et /ou un bénévole pour pouvoir accompagner les personnes de manière plus personnalisée lors de la pratique.
- Pour faciliter la réappropriation des savoirs acquis pendant la formation, les participants ont la possibilité de s’exercer sur les ordinateurs du Centre Social de manière individuelle.
C. Travail de partenariat :
Contribution avec les partenaires territoriaux de l'expérimentation « Accès aux droits du Plateau de Haye », pour continuer à:
- Travailler en collaboration et faciliter la résolution des situations complexes grâce notamment à la nomination de « Référents accès aux droit » dans les différentes institutions.
- Communiquer, mieux informer pour permettre une visibilité des différentes actions proposées sur le territoire afin de faciliter l'accès aux droits du plus grand nombre d’habitants du territoire.
- « Aller vers » un public qui ne fait pas appel aux institutions :
Sortir de la structure, mobiliser éventuellement d'autres services civiques du territoire ayant des missions similaires, mutualiser ou diversifier nos actions pour permettre d'aller à la rencontre des habitants. Temps de présence hebdomadaire des services civiques à l'extérieur de Centre Social à la mairie de quartier pour aller au-devant d'habitants, compléter et soutenir les accueils existants.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L’aide à l’accès ou au maintien des droits et l’usage de l’outil numérique sont devenus indissociables dans un contexte de développement accéléré de la simplification des démarches administratives.
Les formalités de la vie quotidienne sont de plus en plus marquées par l’obligation d’avoir une adresse email et de faire des démarches sur un compte personnel en ligne. Que ce soit pour suivre le versement de ses prestations, ses remboursements de santé, son compte en banque, ses factures d’énergie ou de téléphone, pour rechercher un emploi ou encore passer son permis de conduire, il devient indispensable d’avoir accès à un outil numérique et de savoir l’utiliser.
Si pour 80% de personnes, il s’agit réellement d’une simplification, une minorité en situation de précarité risque de se trouver dans l’impossibilité d’accéder à ses droits voire même d’avoir une existence sociale.
Il s’agit, d’une manière générale, d’accompagner un public qui rencontre des difficultés, perdu dans les méandres administratifs de par leur non compréhension ou de par leur négligence.
En tout état de cause, quel que soit leur problématique, ce qui les motive à franchir la porte du centre social c’est d’abord pour recevoir une écoute, avoir la possibilité de se sentir épaulés pour enfin être rassuré en faisant seul.
La mise en confiance est primordiale comme la capacité à savoir renseigner sans prendre la place des gens ni faire à leur place ou répondre à la pression.
Ces temps de rencontredoivent permettre aussi de pouvoir approcher les inquiétudes, calmer le jeu, être en position de tiers. L’accueil demeurant avant tout : une affaire d’équipe.
Outre des réponses à des questionnements individuels des publics qui ont interpellé l’équipe, la mise en œuvre de cette action permet d’apporter des éléments d’analyse sur les besoins des habitants et sur les modalités d’action à proposer sur la thématique de l’accès aux droits.
Les problématiques relevées dans ce domaine sont :
- Une évolution du contexte administratif : La modification des modalités d’accueils physiques et téléphoniques des institutions et une réorientation quasi systématique sur des sites internet dédiés.
- Une précarité accentuée des publics accueillis qui entraîne une certaine instabilité des situations sociales, familiales et professionnelles, ce qui multiplie le nombre de démarches à effectuer à chaque changement de situation administrative.
- Un accès limité à l’outil informatique du fait d’un manque d’équipement (seuls 24% des publics reçus dans le cadre de l’accès aux droits déclarent avoir accès à un ordinateur à domicile pour réaliser des démarches en ligne), une acquisition de nouvelles connaissances ou savoir-faire rendue difficile par une impossibilité de pratiquer, mais aussi une utilisation limitée en raison d’une méconnaissance de l’outil informatique et un manque de confiance en soi dans la réalisation des démarches numériques.
- Une méconnaissance des droits, une difficulté à trouver les renseignements et à réaliser des démarches administratives, une difficulté de compréhension de la logique administrative française pour des personnes arrivant de l’étranger notamment.
Pour certaines personnes des facteurs aggravants s’ajoutent :
- La non-maîtrise de la langue française (incompréhension face à des courriers administratifs aux termes techniques et parfois peu explicites de la part des administrations françaises)
- Des problématiques de santés entrainant des difficultés à l’utilisation des outils numériques : problème de vue, handicap moteur, difficulté de mémorisation, difficultés cognitives…
A noter : Dans le cadre du Plan pluriannuel contre la pauvreté et pour l’inclusion sociale, le Centre Social est engagé avec les institutions et d’autres partenaires de terrain du quartier politique de la ville Plateau de Haye dans une expérimentation sur le chantier « Accès aux droits ».
Dans le cadre des échanges partenariaux de cette expérimentation, nous pressentons le non-recours aux droits d’un nombre certain de personnes éloignées des structures.
S’il est difficile d’en évaluer la quantité, nous souhaitons trouver ensemble des solutions pour aller vers ses personnes et leur donner la possibilité d’avoir toutes les informations et l’accompagnement nécessaires à l’ouverture de leurs droits.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Cette action est conduite de manière transversale en s'appuyant sur l'ensemble des secteurs du centre social.
Notre action permet surtout d’offrir un accueil et une écoute bienveillante à de personnes ayant besoin d’être accompagnées et épaulées dans leurs démarches administratives.
Afin d’accompagner au mieux les habitants, deux jeunes volontaires en Service Civique et un bénévole, avec le soutien de la Conseillère en Economie Sociale et Familiale, mettent en place des temps d’accueil individuel pour répondre aux besoins immédiats et des ateliers participatifs permettent aux habitants de s’investir et de progresser dans la réalisation de leurs démarches administratives et ainsi concourir à l’amélioration de leur situation quotidienne :
- Apprendre à se repérer dans la vie citoyenne : droits et devoirs,
- Connaître les différentes institutions (Mairie, CAF, CPAM…)
- Se familiariser avec les formulaires, avec les démarches en ligne
- Se familiariser avec l’outil informatique
L’accueil réalisé par ces différents intervenants permet aux personnes d’être écoutées et de verbaliser leur demande, mais aussi de les rassurer, d’expliquer, de clarifier, de donner les bonnes informations et réponses, de mettre en lien avec d’autres interlocuteurs si besoin.
Le contact humain et la disponibilité sont des éléments indispensables à une bonne compréhension des problématiques de personnes reçues et donc à une meilleure résolution de leurs difficultés.
L’approche pédagogique est de favoriser une démarche participative des personnes, de ne pas faire à leur place mais de leur permettre d’apprendre de manière active et d’accéder ainsi à une plus grande autonomie.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
5000 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Le public bénéficiaire des différents accompagnements proposés par le centre social est très diversifié.
Au total 428 personnes en 2017 ont pu être accompagnés.
- 25% des personnes reçues sont en situation de monoparentalité
- 20% des personnes accueillies sont en difficulté avec la langue française
- Seulement 24% des personnes affirment disposer d’un accès à un ordinateur pour pouvoir faire des démarches en lignes
Âge
Homme
Femme
Total
18-25 ans
3
11
14
26-64 ans
146
240
386
65 ans et +
21
7
28
Total
170
258
428
- Résultat sur le territoire
Dans le cadre de l’action mise en œuvre cette année, l’intervention d’un travailleur social en soutien des services civiques a permis de prendre en charge ce risque et d’apporter des réponses adaptées :
- réaliser une médiation entre la personne et l’institution
- réorienter vers les services sociaux ou administratifs lorsque la demande était trop complexe pour être traitée sur place et sans connaissance du dossier de la personne.
Concernant la résolution des situations complexes une réflexion approfondie et une mise en œuvre sont en cours afin de faciliter la connexion entre institutions pour faire face aux urgences. Des démarches ont été réalisées dans ce sens dans le cadre du l’expérimentation Accès au Droit du plateau de Haye courant de l’année 2017, avec la nomination de réfèrent « accès au droit » dans les institutions.
Nous avons ainsi pu accélérer le déblocage de plusieurs situations complexes en recourant à l’intervention de ces référents.
- Résultat pour le centre social
Le Centre Social du fait de sa grande amplitude d’ouverture et de son accueil est un réel repère vers lequel les personnes se tournent lorsque les autres structures du quartier sont fermées.
L’activité réalisée par les services civiques mis à disposition par la CAF a permis de renforcer les moyens humains pour garder une accessibilité minimum des publics à l’institution.
Lorsqu’il s’est agi d’une demande simple (demande d’information, aide pour une démarche en ligne, explication d’un courrier, prise de rendez-vous…) le service civique a pu apporter une réponse immédiate en veillant à la compréhension de la démarche par la personne accueillie.
Les services civiques ont été facilitateurs pour ces publics fragilisés en proposant des actions. Au-delà de l’aide concrète apportée, les permanences ont également permis aux personnes les plus éloignées du système administratif de trouver un soutien et une écoute face à leurs difficultés.
En faisant connaître leur démarche auprès des acteurs locaux et notamment de la Mairie de quartier, des relais d’information ont pu être mobilisés et ont permis d’aller au contact des publics plus éloignés du centre social et d’élargir la communication autour de la mise en place de séances d’information collectives.
Au-delà, la réflexion porte aussi vers les publics dits “invisibles”. Comment atteindre les personnes qui ne franchissent pas le seuil du Centre Social mais dont les besoins en termes de mise en place, de maintien ou de renouvellement de droits sont bien présents.
Cette notion d’”aller vers” également étudiée dans le cadre du plan de lutte contre la précarité et la pauvreté avec les partenaires du territoire du Plateau de Haye nous semble un aspect qu’il faut continuer à développer dans notre action.
Force est de constater aussi que beaucoup de structures et institutions présentes sur le quartier partagent les mêmes constats quant aux problématiques d’accès aux droits, certaines réponses sont proposées selon les moyens disponibles ou les spécificités de chacune d’elles. Connaître les actions des uns et des autres et partager une analyse des situations rencontrées est aussi un axe à travailler au sein de l’action pour apporter de la cohérence aux réponses.
- Résultat pour les habitants
Sur l’année 2017 :
- 88 journées d’accueil au sein du Centre Social
- 31 temps d’accueil en mairie de quartier ont été réalisées par les volontaires en mission de service civique,
- 23 temps d’accueil ont été réalisé par un bénévole.
Si pour la plupart des personnes, un entretien aura suffi à expliquer, aider à la réalisation d’une démarche ou à orienter la personne vers le bon interlocuteur, un accompagnement a pu être proposé à des personnes dont la situation était plus complexe ou pour permettre d’acquérir des savoirs et savoir-faire en matière de droits et d’utilisation des outils numérique en vue d’une plus grande autonomie dans la réalisation des démarches administratives en ligne.
Plus de 400 entretiens individuels ont ainsi été réalisés avec une demande de soutien par rapport à une démarche administrative.
74 % d’entre elles concernaient des démarches vis-à-vis de la CAF :
- 32 % pour des déclarations de ressources (dont 60% pour le RSA,10% pour la prime d’activité et 27 % de déclarations annuelles)
- 11% pour des simulations pour l’ouverture de droit (dont APL :40%, RSA :30% et prime d’activité :20%)
- 41% pour autres démarches sur le compte Caf : changement de situation, changement de mot de passe, impression d’attestation, demande de justificatif…
- 16 % autres démarches : explication de courrier, aide à la constitution des pièces d’un dossier, appel téléphonique à la Caf….
Dans la plupart des cas, à l’occasion des séances d’accueils, la demande a pu être traitée sur place, via l’outil informatique :
Les personnes sont particulièrement à la recherche d’un accompagnement dans leurs démarches en ligne (APL, Changement de situation, Déclaration trimestrielle…) : pour certains allocataires l’intervention de l’équipe a permis de se repérer dans des démarches simples qu’ils font seuls maintenant.
15% des demandes ont aussi concernées des démarches en ligne sur d’autres sites que la CAF comme celui de la sécurité sociale (Améli), ou le site de Pôle Emploi.
11% ont été des demandes de renseignements sur des prestations, des explications de courrier, de l’aide à remplir des formulaires administratifs papier... et à des temps d’accompagnements plus lourd pour certaines personnes.
- Suite de l'action : Limites
La présence de moyens humains dans cet accompagnement est sans conteste un atout permettant un accompagnement individuel plus adapté aux besoins spécifiques des personnes.
Mais concernant les publics plus éloignés des outils numériques, l’accès à l’autonomie ne peut se faire que dans un cadre pédagogique plus construit :
- Pour compléter des connaissances liées aux logiques administratives et au fonctionnement institutionnel
- Pour compléter des compétences dans l’utilisation des outils informatiques, dans l’organisation des démarches familiales
- Pour favoriser la prise de confiance en soi
C'est pourquoi, le Centre Social s'est appuyé sur des paretenaires comme la fondation Orange pour mener une expérimentation spécifique vers les publis en difficulté avec la maîtrise de la langue française.
- Mise en œuvre d’une réflexion portant sur une démarche pédagogique partagée avec les différents acteurs de l’action d’apprentissage de la langue française, afin de construire un mode d’action adapté aux besoins du public et permettant sa familiarisation avec les outils numériques.
- La proposition est de travailler en premier lieu sur la thématique de l’accès aux droits qui requiert de fait l’utilisation des outils numériques et qui est au cœur des préoccupations des apprenants.
- L’Association Orange Solidarité pourra être un appui complémentaire pour soutenir la réalisation des outils pédagogiques qui constitueront une base documentaire à partager avec d’autres acteurs du centre social ou d’autres structures engagées dans un projet similaire.
Ainsi avec avec l’intervention des salariés de l’Association Orange Solidarité, le centre social a pu mettre l'accent sur la formation des encadrants bénévoles et salariés du Centre social Caf « La Clairière » pour
- Se familiariser avec l’utilisation de l’équipement mis en place.
- Se former à l’outil numérique pour soi afin de s’assurer dans son utilisation et fixer des compétences souvent acquises de manière empirique.
- Et pour être en capacité de construire des outils pédagogiques adaptés au public mêlant le numérique et l’apprentissage de la langue française.
- Suite de l'action : Perspectives
- Reconduction l'action
- Reconnaissance par la CAf 54: Point e-numérique
- Reconnaissance par la Fondation Orange: Maison digitale ( en cours)
Actions
L'ecole l'affaire de tous
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL PASTEUR - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Mixité sociale
- Résumé
L’action, l’école, affaire de tous comprend deux actions distinctes et complémentaires, construites comme des réponses pragmatiques aux constats repérés sur le territoire partagés par les différents acteurs socio éducatifs et aux demandes entendues des familles.
L’action consiste dans son premier volet à modifier le lien entre les familles et les institutions scolaires en modifiant les représentations ( mutuelles parfois) et en permettant aux familles de mieux comprendre et maitriser les enjeux et les périodes clefs de la scolarité de leurs enfants et d’identifier les ressources et personnes ressources pouvant être mobilisées.
Le second volet de l’action portera sur la question des stages collège et lycée, en réponse aux difficultés auxquelles sont confrontés les jeunes et les familles du territoire autour, là encore de la représentation de ces temps, souvent vecteur de sentiment d’échec, mais également en terme de perspective opérationnelle pouvant être mises en œuvre.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Action 1
Favoriser les liens entre familles et institutions et renforcer la coopération entre les parents et l’école,
Valoriser la place des parents dans le choix de l’orientation de leurs enfants,
Renforcer l’accompagnement des jeunes sur les périodes de transition (relai partenaires, lien avec les établissements scolaires)
Besoin de repères, de clefs de compréhension, de trouver (re trouver) une place pour les familles dans les enjeux liés à la scolarité de leurs enfants et lors des périodes de transition (passage CM2-6ème, passage Collège-Lycée, Collège-apprentissage, orientation, stage)
Besoin de soutien, d’explication,
Besoin de reconnaissance de la place des parents,
Besoin de connaissance des différents parcours scolaires, d’apprentissage,
Besoin d’être rassurer lors de ces périodes source parfois de tension enfants-parents,
Besoin de lever les freins liés à la recherche de stage, de choix d’orientation,
Besoin mutuel familles/institutions scolaires/personnes ressources de se rencontrer, d’échanger
Action 2
- Ouvrir le champ des possibles en termes d’orientation professionnelle par un choix de stage plus diversifié
- Favoriser et faciliter la participation et l’implication des jeunes dans leur recherche de stage
- Limiter les risques de décrochage scolaire par une intervention ciblée en lien avec le collège
- Favoriser la relation jeunes-adultes, et l’amélioration de la perception mutuelle dans un cadre professionnel.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Action 1:
L’action à développer sur l’année scolaire 2017-18 s’appuie sur un diagnostic partagé par les différents acteurs du territoire mais aussi sur leur implication dans la mise en œuvre et la co animation des temps qui seront proposés.
Sur ces actions, l’important sera à la fois la finalité des actions (dans les réponses, informations qui seront données aux familles), que le processus (l’échange, la rencontre, et la reprise de liens avec les différents professionnels).
L’action « L’école expliquée aux parents » s’appuie sur des temps de rencontres collectifs déclinés autours des thématiques et enjeux principaux qui ont été identifiés par les professionnels et par les familles.
Chaque temps/thème sera organisé avec l’appui et la présence non pas d’une personne qualifiée sur la thematique mais de la personne ressource du territoire ( le CPE, l’AS scolaire….). L’objectif étant également la reprise de lien entre les familles et les co educateurs du territoire.
Les thématiques identifiées sont essentiellement en lien avec les périodes de transition comme enjeux à préparer, anticiper et permettre une plus grande sérénité (CM2 -6ème, Collège-Post Collège, orientation). Elles sont destinées aux familles, public repéré comme en besoin d’information, d’accompagnement, de soutien dans ces périodes de transition.
L’obligation scolaire, les relations administratives et notamment les bourses et la question des stages seront également abordées.
Ces différents temps, organisés sous forme de temps d’infos, mais aussi d’espace d’échanges, de questions voir de débat se dérouleront au centre social pasteur, essentiellement les vendredis en fin d’après midi pour permettre la participation du plus grand nombre (temps d’1 heure 30)
La programmation suivante, en concertation avec les intervenants, s’est effectuée au maximum en lien avec les échéances scolaires et/ou administratives dans une recherche d’anticipation.
- Les dispositifs d’accompagnement à la scolarité : Septembre 2017 et septembre 2018.
Nous notons une méconnaissance chez certains parents des dispositifs existants, quand d’autres sollicitent les différents dispositifs ou déplorent de ne pouvoir avoir accès à tous. Par ailleurs les objectifs, modalités de participation et conditions d’assiduité sont parfois à repréciser. Cette action permet en outre une présentation des professionnels référents et de l’articulation des dispositifs entre eux. Une forme de cohérence éducative est par ailleurs affirmée sur ce type de temps conjoints.
Contenu : Présentation des différents dispositifs d’accompagnement à la scolarité, leur spécifiés, modalités de mise en œuvre et l’articulation entre eux. (CLAS, PRE, aide personnalisé, Etude collège……).
Temps Co animés par : Les référentes CLAS enfance et CLAS jeunesse du centre social, l’animatrice PRE ; la directrice de l’école Jules Verne, le CPE du collège Colbert.
- Les stages en entreprises : janvier 2018
En référence aux constats énoncés sur l’action 2 de ce projet, ce temps a pour objectif d’informer les familles sur le sens, les objectifs et la finalité des stages, leur utilité, les soutiens existants au sein de l’institution scolaire et autres (CS Pasteur, ASEA…) dans les démarches d’accompagnement. Ce temps a aussi pour objectif d’écouter les parents sur leurs difficultés liées aux périodes hors champs scolaire (assiduité, relation à l’entreprise, lien a l’orientation etc….)
Temps Co animés par : La référente jeunesse du centre social, CPE ou conseillère d’orientation du collège Colbert, CPE Renaudeau
- L’orientation : février 2018
A travers les expériences, échanges avec les parents, jeunes et membres de la communauté éducative, nous observons qu’une majorité des familles, jeunes du quartier prioritaire subissent leur scolarité, leur orientation. Cette étape est souvent complexe pour les familles qui ne réussissent pas à appréhender les différentes filières, les différentes échéances et obligations, accompagnant « de loin » leur enfant, non pas par démission mais par méconnaissance.
Dans le même temps la communauté éducative du territoire témoigne fréquemment de l’incompréhension des parents face à des refus d’orientation, voir d’orientation par défaut ou mal négociée facteur favorisant de décrochage scolaire.
Ce temps a pour première vocation à rappeler, expliciter les étapes et le calendrier du processus d’orientation, de présenter le rôle ressource de chacun des acteurs, et de permettre un premier échange physique avec les personnes ressources présentes.
Temps Co animés par : La référente jeunesse du centre social, la conseillère d’orientation du collège Colbert et du CIO, CPE Renaudeau, Assistante social du Collège Colbert.
- L’assiduité, le décrochage : mars 2018
La communauté éducative du territoire fait le constat d’un décrochage scolaire croissant sur le territoire. Les facteurs sont multiples mais la difficulté des familles engagées dans ce processus de décrochage ou celles dont les jeunes ne sont plus scolarisés sont souvent majeures et nous observons la difficulté pour la communauté éducative à reprendre en charge les situations de décrochages. Les dispositifs et structures autour de cette prise en charge existent, l’objet de ces temps n’est pas de se substituer ou même d’informer sur leur fonctionnement mais d’informer et prévenir en amont autour notamment d’une information sur l’assiduité scolaire, l’obligation de scolarité, les signes annonciateurs de difficultés, le rôle éducatif des CPE , les relations à construire entre les professionnels de l’éducation et les parents au service des jeunes.
Ce temps visera à créer les conditions d’un échange positifs sur la co éducation et l’identification des personnes ressources.
Temps Co animés par : La référente jeunesse du centre social, CPE Renaudeau, Assistante social du College Colbert, educateur ASEA.
- L’entrée au collège : mai 2018
Cette action sera co organisée avec l’école Jules Verne et l’école Marie Curie en lien avec les temps déjà existants au sein des écoles, en substitution, ou en complément selon la participation au sein des écoles.
Ce temps est souvent qualifié ou vécu de manière tendue par les familles. Le cadre change la relation à l’établissement et à l’institution aussi. Les professionnels témoignent que c’est souvent le temps de l’éloignement des parents, précédant celui d’une difficile reconstruction du lien aux parents les plus en difficultés.
Ce temps, au-delà d’informer les familles sur les modalités d’entrée au collège, a pour objectif de proposer un temps de dialogue , d’échange entre les familles et les personnes ressources du collège du territoire sur ce qui fait questions au sein des familles, notamment pour celles les plus éloignées de ces institutions. L’objectif est également d’amorcer une première relation entre les familles et l’institution dans un cadre favorisant, à taille humaine, dans une logique de co éducation.
Temps Co animés par : La référente jeunesse du centre social, CPE du Collège Colbert, éducateur ASEA, directrice ( eur) écoles.
- L’entrée au lycée : juin 2018
Les constats autour de ce temps de transition sont à la croisée des questions d’orientations, de décrochage, mais mettent en exergue les relations très rares et complexes à engager avec les familles, y compris quand des difficultés sont déjà identifiées au collège. L’objectif de ce temps sera avant tout de présenter les personnes ressources du lycée, leur rôle, et d’affirmer l’objectif de co éducation.
Temps Co animés par : La référente jeunesse du centre social, CPE lycée Renaudeau , Conseillère orientation ,
- Les bourses scolaires : sept 2017 et juin 2018
L’objectif de ce temps sera, suite à un travail déjà opérant (1) entre le centre social et le collège Colbert, d’identifier les familles potentiellement boursières et/ou boursières pour leur présenter le dispositif, les échéances et surtout les nouvelles modalités de constitution des dossiers (saisies informatiques).
- Relance téléphonique ou physique des familles par les animateurs du centre social avec proposition d’un rendez-vous (relance supplémentaire si le rendez-vous n’aboutit pas). Le fait de s’appuyer sur les professionnels du centre social permet d’obtenir de la part des familles une implication plus rapide. Les animateurs sont identifiés comme personnes ressources et cela facilite les échanges.
Chaque année nous constatons qu’un nombre non négligeable de familles ayants droit ne bénéficient pas des bourses scolaires.
Ces temps seront programmés en complément des informations « génériques » données au collège à destination des familles les plus éloignées de l’institution (barrière de la langue notamment).
Ce temps permettra par ailleurs une première rencontre avec les personnes ressources des établissements. Un document explicatif sera également réalisé en appui de ces rencontres comme nous avons pu le réaliser en 2016.
Action 2:Etape/Action 1 : Mobiliser les acteurs économiques du territoire et les partenaires éducatifs autour d’un projet commun facilitant l’insertion sociale des jeunes
A l’initiative du centre social et en concertation avec les écoles du territoire, une démarche de projet va être mise en place permettant de regrouper différents acteurs du territoire : collège et lycée, centre social et entreprises pouvant jouer un rôle dans l’insertion sociale des jeunes et notamment dans les recherches de stages durant le cursus scolaire.
L’action, pilotée par le centre social, va se construire comme suit :
- Définition des grandes lignes du projet : Consolidé
- Evaluation des besoins en terme de stage en fonction des cursus et des écoles (stage découverte de 3ème, stages de 3ème professionnelle, stages en BAC pro…) : consolidé
- Mise en place d’un partenariat de pilotage définissant les objectifs du projet, les usages… avec des membres représentant des écoles, des entreprises, des parents de jeunes et le centre social. : à consolider
- Création d’un listing regroupant les différents acteurs économiques du territoire, prise de contact, rencontre, présentation du projet et mobilisation.
à Sensibilisation et travail avec les entreprises autour de 3 points importants : les enjeux liés à la jeunesse ; l’insertion sociale et professionnelle des jeunes et jeunes adultes ; la valorisation par les stages de filières peu connues par les jeunes. : à consolider
- Mise place du réseau et lien avec les jeunes : à consolider
Etape/Action 2 : Accompagner les jeunes dans leur recherche de stage
Cette action est construite en complémentarité des ateliers et accompagnement déjà présents dans les établissements scolaires. On ne se substitue pas à l’éducation nationale mais on vient compléter un accompagnement en ayant une attention particulière pour les jeunes que nous repérons en plus grande difficulté ou orientés par les CPE, AS du collège et lycée.
La finalité de l’action n’est pas uniquement la solution en termes de stage, mais la transformation en termes de perspectives, d’ouverture sur l’extérieur, de confrontation aux adultes, de mixité sociale.
Par ailleurs, outre le fait que les jeunes ne savant pas « où » chercher leur stage, que les perspectives sont souvent peu en rapport avec les potentialités de ces jeunes, on peut aussi noter qu’ils ne savent pas « comment » chercher et « qu’elle attitude adopter » auprès des professionnels.
Pour les accompagner au mieux dans cette recherche, différents ateliers vont pouvoir être mis en place encadrés par des professionnels et des bénévoles.
Atelier 1. Recherche autour des domaines professionnels et détermination d’un à deux domaines pour le choix du stage.
L’idée est de permettre aux jeunes, à travers un travail de recherche sur internet, dans des revues, à travers des témoignages, des vidéos, d’obtenir des informations sur des professions ou domaines professionnels ; faciliter la découverte de «nouvelles » professions et ainsi d’affiner leur recherche.
Atelier 2. Accompagnement dans la recherche de structures, entreprises pouvant accueillir le jeune en stage, en s’appuyant sur le réseau constitué.
Des contacts avec les entreprises pourront avoir lieu à ce moment là pour affiner la recherche et apporter des précisions supplémentaires sur le domaine professionnel choisi.
Atelier 3. Appui à la réalisation d’un CV et d’une lettre de motivation
Des outils seront utilisés (exemples de cv, ordinateurs portables…) pour faciliter la réalisation des documents. Les courriers pourront être imprimés au centre social et envoyés directement.
Atelier 4. Préparation à l’entretien et point sur le « savoir être »
Cet atelier va permettre d’aborder avec les jeunes la notion de savoir-être, de posture, de comportement à adopter durant l’entretien mais également par la suite, durant le stage. Des simulations d’entretien pourront être réalisées avec l’appui de bénévoles.
Par ailleurs un accès particulier à l’atelier recyclo (prêt, réparation, ou achat de vélos est organisé dans le cadre d’un besoin lié à la mobilité. CF 2017 ou l’atelier a permis à 4 jeunes de trouver une réponse à des questions de mobilités en lien avec des stages).
Dates de réalisation : durant les vacances scolaires sous forme d’atelier et/ou le samedi matin hors vacances à partir de décembre 2018.
Etape/Action 3 : Accompagner les parents dans leur rôle éducatif et dans les démarches administratives liées à la rentrée scolaire et aux démarches de recherche de stage.
Accompagner les parents dans leur rôle éducatif… (cf action 1)
Etape/Action 4 : Animer ce réseau d’habitants/acteurs économique, les mobiliser durablement dans leur engagement.
Par la mise en place d’une convention annuelle d’accueil de stagiaire autour d’objectifs partagés
Par la mise en relation entre les demandes de jeunes en situation de blocage (orientation par les établissements scolaires, les partenaires). Le réseau s’entend dans son action globale, il n’aura ni la fonction, ni la possibilité d’être une garantie d’issu positive à des demandes tardives de jeunes.
Par une participation bénévole au temps d’action « explique moi ton métier «, temps intégrés dans le planning jeunesse, formalisés et conviviaux visant à faire découvrir aux jeunes un métier, échanger avec un adulte professionnel (sur site ou au centre social : 6 professionnels déjà mobilisé sur cette action). Certains de ces temps pourront être intégrés dans une programmation commune « école ouverte ».
- Ressources financières mobilisées pour cette action
7 200 euros.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Centre social: 2
Education nationale: 4 ( 2 cpe, deux conseilleres d'orientations)
Habitants/acteurs économiques du territoire: 15
- Résultat sur le territoire
Non évalués , action en cours
- Résultat pour le centre social
Non évalués, action en cours.
- Résultat pour les habitants
Non évalués, action en cours.
- Suite de l'action : Limites
Action en cours
- Suite de l'action : Perspectives
Poursuite de l'action sur 2018-2019
Structuration et consolidation du reseau d'habitants/acteurs economiques du territoire.
Actions
Espace Partagé Petite Enfance Famille
- Structure organisatrice
- MAISON POUR TOUS MONPLAISIR - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Culture
- Résumé
L'association Ludothèque Angevine ayant quitté les locaux sur le site de la Maison Pour Tous Monplaisir, une salle est disponible depuis juillet 2017. Différentes actions à destination de la petite enfance ont lieu sur le quartier. Il est apparu opportun pour plusieurs acteurs de se regrouper en un même lieu pour une meilleure accessibilité, une mutualisation des moyens et un partage de pratiques professionnelles.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Précision ( si autre )
Un travail partenarial avec quatre acteurs (Lieu d'accueil enfants-parents La Courte échelle, association Toile d'éveil, Relais assistants maternels, actions familles de la Maison pour Tous) a permis de définir des orientations, objectifs et actions.
Les 4 partenaires impliqués dans ce projet travaillent ensemble sur le quartier dans le cadre de la commission petite enfance autour d'actions telles que les promenades poussettes et petits pieds, le printemps petite enfance, l'accès aux modes d'accueil et à l'emploi, les passerelles entre les différentes structures, et sur d'autres temps forts du quartier (forum « mon quartier et moi », par exemple).
Partager un espace commun est un nouveau projet nourri des échanges au sein de ces instances.
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
1. Un espace dédié aux jeunes enfants : proposer un espace d'éveil et de socialisation
2. Un espace à destination des jeunes enfants et de leurs familles, identifié par celles-ci : accompagner les parents dans leurs fonctions parentales, soutenir les liens, ...
3. Un espace petite enfance pluri-partenarial : renforcer la dynamique partenariale, mutualiser l'information, ...
4. Un espace de professionnalisation : favoriser les passerelles, mutualiser les pratiques professionnelles, coopération, cohérence des actions, ...
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
L'objectif de rapprocher le lieu d'accueil enfants parents (LAEP) dans un lieu plus accessible et mieux repéré par les familles existait depuis plusieurs années.
Le démarrage du projet d'espace partagé a débuté avec l'annonce du départ de la ludothèque, en juin 2017, ce qui permettait d'avoir une grande salle pour une nouvelle activité. Aussi, l'équipe du LAEP a construit ce projet en lien étroit avec la ville d'Angers et plusieurs acteurs impliqués dans des propositions destinées aux jeunes enfants et aux familles dans le quartier et dans le centre social.
6 rencontres avec les 4 équipes impliquées ont permis de construire ensemble les orientations et de répondre à un appel à projet de la Fondation Vinci. Ce financement a facilité la mise en place d'une journée d'accompagnement des équipes sur l'aménagement de l'espace avec l'association Pikler Loczy de France et permettra des achats de mobilier et matériel pédagogique adaptés.
La ville d'Angers a participé en effectuant des travaux d'aménagement de la salle (sols, peintures, éclairages, plan de change et sanitaires pour les jeunes enfants, grands placards muraux, ...)
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Financement de la Fondation VINCI pour la Cité
4300 €
Objet du financement
Journée de formation pédagogique : 1400 euros
Matériel (tapis et kit motricité, table à langer, porte-manteaux, petit matériel) : 2900 euros
Estimation salariale du temps de travail pour la coordination du projet : 1306 euros, pris en charge par la Maison Pour Tous Monplaisir
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Equipe MPT : 2 professionnels + 2 bénévoles + 2 intervenants
Equipe Toile d'éveil : 2 professionnelles + 2 intervenants
Equipe LAEP : 6 accueillants + comité de pilotage
Equipe RAM : 1 animatrice de RAM + 1 coordinatrice
- Résultat sur le territoire
Depuis l'ouverture du lieu, les fréquentations sont en augmentation.
La proximité de cet espace en centralité du quartier, plus proche de la Maison des Solidarités notamment, permet à des professionnels d'accompagner les familles plus facilement vers le lieu.
Le bureau de permanence Caf ainsi que la permanence d'aide et de médiation administrative se trouvent juste en face de l'entrée de la salle. Ceci permet à des familles qui viennent pour des démarches administratives d'avoir une visibilité sur l'existence de ce lieu et sur les différentes actions parents enfants qui y sont proposées tout au long de la semaine.
- Résultat pour le centre social
Nouvelle dynamique autour de l'accueil des familles et des jeunes enfants.
Interconnaissance des publics et des professionnels.
Circulation des informations.
- Résultat pour les habitants
Les familles ont bien repéré le lieu, elles le trouvent agréable et plus facilement accessible pour la plupart d'entre elles.
De nouvelles familles sont présentes et s'inscrivent dans la continuité en fréquentant régulièrement l'espace et les différentes propositions parents enfants, ainsi que d'autres activités du centre social.
L'aménagement de l'espace en lui-même permet des interactions facilitées entre les jeunes enfants, les parents et les professionnels.
- Suite de l'action : Limites
Coordination du fonctionnement du lieu en adéquation avec les activités de chacun des intervenants : régularité des réunions et ajustements si nécessaire.
Demande des familles concernant l'accueil de jeunes enfants sur des temps ponctuels. Cet espace n'est pas un établissement d'accueil de jeunes enfants (EAJE).
- Suite de l'action : Perspectives
Participation des partenaires du quartier aux temps d'ouverture du mercredi matin sur les temps d'information aux familles.
Poursuite du travail de partenariat et de réseau, développement de temps d'échanges pour les professionnels.
Installation des ateliers pour les assistant.e.s maternel.le.s le mardi matin à compter d'octobre 2019.
Actions
" Bonjour Voisin"
- Structure organisatrice
- Centre Socioculturel du Douessin - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- Intégration
- Résumé
L'idée du projet "bonjour voisin" était d'organiser un repérage des personnes isolées , d'aller à leur rencontre, de les écouter pour pouvoir construire avec elles ce qui pourraient correspondre à leur besoin. Des liens sont créés avec un bénévole en particulier et un rythme de "visite" prenant différentes formes est mis en place. Il s'agit aussi de pouvoir transmettre et accompagner l'information de ce qui existe sur le territoire et qui pourrait les intéresser, aider, concerner. Pour mener à bien ce projet, il s'agissait aussi de repérer des relais communaux, de mobiliser des bénévoles volontaires pour ce rôle de "voisins". Pour chaque commune un système de quadrillage est mis en place. les partenaires locaux de proximité sont mobilisés pour inviter des habitants relais afin de réaliser un repérage précis.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le centre socioculturel se situe sur un territoire rural composé aujourd'hui de 3 communes dont une commune nouvelle, elle-même composée de 8 communes déléguées. Lors du diagnostic effectué en 2015 la question de l'isolement à tous les âges de la vie a été posé. Le territoire concentre un contexte d’emploi fragilisé avec un chômage qui touche les + de 50 ans, et les jeunes , des chômeurs de longue durée de plus en plus nombreux, le nombre d'allocataires du RSA et le nombre de familles allocataires CAF sous le seuil de pauvreté sont en augmentation. Les causes de l'isolement sont multiples: la précarité, la santé, les ruptures familiales, les accidents de la vie, les problèmes de mobilité et les difficultés relationnelles. Il existe de nombreuses propositions sur le territoire mais les partenaires s'accordent pour constater la difficulté à entrer en contact avec les personnes les plus isolées. Les enquêtes auprès des habitants confirment cette problématique de l'isolement et nomment la difficulté à aller vers les personnes concernées qui peuvent avoir du mal à s’accepter comme ayant besoin d’aide et/ou risquer d’être stigmatisé « public en difficultés ». Les personnes isolées n'ont pas forcément accès à l’information sur l'existant.
Les résultats attendus, pour l'impact, il s'agit au sens large de lutter contre l'isolement sur le terriroire. De façon plus pragmatique, le résultat c'est la mise en place de l'action, la mobilisation d' habitants bénévoles pour les voisineurs, réaliser une charte des visites, mettre en place un relais communal sur chacune des communes, y réaliser un quadrillage, repérer les personnes isolées.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Janvier et février 2017, Visites d’expériences proches, recherches Solidarité paysans :
Trois bénévoles du centre et la référente famille sont les référents de ce projet. Un comité d epilotage est mis en place , des réunions de tous les bénévoles sont organisées deux fois par an, ainsi que des réunions de suivi sur les communes L'action expérimentale bénéficie d'un financement Fondation de France..
10 et 30 mars 2017 : Définition de pré-requis attendus des volontaires
Choix du nom "bonjour voisin"
Juillet 2017 Repérage et mobilisation d’habitants volontaires pour être relais communaux, voisineurs, visiteurs. Cette action se fait en continu depuis.
depuis juillet 2017 Quadrillage du territoire toujours en cours :
Enrichissement du répertoire d’acteurs existants :
-Les bénévoles sont allés rencontrer des responsables : De la Mission locale, Choix de vie, ASPFA, Tact, Secours Catholique et des structures engagées initialement : MSA, CAF, MDS, CCAS
-acteurs locaux : le quadrillage donne lieu à la mobilisation de nouveaux acteurs :
Concourson : élus municipaux, responsables comité des fêtes, association de parents d’élèves, ADMR, club de marche et des personnes ressources
Louresse : festival petites cheminées, club 3ième âge, théâtre, comité des fêtes, paroisse, parents d’élèves et des élus, CCAS, groupe de marche.
Denezé : comité des fêtes, ADMR, amicale de l’école, club du 3ième âge, des élus municipaux et personnes ressources
- Définition de missions avec charte et règlement intérieur , création d'un classeur informations sur l'existant.
- Elaboration d’un programme de formation : A ce jour, les voisins visiteurs investis n’ont pas accroché à notre proposition de bénéficier d’une formation telle que prévue dans le projet initial.Il nous est difficile à ce jour de savoir si ce qui nous apparaît encore comme un besoin pour la majorité d’entre eux se transformera en demande dans un futur proche. Nous ne disposons pas de leviers pour les y contraindre, d’ailleurs, l’exercice d’une contrainte serait contre-productif et pourrait faire que leur investissement s’arrête.
Néanmoins, des pas ont été faits! deux d’entre eux ont participé à une formation de quatre jours sur le risque suicidaire, organisée par la MSA, deux autres ont bénéficié d’une formation à l’écoute organisée par le Secours Catholique, et deux derniers ont suivi quatre séances animées par une psychologue sur la communication bienveillante . Ces démarches ont été «réinvesties dans le groupe des bénévoles» Est-ce suffisant? Nous ne le pensons toujours pas et restons en veille sur cette question.
Repérage d’habitants concernés par la problématique de l’isolement: quadrillage progressif du territoire. Selon les communes, notre intitaitve est plus ou moins bien accueillie. dans certains lieux on constate que les soidarités de voisinage se crée spontanément et que des veilles existent mais spécifiquement envers les personnes âgées voire très agées.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
L'action est financée pendant 3 ans dans le cadre des "initiatives pétillantes" de la Fondation de France (4000€/an) ainsi que par les communes dans le cadre de l'axe Solidarité de notre projet ( environ 2000€/an sur l'action ). les coûts sont essentiellement ceux concernant les charges salariales de la référente familles qui coordonne l'action sur l'isolement. Autres charge: intervenants service extérieurs pour les formations ou l'accompagnement ainsi que d'autres faris de déplacement, mise à dispoition de nos minibus ;
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Professionnelles: essentiellement la référente famille mais aussi la directrice dans la réflexion
Bénévoles référents: 3 membres de notre C.A.P. (Cercle d'Animation du Projet) , le président et deux membres.
bénévoles volontaires voisineurs et relais communaux: 9 + 13 habitants de Dénezé, Louresse qui visitaient spontanément mais cela a permis de structurer et revivifier.
- Résultat sur le territoire
Dans les communes où les contacts ont pu déboucher sur une réunion de quadrillage cela a créé une réelle dynamique et une prise de conscience de l'existant et des besoins. Les personnes conviées s'investissent dans la réflexion et témoignent que cela crée une attention et une vigilance particulière. La réflexion collective permet d'organiser une vérification systématique, quartier par quartier ou hameau par hameau. Des questionnements émergent sur tel ou tel habitant, maison, réseaux se créent pour se renseigner. Cela met parfois en valeur ou en évidence des solidarités naturelles et permet de les entretenir ou de les consolider.
On constate aussi pour certains des réticences à se poser ces questions.
- Résultat pour le centre social
Evolution de l'ancrage territorial. reconnaissance.
Nous n’avions pas expérimenté le quadrillage dans les communes : une démarche systématique qui s’appuie sur la connaissance fine des habitants. Cela est rendu possible par le croisement des connaissances des habitants. C’est pour nous une nouvelle méthode
- Résultat pour les habitants
Les voisins entrés dans la démarche apprécient ce lien régulier. Reconnaissance des personnes, renforcement des liens
- Suite de l'action : Limites
L’action n’a pas atteint l’objectif initial de toucher « tout public », hormis les personnes âgées, la rencontre avec d’autres habitants passe sans doute par une approche spécifique que nous n’avons pu engager.
Dans la construction du projet , les outils de suivi imaginés n'ont pas parus appropriés à l'épreuve de la mise en oeuvre et de la réalité, jugés "trop administratifs ou contrôle" (carnet de visite, fiches synthètique trimestrielle, liste des typologies) . Les personnes visitées parlent plus de besoin d erencontres que d'aides.
Une réflexion et confrontation en interne sur le sens d'un tel projet pour le centre social, l'accompagnement individuel ou collectif, comment partir de l'individuel pour aller vers le collectif? la construction même du projet , la place du pouvoir d'agir et du centre.
- Suite de l'action : Perspectives
Nous avons le sentiment de ne pas avoir abouti et avons souhaité lors d’un comité de pilotage nous doter de moyens supplémentaires pour
- Maintenir des liens quand un quadrillage dans une commune mobilise ses habitants
- Renforcer ou recréer des liens avec les travailleurs sociaux, les associations locales, afin de co-construire avec eux des solutions adaptées pour aller vers les publics plus jeunes et isolés. Si cela aboutit, alors une mobilisation de nouveaux habitants « visiteurs » est à imaginer. Ainsi, lors d’une réunion partenariale « le groupe rencontre », des travailleurs sociaux de la MDS, de la CAF et du CCAS ont indiqué que des personnes expriment leur isolement et leurs besoins de rencontre. Ils se sont portés partenaires pour chercher comment faire des passerelles vers les actions existantes.
- L’idée retenue dans un premier temps serait d’accueillir un stagiaire en travail social qui viendrait en complément de l’action de la coordinatrice, action que nous souhaitons poursuivre sur les fonds qui restent et que nous n’avons pas mobilisés. Faire le point avec la fondation de France .
- faire du lien avec l'action des" ateliers du lundi" mise en place au centre elle-même en évolution.
- envisager une action différente pour le public plus jeune, la visite à domicile, ne semble pas être adaptée.
Actions
RDV chez Moi
- Structure organisatrice
- CENTRE DE L'ALLEE VERTE - Loire-Atlantique
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Résumé
Une actions pour et avec les personne du "grand ages" isolée et ayant des difficultés de mobilités qui accueillent des groupes de voisins pour organiser des gouters, partager un moments convivial et échanger autour de recits de vie
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place en continuité de l'action Jardin'âges afin de créer des liens de proximité pour des personnes isolées ayant peu de mobilité.
Nous souhaitons réintérroger notre mode d'intervention en intervenant chez l'habitant et en créeant des réseaux de liens sociaux et de solidarité de proximité
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Cette action a été expérimenté en 2017, avec quelques personnes agées du réseau jardin'ages accueillant un jardinier. Trois rendez vous ont eu lieu en 2017 avec des membres du réseau jardin'ages, des voisins. L'une des personnes agées a accepté de parler de sa vie autour dun album photos. Nous l'avons aidé à constituer une exposition à son domicile autour de ses albums photos. Le gouter à été élaborer par des enfants qui ont également visité le jardin de cette personne. les échanges entre les enfants et les personnes agées du quartier ont été très riches, pleines d'émotions.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
environ 12000 € ( ressources humaines, déplacements mobilité, fourniture matériel, et alimentation)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
12 à 18 pour chacune des actions
- Résultat sur le territoire
Ce type d'actions réinterroge les acteurs sociaux sur les modes d'interventions. La commune et certains partenaires comme les caisses de retraite sont très intéressés par ce type d'action. Compte tenu des difficultés de mobilité des personnes agées cette action réeinnterroge nos modes d'interventions et proposent de nouvelles formes d'animation. Cette action permet de retisser des liens sociaux
- Résultat pour le centre social
Cette action suppose des moyens et une plus grande visibilité. N
Notre capacité à inventer de nouvelles formes d'action est très appréciée.
Son impact directe est d'aller à la rencotre de perosnnes très isolées
- Résultat pour les habitants
Les habitants peu mobiles apprécient cette démarche, il regagne peu à peu des actions plus collectives à condtion de les aider dans leurs déplacements
- Suite de l'action : Limites
Moyens humains et temps de travail, besoin d'un véhicule adapté
- Suite de l'action : Perspectives
Développer ce réseau, et déployer les rdv autour de ce concept (intergénérations, récits de vie, accueil au domicile)
Actions
REVEILLON SOLIDAIRE
- Structure organisatrice
- OFFICE SOCIO CULTUREL MONTOIRIN - Loire-Atlantique
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Résumé
Des habitants se mobilisent pour organiser le réveillon du 31 décembre sur la commune de Montoir.
ce réveillon s'adresse aux personnes et aux familles seules.
en 2017, 100 personnes ont participé au réveillon le 31 décembre.
dés septembre, un collectif d'habitants, sous l'implulsion de 2 administrateurs du centre socio culturel, se réuni pour :
- mobiliser d'autres habitants, créer une synergie, une dynamique autour de ce réveillon.
tout est réalisé par les habitants : les réservations (salles et repas), les inscriptions, les décorations, la communication, la recherche de financement...
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
cette action vise à lutter contre l'isolement et le repli sur soi.
elle permet la prise d'initiatives, la prise de responsabilité. Elle favorise les échanges et la rencontre entre des habitants.
elle renforce les liens familiaux et intergénérationnels
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
les habitants interessés pour organiser le réveillon se rencontrent tous les mercredis après midi au centre social.
ils se répartissent les différentes tâches et créés des groupes de travail.
2 référents habitants coordonnent l'ensemble en s'appuyant sur un professionnel "relais" Ces 2 habitants font le lien avec les instances statutaires du CS
- Ressources financières mobilisées pour cette action
1 500 € dont 1 000 € venant de la Fondation de france et 500 € d'un sponsor privé
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
100 à 120 habitants et 20 à 30 bénévoles
- Résultat sur le territoire
Cette action permet de repérer le Cs comme lieu ressources pour monter un projet
il permet également de faire sentir à la population et aux élus comment la solidarité peut se vivre ensemble
- Résultat pour le centre social
Le CS accompagne la conduite d'un projet à l'initiaive d'habitants
- Résultat pour les habitants
ce projet valorise les habitants organisateurs et révèle leur capacité à conduire une action
- Suite de l'action : Limites
jusqu'à quand les habitants s'impliquerons ?
pour les professionnels, laisser les habitants faire, sans faire à leur place
- Suite de l'action : Perspectives
de plus en plus d'habitants souhaitent participer à ce projet. Or, pour qu'il reste viable, l'effectif de participants ne peux pas croître sans que cela soit un rique pour les bénévoles de se sentir dépassés.
Actions
JOURNÉE DES PEINTRES
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
L'action se déroule sur une journée au printemps: le 19 avril 2018
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- Mixité sociale
- Résumé
c'est un concours, ouvert à toute personne pationnée par la peinture, le dessin, l'aquarelle ect.... les participants qui se sont inscrits au préalable, ont toute la journée (de 10h à 17h) pour réaliser une oeuvre. ils s'installent ou ils veulent sur le frond de mer.
a l'issu de la journée, le public peut voter, ainsi que des jurys désignés au préalable.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
cette action initiée par des habitants, inscrits à l'atelier peinture du centre social, a vu le jour en 2017. les adhérents souhaitaient valoriser tous les talents, et faire connaitre les ateliers du centre social.
ils voulaient aussi démontrer que l'art est ouvert à tous, à la fois pour les artistes que pour le public à qui on donne la possibilité d'avoir un avis sur une oeuvre.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
un groupe d'abitants (5/6) s'est mis au travail dès le mois de septembre (recherche de sponsors, communication, organisation de la journée....)
mise en place de commissions (communication, recherche de lots, mise en place d'un réglement intérieur....
en moyenne une réunion par mois de septembre à avril
- Ressources financières mobilisées pour cette action
1000€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
une dizaine de bénévoles, un professionnel à la coordination, 4 professionnels le jour j
- Résultat sur le territoire
la gestion d'un lieu d'exposition par le centre social toute l'année, facilite la mise en place de ce type de journée tournée vers l'art. les habitants y sont déjà un peu plus sensibilisés. le fort de villes martin est souvent un but de promenade pour les habitants.
- Résultat pour le centre social
meilleur connance des ateliers peintures
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
le nombre d'artistes inscrits augmente d'années en années, et cela devient trop lourd pour les bénévoles.
- Suite de l'action : Perspectives
l'action sera reconduite sous réserve de la mobilisation de bénévoles. En effet il nous faut élargir le groupe de bénévoles, pour une meilleur répartition des taches le jour j.
mais cette journée est devenue un rv incontournable pour les artistes comme pour le public.
Actions
Ludo'Parc
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL CONDORCET - Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- Intégration
- Résumé
Description de la ludothèque : Ludo’Parc
Le Ludo’Parc se trouve dans le quartier du parc des sports. Nous proposons un accueil tous les samedis après midi pournos adhérents : Multi Accueil, accueil de loisirs, accueil périscolaire, accueil jeunes, accueil adultes et familles. Nous accueillons une grande diversité de public de par son âge et sa culture
Le Ludo’Parc, espace de jeux (jeux d'imitation, jeux de société, jeux en bois, jeux de straégie..), installé dans la grande salle du centre social est ouvert les samedis de 15h à 17h. Les adhérents seront reçus par des salariés et des bénévoles de la structure qui les orienteront vers les différents jeux.
Il y a environ 36 samedis d’ouverture, hors vacances scolaires dont quelques après-midis à thèmes.
Les objectifs
Permettre aux adhérents de passer des moments conviviaux autour du jeu en proposant des jeux adaptés pour chacun (âges, nombres,…)
.Favoriser le lien social intergénérationnel en proposant aux adhérents de venir en famille ou entre amis.Se détendre, se faire plaisir, s’épanouir autour du jeu.
Permettre l’apprentissage par le jeu en proposant une grande variété dont des jeux de prévention.
Permettre aux adhérents de se rencontrer en ouvrant la ludothèque aux personnes du quartier et de l’extérieur.
Permettre un accès au jeu à moindre cout en proposant un accueil gratuit.
Faire découvrir des jeux en proposant des nouveautés, qu’ils ne connaissent pas forcément.
Impulser une dynamique sur le quartier le week-end.
Proposer des jeux peu chère afin qu’ils puissent l’acquérir pour eux s’ils sont intéressés.
Permettre à terme d’organiser un système de prêt.
Déroulement de temps d’accueil ludothèque
Les animateurs présents les samedis ont 30 minutes pour installer les espaces (de 14h30 à 15h) et un second temps de 30 minutes également (17h-17h30) pour le rangement de la salle. C’est de 15h à 17h qu’un accueil est proposé aux adhérents. Durant ce temps, chacun peut se diriger vers le jeu ou l’espace qu’ils désirent en étant accompagnés des animateurs. Les personnes sont autonomes dans la prise, l’installation et le rangement de leur jeu.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Autre
- Précision ( si autre )
les professionnels du centre social et administrateurs en fonctions de besoins repérés
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Mise en place d’un espace « ludothèque/espace jeu » au sein du centre social (implanté dans un quartier populaire) afin de favoriser les liens parents-enfants à travers le jeu et de favoriser les acquisitions des enfants qui vivent dans des familles en dessous du seuil de pauvreté.
La phase de construction du projet s’est réalisé du 1er/09/2014 jusqu’au 31/12/2014 (mise en place du comité de pilotage, visites de projets similaires, construction du projet, achats, communication...)
Le projet a été lancé auprès de la population le 1er janvier 2015. L’ouverture du Ludo’Parc (nom choisi par les familles et salariés) se fait chaque samedi hors vacances scolaires.
:
La création de l’espace jeu chaque samedi après-midi a été mis en place à partir du 10 janvier. Le bilan est plutôt positif : plus de personnes que nous pensons ont participé et les parents jouent avec leurs enfants, ils leur consacrent ces 2 heures pour leur faire plaisir. Ils utilisent les jeux qui leur sont mis à disposition et n’hésitent pas à solliciter les animateurs présents pour des renseignements. C’est un moment très convivial. Le prêt de jeu n’a pas été mis en place car nous n’avons pas encore eu demande à ce jour. Après bilan, les participants préfèrent avoir un lieu de vie sur le quartier, ils préfèrent sortir de chez eux, rencontrer d’autres familles et être avec les autres ce qui favorise le lien social. Les familles préfèrent que les animateurs soient présents afin de répondre à leurs différentes questions (règles du jeu, installation…). Nous proposons des jeux « courts » de 15 à 20 min pour que ceux-ci soient accessibles à tous, même aux parents qui se sentent en difficultés
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
groupe de pilotage administrateurs et personnel du centre social
- Ressources financières mobilisées pour cette action
18 000 euros sur 2 ans
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
8 personnes
- Résultat sur le territoire
- rupture de l'isolement
-solidarité
- intergénérationnel
- mixité culturelle pour un quartier qui comporte 24 nationalités différentes : apprendre à se connaître
- Résultat pour le centre social
lieu de vie pour les familles le samedi
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
financement de la Fondation de France.
Difficulté pour la pérennité de cette action compte tenu des baisses de financements des collectivités. Action expérimentale qui rencontre un succès important au sein du quartier.
Actions
Ludo Parc
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL CONDORCET - Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Parentalité
- Intégration
- Résumé
Mise en place d’un espace « ludothèque/espace jeu » au sein du centre social (implanté dans un quartier populaire) afin de favoriser les liens parents-enfants à travers le jeu et de favoriser les acquisitions des enfants qui vivent dans des familles en dessous du seuil de pauvreté.
La phase de construction du projet s’est réalisé du 1er/09/2014 jusqu’au 31/12/2014 (mise en place du comité de pilotage, visites de projets similaires, construction du projet, achats, communication...)
Le projet a été lancé auprès de la population le 1er janvier 2015. L’ouverture du Ludo’Parc (nom choisi par les familles et salariés) se fait chaque samedi hors vacances scolaires.
Les objectifs
-
Permettre aux adhérents de passer des moments conviviaux autour du jeu en proposant des jeux adaptés pour chacun (âges, nombres,…).
-
Favoriser le lien social intergénérationnel en proposant aux adhérents de venir en famille ou entre amis.
-
Se détendre, se faire plaisir, s’épanouir autour du jeu.
-
Permettre l’apprentissage par le jeu en proposant une grande variété dont des jeux de prévention.
-
Permettre aux adhérents de se rencontrer en ouvrant la ludothèque aux personnes du quartier et de l’extérieur.
-
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La création de l’espace jeu chaque samedi après-midi a été mis en place à partir du 10 janvier. Le bilan est plutôt positif : plus de personnes que nous pensons ont participé et les parents jouent avec leurs enfants, ils leur consacrent ces 2 heures pour leur faire plaisir. Ils utilisent les jeux qui leur sont mis à disposition et n’hésitent pas à solliciter les animateurs présents pour des renseignements. C’est un moment très convivial. Le prêt de jeu n’a pas été mis en place car nous n’avons pas encore eu demande à ce jour. Après bilan, les participants préfèrent avoir un lieu de vie sur le quartier, ils préfèrent sortir de chez eux, rencontrer d’autres familles et être avec les autres ce qui favorise le lien social. Les familles préfèrent que les animateurs soient présents afin de répondre à leurs différentes questions (règles du jeu, installation…). Nous proposons des jeux « courts » de 15 à 20 min pour que ceux-ci soient accessibles à tous,
Après avoir questionné les familles, elles préfèrent se rendre au Centre Social pour se rencontrer et se retrouver. Toutes les familles présentes lors du temps d’accueil Ludo’parc sont respectueuses des autres ; Il y a tout le temps des échanges entre eux. Nous proposons quelques fois des jeux où plusieurs personnes peuvent participer et il est arrivé que plusieurs familles ou personnes seules se retrouvent à jouer ensemble, cela crée des échanges intergénérationnels donc interculturel très positif. En effet, nous avons reçu des personnes de différentes nationalité ce qui a été positif car elles ont été amené à vivre quelque chose ensemble. Les personnes seules viennent car elles savent qu’elles trouveront d’autres personnes pour échanger. Aujourd’hui, certaines familles se donnent même rendez-vous dans le quartier pour se rendre au Ludo’parc. Il est à noter que 24 nationalités différentes vivent dans le quartier. n difficultés.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
groupe de pilotage administrateurs et salaréis
formations
et visites de ludothèque existante
- Ressources financières mobilisées pour cette action
18 000 euros pour 2 ans
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
12 personnes
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- rompre l'isolement
-mixité culturelle (24 nationalités différentes dansle quartier)
- lieu de vie dans le quartiuer le week end
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
difficultés pour perenniser l'action compte tenu de la baisse des financements des collectivités. La Fondation de France ayant financé l'amorçage de l'action.
Action qui est pourtant une réussite
Actions
l'âge d'or. Une expérience artistique mais pas que !
- Structure organisatrice
- ESPACE BORIS VIAN - Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Culture
- Mixité sociale
- Résumé
Dans le cadre d'un partenariat avec La Comédie de St-Etienne (CDN), une compagnie professionnelle de théâtre, le collège et la résidence de personnes âgées, nous avons mis en place un projet d'action culturelle qui a réuni une quinzaine de participants âgés de 11 à 91 ans. Encadrés par des comédiens, metteur en scène, musicien professionnel de la Cie The Party, ils ont partagé des moments intenses de discussion autour de l'âge d'or (les plus beaux moments de notre vie), mais aussi de la religion, de la politique, de l'enfance, de la famille, des "évènements". Ces temps d'échanges et d'écriture ont donné naissance à un spectacle joué à La Comédie et qui a fiat l'objet d'une publication de 128 pages et 70 photos qui relatent l'aventure vécue par ces amateurs habitants du quartier.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
pour favoriser l'accès à la culture pour tous, pour lutter contre l'isolement des personnes âgées, pour valoriser les pratiques artistiques des jeunes, pour recréer du lien entre les générations.
pour impliquer divers partenaires sociaux, éducatifs et culturels.
pour communiquer (notamment via le livre) sur la méthode utilisée pour mener à bien le projet, les points forts, les difficultés rencontrées,.... histoire d'impulser d'autres initiatives.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
contitution d'un groupe d'habitants du territoire, via les partenaires (maison de retraite, collège). 15 participants âgés de 11 à 91 ans (des collègiens, lycéens, jeunes adultes actifs, jeunes retraités, personnes âgées...)
ateliers de pratique théâtrale mêlant échanges, écriture et jeux théâtraux
création d'un spectacle à partir de la parole des participants (sur des soirées, des journées de vacances, des eek-end)
2 représentations sur la scène de la Comédie de Saint-Etienne
édition d'un ouvrage présenté par les acteurs et encadrants du projet au moment de la Fête du Livre de St-Etienne.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
budget global : 43.170 €
recettes : CAF 12.000€, Département 6.000€, région Rhône-Alpes 3.000€, AG2R la Mondiale 1.500€, Caisse des Dépôts 5.000€, Fondation Casino 7.000€, DRAC 4.000€, Ville 4.370€, SEDL 300€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 animateur du centre social
1 chargée d'action culturelle Comédie
1 animatrice résidence de personnes âgées
3 comédiens
1 musicien
1 photographe
1 enseignante du collège
1 auteur
- Résultat sur le territoire
valorisation du partenariat associatif et institutionnel
ouverture de la résidence de personnes âgées et du collège sur l'extérieur
positionnement de nombreux partenaires financiers privés et publics
- Résultat pour le centre social
ancrage sur le territoire
reconnaissance par le milieu culturel
mobilisation de publics nouveaux
- Résultat pour les habitants
remobilisation
découverte du milieu culturel
expression et partage de points de vue entre générations
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
le projet se poursuit avec la quasi totalité des participants rejoints par d'autres : ils sont à présent 28 à participer au projet qui a fait appel à un nouveau metteur en scène.
les participants se retrouvent soit le vendredi soir soit pendant les vacances scolaires, un week-end en gite est prévu en mai pour regrouper tous les participants.
Actions
jardin partagé
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL MARCEAU MULSANT - Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Environnement
- Mixité sociale
- Résumé
Notre projet consiste à créer un jardin partagé étant accessible aux habitants, principalement ciblés sur le quartier Mulsant (à Roanne, 42).
Ce projet est né suite à plusieurs diagnostics dont notamment celui de la CAF qui nous a permis d’identifier différents besoins et demandes des habitants du quartier dont un manque d’espaces verts, un affaiblissement du lien social, un isolement entre voisins, un manque de lieux de rencontres et des difficultés d’accès à des activités de loisirs.
Un projet de jardin partagé nous semble répondre parfaitement à ces demandes puisqu’il a pour but de développer des liens sociaux de proximité par le biais d’activités sociales, culturelles et éducatives, à destination des habitants.
Les principaux objectifs opérationnels du projet sont :
1. Mettre en pratique une citoyenneté active, apprendre à faire ensemble et à échanger entre personnes différentes, en ayant un vrai pouvoir d’agir.
2. Favoriser la coopération intergénérationnelle et la transmission de savoirs.
3. Permettre au jardin d’être un vrai lieu de vie développant des activités de sensibilisation et d’éducation à l’environnement et au développement durable.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Mettre en pratique une citoyenneté active, apprendre à faire ensemble et à échanger entre personnes différentes, en ayant un vrai pouvoir d’agir :
Ce projet nécessite une participation active des habitants du départ du projet (choix de la cabane de jardin, écriture des règles de fonctionnement du jardin…), à sa mise en œuvre, puisque la démarche participative se poursuivra lorsque le jardin aura été créé, avec une gestion elle aussi participative (mise en culture, récoltes, organisation d’évènements…).
Le jardin sera un lieu de développement des liens sociaux entre habitants du quartier puisque des temps forts au jardin seront créés (repas partagé, temps festifs et culturels…).
Ce jardin se doit d’être aussi un lieu de développement de la vie locale, identifié sur le quartier et travaillant en lien avec le tissu associatif local, les écoles du quartier, club de séniors, ainsi qu’avec les institutions existantes sur le territoire.
- Favoriser la coopération intergénérationnelle et la transmission de savoirs :
Ce projet a pour objectif de faire évoluer les comportements et les pratiques alimentaires en cultivant la diversité des légumes. Le jardin se doit être un outil permettant d’apporter des connaissances sur le plan nutritionnel et sur le plan de la santé.
- Permettre au jardin d’être un vrai lieu de vie développant des activités de sensibilisation et d’éducation à l’environnement et au développement durable :
Mettre en place ce projet c’est répondre à des besoins, notamment la création d’un lieu de vie, un lieu convivial pouvant rassembler les habitants autour d’une dynamique : l’activité jardinière, permettant une bonne intégration sociale.
Ce jardin a une forte vocation pédagogique. En effet un espace du jardin sera réservé aux enfants pour des actions d’éducation à l’environnement et au développement durable, ainsi que des ateliers d’éveil au goût.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
mis en place d'un groupe "pilote" pour le démarrage (avant l'attribution du terrain en mi 2014)
réunions régulières sur la perma culture (économie d'eau, plantes et fleurs alliées pour éviter les pesticides...)
rencontres tous les vendredis au centre social, puis sur le terrain pour la mise en place des batiments / cloture / plantation à partir du printemps 2015
- Ressources financières mobilisées pour cette action
investissement mairie : 45 000 euros. 1e dossier de financement dans le cadre de la politique de la ville (financement agglomération roannaise et conseil régional) 10 000 euros
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
10 jardiniers "noyau de base" pour le comité de pilotage, puis groupe d'une trentaine de personnes plus ou moins régulières en fonction du travail
2 salariés du centre social mobilisés
- Résultat sur le territoire
projet en démarrage : impacts à évaluer !
- Résultat pour le centre social
nouveaux adhérents, et investissement sur l'extérieur de l'ensemble des secteurs (politique du "hors les murs")
- Résultat pour les habitants
peu d'espaces verts dans le quartier : interet pour les habitants, car le jardin sert aussi de lieu d'actions culturelles et d'animation (fêtes/ expo..)
- Suite de l'action : Limites
budgets pour les années à venir ???
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
F!esta des Rues (événement festif participatif)
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL LE BABET - Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- Emploi, économie
- développement durable
- Mixité sociale
- Résumé
Evénement festif : décor de rue géant, animations, défilés, concerts, grand bal populaire qui a lieu tous les 2 ans. La F!esta des Rues 2018 est la 3ème édition, elle aura lieu en centre-ville le samedi 7 juillet 2018 pm + soirée.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place à la suite d'un projet dit culturel / politique de la ville : rénovation de 11 halls d'entrées d'immeubles du quartier Tarentaize-Beaubrun à Saint-Etienne, dans la lignée de l'artiste catalan Gaudi. 17 habitants sont allés à Barcelone voir les oeuvres de Gaudi et en sont revenus avec un projet à l'aune de la Festa Major de Gracia barcelonaise (1500000 visiteurs du 15 au 21 août chaque année depuis 200 ans) : décors de rues, manifestations festives de toutes sortes, sur l'équivalent de 5 quartiers français.
Au retour de Barcelone, nos 17 habitants ont souhaité mettre en place un événement festif à petite échelle, pour rehausser l'image de leur quartier.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
L'action a débuté fin 2010.
Le collectif F!esta des Rues est un collectif d'habitants, accompagnés par le centre social. Plusieurs GT : ateliers de fabrication d'un décor de rue géant, animations programmation, budget, communication, logistique, partenariats.
Animation des GT : méthode de consensus.
CR systématiques (76 en 2013 et environ 50 en 2015).
Micro-événements (communication).
Vie du collectif : sorties, repas partagés, visites, etc.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
36000 euros / 2 ans : 2012-2013
25000 euros / 2 ans : 2014-2015
24000 euros (demandés) / 2 ans : 2017-2018
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
25 personnes sur le Collectif : préparation de l'événement. Environ 60 personnes le jour J.
2 salariés pour les 2 premières éditions. 15 salariés et 5 administrateurs le jour J.
7 salariés pour l'édition 2018 : préparation de l'événement (2 centres sociaux).
- Résultat sur le territoire
Meilleure image des habitants du quartier (impact modeste pour un quartier immigré à 1/3).
Mise en place d'un partenariat avec un autre centre social : la Maison du Crêt de Roch.
- Résultat pour le centre social
Création en cours d'une "filiale" : En pièces détachées de recyclage de déchets industriels, avec animations, formations, vente.
Implication plus importante de l'équipe du Babet dans cette 3ème édition.
- Résultat pour les habitants
Permet de rompre l'isolement (ateliers de fabrication du décor notamment), des habitants trouvent un emploi (phénomène de réseau), retours positifs des commerçants de la ville, des élus, des habitants stéphanois.
- Suite de l'action : Limites
Limites : le Collectif ne souhaite pas évoluer en association et souhaite rester au sein du Babet. La vie du groupe est le point d'achoppement, il s'agit de veiller sur les échanges et de les réguler (rôle du CS).
- Suite de l'action : Perspectives
Associer tous les quartiers de la ville pour l'édition n° 4 en 2020.
Réaliser des bénéfices avec le projet "En pièces détachées" et passer à une entreprise de proximité.
Actions
Création du Club CPN (Connaitre & Protéger la Nature) Chouette & Chanterelle
- Structure organisatrice
- LA MAISONNEE ADMR - Loire
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Environnement
- Résumé
La création d'un club CPN a permis de mettre en oeuvre une action pour la connaissance ornithologique et la construction de mangeoires et de nichoirs sur le Pays de Belmont.
Ces objets en bois, confectionnés par les participants pour les oiseaux de nos villages, vont ensuite être distribués aux collectivités locales du territoire.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
‘’Promouvoir la culture de la nature, l'école buissonnière, autrement dit connaître la nature par la nature, dans la nature, pour mieux la protéger bien sûr ! ’’
Une finalité : développer des activités socioculturelles sur un territoire rural, pour favoriser le lien social et la solidarité, pour et par ses habitants.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Des actions sont en cours sur le Pays de Belmont.:
- Communales : comme à La Gresle devenue village d’accueil pour les hirondelles et martinets en partenariat avec la LPO - Intercommunales, avec la mise en œuvre d’un projet de connaissance de la forêt, auprès des écoles primaires
Dans cet élan, le comité de pilotage de notre EVS décide de rejoindre cette dynamique pour proposer des projets d’éducation ’’ verte et durable’’. C’est entre autre, la mise en place d’un club CPN qui est actée.
A savoir que depuis 2016, notre EVS organise sur l'ensemble des 9 communes du Pays de Belmont des sorties botaniques, pour découvrir la flore environnante et qu'un herbier numérique est en cours de réalisation. Ces sorties font partie d'un axe majeur de notre projet social sur : La découverte de la faune et de la flore du Pays de Belmont.
Février 2020 : Réunion de présentation auprès des habitants des 9 communes
Mars 2020 : Les premiers ateliers devant débuter sont repoussés en septembre, à cause de la pandémie.
Septembtre : Première sorties sur le terain...puis
la crise sanitaire nous obligeant à fermer notre structure fin octobre, l'action de création de mangeoires et nichoirs est reportée à l'année prochaine.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
4 628,00 €
Subventions:
- Nature & Découvertes : 1270 €
- Département : 250 €
- Commune : Prêt d"un local
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 animateur professionnel
1 salarié de l'EVS
- Résultat sur le territoire
Avec une meilleure connaissance de leur environnement, les habitants seront à même de mieux le préserver.
Le fait de donner des mangeoires à chaque collectivités locales, implique un suivit de la part des habitants, pour approvisionner celles-ci. Une participation active, pour une prise de conscience de chacun dans une action collective.
- Résultat pour le centre social
Cet atelier, ouvert à tous les publics, de 3 ans à 90 + ans, avec inclusion de personnes en situation de handicap grâce à un partenariat avec une structute locale, permet à notre EVS de rayonner sur les 9 communes du Pays de Belmont.
- Résultat pour les habitants
L'éducation et l'implication de chaque membre du Club dans la réalisation de cette action va engendrer de sa part, un autre regard sur son environnement.
Une meilleure compréhension pour un respect et une responsabilité de chacun face au monde végétal et animal.
- Suite de l'action : Limites
L'action n'ayant pu avoir lieu cet hivers, elle est reportée à l'automne 2021.
L'objectifs étant, entre autre, de donner la responsabilité aux habitants de chaque commune, d'oeuvrer pour la préservation des oiseaux de leur village, elle dépend de l'entousiasme de ceux ci à continuer à mener à bien ce que les membres du Club CPN auront initiés.
- Suite de l'action : Perspectives
La perspectice est bien sûr de continuer, avec les membres du Club CPN, l'entretien des mangeoires et des nichoirs mis en place sur chaque commune. Suivit, analyse de la fréquentation et répertoire des différentes espèces d'oiseaux.
Une réalisation de nichoir plus spécifique, pour une espèce particulière, peut être envisagée, afin de répondre, selon observation, à une demande précise d'un village.
Enfin l'échange avec les habitants des diverses communes, la création de lien, via une action en faveur de la préservation de l'environnement, peut devenir une action perenne.
Actions
MUSECOLO EPHEMERE PEI
- Structure organisatrice
- ASSOCIATION DE QUARTIER LA CHAUMIERE 974 - La Réunion
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Cette action a été mise en place conformément à l'appel à projet de la Fondation pour la Mémoire de l'Esclavage et avec le désir des enfants à la réaliser. Les impératifs de délai exigeaient une action menée et révolue en 2021.
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Intégration
- Résumé
Coupler la réalisation de divers ateliers (citoyenneté, culturel, nature, historique, etc.) au local et les sorties extérieures (musées, cité des arts, résidence d'artiste au brûlé, etc.) pour faire ressortir la vision qu'on les enfants du quartier concernant l'esclavage. Deux rendez-vous par semaine : les mercredis et les samedis après-midi. Un moment pour découvrir l'art, la culture, l'histoire de l'esclavage et sa place dans la construction de notre société, l'importance des valeurs de la république et s'écouter pour faire ressortir des émotions. Le dévoloppement d'une nouvelle approche interculturelle et inclusivee, qui favorise l'intégration des jeunes du quartier à l'hétéroclisme de la société réunionnaise et de la France en général.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Cette action a été mise en place pour permettre aux jeunes du quartier de La Chaumière d'avoir un autre regard sur la violence, grâce à une éducation accentuée sur l'importance de l'empathie et du vivre ensemble. Tout en comprenant ce qu'ont pu vivre les esclaves à l'époque.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
- La réalisation d'ateliers et de sorties du 15 avril au 1 décembre pour préparer les pièces de l'exposition éphémère.
- Une exposition à la Médiathèque François Mitterand tout le mois de décembre, pendant le mois des mémoires de l'esclavage. Une restitution avec les enfants qui expliquent leurs oeuvres et ce qu'ils ont appris de l'esclavage à La Réunion.
Lien vers la présentation de l'action
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- 6 000 € de subventions de la Politique de la Ville de Saint Denis
- 5 600 € de subventions de la CAF au titre de son Espace de Vie Sociale
- 4 000 € de financement par la Fondation pour la Mémoire de l'Esclavage
- 2 200 € de la subvention de la Ville de Saint-Denis sur son programme "Enfance Jeunesse"
- Les dépenses : financement des intervenants culture, du matériel et de prestataire de service
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- 4 encadrants bénévoles
- 1 prestataire de service pour le pilotage du projet
- 6 intervenants extérieurs
- Résultat sur le territoire
- Moins de violence entre les enfants (plus de grosses bagarres par une meilleure connaissance des uns et des autres)
- Le respect du temps de parole de chacun (l'envie d'écouter l'autre)
- Une autre manière de montrer son désaccord (explication, dessin, scène de théâtre, métaphore)
- Les enfants comprennet quand les adultes demandent le silence, ce qui n'était pas le cas auparavant (effet des ateliers musciaux et des visionnage de documentaire
- Résultat pour le centre social
- Des enfants plus calmes et attentifs lors des aides aux devoirs et soutiens scolaires
- Des enfants plus créatifs
- Une ambiance joviale, conviviale et un meilleur rapport intergénérationnel
- Des jeunes (16-20 ans) qui veulent s'investir bénévolement à l'encadrement des plus petits
- Résultat pour les habitants
- Quartier plus calme
- Échanges interculturels plus simples
- Patience et écoute des enfants quand on leur explique pourquoi en pas faire certaine choses (crier, taper contre le mur avec un ballon de foot, etc.)
- Meilleur respect de voisinage
- Entente des parents graçe aux fin de querrelage entre les enfants
- Suite de l'action : Limites
- Pour qu'il soit mené de façon optimal, le projet était évalué à 40 000 €
- Il a pu être réalisé graçe à l'implication bénévole de la médiatrice interculturelle
- Difficulté de mobilisation de publics jeunes des camélias par la mairie qui n'a pas permis de faire renconter les jeunes des quartiers en prévision de mésentente redondante entre ces deux quartiers
- Suite de l'action : Perspectives
Lien vers la présentation de l'action
- Réitérer un projet phare annuel orienté culture, citoyenneté et tolérance
- En 2022, nous menons l'ARC-EN-CIEL AUX PAPILLONS, on postera sa fiche ici en 2023
Actions
POLE RESSOURCES PETITE ENFANCE ET HANDICAP ISERE PLURIEL
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL DU ROUSSILLONNAIS - Isère
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Intégration
- Résumé
Favoriser l’accueil d’Enfant en situation de handicap avant l’école dans les
structures petite enfance et chez les assistantes maternelles.➔Il soutient et accompagne les équipes de professionnels et les assistantes
maternelles pour la réussite de l’accueil avant sa scolarisation.
➔ Il accompagne les familles dans l’accueil pour la socialisation de l’enfant.
➔Il regroupe des professionnels de la petite enfance, de la santé et des familles.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Autre
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
DIAGNOSTIC ET ORIGINE DU PROJET
➔ En 2007, un constat :
Peu de structures petite enfance (crèches, halte-garderie) ou des assistantes
maternelles accueillent des enfants en situation de handicap avant l'école.A partir de 2008, à l'initiative du Centre Social et du Camsp d'Annonay des rencontres d'informations et d'échanges ont été programmées regroupant une soixantaine de personnes : des professionnels de structures petite enfance, des assistantes maternelles, des puéricultrices et médecins de PMI, des médecins référents, des professionnels d’établissements de soins (SESSAD,CAMSP.... ) d'un bassin de vie ( Isère Rhodanienne élargie).
La mobilisation importante des tous ces professionnels petite enfance souligne leur évolution et leur conscientisation par rapport à l'importance et à l’exigence de cet accueil (effet de la loi de 2005).
Les besoins et les attentes des familles et des structures à titre individuel comme collectif se sont précisés et clarifiés au cours des différentes rencontres .
Les différents partenaires ont souhaité structurer cette dynamique. :
Une délégation de pilotage a été confiée au Centre social du Roussillonnais pour la coordination du pôle ressources.
Ce projet s'inscrit dans une dynamique partenariale et de réseau pour faciliter l'accès aux enfants en situation de handicap en structures collectives et chez les assistantes maternelles avant l'école. Favoriser cet accueil contribue à une réelle plus-value positive pour les enfants en situation de handicap mais aussi pour les autres enfants, les familles et les structures que l'on ouvre à la diversité. C'est aussi pour l'enfant en situation de handicap, la possibilité d'évoluer dans un lieu "ordinaire" et de bénéficier comme les autres de temps d'échanges avec "ses pairs" et d'éveil des sens. C'est aussi pour les professionnels l'occasion de s'enrichir et de faire évoluer leurs pratiques.
- Public
- Petite enfance
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Fondations
- Territoire concerné
- Autre
- Description générale
Suite au diagnostic et au travail partenarial effectués de 2007 à 2011, le Pôle Ressources a été créé fin 2011.
Des outils sont à disposition des professionnels tels que :
La "malle handispensable".C’est un outil permettant de sensibiliser à la différence,faciliter l’intégration des enfants en situation de handicap dans les structures petite enfance et chez les assistantes maternelles,faire évoluer tous les regards (parents, enfants, professionnels…).
Il est mis à disposition des structures petites enfance sous forme de prêt.Des soirées annuelles :
Elles regroupent des professionnels petite enfance et du soins : de 80 à 120 personnes
sont présentes. Par exemple, en 2015, le centre de ressources autisme est intervenue sur la thématique des
troubles du développement et comment reconnaître les premiers signes de l'enfant
autiste... D'autres thèmes ont été abordées comme les liens lieux d'accueil/lieux de
soins, ou un autre thème comme quand le handicap se révèle en cours d'accueil.Des actions de sensibilisation du CAMSP de Vienne( Centre d'Action Médico-Social
Précoce) : Elles sont proposées aux professionnels des structures crèches, halte
Garderie et aux assistantes maternelles sous forme de 4 modules de 3 heures pour
aborder différentes thématiques et être plus à l'aise dans l’accueil des enfants en
situation de handicap.Le Pôle Ressources a des instances dynamiques (comité téchnique/comité de pilotage) avec un travail de réseau dynamique. Il s'inscrit dans une dimension départementale autour de l'accueil du jeune enfant en situation de handicap.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
FINANCEMENT
CAF de l'Isère(2ème semestre 2011 et année 2012) dans le cadre de l'appel à projet handicap CNAF et de la Fondation de France (subvention unique)
CAF de l' Isère(via financement CNAF) année 2013 et année 2014
Depuis janvier 2015, mise en place d'un groupe de travail issu du comité de pilotage pour la recherche d'un financement de transition 2015/2017 avant la pérennisation financière du pôle ressources avec une éventuelle prise de compétence petite enfance de la communauté de communes du Pays Roussillonnais.
+ budget annexé en document 1
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
20 professionnels
6 bénévoles
- Résultat sur le territoire
Le Pôle Ressources est bien repéré sur le territoire par les professionnels petite enfance et les professionnels des lieux de soins.
La soirée annuelle mobilise un nombre croissant de professionnels sur un territoire élargi (Isère Rhodanienne, Nord Ardèche, Nord Drôme et Loire Pilat Rhodanien).
Les élus du territoire ont inscrit le Pôle Ressources dans le schéma petite enfance de la Communauté de Communes du Pays Roussillonnais même si la prise de compétence n'est pas encore effective.
- Résultat pour le centre social
Le Centre Social est retenu comme un acteur majeur sur le territoire notamment dans sa capacité à mobiliser différents acteurs dont des parents.
On peut souligner la reconnaissance mutuelle des professionnels dans ce travail en réseau ainsi que des parents.
- Résultat pour les habitants
Mise en place d'une cohérence en faveur des familles d'enfants en situation de handicap même s'il reste encore beaucoup à faire.
L'accueil d'enfants en situation de handicap dans les EAJE est en augmentation, ce qui a pour effet de poursuivre l'intégration de ces enfants dans les centres de loisirs et de sensibiliser les autres enfants au handicap.
Il permet de répondre à un besoin particulier de garde et de socialisation dont ont besoin les familles.
- Suite de l'action : Limites
- Difficulté pour trouver des financements permettant de développer et de pérenniser le Pôle Ressources
- Communication complexe auprès des médecins que l'on a du mal à rencontrer en raison de leur agenda fort chargé
- Suite de l'action : Perspectives
➔ Faire vivre le réseau : animer le réseau d'acteurs et garder la dynamique
partenariale.
➔ Coordonner le programme d'actions : malle handispensable et soirée annuelle.
➔ La place du pôle ressources au niveau de la dynamique départementale et sa
place en Isère rhodanienne.
➔ La communication auprès des élus et des professionnels petite enfance et des
professionnels de santé.
➔ La recherche d'un financement de transition 2015/2017 avant la pérennisation
financière du pôle ressources avec une éventuelle prise de compétence petite enfance
de la communauté de communes du Pays Roussillonnais.