Petite Enfance

Le Multi Accueil l’Escargotine :

- Répondre aux questionnements des parents dès qu’ils en font part à l’équipe.

-Organiser 1x/trimestre une conférence en lien avec les besoins exprimés par les parents du Multi-accueil, du LAEP et du café des parents « La Parent’aise » (fièvre, alimentation, maladies ORL, poussées dentaires, les limites…)

- Renforcer la confiance et s’inscrire dans une démarche de coéducation

par le biais de rencontres entre parents et professionnels à l’occasion de la réunion de rentrée et des comités parents 1x/trimestre.

- Proposer des activités ouvertes aux parents afin de soutenir le lien parent-enfant (cuisine 2x/mois, activités diverses de bricolage/peinture/… Chaque jour de la semaine du « Printemps de la Petite Enfance » au mois de mars, ateliers musicaux chaque jour de la Semaine de la « Fête de la Musique » au mois de juin)

- Inviter les parents à partager un moment festif (spectacles, goûters) avec leurs enfants selon les événements du Calendrier (Noël, Carnaval, Pâques, Fin de l’année)

- Rassurer et accompagner l’enfant et ses parents dans la transition entre le Multi-accueil et l’école/le périscolaire « Gribouilles » par l’instauration de passerelles (2 demies journées en juillet).

- Inviter les parents accompagnés de leurs enfants à partager des moments communs avec les professionnels lors de sorties (Sortie au zoo en juillet).

Le Lieu d’accueil Enfants Parents Famil’Lys:

- De par sa nature même, le Lieu d’Accueil Enfants Parents offre aux parents la possibilité de se rencontrer dans un cadre donné tout en étant soutenus et accueillis par des professionnelles.

- Proposer aux parents fréquentant le LAEP ou le Multi Accueil la possibilité de partager des moments privilégiés avec leurs nouveaux-nés par le biais de séances d’initiation au massage dispensées par une professionnelle intervenante extérieure à raison d’un cycle de 5 séances par trimestre.

- Proposer aux parents fréquentant le LAEP ou le Multi Accueil de découvrir les différents moyens de portages physiologiques 1x/ trimestre et ainsi leur permettre d’acquérir de nouvelles connaissances visant à renforcer le lien avec leur enfant.

- Proposer 1x/trimestre aux familles des ateliers spécifiques ouverts à tous tournés vers la création et l’utilisation de jeux Montessori.

Secteur famille

Café des Parents , « La Parent ’aise » : Une rencontre par mois pour continuer à faire émerger des thématiques liées à l’éducation des enfants et adolescents - ces rencontres permettront d’être en veille et de recenser des problématiques plus prégnantes - pour y répondre, possibilité de mise en place de rencontres-échanges avec l’intervention de spécialistes PARTENAIRES externes ( psychologue,..) ou internes (Éducatrice de Jeunes Enfants du LAEP, Infirmière de Multi-accueil,…)

Secteur enfance

Le Contrat Local d’Accompagnement à la Scolarité (CLAS)

Initialement le CLAS vise à offrir, aux côtés de l’école, un appui et des ressources dont l’enfant a besoin pour sa réussite scolaire, en lui proposant des activités culturelles et ludiques en complément d’une aide aux devoirs ; de plus, dans la pratique, les professionnels présents écoutent et soutiennent également les parents dans leur rôle et les orientent si besoin est, vers d’autres acteurs du CSC.

A. Une réponse individuelle et bienveillante:

La vigilance particulière du Centre Social à la qualité de l'accueil permet une première étape indispensable pour identifier les besoins spécifiques de chaque personne et y apporter une réponse adaptée de premier niveau.

1. Un accueil de premier niveau

Le Centre Social est un lieu ouvert assurant un accueil individuel et bienveillant pour permettre au plus grand nombre de pouvoir réaliser des démarches administratives en étant accompagnés. Créer un tel lieu d'accueil permet aux personnes de trouver une écoute et une ouverture qui peut être une première entrée pour certains publics vers une démarche accompagnée pour l'accès aux droits.

La présence de jeunes volontaires en mission de service civique missionnés par la CAF 54 permet de recevoir les personnes et de leur apporter une réponse immédiate une aide concrète dans la réalisation de démarches en ligne. Un accompagnement à l'utilisation de la borne Caf est également proposé pour les personnes qui le souhaitent (plus de 100 personnes passent chaque mois pour imprimer une attestation)

Des permanences hors des murs de notre structure sont également assurées avec d’autres volontaires  services civiques du territoire pour aller vers les publics qui ne viennent pas au Centre Social:

• expliquer un courrier
• donner des informations sur les différentes prestations
• aider les personnes à remplir des formulaires (demande de logement social, demande de CMUC…).

Démarche :

• Pédagogie rendant la personne actrice (faire avec et non pas faire à la place) .
• Ecoute et décryptage du besoin.
• Explication simple et claire avec un vocabulaire accessible à tous.
• Vérification de la bonne compréhension par la personne des explications données ou des démarches réalisées ou à réaliser.

2)  A la suite de ce premier accueil individualisé, orientation possible vers :

- Un accès accompagné sur les outils informatiques du centre social (télé-déclarations, création ou accès à sa messagerie, inscription à pôle emploi, recherche internet.)

- Un accompagnement approfondi en cas de difficultés d’accès aux droits par le travailleur social référent de l’action, qui aura une vigilance particulière sur les situations complexes et la recherche de solutions.

- Une réorientation et une mise en lien avec les partenaires adéquats en fonction de la problématique identifiée.

B.  Des actions collectives pour impulser un parcours et acquérir une plus grande autonomie :

Une meilleure connaissance de ses droits:

• Mise en place de temps d'informations réguliers sur des démarches de droits plus élargies en réactivité à l'actualité, intervention de partenaires extérieurs, en lien avec les personnes participants à d'autres activités du Centre Social et avec les partenaires territoriaux.
• Création et  diffusion d'outils récapitulatifs simples permettant une compréhension par nos publics des différents types de démarches administratives auxquelles ils pourraient être confrontés.

La facilitation numérique:

• Mise en œuvre de deux modules de formation à l’outil informatique. Le premier s’adresse à des personnes qui n’ont aucune connaissance en informatique, le second à des personnes ayant déjà quelques notions. Les groupes sont constitués en fonction du niveau de compétences nécessaire des personnes présentes et des pré-requis indispensables (langue, écrit, vocabulaire.).

L’objectif de ces ateliers est d’acquérir les principes de base de l’outil informatique et de l’accès à Internet pour pouvoir réaliser des démarches en ligne en autonomie.

Au niveau du contenu, il y a une présentation théorique minime qui aborde l’essentiel de la séance (construit après recueil des besoins des participants) avec des mots simples, une mise en pratique, un outil récapitulatif à emmener chez soi. Les ateliers informatiques sont animés par un volontaire en service civique, la Conseillère en ESF référente et /ou un bénévole pour pouvoir accompagner les personnes de manière plus personnalisée lors de la pratique.

• Pour faciliter la réappropriation des savoirs acquis pendant la formation, les participants ont la possibilité de s’exercer sur les ordinateurs du Centre Social de manière individuelle.

C. Travail de partenariat :

Contribution avec les partenaires territoriaux de l'expérimentation « Accès aux droits du Plateau de Haye », pour continuer à:

• Travailler en collaboration et faciliter la résolution des situations complexes grâce notamment à la nomination de « Référents accès aux droit » dans les différentes institutions.
• Communiquer, mieux informer pour permettre une visibilité des différentes actions proposées sur le territoire afin de faciliter l'accès aux droits du plus grand nombre d’habitants du territoire.
• « Aller vers  » un public qui ne fait pas appel aux institutions :

Sortir de la structure, mobiliser éventuellement d'autres services civiques du territoire ayant des missions similaires, mutualiser ou diversifier nos actions pour permettre d'aller à la rencontre des habitants. Temps de présence hebdomadaire des services civiques à l'extérieur de Centre Social à la mairie de quartier pour aller au-devant d'habitants, compléter et soutenir les accueils existants.

Renforcer les dispositifs d'intégration des familles immigrées et issue de l'immigration notamment sur l'apprentissage linguistique

L'animation des jardins partagés des Hauts de Rouen est un projet de cohésion sociale dont la coordination porté par le centre social Pernet depuis janvier 2018. Véritable outil pédagogique et éducatif, il permet de créer des liens sur le quartier et d'éduquer un public mixte à l'environnement et à la santé. L'enjeu premier du projet "de la terre à l'assiette" consiste à développer une démarche globale autour d'actions écocitoyennes; depuis des activités de jardinage respectueuses de l'environnement, à des temps de sensibilisation à l'alimentation, la création d'outils d'information pour promouvoir la santé au naturel, des ateliers de fabrication de produits d'hygiène à partir de végétaux, des accompagnements familiaux sur des sorties "nature", l'animation d'ateliers "cuisines du monde" pour valoriser les pratiques culturelles, des travaux manuels collaboratifs autour du jardin (création de carrés potagers, de semis, d'une serre,...), puis des portes ouvertes avec des marches contées et musicales autour de ses jardins. Pour y parvenir, le centre social s'appuiera sur les compétences d'un collectif associatif et institutionnel. Le centre Pernet va donc "faire réseau" en s'associant aux partenaires locaux : les usagers des jardins partagés (AREJ, le CPJ de la ville de Rouen, les associations Respire, AMAP des Sapins-Bihorel, Fraternité Banlieue, comité coordination de la Gd Mare, mer et campagne, ...) puis les acteurs institutionnels comme l'IREPS, l'atelier santé ville, la bibliothèque du Châtelet, ...  puis les voisins solidaires du quartier des Sapins, le réseau des AMAP normands, ... Les usagers et les habitants seront au centre des actions proposées et leur implication sera favorisée. Les professionnels participeront, entre autres, à des temps de formations sur "l'hygiène corporelle et l'hygiène de l'habitat", "l'alimentation et la précarité", ... initiés par l'atelier santé ville de Rouen et l'IREPS. 

Afin de coïncider avec les axes de la politique de la ville, le centre social, en tant que structure publique présente sur le QPV a lancé une activité qui faisait le lien avec plusieurs éléments du contexte. Faisant suite à l'action des ateliers citoyens, il a créé "Ma Petite Proxi'Clerie" qui est une activité annexe au projet famille et qui permet d'intégrer des adultes du quartier sur des actions en lien avec l'éco-citoyenneté et la mobilisation autour du développement social local.
Ce projet a démontrer tout l'intérêt pour le territoire. Les chiffres remarquables de l'expérience menée sur 4 mois l'atteste. Au delà de l'initiative citoyenne, le centre social peut désormais utiliser les "productions" de cet outil pour agrémenter l'espace réservé au familles au sein de la Maison de Quartier. Pour ce faire,une série d'intervention pour la sensibilisation aux gestes éco-citoyens est programmée : consommation "zéro déchets", revalorisation de mobilier, préparation de produits d'entretien éco-responsables, sensibilisation au tri sélectif, etc. Il s'agira de faire vivre le lieu en proposant des animations au sein de l'accueil famille en consultations avec les bénévoles de la Proxi'Clerie. En effet ce sont désormais des acteurs reconnus sur le quartier, capables de mettre en place des activités qu'ils "conduisent".
Le produit des ateliers de valorisation des objets sera particulièrement mis en avant dans le centre social car il leur sera proposer de contruire également du mobilier d'accueil pour le tout public qui facilitera l'appropriation de la structure par les habitants.
Ma Petite Proxi'Clerie est un lieu important pour le quartier. Les habitants l'indiquaient déjà dans le diagnostic du projet social en 2016. Ils se le sont approprié et ils comptent sur le centre social pour soutenir son développement. A l'image du café solidaire, ils aiment désormais se retrouver dans un lieu qu'ils animent et inviter d'autre habitants à découvrir l'expérience.
Nous souhaitons que la CAF nous soutiennent pour permettre l'intervention de spécialistes des questions de revalorisation et de sensibilisation à l'environnement et gestes éco-citoyens. Deux structures ont répondu présentes : Du Côté de Chaise One et une membre du collectif Zero déchet. Nous pourrons ainsi communiquer via des productions tangibles dont les participants se feront les meilleurs porte-paroles.

La création d'une association junior a permis de changer le mode d'intervention auprès des jeunes du quartier. Une action hors les murs rend le projet social plus visible pour les habitants puisqu'elle se déroule dans un parc aménagé. Grâce aux jeunes de la JFA (Jeunes Fécampois en Action), des animations ayant pour thématiques le bien-être, la santé, la médiation entre les offres sportives, culturelles et citoyennes seront programmés pendant les beaux jours de 2018. Il s'agit d'une passerelle lancé par les jeunes pour coordonner les relations entre les clubs et autre offres en direction de la jeunesse et inciter cette dernière à faire sortir ses publics lors de manifestations en extérieur. En bénéficiant du soutien de la CAF dans le cadre d'Innov'Action 2017, la JFA a pu aménager le parc et souhaite désormais faire vivre le lieu.
La programmation sur l'année prévoit trois événements sportifs dans le parc encadrés par des  professionnels du sport diplômés d'état pour de la pratique du fitness, TRX, remise en forme et gym douce. Deux associations répondent aux besoins : Training TRX Outdoor et le Sport en milieu Rural. En lien avec le conseil citoyen, le centre social organisera tout au long de l'année des temps conviviaux en extérieur afin d'optimiser la communication aussi bien dans les murs que hors les murs.

L'Espace Ressources Jeunesse est un lieu ouvert chaque jour sous forme de "mode"

Les modes sont construits avce les jeunes et mis en place avec un fort partenariat.

Les modes possibles sont : La mobilité, les loisirs, le handicap, la culture, la scolarité, les études supérieures, Les filles (pour la problématique liée au genre), les nouvelles technologies, la prévention des risques (sur-poids, consommations diverses, informatique, contraception), le logement, ect.

Chaque ouverture s'effectue selon un mode précis et avec des partenaires, les autres jours l'accueil se fait en mode "libre" et permet la mise en place de nouveau modes selon les demandes des jeunes.

Les parents se réunissent 1 à 2 fois par semaine pour discuter, échanger sur des sujets concernant la parentalité, mais aussi pour élaborer ensemble des projets collectifs pour eux et les autres : 

-Ces comités organisent des sorties à des conférences, ils préparent des cafés rencontre sur la parentalité avec l'aide de la coordinatrice du pôle petite enfance, de la référente famille et d'intervenants extérieurs,

-Ils organisent les fêtes de quartier, la fête petite enfance et la fête de Noêl sur le territoire et copilotent avec les animatrices les réunions partenariales pour élaborer ces temps festifs. Ces temps festifs sont l'occasion d'impliquer toutes les générations.

-Ils préparent également les programmes d'animations enfants parents pendant les vacances scolaires avec la référente famille.

Depart le regroupement des  3 associations (ENSC, AAISC, CSC) ,, une offre d'activité autour du numérique et de la mobilité a vu le jour reprenant des activités existantes (animations collectives et séances de formations autour du numérique) mais surtout développer des axes nouveaux (cyber café, promeneur du net, antenne de mobilité, fablab...). Basé sur une réponse  à la demande/besoin social du territoire, cet espace est amené à évoluer suivant les avancées du territoire. Le centre sicoculturel a une part importante dans ce collectif du fait de la mise à disposition d'un animateur permanent au sein de l'organisation. Il développe en m^me temps l'ensemble de la communication du pole numérique et mobilité  et celle du CSC avec l'aide d'un service civique. Le projet est mis en place dans le cadre d'un développement territorial et cohérent sur le sud et ouest charente  (voir l'association Mobilité Ouest et sud Charente MOSC). Les deux centres sociaux du pays de chalais et du Barbezilien  développent cet axe autour de la mobilité et du numérique ensemble

Animé et coordonné par une éducatrice spécialisée, ce dispositif s’appuie sur l’objectif suivant :

Prévenir les risques de délinquance et de radicalisation, par une action globale en direction des enfants, des jeunes et de leur famille, sur les temps scolaires, périscolaires et extra-scolaires.

Différentes actions viennent en appui à ce dispositif de prévention :

• Des rencontres thématiques sous forme de café-débats à partir de thèmes d’actualité (lutte contre les discriminations, l’égalité filles-garçons, le harcèlement, les droits et devoirs du citoyen, la cybercriminalité, les dangers d’internet, les processus d’emprise, etc.), en présence de personnes-ressources et/ou d’experts.
• Des actions éducatives sur les temps scolaires, périscolaires et extra-scolaires, telles que des Rencontres Citoyennes organisées auprès des classes de 4ème, des ateliers d’initiation, d’information et de prévention liés aux dangers d’internet et des réseaux sociaux en direction d’enfants et/ou d’adolescents de l’accueil de loisirs ou du CLAS, des stands de prévention sur les conduites à risque notamment dans le cadre de l’animation de rue.
• Des actions de soutien à la parentalité (groupes d’expression, tables rondes, etc.).

Un accompagnement éducatif et une veille sociale renforcée pour repérer les situations à risque.

Créer un espace de créativité, de fabrication, d’échange de pratiques et de partage de compétences qui puisse favoriser la mixité sociale et l’intergénération tout en priorisant
les 12-25 ans.

Permettre à des porteurs de projets de le structurer économiquement et juridiquement

Festival a destination des jeunes et de leurs familles.

Thématiques developpées autour des activités à sensations : sportives / adrénaline, Jeux vidéo / Immersion 3 D, goût / cuisine moléculaire insectes, Adresse / archerie tag, spectaculaire / FMX

Le Centre Social Alliances et Cultures Nord mène des actions visant à animer le quartier La Vache et à développer le lien social et intergénérationnel par des actions à la fois régulières et ponctuelles. L'été 2017 a été marqué par la fermeture du Centre Social pour travaux. En accord avec les partenaires du quartier et les habitants, cette fermeture a été l'occasion, pour l'équipe du Centre Social de s'installer au sein de la Maison de Quartier La Vache, non utilisée sur juillet-août. L'idée étant que, au-delà d'une simple délocalisation du Centre social, un projet multi-partenarial voit le jour sur le mois de Juillet 2017. Ainsi, le Centre Social a coordonné un projet d'animation, en lien avec le gestionnaire de la Maison de Quartier (Centre d'Animation Lalande), associant les habitants et une trentaine d'associations du territoire. Un financement exceptionnel de 2000 euros a été attribué par la DSCS au centre Social pour la mise en oeuvre de ce projet. Ce projet, très apprécié de tous a touché sur le mois de juillet près de 2000 personnes. Ce projet, qui reste un projet exceptionnel permis par la fermeture du Centre Social a cependant permis d'insuffler une dynamique qui se poursuit désormais sur chaque période de vacances scolaires...

* mise en oeuvre un diagnostic partagé et participatif; * interrogation de la place tutélaire des adultes; * construction d'un programme d'actions pour améliorer les relations sociales entre la diversité des acteurs; * Initiation et/ou renforcement d'une démarche de coéducation au sein de l'école élémentaire pour fabriquer de la cohérence éducative dans les réponses proposées par la diversité des acteurs présents; * travail sur la continuité éducative entre les différentes institutions d'accueil des éléves et des enfants sur le territoire;

3 phases: Phases 1: entretiens collectifs pour diagnostiquer les problématiques d'incivilité et de violence; Phase 2: Une conférence participative "contextualisée" et une assemblée éducative pour sélectionner les enjeux éducatifs prioritaires; Phase 3: deux assemblées éducatives pour co-construire un protocole d'action;

1. HISTORIQUE DU PROJET

Il y a 4 ans, un comité « Pouvoir d’agir » s’est créé à Paris à partir de différents constats, dont celui qu’il n’y a pas d’espace pour se parler entre enseignants et parents. Les attentes par rapport à l’école sont différentes dans les deux cas. Beaucoup de rendez-vous manqués pour pouvoir mieux se comprendre. Volonté de constituer une communauté éducative, pour faire ensemble et qui s’adresse à tous les enfants. Construire un vrai collectif, avec les parents et tous les partenaires concernés par l’éducation, aller ensemble dans le même sens, pour le bien-être des enfants. Les parents, les structures de quartier, sont complémentaires de l’école. Proposition au cours des différents échanges qui rassemblent les partenaires de l'éducation sur le quartier de Tarentaize-Beaubrun, i.e. parents, associations, DRE, REP+, écoles, de lister ensemble des constats sur la façon dont chacun vit l’école. Ce qui fonctionne bien, ce qui est difficile, ce qu’on voudrait voir changer, les propositions éventuelles

1. LE TRAVAIL DU GROUPE

Réunions de coordination : REP + DRE + associations Terrain d’Entente et Le Babet à raison d’1 fois / mois.

Réunions du collectif 1001 T : parents + enseignants + REP + DRE + associations Terrain d’Entente et Le Babet à raison d’1 fois / mois.

Espaces info parents : parents + enseignants + Le Babet (1 mercredi / mois de 8h30 à 9h30).

Interventions ponctuelles : le danger des écrans, les réseaux sociaux, présentation de jeux de société

Conférences débats.

1. LE ROLE DES ACTEURS PRESENTS

• Suivi en interne du projet

• La référente familles (Nacima Chouattah).
• La responsable des ateliers de français et de l’accompagnement à la scolarité
  (Frédérique Vielliard).
• La responsable de la communication (Lucile Ferrare).
• La responsable enfance / petite enfance (Lynda Kendjra).

• Animation des groupes de travail

La référente familles et la responsable ateliers de français + accompagnement à la scolarité.
Les autres acteurs professionnels présents s’impliquent également dans l’animation autant que de besoin.

1. ELEMENTS D’ANALYSE

• L’invitation des parents

Les parents ont été invités dès la troisième rencontre. Critères : chaque structure a invité les parents qui lui semblaient les plus sensibles à une démarche de co-éducation, soit qu’ils rencontrent eux-mêmes des problèmes avec l’école et/ou leurs enfants, soit qu’ils aient montré à plusieurs reprises un intérêt pour cette question.

• L’invitation des professeurs

La présence du REP+ et du DRE a permis de légitimer la démarche et d’inviter les professeurs. Il est à noter qu’ils viennent après leurs cours, en fin d’après-midi : un indicateur de leur mobilisation et de leur envie de participer à un travail rapprochant les parents de l’école ?

• Une nécessaire médiation

Le Babet se situe en « maître d’œuvre » pour ce qui concerne la démarche : sensibilisations, organisation, comptes rendus, communication interne au groupe (réalisation d’outils spécifiques), animation, etc. Dans une posture de médiation entre les différents participants (jeu d’acteurs), tout en étant partie prenante, ce qui n’est pas toujours simple. Nous veillons à ce que les échanges soient civils, quelles que soient les confrontations et les enjeux.

1. UNE QUESTION CENTRALE

Nous l’avons évoquée à chacune de nos rencontres : la légitimité de la parole des parents dans l'enceinte scolaire. Dans des domaines très divers, les positionnements dans les familles et à l'école peuvent être parfois antagonistes : des sujets d'actualité et les façons différentes de les aborder avec les enfants, des principes éducatifs, ce qui semble interdit, et autorisé, des analyses divergentes sur la nécessité d'un parcours scolaire particulier pour certains enfants (orientation en instituts spécialisés, recours à un spécialiste...). L'enjeu de 1001 Territoire est essentiellement de savoir créer des espaces de dialogue en vue de la construction d'une reconnaissance et d'une confiance mutuelles. Trop de parents aujourd'hui renoncent à affirmer leur point de vue par peur de représailles des enseignants sur leurs enfants, ce qui hélas, se produit parfois, et même si les cas recensés sont très marginaux (la crainte reste).

Ateliers hebdomadaires  d'aprentissage du Français 

Fil rouge de l'année : les origines.

Autour de ce thème, ont eu lieu 17 ateliers spécifiques :

5 ateliers linguistique/débat : nos origines communes suivis d'une sortie à la grotte Chauvet 

7 ateliers d'art plastiques : 2 sur "nos origines géographiques personnelles" ; réalisation d'une maquette de notre planète avec des pictogrammes des pays d'origines des participants ; 17 nationalités représentées.

                                            5 sur la réalisation de 76 autoportraits avec l'accompagnement d'une art-thérapeute suivie d'une exposition sur "nos origines"

5 ateliers "Slam" : Qui suis-je, d'où je viens" Une slameuse professionnelle a accompagné 22 participants dans l'écriture de slams retraçant leurs histoires et les raisons de leur arrivée en France.

L'année s'est terminée autour d'une fête : 

- inauguration de l'exposition des ateliers d'art plastique, déclamation des slams par les participants, Spectacle "Origines" par la compagnie Zyane sur les parcours migratoires;

- Goûter partagé composé de spécialités du monde cuisinées par les participants (adhérents, bénévoles et salariés)

Des jeunes du territoire sollicitent parfois le centre social du Pays de Guer pour effectuer leur stage pratique BAFA. Le centre social en période de vacances scoalires a besoin d'animateurs fomés et connaissant la structure. Les jeunes animateurs pouvant intervenir en ALSH se faisant rares sur ce territoire rural.

Positionner les adolescents du territoire comme acteurs au sein du centre social (ALSH). Confier de nouveaux rôles et places aux jeunes au sein de l’ALSH et comme citoyens.

Afin de souscrire aux demandes des jeunes et de répondre aux attentes de la structure des contrats parcours de volontariat ont été rédigés et signés pour formaliser l'engagement entre jeunes/parents/centre social/partenaires :

• Lever les freins sociaux à l’accès à un parcours pour certains jeunes
  • Lever les freins symboliques et financiers des famillles
  • Une partie de la formation (théorique) et une partie de la levée de ces freins donc peut être portée (savoir-faire) par l’Institution : DDCS et organismee de formation
  • Une partie de la formation (pratique) et une partie de la levée de ces freins donc peut être portée (savoir-être) par la structure d’accueil (environnement local) : Centre Social de Guer,
• Formaliser les parcours de formation des jeunes accueillis : BAFA, intégration au sein d'une équipe professionnelle, relations aux parents
• Donner à voir ce qui est fait en termes d’accompagnement : communication jeunes, familles, partenaires

Développement de temps de lectures animées parents - enfants dans un espace spécialement aménagé (avec le soutien de la fondation SNCF) dans le but de concourir dès le plus jeune âge à la prévention de l'illettrisme. L'intérêt pour le livre et la promotion de la lecture sous toutes ses formes sont recherchés.

Le Point Information Jeunesse fait partie intégrante du centre socioculturel Emile Romanet, lieu de vie locale des habitants qui propose des services et des animations de proximité pour tous. Les informateurs du PIJ sont amenés à travailler sur le public jeunesse principalement mais aussi auprès des adultes de manière transversale avec d’autres services (parentalité, établissements scolaires…).

Le PIJ mène régulièrement des actions autour du numérique pour le public collégien mais aussi les jeunes adultes à travers des thèmes variés : vérification de l’information, usage des administrations en ligne, questions légales, approche des réseaux sociaux, etc… Nous préparons nos actions en partenariat avec d’autres BIJ/PIJ, la mission locale de notre secteur, avec qui nous partageons nos expériences.

Une présence sur les réseaux sociaux permet d'aller plus loin dans l'accompagnement. Ainsi le Promeneur écoute, informe, accompagne, conseille et prévient. Et pour mieux accomplir sa mission, il entre en contact et crée des liens avec les jeunes sur les réseaux sociaux.

La MJC Centre social œuvre dans son action quotidienne contre toutes formes de violence, de discriminations notamment à travers des projets menés avec le collège sur le harcèlement (actions depuis deux ans en janvier avec le collège en lien avec les CPE, les profs, la vie scolaire ; Passage), actions avec l’EHPAD et l’ADIMC74 avec les enfants de l’accueil de loisirs toute l’année, l’accueil des publics en situation d’handicap dans toutes nos actions et activités, conférence familles avec l’UDAF, des actions intergénérationnelles, des spectacles. Ces actions tout au long de l’année démarrent dès janvier 2017.

La MJC Centre social souhaite donner plus de sens et de lisibilité à ses actions et s’engager dans la lutte contre toutes formes de violence ; elle souhaite redonner la place aux débats, aux échanges et à l’engagement citoyen pour le mieux vivre ensemble en cohérence avec les besoins repérés dans le cadre du nouveau projet social. Ainsi sera proposé un temps fort pour mieux identifier nos actions et notre engagement, avec une programmation pluridisciplinaire (expositions, jeux, conférences, spectacles, projections, ateliers…) pour des publics ciblés avec des partenaires identifiés afin de faciliter le travail de sensibilisation et de mener une réflexion plus approfondie (collège, accueil de loisirs, secteur jeunes, écoles, médiathèque) et pour tout public.

Pour cela, elle se positionne comme pilote d’actions citoyennes et coordinateur d’un projet partagé avec les partenaires.

Dans le cadre du Collectif du Centenaire commémorant la première guerre mondiale, la Mairie des Clayes sous Bois, les services de la ville et les associations, se sont associés pour proposer un panel d'activités (cinéma, sepctacle, expo, ....). Le Sémaphore s'est mobilisé avec un groupe de 6 habitantes bénévoles afin de créer des supports d'exposition retraçant l'évolution des droits des femmes à travers l'histoire du moyen âge jusqu'à aujourd'hui en mettant en lumière les grandes lignes de l'histoire des femmes (le droit à disposer de son corps, le droit à travailler, à aller à l'école, ....). 21 séances de travail dont 10 réunions participatives. L'inauguration de l'exposition a été réalisée à l'Espace Noiret, elle va être prêter d'aileurs aux centres sociaux de Plaisir et sera réutilisée pour la Journée de la femme le 8 mars prochain.

Finalité : En impliquant les parents, proposer une transition en douceur entre le milieu familial et l’école pour donner à l’enfant, dès son plus jeune âge (2 ans), les meilleures chances d’intégration dans un système scolaire et plus globalement social.

Les objectifs généraux :

- Favoriser la scolarisation de l’enfant et notamment de l’enfant de 2 ans

- Développer la relation parent-école

- Contribuer à la socialisation de l’enfant, au développement du langage et à la séparation progressive avec son parent

- Soutenir le parent dans sa fonction éducative

- Renforcer les partenariats dans le projet autour de l’école

Le projet de la « Classe de tout-petits avec un dispositif Passerelle » s’articule autour :

- D’un Projet Pédagogique (Education Nationale)

- D’un Projet Educatif et Parentalité (porteur du projet et partenaires)