Interventions auprès des enfants du voyage, sur les aires d'accueil, avec un enseignant de la mission Enfants du voyage de la DSDEN, autour du livre, avec le centre social mobile.

Il s'agit de faire venir la bibliothèque sur les aires d’accueil : séance de choix de livres pour le prêt (15 jours) et une séance de lecture, chaque mercredi.

Améliorer l’accès aux droits

 Améliorer l’accès à l’éducation pour la santé et à la prévention

Améliorer l’accès aux soins

 Améliorer l’accès  aux accompagnements médico-sociaux

Une Maison de services au public est un lieu d’accueil et d’orientation, d’aide aux usagers dans leurs relations avec les administrations et les organismes publics. Elles délivrent un premier niveau d’information et d’accompagnement de plusieurs natures :

Accueil, information et orientation: documentation, orientation vers le bon interlocuteur, information sur les droits et prestations .

Aide à l’utilisation des services en ligne : télé déclaration, inscription et mise à jour de son espace personnel, aide à la recherche d’emploi, candidature en ligne…

Aide aux démarches administratives : compréhension des courriers administratifs, constitution de dossiers, …

Mise en relation avec les partenaires : prise de rendez-vous, permanences partenaires dans les locaux de la Maison de services au public, entretien à distance …

Les agents de la MSAP sont astreints aux règles du secret professionnel.

Mise en place d'une Maison de Service Au Public au sein du centre socioculturel afin de développer l'accès au droit des habitants avec le développement de permanences de partenaires (CAF, CPAM, Mission Locale, CAP Emploi, conciliateur de justice, Stemo, MDS: assistante sociale et puériculturice, et autres partenaires); accompagnement des habitants dans les démarches administratives dématérialisées (cartes grises, permis de conduire etc...) mise en place d'initiation au numérique pour lutter contre la fracture numérique.

Nos différences : c'est notre point commun ?, c'est :

• 1854 passages de jeunes et moins jeunes,
• 4 spectacles, 6 conférences, 3 ateliers, 7 films organisés en Cœur de Savoie

• Une Journée « Différences » à St Pierre d’Albigny : 244 passages dans la journée + 200 repas le soir, cuisinés et servis par les participants et les bénévoles des ateliers « langages » et les membres des commissions de l’ACA de la Combe de Savoie + 8 stands d’information, 3 expositions, 1 atelier d’écriture, 2 grands jeux, 1 table ronde, 2 ateliers animés.
• Création d’une bande dessinée, de 2 poèmes,  de 5 films et  2 chansons dont une avec un clip, par des jeunes âgés de 12 à 17 ans et accompagnés par les équipes d’animation « jeunesse » de la CCC de Savoie et de l’ACA de la Combe de Savoie.
• Création d’un film par les jeunes du Centre Scolaire et Educatif « La Plantaz ».

Mais aussi :

• Entre février et mars 2013 : 250 jeunes du Collège « Les Frontailles » à St Pierre d’Albigny, 125 jeunes du Collège « Val Gelon » à La Rochette, 140 jeunes de l’école N°1 de Pitesti (Roumanie) consultés sur leur représentation de « La différence ».
• 2 voyages d’études en Argès (Roumanie) du 19 au 23 mai 2014 et en Savoie (France) du 17 au 22 novembre 2014, organisés par la CCCdeS et l’ACACS avec l’appui de Pays de Savoie Solidaire ; la participation de la Sauvegarde de l’Enfance et de l’Adolescence de Savoie, du Centre Scolaire et Educatif de « La Plantaz », du Service Enfance/Jeunesse/Famille du Conseil Départemental, de l’Association Nationale de Prévention en Alcoologie et Addictologie de Savoie et l’éclairage de Daniel Marcelli (Professeur de Psychiatrie de l’Enfant et de l’Adolescent), d’Abdessalem Yahaoui (Enseignant Chercheur à l’Université de Savoie en Psychologie Clinique Interculturelle) et Maria Constantinescu (Directrice du Département Assistance Sociale de l’Université de Pitesti)
• A Pitesti, des jeunes de l’Ecole N°1 et de l’association Argès Solidaire ont réalisé :1 pièce de théâtre, 1 exposition de photos et de dessins, 2 films d’animation et 4 courts-métrages
• Des ateliers «  théâtre d’impro » pour 25 jeunes et 1 spectacle pour les classes de 5ème et une séance en famille au Collège « Val Gelon » accompagné par l’équipe d’animation de la CC de Cœur de Savoie.

Un film réalisé par les étudiants de licence pro "Métiers de l'audiovisuel" du Bourget du Lac permet de présenter rapidement les actions de sensibilisation du mois de novembre 2014.

Mise en place d'une bourse pour des jeunes du quartier en échange de 50 heures de travail sur des actions d'animation globale du territoire. Les jeunes mettent également en place leur propre action. En 2014, une battle de danse inter quartier a été organisée par leurs soins. 4 heures de service à la personne sont également effectuées en maison de retraite sur le 19ème. Depuis, nous avons rajouté une deuxième partie au projet initial puis une troisième. A ce jour, nous inscrivons également des jeunes aux BAFA en échange d'heures d'animation sur l'ALSH du centre. Nous faisons aussi passer le PSC1 aux jeunes le souhaitant. Enfin d'autres jeunes nous aident sur l'aspect manutention de la fête de quartier en échange d'une bourse collective pour une aide au départ en séjour.

Les Opérations Pieds d'Immeubles (OPI) permettent d'aller à la rencontre des habitants, en dehors des espaces institutionnels classiques, par l'intermédiaire d'actions d'animation culturelles, sportives... Ces temps sont programmés entre le mois de mai et le mois de septembre, en fin de journée ou en soirée (en fonction des périodes).

Les Opérations Pieds d'Immeubles permettent un échange régulier avec les habitants, dans leurs lieux de vie. Elles sont un outil de diagnostic social pour le centre social et ses partenaires.

Suite à un diagnostic jeunesse partagé l'équipe d'animation de l'espace jeunesse de notre "MJC / Centre Socioculturel" a investi le foyer socioéducatif du collège ; en partenariat avec les équipes de l'éducation nationale, ils proposent un accueil des collégiens qui ont eux-mêmes rebaptisés cet espace "Oz'Ados".

Ainsi, durant le temps méridien (12 / 15h00), les collégiens peuvent pratiquer une activité sportive ludique, se regrouper pour des jeux de société, une partie de baby-foot, une discussion, .... ceci se déroule sous la responsabilité pleine et entière du principal du collège.

A partir de 15h00 et jusque 17h00, les jeunes, libérés de cours, peuvent retrouver nos animateurs pour un moment de détente, faire leur devoir, discuter de projets qui leur tiennent à coeur, consulter les infos du PIJ ; ce moment privilégié d'accueil et d'accompagnement est agréé par la DDCS et considéré par la CAF comme un accueil loisirs ; les jeunes sont alors sous la responsabilité de notre association.

Des jeunes du territoire sollicitent parfois le centre social du Pays de Guer pour effectuer leur stage pratique BAFA. Le centre social en période de vacances scoalires a besoin d'animateurs fomés et connaissant la structure. Les jeunes animateurs pouvant intervenir en ALSH se faisant rares sur ce territoire rural.

Positionner les adolescents du territoire comme acteurs au sein du centre social (ALSH). Confier de nouveaux rôles et places aux jeunes au sein de l’ALSH et comme citoyens.

Afin de souscrire aux demandes des jeunes et de répondre aux attentes de la structure des contrats parcours de volontariat ont été rédigés et signés pour formaliser l'engagement entre jeunes/parents/centre social/partenaires :

• Lever les freins sociaux à l’accès à un parcours pour certains jeunes
  • Lever les freins symboliques et financiers des famillles
  • Une partie de la formation (théorique) et une partie de la levée de ces freins donc peut être portée (savoir-faire) par l’Institution : DDCS et organismee de formation
  • Une partie de la formation (pratique) et une partie de la levée de ces freins donc peut être portée (savoir-être) par la structure d’accueil (environnement local) : Centre Social de Guer,
• Formaliser les parcours de formation des jeunes accueillis : BAFA, intégration au sein d'une équipe professionnelle, relations aux parents
• Donner à voir ce qui est fait en termes d’accompagnement : communication jeunes, familles, partenaires

Permanence d’entretiens individuels le mercredi de 14h à 17h30, sans RDV et sur RDV le vendredi matin de 10h à 12h. La famille vient chercher des informations sur une problématique familiale. Après l'accueil, la référente famille fait le diagnostic puis elle oriente la famille ou contacte la structure adaptée. Des animations collectives familles sont programmées un jeudi par mois de 14h à 16h pour informer, sensibiliser les familles sur des thèmes comme la santé, l’éducation, la scolarité de leurs enfants. Une fois par an, une semaine de la famille est programmée, elle met en mouvement les acteurs et partenaires travaillant sur cette thématique .Une mise en place de permanence à partir du mois de mars, afin d'aider les familles  monoparentales en particulier, à préparer leur départ en vacances. Les familles qui restent sur le quartier profitent des sorties de loisirs, de détente, culturelles proposées par le CSC Europe pendant l’été. Durant l'année 7 sorties ont  été programmées. Au mois d'octobre nous avons mis en place un LAEP (Lieu Accueil Parents Enfants), c'est un lieu aménagé, anonyme, neutre, confidentiel, libre pour accueillir parents /enfants 1 lundi  par semaine avec des ateliers de socialisation pour les enfants de moins de 3 ans, sont prioritaires les enfants issus d’une famille monoparentale. Un groupe de paroles se réunit une 1 fois par mois en journée, une autre fois trimestrielle en soirée afin de permettre aux parents qui travaillent de participer. Ces rencontres permettent d' échanger entre parents et professionnels sur des thématiques choisies en amont par les parents eux-mêmes . 

A l'initiative des adolescents qui souhaitaient un weekend "FUTUROSCOPE", création du PASS'ADOS. Sorte de passeport citoyen, le projet PASS'ADOS consiste à réaliser des actions "citoyennes" organisées par le centre social ou ses partenaires (participation à la collecte alimentaire, organsiatin d'un repas intergénérationnel, rangement du local aide alimentaire, nettoyage de véhicules...)

Trois actions minimum devaient être réalisées (sur les 12 proposées) pour participer au séjour, les actions supplémentaires réalisées par les jeunes leur permettaient d'obtenir 10€ de réduction sur le séjour (dans la limite de 40€ de réduction).

20 jeunes ont participer au projet et donc au weekend. Ces 20 jeunes ont réallisé chacun en moyenne 8 actions, soit plus que nécessaire.

Un lien avec le Groupement d'employeur pour l'insertion qualifiante (GEIQ Batiscaf).

Nous avons une présence qui se porte dans une proximité avec les jeunes  du quartier par le biai notament d'une salle de remise en forme.  Nous pouvons ainsi relayer l'infos pour cerner des jeunes qui peuvent découvrir et être testés dans un circuit qui leur permet de rencontrer les métiers liés aux batiments. En effet,  notre proximité nous permet d'évaluer le jeune dans son quotidien pr l'orienter...à maturité. ce travail se construit, avec le cordinateur du GEIQ qui est aussi en lien avec la MLJ.

L’action est structurée autour de deux axes :

• La création et la mise en œuvre de la plateforme d’apprentissage de la langue française :

Cette plateforme sera l’interlocuteur unique pour l’orientation des habitants des quartiers prioritaires vers les actions d’apprentissage de la langue française du Contrat de Ville.

Une prise en charge individuelle sera proposée à chaque apprenant :

-          Après un entretien personnalisé de positionnement, la référente famille (en partenariat avec la Passerelle pour les habitants du territoire 1) et l'intervenante spécialisée oriente la personne vers les ateliers où les actions qui sont les plus en adéquation avec son niveau de maîtrise de la langue et de son projet personnel.

-          Pour les personnes possédant une maitrise de base de la langue et dont le projet personnel est la recherche d’un emploi, une orientation sera faite vers l’action de l’ADREP.

-          Le droit commun sera mobilisé prioritairement pour l’orientation des apprenants vers les dispositifs existants.

Afin de favoriser la coordination avec les prescripteurs et les dispositifs existants, le groupe de travail sur les actions d’apprentissage de la langue française sera maintenu. Il sera l’instance de pilotage et de suivi de la plateforme.

Une évaluation de la progression des bénéficiaires permettra d’assurer le suivi des parcours et la remontée d’informations vers les participants du groupe de travail (retour suite à une prescription, éléments de bilan, etc…).

La mise en place d’ateliers sociolinguistiques ou FLE sur les territoires QPV  1 et 2:

La Bastide animera des ateliers sociolinguistiques et/ou FLE sur les quartiers prioritaires 1 et 2 (maintien des actions existantes sur le territoire 2 et développement d’actions similaires sur le territoire 1). Ces ateliers permettront aux participants:

-        D’acquérir les savoirs de base ou de mieux maitriser la langue française ;

-        De s’approprier l’environnement cavaillonnais ;

-        De favoriser l’insertion sociale par l’autonomie et la mobilité ;

-        De respecter un cadre d’apprentissage.

Assiduité et participation à d’autres actions confortant l’apprentissage de la langue française : L’apprenant devra s’engager à participer régulièrement aux ateliers (règlement intérieur, feuille d’émargement). Un lien fort avec les actions portées par les centres sociaux favorisera une démarche globale vers l’autonomie et l’insertion sociale.

Depart le regroupement des  3 associations (ENSC, AAISC, CSC) ,, une offre d'activité autour du numérique et de la mobilité a vu le jour reprenant des activités existantes (animations collectives et séances de formations autour du numérique) mais surtout développer des axes nouveaux (cyber café, promeneur du net, antenne de mobilité, fablab...). Basé sur une réponse  à la demande/besoin social du territoire, cet espace est amené à évoluer suivant les avancées du territoire. Le centre sicoculturel a une part importante dans ce collectif du fait de la mise à disposition d'un animateur permanent au sein de l'organisation. Il développe en m^me temps l'ensemble de la communication du pole numérique et mobilité  et celle du CSC avec l'aide d'un service civique. Le projet est mis en place dans le cadre d'un développement territorial et cohérent sur le sud et ouest charente  (voir l'association Mobilité Ouest et sud Charente MOSC). Les deux centres sociaux du pays de chalais et du Barbezilien  développent cet axe autour de la mobilité et du numérique ensemble

Depuis janvier 2019, l’atelier « Prendre soin de soi » a été proposé aux familles. Il s’agit d’un atelier mensuel, d’une durée d’une heure trente. Cet atelier était au départ ouvert à tous mais s’est rapidement imposé comme un espace de « paroles libérées » pour les femmes. La praticienne en santé humaniste n’impose rien, tout est invitation. Les femmes sont libres de s’exprimer ou non sur le sujet proposé.

Les objectifs : Créer un espace temps régulier de rencontre, d’écoute et d’échanges autour de soi, du vécu du quotidien. Réunir, prendre soin de soi, exprimer, parler de soi, déposer ce qui est à dire, approfondir la reconnaissance de soi en explorant des outils questionnant l’estime et la confiance en soi…

* mise en oeuvre un diagnostic partagé et participatif; * interrogation de la place tutélaire des adultes; * construction d'un programme d'actions pour améliorer les relations sociales entre la diversité des acteurs; * Initiation et/ou renforcement d'une démarche de coéducation au sein de l'école élémentaire pour fabriquer de la cohérence éducative dans les réponses proposées par la diversité des acteurs présents; * travail sur la continuité éducative entre les différentes institutions d'accueil des éléves et des enfants sur le territoire;

3 phases: Phases 1: entretiens collectifs pour diagnostiquer les problématiques d'incivilité et de violence; Phase 2: Une conférence participative "contextualisée" et une assemblée éducative pour sélectionner les enjeux éducatifs prioritaires; Phase 3: deux assemblées éducatives pour co-construire un protocole d'action;

         La Maison Montesquieu, agrée centre social, est ouverte à tous les habitants d’Agen sans distinction d’âge ou de revenu. Dans le cadre de son activité, elle incite les habitants à mettre en place les projets qui leur tiennent à cœur, et les accompagne dans leurs démarches.

Suite à la fête du Pin organisée en septembre 2018, un groupe d’habitants, bénévoles à la Maison Montesquieu : Annie, Marie et Patrice, ont souhaité mettre en place un projet photo pour mettre en valeur le quartier prioritaire du Pin et donne rune image positive du quartier.

Projet de lien social par le biais de la culture et de l'art entre un groupe d'habitants du centre social et un groupe d'apprenant le français primo-arrivants. 

Partenariat entre les PEP 03 - Centre Social - DDCSPP

suite à l'annonce d'un  projet de rénovation du quartier, un groupe d'habitants s'est révolté contre la démolition programmée de leurs logements. ils se sont adressés au centre en recherche d'écoute et de soutien. la réalisation de panneaux photos témoignant de leurs vies et des solidatités vécues a rendue évidente la nécessité de garder une trace de l'histoire de ce quartier.

après une collecte de deux années, le projet est entré dans la phase de restitution avec l'écriture de 3 feuillets thématisés.

Le Point Information Jeunesse fait partie intégrante du centre socioculturel Emile Romanet, lieu de vie locale des habitants qui propose des services et des animations de proximité pour tous. Les informateurs du PIJ sont amenés à travailler sur le public jeunesse principalement mais aussi auprès des adultes de manière transversale avec d’autres services (parentalité, établissements scolaires…).

Le PIJ mène régulièrement des actions autour du numérique pour le public collégien mais aussi les jeunes adultes à travers des thèmes variés : vérification de l’information, usage des administrations en ligne, questions légales, approche des réseaux sociaux, etc… Nous préparons nos actions en partenariat avec d’autres BIJ/PIJ, la mission locale de notre secteur, avec qui nous partageons nos expériences.

Une présence sur les réseaux sociaux permet d'aller plus loin dans l'accompagnement. Ainsi le Promeneur écoute, informe, accompagne, conseille et prévient. Et pour mieux accomplir sa mission, il entre en contact et crée des liens avec les jeunes sur les réseaux sociaux.

Cette action s'est inscrite dans le temps (de janvier à juillet 2014), avec des ateliers, un travail de recherche, de réalisations,.. et un temps fort du 20 juin au 5 juillet 2014.

Une action autour de 5 axes transversaux:

• "Z'est de talents" : les talents de quartier autour des ateliers, des temps d'initiation, et d'une exposition... par et pour les habitants du quartier (enfants et adultes), dans différents lieux du quartier, pour permettre de valoriser et découvrir des techniques de travail artistiques, culturelles, sportives... de partager connaissances, expériences et passions entre les habitants et les artistes amateurs et/ou professionnels du quartier.

• La réalisation d'une oeuvre collective durable ou éphémère "pour et sur le quartier" à partir des talents du quartier, pour valoriser le quartier, décloisonner, fédérer les groupes, les talents, les ateliers, les matériaux autour d'un projet commun.: Une Batucada. Originaire du Brésil, la Batucada est une manifestation festive, musicale, dansante et coopérative. Orchestré par un maestre professionnel, un groupe d’habitants créera sa propre compagnie en amont du festival. Lors de l’ouverture du festival,  le groupe a présenté sa création. Ils organiseront ainsi plusieurs stages pendant le festival, en vue d’une représentation le samedi 5 Juillet, lors de « Quartier en fête ».

• "Une ballade "gourmande et insolite", animées par des talents... pour découvrir et décloisonner les secteurs du quartier, favoriser la rencontre, les échanges et les liens entre les habitants. Animée par des talents... ponctuée par des animations, des ateliers, des expositions, des représentations (Théâtre, musique…) et des pauses gourmandes. Un circuit entre deux secteurs du quartier, en lien avec les avancées des travaux d’aménagement du quartier.

• Un travail sur l'histoire du quartier et de ses habitants: une évolution, une transformation, des nouveaux habitants  (un travail de recherche, d'échanges avec les habitants, les archives municipales, la FAC d'histoire, une exposition, des temps d'échanges avec des témoignages vivants...).  Nous arrivons à la fin de l'ANRU sur le quartier... mais au fait, c'était comment avant les HLM ?: « La vie au Plateau avant les HLM ». Les objectifs sont de : créer du lien, faire parler et se rencontrer les habitants, participer à l'élaboration d'une identité du quartier, transmettre : offrir des perspectives historiques pour les générations. Depuis janvier 2014, un travail de recherche documentaire, entretiens avec des personnes ressources, des photos, des échanges avec les habitants, les archives municipales... qui s'appuie également sur un travail du groupe du quartier « A Tire d'Aile » : « Mémoires de Vie » . Une restitution avec une mise en scène et des représentations :dans les écoles; au foyer logement Le Prévallon (début juin);au centre social.

• Un temps fort festif, familial et populaire, le 5 juillet 2014: au coeur du quartier pour clôturer l'événement et valorisant tout le travail réalisé en amont.: des animations pour tous les âges (de 0 à 99 ans): des jeux coopératifs, des structures gonflables, maquillage, ateliers par les associations et structures du quartier... ;Des ateliers de démonstrations, d'initiations par les talents du quartier; un espace d'expression (ex : un mur, une toile...) pour :graff, écriture...; Une scène ouverte pour les groupes de musique, danse, slam....;  Une soirée avec repas partagé autour des cultures du Monde et musique (interventions de groupes musicaux du quartier, et un DJ).

Depuis Juin 2018, nous avons mis en place un projet expérimental avec le Département de la Seine Maritime pour accompagner les jeunes 16-25 en rupture socio professionnelle ou familiale dans leurs démarches d'insertion.

Une grande partie des jeunes adultes de l’Ancrage fréquentent notre structure depuis plusieurs années. Ils sont informé des différents dispositifs de financement des projets jeunes.

Le projet se présente sous forme d'un jeu de parcours d'environ 10 kms dans la ville du Tréport et la ville d’Eu avec plusieurs étapes.

Des équipes de 3 jeunes minimum seront réparties sur des parcours de couleur. Chaque parcours comporte les mêmes étapes dans un ordre différent pour fluidifier le jeu. A chaque étape un intervenant sera présent pour donner des informations et poser une question afin de passer à l'étape suivante, pour allier sport et connaissances des missions et des aides proposées par les différentes institutions.

Pour promouvoir la participation des habitants et l'empowerment nous avons initié des rencontres citoyennes sur chaque commune de notre territoire d'intervention visant à :

• identifier les besoins sociaux des habitants
• organiser un accompagnement à une réponse à ses besoins par les habitants eux même 

Le réseau Pôle Sud Musique est né en 2004 du rapprochement des divers acteurs rémois développant une réelle politique culturelle liée aux Musiques Actuelles Amateurs (Maison de quartier et association amateur de programmation musicale)  désirant  établir des passerelles entre leurs différents projets culturels dans le contexte de l’ouverture de la cartonnerie et en lien avec le projet de cette nouvelle scène culturelle.

Déclaré « Pôle de compétences Musiques Actuelles » de l’Association des Maisons de Quartier de Reims, Pôle Sud Musique est donc un outil de développement des activités musique actuelles au sein des maisons de quartier. Son action ancrée dans une démarche d’éducation populaire promeut l’épanouissement individuel au sein du collectif et les liens entre amateurs et professionnels le tout par la transmission de savoir et de compétence. Le réseau vise au développement et au renouvellement d’une véritable scène musicale rémoise en complémentarité avec la cartonnerie ; il vise aussi à soutenir les activités proposées par chacun de ses membres, à travers une coordination globale et par des actions transversales organisé directement par le réseau, à l’échelle de la ville.