Les actions des centres sociaux
Actions
création Point Information Jeunesse (PIJ)
- Structure organisatrice
- Espace Socioculturel du Candéen (ESC) - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Démocratie & citoyenneté
- mobilité / transport
- vacances / loisirs
- Résumé
Le PIJ est un lieu d'information gratuit et ouvert à tous les publics avec un accueil privilégié pour les jeunes 16-30 ans. Le but est d'avoir un lieu d'information pour les jeunes en milieu rural. L'animateur-informateur jeunesse accompagne les demandes et les éventuels projets des jeunes sut les 6 communes.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
cette action avu le jour pour avoir un accueil visible et gratuit sur le territoire ceci afin de faciliter l'accès à l'information et l'accompagnement des initiatives jeunes.
Le résultat c'est l'accueil d'un nouveau public jeune et l'accompagnement de nouveaux projets
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Mission locale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
4091
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
10
- Résultat sur le territoire
nouveaux porjets émergeants
- Résultat pour le centre social
implication de nouveaux jeunes
- Résultat pour les habitants
Lieu d'information en local
- Suite de l'action : Limites
Manque d'implication des partenaires scolaires
- Suite de l'action : Perspectives
Proposer des actions sur des thématiques demandées par les jeunes
Actions
La violence non merci !
- Structure organisatrice
- Centre Marcelle Menet - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Cette action était prévue pour durée un mois. Toutefois aujourd'hui nous continuons à travailler sur les questions de violence avec les jeunes du quartier
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Démocratie & citoyenneté
- discriminations
- Résumé
Tout au long du mois d'octobre, l'ensemble des partenaires associatifs et institutionnels du territoire se sont mobilisés pour proposer des temps d'ateliers, des rencontres, des visites ou des évènements amenant à réfléchir aux causes et aux conséquences de la violence : Des ateliers slam et poésie / des lectures à haute voix du roman de Rachel Corenblit, 146 298 / une appoche artistique de l'exode au collège / des ateliers "lache la violence" avec les enfants de l'école du secteur / des collectes de paroles paret avec les jeunes du quartier "faut-il être un guerrier pour vivre dans un quartier?" / la réalisation par les jeunes d'un court métrage "violence(s)" / une formation à la médiation par la pairs / Des conférences :" l'éducation dans les cultures d'afrique" , "la place de la violence à l'adolescence", "accompagner le parentalité dans un contexte interculturel" / des témoignages : "les camps de la seconde guerre mondiale", le "harcelement scolaire", des débats blabla pizza "la violence si on en parlait" / des visites : le site de la "mémoire" à Oradour-sur-glane / des projections suivis de débats "l'Odyssée de l'Empathie", l'éducation dans le cultures d'Afrqiue" "Kirikou et la sorcière pour les plus petits / des spectacles "ma vie en jeu" / des ateliers et lecture de conte / des soirées jeux / un flash mob.
Nous avons comptabilisé plus de 2 000 participations à ces évènements.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Nous constatons fréquemment les difficultés que rencontrent certains enfants et/ou jeunes du territoire à accepter les codes qui font références dans notre organisation sociétale. Le manque de respect envers l’adulte, la violence verbale, l’incapacité à accepter la frustration, le refus de la règle, sont autant de symptômes de ce que nous considérons comme une socialisation inachevée pour certains des enfants et/ou jeunes que nous rencontrons sur le quartier.
Lorsque nous rencontrons les familles, certaines expliquent se sentir en difficulté. Progressivement, quelques enfants prennent le dessus sur l’autorité des parents. N’acceptant plus la frustration, ils contrôlent de moins en moins leurs émotions et se placent régulièrement dans des situations difficiles. Un rappel à la loi est malheureusement souvent nécessaire pour aider ces jeunes à se replacer dans des comportements socialement acceptables.
Progressivement, les phénomènes de violence entre jeunes ou à l’encontre d’adultes se renforcent de manière préoccupante sur le territoire. Les jeunes y fonctionnent en groupe. Ils communiquent entre eux par sms et donnent rendez-vous aux jeunes des autres quartiers sur les réseaux sociaux. Nous constatons que les bagarres organisées avec les jeunes des autres quartiers de la ville sont de plus en plus fréquentes. Nous assistons régulièrement à des regroupements d’une cinquantaine de jeunes qui souhaitent en découdre avec d’autres groupes. Bien qu’ils se mettent en danger, ils semblent s’en amuser et abordent les combats à "la manière de sportifs".
A la violence physique s’ajoute la violence morale. Les agressions verbales sont fréquentes. Dans cette étrange atmosphère, faire sa place parmi les jeunes du quartier oblige malheureusement à se protéger derrière des comportements violents. Ainsi, acteurs, témoins ou cibles de la violence, les jeunes du quartier en sont généralement les premières victimes.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Cette action a été pensé au sein le la commission continuité éducative animée par le centre social. Dans un premier temps un comité de pilotage constitué du centre social, du Collège Montaigne, de l'Ecole Fratellini, des éducateurs de prévention spécialisée et et des médiateurs sportifs a commencé définir les objectifs et les contours de ce projet.Tres vite l'ensemble des partenaires associatifs et institutionnels du territoire se sont joints au porjet. Il s'agit par exemple de la Régie de quartier, la bibliothèque, la ludothèque, l'Association Trait d'Union, l'Association AIFA, le REDA, la MDS, le Pôle territorial, le service éducation enfance, les écoles Isoret et Larevallière etc.
De nombreux temps de travail et de coordination ont été nécessaire pour mener à bien cette action. Le centre social en a assuré l'animation.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
15 000 euros ont été nécessaire pour financer le coût des intervenants, spectacles, des expositions, des projections des voyages et des visites.
5 700 euros ont été pris en charge dans le cadre du Contrat de Ville Unique.
4 000 euros dans le cadre d'une aide parlementaire
3 000 dans au titre des animations de proximité du centre social
1 300 par les collèges de secteur pour leur participation au spectacle "Ma vie en jeu"
1 000 euros sur les fonds propres du centre social
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Nous avons comptabilisé plus de 2 137 participations aux différents temps pour environ 1 000 habitants concernés
- Résultat sur le territoire
Cette mobilisation massive des acteurs socio-éducatifs du territoire contre la violence a permis l'affirmation d'un message "anti-violence"; il semble que ce message ait été écouté,entendu et réfléchit par de nombreux jeunes. Pour autant nous assistons toujours à des phénomènes de violence entre jeunes des quartiers.
- Résultat pour le centre social
Ce travail partenarial a relancé la dynamique de coopération autour du centre social. aujourd'hui l'ensemble des acteurs se remobilise pour travailler à la mise en place d'une année de l'interculturalité "tous différents".
- Résultat pour les habitants
Comme pour les jeunes, il semble que le message ait été entendu et réfléchit par les adultes du quartier. Il semble aussi qu'un travail d'affirmation de la non violence redonne de la légitimité aux adultes pour se positionner lors des phénomènes de violence des jeunes.
- Suite de l'action : Limites
Malheuresement nous constatons toujours des phénomènes de violence sur le territoire. L'action a été un lancement d'un travail de fond qu'il appartient aux acteurs de conduire au quotidien
- Suite de l'action : Perspectives
Le travail de réalisation d'un court métrage a fortement mobilisé une vingtaine de jeunes; Ils souhaitent continuer ce travail et organiser des actions de sensibilisation dans d'autres quartiers de la Ville. Un atelier vient d'être créé au centre social pour accompagner cette démarche.
Actions
Prévenir l'implication des plus jeunes dans les trafics
- Structure organisatrice
- MAISON POUR TOUS MONPLAISIR - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- Résumé
Une recherche-action a été réalisée à la demande du groupe Jeunesse du quartier de Monplaisir d’Angers constitué depuis 2007 à l’initiative de la Maison pour tous (MPT) et de l’Association pour la sauvegarde de l’enfance et de l’adolescence (ASEA). Une demande qui relaie les questionnements des professionnels qui interviennent auprès de jeunes impliqués dans le trafic de drogues : comment établir un climat de confiance avec eux sans que cela soit perçue comme une forme d’acceptation du trafic ? Quelle part peut prendre la prévention ? Cette recherche-action a produit une lecture plus fine du trafic de drogues et a permis de construire un cadre éthique d’intervention qui permette aux professionnels de la proximité d’être mieux aidants vis-à-vis de ces jeunes, et de leur proposer des alternatives fortes et crédibles. Elle s’inscrit dans le cadre d’une sociologie clinique du travail qui repose sur le principe de la coopération entre chercheurs et professionnels sur le terrain même de la production des connaissances afin de gagner en puissance d’agir individuelle et collective. Les participants inscrivent leur activité professionnelle dans des champs divers (EN, TS, animation, insertion, médiation, justice), travaillent dans des cadres institutionnels divers (ASEA, SAEMO, MPT, MDS, Ville, régie de quartier, école élémentaire, collèges, lycées, Mission locale et PJJ), rencontrent les jeunes à différents moments de leur parcours dans le trafic. Ils ont en commun d’être déstabilisés dans leur pratique par l’irruption de ce trafic et surtout un positionnement éthique, le fait de ne pas s’en accommoder. Chacun a pu s’autoriser à poser une parole authentique parce qu’il savait que les autres partageaient des difficultés semblables aux siennes mais aussi parce qu’il était conscient de ce qu’il pouvait apprendre en échangeant avec eux sur les pratiques et les positionnements.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
La démarche ici proposée s’inscrit dans le cadre d’une sociologie clinique du travail qui repose sur le principe de la co-construction des savoirs, de la coopération entre chercheurs et professionnels sur le terrain même de la production des connaissances ; cela, afin de gagner en puissance d’agir individuelle et collective.
L’entretien collectif répété avec retour a constitué l’outil privilégié. Le fait de répéter les rencontres permet de créer la confiance nécessaire à la mise en oeuvre d’une démarche reposant d’abord sur la prise de parole. Le fait de faire retour entre deux séances de travail aux participants de ce qu’ils ont dit et des mises en perspectives et analyses des chercheurs favorise leurs postures réflexives.Le volontariat et l’engagement de ne pas sortir du groupe ce qui s’y dit sans l’accord de tous ont constitué ses principales règles. Leur respect a conditionné sa poursuite.
Enfin, la composition du groupe est décisive. Les participants inscrivent en effet leur activité professionnelle dans des champs divers comme ceux de l’Education nationale, du travail social,de l’animation, de l’insertion, de la médiation, de la justice… Ils appartiennent à des culturesprofessionnelles différentes et notamment à des cultures éducatives différentes (Education nationale, Education spécialisée, Education populaire…). Ils travaillent dans des cadres
institutionnels divers : l’Association de sauvegarde de l’enfance (ASEA49) ; Maison pour tous (MPT) de Monplaisir ; Maison départementale des solidarités (MDS) ; Ville ; régie de quartier ;école élémentaire Voltaire ; collège Jean Lurçat ; lycée (Henri Dunant, Emmanuel Mounier), Mission locale et PJJ… Ils rencontrent les jeunes à différents moments de leur parcours dans le trafic. Certains les rencontrent alors même qu’ils n’y sont pas engagés mais courent le risque de l’être ; d’autres dès leurs premiers pas en tant que guetteurs ; d’autres, encore, alors qu’ils y sont installés en tant que revendeurs, parfois même enkystés ; d’autres, enfin, alors qu’ils sont sous main de justice. Certains sont plutôt dans la prévention de l’implication dans le trafic ; d’autres
dans la réduction des risques ; d’autres, enfin, dans la prévention de la récidive. Mais ils ont tous en commun d’être déstabilisés dans leur pratique par l’irruption du trafic et surtout un positionnement éthique, le fait de ne pas s’en accommoder. Chaque professionnel, dans ce groupe, a pu s’autoriser à poser une parole toujours plus authentique parce qu’il savait que les autres partageaient des difficultés semblables aux siennes et exprimaient, comme lui, un fort désir de les surmonter mais aussi parce qu’il était conscient de tout ce qu’il pouvait découvrir et apprendre en échangeant avec eux sur les pratiques et les
positionnements. Le sens a ainsi cheminé au travers de tout ce qui, dans les paroles des uns et des autres, se faisait écho, entrait en résonnance, avait pouvoir d’évocation, donnait lieu à association d’idées.
La coordination de la recherche action a été assurée par la MPT Monplaisir et l’ASEA 49.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Chorale "Chœur de femme"
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL JEAN VILAR ANGERS - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- discriminations
- Résumé
La Chorale éphémère est née en août 2019, de la fructueuse collaboration entre le Centre Jean Vilar, l’association Femmes d’ici et d’ailleurs et l’artiste-intervenante Virginie Brébion (Les Boites sauvages). Le projet avait pour vocation, au départ, de rassembler des femmes de l’association et des femmes du quartier de la Roseraie pour 5 temps d’échanges et de chants.
il avait pour objet de permettre aux femmes de prendre du temps pour elle via un atelier alliant bien-être et chant, elles y ont trouvé un espace de parole sécurisant et libérateur ; cela leur a permis de rencontrer d’autres femmes ayant eu des parcours similaires aux leurs et de se retrouver pour porter des messages en matière d’égalité.
Elles ont grâce aux ateliers osés prendre la parole en public pour porter des messages en matières d’égalité homme / femme, pour participer à lutter contre les violences faites aux femmes, là où elles n’auraient pas osés le faire de manière individuelle.
La restitution des ateliers a eu lieu lors du Festival des Femmes (organisé par Femmes d’ici et d’ailleurs) les 27 et 28 septembre au Centre Jean Vilar.
Lors de la conception du projet, nous avions imaginé une restitution d’une vingtaine de minutes dans le hall. Finalement, la restitution a duré presque une heure, et a eu lieu dans la salle de spectacle du Centre devant un public de plus de 100 personnes.
Au regard du succès inattendu de la représentation, des énergies et de l’harmonie créées tout au long des mois de répétitions, les femmes du projet ont fait part de leur souhait de poursuivre l’aventure.
De nouvelles femmes se sont jointes au groupe de départ. Des associations partenaires sont également venues collaborer (SOS Femmes, Planning Familial, Choeur de meufs, CADA), créant de nouvelles synergies.
Mobilisation de différents acteurs sur le projet (SOS Femmes, CLCV, Planning Familial, Pôle Territorial, ASEA), volonté du collectif de porter une parole collective au-delà de la Roseraie...
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
La poursuite de la « chorale éphémère » va permettre le développement de plusieurs objectifs :
- créer des liens entre femmes d’horizons très divers et promouvoir les valeurs de l’interculturalité, des bienfaits des échanges intergénérationnels et du bien-vivre ensemble (densifier les solidarités interculturelles et intergénérationnelles et lutter contre l’isolement)
- renforcer les collaborations entre associations de la ville autour de la question des violences faites aux femmes et de la promotion de l’égalité femmes-hommes (soutenir le tissu associatif)
- par le biais des temps d’échanges organisés lors des répétitions : améliorer l’accompagnement et la prévention des violences faites aux femmes, par le biais d’un autre support de libération de la parole (améliorer la prévention des violences intrafamiliales, des violences faites aux femmes et l’aide aux victimes)
- mettre en valeur des parcours de femmes de divers horizons
- favoriser le bien être de femmes grâce au chant, au travail sur l’acceptation de son corps, aux activités de maîtrise de leur voix ainsi que tous les bienfaits sur l’esprit générés par les ateliers
- favoriser l’égalité des chances en promouvant l’accès à la culture (lors des représentations)
- mettre en valeur l’égalité par des choix de chants engagés
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
La Chorale éphémère est née en août 2019, de la fructueuse collaboration entre le Centre Jean Vilar, l’association Femmes d’ici et d’ailleurs et l’artiste-intervenante Virginie Brébion (Les Boites sauvages).
3 mois de préparation à raison d'un atelier de 3h par semaine pour la préparations et les répetions
3 réprésentations :
Une representation (la restitution du projet) dans le cadre du festival des femmes portés par l'association femmes d'ici et d'ailleurs et le centre jean Vilar.
Une représentation (avec une mise en scène différente et de nouveaux chants) a été donnée dans le cadre de la journée « Agir ensemble pour l’égalité – prévenir les violences faites aux femmes » organisée le samedi 23 novembre 2019, conjointement organisée par le Centre Jean Vilar et l’association Femmes d’ici et d’ailleurs et SOS Femmes. Le succès fut également au rendez-vous (plus d’une centaine de personnes là encore), chargé d’émotions en raison des chants choisis et des thématiques abordées.
Une troisième représentation a eu lieu, cette fois-ci dans le cadre de la journée « Agir ensemble pour l’égalité- Les droits des femmes toute l’année », le samedi 7 mars, projet toujours porté par le Centre Jean Vilar, l’association Femmes d’ici et d’ailleurs, auxquels sont venus se joindre la CLCV et le Planning Familial).
Nous avons également eu la chance d’être suivies tout au long du projet en septembre 2019 par Thierry Charrier (Cinéma parlant), réalisateur d’un documentaire sur la chorale. Son travail a été projeté, entre autres, dans le cadre du Festival Premiers Plans.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget prévisionnel : 6000 €
% des differents postes de dépenses :
Achats : 15 %
Services exterieurs prestations de services : 60%
charges de personnels : 25%
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Le Coeur de femmes est, comme son nom l’indique, destiné à accompagner des femmes et à les faire travailler ensemble. A ce jour, 17 femmes ont participé au projet depuis sa création. Mais nous pouvons bien entendu envisager d’accueillir plus de femmes (notamment par le biais de nos partenaires comme le Planning Familial ou SOS Femmes). Nous n’avons pas de nombre « limite » d’inscrites. Chacune est la bienvenue si elle souhaite participer au projet et si elle adhère aux valeurs que nous souhaitons véhiculer.
Cette actyion est accompagnée par 4 bénévoles de l'association femmes d'ici et d'ailleurs et de la réferente famille du Centre social.
- Résultat sur le territoire
Le territoire concerné en premier lieu est le quartier de la Roseraie, le Centre Jean Vilar mobilisant les habitant-e-s du quartier sur les projets et l’association Femmes d’ici et d’ailleurs étant rattachée à ce quartier depuis sa création en 2009. Les effets au niveau territorial ont été très bénéfique notamment au niveau le l'implication et la participatiion d'un public nombreux aux differentes représentations. Emulation également au niveau de l'élargissement de la participation à d'autres associations du quartier.
- Résultat pour le centre social
Projet avec une forte émulation qui permet au CJV de poursuivre son action en matière d'égalité femme homme tout au long de l'année et de lutter contre toutes les formes de violences sexistes.
- Résultat pour les habitants
Au niveau qualitatif, il est difficile de quantifier les retombées immédiates ou à long terme d’un tel projet. Mais au regard de nos expériences passées, nous pouvons d’ores et déjà affirmer que pour chacune des femmes ayant participé (mais aussi pour de nombreuses personnes des publics présents et qui nous ont fait part de leurs émotions), les bienfaits sont sans mesure : revalorisation de l’estime de soi, libération de la parole, développement de la confiance en soi et du bien-être, sentiment d’appartenance à un groupe harmonieux qui lutte pour promouvoir des valeurs d’égalité et de Bien Vivre Ensemble.
Outre les échanges avec les femmes participantes, nous pouvons envisager des témoignages individuels.
- Suite de l'action : Limites
Nous ne voyons pas de limites à l'action !
- Suite de l'action : Perspectives
L’objectif à présent est de poursuivre cette belle aventure, en y associant de nouveaux partenaires, en en faisant bénéficier de plus en plus de femmes.
Premièrement parce que les femmes qui en ont bénéficié souhaitent poursuivre l’expérience et ouvrir le groupe à de nouvelles venues.
Ensuite parce qu’au regard de la situation sanitaire actuelle, nous pensons qu’il va être nécessaire de travailler sur les thématiques des violences faites aux femmes lorsque nous sortirons de cette crise (augmentation forte des violences domestiques lors de cette période de confinement estimée à 37%). Nous devrons alors mobiliser tous les moyens de lutte et de prévention possibles pour que les chiffres alarmants ne se réitèrent pas année après année.
Actions
Terrain d'aventure
- Structure organisatrice
- CENTRE JACQUES TATI - Maine-et-Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- développement durable
- Mixité sociale
- Résumé
Le Terrain d'Aventure est un lieu d'accueil libre, ce qui signifie sans inscription et qui donne la liberté à
l'enfant de venir idéalement lorsqu'il le souhaite. A travers des activités telles que la construction, la
réalisation d'un jardin potager, la création dans des ateliers divers (bois, récupération, terre), l'enfant
développera des notions de respect à l'environnement, de socialisation, de citoyenneté, de solidarité et
d'autonomie.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Ce projet est né en 2018, avec une première réflexion et expérimentation, à partir de plusieurs constats
sur le quartier. Une première phase de test de 5 jours a été programmée fin juillet 2018. Durant tout le
mois de juillet, des salariés de différents secteurs du Centre Jacques Tati et des CEMEA ont préparé
cette semaine d’expérimentation. Le projet a véritablement vu le jour en 2019 avec l'accueil du terrain
d'aventure sur une durée d'un mois et demi, avec plus de 1000 fréquentations du lieu. Le projet a été très
bien accueilli par les habitants et les objectifs pédagogiques ont été remplis. Ces constats positifs ont
amené à une volonté de poursuivre le projet en 2020.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
55000
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
5 professionnels, 10 bénévoles
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Chantiers Ville Vie Vacances
- Structure organisatrice
- Maison Pour Tous De La Masse - Lot-et-Garonne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Solidarité
- Démocratie & citoyenneté
- Emploi, économie
- vacances / loisirs
- Mixité sociale
- Résumé
Le dispositif Ville Vie Vacances (VVV) est un dispositif "politique de la ville" porté par la municipalité et déployé sur le centre social Maison pour tous de La Masse. Ce dispositif constitue un axe fort de la politique jeunesse portée par le centre social sur son territoire d'intervention. A destination des 14-17 ans, issus prioritairement des quartiers politique de la ville, le dispositif permet une prise en charge éducative contribuant à la socialisation et à la prévention de la délinquance, pendant les vacances scolaires.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Les axes structurants portés par le dispostif VVV consituent des priorités d'intervention à destination de la jeunesse définies dans le contrat de projet du centre social :
- contribuer à une éducation partagée,
- développer des actions à « contenu citoyen et civique »,
- favoriser l'insertion socio professionnelle et la découverte des métiers,- organiser des travaux d’utilité sociale,
- contribuer à l'amélioration du cadre de vie,- renforcer le lien social sur le territoire entre les jeunes et les habitants,
Les chantiers VVV organisés répondent autant d’un besoin éducatif identifié par la structure que d’un besoin manifesté par les publics de pouvoir contribuer positivement à l’aménagement de l’espace, à la réalisation de travaux ou d’actions à vocation collective et citoyenne. Il s’agit d’une action ayant fait l’objet de moyens supplémentaires, bien repéré et au travers de laquelle les jeunes mobilisent des ressources et mettent en œuvre des projets. Ces chantiers permettent la valorisation des jeunes au sein du quartier. Ils permettent également de confronter les jeunes aux notions de responsabilité en les positionnant dans des situations éducatives impliquant un niveau, de responsabilité relative. Les jeunes travaillent, avec des professionnels de différents corps de métier et signent un contrat d’engagement.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Les chantiers se déroulent sur une semaine de vacances scolaires. Ils se composent de matinées de citoyennes (production de biens ou de services), le reste du temps est consacré aux activités culturelles, sportives et de loisirs. Ces chantiers sont aussi l’occasion pour les jeunes de se confronter à leur première expérience professionnelle avec un dépôt de candidature accompagné d’un CV et d’une lettre de motivation. En 2019, 10 chantiers différents ont pu être proposés. La programmation des chantiers est annuelle et fait l'objet d'une réunion de présentation et d'échanges avec les jeunes et les partenaires du territoire. Au total 70 jeunes ont bénéficiés de cette action en 2019.
Un chantier supplémentaire en lien avec l'emploi et la découverte des entreprises est organisé pour les jeunes en décrochage scolaire. En co-animation avec la Mission Locale. Ce chantier organisé hors temps scolaire a permis à des jeunes de se raccrocher à des dispositifs de l'ETAT et/ou entrer dans des formations professionnelles.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget global 2019 : 22 475 €
Ce dispositif est largement soutenu par nos partenaires financiers : CAF 47, Etat et l’Agglomération d’Agen, qui contribuent à la prise en charge de la rémunération des jeunes et le paiement des charges (activités, matériels, transport…).
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Equipe du centre social :
- 1 référent jeunesse
- 2 animateurs jeunesse
- 1 animatrice insertion à l'emploi
Partenaires :
- Mission Locale
- Associations locales: Resto du coeur, Hangart, ALJIPA, Le Florida, La Sauvegarde...
- Service de la ville,
- EHPAD
- Prefecture,
- Police nationale
- Résultat sur le territoire
- valoristion de l'implication des jeunes sur leur territoire
- amélioration du cadre de vie
- développement de nouveaux partenariats
- Résultat pour le centre social
- engager des liens avec des nouveaux jeunes du territoire
- permettre un accompagnement éducatif global
- développer de nouveaux partenariats et renforcer une coordination éducative
- Résultat pour les habitants
- valorisation des parcours des jeunes
- amélioration du cadre de vie
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Suite aux différents bilans réalisés (en présence des jeunes bénéficiaires, de leur famille et des partenaires) le centre social souhaite pour les années à venir proposer des chantiers VVV parents/enfants. Le centre social souhaite développer de nouveaux partenaires et proposer, au regard des attentes des jeunes, de nouvelles thématiques de chantier VVV.
Actions
ACCES AU DROIT PAR LE NUMERIQUE
- Structure organisatrice
- Maison Pour Tous De La Masse - Lot-et-Garonne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Solidarité
- Démocratie & citoyenneté
- Emploi, économie
- Précarité
- Intégration
- Mixité sociale
- Résumé
Les habitants du secteur Nord-Est et notamment du quartier Montanou peuvent présenter d’importants problèmes liés à leur précarité économique, sociale… aggravés parfois par un déficit de connaissance des codes et fonctionnement institutionnels, une « non-maitrise » de la langue et de l'outil informatique… Autant de freins qui génèrent des difficultés d’accès à leurs Droits.
Le CS propose une action de proximité intégrée au fonctionnement de l’accueil et de la plateforme de services à destination des usagers ayant besoin d’un accompagnement particulier.
L’action s’adresse à tous ceux qui manifestent (ou sollicitent) le centre social sur des questions de médiation ou d’accompagnement administratif.
Diverses réponses sont proposées aux publics :
- Espace public numérique : espace d’accueil permettant la mise à disposition aux usagers d’un lieu équipé afin d’aider et d’orienter efficacement les demandeurs d’emploi dans les premières étapes de recherche.
- Des ateliers autour du numérique : pré-code de la route, ateliers informatiques
- Un point numérique CAF
- La mise à disposition d’un ordinateur en libre-service
- Ecrivain public numérique qui accompagne les bénéficiaires dans l’accès aux droits numérique.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Précision ( si autre )
Les partenaires : La Caf, La Mission Locale, Infodroit, EPETIC, Agglo-Emploi
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Contribuer à répondre aux "besoins" des habitants les plus fragiles
- Accompagner les habitants dans la transition numérique (= faciliter l'accès aux "droits")
Accueillir et créer les conditions d’écoute des usagers et des habitants
- Créer / consolider / maintenir des espaces et des temps d'écoute et d'échanges avec les usagers et habitants des quartiers
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Un Espace Publique Numérique équipé d'une dizaine d'ordinateurs, rattaché au centre social permet aux différents partenaires, acteurs du projet d'accompagner les usagers sur cette thématique.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget Global de l'action = 47 739€
Suventions : CAF, ETAT, ville, contrat de ville, cohésion sociale
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
0.25 ETP = animatrice insertion à l'emploi
0.25 ETP = médiateur écrivain public
0.15 ETP = agent d'accueil "point numérique CAF"
+ partenaires subventionnés dans le cadre du contrat de ville/cohésion sociale : 7 personnes
- Résultat sur le territoire
La révolution numérique et la dématérialisation des procédures ont considérablement modifié les modes d’accès à l’information et les relations entre les usagers et le service public. Certes, Internet est un outil d’insertion sociale, professionnelle et d’accès aux services, mais celui-ci peut être source d’Handicap provoquant un phénomène d’e-exclusion aggravant les écarts d’accès aux droits de nos administrés les plus en difficultés.
Volonté politique de réduire la fracture numérique et d’accompagner les habitants dans leurs démarches administratives dématérialisées et d’insertion professionnelle
Axe fort de l’appel à projet du contrat de ville 2019 et lancement d’un appel à actions 2019 au niveau de la cohésion sociale pour les communes
Mise en place opérationnelle des contrats de projets des 3 centres sociaux de la ville d’Agen
Faire vivre les espaces publics numériques existants autours d’un projet structurant et cohérent en associant les moyens existants et les acteurs compétents dans ce domaine.
La pertinence du projet repose sur la complémentarité entre les besoins recensés au sein des accueils des centres sociaux et les compétences des acteurs du projet.
- Résultat pour le centre social
Accueillir et créer les conditions d’écoute des usagers et des habitants
- Créer / consolider / maintenir des espaces et des temps d'écoute et d'échanges avec les usagers et habitants des quartiers
- Résultat pour les habitants
Contribuer à répondre aux "besoins" des habitants les plus fragiles
- Accompagner les habitants dans la transition numérique (= faciliter l'accès aux "droits")
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Intégrer de nouveaux partenaires afin de permettre aux habitants d'accéder à un accompagnement numérique sur la totalité des créneaux horaires disponibles sur la semaine (Espace public Numérique)
Actions
Cuisinez-vous !
- Structure organisatrice
- Maison Montesquieu (Centre social centre-ville) - Lot-et-Garonne
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Santé
- Résumé
La Maison Montesquieu, agréée centre social, est ouverte à tous les habitants d'Agen, sans distinction d'âge ou de revenu. Dans le cadre de son activité, elle incite les habitants à mettre en place des projets qui leur tiennent à coeur, et les accompagne dans la réalisation de ce projet. Lors du renouvellement du contrat de projet de la Maison Montesquieu, en 2018, les habitants avaient proposé de mettre en place différents ateliers autour de l'alimentation. Le point de départ de cette volonté, était la compléxité pour les habitants d'avoir une alimentation riche en fruits et légumes. Un groupe d'habitants "porteurs de projets" s'est constitué pour proposer tout au long de l'année des actions autour des fruits et légumes.
3 actions phares réalisées :
- participation à la fête des fruits et légumes frais
- programmation de différents ateliers cuisine autour des fruits et des légumes
- Interventions de professionnels de l'alimentation et de la nutrition
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Permettre à tous d'acccèder à une alimentation équilibrée
- Développer l'autonomie alimentaire
- Acquérir des connaissances nutritionnelles,
- Bénéficier des conseils de professionnels de l'alimentation,
- Prendre goût à cuisiner des fruits et légumes frais,
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Fidèle à son fonctionnement participatif, l'action a été porté par un groupe d'une dizaine d'habitants dits "porteurs de projets".
L'équipe du centre social a accompagné ce groupe d'habitants dans la définition des actions à réaliser, dans la recherche de partenaires, dans la planification et l'organisation des différentes actions prévues (courses, budget à respecter, etc)
En moyenne, deux séances de cuisine gratuites par mois suivies d'un repas pris en collectivité au centre social sont organisés.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget global de l'action : 4 238.32 euros
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- 2 personnes du centre social
- 10 habitants "porteurs de projets"
- 3 professionnels partenaires (2 diététiciennes, 1 nutritionniste)
- 25 personnes bénéficiaires des différentes actions
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Développement de nouveaux partenariats (association Interfel, réseau Miam Nutrition, etc)
- Valorisation de la démarche participative
- Actions en accord avec les axes prioritaires du contrat de projet
- Résultat pour les habitants
- Développement de leur autonomie
- Acquisition de nouvelles connaissances sur l'alimentation
- Modification de leur alimentation
- Création de liens et des échanges entre habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
- Poursuite de l'action portée par les habitants (peut-être sur un autre aspect de l'alimentation, ex : l'alimentation végétale)
- Maintien des partenariats
- Développement de nouveaux partenaires (lien avec le pôle santé du centre hospitalier de la Ville d'Agen, lien avec le Contrat Local de Santé de l'Agglomération d'Agen, etc)
Actions
Bienvenue ! Accueil de nouvelles populations en Ségala-Limargue
- Structure organisatrice
- ASSOCIATION SEGALA LIMARGUE CENTRE SOCIAL LEYME-LACAPELLE MARIVAL - Lot
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Intégration
- Mixité sociale
- Résumé
Accompagnement à l'insertion sociale et professionnelle de familles réfugiées d'origine syrienne, accueillies courant 2018 par des communes du Ségala-Limargue dans le cadre du dispositif européen FAMI "Fonds Asile Migration et Intégration".
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Autre
- Précision ( si autre )
L'Etat et les municipalités.
- Territoire concerné
- Autre
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Première année d'accompagnement réalisée par l'association nationale AURORE (sur appel d'offre).
- Relai progressif par le Centre Social Ségala-Limargue, acteur de proximité.
- En soutien des habitants bénévoles qui se sont constitués en équipes par commune.
- Accueil de nouvelles familles sur un territoire vieillissant et en perte de population.
- Dimension d'accueil solidaire et citoyen.
- Ouverture vers plus de tolérance envers la différence.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Autre
- Description générale
- Accueil en 2018.
- Groupes de travail qui se réunissent régulièrement : Association AURORE - Centre Social - Travailleurs Sociaux du Département - Représentants des bénévoles - Elus municipaux - Madame la Sous-Préfète / Monsieur le Préfet - Services de la Préfecture.
- Passation AURORE => Centre Social début 2019.
- Accompagnement individuel des familles avec travailleurs sociaux du Département / CAF / CPAM / Pôle Emploi.
- Actions collectives d'insertion sociale via ateliers cuisine par exemple.
- Soutien à la parentalité / accueil en crèche / ALSH / RAM / Pratique Sportive, etc,...
- Ressources financières mobilisées pour cette action
S'inscrit dans la mission "d'Animation Collective Familles" du Centre Social. Attribution de 0.5 ETP sur 2 ans (2019 et 2020) par la CAF 46.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- 1 personne Conseillère ESF / 0.5 ETP.
- la direction ASL.
- la coordinatrice de projet ASL.
- Résultat sur le territoire
- Installation de nouvelles familles, avec de jeunes enfants et des enfants scolarisés.
- Une dynamique collective, globalement fédératrice.
- Résultat pour le centre social
S'inscrire plus encore dans ses missions auprès des acteurs du territoire : accompagnement des familles migrantes, soutien des équipes bénévoles, appui / conseils auprès des municipalités, interface / veille sociale, lien avec les services administratifs et de l'Etat, etc,...
- Résultat pour les habitants
- Ouverture culturelle / relations sociales / partage avec des personnes très éloignées dans leur culture et leurs vécus des repères habituels des habitants du territoire.
- Une communauté locale qui se soude autour de cet accueil solidaire.
- Quelques animosités qui se réveillent.
- Suite de l'action : Limites
- Complexité et lourdeur des démarches administratives pour l'accès aux droits des familles syriennes.
- L'invalidation des permis syriens par l'Etat Français est un frein majeur à la perennisation de l'installation de ces familles dans notre territoire rural où il n'y a pas d'organisation de transport en commun. Comment gérer l'emploi, la formation, la santé, la quotidienneté, etc,... ! Si on ne peut pas se déplacer de manière autonome ?
- La barrière de la langue pour les adultes : pas de possibilité d'apprentissage du français en proximité géographique.
- Suite de l'action : Perspectives
- Les mois à venir seront décisifs sur le maintien possible et sur le souhait ou non de ces familles à rester vivire dans le Ségala-Limargue, notamment par rapport à l'évolution de leur mobilité.
Actions
ATELIER PETITS CHEFS
- Structure organisatrice
- ASSOCIATION CENTRE TECHNICO SOCIAL CADURCIEN - Lot
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Santé
- développement durable
- Résumé
Les ateliers petits chefs ont lieu chaque mois et se déclinent en deux formules : une formule où l’on réalise un repas complet que l’on partage, bien souvent le samedi en période scolaire, ou lors des vacances scolaires en semaine, et une formule le mercredi après-midi en tant qu’action périscolaire pour les enfants qui ne bénéficient d’aucune activité en semaine.
L’idée étant de partager un moment autour de la confection d’un repas/ d’un goûter de saison tout en véhiculant des messages de prévention/santé et d’équilibre alimentaire.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Depuis la réforme des rythmes scolaires, nous proposons des actions qui permettent de pratiquer une activité les mercredis après-midi. Les familles sont en demande d'action répondant à ce critère. Elles demandent également des actions dont l'application dans la vie quotidienne des enfants et adolescents est rapidement possible. Nous avons identifié des problématiques sur l'alimentation : surconsommation de sucrerie, peu d'enthousiasme à la découverte de nouvelles saveurs.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
En ce sens nous avions mis en place les ateliers petits chefs qui se déroulent de la manière suivante :
- Prise de contact + découverte de la recette sous forme de jeu
Les enfants/ adolescents doivent s’inscrire aux ateliers pour y participer. L’atelier débute toujours sous la forme d’un jeu. Nous présentons aux enfants différents ingrédients et regardons ensemble ce qu’il est possible de réaliser. Nous pouvons également faire deviner les ingrédients sous forme d’un mot croisé.
- Hygiène et sécurité
Les enfants doivent prendre conscience de l’absolue nécessité d’avoir une hygiène irréprochable en cuisine. Ainsi nous avons des consignes simples : S’attacher les cheveux, se laver les mains avant et régulièrement lors de manipulations, ne pas goûter les aliments avec les ustensiles communs ou avec ses doigts.
De même, il est important à chacune des séances de rappeler les règles de sécurité : ne pas jouer avec un couteau, ne pas toucher les surfaces chaudes (four, plaque de cuisson). Nous en profitons pour renouveler notre demande auprès des enfants, de toujours cuisiner en présence des parents et de ne jamais utiliser les outils de cuisson sans la supervision d’un adulte.
- Confection des plats
Les enfants ressentent une certaine liberté dans ces ateliers, car ils nous avouent bien souvent qu’au sein de leur foyer ils n’ont pas le droit de cuisiner mais sont plutôt affectés aux tâches ménagères comme : mettre la table, débarrasser la table…Aussi nous devons d’abord développer leur autonomie en leurs confiants des taches simples : éplucher des légumes, découper les légumes… Puis selon l’âge et le degré d’autonomie que nous évaluons, nous pouvons aller plus loin dans la démarche : cuisson des aliments notamment.
Nous enchainons ainsi les plats jusqu'à la réalisation de l’ensemble des plats prévus.
- Nettoyage et rangement
La cuisine est un vecteur pour la transmission de valeurs. Parmi celles-ci, il est important de garder à l’esprit qu’une cuisine doit être rangée et propre. Cela s’effectue entre chaque préparation ainsi qu’à la fin de la confection des plats avant de se mettre à table pour partager le repas ensemble.
- Installation de la table
L’installation de la table se fait par l’ensemble du groupe, chacun y prend part et contrairement aux idées reçues, les enfants adorent la mettre. Bien souvent ils sont impatients de goûter à leurs plats.
- Repas partagé :
Ces ateliers nous servent de supports pour faire passer des messages importants en terme d’équilibre alimentaire, et le fait de le faire sous forme d’atelier cuisine est plus parlant et plus ludique. De plus, le meilleur moyen d’adopter de bons réflexes et de découvrir le plaisir que l’on éprouve en goûtant.
L’équilibre alimentaire passe souvent par la découverte des légumes et autres plats peu sucré, salé, gras. Le fait de goûter un plat peut rendre l’enfant adepte.
Nous dialoguons avec eux sur leur manière de manger, de partager un repas, sur ce qu’ils aiment manger ou ce qu’ils n’aiment pas… Et bien souvent le fait de cuisiner, même un légume qu’ils n’apprécient pas en temps normal, les pousse à le manger ou du moins à le goûter.
À travers ces ateliers nous tentons également de faire découvrir aux enfants des produits de saisons, des manières de consommer qui peuvent être différentes de ce qu’ils ont l’habitude de consommer au quotidien au sein de leur famille, mais nous axons aussi ces ateliers sur le gaspillage, les économies d’eau, l’équilibre alimentaire. Tous ces thèmes sont abordés sous forme d’une discussion pendant le repas.
- Temps d’écriture de la recette, questions, échanges, jeux...
Après le repas, une fois la table débarrassée et la salle nettoyée, nous gardons un temps plus ou moins important pour retranscrire la recette. Les enfants doivent sous forme d’un jeu de mémoire retrouver tous les ingrédients et les méthodes utilisées afin de réaliser la recette. C’est aussi à ce moment que l’on peut éclaircir les points qui ne seraient pas bien compris.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 personnels du Centre Social
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
Grâce à cette action, nous pouvons travailler avec les plus jeunes sur l’équilibre alimentaire et développer leur autonomie.
- Résultat pour les habitants
Ils acquièrent de l’expérience et au retour à la maison leurs parents les laissent plus ou moins refaire la recette qu’ils ont apprise. Les parents nous font régulièrement des retours sur la prise d’initiative de leurs enfants concernant les recettes qui réalisent de nouveau à la maison.
- Suite de l'action : Limites
La limite de l'action est le nombre de participants pouvant être accueillis.
- Suite de l'action : Perspectives
Redémarrage de l'action en cours après la période de COVID. De plus, nous tenterons d'impliquer les parents sur l'année à venir.
Actions
Tous dans le même bateau
- Structure organisatrice
- ARTS SCENES ET COMPAGNIE - Lot
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Cette action s'est déroulée durant l'été 2020
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Résumé
A partir du 6 juillet 2020, nous avons ouvert la Ferme des Cerisiers à Saint Vincent du Pendit (lieu d'ancrage et d'accueil de nos publics EVS) pendant 6 semaines, armés de toutes les années d'inventivité et de créativité que l'association a emmagasiné depuis 2004.
En suivant les directives sanitaires affectées à l'accueil de mineurs, nous avons décidé d'accueillir par groupes de 12 des enfants et des jeunes portant des idées de création. D'ailleurs, nous avons élargi les tranches d'âge totalement puisqu'il fût possible de venir à partir de 3 ans, et nous avons également accueilli familles et/ou adultes pour des temps culturels variés pour créer une transversalité des âges. Un programme créatif et ludique fût proposé à la semaine, et l'été fût chapeauté par le titre : « Tous dans le même bateau », lui même sous-titré : « Réinventons le monde de demain ».
La Ferme des Cerisiers se prépara à ce déluge symbolique , puisqu'au centre, un grand bateau fût construit pour l'occasion étant le point de départ de cette réflexion commune.
L'ensemble des activités proposées rentra dans le cadre des « vacances apprenantes », et nous avons fait parti du dispositif départementale proposé par les Francas du Lot, à savoir « l'école buissonière ».
Cet été ne fût pas une succesion d'activités à titre occupationnelle, car il a fait sens et lien avec « la Factory » événement que nous avons organisé en octobre, pour lequel nous avons loué une nacelle pour occuper tout une façade sur la place de la ville de Saint Céré. Les fruits de notre réfléxion et de nos créations fûrent mis en valeur à cet occasion pour alimenter le débat citoyen. C'est pour cela que nous tenions à créer des semaines thématiques ou les personnes s'engagent sur l'ensemble des journées pour qu'elles puissent être actrices et penseuses du monde de demain.
L'ensemble des actions décrites plus haut, égrainées le long de l'été, fûrent portées par des animateurs expérimentés et spécialistes du sujet créatif. Ils fûrent accompagnés par des jeunes ayant connu l'univers d'Arts Scènes et Cie afin d'avoir leur premières expériences d'animation et déjà capables de proposer maintes activités fort de leurs expériences passées avec l'association.
Entre les idées créatives du groupe, les propositions des jeunes animateurs en apprentissage, le savoir-faire des animateurs expérimentés et l'harmonie venant de la mixité des âges, nous pensions que les fruits de ce processus seraient abondants dans le sens des objectifs cités précédemment.
L'ensemble de cet équilibre consista à trouver des manières nouvelles de s'adapter face aux normes sanitaires, et mieux encore de détourner ces contraintes pour les transformer en force créatives.
Ci- dessous, voici les intitulés des actions qui nous avons mises en place pour atteindre ces objectifs :
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- Fresque murale, peinture, collage et pochoirs
-
- Musique et chant
-
- Atelier de langues
-
- Création vidéo en lien avec les habitants
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- Défi photo en lien avec histoire de l'art
-
- Débat radiophonique sur des sujets d'actualité ( féminisme, écologie )
-
- Construction de cabanes et de décors
-
- Ballade en nature, reconnaissance des plantes et de l'environnement.
-
- Mime et improvisation théâtrale.
-
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
L'association Arts Scènes et Cie a, dès l'automne 2019, travaillé sur les projets divers qui allaient nourrir l' été 2020 et notre Espace de Vie Sociale (EVS). Il s'agissait de plusieurs séjours avec des enfants allant de 6 à 17 ans avec des thématiques diverses et des pratiques diverses mais toutes tournées sur des questions de société. De plus, nous avions prévu une quantité de spectacles habituelles à présenter aux locaux et autres événements festifs ouvert à tous.
Ayant un doute trop important sur la possibilité du bon déroulement de ces séjours tels qu'ils avaient été conçus, nous avons décidé de les reporter simplement à l'été 2021. Les spectacles étant annulés, nous avons envisagé de nouvelles formes de projets afin d'être souple et flexible face aux directives sanitaires en constante évolution.
C'est donc dans le cadre de la crise sanitaire que nous avons traversé (et que nous continuons à subir), que nous nous sommes adaptés avec les jeunes pour créer une action forte autour du débat citoyen et des créations diverses.
En accueillant des personnes de tout âge et en particulier des jeunes, nous avons à travers plusieurs activités, animations et jeux interrogé ce nouveau quotidien qui demande une adaptation nouvelle.
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- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Cette action a été menée pendant 6 semaines pendant l'été 2020 (du 6 juillet au 14 août) autour de thématiques citoyennes et activités artistiques :
Semaine 1 : Débat radiophonique sur des sujets d'actualité / Ballade en nature, reconnaissance des plantes et de l'environnement.
Semaine 2 : Débat radiophonique sur des sujets d'actualité / Construction de cabanes et de décors
Semaine 3 : Défi photo en lien avec histoire de l'art, Musique et chant
Semaine 4 : Fresque murale, peinture, collage et pochoirs/ Atelier de langues
Semaine 5 : Création vidéo en lien avec les habitants / Mime et improvisation théâtrale
Semaine 6 : Création vidéo en lien avec les habitants / Fresque murale, peinture, collage et pochoirs
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le budget de cette action fût de 31 371€ avec un coût salariale de 19 664€
-
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
7 salariés (3 permanents et 4 saisonniers) et une vingtaine de salariés ont été mobilisés sur cette action.
- Résultat sur le territoire
Le projet que nous avons soutenu et imaginé pour nous adapter à la crise sanitaire a donné place à une riche créativité. Comme nous le souhaitions, nous avons pu valoriser le travail et les initiatives des jeunes du territoire, les accompagner dans l’acquisition de nouvelles aptitudes à s’exprimer à travers différentes formes artistiques et débattre sur des thématiques citoyennes afin de créer une réflexion commune.
Chaque semaine les enfants ou jeunes ou familles étaient impliqués sur un projet qui prennait forme à la fin de la semaine. L’ensemble des actions menées a favorisé la rencontre de plusieurs publics de différentes tranches d’âge et de différentes classes sociales de par leur nature transversale.
- Résultat pour le centre social
Cette action a permis de remobiliser les bénévoles et renouer les liens avec nos usagers et bénéficiaires
- Résultat pour les habitants
Après un premier confinement très anxiogène, cette action a permis aux habitants de se retrouver et de pouvoir s'exprimer notamment sur ce qu'ils vivaient, ce qu'ils ressentaient (craintes dues à la pandémie et aux effets collatéraux) mais également sur ce qu'ils espèraient à la sortie de la crise sanitaire.
- Suite de l'action : Limites
Même si durant l'été les règles sanitaires se sont quelques peu assouplies, la mise en place des gestes barrières et de jauges restrictives dans le cadre des accueils des publics ont limité les espaces et les temps de convivialité.
- Suite de l'action : Perspectives
Cette action pourra se développer à nouveau si le contexte sanitaire se dégrade.
Cette action a également permis de développer de nouveaux formes de solidarité au sein de notre association, de nouveaux bénévoles sont désormais inscrits sur des actions de notre EVS
Les témoignages et le recueils des débats durant ces 6 semaines seront valorisés et mis en lumière sur notre site internet et sur le lieu de notre ferme.
Actions
Les Jardins participatifs et collectifs des Peupliers, un lieu ou nous récoltons bien plus que ce que l'on sème.
- Structure organisatrice
- L'Escale. Centre Social et Culturel de Pradines - Lot
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Cette action est terminée en tant que projet accompagné par le Centre Social et Culturel. Elle se poursuit maintenant sous la forme d'une association.
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Démocratie & citoyenneté
- Environnement
- Mixité sociale
- Résumé
C'est le parcours remarquable d'habitants déterminés à voir naître des jardins participatifs sur leur commune. Convaincus des bienfaits du travail de la terre, de ce qu'il est porteur de lien au delà du rapport alimentaire d'une production respectueuse de l'environnement.
Cette expérience va mener une dizaine d'habitants à apprendre à construire un collectif, puis à rélaiser des actions dont le fruit sera la naissance d'une association, Les Jardins des peupliers.
C'est aujourd'hui un lieu de partage au bord des rives du Lot, qui invite au jardinage et la culture des lien humains.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Le contexte:
Depuis le premier confinement, la commune de Pradines par l’action de son centre social et culturel l’Escale s’est positionnée pour poursuivre sa mission d’intérêt collectif tout en s’adaptant aux contraintes sanitaires. Dans un premier temps, ses actions se sont tournées en priorité vers les publics les plus fragiles et isolés. Le centre social et culturel a assuré la distribution du pain, l’acheminement des courses, le soutien à la parentalité, la médiation avec les jeunes… Au fil du temps, les restrictions et l’isolement social qu’elles ont mis en exergue un besoin impérieux de se retrouver à l’extérieur.
Le projet qui suit trouve son origine derrière la mairie où se situent sept petites parcelles potagères « des P’tits cabanons colorés » de Pradines, crées en 2007. Ces dernières ont fait l’objet d’un engouement des jardiniers et ont suscité une recrudescence de sollicitations d’habitants, intéressés pour disposer à leur tour d’une parcelle. Le contexte sanitaire a révélé un point commun chez bon nombre d’habitants de différentes origines sociales et culturelles, celui de renouer avec l’extérieur et ce qu’il offre comme possibilités de rencontre. De surcroît, pour des personnes ne disposant pas d’extérieurs, un besoin s’est vite imposé à savoir l’accès à un jardin, tout en y intégrant une dimension jusqu’alors peut investies, le désir d’y cultiver en plus des légumes et autres fruits, des interactions sociales tout aussi nourrissantes.
Face à ce constat, nous avons réfléchi à accélérer le développement d’un projet de création de nouvelles parcelles sur un terrain municipal aux abords du Lot, tout en étant à proximité des lieux d’habitations. L’intention est d’être dans le prolongement de l’esprit de convivialité des précédents jardins en mettant l’accent sur une dimension qui nous tient à cœur, celle de la participation collaborative à la réalisation de ces futurs jardins, faire ensemble pour vivre ensemble chaque étape de leur réalisation, entre les services techniques de la Mairie, l’équipe des jardiniers et celle du centre social. Les jardins participatifs et collectifs de Pradines sont nés.
Ce lancement de jardins collectifs et participatifs a aussitôt créé un intérêt de la part de la population. Nous avons démarré la première phase des jardins avec 8 parcelles en février 2021. Ces huit parcelles ont été opérationnelles à compter du 13 mai 2021 avec la participation de 12 jardiniers.
La première phase du projet à peine terminée, les premiers échos des Pradinois vont dans le sens d’une demande croissante de pouvoir y participer. Grace au soutien du dispositif France Relance nous avons lancé l’extension des jardins participatifs dès l’été 2021.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Plusieurs communes
- Description générale
Début de l'action:
- Fin septembre 2020.
Objectifs du projet:
- Valoriser les valeurs de vivre et faire ensemble par des dynamiques collectives et d’entraide.
- Favoriser l’amélioration et la diversification d’une alimentation saine avec un budget abordable.
- Sensibilisation à la protection de l’environnement et au développement durable (biodiversité).
- Développer l’implication et a terme la participation autonome des habitants.
- Proposer des parcelles potagères supplémentaires pour répondre aux besoins repérés par la population.
Pilotage du projet
Dans le cadre d’un partenariat au service de la population pradinoise, la commune de Pradines, propriétaire d’un terrain aux abords du Lot, a porté le projet temporairement par l’intervention du coordonnateur de la vie locale. Celui- ci a travaillé en étroite collaboration avec le Centre social et Culturel de Pradines et tout particulièrement avec l’éducateur spécialisé afin d’être au plus proche de la population notamment les personnes en difficultés.
Depuis Mars 2021, le coordonnateur a mobilisé les futurs jardiniers afin qu’ils soient impliqués dès la création des jardins avec une dimension participative.
Ainsi le collectif appelé « Le Conseil des Jardiniers » est né. Quatre commissions ont été créé à savoir secrétariat, communication, aménagement et une commission travaux.
Les commissions se sont réunies régulièrement en toute autonomie. Le coordonnateur en présence de l’éducateur ont assisté aux premières rencontres de chaque commission afin de donner l’impulsion.
Une rencontre avec l’ensemble des jardiniers a été proposé une fois par mois afin d’assurer une bonne circulation de l’information et une bonne cohésion.
L’association des Jardins des Peupliers a été créée le vendredi 10 décembre 2021 avec la validation des statuts de l’association et de son règlement intérieur. Un Conseil d’administration a été mise en place avec la participation de 11 personnes.
L’association prendra le pilotage des jardins participatifs dès la nouvelle saison 2022 à partir du mois de janvier 2022.
Les ambitions du projet des jardins collectifs et participatif
La démarche participative a permis une dynamique d’appropriation de la part des jardiniers actuels qui font la promotion de leur projet auprès de la population.
Sur l’ensemble des étapes, la dimension participative a été « le ciment » de nos actions.
Une des premières actions collectives a été la construction des cabanons. Cette construction est pilotée par l’animatrice paysagiste et l’éducateur spécialisé du centre social de Pradines. Cette action a permis de créer une dynamique au sein du collectif des jardiniers et permis d’obtenir un résultat très valorisant pour tous.
Calendrier de réalisation
A partir du mois de juin, avec l’attribution du programme Plan de France Relance, nous avons ouverts 27 jardins soit 18 parcelles supplémentaires. Ces jardins supplémentaires ont été cultivés durant tout l’été et l’automne 2021.
Pour la nouvelle saison 2022, la future association disposera d’une quarantaine de parcelles allant de 20 m2 (micro jardin) à 100 m2 soit 18 nouveaux jardins supplémentaires. Ce résultat dépasse l’objectif initial d’agrandissement des parcelles. Ce résultat a été rendu possible grâce à la participation et l’imagination active de tous les acteurs.
Les étapes opérationnelles de l’agrandissement seront :
- L’extension des réseaux (eau et électricité) pour alimenter l’ensemble des jardins
- La réalisation de 4 cabanons avec les jardiniers
- La réalisation et stabilisation des chemins avec de la castine
- La végétalisation des jardins et parties communes (arbres et arbustes)
- La mise en place d’un récupérateur d’eau de pluie et du composteur collectif.
- L’aménagement d’espaces conviviaux.
La progression des jardins a pris du retard par rapport au calendrier initial du fait d’une pénurie des matériaux et équipements suite à la crise sanitaire ainsi qu’une augmentation des prix des matières premières comme le bois, autres consommables. Les jardiniers ont dû faire des choix sans compromettre le développement du projet. Le nombre de cabanons est réduit à 4. Néanmoins, ces cabanons sont plus spacieux pouvant ainsi accueillir davantage de jardiniers.
Le public visé
Pour cette première saison, nous avons eu un public mixte qui provenait essentiellement de la commune de Pradines et quelques personnes de Cahors. Le centre social de Pradines a aussi utilisé une parcelle pour le public jeunes et adolescents.
Préservation du pouvoir d’achat
La préservation du pouvoir d’achat est un axe majeur des jardins collectifs et participatifs. La parcelle est louée à raison d’1€ le m2 par an. Cette cotisation revient indirectement aux jardiniers via la future association qui devrait officiellemnt être créer début 2022.
L’association proposera des facilitées de paiement.
A ce jour, nous avons parmi les jardiniers des familles aux revenus modestes qui arrivent à produire très correctement des fruits et légumes sains à très faible coût. Les jardins participatifs facilitent les échanges entre les jardiniers et ainsi les échanges et dons de plants. Une maman vivant seule avec ses 3 enfants nous disait « vous savez pour moi, c’est comme si j’avais gagné au loto, on est en famille et on remplit notre frigo ».
Les jardiniers ont aussi la volonté de partager une partie de leurs récoltes avec des personnes dans le besoin notamment pour compléter les colis alimentaires distribuées par le centre social.
Respect de l’environnement
Avec le Syded Des composteurs collectifs ont été posés pour sensibiliser les jardiniers à la bonne pratique et les encourager au compostage de leurs déchets alimentaires.
Plusieurs actions sont menées avec un intervenant membre du projet participatif et pédagogique pour aller vers l'autonomie alimentaire L'Agora d'Agriculture Urbaine. Elles visaient entre autre à sensibiliser les jardiniers sur le respect de la terre en banissant l'utilisation de produits phytosanitaires.
Les agriculteurs « voisins » nous ont aussi permis de faciliter la préparation de la terre et nous ont donné de précieux conseils.
Un partenariat a été mise en place avec le club hippique de Pradines afin de récupérer le fumier pour enrichir la terre et les services techniques pour récupérer les copeaux de bois (BRF) pour limiter l’arrosage.
Partenariat étroit
Ce projet a été rendu possible grâce à une très belle coopération des services de la commune et tout particulièrement les services techniques qui ont été présents depuis la création des jardins jusqu’à son extension.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
France Relance: 10000€
CAF: 13000€ + 8000€
Centre Social: 5000€
Mairie: 20000€ (à travers la contribution des matériaux et la valorisation de la mise à disposition des agents techniques)
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Personnes mobilisées régulièrement:
Jardiniers 12 Bureau
CSC 12
CAF 1
Mairie 7
Autres acteurs bénévoles:
4 maçons, 1 conseiller en irrigation, 1 paysan,1 intervenant pour les conseils en agriculture, 1 animatrice paysagiste.
- Résultat sur le territoire
L'effet majeur est, à l'issue de la crise sanitaire, celui de renouer avec une cohésion sociale entre des habitants à travers la dynamique collective, la mixité sociale, dans une dimension intergénérationnelle.
- Résultat pour le centre social
Illustration concrête de l'utilité du Centre Social sur l'accompagnement d'un projet dont les besoins repérés par les habitants
Illustration du pouvoir d'agir dans la forme de pilotage du projet.
Partenariats futurs entre l'association et le Centre Social.
- Résultat pour les habitants
Disposer d'un espace extérieur.
S'initier à la création collective.
Expérimenter la dimension participative et l'implication bénévole.
Comprendre et expérimenter les enjeux de la démarche participative à travers la crétaion d'une association.
Accéder et s'initier à des techniques de jardinage et accéder à une alimentation saine.
La sensibilisation aux enjeux des ressources naturelles.
L'acquistion collective et individuelle de compétences et connaissances en terme de développement de projet. Ce qui pour certains jardiniers pouvait être un frein par méconnaissance de l'univers associatif qu'ils ne connaissaient pas.
- Suite de l'action : Limites
Les principales limites se trouvent dans l'animation de la vie du collectif associatif et la gestion d'une jeune association. Le centre social reste dans ce cadre en appui pour du conseil et au besoin de la médiation.
- Suite de l'action : Perspectives
L'intégration de l'association dans le tissu associatif local.
La création de partenariats avec les acteurs locaux comme les écoles, les structures à vocation sociale (Maison relais, GEM autisme, EHPAD, ...).
Le développement de ressources financières autres que les adhésions (constitution d'une trésorerie).
Actions
Bienvenue ! Accueil de nouvelles populations en Ségala-Limargue
- Structure organisatrice
- ASSOCIATION SEGALA LIMARGUE CENTRE SOCIAL LATRONQUIERE SOUSCEYRAC - Lot
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Intégration
- Mixité sociale
- Résumé
Accompagnement à l'insertion sociale et professionnelle de familles réfugiées d'origine syrienne, accueillies courant 2018 par des communes du Ségala-Limargue, dans le cadre du dispositif européen FAMI "Fonds Asile Migration et Intégration".
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Autre
- Précision ( si autre )
L'Etat et les municipalités.
- Territoire concerné
- Autre
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Première année d'accompagnement réalisée par l'association nationale AURORE (sur appel d'offre).
- Relai progressif par le Centre Social Ségala-Limargue, acteur de proximité.
- En soutien des habitants bénévoles qui se sont constitués en équipes par commune.
- Accueil de nouvelles familles sur un territoire vieillissant et en perte de population.
- Dimension d'accueil solidaire et citoyen.
- Ouverture vers plus de tolérance envers la différence.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Autre
- Description générale
- Accueil en 2018.
- Groupes de travail qui se réunissent régulièrement : ,Association AURORE - Centre Social - Travailleurs Sociaux du Département - Représentants des bénévoles - Elus municipaux - Madame la Sous-Préfète / Monsieur le Préfet - Services de la Préfecture.
- Passation AURORE => Centre Social début 2019.
- Accompagnement individuel des familles avec travailleurs sociaux du Département / CAF / CPAM / Pôle Emploi.
- Actions collectives d'insertion sociale via ateliers cuisine par exemple.
- Soutien à la parentalité / accueil en crèche / ALSH / RAM / Pratique Sportive, etc,...
- Ressources financières mobilisées pour cette action
S'inscrit dans la mission "d'Animation Collective Familles" du Centre Social. Attribution de 0.5 ETP sur 2 ans (2019 et 2020) par la CAF 46.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- 1 personne Conseillère ESF / 0.5 ETP.
- la direction ASL
- la coordinatrice de projet ASL.
- Résultat sur le territoire
- Installation de nouvelles familles, avec de jeunes enfants et des enfants scolarisés.
- Une dynamique collective, globalement fédératrice.
- Résultat pour le centre social
S'inscrire plus encore dans ses missions auprès des acteurs du territoire : accompagnement des familles migrantes, soutien des équipes bénévoles, appui / conseils auprès des municipalités, interface / veille sociale, lien avec les services administratifs et de l'Etat, etc,...
- Résultat pour les habitants
- Ouverture culturelle / relations sociales / partage avec des personnes très éloignées dans leur culture et leurs vécus des repères habituels des habitants du territoire.
- Une communauté locale qui se soude autour de cet accueil solidaire.
- Quelques animosités qui se réveillent.
- Suite de l'action : Limites
- Complexité et lourdeur des démarches administratives pour l'accès aux droits des familles syriennes.
- L'invalidation des permis syriens par l'Etat Français est un frein majeur à la perennisation de l'installation de ces familles dans notre territoire rural où il n'y a pas d'organisation de transport en commun. Comment gérer l'emploi, la formation, la santé, la quotidienneté, etc,... ! Si on ne peut pas se déplacer de manière autonome ?
- La barrière de la langue pour les adultes : pas de possibilité d'apprentissage du français en proximité géographique.
- Suite de l'action : Perspectives
Les mois à venir seront décisifs sur le maintien possible et sur le souhait ou non de ces familles à rester vivre dans le Ségala-Limargue, notamment par rapport à l'évolution de leur mobilité.
Actions
L'ACCES AUX DROITS, UN PREALABLE A LA CITOYENNETE
- Structure organisatrice
- ESPACE SOCIAL ET CITOYEN DE TERRE ROUGE / VIEUX CAHORS - Lot
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Démocratie & citoyenneté
- Précarité
- Résumé
Faire de l'accès aux droits une priorité à travers un maillage tant territorial que de compétences au plus près des quartiers populaires (et prioritaires) à travers plusieurs actions :
1 - Proposer une première réponse de proximité, sécurisée et diversifiée à tous les publics en s'appuyant sur les centres sociaux positionnés dans chacun des quartiers populaires de Cahors. Cette première réponse reste généraliste et globale, elle permet un premier contact rassurant, dans un lieu sécure et repéré par les habitants. Elle permet à la personne de se sentir pris en compte et favorise la lutte contre le non recours aux droits par une première écoute bienveillante et active. Elle est possible au quotidien sur les heures d'ouverture des centres sociaux
2- Développer des permanences hebdomadaires du Bus France Services en proximité immédiate des centres sociaux pour apporter un niveau de réponse plus spécifique et plus pointue. Ces permanences ont lieu sur une demi-journée régulière qui facilite le repérage pour les habitants qui sont accueillis de manière libre par les deux conseillères France Services. Accompagnement et lien avec les opérateurs ou partenaires prennent une dimension plus importante. Les situations les plus complexes qui nécessitent un travailleur social sont accompagnés par les professionnelles.
3- Faciliter le lien avec les opérateurs mais également les travailleurs sociaux du Département par des rencontres régulières, des informations collectives sur site, des permanences régulières ou ponctuelles selon les besoins.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Pour les professionnels des centres sociaux ou des France Services, avoir accès à ses droits est un préalable à l'exercice de la citoyenneté et souvent à la participation au sein de nos structures. Lutter contre le non recours aux droits ou les situations complexes favorisent la confiance des habitants, le sentiment de vivre le centre social comme un lieu ressource et bienveillant.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Les France Services (anciennement MSAP) sont des structures nouvelles qui essaie de se réinventer régulièrement. Nous nous sommes appuyés sur le renouvellement des permanences du Bus France Services qui a lieu tous les deux ans et qui s'appuie sur une consultation des élus du territoire, de la Préfecture pour donner à voir les besoins en zone urbaine en termes d'accès aux droits dès 2019. Le contrat de projet des centres sociaux de la ville de Cahors ont été également l'occasion de faire remonter des besoins sur cette thématique (enquête habitants, retour des partenaires) et de croiser avec le travail de réflexion pour les France Services, facilité car sous la même direction adjointe.
Depuis 2019, où nous avons commencé l'expérimentation, le dernier renouvellement en 2023 permet d'atteindre un équilibre très intéressant pour le territoire et d'y engager de nombreux partenaires. Ce qu'il y a 4 ans posait question est aujourd'hui reconnu comme une organisation complète et pertinente pour les habitants et pour les professionnels.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
L'action n'a pas demandé de budget supplémentaire si ce n'est pour la communication. C'est dans la concertation, la coopération et la construction de liens qui ont impliqué les professionnels des différentse structures que ce projet a pu voir le jour. Il est le fruit d'un travail de partenariat et d'une recherche de cohérence sur le territoire et au regard des missions communes ou croisées.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
Les chargées d'accueil des centres sociaux de la Ville de Cahors (4) + les conseillères France Services du BFS (2)
La direction adjointe DSS + les élus du Grand Cahors + les partenaires de l'Etat + les opérateurs
L'enquête auprès des habitants des quartiers sur les besoins (400 réponses sur l'ensemble des 4 structures)
- Résultat sur le territoire
Moins de non recours aux droits ( à partager avec les partenaires)
Présence des services publics et des opérateurs au coeur du quartier pour des informations collectives
- Résultat pour le centre social
Diversification du public au sein des centres sociaux favorisant la mixité sociale, générationnelle et culturelle
Identification du centre social par de nouveaux publics qui en l'auraient pas connu sans cette entrée "accès aux droits"
Structures vécues par les partenaires comme des lieux ressource et reconnues dans leurs compétences
Montée en compétences des chargées d'accueil et partenariat fort
- Résultat pour les habitants
Sentiment d'une prise en considération par les habitants des quartiers sur la question des droits
Services de proximité plus diversifié
Plus de facilité à aller vers les opérateurs car réassurance après cet accompagnement
- Suite de l'action : Limites
Nous entamons en septembre 2023 un nouveau roulement qui intègre le quartier des Badernes, très fragile. Nous serons très vigilants à rester à notre place et sur nos missions et ne pas faire empiéter sur les missions des opérateurs.
Les limites que nous risquons de rencontrer très rapidement concerne la fréquentation qui est de plus en plus importante dans les quartiers de Cahors et qui devra être analyser pour y apporter les réponses adaptées selon le niveau de compétences de chacun et ses missions.
- Suite de l'action : Perspectives
Renforcement des liens entre chargées d'accueil des centres sociaux et conseillères France Services, notamment avec les nouvelles professionnelles.
Actions
Atelier bien-être
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL DU PONT BORDEAU - Loiret
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Mots clés associés à l'action
-
- Mixité sociale
- Résumé
L'atelier « bien-être », séance hebdomadaire de gym douce/fitness à destination principalement des femmes du quartier, sans exclusive pour favoriser la mixité. L'action est encadrée par une référente, salarié du centre social et la démarche pédagogique est mise en place par une intervenante spécialisée. L'approche de l'intervenante de permet aux femmes d’être en confiance, détendues et d'être à l’aise face au groupe. Des temps de parole permettent aux participantes d’exprimer leurs souhaits et leurs attentes sur le contenu des séances de remise en forme ainsi que d’évoquer des nouvelles activités qu’elles souhaiteraient pratiquer (temps d'information santé, atelier esthétique...). Le programme évolue donc au cours au long de l’année.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Contribuer au développement personnel et au bien-être des femmes.
- Maintenir le développement des liens sociaux entre les femmes d’origines sociales et culturelles différentes.
-Favoriser l’insertion sociale et professionnelle.
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 intervenante spécialisée
1 référente, salariée du centre social
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Exposition "Jean Zay et nous" réalisée par des jeunes de 12- 15 ans.
- Structure organisatrice
- Centre social Sainte-Beuve - Loiret
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
Cette action s'est déroulée sur une période déterminée corespondant au temps de l'action reliée à un projet pluripartenariale
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- éducation / scolarité
- Culture
- Démocratie & citoyenneté
- Résumé
Accompagnement de jeunes de 12 à 15 ans à la réalisation d'une exposition sur la question de l'altérité et sous le signe de la mémoire et du rassemblement. A partir du personnage de Jean Zay, les jeunes ont mis en oeuvre leurs protraits, leurs écrits, leurs regards et leurs vérités. Tout au long du projet, ils ont participé activement aux animations de sensibilisation sur la notion d'altérité et de la vie de Jean Zay, avec des visites de lieux culturels ( musée Charles Péguy et galerie du Lion), d'ateliers d'écritures, de portraits photos et de la découverte d'auteurs et d'artistes. Ce projet a émergé dans le cadre d'un partenariat entre le comité des fêtes d'Orléans la Source, le théâtre Gérard Philipe de la ville d'Orléans, l'association de la Musique de Léonie et l'association Libre de mots. Cette exposition "Jean Zay et nous" s'est déroulée sur le centre social Sainte-Beuve, conjointement avec deux autres expositions présentées au théâtre G.Philipe. L'une, intitulée "Jean Zay 1904-1944" réalisée par l'association des amis de Jean Zay et la seconde, "la musique dans les camps de Beaune la Rolande et Pithiviers" prêtée par le CERCIL. Ceci, conjointement avec un concert de la Musique de Léonie , "Mademoiselle Louise et l'aviateur allié" de Julien Joubert et chanté par les enfants des écoles du quartier.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Impliquer des jeunes dans un projet artistiques individuel et collectif. 10 jeunes ont participé activement au projet avec des questionnement et des intêrets certains sur des sujets peu évident de premier abord (travail de mémoire sur une période trouble, question d'altérité, par rapport à soi, par rapport à autrui,...). L'ensemble des familles de ces jeunes ont été partie prenante de l'action et étaient présentes lors du vernissage de l'exposition. Sur ce temps, les jeunes ont pu rencontrer et échanger avec Mme Hélène Mouchard-Zay, la fille de Jean Zay. L'ensemble des participants à cette rencontre ont exprimé de l'émotion et a permis des passerelles entre le passé, aujourd'hui et l'avenir.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Cette action s'est déroulée de décembre 2015 à février 2016. L'accompagnement des jeunes s'est déroulé plus particulièrement sur la période des vacances d'hiver dans le cadre d'une Opération Ville Vie Vacances.Plusieurs temps de travails au préalable avec les partenaires du territoire pour coordonner les actions
Deux temps de constructions ont eu lieu avec l'association Libre de mots en dehors du temps de l'action pour coordoner l'OVVV avec l'équipe du centre social.
Des accueils de classe lycéens ont été organisé sur les 3 expositions avec une moyenne de 120 lycéens accueillis.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Financement OVVV perçu par l'association L!bre de mots de 2200€ qui ont permis de financer les interventions de l'association et la réalisation des panneaux d'exposition.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 animatrice de l'association libre de mots
L'équipe du centres social Sainte-Beuve (3 profesionnels)
4 bénévoles du comité des fêtes et du centre social
L'équipe du théâtre G.Philipe (2 profesionnels)
- Résultat sur le territoire
Rayonnement de l'action des jeunes auprès d'acteurs locaux du quartier(théâtre, comité des fêtes, associations locales,...) et auprès d'un large public, enfants, jeunes adultes sur l'animation de l'exposition.
- Résultat pour le centre social
Implication de jeune sur une manfestation culturelle sur le territoire et au sein du centre social
Implication des familles sur cette action
Action fédératrice regroupant de multiple partenaires
Ouverture culturelle auprès de nos publics souvent éloignés de ce champ d'intervention
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
Cette action a été trés riche d'échanges et de rencontres mais reste une expérience courte à renouveler sous d'autres formes.
- Suite de l'action : Perspectives
L'exposition peut-être mise a disposition sur d'autres structures.
Actions
Sentez-vous bien !
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL DU PONT BORDEAU - Loiret
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Santé
- Résumé
Cette action s’articule autour de quatre volets :
- un volet "information/communication" ;
- un volet "dépistage, prévention" ;
- un volet "alimentation/nutrition"
- un volet "activités physiques/bien-être".
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Dans le cadre du renouvellement du projet du Centre Social courant 2016, l'équipe du Centre Social a engagé un diagnostic participatif et partagé, en lien avec les habitants du quartier et des partenaires, autour de 7 questions sociales dont celle de l'accès à la santé. Plusieurs thématiques sont ainsi apparues comme essentielles à traiter dans le champ de la santé (l'information : déficit global d'information sur les droits de santé...; l'alimentation, constat récurrent de conduites alimentaires peu réfléchies ou néfastes pour la santé ; le suivi médical restreint ou absence de suivi ; souffrance psychologique/psychique des personnes (enfants, jeunes, adultes, parents) ; accès limité aux pratiques sportives ; conduites à risque chez les jeunes ; isolement des seniors).
Par ailleurs, les habitants regrettent le manque de structure de santé de proximité sur le quartier.
- Public
- Tous publics
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Programmation diversifiée en lien avec les 4 volets du projet. Action à destination du tout public et action avec des publics captifs (enfants et jeunes du CLAS).
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Financement Ville/Contrat de Ville
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 professionnels
- Résultat sur le territoire
En l'absence de structure de santé, une thématique qui reste prisée des habitants.
.
- Résultat pour le centre social
Centre Social mieux repéré par les partenaires comme abordant la thématique santé.
- Résultat pour les habitants
Difficulté à mesurer l'impact à court terme sur les pratiques des habitants. Projet qui sera développé sur 4 ans.
- Suite de l'action : Limites
Difficulté à mobiliser les personnes pour qu'elles s'inscrivent dans une pratique physique régulière
- Suite de l'action : Perspectives
renforcer le partenariat avec l'école de secteur.
renforcer l'action auprès des seniors isolés.
poursuivre le travail auprès de groupes constitués (suivi régulier et impact plus fort)
Actions
Semaine de la famille
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIAL ASELQO POT D'ARGENT - Loiret
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- vacances / loisirs
- Résumé
Semaine d'animations dédiée à la famille sur chaque période de vacances scolaires. Programmation construite par les familles.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Ce type d'actions a pour objectif premier, de créer du lien intrafamilial et de la solidarité entre les familles. Ces actions permettent ainsi aux habitants du quartier de partager des moments de loisirs hors du quotidien. Les sorties ont aussi pour objectif de promouvoir des temps de loisirs mais aussi d'indentifier des problématiques et de proposer par la suite un accompagnement.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Démarche participative ... réunions collectives ...groupes de travail ... rencontre avant chaque programmation
- Ressources financières mobilisées pour cette action
budget du projet Famille
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
52 (enfants, ados, parents)
- Résultat sur le territoire
proposition d'animations familiales durant les périodes scolaires
- Résultat pour le centre social
participation
- Résultat pour les habitants
rencontre, solidarité, lien social et familial
- Suite de l'action : Limites
inscriptions limitées (moyens humains et financiers)
- Suite de l'action : Perspectives
à poursuivre
Actions
"Un moment pour soi", un temps pour des parents en attente d'échange sans les enfants
- Structure organisatrice
- ASSOC. MONTARGOISE D'ANIMATION - Loiret
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Culture
- Résumé
Suite à la demande de plusieurs mamans participant aux ateliers parents/enfants de l'AMA d'avoir un temps pour elles sans les enfants, nous avons organisé une première réunion afin de concrétiser cette envie. Les souhaits étaient de 2 ordres
* autour des loisirs et de la détente: maquillage, pédicure, massage, découvrir un restaurant le midi, activités physiques. L'intérêt de faire des sorties culturelles (musées,…) était également ressorti.
* autour de discussions portant sur la défense des femmes, se prendre en charge, l’éducation des enfants.
Il a été défini que cet accueil appelé « un moment pour soi » aurait lieu, à partir de septembre 2018, un vendredi après-midi tous les 15 jours.
A partir de septembre 2018, avec l’aide d’Odette BRAZ, consultante en parentalité, les mamans ont ressorti différents thèmes sur lesquels elles souhaitaient approfondir la réflexion et ainsi être « plus outillées » pour réagir dans leur quotidien éducatif : le sommeil et plus particulièrement les problèmes d’endormissement, les conflits parents-enfants et ados, les frustrations, l’apprentissage, l’hyperactivité.
Elles ont pu également tester la sophrologie grâce à une intervenante.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
* Informer et sensibiliser les parents pour les accompagner dans leurs choix éducatifs
* Renforcer les relations familiales et interfamiliales
* Favoriser et accompagner l'envie d'agir des parents
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
L’action prend son origine dans la demande de plusieurs mamans participant aux ateliers parents – enfants de créer un temps réservé pour elles afin de discuter librement et avoir ainsi un moment pour soi.
Une communication a été effectuée grâce à une affiche et un flyer afin d’inviter les mamans qui le souhaitaient à venir réfléchir à la création d’un lieu d’accueil et de rencontres pour elles. Un affichage grand public a été réalisé, le PIMMS (Point Information Médiation Multi-Services) a également contribué à l’information en en parlant aux mamans qu’il connaissait tout particulièrement.
A notre niveau, nous avons effectué une information auprès de différents ateliers, les ateliers parents – enfants mais aussi la halte-garderie, l’accompagnement scolaire, les ateliers cuisine et les départs en vacances.
Trois rencontres avec plusieurs mamans ont eu lieu sur le premier semestre. Elles ont permis d’évaluer les besoins et/ou les souhaits.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Le budget prend en compte la prestation de service des intervenantes et le temps de travail de l'animatrice soit 3150 € pour 2018.
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
15 mamans de 28 à 45 ans ont participé à une ou plusieurs séances. Huit d’entre elles résident dans des quartiers prioritaires Politique de la Ville. La plupart sont d’origine étrangère.
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
Deux partenaires différents ont animé plusieurs temps :
- Odette BRAZ, consultante en parentalité sur 4 rencontres.
Elle a utilisé différents outils (jeux et mises en situation sur l’entraide et l’écoute de l’autre) afin de donner confiance aux participantes et libérer ainsi la parole. Plusieurs thèmes sont ressortis : le sommeil et notamment les problèmes d’endormissement, les conflits entre parents et enfants, la gestion des frustrations, l’hyperactivité.
Pour certaines mamans, des solutions ont été apportées par l’ensemble du groupe, solutions qui étaient à mettre en pratique pour la séance suivante. Ainsi aux démarrages des réunions suivantes, les échanges portaient sur les difficultés pour mettre en pratique les solutions et valoriser les réussites, minimes soient-elles. Les mamans ont également découvert la pyramide des besoins de Maslow et après un travail individuel, elles ont pu également en débattre.
- Céline LEGER, sophrologue (3 séances)
Ces séances d’1 heure répondaient à une attente du groupe.
Les ateliers portaient sur la respiration, l’évacuation des tensions, des techniques pour évacuer la colère (pour l’adulte comme pour l’enfant) et des techniques de relaxation pour un meilleur endormissement (ce qui répondait également à une attente du groupe).
Les animatrices de l’AMA ont également proposé d’autres temps d’échange autour de sujets liés à la parentalité suite aux visionnages de vidéos humoristiques de Véronique GALLO présentant différentes situations de la vie courante avec ses enfants.
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Mobiliser des parents pour venir échanger sur leur vie quotidienne et notamment sur leurs responsabilités éducatives est difficile. Quelques mamans nous ont fait une demande d’un temps pour elles qui correspondait, en grande partie, à cet objectif. Le bouche à oreille a fait venir plus de mamans que l’affichage. Nous souhaitons poursuivre cet accueil parents en lui donnant une régularité et en continuant à travailler avec les intervenantes afin d’aider les parents à approfondir leurs réflexions et ainsi être « plus outillés » pour réagir dans leur quotidien éducatif.
Actions
Centre Unique de Bricolage
- Structure organisatrice
- CSC ACCOORD Bout des Pavés - Chêne des Anglais - Loire-Atlantique
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Citoyenneté
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Emploi, économie
- Mixité sociale
- Résumé
Lancé en mars 2000, le CUB est ouvert toute la semaine et toute l’année.
Les adhérents, appelés « les Cubistes » sont accompagnés dans l’action. Le bricolage est un moyen qui fédère des dynamiques individuelles et collectives dans une activité principalement basée sur le support bois, avec toutes ses transformations : fabrication de mobilier et autres objets décoratifs ou du quotidien (étagères, la restaurations de meubles et de chaises, des découpes, des fabrications et réparations de jeux, également des embellissements (peinture, vernis etc ). Le CUB favorise l’utilisation de matériaux de récupération. Les adhérents participent forfaitairement à l’achat des matériaux.
Une outilthèque permet des empreints d’outillages pour le bricolage maison et les travaux de tapisserie peinture. Tous les outils sont à disposition pour 50cts la journée d’utilisation (un carnet d’emprunt est pour ainsi dire autogéré).
Des accompagnements autour de la décoration d’objets sont également proposés : mosaïque et faïence notamment. Des conseils en tapisserie-peinture pour l’amélioration de l’habitat avec un partenariat avec l’office de HLM Nantes Habitat pour l’accompagnement de ces projets.
Le CUB met en place des ateliers à thème : aquarelle, bijoux, jardinage… mais également du bricolage collectif pour l’amélioration des lieux et la participation aux évènements (marché de Noël, assemblée générale du CSC et autres manifestations du quartier).
Pour accéder au CUB, les Cubistes doivent s’acquitter de la carte usager Accoord à 6€ et de la carte CUB à 3.10€. Avant de s’engager, il est possible de bénéficier d’une carte « Pass au CUB » afin de venir découvrir le CUB.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Permettre aux habitants d'améliorer leur cadre de vie à travers l'activité de bricolage loisirs et
l'amélioration, l'aménagement de leur logement (embellissement, bricolage, ameublement).
- Un volet de l'action relève d'une action d'insertion qui s'adresse aux bénéficiaires du RSA.
- Un 2ème volet s'inscrit dans une dynamique de projets plus large, dans le quartier, en direction des adultes de Nantes nord (mixité sociale visée, échanges de savoir-faire).
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
Un bilan d’activité 2013/2014 autour de 2 dimensions complémentaires et indissociables :
Le bilan 2013/2014 a été l’occasion d’appréhender l’action du CUB autour de 2 dimensions :
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L’activité « CUB structure » autour de la fonction accueil et accompagnement des personnes. Cette dimension constitue le cœur du projet du CUB. On peut raisonnablement estimer que cette activité principale représente à minima entre 70% à 80% de l’activité du CUB.
-
L’activité « CUB émergeant » concerne des actions spécifiques du CUB sur des thématiques particulières. Cette activité « émergeante » qui favorise l’innovation et l’expérimentation représente de 20% à 30% de l’activité du CUB.
Si le bilan s’attache à présenter l’action du CUB autour de 2 dimensions, la démarche globale du CUB ne peut s’appréhender que comme un tout avec d’une part les actions structurantes et d’autre part les actions émergeantes pour une action CUB en 3 dimensions.
I - Le CUB « structure »
Le CUB structure s’organise autour de 2 axes forts : la vie quotidienne et le « hors le CUB ».
1/Le CUB au quotidien : un espace de vie sociale, de formation et de maillage partenarial
La vie quotidienne au CUB favorise l’accompagnement et la dynamisation des parcours individuels des personnes dans le cadre d’une dynamique collective autour de l’acquisition et le développement de compétences.
L’accueil au CUB au-delà d’un temps dédié est une démarche de tous les instants. Si un moment privilégié est réservé lors d’un premier contact avec le CUB (visite des lieux, présentation des cubistes, explications du projet…), l’accueil au CUB s’attache à ce que chacun trouve sa place et contribue de sa place à la vie du CUB. Cette dynamique de l’accueil se prolonge dans la diversité des activités proposées. Un programme d’animation rythme la vie du CUB et constitue un point de repère important pour les nouveaux arrivants. Le CUB avec ses nouvelles surfaces est à même de proposer des ateliers divers à partir de lieux dédiés. En 2013/2014, les ateliers se sont organisés autour de 3 pôles :
-
Atelier accueil autour du petit bricolage (piloté par Nadège). Investi de visites de plus en plus nombreuses depuis les travaux de valorisation de la place en « station gourmande », cet atelier est un vrai lieu de vie à même de contenter le visiteur tout en maintenant une activité soutenue de petits bricolages divers (réparations, fabrication, peinture décorative, couture, collages, initiations aux techniques de découpes (scies à chantournées). Ces ateliers sont souvent investis les après-midi de 6 à 8 personnes sur des travaux variés. Il accueille en fin d’après-midi, l’heure du thé « obligatoire » qui favorise le relais d’infos et affirme la convivialité. Ce même atelier est aussi le lieu d’ateliers spécifiques qui figurent sur les plannings trimestriels édités, mis à disposition des visiteurs et envoyés aux adhérents (80% désormais ont internet).
-
Atelier peinture. Cet atelier fonctionne pour les grosses pièces à peindre ou vernir, et pour les menus travaux mais qui demandent à « s’étaler ». C’est aussi un atelier couture et divers travaux de rénovations de sièges et meubles en tous genres qui ne nécessitent pas de passage à l’atelier bois. Ce lieu sert aussi de lieu de rendez-vous ou d’ateliers rencontres et discussions animés par Nadège car il permet de s’isoler.
-
Atelier machine. Cet atelier est dédié aux possibilités d’usinage menuiserie. Son accès est limité à 4 personnes pour des raisons de sécurité et d’accompagnement. Cet atelier est équipe de machines performantes, de l’outillage électroportatif qui permet toutes les actions de transformation et assemblage bois d’un véritable atelier de menuiserie. Deux machines principales 1 toupie –scie et 1 raboteuse –dégauchisseuse, permettent toute sorte de débits, mouluration, et calibrage de bois brut. les adhérents sont invités à se protéger du bruit et des poussières avec des casques et masques mis à leur disposition selon les configurations du travail en cours et les sensibilités physiques de chacun.
L’autre composante structurante du CUB concerne la formation et l’acquisition de compétences vers l’autonomie. Chaque cubiste rentre dans une dynamique de formation. Cette dynamique est à la fois individuelle et collective. Chacun peut se retrouver en position d’apprenant ou de formateur. Au-delà du bricolage quotidien comme support à l’apprentissage et à la transmission des compétences, des stages ont pu être proposés cette année et notamment :
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1 stage de bijoux en pâte Fimo: 4 séances, avec l’intervention d’un professionnel, de 7 à 12 personnes à chaque séance,
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1 stage d’aquarelle, en 4 séances 5 adhérents à chaque séance,
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2 ateliers pâtisserie au BDL, 12 enfants de l’ALSH bout des pavés et 4 adhérents, 7 personnes du BDL,
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1 stage de tournage, initié par un adhérent sur une semaine, 2 séances de 3 personnes.
L’outilthèque du CUB (emprunt d’un outil contre 0.50€) constitue un levier supplémentaire dans l’autonomisation des personnes dans leurs travaux. Après la formation et l’acquisition de compétences spécifiques, les usagers du CUB peuvent directement mettre en œuvre leur nouveaux savoirs faire de manière autonome sur leur bricolage personnel. En 2013/2014, 71 emprunts d’outils ont été réalisé. Cette « offre de service » solidaire constitue une réelle ressource pour les usagers ne pouvant pas s’équiper individuellement compte tenu des prix parfois élevés de certains outils.
Le CUB est également dans son action quotidienne un acteur de la mise en réseau et de la mise en relation sur le territoire. Les 2 professionnels dédiés ont maillé, au fil des années, un nombre important de partenaires autour du CUB. En 2013/2014, ce travail qui nécessite une démarche de tous les instants s’est notamment concrétisé autour de :
-
L’accueil du point info Nantes solidaire et goûter au CUB : 15 personnes,
-
Une matinée accueil et présentation du CUB au personnel de la Maison de l’emploi (8 personnes) et mission locale (2 personnes). Un temps organisé par le CUB dans nos locaux pour mieux se connaître et pouvoir affiner les orientations auprès denos publics respectifs.
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La mise en place de 4 ateliers de bricolage avec le CATTP (6 personnes)
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La participation au Réseau santé ville ayant abouti à 2 contacts pour projets (non aboutis) et 3 personnes ayant fait quelques essais au CUB (dont 2 inscrits).
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La fabrication avec Nantes Action Périscolaire de 20 petits musées d’œuvres d’enfants pour toutes les écoles du quartier Est de Nantes, en 6 ateliers avec la participation de3 à 4 animateurs pour réaliser ce travail important.
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L’hébergement de l’association ACD’ ASqui investissait tous les vendredis après-midil’atelier peinture. 20 personnes différentes sont venues, ont découvert le CUBen tant qu’espace et aussi pour travailler avec l’association. 4personnesont pris leur adhésion CUB.
Ce maillage favorise l’accès du public au CUB mais également contribue à un meilleur accompagnement des Cubistes notamment en termes d’orientation.
2/Le CUB « hors le CUB »
L’activité du CUB rayonne au-delà du CUB lui-même. A travers son inscription dans la vie locale, le CUB favorise le lien des Cubistes avec la vie de leur quartier et part la même leur participation à la vie sociale notamment en s’appuyant sur :
La participation à la vie du CSC Bout des pavés-Chêne des anglais mais plus largement des CSC de Nantes Nord avec
-
La participation au fonctionnement du CSC : 2 sorties familiales, 1 soirée pétanque auBout des landes, 1 soirée festive à Grandchamps des Fontaines, la mise à disposition de matériel pour la ludothèque pour la réparation de jeux…
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Une présence au Marché de Noël (8 personnes)
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Une contribution à l’animation festive le 4 juillet en lien notamment avec l’association Paq la Lune autour d’un atelier thermo cuiseur (7 personnes).
- L’animation d’un atelier fabrication boucliers, bourse et jeux en bois pour 47 enfants à la Ludothèque du CSC Boissière lors de la semaine « Moyen âge ».
L’implication dans la vie du quartier avec :
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La participation à 4 rencontres conviviales avec Nantes habitat(16 personnes rencontrées)
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Une présence au temps fort insertion du Conseil Général : 43 personnes rencontrées sur nos deux standsNadège Action PDI et François CUB, avec en retour une visite d’une personne ayant vu l’article dans la presse. Cette personne est venue deux fois.
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Une intervention au CADA au centre ville pour une valorisation de mobilier à restaurer pour habiter un espace collectif, 3 séances, 4 personnes participantes et 6 en visite au CUB accompagnées d’un professionnel.
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L’animation de différents ateliers (2 séances ateliers relooking couture avec le CSC : 7 parents, 11 enfants/ 4 séances atelier de fabrication d’unThermo cuiseur/3 animations cuisson de compote avec des thermo cuiseurs)
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2 spectacles au lieu Unique : 10 personnes à chaque spectacle,
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1 sortie mer à Pornic : 11 personnes,
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1 sortie château Haute-Goulaine : 15 personnes,
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1 sortie en bateau sur l’Erdre : 5 personnes,
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1 sortie au spectacle TRACE : 9 personnes,
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1 sortie au concert philharmonique dans le cadre de la folle journée : 7 personnes,
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1 sortie spectacle LU Cirque Aïtal 10 personnes.
Le « CUB structure» et le « CUB et hors le CUB » constituent le socle de l’activité. Le temps de travail des salariés dédiés au CUB s’organise pour l’essentiel autour de ces 2 missions avec en toile de fond la démarche d’accompagnement des personnes dans leur parcours de dynamisation et l’objectif du zéro accident.
II - Le CUB « émergeant »
Le CUB « émergeant » permet de mettre en évidence des activités complémentaires de l’activité « CUB structure ». Ces activités apparaissent en fonction de l’actualité et/ou des opportunités. Ces activités sont dites « émergeantes » car elles répondent à des critères d’innovation et/ou d’expérimentation. Ces actions n’ont pas vocations à se pérenniser sauf à intégrer à terme l’activité « CUB structure ». Si par principe les activités « CUB émergeant » changent ou sont amenées à changer, 2 thématiques récurrentes traversent la démarche émergeante du CUB :
1/Le CUB acteur de l’économie sociale et solidaire
Les micro-chantiers du CUB
Principe : Le Centre Unique de Bricolage met en place des micro-chantiers qui permettent a des usagers de bénéficier d’activités des 4 CSC de Nantes Nord en échange de temps passé sur des chantiers mis en œuvre par le CUB suite à des commandes. Durant l’année 2013/2014, 4 micro- chantiers ont vu le jour :
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2 commandes de mobilier de la part de la ludothèque du bout des pavés
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1 commande de la part de la direction des solidarités concernant le Café Mobile
-
1 commande de jeux
Ces micro-chantiers fédèrent une dynamique importante puisque libres d’inscription. Ils sont valorisants tant dans l’action, le plus souvent collective, que pour la gratification en avoirs auprès du CSC pour des sorties etc…ou des achats de fournitures auprès du CUB. (Valeurs de l’avoir pour les participants de 5 à 80 euros selon...). 15 personnes se sont engagées dans ces travaux de micro-chantiers.
La question du réemploi au cœur des pratiques du « CUB »
Au CUB, le matériau de « récup » fait bon emploi, les objets (chaises, tables, objets décoratifs, lampes…) y trouvent également une seconde vie. Nous sommes toujours sur une pédagogie adaptée et de prise de conscience du matériau (sa qualité, son coût, au prorata de sa mise en œuvre). Tout projet commence par un tour des lieux de stockage pour voir ce que l’on peut y trouver ou du moins mettre en comparaison avec un produit neuf. Des devis (souvent oraux) sont réalisés pour évaluer le projet, chacun choisira en fonction de son budget et de son souhait esthétique, le matériau adapté.
Des panneaux pédagogiques accompagnent connaissance et reconnaissance des matières et leur coût au prix du neuf. Des actions spécifiques (ateliers à thème) sont menées pour accompagner cette prise de conscience et de façon communicative pour sensibiliser le public. En 2013/2014, l’action « chacun sa chaise » a vu le jour. 10 séances d’animation ont permis à de nombreuses chaises de retrouver une seconde vie.
2/Le CUB acteur de la rénovation de l’habitat et du cadre de vie
Une action sans cesse renouvelée : l’accompagnement des locataires de Nantes Habitat
Depuis l’origine du projet, Nantes habitat est notre partenaire. Diverses expériences ont ponctué cette action :
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Chantiers réalisés chez l’habitant « cubiste » (ateliers in situ en collaboration avec d’autres cubistes inscrits dans la démarche, deux ateliers par semaine…)
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Un appartement école mis à disposition pour dynamiser l’apprentissage des techniques et la formation de groupes « cubistes »
-
Le CUB désormais intervient à partir de sa base d’activité.
Comment ça marche : Nantes Habitat fournit les peintures et le matériel en fonction de la demande et de la situation locative. Le CUB accompagne chacun dans son projet de rénovation de logement (en fonction des demandes très variables selon les années) avec des conseils, des visites et l’élaboration du projet : évaluation de la logistique du projet (par quoi je commence..) et ses propositions (agencement d’étagères, dégager les pièces de vie pour en faciliter la rénovation…). Le projet passe par l’apprentissage des techniques de peinture, tapisserie, faïence par le biais de stages réalisés au CUB (individuels ou collectifs) avec du prêt d’outillage (outilthèque). Un important travail est réalisé en amont autour du chiffrage du montant des travaux : estimation en fonction des pièces, coût des matériaux divers (peinture tapisserie, faïence,… mais aussi le bois pour des étagères, tringles, quincaillerie etc…). Une aide financière est apportée au projet des adhérents en situation RSA (170 euros maximum, avec une participation demandée de 10% à la personne). En 2013/2014, 8 personnes ont été accompagnées dans leur projet de rénovation de leur logement dont 2 sur des projets exclusivement tapisserie peinture.
Des sollicitations ponctuelles et des nouveaux projets
Le CUB a été sollicité pour une action « balcon » au 15-17 pont-Aven en partenariat avec Nantes Habitat afin de sensibiliser les habitants à l’appropriation de leur nouveau balcon et loggia. Il s’agissait de présenter le CUB comme un lieu ressource d’aide à la fabrication de jardinières, claustras… et de tout ce qui peut favoriser le « cosi» naturel. Une rencontre a eu lieu sur place en présence de 10 locataires. Une personne est venue par la suite visiter le CUB.
En 2013/2014, un atelier jardin a vu le jour. Cet atelier ouvre des facilités de liens avec les habitants du quartier. Le CUB plus visible au sortir des écoles et des passants, un lieu informel mais communiquant qui déborde sur la station gourmande à l’occasion. Un contact régulier avec les agents du SEVE et de la mairie (réseau infos sur le quartier) sont venus à plusieurs reprises visiter le CUB et techniciens avertis et investis d’un travail social vert.
Un projet de jardin à usage des cubistes mais également des habitants en proximité est en perspective pour cette année : projet de fabrication de cabane de jardin pour les outils, de l’implantation d’un bassin à poissons, et composteur, et d’un robinet extérieur pour les arrosages, etc.
3/ Des perspectives pour expérimenter
Au-delà de ces 2 thématiques récurrentes autour de l’émergence, le CUB a vocation à être en soi un lieu d’expérimentation. Pour l’année 2014/2015, la direction de l’Accoord a validé le fait d’éprouver la fonction formation du CUB sur le versant professionnel via le dispositif emploi d’avenir. Un projet a été établi avec une fiche de poste afin de recruter pour un an une personne et de l’accompagner dans son projet professionnel autour d’une formation technique et socioculturelle :
-
Formation à toutes les techniques utilisées au CUB, ainsi que l’utilisation des machines et la connaissance des règles de sécurité et d’hygiène relatives au fonctionnement de cet atelier.
-
Formation d’animateur, initiation au fonctionnement social et socioculturel de l’ACCOORD ainsi qu’ouverture aux réseauxsociaux.
-
Postures professionnelles d’encadrement, écoute, prévention, souplesse et dynamique.
-
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Voir pièce jointe
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 salariés + 15 bénévoles associés au comité d'usagers
- Résultat sur le territoire
L'action du Centre Unique de Bricolage contribue au maillage territorial du partenariat. C'est un lieu repéré autour de la démarche de dynamisation des publics.
- Résultat pour le centre social
Le CUB constitue "une porte ouverte" sur le reste des actions du CSC en particulier pour un public habituellement non présent dans la structure.
- Résultat pour les habitants
3 effets principaux :
- Un lieu ressource autour de la démarche de dynamisation
- Un lieu ressource autour de la rénovation de l'habitat
- Un lieu qui favorise "le vivre ensemble"
- Suite de l'action : Limites
Ce projet est rendu possible grâce au partenariat financier du Conseil Général, de la Ville deNantes, du CCAS de Nantes et de l'Etat ; et par un partenariat opérationnel avec Nantes Habitat qui fournit à ses locataires les matériaux de rénovation des appartements. La diminution des aides publiques laisse planée des incertitude quant au financement de cette action notamment avec la remise à plat du Plan Départemental d'Insertion qui abonde pour 50% des subventions dédiées.
- Suite de l'action : Perspectives
Pour l’année 2014/2015, la direction de l’Accoord a validé le fait d’éprouver la fonction formation du CUB sur le versant professionnel via le dispositif emploi d’avenir. Un projet a été établi avec une fiche de poste afin de recruter pour un an une personne et de l’accompagner dans son projet professionnel autour d’une formation technique et socioculturelle :
-
Formation à toutes les techniques utilisées au CUB, ainsi que l’utilisation des machines et la connaissance des règles de sécurité et d’hygiène relatives au fonctionnement de cet atelier.
-
Formation d’animateur, initiation au fonctionnement social et socioculturel de l’ACCOORD ainsi qu’ouverture aux réseauxsociaux.
-
Postures professionnelles d’encadrement, écoute, prévention, souplesse et dynamique.
-
Actions
Festival BOUGE : un copil, des jeunes en action
- Structure organisatrice
- MQMP - Loire-Atlantique
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- Culture
- Résumé
Le festival BOUGE et son action culturelle sont imaginés par un groupe de jeunes nazairiens. Porté par les équipes de la mqmp, ce projet vise à accompagner des jeunes à prendre place en faisant du territoire un espace d'expression des jeunesses et en valorisant leurs compétences.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Jeunesse
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Le groupe de jeunes élabore et réalise le festival et son action culturelle aux côtés des professionnels et en relation avec les élus municipaux et associatifs.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
95k€
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
150
- Résultat sur le territoire
impact positif concernant la représentation des jeunesses
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Atelier Pratique du français
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIO CULTUREL DU CHATEAU - Loire-Atlantique
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Intégration
- alphabétisation & apprentissage du français
- Résumé
Ateliers de pratique du français en petits groupes différents, de 6 à 10 personnes définis en fonction des niveaux à l’oral et à l’écrit des participants (de l’alphabétisation au « perfectionnement », après test d'entrée). Les 2 ateliers par groupe sont animés par deux bénévoles, chaque bénévole assure l’animation d’un atelier. Les deux bénévoles œuvrent en collaboration. L’animatrice coordinatrice fait un point régulier avec les bénévoles (organisation, absences…). Une intervenante FLE assure les tests de positionnement, la constitution des groupes, l’accompagnement des bénévoles.
Un "café des langues" est proposé un mardi par mois, il permet d’échanger de manière plus spontanée et moins scolaire qu’au sein des ateliers hebdomadaires. C’est un moment privilégié pour échanger sur les activités du CSC, du quartier et de Rezé. C’est aussi un temps de sorties en groupe : les participants des groupes se retrouvent tous ensemble, avec les bénévoles et l’animatrice pour une sortie conviviale.
Exemples de sortie : Mairie (présentation des services), visite du quartier (participation à la consultation rénovation du quartier), Médiathèque, Trentemoult…
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- 10,3% de la population du quartier prioritaire Château est étrangère, en augmentation importante (+109% en 5 ans), soit 1/3 de la population étrangère de Rezé
- Forte demande d’apprentissage du français
- Envies de bénévoles
- Public
- Adultes
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
Après une année d'expérimentation avec deux bénévoles volontaires et 10 habitants, nous avons souhaité développer cette action pour répondre à la forte demande des habitants (30 personnes). Un renouvellement de l'équipe nous a permis de salarier une personne diplômée Français Langue Etrangère pour une mission de 4 mois d'octobre 2015 à janvier 2016, qui a pu être prolongée grâce au financement de l'Etat dans le cadre de la Politique de la Ville. Ainsi 50 habitants ont pu être accueillis par 10 bénévoles, outillés et soutenus quotidiennement dans leur intervention. Un lien fort a été fait avec les autres actions du CSC.
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- 60% ETP animatrice/ intervenante FLE (20 400 €)
- Mobilisation forte de bénévoles. 10 bénévoles actuellement. 4h/semaine (2h atelier + prépa, réunions/formation…)
- Budget matériel/sortie : 400 euros par an
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
1 professionnel
10 bénévoles
Une dizaine de partenaires
- Résultat sur le territoire
- Développement de l’entraide et de la bienveillance entre habitants
- Meilleure connaissance et compréhension des cultures, du quartier, du fonctionnement des services
- Mobilisation de nouvelles bénévoles, contribution à une nouvelle dynamique bénévole
- Résultat pour le centre social
- Porte d’entrée sur les activités du Centre (couture, cuisine, temps forts, bénévolat sur des actions enfants…)
- Image positive et ouverte du CSC, image dynamique (ça « grouille » 4 demi-journées par semaine)
- Mobilisation de nouvelles bénévoles, contribution à une nouvelle dynamique bénévole
- Résultat pour les habitants
- Connaissance des activités du Centre (couture, cuisine, temps forts, bénévolat sur des actions enfants…)
- Amélioration du niveau de pratique du français
- Meilleure connaissance et compréhension des cultures, du quartier, du fonctionnement des services
- Suite de l'action : Limites
-Fragilité du montage par le recours à une "mission" CDD pour l'intervenant FLE. Organisation à revoir
- Faible connaissance des acteurs et structures d'accompagnement. Pas d'impulsion d'un parcours.
- Suite de l'action : Perspectives
- Face aux nombreuses difficultés administratives, de compréhension des services : lancement d’un poste de médiateur d’accès aux droits en octobre 2016 (dispositif adultes relais)
- Réalisation d’un parcours dans l’apprentissage du français (passerelle vers des cours, français langue professionnelle…), d’où le choix d’une association extérieure expérimentée (Babel)
- Appréciation des progrès
- Implication des participants dans la définition des contenus, adaptation
Actions
Liens croisés
- Structure organisatrice
- CENTRE SOCIO CULTUREL DU CHATEAU - Loire-Atlantique
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Solidarité
- Viellissement
- mobilité / transport
- Résumé
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
- Public
- Seniors
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Un quartier
- Description générale
- Ressources financières mobilisées pour cette action
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
- Résultat sur le territoire
- Résultat pour le centre social
- Résultat pour les habitants
- Suite de l'action : Limites
- Suite de l'action : Perspectives
Actions
Information des parents
- Structure organisatrice
- OFFICE SOCIO CULTUREL - DONGES - Loire-Atlantique
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- Terminée
- Raisons pour lesquelles l'action est terminée
A l'occasion du changement des rythmes scolaires, nous avons réalisé une information à toutes les familles à la sortie des écoles.
- Dimension
- Services
- Mots clés associés à l'action
-
- Parentalité
- éducation / scolarité
- Résumé
Avec l'ensemble des partenaires concernés par l'enfance, nous avons réalisé un forum d'information aux familles : structures d'accueil petite enfance, écoles primaires, APS, ALSH, TAP, actions parents enfants, LAEP...
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Le centre social
- Un ou plusieurs partenaire(s)
- Territoire concerné
- Une commune
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
Constats lors d'un comité de pilotage parentalité que les familles connaissent mal ce qui se fait dans nos structures. De plus, les rythmes scolaires allaient de nouveau changer. Il nous paraisait pertinent d'informer les familles et de recueillir leur avis.
Nous espérons que les familles pousseront plus facilement la porte et participeront à davantage d'activités.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Une commune
- Description générale
Organisation d'un forum itinérant qui s'est déplacé sur plusieurs écoles de la commune. Chaque partenaire a préparé des éléments d'affichage. Le centre social s'est occupé de la partie logistique (stands, mobilier...)
- Ressources financières mobilisées pour cette action
500 €
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
3 professionnels du centre
4 bénévoles du centre
2 professionnels Ville de Donges
3 professionnels éducation nationale
- Résultat sur le territoire
Difficile de mesurer les effets ou les impacts sur les familles.
Un effet induit a été un renforcement des interactions entre les partenaires.
- Résultat pour le centre social
Meilleure relations avec les partenaires
- Résultat pour les habitants
A apaisé les tensions avec un groupe de parents très revendicatifs.
A permis de recueillir l'avis de certaines familles
- Suite de l'action : Limites
Beaucoup de familles ne se sont pas arrêtées.
- Suite de l'action : Perspectives
Le comité de pilotage poursuit son travail dans d'autres directions.
Actions
PROJET INTERGENERATIONNEL DE SEJOUR MAROC
- Structure organisatrice
- Centre Social L'arlequin - Loire
- Fichier(s) associé(s)
- Statut de l'action
- En cours
- Dimension
- Accompagnement de projets
- Mots clés associés à l'action
-
- intergénérationnel
- Démocratie & citoyenneté
- vacances / loisirs
- Résumé
Les différentes étapes de l’action
Bénéficiaires de l’action (nombre / tranche d’âge / genre) :
6 familles, 4 personnes isolées et 10 adolescents soit 30 personnes.
Objectifs opérationnels du projet :
- Favoriser le vivre ensemble sur un projet intergénérationnel de séjour.
- Permettre une dynamique de groupe et, révéler les compétences de chacun aux bénéfices du collectif.
- Créer une démarche pédagogique innovante pour fédérer un collectif tout en renforçant des actions sur le territoire
Début de mise en œuvre prévu : novembre 2016 Durée prévue : env. 12 mois
Le projet consiste à accompagner un collectif intergénérationnel qui a sollicité le centre social pour l’aider dans la mise en place de son projet de voyage.
- Genèse du projet défini par les familles et les jeunes au Centre Social l’Arlequin lors d’une rencontre.
- Accompagnement du Centre Social l’Arlequin auprès des familles et des jeunes : Conduites de réunions, apport techniques, logistiques et administratives. Lieu ressources de travail et de rencontres
- Ecriture collective du projet / Création de commissions et d’autofinancement.
- Mise en place de projets d’autofinancements tout le long du projet.
- Séjour intergénérationnel au Maroc prévu à la Toussaint 2017
- Soirée débat déballage et retours du projet global et des suites à venir.
- Qui est à l'initiative de l'action ?
-
- Un groupe d'habitants
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description de l'expérience, ses objectifs, ses acteurs et ses différentes phases.
A travers ce projet nous travaillons à trois enjeux : >> en vue d'obtenir les résultats suivants :
- l'accès aux loisirs pour tous >> permettre un réel accès à des loisirs de qualité (étranger / hôtel / cadre vraiment dépaysant avec un programme d'animations)
- les relations jeunes / adultes et la distension du lien social entre ces groupes sociaux >> réduire les "tensions" qui peuvent parfois exister entre jeunes et adultes par une meilleure écoute et connaissance récirpoques. Nous créons des espaces d'échange, de dialogue et de débat qui n'existent pas en dehors de ce projet.
- Initier les familles et les jeunes à la prise en charge de leur projets de loisirs en leur donnant les clefs techniques et le cadre démocratique >> initier et encourager les habitants à l'usage du débat, du vote et du respect de la loi à travers un processus d'accompagnement formateur et valorisateur pour tous.
- Public
- familles
- Avec qui cette action a-t-elle été menée ?
-
Partenaires d'action:
- Etat
- Territoire concerné
- Plusieurs quartiers
- Description générale
voir description action
- Ressources financières mobilisées pour cette action
Budget prévisionnel de l’action
CHARGES
MONTANT
PRODUITS
MONTANT
60 - Achat
2 802
Politique de la Ville
Droit commun
Prestations de services
2 640
70 - Vente de produits finis, prestations de services, marchandises
13 250
Achats matières et de fournitures
Participation des familles /jeunes
8 450
Autres fournitures
162
Autofinancement
4 800
74- Subventions d’exploitation (2)
9 500
61 - Services extérieurs
18 975
État : (précisez le(s) ministère(s) sollicité(s)
Locations (transport)
11 800
- DDCS
Entretien et réparation
Établissements publics d’État (préciser) :
1 000
Assurance
- CGET
2 500
Documentation
- Agence de services et de paiement
hébergement
6 175
Région(s) :
1 500
Alimentation jeunes
1 000
Département(s) :
62 - Autres services extérieurs
2 500
Intercommunalité (EPCI) :
Rémunérations intermédiaires et honoraires
2500
-
Publicité, publication
Commune(s) :VSE
2 500
Déplacements, missions
Services bancaires, autres
Organismes sociaux (à détailler) :
- CAF
2 000
63 - Impôts et taxes
Fonds européens :
Impôts et taxes sur rémunération,
-
Autres impôts et taxes
Aides privées
-
64- Charges de personnel
75 - Autres produits de gestion courante
Rémunération des personnels,
Dont cotisations, dons manuels ou legs
Charges sociales
76 - Produits financiers
Autres charges de personnel
77 - Produits exceptionnels
65- Autres charges de gestion courante
78 – Ressources non utilisées d’exercices antérieurs
66- Charges financières
Participation centre social
1527
67- Charges exceptionnelles
68- Dotation aux amortissements
CHARGES INDIRECTES
Charges fixes de fonctionnement
Frais financiers
Autres
TOTAL GENERAL DES 2 PRODUITS
9 500
14777
TOTAL GENERAL DES CHARGES
24 277
TOTAL GENERAL DES PRODUITS
24 277
- Nombre de personnes mobilisés pour cette action
2 responsbales de secteur et le directeur
30 habitants / une dizaine de jeunes de 14 à 17 ans
- Résultat sur le territoire
Nous avons constaté des effets à priori innatendus sur le territoire grâce aux nombreuses actions d'autofonancement qui ont contribué à animer la vie locale ( soirée orientale / réveillon / vente de gâteaux sur le marché / loto etc.)
- Résultat pour le centre social
Cela a permis de rendre plus "visible" l'action du centre social auprès des habitants et de générer du dialogue (tiens ils sont encore là ? mais que font ils ? Ca a l'air sympa ? etc ... ) Nous sommes également très contents qu'une mamn ait par la suite décidé de rejoindre le conseil d'administration du Centre social grâce à ce projet.
- Résultat pour les habitants
Nous avons des retours divers des habitants mais généralement positifs sur le fait d'associer les peronnes et de les encourager à développer à travers ce projet de multiples compétences. Nous avons également eu quelques réactions de frustration des personnes qui n'ont pas pu intégrer le projet à temps alors qu'ils l'auraient fait s'ils l'avaient su.
- Suite de l'action : Limites
Le caractère énergivigore et chronophage nous freine d'autant plus qu'il devient de plus en plus difficile de trouver des financements à ce type de projet particulièrement "atypique".
- Suite de l'action : Perspectives
Un nouveau projet se dessine d'ores et déja entre ceux qui souhaitent renouveler l'aventure, ceux qui veulent la découvrir ... Peut être Paris ...